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Résultats de recherche pour marocain

(161 résultats)
Il y a 145 jours

NGE diversifie un peu plus ses activités sur le sol marocain

INTERNATIONAL. Présent de longue date au Maroc autour des infrastructures routières notamment, le groupe NGE a remporté un important contrat fin 2024 qui lui permet de déployer une autre de ses expertises.
Il y a 283 jours

Découvrez les images du futur plus grand stade de football du monde

INTERNATIONAL. Les dernières perspectives du futur plus grand stade de football du monde viennent d'être dévoilées par les deux agences d'architecture chargées de ce projet. Oualalou + Choi et Populous se sont inspirées de la culture marocaine pour concevoir l'équipement sportif.
Il y a 357 jours

Bouygues va construire un hôpital universitaire à Rabat pour près de 450 millions d'euros

La société Bymaro, filiale marocaine de Bouygues Construction, va construire un hôpital universitaire international à Rabat, qui sera livré en septembre 2025, pour un montant de près de 450 millions d'euros, selon un communiqué publié il y a quelques jours.
Il y a 1 ans et 11 jours

bouygues construction va construire un h pital universitaire international rabat

La société Bymaro, filiale marocaine de Bouygues Construction, a annoncé la construction d’un hôpital universitaire international à Rabat.
Il y a 1 ans et 50 jours

Casablanca, un concentré d'architecture "avant-gardiste" à préserver

Le rythme effréné de Casablanca ne laisse "pas le temps de vraiment apprécier" la ville, réalise Mehdi Ksikes, touriste d'un jour, en redécouvrant le centre de la capitale économique marocaine, considéré comme un concentré architectural unique d'influences marocaines et européennes d'Art déco.
Il y a 1 ans et 115 jours

Réseau Lorenove

Réseau Lorenove dmarp jeu 08/02/2024 - 12:25 Ce rendez-vous inoubliable s'est caractérisé par un mélange de sessions stratégiques, d'activités de team building et de réunions plénières. Les experts du Groupe Lorillard ont partagé leur savoir-faire, offrant un examen détaillé des initiatives de 2023, soulignant à la fois les succès et les leçons apprises. L'événement a également tourné son regard vers l'avenir, avec la présentation de projets ambitieux pour 2024, incarnant une vision commune axée sur l'innovation, la qualité et le dévouement à l'excellence. Traditionnelle dans son essence, la convention a créé un cadre idéal pour le partage d'idées, le renforcement des relations et l'inspiration partagée. Dans un cadre alliant tradition et modernité, Marrakech a servi de toile de fond à cette rencontre enrichissante, permettant aux participants de mêler travail et loisirs, et de renforcer leur cohésion d'équipe. UN BILAN PROSPÈRE L’examen par Pierre Lorillard, Directeur Général Délégué au Commerce, au Marketing et à la Communication, des résultats de l’année 2023 pour le Groupe Lorillard et ses différentes entitésLORENOV a révélé de belles évolutions dans un contexte économique moins favorable que celui de l’année précédente, et montre un réseau qui garde le cap. Thierry Luce, Président du Groupe Lorillard, a quant à lui annoncé les investissements industriels programmés pour les années à venir. Il est également revenu sur le projet ouVERTure, en détaillant les principaux axes de travail pour atteindre les objectifs de diminution des gaz à effet de serre et de diminution des consommations d’énergie. La réunion plénière a aussi été l’occasion pour Olivier Vincent, nouveau Directeur Général Groupe, de présenter son parcours et sa vision. Il a par ailleurs profité de la Convention pour faire connaissance avec les membres du réseau, découvrir les valeurs de la marque, et s’immerger dans l’esprit Lorenove. DES PROJETS AMBITIEUX Le bilan de l’année 2023 pour le Groupe et les diverses entités Lorenove, les grandes lignes de la stratégie du Groupe Lorillard pour les cinq prochaines années, et les plans ambitieux en matière de communication – et notamment les différents projets qui seront menés autour de la notoriété et de la captation de leads – ont été au cœur des discussions lors d’une réunion majeure. En ce qui concerne la communication, les projets pour l’année à venir, détaillés par Marylène Mitrecey, Marc-Antoine Pierre et Marion Macchi, sont nombreux : 5 moments forts qui se traduiront par des campagnes promotionnelles soutenues par un dispositif complet de leviers traditionnels et digitaux, une stratégie digitale incluant le référencement payant et naturel ainsi que les réseaux sociaux, et un plan de communication omnicanal pour promouvoir le positionnement S’ouvrir au Monde de la marque. Plusieurs solutions d’accompagnement du réseau sur les sujets de communication ont également été présentées : collaboration avec des agences partenaires, déploiement d’un outil pour optimiser la visibilité locale, et mise en place d’un process complet pour la collecte, la modération et la promotion des avis clients. Concernant le marketing, Damien Boucher a réalisé une revue approfondie du programme prévu pour 2024, ainsi que des nouvelles ressources marketing disponibles pour le réseau. Cela inclut notamment les référentiels techniques et divers outils destinés à faciliter la vente. Mais également, la nouvelle gamme mixte bois-alu baptisée Fusia, annoncée spécifiquement pour le marché des particuliers et qui sera commercialisée à l’automne. Une évolution de l’offre Lorenove va concerner certains accessoires et options, avec pour objectifs de simplifier tout en enrichissant l’offre, adaptée aux divers coloris de menuiseries disponibles. Cette évolution vise à répondre aux attentes des clients en matière de fonctionnalités et d’esthétique, englobant des éléments tels que les poignées, les habillages, les entrées d’air, etc. Enfin, la mise en place d’Ateliers Produits a été annoncée, visant à impliquer activement les concessionnaires dans les réflexions marketing. L’attention s’est ensuite portée sur la supply chain. Delphine Piquard a mis en lumière les développements logistiques en cours pour faciliter la distribution et le stockage des menuiseries dans les points de vente, tout en soulignant l’engagement envers la réduction de l’empreinte carbone. Puis Nathalie Careaux et son équipe tête de réseau ont présenté les résultats de l’audit technique, détaillé le programme de formations pour l’année 2024, fait le point sur la Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) et dévoilé la stratégie de développement du réseau. Fort des succès récents en matière de croissance, Lorenove envisage de persévérer dans les actions déjà engagées : déploiement d’une communication très ciblée pour toucher les profils de candidats recherchés, poursuite du partenariat avec l’expert de la franchise Progressium, mise en avant des réussites de concessionnaires déjà intégrés dans le réseau, et qui y développe leur activité par l’ouverture d’un point de vente relais ou l’emménagement dans un showroom plus spacieux, etc. S’appuyer sur la notoriété et l’image positive des implantations locales du Groupe contribuera également au développement du réseau. L’objectif fixé est l’ouverture de 5 à 10 nouvelles concessions par an au cours des cinq prochaines années. Le calendrier des rendez-vous pour 2024 a également été dévoilé lors de cette présentation. Du côté des Agences intégrées, le Directeur – Aurélien Carteret – a dressé un bilan des résultats de l’année 2023, présenté l’organisation humaine et fonctionnelle, un élément clé du succès du modèle des agences intégrées, et dévoilé les ambitions pour l’année 2024. Pour finir, c’est Emmanuel de Rodellec – Responsable du Service Clients qui a mis en lumière les aspects spécifiques de l’organisation actuelle du service, l’évolution des commandes reçues, la présentation des prochaines améliorations du configurateur de commandes, et la nouvelle organisation de la cellule Service Après-Vente (SAV) visant à accroître encore davantage sa réactivité. Nathalie Careaux, Directrice Réseau Lorenove Concessions. ©Lorenove. Somme toute, un programme riche et complet, agrémenté de nombreux témoignages de concessionnaires qui ont animé et nourri les échanges tout au long de ces réunions particulièrement interactives. De manière plus légère, des activités de découverte de la Médina, comprenant une visite guidée du Palais de Bahia, des souks, de la place Jemaa El Fna et du jardin Majorelle, ainsi que des activités incentives par équipe (réalisation de 3 quêtes dans les souks pour découvrir de manière originale le plus grand marché oriental traditionnel d’Afrique), ont offert à tous l’occasion de se divertir collectivement. Aurélien Carteret, Directeur Réseau Lorenove Agences. ©Lorenove.   LES TROPHÉES DE LA PERFORMANCE La clôture de la convention a été marquée par une cérémonie de remise des Trophées de la Performance lors d’une soirée exceptionnelle dans le désert d’Agafay. L’événement s’est déroulé dans une ambiance conviviale, débutant par un apéritif chaleureux autour d’un feu de camp. La soirée s’est poursuivie avec un dîner authentiquement marocain, servi sous une tente ornée de décors berbères, et a été animée par des artistes locaux offrant des performances musicales, des chants et des danses traditionnelles. Au palmarès, le Trophée du Meilleur Chiffre d’Affaires 2023 pour les Concessions a été décerné à Grégoire David de FENETRES ET FERMETURES DU CENTRE. Mario Rodrigues de l’Agence PARIS OUEST s’est vu attribuer le Trophée du Meilleur Chiffre d’Affaires Facturé 2023 et celui du Meilleur Chiffre d’Affaires Commercial 2023 pour les Agences. Sabine Auber de la MIROITERIE ELBEUVIENNE a remporté le Trophée de la Meilleure Progression des Achats de Menuiseries Lorenove 2023, tandis que Kevin Gueudin de FENETRES ET FERMETURES DE L’ESSONNE a été distingué avec le Trophée de la Meilleure Opération Commerciale 2023. Jérôme Guenancia de FERMETURES DE L’OISE a été honoré du Trophée de l’Opération de Communication 2023 la Plus Remarquable, Mickael Dos Santos de CREATION FERMETURES a reçu le Trophée du Meilleur Plan de Communication Multicanal 2023, et enfin, Nicolas Goursky d’ACTIBAIE CONCEPT s’est vu décerner le Trophée de la Smartitude 2023. La convention annuelle, ancrée dans la tradition du réseau Lorenove, a pleinement atteint ses objectifs. Bien au-delà d’une simple réunion professionnelle, elle a reflété la vision partagée et l’engagement collectif en faveur de l’évolution positive de la marque. Cette rencontre a renforcé les liens au sein de la communauté, stimulé la collaboration et l’échange de bonnes pratiques entre les membres. Elle a insufflé une énergie nouvelle en ce début d’année, mis en lumière les succès accomplis, et créé des moments conviviaux qui ont consolidé l’esprit de réseau au sein de Lorenove. Choisir la Marque® - Associer l'article LORENOVE La convention des concessionnaires Lorenove, une plongée dans les avancées 2023 et les objectifs 2024 La convention annuelle des concessionnaires Lorenove s'est tenue au Club Med Marrakech La Palmeraie, marquant un moment clé pour célébrer les succès de 2023 et tracer les lignes directrices pour 2024. Du 17 au 22 janvier, Lorenove a réuni ses concessionnaires, chefs d'agence, et responsables travaux pour une convention mémorable à Marrakech, axée sur les avancées de 2023 et les objectifs ambitieux pour 2024. L'événement a été l'occasion de partager des sessions stratégiques, des activités de team building, et des réunions plénières, sous l'expertise du Groupe Lorillard. Les participants ont exploré les initiatives réussies de l'année passée, tout en se projetant vers l'avenir avec des projets novateurs en communication, marketing, et développement de produits, tels que la nouvelle gamme mixte bois-alu Fusia. Les discussions ont également porté sur l'amélioration de la supply chain et l'engagement environnemental à travers le projet ouVERTure. La convention a renforcé la cohésion d'équipe et a mis en avant les plans de croissance du réseau Lorenove, incluant l'ouverture de nouvelles concessions et l'optimisation des agences intégrées. Catégorie Métier Catégorie Principale : Menuiseries et Fermetures Sous-catégorie : Stratégies de Croissance et Innovation Produit Partager
Il y a 1 ans et 248 jours

Séisme au Maroc : "Nous devons utiliser les matériaux avec intelligence" (S. Naji)

INTERVIEW. L'architecte DPLG et anthropologue marocaine Salima Naji, spécialiste d'architecture vernaculaire, revient sur la catastrophe qui a touché le Maroc en septembre 2023. Dans un entretien pour Batiactu, elle explique les systèmes constructifs mis en oeuvre dans le pays et dessine des solutions pour le reconstruire.
Il y a 1 ans et 266 jours

Au Maroc, la vieille ville de Marrakech meurtrie par le séisme

"C'est du solide ça!", tape de sa main ridée Fatima Sanoussi sur les murs de sa maison. La sienne a résisté au séisme de vendredi soir, des dizaines d'autres non, et les dégâts sont importants dans la ville marocaine de Marrakech au riche patrimoine architectural.
Il y a 2 ans et 120 jours

Deux ouvriers sans-papiers morts sur un chantier : délibéré le 4 avril

Le 8 juin 2019, les deux victimes, Kamel Benstaali, 34 ans, et Omar Azzouz, 29 ans, travaillaient à la réhabilitation de la cité La Source à Epinay-sur-Seine, un chantier de 478 logements dont le bailleur est Plaine Commune Habitat.Recrutés peu de temps avant le drame, ils s'employaient à la rénovation thermique, depuis l'extérieur, du 18e étage d'un bâtiment lorsque la nacelle sur laquelle ils se trouvaient s'est détachée. Aucun des deux n'était formé pour effectuer des travaux en hauteur.Sept hommes âgés de 37 à 61 ans et trois entreprises du BTP sont jugés depuis lundi à Bobigny notamment pour homicide involontaire et travail dissimulé.Une grande majorité des avocats des prévenus ont plaidé jeudi la relaxe.Ils encourent jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende. La procureure de Bobigny Alix Bukulin avait réclamé mercredi une peine de deux ans avec sursis et 5.000 euros d'amende à l'encontre du gérant de la société SRI et son chef de chantier qui avaient embauché les deux victimes. Pour l'expert qui devait vérifier la conformité de l'installation de la nacelle, une peine de dix-huit mois de prison avec sursis dont huit mois ferme a été demandée."Il a reconnu ne pas avoir réalisé l'essai statique" de la nacelle, a déclaré son avocate Me Juliette Lévy-Bissonnet mais "il savait que ce contrôle n'avait pas de grande utilité", a ajouté son conseil."Un essai statique effectué à deux mètres n'aurait pas permis d'identifier des malfaçons au 18e étage", affirme son avocate.Un rapport d'expertise a pointé "un défaut d'ancrage" de la plateforme.L'entreprise Isore Bâtiment qui avait remporté le marché de réhabilitation d'une partie de la cité pour sept millions d'euros et les deux entreprises sous-traitantes ont rejeté la faute sur la société SRI "agrée pour travailler dans un chantier", a affirmé un avocat de la défense.Spécialisée dans l'isolation thermique, la société SRI a été liquidée et son gérant est en fuite en Egypte.Les victimes vivaient en France depuis trois ans. Kamel Benstaali, de nationalité algérienne devait se marier prochainement. Quelques jours avant le drame, "il travaillait sur les marchés", avait confié Me Jean-Philippe Feldman, l'avocat des deux familles des victimes. Omar Azzouz, de nationalité marocaine, était lui plaquiste.Les deux ouvriers "n'étaient pas déclarés le jour des faits mais deux jours après leur mort", avait précisé la procureure de Bobigny.
Il y a 2 ans et 170 jours

NGE se fait une place sur le marché du très haut débit marocain

ACQUISITION. Le groupe NGE a racheté l'entreprise Avanzit Technologie Maroc, lui permettant d'étoffer sa palette de métier dans un pays où il est déjà bien implanté.
Il y a 2 ans et 236 jours

Batimat : Une édition des plus réussie

Batimat 2022 était aussi placé sous le signe de la formation, accueillant pour cela beaucoup de jeunes. [©ACPresse] Jeudi 6 octobre, 19 h 00. Après 4 j intenses de salon, l’heure est au bilan. « C’est une édition plus que réussie », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. L’édition 2022 a connu une forte croissance de son affluence : + 15 % de visiteurs par rapport à 2019 et + 25 % pour les visiteurs nationaux. Le retour à la porte de Versailles a été salué par tous. Si certains visiteurs étrangers n’ont pas pu se déplacer, en raison du contexte sanitaire local notamment, des délégations marocaines, sénégalaises ou encore québécoises étaient bien présentes sur le salon. Un salon grandiose et étudiant La nouvelle version du Mondial du bâtiment sur 4 j était « un pari fou », commente Guillaume Loizeaud. Cela a donné lieu à un salon grandiose. Les visiteurs ont pu assister à plus de 400 conférences, avec un total de plus de 1 000 intervenants. Dans les halls 1 à 6 du Parc des expositions, le Mondial du Bâtiment a rassemblé plus de 1 700 exposants. L’homogénéité dans la taille des stands, respectée par le plus grand nombre et assumée par le salon, est une réussite. Les organisateurs ne prévoient donc pas de retour en arrière sur la question.   Le Mondial du Bâtiment a donné de l’importance à la formation. Ainsi, 400 apprenants des CFA d’Ile-de-France ont participé à l’évènement. Quelque 600 élèves de lycées professionnels ont aussi été invités. Certains d’entre eux ont eu l’occasion d’échanger avec Olivia Grégoire, la ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme… Un Batimat, avec l’accent bas carbone L’organisation en a fait une priorité : Batimat 2022 se devait d’être un modèle en matière de respect de l’environnement. Ainsi, tous les stands de 9 m2, 18 m2 et 36 m2 ont été éco-conçus. Ils sont durables et totalement réutilisables. Le salon s’est aussi engagé à communiquer son bilan carbone. Les jours qui suivent vont permettre de calculer l’impact CO2 des activités liées au salon. Le calcul prend en compte la logistique, côté exposants, mais aussi les déplacements des visiteurs. A l’issue du salon, Guillaume Loizeaud a affirmé sa volonté de faire du Mondial du Bâtiment un évènement neutre en carbone d’ici les prochaines éditions. Enfin, il a annoncé la tenue d’un nouvel événement dès l’année prochaine. Son nom : Renodays. Sa vocation : un rendez-vous professionnel dédié à la rénovation thermique des bâtiments. Biennal, celui-ci se tiendra, en alternance avec le Mondial du Bâtiment. Lire le dossier nouveautés Batimat 2022 – Béton ou Isolation
Il y a 2 ans et 239 jours

Mondial du Bâtiment 2022 : une nouvelle formule couronnée de succès

Une mobilisation sans précédentOrganisé à Paris Expo Porte de Versailles, le nouveau Mondial du Bâtiment a enregistré une importante augmentation du nombre de ses visiteurs (+15%), marquée par une hausse des visiteurs français (+25%) venus de différentes régions.Top 5 des régions Françaises venues au Mondial du Bâtiment : Ile-de-France, Auvergne Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Grand Est et Nouvelle Aquitaine.La présence de visiteurs internationaux était quant à elle en légère baisse (-15%). Néanmoins, le Mondial a de nouveau accueilli de nombreuses et fidèles représentations internationales telles que la Délégation marocaine, l'Ordre National des architectes du Bénin, l'Ordre National des ingénieurs du Cameroun, la Délégation sénégalaise, la Délégation algérienne, des Délégations tunisiennes (Chambre de Commerce et d'Industrie du Sud-Est, CCI de Sfax, CCI du Nord-Ouest, CCI du Centre), Délégation ivoirienne.Les organisateurs se réjouissent du climat d'affaires positif qui a régné durant les 4 jours de l'événement, grâce à la présence de nombreux décideurs et de visiteurs particulièrement qualifiés. Accueillis par 1720 exposants, tous les métiers du Bâtiment et de la construction étaient ainsi fortement représentés : Prescripteurs (20%), Installateurs (36%), Distributeurs (17%), Fabricants (14%), Organismes (13%).De l'avis général, tous les participants ont retrouvé ce qu'ils appréciaient sur les anciennes éditions parisiennes de BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN : une grande convivialité et une ambiance décrite par tous comme chaleureuse, renforcée par la possibilité de profiter de soirées organisées à Paris.La décarbonation du bâtiment placée au coeur des débatsSi le bâtiment est le premier secteur concerné pour atteindre les objectifs fixés par la Stratégie Nationale Bas Carbone, le Mondial du Bâtiment 2022 en a été assurément son lieu d'expression pour le secteur de la construction.Seul événement d'envergure internationale dédié au secteur, le Mondial du Bâtiment s'est imposé comme le rassemblement incontournable des décideurs et acteurs clés de la décarbonation du secteur.Grâce à de très nombreux temps forts et de multiples rencontres d'envergure, le sujet de la décarbonation a ainsi été placé au coeur des débats :Avant l'ouverture officielle du salon, le « Sustainable Builders 50 » a été inauguré, en présence de François Hollande. Ce « Think & Do-tank » a réuni plus de 50 décideurs, experts et personnalités guidés par la recherche de l'impact et de changements concrets afin d'atteindre les objectifs de réduction des émissions de 2030 et 2050.Mobilisés par les organisateurs du Mondial du Bâtiment, des représentants des pouvoirs publics ont pu rencontrer de nombreux chefs d'entreprise de l'industrie du bâtiment et échanger avec eux leur regard sur les enjeux de la transformation profonde de la filière : Olivier Klein, Ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la Ville et du Logement a inauguré le Mondial du Bâtiment ;A l'occasion de son discours lors de l'Assemblée Générale du Plan Bâtiment Durable, Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a remis en perspective les grands éléments de la politique publique et démontré son attachement à la réussite de la transformation du secteur ;Olivia Grégoire, Ministre Déléguée chargée des PME, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme a pu échanger avec les futurs professionnels du bâtiment et les Compagnons du devoir, et souligner avec eux l'engagement de l'état auprès des petites et moyennes entreprises.Pour la première fois, le Mondial du Bâtiment a enregistré la visite de deux commissions parlementaires démontrant l'importance des enjeux de la transformation du secteur pour les territoires : la Commission parlementaire des affaires économiques, présidée par Guillaume Kasbarian et la Commission parlementaire du développement durable, présidée par Jean-Marc Zulesi.La transition énergétique de la France était tellement au coeur des débats de cette semaine, que le dernier jour du Mondial du Bâtiment, la Première Ministre Elisabeth Borne est venue au Parc des Expositions de la Porte de Versailles pour présenter le plan de sobriété de l'Etat en présence d'Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique.Un observatoire unique de l'avenir du secteurPour la première fois réunis ensemble à Paris, les salons BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN ont mobilisé 1720 exposants et enregistré le retour de plus de 140 leaders et 45% de nouveaux exposants.L'innovation, présente partout dans le Mondial du Bâtiment et portée par un remarquable cru des Awards de l'Innovation, aura été une nouvelle fois l'un des principaux marqueurs de l'édition, illustrant le dynamisme de la filière.Parallèlement, les nouveaux formats de conférences ont été plébiscités. D'une ampleur inédite, avec la présence de plus de 90 experts sociétaux tels que Cynthia Fleury, Jean-Marc Jancovici, Bernard Amsellem, Navi Radjou, Yamina Saheb…, les Batitalks ont enregistré un fort taux de participation. Ce programme d'analyses et de décryptages était enrichi par une grande diversité de conférences et rendez-vous organisés par les partenaires du salon. L'ensemble du dispositif a réuni au total plus de 1 000 intervenants avec 450 conférences.Les organisations professionnelles telles que la Fédération Française du Bâtiment et la Capeb se sont également mobilisées et ont fait part de leur satisfaction quant à la réussite de cette édition qui leur a permis de délivrer leurs messages sur tous les sujets liés aux enjeux économiques du secteur et l'évolution des métiers.Les jeunes a l'honneurLe recrutement des jeunes et la formation étaient deux sujets essentiels que le Mondial du Bâtiment entendait mettre à l'honneur. Force est de constater que l'objectif a été atteint.Une délégation de près de 400 apprenants des CFA d'Ile-de-France et près de 600 jeunes en formation du Lycée Raspail se sont rendus sur le salon à la découverte des innovations. Ils ont pu avoir un temps d'échange avec la Ministre Olivia Grégoire, partageant avec eux le dynamisme de la filière et des métiers du bâtiment.Le nouvel espace Job Connect d'INTERCLIMA a permis de faire connaître les métiers du génie climatique au cours de rencontres quotidiennes. Du côté d'IDÉOBAIN des séances de job datings entre formateurs, installateurs et concepteurs-vendeurs qui se sont tenues. Sur BATIMAT plusieurs animations ont eu lieu dont la finale du concours du Meilleur Artisan de France.Un salon exemplaireLe Mondial du Bâtiment ne pouvait pas mettre en avant le sujet de la décarbonation sans s'approprier lui-même le sujet et faire preuve d'exemplarité. Cette nouvelle édition s'est donc placée sous le signe de plus grande sobriété et une meilleure maîtrise des dépenses. Un grand nombre d'exposants ont ainsi fait le choix d'une stand éco-conçus de leur stand en cohérence avec la stratégie du Mondial.De leur côté, les organisateurs du salon se sont engagés à réaliser un bilan carbone prévisionnel en passant l'ensemble de l'activité au crible selon la méthode scientifique de l'ADEME : transport, énergie, alimentation, hôtel... grâce à l'expertise du cabinet ECOACT qui est spécialisé dans ce type de démarche.Deux prochains rendez-vous a noterD'ores et déjà, les organisateurs travaillent sur l'évolution du prochain Mondial du Bâtiment tenant compte des tendances qui émergeront rapidement et toucheront en profondeur la filière. Le rendez-vous est donc pris, du 30 septembre au 3 octobre 2024, à Paris Expo Porte de Versailles.Cependant, le thème de la rénovation énergétique ayant été un des principaux sujets abordés pendant le Mondial du Bâtiment, RX annonce le lancement de RenoDays, un nouveau rendez-vous dédié au sujet et organisé en 2023, les 3 et 4 octobre, toujours à Paris.Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment se réjouit de ce succès : « La proposition que nous avons faite aux exposants comme aux visiteurs les a indéniablement séduits. Le retour à la Porte de Versailles est évidemment un atout important. La réussite du salon tient aussi à sa parfaite adéquation avec un état d'esprit plus général qui tend à plus de sobriété et d'homogénéité. Au-delà, nous avons surtout réalisé, avec nos partenaires, un véritable travail de fond qui a permis de donner à la filière le leadership du thème de la décarbonation du bâtiment. Lancé il y a 2 ans, le pari est donc réussi. Au nom de la filière, je suis également fier de constater que le Mondial du Bâtiment est, en période post-Covid, le seul évènement européen ayant enregistré un tel succès avec une croissance à deux chiffres de son nombre de visiteurs. »
Il y a 2 ans et 268 jours

Détail d’architecture écologique : le patio

Avez-vous eu déjà l’occasion de rentrer dans un patio d’un riad marocain ou d’une hacienda espagnole ? Cette solution architecturale ancestrale, appelée patio, est un des meilleurs moyens d’offrir à un habitat un espace de fraîcheur pendant les vagues de chaleurs. Explications… Nous avons déjà abordé ici les solutions pour éviter la climatisation. Ce premier épisode de […]
Il y a 3 ans et 5 jours

Une histoire de Béton[s]

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine L’équipe actuelle de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Souvent l’évidence nous échappe. Aussi loin que notre mémoire nous permet de remonter, la France a toujours été qualifiée de pays moteur, en matière de ciment et de béton. Le ciment artificiel y est né. La lente maturation du béton armé s’est déroulée au cœur de nos territoires. Et que dire de l’inventeur de la précontrainte et de la vibration. Plus tard, notre pays a vu le véritable envol des BHP, des Bfup et autres Bap… Ainsi, bon gré mal gré, la France reste indissociable de l’histoire du béton1. Mais en ce début de XXIe siècle, aucune revue professionnelle n’était pleinement consacrée à ce matériau. Alors que le béton est omniprésent dans la construction. Alors que les entreprises majors du BTP sont françaises. Alors que la filière emploie des milliers de collaborateurs. Et plus étonnante encore était la réaction de certains professionnels du secteur : « Mais qu’est-ce qu’il y a à dire sur le béton ? » C’est à l’aulne de ces observations que naît Béton[s] le Magazine. L’histoire dans l’Histoire. Une véritable aventure en soi. On part d’une feuille blanche ou presque, car l’expertise béton est là. La connaissance de l’édition aussi. Mais est-ce suffisant ? Pour le savoir, il faut accepter de se confronter à la réalité. Rendez-vous en bétons inconnus Dès juillet 2005, les premières esquisses se mettent en place. Les idées prennent forme. Les rubriques s’organisent. Il faut parler des chantiers, des techniques, des nouveautés. Mettre en avant l’actualité des acteurs de la filière. Leur donner la parole aussi. Avec à l’esprit de répondre aux besoins des lecteurs. Et ne pas hésiter à les emmener toujours plus loin dans l’univers des bétons. Le fait de “savoir” n’interdit de “réviser” ou “d’apprendre” de nouvelles choses. Montrer par l’exemple. Comment bien appliquer une huile sur un coffrage. Comment réparer une fissure. Comment entretenir au quotidien une toupie. Il est même possible de franchir d’autres limites. En vulgarisant les informations à caractère scientifique. En expliquant, avec des mots choisis et accessibles au plus grand nombre, l’alcali-réaction des bétons ou les étapes de transformation de l’argile et du calcaire en ciment. Puis, il faut surprendre. Aller là où personne ne vous attend. Créer une sorte de rendez-vous en bétons inconnus (de certains). Fouler les tapis rouges des expositions. Rencontrer des artistes qui ont choisi le béton comme matière première de leurs œuvres. Ce matériau peut être beau, ailleurs que sur un chantier ! La “dernière chose”… Vient enfin le moment où il faut clore le débat. On peut le faire en disant juste « Merci de votre attention ». Ou d’une manière suscitant un regain d’intérêt. Steve Jobs, le fondateur de la firme Apple, était un maître à ce petit jeu. Son fameux « One more thing » (Une dernière chose) avait le don de mettre en émoi les fans de la marque. La “dernière chose” de Béton[s] le Magazine est sa dernière page. Celle que l’on regarde avant de fermer la revue. Elle se doit de laisser une bonne et forte impression. Et quoi de mieux que de “conter une histoire”. Celle des hommes et des femmes qui ont fait la grande histoire des bétons. Celle des constructions emblématiques ou méconnues… En 2009, à la demande des organisateurs d’Intermat, Frédéric Gluzicki, directeur de la publication Béton[s] le Magazine, assure la visite guidée du salon d’Ahmed Taoufik Hejira, à l’époque le ministre marocain de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement de l’espace. [©ACPresse]Le tout premier numéro de Béton[s] le Magazine, diffusé depuis le stand Chryso, sur Batimat. [©ACPresse]Mariola Gluzicki, directrice des Editions AvenirConstruction, qui publient Béton[s] le Magazine à l’occasion du 10e anniversaire de la revue, fêté en grande pompe. [©ACPresse]Quinze ans déjà pour Béton[s] le Magazine, célébré en comité restreint, en pleine pandémie du Covid, en octobre 2020… Mais autour d’un délicieux gâteau ! [©ACPresse] L’équipe des débuts peut être qualifiée de légère. Trois personnes – Frédéric Gluzicki à la rédaction, Mariola Gluzicki à l’organisation et Alexandre Legrand au commercial – et quelques collaborateurs extérieurs. Dont un maquettiste pour mettre en page écrits et photographies. A deux mois du lancement, les premières épreuves arrivent. Ça matche ! Le design proposé est en phase avec les attentes. Le graphisme des montages est élégant, dans l’air du temps. Mais le stress du bouclage monte. L’échéance de l’imprimeur approche : il reste encore tant à faire. Le rendez-vous de Batimat ne peut être décalé. Les soirées se prolongent, les yeux de plus en plus cernés, les nerfs parfois à vif. C’est une naissance et l’accouchement, sans être délicat, demande toute notre attention. L’heure des premiers abonnements On sonne à la porte. « Bonjour. Les Editions AvenirConstruction ? C’est pour une livraison. Des cartons de Béton[s] le Magazine. Signez ici. » Le moment est solennel, l’esprit centré sur les boîtes. Vite, des ciseaux, les rabats s’ouvrent. La première sensation est étrange : il est tout petit. On l’imaginait plus grand, ce magazine. Pourtant, il est au bon format. Un A4 comme il se doit. La prise en main et le toucher de la couverture sont agréables. Puis, on feuillette ses pages, une à une. On juge du résultat. Il est à la hauteur. Lundi 7 novembre 2005. Il est 9 h 00 du matin. Les stands sont parés. Les allées dégagées. La 25e édition du salon Batimat ouvre ses portes. Nous sommes là, fébriles, nos Béton[s] le Magazine sous le bras. Quel en sera l’accueil ? C’est le moment de vérité. Mais nous sommes confiants. Tout a été mis en œuvre pour proposer une édition au top. La suite, chacun la connaît, à son niveau. Dans les allées du salon, les réactions sont enthousiastes. Certains se posaient même la question de savoir si ce magazine existait depuis longtemps, étonnés de ne pas l’avoir vu ou lu auparavant. Des courriers et quelques fax – c’était encore très utilisé à l’époque ! – de “félicitations” et de “bonne continuation” ont suivi. Les premiers abonnements aussi, tout comme la confirmation des annonceurs de vouloir continuer à nous accompagner dans cette nouvelle aventure. L’inépuisable actualité des bétons Cela fait maintenant plus de dix-sept ans que Béton[s] le Magazine sort avec la régularité d’un métronome. C’est un minimum que d’arriver dans la boîte aux lettres de nos lecteurs tous les deux mois. C’est respecter l’engagement pris auprès des annonceurs quant à la bonne diffusion de leur message, en temps et en heure. Le professionnalisme implique un engagement total, justifié par un coût légitime. Voir arriver le premier numéro de Béton[s] le Magazine a été quelque chose d’extraordinaire. Le n° 4 a aussi été particulier, marquant notre première présence sur un salon – Intermat 2006 – avec un stand en propre ! Sur sa couverture, un gigantesque canon doré, encadré par deux grognards napoléoniens. Une image décalée, hors sujet, de prime abord. Sauf quand on apprend qu’il s’agit d’une centrale à béton ! Puis, le temps s’est comme emballé. De trois, nous sommes passés à presque dix personnes, toutes passionnées et engagées. Des centaines de reportages ont été publiés et des centaines d’interviews faites. Des centaines d’innovations présentées. Et le n° 100 a fini par arriver. Etrange sensation. Le franchissement d’un nouveau cap. Oui, nous le confirmons, il y a beaucoup à dire sur les bétons. Et les choses ne font que commencer ! 1Lire “Une histoire du ciment et du béton”, dans le hors-série n° 25 “Les bétons de A à Z” – 3e édition – 2021/2022. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 29 jours

Sergic annonce le développement de son activité d’administrations de biens au Maroc

Après un développement réussi au Canada, le groupe SERGIC franchit une étape supplémentaire dans son développement à l’international avec la création d’une joint-venture spécialisée dans l’administration de biens au Maroc.Accompagner le développement du secteur immobilier marocain, c’est dans cette perspective que Biben est né.Pour Emilie d’Avout, Partner et Co-Head de Yamed Promotion au sein de Yamed Group : « En tant qu'investisseur et promoteur immobilier, nous sommes très sensibles à l’importance des métiers de l’administration de biens et à leur impact sur la qualité de vie de nos clients et sur la valorisation de leur patrimoine. La création de Biben traduit ainsi la volonté de Yamed Group de contribuer au développement de ces métiers cruciaux dans la chaîne de valeur immobilière. Avec l’appui d’un partenaire international, Biben propose un service de syndic professionnel aux meilleurs standards. En complément, Biben assure également des services de gestion locative pour accompagner nos clients dans la gestion de leur investissement s’ils ne souhaitent pas occuper leur bien. »Une équipe d’experts dédiéeS’appuyant sur l’expertise métier de Sergic et sur le savoir-faire de Yamed Group sur l’ensemble de la chaîne de création de valeur immobilière, Biben entend redéfinir les codes de la gestion de copropriétés en y apportant proximité, transparence et innovation. L’entreprise bénéficiera ainsi de l’expérience de 60 ans de Sergic dans l’administration de biens, doublée de la compétence de près de 1.000 collaboratrices et collaborateurs et de solutions technologiques de pointe.Nicolas Milhe, Directeur Général Délégué du groupe Sergic, et notamment en charge du développement de Sergic à l’international, assurera la direction générale de Biben. Ce professionnel de plus de 25 ans d’expérience dans le digital et l’immobilier, ancien dirigeant d’IBM Services Center et diplômé de Télécom Paris Sud et de Sciences Po Paris ; déclare que « les synergies avec Yamed Group, de par sa maîtrise de l’ensemble de la chaine de valeur immobilière, permettront de pérenniser le développement à l’étranger de Sergic, tout en plaçant les usagers des services de Biben au cœur de son approche, à travers la création d’une offre de premier plan. » La direction générale déléguée de Biben a été confiée à Dalila Ennaciri, fondatrice de la société de syndic professionnel Gestis, acteur majeur du secteur au Maroc. En intégrant Biben, Dalila apportera, en plus de sa maîtrise du métier, une grande connaissance du marché marocain et de son contexte économique, social et juridique. Camal Adda Ali, directeur opérationnel de Biben complète l’équipe de direction et apportera son expertise de plus de 15 ans dans l’administration de biens en France, où il gérait près de 120 immeubles et plus de 8.000 logements.Une gestion sur mesure, moderne et innovanteEn complément de la gestion de copropriété, Biben propose également une offre de gestion locative et un accompagnement sur mesure, allant de la recherche de locataires à l’optimisation de la rentabilité locative, en passant par l’entretien des biens, le recouvrement des loyers et la gestion des impayés et des contentieux. L’entreprise mise sur l’innovation pour offrir une prestation aux meilleurs standards et met un accent particulier sur le digital pour garantir l’optimisation de l’expérience client, notamment à travers une application mobile offrant une gestion transparente et autonome et une communication efficace et en temps réel. Le lancement de Biben fait suite à l’annonce de Yamed Group en novembre 2021 de restructurer ses activités autour de quatre pôles métiers distincts et complémentaires, à savoir l’Investment Management, la Promotion Immobilière, une plateforme de services (articulée autour d’une branche « Design & Construction Services » et d’une branche « Sales & Property Management Services ») et de l’investissement et la gestion dans l’industrie hôtelière (« Hospitality »).
Il y a 3 ans et 116 jours

2022 MOLINEL VÊTEMENTS PROFESSIONNELS

 L’ÉQUIPE MOLIN’ELLES PARTICIPE  AU TREK SPORTIF ET SOLIDAIRE « ELLES MARCHENT »  Prochainement, 4 collaboratrices de MOLINEL*, spécialiste des vêtements professionnels, participeront au trek 100 % féminin « Elles Marchent » organisé par l’association « Le Défi du coeur ». Maryline BECT, Jocelyne BERNIGAUD, Stéphanie PACOUD et Emilie PEIGNE PALUN s’envoleront vers le désert marocain […]
Il y a 3 ans et 152 jours

La matière au coeur des réalisations

Franck Perrin Caudron et Benjamin Champlain œuvrent depuis 20 ans pour la création d’espaces architecturaux et matières artisanales uniques au sein de leur cabinet « le Jardin des Matières ». Après des années de voyages et de rénovation, le duo a posé ses valises à Marseille, après coup de coeur pour un lieu qui est devenu leur terrain d’expérimentation, au Roucas Blanc. Le jardin-showroom est l’exposition de l’univers des deux artistes et met en avant la singularité des espaces, révélés grâce aux matières artisanales qu’ils proposent (Zellige, Bejmat, Terrazzo et Béton Ciré). Ils oeuvrent pour la mise en lumière de l’artisanat en collaborant avec les mêmes fabricants depuis leur première rénovation en 2005 : une Douiria. Ils maintiennent le fil de la transmission et du savoir-faire marocain.
Il y a 3 ans et 215 jours

Au Maroc, le street art redessine l'espace urbain

Il suffit de longer les avenues ou ruelles de la capitale pour voir émerger d'imposantes fresques de créatures fantasmagoriques ou de scènes de la vie courante.Elles sont signées par des artistes marocains et du monde entier, invités par le Festival Jidar ("mur" en arabe) dont la 6e édition s'est achevée dimanche à Rabat.De bon matin, Omar Lhamzi alias "Bo3bo3", gilet jaune, débardeur, jogging et chaussures éclaboussés de peinture, ne tient pas en place.Il dispose ses pots et bombes de peintures, choisit avec soin ses pinceaux et rouleaux pour "attaquer" son mur dans le quartier populaire de Yaacoub al-Mansour.Ce jeune homme de 25 ans n'aurait pas parié un dirham sur un avenir de muraliste quand il a décroché en 2018 son diplôme à la réputée Ecole nationale des Beaux-Arts de Tétouan (nord)."Jamais je n'aurais imaginé qu'un jour mon travail serait visible dans l'espace public", explique à l'AFP cet artiste qui a réalisé ses premières fresques il y a quatre ans dans sa ville natale d'Agadir (sud)."A l'aise"Dans un autre quartier de Rabat, Imane Droby, perchée sur sa nacelle, casque et casquette vissés sur le crâne, façonne le portrait hyperréaliste d'une brodeuse sur la façade d'une école publique.Comme Bo3bo3, cette Casablancaise de 36 ans a atterri dans l'art mural "un peu par hasard". "J'y ai pris goût. Transformer un mur blanc en oeuvre d'art est impressionnant".Toutefois, elle concède que le monde du street art "est difficile pour tout le monde mais encore plus pour les femmes, il faut redoubler d'efforts pour s'imposer".Les prémices de cet art urbain ont vu le jour au début des années 2000 à Casablanca.Au coeur de cette mégapole tentaculaire, une association de cultures alternatives, EAC-L'Boulvart (Education artistique et culturelle), a multiplié les expérimentations jusqu'à la création en 2013 du Festival Sbagha Bagha. "Au début, c'était très compliqué car contrairement au graffiti ou au pochoir, la peinture murale nécessite une organisation", souligne à l'AFP Salah Malouli, directeur artistique de Jidar et Sbagha Bagha."A l'époque, personne ne se sentait à l'aise pour travailler dans l'espace public. Beaucoup d'appréhensions qui commencent à se dissiper aujourd'hui", dit-il. Ce projet séduit alors les riverains mais également les structures institutionnelles et privées qui cherchent à dupliquer l'expérience à Rabat, Marrakech, Agadir et dans des localités reculées du royaume."Affichage sauvage"Cet engouement se heurte parfois à l'hostilité destructrice des propriétaires d'immeubles.A Tanger, cet été, les autorités communales avaient commencé à effacer un portrait de la photographe marocaine Leïla Alaoui, tuée en 2016 lors d'un attentat à Ouagadougou (Burkina Faso) avant de revenir sur cette décision.L'affaire a fait grand bruit sur les réseaux sociaux et dans les médias."C'est à Casablanca que l'effaçage (des oeuvres) est le plus flagrant à cause de l'affichage sauvage. L'espace public est envahi par les pubs, ce qui complique notre travail", déplore Salah Malouli.Deux oeuvres du street artiste italien Millo y ont été effacées en 2018 et 2020.Mais pas question de rendre les armes: "C'est le prix (à payer) pour travailler dans l'espace public, il faut accepter ce qu'il en sort, bien ou mauvais", plaide le directeur artistique.Pour Omar Lhamzi, "le street art c'est comme un sport à travers lequel tu apprends à parler avec les gens et à les écouter".Avec une palette de couleurs explosives, son univers surréaliste truffé de références au skate ou au gaming, bouscule la monotonie du paysage urbain. Comme en témoigne sa dernière création: un bonhomme avec six oreilles à la peau verte et rose fluo, comme suspendu dans une obscurité abyssale, un clin d'oeil à "La nuit étoilée" de Van Gogh. Chaque année, la scène marocaine grandit et le festival y contribue en invitant des débutants de tous horizons à donner leurs premiers coups de pinceaux sur un "mur collectif", comme ce fut le cas précédemment pour Bo3bo3 et Imane Droby.Cette année, c'est l'artiste plasticien Yassine Balbzioui qui orchestre cet atelier d'initiation, une aubaine pour lui, car, dans la rue, "tout est possible".
Il y a 3 ans et 246 jours

Saint-Gobain finalise l’acquisition de Chryso

Chryso est définitivement entré dans le giron du groupe Saint-Gobain. [©ACPresse] Annoncée le 20 mai 2021, l’acquisition de Chryso par le groupe Saint-Gobain vient d’arriver à son terme. Et devient donc définitive, les autorités de la concurrence ayant donné leur feu vert.  Acteur de la chimie de la construction, Chryso est présent sur les marchés français comme internationaux. Et assure la fourniture de solutions complètes d’additifs pour ciments, d’adjuvants pour bétons et mortiers. Mais aussi propose une offre de chapes fluides. L’industriel emploie 1 300 personnes et réalise un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 400 M€. Sa valeur d’entreprise est estimée à 1,02 Md€.  Aujourd’hui, Chryso rejoint les activités du groupe Saint-Gobain servant le marché de la construction durable au sein des Solutions de Haute Performance. « L’acquisition de Chryso est alignée avec la vision stratégique de Saint-Gobain comme leader mondial de la construction durable. Chryso nous renforce sur le marché en croissance de la chimie de la construction. Marché au sein duquel nous avons réalisé 10 acquisitions et ouvert 16 usines dans 18 pays au cours des 3 dernières années. Ceci, pour dépasser les 3 Md€ de chiffre d’affaires dans 66 pays… », indique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et Thierry Bernard, Pdg de Chryso, de conclure : « Nous sommes heureux de rejoindre le groupe Saint-Gobain. Les premiers échanges entre nos équipes en vue de préparer l’intégration confirment les fortes perspectives de croissance pour Chryso. En particulier dans des régions où nous ne sommes pas encore implantés. Mais aussi dans l’essor de solutions de haute performance. A cela s’ajoute la proximité culturelle entre nos équipes, qui sont très enthousiastes ».
Il y a 3 ans et 262 jours

Un équipage aux couleurs de Hager prend le départ du Rallye des Gazelles

Un équipage aux couleurs de Hager prendra le départ de la 30ème édition du Rallye Aïcha des Gazelles, en catégorie e-gazelle 100% électrique. Pour la marque franco-allemande, fournisseur leader de solutions et de services pour les installations électriques, ce partenariat s’inscrit dans les valeurs de Hager Group : unique rallye au monde à être certifié ISO14001, une course d’orientation 100% féminine, une participation éco-responsable avec un véhicule 100% électrique. Deux collaboratrices Hager au départ Le Rallye Aïcha des Gazelles rassemble chaque année des femmes de nationalités différentes dans le désert marocain. Les participantes, surnommées « Les Gazelles », doivent rallier plusieurs balises dans l’ordre en parcourant la plus courte distance possible. Les membres de l’équipage Hager sont deux collaboratrices de l’entreprise, originaires des Hauts-de-France : Kitty Duquesne, Chef de Ventes Projet et Aïcha Sostaric, Responsable Clientèle et Distribution. Une participation 100% électrique Les deux collaboratrices de Hager Group participent au Rallye au volant d’une voiture 100 % électrique, en catégorie « E-Gazelles ». Cette course est basée sur les principes de l’éco-conduite et est aujourd’hui le seul rallye-raid au monde certifié ISO 14001:2015. Par leur engagement, les participantes entendent aussi promouvoir les atouts de la mobilité électrique – marché sur lequel Hager est pionnier depuis plus de dix ans, avec la fourniture de bornes de charge notamment. 3500 collaborateurs français embarqués dans cette aventure solidaire Au-delà de l’épreuve sportive, le Rallye Aïcha des Gazelles est aussi une aventure solidaire. Portée par un élan solidaire, l’opération de collecte organisée sur l’ensemble des sites français de Hager Group a permis de réunir 600 kg de dons au profit d’associations et d’organismes nationaux comme le Secours Populaire et les Blouses Roses.
Il y a 4 ans et 10 jours

Palmarès AFEX 2021 – Silvio d’Ascia Architecture et Omar Kobbite Architectes – Gare TGV – Kenitra – Maroc

La gare a été pensée tel un écrin capable de traduire dans son contexte urbain une identité renouvelée de l’architecture traditionnelle marocaine, grâce à sa peau à motifs triangulaires, réinterprétation du thème du moucharabieh, dilaté à l’échelle de la ville et rythmé par les ouvertures à arcades. La gare devient le symbole du progrès technologique […] L’article Palmarès AFEX 2021 – Silvio d’Ascia Architecture et Omar Kobbite Architectes – Gare TGV – Kenitra – Maroc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 181 jours

Vracs de l’Estuaire : « Nous souhaitons avoir un ancrage local fort »

Retrouvez cet article dans le n°80 de Béton[s] le Magazine. Le constat est simple : près de 500 entreprises françaises sont installées au Maroc… Mais combien d’entreprises marocaines en France ? « Une seule ! », indique Youssef Alaoui, directeur général délégué des Vracs de l’Estuaire. Et ce, depuis septembre 2016 seulement, date précise de la mise en service l’unité de production, au cœur de la zone portuaire du Havre (76). Youssef Alaoui, directeur général délégué des Vracs de l’Estuaire. [©ACPresse] « Les Vracs de l’Estuaire constituent la première étape du plan de développement en France et en Europe de notre groupe, poursuit Youssef Alaoui. A moyen terme, nous ouvrirons un 2e site en France. » Le groupe, c’est celui des Ciments du Maroc (Cimat), dont la création remonte à 2007. Il est aujourd’hui à la tête de deux cimenteries, d’une capacité de production unitaire de 1,6 Mt/an. Entre temps, Cimat est sorti des frontières marocaines pour partir à la conquête de l’Afrique de l’Ouest et centrale. « Pour cela, nous avons fondé les Ciments de l’Afrique en 2011. A travers eux, nous sommes présents dans onze pays. » De quoi acquérir une belle expertise dans la construction, et l’exploitation de centres de broyage et d’ensachage. Et de cimenteries, bien entendu. Droit d’usage de la marque NF Les Vracs de l’Estuaire s’inscrivent dans cette même démarche industrielle. L’entité est filiale à 100 % de Cimat. « Ceci depuis le mois de janvier 2018. Auparavant, nous n’étions que partiellement actionnaires de cette entreprise. » Depuis son ouverture, l’usine-pilote du Havre a permis de créer 45 emplois directs et plus de 60 indirects, montrant bien la volonté d’un ancrage local fort. La capacité de l’outil est de 600 000 t/an. Toutefois, sa montée en puissance est progressive. « A fin 2018, notre production était de 200 000 t en rythme annuel, souligne Youssef Alaoui. Un chiffre tout à fait en phase avec notre plan de développement. » Les Vracs de l’Estuaire rayonnent sur une zone de chalandise de 250 km à 300 km autour du Havre. L’industriel fournit les producteurs indépendants de BPE, les préfabricants, les entreprises de BTP et les négoces en matériaux de construction. « Plus de 83 % de notre production est livrée en vrac et seulement 17 % sont commercialisées en sacs. Nous sommes à l’écoute de notre marché et essayons d’y répondre au mieux. » Cette réponse passe en particulier par la fourniture de ciments, bénéficiant du droit d’usage de la marque NF. Un 42,5 au prix d’un 32,5 Le précieux sésame a été obtenu dès le mois d’août 2017, soit moins d’une année après la mise en service de l’usine. « Nous sommes le premier cimentier indépendant à être titulaire de la marque NF pour nos ciments », insiste Youssef Alaoui. En toute logique, la matière première des ciments – à savoir, le clinker – provient d’une cimenterie Cimat. Celle de Ben Ahmed, située à 70 km au Sud-Est de Casablanca. « Nos cimenteries marocaines sont ultra modernes, bénéficiant des dernières technologies, telles une production par voie sèche ou la présence d’un pré-calcinateur. » L’offre des Vracs de l’Estuaire compte quatre ciments, trois sont proposés en vrac et un seule en sac. Mais en deux variantes. « Notre CEM II/A-LL 42,5 N CE CP2 NF est disponible en sacs de 25 kg ou de 35 kg », détaille Youssef Alaoui. Côté vrac, on retrouve deux CEM I 52,5 N dont le CEM I 52,5 N CE SR5 PM CP2 NF, qui se caractérise par sa résistance aux sulfates. « Ce ciment permet la formulation de CEM III par ajout de laitiers moulus de hauts fourneaux. » Enfin, les Vracs de l’Estuaire commercialisent un CEM II/A 42,5 R. Il n’y a pas de 32,5 au catalogue, comme l’explique en conclusion Youssef Alaoui : « Nous avons  fait le choix de proposer un CEM II 42,5 au prix d’un CEM II 32,5. Nous faisons de la surqualité sans surcoût pour l’utilisateur final ». Alors, dans ce contexte, pourquoi se priver ? Retrouvez cet article dans le n°80 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 227 jours

Le Marocain Aptex dans le giron de Chryso

L’entité commune Chryso-Aptex apportera aux clients marocains une offre complète de solutions d’adjuvantation. [©Chryso] Chryso vient de signer un accord portant sur une prise de participation majoritaire dans la société marocaine Aptex. L’industriel des adjuvants poursuit sa stratégie de croissance dans des pays bénéficiant d’une forte dynamique du secteur de la construction et du marché du béton à forte valeur ajoutée. Il va ainsi renforcer sa présence au sein du Royaume chérifien, où le groupe est établi depuis 30 ans. Et y bénéficie d’une solide réputation auprès des clients. En effet, Chryso a développé une très bonne connaissance des enjeux locaux du marché de la construction. «  Par cette prise de participation majoritaire, nous pérennisons notre relation de long terme avec nos clients marocains. Et renforçons notre ancrage local au Maroc. Nous accélèrerons ainsi le déploiement de nouvelles technologies. Et accompagnerons les industriels dans le développement de matériaux de construction performants et respectueux de l’environnement »,indique Thierry Bernard, président de Chryso. Une entité commune Chryso-Aptex Quant à Aptex, cet acteur local opère depuis 2018 dans  le domaine de la chimie de la construction. Le Marocain est doté d’une unité de production et d’un laboratoire applicatif, situés à Casablanca. «  Nous nous réjouissons de nous associer à une structure internationale, offrant d’importants moyens de développements et d’une forte culture de l’innovation »,a commenté Mohamed Benlyamani, fondateur d’Aptex. L’entité regroupée dans une entreprise commune Chryso-Aptex apportera aux cimentiers, industriels du BPE et de la préfabrication… une offre complète de solutions d’adjuvantation. Mais aussi de produits décoratifs pour béton, d’additifs pour ciment. Et enfin, de chapes fluides, ainsi que des services dédiés. Cependant, l’opération reste soumise à l’approbation des autorités réglementaires compétentes. La réalisation définitive de cette transaction devrait intervenir au cours de la fin du 4etrimestre 2020.
Il y a 4 ans et 247 jours

Nouveau directeur commercial et marketing chez Vracs de l’Estuaire

Comme nouveau directeur commercial et marketing chez Vracs de l’Estuaire, Thierry Dauger s’attachera à développer l’image professionnelle du cimentier, en tant que cimentier responsable. [©Vracs de l’Estuaire] Vracs de l’Estuaire a nommé Thierry Dauger au poste de directeur commercial et marketing. Première filiale européenne du groupe cimentier marocain Cimat-Cimaf, implantée au Havre (76). Par cette nomination, le cimentier souhaite impulser une nouvelle dynamique. Et « incarner une véritable alternative pour les acteurs du BTP en quête d’agilité et de compétitivité », peut-on lire dans le communiqué de presse. « L’arrivée de Thierry Dauger constitue une excellente opportunité pour Vracs de l’Estuaire. Ses 30 ans d’expertise dans notre secteur d’activité nous seront précieuses pour nous aider à nous développer de façon significative », déclare Youssef Alaoui, directeur général de Vracs de l’Estuaire. Son parcours Thierry Dauger aura pour mission d’asseoir la démarche commerciale par segment de marché. Et d’adapter une offre produits conforme à l’évolution normative. Puis, il s’attachera à développer l’image professionnelle de Vracs de l’Estuaire, en tant que cimentier responsable. Et surtout comme un challenger reconnu par la profession du BTP et des acteurs de la filière des matériaux de construction. A 53 ans, Thierry Dauger est titulaire de deux DUT en génie civil et techniques de commercialisation de l’université de Bordeaux. Il est diplômé de l’Ecole universitaire de management (IAE) de Bordeaux. Il débute sa carrière en 1990 au sein du groupe Ciments Français. Puis, Italcementi comme responsable de secteur. Enfin, comme directeur d’agence Sud-Ouest à partir de 2000. En 2007, il prend la direction des ventes et grands comptes pour la zone Atlantique.
Il y a 4 ans et 251 jours

La richesse et la diversité de l’architecture marocaine avec les YMAA

YMAA (Young Moroccan Architecture Awards) est une compétition qui vise à mettre en valeur les réalisations architecturales ...En savoir plus Cet article La richesse et la diversité de l’architecture marocaine avec les YMAA est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 257 jours

Young Moroccan Architecture Awards 2020 : Appel à candidatures

Créés par le groupe Archimedia, les Young Moroccan Architecture Awards (YMAA) récompenseront la créativité des réalisations architecturales signées par des jeunes architectes marocains. L’appel à candidatures de la première édition est ouvert aux architectes de moins de 45 ans jusqu’au 10 octobre 2020. En 2020, les YMAA vont décerner des prix aux jeunes talents de l’architecture marocaine afin de mettre en valeur les réalisations architecturales les plus emblématiques du pays. Porté par le groupe de presse Archimedia, ce palmarès distinguera pour la première fois les projets des meilleurs architectes marocains dans 32 catégories, qui visent à rendre compte de l’ensemble des pratiques architecturales. Présidé par l’architecte de renom Taoufik El Oufir, le jury sera composé de professionnels du secteur comme l’architecte Christian de Portzamparc, et décernera trois distinctions dont deux prix qui récompenseront les projets de fin d'études d’étudiants marocains scolarisés au Maroc ou à l’étranger. La première édition des Young Moroccan Architecture Awards mettra à l’honneur l’architecture contemporaine marocaine, et assurera aux jeunes lauréats une reconnaissance importante dans le secteur et une couverture médiatique internationale Pour participer et tenter de remporter un prix, il vous suffit de vous inscrire sur le site des YMAA.Visuels : © YMAALa Rédaction
Il y a 4 ans et 262 jours

La jeune génération d’architectes marocains

Le concours YMAA (Young Moroccan Architecture Awards), organisé par le Groupe Archimedia, est une compétition qui vise à ...En savoir plus Cet article La jeune génération d’architectes marocains est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 288 jours

Une étonnante résidence hôtelière aux finitions luxueuses en Hi-Macs®

Offrant un hébergement de cinq chambres d'hôtes avec salles de bains et une cuisine intérieure et extérieure, le véritable attrait de cette villa couleur argile, sont ses espaces extérieurs, dans le cadre magnifique du Haut Atlas.Cette villa spacieuse a été conçue avec un aménagement intérieur d'une qualité exceptionnelle, complété par de vastes terrasses et une imposante piscine. Doté d'une polyvalence à nul autre pareil, HI-MACS® se décline à l'intérieur et à l'extérieur.HI-MACS est un matériau Solid Surface thermoformable à l'envi. Composé de minéraux, d'acrylique et de pigments naturels, le matériau revêt une surface lisse, non poreuse et visuellement transparente, et répond aux normes les plus élevées en matière d'esthétique, de fabrication, de fonctionnalité et d'hygiène - offrant une myriade d'avantages par rapport aux matériaux conventionnels.A l'intérieur, les cuisines, les salles de bains, les têtes de lits, les bureaux, et même certains meubles et œuvres d'art ont été fabriqué en HI-MACS® pour se fondre dans les lieux tout en les sublimant.Mais c'est à l'extérieur que le matériau démontre véritablement sa polyvalence. Des tables des patios aux chaises longues incurvées semi-immergées, situées dans une zone peu profonde de la piscine, aux goulottes de bordure de la piscine, jusqu'aux étonnantes sculptures, HI-MACS®, dans sa déclinaison Alpine White, a été choisi pour refléter la lumière et apporter un sentiment de sérénité au lieu.Les pelouses vertes luxuriantes, parfaites pour une promenade pieds nus, invitent les clients à explorer les nombreuses sculptures fascinantes que l'on trouve dans les jardins. Des pièces sinueuses ressemblant à de la vigne qui serpentent aux coins du bâtiment, aux structures cubistes flottantes entourant les vieux oliviers, la diversité des œuvres fait écho aux plantations sculpturales de la propriété.Adjacent à la terrasse principale, l'imposante piscine de 25 mètres est aussi architecturalement remarquable que l'intérieur de la villa, étonnamment linéaire, mais sans compromis sur le confort. Et, pour s'abriter de la chaleur du soleil marocain, à l'ombre de la pergola, des fauteuils et canapés d'extérieur surdimensionnés. Comme la cour intérieure, à l'image des forts du désert, les Olivades Marrakech chuchotent l'histoire de la région, offrant une grande inspiration pour le yoga, la méditation et la relaxation.Les projets de cette nature exceptionnelle méritent des matériaux de la plus haute qualité, cette réalisation en est l'exemple parfait.Informations techniquesProjet Les Olivades, MarrakechLieu : Marrakech, MarocArchitecte : Gérard Iffrig, FranceFabrication : Plan Design, MarocMatériau : HI-MACS® S028 Alpine White
Il y a 4 ans et 341 jours

Une mère et ses deux enfants tués dans l'effondrement d'un bâtiment en Italie

La corniche, longue de près de 70 mètres, d'un ancien bâtiment industriel s'est effondrée soudainement sur la chaussée, ont indiqué ces agences.Une mère âgée de 38 ans se trouvait là avec deux de ses enfants de 15 mois et 5 ans, tous les trois ont été écrasés. La femme, d'origine marocaine, et son garçon de cinq ans sont morts sur le coup, tandis que le bébé, une petite fille, est morte peu après son évacuation à l'hôpital, a précisé l'agence Ansa.La scène s'est déroulée sous les yeux du frère aîné, âgé de neuf ans, qui se trouvait de l'autre côté de la route et a échappé à la chute de l'amas de briques et de pierres. Une passante de 42 ans a également été blessée.L'extraction des corps des victimes a pris plusieurs heures.L'incident a eu lieu dans la petite localité d'Albizzate, en périphérie nord-ouest de Milan en Lombardie. Le ministère public a ouvert une enquête pour meurtre et homicide involontaire.L'édifice concerné, sans étage, abritait autrefois une entreprise textile et accueille actuellement plusieurs commerces. Toute la zone a été bouclée et un bâtiment "jumeau", où se trouve un supermarché, a été fermé.
Il y a 5 ans et 3 jours

Effondrement mortel d'une maison vétuste à Lille : le propriétaire condamné

Une maison d'un étage, avec un ancien café-restaurant au rez-de-chaussée, située à un angle de rue dans le quartier populaire de Fives, à la périphérie de Lille, s'était effondrée le 1er septembre 2014.Les locataires, une Marocaine d'une trentaine d'années et son enfant de trois ans, avaient été retrouvés morts dans les décombres.Le tribunal correctionnel de Lille a reconnu coupable d'homicide involontaire la SCI en tant que personne morale et l'a condamnée à 70.000 euros d'amende et plus de 90.000 euros de dommages et intérêts."On n'a que des amendes", regrette Me Stéphane Bulteau, avocat de l'époux et père de l'enfant, disant que "derrière une personne morale, il y a des personnes physiques"."Il y a eu tellement de négligences de cette SCI. Ils savaient que l'immeuble était fragile", assure-t-il. "C'est pas tout d'être propriétaire, d'encaisser les loyers, on a des responsabilités."La ville de Lille et la métropole européenne de Lille (MEL), assignées par la SCI, ont été relaxées.La défense de la SCI estimait que la mairie était responsable de la fragilisation de l'édifice en ayant fait détruire l'immeuble attenant dans les années 1990 après qu'un véhicule l'avait percuté; et que la MEL, qui faisait des travaux de voirie au moment du drame, avait aussi affaibli la maison."Comment voulez-vous entretenir un immeuble où les gens sont dans les lieux, quand les gens ne paient pas les loyers et surtout quand on vous détruit l'immeuble voisin alors qu'on ne vous a rien demandé ?", souligne Me Gilles Maton, se demandant si, pour les juges, "il n'est pas plus facile de condamner une SCI d'une veuve de 85 ans plutôt que de mettre en cause la ville de Lille"."Au minimum, il y aurait dû avoir un partage de responsabilités", estime-t-il, assurant que la mairie n'a pas fait les travaux de soutènement nécessaires après la destruction de l'immeuble voisin, qui faisait jusqu'alors l'angle.Il compte faire appel du jugement.En 2014, la SCI familiale n'avait plus de gérant depuis le décès du père, jamais remplacé.
Il y a 5 ans et 22 jours

Vracs de l’Estuaire revoit son site Internet

Vracs de l’Estuaire vient de revoir son site Internet. [©Cimat-Cimaf] Dès la page d’accueil affiché, la couleur est annoncée : “Le ciment devient agile”. Si on en doutait encore, la confirmation est là. Vracs de l’Estuaire, c’est le ciment avant tout. Un ciment régulier et produit en France, juste à côté du Havre (76). La matière première – à savoir, le clinker – provient, elle, de plus loin. Du Maroc pour être précis. Vracs de l’Estuaire ne cache d’ailleurs pas ses origines. Il suffit d’attendre quelques secondes pour que l’information apparaisse, toujours sur la page d’accueil : « Nous sommes l’acteur français du groupe international Cimat – Cimaf ». Cimat, comme Ciments de l’Atlas, Cimaf, comme Ciments d’Afrique, groupe familial marocain à la tête huit cimenteries. A quoi s’ajoutent cinq autres, en cours de construction. Ce qui donnera, à terme, une capacité de production de près de 9 Mt/an de ciment. L’unité française est la première établie en Europe. Il s’agit d’un centre de broyage de clinker et de production de ciments. Vracs de l’Estuaire se définit comme une alternative pour les acteurs du BTP en quête de souplesse. D’où la signature, sans équivoque : “Le ciment devient agile”.  Entre Internet, LinkedIn et Twitter  Tout juste mis en ligne, le nouveau site Internet se présente comme sa vitrine numérique. Il reprend les fondamentaux de sa nouvelle identité visuelle, dévoilée fin en 2019, lors du salon Batimat. A travers de ses différentes rubriques et son blog intitulé “Notre magazine”, le site met en avant aussi bien les engagements que l’offre des Vracs de l’Estuaire, en passant par son expertise. Et les exemples de réalisations témoignent de la confiance que les plus grands acteurs du BTP ont déjà accordée à ce cimentier encore jeune sur le marché français… Pour compléter la refonte de son site internet, Vracs de l’Estuaire a ouvert une page LinkedIn. Le contenu est porté par des collaborateurs de l’entreprise. Et un compte Twitter doit suivre dans les mois à venir. L’objectif avoué est de développer sa visibilité de marque employeur et de créer une véritable communauté autour de son activité.  Une zone de chalandise cimentière de 350 km Implantée dans la zone portuaire du Havre, l’usine de broyage de clinker de Vracs de l’Estuaire produit une gamme de ciments. Ceux-ci sont labélisés CE et bénéficient de la marque NF. Cette production est destinée aux centrales à béton, aux usines de préfabrication et aux négoces de matériaux. La zone de chalandise pour les livraisons en vrac, sous 24 h, est de 350 km autour du site. Pour le conditionnement en sacs de 35 kg ou 25 kg, le délai d’approvisionnement est de 5 j au maximum.
Il y a 5 ans et 35 jours

Vracs de l’Estuaire ouvre une nouvelle page sur la toile pour renforcer la proximité avec ses clients

Depuis son implantation en France en 2016, Vracs de l’Estuaire, cimentier appartenant au groupe familial marocain Cimat-Cimaf, place au cœur de sa stratégie de développement, l’écoute, l’agilité et la réactivité pour offrir des solutions constructives, fiables et compétitives à ses clients. Après avoir adapté son organisation pour continuer à livrer ses clients en cette période de crise sanitaire et de confinement, Vracs de l’Estuaire renforce son écosystème digital pour rester au plus proche d’eux. La refonte du site internet et l’ouverture d’une page LinkedIn illustrent l’engagement du cimentier agile auprès de ses partenaires. Un site internet aux couleurs de la nouvelle identité visuelle Aux couleurs de sa nouvelle identité visuelle et de sa signature de marque, le site internet vracsdelestuaire.fr incarne le positionnement singulier de Vracs de l’Estuaire : « le nouveau cimentier agile », une alternative pour les acteurs du BTP en quête de souplesse. Véritable vitrine de l’entreprise, il démontre, au travers de ses différentes rubriques et du blog intitulé « notre magazine », les engagements, l’offre et l’expertise de Vracs de l’Estuaire. Les réalisations témoignent de la confiance accordée par les plus grands acteurs du BTP à ce nouveau cimentier. Une présence sur les réseaux sociaux Pour compléter la refonte de son site internet, développer sa visibilité comme marque employeur et créer une véritable communauté autour de son activité, Vracs de l’Estuaire vient d’ouvrir une page LinkedIn qui compte déjà près de 400 abonnés. Le contenu est porté par des collaborateurs de l’entreprise. Un compte Twitter complètera ce dispositif dans les prochains mois. Vracs de l’Estuaire en bref Implantée dans la zone industrialo-portuaire du Havre, l’usine de broyage de clinker de Vracs de l’Estuaire produit une gamme de ciments labélisés CE et NF destinés aux centrales à béton, aux usines de préfabrication et aux négoces de matériaux. En 24 heures, les ciments sont livrés en vrac dans un rayon de 350 km depuis le site. Pour le conditionnement en sacs de 35 kg ou 25 kg, le délai de livraison est de 5 jours au maximum. Avec ce nouvel écosystème digital et son engagement quotidien auprès des professionnels du BTP, Vracs de l’Estuaire démontre son agilité et établit une relation de proximité et de confiance avec ses actuels et futurs clients. http://www.vracsdelestuaire.fr
Il y a 5 ans et 58 jours

Quelques conseils pour adopter une décoration cosy

Notre maison est un endroit spécial. C’est ici qu’on se détend, se réunit en famille à la table du dîner et s’inspire pour la nouvelle journée. D’ailleurs, c’est le lieu où vous allez passer la plupart de votre temps pendant cette période de confinement. Mais que ce soit en cette période de crise ou d’autres moments, il est toujours bon de le rendre beaucoup plus accueillant. Même la plus petite caractéristique du décor est importante. Les décorateurs modernes nous ont surpris à de nombreuses reprises avec leurs transformations inhabituelles, mais même si vous ne prévoyez pas de changements majeurs, vous pouvez toujours suivre ces quelques conseils pour améliorer les choses. De plus, sur ledomicilechic.fr, vous pouvez parfaitement trouver des inspirations diverses pour décorer votre intérieur. Apporter de la chaleur par l’éclairage Il y a une raison pour laquelle l’éclairage est le premier conseil pour rendre votre intérieur plus cosy. Il n’y a peut-être rien de plus important qu’un bon éclairage pour créer une atmosphère chaleureuse. Si vous ne savez pas comment concevoir une pièce plus chaleureuse, commencez par évaluer votre situation d’éclairage. Le mieux serait de ne pas privilégier les éclairages au plafond. Les lampes de table et les bougies constituent un excellent choix. Si vous ne disposez pas de moyens financiers pour introduire des lumières supplémentaires, il suffit d’opter pour des ampoules chaudes dans toutes les pièces. Intégrer les plantes dans sa décoration Si vous n’avez pas de plantes, vous devriez sérieusement envisager d’en ajouter dès maintenant. Tout élément vivant dans la maison contribuera à la sensation de confort. L’autre chose merveilleuse d’avoir des plantes est que vous pouvez les accessoiriser avec une variété de vase. Les plantes placées dans des pots et des paniers sont en elles-mêmes des éléments décoratifs et ont l’avantage d’ajouter des touches de texture intéressantes à n’importe quelle pièce. Concernant le choix des pots, vous pouvez privilégier les modèles dans des tons chauds comme la terre cuite. Rendre chaleur une pièce avec des tapis Les  planchers de bois franc et de stratifié sont excellents, mais ils peuvent devenir froids sous vos pieds pendant les saisons les plus fraîches. Il n’y a pas un seul endroit dans la maison qui ne bénéficie pas d’un beau tapis. Dans la salle de bain et la cuisine, vous pouvez aussi utiliser des tapis. Pour le choix de la couleur, le blanc reste un incontournable et ce teint vous permet de savoir s’il est temps de le laver. Dans les chambres, si vous avez un tapis en fibres naturelles, essayez de superposer avec un tapis de style marocain ou persan sur le dessus. Ajouter de la texture Pour arriver à vos fins, il suffit de placer des objets texturés dans votre maison. La texture ajoute de la profondeur et permet d’apporter plus de confort à un espace. Pour cela, vous pouvez parfaitement placer des paniers tissés contenant des oreillers supplémentaires. D’autre part, il est aussi possible d’utiliser des textiles dans des matières invitantes comme le velours, le lin ou encore le tricot épais. Les livres sont également des accessoires de décoration qui peuvent apporter une touche cosy à son intérieur.
Il y a 5 ans et 94 jours

Amizmiz, un oasis bioclimatique dans l’Atlas marocain

Avec l’arrivée de l’électricité et d’internet, et une population composée à 43% de moins de 24 ans (1), le Maroc est animé d’une forte dynamique démographique. Coté « mode constructif », les immeubles populaires comme les résidences touristiques n’échappent pas au système mondialisé. Simples murs en parpaings généralement sans isolation, ouvertures sans système de protection […]
Il y a 5 ans et 175 jours

HeidelbergCement cède une part de Ciments du Maroc

Bernd Scheifele est le président du conseil d’administration d’Heidelberg Cement. [©HeidelbergCement] HeidelbergCement a annoncé avoir vendu 3,6 % de ses parts dans Ciments du Maroc, pour une valeur estimée à 73 M€. Les acquéreurs sont des investisseurs institutionnels marocains, qui ont acheté en bloc le demi-million d’actions en vente. Avec cette transaction, HeidelbergCement reste tout de même l’actionnaire majoritaire de Ciments du Maroc avec 51 % du capital en sa possession. « HeidelbergCement va pleinement conserver sa position majoritaire de Ciments du Maroc. Et ceci, sur du long terme. C’est une des clefs de la stratégie de notre groupe, explique le docteur Bernd Scheifele, président du directoire du groupe HeidelbergCement Cette vente fait partie de notre plan d’optimisation de notre portefeuille d’investissement, permettant d’accélérer notre désendettement. Nous sommes toujours sur les bons rails pour atteindre 1,5 Md€ de recette d’ici la fin 2020. »
Il y a 5 ans et 315 jours

Laura Gonzalez : Restaurant La Gare

Nul besoin de booker son aller-retour pour s’offrir une escapade ensoleillée, le restaurant La Gare est à lui seul un voyage en soi. Si sa façade ferroviaire d’antan garde les empreintes de son passé, son intérieur signé Laura Gonzalez – nommée designer de l’année 2019 par Maison & Objet – nous le fait vite oublier.  Cent cinquante ans après s’être métamorphosé une première fois en bistrot, l’ancienne petite gare de Passy-La-Muette entièrement reliftée conserve toutefois ses deux niveaux. L’espace supérieur complètement agrandi accueille un patio végétalisé entouré de cuisines ouvertes – fief du chef péruvien Gaston Acurio – laissant s’échapper des effluves d’épices provenant des quatre coins du monde, à l’instar des inspirations de sa décoration.    En son centre, agencé en piscine recouverte de zelliges marocains verts, s’invitent une banquette de cuir bordeaux ainsi qu’un ensemble d’assises en bois habillées de tissus aux motifs chatoyants. Surplombé d’une toiture de verre et d’acier toute en longueur ainsi que de délicates suspensions japonisantes en lin, cet espace aux influences méditerranéennes, américo-latines et asiatiques, se referme sur deux cabanes de bambous aux allures de cages à oiseaux.    A l’ombre d’une végétation luxuriante, une terrasse attenante s’étend sous les arbres du jardin de Ranelagh. Les carreaux d’argiles cuits au feu de bois de l’atelier zelij s’invitent au sol sur lequel se pose une série de banquettes outdoor et de chaises parées d’entrelacs de fils colorés que l’on retrouve au salon de thé du rez-de-chaussée. Ce dernier, disposant également d’un espace extérieur ainsi que d’un bar, est tout aussi dépaysant. Les motifs de la créatrice, dessinés pour Pierre Frey s’affichent aux murs, alternant peinture et papier-peint aux côtés d’un pan de mur investi par l’artiste Claire Quénetain.    Une nouvelle adresse gourmande qui vient réveiller le 16e arrondissement de la capitale !   Pour en savoir plus, visitez le site de Laura Gonzalez   Photographies : Jérôme Galland  
Il y a 5 ans et 321 jours

Événement : Desert Design

La nouvelle exposition du musée Yves Saint Laurent de Marrakech (Maroc) se penche sur la longue tradition du tissage des femmes berbères de la tribu des Aït Khebbach. Plein de couleurs éclatantes, les tapis présentés au spectateur témoignent de l'expression et de la créativité foisonnante des régions désertiques d'Afrique du Nord. Moment phare du quotidien des femmes berbères, associant activité manuelle et socialisation, le tissage sort aujourd'hui de son contexte habituel et peuple les murs du musée Yves Saint Laurent de Marrakech à l'occasion de l'exposition « Desert Design ». Caractérisées par des motifs tribaux et tonalités éclatantes, les créations textiles sont réalisées à partir de bouts de tissus recyclés provenant des souks ou de vieux vêtements qui sont ensuite assemblés sur la trame pour devenir des boucharouites, tapis traditionnels de la région – qui peuvent également servir de couverture. Le parcours met en lumière l'histoire, la géographie et la création de ces textiles mais s'attarde également sur les femmes tisserandes, peu habituée à être sur le devant de la scène. L'auditorium se transforme ainsi en un espace immersif réunit ainsi des portraits de différents formats ainsi qu'un court métrage rendant hommage à ces artistes de l'ombre. « Desert Design révèle le talent rare de ces femmes tisserandes, tout en invitant à une évasion spatio-temporelle dans un paysage aux mille richesses », précise d'ailleurs le communiqué de l'exposition. La scénographie, signée du designer marocain Younes Duret, affirme la volonté du centre d'art fraîchement érigé de valoriser les différentes régions du pays tout en dialoguant avec le Jardin Majorelle adjacent dont les couleurs vives séduisent des milliers de touristes depuis 2011. La promesse d'un voyage haut en couleur. Pour en savoir plus, visitez le site du musée Yves Saint Laurent Photographies : Eric Ossart, Adnane Zemmama
Il y a 6 ans et 1 jours

Röd Studio : Assemblages

Basé à Copenhague (Danemark), le duo composé des designers Anne Louise Rasmussen et Maja Marie Halling nous émerveille avec son approche expérimentale de la conception textile. Anthropomorphes et sculpturaux, leurs tapis cassent les codes avec humour. Exemple avec la collection Assemblages. L'histoire commence alors qu'Anne Louise et Maja Marie sont encore étudiantes en design textile à la Royal Danish Academy of Fine Art, balors qu'elles ont pour contrainte de réaliser un projet à quatre mains lors de leur dernière année. Une collaboration gagnante puisque depuis, elles ne se sont plus jamais quittées ! Signifiant « rouge » en danois (pour la féminité et le pouvoir), Röd Studio fait figure d'OVNI dans le paysage contemporain. Entre objets de design et œuvres d'art, leurs tapis traduisent l'humour et la créativité des deux femmes, mais également de leur goût pour les voyages. La collection Assemblages ne faisant pas exception, c'est à Marrakech que le binôme est allé puiser son inspiration. Mais si bleu Majorelle, mohair et contours irréguliers nous renvoient à l'esthétique marocaine, l'identité visuelle de ces tapis est bien propre au studio. Associant les matières dans des formes tantôt abstraites, tantôt figuratives, les travaux du collectif « assemblent » tonalités vives, volumes inattendus et textures multiples pour créer des motifs uniques. « Bien sûr, nous avons aussi nos muses, comme Picasso, et nous nous inspirons des périodes et des mouvements artistiques, tels que le constructivisme, le cubisme ou le Bauhaus. » Anne Louise Rasmussen et Maja Marie Halling, designers Organisée en triptyque, la série renvoie aux processus de composition des sculpteurs. D'abord, il y a un modèle dessiné sur papier à l'aide de marqueurs de couleur, ou bien découpé dans un carton. Vient ensuite la mise en volume, où chacun des éléments indépendants sont associés, créant finalement un résultat harmonieux et cohérent. Une bouffée d'air frai qui conjugue de nombreuses disciplines entre elles. Pour en savoir plus, visitez le site de Röd Design Photographies : DR
Il y a 6 ans et 252 jours

3e édition d'AccesSecurity, le salon Euro-Méditerranéen de la sécurité globale

Après le succès de la seconde édition qui a réuni au Parc Chanot à Marseille plus 120 exposants et marques et près de 3000 visiteurs dont une délégation marocaine représentative, AccesSecurity confirme son positionnement incontournable sur le secteur de la Sécurité globale euro-méditerranéenne auprès des professionnels.
Il y a 6 ans et 288 jours

Seinergy Lab, un outil essentiel de la transition énergétique

Marie Gabrielle Méry de Seinergy Lab lors de la 15ème édition de SMAP IMMO (Salon de l'Immobilier Marocain à Paris). Ce laboratoire a été présenté dans le cadre du projet "Stratégie construction durable dans la région Casablanca-Settat".
Il y a 6 ans et 309 jours

Smartseille, un éco-quartier méditerranéen pionnier par Phosphore (Eiffage)

François Dapilly d'Eiffage Phosphore nous explique comment l'éco-quartier Smartseille a vu le jour, lors de la 15ème édition de SMAP IMMO (Salon de l'Immobilier Marocain à Paris). Ce quartier a été présenté dans le cadre du projet "Stratégie construction durable dans la région Casablanca-Settat".
Il y a 7 ans et 11 jours

Architecture : le musée Yves Saint-Laurent de Marrakech remporte le Grand Prix Afex 2018

Découpé dans la brique rouge marocaine, l'édifice a été livré par Studio KO en 2017. Il a reçu cette récompense décernée par l'association Architectes français à l'export lors d'une cérémonie organisée à Venise le 24 mai.
Il y a 7 ans et 55 jours

Collectif Parenthèse : Makein Mouchkil

À l'occasion de la première édition marocaine de la biennale d'architecture Agora, axée sur " l'entre-deux " séparant Rabat et de Salé, le jeune collectif français Parenthèse s'associe à l'École d'Architecture de l'Université Internationale de Rabat (UIR) pour proposer un ensemble de structures en bois aussi ludiques que pédagogiques. Par le biais de trois incursions urbaines, le workshop Makein Mouchkil questionne les habitants sur leur perception de leur environnement, leur rapport à la terre et à l'eau, ainsi que sur les liens existants entre ces deux villes du Maroc, situées sur les deux rives du fleuve Bouregreg. Côté Rabat, la première installation, placée en surplomb du cours d'eau, consiste en un espace de repos en bois composé de sièges inclinés coiffés par une clairevoie en tasseaux filtrant la lumière du soleil. Un lieu dédié à la relaxation, qui crée par ailleurs une avancée symbolique de la ville vers sa voisine Salé. Il permet également d'admirer une seconde intervention du Collectif Parenthèse : un oeuvre composée de simples baguettes en bois disposées en éventail sur des plots fluviaux en béton. Mais le clou du spectacle réside dans une structure composée d'échafaudages et d'une scène en bois, installée sous le pont reliant les deux cités. L'ensemble, nommé à juste titre " Traits d'Unions ", est dédié à l'accueil de différentes manifestations : conférences, ateliers, débats, etc. Un espace de rencontres sobre et convivial, à l'image des réalisations du collectif parisien. Une première édition d'Agora Maroc prometteuse. Pour en savoir plus, visitez le site de Collectif Parenthèse Photographies : DR
Il y a 7 ans et 228 jours

YSL : deux musées pour le plaisir des yeux

  Paris et Marrakech. La Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent, chargée de conserver les créations du grand couturier, installe ses collections en deux lieux emblématiques : la maison de couture historique à Paris, et la ville marocaine qu'affectionnait YSL.