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Résultats de recherche pour modelisation

(305 résultats)
Il y a 60 jours

Séisme à Bangkok : selon les experts, les conditions sont réunies pour un bilan dramatique

Les experts, en se basant notamment sur des modélisations de catastrophes, estiment que le bilan du plus fort séisme à avoir frappé la Birmanie depuis des décennies, vendredi 28 mars, pourrait atteindre des dizaines de milliers de morts.
Il y a 84 jours

Graphisoft présente sa gamme produits : des outils innovants pour une conception architecturale durable et optimisée

Graphisoft, leader dans le développement de solutions logicielles de modélisation des données du bâtiment (BIM) pour l’architecture et la conception pluridisciplinaire, lance sa dernière gamme de produits, qui comprend des mises à jour importantes des fonctionnalités d’Archicad, BIMcloud, BIMx et DDScad.
Il y a 164 jours

Comment Mesurer en 3D avec le Leica Disto™ X6 et l’Application Disto™ Plan

Cette vidéo vous montre comment connecter votre DISTO™ X6, effectuer des mesures 3D précises, et changer de positionnement facilement. Idéal pour les projets BIM et la modélisation 3D. Apprenez à mesurer en 3D avec le Leica DISTO™ X6 en utilisant l’application DISTO™ Plan.
Il y a 192 jours

r aliser des prises de cotes pr cises rapides et en s curit gr ce un scanner laser

L'utilisation du scanner laser mobile permet de réaliser des mesures d'ouvrages ultra-précises en un temps record. La modélisation des images en 3D par points évite aussi aux compagnons de devoir travailler en hauteur pour la prise de cotes, ou de revenir plusieurs fois sur chantier en cas d'erreur.
Il y a 226 jours

GRAPHISOFT présente sa gamme produits 2024 : des outils innovants pour une conception architecturale durable et optimisée

Graphisoft, leader dans le développement de solutions logicielles de modélisation des données du bâtiment (BIM) pour l’architecture et la conception pluridisciplinaire, lance sa dernière gamme de produits, qui comprend des mises à jour importantes des fonctionnalités d’Archicad, BIMcloud, BIMx et DDScad. Cette dernière version aide les architectes et les ingénieurs à concevoir des bâtiments durables […]
Il y a 277 jours

Un chai nouvelle génération conçu en partenariat avec Alice Architecture et l’association TVMC Terroir Viticole

L’agence Alice Architecture est fière d’annoncer la réalisation d’un chai innovant de 1.800m2 au cœur du Massif Central. Ce projet a été conçu en étroite collaboration avec l’association TVMC Terroir Viticole. Plusieurs technologies ont été employées comme le BIM et la modélisation 3D.
Il y a 300 jours

La fabrication chez Vie & Véranda : découvrez les coulisses du rêve

Qui a dit que l'industrie ne pouvais pas être sexy ? Découvrez le processus de fabrication chez Vie & Véranda : de la conception et modélisation 3D en bureau d'études en passant par toutes les étapes de production (usinage du bois, assemblage des châssis aluminium, contrôle qualité, finitions, protection, traitement...), l'expédition et la pose finale chez les clients.
Il y a 303 jours

Modèles à surfaces multiples

Rejoignez Dean qui vous guidera à travers les éléments essentiels de la modélisation multi-surface dans ce tutoriel concis et engageant. Il vous guide de manière experte dans la confirmation des détails du modèle, la sélection des calques et l'ajustement aux changements.
Il y a 313 jours

Autodesk dévoile le projet de recherche Bernini pour la création de formes 3D grâce à l’IA générative

Pour les industries de la conception et de la fabrication, la précision et la productivité de la modélisation 3D sont de la plus haute importance. Que ce soit pour les architectes, ingénieurs, fabricants ou cinéastes, le contrôle géométrique et la précision de leur conception numérique sont essentiels à la réussite du projet final.
Il y a 336 jours

archelios™ Suite - Solution tout-en-un de conception et dimensionnement photovoltaïque

Voilà archelios™ Suite, la solution logicielle tout-en-un pour gérer l'intégralité d'un projet d'installation photovoltaïque, allant de la modélisation 3D et du calcul de productible jusqu'aux calculs électrotechniques et contrôles normatifs.
Il y a 1 ans et 57 jours

C'est quoi le BIM dans le bâtiment ?

C'est quoi le BIM dans le bâtiment ? Batipole mer 03/04/2024 - 20:00 Il permet aux différentes parties prenantes d'un projet (architectes, ingénieurs, constructeurs, etc.) de travailler ensemble de manière plus efficace et de réduire les erreurs et les coûts liés à la construction. Le BIM implique l'utilisation d'un logiciel de modélisation 3D, qui permet de créer un modèle numérique du bâtiment en question. Ce modèle contient non seulement l'apparence du bâtiment, mais aussi toutes les informations techniques et les caractéristiques de chaque élément constitutif du bâtiment. Le BIM permet donc de visualiser et de simuler en 3D le bâtiment, mais aussi de gérer les données associées, comme les coûts, les délais, les matériaux, etc. Le BIM est utilisé dans de nombreux domaines de l'industrie de la construction, y compris la planification, la conception, la construction et la gestion de bâtiments. Il permet de collecter, de partager et de gérer de manière collaborative toutes les informations relatives à un bâtiment, depuis sa conception jusqu'à sa fin de vie. Le BIM est de plus en plus adopté par les professionnels de l'immobilier, car il permet de réduire les coûts et les délais de construction, et d'améliorer la qualité et la durabilité des bâtiments.   Qui est concerné par le BIM ? Le BIM est principalement utilisé dans l'industrie de la construction, y compris la planification, la conception, la construction et la gestion de bâtiments. Il permet de collecter, de partager et de gérer de manière collaborative toutes les informations relatives à un bâtiment, depuis sa conception jusqu'à sa fin de vie. Voici quelques exemples d'usages du BIM : La conception de bâtiments : le BIM permet de créer des modèles 3D précis du bâtiment, qui peuvent être utilisés pour visualiser et simuler différentes options de conception. La construction de bâtiments : le BIM peut être utilisé pour planifier et suivre l'avancement des travaux de construction, en permettant de suivre l'avancement des différentes tâches et de gérer les coûts et les délais. La gestion de bâtiments : le BIM peut être utilisé pour gérer l'ensemble du cycle de vie d'un bâtiment, y compris l'entretien et la maintenance.  Quels exemples d'usages du BIM par les acteurs territoriaux ? Le BIM est de plus en plus utilisé par les acteurs territoriaux pour améliorer la planification, la conception, la construction et la gestion de leurs infrastructures et de leurs bâtiments. Voici quelques exemples d'usages actuels du BIM par les acteurs territoriaux : La planification des infrastructures : le BIM peut être utilisé pour créer des modèles 3D précis des infrastructures et simuler leur impact sur l'environnement et les populations locales. La conception de bâtiments publics : le BIM peut être utilisé pour concevoir des bâtiments publics de manière plus efficiente et durable, en prenant en compte les besoins des utilisateurs et les contraintes budgétaires. La gestion des actifs immobiliers : le BIM peut être utilisé pour gérer les actifs immobiliers des acteurs territoriaux, en permettant de suivre l'état de chaque bâtiment  Quels exemples d'usages du BIM par les acteurs économiques ? Le BIM est une technologie utilisée dans l'industrie de la construction pour collecter, partager et gérer de manière collaborative toutes les informations relatives à un bâtiment, depuis sa conception jusqu'à sa fin de vie. Voici quelques exemples d'usages possibles du BIM par les acteurs économiques : La conception de bâtiments : le BIM peut être utilisé pour créer des modèles 3D précis du bâtiment, qui peuvent être utilisés pour visualiser et simuler différentes options de conception. La construction de bâtiments : le BIM peut être utilisé pour planifier et suivre l'avancement des travaux de construction, en permettant de suivre l'avancement des différentes tâches et de gérer les coûts et les délais. La gestion de bâtiments : le BIM peut être utilisé pour gérer l'ensemble du cycle de vie d'un bâtiment, y compris l'entretien et la maintenance. L'analyse de données : le BIM peut être utilisé pour collecter et analyser des données sur les bâtiments, afin de mieux comprendre leur performance et de déterminer les améliorations à apporter. La création de nouveaux services : le BIM peut être utilisé pour créer de nouveaux services à valeur ajoutée, tels que des outils de planification et de gestion de projets de construction, des logiciels de gestion de bâtiments.  Quelle est la différence entre BIM et SIG ? Le BIM (Building Information Modeling) et le SIG (Système d'Information Géographique) sont deux domaines différents qui ont chacun leurs propres objectifs et fonctionnalités. Le BIM est une méthode de modélisation de l'information pour la construction, la planification, la gestion et l'exploitation des bâtiments. Il permet de créer un modèle numérique de bâtiment qui contient des informations détaillées sur les matériaux, les équipements, les systèmes, etc. Le BIM est utilisé pour améliorer la collaboration entre les différents intervenants dans un projet de construction, pour optimiser la planification et la gestion des coûts et pour faciliter la maintenance et l'exploitation des bâtiments. Le SIG est un système informatique qui permet de stocker, de traiter, de visualiser et d'analyser des données géographiques. Il est utilisé pour gérer, visualiser et analyser des données liées à l'environnement, au territoire, aux infrastructures, aux ressources naturelles, à la population, etc. Le SIG est un outil important pour la planification territoriale, la gestion des risques, la gestion de l'environnement et l'analyse des données géographiques. En somme, le BIM est un outil pour la gestion des informations relatives à la construction, alors que le SIG est un outil pour la gestion de l'information géographique. Quelles alliances possibles entre le BIM et le SIG ? Il y a plusieurs alliances possibles entre la modélisation de l'information du bâtiment (BIM) et les systèmes d'information géographique (SIG). Voici quelques exemples : Utilisation combinée des données géographiques et architecturales : les modèles BIM peuvent être intégrés aux SIG pour fournir des informations sur l'emplacement, les limites, les caractéristiques physiques et les propriétés des bâtiments, tandis que les SIG peuvent fournir des informations sur les caractéristiques géographiques du terrain, les réseaux de transport et les ressources environnementales. Analyse de l'impact sur l'environnement : les SIG peuvent être utilisés pour évaluer les impacts potentiels d'un projet sur l'environnement, tels que les inondations, les glissements de terrain et les zones humides, et pour identifier les meilleures options de conception pour minimiser ces impacts. Gestion de la maintenance : les modèles BIM peuvent être utilisés pour planifier et gérer la maintenance des bâtiments, en fournissant des informations sur les systèmes de construction, les matériaux et les équipements, tandis que les SIG peuvent fournir des informations sur les emplacements et les propriétés des bâtiments. Simulation et analyse énergétique : les modèles BIM peuvent être utilisés pour simuler les performances énergétiques des bâtiments, en tenant compte des caractéristiques architecturales, des systèmes de construction et des équipements, tandis que les SIG peuvent fournir des informations sur les ressources énergétiques disponibles, les réseaux de transport et les besoins en énergie des bâtiments. Aménagement urbain : les modèles BIM peuvent être utilisés pour concevoir les bâtiments et les espaces publics dans un quartier, tandis que les SIG peuvent être utilisés pour planifier les réseaux de transport, les espaces verts et les zones d'activité économique. En somme, la convergence entre la modélisation de l'information du bâtiment (BIM) et les systèmes d'information géographique (SIG) offre de nombreux avantages pour les professionnels de la construction et de l'aménagement. Les données géographiques et architecturales peuvent être combinées pour une meilleure planification et une coordination accrue. L'utilisation conjointe de ces outils permet aux professionnels de prendre des décisions plus éclairées et d'optimiser les coûts et les performances énergétiques des projets. Cette intégration va au delà de l'interopérabilité, elle permet une véritable collaboration entre les différents intervenants pour une meilleure qualité des projets.  Quels sont les éditeurs de BIM ? Il existe de nombreux éditeurs de logiciels de BIM (Building Information Modeling) sur le marché. Voici quelques exemples de leaders dans ce domaine : Autodesk : Autodesk est une entreprise spécialisée dans les logiciels de design et de création. Elle propose une large gamme de logiciels de BIM, tels que Revit et AutoCAD, destinés aux professionnels de l'immobilier et de la construction. Bentley Systems : Bentley Systems est une entreprise spécialisée dans les logiciels de gestion de projets de construction. Elle propose notamment le logiciel de BIM MicroStation, qui permet de créer et de gérer des modèles de données du bâtiment. Nemetschek Group : Nemetschek Group est un éditeur de logiciels de BIM et de CAO (Conception Assistée par Ordinateur). Il propose des outils de BIM tels que Allplan et Vectorworks, destinés aux professionnels de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction. Acca Software : ACCA développe des logiciels et des services BIM de conception, de synthèse, et des plateformes pour la gestion de la maquette numérique durant le processus de conception-construction-gestion avec à ce jour le plus grand nombre de logiciels «open BIM» déjà certifiés IFC par buildingSMART®. Il existe également d'autres éditeurs de logiciels de BIM, tels que Trimble, Dassault Systèmes, Graphisoft, AECOM...Retrouvez de nombreux éditeurs à l'occasion du salon du BIM à Paris Expo, BIMWORLD - Jumeaux Numériques. Quel avenir pour le BIM ? L'avenir du BIM semble prometteur, car de plus en plus d'entreprises et d'organismes gouvernementaux adoptent ce processus pour planifier et construire des projets de construction.Le BIM permet une meilleure collaboration, une meilleure performance énergétique, une meilleure visualisation, une meilleure maintenance d'un bâtiment, il deviendra de plus en plus incontournable dans l'industrie de la construction.   La communauté du BIM La communauté du BIM (Building Information Modeling) est constituée de personnes et d'organisations intéressées par l'utilisation du BIM dans le domaine de la construction. Elle comprend des professionnels de l'immobilier, des architectes, des ingénieurs, des constructeurs, des fabricants de matériaux de construction, etc. La communauté du BIM se réunit souvent lors de conférences, de salons professionnels et de journées d'étude pour échanger sur les dernières tendances et les meilleures pratiques en matière d'utilisation du BIM. Elle peut également être présente sur des forums en ligne et des groupes de discussion dédiés au BIM. La communauté du BIM joue un rôle important dans l'adoption et l'utilisation du BIM, en partageant son expertise et en encourageant l'innovation dans ce domaine. Elle contribue également à la création de normes et de référentiels pour l'utilisation du BIM, afin de garantir une utilisation efficace et cohérente de cet outil.Le BIM accélère la révolution et la transition numérique dans le monde du bâtiment.   Choisir la Marque® - Associer l'article Batipôle : Actualité BTP Building Information Modeling Building Information Modeling est un processus de création, de gestion et de partage de l'information de construction en utilisant des outils numériques. Le BIM : Révolution numérique dans le bâtiment Clé de la construction moderne Le Building Information Modeling (BIM) révolutionne le secteur de la construction en permettant une gestion collaborative des informations tout au long du cycle de vie d'un bâtiment. Utilisant des logiciels de modélisation 3D, le BIM facilite la collaboration entre les différents acteurs d'un projet (architectes, ingénieurs, constructeurs) en centralisant toutes les données techniques et caractéristiques des éléments d'un bâtiment. Applications et avantages du BIM Cette technologie trouve son application dans la planification, la conception, la construction et la gestion des bâtiments, permettant de simuler en 3D les bâtiments avant leur construction. Le BIM contribue à réduire les coûts et les erreurs, optimise les délais de réalisation et améliore la qualité et la durabilité des constructions. Utilisateurs et cas d'usage Tant les professionnels de la construction que les acteurs territoriaux et économiques tirent parti du BIM pour divers besoins, allant de la conception à la maintenance des bâtiments, en passant par l'analyse de données et la création de services à valeur ajoutée. BIM vs SIG Le BIM se concentre sur la gestion des informations de construction tandis que le SIG (Système d'Information Géographique) traite des données géographiques. L'alliance entre BIM et SIG ouvre de nouvelles perspectives pour une gestion optimisée des projets, combinant informations architecturales et géographiques. Éditeurs de logiciels BIM Des leaders comme Autodesk, Bentley Systems, Nemetschek Group et Acca Software dominent le marché, offrant des solutions adaptées à divers besoins de l'industrie. Le futur du BIM s'annonce prometteur, avec une adoption croissante qui promet une collaboration accrue, une meilleure gestion des projets et une optimisation des coûts et de la performance énergétique des bâtiments. Catégorie : Innovation technologiqueSous-Catégorie : Construction et gestion de bâtiments Partager
Il y a 1 ans et 64 jours

WiseBIM dévoile « WiseBIM AI for Autodesk® Revit® », nouvel add-in d’IA qui révolutionne la modélisation BIM

WiseBIM, éditeur de logiciels en ligne spécialisé dans l’Intelligence Artificielle au service de la modélisation des bâtiments et des infrastructures, annonce le lancement de son outil WiseBIM AI for Autodesk® Revit®. Avec ce nouvel add-in qui s’intègre dans le logiciel BIM Revit® d’Autodesk®, WiseBIM vient faciliter et accélérer la modélisation en […] L’article WiseBIM dévoile « WiseBIM AI for Autodesk® Revit® », nouvel add-in d’IA qui révolutionne la modélisation BIM est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 100 jours

QUARCO

QUARCO com4 mar 20/02/2024 - 11:41 Fondé sur une expertise de plus de deux décennies, ce collectif rassemble 15 bureaux d'études répartis sur le territoire français, tous animés par la même ambition : façonner le futur de nos villes. Avec plus de 110 professionnels, QUARCO incarne un mélange unique de proximité et d'excellence, œuvrant chaque jour aux côtés d'entreprises, d'architectes et de maîtres d'ouvrages pour ériger les fondations de demain. L'union fait la force chez QUARCO, où ingénieurs, dessinateurs, projeteurs et autres experts conjuguent leurs savoir-faire pour relever les défis de la construction et de la réhabilitation urbaine. Cette synergie permet d'offrir des solutions sur mesure, adaptées aux enjeux spécifiques de chaque projet. La proximité avec les clients et la compréhension fine des territoires où QUARCO opère sont les pierres angulaires de sa réussite, permettant d'apporter des réponses concrètes et innovantes aux problématiques de l'aménagement urbain. Expertise multidisciplinaire Études structurelles : spécialistes des structures en béton, bois et métal, les équipes de QUARCO excellent dans la modélisation, le calcul et l'exécution, garantissant sécurité et durabilité Accompagnement personnalisé : chaque projet bénéficie d'un suivi sur-mesure, depuis l'analyse de faisabilité jusqu'à l'optimisation des coûts, en passant par la conception technique et économique Conformité et fiabilité : en phase avec les dernières normes, QUARCO assure la conformité de ses études, appuyées par une garantie décennale pour une tranquillité d'esprit totale Solutions innovantes et durables Analyse et conception : évaluation précise des projets pour des recommandations adaptées, visant à surmonter obstacles et contraintes Calcul et modélisation : calculs rigoureux des charges et contraintes, appuyés par des modélisations 2D et 3D pour une visualisation optimale du projet Optimisation des coûts : conseils avisés pour réduire les dépenses sans compromettre la qualité, grâce à une approche économique intelligente Engagement et proximité : au cœur de la philosophie de l’entreprise QUARCO se démarque par son engagement sans faille envers ses clients, offrant une écoute attentive et des solutions personnalisées. La proximité n'est pas seulement géographique mais aussi relationnelle, permettant d'établir des liens de confiance durables. Cet engagement se traduit par une réactivité exemplaire et une capacité à s'adapter aux besoins spécifiques de chaque projet, assurant ainsi une satisfaction client optimale. QUARCO incarne l'excellence dans l'ingénierie du bâtiment et des infrastructures, grâce à une approche collaborative et innovante. Le collectif se positionne comme un partenaire de choix pour construire le monde de demain, en alliant expertise technique, proximité client et engagement durable. Catégorie Métier: Ingénierie et ConstructionSous-catégorie Métier: Ingénierie du Bâtiment et des Infrastructures . contact@quarco.fr https://www.quarco.fr Titre de la page de marque (H1) QUARCO : Actualités de l’ingénierie d’infrastructures Au cœur de l'innovation dans l'ingénierie du bâtiment et des infrastructures, QUARCO se distingue par son approche collaborative et visionnaire. Partager Sous titre de l'article (H2) Une mosaïque de talents au service de l'innovation et de la construction
Il y a 1 ans et 104 jours

Les communes du littoral en quête de solutions face au recul du trait de côte

Sur le littoral, les communes exposées à la récurrence des phénomènes de vague-submersion, comme ces derniers jours, multiplient les initiatives pour tenter de freiner l'érosion du trait de côte, des digues amovibles au transfert de sable en passant par la modélisation scientifique.
Il y a 1 ans et 105 jours

Doctorants au CSTB, ils présentent leurs thèses lors d’une journée dédiée

© Jacques GiralLe 25 janvier 2024, les doctorants du CSTB ont une nouvelle fois été mis sur le devant de la scène lors d’un évènement annuel consacré à la présentation de leurs thèses. Accompagnés de leurs tuteurs et directeurs de thèse, ils ont partagé et échangé sur l’avancement de leurs travaux, reflets de la pluridisciplinarité des domaines de la recherche du CSTB. « Cette Journée des doctorants est l’occasion pour nous de partager nos travaux de façon ludique » se réjouit Milèna Chabert, doctorante au CSTB. À l’image d’autres jeunes chercheurs, une cinquantaine que l’entreprise accueille en continu dans le cadre de son programme doctoral, elle se forme à la recherche et par la recherche. Leurs travaux contribuent à l’acquisition de connaissances au service des projets que le CSTB conduit seul ou en partenariat avec des académiques et des industriels, en lien avec ses quatre domaines d’action stratégiques : « Bâtiments et quartiers pour bien vivre ensemble », « Bâtiments et villes face au changement climatique », « Rénovation, fiabilisation de l’acte de construire, innovation » et « Économie circulaire et ressources pour le bâtiment ». « Le CSTB et le laboratoire DEEP de l'INSA Lyon ont travaillé ensemble pour construire mon projet de thèse, chaque entité apportant son expertise, poursuit-elle. Ce partenariat me permet d'être au contact des acteurs opérationnels tout en ayant un encadrement scientifique complet. C'est particulièrement appréciable pour nourrir mon sujet de thèse, qui vise à optimiser la gestion de déchets. » Une approche transversale et pluridisciplinaire « Ma thèse, supervisée conjointement par le CSTB et le Laboratoire des Sciences du Numérique de Nantes, vise à combiner les neurosciences et la technologie digitale pour optimiser le confort et la performance dans les espaces de travail, explique à son tour Charlotte Scarpa, également doctorante au CSTB. Au cours de cette première année, j'ai pris conscience de l'importance fondamentale de l'interdisciplinarité dans la recherche. Je pense qu'aujourd'hui, la fusion des connaissances et des expertises issues de diverses disciplines est essentielle pour le progrès scientifique.» « Optimisation des structures dans un objectif bas carbone et de frugalité de matière », « Modélisation et adaptation d’un quartier dans un contexte de climat futur et de canicule urbaine », « Propagation vibratoire dans les bâtiments à structure poteaux-poutres sous excitation multidirectionnelle », « Résistance à la torsion et à l’effort tranchant des structures en béton armé en condition d’incendie », « Étude de l'impact d'un incendie sur des peintures d'intérêt patrimonial », « Influence du changement climatique sur l'exposition aux polluants dans les environnements intérieurs » : la richesse et la diversité des sujets révèlent en effet la nécessité d’une approche systémique et pluridisciplinaire pour répondre aux enjeux liés aux différentes transitions structurelles. « Vous avez la chance d’être dans l’un des rares établissements de recherche qui adresse l’ensemble des sujets du secteur du bâtiment, a d’ailleurs rappelé Étienne Crépon, président du CSTB, aux doctorants dans son discours d’ouverture. Nous avons des chercheurs en économie, énergie, environnement, santé, mécaniques des structures, mécanique du feu… Vous êtes vous-mêmes à la pointe des sujets que vous explorez. Prenez le temps d’échanger avec vos collègues, d’échanger avec ceux qui travaillent sur d’autres thématiques car c’est souvent de la confrontation que naît l’idée qui fait progresser. » Trophées des doctorants : l’originalité récompensée Pour la deuxième année consécutive, chaque doctorant a dû réaliser, en amont de cette journée, une courte présentation graphique ou animée pour présenter son sujet de thèse en trois minutes chrono. Organisé sous l’égide de la démarche de knowledge management du CSTB, cet exercice de vulgarisation et de concision a vocation à les encourager à communiquer sur leurs travaux et à faciliter le partage des connaissances acquises auprès des collaborateurs. Comme le veut la tradition, les productions les plus originales ont été récompensées lors d’une cérémonie de remise des Trophées des doctorants. L’ensemble des « pitchs » a été soumis à différents jurys composés de collaborateurs du CSTB et trois prix ont ainsi été décernés : Prix de la direction de la Recherche et du Développement Devenir des composés organiques semi-volatils dans les environnements intérieurs : émissions, répartition et expositions Nom du doctorant : Benoit SCHMITT Démarrage de la thèse : 2022 IMT Mines Alès, ADEME Mon projet de thèse, qui bénéficie du soutien financier de l’ADEME, associe les compétences de l’IMT Mines d’Alès et du CSTB afin de comprendre l’exposition aux perturbateurs endocriniens émis par les produits de construction présents dans les environnements intérieurs. En plus d'apporter des connaissances nouvelles sur les sources et le devenir de ces substances d'intérêt sanitaire, ces travaux permettront d’aider les collectivités à protéger les publics fragiles dans leurs différents lieux de vie, comme les crèches, les écoles ou les hôpitaux. Je trouve le format vidéo particulièrement adapté à la vulgarisation scientifique. Cet exercice donne également la possibilité d’ajouter une mise en scène qui correspond à ce que nous sommes au-delà du projet de thèse. J’ai ainsi voulu transmettre le plaisir que j’éprouve à travailler sur ce sujet et je suis heureux que cela ait été récompensé ! Benoit Schmitt - Doctorant au CSTB Présentation animée de Benoit Schmitt Prix catégorie Présentation animée Devenir des matériaux usagés provenant des ouvrages de filtration et d’infiltration des eaux usées domestiques et eaux pluviales Nom de la doctorante : Milèna CHABERT Démarrage de la thèse : 2022 Insa Lyon Mon choix s'est porté vers le format vidéo qui permet d'avoir un rendu très vivant et multimédia. Le CSTB nous a mis à disposition un logiciel de création de vidéos animées avec lequel il est très simple de réaliser une présentation animée sans compétences particulières en montage vidéo. Côté scénario, j'ai essayé de construire le discours de la manière la plus logique possible. J'ai enrichi la vidéo au fur et à mesure, notamment au niveau des graphismes et des personnages, en lui donnant un côté théâtral. Cela m'a touchée de voir ma vidéo récompensée par le jury. J'espère avoir communiqué un peu de ma passion pour mon sujet et les enjeux associés ! Milèna Chabert - Doctorante au CSTB Présentation animée de Milèna Chabert Prix catégorie Présentation graphique Construction d’échelles de confort multicritères spécifiques aux usages et espaces de travail à partir d’indicateurs physiologiques sous contraintes performancielles Nom de la doctorante : Charlotte SCARPA Démarrage de la thèse : 2022 Université de Nantes J'ai été particulièrement marquée par les bandes dessinées réalisées par les doctorants de l'année précédente. Ce format représente, à mon sens, une méthode efficace pour communiquer sur nos travaux de recherche. N'ayant pas de compétences en dessin et considérant le temps qui m’était imparti, j'ai utilisé un générateur d'images basé sur l'intelligence artificielle. La première étape a été de structurer le message que je souhaitais transmettre dans une accroche narrative de type "storytelling" pour le côté ludique. Une fois cette partie du travail terminée, concevoir la BD a été très facile. Le fait que le jury reconnaisse une présentation graphique réalisée en grande partie par l'IA met en lumière à quel point la concrétisation de nos idées devient accessible ! Charlotte Scarpa - Doctorante au CSTB Bande dessinée de Charlotte Scarpa Les lauréats ont remporté un trophée en bois massif réalisé par les équipes de l'atelier de menuiserie du CSTB. Avec l’ensemble des nominés, ils ont également reçu une invitation sous forme d’énigme : « Invitation à la rencontre d’un illustre ingénieur français de la construction, quasi-bicentenaire ». Félicitations à eux ! Charlotte Scarpa, Benoit Schmitt et Milèna Chabert, lauréats des Trophées des doctorants 2024
Il y a 1 ans et 108 jours

Projet DEMETER : données et modèles pour la simulation énergétique et environnementale des bâtiments tertiaires

Le projet DEMETER (DonnÉes et ModÈles sur les bâtiments TERtiaires : connaître pour améliorer) est lauréat de l’édition 2022 de l’appel à projet de recherche « Vers des bâtiments responsables » soutenu par l’ADEME. Ce projet a pour objectif de proposer des données et modèles pour la simulation énergétique et environnementale des bâtiments tertiaires. Pour répondre aux enjeux climatiques, le parc de bâtiments français dans sa globalité doit être plus performant sur le plan énergétique et environnemental. C’est le sens des réglementations telles que la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) ou le dispositif Eco Energie Tertiaire (DEET) qui fixent des objectifs ambitieux pour le secteur du bâtiment : décarbonation quasi-complète du secteur du bâtiment à horizon 2050 dans la SNBC et réduction de 60% de la consommation d’énergie finale des bâtiments tertiaires à horizon 2050 dans le DEET. La science des données au cœur de la transition écologique Pour accompagner cette transition énergétique et bas carbone du parc de bâtiments français, la simulation énergétique et environnementale des bâtiments est un outil d’accompagnement indispensable. En effet, au vu des sommes engagées pour chaque construction et rénovation, l’essai-erreur n’est pas permis. Il convient donc de s’assurer, avant leur réalisation, que les travaux envisagés permettront d’atteindre de bonnes performances. Mais afin de pouvoir la mettre en place, il faut parvenir à la modéliser, c’est-à-dire disposer d’informations précises sur les propriétés thermo-physiques, les profils d’occupation ou encore les systèmes énergétiques (climatisation, chauffage et eau chaude sanitaire) des bâtiments. Ces données sont généralement inconnues pour la majorité des bâtiments à modéliser, en particulier pour ceux du secteur tertiaire, pour lesquels il existe peu de données consolidées dans des bases exploitables (comparativement au secteur résidentiel) et relativement peu de travaux de recherche. Le projet DEMETER a justement pour but de proposer des données et modèles pour la simulation énergétique et environnementale des bâtiments tertiaires. « "Nos modèles et données ne couvrent pas le secteur tertiaire" : cette phrase, je l'ai prononcée et entendue à maintes reprises, commente Adélaïde Aublet, ingénieure de recherche au CSTB et cheffe du projet DEMETER. L’objectif du projet est de contribuer à changer cette réalité. Notre ambition est de fournir des données et des modèles énergétiques et d’ACV validés spécifiquement pour le secteur tertiaire. Enfin, nous pourrons affirmer avec confiance : "Oui, nos données et modèles couvrent le secteur tertiaire. Travaillons ensemble pour améliorer vos projets. » Des données essentielles pour la simulation énergétique des bâtiments tertiaires Le caractère innovant du projet DEMETER repose sur plusieurs piliers : la collecte massive de données via des canaux ne nécessitant pas de consentement (données mobiles anonymisées du réseau Orange), la collecte automatique de données de consommation très fines nécessitant un consentement (de type profil P10) et la collecte de données par enquête auprès des maitrises d’ouvrage du secteur tertiaire ; la conciliation de la modélisation énergétique et de la modélisation environnementale ; l’implication des maîtrises d’ouvrage tertiaires grâce au réseau de l’Observatoire de L’immobilier Durable (OID). « Les téléphones portables génèrent en permanence de grandes quantités de données, mais aucune étude n’a encore été menée pour mesurer les schémas d’occupation des bâtiments, précise Denis Renaud, responsable R&D Data Science chez Orange. Je suis enthousiaste à l’idée de tester nos données mobiles dans le cadre de la rénovation énergétique des bâtiments, et d’ouvrir ce nouvel axe innovant pour l’utilité sociétale des données Orange. » Le consortium du projet DEMETER réunit des compétences variées qui seront à même de mener à bien les missions du projet et d’en valoriser les résultats auprès des acteurs de terrain : des data scientists chez plusieurs partenaires : ORANGE, CSTB et Efficacity ; des experts du bâtiment (énergéticiens et spécialistes des analyses de cycle de vie du bâtiment) au CSTB, chez Arcora et Efficacity ; des connaissances et contacts privilégiés avec les acteurs de terrains chez l’OID, Arcora et Efficacity. « Les données recueillies dans le cadre du projet DEMETER permettront de valider et de consolider les modèles de comportement énergétiques dynamiques des bâtiments tertiaires qui pourront être utilisés dans les politiques de réduction des consommations de ces derniers à l’échelle du quartier ou du territoire » conclut Ludovic Durbiano, chef de projet chez Efficacity.
Il y a 1 ans et 108 jours

Le projet DEMETER redéfinit la connaissance des profils de consommations des bâtiments tertiaires

Le projet DEMETER (DonnÉes et ModÈles sur les bâtiments TERtiaires : connaître pour améliorer) est lauréat de l’édition 2022 de l’appel à projet de recherche « Vers des bâtiments responsables » soutenu par l’ADEME. Pour répondre aux enjeux climatiques, le parc de bâtiments français dans sa globalité doit être plus performant sur le plan énergétique et environnemental. C’est le sens des réglementations telles que la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) ou le dispositif Eco Energie Tertiaire (DEET) qui fixent des objectifs ambitieux pour le secteur du bâtiment : décarbonation quasi-complète du secteur du bâtiment à horizon 2050 dans la SNBC et réduction de 60% de la consommation d’énergie finale des bâtiments tertiaires à horizon 2050 dans le DEET. Pour accompagner cette transition énergétique et bas carbone du parc de bâtiments français, la simulation énergétique et environnementale des bâtiments est un outil d’accompagnement indispensable. En effet, au vu des sommes engagées pour chaque construction et rénovation, l’essai-erreur n’est pas permis. Il convient donc de s’assurer, avant leur réalisation, que les travaux envisagés permettront d’atteindre de bonnes performances. Mais afin de pouvoir la mettre en place, il faut parvenir à la modéliser, c’est-à-dire disposer d’informations précises sur les propriétés thermo-physiques, les profils d’occupation ou encore les systèmes énergétiques (climatisation, chauffage et eau chaude sanitaire) des bâtiments. La science des données au cœur de la transition écologique Ces données sont généralement inconnues pour la majorité des bâtiments à modéliser, en particulier pour ceux du secteur tertiaire, pour lesquels il existe peu de données consolidées dans des bases exploitables (comparativement au secteur résidentiel) et relativement peu de travaux de recherche. Le projet DEMETER a justement pour but de proposer des données et modèles pour la simulation énergétique et environnementale des bâtiments tertiaires. Le caractère innovant de ce projet repose sur plusieurs piliers : • la collecte massive de données via des canaux ne nécessitant pas de consentement (données mobiles anonymisées du réseau Orange), la collecte automatique de données de consommation très fines nécessitant un consentement (de type profil P10) et la collecte de données par enquête auprès des maitrises d’ouvrage du secteur tertiaire ; • la conciliation de la modélisation énergétique et de la modélisation environnementale ; • l’implication des maîtrises d’ouvrage tertiaires grâce au réseau de l’Observatoire de L’immobilier Durable (OID). Le consortium du projet DEMETER réunit des compétences variées qui seront à même de mener à bien les missions du projet et d’en valoriser les résultats auprès des acteurs de terrain : des data scientists chez plusieurs partenaires : ORANGE, CSTB et Efficacity ; des experts du bâtiment (énergéticiens et spécialistes des analyses de cycle de vie du bâtiment) au CSTB, chez Arcora et Efficacity ; des connaissances et contacts privilégiés avec les acteurs de terrains chez l’OID, Arcora et Efficacity. « "Nos modèles et données ne couvrent pas le secteur tertiaire" : cette phrase, je l'ai prononcée et entendue à maintes reprises, commente Adélaïde Aublet, ingénieure de recherche au CSTB et cheffe du projet DEMETER. L’objectif du projet est de contribuer à changer cette réalité. Notre ambition est de fournir des données et des modèles énergétiques et d’ACV validés spécifiquement pour le secteur tertiaire. Enfin, nous pourrons affirmer avec confiance : "Oui, nos données et modèles couvrent le secteur tertiaire. Travaillons ensemble pour améliorer vos projets. »
Il y a 1 ans et 136 jours

La symphonie des matériaux de la rénovation du patrimoine (1/2)

La rénovation de patrimoine historique bénéficie d’avancées techniques (sécurité, accès, diagnostic, modélisation...) Mais fabrication et mise en œuvre des matériaux demeurent souvent proches des techniques d'origine.
Il y a 1 ans et 142 jours

MATHIS-QEI : un cœur de calcul interopérable

© ShutterstockDans le cadre du programme de recherche Qualité des Environnements Intérieurs (QEI), axé sur la modélisation et la mesure, l'objectif est d'aborder de manière holistique les différents aspects du confort dans les espaces intérieurs. Ce projet englobe des éléments clés tels que la qualité de l'air intérieur (QAI), le confort visuel, le confort thermique et le confort acoustique. Au cœur de cette initiative se trouve MATHIS, un modèle de calcul nodal thermo-aéraulique dynamique incluant tous les transferts thermiques du bâtiment. Entretien avec Thierno Diallo, PhD., ingénieur recherche et expertise à la direction Santé-Confort, et Fabrice De Oliveira, PhD., ingénieur recherche et expertise à la direction Climatologie, Aérodynamique et Aéraulique pour les Ouvrages et les Transports. Il intègre les caractéristiques physiques du bâtiment et des principaux systèmes de ventilation existants, et offre une base solide pour le développement d'outils de prévision de tous les déterminants de la QEI. Construits autour de ce cœur de calcul, ces outils prédictifs visent à améliorer la compréhension et la gestion du confort dans les environnements bâtis, en tenant compte de l'interaction complexe entre les différents paramètres. Dans quel contexte MATHIS a-t-il été conçu ? Fabrice De Oliveira : Il a été développé par le CSTB à un moment où la compréhension précise de l’aéraulique et des échanges thermiques dans les bâtiments était cruciale, notamment pour des applications comme la sécurité incendie. Dès 2010, François Demouge, PhD., ingénieur recherche et expertise au CSTB, et concepteur de MATHIS, est parti des problématiques de désenfumage lors de l’incendie d’un bâtiment pour s’orienter vers les enjeux de la ventilation. Fédérant de nombreux experts, le développement de MATHIS s'est ainsi inscrit dans une approche où différents outils et compétences ont été intégrés dans une plateforme modulaire permettant ainsi une synergie entre les diverses expertises du CSTB. En 2022, une réflexion a été menée pour améliorer la cohérence et l'efficacité globales de cette plateforme, en assurant une meilleure interaction entre les modules. Elle fonctionne en effet comme une « constellation » où chaque « étoile » représente un module ou une brique de connaissance, contribuant à la fois à la communauté scientifique et à l'expertise en ingénierie acoustique, du confort thermique, du confort visuel, de l’éclairage et de la QAI. Les travaux menés par François Demouge et Xavier Faure, PhD., ingénieur recherche et expertise au CSTB, ont ensuite validé l'utilisation de MATHIS pour la conception de systèmes de ventilation naturelle. Il a également fait l’objet d’évaluations de ces performances, notamment celle du BESTest (Building Energy Simulation Test), pour l’évaluation des programmes de simulation thermique des bâtiments, à l’initiative de l’Agence Internationale de l’Énergie. Dans un esprit d’ouverture et d'amélioration continue des connaissances, le code a été rendu accessible à la communauté scientifique et technique en format open source. Pour cette partie, une bibliothèque de fonctions interactives “PyMATHIS” a été développée pour faciliter les échanges avec le langage de programmation « Python » à chaque étape temporelle. Cette intégration permet une plus grande flexibilité et une meilleure accessibilité pour les utilisateurs, notamment ceux familiarisés avec « Python », en leur donnant la capacité de manipuler et d'analyser les données résultantes plus efficacement. Comment MATHIS s’intègre-t-il dans le paysage de la QEI ? Thierno Diallo : Sa conception lui confère une position centrale dans la prévision de la QEI. En effet, il permet de décrire l’aéraulique et les transferts thermiques (convection/rayonnement) au sein d'une pièce de manière robuste. Ceux-ci représentent des paramètres d'influence significatifs pour divers aspects de la QEI, tels que la QAI et le confort thermique. Le mouvement d'air dans les composants de ventilation peut également influencer le confort acoustique lié aux systèmes de ventilation et de climatisation. Actuellement, notre plateforme QEI intègre plusieurs aspects du confort, notamment via MATHIS-QAI, MATHIS-ACOU, MATHIS-NHTM (modèle neuro thermo physiologique) et MATHIS-PHANIE (modélisation éclairement et rayonnement). La plateforme capitalise la capacité d'expérimentation du CSTB, ce qui contribue grandement à la consolidation de ces outils, validés par diverses expériences à différentes échelles, du laboratoire à l'in situ. Par ailleurs, la connexion avec la Base de données nationale des bâtiments (BDNB), développée par le CSTB, représente une réelle opportunité pour réaliser des prévisions à l'échelle du parc. Par exemple, nous avons pu étudier l'impact du changement climatique sur la qualité de l'air intérieur à l'échelle du parc de bâtiments en Île-de-France, dans le cadre du projet BATENQUE, en partenariat avec l’ADEME. Toujours dans cette même logique, une extension de MATHIS pour la micro-climatologie urbaine est en cours de développement avec le couplage aux outils OPENFOAM (code open source Computational Fluid Dynamic) et PHANIE (rayonnement extérieur). Quelles sont les prochaines étapes pour établir une interopérabilité complète de MATHIS-QEI ? Nous projetons d'étendre tous les aspects de QEI à l'échelle du parc, en plaçant l'humain au cœur de notre réflexion. Ceci suppose d'établir un lien entre la QEI et la santé des occupants dans les bâtiments, en tenant compte des comportements individuels et des composantes sociaux-économiques associées. Le développement de notre plateforme QEI s'harmonise avec le projet de prospective économique du CSTB, visant à quantifier les impacts économiques de toutes les dimensions du confort. Cette approche systémique et holistique, qui englobe les aspects physiques, socio-économiques et comportementaux, constitue la force de notre plateforme QEI. De plus, nous suivons de près l'évolution de l'intelligence artificielle afin de l'exploiter pour améliorer nos outils de prévision. CONTACT - N° 6 : Qualité des Environnements Intérieurs Les sujets de l’environnement intérieur et de la qualité de celui-ci ne sont pas nouveaux. Le bon sens, que l’on qualifierait aujourd’hui d’approche hygiéniste, a fait que, depuis des siècles, ils ont été abordés par les différentes sociétés et ont directement et indirectement contribué à façonner l’architecture des bâtiments tant extérieure qu’intérieure, dans une réponse objective aux enjeux sensoriels. PDF 6 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 1 ans et 142 jours

Comportements vibratoires et acoustiques des bâtiments en bois

© ShutterstockEntretien avec Catherine Guigou, PhD., ingénieure recherche et expertise à la direction Santé-Confort et Manuel Manthey, PhD., ingénieur expertise structures à la direction Sécurité, Structures, Feu. En quoi le comportement du bois est-il spécifique sur les plans acoustique et vibratoire ? Catherine Guigou : Les bruits se propagent aisément dans l’air et dans tous types de matériaux par mise en vibration de ceux-ci. Quels que soient les modes constructifs, les bruits peuvent ainsi se transmettre dans les éléments structurels (poteaux, poutres, planchers, voiles). La construction bois présente des difficultés particulières du point de vue acoustique et vibratoire. La structuration fibreuse des éléments en bois induit en effet une conduction efficace des vibrations issues des chocs et confère aux structures une souplesse qui peut affecter le confort de marche. L’atténuation de ces effets suppose un dimensionnement en conséquence avec, notamment, des épaisseurs de plancher assez importantes. Une méthodologie a été développée afin d’améliorer la performance acoustique aux bruits aériens, dont les moyennes et hautes fréquences génèrent de l’inconfort pour les occupants. Cette méthodologie a été appliquée aux solutions poteaux-poutres en bois apparent. Par ailleurs, le ressenti, exprimé à travers des enquêtes menées sur l’occupation des bâtiments en bois (projet AcouBois), a permis d’identifier que la réglementation était insuffisamment exigeante au regard de la gêne induite par les bruits de choc, notamment pour les basses fréquences. Aussi, les solutions acoustiques proposées pour les bâtiments en bois doivent-elles prendre en compte ces contraintes dans un souci de confort en exploitation compatible avec les attentes des usagers. Quelles sont les différentes méthodes de prévision conçues par le CSTB ? Dès le début des années 2000, le CSTB a travaillé sur les performances acoustiques des constructions légères en bois. Le projet français Acoubois (2009-2014), mené en collaboration avec FCBA et Qualitel, a permis de franchir un grand pas en proposant une méthodologie d’évaluation de la performance acoustique et vibratoire du bâtiment, intégrée dans les normes EN ISO 12354-1 et -2 en 2017. Pour l’évaluation des transmissions latérales, les caractérisations des jonctions effectuées par le CSTB ont servi de base à la proposition d’une classification aujourd’hui reconnue. Les travaux de thèse de Corentin Coguenanff (2014-2016) sur la « Conception robuste aux incertitudes des systèmes légers bois en vibro-acoustique linéaire » ont permis la mise au point d’un logiciel de prévision pour les parois sur ossatures complétant l’outil commercialisé AcouSYS. Plus récemment, le CSTB a mené des travaux sur les bâtiments en panneaux CLT (Cross Laminated Timber), notamment dans le cadre d’Adivbois. Ces recherches ont proposé des mesures en laboratoire sur diverses configurations de plancher et sur un bâtiment démonstrateur construit sur le site du FCBA. Le CSTB a effectué la caractérisation des jonctions et les prévisions de performance incluant la comparaison avec les mesurages réalisés. À l’échelle du bâtiment, mais aussi du produit (plancher notamment), les vibrations causées par le vent ainsi que par les trafics ferroviaire et routier peuvent être source d’inconfort pour les usagers. Quels travaux ont été initiés pour répondre à cette problématique ? Manuel Manthey : Il y a quelques années, le CSTB et la RATP ont mis en évidence les contributions multidirectionnelles des vibrations ferroviaires dans le cadre d’un projet de recherche. Le besoin de modéliser la transmission des vibrations dans des structures poteaux-poutres, en bois pour le CSTB et de type haussmannien pour la RATP, a conduit à un partenariat scientifique associant l’université de Compiègne. Les premiers travaux sont basés sur une approche hydride (éléments finis 3D pour les jonctions et analytique pour les poteaux et poutres) dans laquelle la présence des parois (planchers et refends) est prise en compte, afin de caractériser plus particulièrement le couplage sol-structure pour une excitation ferroviaire multidirectionnelle. L’intégration de dispositifs de remédiation pour limiter la propagation des vibrations au niveau du bâtiment sera simulée, en vue d’apporter des solutions opérationnelles de réduction des nuisances dans la perspective du développement des Systèmes Express Régionaux Métropolitains. Par ailleurs, le comportement dynamique des constructions bois de grande hauteur sous sollicitations vibratoires et/ou aérodynamiques reste un sujet mal caractérisé. Plus légères que leurs alter-ego en béton, leur ratio poids-rigidité est, pour des hauteurs comparables, plus défavorable que les constructions béton ou métalliques et peut entraîner, sous certaines conditions de vent, des oscillations basses fréquences gênantes pour les occupants (syndrome de mal de mer). Un programme de recherche européen, DynaTTB (Dynamic Response of Tall Timber Buildings under Service Load), a été mené entre 2019 et 2023 avec plusieurs partenaires académiques et industriels pour mieux comprendre la réponse dynamique des constructions bois de grande hauteur. Dans ce cadre, neuf bâtiments ont fait l’objet de mesures in-situ avec, pour partie d’entre eux, l’utilisation de masse en tête allant jusqu’à 500 kg, permettant de les solliciter de manière contrôlée, et de mesurer, via des capteurs, les déplacements induits. Ces essais, couplés à des modélisations numériques paramétriques, permettent de mieux appréhender les facteurs clés pilotant cette réponse dynamique pour aider les concepteurs à prévoir la répartition des masses (quantité de matériau bois au bon endroit), afin de garantir le confort des occupants lors de ces épisodes de vent violent, qui seront plus fréquents du fait du changement climatique. CONTACT - N° 6 : Qualité des Environnements Intérieurs Les sujets de l’environnement intérieur et de la qualité de celui-ci ne sont pas nouveaux. Le bon sens, que l’on qualifierait aujourd’hui d’approche hygiéniste, a fait que, depuis des siècles, ils ont été abordés par les différentes sociétés et ont directement et indirectement contribué à façonner l’architecture des bâtiments tant extérieure qu’intérieure, dans une réponse objective aux enjeux sensoriels. PDF 6 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 1 ans et 155 jours

Modélisation dans Autodesk Forma (anciennement Spacemaker)

Utilisez la modélisation sur Forma et synchronisez avec facilité sur Revit grâce au lien bidirectionnel.
Il y a 1 ans et 167 jours

Acorus utilise le BIM 3D pour la rénovation de l'hôtel Boissières à Levallois-Perret (92)

Acorus utilise désormais un logiciel de modélisation des données du bâtiment 3D pour ses chantiers de rénovation d’hôtel. Une solution novatrice pour Acorus, afin d’optimiser les rénovations, limiter les réserves et une meilleure collaboration entre l’architecte, les ouvriers et le client, pour ainsi gagner en performance.
Il y a 1 ans et 214 jours

#01 Open BIM Roth - Etude de cas - Présentation

Logiciel pour la modélisation BIM et le calcul des installations de plancher chauffant ROTH, intégré dans le flux de travail Open BIM via le format standard IFC.
Il y a 1 ans et 218 jours

#01 Open BIM Midea - Etudes de cas - Présentation

Logiciel de conception, calcul et de modélisation BIM du système MIDEA VRF et du système d'Aérothermie, intégré dans le flux de travail Open BIM via le format standard IFC.
Il y a 1 ans et 230 jours

Acorus s’approprie le BIM 3D pour ses chantiers de rénovation d’hôtels

Acorus utilise désormais un logiciel de modélisation des données du bâtiment 3D pour ses chantiers de rénovation d’hôtel. Une solution novatrice pour Acorus, afin d’optimiser les rénovations, limiter les réserves et une meilleure collaboration entre l’architecte, les ouvriers et le client, pour ainsi gagner en performance. L’article Acorus s’approprie le BIM 3D pour ses chantiers de rénovation d’hôtels est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 309 jours

Mieux lire ses données grâce au package Dynamo x Onfly

Le développement technologique a considérablement transformé la façon dont les professionnels de la construction travaillent.  Avec l’avènement du BIM, de nombreux outils logiciels ont été créés pour faciliter la conception, la modélisation et la gestion des données de construction.  Parmi ces outils, Dynamo se distingue comme un plugin essentiel disponible […] L’article Mieux lire ses données grâce au package Dynamo x Onfly est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 325 jours

Le portefeuille de produits de Dynaco est désormais disponible sur bimobject.com

Le portefeuille de produits de Dynaco est désormais disponible sur bimobject.com Modèle de données partagé 
 
 La modélisation des données du bâtiment - ou BIM en abrégé - est un jmgcom lun 10/07/2023 - 12:17 En savoir plus sur Le portefeuille de produits de Dynaco est désormais disponible sur bimobject.com Partager
Il y a 1 ans et 326 jours

Cochain Mécabois : Modélisation numérique

Grâce à Solidworks, Cochain Mécabois a pu concevoir des éléments angulés à la fois dans le plan et dans les élévations.
Il y a 1 ans et 329 jours

BTPFlux : estimation des flux de Produits, Équipements, Matériaux et Déchets du bâtiment

Photo : ShutterStockOutil permettant de réaliser une analyse des flux de Produits, Équipements, Matériaux et Déchets (PEMD) issus des bâtiments, BTPFlux permet d'aider les décisionnaires à mieux anticiper et appréhender les flux pour établir une stratégie d'économie circulaire adaptée aux spécificités de leur territoire. Entretien avec Édouard Sorin, ingénieur recherche et expertise au CSTB. Concrètement, comment BTPFlux s'emploie-t-il à aider les collectivités, les aménageurs ou les gestionnaires de patrimoine à définir leur stratégie d'économie circulaire appliquée au bâtiment ? Pour établir une stratégie d'économie circulaire, il est essentiel de caractériser le parc existant de bâtiments d'un territoire, ainsi que sa dynamique, en considérant, pour chaque année, des taux de construction, déconstruction et rénovation pour chaque typologie de bâtiment, afin de quantifier les quantités de PEMD générés et consommés par celui-ci. C'est ce que propose de faire BTPFlux pour chaque territoire de la France métropolitaine, avec la possibilité d'intégrer plus de spécificités territoriales, comme les grands projets d'urbanisme ou la prise en compte des filières de valorisation locales. Avec quels autres outils est-il en lien ? Pour caractériser au mieux le parc de bâtiments, BTPFlux s'appuie sur deux autres outils numériques développés par le CSTB, regroupant des bases de données qui comptent parmi les plus précises et complètes du territoire français : la Base de données nationales des bâtiments (BDNB), dont les informations s'avèrent essentielles pour estimer ensuite la matérialité des bâtiments, comme la période de construction, l'usage principal, voire le matériau principal de structure ou encore le type d'isolation ; l'outil TyPy, qui embarque une base de données de composants génériques du bâtiment. Chaque composant contient un ensemble de propriétés permettant de réaliser différents types de calcul (thermique, analyse du cycle de vie, quantité de PEMD, etc.). Grâce à plusieurs algorithmes, TyPy peut « reconstruire » un bâtiment à partir d'un nombre limité d'informations et ainsi caractériser sa matérialité. En couplant les informations de la BDNB et la puissance de TyPy, BTPFlux offre une caractérisation de la matérialité du parc existant de bâtiments, extrêmement détaillée à l'échelle de la France métropolitaine. Mais, comme tout exercice de modélisation, cette approche n'est pas parfaite, car les estimations faites par BTPFlux sont bien plus fiables sur les bâtiments résidentiels que non résidentiels. Une meilleure prise en compte de ces derniers est l'un des objectifs des développements de cette année. Quelles sont les perspectives de cet outil ? Comme la matérialité des bâtiments est décrite à l'échelle des composants, BTPFlux a le potentiel pour offrir une estimation des flux pour chaque catégorie de déchets associés et pour chaque produit ou équipement potentiellement réemployable, ce qui en fait peut-être sa plus grande force. Pour le moment, nous n'avons intégré qu'un peu plus d'une dizaine de catégories de déchets, mais des développements sont en cours à travers un projet réalisé en partenariat avec la Région Île-de-France, entre autres, pour passer à une quarantaine de catégories et aller jusqu'à une granulométrie suffisamment précise pour établir une stratégie d'économie circulaire la plus pertinente possible. Des liens avec la future nomenclature de la plateforme PEMD sont prévus. Après avoir concentré nos efforts sur les flux relatifs au parc existant, des travaux sont également en cours pour intégrer prochainement les flux de la construction neuve, principaux chantiers consommateurs de matière, mais également producteurs de rebuts. Les perspectives de développement complémentaires sont nombreuses (renforcement de la précision du modèle en intégrant plus de données spécifiques, couplage avec les filières de valorisation, élargissement du périmètre pris en compte, etc.), et seront à préciser en fonction des besoins remontés par les utilisateurs et leurs parties prenantes. CONTACT  - N° 5 : Économie circulaire et ressources pour le bâtiment Il est urgent de trouver des solutions pour assurer une certaine optimisation quant à l'usage des ressources naturelles, à leur accès, notamment à l'eau, à des coûts économiques et environnementaux éthiquement raisonnables. PDF 6 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 1 ans et 337 jours

Les tremblements de terre, un casse-tête pour les experts en assurance

Rares en France métropolitaine, les séismes comme celui qui a frappé l'ouest du pays le 16 juin sont des catastrophes naturelles particulières pour les experts en assurance, qui progressent dans leur travail complexe de modélisation et redoutent un "big one" à Nice.
Il y a 1 ans et 338 jours

[Conférence] Représenter l’architecture : modélisation et photographie

Comment les phases de conception et de représentation d'un projet s'entremêlent-elles ? Comment figurer un paysage ...More about Cet article [Conférence] Représenter l’architecture : modélisation et photographie est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 1 ans et 344 jours

Comment standardiser la création d’objets BIM à l’aide des « object templates » ?

Dans le monde de la construction et de la modélisation des données du bâtiment, l’efficacité et la normalisation sont des facteurs clés de la réussite d’un projet. Les architectes, les ingénieurs, les responsables BIM, les coordinateurs et les modélisateurs s’efforcent constamment de rationaliser leurs flux de travail et d’améliorer leur productivité. La création d’objets BIM… Lire la suite Comment standardiser la création d’objets BIM à l’aide des « object templates » ? L’article Comment standardiser la création d’objets BIM à l’aide des « object templates » ? est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 2 ans et 50 jours

Journée des doctorants du CSTB : un évènement sous le signe de la pluridisciplinarité

De gauche à droite : Robin BONNET, Élodie DONVAL, Marin PELLAN, Merveil MUANDA LUTETE et Martin RIT - Photo : Nicolas RICHEZLe 27 mars 2023, les doctorants du CSTB ont été mis à l'honneur lors d'une journée dédiée. C'est en présence de leurs tuteurs et directeurs de thèse qu'ils ont partagé l'avancement de leurs travaux et confirmé la diversité des domaines de recherche du CSTB. Depuis de nombreuses années, le CSTB anime un programme doctoral ambitieux. Il accueille ainsi, en continu, 50 à 60 doctorants qui mènent une thèse en lien avec l'un des quatre Domaines d'Action Stratégiques de la Recherche du CSTB. Le 27 mars dernier, au CSTB Paris, une quinzaine d'entre eux a présenté ses travaux de recherche à différents stades d'avancement. Ouverture et transversalité « Modélisation et adaptation environnementale d'un quartier dans un contexte de climat futur et de canicule urbaine », « Développement d'indicateurs de pression sur les ressources minérales et métalliques dans le secteur du bâtiment pour une approche performancielle de l'économie circulaire », « Impact du changement climatique sur la qualité de l'air intérieur », « Influence de l'effet combiné de la combustion des matériaux sur le développement de l'incendie et l'émission de gaz et d'aérosols »... autant de sujets qui traduisent de la pluridisciplinarité des domaines de recherche du CSTB. Énergie, environnement, santé, sociologie, maîtrise des risques, numérique... Lors de son introduction, Hervé Charrue, directeur général adjoint en charge de la Recherche et du Développement au CSTB, a souligné « l'importance de l'ouverture et de la transversalité », rappelant que le rôle du CSTB était d'ouvrir ses doctorants aux « problématiques actuelles, mais aussi à celles qui seront à traiter dans les 20 ans à venir. Des problématiques multiphysiques, pluridisciplinaires, que le CSTB a d'ores et déjà l'habitude de mettre en œuvre, auxquelles le bâtiment, en tant qu'objet complexe au cœur de celles-ci, contribue à apporter beaucoup de réponses ». Trophées des doctorants : des efforts récompensés Comme l'a également souligné Hervé Charrue dans son discours d'ouverture, « la thèse est un engagement personnel, un engagement sur un travail de fond ». Afin d'accompagner ces jeunes chercheurs sur la voie de l'excellence et les encourager à transmettre leurs connaissances, le CSTB leur a demandé de présenter leurs thèses en 180 secondes par l'intermédiaire de trois médias d'expression (vidéo, présentation animée, présentation graphique). Pour mettre en valeur leurs sujets de thèse, en lien avec les quatre Domaines d'Actions Stratégiques de la Recherche du CSTB que sont les « Bâtiments et Quartiers pour bien vivre ensemble », les « Bâtiments et villes face au changement climatique », la « Rénovation, Fiabilisation de l'acte de construire & Innovation » et l'« Économie circulaire et ressources pour le bâtiment », les doctorants du CSTB ont ainsi rivalisé d'imagination en réalisant des vidéos, des bandes dessinées et motion design. Le CSTB a récompensé les productions les plus originales lors d'une cérémonie de remise des Trophées des doctorants 2023. Cinq prix ont ainsi été remis au terme de cette journée riche en échanges : Prix de la direction de la Recherche et du Développement : Comportement au feu des maçonneries en pierre naturelle Nom du doctorant : DONVAL Élodie Démarrage de thèse : 2020 École et partenaires : Laboratoire Navier, UMR 8205 - ENPC, Ifsttar, CNRS - CTMNC - Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction Prix du Knowledge Management : Évaluation du potentiel de rénovation énergétique d'un territoire dans le cadre de démarches de massification Nom du doctorant : RIT Martin Démarrage de thèse : 2021 École et partenaires : Mines Paris Tech Persée, Centre Procédés, Énergies Renouvelables, Systèmes Énergétiques Prix catégorie Vidéo Évaluation des mesures d'adaptation de l'environnement urbain aux contraintes des évolutions du climat Nom du doctorant : MUANDA LUTETE Merveil Démarrage de thèse : 2021 École et partenaires : Ingérop et Cerema Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement Prix catégorie Présentation animée Atteindre et décliner la Stratégie Nationale Bas Carbone pour le secteur du bâtiment, du produit au parc Nom du doctorant : PELLAN Marin Démarrage de thèse : 2021 École et partenaires : ETH - Zurich – Suisse Prix catégorie Présentation graphique Étude d'un procédé de bio détérioration des matrices cimentées : application au traitement des déchets amiantés Nom du doctorant : BONNET Robin Démarrage de la thèse : 2019 École et partenaires : Université Paris Cité, Institut de Physique du Globe de Paris Les lauréats ont reçu un trophée en bois recyclé réalisé par les équipes de l'atelier de menuiserie du CSTB ainsi qu'une invitation pour une learning expedition à Nantes afin de découvrir les plateformes emblématiques du CSTB (soufflerie climatique Jules Verne, Aquasim). Félicitations à eux !
Il y a 2 ans et 51 jours

archelios™ PRO : modélisation d'un projet photovoltaïque avec la 3D intégrée

Le système de modélisation 3D intégré à l’interface web est l’une des grandes nouveautés d’archelios™ PRO. Cette solution présente pour l’utilisateur l’avantage de pouvoir gérer des projets 3D dans une seule interface, sans nécessité d’une expertise poussée dans des logiciels tels que SketchUp ou Revit®.
Il y a 2 ans et 58 jours

Modélisation des données du bâtiment (BIM) : en attendant la réglementation

Alors que vient d’être lancé le troisième plan BIM (building information modeling), l’offre d’outils pour la gestion numérique des chantiers se révèle pléthorique et très pointue.
Il y a 2 ans et 72 jours

Soprema Entreprises déploie un service d'inspection par drone

SERVICE. Spécialiste de l'enveloppe des bâtiments et de la construction de charpentes, Soprema Entreprises, propose à ses clients un nouveau service : l'inspection et la modélisation des toitures et façades par drone.
Il y a 2 ans et 89 jours

Lancement d'un nouveau projet de recherche européen sur le coût de la pollution atmosphérique et sonore

BEST-COST est un nouveau projet de recherche Horizon Europe visant à améliorer la compréhension du coût socio-économique des facteurs de stress environnementaux en Europe. Il se concentrera sur la pollution atmosphérique et sonore et sur son impact sur le bien-être et l'équité en matière de santé. Le projet, d'une durée de quatre ans, est dirigé par Sciensano et réunit un consortium de 17 partenaires issus de 10 pays européens et des États-Unis. BEST-COST développera un nouveau cadre méthodologique pour quantifier la charge, le coût et les inégalités sociales et sanitaires causés par la pollution atmosphérique et sonore. Il permettra aux chercheurs et aux décideurs d'adopter une approche harmonisée et d'utiliser une meilleure modélisation économique et sanitaire dans les évaluations d'impact des politiques. À terme, cela contribuera à améliorer les politiques et pratiques réduisant les conséquences des pathologies associées, ainsi qu'à créer des environnements de vie et de travail plus favorables à la santé, plus équitables et plus durables. Dans le cadre de ce projet, le CSTB apporte son expertise et ses années d'expérience dans l'observation et l'analyse à grande échelle de la qualité de l'air intérieur. Il fournira les données recueillies lors de la deuxième campagne nationale de mesure de la qualité de l'air intérieur dans les habitations françaises. En savoir plus : Communiqué de presse
Il y a 2 ans et 107 jours

KP1 et Trimble France renouvellent leur partenariat

« La force de Trimble Solutions France est de pouvoir proposer des outils évolutifs et totalement adaptables aux contraintes industrielles de KP1 et de ses clients », souligne David Henriques, directeur technique & innovation de KP1. [©KP1] L’industriel du béton KP1 et Trimble France, éditeur de logiciels, consolident leur contrat de partenariat stratégique signé en 2021. Et le prolongent ainsi jusqu’au 31 décembre 2027. Cette collaboration renouvelée confirme l’accélération de l’utilisation des nouvelles technologies de modélisation au sein des différentes activités de KP1 (dont sa filiale Bâtiments). Les solutions logicielles mises en œuvre, basées sur les modèles, tels que Tekla Structures et Trimble Connect, couvrent l’ensemble du processus de conception, d’ingénierie et d’exécution. Lire aussi : Trimble : Tekla passe en version 2022  Optimisation des process de production de KP1 Ces outils permettent de modéliser des systèmes préfabriqués complets, comprenant les éléments béton, leurs ouvertures et réservations, les armatures, les systèmes de levage, d’étaiement… Tout en intégrant les contraintes de fabrication et de chantier. Ils optimisent et rationalisent aussi les process de production de KP1, depuis la conception des modèles jusqu’à la fourniture des données pour les machines à commande numérique dans les unités de préfabrication. En passant par les informations nécessaires pour les achats et la facturation. Lire aussi : Gard : Des villas aux planchers chauffants/rafraîchissants pour KP1 et ThermAK  « La force de Trimble Solutions France est de pouvoir proposer des outils évolutifs et totalement adaptables aux contraintes industrielles de KP1 et de ses clients, souligne David Henriques, directeur technique & innovation de KP1. Nos deux équipes travaillent en étroite collaboration pour développer des fonctionnalités spécifiques aux process de KP1, à sa méthodologie et à ses produits. Les objectifs : gagner en performance industrielle à partir des plans transmis par nos bureaux d’études. Mais aussi faciliter la mise en œuvre et le suivi de chantier des entreprises grâce à des plans de qualité détaillés et explicites qui simplifieront leur compréhension. Ces solutions logicielles sont complètes assurant une parfaite liaison entre le bureau d’études, le site industriel et le client. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 119 jours

Les arbres pourraient réduire d'un tiers la mortalité liée aux canicules urbaines, selon une étude

Une modélisation a révélé que si la couverture végétale d'une ville pouvait atteindre les 30% de sa surface, contre une moyenne de 14,9% actuellement, cela permettrait de réduire la température de 0,4 degré celsius en moyenne pendant les canicules estivales, rapporte une étude publiée dans The Lancet.Sur les 6.700 décès prématurés attribués au réchauffement des températures dans 93 villes européennes en 2015, les résultats montrent qu'un tiers pourrait ainsi être évité.Cette étude est la première à prévoir, dans le contexte du réchauffement climatique dans les villes, le nombre de décès prématurés qui pourraient être évités par une couverture arborée supplémentaire, a souligné l'auteur principal, Tamara Iungman, chercheur à l'Institut de santé mondiale de Barcelone.Les températures dans les villes sont plus élevées que dans les banlieues ou les campagnes environnantes, en raison d'îlots de chaleur.Cette différence de température est principalement due à la suppression de la végétation, à l'évacuation de la chaleur des systèmes de climatisation, ainsi qu'à l'asphalte et aux matériaux de construction de couleur sombre qui absorbent et retiennent la chaleur."Nous savons déjà que les températures élevées dans les environnements urbains sont associées à des résultats négatifs pour la santé, tels que l'insuffisance cardiorespiratoire, l'augmentation des admissions à l'hôpital et des décès prématurés", a déclaré Mme Iungman dans un communiqué. "Notre objectif est d'informer les politiques et les décideurs locaux sur les avantages de l'intégration stratégique de l'infrastructure verte dans la planification urbaine afin de promouvoir des environnements urbains plus durables, résilients et sains."En raison du réchauffement climatique d'origine humaine, l'augmentation des températures dans les villes sera plus intense d'où la nécessité de plus en plus urgente pour les villes, de s'adapter pour améliorer les résultats en matière de santé.Déjà l'année dernière, l'Europe a connu l'été le plus chaud jamais enregistré et la deuxième année la plus chaude. Dans le monde entier, les vagues de chaleur atteignent des pics record et leur durée s'est allongée ces dernières décennies.Aujourd'hui, le froid cause encore plus de décès en Europe que la chaleur. Mais les prévisions basées sur les émissions actuelles révèlent que les maladies et les décès liés à la chaleur représenteront une charge plus importante pour les services de santé d'ici une décennie.
Il y a 2 ans et 127 jours

Qu’est-ce qu’un objet BIM de qualité ?

Le terme BIM a commencé à envahir le monde de la construction il y a quelques années. À ses débuts, le BIM était synonyme d’une bibliothèque de symboles 3D, et un objet BIM la modélisation numérique d’une climatisation, une fenêtre ou un bloc béton. Très vite, la data est entrée dans le jeu en faisant du BIM un catalyseur d’informations et de propriétés. Cette méthodologie transforme en profondeur la façon dont s’envisage la construction aujourd’hui.  Implémenter le Building Information Modeling apporte de nombreux bénéfices aux acteurs du BTP. À condition, néanmoins, d’avoir recours à des objets BIM de qualité et fonctionnels. Les architectes, bureaux d’études et entreprises de la construction ont tout à y gagner. L’objet BIM de qualité fait le lien entre tous les acteurs  La promesse du BIM est de faciliter la collaboration de l’ensemble des acteurs autour d’un projet de construction de façon centralisée. La première qualité d’un objet BIM est donc d’utiliser un langage commun entre les différents intervenants du projet. Notamment entre les architectes, les ingénieurs, les constructeurs et les gestionnaires de bâtiments. Un objet BIM de qualité permet alors une meilleure collaboration entre les différents intervenants du projet. En ayant accès à des informations précises et à jour, tous les acteurs d’un projet commun peuvent travailler de manière plus efficace. Architectes et ingénieurs, venez tester nos objets BIM de qualité lors de notre prochain webinaire ! Aussi, pour être lisibles par tous, les propriétés de l’objet BIM doivent être structurées de façon standardisée selon des formats compatibles avec les logiciels de chaque intervenant. C’est le principal défi des fabricants et la condition pour que leurs objets soient qualitatifs. Réduction des coûts, amélioration de l’efficacité et de la qualité des projets Optimisation des coûts L’objet BIM de qualité et fonctionnel comporte l’ensemble des informations relatives à un produit de la construction. Celles-ci sont ensuite distribuées à toute la chaîne de valeur intervenant sur la maquette numérique. À savoir le modèle 3D pour architecte ou les informations thermiques pour le thermicien ou électrique pour l’électricien. Ces informations précises et à jour permettent à tous ces acteurs d’éviter les erreurs coûteuses. En effet, un objet BIM fonctionnel permet de simuler les différents aspects du projet et de détecter les problèmes potentiels avant la construction. Cela permet de réduire les coûts en minimisant les défauts et les retards. De plus, en ayant accès à des informations détaillées sur les matériaux, les équipements et les systèmes utilisés dans le projet, les professionnels de la construction peuvent mieux planifier la maintenance à long terme et éviter les pannes coûteuses. Meilleure qualité de l’ouvrage En utilisant des outils BIM pour la conception, les architectes, bureaux d’études et constructeurs peuvent améliorer la qualité de l’ouvrage. Mais comment ? Tout d’abord, il est important de s’assurer du respect des spécifications et des normes. Retrouvez le détail sur les différentes normes et règles de construction dans cet article par BatiAdvisor. Ensuite, il est également intéressant d’optimise la circulation de l’air et l’éclairage naturel. Mais encore, de planifier de manière plus efficace l’utilisation de l’espace. Découvrez la suite dans notre article de blog complet ! Vous souhaitez transformer votre catalogue produits en objets BIM, ou accéder gratuitement à des objets BIM de qualité et fonctionnels? Que vous soyez fabricant, architecte ou un bureau d’études, notre équipe chez BIM&CO vous accompagne avec plaisir dans cette démarche.
Il y a 2 ans et 140 jours

Living EstateTM : une expérience digitale pour une commercialisation de projets immobiliers plus impactant

Living EstateTM : le renouveau de la Marketing SuiteAllianz, Altarea Cogedim, Aquila, Blackstone, Deka, Foncia IPM, Hémisphère, Ivanhoé Cambridge, PGIM, Scaprim, SFL... Bleu Dalcans compte de nombreuses références dans le secteur de l’immobilier. Grâce à cette expertise, elle a imaginé Living EstateTM : un dispositif complet qui intègre, en plus d’un espace témoin scénographié, un parcours de visite initiatique spécialement conçu pour que le futur acquéreur puisse se projeter avant, pendant et après sa visite. Le digital s’inscrit dans ce concept comme un levier immersif pour présenter et aider à commercialiser le projet immobilier (vidéo projection, mobilier interactif, création des contenus, modélisation des spaces planning, sonorisation...).Pour Raphael Benbassa, Associé Fondateur de Bleu Dalcans : « Notre volonté est de sortir les écrans de leurs rôles fonctionnels pour créer des expériences inédites. Le digital est un moyen exceptionnel qui nous permet d’accroitre l’attractivité d’un lieu qu’il s’agisse de futurs espaces de bureaux, d’hôtels ou de centres commerciaux. Avec Living EstateTM, notre objectif est de rendre les espaces témoins, traditionnellement attentus, plus vivants et désirables ! Dans un marché locatif de plus en plus tendu, et sur un secteur finalement très aseptisé et standardisé, nous permettons enfin aux Assets de se démarquer. »Les avantagesPour les BROKERS : Un service premium et flexible Un accompagnement sur la mise en valeur de l’espace La capacité à proposer une expérience immersive aux prospects Pour les PROSPECTS : L’incarnation d’une vision et d’un projet d’entreprise visant au bien-être des collaborateurs Une projection sur une utilisation optimale du futur lieu de vie / de travail Une mémorisation de la visite facilitée Pour les ASSET : Des délais de mise sur le marché raccourcis Une indépendance vis-à-vis des brokers La valorisation des placements immobiliers en faisant de chaque actif un produit unique L’exemple de JOYA Val de Fontenay - Ivanhoé CambridgeSur un espace dédié de plus de 500 m2, les équipes de Bleu Dalcans ont créé un parcours efficace, visuel, mémorisable et digital pour aider les Assets à commercialiser l’actif. Les équipes ont géré la conception, le déploiement du mobilier et de l’agencement mais aussi les contenus vidéos, interactifs et immersifs.Pour François Burgess, Asset Manager Ivanhoé Cambridge : « Bleu Dalcans a parfaitement su répondre à notre volonté de proposer aux prospects locatifs de Joya une programmation marketing innovante, axée sur le digital et sur l’interactivité des outils. Cette agence a mis à notre disposition une équipe complète de professionnels dévoués et talentueux, allant de la création de l’idée jusqu’à la réalisation de l’espace. Le respect du planning et du coût en fait un partenaire fiable avec lequel nous avons pris beaucoup de plaisir à travailler ».Une démarche RSE chère à Bleu DalcansLa volonté de Bleu Dalcans est de créer des espaces vivants, qui répondent aux besoins et qui favorisent le bien-être des utilisateurs, dans le respect de l’environnement. C’est pourquoi, les espaces conçus avec Living EstateTM se démarquent des Marketing Suites traditionnelles avec un véritable ancrage écologique et modulaire.Depuis 2020, Bleu Dalcans est partenaire d’EcoTree. Dans ce cadre, elle participe à des projets forestiers et de biodiversité en France. Bleu Dalcans est aujourd’hui propriétaire de 100 arbres, dans la Forêt de Pont de Buis (29), plantés et gérés durablement par EcoTree en France.
Il y a 2 ans et 147 jours

Murs-rideaux trapézoïdaux de l'Arena Futuroscope à Poitiers : un chantier soulignant l'expertise Louineau sur le dimensionnement des pièces d'ancrage

Située à proximité de Poitiers, aux portes du Parc du même nom, l'Arena Futuroscope se distingue par son architecture contemporaine, caractérisée par une coque rectangulaire et monolithique. Conçu par le groupe d’architecture pluridisciplinaire Patriarche, et réalisé par l’agence Atelier du Moulin (architecte d’opération), cet écrin semble se soulever du sol et laisser entrevoir son cœur par ses quatre angles vitrés. Ces murs rideaux en aluminium trapézoïdaux et aux hauteurs imposantes (jusqu’à 7,5 m en deux ou trois points d’ancrage) ont requis une expertise pointue tant dans leur mise en œuvre que dans l’approche technique menée sur les systèmes d’ancrage sur-mesure LOUINEAU*.La société Miroiterie Mélusine, membre de CSI Réseau, a été choisie pour fabriquer et installer les façades. Elle s’est rapprochée du bureau d’études LOUINEAU pour réaliser la justification du choix des pièces (manchons et sabots) via des notes de calcul. Il a déterminé les efforts au vent et au poids repris mécaniquement par chaque système d’ancrage, en se basant sur les normes en vigueurs** et en intégrant les hypothèses du chantier (zone de vent ici 1, catégorie de rugosité du terrain ici III, zone de sismicité, hauteur du bâtiment...). S’agissant d’un ERP situé aux environs de Poitiers, une ville qui se trouve dans une zone de sismicité 3, il était également exigé de prendre en compte les charges dues aux secousses modérées. Une fois que les pièces d’ancrage atteignant ces valeurs ont été validées par Miroiterie Mélusine, LOUINEAU a lancé la fabrication.Au total, 20 cas de montage différents ont été déterminés, soit autant de notes de calcul, essentielles pour garantir la sécurité et la pérennité de l’ouvrage auprès du bureau de contrôle en charge de l’Arena Futuroscope. Il s’agit de l’un des plus gros chantiers LOUINEAU sur l’année 2021, en termes d’étude de dimensionnement.À chaque cas de montage sa note de calculL’Arena Futuroscope se pare de près de 1.000 m² de mur-rideau répartis sur quatre angles et mis en œuvre en applique extérieure ou en tunnel. Ils sont fixés directement dans la charpente en partie haute et déportés dans le vide ou posés sur longrine béton en partie basse. Leur hauteur jusqu’à 7,5 m, leurs pentes, et leurs différents angles ont nécessité la création de 20 modèles de pièces : manchons sur équerre d’angle avec déport, manchons spécifiques en angle, manchons doubles pour soutenir les plus gros volumes verriers, sabots sur équerre d’angle avec déport... Pour définir les angles des pièces, LOUINEAU s'est appuyé sur une modélisation BIM fournie en amont par le client.Dès qu’on modifie la géométrie d’une pièce, elle réagit de manière différente au poids, au vent et au sismique, et nécessite donc un nouveau cas de montage. Aucune pièce ne pouvait être standard pour ce chantier car les charges étaient très importantes sur des hauteurs allant jusqu’à 7,5 m en deux ou trois points d’ancrage. La plus grosse pièce reprenait 1,8 tonne par exemple. Nous avons même dû concevoir et justifier une pièce d’ancrage avec à elle seule quatre angles car elle intégrait deux pentes et deux profondeurs différentes. », souligne Romain Pubertés, Technicien bureau d’études LOUINEAU.Une fabrication Made in VendéeAprès validation des pièces sur-mesure par Miroiterie Mélusine, LOUINEAU a lancé la fabrication dans son atelier à Luçon. Au total, 257 manchons et 70 sabots ont été livrés sur le chantier en deux tranches, janvier et mai 2021, en fonction de son avancée.
Il y a 2 ans et 162 jours

Spie batignolles propose un catalogue d’éléments constructifs imprimés en 3D

C’est à Ollainville (91), sur sa plateforme matériels, que le groupe Spie batignolles a créé en 2021 son propre atelier de fabrication additive de 1200 m², devenant le premier constructeur a en être doté, dans une logique d’industrialisation. La cellule d’impression 3D installée dans cet atelier se présente sous la forme d’un bras robotisé 6 axes prenant appui sur un socle de 2m de haut, guidé par une technologie de modélisation brevetée par XtreeE. La cellule est ainsi capable d’imprimer de grands objets, jusqu’à 3 m de hauteur. Les ingénieurs dessinent, ou optimisent un modèle numérique en 3D. Une fois le design validé, la pièce est transformée en parcours d’impression. Spie batignolles emploie une technologie d’impression additive avec des bétons spécifiques pour l’impression 3D. Les éléments produits dans cet atelier sont commercialisés au travers de l’offre EmPrinte qui regroupe l’impression d’éléments constructifs standards ou sur-mesure pour les besoins des chantiers du groupe et plus largement pour le compte de clients tiers. Le catalogue comprend la préfabrication de petits éléments constructifs comme des boîtes de réservations et des éléments de coffrages, mais également des pièces complexes comme des voussoirs de passerelles ou noeuds de poutres. Il intègre également du mobilier urbain, des tables, des bancs, du décor artificiel. Il s’agit d’éléments à forte réplicabilité, lesquels s’inscrivent parfaitement dans un procédé industriel ou bien de pièces sur-mesure. Le fait de disposer de cette activité en propre permet à Spie batignolles de rester maître de sa chaîne de production hors-site, sans avoir recours à des intermédiaires et être tributaire de difficultés de livraison. Cet article Spie batignolles propose un catalogue d’éléments constructifs imprimés en 3D est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 163 jours

5 solutions pour digitaliser vos projets de construction

En quête de solutions pour numériser vos projets de BTP? Que vous soyez fabricant, architecte, ingénieur, constructeur, il existe des solutions pour chaque profil des acteurs de la construction. Découvrons quelles solutions vous pouvez implémenter pour digitaliser vos projets de construction! 1) Implémenter le Building Information Modeling La méthodologie du BIM permet une représentation virtuelle des produits et des matériaux des fabricants, utilisés dans la construction. Composés de caractéristiques techniques et de modélisation 3D, les concepteurs, architectes et ingénieurs téléchargent les objets BIM pour remplir leurs maquettes numériques. Nombreux sont les avantages de cette méthodologie ! Le BIM est l’outil idéal pour anticiper la viabilité d’un bâtiment et avoir un suivi plus rigoureux d’un chantier. Cela permet aussi de réduire les erreurs de conception, ainsi que d’améliorer la productivité et la communication lors de travaux. En ayant recours au BIM, il est également plus facile de déterminer les rôles des différents acteurs d’un projet de construction. Le BIM permet d’autre part l’utilisation de données structurées et précises afin de garantir des échanges sans perte d’informations. Ces bénéfices multiplient d’ailleurs les politiques et réglementations mises en œuvre par de plus en plus de gouvernements dans le monde pour le déploiement de solutions BIM dans la construction. D’après Allied Market Research, nos voisins européens que sont le Danemark, l’Espagne et l’Italie, rendent le BIM obligatoire à respectivement 100 %, 93 % et 82 %. Maintenant que nous avons en tête les différents bénéfices de cette méthodologie, découvrons en quoi le BIM est plus particulièrement avantageux pour les fabricants. 2) Assurer la digitalisation des catalogues produits des fabricants via une plateforme publique et Cloud Les fabricants peinent parfois à digitaliser leurs produits. Et pourtant, ils ont beaucoup à y gagner ! Pourquoi ? Parce que le BIM gravite autour des données d’un bâtiment. Et ces bâtiments dépendent en grande partie des caractéristiques des produits installés.  Donc pour construire des bâtiments toujours plus performants en utilisant le BIM,  les acteurs AEC qui collaborent dans ce processus, à savoir les architectes, ingénieurs et entreprises de la construction, nécessitent grandement de l’information des produits… des fabricants.  D’après Harvard Business Review (2020), 73% des organisations du secteur de l’AEC affirment qu’avoir une relation très collaborative avec les fabricants est extrêmement ou très important pour la réussite de leurs projets de construction. Le rôle des fabricants dans ce processus est donc essentiel. Étant les plus aptes à fournir des données fiables et de qualité pour les bureaux d’études et cabinets d’architecture. C’est pourquoi en digitalisant leurs catalogues produits sous format BIM, les fabricants seront davantage susceptibles d’être contactés pour faire partie des projets d’ingénierie et d’architecture. C’est gagnant-gagnant !  Mais comment digitaliser ses produits ? Avec la plateforme publique et Cloud bimandco.com, les fabricants de tous types peuvent publier leurs produits en format 3D. De cette manière, ils sont visibles et téléchargeables gratuitement par des acteurs du bâtiment qui en ont besoin pour alimenter leurs maquettes numériques.   Découvrez en davantage sur les bénéfices du BIM pour les fabricants dans notre article : “Le BIM pour les fabricants : Une transformation numérique nécessaire pour se démarquer et vendre plus” Découvrez les autres solutions pour digitaliser vos projets de construction dans notre article complet.