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Résultats de recherche pour schneider

(428 résultats)
Il y a 78 jours

Schneider Electric a réduit la consommation énergétique de son siège de 33 % en 5 ans

Schneider-Electric a prouvé qu’il est possible de réduire drastiquement la consommation d’énergie d’un bâtiment de bureaux sans toucher au bâti, seulement en agissant sur les consommations d’énergie.
Il y a 175 jours

Schneider Electric a contribué à la restauration de la cathédrale Notre Dame de Paris

• Schneider Electric mécène de solutions de pointe pour la gestion de l’énergie et de la sécurisation de l’installation  • Une action emblématique de la capacité de Schneider Electric à se mobiliser pour un monument historique multiséculaire  • Un projet réussi grâce à l’ingéniosité des solutions trouvées pour intégrer la logistique et les contraintes complexes […]
Il y a 189 jours

Schneider Electric a équipé le siège social du syndicat d’énergies de la Manche d’innovations énergétiques de pointe

• Des solutions pour réduire au maximum l’empreinte énergétique du site  • Un bureau d’études intégrateur système qui relève le défi des technologies innovantes accompagné par les experts Schneider Electric  • Une bâtiment vitrine des possibilités dans le tertiaire   Rueil Malmaison, 21 novembre 2024 – Schneider Electric, leader de la transformation numérique, de la gestion […]
Il y a 195 jours

Schneider Electric présente EcoStruxure™ Building Activate, une nouvelle génération de GTB conçue pour les petits et moyens bâtiments

• Un coût d’investissement jusqu’à 70% inférieur aux GTB traditionnelles  • Une solution rentable : réduction des coûts énergétiques de près de 40% pour un retour sur investissement inférieur à 2 ans  • Une efficacité opérationnelle accrue en limitant les interventions sur site grâce à la supervision à distance   Rueil Malmaison, 12 novembre 2024 – […]
Il y a 200 jours

Matériel électrique : Schneider Electric et Legrand écopent d'une sanction de 470 M€

L’Autorité prononce une sanction de 470 M€ l’encontre de Schneider Electric et Legrand et des distributeurs Rexel et Sonepar pour avoir pris part à des pratiques verticales de fixation du prix de revente.
Il y a 202 jours

Le successeur de Peter Herweck a été nommé à la tête de Schneider Electric

Le conseil d’administration de Schneider Electric a acté le départ de Peter Herweck de ses fonctions de directeur général, mettant fin à...-Entreprises
Il y a 210 jours

Matériel électrique : une amende de 470 M€ pour Schneider Electric, Legrand, Rexel et Sonepar

L’Autorité de la concurrence a sanctionné les deux fabricants et les deux distributeurs pour ententes verticales sur les...-Industrie
Il y a 215 jours

Matériel électrique : sanction record contre Schneider, Legrand, Rexel et Sonepar

DROIT DE LA CONCURRENCE. L'Autorité de la concurrence a prononcé une amende de 470 millions d'euros à l'encontre des deux fabricants et des deux distributeurs. En cause, deux ententes sur les prix de revente pour du matériel électrique basse tension. Les acteurs mis en cause envisagent de faire appel.
Il y a 244 jours

Schneider Electric se lance dans l’économie circulaire en basse tension

Schneider Electric applique cinq approches de l’économie circulaire aux équipements basse tension : reconditionnement, réemploi, maintenance, modernisation ou recyclage. 22 % des gammes de produits sont déjà concernées.
Il y a 253 jours

IFA 2024, photovoltaïque de balcon, stockage d’électricité et nouvelle norme NF C 15-100

Au salon IFA, Schneider Electric présente son premier tableau électrique tenant compte de la nouvelle C 15-100 et des productions d'énergie en aval des protections, tandis que le PV de balcon et le stockage prospèrent.
Il y a 265 jours

Schneider Electric résume la nouvelle version de la norme NF C 15-100 pour faciliter sa mise en oeuvre

● Une nouvelle version de la norme NF C 15-100 appliquée aux installations basse tension, neuves ou rénovées.  ● Elle s’adresse à tous les métiers de la filière : électriciens, installateurs, prescripteur du logement, tableautiers ou encore bureaux d’études.  ● Schneider Electric leur apporte son aide et son expertise dans la mise en conformité à […]
Il y a 308 jours

« Il faut un leadership affirmé dans la volonté de décarboner l'industrie », Aymeric Renaud (Schneider Electric)

Le vice-président de l'activité Industrial Automation et End Users de Schneider Electric détaille pour Le Moniteur les solutions proposées...-Industrie
Il y a 350 jours

Comment Kebony a développé une alternative durable aux bois durs tropicaux

Rencontre avec le Professeur Marc Schneider, inventeur de la technologie «Doublement Modifié» de Kebony. Tandis que Kebony, principal producteur mondial d’alternatives écologiques et durables aux bois durs tropicaux, confirme son impact planétaire sous la direction de son nouveau PDG Tom Paemeleire, l’entreprise norvégienne revient sur ses origines et sur ce qui a inspiré la création de cette technologie couronnée de succès, saluée par tant d’utilisateurs de par le monde.
Il y a 1 ans et 32 jours

Schneider Electric : l’électrification à plein régime

À l’occasion du salon Innovation Summit 2024, tenu les 3 et 4 avril dernier, Karine Amiel, directrice marketing des opérations France de -Négoce
Il y a 1 ans et 46 jours

Schneider Electric promeut son offre SpaceLogic KNX pour le petit tertiaire

Basé sur KNX, l'offre SpaceLogic KNX de Schneider Electric connecte les bâtiments résidentiels et tertiaires, pour maximiser le confort, la sécurité, la performance énergétique et l'exploitation des équipements.
Il y a 1 ans et 54 jours

Un nouveau PDG pour Viega

CARNET-NOMINATION. Markus Brettschneider s'est vu confier les rênes de Viega, spécialiste en techniques d'installations sanitaires, chauffage et sertissage. Il prendra ses fonctions à partir du 1er septembre 2024.
Il y a 1 ans et 56 jours

Schneider Electric lance Resi9 Energy Center, une solution élégante pour moderniser les tableaux électriques existants

Le problème est simple : dans une maison existante, le tableau électrique, installé il y a des années, n’est pas conçu pour alimenter un chargeur de véhicule électrique, gérer une production photovoltaïque et un stockage d’électricité, alimenter une pompe à chaleur, etc. Resi9 s’en charge, sans modifier le tableau existant. Pour marquer le 100ème anniversaire de […]
Il y a 1 ans et 58 jours

VELUX S'illustre aux Sustainability Impact Awards de Schneider Electric

VELUX S'illustre aux Sustainability Impact Awards de Schneider Electric Batipole ven 05/04/2024 - 13:24 Un Prix pour l'Engagement Écologique L'engagement de VELUX dans la réduction des émissions salué par Schneider Electric. Le Groupe VELUX s'est vu attribuer le prestigieux prix « Impact du développement durable sur mon entreprise » par Schneider Electric, en reconnaissance de sa démarche exemplaire en matière de réduction des émissions de CO2 dans le cadre de ses activités. Cette distinction, décernée lors d'une cérémonie à Paris le 3 avril, récompense les efforts de VELUX dans la décarbonation de ses opérations, ainsi que son rôle de pionnier dans la réduction de l'empreinte carbone du secteur du bâtiment. Une Collaboration Fructueuse avec Schneider Electric VELUX et Schneider Electric : un partenariat pour le développement durable. Depuis 2021, VELUX collabore avec Schneider Electric pour identifier et mettre en œuvre des initiatives visant à atteindre ses objectifs de neutralité carbone pour 2030. Grâce à cette collaboration, VELUX a réussi à alimenter l'ensemble de ses opérations avec 100 % d'électricité renouvelable dès 2023, une nette amélioration par rapport à 98,2 % en 2022. Le Rôle des Certificats de Garantie d'Origine L'importance cruciale des certificats dans la stratégie énergétique de VELUX. L'atteinte de 100 % d'électricité renouvelable a été rendue possible grâce à l'utilisation de Certificats de Garantie d'Origine, accompagnés d'accords d'achat d'électricité renouvelable solaire photovoltaïque, et de l'installation de centrales solaires photovoltaïques sur site. Cette stratégie a permis de couvrir la consommation d'énergie restante en dehors de l'Europe. Reconnaissance de l'Impact Durable Les Sustainability Impact Awards : célébrer les actions en faveur d'un avenir plus vert. Initiés par Schneider Electric en 2022, les Sustainability Impact Awards visent à récompenser les efforts de l'écosystème de partenaires de Schneider dans la création d'un monde plus durable et plus électrique. Cette année, le champ des candidats a été élargi, incluant non seulement les partenaires, mais aussi les clients et fournisseurs, évalués sur leur approche globale du développement durable. Schneider Electric : Un Acteur Clé du Développement Durable La mission de Schneider Electric en matière de durabilité et d'efficacité. Schneider Electric se positionne comme un partenaire numérique essentiel dans le domaine du développement durable et de l'efficacité, promouvant la transformation numérique à travers des technologies avancées en gestion de l'énergie et des processus. En tant qu'entreprise globale aux racines locales, Schneider s'engage pour des standards ouverts et la promotion d'un écosystème de partenariat basé sur des valeurs partagées. L'Engagement Continu de VELUX pour un Avenir Meilleur VELUX : une contribution significative à l'amélioration des habitats. Depuis plus de 80 ans, VELUX enrichit les habitations du monde entier avec des solutions apportant lumière naturelle et air frais, grâce à une gamme diversifiée de produits. Ces initiatives s'inscrivent dans la vision à long terme de l'entreprise pour créer des espaces de vie sains, lumineux et économes en énergie, tout en œuvrant pour un avenir plus durable. Choisir la Marque® - Associer l'article VELUX Distinction majeure pour VELUX VELUX reconnu pour son engagement en faveur du développement durable. Partager
Il y a 1 ans et 59 jours

Innovation Summit Schneider Electric Porte de Versailles

Le Mercredi 3 et le Jeudi 4 avril 2024, Schneider Electric a organisé Porte de Versailles son Innovation Summit, une manifestation lancée en 2016, où il a montré ses nouveaux produits, ses nouveaux logiciels, expliqué ses collaborations et dévoilé sa stratégie : tout pour la décarbonation. La matinée du 3 avril a commencé par une conférence […]
Il y a 1 ans et 65 jours

Viega nomme un nouveau PDG

Attendorn/Schiltigheim, le 26 mars 2024 – À compter du 1er septembre 2024, Markus Brettschneider accèdera au poste de directeur général (CEO) de Viega. Il succède à Claus Holst-Gydesen, qui intègre le conseil d’administration du groupe international. Cette transition marque un tournant pour l’entreprise familiale d’Attendorn (Westphalie) privilégiant une succession interne.  « Nous sommes ravis d’annoncer […]
Il y a 1 ans et 89 jours

Light + Building 2024 : Schneider Electric prospère et présente quatre innovations

La devise de Schneider Electric à Light + Building 2024 est « Concevoir, Installer, Exploiter » (Plan, Build, Operate) et six marques du groupe sont présentes : Merte,, Ritto, ABN, APC et etap, mais les grandes nouveautés sont un nouvel HEMS, un nouveau disjoncteur, la croissance de son écosystème Wiser (ZigBee) et de son écosystème SpaceLogic en KNX. […]
Il y a 1 ans et 108 jours

Equipements électriques : Schneider et Legrand tirent leur épingle du jeu

Malgré la crise immobilière, les deux groupes enregistrent des performances en hausse en 2023 avec plus de 35,9 Mds € de chiffre...-Industrie
Il y a 1 ans et 129 jours

Homematic IP intègre des actionneurs connectés pour contrôler la lumière et les stores vénitiens

Homematic IP, marque allemande de eQ-3 spécialisée dans la domotique, lance deux nouvelles solutions intelligentes pour moderniser la maison connectée. Combinés avec les adaptateurs Homematic IP, les actionneurs variateur de lumière et de store vénitien s’intègrent de manière totalement invisible aux interrupteurs de fabricants renommés comme Legrand, Feller et Schneider Electric.
Il y a 1 ans et 201 jours

Béton de chanvre : Wall'Up Préfa lève 2,5 millions d'euros pour accélérer la décarbonation

Wall'Up Préfa, leader du béton de chanvre en préfabriqué depuis 2019, a réalisé cette levée de fond dans le cadre de France 2030, Schneider Electric Energie Access et Altur Investissement.
Il y a 1 ans et 202 jours

Schneider Electric finalise l'acquisition d'EcoAct

Schneider Electric a finalisé son rachat d’EcoAct, spécialiste français du conseil climatique, du calcul des empreintes carbone des entreprises et de l’évaluation de projets de compensation carbone.
Il y a 1 ans et 264 jours

La CRE et Schneider Electric appellent le tertiaire à améliorer sa consommation d'énergie

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Au vu des colossaux gisements d'économies d'énergie qu'ils représentent, les immeubles de bureaux et sites commerciaux sont invités, dans un rapport de la Commission de régulation de l'énergie "copiloté" par le spécialiste des solutions de gestion et d'automatisation, à déployer des systèmes de pilotage énergétique. Détails.
Il y a 1 ans et 325 jours

Décarbonation : les PME pourront compter sur ADP, Bouygues construction, EDF, Engie, Sanofi, Schneider Electric et Thales

Après la signature jeudi 13 juillet de "l'Alliance Pacte PME", les 7 grandes entreprises entendent accompagner, à l'horizon 2025, 3400 de...-Entreprises
Il y a 1 ans et 360 jours

Fermeture d'une usine Schneider Electric : les salariés en colère, la direction réagit

SOCIAL. La quasi-totalité des salariés d'une usine de Schneider Electric, près de Caen, ont fait grève contre la fermeture du site. Ils se disent "en colère" et demandent à être "mieux considérés" par la direction, contactée par Batiactu.
Il y a 1 ans et 361 jours

Schneider-Electric propose des solutions pour les décrets Tertiaire et Bacs

Logiciels de supervision dans le cloud, nouveaux appareils de mesure et de communication, package "Décret Bacs"… Schneider Electric veut simplifier la vie des maîtres d’ouvrage et des installateurs.
Il y a 1 ans et 363 jours

Schneider Electric ouvre ses offres aux acteurs du petit tertiaire

STRATÉGIE. L'acteur veut conquérir un nouveau marché en proposant de nouveaux services qui devraient aider ses clients à concilier efficacité énergétique et décarbonation.
Il y a 2 ans et 23 jours

Schneider Electric est "idéalement positionné" pour la transition énergétique, selon son nouveau DG

Face à l'accroissement de la demande d'énergie, et surtout d'électricité, mais aussi à la nécessité d'en optimiser l'utilisation et de décarboner cette industrie, Schneider Electric est "idéalement positionné", affirme son nouveau directeur général, Peter Herweck, à l'AFP.
Il y a 2 ans et 103 jours

Homematic IP lance le module de commutation pour les interrupteurs de marque

La solution encastrée peut être intégrée de manière invisible dans de nombreuses séries d'interrupteurs de fabricants de premier plan tels que Legrand, Feller et Schneider Electric. L'interrupteur est alors doté de nombreuses fonctions intelligentes, tout en conservant son design original.Confort, sécurité, économies d'énergieIl existe de nombreuses raisons d'automatiser le contrôle de l'éclairage et de l'intégrer dans la maison connectée. Cependant, cela nécessitait jusqu’alors, de nouveaux interrupteurs ou de nouvelles télécommandes. Avec le module de commutation pour interrupteurs de marque Homematic IP, les séries d'interrupteurs existantes peuvent facilement être intégrées à la maison connectée.Le design compacte de l'appareil permet un montage simple dans une boîte d'encastrement standard. Le module de commutation peut être utilisé non seulement pour éteindre la lumière, mais aussi pour contrôler les interrupteurs intermédiaires et bipolaires. Il reconnaît l'état de commutation de tous les points de commutation grâce à la fonction de mesure intégrée. Le boîtier de l'interrupteur n'est pas modifié par l'installation de ce module : avec l'adaptateur approprié, les cadres et bascules existants, par exemple de Legrand, Schneider Electric ou Feller, sont simplement placés dessus et peuvent être utilisés comme d’ordinaire. Le design et la fonctionnalité d'origine de l'interrupteur restent entièrement intacts.La différence : la lumière fait désormais partie intégrante de la maison intelligente Homematic IP, avec toutes les fonctionnalités associées. La commande automatique de l'éclairage via des programmes horaires ou des détecteurs de présence et de mouvement est non seulement pratique, mais permet aussi d’économiser de l’énergie et effrayer les cambrioleurs. Le module de commutation est compatible avec Alexa d’Amazon et l’Assistant de Google et permet aux utilisateurs de contrôler leurs lumières et lampes à l’aide des commandes vocales. De plus, avec l’application Homematic IP pour smartphone, le contrôle des lumières peut également se faire depuis son canapé et même lors d’un déplacement.
Il y a 2 ans et 103 jours

Angélique Longeray, Directrice Générale de Somfy France, est élue Vice-Présidente d'IGNES

Angélique Longeray fait ainsi son entrée au Bureau d’IGNES au cours de son deuxième mandat d’administratrice.Pour Angélique Longeray : « Je suis très honorée de rejoindre le Bureau d’IGNES en tant que vice-présidente. IGNES s'est imposé en tant qu'acteur majeur et reconnu de la transformation énergétique et numérique. Le bâtiment connecté, la sobriété énergétique, le maintien à domicile, la réduction des émissions carbone et la sécurité des biens et des personnes seront autant de défis passionnants à relever avec l’ensemble des membres de l’alliance. »Pour faire face à la hausse du prix de l’énergie et aux risques de tensions sur le système électrique, les membres d’IGNES se sont récemment engagés à accompagner le déploiement d’un système de pilotage connecté dans les logements de tous les Français d’ici 2030 pour réduire leur facture sans bouleverser leur quotidien.Mise en avant cet hiver avec l’augmentation des prix de l’électricité et du gaz, la sobriété énergétique doit aussi s’appliquer en été en raison de l’augmentation générale des températures et de l’explosion attendue des épisodes de canicule.Aux côtés des autres industriels membres d’IGNES, Somfy est plus que jamais convaincu que l’adaptation des logements au changement climatique est le chantier du siècle : 80% des bâtiments qui existeront en 2050 sont déjà construits. Le confort d’été, pris en compte dans les bâtiments neufs, n’est pourtant pas considéré dans la politique publique de rénovation. Cette asymétrie risque de renforcer une “fracture du confort thermique” entre des logements neufs et performants en été comme en hiver, et des logements anciens qui ne sont pas adaptés aux vagues de chaleur.Pour Somfy, la motorisation et l’automatisation des protections solaires et des ouvrants sont des solutions simples et de bon sens : elles permettent de réaliser entre -10 et -30%* d’économies d’énergie sur la consommation de chauffage en hiver et de réduire de -4 à -7°C** la température intérieure en été. Couplées à d’autres solutions pilotées, elles peuvent contribuer à renforcer la sobriété énergétique des bâtiments et améliorer le confort et la santé thermique des habitants en toutes saisons.Angélique Longeray n’a pas manqué de souligner son enthousiasme à l’idée de relever ces nombreux défis, aux côtés des autres industriels membres d’IGNES.Le Bureau d’IGNES se compose de : Benoît Coquart, Directeur Général, Legrand – Président d’IGNES Bruno Capdordy, VP Home & Distribution France, Schneider Electric – Vice-Président d’IGNES Daphna Goldstein, Directrice Générale France, Hager – Vice-Présidente d’IGNES Pascal Portelli, Président, Delta Dore – Vice-Président d’IGNES Angélique Longeray, Directrice Générale de Somfy France – Vice-Présidente d’IGNES*Gain obtenu avec des protections solaires automatisées vs manuelles. Moyenne issue de simulations Somfy, validées par Carbone 4, selon la taille du logement, sa localisation, son ancienneté́et l’équipement installé (volet roulant, store ou brise-soleil orientable). ** TBC/FFB : analyse de l’apport énergétique du volet roulant
Il y a 2 ans et 116 jours

Photovoltaïque : le best of des fake news les plus répandues

De nombreux décideurs n’avaient pas vu venir ces progrès et, dans les débats actuels, on constate qu’ils sont encore nombreux à ne pas avoir pris en compte les données réelles du photovoltaïque d’aujourd’hui : on entend encore de nombreux arguments qui n’ont plus lieu d’être au sujet de cette énergie. Il est temps de distinguer le vrai du faux !Au sujet de la fabricationLes modules PV utiliseraient des terres raresFauxLes modules PV utilisés aujourd’hui ne contiennent pas de terres rares. Le composant principal est le silicium : il sert à faire les cellules PV, qui sont prise en sandwich entre 2 plaques de verre. (Le verre est aussi fait avec du silicium !)Mais NB : aucune terre rare dans le photovoltaïque !Il y aurait bientôt pénurie de siliciumFauxLe silicium, le 2ème atome le plus présent sur terre (juste après l’oxygène), et facile d’accès (partout dans la croûte terrestre).Il n’y a pas de pénurie de silicium et il n’y en aura pas. Il n’y a pas de pénurie de matière première. Parfois, en raison de la forte croissance de la demande, il y a des demandes supérieures à la capacité des usines qui purifient le silicium. Cela est temporaire et résolu par l’augmentation de capacité de ces usines.La rareté des matériaux n’est donc pas un frein pour le déploiement du PV à grande échelle.En fait s’il y devait y avoir un point de vigilance ce serait sur l’argent, utilisé comme conducteur entre les cellules… on pourrait avoir à le remplacer par un autre conducteur, si le marché PV continue son ultra croissance.Au sujet de son intérêt économiqueC’est cher et non compétitif Ce n’est plus vrai du tout.C’était vrai il y a 10 ans et encore plus il y a 20 ans. Le prix des panneaux était si élevé que le prix de revient de l’électricité solaire n’était pas compétitif face au réseau électrique. Le photovoltaïque étaient donc utilisé là où il n’y avait pas d’accès possible au réseau (par exemple les réémetteurs en montage.)Mais en 20 ans cela a changé de manière extraordinaire ! En 20 ans le prix des panneaux a été divisé par 100 !Cela a été réussi grâce aux pays qui ont compris, il y a 20 ans, qu’il y avait un énorme potentiel de baisse de prix, à condition de faire grossir les volumes fabriqués.D’abord le Japon, puis l’Allemagne, la Chine, les Etat Unis ont bien identifié ce potentiel : Ils ont subventionné le photovoltaïque pour faire grossir le marché et ainsi faire baisser les prix.Et cela a porté ses fruits :De 2012 à 2022, les prix du PV ont été divisés par 10 (et ils avaient déjà été divisés par 10 dans la décennie précédente. Les prix des panneaux PV ont donc été divisés par 100 en 20 ans !D’autres évolutions ont rendu l’électricité solaire compétitive :Le rendement qui était de 10% dans les années 1970, est de 24% aujourd’hui et se rapprochera des 30% sous peu…La durée de vie est passée de 10 ans dans les années 80, à plus de 40 ans aujourd’hui. Les garanties des constructeurs sont de 30 ou 35 ans, avec moins de ½ % de perte de puissance par an ! Dans 35 ans, un panneau acheté aujourd’hui fonctionnera encore et aura plus de 82% de la Puissance initiale ! Quel autre produit industriel à une telle durée de vie et une telle garantie ?Les onduleurs (qui transforment le courant continue des panneaux en courant alternatif qui peut être injecté dans le réseau électrique ont gagné en rendement, et baissé en prix)Le métier d’exploitation de centrale PV c’est fortement professionnalisé en 20 ans.En conséquence de tous ces progrès, le prix de l’électricité PV a diminué de manière spectaculaire. Le solaire PV est maintenant compétitif par rapport aux autres sources d’énergie électriquel’électricité solaire coûte entre 5 centimes le kWh (50€/MWh) (pour une grande centrale au sol) et 16 centimes kWh (160€/MWh) pour une petite installation en toiture.Le nucléaire des centrales de dernière génération est de plus de 10 centimes/kWh (100€/MWh)L’électricité solaire est donc désormais compétitive, y compris par rapport au nucléaire.Et ce n’est pas fini, la baisse des coûts du solaire va continuer.On dit que cela coûte une fortune en subvention et demande beaucoup d’aides publiquesCe n’est plus vrai du toutDévelopper les énergies renouvelables a coûté de l’argent public, le temps d’aider le marché à décoller, jusqu’à ce que cette énergie soit compétitive.Aujourd’hui les solaire est compétitif ! D’ailleurs, Aujourd’hui, ce sont les énergies renouvelables qui apportent des recettes à l’Etat et non l’inverse.Les montants sont très importants : la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) indique, que, dans les conditions actuelles toutes les filières d’énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l’Etat, pour une contribution cumulée, de plus de 30 Md€ au titre de 2022 et 2023 Les filières contributives sont, par ordre d’importance : l’éolien terrestre, le photovoltaïque à hauteur, l’hydroélectricité et le biométhane.Fin 2024, les EnR auront rapporté plus à l’Etat qu’elles n’ont coûté depuis qu’elles sont soutenues !Le PV ne rapporterait rien aux communes ?FauxLa production d’électricité photovoltaïque est soumise à l’IFER, qui est un impôt prélevé au profit des collectivités territoriales. Une partie de cet IFER est reversée directement aux communes sur lesquelles sont installées les centrales photovoltaïques.Ordre de grandeur : une installation au sol de 20MW apporte plus de 60 000 € / an aux collectivité locales (Département et communauté de communes) dont au moins 20% directement à la Commune.Un parc PV sur une commune permet de baisser les impôts locaux ou de financer des projets locaux, sans solliciter les contribuables !Le photovoltaïque ne produit pas par temps couvert et en hiver. En France, ça ne produirait presque pasFauxUn panneau produit plus en été par beau temps qu’en hivers pas temps nuageux, c’est une évidence.Cependant, un panneau PV produit bien de l’électricité toute l’année. Pour preuve : les réémetteurs de télécom en haute montagne sont alimentés par des panneaux solaires, toute l’année. Ils fonctionnement été comme hivers.La quantité d’énergie produite sur l’année est importante.En France, en moyenne 1kWc (soit 5m²) environ 1300 kWh/an (1,3 MWh/an), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an).En France, bien que l’on ne soit qu’au début, en 2021, le solaire PV a déjà fourni 3% de l’énergie électrique consommée en France (contre 2,8 % en 2020), (3% = 14,3TWh)Les panneaux solaires ne fonctionneraient que s’ils sont exactement orientés plein SudFauxUn panneau produit le maximum annuel s’il est orienté plein sud. Mais il ne perd que quelques % s’il est orienté sud-est ou sud-ouest. Aujourd’hui les panneaux sont bifaciaux, cela signifie de même la face arrière produit : si elle est orientée vers le sol, est fait de l’électricité grâce à la luminosité réfléchie sur le sol, que l’on appelle l’albédo. L’orientation et l’inclinaison des panneaux est une question d’optimisation de la production, mais on a une véritable souplesse d’installation.Au sujet de la pertinence environnementaleUne installation PV fournit-elle plus d’énergie que ce qui a été consommé pour sa fabrication ?Oui ! Beaucoup beaucoup plus !En France, un système PV utilisant des modules en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication est de moins de 2 ans depuis des années. Il est même passé en dessous de 1 an avec les dernières générations de panneaux, qui utilisent de moins en moins de matière, pour une puissance de plus en plus forte). Or un panneau dure plus de 40 ans. Un panneau fournit donc 40x plus d’énergie qu’il n’en consomme lors de sa fabrication. Ce ratio est donc excellent et place le photovoltaïque parmi les meilleures énergies.Un panneau PV pollue et ne se recycle pas ?Faux et archi fauxEn masse, près de 95 % d’un module en fin de vie est valorisé. La filière est parfaitement organisée.Aujourd’hui on récupère le silicium (du verre et des cellules) pour en refaire du verre. Le cadre en aluminium (un autre matériau qui se recycle très bien). Le métal argent qui est utilisé pour les connexions électriques. Il ne reste que 5% de matière non recyclée, mais l’amélioration continue.Le recyclage est bien organisé : l’éco-organisme SOREN, se charge de collecter les panneaux usagés, et de les recycler. Faire recycler un panneau ne coûte rien à son propriétaire, quelle que soit la marque et l’origine du panneau, car une éco participation a été payée initialement pour financer la collecte, le tri et le recyclage.La France est l’un de premier opérateur européen de cette activité de recyclage.Bref un panneau solaire se recycle très bien et la filière est bien organisée.Un système PV émettrait beaucoup de CO2FauxLe solaire est l’une des sources d’électricité très faiblement émettrice de CO2 !Une installation PV (sur toiture à base de panneaux en silicium monocristallin) émet en moyenne30 gCO2eq/kWh. (Ce, en intégrant tout le cycle de vie, y compris si le panneau vient de Chine)C’est 16 à 33 x moins que les énergies fossiles. (Les centrales à énergie fossiles (à gaz, charbon ou fioul) émettent 500 à 1000 gCO2eq/kWh.)C’est 8 x moins que la moyenne des énergie électriques du réseau européen (les émissions moyennes du système électrique européen étaient de 231 gCO2eq/kWh en 2020 soit 8 x plus.Non seulement le PV émet peu de CO2, mais, avec la prolongation de la durée de vie d’un panneau, et la perspective de fabrication de panneaux en Europe, les progrès techniques de fabrication font que ce ratio pourra encore s’améliorer en descendant jusqu’à ce ratio pourra encore s’améliorer en tombant à 15g puis 10 CO2eq/kWh !Bref : le photovoltaïque est l’une des meilleures solutions pour produire de l’électricité décarbonéeUne installation PV au sol dégraderait les solsFaux !Les producteurs d’installation PV, à partir de panneaux installés au sol s’engagent à tout démonter à la fin du projet (dans 30 ou 40 ans) s’il n’est pas reconduit pour une nouvelle période (ce qui sera souvent fait en plaçant une nouvelle génération de panneaux). C’est assez simple car les supports sont généralement fixés sur des pieux battus ou vissés dans le sol (sans le moindre béton).NB : soulignons que toute grande installation PV au sol fait l’objet d’une étude d’impact environnemental préalablement à l’obtention de son permis de construire !Le photovoltaïque au sol c’est visuellement hideuxTout est relatif !Ce n’est certes pas invisible, mais c’est souvent très discret : de nombreuses personnes roulent chaque matin à côté d’un champs PV (au sol le long d’une autoroute, sans le savoir, car des haies installées à la périphérie cachent bien le site. En tous cas, ce n’est pas en hauteur, cela ne fait pas de bruit… l’impact visuel est souvent très limité.En tous cas c’est moins visible qu’une centrale au charbon, qu’une centrale nucléaire, etc, etc.NB l’étude d’impact prend en compte l’impact visuel lors de la conception du projet.Au sujet de l'exploitation des centralesLes panneaux solaires, demandent beaucoup l’entretienFauxParmi tous les moyens de production d’électricité, le photovoltaïque est celui qui demande le moins d’entretien : pas de mécanique, aucune pièce en mouvement, pas de carburant à apporter… etc. C’est bien pour cela que nos satellites sont tous électrifiés par panneaux solaires (il n’est pas nécessaire d’envoyer un “astronaute de maintenance” tous les mois !) Mais aussi les balises en mer, les réémetteurs télécom en haute montagne, les refuges alpins, etc. Partout où il est difficile d’envoyer un technicien de maintenance, le photovoltaïque a été choisi avant tout pour sa simplicité d’entretien.C’est aussi cette simplicité qui explique que les panneaux aient une garantie de 35 ans.Cependant, dans une installation PV il y a aussi des onduleurs électroniques. Ils ont en général une durée de vie de 10 à 15 ans. Ils sont généralement contrôlés à distance et remplacés lorsque nécessaire….En bref de l’entretien oui, mais beaucoup moins que les autres moyens de production d’électricité.Un panneau solaire, c’est fragile ?FauxC’est plus solide qu’une fenêtre de toit. C’est équivalent à un pare-brise d’automobile… et plus solide que des tuiles.Bref, ce n’est pas incassable, mais ce n’est pas fragile.Au sujet de la vision à l’échelle nationale, à moyen termeLa France est en retard sur ses objectifsC’est vrai, malheureusementLa programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit 20 GW installés en 2023 et entre 35 et 44 GW en 2028. En septembre 2021, 13,2GW étaient raccordés, soit 66% de l’objectif 2023. La Fr est le seul pays de l’UE en retard sur ses engagements. Le rattrapage du retard coûtera 500M€ au Gvt français (et donc au contribuable).La France annonce qu’elle veut accélérer et changer d’échelle et développer plus de « fermes solaires ».Une ferme solaire, c’est du photovoltaïque sur une ferme agricole ?NonCette expression vient d’une traduction littérale de l’anglais « photovoltaïc farm ». Un ferme photovoltaïque est tout simplement une installation de panneaux photovoltaïques, au sol, sur un grand terrain, pour produire de l’électricité. En bon français on devrait dire une « centrale photovoltaïque ».Développer plus de fermes solaires, c’est développer plus d’installations de grande surface…A ce sujet, on dit que les surfaces nécessaires seraient hallucinantesFauxAyons les ordres de grandeur en tête :La France à l’ambition de multiplier par 10 la puissance PV installée d’ici 2050 (annonce rappelée par le Pdt lors de son discours à Belfort en 2022. Multiplier le parc installé par 10 revient à atteindre 100 à 130 GW installés en 2050.=> la production sera alors de 160 TWh/an, soit 25% de la conso totale d’élec (qui sera de 640 Twh/an)Quelle surface faudra-t-il ?Si la moitié est installé sur des toitures, des parkings, l’autre moitié devra être installée au sol (c’est nécessaire pour atteindre l’objectif et pour produire une énergie très compétitive).Il faudrait donc installer 65 GW au sol ? Cela demanderait environ 60 000 ha = soit seulement 0,2% de la SAU, soit 2 millièmes des terres agricoles (* : La SAU totale de la France est de 29 millions d’ha). Et on ferait cela en 22 ans (d’aujourd’hui à 2055), il faudrait donc trouver 2 700 ha/an (60 000 / 22 = env 2727)Pour avoir un point de repère : C’est 10x fois moins que les terres que l’on affecte chaque année à la construction de maisons (27 000 ha par an en moyenne sur 2006-2016)Non la production d’une part importante de notre électricité par énergie solaire ne demande pas des surfaces hallucinantes. Nous n’aurons pas de choix cornélien à faire entre souveraineté énergétique et souveraineté alimentaire !Donc la France a raison de vouloir accélérer !Les énergies renouvelables seraient un risque pour la stabilité du réseau ?FauxPour l’instant on fait de l’ordre de 3% du mix électrique en PV. L’objectif est de monter à 25% d’ici à 2050. Cela ne fera ne fera pas courir de risque sur la stabilité du réseau.Et c’est RTE qui le dit : RTE est le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, changé notamment d’assurer la stabilité du réseau à moyen et long terme.Par ailleurs, RTE souligne aussi, qu’il est indispensable d’accélérer le développement des énergies renouvelables pour répondre à la croissance de la demande d’électricité en France (quelle que soit la part qui serait produite par le nucléaire.)Pour aller au-delà de 25%, après 2050, il faudra sans doute continuer d’améliorer nos solutions de flexibilité et de stockage. Des travaux sont déjà en cours, mais il n’y a aucune raison de ne pas accélérer jusqu’en 2050.Les panneaux solaires sont fabriqués en ChineC’est vrai… tout comme votre téléphone portable !C’est vrai et c’est regrettable : avant moratoire des projets industriels étaient en préparation. Les tergiversations françaises les ont fait renoncer… Lorsque nous nous sommes arrêté les Chinois ont accéléré. Ils ont eu raison.Heureusement, ce n’est pas inéluctable : des projets de Giga Usines de production de panneaux solaires en France sont de nouveau à l’étude.C’est économiquement tout à fait possible, car le surcoût d’une main d’œuvre européenne (par rapport à la main d’œuvre chinoise) est compensé par la réduction des coûts de transport.Et on a toutes les compétences pour réussir une industrie PV en FranceUne R&D de haut niveau à l’INESDes champions des semi-conducteur (STM),Des champions de la conversion d’énergie (Schneider)Des industriels du Verre Saint-GobainDe grande compétence en ingénierie industrielle.Plusieurs projets de construction d’usine en France et en Europe sont en cours.Mais alors le PV contribue-t-il à notre indépendance énergétique ?Oui !Il faut bien distinguer l’usine et le carburant !Lorsqu’un panneau est installé, (d’où qu’il vienne) il va produire de l’électricité, là où il est installé, pendant 40 ans, sans que l’on n’ait rien à importer (ni gaz, niche charbon, ni uranium...)Le « carburant » est le rayonnement solaire. Aucun pays ne peut ne couper ce robinet-là. Donc même avec des panneaux importés, le solaire contribue à notre indépendance.Et ce sera encore plus vrai, encore plus satisfaisant, lorsque nous produirons les panneaux en France…Donc oui le PV contribue à notre indépendance énergétique.Ajoutons queLe PV peut se mettre en œuvre très vite si on le souhaite, au cœur des territoiresLe PV contribue aussi la baisse des prix de l’électricité donc au pouvoir d’achat des consommateurs et à la compétitivité de notre économie,Le PV contribue à la décarbonation de notre énergieLe PV peut apporter des services utiles au monde agricoleLe PV contribuera certainement à la réindustrialisation de la FranceIl est urgent d’évacuer les arguments faux ou surannés et les polémiques stériles.Le photovoltaïque est l’une de plus belle raison d’être optimistes face aux défis actuels : Il faut que nous nous y engagions de manière unie, avec enthousiasme…Tribune de Stéphane Maureau, Directeur Général – CEO de UNITe (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 176 jours

RTE mise aussi sur les maisons connectées pour réduire la consommation d'énergie

"Les solutions existent", a souligné le président du directoire du gestionnaire du réseau de transport d'électricité français, Xavier Piechaczyk, estimant que l'"enjeu collectif" était désormais "le déploiement massif et rapide" de ces technologies.Seuls 6% des bâtiments tertiaires (bureaux ou commerces) de plus de 1.000 m2 en France sont dotés d'outils de pilotage fonctionnels et récents pour la ventilation, le chauffage ou l'éclairage. Du côté des logements privés, 12% utilisaient des solutions de pilotage ou de programmation en 2018.Un jour d'hiver, ces bâtiments représentent pourtant "plus de 70%" de la consommation électrique française, selon RTE, relevant qu'ils pourraient représenter un levier crucial en cas de tensions sur le réseau et d'alerte Ecowatt."Les coupures ne sont pas une fatalité", a affirmé M. Piechaczyk, alors que RTE signale régulièrement le retard des bâtiments tertiaires en matière d'économies d'énergie.Des systèmes intelligents -- prises, thermostats ou chauffages connectés -- permettent des économies considérables, a relevé RTE lors d'une conférence de presse, aux côtés des fédérations Gimelec et Ignes d'industriels proposant des outils de pilotage énergétique.Pour les bâtiments tertiaires, la consommation d'énergie passe de 300 kilowattheures par mètre carré et par an à 180 kWh/m2 avec la simple installation d'outils de pilotage centralisés, a expliqué Laurent Bataille, président du Gimelec et du groupe Schneider Electric France.RTE espère désormais que de plus en plus de bâtiments automatiseront leur consommation en fonction des alertes Ecowatt grâce à des installations de domotique, qui réduiront la température ou décaleront les horaires de chauffage.Un test mené par RTE sur quatre bâtiments, dont son propre siège, suggère un potentiel de baisse de la consommation d'un tiers avec la réduction de la ventilation, l'immobilisation de certains ascenseurs ou les coupures d'éclairage."Ce n'est pas du moyen ou long terme, c'est en vente", a affirmé M. Piechaczyk, une prise électrique connectée à la main.
Il y a 2 ans et 191 jours

Produits du Bâtiment : reconditionner pour ne plus jeter !

TÉMOIGNAGES. Récupérer, réparer et remettre sur le marché... Ils sont encore peu dans le Bâtiment à intégrer le reconditionnement dans leur process industriel. Cependant, certains commencent à proposer ce service pour quelques produits. C'est le cas de Delta Dore et de Schneider Electric qui nous en disent plus sur cette activité.
Il y a 2 ans et 200 jours

Hidalgo promet à Paris un plan d'investissement grâce à la hausse de la taxe foncière

Le texte de l'exécutif voté mardi lors du débat d'orientation budgétaire "permettra d'élaborer sereinement, maintenant que nous savons nos capacités d'autofinancement, un plan d'investissement pour la deuxième partie de la mandature (...) sur nos projets prioritaires", a déclaré Paul Simondon (PS).Les écologistes, alliés turbulents des socialistes, et l'opposition réclament depuis des mois un programme d'investissement de la mandature (PIM) dans un contexte budgétaire assombri par les crises sanitaire et énergétique. Leur demande était à chaque fois repoussée par l'exécutif.Mais lundi 7 novembre, Anne Hidalgo a annoncé une hausse de 52% de la taxe foncière pour les propriétaires parisiens, qui représentent un tiers des 2 millions d'habitants de la capitale. Cette hausse devrait rapporter environ 580 millions d'euros supplémentaires à la Ville dès 2023.L'élue socialiste a ainsi renoncé à sa promesse électorale, en 2020, de ne pas augmenter les impôts locaux."Je ne pourrai pas tenir cet engagement", a-t-elle reconnu en séance, appelant les propriétaires parisiens à la "solidarité" pour lui permettre "de tenir un service public de qualité".Elle a une nouvelle fois reproché fois au gouvernement l'augmentation de la contribution de solidarité imposée à la capitale: "Les contribuables payent 720 millions d'euros pour le budget de l'Etat", a-t-elle réaffirmé, alors que la dotation globale de fonctionnement reçue en retour "s'élève à 40.000 euros".Jeudi, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal avait balayé ces critiques, réclamant à Anne Hidalgo des "réformes de structure" et une meilleure maîtrise des "dépenses discrétionnaires de subventions, qui ont très fortement augmenté ces dernières années".Ce mardi, les élus LR et apparentés, principal groupe d'opposition, ont boycotté le débat budgétaire, leur cheffe de file Rachida Dati fustigeant face à la presse une "politique de braquage des Parisiens".Anne Hidalgo "avait dit, juste avant l'été, que jamais elle n'augmenterait les impôts", a rappelé la maire du VIIe arrondissement, dénonçant "l'irrespect de la parole publique" et réclamant un "audit des dépenses courantes et des politiques publiques" de la mairie.
Il y a 2 ans et 200 jours

Deux maisons individuelles certifiées « Cradle to Cradle »

Ariane Constructions achève, à Bordeaux, ses deux premières maisons individuelles référencées « Cradle to Cradle ». Pour être certifié, le projet a dû utiliser des matériaux recyclables, sains et sobres en carbone. Reportage. Rien ne distingue d’un chantier traditionnel ces deux maisons en construction au numéro 141 de la rue Jude, à Bordeaux (33) : un sol boueux, des blocs béton qui attendent leur enduit de finition, des ouvriers qui s’affairent, des matériaux de construction entreposés çà et là… Et pourtant, ce chantier est unique en son genre. Fin 2022, s’élèveront ici les deux premières maisons certifiées Cradle to Cradle (C2C) en France. Sur ce marché de la maison individuelle d’ordinaire si peu concerné par la cause environnementale, le constructeur Ariane Constructions (groupe Cina – Compa­gnie immobilière Nouvelle-­Aquitaine) se distingue : « L’idée était d’envoyer un signal qui soit déterminant pour ce marché. Lequel est parfois chahuté par les pouvoirs et politiques publics qui ne l’encouragent guère… Alors que s’exprime un réel désir de maison individuelle », note Philippe Petiot, président du directoire du groupe Cina. Le signal, c’est le C2C, présenté comme un bon compromis entre les attentes des Français et les exigences environnementales de la réglementation.   Passeports circulaires   La démarche « Cradle to Cradle », littéralement « du berceau au berceau », tire sa genèse de l’organisation du même nom. Cette dernière évalue les matériaux en fonction de leurs performances et selon des exigences scientifiques, dans cinq catégories de durabilité : réutilisation des matériaux, utilisation de matériaux sains, recours à des énergies renouvelables et à une gestion du carbone, gestion de l’eau, responsabilité sociétale. Après évaluation, une certification Cradle to Cradle Certified est délivrée en conséquence. « Le principal défi de cette démarche a été d’embarquer avec nous tout un panel d’industriels et les amener à faire certifier leurs produits, par exemple sur la non-toxicité des matériaux, leur réutilisation en fin de cycle de vie, leur bilan carbone, la consommation d’énergie (à la production et à l’usage, NDLR), etc. », détaille Pierre Philippe, directeur achats du groupe Cina. Dans cette optique, Ariane Constructions s’est associée au bureau d’études Upcyclea, spécialisé dans l’économie circulaire et dans la certification C2C. Sur la base d’audits, les produits des industriels sont ainsi évalués, de même leurs fournisseurs ou encore la traçabilité des matériaux. Upcyclea délivre ensuite un passeport établi selon les critères de la norme Cradle to Cradle. Passeport qui facilite le calcul de l’empreinte carbone des matériaux, leur degré de circularité et de non-toxicité. À noter, la certification C2C doit être renouvelée chaque année. Précision importante : « Tous les industriels (travaillant sur le chantier, NDLR) ne sont pas certifiés Cradle to Cradle. Mais tous ont dû remplir le passeport circulaire et communiquer sur leurs produits. Ensuite, nous avons sélectionné ceux qui étaient les mieux valorisés afin de ne pas pénaliser le projet, détaille Candie Serre, directrice d’Ariane Constructions. Un noyau dur de partenaires est certifié et nous disposons de toute une gamme d’entreprises, qui s’inscrit dans la démarche. » Concrètement, seuls cinq industriels sont certifiés Cradle to Cradle sur ce chantier : Actis pour les isolants minces Hybris, Tarkett pour les sols souples, Siniat pour les plaques de plâtre, Grohe pour l’équipement sanitaire et Schneider pour l’installation électrique. Selon Ariane, sur les soixante-quinze produits de construction utilisés pour réaliser ces deux logements, dix-sept d’entre eux sont considérés comme répondant aux exigences C2C sans pour autant être certifiés, et représentent à eux seuls 71 % de la masse de la maison. Lucien Brenet   Mathieu Lassalle, chargé d’affaires prescription Actis « Et la certification n’est pas non plus acquise pour toujours. » « Lorsque nous avons été sollicités par Ariane pour ce projet, nous n’étions pas certifiés Cradle to Cradle (C2C). Mais nous nous inscrivions déjà dans une démarche responsable, de la production de nos produits jusqu’à la pose, et nous étions engagés dans le processus de fabrication de l’Hybris. La certification était pour Actis une conséquence logique. Nous avons donc suivi de longues démarches, afin d’obtenir le passeport Upcyclea. Notamment plusieurs audits internes de nos fournisseurs pour s’assurer de la traçabilité de nos matériaux – Actis a lui-même été audité, NDLR. Et la certification n’est pas non plus acquise pour toujours. Nous devons donc rechercher une amélioration perpétuelle de nos process car, l’année prochaine, nous serons une nouvelle fois audités pour déterminer si nous pouvons conserver la certification C2C. » 1/ Recyclage et réduction de l’empreinte carbone Les deux logements C2C renferment plusieurs produits recyclables, conçus en partie à base de matériaux eux-mêmes recyclés. Ainsi, les isolants Hybris d’Actis, utilisés pour les murs et les rampants, renferment 15 à 20 % de polyéthylène recyclé. « À l’intérieur de l’usine, nous récupérons toutes les chutes de produits de fabrication et les réinjectons dans le processus pour les transformer en billes de polyéthylène qui deviendront plus tard des isolants », détaille Mathieu Lassalle, chargé d’affaires prescription chez Actis. Le produit, lui, est composé à partir de polyéthylène basse densité (PEBD), bien sûr recyclé. Bien que constitué de matière plastique, Hybris est donc recyclable à 100 % et à l’infini, assure l’industriel. Également issus du recyclage, le plâtre, à hauteur de 30 %, utilisé dans la fabrication des plaques Siniat, les plastiques (20 %) composant les entrevous (KP1). Ou encore les granulats (40 %) entrant dans la composition du béton des parpaings Airium (Lafarge Holcim). Chaque parpaing est ici rempli de mousse isolante recyclable, composée de 5 % de ciment et 95 % d’air. Dans sa recherche de matériaux plus vertueux, Ariane Constructions assure discuter avec Lafarge-Holcim sur la possible fourniture de bétons décarbonés à 70 %. À suivre. N’oublions pas les revêtements de façade Parexlanco, également recyclables et réinjectables. Les déchets de chantier sont récupérés, triés, puis réintroduits dans les circuits de production des industriels.Photo : Ariane Constructions    Le taux de CO2 du béton utilisé pour les fondations a été réduit de 20 %.Photo : Ariane Constructions 2/ Non-toxicité des matériaux Autre pilier de la démarche, l’innocuité des matériaux de construction. À base de produits naturels, la formule des peintures Unikalo qui sera appliquée en finition n’entraîne aucun rejet nocif ou toxique. Elle est labellisée NF environnement et attestée Zone Verte Excell. Autre exemple avec l’isolant Hybris (Actis), qui ne dégage ni COV ni particule nocive (formaldéhyde, phénol…) ou irritante. Et ce, pendant toute sa durée de vie. Le produit est d’ailleurs classé A+ pour la qualité de l’air intérieur (QAI), selon la norme NF EN ISO 16000. Tout aussi indispensable pour une bonne QAI, le système de ventilation simple flux Health Box 3.0 (Renson) est équipé d’un extracteur de CO2 dans les pièces de vie et d’un extracteur d’humidité dans les pièces techniques. Lesquels s’enclenchent lorsque les capteurs disséminés dans le logement détectent le moindre dépassement de seuils.  L’ensemble des produits et systèmes utilisés sont classé A+ ou A pour la qualité de l’air intérieur.Photo : Ariane Constructions  Les blocs béton intègrent la mousse minérale isolante Airium de Lafarge Holcim. Les parpaings sont mis en œuvre à joints minces. Atouts : facilité de pose, absence de ponts thermiques par les joints, réduction de matière et diminution de la consommation d’eau.Photo : Ariane Constructions  Le film réflecteur de l’isolant renvoie jusqu’à 95 % des rayonnements solaires vers l’extérieur en été, et permet au contraire de conserver, en hiver, la chaleur à l’intérieur.Photo : Ariane Constructions 3/ Réduire les consommations d’énergie Les logements ne sont pas autosuffisants. Mais selon les concepteurs, ils se situent entre la maison passive et un projet RE2020. Dans le cas présent, Ariane assure gagner de 5 à 6 °C en confort d’été par rapport à un chantier traditionnel. Et ce, grâce aux produits comme l’isolant Hybris (Actis) – « À lui seul, il fait gagner jusqu’à 2 °C de confort d’été », souligne le fabricant –, les plafonds rafraîchissants Plafino d’Innovert (Atlantic), les blocs béton Airium de Lafarge Holcim, la box domotique Somfy qui, équipée d’une horloge crépusculaire, gère automatiquement les ouvrants. Tous ces éléments permettent de réduire la climatisation en été et en chauffage l’hiver. La pompe à chaleur Alféa Extensa A.I R32 d’Atlantic est, quant à elle, dotée d’un régulateur de température Inverter. Ce dernier optimise la consommation de la PAC en adaptant son régime aux besoins. Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Deux maisons individuelles certifiées « Cradle to Cradle » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 201 jours

Matter, le nouveau standard de la domotique, est arrivé

Une douzaine d’entreprises mondiales, dont Schneider Electric, Netatmo du Groupe Legrand et Somfy, se sont réunies à Amsterdam le 3 novembre pour lancer la version 1.0 de Matter
Il y a 2 ans et 260 jours

Le matériau bois : une partie de la solution pour décarboner la construction

En France, la part du bois dans la construction (secteur résidentiel et non résidentiel) atteint près de 10 % et devrait fortement progresser dans les prochaines années*. Utilisé dans la construction depuis toujours, le bois s’impose dorénavant en tête des matériaux renouvelables et biosourcés et ses usages se diversifient. Il entre ainsi dans la construction, la réhabilitation, la rénovation et l’aménagement. Le bois représente des enjeux écologiques, sociétaux et environnementaux majeurs. Développement du Grand Paris, chantiers liés aux Jeux Olympiques, construction grande hauteur, maison individuelle... les débouchés ne manquent pas aussi bien dans la construction collective qu’individuelle, pour le tertiaire comme pour le résidentiel. La mise en application récente de la RE 2020 est également un facteur de développement du marché pour les prochaines années.BATIMAT met une nouvelle fois en lumière la construction bois et toute la filière en amont comme en aval. Un secteur de 1 521 m2, lui est entièrement dédié dans le Pavillon 1 avec près de 40 exposants inscrits à date. Il s’agit d’organismes tels que FNCB CFDT, FRANCE BOIS FORET, CODIFAB et d’industriels de renom : ADKALIS, AGIBOIS SAS, ALSAFIX, ARCLIN LLC, BEST WOOD SCHNEIDER, C.B.S.T./ SCIERIE JOSLET, CAMBRAI CHARPENTE, ESSETRE S.R.L. UNIPERSONALE, FELIX DISTRIBUTION, GOLBALUX SP. Z O.O., GRABO, GROUPE BERKEM, GROUPE SETIN, HANS HUNDEGGER AG, JUNGINGER NATURHOLZWERK GMBH, KAMEOKA CONSTRUCTION CO., LTD, KYOCERA UNIMERCO FASTENING A/S, LES FILS DE CYRILLE DUCRET, LIGNATEC, LIXOL, MACH DIFFUSION, MALAYSIAN TIMBER COUNCIL, MANUBOIS, MAX EUROPE BV, MONNET SEVE, PGB EUROPE NV, PIVETEAU BOIS, SCHILLIGER BOIS SAS, SCIERIE EYMARD, SELECTION VOSGES, SIMONIN SAS, SIMPSON STRONG TIE, STEICO SE, TECHNIWOOD.Cet espace, ainsi que les conférences dédiées permettent à la fois de saisir tous les enjeux fondamentaux de ce matériau et de valoriser la diversité des produits en bois français.* France Bois Forêt – Le Bois dans la Construction – sept 2020Les conférencesLe bois est au cœur des sujets de décarbonation et sera notamment la thématique de deux conférences Experts’Corner :Mercredi 5 octobre de 16h à 16h45. (Agora 1, Pavillon 1) :Bois & traçabilité dans le cadre des Jeux de Paris. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence sera animée par Marie Jorio, Coordinatrice du Projet France Bois 2024 (projet accompagnant le bois dans les Jeux de Paris soutenu par le CODIFAB et France Bois Forêt, accompagné par le CNDB) qui animera en présence de Georges-Henri Florentin, Président de France Bois 2024, une table ronde composée de Jérôme Martinez, Responsable du Label Bois de France ; Paul Emmanuel Huet, Directeur Exécutif PEFC France ; Aurélien Sautière, Directeur Exécutif FSC France, la Solidéo et Paris 2024.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDBJeudi 6 octobre de 16h à 16h45 :Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2030. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence traitera en introduction de la RE2020, du positionnement des bâtiments actuels, des objectifs du futur. Une table ronde donneraensuite la parole à deux cabinets d’architectes qui viendront témoigner lors de cette session de leurs projets ou réalisations respectives, dont le cabinet A003 architecte.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDB.Il sera aussi l’une des thématiques phares du plateau TV de Bati-Journal, organisé par Éditions des Halles et BATIMAT et situé au cœur du secteur bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Le bois sera abordé lors de quatre émissions :La préfabrication des bâtiments boisConstruction bois, préserver la ressourceLe bois, matériau biosourcé par essenceLe bois, matériau des circuits courtsDemandez votre invitation gratuite pour BATIMAT
Il y a 2 ans et 266 jours

Paris devrait annoncer prochainement un plan de sobriété énergétique

"La sobriété énergétique, la protection des Parisiens et l'accélération de la transition énergétique" sont les trois priorités actées par la maire et sa majorité de gauche lors d'un séminaire de rentrée lundi, a résumé Dan Lert (EELV) en inaugurant dans le XIIe arrondissement des panneaux solaires permettant de couvrir la consommation annuelle d'une douzaine de foyers."C'est peu, pour Paris, mais c'est déjà ça", a résumé Patrick Gèze, président d'Enercitif, une "coopérative citoyenne d'énergies renouvelables" avec laquelle la ville a réalisé ces dernières années 15 projets de panneaux photovoltaïques sur les toits de ses bâtiments publics.En tout, Paris compte actuellement environ 500 installations photovoltaïques, dont un quart sur des bâtiments de la mairie.Selon Dan Lert, la capitale est actuellement alimentée à 21% par les énergies renouvelables, dont 7% qu'elle produit elle-même. "Notre objectif, c'est 45% en 2030, dont 10% produits localement", rappelle-t-il."La marche est très haute, il ne faut pas se le cacher", concède l'élu, qui appelle le gouvernement à faire un "choix clair" en stabilisant un environnement juridique jusqu'ici "mouvant" et en facilitant les "contrats directs avec les producteurs d'énergies renouvelables" et "la massification de l'auto-consommation", soit une production solaire directe pour les habitants ou usagers de l'immeuble.A travers un nouveau programme, la Ville va lancer sur 12.000 m2 de surface 15 autres centrales d'énergie solaire, dont 3 en 2023, a-t-il annoncé.Sur la rénovation énergétique, M. Lert a rappelé que la ville avait "triplé les budgets" pour la rénovation énergétique des bâtiments, à travers un nouveau plan de près de 60 millions d'euros pour un objectif ambitieux de 40.000 logements rénovés par an à l'horizon 2030.Le deuxième Plan Climat parisien voté en 2018 vise à faire de la capitale une ville neutre en carbone en 2050.
Il y a 2 ans et 306 jours

En bonne forme au 1er semestre 2022, Schneider Electric revoit ses objectifs à la hausse

RÉSULTATS. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, annonce des résultats en hausse au premier semestre 2022. On peut également souligner un deuxième trimestre tonique.