Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour traitement dechets

(444 résultats)
Il y a 159 jours

Des entreprises françaises dans l'énergie et le traitement des déchets signent plusieurs accords et contrats en Arabie saoudite

Le président Emmanuel Macron a martelé mardi 3 décembre que la France était un "partenaire fiable" pour accompagner la diversification économique de l'Arabie saoudite, largement dépendante du pétrole, lors d'une visite d'Etat à Riyad.
Il y a 210 jours

Le marché du recyclage en recul avec une baisse des déchets collectés

RECYCLAGE. Les résultats de l'observatoire statistique annuel du marché du recyclage dévoilés par la Fédération des entreprises du recyclage (Federec) montrent une contraction du chiffre d'affaires des entreprises en charge du traitement industriel des déchets. Le secteur de la construction accuse une baisse des volumes captés.
Il y a 223 jours

ecomin ro ambitionne le recyclage de 9 millions de tonnes de d chets inertes d ici fin 2024

À l’issue de l’organisation de la visite du site de traitement et de recyclage des déchets du BTP réalisé chez YPREMA, Ecominéro, l’éco-organisme créé par et pour la filière minérale, revient sur ses premiers résultats, 16 mois après le lancement opérationnel de la REP PMCB (responsabilité élargie du producteur des produits et matériaux de construction du bâtiment) et annonce ses ambitions pour la fin d’année 2024 et le premier semestre 2025.
Il y a 228 jours

comin ro vers une hausse du recyclage de d chets inertes d ici fin 2024

Seize mois après le lancement de la REP PMCB, l’éco-organisme Écominéro est revenu sur ses premiers résultats, au sortir d’une visite du site de traitement et de recyclage des déchets du BTP réalisé chez Yprema. Si l’éco-organisme juge très satisfaisant ce début d’aventure, pas question pour autant de s’arrêter là.
Il y a 306 jours

REP PMCB (Produits et Matériaux Construction Bâtiment) : Valobat reprend l’ensemble des flux PMCB du Syndicat Tri-Action dans le Val d’Oise (95)

 Depuis début mars, Valobat est attitré par l’OCAB* comme seul éco-organisme de référence pour la reprise de l’ensemble des flux du Syndicat Tri-Action qui gère la collecte et le traitement des déchets de neuf communes réparties sur trois Communautés et qui représente plus de 120 000 habitants dans le Val d’Oise. Tri-Action devient ainsi la […]
Il y a 321 jours

Geocycle France ouvre sa première plateforme de traitement de déchets non inertes

RECYCLAGE. La filiale du groupe Holcim spécialisée dans l'économie circulaire vient d'ouvrir les portes de son premier site de recyclage à Guerville dans les Yvelines (78). Avec une capacité de production annuelle de 100 kt, la plateforme va servir d'exutoire pour les déblais non inertes issus des chantiers franciliens.
Il y a 1 ans et 44 jours

Envac va déployer son système de collecte pneumatique à l'Hôtel Five Luxe de Dubaï.

Envac va déployer son système de collecte pneumatique à l'Hôtel Five Luxe de Dubaï. sophie-candau-… ven 29/03/2024 - 11:50 Le système de collecte pneumatique sera dimensionné pour traiter environ 1,9 tonne de déchets par jour, incluant les fractions de déchets recyclables et ménagers. Il s'agit de l'hôtel Five Luxe, situé dans le quartier JBR de Dubaï, l'un des sites touristiques les plus visités de l'émirat. Réputé pour son architecture durable et son modèle de confort sophistiqué et tranquille, l'hôtel est une référence dans le domaine. Ce partenariat marque le deuxième projet d’Envac avec le groupe Five Hotels, le premier étant le Five JVC à Dubaï. Le système Envac est conçu pour répondre aux besoins de collecte des déchets à la fois dans la tour résidentielle de luxe Sensioria et dans le salon flottant Lio, destiné à accueillir une variété d'événements. Le système de collecte pneumatique développé par Envac pour l'hôtel Five Luxe aura une capacité de collecte de 1,9 tonne de déchets par jour, couvrant les fractions de déchets recyclables et ménagers. Pour ce faire, un réseau de tuyaux de 600 mètres de long sera déployé, dont 372 mètres seront enterrés et le reste suspendu. Ce projet devrait être achevé d'ici la fin de l'année 2024. En plus de la mise en place du système de collecte pneumatique, le bâtiment se conforme aux normes les plus strictes en matière de développement durable, comprenant le traitement des eaux grises, le chauffage solaire de l'eau, l'utilisation de vitrage à valeur U efficace pour optimiser la gestion de la chaleur, ainsi que l'intégration de capteurs de lumière du jour pour maximiser l'efficacité énergétique. Choisir la Marque® - Associer l'article ENVAC Envac et l'Innovation au Cœur de Dubaï Envac va mettre en place son système de collecte pneumatique des déchets dans l'un des projets hôteliers les plus innovants actuel   Pionnier de la Durabilité à Dubaï L'Hôtel Five Luxe, situé dans le dynamique quartier JBR de Dubaï, s'apprête à intégrer le système de collecte pneumatique des déchets d'Envac, confirmant son statut d'établissement avant-gardiste en matière d'architecture durable et de confort. Cette initiative s'inscrit dans la volonté de l'hôtel de minimiser son empreinte écologique tout en offrant une expérience haut de gamme à ses clients. Le système est prévu pour gérer quotidiennement 1,9 tonne de déchets, entre recyclables et ménagers, à travers un réseau de 600 mètres de conduits. Un Partenariat Renouvelé avec Five Hotels Ce projet marque le renforcement du partenariat entre Envac et le groupe Five Hotels, illustrant une fois de plus la confiance mutuelle et l'engagement partagé envers l'excellence et la durabilité. Le premier projet conjoint avait été le Five JVC, également à Dubaï, faisant du système d'Envac un élément clé dans la stratégie de gestion des déchets du groupe hôtelier. Technologies Avancées pour un Avenir Durable Le Five Luxe se distingue non seulement par son adoption du système pneumatique d'Envac mais aussi par sa conformité aux normes strictes de développement durable. De la gestion intelligente des eaux grises au chauffage solaire de l'eau, en passant par des solutions d'efficacité énergétique avancées comme le vitrage à faible valeur U et les capteurs de lumière du jour, l'hôtel s'engage résolument dans une démarche respectueuse de l'environnement. L'installation d'Envac à l'Hôtel Five Luxe de Dubaï symbolise l'union parfaite entre luxe et respect de l'environnement, préfigurant l'avenir de l'hôtellerie durable dans les métropoles mondiales. Catégorie: Innovations TechnologiquesSous-Catégorie: Gestion Durable des Déchets Partager
Il y a 1 ans et 44 jours

Envac remporte deux appels d’offres pour près de 10 millions d'euros pour la collecte pneumatique des déchets dans deux hôpitaux français

Envac remporte deux appels d’offres pour près de 10 millions d'euros pour la collecte pneumatique des déchets dans deux hôpitaux français sophie-candau-… ven 29/03/2024 - 11:35 La technologie de la société Envac sera mise en place dans deux grands établissements hospitaliers français, le Nouvel Hôpital Métropolitain de l’Artois à Lens et l’Hôpital Lariboisière – Fernand-Widal AP-HP à Paris. Le Nouvel Hôpital Métropolitain de l’Artois sera doté d'un système de collecte pneumatique de déchets pour le transport et le traitement des déchets infectieux (DASRI), des déchets assimilables aux ordures ménagères (DAOM) ainsi que des fractions de linge. De son côté, le Nouveau Lariboisière AP-HP bénéficiera d’un système de transport dédié aux déchets résiduels et aux fractions de linge. Avec ces nouveaux accords, Envac aura équipé six établissements hospitaliers en France de sa technologie. Outre le Nouvel Hôpital Métropolitain de l’Artois à Lens et l’Hôpital Lariboisière – Fernand-Widal AP-HP, cela inclut le CHU de Nantes, le CHU de Pontchaillou de Rennes, l’Hôpital de Hautepierre – Hôpitaux Universitaires de Strasbourg et le CHU de Montpellier. Les quatre premiers sont actuellement en cours de construction, tandis que les deux derniers sont opérationnels depuis respectivement 2008 et 2012. Le projet pour le Nouvel Hôpital Métropolitain de l’Artois représente 6,9 millions d'euros. Ce montant sera déployé pour équiper un complexe sanitaire comptant 611 lits d'un système de collecte pneumatique des déchets. Ce système aura pour mission de gérer trois types de déchets distincts : le linge, les ordures ménagères et les déchets infectieux (DASRI). Dans le cadre de ce projet, les systèmes en cours de construction dans cet établissement, à l'instar de celui de Rennes, seront en mesure d'assurer le transport et le traitement séparé des déchets infectieux tranchants de type III. Ce processus inclura une stérilisation sur place, couvrant des éléments tels que les aiguilles de bistouri, les talons aiguilles et tout autre matériel métallique pouvant potentiellement être un vecteur de transmission de maladies. L'équipe technique d'Envac Iberia à Madrid est chargée de l'installation et de la gestion du projet. Madrid abrite le siège d'Envac Iberia ainsi que sa division pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique, ce qui en fait le lieu central pour la coordination de ces opérations. « La solution d’évacuation du linge sale et des déchets est une brique complémentaire de la démarche globale mise en œuvre pour le Nouvel Hôpital Métropolitain de l’Artois. Elle côtoie la logistique robotisée et automatisée, la gestion numérique du bâtiment, la banalisation des DASRI en interne, le stockage vertical, etc. L’objectif est d’améliorer la prise en soins des patients, les conditions d’accueil et les conditions de travail en déchargeant les soignants au maximum des tâches annexes.» précise Bruno DONIUS, Directeur Général du Centre Hospitalier de Lens. Le projet du Nouveau Lariboisière AP-HP à Paris bénéficiera d'un budget de mise en œuvre de 2,8 millions d'euros. Cet établissement, comprenant 489 lits, sera équipé d'un système de transport dédié aux déchets résiduels et aux fractions de linge. L'introduction de systèmes pneumatiques de transport des déchets dans les hôpitaux représente une avancée significative dans la logistique interne. Cette technologie permet d'éliminer la nécessité d'utiliser des ascenseurs et des monte-charges pour le déplacement des déchets, tout en libérant l'espace au sol autrefois utilisé pour le stockage temporaire des bacs. Ce système présente également des avantages en termes d'hygiène, en réduisant au minimum le contact physique entre les individus et les déchets hospitaliers ainsi que le linge souillé. Contrairement au transport manuel à travers les couloirs et les ascenseurs, les déchets sont acheminés à travers un réseau de canalisations clos. Cette approche contribue à créer un environnement plus sûr pour les patients, le personnel médical et les visiteurs, en limitant les risques de contamination croisée et en améliorant les normes d'hygiène dans les installations hospitalières. « L’hôpital du Nouveau Lariboisière AP-HP sera doté d’un réseau de canalisations verticales permettant l’évacuation du linge sale et des déchets de type DAOM. Les points de collecte situés au sein même des unités de soins permettront au personnel soignant de gagner du temps, de réduire les risques de troubles musculosquelettiques et d’alléger les flux logistiques dans l’hôpital, tout en sécurisant ces deux circuits. » explique Mathieu RABIER – Ingénieur logistique – Hôpital Lariboisière – Fernand-Widal AP-HP. Le système de collecte Envac en milieu hospitalier Depuis son installation pionnière à l'hôpital Sollefteå en Suède en 1961, le système pneumatique d'Envac demeure en service jusqu'à ce jour, témoignant de sa fiabilité et de son efficacité. Cette technologie est désormais déployée dans plus de 133 hôpitaux à travers le globe, dont 6 en France. Les solutions logistiques de collecte de déchets proposées par Envac offrent aux patients et au personnel soignant des solutions intelligentes, hygiéniques et sécurisées. Grâce à un environnement dépourvu de contact direct, à des systèmes distincts pour le linge et les déchets, ainsi qu'à un processus d'enlèvement hermétique, le système d'Envac garantit une gestion efficace des déchets. En adoptant le système Envac, la collecte des déchets et du linge est optimisée pour minimiser les contacts physiques entre les individus et les matériaux souillés. Les déchets et le linge sont acheminés à travers un réseau de canalisations clos, éliminant ainsi le recours à des chariots dans les couloirs et les ascenseurs. Cette approche contribue à instaurer un environnement plus sûr pour le transport des patients, du personnel et des visiteurs. En outre, le système fermé et les entrées de déchets sans contact réduisent significativement la propagation des infections, la transmission de gouttelettes et les risques d'accidents, contribuant ainsi à améliorer les standards d'hygiène et de sécurité au sein des établissements de santé. L'installation Envac destinée aux hôpitaux présente quelques différences par rapport au système classique utilisé dans les agglomérations. Afin de relever le défi d'une évacuation propre et sécurisée du linge et des déchets, ceux-ci sont transportés à travers des réseaux de canalisations distincts tout en restant intégrés au même système. Chaque type de matériau dispose de ses propres entrées dédiées, qui peuvent être équipées de la technologie sans contact pour réduire les contacts et limiter la contamination croisée. La diminution de la manipulation manuelle du linge et des déchets présente des avantages non seulement du point de vue de la santé, mais également sur le plan financier. Le transport automatisé des déchets via le système de collecte pneumatique réduit la nécessité d'une main-d'œuvre importante d'aides-soignants et de personnels hospitaliers pour le transport et le tri du linge et des déchets. De plus, la réduction du transport des déchets à l'aide de chariots dans les couloirs et les caniveaux entraîne une moindre usure des infrastructures hospitalières, ce qui se traduit par des économies sur les frais d'entretien. César MORÁIS, directeur commercial d'Envac Iberia, assure que « La gestion inversée basée sur la technologie pneumatique a généré des économies de près de 20 % dans la gestion des déchets dans les hôpitaux qui en sont équipés. Une fois que l'opérateur a introduit les déchets dans le système, il n'y a plus de contact manuel ou visuel avec les déchets. Cela améliore l'hygiène et la sécurité du personnel soignant. De plus, comme il s'agit d'un système hermétique, il évite les lixiviats, des liquides provenant des déchets qui peuvent contenir des substances toxiques et causer des nuisances. » Choisir la Marque® - Associer l'article ENVAC Modernisation des systèmes de gestion des déchets dans les hôpitaux français Envac, la société qui soutient le développement urbain plus durable grâce à des systèmes de gestion des déchets hautement efficaces, a remporté deux nouveaux appels d’offre en France pour un montant total de près de 10 millions d'euros. Innovation et Durabilité : Envac dans le Secteur Hospitalier Introduction Envac révolutionne la gestion des déchets dans les hôpitaux français, valorisant sécurité et écologie. Modernisation par Envac Envac s'est vu attribuer deux contrats significatifs pour intégrer sa technologie de collecte pneumatique des déchets à l'Hôpital Métropolitain de l’Artois à Lens et à l’Hôpital Lariboisière – Fernand-Widal AP-HP à Paris, totalisant près de 10 millions d'euros. Cette avancée technologique promet une gestion des déchets plus hygiénique, sécurisée, et écologiquement responsable dans ces institutions sanitaires. Avantages et Impact L'adoption de la technologie Envac par ces établissements illustre l'engagement vers une meilleure hygiène, une réduction des risques de contamination, et une optimisation de l'espace. Réduisant le contact physique avec les déchets, cette méthode améliore les conditions de travail du personnel hospitalier et renforce la sécurité des patients. L'initiative d'Envac marque un progrès notable dans le domaine de la gestion des déchets hospitaliers en France, mettant en lumière le potentiel des solutions innovantes pour faire face aux défis environnementaux et sanitaires actuels. Catégorie: Innovation TechnologiqueSous-Catégorie: Gestion des Déchets Hospitaliers Partager
Il y a 1 ans et 52 jours

Mewa : les lavettes réutilisables, une contribution efficace pour le climat

Mewa : les lavettes réutilisables, une contribution efficace pour le climat jmgcom jeu 21/03/2024 - 14:24 L’histoire de Mewa s’est construite autour d’un objectif vertueux : préserver l’environnement. Le prestataire de services textiles s’est depuis toujours engagé à réduire son empreinte environnementale. Depuis 1997, tous ses sites sont certifiés selon la norme internationale de gestion environnementale ISO 14001. Des livraisons et collectes chez les clients au lavage et contrôle qualité, Mewa gère toutes les étapes du cycle de vie des lavettes industrielles et mise sur la durabilité et la préservation des ressources naturelles. Les lavettes industrielles en gestion complète de Mewa présentent de nombreux avantages. Durables et résistantes, elles réduisent la consommation de matériaux à usage unique. Ce système ingénieux permet en outre de réduire les coûts pour l’entreprise et de diminuer son empreinte environnementale. Ces lavettes textiles de haute qualité peuvent être lavées et réutilisées jusqu’à cinquante fois. Le cabinet de conseil Climate Partner a calculé une partie importante de l'empreinte environnementale des lavettes réutilisables de Mewatex. Il en ressort que leur émission de CO2 est 3 à 6 fois inférieure à celle des lavettes 100 % cellulose ou mixtes, par rapport à 1 kg de salissures nettoyées. Une consommation d’eau réduite et un processus de lavage respectueux de l’environnement Afin de réduire sa consommation d’'eau lors du lavage des lavettes, Mewa utilise une technologie avancée de filtration et de traitement de l’eau. Un système en circuit fermé permet de réutiliser l’eau provenant du lavage et du rinçage au cours d’un même cycle. Cette technique « en cascade » réduit la consommation d’eau jusqu’à 50 %. Ces mesures diminuent l’impact environnemental de 85 % par rapport aux systèmes traditionnels.  Sur le site français d’Avermes, comme sur tous les sites du groupe Mewa en Europe, la protection de l’environnement et l’utilisation durable des ressources sont des priorités absolues. Recyclage des matières premières et optimisation de la consommation d’énergie Chez Mewa, la gestion durable et responsable commence dès la conception des produits. Les fibres de coton issues du tissage des lavettes sont également revalorisées. Elles sont collectées et transformées en matériau isolant, utilisé notamment dans l’industrie automobile. Mewa s’efforce en permanence d’optimiser sa consommation d’énergie et d’augmenter l’efficacité énergétique de ses processus. Tous les sites de Mewa sont équipés de machines ultramodernes et particulièrement efficientes. La chaleur produite par les installations de lavage et de séchage chauffe par exemple l’eau et les locaux de l’entreprise grâce à des systèmes de récupération de chaleur à plusieurs niveaux. La valorisation thermique des salissures éliminées par le lavage des lavettes couvre enfin jusqu’à 80 % des besoins énergétiques des séchoirs et des tunnels de lavage. Globalement, Mewa économise chaque année plusieurs millions de litres de fioul. Un transport plus respectueux du climat et une logistique durable Dans le domaine du transport et de la logistique, Mewa s’engage à réduire autant que possible son impact sur l’environnement. L’entreprise utilise une flotte de véhicules modernes, moins polluants. Chaque itinéraire de livraison est optimisé afin de réduire la consommation de carburant et les émissions de CO2. Ces solutions de transport et de logistique respectueuses du climat font partie de la gestion complète de Mewa, qui non seulement soulage les clients de l'industrie et de l'artisanat, mais souligne également leur action durable. Choisir la Marque® - Associer l'article MEWA Révolution Écologique dans l'Industrie avec les Lavettes Mewa Artisanales ou industrielles, les petites et les grandes entreprises misent dorénavant sur la durabilité et la protection du climat lors du choix d’un prestataire. Les lavettes textiles réutilisables en gestion complète contribuent de manière significative à la protection de l’environnement et réduisent les déchets produits. Mewa : Pionnier des Lavettes Durables L'engagement de Mewa pour la durabilité et la protection de l'environnement se manifeste à travers ses lavettes textiles réutilisables, une innovation marquante pour les petites et grandes entreprises soucieuses de leur impact écologique. Ces lavettes, pouvant être lavées et réutilisées jusqu'à cinquante fois, représentent une avancée significative dans la réduction des déchets et la consommation de ressources. Depuis sa fondation, Mewa s'est consacrée à minimiser son empreinte environnementale, une démarche couronnée par la certification ISO 14001 de tous ses sites depuis 1997. L'entreprise assure une gestion complète du cycle de vie de ses lavettes industrielles, de la collecte à la livraison, en passant par le lavage et le contrôle qualité, avec un accent particulier sur la durabilité et la conservation des ressources naturelles. Avantages Écologiques et Économiques des Lavettes Réutilisables Les lavettes Mewa offrent de multiples avantages, tant sur le plan écologique qu'économique. Elles permettent une réduction notable de la consommation de matériaux jetables et des coûts associés, tout en diminuant l'empreinte carbone des entreprises. Une étude de Climate Partner révèle que l'empreinte CO2 des lavettes Mewa est trois à six fois inférieure à celle des alternatives jetables, pour 1 kg de salissures nettoyées. Innovations en Matière de Consommation d'Eau et d'Énergie Mewa s'efforce également de réduire sa consommation d'eau grâce à des technologies avancées de filtration et de traitement, permettant de réutiliser l'eau dans un système en circuit fermé. Cette approche réduit la consommation d'eau de 50 % et l'impact environnemental de 85 % par rapport aux méthodes traditionnelles. La gestion des matières premières et l'optimisation de la consommation d'énergie sont au cœur de la stratégie de Mewa. Les fibres de coton récupérées sont transformées en matériaux isolants pour l'industrie automobile, tandis que la valorisation thermique des déchets issus du lavage contribue significativement aux besoins énergétiques de l'entreprise. Engagement pour un Transport et une Logistique Durables Mewa s'engage également dans des pratiques de transport et de logistique écoresponsables, utilisant une flotte de véhicules modernes et moins polluants, et optimisant les itinéraires pour réduire la consommation de carburant et les émissions de CO2. Cette approche globale de la durabilité souligne l'engagement de Mewa envers la protection de l'environnement et offre aux clients une solution concrète pour réduire leur impact écologique. Les lavettes réutilisables de Mewa incarnent une solution efficace et durable pour l'industrie, contribuant de manière significative à la protection de l'environnement et à la réduction des déchets. En adoptant ces pratiques, les entreprises peuvent non seulement améliorer leur bilan écologique mais aussi réaliser des économies substantielles. Catégorie : Textile Sous Catégorie : Initiatives Durables Partager
Il y a 1 ans et 58 jours

La transition énergétique, enjeu de la 5e édition du salon des artisans en coopérative

La transition énergétique, enjeu de la 5e édition du salon des artisans en coopérative com4 ven 15/03/2024 - 16:50 Modèle coopératif de référence du bâtiment, en croissance constance depuis sa création en 1990, le groupement ORCAB organise les 20 et 21 mars prochain à Nantes son salon des Artisans en Coopérative, salon réservé aux 9 200 adhérents des coopératives et à leur plus de 650 fournisseurs référencés - l’opportunité de parler pro, d’échanger entre pros et de découvrir les dernières tendances, évolutions et outils techniques disponibles, alors que le monde artisanal est engagé dans une révolution éco-responsable. Des temps forts exclusifs très attendus des artisans Sur ce salon plus technique que commercial, les adhérents des coopératives seront guidés vers des solutions éco-engagées performantes et accompagnés dans leur développement par les fabricants présents. En cette période incertaine où le secteur de la construction est mise à mal ainsi que des aides qui sont toujours plus complexes comme Maprimerenov’, le groupement ORCAB encourage ses adhérents à renforcer leur lien avec leur coopérative. L’activité de ces derniers est d’avantage tournée (à 70 %) vers la rénovation et de la transformation énergétique, et est donc moins impactée par la baisse du secteur pour le moment. Le salon est donc l’occasion de faire le point entre professionnels, tout en gardant un lien avec l’actualité et le contexte économique global. Parmi ces temps forts du Salon des Artisans en Coopérative, Chaque jour, 5 conférences de 45 minutes auront lieu en format tables rondes interactives avec pour thématique générale : « L’artisan, au coeur des enjeux et des effets de la transition énergétique ». Les dernières tendances en matière de maison connectée par K.Line, Somfy, Panasonic L’amélioration des perfomances et rendements énergétiques de l’habitat par Soprema, Systovi, Atlantic, Nibe Les matériaux durables au coeur de l’écoconstruction par Bouyer-Leroux, Cavac Biofib, Piveteau bois Comment associer Design & Innovation avec Durabilité & Environnement par Geberit, Grohe, Hansgrohe, Carlo Frattini Recyclage / traitement ds déchets, les enjeux 2024 et 2025 par Ecomaison, Capeb, FFB Des formations/ateliers techniques sur les stands des fabricants : OSB & DESIGN Thinking One World par Swiss Krono Comment bénéficier de la Prime Adapt’, par Kinedo Concevoir un système photovoltaïque SolarEdge Home en quelques clics, par Solaredge Des démonstrations de jeunes artisans du bâtiment français (plomberie, carrelage, maçonnerie) sélectionnés pour les prochains WorldSkills, championnat du monde des métiers à Lyon en septembre prochain. Salon des artisans en coopérative - ORCAB - Artisans ARTIPÔLE L’édition 2024 en chiffres : l’intégralité du parc expo de Nantes privatisé, soit une surface d’exposition de plus de 25 000 m2 (+15% par rapport à 2022) 7 400 m² de stands des fabricants référencés et partenaires en intérieur (+ 10 % par rapport à 2022) et le regroupement des activités cuisine et électroménager au sein d’un même espace (hall GP3) 5 stands extérieurs, soit 400 m² d’espaces d’exposition Virginie Hateau, chef de projet salon pour le groupement ORCAB, est confiante : « Sur le pont depuis 18 mois, nous travaillons activement avec le comité salon afin de proposer un rendez-vous à la hauteur des attentes de nos 39 coopératives adhérentes et des plus de 9 200 artisans coopérateurs. Nous constations une constante augmentation de la fréquentation du salon. Nous allons en effet accueillir 490 fournisseurs référencés nationalement par le groupement ORCAB au plan national. C’est dire si nos adhérents sont impatients de se retrouver dans un environnement exclusif et professionnel où les rencontres et les échanges sont riches et variés, tout comme la convivialité et le partage ».   Les métiers représentés au salon Les métiers représentés au salon sont les mêmes qu’en 2022, à une modification près : le photovoltaïque rejoint la plomberie/chauffage (hall 4) Agencement Aménagement intérieur Bois et dérivés Carrelage Chauffage Ciment, chaux et enduits Couverture Cuisine Électricité et ventilation Électroménager Fournisseurs QANTIS Fourniture plomberie Isolation et plaque de plâtre Maçonnerie, paysagiste et TP Matériels TP et échafaudages Menuiserie Outillage et Équipement Partenaires institutionnels Sanitaire Les partenaires FIMA CARLO FRATTINI SPA GROUPE ATLANTIC K.LINE SOPROFEN SOTHOFERM ALDES GROHE HANSGROHE SARL LA TOULOUSAINE PIVETEAU BOIS SANIJURA SPPF & FLO VELUX GEBERIT Un modèle coopératif de proximité unique qui bénéficie aux adhérents Permettre aux adhérents des coopératives d’externaliser leur chaîne d’approvisionnement (la coopérative achète, stocke et livre le bon produit au bon moment et au bon prix) : les entreprises artisanales qui réalisent plus de 80 % de leurs achats en coopérative récupèrent un gain de temps équivalent à une journée complète de travail par semaine (enquête KMPG 2012). Assurer une distribution exclusive de produits de marques nationales, négociés au bénéfice des adhérents des coopératives. Procurer aux coopératives adhérentes des fonctions supports et services : outils et systèmes informatiques, gestion des données des fournisseurs, partages de bonnes pratiques, boite à outils communication et plan de communication national, 2 plateformes nationales logistiques…. Faciliter la création de coopératives sur de nouveaux territoires où les artisans n’ont pas de solution coopérative à disposition (10 nouvelles coopératives envisagées d’ici à 2030). Joël Schoenher, président de l’ORCAB « Travailler ensemble pour réussir ensemble », Joël Schoenher, président de l’ORCAB, et Stéphane Windsor, directeur général, résument la raison d’être du groupement. « Pour les adhérents des coopératives et leurs salariés, il est essentiel de comprendre que notre modèle coopératif est source de création de valeurs et de sens et que la solidarité est la valeur fondamentale qui nous rassemble et qui nous unit dans toute les phases de la vie d’une coopérative ». L’accompagnement dans la phase création d’une coopérative est aussi une clé pour le groupement ORCAB qui promeut un standard coopératif à même de faciliter la vie et l’essor économique d’artisans jusque-là isolés. « Le rôle de l’ORCAB est d’être un véritable soutien au développement pour chacune de ses coopératives et leurs adhérents à travers des valeurs communes, indique Stéphane Windsor. Confiance et fidélité, solidarité et équité entre artisans “coopé-acteurs”, proximité grâce à une gouvernance décentralisée et coopératives à taille humaine de 50 à 800 adhérents ». Actu du groupement ORCAB en bref Création de SudCoop, dans le Gard, autour des métiers du bois en 2023 et projets d’accompagner la création de deux coopératives dans le sud en 2024 Création d’union des coopératives COBAT, Triangle, ARB et Pluriel dans la Sarthe pour développer leur offre vers les agenceurs et menuisiers Plus de 30 coopératives engagées sous la bannière Artisans ARTIPÔLE En 2023, ouverture d’une nouvelle salle d’exposition Artisans ARTIPÔLE commune aux coopératives ACEM et VST à Poitiers ainsi qu’une pour la coopérative IMS à Plérin et une autre pour COOPROVENCE à Avignon. A noter deux ouvertures prévues en Bretagne Sud en 2024 Nouveau site Internet Artisans ARTIPÔLE fin 2023 et campagne de communication nationale grand public en 2024 Le groupement ORCAB en chiffre * 9200 entreprises artisanales, + de 37000 salariés 39 coopératives + de 2600 salariés 1,4milliard d'euros de CA cumulé en 2023 soit +3% vs 2022 3 métiers - Bois : 740M€ (20 coopératives), Plomberie : 610M€ (16 coopératives), Gros oeuvre : 50M€ (3 coopératives) * Base 2023– CA additionnés des 39 coopératives Choisir la Marque® - Associer l'article ORCAB Organisé par le groupement orcab Le 20 et 21 mars prochain à Nantes, cette 5ème édition du salon des artisans en coopérative aura pour thème : la transition énergétique. La Transition Énergétique au Cœur de la 5ème Édition du Salon des Artisans en Coopérative Un Rendez-vous Clé pour les Professionnels du BTP Le 20 et 21 mars à Nantes, le salon des Artisans en Coopérative, organisé par le groupement ORCAB, mettra en lumière la transition énergétique. Cette 5ème édition, dédiée aux 9 200 adhérents et à leurs 650 fournisseurs, est une vitrine des dernières tendances et innovations éco-responsables dans le secteur du bâtiment. Innovation et Éco-Responsabilité : Les Maîtres-Mots Ce salon, axé davantage sur la technique que sur le commerce, offre aux artisans l'opportunité de découvrir des solutions éco-engagées performantes. Dans un contexte économique incertain, avec des aides comme Maprimerenov’ de plus en plus complexes, l'ORCAB encourage le renforcement des liens avec les coopératives, surtout pour ceux dont l'activité se concentre sur la rénovation et la transformation énergétique. Des Événements Marquants et Innovants Le programme inclut 5 conférences quotidiennes en tables rondes sur le thème de l'artisan face aux défis de la transition énergétique, avec des intervenants de marques reconnues telles que K.Line et Somfy pour les maisons connectées, Soprema et Atlantic pour les performances énergétiques, ou encore Bouyer-Leroux pour l'écoconstruction. Des formations et des ateliers techniques seront également proposés sur les stands des fabricants, abordant des sujets variés allant du design thinking à l'installation de systèmes photovoltaïques. Un Salon en Expansion L'édition 2024 s'annonce plus grande que jamais avec une surface d'exposition de plus de 25 000 m². Virginie Hateau, chef de projet salon pour l'ORCAB, souligne l'augmentation constante de la fréquentation et l'impatience des adhérents à participer à cet événement exclusif. Des Métiers Diversifiés et des Partenaires de Renom Le salon accueillera des professionnels de divers secteurs, de l'agencement à la maçonnerie, et verra l'introduction du photovoltaïque. Des marques prestigieuses telles que Grohe et Hansgrohe participeront, renforçant l'attrait du salon. Un Modèle Coopératif Bénéfique pour les Adhérents L'ORCAB met en avant les avantages de son modèle coopératif, permettant une gestion optimisée de la chaîne d'approvisionnement et offrant des produits de marques nationales à des conditions avantageuses. Joël Schoenher, président de l'ORCAB, et Stéphane Windsor, directeur général, soulignent la valeur de la solidarité et de la proximité dans le succès des coopératives. L'ORCAB en Bref Avec une présence nationale et une croissance constante, l'ORCAB continue de soutenir le développement économique des artisans à travers des valeurs communes de confiance, solidarité et équité. Cette 5ème édition du salon des Artisans en Coopérative organisée par l'ORCAB promet d'être un moment clé pour les professionnels du bâtiment, avec un focus particulier sur la transition énergétique. C'est une occasion unique d'échanger sur les innovations et de renforcer les liens au sein du secteur, le tout dans une ambiance conviviale et professionnelle. Catégorie : Événements du BTPSous-Catégorie : Salons Professionnels et Transition Énergétique Partager
Il y a 1 ans et 72 jours

GRIFFON

GRIFFON primavera ven 01/03/2024 - 15:30 Conscient de l'importance de fournir des produits qui facilitent le travail quotidien des professionnels, Griffon développe des solutions intuitives, performantes et fiables. Que ce soit pour des assemblages précis, des collages durables ou la protection longue durée de divers matériaux, Griffon se positionne comme le partenaire privilégié des artisans exigeants, leur offrant les outils nécessaires pour réaliser leurs projets avec maîtrise et confiance. Domaines de spécialisation Griffon excelle dans divers domaines de spécialisation, garantissant des solutions optimales pour chaque application spécifique : Des solutions spécifiques sont développées pour assurer l'étanchéité et la fiabilité des installations sanitaires et des systèmes de chauffage central, répondant ainsi aux normes les plus strictes. Griffon propose une gamme de produits destinée à la maintenance technique, permettant des réparations rapides, efficaces et durables. Des produits résistants à l'eau et aux produits chimiques sont disponibles pour la construction et la maintenance des piscines, assurant une étanchéité parfaite et une longévité accrue. Griffon répond aux exigences spécifiques des installations agricoles, maraîchères et horticoles, offrant des solutions adaptées à l'environnement et aux conditions de travail. La marque excelle dans la fourniture de solutions pour les systèmes de canalisations infratechniques, assurant une installation fiable et sécurisée. Griffon développe des produits spécialement conçus pour l'industrie des canalisations et le traitement de l'eau, répondant aux normes environnementales et de sécurité. Les solutions Griffon pour la construction intérieure incluent des colles et des mastics adaptés aux différents matériaux et applications, alliant esthétique et fonctionnalité. Griffon offre une gamme complète de produits pour la menuiserie et le travail du bois, garantissant des assemblages solides et des finitions parfaites. Applications innovantes Les solutions Griffon trouvent leur application dans une multitude de projets et de secteurs, témoignant de leur polyvalence et de leur efficacité : Construction et rénovation : des adhésifs puissants pour le bois, le métal, et d'autres matériaux de construction Industrie et manufacture : solutions d'étanchéité et de collage pour la production industrielle, garantissant résistance et fiabilité DIY et réparations à la maison : produits faciles à utiliser, idéaux pour les projets de bricolage et les petites réparations à domicile Engagement en Faveur de la Durabilité Griffon, sous l'égide de Bolton Adhesives, adopte une approche holistique de la durabilité, ancrée dans le respect des individus, des communautés et de l'environnement. Cette démarche se traduit par une stratégie axée sur trois piliers fondamentaux : Marques à impact positif : chaque marque s'efforce de contribuer à un mode de vie durable, en générant une valeur ajoutée tant pour les utilisateurs que pour la planète Engagement envers la nature : Griffon s'emploie à réduire son empreinte carbone et à soutenir des initiatives favorisant la régénération des ressources naturelles Engagement envers les personnes : L'entreprise veille au respect des droits humains dans l'ensemble de sa chaîne de valeur, offrant des opportunités équitables et enrichissantes pour tous Pour un avenir plus vert La responsabilité environnementale de Griffon se manifeste également à travers : La réduction significative des émissions de CO2, atteignant 40 % depuis 2017. L'adoption d'énergie électrique 100 % renouvelable dans tous ses sites de production. Une politique de gestion de l'eau rigoureuse et une stratégie de déchets visant le zéro enfouissement. Griffon, par son engagement envers la qualité, l'innovation et la durabilité, se révèle être un choix privilégié pour les professionnels conscients de leur impact sur l'environnement. En alliant performance et responsabilité, Griffon pave la voie vers un avenir plus durable, où chaque produit et chaque action compte. Catégorie Métier : Industrie & ManufactureSous-catégorie Métier : Solutions Adhésives et d'Étanchéité 03 44 36 02 27 contact@griffonfrance.fr https://www.griffonfrance.fr/fr Titre de la page de marque (H1) Griffon : Actualités de l'innovation au service des professionnels Griffon se distingue dans l'univers des adhésifs et des solutions d'étanchéité par son engagement indéfectible envers la qualité et l'innovation. Partager Sous titre de l'article (H2) Des solutions d’assemblage et de protection durables
Il y a 1 ans et 93 jours

Nouvelle collection Marmoleum solid

Nouvelle collection Marmoleum solid schilling ven 09/02/2024 - 10:58 Avec pour signature « Un pas vers la nature de demain », la nouvelle collection Marmoleum solid, de conception et fabrication européenne à partir d’énergie 100 % renouvelable, revendique haut et fort son engagement environnemental : « les matériaux naturels sont les fondements de demain ». En témoignent sa composition à partir de matières premières d’origine naturelle (jusqu’à 97 %), une recyclabilité optimisée (via le Programme Tournesol) et une durabilité exemplaire (renforcée par le traitement de surface nouvelle génération Topshield pro). Côté design, les décors s’inspirent eux-mêmes de la terre et des matériaux bruts comme la roche et le bois par exemple, tandis que les couleurs panachent des teintes calquées sur la nature, bleu, vert, sable, ocre... jouant de tonalités douces, chaudes, poudrées. Loin de l’étiquette « vintage » parfois attribuée au linoléum, Marmoleum solid s’inscrit donc parfaitement dans son temps, par l’attention qu’il porte à l’environnement et au bien-être, mais aussi parce qu’esthétiquement, il s’avère résolument contemporain. Marmoleum solid : Le revêtement naturel des sols d'aujourd'hui et de demain Marmoleum solid se révèle une véritable ode à la nature. Il ne s’agit pas d’un clin d’œil purement poétique, les chiffres, factuels, parlent d’eux-mêmes : il est composé jusqu’à 97 % de matières premières d’origine naturelle (huile de lin, résine de pin, farine de bois, jute...), jusqu’à 68 % de produits biosourcés d’origine végétale, jusqu’à 54 % de matériaux renouvelables (dont 33 % rapidement renouvelables) et jusqu’à 43 % de contenus recyclés, sachant que c’est aussi un revêtement 100 % recyclable ! En effet, Marmoleum solid est compatible avec le programme de recyclage Tournesol lancé par Forbo Flooring dès 2015, incluant le tri, le stockage et l’enlèvement sur chantier des chutes de pose ou d’anciens sols entiers , ensuite broyés en vue, notamment, de la fabrication de nouveaux revêtements (dont Marmoleum, la boucle étant ainsi bouclée, une démarche circulaire chère à Forbo Flooring). Précisons que chaque référence de cette collection a fait l’objet d’une ACV (Analyse de Cycle de Vie) et dispose d’une FDES individuelle (Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire) vérifiée et publiée sur la base INIES indispensable en France, qui affiche un impact réchauffement climatique quasi neutre. Par ailleurs, la FDES s’accompagne, au niveau international, d’une EPD (Environnemental Product Declaration), laquelle permet de présenter une empreinte carbone négative. Ces indicateurs témoignent de l'engagement du fabricant en faveur du développement de solutions à faible impact environnemental et confirment sa démarche volontaire et transparente. Une offre composée de 4 gammes aux décors intemporels et authentiques Marmoleum solid décline 4 gammes, cocoa, walton, concrete et piano, s’adaptant à un large panel de segments (résidentiel, santé, éducation, hôtellerie, tertiaire...), alliées des zones à fort trafic. A la clé : des espaces sereins, où les personnes se déplacent, travaillent, se reposent, se divertissent et s’épanouissent. Marmoleum cocoa La formulation a pour spécificité d’inclure de la matière recyclée provenant d’écorces de fèves de cacao ainsi que du Marmoleum recyclé (déchets de production, de pose et dépose de chantier) à hauteur de 14 %, bénéficie d’une texture au toucher granuleux unique et à l'aspect très naturel. 10 nouveautés viennent aujourd’hui enrichir le panel désormais riche de 16 coloris. Parmi les inédits, citons Marmoleum cocoa matcha qui emprunte nom et couleur au thé vert japonais, offrant aux sols une note herbacée particulièrement douce, ou encore Marmoleum cocoa curcuma qui adopte de l’épice éponyme sa délicate teinte jaune et laisse ainsi entrer le soleil dans les pièces. Marmoleum walton Avec sa surface lisse, ses 16 coloris sobres et profonds, continue d'incarner LE linoléum à l'état pur. A la fois discret et sophistiqué, il ouvre le champ des possibles à toutes les applications imaginables. Au rang des 5 nouveautés qu’il accueille, le bleu prend des nuances de gris avec Marmoleum walton cobalt gris, ou puise sa source dans l’océan avec Marmoleum walton North Sea blue. Marmoleum concrete Il déploie 15 nouveautés sur un éventails de 30 coloris. Mettons notamment en exergue 4 bétons neutres, rehaussés d’un éclat de couleur différent, permettant de créer des associations de teinte avec un mur ou une autre couleur de sol plus prononcée : Marmoleum concrete yellow shimmer, Marmoleum concrete green shimmer, Marmoleum concrete blue shimmer et Marmoleum concrete orange shimmer. Un look béton froid qui prend vie grâce à la chaleur et au caractère naturel du Marmoleum ! Marmoleum piano Il fait écho au mot italien signifiant simple, lisse ou doux. Effectivement, le motif Marmoleum piano dévoile une subtile impression de fibres sur fond uni : un design nuancé ton sur ton qui présente l’avantage d’une forte capacité masquante (défaut du support, salissure...). Ses 10 coloris ont été intégralement reconduits, forts d’un succès avéré. Soulignons que les décors de chaque gamme peuvent facilement s’harmoniser entre eux (par exemple Marmoleum cocoa et Marmoleum concrete en ERP : le premier, plus intime, dans la zone des assises et le second, plus fonctionnel, dans les zones de passage), voire avec ceux d’autres collections Marmoleum (Marmoleum marbled, Marmoleum linear, Marmoleum modal...). De même, Marmoleum solid peut être combiné avec différents types de matériaux : ainsi, les diverses tonalités vertes de la collection, apaisantes, rafraichissantes et sensorielles, se coordonnent idéalement avec un habillage mural en bois clair. Des performances techniques et une durabilité inégalées Fidèle à son credo de qualité, Forbo Flooring concilie créativité et hautes performances. Affichant des émissions de COV toujours plus basses, Marmoleum solid garantit une qualité d'air intérieur optimale (classe A+, meilleure classe de l'étiquetage sanitaire). Naturellement bactériostatique, approuvé par le label UK Allergy Foundation, le bien-être est réellement inscrit dans l’ADN de ce linoléum signé Forbo Flooring. D’ailleurs, Marmoleum solid dispose aussi d'une version acoustique à 19 dB, Marmoleum decibel, un atout majeur dans les lieux soumis à un trafic intense pour apporter tout le confort nécessaire aux usagers. Enfin, grâce au traitement de surface Topshield pro, Marmoleum solid gagne encore en durabilité. Au cœur de cette innovation, une technologie bi-couche réticulée UV permet d’obtenir une surface plus lisse pour une protection homogène qui diminue, de facto, les risques d’encrassement. Avec, en corollaires, des besoins en entretien réduits ainsi qu’une résistance accrue aux rayures comme à l’usure et donc, là-encore, une faible empreinte environnementale puisque la durée de vie du sol est prolongée ! D’autant que Marmoleum solid peut être réparé ou rénové en cas d’incident ou après des années d’utilisation. Valorisons, pour conclure, l’extension de garantie exclusive jusqu’à 6 ans supplémentaires (au-delà des 10 ans intrinsèques) avec la mise en place d’un tapis de propreté Coral ou Nuway. Choisir la Marque® - Associer l'article FORBO FLOORING SYSTEMS Un pas vers la nature de demain Si son expertise historique en linoléum contribue largement à la renommée de Forbo Flooring, le créateur de revêtements de sol souples entend repositionner, en 2024, son emblématique Marmoleum afin de séduire encore davantage les jeunes générations d’architectes, d’agenceurs et de designers, de même que les utilisateurs finaux. La nouvelle collection Marmoleum Solid de Forbo Flooring, produite en Europe avec 100 % d'énergie renouvelable, incarne une avancée significative dans le domaine des revêtements de sol écologiques. Mettant en avant l'utilisation de matériaux naturels jusqu'à 97 %, la recyclabilité avancée via le Programme Tournesol, et une durabilité renforcée par le traitement de surface Topshield pro, cette collection vise à séduire un public conscient de son impact environnemental. Les designs, inspirés de la terre et des matériaux bruts, ainsi que les coloris, évoquent directement la nature, offrant une esthétique contemporaine loin de l'image "vintage" traditionnellement associée au linoléum. Marmoleum Solid est présenté comme le choix de revêtement naturel pour les sols d'aujourd'hui et de demain, marquant un engagement fort de Forbo Flooring vers un futur plus durable. Catégorie Métier Catégorie Principale : Revêtements de Sol Écologiques Sous-catégorie : Innovation en Design et Durabilité Partager
Il y a 1 ans et 158 jours

L’Association des Recycleurs Indépendants alerte sur les conséquences de la REP au secteur des déchets du bâtiment

Alors qu’une mission d’évaluation de l’impact de la loi du 10 février 2020, plus connue sous le nom de loi AGEC est en cours, l’Association des Recycleurs Indépendants (ARI), qui réunit 170 entreprises et 2.000 professionnels indépendants spécialisés dans la collecte, le traitement et la transformation des déchets en France, alerte les pouvoirs publics sur les conséquences de la responsabilité élargie des producteurs (REP) au secteur des déchets du bâtiment mise en place depuis le 1er janvier.
Il y a 1 ans et 172 jours

Le CSTB se dote d’un plan ambitieux de gestion des déchets

© ShutterstockDans le cadre de sa démarche RSE, qu’il renforce chaque année, et en cohérence avec son implication et son accompagnement quotidien de projets de préservation de l’environnement, de réduction de l’empreinte carbone et de circularité, le CSTB s’est doté, en 2022, d’un plan d’action global pour la gestion de ses déchets. Piloté par la direction Économie et Ressources créée en 2022, ce projet a pour objectif de redéfinir la politique de gestion des déchets du CSTB en s’attachant notamment à réduire leur volume, à développer les démarches de réemploi et à mettre en place une gestion centralisée et harmonisée au sein de ses quatre établissements de Marne-la-Vallée, Grenoble, Nantes et Sophia Antipolis. Ce projet est aussi l’occasion de favoriser le partage de retours d’expérience et de bonnes pratiques. Un projet élargi aux PEMD de ses activités d’essais et tertiaires Afin de répondre aux exigences réglementaires de la hiérarchisation des modes de traitement, qui constitue le socle juridique de la gestion des déchets tendant à privilégier leur réduction et leur réemploi, puis leur recyclage, le périmètre du projet a été dimensionné pour couvrir l’ensemble des Produits, Équipements, Matériaux et Déchets (PEMD) issus des activités d’essais et activités tertiaires des quatre sites du CSTB. Les enjeux liés à cette thématique sont d’ordre : réglementaire et contractuel, avec notamment la mise en place de la nouvelle responsabilité élargie du producteur de produits et matériaux de construction du bâtiment (REP PMCB) ; environnemental, lié à la volonté de privilégier les modes de gestion les plus vertueux (prévention, réemploi) ; économique, avec la possibilité de reprise gratuite des déchets introduite par la REP PMCB ; organisationnel, en lien notamment avec l’optimisation de la logistique de gestion des PEMD sur les différents sites du CSTB. Pour répondre à ces différents enjeux, le projet s’est fixé plusieurs objectifs : redéfinir le plan d’action relatif à la gestion des PEMD sur les quatre sites du CSTB ; mettre le CSTB en conformité avec le cadre réglementaire actuel et à venir ; • gérer les PEMD issus des activités du CSTB en tenant compte de la pyramide de hiérarchisation de traitement et assurer leur suivi ; • sensibiliser, responsabiliser et communiquer auprès de ses collaborateurs. État des lieux et perspectives : un plan d’action défini à partir de la pyramide de hiérarchisation des modes de traitement Lors de la première phase de travail, l’équipe projet, constituée de membres représentant les quatre établissements et les directions opérationnelles et fonctionnelles du CSTB, s’est réunie mensuellement afin de dresser un état des lieux des différentes thématiques relatives à la gestion des PEMD : cadre réglementaire, PEMD issus des activités d’essais, logistique de gestion sur les quatre sites, procédures internes, actions de communication et de responsabilisation, etc. En se basant sur cet état des lieux exhaustif, l’équipe projet a ainsi pu instaurer un plan d’action, dans lequel 29 d’entre elles ont été identifiées comme prioritaires dans le cadre de la stratégie de gestion des PEMD. À cette fin, d’importants moyens humains et financiers ont été mobilisés, avec une enveloppe d’environ 300 000 euros. Les actions qui ont été identifiées comme prioritaires concernent à la fois les activités tertiaires et d’essais du CSTB et sont rattachées aux différents niveaux de la pyramide de hiérarchisation des modes de traitement des PEMD. Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2022 Dans la continuité de ses précédents rapports RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2022 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 1 ans et 191 jours

Configurateur FDES robinetterie : un outil gagnant-gagnant

Pour répondre à l’intensification de la demande de FDES et de PEP, le CSTB met en place un configurateur FDES consacré à la robinetterie sanitaire et aux accessoires associés (vidages, douches, etc.). Il pourrait aussi s’appliquer, à terme, à la robinetterie du bâtiment, aux canalisations et s’étendre aux autres produits de construction. Les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’œuvre demandent toujours davantage de précisions sur les performances environnementales des produits et systèmes constructifs. Aussi, les industriels sont de plus en plus demandeurs de fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) individuelles et de profils environnementaux produits (PEP). Face à cet afflux de demandes, les délais ne font qu’augmenter. « Cet engouement s’explique par l’entrée en vigueur de la RE2020, mais aussi parce que les fabricants ont bien compris que, d’une part, les valeurs par défaut sont vouées à disparaître et que, d’autre part, les FDES collectives, bien que très utiles, ne mettent pas en avant les efforts individuels des industriels », indique Florence Wagner, ingénieure recherche et expertise au sein de la direction Énergie-Environnement du CSTB et cheffe de projet technique de cet outil. Autant de raisons pour lesquelles le CSTB a conçu ce configurateur, pour l’heure uniquement réservé à la robinetterie sanitaire, qui permet aux industriels de réaliser eux-mêmes, et plus facilement, leurs FDES individuelles. Simplifier les demandes de FDES Ce configurateur FDES a été paramétré afin d’intégrer tous les matériaux, composants, processus nécessaires à la fabrication de la robinetterie : laitons, cartouches, becs corps, énergie, modes de transport, traitement des déchets. Les scénarios de fin de vie de chaque élément ont été modélisés à partir d’informations issues de bases de données environnementales reconnues. Une fois connecté, le fabricant accède ainsi à une bibliothèque déjà préremplie et à un formulaire mentionnant les valeurs correspondant à ses propres produits. « Nous avons conçu un véritable squelette de FDES qui permet aux industriels de remplir les champs en toute simplicité », ajoute Florence Wagner. Une fois les données intégrées, la fiche est traitée par des outils experts d’analyse du cycle de vie (ACV) afin de calculer l’ensemble des impacts demandés par les normes et réglementations. L’industriel reçoit ensuite le résultat de calcul et la FDES. Configurateur FDES : une économie de temps et d’argent Pour le fabricant, une demande de FDES ne requiert pas plus d’une demi-journée. La réalisation d’une fiche de la part d’un expert ACV exige de s’appuyer sur une base normative et réglementaire estimée à un millier de pages, d’étudier les informations fournies par l’industriel, de les convertir en données environnementales, puis de rédiger un rapport d’accompagnement de l’analyse de cycle de vie nécessaire à la rédaction de la FDES. « Un travail conséquent et dont le processus doit être refait depuis le début pour chaque nouvelle fiche, précise Florence Wagner. Le configurateur permet de simplifier cette étape, un gain en efficacité pour les experts ACV et de temps considérable pour l’industriel, puisqu’il faut aujourd’hui un an pour obtenir une FDES. » La procédure de vérification est simplifiée par rapport à une demande réalisée de manière classique. Le temps de traitement est ainsi divisé par six. Au niveau du coût, l’économie est non négligeable pour les industriels : 500 euros pour la vérification via le configurateur contre 3 500 euros via le parcours classique. Le configurateur permet d’être toujours à jour et de se rendre indépendant de la variation des normes : « Les modifications des méthodes en novembre 2022 ont par exemple été intégrées », ajoute Florence Wagner. Il constitue aussi et surtout une aide à l’optimisation environnementale des produits des industriels puisqu’ils peuvent simuler l’impact d’un changement de fournisseur ou de matériaux. « Si un fabricant souhaite réduire la quantité de laiton et augmenter celle du plastique, il peut avoir une simulation de FDES et retravailler ensuite sa conception », précise Laurent Rousseau, responsable de la division Équipements Sanitaires et du Bâtiment au sein de la direction de l’Eau du CSTB. Une démarche collaborative Ce configurateur est, pour l’instant, limité à la robinetterie. « La direction de l’Eau a en effet été pilote sur ce projet parce que la demande du marché en FDES est importante, les fabricants sont nombreux et le potentiel est réel. Les composants pour la fabrication de robinets se ressemblent, ce qui facilite le remplissage des champs via un formulaire type, commente Laurent Rousseau. D’ailleurs, ce projet a été lancé à la demande des fabricants, qui ont exprimé le besoin d’accompagnement. Le configurateur a été créé avec la participation de onze fabricants de petites, moyennes et grandes entreprises. Bien que concurrentes, elles se sont toutes mises autour de la table pour lister les bibliothèques de produits, valider le squelette, attester le calcul et produire leurs FDES individuelles à partir du configurateur. » « Le succès de cet outil, fruit d’un an de travail, est lié à la participation conjointe des fabricants, des spécialistes produits et des spécialistes ACV du CSTB », ajoute Florence Wagner. Le configurateur sera présenté en septembre 2023 aux fabricants et mis en service au premier trimestre 2024. Il pourra alors être développé pour d’autres secteurs du bâtiment. D’autres configurateurs sont déjà en cours d’étude, notamment pour les canalisations et la robinetterie industrielle. Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2022 Dans la continuité de ses précédents rapports RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2022 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 1 ans et 213 jours

Après l’entrée en vigueur de la REP au secteur des déchets du bâtiment, des répercussions économiques importantes pour les recycleurs indépendants

A l’occasion du Salon Pollutec, l’Association des Recycleurs Indépendants (ARI), qui réunit 170 entreprises et 2.000 professionnels indépendants spécialisés dans la collecte, le traitement et la transformation des déchets en France, alerte les pouvoirs publics sur les conséquences de la responsabilité élargie des producteurs (REP) au secteur des déchets du bâtiment mise en place depuis le 1er janvier.
Il y a 1 ans et 264 jours

Urbanisation et propreté

Urbanisation et propreté Un monde en constante urbanisation 
 
 Au fil des années, l'urbanisation s'est intensifiée. De nos Batipole mar 22/08/2023 - 14:00 En savoir plus sur Urbanisation et propreté Partager
Il y a 1 ans et 335 jours

À Nanterre, la restructuration du centre de tri est signée LVA

À Nanterre (Hauts-de-Seine), l’agence Le Dévéhat Vuarnesson Architectes (LVA) a livré en novembre 2021 la transformation du centre de tri de collecte sélective du Syctom, service public de traitement des déchets ménagers. Surface : 12 000 m2 SP. Budget conception réalisation : 40,6 M€ HT (y compris process, hors exploitation). Communiqué. Approche La restructuration du […] L’article À Nanterre, la restructuration du centre de tri est signée LVA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 348 jours

Économie circulaire : le bâtiment entre dans la ronde

Le nouveau numéro de Solutions & Performances, la lettre du CSTB dédiée à l'accompagnement de l'innovation, est consacré à l'économie circulaire. Ainsi, la rubrique Tendances aborde ses différents enjeux : limiter la ponction sur les ressources naturelles, réduire les déchets, augmenter la durée de vie des produits, décarboner la filière de la construction et valoriser les compétences locales. La rubrique Réglementation évoque l'extension de la filière REP aux produits et matériaux de construction du bâtiment et l'entrée en vigueur du diagnostic PEMD au 1er juillet 2023. La rubrique Environnement présente Ecoscale, la nouvelle évaluation environnementale de la circularité du CSTB. La rubrique Parole d'experts est consacrée à la présentation de la plateforme PEMD développée par le CSTB et à l'éco-conception des produits de construction. La parole aux professionnels recueille les témoignages de représentants d'industriels et d'artisans de la filière. Ils nous parlent notamment de leur collaboration avec le CSTB, de son expertise et des marques de qualité qu'il délivre. La rubrique Pathologies, proposée par notre partenaire l'Agence Qualité Construction, est consacrée à la maîtrise des risques et à la fiabilisation des pratiques associées au réemploi. La rubrique Prévention, proposée par notre partenaire l'OPPBTP, fait un focus sur le tri et le traitement des déchets de chantier suite à la mise en place de la nouvelle filière REP PMCB. Enfin, les rubriques Innovations, qui présente notamment une start-up spécialisée dans la revalorisation des matériaux de construction en caractérisant des gisements réemployables sur des chantiers de déconstruction, et Focus pour aller plus loin sur la formation Diagnostiqueur PEMD. Bonne lecture ! Solutions & Performances - Numéro 12 : « Économie circulaire » Le numéro 12 de Solutions & Performances est consacré à l'économie circulaire. PDF 4.44 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 23 jours

Retour à un traitement quasi normal des déchets à Paris

La collecte et le traitement des déchets ont retrouvé un fonctionnement quasi normal à Paris mercredi 19 avril, une semaine après le début de "l'acte 2" de mobilisation des éboueurs contre la réforme des retraites promis par la CGT.
Il y a 2 ans et 32 jours

Journée des doctorants du CSTB : un évènement sous le signe de la pluridisciplinarité

De gauche à droite : Robin BONNET, Élodie DONVAL, Marin PELLAN, Merveil MUANDA LUTETE et Martin RIT - Photo : Nicolas RICHEZLe 27 mars 2023, les doctorants du CSTB ont été mis à l'honneur lors d'une journée dédiée. C'est en présence de leurs tuteurs et directeurs de thèse qu'ils ont partagé l'avancement de leurs travaux et confirmé la diversité des domaines de recherche du CSTB. Depuis de nombreuses années, le CSTB anime un programme doctoral ambitieux. Il accueille ainsi, en continu, 50 à 60 doctorants qui mènent une thèse en lien avec l'un des quatre Domaines d'Action Stratégiques de la Recherche du CSTB. Le 27 mars dernier, au CSTB Paris, une quinzaine d'entre eux a présenté ses travaux de recherche à différents stades d'avancement. Ouverture et transversalité « Modélisation et adaptation environnementale d'un quartier dans un contexte de climat futur et de canicule urbaine », « Développement d'indicateurs de pression sur les ressources minérales et métalliques dans le secteur du bâtiment pour une approche performancielle de l'économie circulaire », « Impact du changement climatique sur la qualité de l'air intérieur », « Influence de l'effet combiné de la combustion des matériaux sur le développement de l'incendie et l'émission de gaz et d'aérosols »... autant de sujets qui traduisent de la pluridisciplinarité des domaines de recherche du CSTB. Énergie, environnement, santé, sociologie, maîtrise des risques, numérique... Lors de son introduction, Hervé Charrue, directeur général adjoint en charge de la Recherche et du Développement au CSTB, a souligné « l'importance de l'ouverture et de la transversalité », rappelant que le rôle du CSTB était d'ouvrir ses doctorants aux « problématiques actuelles, mais aussi à celles qui seront à traiter dans les 20 ans à venir. Des problématiques multiphysiques, pluridisciplinaires, que le CSTB a d'ores et déjà l'habitude de mettre en œuvre, auxquelles le bâtiment, en tant qu'objet complexe au cœur de celles-ci, contribue à apporter beaucoup de réponses ». Trophées des doctorants : des efforts récompensés Comme l'a également souligné Hervé Charrue dans son discours d'ouverture, « la thèse est un engagement personnel, un engagement sur un travail de fond ». Afin d'accompagner ces jeunes chercheurs sur la voie de l'excellence et les encourager à transmettre leurs connaissances, le CSTB leur a demandé de présenter leurs thèses en 180 secondes par l'intermédiaire de trois médias d'expression (vidéo, présentation animée, présentation graphique). Pour mettre en valeur leurs sujets de thèse, en lien avec les quatre Domaines d'Actions Stratégiques de la Recherche du CSTB que sont les « Bâtiments et Quartiers pour bien vivre ensemble », les « Bâtiments et villes face au changement climatique », la « Rénovation, Fiabilisation de l'acte de construire & Innovation » et l'« Économie circulaire et ressources pour le bâtiment », les doctorants du CSTB ont ainsi rivalisé d'imagination en réalisant des vidéos, des bandes dessinées et motion design. Le CSTB a récompensé les productions les plus originales lors d'une cérémonie de remise des Trophées des doctorants 2023. Cinq prix ont ainsi été remis au terme de cette journée riche en échanges : Prix de la direction de la Recherche et du Développement : Comportement au feu des maçonneries en pierre naturelle Nom du doctorant : DONVAL Élodie Démarrage de thèse : 2020 École et partenaires : Laboratoire Navier, UMR 8205 - ENPC, Ifsttar, CNRS - CTMNC - Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction Prix du Knowledge Management : Évaluation du potentiel de rénovation énergétique d'un territoire dans le cadre de démarches de massification Nom du doctorant : RIT Martin Démarrage de thèse : 2021 École et partenaires : Mines Paris Tech Persée, Centre Procédés, Énergies Renouvelables, Systèmes Énergétiques Prix catégorie Vidéo Évaluation des mesures d'adaptation de l'environnement urbain aux contraintes des évolutions du climat Nom du doctorant : MUANDA LUTETE Merveil Démarrage de thèse : 2021 École et partenaires : Ingérop et Cerema Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement Prix catégorie Présentation animée Atteindre et décliner la Stratégie Nationale Bas Carbone pour le secteur du bâtiment, du produit au parc Nom du doctorant : PELLAN Marin Démarrage de thèse : 2021 École et partenaires : ETH - Zurich – Suisse Prix catégorie Présentation graphique Étude d'un procédé de bio détérioration des matrices cimentées : application au traitement des déchets amiantés Nom du doctorant : BONNET Robin Démarrage de la thèse : 2019 École et partenaires : Université Paris Cité, Institut de Physique du Globe de Paris Les lauréats ont reçu un trophée en bois recyclé réalisé par les équipes de l'atelier de menuiserie du CSTB ainsi qu'une invitation pour une learning expedition à Nantes afin de découvrir les plateformes emblématiques du CSTB (soufflerie climatique Jules Verne, Aquasim). Félicitations à eux !
Il y a 2 ans et 39 jours

L’Unev valorise sa nouvelle identité visuelle

Regroupant les entreprises de la valorisation et du traitement des déchets, l’Unev se dote d’une nouvelle identité visuelle.
Il y a 2 ans et 53 jours

4 700 m2 de plaques ONDUCLAIR® PC ONDULINE recouvrent la façade de RUN’EVA,le futur Pôle Déchets Sud de Pierrefonds à la Réunion

Le nouveau Pôle Déchets Sud RUN’EVA est un projet multi-filière ambitieux pour le traitement et la valorisation des déchets ménagers à La Réunion. Situé sur un site de 45 hectares à Pierrefonds, ce chantier unique, porté par le syndicat mixte ILEVA permettra dès 2024, la fin du tout enfouissement et la valorisation à grande échelle… Lire la suite 4 700 m2 de plaques ONDUCLAIR® PC ONDULINE recouvrent la façade de RUN’EVA,le futur Pôle Déchets Sud de Pierrefonds à la Réunion
Il y a 2 ans et 98 jours

Société francilienne de béton : Savoir dépasser le contexte local

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Zakia Benrezkallah est le responsable QSE de la Société francilienne de béton. [©SFB] A l’origine PME familiale créée en 1991, la Société francilienne de béton (SFB) connaît une croissance régulière. Elle emploie 35 personnes au niveau de ses unités de production de BPE. Mais fait aussi appel à des prestataires extérieurs pour assurer la livraison du béton, ce qui représente en moyenne 80 chauffeurs. Au même titre que le personnel salarié, ces prestataires sont sensibilisés et formés aux problématiques de sécurité et de prévention, tant au niveau des sites que sur la route ou lors des phases de livraisons sur chantier. Sur ce dernier point, le client envoie un protocole de chargement/déchargement. Ce qui permet de filtrer, de poser des questions complémentaires, afin de s’assurer que les procédures de sécurité sont compatibles avec la zone de livraison. Chaque unité de production dispose d’un plan de circulation, évitant ainsi toute co-activité entre les toupies, les engins de manutention et les piétons. D’une manière plus globale, on retrouve chez SFB la plupart des actions mises en œuvre par la profession, basées pour la plupart sur des recommandations éditées depuis plusieurs années par l’Unicem. Lire aussi : Val-de-Marne : La SFB ambitieuse et engagée Avoir un œil critique Le turn-over est faible, l’ancienneté importante, mais l’entreprise accueille chaque année des intérimaires, indispensables pour faire face aux périodes de forte production. Ces collaborateurs ponctuels sont accueillis, sensibilisés aux risques et formés à leur poste de travail, en suivant les mêmes procédures que les salariés intégrés : « Je les reçois en premier, afin de les informer sur les risques les plus importants, précise Zakia Benrezkallah, responsable QSE de SFB. Nous visitons ensemble le site et je leur remets un livret d’accueil. Ensuite, ils sont pris en charge par un salarié qui va les assister au début dans leur fonction. En parallèle, j’assure un suivi régulier les premiers jours… » L’ensemble du personnel, salariés et intérimaires, reçoit un package d’EPI, avec des tenues différenciées été/hiver. Des quarts d’heure sécurité sont organisés à intervalles réguliers. SFB a mis en place une procédure d’audit externe, mais aussi interne, en faisant visiter les centrales aux salariés des bureaux, en leur demandant d’avoir un œil critique, dans un contexte qui n’est pas leur lieu habituel de travail. Les retours d’expérience sont positifs pour tous. Gérard Guérit Une politique environnementale assumée Chaque barge de livraison de granulats évite les rotations d’environ 40 semi-remorques. Pour la plupart, les granulats sont issus de carrières situées en Ile-de-France. [©SFB] La prise de conscience environnementale de SFB passe par plusieurs actions au niveau des différents sites de production. La plus importante reste le partenariat signé avec Hoffmann Green Cement, producteur de liants ultra décarbonés. Il s’agit là d’un moyen simple pour améliorer le bilan carbone de l’entreprise… Autre évolution notable, la livraison des granulats se fait par barges pour les sites implantés en bord d’eau. Un transport fluvial de 1 200 t représentant l’équivalent de 40 semi-remorques. De plus, les granulats sont pour la plupart issus de carrières proches situées en Ile-de-France. Les eaux de process et de nettoyage suivent un cycle de retraitement en circuit fermé. L’évolution du climat et le développement récent de phénomènes de précipitations violentes ont poussé les dirigeants de SFB à investir dans des cuves de rétention de grande capacité. Ceci, afin d’éviter tout risque de débordement des eaux. L’implantation d’unités de production dans des sites urbains implique aussi une gestion spécifique vis-à-vis du bruit et des émissions de poussières. Les convoyeurs à bande sont capotés, les pistes régulièrement arrosées, le personnel est équipé de bouchons d’oreille sur mesure et intégrant des filtres. Des mesures de bruit et d’émissions de poussières sont réalisées à intervalles réguliers, des registres d’observations, de remarques, voire de plaintes, sont mis à la disposition des riverains. Un lieu de travail durable et solidaire Dans le prolongement de l’engagement au label RSE, SFB a adhéré au Pacte mondial des Nations Unies, qui définit 17 objectifs à atteindre à l’horizon 2030. [©SFB] Face aux défis environnementaux et sociétaux actuels, SFB décide d’aller plus loin et s’engage dès 2018 dans deux démarches volontaires : le label RSE de l’Unicem et le Global Compact des Nations Unies. « L’engagement dans la démarche RSE de l’Unicem nous a d’abord aidés à établir un état des lieux. Mais aussi à valider ce qui relevait déjà d’une RSE, sans même parfois en avoir conscience. Il nous a permis d’aller plus en avant sur les thèmes que sont la gouvernance, les droits de l’homme, les relations et les conditions de travail. Tout comme l’environnement, la loyauté des pratiques, les questions relatives aux consommateurs, les communautés et le développement local », détaille Zakia Benrezkallah. Et de poursuivre : « Cette première démarche nous a fait prendre conscience des enjeux mondiaux d’une entreprise, même à l’échelle d’une PME comme la nôtre. Dans le prolongement de notre engagement au label RSE, nous avons ainsi adhéré au Pacte mondial des Nations Unies, qui définit 17 objectifs à atteindre à l’horizon 2030 ». Ces objectifs aident à contribuer à une économie plus viable et plus ouverte. Ils sont souvent interdépendants et dépassent les problématiques basiques et immédiates d’une entreprise. Par exemple, ils visent à promouvoir et à respecter la protection du droit international relatif aux droits de l’homme. A veiller à ne pas se rendre complices de violations des droits de l’homme. A préserver la liberté d’association. A contribuer à l’élimination de toutes formes de travail forcé, de toute discrimination en matière d’emploi et de profession. A appliquer une approche de précaution face aux problèmes liés à l’environnement. A favoriser l’usage de technologies respectueuses de l’environnement. Ou, enfin, à agir contre la corruption sous toutes ses formes. De la théorie aux faits concrets Sur plusieurs sites, SFB a mis en place des ruches. Une contribution à la lutte contre l’extinction des abeilles et pour la préservation de la biodiversité. [©SFB] S’engager dans de telles démarches implique de les traduire dans des actions concrètes… En 2021, SFB fait appel à une entreprise “adaptée” pour traiter la gestion de ses déchets. Une réelle participation à la réduction des inégalités. « Ce n’est pas une action de communication et elle n’a pas été relayée auprès du grand public, souligne Zakia Benrezkallah. Nous faisons cela par conviction. » Toujours dans le cadre d’une démarche sociale, l’industriel du BPE a noué un partenariat avec le concept “Nos Quartiers ont du Talent”, un dispositif qui accompagne et parraine des jeunes issus de milieux modestes en recherche d’emploi. Ce partenariat permet de reprendre confiance en son avenir, mais aussi d’acquérir les codes du monde du travail, de valoriser ses compétences… A l’heure où nombre d’entreprises peinent à recruter du personnel qualifié et que le taux de chômage reste élevé dans notre pays, de telles actions ne peuvent qu’aider à améliorer une situation de l’emploi qui reste complexe. De même, SFB s’est engagé dans la récupération et la revente des bouchons de bouteilles en plastique. Opération destinée à financer l’achat de fauteuils roulants. Un partenariat a été finalisé en période de Noël avec le Secours Populaire. Il proposait aux salariés de l’entreprise de constituer des coffrets-cadeaux comprenant un vêtement chaud, un produit d’hygiène, une gourmandise, un mot ou une carte d’accompagnement, et destinés aux sans-abris. Cette politique environnementale et sociale passe enfin par des journées Portes ouvertes qui visent à sensibiliser les non-professionnels à la fabrication, à l’usage et à l’intérêt des ouvrages en béton. L’occasion de montrer au grand public quelques initiatives originales, comme la mise en place de ruches, afin du lutter contre l’extinction des abeilles. Ou encore la création de prairies florales favorisant la biodiversité… Des démarches qui étonnent souvent ce public, dans un environnement qu’il perçoit a priori comme uniquement industriel ! Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 101 jours

Recycler et valoriser l'amiante est désormais possible avec De Dietrich

De Dietrich Process Systems, leader mondial pour la fourniture d'équipements, de systèmes complets et de solutions de procédés pour les industries pharmaceutiques, de la chimie et de la chimie fine, ainsi que de la chimie du végétal, a développé en Consortium avec la société Neutraval également basée en Alsace, un procédé unique et innovant pour traiter les déchets amiantés : la solution De Dietrich Waste Recycling (DDWR).Après plusieurs mois de construction, l’unité pilote De Dietrich Waste Recycling basée sur une friche industrielle à Talange en Moselle, arrive à son terme et sera bientôt prête à traiter ses premiers déchets. Soutenu par l’ADEME et la Région Grand Est, les travaux de construction s’achèveront fin 2022. Dans un premier temps, le pilote traitera des déchets inertes pour une première phase de tests. S’ensuivra alors le traitement de différents types de déchets amiantés dans le but d’optimiser au maximum ce nouveau procédé et de caractériser plus en détails les échantillons de co-produits qui en ressortiront inertes.Ce nouveau procédé, qui a été validé en laboratoire au préalable, est breveté à l’international et consiste à attaquer les déchets d’amiante libre et liée par voie physico-chimique dans des conditions expérimentales maitrisées. Cette attaque acido-basique détruit la structure de l’amiante et permet, in fine, d’en extraire mais également de valoriser différents co-produits : le magnésium, le gypse et l’anhydrite. Ces co-produits pourront être revendus dans diverses applications telles que dans la construction, la cimenterie, l’aéronautique mais aussi l’automobile dans le but de créer une économie circulaire autour de ce projet et de s’engager dans la transition écologique. A terme, l’objectif est de développer des unités industrielles permettant de traiter 15 000 tonnes de déchets amiantés par an, sur le territoire national mais également Européen.Avant le développement de cette solution innovante, seuls l’enfouissement et la vitrification par torche à plasma étaient autorisés bien qu’aucune de ces deux alternatives ne soit satisfaisante, à bien des égards. L’évolution de la loi Anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) a permis à De Dietrich et à ses partenaires de saisir cette opportunité de développement afin de proposer une alternative grâce à un nouveau procédé efficace, respectueux de l’environnement et des populations environnantes, tout en garantissant la sécurité des opérateurs. De Dietrich Waste Recycling, a donc bien eu raison de croire en cette nouvelle filière qui permet de passer d’une logique d’enfouissement et de vitrification, à une logique de valorisation industrielle tout en répondant positivement à un problème mondial de santé publique.
Il y a 2 ans et 106 jours

Recycler et valoriser l’amiante est désormais possible avec De Dietrich

De Dietrich Process Systems annonce l’achèvement imminent de la construction de son innovant pilote De Dietrich Waste Recycling dédié au traitement des déchets amiantés. Il entrera en phase opérationnelle et neutralisera ses premières fibres d’amiante au premier trimestre 2023. De Dietrich Process Systems, leader mondial pour la fourniture d’équipements, de systèmes complets et de solutions […]
Il y a 2 ans et 116 jours

Les défaillances d'entreprises explosent en 2022 avec plus de 40.000 procédures soit une hausse de 49,9% sur un an

Le groupe Altares – expert historique et référent de l’information sur les entreprises - dévoile aujourd’hui les chiffres des défaillances d’entreprises en France pour le 4e trimestre et l’ensemble de l’année 2022.Le nombre global de procédures reste toutefois inférieur de 10.000 par rapport aux niveaux de 2019. Si le retour aux normes d’avant Covid s’amorce depuis un an, l’augmentation des défaillances s’accélère de manière alarmante pour les PME dont plus de 3200 ont défailli en 2022 avec le tiers sur le seul 4e trimestre. Dans ces conditions, 143.000 emplois directs sont aujourd’hui menacés.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Depuis 2020, 103.000 entreprises ont fait défaut contre 162.000 durant les trois années précédentes. 59.000 défaillances ont ainsi été « épargnées » grâce notamment aux dispositifs d’aides publiques déployés pour faire face aux conséquences de la crise sanitaire puis de la guerre en Ukraine. Pourtant, si le risque a été anesthésié, évitant la déferlante tant redoutée des faillites, les entreprises ne sortent pas indemnes de ces longs mois de turbulences. Entre inflation et crise énergétique, le climat se complique encore et les fonds propres sont mis à contribution. Or, l’Observatoire du Financement des Entreprises notait dans son rapport de mai 2021 sur les fonds propres des TPE et PME que si l’essentiel de ces entreprises a affronté la crise avec des situations en fonds propres renforcées avant la Covid, une partie disposait, en revanche, de structures financières très dégradées (un tiers des TPE) ou était insuffisamment capitalisée (20% des PME analysées). De son côté, la Commission européenne alerte sur le poids excessif de la dette des entreprises non financières de l'Union qui représentait 111% du PIB des 27 à fin 2020, soit 14.900 milliards d'euros. Or, le manque de fonds propres handicapant pour investir et se financer est un signal prépondérant du risque de défaillance. »Le volume des défaillances encore contenu mais la hausse des ouvertures accuse un taux historiqueAvec 42 514 procédures enregistrées, le volume des défaillances remonte à son niveau de mai 2020. La hausse sur un an est quant à elle exceptionnelle (+49,9%), un rythme annuel jamais connu qui confirme l’accélération de la sinistralité entrepreneuriale.La tendance est restée forte sur le dernier trimestre (+48%) après l’envolée de l’été (+70%) et les augmentations du début d’année (+35% au 1er trimestre et +50% au 2ème trimestre).A fin 2022, sur douze mois, le nombre d’ouvertures reste inférieur de 18% à celui enregistré fin 2019 ; un écart qui n’est déjà plus que de 9% sur le seul dernier trimestre, après un mauvais mois de novembre déjà identique à celui de 2019.Nombre de défaillances d’entreprises par type de procédure par annéeLes procédures de sauvegardes et redressements sont en hausse mais restent minoritairesAvec 1.125 jugements prononcés en 2022, le nombre de procédures de sauvegarde est au plus haut sur cinq ans. En augmentation de 54,3% sur un an, son rythme accélère encore au quatrième trimestre (350 ; +73%). Toutefois, ce dispositif réservé aux seules entreprises n’étant pas en cessation de paiement représente toujours moins de 3% de l’ensemble des procédures. Fin janvier 2023, les tribunaux devraient « seulement » prononcer la 6000e sauvegarde, un chiffre bien dérisoire, 17 ans après l’entrée en vigueur de cette procédure.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) augmentent plus vite encore. 10.132 jugements ont été prononcés, soit 55,8% de plus sur un an. Mais moins d’un jugement sur quatre (23,8%) est une ouverture de RJ, un taux très en-dessous des 30% observés avant crise. Sur le dernier trimestre, le nombre de RJ (3027) est encore en hausse rapide, +57%.Depuis la crise, les liquidations directes sont devenues la norme31.257 liquidations judiciaires (LJ) ont été ouvertes (+47,9%) en 2022 et 8.879 (+44,8%) au cours du quatrième trimestre. Depuis 2020, les LJ concentrent les trois quarts des jugements prononcés contre les deux tiers avant Covid.L’éphémère procédure de traitement de sortie de crise reste anecdotiqueParmi ces procédures, Altares distingue seulement 72 traitements de sortie de crise (PTSC) contre 15 en 2021. Cette nouvelle procédure, qui s’apparente à un redressement judiciaire express, vise à faciliter le rebond des entreprises de moins de vingt salariés en cessation de paiement mais disposant des fonds nécessaires pour payer les créances salariales. En 2021, 11 des PTSC engagées avaient permis l’adoption d’un plan visant à assurer la pérennité de l'entreprise. En 2022, 38 PTSC ont validé un plan d’apurement, 16 ont finalement été converties en redressement judiciaire et/ou en liquidation, tandis qu’il est encore trop tôt pour connaitre l’issue des dossiers ouverts en novembre ou décembre.Le nombre d’emplois menacés repasse au-dessus de la barre des 140.000L’augmentation des défaillances touche toutes les tailles d’entreprises. Cependant, la situation est particulièrement préoccupante pour les PME de 10 à 99 salariés. 3.214 ont défailli en 2022 contre 1.804 en 2021, soit une envolée de +78% sur un an. Le 4e trimestre concentre le tiers de ces défauts (1.037) soit une augmentation de + 93% par rapport à la même période en 2021 (538). Ce quatrième trimestre se clôture sur la plus forte dégradation enregistrée depuis 2014 (1163).Les sociétés les plus grandes ne sont pas épargnées puisque près d’une centaine (95) a fait l’objet d’une procédure. La hausse des procédures sur ce « segment » (+28%) est très en-dessous de la moyenne globale (+50%).Dans ces conditions, le nombre d’emplois menacés bondit. Tombé en 2021 sous le seuil des 100.000, il augmente très nettement et atteint 143.500. C’est près de 50.000 de plus sur un an mais encore 40.000 de moins par rapport à 2019.Les activités B2C sont en première ligne sur le front des défauts, mais le B2B est aussi en tensionConstruction Le secteur de la construction, qui concentre le quart des faillites, repasse au-dessus des 10.000 défauts avec 10.033 procédures ouvertes soit 33,6% de plus qu’en 2021. Une tendance inférieure à la moyenne nationale (+49,9%), portée par le gros œuvre (2.874 ; +22,8%) et en particulier la maçonnerie générale (+22,3%) et la construction individuelle (+20,6%). Le second œuvre en revanche affiche une dégradation rapide (4.932 ; +51,5%). C’est particulièrement le cas dans les travaux d'isolation (+94%) qui retrouvent déjà le niveau des défaillances de 2019 (208). Les travaux publics accusent une hausse de 43,7% en dépit d’une relative résistance des travaux de terrassement courants (+30,7%). C’est la promotion immobilière qui enregistre la meilleure performance (+ 12,4%) tandis que la hausse atteint 41,9% dans les agences immobilières. Commerce Le commerce approche également 10.000 défauts (9 418), en hausse de 55,6%. C’est dans le commerce de détail que les tendances sont les plus sévères notamment dans le multi-rayons (827 ; + 85%) et plus particulièrement en épicerie dont le nombre des défaillances a doublé en 2022 (635) dépassant ainsi déjà largement celui de 2019 (568). Le détail alimentaire (990) est également fragilisé (+76,2%) et plus encore le e-commerce (+ 79%) qui compte désormais plus de défaillances qu’en 2019 (739 contre 543). 20% des commerçants défaillants se situent dans la vente et la réparation de véhicules (1871 ; + 36,7%). Le commerce de gros résiste un peu mieux (1873 ; +30,9%). Services Dans les services aux entreprises (5554), la hausse est limitée à +32,3%. Toutefois, quelques activités accusent des évolutions sévères. C’est notamment le cas de l’ingénierie qui compte désormais plus de défauts qu’en 2019 (598), mais aussi des services d'aménagement paysager qui enregistrent 374 procédures contre 359 en 2019. Dans les services aux particuliers, la fragilité est beaucoup plus marquée. Ils enregistrent 1.911 défaillances, en augmentation de 70,3%. Une dégradation très rapide dans les activités de coiffeurs, soins de beauté et corporels (+87,9%).IndustrieDans le secteur de l’industrie, les défaillances d’entreprises augmentent rapidement (+68%). 3083 procédures ont été ouvertes dont 1314 en agroalimentaire, parmi lesquelles 874 boulangers-pâtissiers (+124,7%).En manufacture, l’imprimerie accuse la dégradation la plus forte (182 ; +65,5%). Les activités de l’énergie, eau et environnement (production d'électricité, eaux usées, déchets) enregistrent une hausse à peine moindre (+ 49%).TransportsPlus d’un millier (1079) de transporteurs de marchandises ont défailli (+60,8%), soit seulement une centaine de moins qu’en 2019. 404 sont des transporteurs interurbains (+58,4%), un nombre désormais très proche de celui constaté en 2019 (415). 612 sont des transporteurs de proximité (+63,6%), ils étaient 693 en 2019.Restauration4434 établissements de restauration ont défailli en 2022, c’est 112,7% de plus qu’en 2021. Sur le dernier trimestre, le rythme ne faiblit pas (+108%).Au cours de l’année 2022, 2473 restaurateurs traditionnels (+ 119,8%) et 1787 établissements de restauration rapide (+109%) sont entrés en procédure ainsi que 803 débits de boisson (+101,3%). L’hébergement résiste mieux (279 ; +23,5%).La résistance des entreprises provençales et franciliennes ralentit la dégradation nationaleUne défaillance sur trois se concentre en Provence-Alpes-Côte-D’azur et Ile-de-France. Dans ces deux régions, la hausse des procédures est contenue sous les 40%, maintenant la tendance nationale sous la barre des +50%.En PACA, 4.493 procédures ont été ouvertes soit une hausse de +37,9% sur un an. Elles sont 9.197 en Ile-de-France (+35,3%). Au quatrième trimestre, le rythme n’accélère pas.Dans trois régions l’augmentation avoisine 50%. Bourgogne-Franche-Comté (+48,6%), Grand-Est (+50,9%) et Pays-de-la-Loire (+51,9%). La première parvient à ramener la hausse à +22% sur le dernier trimestre contrairement au Grand Est où les défauts s’envolent de 67% en fin d’année.Trois autres régions enregistrent des augmentations comprises entre +55% et +60%. Il s’agit de Centre-Val-de-Loire (+55,3%), Nouvelle-Aquitaine (+56,4%) et Auvergne-Rhône-Alpes (+58,4%). Dans chacune de ces régions, la tendance se dégrade encore sur le quatrième trimestre.Dans quatre régions la hausse est comprise entre +60% et +70%. C’est le cas de la Bretagne (+60%), la Normandie (+64,5%), la Corse (+65,8%) et l’Occitanie (+67,9%).Les Hauts-de-France ferment la marche avec un nombre de défaillances qui flambe de +77,1%. A noter toutefois, la région s’inscrit dans une meilleure tendance au 4e trimestre avec une hausse de 37,4%.2023, une année de transition à bien négocierPour Thierry Millon : « Il y a un an, nous rejetions l’hypothèse d’une explosion des défaillances en 2022, en anticipant malgré tout une hausse sensible des défauts. Si le cataclysme n’a pas eu lieu, le rythme est plus soutenu qu’envisagé, faisant craindre un retour aux valeurs d’avant crise plus tôt que prévu. 2019 s’était achevé sur 52.000 défaillances, 2023 pourrait dépasser ce seuil et nous ramener aux valeurs de 2017 au-delà de 55.000. Un nombre certes important mais plutôt raisonnable au regard du contexte très difficile que nous traversons. Pour certaines TPE et PME, les chances de survie sont compromises. Pour certaines, la fragilité de leur structure financière est en cause. Pour d’autres c’est paradoxalement leur incapacité à honorer des carnets de commande pourtant bien remplis qui pourrait les amener au défaut. En cause, les difficultés d’approvisionnement, l’explosion des coûts des matériaux et les problèmes de recrutement. Dans tous les cas, les prêteurs seront plus exigeants et se concentreront sur les sociétés dont les bilans seront les plus solides. Les contraintes financières (remboursement des dettes Covid et notamment PGE ; inflation ; hausse des taux ; facture énergétique, etc.) sont malheureusement vouées à peser toujours plus lourd. Alors que les tensions sur les trésoreries des entreprises se font déjà ressentir, le financement de l’exploitation et donc du BFR (Besoin en Fonds de Roulement) aura à n’en pas douter l’attention des directions financières des TPE PME comme des ETI. »[1] L’Observatoire du Financement des Entreprises (OFE) est présidé par le Médiateur National du Crédit. Rapport sur les fonds propres des TPE et PME - 12 mai 2021 [2] EPRS | European Parliamentary Research Service - Debt-equity bias reduction allowance (DEBRA) - Briefing 04-10-2022[3] Les traitements de sortie de crise (PTSC), nouvelle procédure entrée en vigueur le 18 octobre 2021 qui devrait s’appliquer jusqu’au 1er juin 2023, s’adressent aux entreprises de moins de vingt salariés présentant sur le dernier exercice comptable un total du passif hors capitaux propres inférieur à 3 M€. Ils sont confondus statistiquement avec les redressements judiciaires. Méthodologie : Les statistiques Altares de défaillances d’entreprises comptabilisent l’ensemble des entités légales disposant d’un numéro SIREN (entreprises individuelles, professions libérales, sociétés, associations) et ayant fait l’objet d’un jugement d’ouverture de procédure prononcé par un Tribunal de Commerce ou Judiciaire (ex TGI - TI)Glossaire : La défaillance d’entreprise correspond à l’ouverture d’une procédure de sauvegarde, redressement judiciaire ou liquidation judiciaire directe auprès d’un Tribunal de Commerce ou Judiciaire. Cela concerne aussi les ouvertures après résolution du plan de redressement. En revanche, les statistiques de défaillances ne considèrent ni les procédures amiables (mandat Adhoc ou conciliation) ni les suites d’ouverture (arrêt de plan ou conversion en liquidation).
Il y a 2 ans et 117 jours

La piscine publique en plein air de Garbsen se pare de 200 m² de bois Kebony Clear

La piscine en plein air est bordée de 11 000 m² d'espaces verts. Dans ce cadre de loisirs privilégié se trouvent également un terrain de beach-volley, une aire de jeux pour les enfants, une balançoire, un espace d'escalade de six mètres de haut et une vaste pelouse arborée.La piscine de 745 m² comporte six couloirs de nage, une zone pour les non-nageurs et un espace dédié aux tout-petits. Les parois en acier inoxydable reflètent le soleil et contribuent au chauffage de l'eau, lequel peut être complété avec l'énergie des capteurs solaires.Le bureau d'architectes Lohaus Carl Köhlmos, en charge du projet, a choisi le bois Kebony pour créer plusieurs daybeds et de grandes zones de repos. Développée en Norvège, la technologie pionnière de traitement du bois Kebony consiste à chauffer des résineux d'origine durable avec de l'alcool furfurylique, un produit d'origine agricole, modifiant ainsi le bois pour qu'il acquière les mêmes propriétés que les bois durs tropicaux, avec une empreinte carbone réduite.Respectueux de l'environnement, le bois Kebony nécessite un entretien minimal. Il résiste à une utilisation intensive ainsi qu'aux intempéries et développe une élégante patine gris argenté avec le temps. Toutes ces qualités en ont fait le choix évident pour cet espace de loisir modernisé, environné de nature et susceptible d'accueillir toutes sortes de publics.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical.Les deux sites de production Kebony sont situés à Skien, au sud d'Oslo et à Anvers, en Belgique. La marque dispose de bureaux de vente régionaux en Europe ainsi qu'aux États-Unis.
Il y a 2 ans et 120 jours

Wicona lance la Wicstyle 65 N NG, une nouvelle référence de porte sans rupture thermique

Disponible dès janvier 2023, cette nouvelle référence répond à une forte demande des clients, qui disposent désormais d’une solution pertinente et compétitive leur permettant d’être bien placés dans les appels d’offre. Outre ses performances techniques, complétées par des solutions pare-flamme et retard à l'effraction, elle revendique les mêmes atouts qui guident les développements du gammiste, notamment des grandes dimensions (jusqu’à 3 mètres de haut dans sa version renforcée), l’esthétique de gamme – pour une harmonie totale entre les produits – et la performance environnementale.Conception modulaireLa porte Wicstyle 65 N NG sans rupture thermique relève d’une conception modulaire. Fidèle à la logique less is more qui conduit les développements produits de Wicona depuis plusieurs années, cette nouvelle génération de porte est conçue de façon symétrique avec un profilé mono chambre de 65 mm : les mêmes profilés de châssis peuvent être utilisés pour les ouvertures intérieures et extérieures, les joints, parcloses, profilés de connexion et autres composants sont normalisés. A ce titre, les pièces peuvent être utilisées sur toutes les séries de façades, de fenêtres et de portes Wicona assurant une liberté architecturale et la cohérence de conception. Outre l’unité visuelle, ce concept permet aux fabricants d'optimiser les stocks et les temps de fabrication grâce à la mutualisation des étapes de traitement, des accessoires, et outils et ainsi de gagner en rentabilité.Applications variéesGrâce à cette conception modulaire, la Wicstyle 65 N NG offre des solutions multiples pour un grand nombre d’applications à l’intérieur du bâtiment (porte simple ou double actions, portes renforcées, issues de secours et antipanique). Elle apporte une réponse adaptée aux projets constructifs sans exigence thermique tels que les bâtiments à fort trafic : hôpitaux, musées, aéroports, supermarchés, bâtiments commerciaux ou administratifs, mais convient également à ceux qui sont soumis aux fortes sollicitations, comme les écoles ou les complexes sportifs.Les options comprennent notamment la nature des remplissages (pleins ou vitrés). Une protection antipince doigts est disponible pour les écoles et les crèches. Des solutions PMR (Personnes à Mobilité Réduite) ou de motorisation sont également proposées.Options de sûreté et de sécurité supplémentairesPour protéger les personnes et les biens à l’intérieur du bâtiment, Wicona a mis l’accent sur la sûreté et la sécurité dans la conception du système. Ainsi, il est facile d'équiper la porte Wicstyle 65 N NG standard avec une protection pare-flamme. La porte renforcée peut également être adaptée en une version retard à l’effraction allant jusqu'au niveau RC3. L'isolation acoustique est possible jusqu'à 44 dB pour assurer confort dans les environnements bruyants.Style et esthétique soignésLa gamme de portes Wicstyle 65 N NG propose un large éventail de profilés, dont les masses vues externes varient de 48 à 225 mm. Disponible sur une hauteur jusqu'à 2,7 mètres, en version standard, la porte Wicstyle 65 N NG est déclinée en version grand trafic, et propose une hauteur allant jusqu'à 3 mètres.Grâce à sa construction modulaire, la gamme offre une liberté architecturale et un aspect uniforme pour tous les types d'application. Proposée en finitions anodisé ou thermolaquée, elle peut être équipée de paumelles en applique, à clamer ou cachées ; de têtière filante toute hauteur, de capots dédiés et affleurants et d’accessoires de fermetures parfaitement intégrés pour un design affleurant.La nouvelle poignée Wictouch, en aluminium Hydro CIRCAL 75R, complète l’habillage de la porte et lui confère un style épuré. Les poignées Wictouch et les rosettes sont proposées en finition anodisé naturel, et dans toutes les finitions laquées de l'offre couleurs Wicona pour être assorties ou non aux couleurs de la menuiserie. Elles peuvent, en option, revêtir un traitement aux propriétés antibactériennes et antivirales, offrant ainsi une protection active là où elle est le plus nécessaire (écoles, hôpitaux, installations industrielles, parcs de loisirs, et tous les autres lieux publics où la sécurité des personnes est une priorité).Côté fermetures, de nombreuses variantes et extensions sont disponibles. Par exemple, les serrures 1, 2 ou multipoints avec différentes options : pênes crochets ou pênes crochets à double pêne rond pour une sécurité optimisée, ou pênes demi-tour à cran d'arrêt.Système de porte plus durableConformément à l’engagement de la marque vers une économie circulaire, la Wicstyle 65 N NG est extrudée en Hydro CIRCAL 75R - un aluminium de première qualité fabriqué à partir d'au moins 75% d'aluminium recyclé en fin de vie (déchets post-consommation). Ce matériau a une empreinte carbone parmi les plus faibles au monde : 2,3 kg de CO2 par kilo d'aluminium produit.La porte est également constituée à 95% de matériaux recyclables. C’est un moyen efficace de réduire considérablement l’impact des matériaux sur le cycle de vie d’un bâtiment.
Il y a 2 ans et 122 jours

Stradal lance le DDSelect, une solution de traitement des pollutions des eaux pluviales

Plus performant, le DDSelect répond à l’ensemble des besoins et contraintes des collectivités en matière de lutte contre les pollutions urbaines.Décantation hydrodynamique : une innovation majeureDès 2019, Stradal s’est associé à Hydro International, spécialiste mondial du traitement des pollutions, pour concevoir et fabriquer le First Defense, la première solution de traitement des pollutions des eaux par décantation hydrodynamique, intégrée à une enveloppe béton haute performance. Aujourd’hui, fort de ses 3 années sur le terrain et des retours d’expérience suite à l’installation de plus de 200 décanteurs hydrodynamiques en France, Stradal a conçu une nouvelle génération de décanteurs, le DDSelect.Ce décanteur hydrodynamique innovant cible les Matières En Suspension (MES) grâce à un système de décantation qui traite les particules de taille médiane de 63 μm, avec un abattement supérieur à 80% des MES et de leurs polluants associés.Il est décliné dans une gamme comprenant 12 produits : 6 dimensions et deux niveaux de performance pour coller au plus près aux besoins des collectivités.Le béton bas carbone : un matériau haute performance et plus écologiqueLe DDSelect est intégré dans une enveloppe en béton bas carbone haute performance qui permet une diminution de 30% de l’empreinte écologique par rapport au béton classique. Il assure une parfaite étanchéité et résiste aux sollicitations tout au long de sa durée de vie estimée à plus de 50 ans.Par ailleurs, il est 100% recyclable, et est issu d’une filière de proximité et de matériaux locaux.Ultra compact et dimensionné au plus juste, le décanteur hydrodynamique DDSelect permet une emprise au sol extrêmement réduite. C’est un ouvrage sur-mesure, personnalisable à la demande : angle, diamètre, matériaux, hauteur… Il est ainsi 10 fois moins volumineux qu’un décanteur lamellaire et 30 fois moins qu’un bassin de décantation. Le DDSelect peut s’installer sur un réseau existant, permettant de limiter les travaux, les investissements et de valoriser le patrimoine.Plus d’une centaine de décanteurs DDSelect déjà en opérationAvec des volumes de traitement pouvant aller jusqu’à 1.400 litres d’eau par seconde, le DDSelect permet de prendre en charge des projets de toute taille partout en France. Une vingtaine de références ont déjà été installées dans l’Eurométropole de Strasbourg. Des réalisations sont en cours dans de nombreuses collectivités comme Arcachon et sur le littoral où l’enjeu en matière de traitement et de qualité de l’eau en lien avec l’activité humaine est particulièrement fort.La décantation hydrodynamique pour cibler toutes les pollutionsPour traiter les polluants présents dans les eaux pluviales, une des solutions les plus efficaces2 est la décantation hydrodynamique. Elle associe deux forces : la gravité et la force centrifuge et repose sur le procédé de séparation par effet vortex : un procédé de séparation liquides/solides qui permet une rétention des particules minérales ou organiques les plus fines.Cette technologie permet de traiter à la fois les MES (Matières En Suspension) et leurs micropolluants associés ainsi que les macro-déchets (mégots, canettes, emballages plastiques…).
Il y a 2 ans et 127 jours

Les avantages de la location de bennes pour vos chantiers

Les avantages de louer une benneUn avantage pour vos financesLouer une benne présente plusieurs avantages. La location de ce matériel permet de se débarrasser de grandes quantités de déchets facilement sans avoir à subir les coûts d'achat, d'entretien, de stockage et d'assurance. La location benne en île de france par exemple où l'espace de stockage est limité et coûteux se révèle très intéressante. Ce bénéfice est d'autant plus important si la tâche nécessitant une benne n'est que ponctuelle.Les bennes disponibles sur le marché existent en de nombreuses tailles différentes et différents modèles. Que ce soit une benne ouverte, une benne fermée ou une multibenne, vous n'aurez donc aucun mal à trouver celle dont la capacité convient à vos besoins.Un avantage pour l'environnementDe plus, louer une benne facilite le tri puis le recyclage de vos déchets. Vous pourrez ainsi suivre le processus de valorisation de vos débris qui seront traités dans le respect des normes environnementales. Les déchets pouvant bénéficier d'une seconde vie seront triés tandis que les autres seront transférés à des centres de traitement qui se chargeront de leur gestion.Un avantage pour les professionnels du BTPDans le secteur du BTP et de la construction, les chantiers génèrent régulièrement des déchets de plusieurs types : gravats, débris, etc... Dans ce cas, la location benne à gravats en complément d'une benne pour les autres types de déchets s'avère la solution la moins coûteuse et permet de non seulement respecter ses obligations civiles mais aussi de vous faciliter le travail.Comme il est possible de louer plusieurs bennes pour un chantier et que les sociétés de location proposent des rotations régulières, vous gagnez du temps sur les chantiers et éviter les coûts d'achat du matériel. En bénéficiant de l'expertise des sociétés spécialisées dans ce service, le tri et la collecte de vos déchets de chantier ne sont plus une inquiétude.Un autre intérêt de la location est que vous n'avez pas à vous soucier du transport de la benne. Il est en effet possible de la faire déposer sur le chantier le jour J et de faire appel à un chauffeur pour acheminer les bennes pleines vers les lieux de tri de déchets. Bénéficier de l'expertise d'un chauffeur qualifié vous évitera bien des complications et vous fera gagner beaucoup de temps.Alors pour vous prochains chantiers, n'hésitez plus à faire appel aux services de location de bennes pour vous faciliter la vie.
Il y a 2 ans et 142 jours

Rym Mtibaa, nouvelle directrice des projets chez EndLess

Rym Mtibaa a été nommée directrice des projets chez EndLess. [©EndLess] EndLess annonce la nomination de Rym Mtibaa comme nouvelle directrice des projets. L’entreprise confirme ainsi sa dynamique de croissance. Et son ambition de devenir le partenaire de référence des éco-organismes de la Rep PMCB. En effet, Endless propose des solutions de collecte et de valorisation de tous les déchets de chantier. Elle est issue du groupe Big Bag’n Go x SOS Bennes.  « Cette filière naissante nous amène à nous réinventer et nécessite la création de méthodes, d’outils et de nouvelles pratiques concertées avec la profession. Ce recrutement est un signal fort envoyé au secteur qu’une bascule est en train de s’opérer, déclare Thibaut d’Hau Decuypere, directeur général d’EndLess. Et de poursuivre : « Les acteurs de la gestion des déchets s’entourent de compétences en lien avec la Rep, au même titre que les acteurs de la Rep s’entourent d’experts de la gestion des déchets ». Les missions de Rym Mtibaa Ainsi, Rym Mtibaa contribuera à la transformation du groupe. Interlocutrice des éco-organismes de la filière Rep PMCB. Elle aura pour mission de trouver des solutions opérationnelles au sujet d’innovations. Telles que la logistique des flux triés sur les chantiers, la mise en œuvre de la reprise gratuite, la traçabilité des déchets… qui répondra aux standards de la filière. « La Rep vient donner un cadre à une dynamique déjà présente. C’est le résultat d’une prise de conscience du sujet qui est en œuvre depuis fort longtemps. Elle apporte aux acteurs des garanties, en termes de volumes de déchets et de reprise. Cela leur permet d’investir dans les transformations nécessaires. Une dynamique dans laquelle les gestionnaires de déchets vont jouer un rôle déterminant pour la réussite de cette filière », commente Rym Mtibaa, la nouvelle directrice des projets EndLess. Avant de compléter : « Rejoindre EndLess aujourd’hui, c’est rejoindre un acteur clef de cette transformation. Le maillon entre la chaîne amont, c’est-à-dire les entreprises du bâtiment, les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’œuvre… Et la chaîne aval, constituée des éco-organismes, des préparateurs matières, des industriels… Nous sommes l’acteur en contact direct des chantiers, de leurs besoins, de leur quotidien. Notre mission est d’apporter des solutions accessibles, qui intègrent les exigences des filières. Nous sommes les garants, auprès de ces dernières, de la qualité des flux qui leur seront transmis ». Lire aussi : Big Bag’n Go devient EndLess Le parcours de Rym Mtibaa Diplômée d’un master des Métiers des études, du conseil et de l’intervention de l’université Paris 7 Denis Diderot, Rym Mtibaa a débuté sa carrière au sein l’institut Cemagref. Là, elle était chargée d’études technico-économiques sur les installations de traitement des déchets durant 5 ans. Puis, elle a occupé un poste au conseil régional d’Ile-de-France, où elle s’occupait de la planification régionale de la prévention et de la gestion des déchets de chantier du BTP. Par la suite, elle a travaillé au sein de l’éco-organisme Ecosystem en qualité de directrice des projets, où elle a mis en place et coordonné la plate-forme collaborative Démoclès. En 2021, elle a intégré l’éco-organisme Eco-mobiler, pour l’élaboration de la demande d’agréments dans le cadre de la candidature de la Rep PMCB. Femme engagée, Rym Mtibaa s’est toujours investie dans le secteur de la gestion des déchets pour faire bouger les lignes. Un engagement profond pour l’économie circulaire en adéquation avec les valeurs d’EndLess. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 143 jours

Le CSTB crée la direction Économie et Ressources, confiée à Sylvain Laurenceau

La direction opérationnelle Économie et Ressources Le secteur de la construction doit répondre à de nouveaux enjeux : accélération des dynamiques pour limiter les impacts environnementaux et développer l’économie circulaire, sécurisation des approvisionnements, besoin de création de valeur locale...Le CSTB crée une entité dédiée à ces défis : la direction Économie et Ressources. Fondée sur une approche systémique, cette nouvelle direction concentre son activité sur deux fondamentaux qui sous-tendent les différentes mutations en cours du secteur de la construction : la disponibilité de ressources permettant d’alimenter l’activité, et l’existence de modèles économiques pérennes.Elle assoit son expertise sur l'analyse et l'accompagnement des solutions constructives liées à l'économie circulaire, l'analyse des modèles économiques, les dynamiques de parc et la prospective, ainsi que le développement de méthodes et outils pour accompagner les acteurs dans la prise en compte de ces nouvelles pratiques.S’appuyant sur une dominante Recherche et Expertise, la direction Économie et Ressources intègre une équipe de près de 30 chercheurs, ingénieurs et économistes. En synergie avec la plupart des autres directions du CSTB, ils travailleront sur les 3 échelles :Produits : intégration des matières recyclées, réemploi, traitement des déchets, accompagnement à l’innovation, caractérisation de l’écoconception, etc.Bâtiments : optimisation de l’analyse en coût global, analyse des externalités, anticipation des différents usages tout au long de la vie de l’ouvrage, conception des bâtiments en banques de matière, outils d’analyse de la circularité, etc.Territoires : analyse des flux de matières, analyse de la structuration des filières, dont les filières émergentes, dynamiques de parc, analyse prospective, accompagnement des politiques publiques, optimisation de l’équilibre entre tensions locales et globales et répartition de la valeur, etc.Ainsi organisée, la direction Economie et Ressources entend accompagner l’ensemble des acteurs, entreprises et maîtres d’ouvrages, industriels et institutionnels, mais aussi les pouvoirs publics, pour leur permettre de répondre au mieux aux enjeux de préservation des ressources et d’une économie circulaire, pérenne et vertueuse.Une nouvelle direction pilotée par Sylvain LaurenceauIngénieur économiste, Sylvain Laurenceau est diplômé de l’École Polytechnique et de la London School of Economics.Il débute sa carrière à Londres, en 2007, où il travaille sur le développement local, avant de rejoindre le CSTB en 2009. Au sein de la direction Économie et Sciences Humaines, il est en charge de l’analyse et de l’évaluation de différents dispositifs publics de soutien au secteur du bâtiment.En 2015, il intègre la direction Energie-Environnement. En 2018, il coordonne l’élaboration d’une feuille de route du CSTB autour de l’économie circulaire, puis constitue en 2020 une équipe dédiée, toujours au sein de la direction Energie-Environnement.Fort de ce parcours et de cette expertise, il est aujourd’hui nommé Directeur opérationnel Économie et Ressources :« La création de la direction Économie et Ressources s’inscrit dans un contexte de mutations profondes auxquelles toute la filière est confrontée. Les travaux que nous mènerons, tant en termes de recherche, que d’expertise technique et d’accompagnement de l’innovation, viseront à répondre aux nouveaux besoins ainsi induits. Menés dans une approche transversale, ils contribueront également à irriguer une large partie des activités du CSTB, au service du secteur de la construction. » Sylvain Laurenceau – Directeur opérationnel Économie et Ressources - CSTB
Il y a 2 ans et 149 jours

Le SFIC dénonce les dégradations contre les cimenteries et réaffirme son engagement en faveur de la décarbonation

Le SFIC alerte sur les graves conséquences qui découlent de ces actes et en appelle aux autorités compétentes pour qu’elles considèrent avec la plus grand fermeté ces agissements qui doivent être condamnés. Le SFIC entend rappeler que l’industrie cimentière est un acteur majeur de l’économie circulaire au service des territoires. Plus de 1,5 million de tonnes de déchets sont valorisés chaque année au sein des 25 cimenteries implantées au cœur des territoires ; plus de 1,8 million de tonnes de CO² d’origine fossile sont économisés et plus de 0,6 million de tonnes de ressources naturelles sont préservées grâce à cette double valorisation, matière et énergie, des déchets dans le procédé cimentier. Pour certains déchets, qui ne peuvent être réemployés ou recyclés, l’industrie cimentière évite les mises en décharge sauvage, et est la meilleure solution de valorisation. L’industrie cimentière est ainsi au cœur d’une filière nationale et locale de traitement des déchets comme combustibles de substitution. Cette valorisation contribue au maintien de notre souveraineté énergétique en limitant l’importation de combustibles fossiles. L’industrie cimentière représente plus de 4 500 salariés directs localisés pour la plupart en zones rurales ou dites périphériques, et 20 000 salariés correspondant à de la sous-traitance et à un réseau de fournisseurs le plus souvent locaux. L’ensemble des salariés du secteur se mobilise au quotidien pour atteindre les objectifs de décarbonation de la filière. L’engagement pour une transition écologique, juste et réaliste, ne peut être synonyme d’actions violentes contre les biens et les personnes. La baisse des émissions de carbone de l’industrie cimentière est un processus continu dans lequel les professionnels du secteur sont fortement engagés. Les efforts fournis ont déjà permis de réduire l’impact de plus de 40% entre 1990 et 2015. Avec les innovations en cours et à venir, avec des investissements de plusieurs centaines de millions par an pour activer les différents leviers afin de réduire ses émissions, le secteur accélère, avec le soutien des pouvoirs publics, sa trajectoire de décarbonation, pour une industrie en France, au service de la construction décarbonée.
Il y a 2 ans et 150 jours

Lafarge La Malle malmenée par des militants écologistes

La cimenterie Lafarge de La Malle (13) a été victime d’une attaque opérée par des militants écologistes. [©Holcim]. Samedi 10 décembre 2022, la cimenterie de La Malle, implantée à Bouc-Bel-Air (13), a été victime d’une attaque opérée par des militants écologistes. Ceux-ci reprochent l’impact sur le climat de cette usine. De son côté, Lafarge fait part de son incompréhension : « S’attaquer au leader de la décarbonation des matériaux de construction revient à attaquer tous les acteurs de l’industrie mobilisés dans notre pays en faveur de la transition écologique, déclare Loïc Leuliette, porte-parole de Lafarge. A l’heure de la réindustrialisation de la France, cette attaque est d’autant plus regrettable au regard de l’implication de notre entreprise dans les territoires. » Un site exemplaire en matière de transition écologique Lire aussi : L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse En effet, le site de La Malle Bouc-Bel-Air du groupe Lafarge est un modèle français et européen dans la production de matériaux de construction bas carbone. A l’heure actuelle, il mène deux projets lauréats du fonds décarbonation de France Relance. Tout d’abord, la “Formulation bas carbone”, qui vise à la production pérenne de l’argile calcinée pour des ciments innovants et bas carbone. Ensuite, “l’Energie décarbonée”, qui est un atelier de traitement pour le recyclage de biomasse issue de “fines de bois”. Cette ressource est ensuite utilisée comme combustibles alternatifs décarbonés pour les opérations de production. Le Sfic au soutien de Lafarge Pour sa part, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) a apporté son soutien à Lafarge. Il a dénoncé l’attaque avant de rappeler l’importance de l’industrie cimentière pour l’économie circulaire. Chaque année, ce sont plus de 1,5 Mt de déchets qui sont valorisés dans les 25 cimenteries françaises. Et quelque 1,8 Mt de CO2 d’origine fossile sont ainsi économisés. L’industrie cimentière française représente 25 000 emplois, le plus souvent locaux. Le Sfic met en lumière les efforts fournis par la filière en matière de transition écologique. Il a assuré son soutien à tous ses adhérents, dont l’usine de La Malle fait partie. De son côté, Lafarge a déposé une plainte. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

L'enseigne Bricoman rejoint l'éco-organisme Valobat

Actuellement, le gisement de déchets du bâtiment représente environ 46 millions de tonnes de déchets par an en France soit l’équivalent de la quantité totale des déchets annuelle des ménages français. Par comparaison, la filière REP ou Responsabilité Élargie du Producteur des emballages ménagers représente environ 5 millions de tonnes de déchets produits annuellement.L’entrée en vigueur à partir du 1er janvier 2023 de la REP impose à toutes les entités responsables de la mise sur le marché français de produits ou matériaux du bâtiment de financer ou d’organiser la prévention et la gestion des déchets issus de leurs produits et matériaux en fin de vie.Chaque année, c’est environ 2 millions de tonnes de CO2 qui pourraient être évitées grâce à une meilleure gestion des déchets du bâtiment tout en participant à la diminution des dépôts sauvages.Ainsi et conformément à la réglementation qui vise à accélérer l’économie circulaire dans le secteur du bâtiment, Bricoman à fait le choix de s’associer à Valobat, l’éco-organisme créé par et pour les acteurs du bâtiment et pour assurer toute la chaîne de collecte, traitement et recyclage des déchets.Ce service de reprise des déchets sera mis en place courant 2023 dans 23 des 38 magasins Bricoman pouvant accueillir les bennes de collectes. Les 15 magasins1 ne pouvant pas installer de dispositif sur leur site proposeront un partenaire de collecte à moins d’un kilomètre.Comment est financé ce nouveau service ?La collecte est financée par une éco-contribution payée par les industriels fabricants, distributeurs ou importateurs de produits et matériaux de construction. Les Clients et non clients de l’enseigne, qu’ils soient professionnels du bâtiment ou particuliers pourront se rendre chez Bricoman pour déposer gratuitement leurs déchets triés du bâtiment.Des zones de tri seront ainsi implantées sur les parkings de nos magasins pour collecter les déchets suivants : métal, plastique, verre, gravats, bois, fractions minérales et de plâtre. Les modalités d’accès et horaires d’accueil de ces zones de reprise des déchets restent à définir pour proposer le service le plus utile et adapté à nos clients.1Selon faisabilité des magasins : surface de vente, implantation sur une zone commerciale avec parking mutualisé.
Il y a 2 ans et 165 jours

Recyclage : Ecominéro affiche son barème pour 2023

Le montant de l’éco-contribution pour les granulats, y compris de recyclage est de 0,22€ HT/t pour Ecominéro. [©Ecominéro] Le barème d’éco-contribution 2023 établi par Ecominéro1 vient de tomber ! Les tarifs proposés permettent de financer les besoins de collecte et de traitement des déchets au démarrage de la Rep PMCB2. Ainsi pour l’année prochaine, l’éco-organisme voit sa participation s’élever à 0,22€ HT/t pour les granulats. Et compte, de ce fait, assurer la collecte d’environ 22 Mt de déchets inertes du bâtiment. Une seconde vie leur sera proposée, grâce au réemploi, au recyclage ou à la valorisation. « Pour nous, l’important est de respecter la trajectoire financière que nous avons tracée pour remplir les obligations environnementales qui pèsent sur la filière du BTP, déclare François Demeure Dit Latte, directeur général d’Ecominéro. Ceci, tout en accompagnant les entreprises dans la mise en place opérationnelle de la Rep. » Lire aussi : Les barèmes d’éco-contribution changent du simple au double… Assurer la transparence des financements de la filière L’un de ses objectifs est de valoriser, à l’horizon 2028, plus de 90 % des déchets inertes issus des chantiers de construction, rénovation et démolition. Via son site Internet, la campagne d’adhésion a été lancée auprès des fabricants, distributeurs et importateurs de produits de construction. Plus d’une centaine de contrats ont été signés en une semaine ! Ecominéro fait partie des 4 éco-organismes qui ont été choisis par le coordinateur agréé de la Rep pour permettre une meilleure transparence sur le financement et les stratégies de collecte des déchets. 1Eco-organisme de la filière minérale. 2Responsabilité élargie des producteurs (Rep) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 169 jours

La Réunion : Deux bétonniers mobilisés pour le projet Run’Eva

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Le projet Run’Eva vise à traiter 145 000 t/an de déchets ménagers des Réunionnais. [©Spie Batignolles] Sur l’île de La Réunion, l’entité Ileva est en charge du traitement des déchets. Toutefois, l’enfouissement reste la solution par défaut. Ainsi, en 2018, ce sont 227 000 t qui ont été déversées dans les décharges de la perle de l’océan Indien. Sachant qu’à lui seul, le site de Pierrefonds, qui en stocke les deux tiers, arrive à saturation… Conscient que cette technique de gestion, non pérenne, n’est plus en adéquation avec les inspirations écologiques, tant de l’île que de la planète, Ilvea a lancé les travaux de construction d’une unité de traitement des déchets. Nommée Run’Eva, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 169 jours

Biogaz : quand crottin et déchets agricoles alimentent l'indépendance énergétique

Entourées de champs de céréales, des cuves géantes coiffées de dômes de plastique abritent un processus discret: la transformation de milliers de tonnes de déchets organiques en biogaz, qui alimentera le réseau de gaz et contribuera à chauffer une demi-douzaine de communes environnantes.Ici, chaque année, 25.000 tonnes de matières, dont des poussières de céréales, du crottin de cheval et des déchets alimentaires... sont ainsi "valorisées", selon le terme usité."Le biogaz est issu de la dégradation de la matière organique par un régime bactérien en l'absence d'oxygène", explique Arnaud Bossis, directeur général de CVE Biogaz, qui gère l'usine d'Equimeth, à Moret-Loing-et-Orvanne, en Seine-et-Marne.Le biogaz est ensuite pré-traité "pour en retirer uniquement la molécule de méthane", alors injectée dans le réseau gazier, explique M. Bossis.Pour en arriver là, les matières sont d'abord broyées et liquéfiées, pour rejoindre "des cuves d'hygiénisation", où leur "pasteurisation, à 70°C pendant une heure, permet un traitement sanitaire".Le flux est ensuite transféré vers le processus de méthanisation, et brassé pendant 20 jours dans une cuve, puis une quarantaine de jours dans une deuxième, à 38°C.Le gaz ainsi produit est alors aspiré en direction de l'unité d'épuration. Dans ce petit container vert, il "est analysé, odorisé", avant d'être injecté dans le réseau de distribution de gaz, couvrant ainsi "15% des besoins de la population et des activités" alentour, notamment pour le chauffage et des véhicules (bioGNV), décrit Arnaud Bossis.Nuisances olfactives"Dans le contexte de pénurie et de raréfaction du gaz russe, on est vraiment content d'avoir du biométhane en France", dit à l'AFP Thierry Trouvé, directeur général du gestionnaire du réseau gazier français GRTGaz."Renouvelable" puisque non fossile, ce gaz vert réduit de 80% les émissions de gaz à effet de serre par rapport au gaz naturel, selon le cabinet Carbone 4.Pour autant, cette catégorie ne représente que 2% de la consommation de gaz de la France. L'Etat vise 10% en 2030 et le secteur estime pouvoir atteindre 20%, plaidant aussi les services rendus: emplois, revenu agricole pour les sites adossés à des exploitations, résidu fertilisant, etc..Des externalités positives à prendre en compte pour M. Bossis, qui évoque un coût de production relativement élevé du biométhane, de l'ordre de 90 euros le mégawattheure - mais désormais un peu moins que les prix actuels du gaz naturel en Europe, qui ont beaucoup augmenté depuis un an.Principale critique contre ces usines: les nuisances olfactives potentielles pour les riverains. Mais les quelques épisodes de ce type signalés par des habitants sont essentiellement "liés aux campagnes d'épandage" des engrais également produits sur le site, selon Olivier Théo, conseiller municipal à Moret-Loing-et-Orvanne.La mise en place d'un comité de suivi a permis de faire remonter rapidement les témoignages de riverains incommodés au printemps 2022, dans une des communes et de parvenir à un accord avec le maire "pour essayer de ne pas épandre dans les parcelles les plus proches des habitations" et faire en sorte que les camions d'engrais ne passent pas dans le centre de la commune, a assuré l'élu.On pourrait "parvenir à une capacité de production de 60 térawattheures par an d'ici 2030, ce qui couvrirait deux tiers de ce qu'on importait de Russie avant le conflit", ajoute M. Trouvé.GRTGaz va jusqu'à estimer que d'ici 2050, la France pourrait bénéficier d'une indépendance gazière totale, sans toucher au potentiel agricole à destination de l'alimentation des Français, par le recyclage des matières et des déchets agricoles."Le secteur du biométhane en France connaît la croissance la plus rapide d'Europe", renchérit la European Biogas Association (EBA), lobby du biogaz à Bruxelles, qui estime que la France pourrait devenir à l'horizon 2030 le deuxième producteur du continent.Un millier de projets pourraient voir le jour d'ici 2025, selon l'EBA.Ce développement devrait être favorisé par une disposition de la loi Anti-gaspillage (Agec), qui prévoit que tous les particuliers disposent d'une solution pratique de tri de leurs biodéchets dès le 1er janvier 2024.
Il y a 2 ans et 179 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à – 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ™. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 184 jours

Moselle : l’Eurométropole de Metz et les intercommunalités du nord Mosellan réorganisent leur mode de gestion des déchets

L’Eurométropole de Metz et les intercommunalités du nord Mosellan se sont concertées sur l’amélioration du traitement des déchets dans...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 190 jours

Veolia signe un accord à Abu Dhabi pour traiter les déchets de l'industrie pétroliere

Aucun chiffre officiel n'a été dévoilé mais selon une estimation d'expert, le contrat représente un milliard d'euros de chiffre d'affaires sur 30 ans pour la société qui va exploiter deux centres de déchets dans ce complexe d'Al Ruways, d'une capacité annuelle cumulée d'environ 70.000 tonnes.Le groupe français, en consortium (à 50,1%) avec la holding saoudienne Vision Invest et la société d'investissement basée à Abu Dhabi ADQ (24,95% respectivement), a signé un contrat d'acquisition de ces deux usines de traitement des déchets auprès d'ADNOC Refining.A partir de 2023, il pilotera ainsi la gestion des déchets de la plus grande raffinerie du Moyen-Orient, et quatrième plus grande au monde, qui traite plus de 900.000 barils de brut et condensat chaque jour."Accompagnant ADNOC dans sa transformation écologique", le numéro un mondial des services à l'environnement doit notamment maximiser la récupération des ressources (eau et pétrole) à partir des déchets de l'industrie pétrolière et gazière, pour les réutiliser sur des sites industriels à proximité. Un programme d'énergies renouvelables (récupération de chaleur et photovoltaïque) est aussi prévu.Traiter ces déchets est "un facteur clé pour protéger la ressource en eau, et la qualité de l'air", souligne la directrice générale de Veolia, Estelle Brachlianoff. Outre les déchets de la raffinerie, le site devrait aussi traiter les boues de forage issues des puits de pétrole, et Veolia espère peu à peu ouvrir son activité par exemple au port voisin.Pour le groupe, il s'agit d'un accord "historique", qui fera plus que doubler son activité de déchets dangereux au Moyen-Orient.Veolia affiche dans cette zone "des ambitions sur tous ses segments", qu'il s'agisse de dessalement de l'eau de mer, de traitement de déchets dangereux ou d'efficacité énergétique des bâtiments, explique à l'AFP Mme Brachlianoff. "Car cette région se donne des objectifs de transition écologique, elle a besoin de nos services, et d'ailleurs beaucoup de clients viennent nous voir", explique-t-elle.L'activité du traitement des déchets dangereux, à forte valeur ajoutée, est aussi un axe de développement de Veolia partout dans le monde. Le groupe devrait ainsi tenir son objectif de doubler en quatre ans son chiffre d'affaires sur ce segment, à 4 milliards d'euros à fin 2023.
Il y a 2 ans et 200 jours

Lames et profil brise-soleil à base de matériaux naturels

TELLIER BRISE-SOLEIL spécialiste de la conception de brise-soleil architecturaux à lames fixes ou orientables, de stores à lames orientables de type BSO, de lames décoratives, de cadres d’entourage de baie, de bardages à ventelles, de grilles de ventilation, de brise-vue et de volets pliants ou coulissants. Composés majoritairement de lames en aluminium, l’entreprise poursuit le développement de son offre avec de nouvelles lames et un profil à base de matériaux naturels 100% recyclables pour offrir de nouvelles finitions aux façades des bâtiments avec un caractère plus naturel. Les trois nouvelles gammes éco-conçues, LORYZA (lame), MOSO (lame) et NEOLIFE (lame et profil), se destinent aux volets pliants-coulissants ou fixes, aux claustras et aux brise-soleil fixes. Elles sont disponibles sur mesure, selon les besoins des chantiers. La lame LORYZA est un produit totalement innovant par sa conception bi-matériaux. Composé de cosse de riz et de PVC 100% recyclable, la nouvelle lame dispose d’une excellente stabilité dans le temps. La lame MOSO est entièrement composée de bambou, elle est proposée en différentes sections avec une longueur maximale de 5 800 mm et pouvant être installée bout à bout sur les façades. Conçue selon un procédé unique de thermo-traitement, la lame est constituée de lamelles de bambou hautement comprimées. Ce procédé permet d’obtenir une lame parfaitement résistante dans le temps sans traitement chimique. NEOLIFE est disponible en lames (modèle Shadow) et en profils creux (modèle Space). TELLIER BRISE-SOLEIL propose ici des lames décoratives éco-conçues selon le procédé VESTA® (Vegetal Ecological Stable Timber Advantage) avec des matériaux biosourcés et, de facto, 100% recyclable. Le process VESTA® permet d’obtenir des matériaux contenant un taux élevé de fibres de bois – de plus de 70 % – provenant des déchets de scieries dont la matière première est issue de forêts européennes gérées durablement. Par conséquent, la fabrication de la lame et du profil NEOLIFE ne nécessite aucun abattage d’arbre. Cet article Lames et profil brise-soleil à base de matériaux naturels est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 206 jours

SWAO, la menuiserie multi-matériaux, la liberté de tout choisir

Le positionnement marchéChoix, conseil, pose des menuiseries, SWAO se positionne comme un facilitateur pour le client qu’elle accompagne de bout en bout. Celui-ci est principalement orienté vers le professionnel : artisans, constructeurs de maisons individuelles. SWAO touche aussi bien les besoins des primo accédants que le segment haut de gamme. Ses portes et fenêtres standards ou sur mesure sont conçues pour s’intégrer en neuf comme en rénovation. Engagée, SWAO défend l’innovation et la qualité française de ses produits, comme le démontrent les labels Origine France Garantie et label fenêtre alu. Swao est également le mécène de l’association Toit à moi qui défend l’accès au logement pour les personnes les plus défavorisées. La marque contribue au fonctionnement de l’association en reversant 50 cts d’euros à cette dernière pour chaque menuiserie vendue ainsi que des participations à la rénovation des appartements...Les points fortsComme un « couteau suisse » de la menuiserie, SWAO couvre tous les besoins en menuiseries extérieures. Pour cela, la marque mise sur une offre de portes d’entrées en multiples matériaux : Acier, Aluminium, Mixte, PVC (intérieur bois/extérieur aluminium) et Bois.Pour une offre vraiment complète, SWAO propose aussi des portes de garage coordonnées. Côté fenêtres, 3 gammes PVC et les volants roulants associés (traditionnels, à lames orientables, solaire) et 2 aluminium (Optimoalu et Ouvrant discret) composent le catalogue.Parmi ses innovations, SWAO fait évoluer sa gamme aluminium Ouvrant discret en 2022 pour gagner en clair de vitrage, design et qualités thermiques (présenté sur le salon), une solution qui combine les avantages de l’ouvrant visible et l’ouvrant caché. Cette exclusivité optimise l’apport lumineux tout en offrant un produit esthétique. SWAO a également conçu un coulissant ALU doté d’une chicane au design exclusif et d’une poignée ergonomique.Facile à poser, elle est également totalement compatible avec I-Secure, le système de maison connectée développé par Swao.Les chiffres clésSWAO, des modèles qui font consensusAnthony DURAND, Design manager du groupe CETIH : « SWAO est une marque située dans une forme de neutralité. Elle est très orientée sur le service et la technologie. Ses modèles de portes ont une tonalité organique, les formes tout en rondeur. Les produits sont consensuels, faciles à comprendre et à identifier ».Les nouveautés 2022Pour accompagner la progression des besoins sur le marché des produits connectés et répondre aux questions de confort et de sécurité, SWAO propose I-SECURE. Ce capteur de position autonome et invisible est intégré dans l’ouvrant de la menuiserie et permet ainsi d’en connaître en permanence la position : verrouillé, en aération, ventilé. I-SECURE a été développé en partenariat avec FERCO, fabricant de ferrures et serrures et avec Delta Dore.Le capteur est aussi compatible avec la box TYDOM pour contrôler les accès et sécuriser le domicile à distance.À compter du 1er/01/2022 une nouvelle filière « Responsabilité Elargie du Producteur » (REP) sera créée pour les produits et matériaux de construction du Bâtiment. Elle vise à responsabiliser les émetteurs sur le marché de produits ou matériaux de construction sur la gestion des déchets en versant une éco contribution.Dès 2019, CETIH pour sa marque SWAO a signé la charte d'engagement volontaire pour le recyclage des menuiseries en fin de vie et s'engage dans la marque FERVAM (Filière Engagée pour le Recyclage et la Valorisation des menuiseries).Cette charte vise à promouvoir les bonnes pratiques nécessaires à la maitrise de la qualité de collecte et de traitement des déchets de menuiseries, et à informer sur les moyens existants pour une valorisation la plus vertueuse que possible.