Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61931 résultats)
Il y a 2 ans et 284 jours

Un impératif : bâtiments et villes face au changement climatique

Alexandra Lebert - Photo : Raphaël DautignyFace au changement climatique, ce domaine d'action stratégique est structuré autour de deux axes : l'atténuation et l'adaptation. L'urgence est de décarboner le secteur de la construction dans ses phases de construction, d'exploitation et de rénovation. Comprendre précisément notre responsabilité collective en termes d'émissions de gaz à effet de serre, quantifier les solutions de décarbonation ainsi que les besoins d'investissements pour les prioriser et construire des scénarios à l'échelle de parcs ou de territoires seront nos axes de travail. Concernant l'axe Adaptation aux effets du changement climatique, nous avons fait le choix de mettre l'accent sur la lutte contre les îlots de chaleur urbains (ICU) et la disponibilité de la ressource en eau. La recherche du CSTB est à ce croisement : une exigence de rigueur scientifique couplée à une volonté d'"opérationnalité" et de mise en application rapide et partagée. Alexandra Lebert - Directrice de Domaine d'Action Stratégique Recherche En savoir plus : Consultez les Feuilles de route scientifiques et techniques, vision 2030 Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 284 jours

Le marché de la fenêtre en France progresse de 12,5% en volume en deux ans

Dans la continuité des constats effectués ces dernières années, la fenêtre numéro 1 est à nouveau la fenêtre PVC qui :représente plus d’1 fenêtre sur 2 (plus de 59% des parts de marché, +12,6% par rapport à 2019)est installée en maison individuelle dans le cadre de travaux de rénovation, principalement en région Ile-de-Francese décline à plus de 98% sous forme de fenêtre à frappe ouverture à la française, rectangulaire et majoritairement blancheatteint un niveau élevé de performance d’isolation thermique (+82% des fenêtres PVC dépassent les exigences requises dans MaPrimeRenov’)reste la 1ère fenêtre de France marquée NF.* L’Etude du marché de la fenêtre 2021, menée par le Cabinet Prospection & Prospection entre mars et juillet 2022, pour le compte des organisations professionnelles SNFA, UMB-FFB, UFME, avec le soutien financier du CODIFAB.Un secteur qui restera agilePour Bruno Cadudal, Président de l’UFME : « Le marché de la fenêtre a dépassé, en 2021, les 11 millions d’unités (soit une croissance de 12,5% en volume en deux ans) et devrait réussir à progresser encore légèrement en 2022, notamment grâce à la constante expansion de la rénovation chez les particuliers. En effet, le Cabinet P&P a présenté la menuiserie comme un secteur agile dont l’offre devrait pouvoir continuer à répondre à la demande, en restant prudent sur le fait que le marché avance actuellement en flux tendus, en termes de matériaux, mais également et surtout en termes de ressources humaines. Deux points auxquels nous portons une grande vigilance. Notre objectif vise toujours à valoriser la fenêtre de fabrication française, ses atouts et ses performances, notamment à travers le marquage NF. Il est aussi essentiel de tout mettre en œuvre pour rappeler l’efficacité des menuiseries dans le cadre des travaux de rénovation. D’autant plus aujourd’hui où nous connaissons une crise énergétique sans précédent. A l’heure où le spectre de restriction plane, il est indispensable d’allier confort, économies d’énergie et préservation du pouvoir d’achat des ménages. En parallèle, notre filière se doit de continuer à faire connaître nos métiers et nos savoirs, afin d’attirer les nouvelles générations vers une profession qui s’est énormément modernisée. »La synthèse de l’étude du marché de la fenêtre 2021 rédigée par l’UFME est disponible auprès du service presse ou en téléchargement depuis la bibliothèque en ligne sur ufme.fr
Il y a 2 ans et 284 jours

Hauts-de-Seine : la chapelle de l’ancien hôpital de la reine Marie-Antoinette à Saint-Cloud sélectionnée pour l’édition 2022 du loto du patrimoine

Hauts-de-Seine : la chapelle de l’ancien hôpital de la reine Marie-Antoinette à Saint-Cloud sélectionnée pour l’édition 2022 du loto du patrimoine
Il y a 2 ans et 285 jours

Wienerberger affiche une forte croissance au premier semestre 2022

Wienerberger constate à l’échelle du Groupe une forte progression de son chiffre d’affaires (+38%), pour atteindre 2.572 millions €, tandis que l'EBITDA opérationnel grimpe à 545 millions €, soit un bond de 79% par rapport au premier semestre 2021.Faits marquantsCroissance généralisée de Wienerberger dans toutes ses régions et secteurs d'activitéForte progression (+38%) du chiffre d'affaires, qui s’établit à 2.572 millions €EBITDA opérationnel en hausse de 79% à 545 millions €Intégration réussie des acquisitions réalisées en Europe et en Amérique du NordPerspectives pour 2022Poursuite de la croissance attendue au second semestre grâce à l'innovation et aux solutions systèmesEBITDA opérationnel prévu pour 2022 > 900 millions €Grâce à la résilience de son modèle économique, Wienerberger réalise une solide performance au premier semestre 2022 malgré un environnement difficile caractérisé par l'instabilité géopolitique, la hausse des taux d'intérêt, notamment en Europe, ainsi que l’envolée des coûts et de la dette publique qui en résulte.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration de Wienerberger AG : « Le Groupe doit son excellente performance au travail acharné de tous nos salariés et à la transformation réussie de notre modèle économique, sans oublier notre force d'innovation dans tous les secteurs où nous évoluons. Aujourd'hui, nos activités sont davantage diversifiées en matière de débouchés et de répartition géographique. Étant donnée notre forte exposition aux marchés de la rénovation et des infrastructures dans le secteur de l’eau, nous avons indiscutablement gagné en résilience. Nous sommes résolus à poursuivre sur cette voie, grâce à une stratégie de croissance éprouvée, axée sur l'innovation, les solutions système et le développement durable. Ces efforts soutenus, qui sont essentiels pour élaborer des solutions durables et économes en énergie, nous permettent de contribuer utilement à l’atteinte des objectifs climatiques. »La performance du premier semestre 2022 a bénéficié d’une forte demande, de la mise en œuvre de gains d’efficacité, d’une excellente gestion des achats et de l'intégration rapide et efficace des sociétés acquises l'année dernière, dont la contribution aux bénéfices a été substantielle.Depuis plusieurs semaines/mois, Wienerberger œuvre sans relâche pour sécuriser l'approvisionnement énergétique de ses 220 sites de production. À cette fin, l'entreprise a élaboré des plans d'urgence et travaillent en étroite collaboration avec les États. Conformément aux ambitions de notre stratégie ESG, nous accélérons notre programme d'investissements pour convertir nos usines de production à des sources d'énergie renouvelables comme l'électricité, l'hydrogène, le biogaz et le gaz de synthèse. Nous privilégions un approvisionnement énergétique local et indépendant.Performance des entités opérationnelles de WienerbergerAu cours du premier semestre 2022, Wienerberger Building Solutions a affiché des résultats extrêmement satisfaisants malgré un marché du logement en légère baisse, de - 2% à - 5%. Grâce à une forte demande et à un carnet de commandes bien rempli, l'activité Wienerberger Building Solutions a enregistré une forte croissance de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices. Au cours des six premiers mois de l'année, le chiffre d’affaires externe a crû de 22% pour atteindre 1.358,3 millions € (2021 : 1.115,4 millions €). L'EBITDA opérationnel a grimpé de 56% pour s’établir à 341,4 millions € (2021 : 218,8 millions €) sur la même période.L’activité Wienerberger Piping Solutions continue sur sa lancée avec une croissance soutenue et d’excellents résultats au premier semestre 2022. Dans le domaine des infrastructures, l’entité opérationnelle a de nouveau enregistré une forte demande pour les systèmes « tout-en-un » associant gestion de l'eau et de l'énergie. Dans l'ensemble, le chiffre d’affaires externe généré par Wienerberger Piping Solutions a grimpé de 30% pour atteindre 742,2 millions € (2021 : 569,7 millions €), tandis que l'EBITDA opérationnel s'est amélioré de 56% pour s’établir à 92,7 millions € (2021 : 59,4 millions €).Grâce à des conditions de marché favorables, l’activité Wienerberger Amérique du Nord a de nouveau enregistré une augmentation remarquable de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices au cours du premier semestre. On doit cet excellent résultat à une croissance interne toujours forte dans le secteur des tuyaux en plastique, à la bonne tenue du marché de la brique et à l'acquisition de Meridian Brick, dont la contribution est satisfaisante. Le chiffre d’affaires a plus que doublé pour s’établir à 470,6 millions € (2021 : 180,2 millions €) au cours de la période considérée. L'EBITDA opérationnel a atteint le niveau exceptionnel de 111,2 millions € (2021 : 26,8 millions €).Perspectives pour 2022Wienerberger anticipe un développement stable du secteur de la rénovation en 2022. Des fonds considérables sont disponibles pour améliorer l'efficacité énergétique du parc immobilier vieillissant et réduire ainsi les émissions de CO2 (Pacte vert de l'UE et autres initiatives nationales). De même, nous anticipons une évolution stable dans le secteur des infrastructures, car des fonds supplémentaires sont également disponibles pour la modernisation et la réparation des réseaux d'eau et d'énergie en Europe et en Amérique du Nord. La rénovation et l'infrastructure représentaient 51% de l'exposition totale de Wienerberger au marché en 2021. Le marché du logement neuf pâtit actuellement d’une offre insuffisante, tandis que la demande de logements reste élevée. Compte tenu d’un environnement difficile, Wienerberger anticipe un léger déclin des marchés du neuf en Europe et en Amérique du Nord au cours du second semestre. En fonction de chaque marché, cette baisse pourrait atteindre - 5%, dans la ligne droite du premier semestre.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration du groupe Wienerberger : « Nous sommes bien conscients que les marchés financiers anticipent actuellement une tendance à la récession sur l'ensemble des marchés du BTP. Cependant, nos activités sous-jacentes se portent bien. Nous n’anticipons pas d’apaisement sur le plan géopolitique au cours du second semestre, et l’incidence sur l'économie restera perceptible. Chez Wienerberger, nous sommes préparés à toute éventualité et en mesure de réagir rapidement à toute évolution du marché. Nous poursuivons donc nos investissements dans le développement de solutions novatrices et durables pour la construction, la rénovation et les infrastructures dans le domaine de l’eau. C’est en privilégiant l'innovation et les solutions systèmes que nous maintiendrons une croissance interne forte. »Wienerberger a réussi à diversifier son modèle économique ces dernières années, réalisant ainsi des gains de résilience conséquents. Grâce aux mesures mises en œuvre ces derniers mois et à la poursuite du bon développement de l'activité, Wienerberger cible en 2022 un EBITDA opérationnel > 900 millions €.Le rapport semestriel 2022 complet est disponible à l’adresse suivante : https://www.wienerberger.com/en.
Il y a 2 ans et 285 jours

Plafonds et habillages bois haut de gamme pour la rénovation de plusieurs Halls de l'aéroport Paris-Charles de Gaulle

Chaque solution, par son design et son aspect technique, a permis de répondre aux exigences qui étaient extrêmement élevées. Retour sur les enjeux de ces projets et sur les solutions livrées. Des transformations impressionnantes, pour une hospitalité aéroportuaire améliorée L'aéroport Paris-Charles vient d'être élu meilleur aéroport européen par l'organisme anglo-saxon Skytrax, en matière de qualité de l’offre de produits et de services axée sur le client. C’est donc sans surprise que le premier aéroport d’Europe fasse régulièrement l’objet de projets d’amélioration. Karine Droit-Mijoule, Architecte responsable d'agence au sein du Groupe ADP, explique : « Un aéroport est un organisme vivant : ses usages, les attentes de ses usagers et les normes auxquelles il est soumis évoluent sans cesse. Son architecture ne cesse donc d’être interrogée. » Aussi, deux des halls du Terminal 2E ont dernièrement été complètement revisités : les Hall L et K ont en effet fait l’objet de divers travaux d’aménagement, à quelques années d’intervalle. Lorsque les études pour la réhabilitation du Hall L ont été lancées en 2016, les objectifs étaient clairs : il s’agissait de gagner en satisfaction client, grâce à la qualité de l’offre globale pour les passagers. Karine Droit-Mijoule détaille : « Le but était en fait d’offrir à nos clients un espace plus en adéquation avec des standards nouveaux et avec une vision globale pour la prochaine décennie. » Les modifications qui ont été entreprises, ont donné lieu à une véritable transformation : amélioration de la lisibilité du parcours, revitalisation et désencombrement de la zone d’embarquement et amélioration de l’expérience des passagers étaient les priorités. En effet, le Terminal 2E Hall L porte les ambitions du Groupe ADP en matière d’hospitalité aéroportuaire : « Il a été réalisé avec un objectif très spécifique : celui de créer un lieu unique. Le Groupe ADP fait d’ailleurs régulièrement appel à des designers extérieurs renommés, pour mettre certains de ses espaces en valeur. » Les travaux ont été lancés en 2018. En 2016, la zone de commerce du Hall K a été l’objet d’une réhabilitation complète : « La volonté était de développer et de renouveler l’offre. De plus, l’image était obsolète : elle n’était pas en relation avec les concessionnaires luxe que l’on souhaitait attirer », explique Marc Angély, Architecte d’intérieur directeur d’agence chez le Groupe ADP. « Il y a eu un travail de recomposition de l’espace et de l’ambiance pour créer un écrin permettant aux marques de luxe, telles que Cartier, Hermès, Chanel, Dior, Tiffany ou Gucci, de s’exprimer dans le respect de leurs propres concepts. » Des solutions qui répondent aux exigences esthétiques Après trois années de travaux de réhabilitation, le Terminal 2E Hall L affiche un tout nouvel aspect : le mobilier, le sol, les murs, les éclairages et le plafond sont bien différents de ceux d’autrefois. Côté plafond, le changement est stupéfiant : d’un acier sombre, on passe à des lames blanches en bois. Conçu et fabriqué par Hunter Douglas, le nouveau plafond est en effet composé de 8.000 m2 de grilles en bois massif, avec un laquage blanc mat sélectionné parmi plusieurs échantillons de blanc proposés par le fabricant. Bien qu’étant ouvert à 50%, le défilement des lames donne l’illusion d’un plafond fermé lorsque le regard se porte au loin. Magnifiquement complété par un sol fait de béton coulé avec agrégat de marbre blanc, il permet à la zone d’embarquement d’être plus visible. Karine Droit-Mijoule commente : « Avant, cette zone était sombre : en plus du plafond acier, tout le sol était en moquette de couleur foncée. À présent, l’association du sol et du plafond crée une ligne directrice claire. » Côté mur, le bois s’exprime dans toute sa splendeur. 1.000 m 2 de lames en bois de noyer blanc, délimitées et nano-perforées, avec vernis incolore, ont été installées en remplacement de murs équipés de miroirs ; une réalisation « remarquable graphiquement parlant » pour Marc Angély. Pour compléter les nouveaux aménagements du Hall, des luminaires installés au plafond mettent en valeur les nouveaux éléments : en plus de créer un éclairage transversal, ils soulignent la ligne directrice. Une partie d’entre eux visent aussi à mettre en valeur les murs tout en harmonisant la visibilité des zones, en évitant une alternance de zones lumineuses (écrans led et enseignes) et de zones sombres (murs sans écrans). Pour Karine Droit-Mijoule, les travaux ont porté leurs fruits : « Toute l’ambiance a été refaite : entre l’agencement intérieur et les nouveaux matériaux, on a redonné de l’éclat. » Le Hall K, rénové quelques années plus tôt, bénéficie de solutions similaires : Hunter Douglas a livré 1.200 m2 de grille de plafond en bois massif à lames, dont les couleurs, blanc et marron, ont été sélectionnées parmi des échantillons réalisés pour le projet ; les lames sont superbement soulignées par un placage bois installé tel un système de nervation. Le fabricant a également fourni 650 m2 de parements muraux en bois de noyer d’Amérique ramageux avec nano-perforations. « Le système de nervation finit et accompagne le plafond ; il le rend solidaire avec l’habillage de bois qui vient draper le mail. » précise Marc Angély. Pour l’architecte d’intérieur, l’ambiance est incontestablement améliorée, le design réussi : « Auparavant, la zone était peu lumineuse ; le plafond métallique n’était plus aux standards. Pour ce qui est de l’habillage, il y a un vrai sujet de finition et une parfaite réussite à ce niveau-là : un jeu graphique est créé par les panneaux qui ne sont jamais les mêmes, et cette différence donne la vérité à l’ambiance et au matériau. » Des solutions pratiques, pour répondre aux contraintes techniques Si l’aspect esthétique était primordial pour le choix des nouveaux éléments, l’aspect pratique était également essentiel. En effet, pour les deux Halls, il était notamment nécessaire de mettre en place un faux plafond qui allait pouvoir permettre un accès aisé au plénum, pour des besoins de sécurité et de maintenance. Karine Droit-Mijoule commente : « Dans le Hall L par exemple, l’ancien plafond suspendu était composé de grilles en acier et permettait l’accès au plénum. Nous avons privilégié un nouveau plafond avec une ouverture à 50%, tout comme l’ancien ; c’est une nécessité, en particulier pour le désenfumage. » Pour ces projets, Hunter Douglas a su livrer des solutions adaptées aux contraintes techniques existantes. Compte tenu des délais stricts et de l’exploitation continue du site, le fabricant a notamment dû réutiliser la structure primaire existante avec un format de cadre spécifique, pour supporter le nouveau faux plafond du Hall L. Par ailleurs, la solution conçue permet également de remédier à une problématique posée par les trappes du projet initial. « Elles étaient trop lourdes et donc difficilement manipulables », explique Karine Droit-Mijoule, « le défi était donc de conserver des trappes ouvrantes et de les alléger. » Hunter Douglas a réalisé près de 2.500 m2 de trappes, alignées sur plusieurs rangées pour permettre à un intervenant de faire aisément l’entretien. Olivier Tordjman, Responsable Grands Comptes chez Hunter Douglas Architectural France, précise : « Pour réaliser cela, nos ingénieurs ont dû retravailler les cadres des trappes habituelles. De plus, nous avons habillé les grilles en bois sur les trappes avant livraison. » Dans le Hall K, la solution de plafond installée comprend également des trappes et répond donc aussi aux enjeux de démontabilité et d’accès. Côté revêtement mural, les solutions ont été sélectionnées pour leurs excellentes propriétés acoustiques. Olivier Tordjman précise : « Avec les nano-perforations, on atteint une valeur d’absorption acoustique de 0,90 à 0,95. » Pour Karine Droit-Mijoule les parements nano-perforés du fabricant permettent indiscutablement d’assurer un confort acoustique, elle souligne : « Dans le Hall L, bien que l’on soit passés de la moquette au sol dur, le confort acoustique s’est sensiblement amélioré. » Pour le Hall K, Marc Angély fait le même constat : « Il était nécessaire de garantir un confort acoustique d’un excellent niveau, digne d’un espace intérieur. La technologie et la capacité d’Hunter Douglas à répondre à cette problématique a été extrêmement déterminante dans le choix du produit. » Pour le Hall K, un défi supplémentaire, selon Olivier Tordjman, était posé par les hublots des façades de l’isthme : « Il fallait être extrêmement précis pour fabriquer des parements qui puissent habiller les hublots de façon parfaite. » Le bois, matériau mis à l’honneur Pour ces deux projets, Hunter Douglas a livré des solutions de plafond et de revêtement mural en bois. Pour les architectes du Groupe ADP, ce matériau représente en effet des avantages indéniables. En matière d’esthétique tout d’abord. Le bois est réputé pour la chaleur qu’il dégage. « Il s’agit d’un matériau très enveloppant qui fait sens dans un intérieur», affirme Marc Angély, « de plus, historiquement le Terminal 2E travaille énormément avec le bois ; nous avons un fil conducteur avec l’utilisation du noyer, une essence un peu signature du Groupe ADP, aussi employé dans le Hall M. » En matière de propriétés mécaniques ensuite. L’architecte Responsable d’agence souligne notamment la résistance du matériau : « Nous savions que le plafond allait être soumis à plusieurs opérations d’entretien, ce qui signifiait donc des démontages et remontages réguliers. Or, le bois est un matériau plus résistant que l’aluminium, il n’y a donc pas de risque de déformation. » L’enjeu environnemental a également joué un rôle dans le choix des solutions. Karine Droit-Mijoule explique : « C’est le gros défi lancé par la RE2020. Nous prenons tout cela très au sérieux depuis plusieurs années déjà, mais il est certain que l’enjeu environnemental est de plus en plus important. » Marc Angély confirme : « Le Groupe ADP a pour ambition un objectif 2050 à 0 émissions carbone. Les normes environnementales, dans le traitement du placage, des colles, etc., tout cela entre en compte. Il faut donc que nos fournisseurs proposent des solutions adaptées. » Hunter Douglas Architectural : des services et une offre de qualité Pour les deux architectes, l’accompagnement de l’entreprise sur ces projets était extrêmement important. Un prérequis pour permettre de développer rapidement des solutions optimales : « La collaboration étroite avec Hunter Douglas nous a permis de visualiser non seulement les aspects esthétiques, mais aussi les aspects techniques », explique Karine Droit-Mijoule, « et ce, via des prototypes et échantillons. Ceci nous a permis de très vite valider notre choix. » Marc Angély confirme : « La collaboration a été extrêmement fructueuse car Hunter Douglas nous a permis d’aller au bout des ambitions en termes de qualité. On a eu la possibilité de choisir ce qui nous convenait. Le fabricant a en effet organisé une visite aux Pays-Bas, pour permettre au designer de faire son choix parmi différents lots, puis d’en réserver le nombre nécessaire. Pour Karine Droit-Mijoule et Marc Angély, l’entreprise a pu démontrer son savoir-faire sur ces projets. L’architecte d’intérieur explique : « L’offre de produits nous a permis de trouver des solutions et de réaliser des aménagements et ambiances intérieurs de très grande qualité. » Pour la façade notamment, Hunter Douglas a su développer un produit permettant de balayer les craintes du designer : « Étant quasi invisible, la nano-perforation ne remet absolument pas en cause la vérité du bois, de la veine. Tout cela m’a beaucoup satisfait. » C’est justement la qualité des produits mis en place dans le Hall K qui a orienté le choix de Karine Droit-Mijoule : « Le retour positif du projet avec Hunter Douglas développé dans ce Hall a permis de s'orienter vers la même gamme de produit, même si les concepts étaient différents. » La capacité du fabricant à proposer des solutions capables de remédier à des problématiques techniques est également fortement appréciée. « Il y a une réelle expertise technique qui mérite d’être saluée », conclut Marc Angély. En fournissant des systèmes de plafonds et de revêtements muraux en bois pour l’aéroport Paris-Charles de Gaulles, Hunter Douglas Architectural démontre une fois de plus sa capacité à concevoir et fabriquer des solutions capables de répondre aux exigences les plus élevées. Pour Marc Angély comme pour Karine Droit-Mijoule, les projets menés avec le fabricant sont une réussite. Marc Angély précise : « Pour la Direction client, le Hall K du Terminal 2E est la référence en matière de qualité. Luis Vuitton vient d’y installer une boutique ; la première dans un aéroport du Groupe ADP. C’est une preuve de la réussite de ce projet et de la qualité qu’il véhicule. » Karine Droit-Mijoule conclut : « Le résultat pour les deux projets est tout à fait à la hauteur des enjeux qualitatifs que nous attendions. »
Il y a 2 ans et 285 jours

Bas Smets, le paysagiste belge qui veut verdir les villes et Notre-Dame de Paris

A Hong Kong, Bahreïn, en Amérique, au Portugal, à Bordeaux ou à Arles en France; son cabinet fondé en 2007 à Bruxelles était déjà sollicité partout dans le monde avant d'être sélectionné fin juin par la Ville de Paris pour concevoir le futur parvis de Notre-Dame, à l'horizon 2027.Mais l'architecte paysagiste de 47 ans voit dans ce projet l'opportunité rêvée pour accroître encore la visibilité de son travail, qu'il envisage comme "un laboratoire d'expériences" pour "inventer une sorte d'écologie urbaine", et végétaliser l'espace public bien au-delà de quelques squares."Notre ambition est de transformer la ville pour la rendre résiliente, habitable, agréable", explique Bas Smets à l'AFP."Et si on arrive à le faire sur l'île de la Cité, autour de Notre-Dame, on peut le faire partout", poursuit-il lors d'une rencontre à son cabinet, dans un openspace avec vue panoramique sur Bruxelles où il emploie une vingtaine de jeunes collaborateurs.A Paris, sur un site fréquenté par des touristes du monde entier, Bas Smets veut développer les pelouses arborées de part et d'autre de la cathédrale, et "imaginer le parvis comme une clairière", au milieu de laquelle de l'eau de pluie récupérée dans une cuve ruissellerait au sol par forte chaleur, sur une pente très légèrement inclinée."Il y aura des réflexions éphémères à photographier, et cela produira l'effet d'une averse d'été qui rafraîchit l'air", poursuit ce Belge néerlandophone, diplômé de l'université de Louvain."On peut aussi imaginer que ce ruissellement devienne un rendez-vous quotidien de quelques minutes, comme le scintillement de la tour Eiffel", ajoute-t-il.Le chantier doit commencer en 2024 après les Jeux olympiques et l'achèvement de la rénovation de l'édifice lui-même, gravement endommagé par un spectaculaire incendie en 2019.Inspiré par Central ParkCôté sources d'inspiration, Bas Smets cite le New-Yorkais Frederick Law Olmsted, qui a conçu entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe quantité de parcs urbains aux Etats-Unis, dont le célèbre Central Park de sa ville natale."Il a réfléchi au stockage de l'eau pour amener la nature en ville, organisait les espaces verts en réseau en les reliant entre eux. Il pensait presque déjà au climat avant le global warming (réchauffement climatique)", sourit celui qui aime se décrire en "architecte de paysages".Pour ses projets à travers le monde, le bureau de Bas Smets s'appuie sur des collaborations locales, et le Bruxellois bénéficie pour la botanique des conseils de spécialistes dont ceux du neurobiologiste italien Stefano Mancuso (auteur de "L'intelligence des plantes"), rencontré il y a six ans à Florence.La réflexion avec eux porte notamment sur la nécessité de choisir une végétation adaptée à la nature du sol, au climat. Et qui sans doute devra se montrer plus résistante à la chaleur et aux épisodes de sécheresse susceptibles de se multiplier à l'avenir.Pour la "promenade plantée" créée sur une place du centre-ville de Waregem, en Belgique, Bas Smets a choisi des micocouliers, une espèce méridionale. "J'ai dû me battre parce qu'on sortait de la liste des plantes indigènes", raconte-t-il, "mais dans 50 ans un micocoulier a plus de chances d'avoir survécu qu'un arbre d'ici".Il classe cette réalisation parmi "les projets exemplaires qui montrent qu'on peut réfléchir autrement"... sa formule pour définir tout ce qu'il entreprend. Bas Smets doit aussi transformer et verdir dans les années à venir le quartier de la Gare centrale à Bruxelles, où il déplore le manque d'avenues arborées."Envisager une réponse au changement climatique est très difficile tellement il semble inévitable. Mon espoir est que les villes agissent toutes en même temps pour créer ces réservoirs écologiques, fait-il valoir."Mais il faut le faire maintenant, pas dans dix ans".
Il y a 2 ans et 285 jours

Haute-Garonne : les travaux d’aménagement du giratoire d’accès au futur collège de Castelnau-d‘Estrétefonds sont achevés.

À Castelnau-d'Estrétefonds (Haute-Garonne), le chantier d’aménagement du carrefour giratoire menant vers le futur collège de la commune a pris fin.
Il y a 2 ans et 285 jours

Val d’Oise : Le chantier de la ludo-médiathèque à Herblay-sur-Seine continue.

La construction de la ludo-médiathèque à Herblay-sur-Seine (Val d’Oise) se poursuit même pendant les vacances d’été.
Il y a 2 ans et 285 jours

Loto du Patrimoine : le château de Maison-Blanche en Seine-Saint-Denis fait partie des 100 sites retenus

À Gagny (Seine-Saint-Denis), le projet de réhabilitation du château de Maison-Blanche franchit un nouveau pas avec sa sélection au loto du patrimoine.
Il y a 2 ans et 285 jours

Var : Aménagement du littoral de Toulon, baptisé « De Mayol à Pipady »

La métropole Toulon Provence Méditerranée lance le projet d’aménagement du littoral de Toulon (Var), « De Mayol à Pipady ».
Il y a 2 ans et 285 jours

Marché Français du rafraîchissement adiabatique : à l’occasion de ses 50 ans, SEELEY INTERNATIONAL souhaite renforcer sa présence en France

 Au coeur de la stratégie : le développement d’un réseau d’installateurs et de bureaux d’études partenaires  Après plusieurs décennies d’innovation constante et une expérience acquise dans nombre de pays chauds, tels qu’au Moyen-Orient ou en Australie, SEELEY International souhaite renforcer sa présence en France grâce au renforcement de son réseau d’installateurs sur le territoire national. […]
Il y a 2 ans et 285 jours

Journées européennes du patrimoine : au cœur des premières opérations de restauration de Notre-Dame de Paris

À l’occasion de la 39ème édition des Journées européennes du patrimoine, les 17 et 18 septembre 2022, l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris propose une plongée au cœur des premières opérations de restauration de la cathédrale avec un village du chantier qui se tiendra sur le parvis. Dans le village du chantier, cinq espaces permettront au public de découvrir toutes les étapes des premiers mois de la restauration, en présence des acteurs mobilisés : – espace pilotage (présentation du rôle et du travail de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre) – espace opérations préparatoires à la restauration (présentation des opérations de dépoussiérage global des intérieurs, de dessalement des voûtes et de curage des réseaux techniques, démonstrations) – espace restaurations intérieures (présentation des opérations de restaurations intérieures, explication des protocoles de restauration des sculptures en pierre, des vitraux, du grand orgue et des peintures murales, démonstrations) – espace restauration de la flèche et du transept (présentation des différentes étapes de la reconstruction de la flèche et du transept, explication de l’approvisionnement en bois et en pierre, de la restitution de la charpente et des maçonneries, démonstrations) – espace fouilles archéologiques (présentation des fouilles archéologiques préventives menées à la croisée du transept et du métier d’archéologue, atelier-découverte) Photo : Journées européennes du patrimoine 2021 – Vue générale du Village des métiers organisé sur le parvis de la cathédrale © Brieuc Clerc / Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris  
Il y a 2 ans et 285 jours

Fenix® présente X-Kin™, un nouveau revêtement mural innovant

X-KIN est l'innovation FENIX spécialement créée pour recouvrir les murs et les éléments structurels (piliers, colonnes) dans les projets de décoration intérieure à la manière d'un papier peint. Une surface flexible conçue pour créer des perspectives profondes, relaxantes et originales. Grâce à sa technologie exclusive, X-KIN allie beauté esthétique et performances techniques exclusives. Extrêmement opaque, incroyablement doux au toucher, anti-traces de doigts et avec une excellente résistance des couleurs à la lumière, X-KIN est la solution de revêtement pour concevoir des espaces raffinés au charme et au style intemporels. Les surfaces flexibles X-KIN sont disponibles en quatre couleurs exclusives inspirées des nuances de la palette de matériaux FENIX : Rosso Jaipur, Verde Comodoro, Grigio Londra et Grigio Bromo qui s’associent harmonieusement avec les matériaux FENIX. X-KIN by FENIX est disponible en rouleaux de 1,3 mètre par 10,05 mètres, vendus exclusivement en ligne depuis juin 2022 via le site Fenixforinteriors.shop. Avec X-KIN, FENIX élargit encore le champs des possibles dans l’expérimentation de ses matériaux et amplifie le potentiel créatif du système FENIX grâce à une palette enrichie de ses surfaces aux multiples combinaisons.
Il y a 2 ans et 285 jours

Une maison bois bioclimatique et organique à Baden dans le Morbihan (FR-56)

Au bord du Golfe du Morbihan en périphérie d’AURAY, cette maison s’inspire de l’architecture organique afin d’offrir un condensé d’éléments passifs pour une performance énergétique sans sophistication technique. Achevée début 2012, elle se situe dans une région au climat océanique.   C’est le projet de propriétaires désireux de construire dans leur propriété à BADEN, une […]
Il y a 2 ans et 285 jours

Comme à la maison : réhabilitation et extension d'un groupe scolaire dans le Vorarlberg, par Pedevilla

Morose, la rentrée ? Heureusement, le monde de l'architecture ne manque pas d'événements pour engager une année stimulante face aux profonds changements socio-environnementaux qui s'imposent. À Orléans, Marseille et Rotterdam, on refait ses valises direction un horizon résolument positif. 1. Inventer le […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 285 jours

En Guadeloupe, l'avenir du Centre des arts, occupé, en question

Cet imposant bâtiment de 6 étages et 4.000 mètres carrés qui se dresse en plein centre-ville "était le cœur, le fleuron de la culture en Guadeloupe pendant trois décennies, des années 1970 aux années 1990", se souvient Laurence Maquiaba, membre du Kolèktif Awtis Rézistans (collectif des artistes en résistance).Avec une trentaine d'autres, cette quadragénaire organisatrice de spectacles occupe les lieux depuis le 5 juillet 2021 pour "faire bouger les lignes". Le chantier de la rénovation et de l'agrandissement du CAC était alors à l'arrêt "après des faillites d'entreprises".Depuis, les murs de béton brut ont pris des couleurs, le silence de l'abandon a laissé place à la musique de la création."On y a dormi pendant huit mois", explique Laurence Maquiaba. Ateliers créatifs, spectacles de danse, théâtre, concerts, œuvres picturales, sculptures, au total "300 artistes environ, venus de différents pays, ont participé", raconte l'artiste.Certains caressent désormais l'espoir qu'il devienne "un tiers lieu" et que "le côté laboratoire puisse continuer", précise-t-elle."Belles réalisations"Antonwé Vila, un Guadeloupéen de 54 ans, barbe grisonnante tressée et yeux verts perçants, accueille les visiteurs. En blouse et baggy bleus tachetés de peinture, l'artiste formé aux Beaux-Arts montre la balustrade ornementale de l'entrée."Au tout début, il y avait un tas de fers à bétons et je me suis amusé à piocher dedans pour créer des choses".Présent "quasiment tous les jours pendant un an", Antonwé Vila se dit "un peu fatigué maintenant" par l'occupation.A côté de lui, Freah, un jeune papa, salue quelques "belles réalisations". "Il y a enfin une âme sur le lieu. C'est mieux qu'un gros bloc de béton au milieu de la ville mais j'aimerais qu'il soit sécurisé".Car à l'étage, les créations d'artistes, de type mur végétal, ne suffisent pas à combler certains espaces donnant sur le vide. Des gouttières en plastique permettent à peine de cacher le jour entre deux bâtiments et les fientes de chauves-souris commencent à recouvrir certaines œuvres.Le bâtiment n'est pas étanche et les flaques d'eau y apparaissent à chaque épisode pluvieux.Elu en 2020, le maire de Pointe-à-Pitre Harry Durimel trouve "de plus en plus joli" ce qu'il voit sous ses fenêtres. Mais refuse de visiter le site tant qu'il n'a pas d'existence légale."Ça commence à égayer ma vue, je vois Maryse Condé (écrivaine guadeloupéenne dont le visage peint en géant orne la façade du CAC, NDLR), des visages, de la couleur et grâce à eux, on parle du Centre des arts ", se réjouit le maire.FinancementsHarry Durimel a proposé aux artistes de "passer une convention" afin de "les responsabiliser".Non, a répondu la communauté d'agglomération, Cap Excellence, maître d'ouvrage du projet. Elle a opté pour un programme de travaux "en deux phases" à partir du premier semestre 2023, selon Francesca Faithful, sa vice-présidente en charge de la culture.La première concerne "la mise hors d'eau et hors d'air du bâtiment", l'aménagement du hall d'accueil ou d'une grande salle de spectacle de 1.200 places. La seconde la réalisation d'un restaurant, d'espaces commerciaux, d'un studio d'enregistrement ou de bureaux."Du bluff", répond le maire, pour qui ce projet "pharaonique (...) annoncé à 17 millions d'euros avant d'être finalement évalué à 39 millions" est loin d'être bouclé financièrement.En attendant, certains artistes comme Antonwé espèrent quitter le CAC "le plus rapidement possible et avoir la garantie que les travaux seront entamés et, enfin, finis".Pour Florence Naprix, la porte-parole du Kolèktif Awtis Rézistans, l'occupation ne visait pas à s'approprier le bâtiment mais, au-delà, à ouvrir des discussions pour "déterminer une politique culturelle propre à la Guadeloupe".Laurence Maquiaba, elle, "réfléchit à créer un comité culturel guadeloupéen pour que les collectivités ne puissent plus faire des choses comme ça".
Il y a 2 ans et 285 jours

Un milliardaire tchèque achète un château Louis XVI en Essonne

"Les anciens propriétaires me l'ont dit, ils sont passés chez le notaire en juin", a indiqué mardi à l'AFP le maire de cette petite commune de 1.500 âmes, Serge Deloges, confirmant une information du journal Le Monde.Situé près des forêts de Rambouillet et de Dourdan à une quarantaine de kilomètres au sud de Paris, le Val-Saint-Germain, où repose par ailleurs l'acteur Lino Ventura, abrite ce château construit entre 1772 et 1780 par l'architecte Jean-Benoît-Vincent Barré, considéré comme l'un des plus beaux d'époque Louis XVI en France.On pouvait, à l'époque de ses anciens propriétaires, visiter ce monument historique et y organiser des spectacles ou des chasses au trésor.Dorénavant, il appartient à Daniel Kretinsky, dont la fortune est estimée par le magazine spécialisé Forbes à près de 5 milliards de dollars.Cet homme de 47 ans, à la tête d'un petit empire médiatique et d'un puissant groupe énergétique dans son pays, est un des actionnaires de Fnac Darty, du journal Le Monde ou du club de football anglais de West Ham.Le château du Marais se destine maintenant à l'hôtellerie de luxe.Contacté par l'AFP, l'entourage français de Daniel Kretinsky n'a pas souhaité faire de commentaire sur cet investissement immobilier."Il va y avoir quatre ans de travaux pour transformer un bâtiment comme ça en hôtel de luxe. Ça va faire du travail pour les artisans locaux et, quand ça sera ouvert, on peut espérer que ça crée des emplois dans les environs, dans les secteurs de l'hôtellerie et de la restauration", indique le maire du village, Serge Deloges."La mairie avait un droit de préemption, mais on ne l'a pas utilisé", ajoute dans un sourire l'édile. Selon l'agence Bloomberg, le montant de la transaction serait de 43 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 285 jours

Pour le CNOA, les « vrais » architectes ont vécu, vive les « nouveaux » architectes

Faut-il ouvrir le tableau de l’ordre des architectes au plus grand nombre ainsi qu’une auberge espagnole ? Tel est, affirmé haut et fort, le souhait de Christine Leconte, présidente du CNOA et de quelques prosélytes aquitains ou presque bretons. Les architectes qui savent lire un plan et le mettre en œuvre l’ont mauvaise et sont vent […] L’article Pour le CNOA, les « vrais » architectes ont vécu, vive les « nouveaux » architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 285 jours

Architecture : une nouvelle exposition questionne la densité urbaine

EN IMAGES. La galerie d'Architecture, à Paris, dévoile une nouvelle exposition pensée par le cabinet Itar. Le logement est mis à l'honneur.
Il y a 2 ans et 285 jours

Ingérop innove en lançant sa série de podcasts

Entretien avec une collaboratrice s’exprimant sur un sujet lié l’innovation lors de l’enregistrement d’un podcast d’Ingérop. [©Ingérop] Depuis de nombreuses années, le groupe d’ingénierie et de conseil, Ingérop a acquis une solide notoriété dans l’ensemble des métiers de la construction. Ceci en s’appuyant sur son expertise technique, sa proximité avec ses clients et sa capacité à se renouveler. « Nous sommes plutôt fiers des résultats que nous avons obtenus, de cette dynamique que nous avons et qui s’accélère. Nous voulons la partager et aussi communiquer notre vision », déclare Françoix Lacroix, directeur scientifique et technique d’Ingérop. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 285 jours

A Heudebouville, voyage contemporain vers le futur

Pour se projeter dans le futur, Elon Musk propose des voitures volantes et des fusées. Mais c’est en minibus que Charles Hesters et Pierre Martin-Saint-Etienne (Hemaa) ont fait voyager les journalistes pour leur faire découvrir l’école des Coteaux fleuris, à Heudebouville (Eure). Un petit équipement public ancré dans sa réalité mais qui regarde loin vers […] L’article A Heudebouville, voyage contemporain vers le futur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 285 jours

Aventure à contre-temps en réseau dystopique

Depuis l’avènement de la dématérialisation si chère à l’administration, il appartient désormais aux architectes de vérifier sur les six cent cinquante sites qui les concernent si par hasard, des fois, il n’y aurait pas un document les concernant. Sinon c’est de leur faute ! Ubu roi du numérique. En cette rentrée, il semble nécessaire de recentrer […] L’article Aventure à contre-temps en réseau dystopique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 285 jours

Architecture de verre et fusions environnementales

La particularité de ce matériau photographique réside dans le fait qu’il présente des bâtiments en verre non pas comme des objets autonomes mais plutôt comme un moyen de visualiser leur environnement affecté par les conditions climatiques ou lumineuses. Chronique-photos d’Erieta Attali. Dans cette série de photographies, je ne souhaite pas documenter objectivement les œuvres architecturales […] L’article Architecture de verre et fusions environnementales est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 286 jours

La Cour des comptes veut se débarrasser des vieux PEL, trop rémunérés

Actuellement, le PEL, dont la rémunération est fixée une fois pour toutes lors de la souscription du contrat, paraît peu avantageux avec un taux de 1% depuis 2016, tandis qu'un livret A rapporte le double (2%) et un livret d'épargne populaire (LEP) 4,6%.Mais cela n'a pas toujours été le cas: avant 2015, l'argent placé sur un PEL rapportait plus de 2%. Son rendement était même monté à 3,27% entre 2000 et 2003 et dépassait les 4% avant 1994.En théorie, le PEL est un placement à moyen terme: il permet d'obtenir un prêt à des conditions avantageuses pour acheter un bien immobilier ou financer des travaux. Depuis 2011, il n'est d'ailleurs possible de l'alimenter que pendant 10 ans et de cumuler des intérêts pendant 15 ans.Les PEL souscrits avant 2011 continuent d'accumuler des intérêts pour une durée illimitée, au taux fixé au moment du contrat, ce qui pousse certains épargnants à les conserver plus longtemps.Une situation que dénonce la Cour des Comptes dans un rapport publié lundi : "le PEL est détourné de l'objectif historique d'accession à la propriété pour devenir un produit d'épargne de long terme", soutient-elle.Selon l'institution, les PEL anciens s'apparentent "à une véritable rente, au bénéfice notamment de détenteurs âgés détenant des encours élevés".Coûteux pour les banques et pour l'EtatCette situation est dénoncée depuis plusieurs années par les banques, qui paient les intérêts."Ces anciens PEL ne sont plus aujourd'hui en ligne avec le marché et constituent un coût important pour le financement de l'économie", assure la Fédération bancaire française (FBF) auprès de l'AFP.Selon la Banque de France, les PEL ouverts avant 2011 représentaient l'an dernier 107,7 milliards d'euros avec une rémunération moyenne de 4,5%, contre 3,04% pour l'ensemble des PEL.Dans une lettre à la Cour des Comptes publiée lundi, son gouverneur François Villeroy de Galhau qualifie la situation d'"anomalie".Les PEL coûtent aussi de l'argent à l'Etat car ceux ouverts avant 2018 sont exonérés d'impôt sur le revenu jusqu'à leur treizième anniversaire et permettent, lorsqu'ils sont dépensés pour un prêt, d'obtenir une prime d'Etat (jusqu'à 1.525 euros au maximum), dont le montant dépend des intérêts perçus. La Cour des Comptes estime à 411 millions d'euros le coût pour l'Etat en 2022 pour ces vieux PEL "sans que l'Etat ne retire aucun retour financier ni ne flèche la ressource vers des emplois d'intérêt général comme c'est le cas pour les livrets réglementés", souligne-t-elle.Elle "recommande de réfléchir à un dispositif de suppression" de l'avantage des vieux PEL sur les autres produits d'épargne, qu'elle juge "peu justifié et même disproportionné".Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a répondu lundi qu'il avait "pris note" des recommandations de la juridiction, se contentant de dire que le constat de la Cour sur les PEL "peut légitimement amener à s'interroger sur l'efficacité de l'allocation de cette épargne logement"."Un engagement est un engagement"Revoir les taux des vieux PEL n'est pas simple car ils sont régis par des contrats entre particuliers et banques.Le sujet est d'autant plus sensible que l'inflation, qui a atteint 5,8% en août sur un an selon l'Insee, grignote les gains réels des épargnants."Un engagement est un engagement et il doit être respecté", réagit auprès de l'AFP François Carlier, délégué général de l'association de consommateurs CLCV.Si les banques décidaient de baisser la rémunération des vieux livrets, cela conduirait à d'importants litiges et dégraderait leur image vis à vis de leurs clients, souligne la Cour des Comptes.Elle identifie donc d'autres solutions, comme une négociation entre les banques et leurs clients pour clôturer les PEL, moyennant une indemnité, ou une modification des contrats par la loi au nom de l'intérêt général, en échange d'un engagement des banques à financer des chantiers prioritaires, comme la transition écologique et énergétique.La FBF assure que "la profession est ouverte pour participer aux travaux que la Cour recommande aux pouvoirs publics" et privilégie une modification réglementaire du rendement des vieux PEL.
Il y a 2 ans et 286 jours

CIM / Jumeau numérique urbain : l'utilisation des données au service des projets d'aménagement urbain

EPA Euroméditerranée, Opération Les FabriquesLe CSTB développe son expertise CIM via des expérimentations et des projets de recherche menés avec des aménageurs. Lors d'une opération d'aménagement urbain, de nombreux intervenants – aménageurs, urbanistes, bureaux d'études, promoteurs, architectes, entreprises, services de la collectivité, etc. – créent et échangent une multitude d'informations. Une meilleure utilisation de ces données permettrait d'améliorer le pilotage de l'opération et d'évaluer le résultat au regard des objectifs fixés. Elle faciliterait aussi la coordination entre les acteurs du projet, ainsi que la compréhension et l'appropriation de celui-ci. Enfin, elle permettrait de capitaliser l'information pour la transmettre à la collectivité. Nicolas Naville - Chef de mission numérique pour la performance environnementale des villes et bâtiments Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 286 jours

L’architecte en garde à vue – La culpabilité

[Résumé. L’architecte Dubois, par ailleurs un redoutable tueur en série de blondes aux yeux bleus, suit une psychanalyse depuis quatre ans avec Ethel Hazel, psychanalyste rue Labrouste à Paris, laquelle éprouve des sentiments ambivalents pour ce patient très spécial. L’inspecteur Nutello, dit Dr. Nut, du service des personnes disparues, qui a eu avec Ethel une […] L’article L’architecte en garde à vue – La culpabilité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 286 jours

Développement durable au Salon international du patrimoine culturel en octobre à Paris

C'est au Carrousel du Louvre que se tiendra la 27ème édition Salon du Patrimoine culturel, qui doit mettre en lumière cette année les enjeux du développement durable (Photo archives 2021 © Claire Dem).
Il y a 2 ans et 286 jours

L’enlaidissement du cadre de vie des Français n’est pas une fatalité

Il est possible de lutter contre les progrès de la laideur dans les domaines de l’architecture et de l’urbanisme, qui inquiètent légitimement nos concitoyens. Tribune de François de Mazières, maire de Versailles, ancien président de la Cité de l’architecture et du patrimoine. En dénonçant l’enlaidissement de la France, la série d’articles et de tribunes du […] L’article L’enlaidissement du cadre de vie des Français n’est pas une fatalité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 286 jours

Auvent en rez-de-chaussée revêtu d’une peau blanche en Alucobond Plus pour la Tour Eria à La Défense

Le projet porté par ALTAREA et conçu par l’architecte Christian de Portzamparc, est né d’une volonté d’adaptation optimale du bâtiment à la forme du terrain pour créer des plateaux de bureaux de haute qualité et incarner une vision du bureau de demain et des nouveaux modes de travail. Sa façade en rez-de-chaussée prolonge le front urbain et installe des commerces et un espace de coworking. Elle est revêtue par 900 m2 de panneaux ALUCOBOND Plus de teinte Pure White 100, posés en casquette. L’immeuble de grande hauteur se positionne sur la commune de Puteaux au pied du quartier de La Défense et à l’angle des rues Bellini et Arago. Dans ce quartier où les ouvrages se caractérisent par leur verticalité, la tour ERIA se différencie par une originalité architecturale d’une audace unique en son genre, s’adaptant de manière optimale à son terrain d’accueil. Le bâtiment compte des bureaux, des services internes tels qu’un restaurant inter-entreprises, un espace de coworking et des parkings et ajoute 160 m² de commerces. Le choix du plan en éventail, « un cœur et trois pétales », permet d’offrir trois ailes parfaitement éclairées et des vues lointaines. Cette structure en pétale démultiplie la surface de façade et garantit une économie des espaces de circulation. Entre chaque pétale, un jeu de terrasses plantées en cascade marque une progression verticale et laisse voir la beauté naturelle du ciel. Les trois petites tours sont habillées de dièdres de verre qui réfléchissent la lumière. Certaines zones, quant à elles, sont composées de deux peaux de verre différentes. La silhouette singulière composée de trois fines ailes est un repère urbain bien visible depuis le boulevard circulaire et la dalle de la Défense. 900 m2 de panneaux ALUCOBOND Plus ont été posés en casquette sur l’auvent de façade en rez-de-chaussée de la tour. L’auvent a nécessité le cintrage et la reconstitution des panneaux. La façade a été calepinée très facilement et rapidement grâce à la solution du logiciel HICAD-ALUCOBOND de modélisation 3D. Fiche techniqueAdresse : 5 rue Belline, 92800 Puteaux - La DéfenseSurface : 25.000 m² de bureaux et 500m² de commercesHauteur : 55m - 13 étagesLabels visés : HQE Excellent, BREEAM Excellent, Well Silver, Effinergie +Maître d’ouvrage : ALTAREAArchitecte : Christian de PortzamparcEntreprise : EIFFAGE| Façadier : RINALDIFabricant des panneaux ALUCOBOND : ACODI | Poseur : SORECOB
Il y a 2 ans et 286 jours

Envisioneer Architecture 16, logiciel de CAO 3D BIM rapide, simple et intuitif de A.Doc dévoilé à Batimat

Un logiciel de conception BIM puissant, facile à maîtriser pour créer tous les projets de constructionDéveloppé par Cadsoft et commercialisé en exclusivité par A.DOC le logiciel de CAO 3D Envisioneer Architecture a été conçu pour répondre aux attentes des architectes, des constructeurs, des maîtres d’œuvre et plus largement de tous les acteurs du bâtiment en s’adaptant à tous les scénarios de projets : le neuf, la rénovation, la réhabilitation.Envisioneer Architecture est un logiciel de modélisation en 3D axé sur la conception facilitée de tout type de projet. Centrée sur le montage d’un modèle unique (en mode BIM), l’information de la maquette 3D est ensuite exploitée par des fonctions avancées rendues disponibles dans un seul et même outil.Ainsi, la présentation virtuelle (visite panoramique, rendu photo ultra réaliste, animations, présentation sur mobile), le dessin précis (plans, coupes et façades), le chiffrage (quantitatif précis et ventilé par lots de chantier, intelligence des ouvrages, communication avec les applications de pièces écrites) deviennent accessibles et forment une solution tout en un très séduisante et performante.Au-delà de sa convivialité, Envisioneer est un logiciel caméléon capable de gérer tous les scénarios de projets : bâtiment neuf, agrandissement, extension, surélévation, rénovation d’un bâti ancien, projet d’aménagement intérieur et de décoration, ... Le logiciel est donc réellement taillé pour réaliser des projets de diverses dimensions et les traiter aux niveaux de détails souhaités par l’utilisateur.En outre; le modèle unique issu du logiciel Envisioneer est automatiquement interprété à l'extérieur en raison de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire. La gestion d’une maquette 3D unique par Envisioneer permet ainsi de piloter facilement l’étude thermique qui conduit à l’obtention du certificat Bbio, nécessaire pour le dépôt d’un dossier de permis de construire.Dans sa nouvelle version, qu’il s’agisse d’un utilisateur débutant ou expérimenté, Envisioneer Architecture 16 va encore plus loin et révolutionne la manière de dessiner, et ce, sans formation !Une nouvelle version optimisée pour concevoir, dessiner et chiffrer toujours plus facilement et précisémentAvec les nouvelles capacités de la version 16, le logiciel professionnel qui se positionne comme la solution ayant le meilleur rapport qualité/prix du marché progresse encore. En effet, en passant à la version 16, la somme d’améliorations est conséquente. En plus d’une facilité d’utilisation toujours plus poussée, l’interopérabilité du logiciel connaît une avancée spectaculaire et la montée en charge qualitative de la version 16 renforce les nombreux atouts du logiciel Envisioneer.Focalisées sur les moyens de gagner du temps durant le montage des projets, des avancées décisives répondent plus particulièrement à la demande des utilisateurs, tandis qu’une série d’améliorations s’intègrent judicieusement au sein de l’interface et ses fonctions clés. Pour cela, le logiciel intègre des nouveautés majeures pour une conception facilité :Gestion de la charpente plus détaillée et en net progrès.Insertion des pannes et voliges.Nouvelle bibliothèque de végétaux et plantes vertes réalistes en 3D (bibliothèques Xfrog),Nouvelle communication BIM avec une interopérabilité largement accrue.Support et import optimisés des objets 3D de grande taille.Les portes et baies vitrées s’ouvrent dorénavant en grand sur les angles des murs.Les tableaux de nomenclatures des menuiseries sont refondus et reportent un maximum d’informations.Présentation percutante des plans d’avant-projet avec un rendu graphique immédiat et personnalisable (plans avec murs pochés en un clic).Commandes d’édition pour une disposition optimale des objets (aligner/répartir facilement des objets)....
Il y a 2 ans et 286 jours

Nouveau chantier Vegecol dans l’Oise : Colas réalise une piste cyclable avec un enrobé innovant à l’empreinte carbone réduite

Le 31 août et le 1er septembre, les équipes de Colas ont mis en œuvre 5 500 m² d’enrobé Vegecol, soit 2,2 km de piste, dans le cadre de l’aménagement d’une voie verte reliant Pierrefonds à Palesne en suivant le tracé de l’ancienne voie de chemin de fer. Les travaux sont réalisés pour le compte […]
Il y a 2 ans et 286 jours

L'académie Cusanus d'Othmar Barth, de retour à la lumière

Morose, la rentrée ? Heureusement, le monde de l'architecture ne manque pas d'événements pour engager une année stimulante face aux profonds changements socio-environnementaux qui s'imposent. À Orléans, Marseille et Rotterdam, on refait ses valises direction un horizon résolument positif. 1. Inventer le […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 286 jours

ALTA a livré le lycée La Providence à Saint-Malo

A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), l’agence rennaise ALTA a livré en 2022 pour l’institution La Providence, un lycée destiné à 500 lycéens et post-bac. L’ouvrage, qui abrite également des ateliers, un auditorium et un gymnase sur 5 600 m², se veut iconique de l’identité malouine. Communiqué. Le projet situé rue de La Croix-Desille, est un établissement d’enseignement se […] L’article ALTA a livré le lycée La Providence à Saint-Malo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 286 jours

"Biens mal acquis" : décision mercredi 7 septembre en cassation pour Rifaat al-Assad

La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français dira vers 14H00 si elle fait droit aux arguments soulevés par le frère cadet de l'ancien président syrien (1971-2000) Hafez al-Assad, ou si elle rejette son pourvoi, ce qui rendrait alors la peine définitive.Rifaat al-Assad, ancien vice-président de Syrie aujourd'hui âgé de 85 ans, a été reconnu coupable en appel, le 9 septembre 2021, de blanchiment en bande organisée de fonds publics syriens entre 1996 et 2016, se voyant infliger quatre ans d'emprisonnement, comme en première instance.La cour d'appel de Paris l'a en outre condamné pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et pour le travail dissimulé d'employés de maison, ordonnant la confiscation de l'ensemble de ses biens immobiliers frauduleusement acquis.Lors des deux procès, auxquels Rifaat al-Assad n'a pas assisté pour des raisons de santé, sa défense a soutenu que sa fortune provenait de dons d'Abdallah, prince héritier puis roi d'Arabie saoudite, et non des caisses de l'État syrien.Il s'agit de la deuxième affaire de "biens mal acquis" jugée en France, après celle de Teodorin Obiang, le fils aîné du président de la Guinée équatoriale, définitivement condamné en juillet 2021 à trois ans de prison avec sursis et 30 millions d'euros d'amende.Empire immobilierRifaat al-Assad fut le chef des forces d'élite de la sécurité intérieure, les Brigades de défense, qui avaient notamment réprimé dans le sang une insurrection islamiste en 1982 dans la ville de Hama.L'octogénaire est retourné en Syrie à l'automne après plus de trois décennies d'exil, avait annoncé un média progouvernemental.En 1984, Rifaat al-Assad avait en effet quitté la Syrie après un coup d'État manqué contre son frère, Hafez al-Assad, rejoignant la Suisse puis la France.Lui qui n'avait aucune fortune personnelle en Syrie avait alors bâti un empire immobilier en Europe, principalement en Espagne mais aussi en France et en Grande-Bretagne.Après des plaintes des associations Transparency international et Sherpa, la justice française avait ouvert une enquête en 2014 : deux hôtels particuliers, des dizaines d'appartements dans les quartiers cossus de la capitale et des bureaux ont notamment été saisis.Compte tenu de son âge et de son état de santé, il est dans tous les cas improbable que Rifaat al-Assad soit un jour placé en détention en France.Si la Cour de cassation rejetait le pourvoi, ses biens saisis seraient en revanche définitivement confisqués.La Syrie pourrait alors faire partie des premiers pays susceptibles de bénéficier du nouveau mécanisme de restitution des avoirs frauduleusement acquis par des dirigeants étrangers, adopté par la Parlement en 2021.Haras près de ParisDécoré de la Légion d'honneur en France en 1986 pour "services rendus", Rifaat al-Assad est menacé d'un procès en Espagne pour des soupçons bien plus vastes de "biens mal acquis" concernant quelque 500 propriétés.Il est par ailleurs poursuivi en Suisse pour des crimes de guerre commis dans les années 1980.Parmi les propriétés gelées dans cette affaire figurent un domaine d'une quarantaine d'hectares avec château et haras, situé à Bessancourt (Val d'Oise), près de Paris, à l'orée d'une forêt.Près de 80 Syriens, anciens employés de Rifaat al-Assad, y vivent toujours, jusqu'à récemment sans eau ni électricité, les factures n'étant plus payées par ce dernier."Si la confiscation des biens est définitive, l'État va se tourner vers nous et avec la ville de Taverny nous allons proposer un projet de lieu dédié à la forêt", a expliqué à l'AFP Jean-Christophe Poulet, maire de Bessancourt."Ceux qui vivent sur le domaine ont obtenu des compteurs électriques mais cela reste précaire, nous allons proposer des solutions de relogement", a-t-il ajouté, promettant de "travailler le plus humainement possible".
Il y a 2 ans et 286 jours

Les premiers travaux de restauration de Notre-Dame de Paris mis en avant

PATRIMOINE. Comme lors des éditions précédentes, l'Établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris montera un village du chantier sur le parvis de l'édifice pour les Journées du patrimoine, les 17 et 18 septembre prochains. Les projecteurs seront notamment braqués sur les premières opérations de rénovation.
Il y a 2 ans et 286 jours

Une levée de fonds de 10 millions d'euros DualSun

INVESTISSEMENT. Le fabricant français de panneaux solaires, DualSun, annonce une levée de fonds de 10 millions d'euros. Une enveloppe qui servira notamment aux ambitions internationales de l'entreprise.
Il y a 2 ans et 286 jours

Zéro artificialisation nette : le Sénat à l'offensive, le ministre temporise

AMÉNAGEMENT. Les sénateurs de droite ont déposé une proposition de loi visant à donner un an de plus aux acteurs pour inscrire la réduction de l'artificialisation dans les documents de planification. Le ministre a demandé, cet été, aux préfets de ne pas anticiper le calendrier, alors que les décrets d'application sont attaqués devant le juge administratif.
Il y a 2 ans et 286 jours

A Rennes, un écoquartier en pointe contre les dômes de chaleur

Un immeuble de sept étages sorti récemment de terre construit autour d'un arbre datant de plusieurs décennies. Devant, une zone boisée et des fossés végétalisés bordant une rue sans voitures : bienvenue à La Courrouze, nouveau quartier de 110 ha, dans le sud de Rennes."On est dans un quartier de Rennes où, par temps de canicule ou des temps de fortes températures, on a des îlots de fraîcheur qui sont constitués parce que la présence du végétal est forte" explique Marc Hervé, premier adjoint à l'urbanisme à la Ville de Rennes.A La Courrouze, pas d'enrobé sur la chaussée. Au pied d'un immeuble, l'édile montre des pavés aux tons pastel qui forment une chaussée drainante, pour filtrer l'eau et nourrir la végétation.Sur les toits, des panneaux solaires. Plus loin, une école publique sur deux étages, semi-ouverte, qui illustre ces nouvelles constructions plus compactes, aérées.Métamorphosé, l'ancien quartier militaire de l'arsenal a ici laissé en héritage 40 ha de végétations à la capitale bretonne, qui expérimente une nouvelle façon de penser l'habitat à l'aune du réchauffement climatique."Hauteur écologique"Logements aidés, bureaux, commerces, parking-relais et aire de covoiturage, avant l'arrivée du métro en septembre : à terme, cet écoquartier vitrine initiée dans les années 2000 abritera 10.000 habitants et 8.000 emplois.Des opérations vouées à se multiplier si la métropole veut tenir son engagement de permettre que "90% des Rennais disposent d'un parc à 5 minutes de leur domicile" d'ici 2030 et briser "le dôme de chaleur" dont témoignent les écarts de températures. Le 18 juillet un nouveau record a été relevé, avec 9°C d'écart entre Rennes (23°C) et sa campagne (14°C).La métropole, qui a adopté son plan climat en 2019, espère faire de ce nouveau poumon vert une pierre angulaire de son plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi).Mais en contrepartie, la ville qui connaît une forte tension immobilière, assume son choix de construire en hauteur."Ce n'est pas antinomique" estime Marc Hervé. Avec une emprise au sol moins importante "la hauteur est écologique", argue l'élu qui souligne que le quartier consacre de grands espaces entre les immeubles qui peuvent atteindre 11 étages.La question de l'eauComment concilier dans les villes de l'ouest, Rennes, Nantes ou Angers, croissance démographique et développement économique sans pour autant rendre la ville plus dense et donc plus chaude ?"Cette équation n'est pas simple", répond Vincent Dubreuil, professeur en géographie à l'université Rennes 2 qui étudie depuis 30 ans le changement climatique en France."Il y a des politiques de désartificialisation, d'implantation de la végétation", mais cela "pose la question de l'eau, parce que pour être efficace contre les îlots de chaleur, la végétation doit consommer de l'eau".Alors que Rennes - classée en climat tempéré, avec des étés frais et un climat humide - risque de "basculer plus fréquemment dans une classe méditerranéenne", choisir une végétation et des arbres avec un indice de rafraîchissement important mais aussi plus gourmands en eau, n'est pas forcément pertinent, d'autant que le bassin rennais fait partie de ces régions pas très arrosées, observe le chercheur.Selon Vincent Dubreuil, "il faut penser dès maintenant à des solutions d'aménagements en terme de nature des matériaux, de couleurs des bâtiments et de végétation. Et prendre en compte le fait que, de toute façon, le climat sera plus chaud dans le futur".
Il y a 2 ans et 287 jours

Dans l'Oise, une nouvelle voie verte bas carbone réalisée près d'un site classé

CHANTIER. C'est sur le tracé d'une ancienne ligne de chemin de fer qu'une nouvelle voie dédiée aux mobilités douces a été mise en oeuvre dans l'Oise, non loin du château de Pierrefonds. Sur ce chantier confié à Colas, le groupe a utilisé un enrobé spécifique, à l'impact carbone réduit, validé par l'Architecte des Bâtiments de France.
Il y a 2 ans et 287 jours

A Heudebouville, une école dessinée par Hemaa et Hesters-Oyon

Dans le village d’Heudebouville (Eure), l’agence Hemaa, en collaboration avec Hesters-Oyon architectes, livre pour la commune un premier projet en bois abouti, et évolutif, d’un groupe scolaire de 1 500 m² (budget : 4,5 M€). Quand l’école devient un archétype contemporain. Communiqué. Dans un site remarquable dont la toile de fond est constituée des coteaux de la […] L’article A Heudebouville, une école dessinée par Hemaa et Hesters-Oyon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 287 jours

Un atelier sur le décret tertiaire proposé par Ubigreen-Proptech au forum Energy Time

Lors du forum Energy Time le 29 septembre au pavillon d'Armenonville à Paris, Ubigreen propose un atelier intitulé : "décret tertiaire, que se passera-t-il après la déclaration de votre année de référence?"
Il y a 2 ans et 287 jours

Ambroise Tézenas et Jérémie Léon, photographies de paysages franciliens

L’exposition Un itinéraire Paris-Moisson qui s’est tenue à La Galerie du CAUE 92 en juin dernier ...More about Cet article Ambroise Tézenas et Jérémie Léon, photographies de paysages franciliens est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 287 jours

Une terrasse en bois Kebony entoure une piscine avec vue sur les collines du Texas

Située près de Dripping Springs au Texas, Peached Casita a été conçue et construite par Kim Lewis, de l’agence Kim Lewis Designs. Cette petite maison de 52 m2 offre un écrin paisible et romantique en plein cœur de la nature, avec sa piscine ronde entourée d’une terrasse en bois Kebony.Le bois Kebony a été choisi pour ce projet en raison de sa capacité à résister à la chaleur et au soleil texans. Son apparence moderne, qui acquiert une élégante patine gris argenté avec le temps, a également contribué à séduire l’architecte. Les planches de la terrasse Kebony ont été installées en toute facilité à l’aide de la méthode Step-Clic, tandis que le clip de fixation caché Fastenator a été utilisé pour la zone entourant la piscine.L’apparence caractéristique du bois Kebony permet à cette terrasse de s’intégrer harmonieusement dans l’expression moderne-bohème de la maison autant que dans le paysage naturel environnant. Développée en Norvège, la technologie Kebony est un procédé breveté et respectueux de l’environnement qui modifie les bois résineux issus de sources durables, en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un produit d’origine organique. Ces résineux adoptent alors les qualités d’un bois dur tropical, à savoir une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées.Peached Casita est disponible à la location pour une évasion en immersion totale dans le calme des collines du Texas, tout en restant à proximité des points d’intérêt d’Austin et de Dripping Springs.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 2 ans et 287 jours

La peau neuve du Cyclop

Morose, la rentrée ? Heureusement, le monde de l'architecture ne manque pas d'événements pour engager une année stimulante face aux profonds changements socio-environnementaux qui s'imposent. À Orléans, Marseille et Rotterdam, on refait ses valises direction un horizon résolument positif. 1. Inventer le […] Lire l'article