Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour zac paris

(208 résultats)
Il y a 1 ans et 25 jours

Dominique Zaccagnino est élu Président de l’Office du Bâtiment Grand Paris

L’Office du Bâtiment Grand Paris (OBGP) a été créée en 2018 par la Fédération Française du Bâtiment Grand Paris Ile-de-France et l’Union Nationale des Syndicats Français des Architectes, dans le but de faciliter les échanges entre les entrepreneurs du Bâtiment et les architectes. Dominique Zaccagnino, administrateur à la FFB Grand Paris IDF, a été élu Président de l’OBGP le 16 mai 2024 pour 3 ans et succède ainsi à François Pelegrin, architecte.
Il y a 1 ans et 48 jours

Là où la ville change, par Alexis Paoli

La transformation de la ville n’est jamais qu’une promesse enfermée de palissades. Que reste-il d’un quartier quand tous ses habitants sont partis ? Récit du photographe Alexis Paoli. Dans l’album de mes souvenirs d’enfant, les paysages urbains le long des quais de Seine, entre Saint-Cloud, Sèvres, Meudon, Issy-les-Moulineaux et Paris figurent en bonne place. Ce trajet […] L’article Là où la ville change, par Alexis Paoli est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 56 jours

Philippon-Kalt, Architectes-Urbanistes : plasticité, aménité

La galerie d’architecture à Paris présente l’exposition Philippon-Kalt, Architectes-Urbanistes. Plasticité ? aménité ? Jusqu’au 4 mai 2024. Depuis 20 ans, Brigitte Philippon et Jean Kalt portent à toutes les échelles de projet, urbaine, architecturale et design, les préceptes d’une exemplarité emblématique pour la Ville de demain. Les enjeux environnementaux et sociaux leur offrent l’opportunité de développer des […] L’article Philippon-Kalt, Architectes-Urbanistes : plasticité, aménité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 82 jours

Intervenir ‘a minima’ : DATA Architectes

Tout juste diplômés, l’un de l’ENSA Versailles et l’autre de Paris-La Villette, Colin Reynier et Léonard Lassagne  se rencontrent en 2006 dans l’atelier de Christian Hauvette. Une première collaboration les rassemble alors sur le projet de résidence étudiante de la ZAC de Rungis à Paris. En 2010, les deux architectes fondent ensemble à Paris l’agence DATA. Suivra le […] L’article Intervenir ‘a minima’ : DATA Architectes est apparu en premier sur Archi.
Il y a 1 ans et 84 jours

À Paris, 38 logements tout bois signés Philippon-Kalt

ZAC Paul Bourget, à Paris (XIIIe), pour Elogie – Siemp maître d’ouvrage, l’agence Philippon-Kalt (Brigitte Philippon et Jean Kalt) a livré en 2023 la réalisation de 38 logements en locatif social intermédiaire. Surface totale parcelle : 859 m². Surface totale bâtiment : 2 250 m² SP. « La volonté première était d’affirmer le bois pour […] L’article À Paris, 38 logements tout bois signés Philippon-Kalt est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 132 jours

Le Nudge de la ZAC Rive Gauche à Paris, coup de pouce pour le bois

Les agences Catherine Dormoy et AAVP signent un immeuble de 132 logements qui monte à 37 m au-dessus des rails et consomme 7500 m³ de bois. Photo: Vincent Parreira d'AAVP, chef d'orchestre du Nudge avec Catherine Dormoy.
Il y a 1 ans et 248 jours

À Paris, aménagement d’un ensemble commercial par croixmariebourdon

L’agence croixmariebourdon architectes associés (Thomas Bourdon et Nicolas Croixmarie) a livré en 2021 à Paris (XIIIe), pour la SEMAPA maître d’ouvrage, la transformation d’entrepôts ferroviaires en 12 locaux commerciaux et locaux de service. Surface : SPC 1592 m². Travaux : 3,4 M€ HT. Communiqué. Un nouveau contexte urbain La Halle Freyssinet, située au cœur de la Zac […] L’article À Paris, aménagement d’un ensemble commercial par croixmariebourdon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 363 jours

À Paris, îlot Fulton, 115 logements signés Prego Architectures parés pour l’avenir

ZAC Paris Rive Gauche (XIIIe arrondissement), îlot Fulton, Ignacio Prego Architectures (Ignacio Prego et Rémi Souleau) a livré en septembre 2022, pour ICF Habitat La Sablière maître d’ouvrage, un programme comptant 115 logements sociaux, une crèche de 45 berceaux et un parking de 48 places. Surface : 9 987m². Coût : 21 M €. Communiqué. Aujourd’hui, le […] L’article À Paris, îlot Fulton, 115 logements signés Prego Architectures parés pour l’avenir est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 363 jours

À Paris, îlot Fulton, 120 logements signés AFJA qui ne laissent pas de marbre

ZAC Paris Rive Gauche (XIIIe arrondissement), îlot Fulton, Anne-Françoise Jumeau Architectes (AFJA / Périphériques) a livré en avril 2023, pour ICF Habitat La Sablière maître d’ouvrage, un programme de 120 logements sociaux et intermédiaires, deux commerces et parking. Surface 8 232m² SDP.  Coût : 21 M€ HT. Communiqué. Situé en bord de Seine, le site s’inscrit […] L’article À Paris, îlot Fulton, 120 logements signés AFJA qui ne laissent pas de marbre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 13 jours

Zac Saint-Vincent de Paul, à Paris : Cogedim jette l'éponge

PROJETS URBAINS. L'aménageur Paris & Métropole Aménagement a repris contact avec les groupements éconduits lors de la consultation d'origine, après l'abandon de Cogedim, lauréat de deux lots sur le projet de nouveau quartier sur le site d'un hôpital désaffecté. Les deux parties s'expliquent sur ce retrait.
Il y a 2 ans et 118 jours

Brenac & Gonzalez pour le Pôle éducatif Grande Prairie à Rennes

En 2021, l’agence parisienne Brenac & Gonzalez & Associés a livré le Pôle éducatif de Grande Prairie (6 120 m² – 19 M€) pour la ville de Rennes (Ille-et-Vilaine). Le groupe scolaire, la crèche et le pôle sportif sont situés ZAC de la Courrouze, une vaste opération de renouvellement urbain dont l’enjeu est d’offrir une […] L’article Brenac & Gonzalez pour le Pôle éducatif Grande Prairie à Rennes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 261 jours

Une filière de recyclage de terre excavée en terre végétale créée pour la première fois en Ile-de-France

Créée par un ancien cadre dirigeant de Suez, Terre Utile propose une solution d’économie circulaire au problème du décapage intensif de la terre végétale en région, qui vient alimenter chaque jour les projets paysagers en Ile-de-France.A partir de terre excavée de chantier, qui termine souvent transportée en décharge pour un bilan carbone élevé, Terre Utile s’est associée au bureau d’étude Microhumus pour recréer sur des plateformes à proximité des chantiers une terre végétale NFU 44-551, livrée avec une fiche technique de 15 points d’évaluation.Lauréate en juin de l’appel à projet de la Société du Grand Paris dans la catégorie « des nouvelles pistes d’économie circulaire », Terre Utile a terminé courant 2022 sa première production de terre recyclée en Seine Saint Denis, à partir de la terre excavée d’un chantier du bailleur Seine Saint Denis Habitat. Cette terre végétale recyclée a permis d’économiser en moyenne 5,5 kg de carbone par m3 de terre végétale.Depuis août 2022, la terre végétale recyclée Terre Utile a également été mise en place sur le chantier d’occupation transitoire de la ZAC Python Duvernois, dans le 20e arrondissement de Paris.Le procédé de recyclage avait déjà été testé sur plusieurs projets paysagers à Lyon et à Bordeaux notamment, mais la filière Terre Utile permet désormais aux professionnels de l’aménagement de se fournir en terre végétale recyclée quand ils le souhaitent au prix de la terre végétale classique, et ainsi de remplir certains de leurs objectifs RSE en utilisant un produit 100% recyclé et bas carbone.Pour Guillaume Mizon, créateur de la filière Terre Utile : « Nous sommes fiers de pouvoir offrir cette solution à ceux qui veulent s’engager pour préserver la terre naturelle, une ressource finie actuellement surexploitée. Aujourd’hui nous sommes présents au nord et au sud de l’Ile de France, mais plus nous serons présents à faire vivre cette filière, plus nous pourrons facilement développer cette nouvelle économie circulaire en France, qui permet également à la terre excavée de ne plus être transportée en décharge. J’invite tous les utilisateurs de terre végétale, petits ou gros, à franchir ce pas avec nous. »
Il y a 2 ans et 311 jours

JO-2024 : une passerelle pour relier la piscine olympique au Stade de France

"C'est le symbole des Jeux olympiques et paralympiques qui approchent", se réjouit Mathieu Hanotin, maire PS de Saint-Denis, sur le parvis du Stade de France, à une cinquantaine de mètres du tronçon de la passerelle, en passe d'être déplacé."Au delà du symbole, cette passerelle va être un lien qui va permettre de recoudre un peu plus deux morceaux de Saint-Denis qui ne pouvaient pas cohabiter", ajoute le président de Plaine commune, évoquant le noeud routier séparant le quartier La Plaine et le futur quartier de la ZAC Plaine Saulnier dont le développement est prévu après les JO-2024. Assemblée à côté du futur centre aquatique, la passerelle a été déplacée et pivotée dans la matinée pour être placée dans l'axe de son emplacement final, perpendiculaire à l'A1, qu'elle surplombera.A midi, l'imposante structure reposait sur des remorques modulaires autopropulsées, engins adaptés au transport de structures massives, ont constaté des journalistes de l'AFP.Les ouvriers s'activaient pour s'assurer de la répartition de la charge de l'ouvrage avant le début de la translation."La structure fait 70 mètres de long, 20 mètres de large et 900 tonnes. Il faut que tout soit parfait", commente Bruno Menez, chargé de la communication chantiers chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France, responsable de l'ouvrage. Le déplacement du tronçon sur 70 mètres s'effectuera sur plusieurs heures mardi après-midi."Ce n'est pas une course de vitesse mais de précision", note un des ingénieurs sur place.Après le déplacement, "il faut assurer les finitions de l'ouvrage", explique Jean-Michel Genestier, maire DVD du Raincy et conseiller métropolitain délégué à la logistique urbaine.La passerelle sera ouverte au public à l'été 2023, un an avant les JO-2024."On estime que 15% des spectateurs qui viennent sur le Stade de France ou le centre aquatique pendant les JO viendront par le Grand Paris Express (en construction, NDLR) et passeront par cette passerelle", détaille Mathieu Hanotin, évaluant le flux à 20.000 personnes par jour.Après les JO, la passerelle sera végétalisée et réduite à 12 mètres de large.L'ouvrage a engendré la fermeture exceptionnelle pendant 54 heures d'un tronçon de l'autoroute A1, qui rouvrira jeudi à 4H00 du matin.
Il y a 2 ans et 348 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 363 jours

A Paris, Atelier du Pont, the good « life » ?

En décembre 2021, AG Real Estate a livré à Paris (XIIIe) ‘Life’, un immeuble de bureaux conçu par Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar & Philippe Croisier) au sein d’un environnement en mutation. Communiqué du promoteur. Situé dans le prolongement de la ZAC Paris Rive-Gauche, cet opus tertiaire de 10 000 m² se distingue par plusieurs […] L’article A Paris, Atelier du Pont, the good « life » ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 9 jours

Diderot Real Estate annonce la signature du parc Quatuor composé de 4 bâtiments clé-en-main

Avec ce projet, Diderot s’affirme aujourd’hui comme l’acteur de référence en matière d’immobilier d’entreprise sur-mesure en région.Diderot, partenaire de confiance des territoiresConstruire des bâtiments sur-mesure et ainsi contribuer au développement du tissu économique régional, c’est la raison d’être de Diderot Real Estate depuis plus de 10 ans.C’est dans cet esprit de partenariat que l’Etablissement public d’aménagement du Mantois Seine Aval (EPAMSA) et Diderot ont collaboré étroitement pour rendre possible ce projet complexe à Buchelay, au cœur de ZAC Mantes Innovaparc.Ce territoire stratégique situé à proximité de l’autoroute A13 connaît un fort développement, incarné par de grands projets d’aménagement, la réhabilitation de la Halle Sulzer ou encore la mise en service de la gare Eole, qui reliera Paris en moins 40 minutes dès 2024.Un projet qui exprime tout le savoir-faire de DiderotAu cœur de cette ZAC qui se développe sur 58 hectares, Diderot lance aujourd’hui QUATUOR, un parc d’activités qui accueillera 4 nouveaux bâtiments, conçus avec l’agence d’architecture Franc, pour une surface totale de plus de 10.000 m2.Le programme QUATUOR s’est appuyé sur la méthodologie Diderot, afin de co-concevoir avec chacun des utilisateurs des bâtiments performants, adaptés à leurs enjeux organisationnels et leurs ambitions environnementales (RT 2012-20%, labellisation BREEAM).Parmi les utilisateurs qui ont choisi de s’installer dans le parc QUATUOR : le Groupe ACCEDIA et sa filiale SAFIR (bâtiment mixte : siège social, showroom, production), le centre de services partagés de RATP Développement (bureaux) et l’entreprise PROMUSEUM (bâtiment mixte : siège social, showroom, activités). ALTO, un quatrième bâtiment d’activités, est en cours de commercialisation. Les travaux qui seront pilotés par GSE commenceront en 2022, pour une livraison prévue en septembre 2023.Avec ces 4 opérations engagées simultanément, Diderot démontre à nouveau sa capacité à satisfaire des attentes variées des futurs occupants, tout en apportant un soin particulier au traitement architectural et paysager, qui fait sa signature.
Il y a 3 ans et 10 jours

Place publique : Travail de mémoire par Stefan Shankland

Pour piloter le traçage des différentes courbes, l’artiste Stefan Shankland a pris de la hauteur, grimpant au sommet d’un des immeubles entourant la place. [©ACPresse] « Nous avons un devoir de mémoire. » Ainsi, l’artiste Stefan Shankland résume-t-il l’essence de sa démarche. Celle qui consiste à relier le passé au présent et au futur aussi. A Ivry-sur-Seine (94), la Zac du Plateau vit une profonde mutation, qui voit la disparition des constructions anciennes et la naissance de bâtiments neufs. Le cycle naturel de la ville, de la vie… Mais que reste-t-il du temps d’avant ? Souvent, plus rien. Stefan Shankland a voulu changer cet ordre des choses. « Je souhaitais être là au moment des démolitions, à l’instant où la mutation commençait. J’ai demandé à récupérer quelques mètres cubes de gravats, sans pour autant savoir quoi en faire. » Si ce n’est de sauvegarder un peu d’histoire. Pour l’artiste, c’est là une seconde approche, après celle opérée en 2008, dans le même secteur. Et qui a vu la récupération de 40 m3 de gravats, transformés, après un tri rigoureux, en 40 gabions de 1 m3 installés au cœur du chantier du ministère des Finances, sur l’actuel mail Monique Maunoury. Mais il est possible d’aller plus loin, avec la réalisation d’un vrai béton. Le processus de création conduit à la naissance de la matière “Marbre d’ici”. Son objectif : « Réintroduire un siècle de patrimoine dans un projet neuf », résume Stefan Shankland. Très vite, la Ville d’Ivry-sur-Seine, maître d’ouvrage du réaménagement, joue le jeu. Et accepte de voir le concept intégrer le projet d’aménagement de la place du Général de Gaulle et de ses abords. Le souvenir des constructions passées Il n’est pas possible de faire plus urbain à ce niveau. La place est entourée sur trois de ses côtés par une série d’immeubles d’habitations, d’une hauteur de onze à douze étages. Des architectures modernes, soignées, tout à fait dans l’air du temps. L’enclave se développe sur 3 000 m2, auxquels s’ajoute toute la zone périmétrale située en arrière des constructions. « Cet aménagement est très minéral, dominé par le matériau béton, détaille Rudy Blanc, ingénieur paysagiste au sein de l’agence Urbicus, en charge de l’aménagement de la place. Trois grandes noues rompent cette minéralité, introduisant le végétal dans cet espace. » Graminées, plantes à fleurs et trois espaces de saules – qui culmineront à 10 m une fois adultes – et même un gléditsia composent ce parterre.   Au centre de la place, Urbicus a libéré un grand carré de 260 m2, zone d’accueil de l’œuvre “mémorial” de Stefan Shankland. « C’est le souvenir des constructions passées, mais aussi de ce qu’était le lieu avant, bien avant. Nous sommes ici dans un ancien lit de la Seine, qui coulait là il y a quelque 350 000 ans. Puis, quand on creuse le sol, on découvre toutes les strates souterraines. Celles que j’ai pu apercevoir au moment des démolitions et des terrassements. Enfin, avec les pluies se formaient des flaques d’eau, colorées par les terres, les reflets. » Tout était là, réuni au fil du temps sous les yeux de l’artiste. Vient alors l’esquisse. Celle d’une série de méandres, miroir d’une carte d’état-major avec ses courbes de niveaux, figurant la topographie d’un lieu… Avec l’aide du Cérib L’autre aspect est celui du matériau : le fameux béton à formuler à partir des gravats. Mais ces matières premières sont loin d’être nobles et prévues pour ce type d’utilisation. Qu’à cela ne tienne… La première étape reste classique et voit le tri des gravats par catégorie. S’en suit un concassage pour les réduire en poudre. A l’issue, cinq types de “sables et granulats” – un 0/2 et un 2/4 – ont été retenus pour le projet : tuiles et briques creuses, d’une couleur orangée, briques classiques, avec leur robe rouge, béton, de teinte grise, meulière, à la nuance ocre foncé, et enfin, pierre calcaire, caractérisée par une pigmentation ocre clair. Mais comment transformer ces matériaux en béton, esthétique qui plus est ? Pour ce faire, Stefan Shankland s’est rapproché de partenaires potentiels : la Fib pour commencer, puis du Cérib. La division “Matériaux et technologie du béton” de Patrick Rougeau pour être précis. « Nous sommes intervenus sur l’optimisation de la formulation du “Marbre d’ici”, tout en précisant sa technique de mise en œuvre », explique Patrick Rougeau. Une première expérimentation a eu lieu au château du Domaine de Chamarande (91) où 36 dalles de 1,10 m x 1,10 m, pour 3 cm d’épaisseur, ont été réalisées in situ, coulées sur un béton de masse servant de structure porteuse. Le “Marbre d’ici” du château a été formulé avec des gravats issus de démolition de bâtiment de Paul Chemetov, à Courcouronnes (91). Entre 2 cm et 3 cm d’épaisseur Pour Ivry-sur-Seine, la formule a été adaptée en conséquence, les matières premières n’étant pas du tout les mêmes. « La mise au point n’a pas été très simple, car nous devions obtenir une bonne fluidité pour la mise en place et sans trop de variation d’un béton à l’autre », poursuit Patrick Rougeau. Outre les cinq types de gravats, le “Marbre d’ici” intègre une part de granulats classiques – un sable 0/2 et une silice 3/8 -, du ciment blanc 42,5 ou gris 32,5 et un kit d’adjuvantation en poudre fourni par Moderne Méthode. Le “Tableau minéral” en “Marbre d’ici” prend place au centre de la place du Général de Gaulle. [©DR]Des tuyaux d’arrosage servent de coffrage pour limiter les zones de mises en place des différentes teintes de “Marbre d’ici”. [©ACPresse]Le “Marbre d’ici” est mis en œuvre de manière manuelle sur une épaisseur de 2 cm à 3 cm. [©ACPresse]La limite entre les différentes teintes de “Marbre d’ici” est nette ou floue, selon les prescriptions de l’artiste Stefan Shankland. [©ACPresse] La fabrication se faisait sur site, au sein du Mat Lab, un atelier mobile de production conçu par Stefan Shankland et son collectif (Atelier Trans305 et Raum Architectes). Cette installation, s’articulant autour de trois bétonnières de chantier, a permis la réalisation des bétons colorés en petites quantités et à la demande, de manière à respecter le rythme des travaux. Comme au château, le “Marbre d’ici” est coulé sur une dalle support en béton, sur laquelle a été épandu un primaire époxy d’accrochage. L’épaisseur oscille entre 2 cm et 3 cm. La mise en place est opérée à la main par une équipe dédiée de l’entreprise Minéral Service. Ce spécialiste des bétons esthétiques de sols assure la totalité des aménagements horizontaux de la place du Général de Gaulle et de ses abords.  Un tuyau d’arrosage comme coffrage Après le traçage des courbes devant figurer les méandres, la difficulté semblait provenir de la manière de suivre avec précision ce dessin avec les bétons. A ce niveau, c’est le savoir-faire de Minéral Service qui a joué. En lieu et place d’un système complexe de coffrage, l’équipe a tout bonnement utilisé un tuyau d’arrosage en caoutchouc, disponible dans n’importe quelle quincaillerie. Fixé au sol à l’aide de simples clous, ce dispositif très simple s’est révélé d’une redoutable efficacité. Après séchage complet de l’œuvre, les équipes ont égalisé la surface par ponçage, avant d’opérer la finition par polissage (deux passages de disque diamant de finesse 40, puis 80). « Le polissage met les granulats en valeur », indique Samuel Béard, chargé d’affaires Minéral Service.   Si le “tableau minéral” de Stefan Shankland occupe une place centrale, il n’en est pas moins un constituant de l’ensemble de l’aménagement. Imaginé par Urbicus, l’espace est scindé en trois zones. Tout d’abord, la partie “voirie”. « L’automobile n’a pas été chassée et peut traverser la zone sur une chaussée, dont le tracé est identifié par une série de potelets métalliques », indique Rudy Blanc. Cette identification est tout aussi importante pour les piétons, car il est essentiel que chacun sache où il se trouve. Viennent ensuite les zones piétonnes, qui occupent l’essentiel de la surface. Enfin, les noues végétales complètent l’aménagement. Trois couleurs et trois finitions Au départ, la pierre naturelle avait été envisagée. Mais c’était sans compter la détermination de Minéral Service qui, fort de sa très belle intervention place de la République, à Paris, a su faire pencher la balance côté béton. « Nous avons très vite repris le principe d’un traitement très foncé pour la partie carrossable », admet Rudy Blanc. Quant aux autres zones, elles dessinent un patchwork de dégradé de teintes de bétons… Des suggestions de Minéral Service. « Nous avons travaillé très en amont sur ce projet et avons réalisé nombre d’échantillons, en termes d’aspects et de textures », détaille Marjorie Debonnaire, responsable du bureau d’études de Minéral Service. Au final, seulement trois couleurs – gris clair, gris médian à 0,5 % de pigment noir et gris foncé à 2 % de pigment noir – et trois aspects de finition structurent la place. Le béton brossé reprend les trois couleurs, tout comme l’hydro-sablé, mis en œuvre sur la zone circulée. Le troisième aspect est le bouchardé, qui, lui, se distingue par ses granulats gris-noirs. En fonction des zones, les bétons présentent une épaisseur différente : 20 cm pour la chaussée, 18 cm pour les voies pompiers et 15 cm pour les trottoirs, qui restent carrossables (circulation des véhicules d’entretien). Afin de pallier tout risque d’erreur, Minéral Service a travaillé par zones et par types de béton. « Et par jour aussi », souligne Marjorie Debonnaire. Et de poursuivre : « Pour la mise en œuvre, nous avons utilisé un petit pompage à béton stationnaire. Les premiers centimètres de béton étaient vibrés, mais pas les derniers pour garantir une absence totale de ségrégation, même millimétrique ». Un délicat travail de calepinage Il était essentiel, en particulier pour les bétons bouchardés et hydro-gommés, que les granulats soient omniprésents en surface, après traitement. C’est pour cette même raison, que l’entreprise a opté pour des bétons de classe de consistance S2. « Difficiles à mettre en place, mais garant des résultats qu’on en attend… » Tous les bétons ont été formulés (suivant les indications de Minéral Service) et fabriqués par Eqiom. Cinq matières premières, en deux coupures, sont issues de la valorisation de gravats de démolition : briques classiques (rouge), tuiles et briques creuses (orangée), meulière (ocre foncé), béton (gris) et calcaire (ocre claire). [©ACPresse]Le Mat Lab, un atelier mobile de production, permet la production du Marbre d’ici sur site. [©ACPresse]Zone de circulation automobile, avant hydro-gommage. [©ACPresse]Zone périphérique de la place Charles de Gaulle, bénéficie d’une finition en béton brossé. [©ACPresse]Trottoir en arrière des immeubles, traité en bétons brossé et bouchardé. [©ACPresse] Pour lisser la surface des bétons, les équipes ont utilisé un rouleau araseur – le Lura de BMC Diffusion -, utilisé jusqu’à une largeur de 9 m. La finition “brossée” est opérée sur béton frais, dès que la surface présente un aspect humide sans aucun ressuage. A l’issue, le béton protégé par un agent de cure Grace ou Chryso. « L’utilisation du premier se fait par temps humide et du second par temps sec. » Les bétons hydro-sablés et bouchardés bénéficient du même traitement de protection. La dernière particularité du chantier concernait le plan de calepinage avec deux types de joints de dilatation : avec fourrures compressibles et à recouvrement par plat inox. En fait, les joints étaient positionnés de manière à souligner un axe piéton, un point singulier. Idem pour les joints de retrait-flexion, de type sciés ou par intégration de quart-de-rond. « Pour nous, ce chantier s’est avéré assez délicat, car il était très complexe de travailler, donc de gérer, différentes formulations de bétons sur un même aménagement », conclut Marjorie Debonnaire. Frédéric Gluzicki Repère Maire d’ouvrage : Ville d’Ivry-sur-Seine / Grand Paris Aménagement Maître d’œuvre “Marbre d’ici” : Stefan Shankland / Raum Arhcitectes Architecte paysagiste : Urbicus (Rudy Blanc) Entreprise d’aménagements de sols : Minéral Service Formulation (Marbre d’Ici) : Cérib BPE : Eqiom
Il y a 3 ans et 53 jours

Arcadis enjambe les voies de la Gare d’Austerlitz

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, dévoile le pont de franchissement du faisceau ferré de la gare d’Austerlitz, visant à désenclaver le quartier de la Gare d’Austerlitz. Ce tablier en acier de 2 100 tonnes a été poussé, pour la seconde fois, au-dessus des voies ferrées avec une vitesse moyenne de 2m à l’heure entre samedi 16 et dimanche 17 avril. Par sécurité, le trafic ferroviaire a été complètement interrompu sur 7 voies. « Lancer le pont au-dessus des voies avec un seul point d’appui intermédiaire est à la fois une grande prouesse technique et une opération emblématique qui vient concrétiser le travail de plusieurs années. » déclare Arnaud NAËL, Directeur de projet chez Arcadis. Les équipes Arcadis ont dû faire face à des contraintes fortes liées aux infrastructures existantes (voies ferrées, ligne 10 du métro, hôpital de la Salpêtrière…) sans en impacter le fonctionnement quotidien. Au-delà de la complexité structurelle liée à l’architecture du pont, l’autre défi de taille était d’insérer harmonieusement la nouvelle liaison dans un contexte architectural très divers : de nombreux bâtiments historiques dont la chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière côté boulevard de l’Hôpital et des nouveaux bâtiments dont le siège du groupe Le Monde côté avenue Pierre Mendès-France. Enfin, des obstacles climatiques ont donné du fil à retordre aux équipes : la crue du Rhin en juillet 2021 a ralenti le transport par voie fluviale de la charpente métallique, préassemblée dans l’usine de Lauterbourg en Alsace et acheminée sur site pour y être finalisée.D’une longueur de 87 mètres et d’une largeur variable de 19 à 32 mètres, le pont a été pensé comme une place publique visant à créer un nouveau lien piéton, cycliste et routier entre deux quartiers de Paris Rive Gauche en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz. En tant que maître d’œuvre (mandataire), Arcadis a remporté, aux côtés de Wilkinson Eyre Architects et Arpentère (paysagiste), le concours lancé en 2016 par la SEMAPA (aménageur de la ZAC Paris Rive Gauche) et la Ville de Paris, pour la réalisation du pont reliant les deux secteurs du quartier Austerlitz de part et d’autre des voies ferrées. « Avec le pont Mère-Teresa qui franchit le faisceau Saint-Lazare, nous sommes les concepteurs des deux derniers ponts enjambant des faisceaux ferrés parisiens : des opérations complexes et peu courantes dans un environnement bâti extrêmement dense. Notre maîtrise de l’opération dans son ensemble et notre expérience éprouvée avec le pont Mère-Teresa nous ont permis d’accompagner la SEMAPA dans ce projet emblématique qui constitue un défi à la fois technique, architectural et urbain, dont nous sommes très fiers. » déclare Claire RAVETTI, Cheffe de projet chez Arcadis. Le chantier, qui a démarré en juin 2020, devrait prendre fin courant 2023 avec les travaux d’accostage et d’aménagement de surface. En attendant l’ouverture du pont au public à l’issue des travaux du secteur Austerlitz, la SEMAPA a salué cette dernière grande opération de lançage. « Relier les berges de Seine aux quartiers existants du XIIIème arrondissement de Paris en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz est une véritable prouesse technique et offre une ouverture du quartier Austerlitz-Gare. Une fois mis en service, le nouveau pont devrait permettre aux piétons de gagner 15 minutes de marche ! » conclut la SEMAPA.Arcadis possède une expertise reconnue dans la conception d’ouvrages d’art et les projets d’ingénierie civile complexes avec des réalisations majeures comme le Viaduc de Millau, la couverture du périphérique à Porte de Vanves ou en encore les bâtiments-ponts tels que la Tour de la Biodiversité dans le 13ème arrondissement de Paris et l’ensemble immobilier « Les Vergers » à Cergy-Pontoise.
Il y a 3 ans et 58 jours

Lançage d'un pont de 87 mètres sur les voies de la gare d'Austerlitz (Paris)

CHANTIER EN IMAGES. Dans le cadre de l'aménagement de la Zac Paris rive gauche, un nouveau pont vient d'être lancé au-dessus des voies de la gare d'Austerlitz. La société d'ingénierie Arcadis fait office de maître d'oeuvre mandataire.
Il y a 3 ans et 99 jours

Paris : consultation pour 5.000 m² de logements ultra bas-carbone sur Evangile

RENOUVELLEMENT URBAIN. Sur la Zac Chapelle Charbon, sur une friche ferroviaire de la gare du Nord, la Ville de Paris Paris & Métropole Aménagement, organisent une consultation pour la construction d'un ensemble répondant aux niveaux les plus élevés du label BBCA.
Il y a 3 ans et 102 jours

Paris La Défense attribue à ILEX la mission de maîtrise d’œuvre urbaine au sein de la ZAC Seine Arche à Nanterre

Le projet d’aménagement de la ZAC Seine Arche a été initié avec la volonté de réparer les coupures urbaines générées par les infrastructures de transports (voies ferrées, autoroutes), permettant d’ouvrir les quartiers, de créer de nouvelles liaisons, d’accentuer le caractère paysager et de prolonger l’axe historique en direction de la Seine. Aujourd’hui, avec la désignation du maître d’œuvre qui interviendra sur le secteur, le projet entre dans sa phase de réalisation. L’agence lyonnaise de paysagistes et d’urbanistes ILEX, qui pilote la conception et la mise en œuvre du projet, accompagnée par l’agence Sathy, va concrétiser la vision d’un urbanisme visant à développer la place de la nature et le confort urbain.Trois secteurs sont concernés par ces travaux d’aménagementAvenue de la République, une nouvelle façade urbaine sera composée. Une place compatible avec l’arrivée future du tramway T1, fonctionnera comme une porte d’entrée du campus de l’Université Paris Nanterre. Les futurs aménagements prévoient une mixité des usages, avec des logements, dont une résidence universitaire gérée par le Crous, des locaux d’activités et des commerces. Tout cela sera compatible avec la possibilité pour l’Université de Paris Nanterre de réaliser de nouveaux bâtiments. Les espaces publics seront repensés de manière à améliorer la liaison vers le Petit Nanterre, développer la végétalisation et les circulations douces. Dans le quartier Anatole France, Paris La Défense va réaménager les espaces publics et reconfigurer le cœur d’îlot.Du côté des Terrasses, les aménagements répondent à trois objectifs : renforcer la biodiversité au moyen d’une coulée verte, améliorer l’accessibilité grâce à une liaison piétonne et cyclable qui traversera le quartier vers la Seine (voie verte, passerelle, rampe piétonne), et, enfin, devenir un lieu d’accueil pour les activités associatives, qu’il s’agisse de cirque, d’agriculture urbaine ou d’événements culturels.Enfin, aux abords de l’échangeur, des connexions vont être créées pour une meilleure intégration urbaine aux quartiers environnants et à l’axe Seine. Le parc du Chemin de l’Ile sera étendu et la réalisation de nouveaux logements sera étudiée.
Il y a 3 ans et 104 jours

87 logements avenue de France par Lambert Lénack

L’agence parisienne Lambert Lénack (Adrien Lambert et Etienne Lénack) a livré en 2021 avenue de France sur la ZAC Paris Rive Gauche (XIIIe) un programme mixte de 87 logements (6 456 m² SDP), bureaux (847 m²), commerces (390 m²). Communiqué. Situation, usage et structure Sur ce site exceptionnel, l’agence Lambert Lénack propose deux immeubles « […] L’article 87 logements avenue de France par Lambert Lénack est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 136 jours

La mairie de Paris revoit un projet de hautes tours en bord de Seine

"Les échanges au sein de la majorité démontrent qu'il est nécessaire de réajuster le projet", a indiqué la mairie à l'AFP, confirmant une information du Parisien.Les élus parisiens, la mairie d'Ivry-sur-Seine et les équipes retenues vont désormais revoir "la grande hauteur" des deux tours, mais aussi la destination des bâtiments, "notamment celle de bureaux", indique la mairie qui souligne la "responsabilité collective vis-à-vis des Ivryens qui attendent ce désenclavement depuis de nombreuses années".En bordure du périphérique qui sépare la capitale de cette commune du Val-de-Marne, et près des Tours Duo dessinées par Jean Nouvel, le projet Bruneseau nord, pour lequel quatre promoteurs avaient été choisis en mars 2019, devait voir l'édification de tout un quartier, pour un total de 95.000 m2, dont une moitié consacré au logement et un quart aux bureaux.Parmi les bâtiments prévus, 5 tours, dont une de 180 m et une de 100, suscitaient l'opposition d'associations et des élus écologistes malgré la perspective de planchers en bois, une "première mondiale", l'installation "massive" de panneaux solaires et la création d'espaces verts."Les écologistes obtiennent la fin du projet de tours sur la ZAC (zone d'aménagement concerté) Paris Rive gauche - Bruneseau", se sont félicités les élus écologistes du Conseil de Paris, alliés turbulents de la maire Anne Hidalgo.Souvent opposés aux projets architecturaux d'envergure remontant à l'époque de Bertrand Delanoë, le prédécesseur à l'Hôtel de Ville de l'actuelle candidate à la présidentielle, ou au premier mandat de cette dernière, les écologistes n'hésitent pas à faire alliance avec l'opposition de droite pour tenter d'empêcher leur réalisation, comme sur la Tour Triangle (XVe arrondissement) ou le futur bâtiment de la gare d'Austerlitz (XIIIe)."Les tours de hauteur, c'était une aberration écologique", a réagi auprès de l'AFP le conseiller EELV Emile Meunier, pour qui "la ville de demain ne pourra plus être densifiée comme elle a pu l'être jusqu'à présent".En octobre, cet élu avait sérieusement contrarié le projet de la tour de 100 m en faisant voter un amendement, activant une clause résolutoire de l'acte de vente des parcelles.Les socialistes et communistes, favorables au projet, "ont compris que si ça bloquait pour une, ça bloquerait pour toutes", estime M. Meunier, partisan d'une "verticalité raisonnable" mais qui veut "tourner une page de l'urbanisme Missika", du nom de l'ex-adjoint à l'urbanisme qui avait lancé ces projets contestés dans la capitale.
Il y a 3 ans et 141 jours

Lancement des deux premières consultations pour la réalisation de 270 logements familiaux dans la ZAC de Corbeville à Orsay

A l’horizon 2026, l’EPA Paris-Saclay ambitionne de constituer à Corbeville un quartier vivant, commerçant et animé, grâce notamment à la livraison de près de 1.000 logements familiaux dans le secteur Est de la ZAC sur la commune d’Orsay (91). Pour ce faire, l’EPA a annoncé un programme de consultations d’opérateurs tout au long de de l’année 2022.Deux premières consultations lancées en janvierElles ont pour objet de sélectionner les opérateurs des premiers logements familiaux de Corbeville, à réaliser dans le secteur Terrasse. Situé au sud-est de la ZAC, il se distingue par la grande qualité paysagère et patrimoniale que lui confère la proximité du coteau boisé et d’une châtaigneraie centenaire, du futur parc de Corbeville et de son château qui doit faire l’objet d’une occupation temporaire à vocation culturelle avant sa rénovation définitive. Ces deux consultations porteront sur trois lots de la ZAC pour un total d’environ 270 logements familiaux en très grande mixité : accession libre, accession sociale (dont BRS) et logements locatifs sociaux.L’EPA Paris-Saclay porte trois ambitions majeures pour ces programmes :l’attention portée à la qualité de l’habitat et des logements : générosité des surfaces intérieures et extérieures, conception soignée, attention portée aux usages, à l’évolutivité des espaces ;la recherche d’une exemplarité environnementale : construction bas-carbone, performance énergétique, maximisation de la végétalisation, notamment ;la maximisation de la part de familles des propriétaires occupants parmi les futurs acquéreurs, afin de constituer des quartiers mixtes et vivants.Corbeville, un démonstrateur de la ville-nature Au cœur du Campus urbain de Paris-Saclay, sur les communes d’Orsay et Saclay, le quartier de Corbeville occupe une position centrale entre les quartiers voisins de l’École polytechnique (Palaiseau, Saclay) et de Moulon (Gif-sur-Yvette, Orsay à l’ouest de la RN 118). La ZAC de Corbeville est un maillon stratégique du Campus urbain et de l’OIN Paris-Saclay, dont elle complète la programmation avec plus de 410 000 m² de surfaces de plancher constructibles et des équipements clés comme le futur hôpital Paris-Saclay, un complexe sportif universitaire, une caserne de pompiers… Plus de 40% de sa programmation est destinée au logement familial et étudiant. L’EPA Paris-Saclay place ainsi l’habitat au cœur de la conception urbaine du quartier de Corbeville. Les enjeux sont forts aujourd’hui sur la qualité des espaces du logement, en situation de crise sanitaire, qui doivent permettre de télétravailler, offrir des espaces extérieurs privatifs, des volumes généreux, modulables… Sur une emprise de 94 hectares au total, plus de 30% de la surface de la ZAC de Corbeville est dédiée à la création d’espaces naturels dont deux parcs boisés de plus de 9 hectares. Les logements seront ainsi en contact direct avec la nature, étendue jusqu’au cœur le plus dense du quartier.Le plan urbain du quartier est structuré autour de ces grands espaces verts majeurs à l’échelle du Campus urbain. Il s’agit de végétaliser la ville, mais avant tout de faire des espaces naturels la charpente du quartier, pour une urbanisation largement favorable au développement de la biodiversité et de la nature en ville.
Il y a 3 ans et 144 jours

Écoquartier Prunel labellisé, à Paris comme à Saint-Denis de la Réunion ?

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, a décerné le vendredi 21 janvier 2022 les labels EcoQuartier aux 17 lauréats 2021. Entre Quezac, Quasquara et Septèmes-les-Vallons, Prunel à Saint-Denis à La Réunion. Une pépite d’empire aux préoccupations pourtant bien éloignées de celle de la Métropole. Dans la […] L’article Écoquartier Prunel labellisé, à Paris comme à Saint-Denis de la Réunion ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 151 jours

Le Groupe Panhard et Bricqueville développent en copromotion une opération mixte dans le nouveau quartier des Groues à Nanterre

Pour ce vaste territoire de la ville de Nanterre aménagé par Paris La Défense, et situé face au Conseil départemental des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense Arena, le programme imaginé par le tandem Panhard-Bricqueville reflète l’évolution des paysages urbains.Il confirme la fin de l’ère de la mono-fonctionnalité et réunit, au sein d’un seul ensemble, près de 140 logements, une école d’enseignement supérieur, des bureaux, des locaux de stockage et commerciaux ainsi que des espaces verts.À l’Ouest du pôle tertiaire historique, au-delà de la Grande Arche, les Groues, 11e quartier de Nanterre, ambitionnent de devenir un pôle urbain d’excellence développé selon les valeurs du Développement Durable. Sur 65 hectares desservis dès 2023 par le RER E, cette vaste opération de désenclavement et de reconquête urbaine entend créer, en concertation avec les populations concernées, un pôle d’attractivité aux atouts complémentaires de ceux affichés par le premier quartier d’affaires européen.Le Groupe Panhard et Bricqueville ont travaillé avec la ville, l’aménageur et l’urbaniste de la ZAC pour proposer un concept inédit, développé notamment à partir de matériaux bio-sourcés. Face à la nouvelle gare Nanterre-La Folie (RER E et ligne GPE 15 en 2030), sur environ 2.400 m2 d’espaces végétalisés, le projet cristallise toutes les ambitions actuelles de mixité des fonctions citadines. Sur le plan environnemental, il répondra à l’indicateur Bbio -30 % et vise les certifications RT2012 -20% et NF Habitat HQE pour le volet résidentiel et le BREEAM en niveau Very Good pour les bureaux.D’une superficie globale de 29.117 m2 répartis entre trois bâtiments s’articulant autour d’un grand cœur d’îlot végétalisé et paysagé, irrigué de voies douces, le programme repose sur :un bâtiment résidentiel de 16 étages, Hélios, signé du cabinet Nicolas Laisné Architectes qui comprendra 94 appartements, du studio au cinq-pièces ; dont la plupart sont dotés de balcons ou de terrasses,un immeuble de huit étages, imaginé par l’agence d’architecture et d’urbanisme AQMA qui alliera 2.700 m2 de bureaux lancés en blanc ainsi que 43 logements sociaux et intermédiaires dans les étages supérieurs,une école d’enseignement supérieur conçue par les agences d’architecture A26 et MBE Atelier qui accueillera, sur environ 10.500 m2 répartis sur huit étages, le Campus Groupe IGS, un groupe d’écoles de management. Agrémenté de terrasses et jardins suspendus, ce bâtiment abritera également une cafétéria en rez-de-chaussée.Le site disposera, en infrastructure, d’emplacements de parking et d’environ 6.000 m² de locaux de self-stockage qui seront exploités par Une pièce en plus.Pour Pierre-Emmanuel Arnal, Directeur du pôle résidentiel du Groupe Panhard : « Cette opération offre au Groupe Panhard l’opportunité, au sein d’un même programme, de développer différentes classes d’actifs dans une logique de synergies et d’équilibre, en lien avec les aspirations des Franciliens. Être parmi les premiers opérateurs à intervenir dans le quartier des Groues constitue également une fierté, les challenges urbains de cette ampleur étant rares, même à l’échelle du Grand Paris. »Pour Gérault de Sèze, Président de Bricqueville : « Nanterre est une ville modèle en matière de développement urbain et nous sommes conscients de notre responsabilité et fiers d’y prendre une part active. En travaillant la programmation avec la collectivité et l’aménageur à l’échelle de notre îlot et du quartier, nous avons pu proposer une grande mixité d’usage. C’est elle qui fera la richesse et le charme de la ville de demain. » Pour Pierre-Yves Guice, Directeur général de Paris La Défense : « La mixité de ce programme fait parfaitement écho aux aspirations que nous portons pour la ZAC des Groues. Un quartier complémentaire à La Défense sur le plan des usages, faisant la part belle au végétal, mais également exigeant en matière d'environnement et de qualité de vie. » La livraison du Campus Groupe IGS est prévue à la rentrée 2024. La livraison de l’exploitant Une Pièce En Plus est prévue à l’été 2025.La livraison des logements et des bureaux est prévue quant à elle entre fin 2024 et le 1er semestre 2025.
Il y a 3 ans et 200 jours

A Paris-Saclay, groupe scolaire cherche maîtrise d’œuvre

L’EPA Paris-Saclay recherche une maîtrise d’œuvre pour un groupe scolaire au sein du quartier de l’Ecole polytechnique du Campus urbain. Jusqu’au 6 décembre 2021. Afin d’accompagner le développement du Campus urbain, l’EPA Paris Saclay lance une consultation de maîtrise d’œuvre relatif à la réalisation du futur groupe scolaire au sein de la ZAC du quartier […] L’article A Paris-Saclay, groupe scolaire cherche maîtrise d’œuvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 242 jours

Malgré la conjoncture, la construction métallique réalise "une très bonne performance"

ÉCONOMIE. Les difficultés d'approvisionnement en matériaux et les problèmes de recrutement n'épargnent pas les constructeurs métalliques mais ne les empêchent pas non plus de réaliser un exercice 2021 en hausse de 6% sur un an. Le dynamisme des ZAC ainsi que des projets-phares comme le Grand Paris Express permettent de garnir leurs carnets de commandes.
Il y a 3 ans et 243 jours

Un projet de tour de 100 mètres à Paris en bord de Seine contrarié

"On a fait tomber une tour de 100 m", a assuré Emile Meunier, conseiller EELV, après l'adoption d'un amendement de son groupe sur une délibération cédant à la Semapa (Société d'étude, de maîtrise d'ouvrage et d'aménagement parisienne) plusieurs emprises de la zone d'aménagement concerté (ZAC) Paris Rive Gauche, dans le XIIIe arrondissement.Mais pour l'adjoint (PS) à l'urbanisme Emmanuel Grégoire, "cette délibération ne fait nullement obstacle au projet Bruneseau", du nom de la rue où elle se situe et qui comprend d'autres projets, et l'amendement oblige simplement la Ville "à des ajustements".Cette grande zone d'aménagement créée en 1991, dont le bâtiment le plus célèbre est la bibliothèque François-Mitterrand, s'étend sur 130 hectares le long de la Seine, de la gare d'Austerlitz jusqu'à la limite avec Ivry-sur-Seine.L'amendement est passé malgré l'opposition des groupes socialiste et communiste, alliés des écologistes dans la majorité de la maire PS Anne Hidalgo, et avec les voix des élus Génération.s, autre composante de cette majorité, LR et apparentés, MoDem et indépendants pro-Macron (89 pour, 63 contre).L'amendement amène la Ville à activer une clause résolutoire de l'acte de vente à la Semapa des deux parcelles prévues pour la tour, et sur lesquelles se trouve déjà une cité administrative et technique, au motif du non-relogement des services municipaux de cette dernière dans un délai de trois ans."Ce projet de tour anachronique et anti-écologique ne correspond pas aux nouveaux objectifs ambitieux de la Ville de Paris en matière environnementale", a dit dans un communiqué le groupe des élus écologistes (GEP)."Tout est à revoir" dans ce projet, a commenté Jean-Olivier (LR), fustigeant des élus de gauche "écolos le mercredi, bétonneurs le jeudi", en référence à la quinzaine de projets sur la transition écologique adoptés la veille.Malgré leur présence au sein de l'exécutif, il n'est pas rare que les élus EELV s'opposent à des projets de la majorité, notamment d'urbanisme, parvenant parfois à les contrarier avec les voix de l'opposition.
Il y a 3 ans et 277 jours

Paris-Saclay : In’cube, centre de recherche de Danone imaginé par Arte Charpentier

Danone Nutricia Research a annoncé en juin 2021 la construction de son futur Centre de Recherche International, conçu par Arte Charpentier, au cœur du territoire de Paris-Saclay, ZAC du Moulon, à Gif-sur-Yvette (Essonne). Livraison en 2022. Communiqué du maître d’ouvrage. Danone Nutricia Research a été un des premiers à s’implanter sur ce territoire en 2002 […] L’article Paris-Saclay : In’cube, centre de recherche de Danone imaginé par Arte Charpentier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 347 jours

Qui pour la réhabilitation de la Halle Piano à Paris-Saclay ?

L’EPA Paris-Saclay a lancé une consultation de maîtrise d’œuvre pour la réhabilitation de la Halle Piano à Guyancourt. Jusqu’au 6 août 2021. La réhabilitation de la Halle Piano, en vue de sa réouverture, est l’un des premiers jalons de l’aménagement de la ZAC « Gare Guyancourt – Saint Quentin », Quartier des Savoirs, située sur […] L’article Qui pour la réhabilitation de la Halle Piano à Paris-Saclay ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 355 jours

Paris-Saclay : pour un accord-cadre de maîtrise d’œuvre sur la ZAC Satory Ouest (Versailles)

L’EPA Paris-Saclay a lancé un accord-cadre de maîtrise d’œuvre des espaces publics de la ZAC Satory Ouest à Versailles. Jusqu’au 29 juillet 2021. Au sein de l’opération d’intérêt national (OIN) de Paris-Saclay, la ZAC Satory Ouest poursuit sa mise en œuvre opérationnelle. Aménageur de la ZAC, l’EPA Paris-Saclay recherche une équipe de maîtrise d’œuvre pour […] L’article Paris-Saclay : pour un accord-cadre de maîtrise d’œuvre sur la ZAC Satory Ouest (Versailles) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 358 jours

Mozinor, l'audacieux et précurseur immeuble industriel de Montreuil labellisé « Architecture contemporaine remarquable »

La cité industrielle verticale Mozinor du 2-20 avenue Salvador-Allende et de la rue Didier-Daurat, à Montreuil (93), premier ensemble industriel construit en hauteur en France, est ainsi reconnue comme édifice urbain, témoin matériel de l'évolution technique, économique, sociale, politique et culturelle des réalisations architecturales du XXe siècle.Pour Gaylord Le Chequer, président de la Semimo, « ce label souligne la qualité de l'esthétique brutaliste associée à une écriture graphique des façades, le travail de préservation mené par la Ville de Montreuil, la Semimo et les entreprises copropriétaires. L'évolution réussie du site en une cité industrielle moderne accueillant aujourd'hui plus de 50 entreprises aux activités diversifiées participe de l'attractivité et du rayonnement culturel et économique de Montreuil »..Une réponse innovante aux mutations industrielles et aux enjeux environnement aux MOZINOR, acronyme de Montreuil Zone Industrielle Nord est le fruit d'une volonté municipale toujours très actuelle, de préservation de l'environnement et de création d'activités et d'emplois locaux en banlieue. C'est en 1963, période marquant les prémices de la désindustrialisation de la région parisienne que ce choix « révolutionnaire » et visionnaire d'une zone industrielle verticale, plus économe en surface au sol, est pris. Mozinor, c'est le fruit d'un compromis entre la préservation du tissu pavillonnaire et horticole existant et le développement de l'emploi local. Avec son toit terrasse planté d'une prairie de 2 ha et un alignement de tilleuls, de genêts, de cerisiers et de nombreuses autres plantes, Mozinor est précurseur des conceptions architecturales les plus écologiques.Pour accompagner et concrétiser ce projet, le conseil municipal vote en 1972 la réalisation d'une ZAC et la création d'un nouvel outil, la Société anonyme d'économie mixte pour l'aménagement et le développement économique de Montreuil, la SADEMO puis confie, en 1986, la gestion des lots dont elle reste propriétaire à la Semimo-B, désormais devenue Semimo, une autre de ses sociétés d’économie mixte. L'idée est faciliter l'accès de ce cette zone industrielle verticale en l'édifiant sur une dérivation autoroutière de l'A86, l'A186 reliée au bd. périphérique par l'autoroute A3 à l'échangeur de la porte de Bagnolet, à égale distance des aéroports Roissy et Orly…La conception de ce projet atypique et innovant qui ouvre ses portes en 1975, est confié aux architectes Gilbert-Paul Bertrand (notamment urbaniste de Pierrette) et Claude Le Goas. Claude Le Goas (1928-2007) est le grand architecte et urbaniste de Montreuil. C'est l'homme du siège confédéral de la CGT porte de Montreuil, c'est celui qui conçoit le Conservatoire de la Croix-de-Chavaux, la Cité de l'Espoir et tant d'autres bâtiments remarquables de Montreuil. Il est l'un des premiers à mettre en œuvre le concept de construction de la ville sur la ville.Ensemble, ces deux architectes conçoivent un bâtiment industriel de 42 000 m² en béton armé (ossature en poteaux-poutres porteurs sur lesquels reposent des dalles de plancher avec façades au visuel très graphique percées de baies) sur une emprise au sol de seulement 3,2 ha, desservant, sur4 étages, des locaux d'activités modulables de 500 à 6 000 m² et de 6 m de hauteur avec des trames de 78 m².Une monumentale double rampe hélicoïdale en béton précontraintCes locaux conçus comme des volumes aménageables facilement sont accessibles depuis une sorte d'autoroute intérieure, la fameuse rampe hélicoïdale de Mozinor. Cette double rampe centrale à faible pente est empruntable par des poids lourds de 30 tonnes sans que ces derniers, qu'ils montent ou qu'ils descendent, n'aient jamais à se croiser.Avec cette incroyable innovation, les architectes font de Mozinor, sorte de forteresse aux tours crénelées, le lointain descendant du château de Chambord avec son fameux escalier hélicoïdale.Un acteur de la résilience économique urbainePour Patrice Bessac, président d'Est Ensemble et maire de Montreuil, « cette audace architecturale et politique d'une offre industrielle d'entreprises ne souhaitant pas se délocaliser, voulant rester en proximité de Paris, est plus que jamais d'actualité. Grace à ses qualités de conception : économie d’espaces, végétalisation des terrasses mais aussi modularité des volumes, intégration fonctionnelle de services communs, cette zone industrielle verticale présente une adaptabilité exceptionnelle aux évolutions du monde économique comme à celles de son environnement urbain. Véritable outil de la résilience urbaine à Montreuil, Mozinor se prépare à accueillir prochainement à ses pieds le tramway T1, dont le chantier est en cours, et à prendre toute sa place dans un environnement plus urbain. »Mozinor ce sont aujourd'hui 50 entreprises et 500 salariés, faisant vivre une communauté économique originale par la diversité de ses activités diversifiée : activités industrielles, art et design, événementiel, fooding, loisirs et culture, métiers de l’imprimerie. Ces entreprises font aussi communauté par le partage de valeurs et d’ambitions, en matière d’innovation sociale, d’impact environnemental et d’excellence professionnelle Trois d’entre elles ont notamment été distinguées par l’attribution du Label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) qui permet de récompenser les sociétés françaises ayant un savoir-faire rare, renommé ou ancestral dans le domaine de l’artisanat et de l’industrie.Mozinor c'est aussi l'exemple qui conduit Montreuil à imaginer au milieu des années 80, la création de Centres d'Activités de Pointe, ces fameux CAP qui redonnent vie aux usines fermées en les transformant sous l'action de la SEMIMO-B, devenue désormais SEMIMO, en hôtels industriels. Une petite quarantaine de CAP verront le jour, assurant la reconquête des friches industrielles avec l'implantation de 450 entreprises, PME et PMI et le maintien ou l'implantation de 4 000 emplois locaux.
Il y a 3 ans et 359 jours

Une installation électrique communicante Hager pour le Crédit Agricole Brie-Picardie

Au-delà de la réponse technique, Hager a mis les compétences de ses équipes au service des différents acteurs, EIE, tableautier, bureau d'études, pour que ce projet remarquable soit un succès.L'objectif est réussi, avec ce programme mixte de 14 000 m2, intégrant un bâtiment de bureaux de 9 000 m2, qui visait à réunir l'ensemble du personnel du Crédit agricole Brie-Picardie sur un même site, à proximité immédiate des transports. Certifié HQE excellent, l'ensemble, inauguré fin 2020, est situé à Chessy (77), dans le nouveau quartier de la ZAC des Studios et Congrès, à proximité du parc Disneyland Paris.Pour ce bâtiment très lumineux conçu comme un jardin urbain, le maître d'ouvrage avait des exigences fortes quant à l'installation électrique : « Qu'elle soit fiable, sécurisée, de haute technologie, qu'elle nous permette de réaliser des économies d'énergie et d'optimiser les performances de nos équipements », détaille Vincent Baron, responsable de département IML CA Brie Picardie.Une installation communicanteL'installation proprement dite comprend un TGBT (tableau général basse tension) et 53 armoires réparties sur l'ensemble du site. Ces équipements bénéficient des dernières avancées technologiques, telles que les boîtiers moulés H3+ energy communicants, disjoncteurs débrochables de tête (ACB) de 2000 ampères, compteurs Modbus et serveurs de surveillance de l'énergie agardio.manager. Ces serveurs détectent les passerelles et compteurs présents sur la boucle et en remontent automatiquement les informations. Ces systèmes performants mesurent, comptent, centralisent les informations de consommation d'énergie, tout en surveillant l'état physique de l'installation : le moindre défaut ou problème remonte aussitôt, ce qui permet d'analyser les données du site.L'enjeu majeur du chantier fut sans doute l'implantation du TGBT connecté dans un local exigu. Là encore, l'expertise de Hager fut au rendez-vous pour déterminer, avec le tableautier et l'entreprise, les solutions techniques permettant un gain de place et l'installation d'un TGBT adapté.CitationsVincent Baron, responsable de département IML CA Brie Picardie« Hager fait partie des majors dans son domaine. C'est un leader au niveau tertiaire, et c'est donc un gage de qualité et l'assurance d'un matériel à la pointe. »Damien Dollé, responsable d'affaires EEP« En phase travaux, nous avons eu l'aide d'Hager pour les plans, les schémas, les notes de calcul, et celle du tableautier pour les implantations. Bien sûr, c'est nous qui avons pris en charge la réalisation sur site et l'accompagnement. Il y a donc vraiment un fil conducteur, c'est un travail d'équipe qu'on ne retrouve pas sur tous les dossiers. ».Christophe Delique, gérant Etablissement Delique« Un véritable partenariat entre Hager, EEP et nous-mêmes. Tout s'est vraiment bien passé et nous étions tous contents. C'est important de le souligner. Ce n'est pas tous les jours qu'il y a une telle entente sur chantier. »Fiche techniqueMaître d'ouvrage : Crédit agricole Brie PicardieMaître d'œuvre : PCA-Stream Philippe Chiambaretta ArchitectePromoteur constructeur : Legendre ImmobilierInstallateur : EEP VinciTableautier : ETS Delique
Il y a 4 ans et 0 jours

Lean Construction : La FFB Grand Paris IDF accompagne les entreprises du bâtiment

Afin d'accompagner les entrepreneurs dans cet environnement complexe, la Fédération Française du Bâtiment Grand Paris Île-de-France lance sa 3ème session de formation/action sur le Lean Construction à destination de ses adhérents et poursuit son engagement pour l'amélioration de la productivité des entreprises.Après s'être développée dans le domaine de l'industrie, la démarche Lean se déploie dans le monde du Bâtiment pour accompagner les dirigeants d'entreprise et les salariés à optimiser la gestion de leurs chantiers de manière collaborative. Cette méthode vise à perfectionner le processus de production, par le biais de la chasse au gaspillage et permet entre autres un gain de productivité, une réduction des délais de chantier, une amélioration de la qualité des travaux... Durant les deux précédentes sessions, en 2019 et 2020, organisées par la FFB GP IDF, les TPE et PME, de 6 à 48 salariés, exerçant dans tous corps de métiers, ont pu se former à la démarche. Au cours de ces formations, les entreprises s'approprient les outils du Lean Construction afin de mettre en place des actions concrètes au sein de leur structure. Outre les bienfaits économiques, le Lean Construction contribue également au bien-être des collaborateurs et à la prévention des risques professionnels. A cet effet, l'OPPBTP a publié un guide en mars « Lean Construction : une démarche favorable à la prévention » pour souligner les bénéfices du Lean Construction à travers plusieurs chantiers expérimentaux.Le président Dominique Zaccagnino, en charge de la formation Lean Construction pour la FFB Grand Paris IDF déclare « Nous sommes convaincus des bienfaits du Lean Construction pour les entreprises du Bâtiment car cette méthode représente un véritable avantage concurrentiel pour le développement économique et managérial des entreprises. En outre, le Lean Construction, c'est aussi un process de réflexions et d'échanges en amont pour une plus grande efficience sur le terrain et au quotidien. C'est pour toutes ces raisons que nous avons souhaité renouveler cette offre de formation/action et proposer une nouvelle fois à nos adhérents cette démarche vertueuse. »Le témoignage de Monsieur OuvrardEric Ouvrard, directeur de l’Entreprise Ouvrard SAS et participant de la session Lean Construction en 2019, nous livre les raisons qui l’ont poussé à se former : « Notre entreprise répond essentiellement à des marchés à bons de commandes, on a des centaines d’intervention par mois. En 2018, on était dans une situation où on sentait que la machine allait exploser, il fallait trouver une solution. On avait de gros problèmes de gestion des flux. A cette période, la FFB Grand Paris Île de France a lancé de nouvelles formations sur le Lean Construction. Convaincus par les bienfaits du Lean pour notre entreprise, nous décidons de nous y former. » Avant de poursuivre sur l’application concrète en entreprise :« Les premiers mois ne sont pas simples, non seulement il faut la volonté de toutes les parties prenantes mais il faut aussi un investissement total. Pour les membres cadres, il a fallu accepter de ne plus fonctionner comme avant. Quand on développe le Lean, la solution ne vient pas d’en haut, c’est l’inverse, la solution vient du terrain. ». L’important investissement pour basculer vers le Lean a vite porté ses fruits pour l’Entreprise de 50 salariés : « Tout le monde s’est approprié la démarche, c’est devenu naturel. L’apport du Lean s’est fait sentir sur un chantier où au bout de 6 mois de démarrage nous avions déjà 4 mois de retard, alors nous avons mis en place le Last Planner System et la semaine prochaine nous allons livrer le chantier dans les délais. Le Lean s’applique aussi dans la gestion de l’entreprise. Durant le premier confinement, nous avons perdu le marché de l’un de nos plus gros clients. Grâce à la démarche Lean, nous avons pu répondre à de très nombreux appels d’offres, et nous les avons tous remportés ! »
Il y a 4 ans et 7 jours

Paris-Saclay : AAPC d’assistance urbaine et paysagère à la maîtrise d’ouvrage

L’EPA Paris-Saclay lance un AAPC d’assistance urbaine et paysagère à la maîtrise d’ouvrage sur des secteurs de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique au sein du Campus urbain. Jusqu’au 16 juillet 2021. Afin de l’accompagner dans le développement et la conception de certains secteurs de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique, l’EPA Paris […] L’article Paris-Saclay : AAPC d’assistance urbaine et paysagère à la maîtrise d’ouvrage est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 42 jours

Jean Castex confirme l'urbanisation du Triangle de Gonesse

GRANDS PROJETS. Le Premier ministre a annoncé l'arrivée de plusieurs projets structurants pour compenser l'abandon d'Europacity, sur la Zac du Triangle de Gonesse, au nord-est de Paris, et confirmé la création d'une gare de la ligne 17 du Grand Paris Express.
Il y a 4 ans et 56 jours

La filière bois au cœur de la stratégie bas carbone

Le Gouvernement vient d’annoncer des mesures pour accélérer la contribution de la filière bois-forêts dans la transition bas carbone. Par la signature d’un avenant ambition au contrat stratégique avec les acteurs de la filière et l’annonce de nouveaux dispositifs, les ministres en charge de l’Agriculture et de l’Alimentation, du Logement et de l’Industrie, renouvellent l’accompagnement apporté à ce secteur pour répondre au défi climatique. Cette actualisation du contrat, dans la perspective de France Relance, affirme trois objectifs majeurs. L’optimisation du puits de carbone du secteur forêt-bois au service des transitions écologiques et bas carbone. Une mobilisation renforcée de la filière et de l’Etat en faveur de la souveraineté industrielle de la France, en cohérence avec le potentiel forestier national et par un soutien aux implantations industrielles et à la relocalisation d’unités de transformation de bois. Une coopération intra et inter-filières pour renforcer les compétences, et optimiser le fort potentiel d’emploi du secteur forêt-bois notamment en milieu rural. Les ministres ont réaffirmé la détermination du Gouvernement dans la transition bas carbone et présenter plusieurs nouveautés, notamment en lien avec le plan France Relance, pour accélérer le développement de la filière bois-forêt : – Une nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs (RE2020) qui encourage la mixité des matériaux. Emmanuelle Wargon a rappelé que la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs (RE2020) fixera un cadre pour atteindre les objectifs de décarbonation du secteur du bâtiment en valorisant notamment le stockage du carbone et donc la construction bois et biosourcée. La filière forêt-bois s’est dite prête à relever ce défi en présentant un plan « ambition bois 2030 » fondé sur dix engagements : former, développer l’offre de produits, planter et replanter, favoriser la mixité constructive, réduire les coûts, recycler en fin de vie, etc. – Un soutien renforcé à l’Accélérateur de croissance filière bois pour les PME et les ETI à hauteur d’un million d’euros. Attachée au développement des compétences pour les salariés comme pour les dirigeants, Agnès Pannier- Runacher a annoncé le soutien, à hauteur d’un 1 million d’euros, l’accélérateur de croissance filière bois pour les PME et ETI. Deux nouvelles promotions de 30 dirigeants intégreront cet accélérateur, opéré par Bpifrance avec l’appui du CSF Bois et cet outil aura vocation à être un levier pour renforcer la diversité des parcours et l’égalité des chances au sein de la filière. – Un appel à manifestation d’intérêt pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois ouvert. Les trois ministres ont annoncé l’ouverture d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois innovants. Ouvert jusqu’au 13 juillet 2021, il vise à identifier l’ensemble des projets pouvant contribuer au changement d’échelle de l’offre industrielle d’éléments techniques tant de rénovation que de construction en bois. Ils devront également concourir à l’objectif de souveraineté nationale, avec la valorisation de ressource forestière française transformée sur le territoire. Des propositions sont attendues aussi bien dans la phase de production industrielle du matériau bois transformé (panneaux, poutres, lamellé collé, CLT…) que dans la phase de préfabrication d’éléments constructifs en bois. L’AMI englobe les principales techniques constructives à base de bois qui sont appelées à se développer de manière significative d’ici à 2035 avec la croissance de la demande intérieure.   Photo : Construction par Matis de la structure bois de Green Office Enjoy. ZAC Clichy Batignolles. Bouygues Immobilier. 75017 Paris. 23 juin 2017
Il y a 4 ans et 110 jours

Près l’Université de Chicago, 89 logements familiaux signés Parc architectes

Parc Architectes (Brice Chapon et Émeric Lambert) présente ZAC Paris Rive Gauche à Paris (XIIIe) un immeuble de 89 logements en structure bois, îlot réalisé en partenariat avec Studio Gang, architecte de l’antenne parisienne de l’Université de Chicago.* Le chantier débutera en 2021. Communiqué. Tissés ensemble Longtemps associé à un quartier industriel, cette partie du […] L’article Près l’Université de Chicago, 89 logements familiaux signés Parc architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 130 jours

Une poignée de militants débutent "l'occupation de la ZAD" du Triangle de Gonesse

Sauvés de l'artificialisation par Emmanuel Macron, qui a abandonné le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity en novembre 2019, le sort des 280 hectares de terres agricoles situées à une quinzaine de kilomètres de Paris reste encore incertain."Nous revendiquons l'abandon du projet de gare et de ZAC, pour que le projet agricole alternatif que nous portons puisse commencer", a dit à l'AFP Bernard Loup, le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Le militant associatif a expliqué qu'une douzaine de personnes, "des soutiens du collectif", ont décidé dimanche matin de "débuter l'occupation de la zone". Des tentes ont été installées, ainsi que l'eau et l'électricité, et "une douzaine de personnes vont dormir sur place", a-t-il précisé. Pour l'heure, il est prévu que cette zone, interdite à l'habitat car coincée entre les aéroports Paris-Charles de Gaulle et du Bourget, accueille une gare de la ligne 17 du métro du Grand Paris Express d'ici 2027, et une ZAC avec bureaux.De son côté le CPTG soutient le projet agricole de l'association Carma, qui comprendrait notamment l'installation d'activités maraîchères et horticoles dans une dynamique de circuits courts.
Il y a 4 ans et 151 jours

Après Europacity, tensions et convoitises autour des terres agricoles au nord de Paris

Sauvés de l'artificialisation par Emmanuel Macron qui a abandonné le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity en novembre 2019, le sort des 280 hectares de terres agricoles situées à une quinzaine de kilomètres de Paris reste encore incertain."Le président de la République a eu le courage politique d'abandonner Europacity, maintenant il faut aller au bout et faire un projet du XXIe siècle", s'impatiente Bernard Loup, président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), au milieu d'un lopin boueux tout près de l'autoroute A1 survolé par quelques avions.Pour l'heure, il est prévu que cette zone soit interdite à l'habitat car coincée entre les aéroports Paris-Charles de Gaulle et du Bourget, accueille une gare de la ligne 17 du métro du Grand Paris Express d'ici 2027, et une ZAC avec bureaux."La région parisienne ce sont des terres de maraîchage parmi les plus riches du monde, c'est dommage de faire une énième construction... Peut-être qu'on peut la faire un peu plus loin ?", s'interroge Guillaume Moucheroud, venu en "simple citoyen" et en famille depuis Vanves (Hauts-de-Seine) pour participer dimanche à une action de mobilisation .De son côté le CPTG soutient le projet agricole de l'association Carma qui comprendrait notamment l'installation d'activités maraîchères et horticoles, dans une dynamique de circuits courts."Il faut protéger ces terres qui peuvent devenir une vitrine aux portes de Paris et le monde de la transition écologique est prêt à s'y investir", martèle Alice Leroy, secrétaire générale de CARMA.Parmi les quelque 500 manifestants dimanche, plusieurs élus écologistes et de gauche ont pris la parole, à l'image d'Eric Piolle le maire (EELV) de Grenoble ou la députée insoumise de la Seine-Saint-Denis - candidate aux régionales - Clémentine Autain."On a gagné sur Europacity, il faut absolument que la mobilisation reste" pour "laisser les terres à l'agriculture", estime l'eurodéputé et probable candidat à la primaire EELV de septembre Yannick Jadot, selon lequel "le projet d'Emmanuel Macron sur l'artificialisation des terres, c'est de la "guignolade."Unique gare de métroSur le volet judiciaire pourtant, les défenseurs du projet Carma viennent d'essuyer plusieurs revers.La justice administrative a définitivement validé en juillet la création d'une ZAC et a retoqué en appel, en décembre, un recours déposé contre le plan local d'urbanisme de Gonesse ouvrant la voie à l'aménagement du site. Une troisième procédure est également en cours devant la Cour administrative d'appel de Paris.Attachés à la création d'une gare du métro, qui serait la seule du Val-d'Oise, des élus du département et de la Seine-Saint-Denis - soutenus par la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse - insistent sur la nécessaire amélioration de l'offre de transports en commun dans l'est du Val-d'Oise, touché par la pauvreté."Une centaine de militants politisés représentant une minorité ne peuvent pas continuer de prendre en otage l'avenir et les nombreuses opportunités d'emplois de centaines de milliers de Valdoisiens à l'est du département", a réagi dimanche Marie-Christine Cavecchi, présidente (LR) du conseil départemental."Si vous construisez la gare, dans quelques années il n'y a plus de terres agricoles", craint pourtant le député du Val-d'Oise (Les nouveaux démocrates) Aurélien Taché.Dans un rapport daté de décembre et adressé au Premier ministre, dont l'AFP a eu connaissance dimanche, le préfet du Val-d'Oise estime que le chantier de la gare doit être "conforté" et se montre favorable à l'aménagement d'une ZAC de 110 hectares pour accueillir des équipements publics et des projets allant de l'industrie à "l'agriculture urbaine"."La localisation du Triangle de Gonesse fait de cette ZAC le lieu adéquat pour conduire une opération d'aménagement ambitieuse", écrit le préfet Amaury de Saint-Quentin.Ses propositions s'inscrivent dans le futur "plan pour le Val-d'Oise" annoncé par Jean Castex en novembre, notamment avec l'objectif de renforcer les services publics et qui doit être dévoilé prochainement.
Il y a 4 ans et 189 jours

Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay lance une consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte stationnement / restauration d’entreprise au sein de la ZAC de Satory Ouest à Versailles. Jusqu’au 8 janvier 2021. Cette consultation a pour objet la désignation d’une maitrise d’œuvre pour la construction d’un programme mixte de 4 niveaux comprenant un parking silo et un restaurant […] L’article Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 196 jours

Lancement des travaux du premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus urbain de Paris-Saclay

Première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay, elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Après une consultation lancée en août 2018, l'EPA Paris-Saclay a retenu le groupement* mené par Demathieu Bard Immobilier (DBI) pour la réalisation d'un programme de 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant de 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l'Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. Après la sélection d'un groupement de maîtrise d'œuvre mené par l'agence d'architecture Atelier WOA, l'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé en fin d'année 2019 une promesse synallagmatique de vente. E, L'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé, en novembre 2020, un acte authentique de vente permettant le lancement du chantier.Une résidence étudiante conçue sur le modèle des « hacker houses »Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et un programme pour « hackers ». La résidence sera gérée par Global Exploitation et intègrera environ 40 lits à destination de Seed Up, gestionnaire pour la partie « Hacker house ».Les étudiants, logeant dans cette résidence, pourront ainsi formuler le souhait d'être intégré au sein d'un logement en colocation géré par Seed Up. Ces derniers réaliseront des missions commanditées par des entreprises et des grands comptes du territoire (codage informatique, recherche,…). En contrepartie, les étudiants membres de ce programme bénéficieront d'une réduction, voire d'une gratuité totale de leur loyer et pourront même percevoir une rémunération.Au sein des locaux, la résidence offrira des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants de Seed Up auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique.La résidence proposera à l'ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport.Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementaleLe projet conçu par l'Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l'EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées.Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l'infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés.Cela va dans le sens de l'implication de l'EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre dernier, par lequel l'EPA s'engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d'utilisation de 30% de bois d'origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent).Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA.*Le groupement se compose de Demathieu Bard Immobilier (opérateur-mandataire), Seed Up (gestionnaire de hacker houses) et Global Exploitation (via sa filiale SuitEtudes). Le groupement est accompagné de l'Atelier WOA (Architecte et MOE d'exécution), Pouget Consultants (BET fluides et thermique) META Atelier Acoustique (BET acoustique) mais également de Sylva Conseil pour la construction bois et GERA'nium pour la dimension environnementale.
Il y a 4 ans et 196 jours

Premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus de Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay a signé un acte de vente avec le groupement mené par Demathieu Bard Immobilier, promoteur immobilier en charge de la maîtrise d’ouvrage de la première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay. Elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Le programme comprend 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant sur 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. L’agence d’architecture Atelier WOA avait préalablement été sélectionnée pour la maîtrise d’œuvre. Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique. La résidence proposera à l’ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport. Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementale Le projet conçu par l’Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l’EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées. Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l’infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés. Cela va dans le sens de l’implication de l’EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre 2020, par lequel l’EPA s’engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d’utilisation de 30% de bois d’origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent). Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA. Aménageur : EPA Paris-Saclay Maîtrise d’ouvrage : Demathieu Bard Immobilier Maîtrise d’œuvre : Atelier WOA Surface de plancher : 5 509m² Début des travaux : novembre 2020 Livraison : septembre 2022 Visuel : Atelier WOA