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Résultats de recherche pour polytechnique

(191 résultats)
Il y a 6 jours

Rénovation : l’École Polytechnique de Paris choisit le bois Kebony

À Palaiseau se trouve un ensemble de logements de l’École Polytechnique de Paris, que celle-ci souhaitait rénover afin d'en améliorer les performances thermiques. Le bardage Kebony Clear a été sélectionné pour ce projet.
Il y a 18 jours

L’École Polytechnique choisit le bois Kebony pour rénover plusieurs de ses bâtiments résidentiels

C’est ici, dans un cadre naturel, qu’est implanté un ensemble de logements de l’École Polytechnique de Paris. L’école, de renommée internationale, souhaitait rénover ses bâtiments construits entre les années 70 et 80 et améliorer leurs performances thermiques. Le bardage Kebony Clear a été sélectionné pour ce projet.
Il y a 94 jours

Grand Paris express : sur la ligne 18, la gare Marguerite-Perey prend de la hauteur

EN IMAGES. Les travaux se poursuivent au sein de la gare Marguerite-Perey, située sur la commune de Palaiseau au sein de la ZAC du quartier de l'École polytechnique. Elle entrera en service en octobre 2026 et permettra de mieux connecter le plateau de Saclay, riche en centres de recherche, en universités et en entreprises de pointe.
Il y a 257 jours

Essonne : réaménagement de l’ensemble central de l’École polytechnique à Palaiseau

L’ensemble central « X » de l’École polytechnique, à Palaiseau dans le département de l’Essonne, sera modernisé et rénové pour améliorer ses...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 1 jours

À Polytechnique, restructuration de l’ensemble central de l’X par ENIA Architectes

À Palaiseau (Essonne), l’École polytechnique, en partenariat avec l’EPAURIF, a attribué la maîtrise d’œuvre de la restructuration de l’ensemble central de l’X au groupement conduit par ENIA Architectes. Surface : 24 000 m². Budget : 130 M€. Livraison : 2029. Communiqué. À l’issue d’une consultation, l’École polytechnique a désigné le groupement conduit par ENIA Architectes, en co-traitance avec l’Atelier Marc […] L’article À Polytechnique, restructuration de l’ensemble central de l’X par ENIA Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 150 jours

Bâtiment d’Enseignements Mutualisés, École Polytechnique

Le Bâtiment d’Enseignements Mutualisés (BEM) du quartier ouest de l’École Polytechnique sur le campus Paris-Saclay était ...More about Cet article Bâtiment d’Enseignements Mutualisés, École Polytechnique est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 1 ans et 159 jours

Inauguration du Bâtiment d’Enseignement Mutualisé (BEM) de Paris-Saclay

Fruit d’un projet ambitieux et collectif, le Bâtiment d’Enseignement Mutualisé (BEM) permet d’accueillir les enseignements de 7 Écoles d’ingénieurs : l’École polytechnique, AgroParisTech, l’Institut Mines-Télécom (IMT), ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, et de l’Institut d’Optique Graduate School.
Il y a 1 ans et 164 jours

JO-2024 : Nicolas Ferrand, le bâtisseur "habité" des ouvrages olympiques

Il n'a pas souvent occupé le devant de la scène. Et pourtant. A 51 ans, Nicolas Ferrand, ingénieur "habité" et "passionné" passé par l'Ecole polytechnique et le MIT de Boston, a orchestré un défi que beaucoup pensaient impossible : livrer dans les temps les ouvrages pour les JO de Paris.
Il y a 1 ans et 224 jours

Campus de Saclay, Le Central, une théorie d’architectes pour une démarche bas carbone

Dans le cadre du projet Campus urbain Paris-Saclay, la ZAC du quartier de l’École Polytechnique de Palaiseau (Essonne) va accueillir Le Central dès 2026. Les architectes du programme sont : Baumschlager Eberle Architekten, Nunc Architectes, Hardel Le Bihan Architectes, Martin Duplantier Architectes, Barrault Pressaco et Anne Demians. Communiqué du maître d’ouvrage. Le Central est un programme immobilier ambitieux, […] L’article Campus de Saclay, Le Central, une théorie d’architectes pour une démarche bas carbone est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 226 jours

Nomination de Nicolas Naville, nouveau directeur de domaine d'action stratégique recherche du CSTB

© Claire-Lise HavetÉtienne Crépon, président du CSTB, confie la direction du Domaine d’Action Stratégique « Rénovation, fiabilisation de l’acte de construire, innovation » à Nicolas Naville. La programmation Recherche du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) est organisée autour de quatre domaines d’action stratégiques. L’un d’entre eux est consacré à la rénovation, la fiabilisation de l’acte de construire et l’innovation. Il est désormais dirigé par Nicolas Naville, arrivé au CSTB en 2018. Nicolas Naville : parcours & expertise Diplômé de l’École Polytechnique en 2008, Nicolas Naville poursuit son cursus supérieur à l’École nationale des ponts et chaussées (ENPC). En 2010, il intègre le programme italien du MBA Collège des Ingénieurs à la Scuola di alta formazione al management, à Turin, en Italie. De retour en France, il rejoint le ministère du Logement en 2011, en tant qu’adjoint, puis chef du bureau des grandes opérations d’urbanisme. En 2015, il est nommé chef de projet au sein de l’Établissement Public d’Aménagement Écovallée - Plaine du Var, avant d’intégrer le CSTB en 2018. Chargé de mission outils numériques pour les aménageurs et les collectivités, il dresse un état des lieux des perspectives liées au déploiement de ces outils à l’échelle urbaine et, sur cette base, participe à la redéfinition du positionnement du Centre en matière de Recherche et d’Expertise sur le sujet. Il contribue également à des projets de recherche partenariale autour de l’utilisation du BIM pour l’exploitation des bâtiments et les simulations énergétiques. Cette expertise, en particulier appliquée aux activités de Recherche, l’amène aujourd’hui à se voir confier la direction du Domaine d’Action Stratégique « Rénovation, fiabilisation de l’acte de construire, innovation », l’une des quatre feuilles de route de la Recherche du CSTB. Le Domaine d’Action Stratégique « Rénovation, fiabilisation de l’acte de construire, innovation » : missions & organisation Le CSTB a organisé sa programmation Recherche autour de quatre Domaines d’Action Stratégiques prioritaires. Le domaine désormais piloté par Nicolas Naville a pour objectif de proposer une approche transverse de la rénovation, la fiabilisation de l’acte de construire et l’innovation, démarches indispensables pour maintenir un bon niveau de qualité, de sécurité et de durabilité des constructions, tout en répondant aux objectifs de neutralité carbone et de réduction des consommations énergétiques. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Nicolas Naville a notamment pour missions : la définition de la feuille de route stratégique du CSTB pour le domaine « Rénovation, fiabilisation de l’acte de construire, innovation » et le suivi de sa mise en œuvre ; la définition et le pilotage de la stratégie partenariale dédiée, ainsi que la coordination des échanges associés ; l’animation de la communauté de chercheurs et d’ingénieurs en lien avec la feuille de route. En savoir plus : Communiqué de presse : nomination de Nicolas Naville
Il y a 2 ans et 119 jours

Henry Lossier : Un ingénieur suisse sorti de l’ombre

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. En 1912, Henry Lossier quitte Armand Considère et s’établit comme ingénieur conseil à son nom. Il se spécialise dans les structures en béton. [©DR] Henry Lossier (1878-1962) suit les cours de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich, dont il sort major de promotion en 1901. Sept ans plus tard, il s’associe avec l’ingénieur français Armand Considère pour travailler dans son bureau d’études. Il y développe les applications du béton armé. Ensemble, en 1908-1909, ils conçoivent notamment trois ponts en arc pour la ligne de tramway des Alpes-Maritimes vers Saint-Martin-Vésubie, à partir de Levens-Vésubie. Puis, le pont du tramway à Saint-Jean-la-Rivière (50). En 1912, Henry Lossier quitte Armand Considère et s’établit comme ingénieur conseil à son nom. Il se spécialise dans les structures en béton. Lire aussi : Armand Considère : Pionnier du béton, en mal de reconnaissance Comme ingénieur conseil Pont du Martinet à Lantosque, conçu par le bureau d’études d’Armand Considère et Henry Lossier. [©DR]Pont du tramway à Saint-Jean-la-Rivière, conçu par le bureau d’études d’Armand Considère et Henry Lossier. [©DR] Et la Première Guerre mondiale éclate. Henri Lossier s’engage en 1914, il est blessé en 1916. En 1917, il réalise les plans du hangar à dirigeables d’Ecausseville (50), appliquant le procédé constructif développé par François Hennebique. Ce hangar s’inscrit dans un rectangle de 150 m x 24 m, soit une surface au sol de 3 600 m2. En forme de voûte en plein cintre de 12 m de rayon, le bâtiment culmine à 32,50 m. Il est le troisième plus important ouvrage en béton armé du début du XXe siècle. Par la suite, l’ingénieur français Paul Séjourné prévoit la construction d’un pont routier au-dessus des voies ferrées à 2 km au Sud de Randan (63). Il y associe Henry Lossier, qui fait l’étude de ce pont en forme de poutre Vierendeel, de hauteur constante et à deux travées de 23 m et 17,80 m. Par la suite, il conçoit les cinq hangars aéronautiques de l’aéroport de Paris-Le Bourget, réalisés en 1921-1922. Ils sont agrandis en 1932. Endommagés en 1944, ils sont reconstruits à l’identique. Lire aussi : Le dernier hangar à dirigeables En 1921, la Compagnie de chemin de fer du Midi lui confie l’étude du pont de Castelnaudary (11) pour franchir ses voies sans appui intermédiaire. Le pont en arc sous-tendu de type bow-string est réalisé par l’entreprise Mallet en 1921-1922. Il a une portée de 41,40 m. Puis, il fait les plans du silo à céréales de la gare d’Arenc (13), comprenant 96 cellules de 100 t, réalisé entre février 1926 et août 1927. Lire aussi : Villa Hennebique : Le manifeste du béton armé Mise au point de la “précontrainte réglable” En 1917, il réalise les plans du hangar à dirigeables d’Ecausseville (50), appliquant le procédé constructif développé par François Hennebique. [©AAHDE] En 1927, il dessine le pont Louis-Saint ou pont de Souk-el-Arba, sur l’oued Mellègue, à Jendouba, en Tunisie. C’est un pont bow-string de 92 m qui détient alors le record du monde de portée pour ce type d’ouvrages. En 1930, associé avec les Établissements Fourré et Rhodes, il présente un projet d’autostrade entre la porte Maillot et la porte de Vincennes, à Paris. En 1935-1937, il conçoit le pont de Pouilly-sous-Charlieu (42), qui comprend trois arches de 63 m de portée. Il remporte en 1935 le marché de reconstruction du pont de Villeneuve-Saint-Georges (94). En 1937, associé avec l’architecte Georges Wybo, il réalise les plans du pont Cornudet, pour franchir l’Oise entre Neuville-sur-Oise et Jouy-le-Moutier (95). Ce dernier est inauguré le 2 juillet 1939. Le 9 juin 1940, il est dynamité par le Génie français. Après les premiers brevets d’Eugène Freyssinet sur la précontrainte, Henri Lossier va mettre au point ce qu’il a appelé la “précontrainte réglable”, système proche de ce qui a été plus tard appelé la “précontrainte extérieure”. Le second pont de Villeneuve-le-Roi/Villeneuve-Saint-Georges en voit la première application, en 1948-1950. En 1950, il étudie le pont de Saint-Julien-sur-Garonne, permettant de franchir la Garonne en une seule arche de 101 m. Henri Lossier est aussi l’auteur de très nombreuses publications techniques de référence en France, dont certaines ont été traduites. M. C. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 135 jours

Jean-Charles Colas-Roy est nommé Vice-Président de l'association Coénove

Cette nomination s'inscrit dans une stratégie de renforcement de la gouvernance de l'association et de mobilisation en faveur d'un mix énergétique pluriel et diversifié où l'énergie gaz, à terme renouvelable, doit prendre toute sa place pour l'atteinte de la neutralité carbone dans le bâtiment. Jean-Charles COLAS-ROY est ingénieur, doublement diplômé de l'Institut polytechnique de Grenoble (PHELMA 2002 puis ENSE3 2003). En 2004, il co-fonde la société H3C-énergies qui accompagne ses clients dans l'optimisation de leurs consommations énergétiques.Il s'engage parallèlement en politique et il devient conseiller municipal de la commune de Saint-Martin-d'Hères en 2016.En 2017, il est élu député de la 2ème circonscription de l'Isère.À l'Assemblée nationale, il siège au sein de la Commission du Développement Durable et de l'Aménagement du Territoire, pour laquelle il a été le rapporteur du projet de loi mettant fin à la recherche et à l'exploitation des hydrocarbures en France. Spécialiste de la transition énergétique, il occupe diverses fonctions :Co-Président du groupe d'études « Énergies vertes ».Vice-Président du groupe d'études « Enjeux économiques de la filière industrielle énergétique ».Whip (Coordinateur) des députés LREM de la Commission DDAT.En 2022, dans le cadre de la campagne présidentielle d'Emmanuel MACRON, il est nommé relais programmatique « transition écologique » du Président-Candidat.De 2017 à 2022, Jean-Charles COLAS-ROY est membre du Conseil d'Administration de l'Agence de la transition écologique (Ademe).Bernard AULAGNE, Président de Coénove : « Nous sommes heureux et fiers d'accueillir Jean-Charles COLAS-ROY comme Vice-Président de l'association Coénove. Son implication de longue date sur les questions liées à l'environnement et à l'énergie constitue une valeur ajoutée indéniable pour Coénove afin d' asseoir encore notre expertise et poursuivre nos actions en faveur de la reconnaissance du gaz renouvelable dans le bâtiment comme réponse aux enjeux de souveraineté nationale, de flexibilité du système électrique et de pouvoir d'achat. »Jean-Charles COLAS-ROY, Vice-Président de Coénove : « Je suis très honoré de rejoindre l'association Coénove et d'œuvrer au service de l'efficacité énergétique dans le bâtiment. En s'appuyant sur la baisse des consommations, la complémentarité des énergies et le gaz, de plus en plus renouvelable, nous parviendrons à accélérer la décarbonation et à améliorer la résilience de notre système énergétique français et européen. »
Il y a 2 ans et 143 jours

Supervan nomme Salomé Halioua au poste de Directrice des Opérations

Depuis le lancement de son activité de transport et livraison express de produits lourds et volumineux, Supervan ne cesse d’innover et de développer de nouveaux services. De la livraison via un véhicule utilitaire léger à la livraison par poids lourd (Service XXL), en passant par le développement de sa marketplace de matériaux de chantier (Plateforme Breek), la startup oeuvre en continu pour le futur de la logistique. Supervan compte aujourd’hui près de 40 collaborateurs et plus de 500 chauffeurs partenaires. Salomé Halioua, le nouveau visage des Opérations chez SupervanDiplômée de l’école d’ingénieures EPF (École Polytechnique Féminine) à Cachan, Salomé commence sa carrière à Orléans en 2016 chez Amazon, au poste de Manager de Production. Elle y gère les équipes logistiques et leur fonctionnement au sein d’un entrepôt pendant plus de deux ans. Cette expérience lui offre l’opportunité de gérer le lancement du service transport d'un nouvel entrepôt Amazon en région parisienne. Lors de cette expérience, elle manage près de 150 collaborateurs (équipes 24/24 et 7j/7) et les flux de transport quotidiens de plus de 200 camions.En 2020, elle rejoint le siège d’Amazon à Paris et l’équipe Sales & Operations Planning où elle se spécialise dans l’analyse de données et la planification afin d’effectuer des prévisions et d’optimiser les flux de livraison sur le dernier kilomètre. L’année suivante, Salomé intègre la division européenne d’AVS (Amazon Vendor Services). Elle est notamment chargée d’évaluer et d’optimiser l’efficacité de la chaîne d’approvisionnement pour un portefeuille de fournisseurs de renom (L’Oréal, Revlon, Reckitt ou encore PRH), et d’établir des plans d’actions pour les aider à optimiser leurs processus logistique avec Amazon.En rejoignant les équipes de Supervan, Salomé Halioua aura notamment pour mission de gérer et de renforcer les effectifs de l’équipe des opérations, qui compte aujourd’hui 15 collaborateurs. En tant que Directrice des Opérations, ses objectifs seront de garantir une expérience client et chauffeur irréprochables, et de s’assurer de l’optimisation des différents processus internes et flux de livraisons (sécurité, délais…). « Aux Opérations, nous sommes toujours au cœur de l’action. Nous faisons le lien entre les chauffeurs et les différents besoins de nos clients, et nous construisons avec tous nos interlocuteurs une relation de confiance, à la fois durable et bienveillante. Garants d’une expérience opérationnelle irréprochable, nous tenons à offrir un service sans accroc à nos clients. Je me réjouis de rejoindre cette startup en pleine croissance, et de mettre mon expertise au service de son développement. », souligne Salomé Halioua, Directrice des Opérations chez Supervan. « Nous sommes plus que ravis de pouvoir compter Salomé au sein de nos équipes. Son expertise et son expérience sont très précieuses pour la croissance de Supervan, et vont nous permettre de nous rapprocher considérablement des besoins de nos clients. Ce recrutement stratégique représente le passage d’un nouveau cap pour nous, et nous avons hâte de voir l’équipe des Opérations grandir sous sa direction. », déclare Guillaume Fournier, Fondateur et CEO de Supervan.
Il y a 2 ans et 150 jours

Paris-Saclay choisit le projet de JAQ pour le groupe scolaire du quartier polytechnique

LAURÉAT. L'Etablissement public d'aménagement du plateau de Saclay, au sud de Paris, a choisit un groupement mené par JAQ pour construire le groupe scolaire du quartier de l'Ecole polytechnique. Il se distingue par ses matériaux largement biosourcés et sa cour végétalisée.
Il y a 2 ans et 164 jours

Le CSTB crée la direction Économie et Ressources, confiée à Sylvain Laurenceau

La direction opérationnelle Économie et Ressources Le secteur de la construction doit répondre à de nouveaux enjeux : accélération des dynamiques pour limiter les impacts environnementaux et développer l’économie circulaire, sécurisation des approvisionnements, besoin de création de valeur locale...Le CSTB crée une entité dédiée à ces défis : la direction Économie et Ressources. Fondée sur une approche systémique, cette nouvelle direction concentre son activité sur deux fondamentaux qui sous-tendent les différentes mutations en cours du secteur de la construction : la disponibilité de ressources permettant d’alimenter l’activité, et l’existence de modèles économiques pérennes.Elle assoit son expertise sur l'analyse et l'accompagnement des solutions constructives liées à l'économie circulaire, l'analyse des modèles économiques, les dynamiques de parc et la prospective, ainsi que le développement de méthodes et outils pour accompagner les acteurs dans la prise en compte de ces nouvelles pratiques.S’appuyant sur une dominante Recherche et Expertise, la direction Économie et Ressources intègre une équipe de près de 30 chercheurs, ingénieurs et économistes. En synergie avec la plupart des autres directions du CSTB, ils travailleront sur les 3 échelles :Produits : intégration des matières recyclées, réemploi, traitement des déchets, accompagnement à l’innovation, caractérisation de l’écoconception, etc.Bâtiments : optimisation de l’analyse en coût global, analyse des externalités, anticipation des différents usages tout au long de la vie de l’ouvrage, conception des bâtiments en banques de matière, outils d’analyse de la circularité, etc.Territoires : analyse des flux de matières, analyse de la structuration des filières, dont les filières émergentes, dynamiques de parc, analyse prospective, accompagnement des politiques publiques, optimisation de l’équilibre entre tensions locales et globales et répartition de la valeur, etc.Ainsi organisée, la direction Economie et Ressources entend accompagner l’ensemble des acteurs, entreprises et maîtres d’ouvrages, industriels et institutionnels, mais aussi les pouvoirs publics, pour leur permettre de répondre au mieux aux enjeux de préservation des ressources et d’une économie circulaire, pérenne et vertueuse.Une nouvelle direction pilotée par Sylvain LaurenceauIngénieur économiste, Sylvain Laurenceau est diplômé de l’École Polytechnique et de la London School of Economics.Il débute sa carrière à Londres, en 2007, où il travaille sur le développement local, avant de rejoindre le CSTB en 2009. Au sein de la direction Économie et Sciences Humaines, il est en charge de l’analyse et de l’évaluation de différents dispositifs publics de soutien au secteur du bâtiment.En 2015, il intègre la direction Energie-Environnement. En 2018, il coordonne l’élaboration d’une feuille de route du CSTB autour de l’économie circulaire, puis constitue en 2020 une équipe dédiée, toujours au sein de la direction Energie-Environnement.Fort de ce parcours et de cette expertise, il est aujourd’hui nommé Directeur opérationnel Économie et Ressources :« La création de la direction Économie et Ressources s’inscrit dans un contexte de mutations profondes auxquelles toute la filière est confrontée. Les travaux que nous mènerons, tant en termes de recherche, que d’expertise technique et d’accompagnement de l’innovation, viseront à répondre aux nouveaux besoins ainsi induits. Menés dans une approche transversale, ils contribueront également à irriguer une large partie des activités du CSTB, au service du secteur de la construction. » Sylvain Laurenceau – Directeur opérationnel Économie et Ressources - CSTB
Il y a 2 ans et 171 jours

Essonne : un nouveau groupe scolaire sera créé dans le quartier de l’École polytechnique à Palaiseau

L’établissement public d’aménagement Paris-Saclay va lancer la construction d’ un groupe scolaire à Palaiseau (Essonne) pour...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 186 jours

Michel Virlogeux, docteur honoris causa de l’Ecole polytechnique de Wroclaw

« Je suis honoré, car je ne suis qu’un concepteur de ponts et un ingénieur qui enseigne la conception et la construction », a déclaré Michel Virlogeux, lors de la cérémonie de remise du titre de docteur honoris causa de l’Ecole polytechnique de Wroclaw, en Pologne. [©PWr] Le titre de docteur honoris causa a été décerné à Michel Virlogeux par l’Ecole polytechnique de Wroclaw (PWr). C’est une reconnaissance pour celui qui a conçu des ouvrages exceptionnels en France et à l’international. A l’image du viaduc de Millau ou du pont Yavuz Sultan Selim, sur le Bosphore, en Turquie. D’ailleurs en Pologne, il est intervenu sur de nombreux ponts, notamment le viaduc le long de l’A1, à Milówka ou le pont routier, actuellement en construction sur l’Oder, à Kostrzyn. Depuis des années, il coopère avec la Faculté de génie civil de l’Ecole polytechnique de Wroclaw. Il est déjà venu à l’université deux fois en 2010 et en 2013, publiant des articles clefs lors de séminaires scientifiques et techniques. Lire aussi : Michel Virlogeux, quid de l’entretien des ponts après Gênes ? « Je suis honoré, car je ne suis qu’un concepteur de ponts. Ainsi qu’un ingénieur qui enseigne la conception et la construction, a déclaré Michel Virlogeux lors de la cérémonie. Créer et ériger des ponts est une partie spécifique de l’architecture. Mais très importante pour la qualité de vie dans la région où ils sont construits, ainsi que pour la communication et le transport dans nos communautés. » Retour sur son parcours En 1967, Michel Virlogeux est diplômé de l’Ecole polytechnique de Palaiseau, près de Paris. Et en 1970, de l’Ecole nationale des ponts et chaussées. Il obtient son doctorat en ingénierie de l’université Pierre et Marie Curie, à Paris, en 1973. Et un doctorat honorifique de l’université de Loughborough (Royaume-Uni), en 2009. De 1970 à 1973, il se rend en Tunisie pour participer à la construction du réseau routier. En janvier 1974, il entre au département du Service technique d’études des routes et autoroutes (Setra). Ceci, dans la direction de la conception des ponts en béton. En 1980, il devient chef de division responsable des ponts et, en 1987, de la division des ponts en acier et béton. Pendant vingt ans, il concevra plus de 100 ponts, y compris le Pont de Normandie. En 1995, il quitte l’administration française et assure les fonctions d’ingénieur conseil indépendant. Dans ses réalisations principales, on doit noter sa participation à la construction de la seconde traversée du pont sur le Tage (pont Vasco de Gama), à Lisbonne. Avec Norman Foster, la conception du viaduc de Millau en France, et son travail sur le double viaduc TGV d’Avignon. De nombreux ouvrages auxquels il a collaboré ont reçu des récompenses françaises ou internationales. Les travaux de Michel Virlogeux ont contribué aux directives françaises de conception des ponts en béton précontraint et des ponts à haubans. Qui sont utilisées par les ingénieurs du monde entier. Actuellement, il travaille comme expert indépendant dans le domaine de l’ingénierie des ponts, à travers le monde.
Il y a 2 ans et 194 jours

Ivry Serres, architecte - Portrait

Ivry Serres est diplômé en 2000, après avoir étudié à l'Ensa de Marseille puis à Ecole polytechnique fédérale de Lausanne. Lauréat des Nouveaux Albums des jeunes architectes (2004), Ivry Serres est coauteur libéral de 2001 à 2005 du chalet d'Abriès nommé au prix de la Première […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 206 jours

LVMH va pouvoir installer son centre de recherche à côté de Polytechnique à Saclay

Le conseil d'administration de Polytechnique a validé par 19 voix pour, 4 contre et une abstention la vente d'un terrain voisin de son école à LVMH."Le partenariat stratégique doit être finalisé avant la fin de l'année", a précisé Eric Labaye, président de l'École Polytechnique et de l'Institut Polytechnique de Paris lors d'une visioconférence à l'issue du conseil d'administration.Le projet, baptisé LVMH Gaia, regroupera à terme 300 chercheurs sur une surface de 22.500 m³, selon LVMH qui entend investir plus de 100 millions d'euros dans le futur bâtiment.Le centre de recherche dédié au "luxe durable et digital" du groupe de Bernard Arnault, lui-même polytechnicien, prévoit d'investir 2 millions d'euros par an pendant 5 ans sur des partenariats de recherche avec Polytechnique, surnommée l'X.Le terrain, situé au sein du parc d'innovation de l'Institut Polytechnique de Paris (qui regroupe cinq écoles dont l'Ecole Polytechnique) appartient à l'établissement public d'aménagement de Paris-Saclay (EPAPS). La parcelle choisie par LVMH étant voisine de l'école d'ingénieurs, cette dernière avait un veto jusque 2025.Depuis son annonce officielle cet été, plusieurs élèves et anciens élèves de Polytechnique ont exprimé leur opposition au projet, notamment au travers d'un collectif appelé "Polytechnique n'est pas à vendre!". Ce dernier demande que le bâtiment de LVMH soit construit à l'extérieur du campus et que les terrains de la zone nord-est du campus, dont la parcelle convoitée par LVMH, soit réaffectés à l'usage de l'Institut Polytechnique de Paris. Une tribune publiée dans Le Monde début septembre signée par 73 anciens élèves évoquait un "projet délétère", qui "travaille sur des problèmes techniques éloignés des thématiques de recherche de l'école: remplacement des plastiques par des alternatives plus écologiques dans des emballages de parfum, développement d'algorithmes de recommandation plus performants pour accroître la quantité de produits vendus, etc"."On sait que les élèves sont partagés"Les signataires accusaient le groupe de Bernard Arnault de vouloir "cimenter une respectabilité factice sur la question environnementale et sécuriser un accès privilégié aux élèves du campus, tandis que les retombées du côté de l'école seraient extrêmement maigres, tant sur le plan financier que scientifique".Matthieu Lequesne, porte-parole de "Polytechnique n'est pas à vendre!", estime auprès de l'AFP que quatre votes contre et une abstention dans un conseil d'administration "qui vote toujours de manière unanime" est un signe fort d'opposition. "La dernière fois qu'il y a eu autant d'opposition, c'était en 2016", selon lui. Et "ce n'est pas la fin de la mobilisation", assure-t-il, "les usagers du campus sont en majorité contre ce projet"."On sait que les élèves sont partagés sur cette question", a reconnu Eric Labaye. Lors du vote, un des représentants des élèves "a voté pour et un contre"."Ces coopérations public/privé existent dans le monde entier dans les grandes universités", ajoute le président de Polytechnique qui souligne que "les enseignants-chercheurs soutiennent" le projet.Rien ne certifie cependant que LVMH acquerra le terrain, selon Matthieu Lequesne. Le directeur de la stratégie du groupe de luxe, Jean-Baptiste Voisin, a laissé planer le doute lundi dans Les Echos.Si le conseil d'administration de Polytechnique ne s'oppose pas à l'achat du terrain par LVMH, "nous aurons l'opportunité de l'acheter, mais ce n'est pas dit qu'on le fasse. Ce n'est qu'une option d'implantation parmi beaucoup d'autres en région parisienne, et nous les étudions toutes", a ainsi déclaré M. Voisin, également secrétaire général de l'association des anciens de Polytechnique.Le projet est "complètement transposable", selon lui, "vous le prenez par hélicoptère, vous le déposez où vous voulez".En janvier, le groupe TotalEnergies avait renoncé à implanter son nouveau pôle de Recherche et Développement sur un terrain situé également à proximité de l'école Polytechnique après la mobilisation de professeurs et d'élèves opposés au projet.
Il y a 2 ans et 213 jours

Et les prix de la 6e édition des Trophées Excellence sont…

Créée en 1994, la fondation d’entreprise Excellence SMA est engagée dans la prévention des risques et des pathologies. Elle agit aussi, auprès de l’ensemble des acteurs de la construction, pour la promotion et le développement de la qualité et de la sécurité. C’est dans ce cadre qu’elle a lancé la 6e édition de ses Trophées Excellence. Pour son édition 2022, les prix ont été remis, en octobre dernier, à l’occasion du salon Batimat. Des entreprises et des artisans du BTP utilisant des solutions facilitant la prévention des désordres, la préservation de l’environnement, la qualité d’exécution, ou encore la sécurité sur les routes et les chantiers ont été mis à l’honneur devant un parterre de professionnels. La fondation Excellence SMA soutenant l’innovation dans les travaux de recherche a aussi remis ses trophées à des étudiants. Elle a ainsi récompensé des thèses et des mémoires de fin d’études supérieures. Mettant en avant des solutions concrètes et pérennes pour améliorer la qualité des constructions neuves ou en réparation. Ces trophées démontrent, une nouvelle fois, la mobilisation de SMABTP en faveur de la qualité de la construction en France Les lauréats des Trophées “Thèses” Les lauréats des Trophées “Thèses”, en présence des membres du jury, de Didier Ridoret, président de la Fondation Excellence SMA, et de Pierre Esparbes, directeur général du groupe SMA. [©D. Eskenazi] Les Trophées “Thèses”récompensent des étudiants de l’enseignement supérieur ayant réalisé un mémoire de fin d’études ou une thèse sur la prévention des pathologies ou l’utilisation de techniques innovantes pour la préservation de l’environnement. Ces thèses constituent pour les assureurs de la construction une source documentaire technique précieuse portant sur la compréhension de l’origine des dommages ou encore l’utilisation de techniques innovantes Premier prix : Sara Al Haj Sleiman, de Centrale Nantes, pour sa thèse sur les protocoles de qualification des bétons exposés au gel/dégel. 2e prix : Øyvind Mortveit Ellingsen, de Polytechnique Paris, pour ses travaux sur les effets d’excitation des structures cylindriques par les tourbillons alternés. 3e prix : Ismail Alj, de Paris Est Sup, pour sa thèse sur la durabilité des capteurs à fibre optique. Les lauréats des 6e Trophées Excellence Les lauréats des Trophées Excellence, lors de la cérémonie de remise des récompenses sur le salon Batimat. [©D. Eskenazi] Les 6e Trophées Excellence récompensent les entreprises et les artisans du BTP innovant en matière de prévention et de qualité. Catégorie “Prévention et Sécurité” Entreprise Jacques Zamora à Bayonne (64) pour les actions exemplaires de prévention des accidents mises en place par ce spécialiste de la maçonnerie et de la taille de pierre.Socovatp (85) pour une innovation réalisée en partenariat avec l’entreprise Paviot Equipement permettant de gagner du temps sur les chantiers d’assainissement. La Financière – Le Bâtiment associé (51) pour ses actions en faveur de la prévention routière.Entreprise Roger Martin (21) pour l’élaboration d’une base GPS alimentée par énergie solaire pour le secteur des travaux publics. Catégorie “RSE”  La Fenêtrière (94), entreprise de menuiserie engagée dans une démarche RSE impliquant circuits courts, économie circulaire et recyclage. Batinor (62) pour un chantier exemplaire utilisant les matériaux biosourcés en rénovation pour les bailleurs sociaux. Prix spécial Eiffage Infrastructures Gestion et Développement (78) pour son robot collaboratif transporteur de charges.
Il y a 2 ans et 271 jours

Jean-Christophe Barbant : Double fonction à l’AIMCC

Jean-Christophe Barbant est le responsable des affaires publiques de l’AIMCC et délégué du CSF IPC. [¢AIMCC] Jean-Christophe Barbant a été nommé directeur des affaires publiques de l’AIMCC et délégué du CSF IPC. Fondée en 1971, l’Association française des industries des produits de construction (AIMCC) met en avant les avis des adhérents et leur rôle économique dans la construction. En tant que directeur des affaires publiques, il s’attardera sur les enjeux des industries de la construction. De plus, il animera le comité stratégique de la filière Industrie (CSF IPC) en tant que délégué, pour valoriser des activités des industries auprès des pouvoirs publics. Son parcours « J’aurai deux missions liées l’une à l’autre. Comme directeur des affaires publiques, je vais valoriser les activités des industries des produits de la construction auprès des pouvoirs publics. Et représenter leurs intérêts. Comme délégué du CSF IPC,  j’animerai les activités de l’ensemble de la filière, notamment d’un point de vue des nouveaux enjeux environnementaux », explique Jean-Christophe Barbant. Ancien élève de Polytechnique et ingénieur des Mines, Jean-Christophe Barbant a débuté sa carrière dans la fonction publique, au sein des ministères de l’Industrie et de l’Equipement. Il a aussi occupé à l’international plusieurs postes de développement d’activités industrielles, de stratégie et de direction générale. Kelly Joseph-Louisy
Il y a 2 ans et 312 jours

Résultat du Palmarès des jeunes urbanistes 2022

Créé en 2005, le Palmarès des jeunes urbanistes est un prix décerné tous les deux ans qui récompense les jeunes talents pour le caractère exemplaire et novateur de leur démarche et de leurs pratiques professionnelles. Il vise à accompagner et mettre en avant les générations montantes de praticiens, et à soutenir de nouvelles modalités d’action dans la conception et la fabrique de la ville et des territoires.Cette année, poursuivant la démarche initiée en 2020, le palmarès prévoit que les lauréats organisent des rencontres in situ, dans leurs territoires de projets, avec l’appui de la DGALN, pour donner à voir leurs actions et questionner les pratiques avec les urgences sociétales et climatiques.Ce palmarès traduit la diversité des profils des jeunes professionnels de l’urbanisme, souvent constitués en équipes ou collectifs. BELVEDERE se distingue par son engagement à décrypter et mobiliser les données territoriales au service de la décision et de l’action politique, dans différentes situations et d’échelles. COMMUNE, équipe d’architectes et philosophes, renouvelle l’approche du projet architectural, urbain et rural par le dessin sensible comme outil de médiation et de conception. LA TRAVERSE, jeune collectif, pose les bases d’une « transition écologique juste et radicale » par ses pratiques d’immersion, de valorisation de l’existant et d’implication des citoyens. LES MARNEURS accompagnent les territoires exposés à des risques climatiques, en proposant de nouvelles formes d’adaptation et de recomposition d’espaces vulnérables.BelvédèreBelvédère est une agence de programmation urbaine et de stratégie territoriale, qui intervient sur des projets d’échelles et de thématiques variées. S’appuyant sur une analyse fine des données disponibles, elle éclaire les besoins et les potentiels en matière d’habitat, d’économie, de commerces et d’équipements, en s’attachant à penser conjointement programmation et stratégie. Elle se nourrit de prospectives à l’amont en s’appliquant, à l’aval, à considérer les modalités concrètes de mise en œuvre des projets et de gestion des espaces urbanisés. Elle se revendique ainsi d’un certain urbanisme tactique, capable, par le choix partagé d’un ensemble d’objectifs et de moyens, d’inscrire un projet en résonance avec une trajectoire vertueuse des territoires.Les MarneursLes Marneurs est une agence d’architecture, de paysage et d’urbanisme cofondée en 2016 par trois associés, architectes et paysagistes. Basée à Paris et Bruxelles, l'agence intervient sur un spectre large de projets depuis la maîtrise d’œuvre architecturale jusqu’à des études prospectives urbaines et territoriales. L’agence travaille particulièrement sur les problématiques littorales liées au risque de submersion marine et d’inondation, l’une de leur spécialité, en s’appuyant sur ce défi pour faire émerger de nouveaux récits et de nouveaux modes de gestion ou de mise en œuvre des projets.CommuneCommune est une agence d’architecture fondée à Lyon en 2019. Les sept associés, tous architectes sont aussi pour certains philosophes, docteurs, gérants d’une librairie spécialisée, enseignants. Cette mise en commun fonde le socle de l’agence, à la croisée de la recherche et du projet, de la théorie et de la pratique. Quelle que soit la nature du projet, de maitrise d’œuvre architecturale, d’études urbaines ou d’analyse de territoires ruraux, l’agence mobilise les habitants, les usagers, le « déjà-là » pour ancrer les propositions dans une réalité des pratiques locales. Le travail en résidence, et le dessin sensible au service du projet sont revendiqués comme les dispositifs fondateurs de leur action, dans une logique de communication, de médiation, et d’acculturation croisée.La traverseCréée à Poitiers en 2019, La Traverse se définit comme une structure d'appui aux dynamiques de transition écologique et sociale dans les territoires. Collectif de 10 personnes engagé dans l’accompagnement des territoires ruraux « résilients », il questionne tant le cœur de la pratique de l’urbanisme que les manières de travailler et l’économie qui en découle. Sa démarche d’immersion au long court, de valorisation des initiatives existantes, d’implication des citoyens, de formation des acteurs locaux cherche à poser les bases d’une « transition écologique juste et radicale » analysée comme nécessaire et urgente.Le Jury du Palmarès des jeunes urbanistes 2022Le PrésidentJean-Baptiste BUTLEN, Sous-directeur de l’aménagement durable à la DGALNLes membresÉtatCorinne LANGLOIS, Sous-directrice à l'architecture, à la qualité de la construction et du cadre de vie, Ministère de la Culture ;Jean-Baptiste MARIE, Directeur de POPSU et du GIP EPAU, PUCA ;Simon TEYSSOU, directeur de l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand.JournalistesMarie-Christine VATOV, Rédactrice en chef de la revue Traits UrbainsProfessionnels - Anciens PJUDelphine NEGRIER, Alphaville, (PJU 2007) ;Clément BOLLINGER, Caudex (PJU 2018) ;Nicolas DETRIE, Bataille, (PJU 2020).Autres professionnelsGuillaume HEBERT, Une fabrique de la ville ;Pascal AMPHOUX, Ecole Polytechnique de Lausanne ;Hugo REVEILLAC, président du Collectif National des Jeunes Urbanistes.
Il y a 2 ans et 340 jours

Podcast #14 – Les Pavin de Lafarge : De la monarchie à l’industrie

Article initialement publié en 2008 Ils sont deux frères. Deux frères qui ont choisi d’exploiter la carrière familiale plutôt que de suivre les usages de leur milieu social, ceux des propriétaire fonciers gérant leur patrimoine tout en profitant du bon temps. Léon Pavin de Lafarge1 a 26 ans en 1833. Alors que sa formation de polytechnicien lui ouvre de nombreuses perspectives, il choisit de prendre la direction de la carrière familiale acquise quelques années plus tôt par son aïeul. L’usine comporte deux fours. Léon décide d’en construire trois nouveaux plus hauts et plus productifs. La petite affaire familiale prend rapidement de l’essor. Léon use de ses relations, des anciens camarades de polytechnique devenus ingénieurs du Génie Maritime et des Ponts et Chaussées. La chaux de Lafarge est utilisée à la construction de ponts de la vallée du Rhône, est livrée dans les ports de Méditerranée… Léon Pavin de Lafarge. [©Lafarge] Décembre 1839. L’affaire marche bien lorsque Léon décide d’arrêter et de passer la main à son frère cadet, Edouard, un jeune autodidacte au sens inné des affaires. Un abandon de courte durée puisque Edouard et Léon s’associent en 1848 pour créer la Société de Lafarge Frères. Acquisitions de carrières, création d’antennes, ouvertures d’agences en France… En 1864, la réputation de la chaux de Lafarge traverse le bassin méditerranéen et les frères Pavin fournissent 110 000 t de chaux pour le canal de Suez. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 348 jours

Le CSTB créé une nouvelle Direction dédiée à l’Eau, confiée à Maxime Roger

Cette nouvelle Direction regroupe des activités transverses : Recherche & Développement, essais, évaluation et certification. Elle réunit pour cela des équipes spécialistes de la question, issues des anciennes directions Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration (CAPE) et Hydraulique et Équipements Sanitaires (HES), dans un objectif de synergies et de transversalité, pour adresser les nouveaux enjeux de la gestion durable de l’eau. Maxime Roger en est nommé Directeur opérationnel, par Etienne Crépon, Président du CSTB.Adresser l’ensemble des enjeux liés à la gestion durable de l’eau, dans le bâtimentEnviron 32 milliards de m3 d’eau douce sont prélevés chaque année pour le refroidissement des centrales électriques, l’alimentation des canaux, la production d’eau potable, les usages agricoles et industriels...* À l’échelle du bâtiment, des quartiers et des villes, cette consommation pose de nombreux défis, notamment :Environnementaux, avec la problématique centrale de la ressource en eau, en lien avec le dérèglement climatique et le stress hydrique associé ; Techniques, en particulier en lien avec l’état des équipements et des réseaux de canalisations, à renouveler et moderniser, dans une dynamique d’adaptation aux nouveaux usages (récupération, réemploi et recyclage...) ; Sanitaires, en lien avec une exigence de qualité centrale et continue.Travailler sur la question de la gestion durable de l’eau dans le bâtiment impose une prise en compte de l’ensemble de ces enjeux, mais aussi de tous les acteurs concernés, des fabricants et prescripteurs, aux usagers, en passant par les collectivités et les opérateurs immobiliers.C’est dans cet objectif qu’a été créée la Direction de l’Eau du CSTB.Organisation de la Direction de l’Eau du CSTBJusqu’à présent, deux directions du CSTB travaillaient sur l’eau : Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration et Hydraulique et Équipements Sanitaires, essentiellement dans le cadre d’activités de Recherche & Développement pour la première, et de certification pour la seconde.Ces équipes ont été réunies au sein de la nouvelle Direction de l’Eau, pour créer davantage de synergies et de transversalité dans les travaux et l’organisation des ressources et compétences, autour de l’eau, introduire plus de ressourcement scientifique et technique dans les prestations de certification et d’accompagnement de l’innovation, etc.La nouvelle Direction de l’Eau du CSTB est ainsi structurée pour : Adresser l’ensemble des problématiques actuelles et futures liées à la gestion durable de l’eau dans les bâtiments, connectés à leur environnement ;Dans le cadre d’une approche par besoins des acteurs, aux échelles produits, bâtiment et quartier, au service de l’intérêt général ;En fédérant l’ensemble des publics concernés, professionnels de la construction et institutionnels, déjà sensibilisés, mais aussi, plus largement acteurs de l’immobilier (propriétaires de bâtiments, exploitants, bailleurs sociaux...).La Direction de l’Eau est pour cela organisée autour de 4 divisions :Réseaux et ouvrages extérieurs, avec pour cible principale, les collectivités ;Réseaux et canalisations intérieurs, avec pour cibles principales, les constructeurs et installateurs ;Équipements Sanitaires du bâtiment, avec pour cible principale, les industriels ;Usages et nouveaux enjeux, avec pour cibles principales, les usagers, les propriétaires et les exploitants.Elle regroupe des activités de Recherche & Développement, d’essais, d’évaluation et de certification. Elle est pilotée par Maxime Roger.Maxime Roger, nommé Directeur opérationnel Eau au CSTBMaxime Roger, ingénieur diplômé de Polytechnique et de l’École des Ponts et Chaussées en 2008, rejoint le CSTB en 2009, en tant qu’ingénieur Études et Évaluation, d’abord responsable de l'équipe hygrothermique des ouvrages, puis du département Isolation et Revêtements.En 2015, il est nommé Directeur de l’établissement de Nantes du CSTB, et Directeur opérationnel Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration (CAPE).Il se voit aujourd’hui confier la nouvelle Direction de l’Eau, au CSTB, dans la création et l’organisation de laquelle il voit « une opportunité unique de répondre de manière transverse, efficiente et pérenne aux problématiques de gestion durable de l’eau dans le bâtiment, en fédérant l’ensemble des acteurs autour de cet enjeu crucial, d’intérêt public ».La Direction de l’Eau du CSTB sera présente sur le Carrefour des gestions locales de l’Eau, les 29 et 30 juin 2022, au Parc des Expositions de Rennes, stand 694, Hall 8.
Il y a 3 ans et 7 jours

Joseph Bertrand Vicat : Capitaine d’industrie

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine En 1853, Joseph Vicat se lance dans la fabrication industrielle du ciment artificiel, avec la création de la cimenterie Vicat du Genevrey. [©Vicat] 1853, vallée de la Gresse près de Grenoble, en Isère. Sous la conduite du jeune ingénieur Joseph Vicat, âgé de 32 ans, des ouvriers construisent à flanc de montagne de petits fours d’essai, en forme de biberons. Ce jeune ingénieur entreprend de cuire dans ces fours les calcaires argileux qu’il a analysés. Ceci, pour lancer la fabrication industrielle du ciment artificiel. Invention de son illustre père, Louis Vicat. En 1857, les résultats sont concluants. L’histoire du groupe Vicat commence… Mais qui était Joseph Vicat ? De brillantes études Joseph Bertrand Vicat naît le 1er décembre 1821, à Souillac (46). Après de brillantes études, il réussit le concours d’entrée à Polytechnique en 1841. Sorti officier d’artillerie un an plus tard, il débute par une carrière juridique après avoir obtenu sa licence de droit en 1846. Mais rapidement, sur les conseils de son père Louis Vicat, il s’établit à Champoléon (05), dans le Haut Champsaur où il exploite des mines de cuivre gris argentifère. Il en cède ensuite la concession pour se consacrer à aider Louis Vicat dans ses recherches autour du ciment artificiel. Ceci le conduit en 1853 à se lancer dans la fabrication industrielle du matériau avec la création de l’usine de Genevrey-de-Vif (38). C’est dans cette unité qu’il met au point, en 1857, la méthode dite “de double cuisson”, dont il est l’inventeur. Ce process industriel par voie sèche consiste à cuire comme un ciment naturel le calcaire argileux, puis à le moudre. Et enfin, à mélanger ce produit cuit avec du calcaire à forte teneur en carbonate de chaux pour obtenir le dosage voulu. L’approche permet la fabrication d’un ciment très homogène et très régulier. Jusque-là, selon les régions, les filons des carrières exploitées ou les types de fours, les ciments présentaient souvent des variations notables d’un sac à l’autre. Variations qui étaient le cauchemar des maçons… Désormais, le ciment Vicat leur garantit une qualité et une homogénéité constantes. Un esprit entrepreneurial Joseph Vicat a construit à flanc de montagne des petits fours d’essai, en forme de biberons, toujours debout à ce jour. [©Etienne Leroux-Wikipedia] Joseph Vicat a l’âme d’un créateur d’entreprise. En 1867, avec Alphonse Rallet, Marcelin Brotte et Napoléon Nayral, ses nouveaux associés, il transforme son entreprise en société en nom collectif Joseph Vicat et Cie. En 1868, il obtient la concession de l’usine d’Uriage-les-Bains (38) qu’il développe pour produire du ciment artificiel et dont il augmente le capital en 1873. Petite anecdote : Alphonse Rallet était un jeune et brillant industriel qui, dans les années 1850, créa une société de fabrication de parfums. Le célèbre n° 5 de Chanel est issu d’une formule élaborée par sa société… En 1875, après de nombreuses recherches, Joseph Vicat découvre un banc de “pierre à prompt” dans le massif de la Chartreuse, ensemble montagneux des Préalpes, à la limite des départements de l’Isère et de la Savoie. Il construit alors l’usine de La Pérelle (38) destinée à la fabrication du ciment prompt. Joseph Vicat veut ainsi diversifier ses fabrications. La source importante de profits qu’est le ciment prompt à cette époque lui permet de résister à la crise économique de 1882. Et de poursuivre ses travaux sur la fabrication du ciment artificiel. Joseph Vicat fut reconnu de son vivant comme l’un des grands industriels du Dauphiné, avec la préoccupation toujours présente du développement économique de sa région. Il fut même président de la Chambre de commerce et d’industrie de l’Isère. Joseph Vicat a eu deux filles. A la fin de sa vie, il se consacre à aider son gendre Maurice Merceron-Vicat à assurer la continuité de son œuvre. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 50 jours

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC. [©AFGC] Le 5 avril dernier, le conseil d’administration de l’AFGC a nommé Claude Le Quéré à la présidence de l’association. Ainsi, elle succède à Bruno Godart, en poste depuis 8 ans, qui a souhaité passer le relai. Avec ses nouvelles fonctions, Claude Le Quéré souhaite faire valoir les compétences des ingénieurs et des constructeurs français au niveau international. Ella a aussi pour ambition d’accroître la visibilité de l’AFGC auprès des jeunes. « Passionnée de génie civil et de belles structures, je regrette que le grand public et nos jeunes connaissent aussi peu la beauté de cet art et la variété des métiers qu’il permet d’exercer », témoigne Claude Le Quéré. Par ailleurs, l’AFGC a su traverser la crise et garder son ancrage territorial. Ainsi, rester proche des délégations régionales lui permet d’organiser chaque année de nombreuses manifestations. Cela contribue à créer une relation durable avec les membres et à nouer des contacts professionnels pérennes. Son parcours Ancienne élève de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole des ponts et chaussées, Claude Le Quéré a commencé sa carrière, en 2006, au Setra (aujourd’hui, le Cerema). Elle a ensuite rejoint Egis en 2010 où elle est actuellement directrice des ouvrages d’art. Membre de l’AFGC depuis le début de sa carrière, Claude Le Quéré a été tout d’abord élue au Conseil scientifique et technique. Puis, membre d’un groupe de travail, de la Délégation Ile-de-France. Et enfin, au conseil d’administration.
Il y a 3 ans et 70 jours

A Saclay, résidence sociale pour étudiants signée Dietrich-Untertrifaller

En mars 2022 ont été lancés les travaux d’une résidence sociale pour étudiants de 9 974 m² dessinée Dietrich-Untertrifaller. Le projet, situé au sein du quartier de l’Ecole polytechnique du Campus urbain de Paris-Saclay, compte 312 logements répartis en six bâtiments. Maître d’ouvrage : CDC Habitat. Livraison prévue : 2024. Communiqué de l’aménageur. L’EPA Paris-Saclay signe […] L’article A Saclay, résidence sociale pour étudiants signée Dietrich-Untertrifaller est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 115 jours

Olivier Guise rejoint Ecocem pour une mission inédite

Olivier Guise devient le premier directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités d’Ecocem. [©Ecocem] Depuis de nombreuses années, Ecocem propose des solutions cimentaires à faible émission de carbone. Afin d’encadrer son développement et ses ambitions, Ecocem a créé un nouveau poste, celui de directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités. Et c’est Olivier Guise qui se voit confier cette mission. Avec, à ses côtés, l’ensemble de l’équipe de direction du groupe, Olivier Guise aura pour objectif d’accroître le développement d’Ecocem et de mettre en œuvre la stratégie du groupe, en accélérant le déploiement de sa technologie. A son arrivée, Olivier Guise déclare : « Après avoir observé la croissance d’Ecocem, c’est passionnant de rejoindre l’entreprise pour contribuer à l’élaboration et à la réalisation de sa stratégie ». Et Donal O’Riain, Pd, de poursuivre : « Nous continuons à croître et à évoluer. L’arrivée d’Oliver à bord nous apportera un soutien et un leadership précieux pour atteindre notre plein potentiel ». Le parcours d’Olivier Guise Cette nomination fait suite à d’autres recrutements, tels que ceux de Pat Cox en tant que président du conseil d’administration, de Paul Ross en qualité de directeur général d’Ecocem pour le Benelux. Et enfin, de Joris Schoon, au poste de développeur technique de la région Benelux. Diplômé de Polytechnique en 2005, Olivier Guise débute sa carrière au sein du groupe LafargeHolcim en tant que responsable des ventes. Il occupe successivement différents postes alliant innovation, technologie et management. D’abord en tant que directeur du développement et directeur de l’innovation et de la distribution de Lafarge Algérie. Puis, directeur général de l’activité granulats dans le Sud de la France. En 2015, il est nommé directeur général de l’activité ciment pour la France. Et intègre le comité exécutif de LafargeHolcim France jusqu’en 2021.
Il y a 3 ans et 116 jours

L’École polytechnique publie son Plan climat et met le développement durable au cœur de ses missions et de son campus

La publication du Plan climat de l’École polytechnique accentue son engagement pour contribuer à bâtir un monde plus soutenable. Elle affirme son ambition d’intégrer pleinement la transition écologique dans l’ensemble de ses missions de formation, de recherche, d’innovation et dans le fonctionnement de son campus. Résultat d’un processus large et participatif qui a impliqué les équipes académiques, les étudiants, les personnels et les partenaires de l’École, ce Plan climat fixe 10 objectifs réalisables à 5 ans, regroupés en 3 piliers - former et engager, développer et innover, et réduire et responsabiliser – pour transformer en profondeur les comportements et contribuer à l’avènement d’une prospérité responsable et soutenable. Le Plan climat de l’École polytechnique s’inscrit dans le prolongement des engagements forts en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique pris par l’École lors du colloque international « Réflexions : Chercher, former et agir pour le développement durable », organisé en juin 2019, dans le cadre de son 225e anniversaire. L’École a ainsi publié en 2020 un premier bilan carbone du campus, permettant d’établir un diagnostic et de définir des trajectoires de réduction de ses émissions pour parvenir à la neutralité carbone à l’horizon 2050.Elle a ancré cette nouvelle étape de la transition écologique au sein de l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris), qui lui a permis d’unir ses forces à celles de quatre autres Écoles d’Ingénieur prestigieuses : l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, Telecom Paris et Telecom SudParis. Dans ce cadre, elle a poursuivi le déploiement de ses modules de formations développement durable et des actions de recherche du centre interdisciplinaire d’IP Paris, Energy4Climate (E4C). Depuis sa création, l’École polytechnique n’a cessé d’accompagner et de façonner les transformations économiques, techniques et sociétales qui se sont succédées et qui ont permis des avancées au bénéfice du plus grand nombre. L’engagement de l’École en faveur d’un développement soutenable entre en résonance avec sa mission originelle de promotion de la science dans la formation, la recherche et l’innovation au plus haut niveau et au service du bien commun. Complexes et globaux, les défis environnementaux doivent être abordés avec humilité, agilité, vision de long terme et dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire que l’École porte depuis ses origines.Les 10 objectifs du Plan climat à cinq ans :Intégrer des heures de formations appliquées sur les enjeux de durabilité dans 100% des parcours professionnalisantsTripler le nombre d’heures de formation obligatoire sur les enjeux de soutenabilité pour l’ensemble des formationFormer nos collaborateurs et leur permettre d’appliquer la transition écologique au quotidienCréer un campus démonstrateur de la transition, s’appuyant sur ses communautés de recherche et d’innovationIntégrer le développement durable comme paradigme dans 100% des projets de recherche structurantsAlimenter un fonds climat permettant de soutenir des actions de transition au sein de l’ÉcoleRéaliser annuellement une cartographie de la recherche à l’échelle IP Paris portant sur les enjeux environnementaux et de son impactDiminuer de 20% les émissions de gaz à effet de serre par usager du campus sur le poste énergieAssurer 50% des commandes sous critères d’achats responsablesSanctuariser un cœur de campus dédié aux modes de déplacements doux
Il y a 3 ans et 116 jours

TotalEnergies choisit un nouveau site à Paris-Saclay pour son pôle recherche et développement

En raison de retards dans la construction du bâtiment initialement prévu proche de l'école Polytechnique, le groupe TotalEnergies a annoncé le 28 janvier qu'il implanterait son nouveau pôle R&D ailleurs.
Il y a 3 ans et 123 jours

TotalEnergies renonce à implanter son nouveau pôle R&D à côté de Polytechnique

"Dans ces conditions, TotalEnergies a décidé de s'installer dès cette année, comme prévu, sur le plateau de Saclay (sud-ouest de Paris, ndlr) dans des locaux destinés à accueillir des centres d'innovation d'entreprises pour y établir durablement son pôle R&D Nouvelles Energies & Electricité", explique le groupe dans son communiqué.L'implantation d'un bâtiment de 10.000 m2 était prévue au départ au cœur du campus de Polytechnique, avec 400 personnes attendues pour travailler sur la "décarbonation des énergies". Ce projet avait été contesté par une partie des élèves et des professeurs de la prestigieuse école, qui avaient manifesté en mars 2020 contre "l'ingérence du privé".En juin 2020, après la mobilisation d'étudiants et de professeurs, l'école d'ingénieurs avait décidé de sortir le futur centre de recherche du cœur du campus pour le prévoir juste à côté, sur le futur parc d'activités d'innovation porté par l'Établissement public d'aménagement (EPA) Paris-Saclay.Les travaux de construction du bâtiment au nouvel emplacement, qui devaient débuter en juillet 2021, ont été retardés."Les nouvelles énergies n'attendent pas. Et la transformation de TotalEnergies - qui a accéléré en 2021 - ne peut pas non plus attendre", affirme le groupe dans son communiqué.L'École polytechnique a réagi dans un communiqué distinct, en disant prendre acte et regretter la décision prise par TotalEnergies même si celle-ci ne remet pas en cause les partenariats avec l'entreprise "ni les engagements de l'école dans le domaine de la transition énergétique".TotalEnergies renonce en effet au projet de bâtiment en propre mais maintient son partenariat scientifique avec l'Institut polytechnique de Paris et notamment avec les départements dédiés à l'énergie, à l'intelligence artificielle et à la science des données.Le futur pôle R&D abritera 200 chercheurs et "développera des collaborations avec les laboratoires des universités et écoles, des entreprises et des start-up", précise le groupe.La double casquette de Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies et membre du conseil d'administration de Polytechnique, lui a par ailleurs valu une enquête du parquet financier, ouverte en mai 2021, sur le projet de centre R&D.Une plainte avait été déposée par trois ONG reprochant à M. Pouyanné d'avoir entretenu la confusion entre son mandat d'administrateur de l'école et celui de PDG du groupe pétrolier lors des débats sur l'implantation de ce centre de recherches au cœur du campus.
Il y a 3 ans et 126 jours

Lancement des deux premières consultations pour la réalisation de 270 logements familiaux dans la ZAC de Corbeville à Orsay

A l’horizon 2026, l’EPA Paris-Saclay ambitionne de constituer à Corbeville un quartier vivant, commerçant et animé, grâce notamment à la livraison de près de 1.000 logements familiaux dans le secteur Est de la ZAC sur la commune d’Orsay (91). Pour ce faire, l’EPA a annoncé un programme de consultations d’opérateurs tout au long de de l’année 2022.Deux premières consultations lancées en janvierElles ont pour objet de sélectionner les opérateurs des premiers logements familiaux de Corbeville, à réaliser dans le secteur Terrasse. Situé au sud-est de la ZAC, il se distingue par la grande qualité paysagère et patrimoniale que lui confère la proximité du coteau boisé et d’une châtaigneraie centenaire, du futur parc de Corbeville et de son château qui doit faire l’objet d’une occupation temporaire à vocation culturelle avant sa rénovation définitive. Ces deux consultations porteront sur trois lots de la ZAC pour un total d’environ 270 logements familiaux en très grande mixité : accession libre, accession sociale (dont BRS) et logements locatifs sociaux.L’EPA Paris-Saclay porte trois ambitions majeures pour ces programmes :l’attention portée à la qualité de l’habitat et des logements : générosité des surfaces intérieures et extérieures, conception soignée, attention portée aux usages, à l’évolutivité des espaces ;la recherche d’une exemplarité environnementale : construction bas-carbone, performance énergétique, maximisation de la végétalisation, notamment ;la maximisation de la part de familles des propriétaires occupants parmi les futurs acquéreurs, afin de constituer des quartiers mixtes et vivants.Corbeville, un démonstrateur de la ville-nature Au cœur du Campus urbain de Paris-Saclay, sur les communes d’Orsay et Saclay, le quartier de Corbeville occupe une position centrale entre les quartiers voisins de l’École polytechnique (Palaiseau, Saclay) et de Moulon (Gif-sur-Yvette, Orsay à l’ouest de la RN 118). La ZAC de Corbeville est un maillon stratégique du Campus urbain et de l’OIN Paris-Saclay, dont elle complète la programmation avec plus de 410 000 m² de surfaces de plancher constructibles et des équipements clés comme le futur hôpital Paris-Saclay, un complexe sportif universitaire, une caserne de pompiers… Plus de 40% de sa programmation est destinée au logement familial et étudiant. L’EPA Paris-Saclay place ainsi l’habitat au cœur de la conception urbaine du quartier de Corbeville. Les enjeux sont forts aujourd’hui sur la qualité des espaces du logement, en situation de crise sanitaire, qui doivent permettre de télétravailler, offrir des espaces extérieurs privatifs, des volumes généreux, modulables… Sur une emprise de 94 hectares au total, plus de 30% de la surface de la ZAC de Corbeville est dédiée à la création d’espaces naturels dont deux parcs boisés de plus de 9 hectares. Les logements seront ainsi en contact direct avec la nature, étendue jusqu’au cœur le plus dense du quartier.Le plan urbain du quartier est structuré autour de ces grands espaces verts majeurs à l’échelle du Campus urbain. Il s’agit de végétaliser la ville, mais avant tout de faire des espaces naturels la charpente du quartier, pour une urbanisation largement favorable au développement de la biodiversité et de la nature en ville.
Il y a 3 ans et 134 jours

Avec le quartier de Corbeville, Paris-Saclay lance une nouvelle pièce de son puzzle urbain

LOGEMENT. L'Etablissement Paris-Saclay lance la phase opérationnelle de la Zac de Corbeville, située entre celles du quartier de l'Ecole polytechnique et de Moulon, qui continuent leur développement avec de nouveaux logements familiaux et résidences étudiantes.
Il y a 3 ans et 140 jours

Décès du célèbre architecte espagnol Ricardo Bofill

"L'architecture est la victoire de l'homme sur l'irrationnel", aimait-il dire, porté par l'obsession de créer un "langage" architectural différent organisant l'espace autour de l'être humain.Au fil de sa carrière, Bofill est entré dans le club très fermé des "architectes-stars" dont font partie Norman Foster, Renzo Piano ou Jean Nouvel."Le +star system+ m'a attrapé en France en 1974. A cette époque, les architectes commençaient à être importants, à avoir un rôle prépondérant dans la société, et cela m'a forgé une grande réputation", affirmait-il dans un entretien publié en mai 2020 par le quotidien espagnol ABC.Anti-franquisteNé le 5 décembre 1939 à Barcelone (nord-est de l'Espagne) d'un père architecte catalan et d'une mère vénitienne, Ricardo Bofill Levi entre en 1957 à l'Ecole d'architecture de la ville, d'où il est exclu pour militantisme anti-franquiste, avant de poursuivre ses études à Genève (Suisse).De retour dans sa ville natale, dans une Espagne toujours sous la coupe du dictateur Francisco Franco (de 1936 à 1975), il fait partie avec d'autres jeunes intellectuels (architectes, ingénieurs, écrivains, cinéastes, sociologues et philosophes) d'un groupe baptisé la "Gauche divine" et crée en 1963 son atelier d'architecture, le "Ricardo Bofill Taller de Arquitectura".Cet atelier, installé dans une vieille cimenterie de la périphérie de Barcelone, avec des antennes à Paris, Montpellier (France), New York (Etats-unis), Tokyo, Chicago (Etats-Unis) ou Pékin, a signé plus de 1.000 projets dans le monde entier.Quartiers entiers en FranceOn doit notamment à l'atelier de Ricardo Bofill l'aéroport de Barcelone, le Théâtre national de Catalogne, le Palais des Congrès à Madrid ou les gratte-ciel Donnelley et Dearborn à Chicago.En France, où il est particulièrement apprécié, Bofill a signé de grands ensembles d'habitat social, comme les Espaces d'Abraxas à Noisy-le-Grand, en banlieue de Paris, où ont été tournées plusieurs scènes de "Brazil", film culte d'anticipation de Terry Gilliam (1985), ou le quartier Antigone à Montpellier (sud).Avec pour ambition de créer des utopies urbaines "dans un langage classique hautement monumental à une échelle jamais vue auparavant", écrit Douglas Murphy dans le livre "Ricardo Bofill: Visions of Architecture". Mais sur le terrain, dégradés et critiqués par certains habitants, les Espaces d'Abraxas ont bien failli être démolis."Les démolir serait un manque de culture", avait estimé Ricardo Bofill dans un entretien au quotidien français Le Monde en 2014. Tout en reconnaissant n'avoir "pas réussi à changer la ville".Fait docteur honoris causa par l'Université polytechnique de Catalogne en septembre dernier, Bofill avait alors souligné que "face au modèle de ville dortoir", il avait fait "le pari de créer des quartiers avec des fonctions mêlées, mais toujours en défendant la continuité urbaine, la rue et la place" comme lieu de vie sociale.A un moment où, aux Etats-Unis en particulier, les centre-villes disparaissaient pour laisser la place à la voiture et à des centres commerciaux.Villages touaregsObsédé par l'organisation de l'espace, Ricardo Bofill s'est inspiré notamment de l'architecte italien Andrea Palladio, de la Renaissance, ou encore des architectes français des XVIIe et XVIIIe siècles François Mansart et Claude-Nicolas Ledoux. Mais aussi de villages touaregs où ce "nomade" autoproclamé est allé chercher des idées au début de sa carrière. "Je crois savoir faire deux choses: (...) concevoir des villes (...) et tenter d'inventer des langages architectoniques différents et ne jamais les répéter", soulignait-il en juin dernier lors d'une conférence à Barcelone.Un rejet de la répétition qui lui faisait aimer Antonio Gaudí, Catalan comme lui, qu'il qualifiait de "plus grand génie de l'histoire" qui "ne répétait jamais deux éléments ou formes". Récompensé par de nombreux prix d'architecture internationaux, Ricardo Bofill était officier de l'ordre des Arts et des Lettres français.
Il y a 3 ans et 143 jours

RE2020 : suivez en direct les prises de parole du CSTB lors de la conférence Coriolis Seminars for Environment

Le 13 janvier 2022 à 18h, retrouvez Sylvie Ravalet, directrice générale déléguée du CSTB, et Alexandra Lebert, directrice du domaine d'action stratégique « Bâtiments et villes face au changement climatique », qui prendront la parole sur les défis et les perspectives de la RE2020 pour les nouveaux bâtiments. Entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2022 pour la construction de bâtiments à usage d'habitation, et à partir du 1er juillet 2022 pour la construction des bâtiments de bureaux, ou d'enseignement primaire ou secondaire, la RE2020 est le premier règlement sur la construction à inclure des exigences en matière de carbone et à prendre en compte les deux aspects du changement climatique : l'atténuation et l'adaptation. Cette conférence scientifique, tenue en anglais, se veut par son contenu et son traitement accessible à un large public. La présentation de 45 minutes sera suivie d'un temps d'échanges. Consulter le programme. Créé en 2008 à l'École polytechnique, l'Institut Coriolis soutient des recherches fondamentales ou appliquées et des développements technologiques de pointe sur les thématiques en lien avec l'environnement. Son cycle de conférences « Energie : Recherche et Innovation » est organisé en partenariat avec le centre interdisciplinaire Energy For Climate (E4C) (IP Paris) et l'association étudiante NEXT. En savoir plus : Qu'est-ce que la RE2020 ? Le CSTB Formations vous accompagne face à la nouvelle réglementation
Il y a 3 ans et 144 jours

Le bailleur Maisons&Cités lance l'expérimentation Pecquenchanvre

Objectif : encourager le développement d’une filière du chanvre à usage du BTP dans les Hauts-de-France et accompagner la transition écologique du territoire. Les travaux qui ont débuté cet été se poursuivront jusque fin 2022.Le recours aux matériaux biosourcés pour l’amélioration thermique des logements devient une problématique majeure pour répondre aux enjeux sociaux et environnementaux actuels. En effet, la baisse des factures énergétiques et la réduction des émissions de gaz à effet de serre face au dérèglement climatique constituent une priorité pour les bailleurs sociaux. Depuis plus de cinq ans, Maisons & Cités est engagé dans une réflexion autour d’une alternative aux isolants classiques dans le cadre de la rénovation de son parc de logements. Après plusieurs expérimentations menées dans le bassin minier à travers les opérations Réafutur 1 & 2, ainsi que Rénochanvre, le bailleur a reconnu le béton de chanvre comme biomatériaux d’avenir, notamment dans le cadre de la rénovation d’habitations en briques, dominantes sur le territoire des Hauts-de-France. Un projet pilote en FranceD’un montant d’investissement de 800.000 €, le projet Pecquenchanvre constitue une nouvelle étape dans ce cheminement. Sur une période de 2 ans, 50 logements de la Cité Barrois à Pecquencourt seront ainsi rénovés en utilisant du béton de chanvre, à un rythme de 6 logements livrés chaque mois. Une étude scientifique sera menée en parallèle par le CEREMA, l’Université Polytechnique des Hauts-de-France et l’Université Catholique de Lille afin de mesurer l’efficacité de la démarche écologique de l’opération. En complément, une étude sociologique sera réalisée afin d’analyser les pratiques et le ressenti des occupants. Pour l’heure, les retours des 1ers habitants ayant regagné leur logement rénové sont prometteurs.Pour Corinne Sevin, bénéficiaire de l’opération Pecquenchanvre : « Le recours au béton de chanvre comme isolant thermique assure une température ambiante idéale dans mon habitat. A la mi-novembre, je n’ai toujours pas allumé le chauffage. »Si l’expérimentation est concluante, Maisons & Cités prévoit de rénover, à terme, 1000 logements en faisant appel à ce matériau biosourcé : un défi ambitieux et inédit de la part d’un bailleur social à travers l’Hexagone. Bâtir une filière régionale du béton de chanvre d'ici 5 ansSoutenue par la région dans le cadre de la Troisième Révolution Industrielle Rev3 et accompagnée par le CD2E et le cabinet ÖPUN, ce projet s’intègre par ailleurs dans une démarche plus globale baptisée « Hauts-de-Chanvre », qui tend à initier la création d’une filière du béton de chanvre dans les Hauts-de-France d’ici 5 ans.Le développement d’un marché du chanvre et d’une filière régionale de culture et de transformation constituerait en effet un formidable vecteur de développement économique pour les Hauts-de-France. Dans le Bassin minier, la naissance de cette filière pourrait s’accompagner du développement d’unités de préfabrication en local et ainsi générer de nouveaux emplois. De quoi contribuer à la renaissance de ce territoire.Mais pour y parvenir, le chemin est encore long et nécessite l’implication de tous les acteurs du territoire, tous secteurs confondus. Pour ce faire, Maisons & Cités travaille en étroite collaboration avec le CD2E, aussi bien sur les aspects de développement de la culture du chanvre sur le territoire que de la formation des entreprises de BTP à son usage. Pour Jean-François Campion, Président de Maisons et Cités : « Il faut leur montrer que le modèle peut être rentable. C’est en créant le marché que l’on parviendra à rendre ce matériau compétitif et à œuvrer pour la transition écologique du territoire. »
Il y a 3 ans et 149 jours

Jean-Philippe Ricard à la direction générale de Freyssinet

Portrait de Jean-Philippe Ricard, le nouveau directeur général de Freyssinet. [© Freyssinet]. Référence dans le domaine du génie civil, de la précontrainte et de la réparation des bétons, l’entreprise Freyssinet a nommé Jean-Philippe Ricard à sa direction générale. Il succède à Patrick Nagle, qui occupait ce poste depuis 2016. Ce dernier a fait valoir ses droits à la retraite. Jean-Philippe Ricard était auparavant directeur général adjoint, ainsi que directeur opérationnel de la zone Nord-Atlantique.   Son parcours Diplômé de l’Ecole nationale des techniques avancées et de Polytechnique, Jean-Philippe Ricard débute sa carrière chez Bouygues Offshore comme ingénieur. En 2008, il rejoint Vinci Construction Grands Projets, afin de piloter les travaux maritimes et le développement commercial de la zone Afrique du Nord. En 2012, il prend la direction du pôle “Grands Projets” et devient aussi le responsable des travaux de génie civil, de génie civil industriel et nucléaire. Par ailleurs, Jean-Philippe Ricard a créé, en 2014, Eiffage Fondation.
Il y a 3 ans et 185 jours

A Paris-Saclay, groupe scolaire cherche maîtrise d’œuvre

L’EPA Paris-Saclay recherche une maîtrise d’œuvre pour un groupe scolaire au sein du quartier de l’Ecole polytechnique du Campus urbain. Jusqu’au 6 décembre 2021. Afin d’accompagner le développement du Campus urbain, l’EPA Paris Saclay lance une consultation de maîtrise d’œuvre relatif à la réalisation du futur groupe scolaire au sein de la ZAC du quartier […] L’article A Paris-Saclay, groupe scolaire cherche maîtrise d’œuvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 259 jours

L'architecte Corinne Vezzoni reçoit les insignes d'Officier de l'Ordre national du Mérite

Cette cérémonie a été ouverte par Hubert FALCO, Président de Toulon Provence Métropole, Maire de Toulon - Ancien Ministre.Après avoir été promue Chevalier de la Légion d'honneur en 2017 et Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres en 2013, Corinne Vezzoni, architecte urbaniste, a été nommée Officier de l'Ordre national du Mérite au titre du Premier ministre, selon un décret paru samedi 22 mai 2021 au Journal officiel.Bio expressEn septembre 2020, Corinne Vezzoni a reçu la médaille d'or de l'Académie française d'architecture et a été nominée au Grand prix national d'architecture 2018. Elle a également reçu le prix Femmes architectes 2015, le Born awards 2018 pour Thecamp et le prix du jury du W.A.Ve 2019 - Workshop architecture Venise - pour son projet de gare maritime développé à l'occasion d'une résidence.En 2021, elle est nommée architecte conseil pour la mission Gerland à Lyon.Outre son travail d'architecte, Corinne Vezzoni enseigne à l'Université de Provence master aménagement et urbanisme et intervient ponctuellement dans les écoles des Arts et Métiers et de Polytechnique Marseille Château-Gombert.Durant 12 ans, elle a fait partie du CESER (Conseil économique, social et environnemental régional) dans les sections prospective et culturelle. Engagée dans la réflexion sur le projet métropolitain Aix-Marseille-Provence, l'agence intervient également sur les sujets du Grand Paris. L'agence Corinne Vezzoni et associés Basée à Marseille, l'agence de Corinne Vezzoni, Pascal Laporte et Maxime Claude s'illustre sur le territoire national. Autour d'une vingtaine de collaborateurs, elle concentre son activité sur des concours publics régionaux, nationaux et internationaux. Elle participe ponctuellement à des prix, concours européens et internationaux. Depuis ses débuts, elle s'attache à explorer des sujets très variés. Parmi ses réalisations phare, on retrouve le Thémis à Paris, premier bâtiment tertiaire de France lauréat du label E+C, l'écoquartier Chalucet à Toulon, the camp, le campus high tech au coeur de la garrigue (Aix-en-Provence), le Centre de Conservation et de Ressources du MuCEM (Marseille) ou le Lycée Simone Veil (Marseille). Elle travaille actuellement sur le projet de réplique de la Grotte Cosquer Marseille, le Campus Sud des Métiers à Nice, et le Grand Paris Express et sur le projet des Terrasses d'Ingouville (site Flaubert), dans le cadre du concours « Réinventer le Havre ».
Il y a 3 ans et 276 jours

Un programme techtiaire totalement réversible dans le quartier mixte "Le Central" du campus urbain Paris-Saclay à Palaiseau

Ce projet accueillera 60.000 m² SDP de logements, commerces, services, locaux administratifs et associatifs et espaces techtiaires* destinés aux startups MedTech au sein du quartier de l’Ecole Polytechnique, à Palaiseau. Architectures Anne Démians aura en charge la réalisation d’un programme techtiaire baptisé « Carré Central » de 10.000 m² permettant une réversibilité totale bureaux/laboratoires pour le compte de BioLabs.Pour Anne Démians, « Nous sommes très fiers de participer à l’émergence de ce nouveau quartier au sein du campus urbain Paris-Saclay à Palaiseau, au cœur d’un programme mixte et ambitieux tant en termes d’architecture qu’en termes de développement durable et d’innovations. Nous allons construire un bâtiment techtiaire, pionnier, en R + 5 avec toiture accessible, totalement réversible, pour le compte de BioLabs**, entreprise américaine qui propose aux entrepreneurs de la santé des laboratoires partagés tout équipés, espaces de coworking et des bureaux privés de toute taille leur permettant d’accéder aux technologies de pointe dans leur secteur ».Les grands principes constructifs du « Carré Central »Une attention toute particulière a été portée à l’esthétique, l’identité environnementale et la maîtrise énergétique du projet.L’angle nord-ouest du site marque l’accès principal au bâtiment qui s’articule autour d’un noyau central. La distribution radiale équilibre la séparation en deux ailes aménageables en bureaux et laboratoires réversibles. Le rez-de-chaussée largement vitré offre des percées visuelles vers le jardin en cœur d’îlot. Le bâtiment se compose de bureaux, laboratoires, d’un restaurant, de cuisines, de parkings pour voitures et vélos.Un principe constructif lisible en façadePour Anne Démians « La préfabrication est son alphabet, la trame sa ponctuation ». L’exosquelette est composé d’une superposition de poteaux en T et de poutres. La dalle se raccorde à l’allège qui repose sur le corbeau des poteaux. La façade se caractérise par la forte présence de l’exosquelette de béton préfabriqué bas carbone teinté dans la masse. Une trame plus fine de fenêtres se glisse au second plan et se dédouble dans les étages.Appel à la préfabrication et au réemploiL’assemblage s’apparente à un jeu de construction dont la mise en œuvre en filière sèche garantie une construction rapide, propre et silencieuse. Les bureaux et espaces techtiaires, permettant l’accueil de laboratoires et de charges lourdes utiliseront notamment des planchers de réemploi.Excellence environnementaleDes moyens ambitieux combinés aux performances de l’enveloppe et aux solutions innovantes d’approvisionnement en énergie permettent d’atteindre les niveaux - Nf Habitat Hqe Niveau Excellent - E3c1 30% Sur Les Logements - E3c1 15% Sur Les Bureaux - Label Biosourcé Niveau 2 - Label Bois Biosourcés Du Pacte Fibois, Niveau Or - Label Biodivercity - Bbc Effinergie Niveau Excellent.Une attention à la lumièreLes stores extérieurs sont disposés dans le prolongement des allèges qui se lisent comme des impostes. Le linteau des fenêtres est minimisé alors que leurs larges rebords en béton clair orientent la lumière en profondeur dans les espaces de bureaux. La présence des allèges offre un éclairement optimisé et permet la réversibilité en laboratoires.Un nouveau quartier à Palaiseau au sein du cluster Paris-SaclayLe « Carré Central » s’inscrit dans le quartier de l’Ecole Polytechnique, à 5 minutes à pied de la future station de la ligne 18 de Palaiseau. Le groupement d’opérateurs est associé à six architectes (Baumschlager Eberle (Coordinateur) /Martin Duplantier / Nunc / Anne Demians / Hardel Le Bihan / Barrault Pressaco) et deux paysagistes (D’ici là et Base) pour réaliser :43.000 m² SDP de logements familiaux16.000 m² SDP de bureaux de laboratoires et d’espaces techtiaires2.700 m² SDP de commerces et de services de proximité600 m² SDP de locaux municipaux destinés à la ville de PalaiseauL’ensemble du programme doit être livré d’ici fin 2026, avec un début des livraisons en 2024/2025 pour la première partie.*Espaces techtiaires : espaces mixtes constitués de bureaux, laboratoires, salles modulables qui répondent aux besoins des entreprises de la Tech.**BioLabs : Architectures Anne Démians travaille également avec BioLabs dans le cadre de la rénovation et réhabilitation de l’Hôtel Dieu à Paris.
Il y a 3 ans et 282 jours

Un bâtiment "techtiaire" pour le quartier de l'Ecole polytechnique, à Paris-Saclay

INNOVATIONS. L'agence Architectures Anne Démians a dessiné, pour le quartier de l'Ecole Polytechnique, à Paris-Saclay, un bâtiment de bureaux de laboratoire entièrement réversibles. Les espaces (10.000 mètres carrés), mixtes et modulables, sont qualifiés de "techtiaires", et sont destinés aux entreprises de la "MedTech".
Il y a 3 ans et 324 jours

Le métro du Grand Paris ne sera pas terminé pour les JO-2024

Lancé à la fin des années 2000 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le "Grand Paris Express" reliera sur plus de 200 km des dizaines de communes de banlieue, les centres de recherche du plateau de Saclay ou encore les deux aéroports parisiens de Roissy au nord et d'Orly au sud. Le nouveau calendrier officialisé mardi prévoit désormais des mises en service progressives des nouvelles lignes entre 2025 et 2030.Un tronçon en particulier est très attendu: une partie de la ligne 16 sur un arc traversant la banlieue de Seine-Saint-Denis, au nord-est de Paris. Il y a quatre ans, le président Macron l'avait encore promise aux quartiers sensibles de Clichy-Montfermeil pour 2024, à temps pour les JO.Mais le nouveau président de la Société du Grand Paris, nommé en mars par le pouvoir actuel insatisfait des retards, n'a pu qu'admettre l'infaisabilité du calendrier. Résultat: plus de deux ans de retard. Ouverture prévue "pour le deuxième semestre 2026", a annoncé à l'AFP Jean-François Monteils.L'amorce de la ligne 17, qui devait mener jusqu'à l'aéroport du Bourget, où un quartier doit être construit pour loger les médias du monde entier, subit le même sort: elle ne sera pas prête avant le second semestre 2026.Le président du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, a regretté "une mauvaise nouvelle" pour les habitants du département. "D'autres retards ne seront pas acceptables pour ce projet qui doit être un moteur de relance et un rattrapage en matière d'aménagement et d'environnement", a-t-il prévenu."Néanmoins il faut voir le verre à moitié plein, le projet n'est pas annulé, il faudra juste être patient et attendre 2026", a dit le maire du Bourget, Jean-Baptiste Borsali.Les organisateurs des JO avaient anticipé ces retards, dans le cadre de leur revue budgétaire, et déplacé quelques sites dans des lieux plus accessibles. Par exemple les épreuves de natation ont été déplacées de Saint-Denis à Nanterre, bien reliée par les transports en commun.Le problème principal sera le village des médias du Bourget. Il y aura des acheminements de "bus" prévus pour les journalistes mais le comité d'organisation envisage désormais de délester le centre de presse sur des centres annexes.Fin en 2030Finalement, seul le rallongement de la ligne 14 (qui était la première ligne automatisée du métro parisien et traverse aujourd'hui la capitale) devrait être réalisé à temps pour les JO. Ses nouveaux prolongements relieront le village olympique, à Pleyel, à l'aéroport d'Orly, ainsi que le Stade de France. L'épidémie de Covid-19 n'est qu'une des explications des retards. "Ce serait entre guillemets simple s'il n'y avait que la crise pandémique, mais l'honnêteté oblige à dire qu'il n'y a pas que la crise pandémique", dit Jean-François Monteils. Parmi les difficultés rencontrées, il a cité le désamiantage du site du dépôt d'Aulnay-sous-Bois, la difficulté de faire venir des techniciens d'Allemagne pour venir au chevet des tunneliers pendant le confinement et les conséquences du décès accidentel d'un ouvrier à Noël, qui a contraint un tunnelier à l'arrêt pendant six mois, pendant l'enquête. Mais tout n'est pas noir: la ligne 18, au sud et au sud-ouest, sera livrée à l'heure. Elle reliera d'ici 2027 Orly au grand pôle de recherche du plateau de Saclay, avec plusieurs grandes institutions de recherche, l'université Paris-Saclay, l'Ecole Polytechnique et HEC, le Commissariat à l'énergie atomique... "Maintenant que le sujet JO est tombé, la ligne la plus urgente est la ligne 18, car elle est vitale pour la recherche française", dit à l'AFP Nicolas Samsoen, maire de Massy. "Tout le monde est déjà arrivé sur le plateau, à la rentrée prochaine de nouveaux étudiants arrivent, c'est plusieurs dizaines de milliers d'étudiants, plusieurs milliers de chercheurs, de salariés..." renchérit Grégoire de Lasteyrie, maire de Palaiseau, président de la communauté d'agglomération Paris-Saclay. In fine, la carte ne bougera pas et les 200 kilomètres restent confirmés pour 2030. "On a tout commencé et on finira tout", assure M. Monteils."Peu de sites impactés" selon les organisateursLe fait que les lignes 16 et 17 de métro ne soient pas prêtes pour 2024 ne touchera que "peu de sites", dont le village des médias, ont indiqué à l'AFP les organisateurs des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.Compte tenu de "la situation tendue pour la livraison de ces lignes", dont ils étaient prévenus depuis plusieurs mois, les organisateurs avaient inclus ce paramètre lors de la révision de la carte des sites fin 2020, pour faire des économies également. Ils ont ainsi supprimé un site temporaire de volley-ball, initialement prévu au Bourget, et déplacé les épreuves de natation de Saint-Denis à Nanterre."Au final, peu de sites sont directement impactés par ce retard", assure le comité d'organisation.Il s'agit du stand de tir situé à la Courneuve et surtout du village des médias situé sur les communes de Dugny, La Courneuve et Saint-Denis, et sur une partie du parc départemental Georges-Valbon.Celui-ci doit accueillir la presse du monde entier et être transformé en écoquartier de 1.300 logements, dont 700 construits pour 2024.Il y aura des acheminements de "bus" prévus pour les journalistes mais le comité d'organisation "pourrait cependant être amené à ouvrir une réflexion (...) afin de garantir aux journalistes les meilleures conditions de travail, au plus près des principaux sites de compétition et de leurs futurs hébergements", ouvrant ainsi la voie à ce que le centre de presse principal prévu sur ce site puisse être délesté dans des centres annexes.Le village des médias, dont la justice administrative vient de valider la réalisation après avoir suspendu les travaux en référé, est un chantier emblématique avec le village des athlètes ou encore le centre aquatique olympique (CAO). Il a déjà connu des péripéties car il devait initialement être construit en une fois, et le sera maintenant en deux fois."Les acteurs publics, qui portent la responsabilité de l'organisation des transports collectifs pendant les JO, travaillent sur des solutions alternatives", relèvent encore les organisateurs.Paris 2024 rappelle qu'il s'est appuyé sur le projet du Grand Paris pour bâtir son projet et qu'"aucune ligne de métro n'est construite spécifiquement pour les Jeux". Il souligne que la ligne 14 jusqu'à la gare de Saint-Denis Pleyel, qui elle sera livrée à temps, permettra la desserte du village des athlètes, situé à Saint-Denis et "participera efficacement à la desserte du Stade de France et du centre aquatique olympique (épreuves de plongeon, water polo, et natation synchronisé), aux côtés des RER B et D et de la ligne 13".Le nouveau calendrier du Grand Paris ExpressVoici le calendrier du métro Grand Paris Express, tel qu'annoncé mardi par la Société du Grand Paris après l'officialisation des retards des multiples chantiers.Pour le printemps 2024 (à temps pour les jeux Olympiques): Ligne 14 prolongée au nord et au sud, de l'aéroport d'Orly à Saint-Denis PleyelPour la fin 2025: Ligne 15 au sud, de Noisy-Champs à Pont de SèvresPour 2026: Ligne 18, de Massy-Palaiseau à SaclayPour le second semestre 2026: Tronc commun des lignes 16 et 17, de Saint-Denis Pleyel au Bourget RERLigne 16, du Bourget RER à Clichy-MontfermeilLigne 17, du Bourget RER au Bourget AéroportPour 2027: Ligne 18, d'Orly à Massy-PalaiseauPour 2028: Ligne 16, de Clichy-Montfermeil à Noisy-ChampsLigne 17, de Bourget Aéroport au Parc des ExpositionsPour 2030: Ligne 15 à l'ouest, au nord et à l'est, de Pont de Sèvres à Noisy-Champs via La Défense et Saint-Denis Pleyel Ligne 17 du Parc des Expositions à l'aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle et au Mesnil-AmelotLigne 18, de Saclay à Versailles
Il y a 3 ans et 351 jours

Meritxell Inaraja - Portrait

Diplômée de l'Ecole polytechnique de Barcelone, Meritxell Inaraja I Genis fonde son agence en 1995. Remarquée pour ses compositions de façades où contrastent les châssis en bandeau et les grands pans opaques, Meritxell Inaraja livrera les archives régionales de Ribera d'Ebre, del Montsia et de Garraf. Outre des projets de villas […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 352 jours

Pour Sammode, FREAKS redonne vie au hangar périurbain

Diplômée de l'Ecole polytechnique de Barcelone, Meritxell Inaraja I Genis fonde son agence en 1995. Remarquée pour ses compositions de façades où contrastent les châssis en bandeau et les grands pans opaques, Meritxell Inaraja livrera les archives régionales de Ribera d'Ebre, del Montsia et de Garraf. Outre des projets de villas […] Lire l'article