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Résultats de recherche pour vibrations

(173 résultats)
Il y a 193 jours

La collection « NÉO-VIBRATIONS » par AMCA OVAL, éditée par Carpet Society – La couleur vibrante

Depuis sa création, le duo AMCA OVAL s’est distingué par la conception d’objets textiles fonctionnels, imaginés et conçus par Alexis Martial, issus de sa série emblématique Vibrations. « La série Vibrations est née de mes recherches sur les palettes de couleurs et les textiles développées pour nos défilés et collections de prêt-à-porter. Cette démarche m’a […]
Il y a 1 ans et 3 jours

Retour au pays du Re (bis)

Avec l’impression d’une répétition synchrone, mon trajet se déroule immuablement de la même manière en venant de Saïgon entre l’élégant aéroport Charles-de-Gaulle et le centre de Paris. Chronique du Mékong. Mes capteurs sensoriels se mettent en éveil après une demi-journée passée dans les vibrations d’avion. D’abord le silence d’une route nette, dessinée ou le sifflement […] L’article Retour au pays du Re (bis) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 120 jours

Quatre nouvelles références rejoignent la plateforme d’outils de chantier sur batterie MX FUEL™ Zéro Émission* MILWAUKEE® : une découpeuse béton 350 mm, deux nouvelles batteries 8,0 Ah et 12,0 Ah, et un super chargeur.

S’appuyant sur les atouts de la technologie FUEL™, le système MX FUEL™ atteint de nouveaux niveaux de performance sans fil. Axé sur l’équivalence des outils thermiques, filaires et pneumatiques, MILWAUKEE® offre des performances pour les utilisateurs professionnels, tout en éliminant les risques liés aux émissions, au bruit, aux vibrations et à l’entretien de l’outil.  MX […]
Il y a 1 ans et 136 jours

Comportements vibratoires et acoustiques des bâtiments en bois

© ShutterstockEntretien avec Catherine Guigou, PhD., ingénieure recherche et expertise à la direction Santé-Confort et Manuel Manthey, PhD., ingénieur expertise structures à la direction Sécurité, Structures, Feu. En quoi le comportement du bois est-il spécifique sur les plans acoustique et vibratoire ? Catherine Guigou : Les bruits se propagent aisément dans l’air et dans tous types de matériaux par mise en vibration de ceux-ci. Quels que soient les modes constructifs, les bruits peuvent ainsi se transmettre dans les éléments structurels (poteaux, poutres, planchers, voiles). La construction bois présente des difficultés particulières du point de vue acoustique et vibratoire. La structuration fibreuse des éléments en bois induit en effet une conduction efficace des vibrations issues des chocs et confère aux structures une souplesse qui peut affecter le confort de marche. L’atténuation de ces effets suppose un dimensionnement en conséquence avec, notamment, des épaisseurs de plancher assez importantes. Une méthodologie a été développée afin d’améliorer la performance acoustique aux bruits aériens, dont les moyennes et hautes fréquences génèrent de l’inconfort pour les occupants. Cette méthodologie a été appliquée aux solutions poteaux-poutres en bois apparent. Par ailleurs, le ressenti, exprimé à travers des enquêtes menées sur l’occupation des bâtiments en bois (projet AcouBois), a permis d’identifier que la réglementation était insuffisamment exigeante au regard de la gêne induite par les bruits de choc, notamment pour les basses fréquences. Aussi, les solutions acoustiques proposées pour les bâtiments en bois doivent-elles prendre en compte ces contraintes dans un souci de confort en exploitation compatible avec les attentes des usagers. Quelles sont les différentes méthodes de prévision conçues par le CSTB ? Dès le début des années 2000, le CSTB a travaillé sur les performances acoustiques des constructions légères en bois. Le projet français Acoubois (2009-2014), mené en collaboration avec FCBA et Qualitel, a permis de franchir un grand pas en proposant une méthodologie d’évaluation de la performance acoustique et vibratoire du bâtiment, intégrée dans les normes EN ISO 12354-1 et -2 en 2017. Pour l’évaluation des transmissions latérales, les caractérisations des jonctions effectuées par le CSTB ont servi de base à la proposition d’une classification aujourd’hui reconnue. Les travaux de thèse de Corentin Coguenanff (2014-2016) sur la « Conception robuste aux incertitudes des systèmes légers bois en vibro-acoustique linéaire » ont permis la mise au point d’un logiciel de prévision pour les parois sur ossatures complétant l’outil commercialisé AcouSYS. Plus récemment, le CSTB a mené des travaux sur les bâtiments en panneaux CLT (Cross Laminated Timber), notamment dans le cadre d’Adivbois. Ces recherches ont proposé des mesures en laboratoire sur diverses configurations de plancher et sur un bâtiment démonstrateur construit sur le site du FCBA. Le CSTB a effectué la caractérisation des jonctions et les prévisions de performance incluant la comparaison avec les mesurages réalisés. À l’échelle du bâtiment, mais aussi du produit (plancher notamment), les vibrations causées par le vent ainsi que par les trafics ferroviaire et routier peuvent être source d’inconfort pour les usagers. Quels travaux ont été initiés pour répondre à cette problématique ? Manuel Manthey : Il y a quelques années, le CSTB et la RATP ont mis en évidence les contributions multidirectionnelles des vibrations ferroviaires dans le cadre d’un projet de recherche. Le besoin de modéliser la transmission des vibrations dans des structures poteaux-poutres, en bois pour le CSTB et de type haussmannien pour la RATP, a conduit à un partenariat scientifique associant l’université de Compiègne. Les premiers travaux sont basés sur une approche hydride (éléments finis 3D pour les jonctions et analytique pour les poteaux et poutres) dans laquelle la présence des parois (planchers et refends) est prise en compte, afin de caractériser plus particulièrement le couplage sol-structure pour une excitation ferroviaire multidirectionnelle. L’intégration de dispositifs de remédiation pour limiter la propagation des vibrations au niveau du bâtiment sera simulée, en vue d’apporter des solutions opérationnelles de réduction des nuisances dans la perspective du développement des Systèmes Express Régionaux Métropolitains. Par ailleurs, le comportement dynamique des constructions bois de grande hauteur sous sollicitations vibratoires et/ou aérodynamiques reste un sujet mal caractérisé. Plus légères que leurs alter-ego en béton, leur ratio poids-rigidité est, pour des hauteurs comparables, plus défavorable que les constructions béton ou métalliques et peut entraîner, sous certaines conditions de vent, des oscillations basses fréquences gênantes pour les occupants (syndrome de mal de mer). Un programme de recherche européen, DynaTTB (Dynamic Response of Tall Timber Buildings under Service Load), a été mené entre 2019 et 2023 avec plusieurs partenaires académiques et industriels pour mieux comprendre la réponse dynamique des constructions bois de grande hauteur. Dans ce cadre, neuf bâtiments ont fait l’objet de mesures in-situ avec, pour partie d’entre eux, l’utilisation de masse en tête allant jusqu’à 500 kg, permettant de les solliciter de manière contrôlée, et de mesurer, via des capteurs, les déplacements induits. Ces essais, couplés à des modélisations numériques paramétriques, permettent de mieux appréhender les facteurs clés pilotant cette réponse dynamique pour aider les concepteurs à prévoir la répartition des masses (quantité de matériau bois au bon endroit), afin de garantir le confort des occupants lors de ces épisodes de vent violent, qui seront plus fréquents du fait du changement climatique. CONTACT - N° 6 : Qualité des Environnements Intérieurs Les sujets de l’environnement intérieur et de la qualité de celui-ci ne sont pas nouveaux. Le bon sens, que l’on qualifierait aujourd’hui d’approche hygiéniste, a fait que, depuis des siècles, ils ont été abordés par les différentes sociétés et ont directement et indirectement contribué à façonner l’architecture des bâtiments tant extérieure qu’intérieure, dans une réponse objective aux enjeux sensoriels. PDF 6 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 1 ans et 195 jours

Plâtre & Lumière, Atelier Sedap

Assurant la direction artistique d’Atelier Sedap, Normal Studio signe une première collection de luminaires qui se compose d’appliques, de lampes et d’étagères lumineuses Elle explore les qualités versatiles du plâtre et le révèle sous un nouveau jour. La matière se revisite dans des effets de vibrations de surface créées par des microreliefs et des pigments […] L’article Plâtre & Lumière, Atelier Sedap est apparu en premier sur Archi.
Il y a 1 ans et 257 jours

A chacun son besoin de sécurité, à chacun son Home Alarm

Somfy Home Alarm, le seul système de sécurité qui s'adapte à vos besoins et votre vie quotidienne. Le matin, vous pouvez partir sereins. Les détecteurs de vibrations et d’ouvertures intelligents IntelliTAG intégrés dans votre pack vous alertent de manière préventive en cas de détection d'intrusion.
Il y a 1 ans et 363 jours

Poyatos : Des presses construites en série

Grâce à leurs vibrations à servomoteurs, les presses Poyatos se distinguent par des taux de production élevés.
Il y a 1 ans et 364 jours

Besser : Servopac Infinity, un système de vibrations breveté

Tout nouveau modèle de presse à blocs de la gamme Servopac de Besser, l’Infinity offre un système de vibrations breveté unique.
Il y a 2 ans et 3 jours

Première simulation de tremblement de terre sur un bâtiment en bois massif de 9 étages

A propos de la résistance sismique, il existe un certain nombre de mythes qui remettent en question la capacité du bois à résister correctement en cas de tremblement de terre. Cependant, sa ductilité lui permet de se déformer plastiquement sans se casser, absorbant et dissipant l’énergie générée par le mouvement et les vibrations. De plus, contrairement […]
Il y a 2 ans et 70 jours

“Mettre au point des solutions intégrées pour des bâtiments plus frugaux”

Thomas Toulemonde est responsable technique à AcoustB. Depuis 1995, ce bureau d'études se consacre à la maîtrise de l'acoustique dans le bâtiment, l'environnement, l'industrie et les vibrations. L'entreprise compte 43 salariés sur le territoire national et connaît depuis sept ans 15 % de croissance en France et à l'international. Très impliqué dans le développement des immeubles bas carbone, il a également pour particularité de développer ses propres outils de mesure et de calcul.
Il y a 2 ans et 84 jours

“ Faire converger les contraintes techniques des différents secteurs de l'ingénierie ”

Jean-Baptiste Bodin, chef de projets acoustique et vibrations de Peutz & Associés.
Il y a 2 ans et 105 jours

A Rouen, les énergies renouvelables s'installent sur un HLM

Sur cet immeuble d'un quartier populaire, géré par l'office HLM Rouen Habitat, huit éoliennes de toit sont en phase de test, avec une promesse : produire 20 à 30% de la consommation électrique des parties communes des 84 logements grâce à une énergie verte et (ultra) locale, selon WMR, qui commercialise ces "windbox".On ne voit rien depuis la rue, de ces huit cubes en tôle d'une tonne et six mètres-cube surmontés de panneaux solaires, installés à trente mètres du sol, à la jointure entre la façade et le toit plat de l'immeuble de 10 étages, "parce que c'est là que l'accélération du flux d'air est la plus importante", assure M. Maacha.L'ingénieur explique que "le flux d'air arrive sur la façade du bâtiment, est contraint de remonter jusqu'au toit, le vent horizontal qui souffle au sommet le guide alors vers la windbox pour faire tourner l'éolienne".A savoir un rotor horizontal, avec des pales en aluminium, relié par courroie à un générateur qui produit 1.500 watts. Les deux panneaux solaires sur le toit du cube produisent eux 750 watts, pour une emprise au sol de 4 m2. Multiplié par huit, le dispositif permettrait de produire l'équivalent de 20% à 30% de la consommation annuelle des deux ascenseurs, de l'éclairage et des VMC.C'est en moyenne 14MWh par an, "trois fois plus que la même surface occupée uniquement par des panneaux photovoltaïques", selon Yanis Maacha. Mais ces énergies sont intermittentes. "En hiver, les panneaux cessent de produire à 17h", reconnaît l'ingénieur. Toit platLes éoliennes produisent en moyenne 15 à 25% de leur capacité maximale (facteur de charge) et "quand elles produisent, le compteur de l'immeuble tire moins sur le réseau extérieur", selon lui.Pour pouvoir implanter ses windbox, WMR a un cahier des charges précis: une zone venteuse, la hauteur (8 à 10 mètres en plaine, 20 à 30 en ville), un toit plat pour cumuler vents horizontaux et ascendants, et aucun bâtiment de la même hauteur à moins de 100 mètres.Et une bonne isolation : "la toiture vient d'être refaite, nous avons veillé à l'étanchéité et l'absorption acoustique" du toit, détaille Paul Bernstein, 34 ans, chef de projet exploitation chez Rouen Habitat, le seul risque de nuisance étant les potentielles vibrations qui pourraient se transmettre au bâtiment.La start-up se veut aussi locale: "Toute l'éolienne est sourcée en France et assemblée à Saint-Nazaire, sauf le générateur, la Chine ayant le monopole des aimants permanents, les panneaux solaires viennent de Lituanie", précise M. Maacha.Fondée avec un ami rencontré à l'école des Ponts et Chaussées, sa start-up parisienne est arrivée à Rouen après une rencontre fortuite entre son associé et le maire de la ville, Nicolas Mayer-Rossignol, également à la tête de la métropole, et de Rouen Habitat, qui a supporté le coût total de l'opération de 53.000 euros."C'est extrêmement important comme projet, très innovant et je crois, unique en France", a déclaré le maire à l'AFP."Nous cherchions des moyens de faire baisser les factures d'électricité avec des énergies renouvelables", se remémore l'élu, qui entend "répondre aux enjeux +fin du monde+ et +fin du mois+" avec ce projet "bon pour l'écologie et pour le pouvoir d'achat des locataires".Installées depuis novembre 2022, les windbox restent en test pendant un an, en cas de succès, quatre nouveaux bâtiments potentiels aux alentours sont sur la liste d'attente pour produire leur propre énergie renouvelable.
Il y a 2 ans et 120 jours

Réforme des retraites : sur la pénibilité, le compte y est-il ?

Avec l'amélioration des "petites pensions", la prise en compte des "carrières longues" ou encore "l'index seniors", les mesures visant à "prévenir et réparer l'usure professionnelle" font partie des compensations sociales mises en avant par l'exécutif pour défendre son projet.Le compte professionnel de prévention (C2P) doit être déplafonné pour permettre aux salariés exposés à un ou plusieurs des six facteurs de risque listés par ce C2P (travail de nuit, répétitif, en 3x8, avec bruit, sous températures extrêmes, en milieu hyperbare) d'accumuler plus de points. Des droits qui permettent de financer des formations, de passer à temps partiel ou de valider jusqu'à huit trimestres pour un départ anticipé à la retraite: parfois dès 60 ans aujourd'hui, et donc 62 ans si l'âge légal de départ est relevé de deux ans en 2030.La valeur du point serait améliorée, ce qui permettrait d'accroître les droits à formation ou au temps partiel. Et le C2P devrait trouver un quatrième débouché avec la création d'un congé de reconversion, qui pourrait tenter des salariés souhaitant quitter des métiers pénibles.En outre les seuils d'acquisition de points seraient abaissés pour le travail nocturne (100 nuits par an contre 120 aujourd'hui) ou en "équipes successives alternantes", notamment en 3x8 (30 nuits contre 50). Ce qui ouvrirait des droits à 60.000 personnes de plus chaque année, selon le gouvernement.L'exécutif a en revanche refusé de réintégrer les trois facteurs de pénibilité dits "ergonomiques" (ports de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques) exclus du compte en 2017.Ces critères sont "extrêmement difficiles à mesurer individuellement", a fait valoir le ministre du Travail, Olivier Dussopt. Pas question, donc, de satisfaire la demande unanime des syndicats, qui exigeaient leur réintégration, alors qu'a contrario le patronat ne voulait pas en entendre parler."Usine à gaz"L'enjeu n'est pas mince car les risques ergonomiques, à l'origine des troubles musculo-squelettiques (TMS), "représentent 90% des maladies professionnelles reconnues", de l'aveu même de l'étude d'impact de la réforme.Faute de prise en compte de ces critères dans le C2P, "il faudra être malade pour partir à la retraite plus tôt", déplore Dominique Corona, secrétaire général adjoint de l'Unsa.Accusé d'inaction sur les risques ergonomiques, le gouvernement s'est défendu en présentant des mesures spécifiques.D'abord, un nouveau "fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle", le Fipu, sera doté d'un milliard d'euros sur cinq ans par le régime des accidents du travail et maladies professionnelles (AT-MP), branche excédentaire de la Sécurité sociale, pour financer notamment des actions de formation. Des accords de branche seront censés identifier les métiers les plus exposés.Ensuite, un suivi individuel sera mis en place à partir de 45 ans pour les salariés "dont l'état de santé est altéré", selon le gouvernement. Lors d'une visite médicale entre 60 et 61 ans, ils seront informés de la possibilité de bénéficier d'une pension pour inaptitude.Les soignants du public auront leur propre fonds de prévention, qui mobilisera 100 millions d'euros pour faire face à des risques particulièrement élevés: en 2021, 12% des infirmiers, 18% des aides-soignants et 25% des agents des services hospitaliers qualifiés étaient en maladie à l'heure de liquider leur retraite.Le meccano gouvernemental sur la pénibilité ressemble à "une usine à gaz", critique Pascale Coton, vice-présidente de la CFTC, qui a plaidé - en vain - pour "un carnet de santé tout au long de la vie professionnelle", afin de "faire reconnaître des droits plus facilement". Le compte n'y est pas, alerte la responsable syndicale, en ajoutant: "et tant qu'on reste sur un âge légal à 64 ans, le compte y est encore moins".
Il y a 2 ans et 122 jours

Age légal, durée de cotisation, petites pensions : les points clés de la réforme des retraites

Age légalL'âge légal de départ en retraite sera relevé de 62 à 64 ans, au rythme de 3 mois par an à partir du 1er septembre 2023 jusqu'en 2030.Cette hausse de deux ans "concernera tous les actifs, salariés, indépendants et fonctionnaires", avait insisté la Première ministre, Elisabeth Borne, en dévoilant la teneur de la réforme le 10 janvier.Néanmoins, les travailleurs handicapés pourront toujours partir en retraite à partir de 55 ans, et ceux en invalidité à 62 ans.Durée de cotisationPour obtenir une pension "à taux plein" (sans décote), la durée de cotisation requise passera de 42 ans (168 trimestres) actuellement à 43 ans (172 trimestres) d'ici 2027, au rythme d'un trimestre par an.Cet allongement était prévu par la réforme Touraine de 2014, mais sur un calendrier moins resserré, avec un trimestre supplémentaire tous les trois ans jusqu'en 2035.L'annulation de la décote restera maintenue à 67 ans pour ceux qui n'auront pas tous les trimestres requis.Petites pensionsLes pensions des futurs retraités justifiant d'une "carrière complète" (43 ans à terme) ne pourront pas être inférieures à 85% du Smic, soit environ 1.200 euros brut par mois au moment de l'entrée en vigueur de la réforme.Les retraités actuels justifiant des mêmes critères bénéficieront aussi de cette revalorisation. Cela devrait concerner près de deux millions de petites retraites, selon le gouvernement.Emploi des seniorsUn "index seniors" sera créé pour mieux connaître "la place des salariés en fin de carrière", et ainsi "valoriser les bonnes pratiques et dénoncer les mauvaises". Il sera obligatoire "dès cette année" pour les entreprises de plus de 1.000 salariés, un seuil abaissé à 300 salariés en 2024. Les employeurs récalcitrants seront passibles de sanctions financières.Les règles du cumul emploi-retraite seront modifiées afin que les retraités reprenant une activité professionnelle améliorent leurs pensions, en prenant en compte les trimestres travaillés supplémentaires.La retraite progressive, qui permet de passer deux ans à temps partiel avant de partir en retraite tout en touchant une partie de sa pension, sera "assouplie" et élargie aux fonctionnaires.Carrières longuesCeux qui ont commencé à travailler tôt pourront toujours partir plus tôt. Actuellement, un début de carrière avant 20 ans peut permettre un départ anticipé de deux ans, et une entrée dans la vie active avant 16 ans peut donner droit à une retraite anticipée de quatre ans.Ce dispositif sera "adapté" avec un nouveau "niveau intermédiaire": ceux qui ont débuté avant 20 ans pourront partir deux ans plus tôt, soit 62 ans; ceux qui ont commencé avant 18 ans pourront faire valoir leur droit à la retraite quatre ans plus tôt, soit 60 ans; ceux qui ont démarré avant 16 ans pourront terminer leur carrière six ans plus tôt, soit 58 ans. De cette manière, personne ne sera "obligé de travailler plus de 44 ans", selon le gouvernement.Les périodes de congé parental seront à l'avenir prises en compte, ce qui sera "plus juste pour les femmes", selon le gouvernement. PénibilitéLe compte professionnel de prévention prenant déjà en compte le travail de nuit et d'autres critères de pénibilité pourra être utilisé pour financer un congé de reconversion professionnelle.D'autres critères comme le port de charges lourdes, les postures pénibles et les vibrations mécaniques seront eux pris en compte au moyen d'un nouveau "fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle", qui sera doté d'un milliard d'euros "sur le quinquennat". Un fonds spécifique sera créé pour les personnels des hôpitaux, maisons de retraite et autres établissements médico-sociaux.Chez les fonctionnaires, les "catégories actives" englobant notamment les policiers, pompiers et aides-soignantes conserveront leur droit à un départ anticipé, compte tenu de leur "exposition aux risques".Régimes spéciauxLa plupart des régimes spéciaux existants, dont ceux de la RATP, des industries électriques et gazières et de la Banque de France, seront mis en extinction, selon la "clause du grand-père" déjà mise en oeuvre à la SNCF: cela ne concernera que les nouveaux embauchés, qui seront affiliés au régime général de retraites.Rappel des principales dates du projet qui fait suite à une première tentative de réforme des retraites, plus ambitieuse, menée durant le premier quinquennat et stoppée par la pandémie de Covid-19.Le coup d'arrêt du CovidLe 16 mars 2020, Emmanuel Macron annonce la suspension de "toutes les réformes en cours", en raison de la pandémie de Covid-19, dont une ambitieuse réforme des retraites prévoyant un système universel par points, et qui avait suscité une forte opposition.Le 2 juillet, le chef de l'Etat dit qu'il n'y aura pas d'abandon de la réforme, mais une "transformation" après concertation.Le 13 juillet 2021, M. Macron assure que la réforme des retraites sera engagée "dès que les conditions sanitaires seront réunies". En novembre, il repousse la réforme à 2022.Âge légal à 65 ansFin 2021, Emmanuel Macron réitère sa volonté de réformer les retraites, mais évoque "un système simplifié avec trois grands régimes, un pour la fonction publique, un pour les salariés, un pour les indépendants".Réélu en 2022 après s'être engagé durant la campagne à "décaler l'âge de départ légal jusqu'à 65 ans" contre 62 jusqu'à présent, il appelle le 14 juillet à "des compromis responsables" en vue d'une entrée en vigueur à l'été 2023.ConcertationsFace à l'opposition virulente des syndicats, Emmanuel Macron demande le 22 septembre au gouvernement de "trouver la bonne manoeuvre" pour une réforme "apaisée".Début octobre, la Première ministre Elisabeth Borne engage la concertation avec les partenaires sociaux pour, espère-t-elle, une adoption "avant la fin de l'hiver".Macron "ouvert"Le 26 octobre, Emmanuel Macron se dit "ouvert" à un âge légal de départ à 64 ans, au lieu de 65 ans.Mais il insiste le 3 décembre: "travailler plus longtemps" est "le seul levier" pour faire face aux "besoins de financement massifs".La présentation de la réforme est repoussée à janvier pour laisser le temps aux partenaires sociaux et partis politiques "d'échanger" avec l'exécutif sur ce projet.Elisabeth Borne consulte tous azimuts, en décembre, pour tenter notamment de se concilier la droite et la CFDT.64 ansElisabeth Borne dévoile le 10 janvier la réforme dont la mesure phare est le report de l'âge légal de départ à la retraite, à 64 ans à horizon 2030, contre 62 jusqu'à présent.Front uni des syndicats contre le projet: les huit principales organisations appellent immédiatement à une première journée de manifestations et de grèves le 19 janvier.Mobilisation massiveDes manifestations dans toute la France, des grèves suivies à l'école, dans l'énergie ou les transports: les syndicats réussissent le 19 janvier à mobiliser massivement contre la réforme."Plus de deux millions" de personnes ont manifesté dans plus de 200 cortèges, dont environ 400.000 à Paris, selon la CGT. Le ministère de l'Intérieur comptabilise, lui, 1,12 million de manifestants, dont 80.000 dans la capitale.Les syndicats ont annoncé dans la foulée une nouvelle journée d'action, le 31 janvier, pour tenter de faire reculer le gouvernement.
Il y a 2 ans et 134 jours

Pénibilité : visite médicale obligatoire et systématique à 61 ans, annonce Véran

"Désormais, grâce à un avis médical, il sera possible de partir plus tôt", a déclaré le ministre sur franceinfo, par le biais notamment d'une "visite médicale obligatoire et systématique" à 61 ans, en plus de celle qui existait déjà à 45 ans. Il a précisé que ce "nouveau mécanisme" devait encore faire l'objet de concertations.Face à la pénurie de médecins du travail, il n'a pas exclu, le cas échéant, que le médecin traitant soit chargé de ce diagnostic. Mais "c'est plutôt sur la médecine du travail que les choses reposent, après elles seront affinées en fonction des négociations".Défendant le principe de "prévention de l'usure professionnelle (…) pendant la carrière professionnelle" plutôt que de "constater les dégâts à 60 ans", il a rappelé la création d'un fonds d'investissement d'un milliard d'euros d'ici 2027, notamment pour financer des outils limitant la pénibilité du travail. M. Véran a ainsi cité les lève-malades pour les hôpitaux ou les Ehpad.Il a par ailleurs rappelé que la réforme améliorait un certain nombre de critères de pénibilité existants: il faudra désormais travailler 100 nuits par an et non 120 (30 nuits par an au lieu de 50 quand on est en 3X8) pour acquérir des points ouvrant droit à une retraite anticipée.Enfin, "il y aura sans doute des carrières, des métiers, des situations qui justifieront une forme d'automaticité" d'acquisition de points, a-t-il assuré.Selon le gouvernement, les branches professionnelles doivent recenser "les métiers les plus exposés aux facteurs de risques ergonomiques qui causent 9 maladies professionnelles sur 10: les postures pénibles, le port de charges lourdes et les vibrations mécaniques".Le gouvernement entend également développer, grâce au fonds d'investissement, notamment les aides à la formation et à la reconversion en cours de carrière vers des métiers moins pénibles.
Il y a 2 ans et 136 jours

Foret SDS plus-7X de Bosch : Endurance extrême au programme

Avec le foret Expert SDS plus-7X, Bosch établit de nouvelles références, en termes de longévité et de résistance de perçage dans le béton armé. [©Bosch] Fabriqué en carbure de tungstène massif, le foret Expert SDS plus-7X de Bosch est extrêmement robuste et perce tous les types de bétons armés. D’une durée de vie plus longue que les autres modèles du marché, ce foret de perforateur est résistant aux températures élevées de plus de 400 °C, qui peuvent se produire lors du perçage. D’un design unique, sa tête à 4 taillants dispose d’arêtes de coupe plates. Cette géométrie permet un transfert d’énergie de frappe sans perte. Et une vitesse de perçage élevée constante. Le forage s’avère donc plus efficace et rapide. Les évidements de la tête sont dans le prolongement direct des canaux de l’hélice. Ce qui facilite l’évacuation de la poussière et réduit les vibrations. Lire aussi : Bosch, surfaçage et batteries Un perçage précis Cette capacité d’enlèvement très élevée rend presque impossible le blocage du foret dans le béton armé, et diminue son usure. Le foret Expert SDS plus-7X dispose d’une pointe de centrage tranchante en forme de pyramide (180 °), qui assure une bonne avancée dans le matériau et un guidage optimal (en particulier dans le béton armé). Il possède aussi un témoin d’usure au niveau de la tête en carbure de tungstène. Il sert d’indicateur et garantit des diamètres de perçage précis, parfaitement ronds et calibrés. Ce foret convient pour la maçonnerie, le béton et le béton armé, et pour tous les perforateurs SDS-plus. Pour couvrir tous les besoins, la gamme comprend 71 forets disponibles dans des diamètres allant de 3,5 à 16 mm, de longueur de 50 x 115 mm à 400 x 465 mm. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 141 jours

Foret SDS plus-7X BOSCH : Un foret pour perforateur d’une technologie unique pour une endurance extrême

©Bosch Avec le foret EXPERT SDS plus-7X, Bosch établit de nouvelles références en termes de longévité et de résistance de perçage dans le béton armé. Alliant un design innovant, des matériaux de très grande qualité et une technologie unique, le foret EXPERT SDS plus-7X Bosch est d’une endurance légendaire et d’une incroyable efficacité ! Fabriqué en carbure de tungstène massif, un matériau plus dense que l’acier et le titane, le foret EXPERT SDS plus-7X est extrêmement robuste et perce tous les types de béton ferraillé et d’armature. D’une durée de vie plus longue que les autres modèles du marché, le foret possède une tête de forage à 4 taillants, de formes spéciales, qui assure une capacité d’enlèvement très élevée et une très faible usure. Bosch offre aux professionnels un produit adapté aux exigences les plus extrêmes. Pour assurer une liaison parfaitement solide entre la tête en carbure de tungstène et l’hélice, Bosch utilise une technique de soudure unique dite de compactage par diffusion. La connexion obtenue est extrêmement solide et durable, même en usage intensif.Contrairement aux autres forets du marché, le foret EXPERT SDS plus-7X est exceptionnellement résistant aux températures élevées de plus de 400°, qui peuvent se produire lors du perçage dans du béton armé. D’un design unique, la tête à 4 taillants du foret dispose d’arêtes de coupe plates, contrairement aux forets classiques dont les arêtes de coupe sont obliques. Cette géométrie permet un transfert d’énergie de frappe sans perte et une vitesse de perçage élevée constante. Le forage est donc nettement plus efficace et rapide. UN FORET QUI S’USE MOINS Les évidements de la tête sont dans le prolongement direct des canaux de l’hélice ce qui facilite l’évacuation de la poussière, permet un perçage plus rapide, sans à-coups, et réduit les vibrations.Cette capacité d’enlèvement très élevée rend pratiquement impossible le blocage du foret dans le béton armé, et réduit l’usure du foret. UN PERÇAGE PRÉCIS Le foret EXPERT SDS plus-7X Bosch dispose d’une pointe de centrage tranchante en forme de pyramide (180°), qui assure une bonne avancée dans le matériau et un guidage optimal (notamment dans le béton armé). Il possède également un témoin d’usure au niveau de la tête en carbure de tungstène. Il sert d’indicateur et garantit des diamètres de perçage précis, parfaitement ronds et calibrés. Les forets EXPERT SDS plus-7X conviennent pour la maçonnerie, le béton et le béton armé, et pour tous les perforateurs SDS-plus. Pour couvrir tous les besoins, la gamme comprend 71 forets disponibles dans des diamètres allant de 3,5 à 16 mm, longueur de 50 x 115 mm à 400 x 465 mm. www.bosch.fr
Il y a 2 ans et 167 jours

BURGERHOUT lance une solution unique en Europe : Delta-Discovery Air est le premier caisson pour pompe à chaleur sur toit incliné 

La filiale française de M&G Group, le leader mondial des systèmes d’évacuation de fumée et de ventilation, lance son système exclusif de caisson pour pompe à chaleur qui s’installe sur les toitures en pente, en neuf comme en rénovation. Plus discret que les installations le long des maisons, Delta-Discovery Air est également un gain de confort pour les installateurs qui peuvent accéder au système de l’intérieur de la maison grâce à un espace prévu à cet effet ! Delta-Discovery Air a été conçu pour s’installerentièrement à l’extérieur de l’enveloppe isolante de la maison, ce qui permet de maintenir la valeur de la performance énergétique de l’habitation. Pour réaliser une installation aussi durable et recyclable que possible, BURGERHOUT a réalisé l’embase d’étanchéité de son caisson en Leadax, le premier substitut de plomb au monde ayant les mêmes propriétés que le plomb traditionnel, sans aucun effet nocif sur la santé ou l’environnement. Une solution facile et confortable pour les occupants comme pour l’installateur Pour développer le Delta-Discovery Air, BURGERHOUT a travaillé en collaboration avec des installateurs, des entreprises de construction, des fabricants de pompes à chaleur et des clients finaux (notamment des bailleurs ou syndics de copropriété). En combinant les attentes de chacun, BURGERHOUT a imaginé ce caisson unique pour les différentes pompes à chaleur, systèmes split ou monobloc, à la fois esthétique, intelligent et efficace : Grâce à une installation sur les toitures en pentes, Delta-Discovery Air n’empiète pas sur l’espace extérieur ou habitable de la maison. Le caisson est livré avec son embase d’étanchéité, adaptée aux pentes de toits de 20° à 60°, pour une esthétique homogène et dans la continuité du toit. Le caisson est fixé sur le toit, à l’extérieur de la maison, et des plaques d’étanchéité permettent de maintenir l’isolation et les performances énergétiques de l’habitat. L’installation sur le toit permet de réduire la quantité de tuyauterie nécessaire et améliore l’efficacité de la pompe à chaleur. De plus, la conception unique du caisson permet d’atténuer les bruits de vibrations de la pompe à chaleur. Pour accéder à l’installation, que ce soit pour l’entretien ou les réparations, une trappe est intégrée et permet à l’installateur d’intervenir directement dans le caisson, à l’abri des intempéries. L’installateur n’a pas besoin de monter sur le toit pour l’entretien annuel. Une conception unique pour des installations de haute qualité Rattachée au leader mondial M&G Group, BURGERHOUT développe des solutions combinant à la fois économies d’énergie et protection de l’environnement. Pour assurer la durabilité et les performances d’étanchéité de son système, BURGERHOUT a développé l’embase du Delta-Discovery Air en Leadax. Le Leadax possède les mêmes propriétés uniques que les matériaux d’étanchéité traditionnels tels que le plomb et le zinc, sans devoir faire de compromis sur la qualité ou la flexibilité. Il n’a aucun effet nocif sur la santé ou l’environnement. De conception robuste, le caisson Delta-Discovery Air permet également de protéger la pompe à chaleur et de prolonger sa durée de vie. Un rail flexible permet de fixer des unités monoblocs et split de différentes marques dans le caisson. De plus, la version standard du Delta-Discovery Air est équipée d’un raccord pour la ventilation de fosse toutes eaux et la ventilation mécanique, ce qui permet d’obtenir une meilleure efficacité. Pour s’adapter à la fois aux chantiers neufs ou en rénovation, le système Delta-Discovery Air est modulaire. Ainsi, l’embase d’étanchéité et le caisson intermédiaire peuvent être livrés directement à l’installateur pour réaliser la construction du toit. Le caisson supérieur peut-être livré indépendamment à l’installateur ou au distributeur spécialisé. L’ensemble du système, avec la pompe à chaleur, peut alors être assemblé sur place, directement sur la charpente à l’aide d’une grue. Delta-Discovery Air est disponible en deux formats : Delta-Discovery Air : hauteur 850 mm, longueur 1 000 mm, largeur 410 mm Delta-Discovery Air XL : hauteur 1 005 mm, longueur 1 155 mm, largeur 465 mm
Il y a 2 ans et 170 jours

Nouveautés sans-fil BITURBO Bosch Professional – Pour percer, scier et couper tout en puissance et en toute liberté 

Bosch étoffe sa gamme BITURBO avec 3 nouveaux outils sans-fil 18V. Le perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Professional offre la liberté du sans-fil avec les performances d’un outil filaire et davantage de confort. Quant à la GSA 18V-28 Professional, elle est la première scie sabre sans-fil avec la technologie BITURBO. Son rapport poids/puissance et ses performances de coupe font toute la différence. Enfin, la meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Professional combine les avantages des grandes et des petites meuleuses d’angle : une grande profondeur de coupe, un poids réduit et un design optimisé. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah) du système Professional 18V, permet aux outils d’atteindre leurs pleins potentiels en termes de puissance et d’autonomie. NOUVEAU PERFORATEUR SANS-FIL GBH 18V-40 C : LE PLUS PUISSANT DE SA CATÉGORIE Le nouveau perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Bosch Professional offre des performances équivalentes à un outil filaire pour percer dans le béton, la pierre et la maçonnerie grâce à la technologie BITURBO Brushless. Il dispose d’une force de frappe élevée de 9,0 J pour buriner et percer rapidement des trous jusqu’à 40 mm dans du béton. Il bénéficie d’un rapport poids/puissance optimal grâce à son mécanisme de frappe optimisé, qui contribue à le rendre plus léger, et son système d’entraînement très performant. Un affichage interactif et des fonctions de connectivité Bluetooth via Smartphone permettent aux artisans de contrôler la machine, l’état de la batterie, et de personnaliser les réglages via 3 modes de travail : – le mode « Auto » pour des performances maximales, par exemple lors du percement dans le béton,– le mode « Soft » pour travailler dans des matériaux fragiles tels que la maçonnerie ou les carreaux,– le mode « Favori » pour personnaliser les performances de perçage via l’application Bosch Toolbox. Pour un meilleur confort d’utilisation, la batterie du perforateur est intégrée à l’avant de l’outil, ce qui optimise son centre de gravité et le rend plus facile à manier. La poignée déportée permet une manipulation aisée et une réduction des vibrations de l’outil. Les fonctions de démarrage progressif EPC (Electronic Precision Control) et ASC (Adaptive Speed Control) assurent un maximum de précision et de confort lors des travaux de perçage et burinage. En plus du débrayage de sécurité, le système KickBack Control protège l’utilisateur. Un capteur arrête automatiquement le moteur en cas de blocage soudain de l’accessoire dans le matériau. Cela évite un rebond inattendu et réduit le risque de blessure. Le perforateur est également équipé d’un éclairage LED, d’un variateur de vitesse, d’un interrupteur blocable et de la fonction Vario-Lock. Il est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. Bosch propose également une large gamme d’accessoires dont les forets Expert, particulièrement résistants à l’usure.  ©Bosch NOUVELLE SCIE SABRE SANS-FIL GSA 18V-28 : DES PERFORMANCES DE COUPE ÉQUIVALENTES AUX OUTILS FILAIRES 1 100 W La nouvelle scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Bosch Professional BITURBO a été conçue pour répondre aux travaux de démolition ou de rénovation les plus exigeants. Métal, maçonnerie, isolant, plastique ou bois, tous les matériaux courants sont facilement et rapidement sciés. Grâce à la nouvelle technologie BITURBO Brushless, la GSA 18V-28 Professional profite des performances de coupe équivalentes à celles d’une scie sabre filaire de 1 100 W. Pour réaliser chaque découpe avec une grande précision, elle bénéficie d’un variateur de vitesse sur la gâchette qui assure un démarrage progressif et en douceur. Compacte et parfaitement équilibrée, la scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Professional offre un grand confort d’utilisation grâce à sa poignée optimisée, aux formes ergonomiques, et son très bon rapport poids/puissance. Elle est idéale pour effectuer des coupes à ras des tuyaux ou près des murs, et permet à l’utilisateur de travailler facilement et sans effort, quelle que soit sa position : en hauteur, dans les endroits difficiles d’accès, exigus… La GSA 18V-28 Professional dispose du système SDS sans outil qui permet de changer la lame facilement et rapidement en toute sécurité, d’une seule main. Pratique, elle est dotée d’un crochet métallique, situé à l’arrière de l’outil, pour être suspendue dans une position équilibrée à une échelle ou un échafaudage entre 2 utilisations. Par ailleurs, lorsque la scie sabre GSA 18V-28 Professional est équipée de la lame à technologie carbure Expert Thick Tough Metal, les artisans peuvent couper rapidement, de manière précise et droite, du métal épais, des tuyaux en fonte, des profilés en acier… La GSA 18V-28 Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. La large gamme d’accessoires Bosch permet à la scie sabre GSA 18V-28 Professional de couvrir un large champ d’applications. ©Bosch NOUVELLE MEULEUSE D’ANGLE SANS-FIL GWS 18V-180 PC PROFESSIONAL : L’ERGONOMIE DES PETITES MEULEUSES, LA PERFORMANCE DES GRANDES D’un design ergonomique et compact, la nouvelle meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Bosch Professional BITURBO combine les avantages des petites meuleuses en termes de confort et maniabilité, et les performances des grandes. En effet, elle offre la même profondeur de coupe qu’une grande meuleuse d’angle de 230 mm, tout en étant 30 % plus légère et plus petite grâce au disque de 180 mm et à sa tête d’engrenage réduite. La technologie BITURBO Brushless lui permet de disposer de suffisamment de puissance pour effectuer des coupes rapides et tronçonner tous types de métaux, béton, brique et carrelage. Autre avantage, la GWS 18V-180 PC Professional assure une très bonne protection de l’utilisateur, notamment lorsqu’il est sur un échafaudage ou un toit, grâce à différentes fonctions. Le système PROtection switch (interrupteur homme mort) arrête immédiatement la meuleuse dès que l’utilisateur relâche l’interrupteur. La fonction KickBack Control prévient les rebonds imprévisibles et le système de freinage intelligent réduit considérablement les risques d’accidents. Par ailleurs, la protection anti-redémarrage, le démarrage progressif ainsi que la poignée latérale anti vibrations garantissent une maîtrise et une sécurité totales de l’outil. La GWS 18V-180 PC Professional BITURBO est équipée d’un module Bluetooth Connectivity qui permet aux professionnels de coupler la meuleuse avec un Smartphone pour voir, définir et personnaliser ses fonctions via l’application ToolBox. Enfin, la meuleuse possède un carter d’engrenage rotatif à 90° et des disques qui permettent de découper une grande variété de matériaux (métal, béton, pierre) tout en protégeant l’utilisateur. D’autres accessoires sont également disponibles tels que le disque à tronçonner Expert « Diamond Metal Wheel » pour des applications plus exigeantes dans le métal et les matériaux abrasifs. La GWS 18V-180 PC Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch.  ©Bosch www.bosch.fr
Il y a 2 ans et 176 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PROSITE, PROJECTEUR LED POUR L’ÉCLAIRAGE EN ENVIRONNEMENT DIFFICILE ET DE GRANDE HAUTEUR

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de projecteurs LED à haut rendement ProSite de Dialight. Robustes, étanches et très économes en énergie, les projecteurs LED ProSite délivrent un éclairage ultra puissant qui offre une excellente visibilité permettant la sécurité des opérations à l’intérieur comme à l’extérieur. Conçus pour fonctionner dans des environnements difficiles et de grande hauteur, ils sont adaptés à l’éclairage des plateformes offshore, des chantiers, des sites industriels et des sites classés SEVESO comme par exemple, des complexes miniers, pétroliers, gaziers, pétrochimiques … Les projecteurs LED ProSite sont disponibles en plusieurs versions, (modèle simple et double), puissances (81 W ; 124 W ; 234 W ; 484 W et 499 W), flux lumineux (12 000 lm ; 18 000 lm ; 30 000 lm ; 65 000 lm),  températures de couleur (ambre ; 2700 K ; 4000 K ; 5000 K), angles de faisceau (moyen – 55° ; extensif – 125° ; très large – 131°x108° ; asymétrique avec une distribution directe) et indices de rendu des couleurs (IRC 70, 80 en option). Ils possèdent une efficacité lumineuse allant jusqu’à 165 lm/W, une très longue durée de vie de L70>150 000 heures et de nombreuses options adaptées aux besoins spécifiques des professionnels. Résistants à l’humidité, à l’air et brume salins (certification DNV), aux vibrations ainsi qu’à la corrosion (boitier compact en aluminium moulé protégé d’une double couche d’enduit polyester et époxy), les projecteurs LED ProSite sont dotés d’optiques moulées (technologie TIR), recouvertes, en option, de verre ou de polycarbonate. Ils sont étanches (indice de protection IP66/67 ; IK10-polycarbonate, IK08-verre), disposent d’une protection contre les surtensions transitoires et fonctionnent à des températures extrêmes de -40°C à +65°C ; +55°C pour les modèles doubles. Les projecteurs LED ProSite sont gradables et compatibles avec le système de commande DALI 2.0/0-10 VDC. Ils sont garantis 10 ans (luminaire et driver). A propos d’EAS SOLUTIONS  EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 179 jours

Diam industries : Des disques, mais pas que

Diam Industries propose la ponceuse portative EBS 1802. [©Diam Industries] Diam Industries propose deux machines destinées à la préparation des sols. L’EBS 1802 est une ponceuse portative qui égalise les surfaces, enlève les vieilles peintures et les restes de colles, et gomme les imperfections. L’avant du carter est amovible pour faciliter le ponçage au ras des murs, qui est l’une des activités pour laquelle la ponceuse a été conçue. Elle est équipée d’un système anti-vibrations, de deux poignées parallèles pour une meilleure préhension, et d’un raccordement direct à l’aspirateur. Proposée en deux modèles, elle peut présenter une puissance de 1 800 W et de 2 500 W. La marque a aussi conçu la PB-E250, une ponceuse à sol qui permet de régler la hauteur de travail. Elle possède un raccordement à l’eau, et à l’aspirateur, et intégre un niveau bulle. Son bras est repliable pour une plus grande facilité de stockage. La PB-E250 offre une puissance unique de 2 200 W. Bien entendu, le cœur du savoir-faire de Diam Industries se situe dans les solutions d’abrasifs que propose la marque et qui équipe la plupart des machines détaillées dans ce présent dossier. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 183 jours

DOM-Metalux lance DOM Roq, sa nouvelle solution de verrouillage intelligent développée en partenariat avec Somfy

A l’échelle européenne, la maison intelligente s’inscrit de plus en plus dans les usages des consommateurs. Le marché devrait même compter 100 millions de smart home à l’horizon 2026. Pourtant en matière de sécurité, un grand nombre de particuliers reste frileux à l’idée d’installer une serrure connectée. Pour répondre à ces inquiétudes, DOM, leader européen sur le marché des systèmes de sécurité et du contrôle d’accès, associe son expertise à celle de Somfy, pionnier de la maison connectée, et lance DOM Roq : une nouvelle solution de verrouillage intelligent à la fiabilité maximale. DOM Roq : l’alliance innovante du Safe au Smart Au design sobre tout en un, DOM Roq est une serrure intelligente qui s’installe sur de nombreux modèles de portes, côté intérieur. Un configurateur permet de vérifier facilement la compatibilité de DOM Roq avec sa porte. DOM Roq associe : une motorisation connectée puissante pour cylindre et serrure DOM Roq, dotée de détecteurs de verrouillage et de tentative d’intrusion qui surveillent la porte en permanence et détectent toute vibration anormale. Avec sa batterie amovible rechargeable aisément via un câble USB-C, DOM Roq bénéficie d’une autonomie optimale (3000 cycles d’ouvertures/fermetures), un cylindre de haute sécurité à profil européen DOM, à choisir parmi 4 modèles en fonction des caractéristiques techniques de la porte et du niveau de sécurité souhaité. A cela s’ajoute la passerelle internet à brancher sur une prise électrique pour connecter DOM Roq au réseau Wi-Fi et ainsi piloter et contrôler à distance les accès à son domicile via l’application mobile dédiée. Grâce au chiffrement de bout en bout, de la box à la serrure, afin d’assurer une véritable confidentialité des données, l’ensemble garantit à la fois un haut niveau de sécurité mécanique et électronique. Dès lors, différentes options de verrouillage/déverrouillage sont possibles : clé digitale via smartphone, clé mécanique côté extérieur, bouton côté intérieur, badge ou code à l’aide d’un lecteur mural proposé en option. Application DOM Roq : garder le contrôle 24 h/24 pour une véritable tranquillité d’esprit Une fois l’application DOM Roq téléchargée gratuitement (iOS et Android), la mise en service de la serrure intelligente et sa configuration s’effectue de façon simple et intuitive. L’utilisateur peut alors à tout moment, et à distance : vérifier l’état de sa porte et s’assurer qu’elle a bien été fermée en partant, et si tel n’est pas le cas la verrouiller à distance. Pour les plus distraits, il est même possible de programmer un verrouillage automatique, recevoir des notifications en temps réel en cas d’ouverture/ fermeture et de tentative d’effraction, gérer jusqu’à 30 utilisateurs en leur délivrant des clés digitales (à ouverture unique ou multiples), des badges ou un code. Les invités recevront alors sur leur smartphone par SMS ou e-mail leur autorisation d’accès. Pratique, une configuration spécifique du bouton de DOM Roq empêche les jeunes enfants de déverrouiller la porte facilement. De même, un mode nuit désactive les signaux sonores et diminue le nombre de cycle moteur pour un fonctionnement plus silencieux. De quoi dormir sur ses deux oreilles, que quelqu’un soit présent à la maison ou non ! 100% compatible avec les solutions Somfy Pour une expérience unique et enrichie de la maison intelligente, DOM Roq est compatible avec l’écosystème de produits Somfy notamment : Somfy Protect, pour bénéficier de fonctions telles que l’activation automatique de l’alarme lorsque DOM Roq détecte des vibrations sur la porte et sa désactivation quand celle-ci est déverrouillée par l’utilisateur, TaHoma® pour piloter à distance tous les équipements connectés de la maison (éclairage, volets roulants, portails, chauffage) y compris la porte d’entrée grâce à DOM Roq. Connecté à la box TaHoma® et associé aux assistants vocaux intelligents Google Home ou Alexa Amazon, DOM Roq repousse encore plus les limites de la connectivité. Il suffit d’une simple phrase au moment d’aller se coucher pour que la maison s’exécute en toute autonomie : la porte d’entrée se verrouille sans bouger de son canapé ! Produit fiable et connecté, DOM Roq de DOM-Metalux offre le plus haut niveau de sécurité et de tranquillité. Tout pour rassurer les particuliers qui n’auront plus désormais à se poser cette éternelle question « est-ce que j’ai bien fermé la porte à clé ? ». Points de vente : chez les points de vente participantsPrix public indicatif TTC : 448 € (cylindre compatible à choisir en sus). Plus d’informations sur www.dom-roq.com
Il y a 2 ans et 197 jours

Retraites : une ouverture se dessine sur la pénibilité

Après quatre semaines de discussions sur "l'usure professionnelle" et l'emploi des seniors, les partenaires sociaux "convergent sur certaines évolutions proposées par le gouvernement", indique ainsi le ministère du Travail dans un "relevé de discussions" envoyés mardi soir aux 11 organisations reçues dans le cadre de cette concertation.C'est notamment le cas du "déplafonnement" du C2P. Actuellement, les salariés exposés à certains risques (travail de nuit, bruit, températures extrêmes...) accumulent des points - 100 au maximum - qui sont le plus souvent utilisés pour partir en retraite plus tôt - deux ans maximum.Un consensus se dégage donc pour relever ce quota de points, mais aussi pour une "meilleure valorisation de la poly-exposition" (plusieurs risques simultanés), ou encore pour financer via le C2P "une reconversion après une certaine période d'exposition".La porte s'est même entrouverte à un retour de trois facteurs de risques supprimés il y a cinq ans (port de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques).Mais ce revirement revendiqué par les organisations de salariés, CFDT en tête, ne se ferait pas sur la base de critères communs à tous les travailleurs, en raison de "la difficulté de réaliser un suivi individuel", explique le ministère.L'idée serait plutôt "d'identifier des métiers, tâches ou situations de travail susceptibles d'être exposées" et de renvoyer ce travail aux différentes branches professionnelles, qui "semblent avoir un rôle déterminant et pourraient constituer le bon niveau pour la réflexion".D'autres points d'accord ont émergé de ce premier round de concertation, en particulier sur le maintien du dispositif "carrières longues", qui permet un départ à 60, voire 58 ans pour ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans. "Le principe d'accorder un avantage" à ceux qui ont débuté jeunes et cotisé assez longtemps "est partagé", assure le ministère.Même assentiment général en faveur du cumul emploi-retraite, de la retraite progressive ou encore de "l'accès des seniors à la formation professionnelle". La piste d'un "index seniors" pour lutter contre les discriminations liées à l'âge, avancée par le gouvernement, a en revanche "suscité des questions et des réserves".Ce bilan d'étape a également été présenté aux représentants des groupes parlementaires, reçus mercredi par le ministre Olivier Dussopt - à l'exception des députés et sénateurs LR, qui n'ont pas répondu à l'invitation.Les discussions avec les partenaires sociaux se poursuivront sur le thème "équité et justice sociale" à partir de la semaine prochaine. Un intitulé qui recouvre notamment les sujets des petites pensions, de l'égalité femmes-hommes et des régimes spéciaux. La CGT, qui avait boycotté le premier cycle – en raison des réquisitions dans les raffineries - y fera son retour à la table des négociations.
Il y a 2 ans et 225 jours

Le gouvernement prêt à élargir le compte pénibilité dans la réforme des retraites

Le gouvernement a dévoilé ses premières "pistes de réflexion" à la CFTC, l'U2P et la CFDT, qui ont ouvert le bal des consultations bilatérales sur les thèmes de "l'emploi des seniors et la prévention de l'usure professionnelle".C'est justement sur ce second volet que l'exécutif a ouvert la porte à une revendication portée par plusieurs organisations de salariés, CFDT en tête. Le document, dont l'AFP a obtenu copie, envisage en effet d'"adapter le C2P pour mieux prendre en compte l'évolution des risques".Actuellement, les salariés exposés à certains risques (travail de nuit, bruit, températures extrêmes...) accumulent des points - 100 au maximum – qui sont le plus souvent utilisés pour partir en retraite plus tôt - 2 ans maximum. Le ministère a cependant évoqué la possibilité de "supprimer le plafond d'acquisition de points" et de permettre à ceux qui sont exposés à plusieurs risques simultanés d'"acquérir davantage de points".L'idée d'un nouveau "congé de reconversion" pour utiliser le C2P (qui peut aussi servir à payer une formation ou un passage à temps partiel) a également été abordée.Mais la CFDT attend encore "une forme de reprise des critères supprimés" de l'ex-compte pénibilité il y a cinq ans (port de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques, agents chimiques dangereux), indique son négociateur Yvan Ricordeau.Sans "avancée majeure" sur ce point, le syndicat n'entend pas revoir le dispositif "carrières longues", qui permet un départ à 60, voire 58 ans pour ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans, et que le gouvernement propose de "moderniser", sans préciser ses intentions à ce stade."S'il s'agit d'affiner les critères tout en protégeant les artisans, ça nous convient", explique le vice-président de l'U2P, Jean-Christophe Repon, plus inquiet du risque de "stigmatiser certains métiers" à travers le compte pénibilité.Le ministère a paru "plus sur la ligne +mieux vaut prévenir que guérir+, ce qui nous va bien", retient la vice-présidente de la CFTC, Pascale Coton.
Il y a 2 ans et 253 jours

Entretien avec Pierre Knoché, DG France de Kiloutou

D’où vient Kiloutou ? Depuis quand l'entreprise existe-elle ?Pierre Knoché : Le groupe Kiloutou a été fondé en 1980 par Franky Mulliez avec la volonté de devenir la première chaîne française de location de petits matériels et outillage. Tout a commencé avec 3 agences dans le Nord, aujourd’hui elles sont 564 réparties en France, en Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et depuis peu au Danemark et au Portugal. Aujourd’hui la société s’est considérablement développée avec un élargissement de sa gamme sur le matériel de terrassement, d'élévation et de véhicules et l'extension à l'international. Le parc matériel compte actuellement 265.000 matériels.Quelle est la place de Kiloutou sur le marché ? Comment décririez-vous l’évolution du marché de la location de matériel ?Pierre Knoché : Kiloutou est actuellement le 3ème loueur de matériel européen et 95% des clients sont des professionnels (aussi bien les grands acteurs du BTP, que les artisans ou les industriels).L’évolution du marché de la location de matériel est désormais orientée vers la lutte contre le réchauffement climatique :On sait que 20% des émissions de CO2 d’un chantier sont liées au fonctionnement du matériels (Etude Carbone 4 pour la FNTP - périmètre France). De sa fabrication à sa fin de vie, en passant par son usage et sa maintenance, un matériel à motorisation électrique rechargée sur le réseau, à hydrogène vert ou biogaz, permet jusqu’à 60% de réduction des émissions de CO2 par rapport à un modèle thermique.Notre principale préoccupation est donc de pouvoir proposer des matériels plus respectueux de l’environnement et moins émetteurs de CO2, sans faire de compromis sur leur performance. Désormais nous devons composer avec un mix énergétique (électrique, hybride, H2 et les biocarburants qui ont chacun leurs limites). Ces nouvelles technologies manquent encore de maturité (manque d’infrastructures de recharge à proximité des chantiers par exemple), mais nous ne pouvons pas passer à côté étant donné les avantages qu’elles apportent : réduction des émissions de CO2 et de particules fines, mais également des nuisances sonores pour les riverains ou encore des vibrations pour les compagnons.Ces grandes évolutions supposent aussi que l’on accompagne nos équipiers : notre force commerciale, formée à analyser chaque chantier pour déterminer le parfait mix usage / performance ; et dans nos ateliers, nos équipes techniques qui seront garantes de la pérennité de cette flotte.Quelles innovations pensez-vous avoir apporté au secteur ?Pierre Knoché : Dès 2007, Kiloutou a formalisé une stratégie RSE d’ampleur et est devenu en 2012 le premier loueur à établir le bilan carbone de ses locations. En 2012 nous avons signé le Global Compact qui nous engage à aligner notre stratégie sur 10 principes touchant les droits de l’Homme, les normes du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption.Plus récemment, en 2021, Kiloutou a lancé la gamme iMPAKT qui réunit plus de 3500 matériels électriques ou hybrides, tous recensés dans le Guide des Matériels alternatifs, qui permet aux clients de comparer chaque matériel avec son équivalent thermique et ainsi de rendre compte des économies de carburant réalisées et les émissions de CO2 et de bruit évitées.Par la même occasion, le Groupe a lancé la première édition des Rencontres du Matériel Durable (RMD), qui réunit fabricants, clients et fédérations professionnelles afin de débattre et d’imaginer les solutions des chantiers de demain. Parce qu’il est évident que pour atteindre nos objectifs de réduction des émissions carbone à tous, c’est ensemble que nous devons travailler.Grâce aux études commandées par Kiloutou aux cabinets Carbone 4 et Arthur D.Little, les participants ont pu peser les pour et les contres des diverses énergies alternatives et avoir un aperçu du mix énergétique projeté à 2030 suivant deux scénarios : l’un conservateur, l’autre plus agressif. Ils ont également débattu de plusieurs propositions qui seront faites au Gouvernement. Rendez-vous est déjà donné en février prochain pour la 4ème édition.Et parce que la RSE comprend évidemment l’environnement, mais aussi l’Humain, Kiloutou s’est doté depuis plusieurs années d’une gamme de matériel dédiés à la sécurité et l’ergonomie sur les chantiers nommée Kare. On y retrouve notamment l’ergosquelette - qui permet de soulager les épaules dans une posture bras hauts, le gabarit laser - qui crée une frontière invisible pour éviter l’intrusion sur des chantiers à risque, le gilet connecté - qui prévient le risque de heurt engin-piéton, et le bras 0 gravité - qui soutient le poids d’un outil (jusqu’à 15kg) sans altérer la dextérité de son utilisateur. Ces dispositifs sont imaginés et conçus par des entreprises partenaires et nous fournissons à nos clients tout le conseil et leur mise en place directement sur les sites et chantiers.Quelle est la direction stratégique de Kiloutou dans les années à venir ? Avez-vous notamment des projets en cours en termes de digitalisation ?Pierre Knoché : Kiloutou a lancé son premier site internet vitrine en 2000. Aujourd’hui, il permet d’obtenir un devis et de réserver son matériel en ligne. Il est agrémenté de tutos vidéos pour permettre aux utilisateurs d’être le plus autonome possible. L’objectif est aujourd’hui de le rendre toujours plus personnalisé pour le client et d’en faire un réel apporteur d’affaires pour nos agences.Dans les en-cours, nous finalisons actuellement des projets qui avaient été mis en stand-by durant la crise sanitaire, notamment Youse : un système de partage de matériels qui vise principalement les clients industriels. L’objectif est de leur permettre, à travers une interface digitale, de mettre à disposition l’ensemble des matériels détenus ou loués à leurs équipes et prestataires et d’organiser un système de réservation. Cela permet d’amortir l’investissement, de limiter le nombre de matériels (et les émissions qui les accompagnent) sur un seul et même site et de verrouiller la responsabilité de chaque utilisateur.Nous poursuivons également notre partenariat avec l’entreprise Apizee pour la visio-assistance. L’objectif est de faire intervenir nos techniciens à distance afin de répondre aux questions de fonctionnement ou pannes légères. Sans application à télécharger, il permet 80% de résolution en moins de 4h et économise les déplacements.
Il y a 2 ans et 273 jours

Réhabilitation du Pavillon Bleu d'Amiens

Cette tuile de la marque Koramic trouve son origine dans les Flandres. Son aspect authentique et son profil ondulé sont des atouts pour les demeures du Nord. Grâce à son caractère régional assumé, cette réhabilitation est un témoignage vibrant de période luxuriante s’étendant de la fin du XIXème au début de la 1ère Guerre Mondiale.Un lieu emblématique d’Amiens à complètement reconstruireCette ancienne laiterie devenue, après extension, une ginguette en 1898 puis une discothèque jusque dans les années 2000 était désaffectée depuis lors, malgré sa situation remarquable. Longeant le canal de la Basse Selle, le bâtiment se situe dans le parc zoologique d'Amiens, un lieu de promenade connu de tous dans la région.Propriété de la Métropole, il a fait l'objet d'un appel d'offres pour sa réhabilitation et la création d’un espace de restauration. C'est l'agence Socréa, architectes du patrimoine, qui a été chargée du projet.Pour Florent Basset, l'un des associés, « il a fallu sortir des chantiers habituels des bâtiments anciens, toucher à tous les corps de métier, et retrouver les traces du projet d'origine d'Anatole Bienaimé pour s'en rapprocher le plus possible ». Cet architecte réputé dans la région à la fin du XIXème siècle est notamment connu pour ses villas de bord de mer au Touquet-Paris-Plage ou à Berck-sur-Mer dont certaines sont classées monuments historiques. Des maisons souvent riches de décorations inventives et d'audaces architecturales.Convoquer l’esprit d’une époquePour Florent Basset, il était important de retrouver la richesse de « l’architecture pittoresque extravagante, qui mêle progrès techniques de cette période et imaginaires littéraires ». À l'aide d’archives retrouvées et de cartes postales anciennes, il a tenté de se rapprocher au plus près de la villa d'époque. Le charme du site vient de l'harmonie conjuguant diversité et alignement de plusieurs formes d'architecture. En effet, se superposent une laiterie, une tour, un kiosque, une salle puis une véranda polygonale, introduits par portails et passerelle japonisants. Le tout aligné face au parc et au canal. Florent Basset note que « toutes les façades sont orientées sud pour un ensoleillement maximal. La disposition des soubassements et des fenêtres apporte de la rigueur à cette profusion de formes différentes ».Une tuile choisie sur carte postaleTraditionnellement, les constructions de la région utilisent la terre cuite pour la toiture. Florent Basset s'est servi d'une ancienne carte postale pour trouver la bonne référence de tuile. « Je souhaitais restituer une ondulation avec un effet d'écaille en diagonale. Le modèle de tuile à onde douce Vieille Panne 451 de Koramic correspondait parfaitement. Il n'y a pas eu d'hésitation ». Le toit est agrémenté de figurines en terre cuite et de galeries de faîtage, décorations typiques de la région à la Belle Époque. Les épis de faîtage en forme d'animaux (héron, écureuil, hibou) composent un bestiaire rappelant la présence du zoo tout autour. Florent Basset précise que la pose des tuiles a été facilitée par les accessoires disponibles, et souligne que « le dialogue entre couvreurs et charpentiers a été essentiel pour optimiser la pose, surtout pour les endroits les plus délicats ».Une décoration intérieure réinventéePour l'architecture intérieure, Florent Basset a mis ses pas dans ceux des architectes de l'époque en retrouvant leurs sources d'inspiration : le Japon, Jules Verne avec notamment Cinq semaines en Ballon ainsi que les grandes avancées techniques d'alors comme la Tour Eiffel ou le Pavillon Baltard. Entièrement reconstruit, le Pavillon Bleu se devait d'afficher « une rutilance spectaculaire ». C'est la raison pour laquelle, une seule teinte de tuile a été choisie pour affirmer une reconstruction à neuf pleine de vibrations. Le Pavillon Bleu a retrouvé ses couleurs d'origine et ses promeneurs curieux lèvent la tête pour reconnaître ici un escargot ou là un échassier perché sur le toit...Zoom chantier...Type de projet : Rénovation du Restaurant Pavillon Bleu du Zoo d’Amiens (80)Lieu : Restaurant Le Pavillon Bleu, Zoo d’Amiens (80)Produit utilisé : Vieille Panne – 451 RougeArchitecte : SOCREA, Architectes du patrimoine – Florent Basset à Compiègne (60)Maître d’ouvrage : Amiens MétropoleEntreprise de pose : Emmanuel Delaforge à Sommereux (60)
Il y a 2 ans et 296 jours

Husqvarna Constructions France présente sa nouvelle gamme de préparation de surface de sols

Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports...).Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes.Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements mincesDe différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements.Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille.Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques.Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfacesLa préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels.Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols.Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, ...). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier.Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épaisPour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage.La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2).Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collésHusqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, ...). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses.La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte.Des chantiers propres et sûrsAfin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source.Des services associésPartenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien :Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, ... autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil.Upcare, contrat d’entretien à prix fixe.TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité.Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance.Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur.
Il y a 2 ans et 318 jours

Griffon Kolmat® Easyfit Gaz certifié NF Rac-Gaz pour l’étanchéité des raccords filetés des installations de gaz

Depuis l’arrêté du 23 février 2018, entré définitivement en vigueur le 12 janvier 2020, les règles de sécurité pour les raccords de ces installations ont changé. Il est désormais interdit d’utiliser de la filasse, des rubans, des fils d’étanchéité ainsi que de la brasure tendre pour étanchéifier des raccords filetés de conduites de gaz. Pour remplacer ces produits, Griffon, le spécialiste des systèmes d’assemblage, de collage, d’étanchéité et de protection dédiés aux professionnels, lance KOLMAT® EASYFIT GAZ. Certifiée NF RAC-GAZ*, cette résine anaérobie efficace, ultra-résistante et sûre offre une étanchéité parfaite et immédiate à basse pression des canalisations transportant du gaz ou des hydrocarbures, pour le chauffage central et les installations industrielles.*certificat NF RAC-GAZ N°RAC004-00Nouveau KOLMAT® EASYFIT GAZ GRIFFONÉtanchéité et blocage parfaitement sûrs des raccords filetés métalliques pour les installations de gazSeules les solutions certifiées NF RAC-GAZ sont désormais autorisées pour l’étanchéité des installations de gaz combustibles. Soucieux d’apporter aux artisans et aux plombiers-chauffagistes des produits de qualité professionnelle dans le plus grand respect des réglementations en vigueur, Griffon lance KOLMAT® EASYFIT GAZ. Cette résine anaérobie assure l’étanchéité des raccords filetés métalliques des canalisations transportant du gaz, de l’eau, des acides et bases diluées, solvants et hydrocarbures. Certifiée NF RAC–GAZ par CERTIGAZ, elle offre une excellente résistance chimique, thermique et aux vibrations.Efficace sur l’acier, le laiton et l’inox, KOLMAT® EASYFIT GAZ apporte une étanchéité immédiate à basse pression et sécurise les raccords des installations de conduite de gaz, de chauffage central ou des installations de conduites industrielles.Incontournable dans les boîtes à outils de tous les professionnels, KOLMAT® EASYFIT GAZ Griffon est simple d’application grâce à son format pratique avec embout applicateur.KOLMAT® EASYFIT GAZFlacon de 50 mlTarif : 19,69 euros HTPoints de vente : distribution professionnelle uniquement
Il y a 2 ans et 324 jours

2022, une année sous le signe de l’innovation technique pour la société Orsol

Avancée technique majeure avec l’obtention de deux ATExNouvelle étape qui s’inscrit pleinement dans la démarche qualité en place, les parements ORSOL bénéficient depuis juillet 2021 d’une ATEx (Appréciation Technique d’Expérimentation) de cas A n°2926-V1 délivrée par le CSTB.Cette appréciation technique vise à évaluer des produits ou procédés innovants par le biais de l’examen d’un dossier. Cette procédure d’évaluation a été menée par un comité d’experts coordonné par le CSTB, et s’est conclue par la délivrance d’une ATEx qui atteste de la fiabilité des parements ORSOL et de leur procédé de pose IDEAPOSE pour les supports de type béton banché et RT3 revêtus d’un enduit CS4. Ce procédé permet à ORSOL de garantir ses produits 10 ans (hors pose) et assure un rendu esthétique optimal dans le temps.De nouvelles possibilités au-delà du DTU pour les professionnels de la constructionCette ATEx offre notamment la possibilité de poser des parements ORSOL à joints non remplis dont le poids est supérieur à 40 kg/m22 jusqu’à une hauteur de 6m, en extérieur.Les parements ORSOL pourront donc être posés dans des situations non visées par le DTU 52.2 (Document Technique Unifié), et être ainsi plus facilement recommandés dans le cadre d’appels d’offre pour des chantiers publics ou ceux soumis à l’approbation d’un bureau de contrôle. Cette ATEx est ainsi une véritable reconnaissance technique qui facilite la démarche des architectes et promoteurs, car elle confirme que les parements ORSOL répondent pleinement aux normes de sécurité et de performance attendues dans le domaine de la construction.Une nouvelle ATEx en partenariat avec ZOLPANPour répondre aux préoccupations environnementales et exigences réglementaires en matière de performance énergétique (RT2012 et désormais RE2020), d’autres avis techniques ou ATEX sont en cours de développement de manière conjointe avec d’autres entreprises du bâtiment, notamment dans le domaine de l’ITE (Isolation Thermique par l’Extérieur). ORSOL a ainsi obtenu en décembre 2021 une ATEx en partenariat avec ZOLPAN pour la pose des parements ORSOL sur support PSE (isolation au polystyrène expansé). Cela ouvre de nouvelles perspectives techniques pour les projets d’architectes ou promoteurs immobiliers.Une démarche qualité renforcée avec la validation de nouveaux essais sismiquesAu cœur de son développement depuis de nombreuses années, la démarche qualité ORSOL permet à l’entreprise de proposer des produits fiables et durables pour les habitations et les lieux publics.Leurs résistances technique et chromatique en font des produits idéaux pour une utilisation en intérieur comme en extérieur. Dans le cadre de sa démarche qualité, ORSOL apporte donc le plus grand soin à ses processus de fabrication en relation avec les préconisations du CERIB (Centre d’Etudes et de Recherches de l’Industrie du Béton).En s’appuyant sur son Laboratoire interne, ORSOL procède régulièrement à des essais techniques, ce qui lui permet de vérifier que ses produits répondent aux normes du bâtiment recommandées par le CSTB (Comité Scientifique et Technique du Bâtiment). Ces essais se font sur les principaux critères de conformité propres au domaine des revêtements muraux, qui ont permis d’obtenir les résultats suivants sur les parements ORSOL et leurs accessoires:Coefficient d’absorption d’eau par immersion de 6,0 % conforme à la norme NF EN 13198-2003Résistance au gel / dégel : aucun défaut d’aspect, d’épaufrure, d’écaillage après 25 cycles NF EN 13198Résistance à la flexion : conforme à la norme NF EN 13 748-1 : Résistance > 4 MPa.Adhérence couple mortier colle / parement avec conditions initiales + après cycle gel/dégel : Conforme à la norme NF EN 12004 : Force de traction > 1.72MPa.Résistance à la compression : f(c28)= 50 MPa selon NF EN 12 1390-3.Résistance au feu : résistant selon la classification européenne A1 (anciennement M0)Coefficient d’absorption solaire : < 0,7 % (sauf Black, Anthracite, Ton Rocaille, Gris clair et Gris nuancé)C’est dans cette même optique d’amélioration continue que fin 2021, le CSTB a procédé à des essais sismiques jamais réalisés jusque là.Le test Eurocode 8 selon la norme NF EN 1998-1Un test dont l’objectif est de s’assurer qu’en cas de séisme, les vies humaines sont protégées, les dommages limités et les structures importantes pour la protection civiles sont opérationnelles. Pour cela, des parements jointés (collection Manoir) et à joints non remplis (collection Rocky Mountain) ont été posés dans les règles de l’art sur un support auquel on applique des vibrations. Les essais consistent en 8 séquences de test où on augmente progressivement ces vibrations. Le résultat de ces tests s’est avéré plus que satisfaisant puisque les parements ORSOL sont arrivés sans aucune chute ou fissuration jusqu’à la dernière phase de vibrations sismiques, censée représenter le tremblement de terre le plus important possible en France et dans les DOMTOM).Cette nouvelle série de tests a donc apporté la confirmation que les parements ORSOL peuvent être posés sur l’ensemble du territoire français, y compris dans des zones où la sismicité peut être importante.
Il y a 2 ans et 335 jours

Lancement d’une nouvelle étude métier afin d’améliorer les conditions de travail des charpentiers

A partir d’informations quantitatives et qualitatives issues d’observations de l’activité et d’entretiens, les partenaires souhaitent mettre en œuvre des pistes d’amélioration des conditions de travail pour l’ensemble des professionnels concernés.Accompagner en prévention le développement de la construction boisAvec le développement de la construction bois ces dernières années, de plus en plus d’entreprises de toutes tailles ont recours à la construction hors site pour leurs chantiers. Bien que cette méthode de construction en atelier ou en usine présente de nombreux avantages, elle induit la pose d’éléments lourds et/ou volumineux sur chantier, qui peut être facteurs de risques : adéquation des moyens de levage/manutention, prise au vent des panneaux de murs, basculement de ces derniers et risques d’écrasement des compagnons. Ces chantiers présentent aussi des situations de travail en hauteur, notamment pour l’élingage et le désélingage des murs, ou encore la mise en œuvre des étages. En outre, ces dernières années, la préfabrication des planchers a également émergé. Cette pose d’éléments horizontaux est nouvelle et il est donc nécessaire d’améliorer la connaissance du métier, pour mieux comprendre les risques auxquels sont confrontés les compagnons et y apporter les solutions adéquates.Une étude métier qui repose sur une méthodologie d’intervention spécifiquePartant de ce constat, la Fédération des SCOP du BTP, l’Union des Métiers du Bois (UMB-FFB), l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB), la CAPEB et l’OPPBTP ont initié une démarche d’étude métier afin de sensibiliser les professionnels et de pouvoir améliorer les conditions de travail des charpentiers. Celle-ci repose sur une méthodologie d’intervention dénommée « Méthode d’Analyse et d’Evaluation des Conditions de Travail » (MAECT). Elle comprend une première phase tournée vers l’observation et l’analyse d’une situation de référence préalablement déterminée par les organisations professionnelles, qui conduit à la proposition de recommandations d’actions. Une Commission d’amélioration des conditions de travail est ensuite mise en place afin de développer tout ou partie de ces actions. Afin de dresser un état des lieux précis et complet, les observations de l’activité seront simultanément associées à une métrologie spécifique aux activités du charpentier pour chaque salarié observé :Mesures d’exposition aux poussières totales (dont poussières de bois) ;Mesures d’exposition au bruit : dosimétries et sonomètre pour mesurer le bruit ambiant si nécessaire ;Mesures de la fréquence cardiaque ;Mesures d’exposition aux vibrations lors des phases de mise en oeuvre (visseuse, cloueuse et outils mécaniques à main si nécessaire) ;Relevés de température et d’hygrométrie (ambiance climatique).Une situation de travail représentative du métier de charpentier en construction boisL’étude métier se concentre sur une situation de travail fréquente et représentative de l’ensemble des facteurs de risques auxquels ces professionnels sont exposés : la mise en oeuvre de planchers et de murs à ossature bois sur un chantier de logement individuel neuf.Afin de couvrir l’ensemble des pratiques, l’étude métier permettra d’observer quatre chantiers issus d’entreprises volontaires et adhérentes de chacune des Organisations professionnelles participant au projet. Parmi ces 4 chantiers avec pose de murs à ossature bois, seront également observés :Deux chantiers mettant en œuvre un plancher préfabriqué en atelier,Deux chantiers mettant en œuvre un plancher dont les poutres et solives sont posées sur site.Pendant trois jours consécutifs, la phase d’observation permettra d’observer au plus près les conditions de travail des opérateurs, selon 21 facteurs, des plus évidents (manutention manuelle, gestes, postures…) au plus sous-estimés (communication, autonomie).L’Instance d’Amélioration des Conditions de Travail proposera ensuite des solutions pratiques et facilement applicables, quelle que soit la taille de l’entreprise concernée.Les observations sur le premier chantier sont menées en juin 2022.
Il y a 2 ans et 339 jours

Préparation de surface des sols : Husqvarna Constructions France entre dans une nouvelle dimension

La bonne préparation de surfaces des sols en béton est essentielle à la réussite d’un projet et à l’application ultérieure d’un revêtement. En fonction de l’état de surface souhaité et du revêtement à poser, il existe plusieurs méthodes &#8211; ponçage, grenaillage, fraisage, rabotage &#8211; nécessitant l’utilisation de différentes machines. Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports&#8230;). Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes. Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements minces De différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements. Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille. Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques. Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfaces La préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels. Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols. Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, &#8230;). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier. Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épais Pour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage. La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2). Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collés Husqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, &#8230;). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses. La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte. Des chantiers propres et sûrs Afin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source. Des services associés Partenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien : • Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, &#8230; autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil. • Upcare, contrat d’entretien à prix fixe. • TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité. Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance. Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 2 ans et 351 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE LUMATUBE, UNE GAMME DE LUMINAIRES TUBULAIRES LED ÉTANCHES CONÇUS POUR LES ENVIRONNEMENTS SÉVÈRES

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente LUMATUBE, une gamme de luminaires tubulaires LED étanches très économes en énergie, conçus pour l’éclairage des bâtiments professionnels exposés à des environnements sévères. Fabriqués en France, les luminaires tubulaires LED LUMATUBE sont étanches et robustes, spécialement conçus pour l’éclairage des bâtiments et des espaces exposés à des environnements sévères comme ceux des zones humides, salles froides, atmosphères stériles ou encore à fortes vibrations, auxquels sont fréquemment soumis les professionnels des industries agroalimentaires, métallurgiques, de la logistique, de la santé, des transports… La gamme LUMATUBE comprends plusieurs modèles de luminaires dont les dimensions varient de 625 mm à 1525 mm de long (diamètre 100 mm) et les puissances de 30 W à 78 W avec un flux lumineux allant jusqu’à 10 764 lm pour une efficacité lumineuse de 138 lm/W. Disponibles en version transparente ou dépolie, les luminaires LED LUMATUDE possèdent un corps en polycarbonate avec une double extrusion spécifique, conçu pour résister notamment aux détergents de nettoyage employés dans l’agroalimentaire. Dotés d’une protection thermique intégrée, les luminaires tubulaires LED LUMATUBE fonctionnent à des températures de -20°C à +40°C. Ils possèdent des indices de protection élevés (IP67 et IK10), deux températures de couleur (4000K et 5000K) et une durée de vie L70B10 de 50 000 heures. Très économes en énergie, ils offrent un éclairage LED qualitatif, idéal pour rénover l’éclairage traditionnel énergivore des bâtiments soumis aux environnements sévères. Le retour sur investissement d’une installation est très rapide. Il est d’environ 2 ans pour les installations fonctionnant 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. La gamme LUMATUBE est disponible en version DALI, Digital Lumens ou en « Smart Facility » avec un système de gestion autorisant dans un même espace différents niveaux d’éclairement. Les luminaires LUMATUBE sont garantis 5 ans. &nbsp; A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 1 jours

Comment tirer parti de l’industrie 4.0 ?

Pour les environnements analogiques, c'est-à-dire dépourvues d'appareils intelligents, il est important de commencer par définir les possibilités pouvant être facilement mises en œuvre, pour ensuite servir de démonstration de faisabilité afin d’en prouver les avantages. On peut penser par exemple à des alarmes intelligentes ou à des interfaces avec des équipements existants, servant à fournir des informations facilitant les opérations et la maintenance. L'important étant de rester simple et de préparer une feuille de route qui tienne compte de facteurs tels que l'évolutivité, la cybersécurité, les coûts d'investissement et d'exploitation, la formation et la gestion du changement.Même pour les sites déjà équipés de dispositifs intelligents, de nouveaux capteurs et instruments dotés d'indicateurs de diagnostic, de santé et de performance sont désormais disponibles et peuvent être utilisés pour fournir des avertissements et prévenir les pannes et les interruptions de service. En déployant des dispositifs de terrain et de communication ainsi que des infrastructures supplémentaires, la compréhension des équipements et des opérations sera améliorée grâce aux données et aux analyses fournies.Ces informations peuvent être utilisées pour développer des jumeaux numériques, de la réalité augmentée et d'autres options de visualisation favorisant l'efficacité et la fiabilité. Même en utilisant déjà des automates programmables industriels (API), un système de commande distribué (DCS) ou un progiciel de gestion intégré (ERP), des données pertinentes qui n'étaient pas visibles dans le système de contrôle existant seront alors très probablement mises en lumière. Grâce à l'industrie 4.0, il est possible de recueillir et valoriser des informations supplémentaires afin de les transformer en perspectives.SaaS ou achat fermeDe nombreux produits, y compris les logiciels, ont évolué vers le modèle « as-a-service », qui implique un abonnement plutôt qu'un achat ferme. Ce modèle présente un certain nombre d'avantages, comme l'accès à une infrastructure technologique avec un faible coût d'entrée. Cela réduit les dépenses d'investissement initiales et les répartit sur des dépenses d'exploitation prévisibles et constantes, année après année, en fonction de la durée de vie de vos actifs et de vos équipements critiques.Lors d’un abonnement, c'est le fournisseur de logiciels (et non les services informatiques ou techniques) qui est responsable de la maintenance et de la mise à niveau du système. Et comme ces systèmes sont basés sur un environnement cloud, la reprise après sinistre ne nécessitera qu’un effort minime par rapport à une reprise dans une solution sur site.La valeur de la capture des donnéesIl existe de nombreuses façons d'exploiter les données afin d’économiser du temps et de l'argent. L'une des plus courantes est la prévention des interruptions de service non planifiées et des coûts associés dus à la perte de production et à la réaffectation des ressources.Les autres coûts concernent la réparation et le remplacement des équipements, de l'analyse des vibrations sur les moteurs et les actionneurs à la corrosion des engrenages électriques due aux conditions environnementales. Dans ces cas, la surveillance de l'état du disjoncteur peut être utilisée pour la maintenance prédictive, par exemple.Utiliser le cloud pour organiser les données et leur donner du sensLe cloud permet d'optimiser les opérations grâce à l'analyse des données, à la reconnaissance des formats, à la classification et aux techniques adaptatives, afin de mettre les données en contexte et d'obtenir des informations qui peuvent ensuite être converties en actions. S'ils ne sont pas nouveaux, les outils de l'intelligence artificielle et de machine learning sont en train de se généraliser dans les services cloud.En conséquence, on s'est éloigné de la programmation extensive pour se tourner vers des modèles adaptatifs. Cependant, les problèmes complexes nécessiteront toujours des spécialistes des données et des développeurs. Par exemple, les données provenant de capteurs et d'actionneurs peuvent être corrélées pour déterminer les valeurs de consigne et les paramètres de production, ce qui permet de resserrer les spécifications, de réduire le poids et la consommation de carburant et d'énergie, etc.Avec les données, il est important de penser à la transparence et à l'interconnectivité. Pour les utilisateurs du système, peu importe où se trouvent les données tant qu'ils peuvent y accéder à tout moment et en tout lieu, et dans le format, la résolution et le détail appropriés. Disposer d'un dépôt central peut donc contribuer à réunir les données et à fournir des programmes permettant aux utilisateurs d'agir sur celles-ci.Cybersécurité et vulnérabilitésDe nombreuses entreprises se demandent si le cloud est un endroit sûr pour conserver et gérer leurs données. Si la réponse est généralement oui, cela dépend de nombreux facteurs, notamment d'une conception matérielle adaptée utilisant des pares-feux, une segmentation du réseau, des dispositifs gérés et un accès limité aux locaux. Du côté des logiciels, cela implique des antivirus et des programmes de défense contre les malwares, des sauvegardes de données, le cryptage, l'authentification multi-facteur, des certificats adéquats, la protection et les autorisations des données, et des analyses de vulnérabilité.En conclusion, il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte pour aborder sereinement et efficacement l'industrie 4.0. Il est également important de trouver un fournisseur de solutions qui puisse vous aider à identifier les possibilités d'amélioration et vous conseille sur les outils et technologies à privilégier. Mais avec une vision adéquate des informations nécessaires à l’amélioration des opérations de l’entreprise, il est assurément possible de déployer l'innovation numérique à son avantage.Tribune d'Arnaud Laugier, Directeur Marketing chez EATON
Il y a 3 ans et 6 jours

Quels sont les avantages des tablettes durcies pour les professionnels

Avec l’avancée des technologies, de nombreuses innovations améliorent bon nombre de pratiques. C’est le cas des tablettes durcies. En milieu professionnel, ces tablettes contribuent à améliorer les performances des collaborateurs ainsi que leur rendement. Grâce à leur qualité industrielle, elles résistent bien aux environnements difficiles. Notamment adaptées à la production, la maintenance, la qualité et la logistique, les tablettes durcies présentent divers avantages pour les industriels. Découvrez dans ce billet quelques-uns de ces avantages. Une connectivité universelle Le premier avantage qu’offre la tablette durcie pour les professionnels est la connectivité améliorée. À la différence des autres tablettes ordinaires qui sont conçues sur le principe de l’esthétique, les tablettes durcies présentent une haute performance. En plus d’avoir une élégance remarquable, les périphériques de cet appareil sont très performants et illimités. Avec les tablettes durcies, on a la possibilité d’avoir des ports COM ou des ports USB. Vous aurez également la chance de trouver le scanner de code-barres, le connecteur Ethernet et bien d’autres. Tous ces différents ports vont interagir aisément avec les imprimantes, les  claviers et les lecteurs externes. Une bonne résistance Les tablettes durcies sont très réputées à cause de leur résistance. C’est l’une des principales propriétés de ces outils.En effet, ces appareils ont fait l’objet d’un test de résistance avant leur mise à disposition sur le marché. Ainsi, les tablettes résistent parfaitement à la pression, aux chutes, aux vibrations, aux chocs thermiques, etc. Les tablettes durcies peuvent s’utiliser à des températures froides de moins de 20 degrés Celsius. Elles peuvent aussi être utilisées à des températures chaudes qui peuvent atteindre jusqu’à 60 degrés Celsius. Compte tenu de leur flexibilité, elles s’adaptent bien à tout type d’environnement. Ces tablettes sont alors adaptées pour les professionnels qui exercent dans les domaines où des appareils s’abîment très vite. De ce fait, les tablettes durcies peuvent être utilisées dans les secteurs de la logistique, du BTP, du transport, de l’infrastructure, de l’énergie, etc. Une bonne pérennité La pérennité des tablettes durcies est bien durable. À la différence des tablettes grand public qui offrent une pérennité de 6 mois, la pérennité des tablettes durcies va jusqu’à 7 ans. L’appareil peut ainsi être utilisé pendant longtemps. Il est donc préférable d’investir dans des tablettes durcies que dans des tablettes grand public. Toutefois, en plus de la connectivité, de la résistance et de la pérennité observées avec les tablettes durcies, les professionnels ont une autre bonne raison de choisir cet appareil. Un gain de temps Au regard de toutes les fonctionnalités qu’elles présentent, les tablettes durcies ont le pouvoir de simplifier le quotidien des professionnels. Grâce à ces tablettes, les activités les plus difficiles sont effectuées en un laps de temps. Il s’agit d’un appareil performant qui permet aux professionnels qui l’utilisent d’effectuer la version mobile des applications de leurs métiers. En outre, les tablettes durcies sont équipées d’une excellente luminosité qui permet aux travailleurs d’exécuter leurs tâches même en journée. Tous ces atouts permettent ainsi aux professionnels de gagner du temps dans l’exercice de leurs travaux. Ils peuvent profiter de ce gain de temps pour se consacrer à d’autres occupations. Ils pourront par exemple mettre en place un nouveau projet qui pourra contribuer à l’épanouissement de l’entreprise. Cela constitue donc un avantage considérable pour les professionnels.
Il y a 3 ans et 36 jours

Des produits et formations Würth éligibles à la subvention Top BTP

La subvention TOP BTP vise justement à venir en aide financièrement aux professionnels du bâtiment et travaux publics pour être en conformité avec la règlementation.Würth accompagne ses clients dans la sécurité au travailDepuis 2011, Würth France s’est engagé dans une démarche de santé et de sécurité au travail et a obtenu la certification ISO 45001 en 2018. Au travers de cet engagement, Würth France propose des produits de qualité et des formations préventives répondant aux critères d’éligibilité de la subvention TOP BTP.Qu’est-ce que la subvention TOP BTP ?Les Subventions Prévention aident au financement d’équipements, de conseils et de formations pour améliorer la prévention des risques professionnels dans les TPE et PME de moins de 50 salariés. Cette aide financière proposée par l’Assurance Maladie est versée par les caisses régionales (Carsat, Cramif ou CGSS). Elle a pour but de : Prévenir des risques de chutes de hauteur et de plain-pied sur les zones fréquemment circulées. Renforcer la prévention du risque chimique et des TMS par l’amélioration des conditions, d’hygiène et l’organisation sur les chantiers. Prévenir les risques de TMS liées aux vibrations.Prévenir les risques d’ensevelissement.Faire monter en compétences les professionnels. Qui est éligible ?Sont éligibles toutes les entreprises de 1 à 49 salariés dépendant du régime général des secteurs suivants : Les entreprises effectuant des opérations de bâtiment et de travaux publics dans les secteurs d’activité du CTN B*.Les constructeurs de Maisons Individuelles du n° de risque 70.3 AD Promotion, vente, location ou administration de biens immobiliers du CTN G. * Sont exclus :45.5ZB : Entretien, réparation, location et montage de matériel pour le bâtiment et les travaux publics.75.3CA : Allocations complémentaires aux indemnités journalières de sécurité sociale versées soit par des organismes de prévoyance soit par des employeurs : activités de bâtiment (gros œuvre) et travaux publics.75.3CB : Allocations complémentaires aux indemnités journalières de sécurité sociale versées soit par des organismes de prévoyance soit par des employeurs : autres activités.91.1AA : Caisses de congés payés du bâtiment et des travaux publics (en ce qui concerne les indemnités versées par ces organismes). Afin de bénéficier de cette subvention, les entreprises concernées doivent respecter plusieurs critères consultables sur le site de l’Assurance Maladie. Le budget des subventions Prévention TPE étant limité, une règle privilégiant les demandes de réservations selon l’ordre chronologique d’arrivée est appliquée. Comment l’aide est-elle calculée ?Les entreprises pourront bénéficier d’une subvention de : 50% du montant H.T. des sommes engagées pour acquérir le matériel hors échafaudages, 70% du montant H.T. des sommes engagées pour les formations, 25% du montant H.T. des sommes engagées pour les échafaudages MDS (y compris options 1 et 2). Le montant de la subvention ne peut être inférieur à 1 000 €. Il est possible de faire plusieurs demandes pour une même Subvention Prévention dans la limite du plafond de 25 000 € par entreprise. Les produits Würth éligibles 1. Les produits de prévention des risques de chutes de hauteur sur les zones fréquemment circuléesPlate-forme individuelle roulante légère PIRL Art. N° 0962 975 084 Harnais Confort Plus Art. N° 0899 032 959 2. Les produits de prévention des chutes de plain-pied sur les zones fréquemment circuléesChaussure de sécurité basse S3 Flex Running Art. N° 5357 038 360 à 5357 038 470 Bâche antidérapante Griptec Art. N° 0818 050 153 / Art. N° 0818 050 154 / Art. N° 0818 050 151 3. Les produits de prévention du risque chimique Masque partiel HM 175 Art. N° 0899 175 000 Botte Dunlop Devon S5 SRA VERT Art. N° M423 001 036 à 047 Dispositif de pulvérisation 500 ml Art. N° 0891 502 002/003 4. Les produits de prévention des TMS Paire de genouillères EN 14404 Art. N° 0899 030 10 Marteau perforateur BMH 32-XE Art. N° 0702 543 2 Gants Tigerflex Plus Art. N° 0899 411 016 à 021 Les formations préventives éligibles Les chutes de hauteur figurent parmi les premières causes d’accidents du travail. Le Würth Training Center propose des formations sur le travail en hauteur. Plus d’informations à cette adresse.
Il y a 3 ans et 57 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Professional Bosch : Une résistance extrême aux conditions les plus rudes

Une conception robuste pour une utilisation dans des conditions difficiles et par mauvais temps Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes une portée de travail jusqu’à 650 m de diamètre. Particulièrement robuste, il supporte les conditions et les environnements de chantier les plus rudes. Son boîtier, y compris le compartiment à piles/batterie, résiste aux chocs et aux poussières, et est étanche aux projections d’eau (IP 68), ce qui permet une utilisation même par mauvais temps. Les poignées latérales protègent efficacement le laser rotatif en cas de chutes  ou de renversement du trépied, jusqu’à 2 m. Un laser vert pour une meilleure visibilité Polyvalent, le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch est idéal pour les travaux de mise à niveau en extérieur &#8211; terrassement, pose de coffrage pour béton, aménagement paysager, ravalement de façades&#8230; &#8211; mais aussi en intérieur : pose de plafonds et de murs, installation de systèmes de chauffage et climatisation&#8230; La technologie de laser vert lui assure une excellente visibilité quelles que soient les conditions d’éclairage sur le chantier. Une connectivité pour un travail plus rapide Le GRL 650 CHVG Professional Bosch peut être connecté par Bluetooth à un Smartphone pour être piloté, contrôlé et personnalisé via l’application Levelling Remote. L’écran intégré à commande intuitive permet d’avoir une vue d’ensemble des paramètres et de piloter le laser rotatif à distance pour gagner du temps. Grâce à la fonction «uCal», l’assistant de calibrage, le calibrage est facile, rapide et précis (± 1,5 mm par 30 m). Il suffit de suivre les instructions pas à pas de l’application. L’application Levelling Remote permet de garder en mémoire des valeurs d’inclinaison et d’utiliser la fonction de double pente, en ajustant les valeurs de pente sur les axes X et Y de ± 8,5 %. Pour les inclinaisons supérieures à 8,5 %, le professionnel peut passer en mode manuel. D’autres fonctionnalités sont également disponibles : l’angle de balayage, la vitesse de rotation et le système d’avertissement de chocs automatique (ADS). Ce dernier limite la sensibilité de l’appareil, empêchant qu’il ne se déclenche à cause des vibrations engendrées par des véhicules de chantier par exemple. Enfin, très pratique, le « mode masquage » de l’application évite les interférences avec les autres appareils connectés présents sur le chantier. Une détection rapide du faisceau de laser vert grâce à la cellule de réception LR65G Le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch fonctionne avec une cellule de réception de grande qualité, la LR 65 G Professional. Cette dernière est équipée d’une longue fenêtre de réception (125 mm) et ses deux écrans LED rétro-éclairés &#8211; un à l’avant et l’autre à l’arrière &#8211; facilitent la lecture de la position du faisceau laser. Lorsque la fonction « CenterFind » est activée, le laser rotatif trouve automatiquement le centre du récepteur, il est alors aligné sur celui-ci et l’inclinaison est affichée en pourcentage. Par ailleurs, grâce à la nouvelle fonction « CenterLock », le laser rotatif peut conserver sa position exacte d’alignement au centre du récepteur tout au long de la journée. De conception robuste, cette cellule est idéale pour les chantiers les plus rudes. Elle est dotée de touches en caoutchouc très résistantes, d’une très bonne protection contre l’eau et la poussière (IP67) et d’un revêtement softgrip protecteur. Elle peut être tenue en main, suspendue par un crochet ou fixée à des surfaces métalliques. Une alimentation Dual Power Grâce à une double alimentation, le GRL 650 CHVG Professional est toujours prêt à fonctionner. Il offre une grande autonomie (50 à 60 h selon la batterie) et permet une utilisation prolongée avec une batterie 18 V ou des piles alcalines. Il est compatible avec toutes les batteries du système Bosch Professional 18 V jusqu’à 8,0 Ah.
Il y a 3 ans et 128 jours

Les 5 grandes tendances du CES 2022 qui devraient impacter les secteurs du bâtiment et de la ville

Dans ce cadre, Construction Tech a créé différentes actions tels que le Challenge Start-Ups Construction Tech, qui vient de dévoiler les lauréats de sa 4ème édition, l’Annuaire des Start-Ups enrichi régulièrement ou encore l’espace Construction Tech installé tous les deux ans au salon BATIMAT.Construction Tech® décrypte par ailleurs les grandes tendances du secteur du bâtiment et l’impact des innovations sur l’évolution du marché à travers des observatoires et des études réguliers. Dans ce cadre, Construction Tech propose chaque année une analyse des tendances émergentes du CES de Las Vegas.Malgré un contexte sanitaire difficile, l’événement s’est tenu du 5 au 8 janvier 2022 et a, encore une fois, fait éclore de nouvelles idées et de nouveaux concepts.Nul doute que la crise sanitaire actuelle a accéléré certains développements mais les forts enjeux climatiques sont aussi à l’origine d’une proposition de technologies prometteuses. Construction Tech dévoile les 5 tendances phares repérées au CES 2022, dont les applications auront des répercussions profondes sur l’usage des bâtiments mais aussi plus largement sur la manière de vivre la ville.Smart Home 2.0 : Une petite révolution grâce à de nouveaux protocoles de communicationJusqu’à présent, l’un des principaux freins au déploiement de la domotique est la grande diversité des protocoles de communication incompatibles les uns avec les autres. Le rêve d’un langage unique qui permettrait à chaque solution d’interagir avec une autre, voire avec plusieurs autres solutions, semble toutefois à portée de main.Protocole de communication sans fil, Thread a déjà été adopté par de nombreux grands groupes tels que Amazon, Belkin, Schneider Electric, Aqara (filiale de Xiaomi) ... qui ont profité du CES 2022 pour l’annoncer. Thread ne comporte toutefois pas de couche d’application, domaine de Matter qui peut, lui, être transporté par de multiples réseaux compatibles tel que Thread mais aussi par WiFi ou Bluetooth par exemple. Matter permet ainsi de rendre compatibles entre eux des objets connectés de différentes marques. De son côté, le BLE ou Bluetooth Low Energy offre une grande simplicité d’emploi pour les utilisateurs et fonctionne parfaitement pour la configuration appareil par appareil dans un logement.La course à l’IA et aux robots les plus performantsSi l’IA offre un large champ à l’imaginaire, elle est aussi une formidable opportunité d’aide au quotidien. La multiplicité des usages mais aussi le travail des développeurs et des fabricants pour proposer des solutions accessibles au plus grand nombre permettent aujourd’hui d’envisager un déploiement massif de cette technologie.Des exemples très concrets ont été repérés au CES 2022 de Las Vegas. Ainsi, la start-up française Niryo commercialise des robots destinés à l’éducation, la formation et la R&D afin de répondre aux besoins d’une industrie 4.0 en plein essor. Toujours dans le secteur de l’automation industrielle, ITRI lance un bras robotisé intelligent et doté de captures 3D. De son côté, Nvidia propose une plateforme ouverte, Omniverse, conçue pour la collaboration virtuelle et les simulations en temps réel. Une thématique aussi développée par Ansys qui développe des IA de simulation des bruits, vibrations et autres aléas environnementaux sur les véhicules électriques. Des solutions dont l’utilisation dans le BIM et la conception semble envisageable.Le boom des healthtechsCorollaire d’une crise sanitaire qui perdure, les solutions de smart home en lien avec les préoccupations autour de la santé des habitants se multiplient. Amélioration de la qualité d’air, protection de la santé des personnes, obstacle à la propagation des germes... autant de problématiques qui trouvent leurs réponses dans la mise en place de solutions adaptées, comme la fonctionnalité « touchless » mise en place par de nombreux fabricants pour leurs produits tel que le robinet intelligent Moen Smart Faucet. La qualité de l’air des habitations et des bureaux est aussi une problématique phare dont les industriels s’emparent en proposant de nombreux purificateurs d’air pour tous types d’espaces, comme chez LG avec le PuriCare Aero Tower ou comme la solution Lod Protect dont la promesse est de désinfecter l’air à 99 % grâce aux UV-C produits par ses éclairages.Climat et environnement : la promesse du tout électrique décarboné et produit localementLes solutions de production d’énergie se font enfin une place remarquée au sein du CES 2022. En lien direct avec les préoccupations liées au climat et à l’environnement, les propositions autour de la production et de la gestion d’énergie connaissent un véritable essor. Ainsi, les voiles photovoltaïques d’Héole sont capables d’alimenter en énergie des bateaux, mais aussi des bâtiments et sont parfaitement adaptées à la construction bioclimatique. Pour la production d’hydrogène, Doosan développe un système de production « Trigen hydrogen fuel cell » basé sur la pyrolyse de plastique issu du recyclage. De son côté Schneider Electric propose un tableau électrique intelligent, “Wiser Energy Center” qui permet de collecter et d’analyser les données de consommation électrique du foyer pour mieux la piloter et l’optimiser. Finz, start-up française, développe une solution d’aide à la décision du financement des projets d’eau, d’énergie ou d’adaptation climatique en contexte de smart cities/ports/agriculture par la prédiction des risques cognitifs humains, climatiques, géopolitiques, une garantie blockchain et la mesure de l’impact carbone.La e-mobilité arrive sur le chantierLa mobilité est toujours un sujet phare du CES 2022. Elle est aussi liée au développement des véhicules électriques et gagne du terrain notamment sur les chantiers où la recherche d’un travail plus vertueux s’impose petit à petit. Véhicule 100 % électrique, Pickwheel présente par ailleurs la particularité de n’être piloté qu’à l’aide des pieds, libérant ainsi les mains des opérateurs pour d’autres tâches. Toujours dans ce segment d’utilitaires électriques, Goupil développe des véhicules électriques adaptés à différentes activités (maintenance, collecte des déchets, logistique...). Qui dit véhicules électriques dit besoin de recharger. ChargePoly a créé une solution de charge rapide et multi-véhicules.Pour Guillaume Loizeaud, Directeur du salon Batimat : « Les enjeux liés à la transformation de l’acte de construire et de l’habitat offrent une réelle opportunité aux géants de la tech mais aussi aux entrepreneurs. On le voit, ces nouvelles technologies qui apparaissent dans un premier temps sur les marchés grand public, émergent deux à trois ans plus tard sur les marchés professionnels. On observe ces phénomènes pour l’IA, la robotique, la mobilité ou la commande sans contact. Les enjeux environnementaux jouent aussi leur rôle dans le développement de solutions autour de la décarbonation de l’énergie. Du côté du smart home, l’ouverture des protocoles de communication et leur interopérabilité élargit le champ des potentiels. Bien évidemment, on ne peut passer sous silence la pandémie mondiale qui s’est déclarée en 2020 et qui a aussi accéléré un certain nombre de développements notamment sur le marché des healthtechs. »
Il y a 3 ans et 141 jours

Le pilote ou driver, un élément déterminant pour optimiser le rendement des luminaires LED

Les pilotes de LED utilisent des techniques à découpage de tension et à modulation de largeur d’impulsions. Les dispositifs abaisseurs de tension fournissent le niveau de tension nécessaire à l’éclairage des LED reliées en série. Ces dispositifs disposent d’une self mémoire de courant ; en hachant la tension d’entrée on obtient la tension voulue pour l’activation des LED.Les LED nécessitent une alimentation capable de convertir le courant alternatif en tension continue, de réguler le courant traversant la LED pendant le fonctionnement et de protéger les LED des fluctuations de tension de ligne, telles que le ballast utilisé pour une lampe fluorescente. Les pilotes de LED peuvent être des types à tension constante ou des types à courant constant. Avec l'utilisation de ces pilotes électroniques, une variété de fonctions supplémentaires peut être intégrées dans le luminaire, l'intégration de tous les composants électroniques est une tendance contre l'utilisation decomposants discrets pour simplifier l'application. Les pilotes dotés d'une capacité de gradation peuvent modifier le flux lumineux sur toute la plage de 100 % à 5 à 10 %. Les pilotes dimmables peuvent tamiser les LED en réduisant le courant direct (réduction de courant constant CCR), par modulation de largeur d'impulsion (PWM) via une commande numérique ou par des méthodes plus sophistiquées comme DALI. La plupart des pilotes de gradation fonctionnent en utilisant la méthode PWM. Avec cette méthode, la fréquence peut atteindre quelques centaines de Hz à kHz, de sorte que la lumière LED semble être continue sans scintillement. L'électronique sensible du pilote est directement exposée aux effets de l'environnement, ce luminaire doit résister à tout moment. Il est donc important de connaître tous les facteurs qui peuvent influencer la fiabilité.Les exigences critiques pour les pilotes de LED sont en partie liées aux performances, en partie à la fiabilité :Attentes liées au rendement :Haute efficacité - Critique pour les économies d'énergieFonction de gradation - Améliore considérablement la fonction d'économie d'énergieAutres caractéristiques électriques (PFC, THD, Ripple)Attentes liées à la fiabilité :Haute fiabilité - Fondamentale pour minimiser les coûts de maintenanceLongue durée de vie - Compatible avec la durée de vie prévue des LEDMesure de la performanceLe pilote LED joue un rôle crucial dans le contrôle des performances de l'ensemble de l'appareil d'éclairage. La diversité des pilotes disponibles rend difficile le choix de la bonne solution, notamment en raison du fait que les fabricants fournissent des informations techniques de qualité différente. Les pilotes qui semblent parfaitement adaptés à première vue peuvent fonctionner de manière complètement différente dans des conditions particulières, donc sans connaître le comportement exact dans toutes les circonstances, il est difficile de comparer les produits. Pour pouvoir poser les bonnes questions au fabricant, il faut savoir comment spécifier les disques avec plus de précision pour obtenir les bonnes performances.Fiabilité : Durée de vie (LifeSpan) versus MTBFPar définition, la fiabilité est une probabilité que le produit remplisse la fonction attendue dans certaines conditions de fonctionnement pendant une période définie. La fiabilité est dépend du fonctionnement, des conditions et du temps attendus. Les exigences critiques pour les performances des pilotes LED sont le rendement élevé pour fournir suffisamment d'économies d'énergie, la fiabilité pour minimiser les coûts de maintenance, la longue durée de vie mesurable avec la durée de vie des puces LED et la fonction de gradation pour des économies d'énergie et de durée de vie supplémentaires. Habituellement, la fiabilité est quantifiée avec le MTBF, mais une compréhension correcte du MTBF est indispensable. En théorie, l'hypothèse selon laquelle un MTBF plus élevé signifie une fiabilité plus élevée est vraie, mais il n'y a pas de proportionnalité directe entre les deux nombres.Le temps moyen entre les pannes (MTBF) représente l'approximation statistique des heures cumulées pendant lesquelles un certain nombre d'unités doivent fonctionner avant qu'une panne puisse être attendue. Il ne représente pas la durée de vie prévue d'une unité donnée.La durée de vie d'un produit indique combien de temps un produit devrait survivre dans des conditions de fonctionnement normales.Si cette durée de vie est de 50 000 heures, la fiabilité des différentes solutions de pilotes MTBF peut être calculée :Il est bien visible que l'augmentation de 400 % ou du MTBF n'entraîne qu'une augmentation de 30 % de la fiabilité avec les mêmes attentes de durée de vie.Au début de la période de service, les défauts de production peuvent entraîner de défaillances précoces élevées, Le nombre de pannes commence à diminuer considérablement par la suite. L'intégrité de la conception, les tests de résistance et l'assurance qualité adéquate ont tendance à diminuer le nombre de défaillances précoces. Au cours de la période de vie utile, les défaillances se produisent dans un ordre aléatoire, mais le taux de défaillance est presque constant. C'est la période entre le début d'utilisation de l'appareil et le début de la phase d'usure. Ceci est déterminé par l'espérance de vie des composants utilisés dans l'assemblage de l'unité.Au fur et à mesure que les composants commencent à se dégrader, des problèmes surviennent à des taux croissants, principalement causés par la panne des composants électroniques soumis au vieillissement, aux contraintes électriques et thermiques. C'est la période où le MTBF calculé ne s'applique plus. Le MTBF n'est applicable que pendant la durée de vie normale du produit. Il peut arriver qu'un appareil avec 10 ans de MTBF s'use en 3 ans, personne ne peut prédire l'usure des composants de manière fiable. En général, les fabricants de composants de qualité ainsi que d'alimentations visent à avoir une durée de vie utile dépassant la durée de vie de conception.Mesures de fiabilitéTempérature de fonctionnementLa température à laquelle le pilote fonctionne affecte fortement sa durée de vie, c'est pourquoi une gestion efficace de la température est un point clé de la conception du luminaire.Habituellement, la température maximale du boîtier Tcmax est la limite pour donner une durée de vie garantie au pilote LED. Même s'il y a une protection thermique intégrée, elle est déclenchée bien au-delà de cette limite, par conséquent la durée de vie attendue du pilote chute considérablement, à moins que le concepteur du luminaire n'installe une protection de température externe.Condensateurs électrolytiques et autres composants critiquesLe composant le plus faible avec l'espérance de vie la plus courte détermine la durée de vie de l'ensemble du produit. Pour les alimentations, les condensateurs électrolytiques ont généralement la durée de vie la plus courte, de sorte que la durée de vie du pilote de LED AC/DC est normalement déterminée par la durée de vie des condensateurs en aluminium utilisés. Des capuchons longue durée doivent être utilisés pour assurer une longue durée de vie des pilotes de LED. Étant donné que la durée de vie des capuchons en aluminium double pour chaque diminution de 10 °C de la température de fonctionnement (règle d'Arrhenius), il est essentiel de minimiser la température de fonctionnement des condensateurs électrolytiques. Malgré ce fait, les taux de défaillance des pilotes de LED sont dominés par les dispositifs à semi-conducteurs, qui comprennent les principaux MOSFET, diodes, circuits intégrés de commande et optocoupleurs. En raison des règles de conception appliquées, les condensateurs en aluminium ne contribuent aujourd'hui qu'à une petite partie des taux de défaillance des pilotes, qui dépendent largement de la température de fonctionnement. En règle générale, le taux de défaillance d'un pilote de LED augmente de 25 à 40 % pour chaque augmentation de 10 °C de la température du boîtier.EfficacitéComme écrit précédemment, l'efficacité a un impact énorme sur la durée de vie. Moins l'auto- échauffement se produit dans le conducteur en raison des pertes thermiques, les composants sont moins soumis à des contraintes thermiques. La durée de vie typique d'un pilote de 150 W est augmentée d'environ 2,5 fois à mesure que l'efficacité du pilote passe de 85 % à 93 %.Le MTBF calculé d'un driver de 150 W augmente d'environ 90 % à mesure que l'efficacité du driver passe de 85 % à 94 %.Les soudures de jonctionLa fiabilité des soudures peut causer des problèmes en raison du cycle de température, qui provoque une dilatation thermique différente des matériaux à souder, donc un risque de fissures dans la soudure de jonction. Les contraintes mécaniques peuvent également provenir de l'utilisation de composants lourds ou de vibrations.Résumé des actions pour maximiser la fiabilité :Sélectionnez des composants de qualité, en particulier les principaux dispositifs à semi-conducteursRéduire la température de fonctionnement en améliorant l'efficacitéFournir suffisamment de marges de conception à tous les composantsSuivre des procédures de conception strictesConsidérations financièresEn plus de fournir des performances et une fiabilité élevée, les attentes financières doivent également être prises en compte et des fonctionnalités techniques supplémentaires doivent être impliquées ici.Le fait de pouvoir utiliser des pilotes connectés au même disjoncteur permet de réaliser des économies sur les coûts d'installation. Le nombre de pilotes LED est limité par des disjoncteurs à courant de déclenchement. Si tous les pilotes ont un courant d'appel optimisé, plusieurs peuvent être connectés en même temps sans problème au démarrage.Lors du démarrage d'un système d'éclairage à LED, un fort courant transitoire initial peut être maintenu, qui peut être plusieurs fois supérieur au courant nominal en fonctionnement normal.Typiquement, ces courants d'appel durent moins de 10 ms mais ils peuvent néanmoins déclencher le disjoncteur. Le courant d'appel est causé par la charge des condensateurs dans les alimentations des pilotes de LED ou parce que le flux magnétique ne s'est pas encore accumulé dans le transformateur de l'alimentation. La sélection de pilotes à régulation d’appels de charges est un moyen rentable, en particulier pour les solutions de modernisation simplifiant le câblage.ConclusionPour sélectionner le meilleur pilote LED en termes de durée de vie, de fiabilité, de performance et d'aspects financiers, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est difficile de comparer les spécifications des pilotes entre les fabricants, et il n'est pas conseillé de baser la décision sur le coût d'achat pur, car cela élimine trop de facteurs de décision, qui peuvent avoir un rôle important sur les performances réelles. Nous espérons qu'en clarifiant les facteurs ci-dessus, le concepteur aura une meilleure chance de faire une sélection exacte. MeanWell, Philips, Inventronics, Osram, Turful, Sosen, Moso… proposent une vaste gamme de pilotes LED intérieurs et extérieurs. Comme la plupart des applications d'éclairage LED sont justifiées sur la base d'économies d'énergie et de coûts de maintenance réduits, nous nous concentrons en conséquence sur la fourniture de produits à haute efficacité et longue durée de vie. Ces marque leader proposent des Pilotes LED avec un rendement jusqu'à 95 %, un facteur de puissance jusqu'à 0,99, une protection robuste contre la foudre et des niveaux d'étanchéité IP67. Ces produits sont conformes aux réglementations de sécurité mondiales et aux normes de compatibilité électromagnétique et disposent d'une protection contre les surtensions, les surintensités et les surchauffes. Ils sont largement utilisés pour les lampadaires LED, les éclairages de tunnel et l'éclairages d’atelier, locaux industriels, chantiers, zones de stockages, parking, aire de loisirs, terrain de sport et stades.Les drivers de la gamme NOVETI des série SFL, HFL, XFL utilisent des condensateurs électrolytiques spéciaux à longue durée de vie spécifiés sur une durée de vie « LS » de 50 000 heures de -40°à +85°C. La régulation de sortie de courant à faible ondulation crée une lumière stable sans scintillement et une gradation en douceur pour les modèles équipés d’une option dimable 1-10V . La conception thermique autorégulée permet une garantie jusqu’à 5 ans.Le pilote LED représente 80% de la fiabilité d’un luminaire LED. Au-dessous d’une certaine qualité il ne peut plus offrir au luminaire l’uniformité, le rendement et une fiabilité optimum.
Il y a 3 ans et 159 jours

Lien "hautement improbable" entre éoliennes de Nozay et troubles dans les élevages, selon l'Anses

Saisie par les ministères de la Transition écologique et de l'Agriculture en 2019 pour émettre un avis scientifique sur la mystérieuse mortalité des vaches de deux élevages, l'Anses "considère comme hautement improbable, voire exclue" la responsabilité des éoliennes.Depuis la construction en 2012 du parc des "Quatre Seigneurs", trois éleveurs de deux exploitations rapportent une mortalité accrue de leurs bovins ainsi que des troubles du comportement et une baisse de leur production laitière, qu'ils attribuent à l'installation des éoliennes à 700 et 1.500 mètres de leurs fermes."Les troubles dont les éleveurs se plaignent sont réels", reconnaît Matthieu Schuler, directeur général délégué du pôle "sciences pour l'expertise" de l'Anses.Ceux-ci ne sont toutefois pas imputables aux "agents physiques" générés par les éoliennes, à savoir les ondes sonores, les vibrations au niveau du sol et les champs électromagnétiques, conclut l'Anses.Concernant la diminution de la quantité et de la qualité du lait, les troubles de la reproduction et la mortalité, le rapport estime que "la chronologie des troubles est incompatible avec les périodes de construction et de mise en service du parc éolien".Pour les autres troubles, "les niveaux d'exposition à la plupart des agents physiques sont faibles et ne diffèrent pas de ceux rencontrés habituellement dans un élevage", ajoute l'étude."On a également interrogé l'ensemble de nos agences homologues à travers l'Europe. Aujourd'hui aucun trouble équivalent n'a été rapporté (...) dans une vingtaine de pays d'Europe", précise Matthieu Schuler.Selon l'Anses, les troubles rapportés par les éleveurs pourraient avoir "d'autres causes non étudiées", notamment "un niveau d'exposition aux courants parasites inhabituel dans les bâtiments des deux élevages". Un courant parasite, auquel les bovins sont particulièrement sensibles, est un courant de faible voltage dont la circulation n'est ni souhaitée ni maitrisée.En 2019, des experts dans les domaines vétérinaire, électrique, électromagnétique et géobiologique dépéchés à Nozay n'avaient établi aucun "lien direct" entre les troubles rapportés par les éleveurs et les éoliennes.Plusieurs actions en justice ont cependant été intentées par les éleveurs concernés.Fin novembre, le tribunal judiciaire de Nantes a ordonné une expertise des câbles électriques du site, qui doit être rendue au plus tard le 31 juillet 2022.
Il y a 3 ans et 176 jours

Le nouveau CM Connect d’Alfa Laval digitalise les process hygiéniques

&nbsp; Le nouveau système de surveillance connecté CM Connect d’Alfa Laval permet d’accéder à distance aux données des équipements rotatifs. Avec sa connection au Cloud et son fonctionnement par abonnement, il marque une nouvelle étape vers la numérisation des données pour stimuler l’innovation et la croissance des clients dans les applications hygiéniques. Les données sur le temps de fonctionnement, l’analyse des tendances et le délai avant le prochain entretien aident les opérateurs d’usine à prendre des décisions éclairées sur la maintenance, depuis n’importe quel appareil connecté. Cela permet de protéger la continuité des process et les actifs critiques, d’améliorer la sécurité sur le lieu de travail et d’obtenir un avantage concurrentiel, tout en économisant du temps et de l’argent. Maximiser l’efficacité de l’usine, minimiser les temps d’arrêt non planifiés Alors que l’industrie 4.0 évolue, CM Connect constitue une nouvelle étape naturelle dans le parcours de numérisation du client en élargissant la gamme de solutions de surveillance d’Alfa Laval. Grâce à une visibilité sur tous les actifs connectés, les opérateurs de l’usine peuvent détecter les problèmes impactant les performances, prévenir les temps d’arrêt non planifiés et améliorer la gestion des actifs. Agissant comme une passerelle via Bluetooth, CM Connect peut relier jusqu’à 10 moniteurs de vibrations sans fil CM Alfa Laval. Il transmet ensuite les données sur un réseau 4G vers le Cloud pour examen et analyse sur un tableau de bord intuitif et convivial. Notifications avancées en temps réel Une analyse avancée des vibrations de l’équipement permet de détecter tout écart par rapport aux seuils prédéfinis. En cas d’écart, un SMS ou un e-mail prévient les utilisateurs, qui peuvent prendre des mesures en temps réel en fonction de l’analyse des données. « Concentrez-vous sur l’important. CM Connect permet aux opérateurs d’usine de planifier et de prioriser la maintenance en se basant sur des données concrètes », déclare John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval. « Plutôt que de remplacer les pièces d’usure avant la fin de leur durée de vie effective, les opérateurs peuvent consacrer du temps et de l’argent au moment et à l’endroit où la maintenance est nécessaire. » En plus de relier les systèmes de surveillance de vibrations CM, CM Connect peut également servir de capteur. Il mesure les vibrations, la température interne et le temps de fonctionnement total lorsqu’il est monté sur les pompes Alfa Laval LKH, SRU, SX et DuraCirc, ou sur d’autres machines rotatives, telles que les agitateurs ou les mélangeurs. Vers une numérisation renforcée Dans le cadre de son engagement à se positionner comme pionnière de la transformation numérique dans les applications hygiéniques, Alfa Laval explore et développe des solutions industrielles 4.0 pour renforcer l’avantage concurrentiel des clients. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.fr/cmconnect. &nbsp; Pour plus d’informations, merci de contacter : Virginie Nordmann Marketing & Communication Manager, Alfa Laval virginie.nordmann@alfalaval.com Tel : +33469167646 &nbsp; Nous sommes Alfa Laval Alfa Laval est actif dans les domaines de l&rsquo;énergie, de la marine, ainsi que l&rsquo;alimentation et l&rsquo;eau, offrant son savoir-faire, ses produits et ses services à un large éventail d&rsquo;industries dans une centaine de pays. L&rsquo;entreprise s&rsquo;engage à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès – en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs professionnels et de développement durable. Les technologies innovantes d&rsquo;Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à augmenter l&rsquo;efficacité énergétique et la récupération de la chaleur, à améliorer le traitement de l&rsquo;eau et à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès pour ses clients, mais aussi pour les personnes et la planète. Pour rendre le monde meilleur, chaque jour. C&rsquo;est tout cela, Advancing better. Alfa Laval compte 16 700 salariés. Ses ventes en 2020 se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.fr 
Il y a 3 ans et 219 jours

Éliminer efficacement les nuisances sonores à l'intérieur d'un bâtiment

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, un tiers des Européens souffre des effets néfastes du bruit. Décideurs du bâtiment : Vous pouvez agir pour éradiquer les nuisances sonores et améliorer ainsi la qualité de vie des utilisateurs des bâtiments tertiaires ou résidentiels.Le confort acoustique est un élément souvent négligé des espaces intérieurs. Or l'équilibre psychologique et la productivité au travail des occupants y sont intimement liés. Un bon confort acoustique a une influence positive sur la qualité de vie au quotidien et sur les relations entre les usagers d'un bâtiment. En effet, le bruit peut devenir rapidement insupportable et être à l'origine de stress. Les nuisances sonores, notamment les bruits nocturnes peuvent modifier la qualité du sommeil, et augmenter ainsi le risque de développer certaines maladies.Bruits intérieurs, bruits de choc ou d'impact, bruits générés par les équipements individuels et collectifs (vibrations des ascenseurs, écoulements, ventilation, chauffage…), réverbération des parties communes…même avec une isolation acoustique efficace sur les éléments structurels, les bruits gênants à l'intérieur des bâtiments nuisent à la qualité de vie.Pour les professionnels de la construction, l'enjeu principal est de respecter les exigences réglementaires en matière d'acoustique et de pouvoir suivre les évolutions des techniques liées aux nouvelles réglementations. Lors du webinar du 20 octobre, les experts techniques d'Armacell vous expliqueront pourquoi et comment, lors de la construction de nouveaux bâtiments ou de la modernisation des installations existantes, des mesures de protection acoustique doivent être programmées et correctement réalisées.A travers des cas concrets, ils présenteront leurs solutions adaptées aux projets de construction les plus exigeants et vous donneront les clés pour réaliser des installations acoustiques performantes et durables. Ils vous aideront à prendre les bonnes décisions pour optimiser le rapport coûts/bénéfices. Comment contribuer au bien-être des utilisateurs des bâtiments résidentiels et publics et créer des environnements confortables et silencieux ? N'attendez plus, inscrivez-vous au prochain webinar, Armacell répondrons à toutes vos questions
Il y a 3 ans et 238 jours

Restauration de l’ancienne cathédrale de Cavaillon

Une partie du chantier de restauration de l&rsquo;ancienne cathédrale de Cavaillon est prise en charge dans le cadre du plan de relance pour l&rsquo;année 2021. L’ensemble paroissial Notre Dame et Saint Véran, ancienne cathédrale, apparaît comme un ensemble complexe, fruit d’une construction en plusieurs étapes. De nombreuses catastrophes (incendie au Moyen-Âge, sac du baron des Adrets et des troupes protestantes en 1562, pillages lors de la Révolution, manque d’entretien suite à celle-ci) et les chantiers qui s’en suivirent vont contribuer à faire évoluer la cathédrale. Inscrite sur la première liste des Monument Historiques de 1840, la cathédrale est alors en piteux état. Des travaux de grande ampleur sont entrepris peu après afin de prévenir le risque d’écroulement de certaines parties de l’ensemble. Malgré cela, elle présente aujourd’hui de nombreux désordres : affaiblissement général des structures, importantes fissurations, ruptures d’étanchéité et infiltrations d’eau, dépôts de particules fines qui désagrègent les pierres. Les nombreuses modifications architecturales (ajout d’un beffroi, suppression des piles recevant les arcs doubleaux etc…), les travaux de voirie menés à proximité, les vibrations sismiques ou encore la pollution expliquent en partie l’apparition de ces désordres. Pour remédier à cela, un grand chantier d’une durée prévisionnelle de 9 ans a débuté en 2018. L’ensemble de la cathédrale va être restauré : le cœur, la façade, la nef, les intérieurs, les chapelles, le mobilier religieux ainsi que le cloître. &nbsp; Source et photo : Drac PACA &nbsp;
Il y a 3 ans et 264 jours

Comment détecter des termites dans une maison à rénover ?

Ils peuvent ainsi continuer leur travail à l’abri des regards… jusqu’à la détérioration du bâti. Ils traversent les structures, équipements et autres matériaux du bâti qu’ils ne consomment pas pour atteindre la cellulose. Ce n’est donc pas seulement le bois qu’ils endommagent, mais aussi le plâtre ou encore des gaines électriques ! Et tout cela à votre insu ! La lutte contre les termites doit aussi se baser sur la prévention. Lorsque l’on réside dans une région termitée, il convient en effet d’anticiper leur arrivée. La méthode SENTRI TECH HD propose ainsi une surveillance active, avec élimination de la colonie. Mieux vaut prévenir que guérir…Leur particularité : la discrétion, et le plus souvent dissimulés hors du champ visuel, ils traversent, consomment et progressent dans l’obscurité et causent des dégâts intérieurs qui sont difficilement détectables à l’extérieur. Par exemple, ils peuvent attaquer une plinthe et juste laisser la couche de peinture en surface. Ainsi, lorsqu’ils sont découverts, il est souvent trop tard…Est-il vrai que les termites attaquent plutôt des vieilles bâtisses ?C’est faux. Une maison neuve peut être attaquée. C’est pour ça que le législateur a prévu des dispositifs en pré-construction à mettre en place obligatoirement dans les communes où la présence de termite a été déclarée.Pourquoi est-il obligatoire de protéger les constructions neuves avec un film anti-termite ?C’est la Loi no 99-471 du 8 juin 1999 dite « Loi Termite », ses décrets d’applications et ses arrêtés qui oblige à la mise en place d’un dispositif en pré-construction pour se prémunir des termites dans les communes termitées. Il n’y a d’ailleurs pas que le film anti-termite, 2 autres dispositifs sont prévus par la Loi : la barrière physique (par exemple grillage en inox très fin arrêtant les termites) et le vide sanitaire d’au moins 60 cm. Ce dernier dispositif n’arrête pas les termites mais permet de les détecter avant qu’ils ne fassent des dégâts, il est fortement recommandé de l’associer avec un contrat de surveillance comprenant des pièges termite pour arrêter toute infestation et bénéficier d’une inspection annuelle du bâti par un professionnel.Les termites sont-ils dans les sols, dans la terre, à quelle profondeur ?Il existe deux principales sortes de termites, les termites de bois sec dont la colonie se trouve dans la maison (rares et peu nuisibles en France métropolitaine) et les termites souterrains dont le coeur de la colonie se trouve sous la terre. La profondeur varie en fonction de l’humidité du sol et du type de sol.Les termites se développent à proximité de parcelle de bois, de préférence ? Comme dans les Landes où il y a beaucoup de pins.Les bois sont bien sûr un refuge naturel de termites où ils contribuent utilement à la dégradation du bois mort, mais on ne peut pas dire que c’est leur terrain de prédilection. Ils s’adaptent très bien à un environnement urbain où ils trouvent de la nourriture en abondance (la cellulose dans les bois de construction, les livres, les panneaux isolants) et une température clémente favorable à la prolifération. On en trouve au coeur de Paris bien éloignés des premières forêts.Les termites peuvent-ils attaquer des arbres vivants ? Ou seulement des bois morts ?Les arbres vivants émettent des toxines qui repoussent les termites. Il arrive toutefois que les termites arrivent à construire un cordonnet en surface d’un arbre vivant mais ça reste superficiel.Les termites s’attaquent-ils toujours à des bois inertes ? Comme dans les traverses de chemin de fer ?C’est un peu la même question que précédemment. Les toxines émises par le bois vivant renseignent le termite sur la situation de l’arbre. Le bois mort n’en émettra plus à l’exception de certaines essences nobles comme le hêtre et le chêne. A l’inverse, le bois mort qui commence à pourrir contient de champignons microscopiques qui émettent des substances attractives pour les termites. N’oublions pas que les termites ouvriers sont aveugles, l’odorat tient un rôle primordial dans leur comportement.Les termites dévorent-ils tout ? Le béton, le plastique, le papier, les briques, les parpaings…Le papier, c’est quasiment de la cellulose pure donc très recherché par les termites, et ils ne tiennent pas compte de la valeur du document, donc tout ce qui est précieux doit absolument être protégé. Leurs mandibules peuvent traverser le plastique s’ils savent qu’il y a quelque chose d’intéressant derrière, les matériaux isolants peuvent aussi être traversés de galeries s’il y a du bois ou du papier à consommer derrière. Les matériaux de construction tels que les briques, les parpaings, le béton ne peuvent pas être transpercés par des termites mais ils trouvent toujours une fissure pour se faufiler.Les termites laissent de la poussière sur leur passage ? Si non quoi ?Contrairement à d’autres insectes xylophages (dévoreurs de bois) comme les vrillettes, les termites ne rejettent de sciure et d’excréments à l’extérieur des galeries. Ils utilisent ces excréments, la salive et la terre pour construire leurs galeries tunnel appelées cordonnets.Stan Buckley, biologiste expert en termites chez Agro Biocide Consult, va dissocier le vrai du faux afin d’en finir avec les idées préconçues en matière de termites.Les termites font des tunnels dans les murs ?Comme expliqué précédemment, les termites exploitent la moindre fissure pour se faufiler et construire des galeries à travers les murs, mais ne sont pas capables de miner complètement un mur. Ils construisent les cordonnets en surface.Les termites ressemblent à des fourmis volantes ?Au printemps, il arrive parfois que des termites adultes capables de voler sortent pas centaines d’un petit trou dans la maison, c’est ce qu’on appelle l’essaimage. Ils ressemblent de loin à des fourmis volantes mais 2 critères les distinguent : le termite a deux paires d’ailes identiques alors qu’elles sont de taille différente chez la fourmi, et le termite n’a pas de rétrécissement entre le thorax et l’abdomen alors que la fourmi a cette « taille de guêpe » caractéristique.Les termites ressemblent à des vers ?Non, même au stade larvaire, ils ont 3 paires de pattes qui leur permettent de s’échapper rapidement lorsqu’ils sont détectés.Les termites sont blancs, incolores, rouges, noirs ?Les adultes ailés observés lors d’un essaimage sont noirs, les ouvriers qui creusent les galeries et font les dégâts sont blanc à blanc crème suivant leur alimentation.Les termites sont invisibles à l’œil nu ?Non, les termites mesurent autour de 1 cm donc sont tout à fait visibles mais par forcément détectables car ils appliquent parfaitement le précepte « vivons heureux, vivons cachés ». Comme ils ont horreur des courants d’air, ils vivent dans le bois. On ne les trouve qu’en creusant le bois ou en défaisant un cordonnet récent dans lequel ils circulent.Les termites prolifèrent dans les régions chaudes ? En Afrique, dans les Dom TomOn trouve des termites dans les régions tempérées et dans les régions tropicales, mais ce ne sont pas les mêmes espèces qui construisent les grandes termitières dans la savane africaine et les termites de chez nous. Les DOM TOM ont leurs propres espèces.Les termites prolifèrent dans les endroits éloignés des hommes plutôt à la campagne qu’à la ville ?C’est inexact. Une étude récente menée par L’IRBI (Institut de Recherche sur la biologie de l’insecte) à Tours a montré sur le Val de Loire que 94% des infestations répertoriées se trouvaient dans des bâtiments et 50% à proximité des voies de chemin de fer qui ont été des facteurs de propagation considérables du fléau.Les termites n’aiment pas le bruit, ni la lumière : ils agissent la nuit quand on dort ?Contrairement à ce qu’on a longtemps cru, (les premiers termites identifiés au XVIIIème siècle avaient été dénommés « lucifugus »), la lumière ne les gêne pas mais ils évitent les courants d’air et n’aiment pas les vibrations. C’est pour cela qu’il est déconseillé d’entamer des travaux dans la maison quand on utilise la technique du piège car cela risque d’éloigner provisoirement les termites alors qu’on cherche à leur faire consommer les appâts.Peut-on entendre des termites travailler ?Non, ce sont les insectes xylophages comme les capricornes ou les grosses vrillettes qui font du bruit quand ils creusent les charpentes.Les termites se développent dans les caves ?C’est en effet un lieu qu’ils aiment bien, humide et à l’abri des courants d’air et des chocs thermiques, et quand elles abritent du bois, du carton ou du papier, c’est encore mieux.Ils se développent dans les toitures, les huisseries de préférence ?Là il faut nuancer. Les huisseries sont constituées de bois assez tendre (pin, sapin en général) et sont fréquemment attaquées car elles peuvent être proches du sol et des foyers de termites.En revanche, les toitures sont rarement attaquées. Quand lestermites sont rendus au toit, c’est très grave, ça signifie qu’ils ont fait leur chemin dans toute la maison et attaqué les bois de structure; heureusement, ils sont la plupart du temps repérés avant.Les termites aiment les endroits humides : les salles de bains, buanderies, cuisines ?C’est exact, c’est une zone de prédilection, ces insectes ont aussi besoin d’eau et les termites ouvriers ont une peau très fine qui ne les protège pas de la déshydratation.Les termites ne sont jamais seuls ? Si non en colonie ?Oui , ce sont des insectes dits « sociaux » qui ne peuvent survivre sans l’aide de leurs congénères. Ils vivent en colonies de plusieurs milliers à centaine de milliers d’individus où chacun a un rôle spécialisé (les reproducteurs, les ouvriers, les soldats etc.)Les termites hibernent ou pas ?Non, mais leur activité est ralentie l’hiver car comme ils n’ont pas de régulation thermique, leur activité est fonction de la température.Le meilleur moment pour éradiquer une colonie ? C’est l’hiver, quand ils dorment ?Au contraire, c’est au printemps et en été quand ils sont le plus actifs qu’ils vont consommer l’appât dans les pièges et être éliminés.Quels sont les autres signes annonciateurs, sont-ils compatibles avec d’autres nuisibles comme les limaces, les fourmis ?Les fourmis et les termites ne font pas bon ménage. Les fourmis sont des prédateurs qui tentent parfois de s’introduire dans les colonies de termites. Les termites se défendent au moyen de leurs soldats dont la tête est munie de fortes mandibules pour découper les agresseurs. La forte présence de limace dans un piège destiné aux termites dans le sol indique un excès d’humidité ce qui n’est pas favorable aux termites.Quand une colonie est détruite, est-on tranquille ?Il ne faut pas baisser la garde avec les termites et toujours conserver un système de surveillance même quand la colonie a été éliminée. Il peut arriver au bout de quelques années qu’une colonie voisine trouve les passages de la colonie précédente et réinfeste le bâtiment.Quelle garantie a-t-on pour s’assurer que la colonie ne reviendra pas ?La colonie qui était présente a été éliminée et ne reviendra pas mais une colonie voisine peut réinfester.S’attaquent-ils à l’homme ?Comme dit plus haut, les termites ne piquent pas les hommes, mais peuvent détruire son habitat, son mobilier, ses livres…Je vends une vieille maison, il y a des termites. Que dois-je faire ? Je baisse le prix ou je dois traiter avant le vendre ?La seule obligation légale dans les zones termitées est d’exécuter le diagnostic termite lors de la vente de la maison et ce diagnostic fera partie des pièces de l’acte de vente chez le notaire, mais il n’est pas obligatoire de traiter. Bien entendu, ça peut être utilisé par l’acheteur pour essayer de faire baisser le prix et il sera plus facile de vendre le bien après avoir éliminé les termites au moyen des pièges, et proposer à l’acheteur de continuer le contrat de surveillance.
Il y a 3 ans et 288 jours

A Champigny, des compagnons équipent les voies du Grand Paris Express

Après le génie civil, place aux équipements: sur un tronçon de 2,5 kilomètres de cette commune du Val-de-Marne, le groupement Alstom et Colas Rail est à la manoeuvre. Protégés de la tête au pied, les ouvriers posent les chemins de câbles et les supports sur lesquels reposeront les caténaires et la passerelle piétonne du futur métro.Situés au sommet et sur les côtés du tunnel fraîchement creusé, ces éléments prennent place le long des 2,5 kilomètres du tronçon "de débranchement".Ce court secteur est l'un des plus avancés, avec l'arrière gare de Noisy-Champs à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), du chantier du Grand Paris Express et de ses 68 gares réparties sur 200 kilomètres autour de Paris.A terme, cette section de tunnel fermée au public permettra de relier la ligne 15 au site de maintenance de Champigny-sur-Marne."Tout sera prêt pour le 2 septembre", assure Selim Hmidy, responsable de la partie caténaire et équipement linéaire pour Alstom.Sans être un entraînement, c'est une sorte de "phase d'apprentissage" avec "des petites optimisations", poursuit-il, avant la réalisation des travaux ferroviaires sur le reste du tronçon, où circulera le métro avec ses voyageurs.Le groupement Colas Rail (spécialiste des infrastructures ferroviaires) et Alstom (constructeur ferroviaire) a été choisi en septembre 2018 par la Société du Grand Paris pour équiper les 17 kilomètres du secteur Est de la ligne 15 du Grand Paris Express, entre les stations Noisy-Champs et Vert de Maisons.Ce contrat de 155 millions d'euros mobilisera "jusqu'à 260 collaborateurs" sur une période de 69 mois.Au total, 46 kilomètres de caténaires et de voies ferrées, 34 kilomètres de chemins de câbles et 17 kilomètres de colonne sèche sont en cours de réalisation sur ce chantier.Mise en service "mi-2025"La zone de débranchement au niveau de la gare de Noisy-Champs, futur terminus de la ligne 15 Sud, est déjà entièrement équipée, ont affirmé à la presse les membres du groupement.Et sur le tronçon de débranchement de Champigny, le bétonnage et la pose des voies ferrées "est terminée" depuis deux semaines, a souligné Eric Hausherr, chef de la partie voie ferrée.Sur cette partie du chantier, 3.000 m3 de béton ont été coulés et quelque 6.000 traverses à coque rigide ont été posées, séparées de la voie par une couche élastique pour atténuer les vibrations.A quelques centaines de mètres du futur site de maintenance, une poignée d'ouvriers réalisent encore les dernières soudures, masques de protection sur la tête et aspirateur de fumée à la main.Pour "créer les voies" du futur métro, des morceaux de rail de 18 mètres de long ont été descendus dans le tunnel, avant d'être soudés pour former des sections de 250 à 400 mètres, elles-mêmes assemblées les unes aux autres.La semaine prochaine, les compagnons s'attelleront à la pose de la caténaire dont la structure, en aluminium, est encore entreposée à la surface du chantier entre les grues et les gravats.L'intérêt est "d'éprouver la méthodologie", affirme M. Hausherr, pour le moment satisfait du travail accompli.La fin de ce chantier de 17 kilomètres est attendue en 2024 et la mise en service de la ligne 15 Sud est prévue à la "mi-2025", avec un retard lié au Covid de "trois à huit mois", a rappelé Thomas Hantz de la Société du Grand Paris.