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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61931 résultats)
Il y a 2 ans et 291 jours

Les Notaires s'opposent à la validité du DPE ancienne formule jusqu'en 2025

PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE. Le Conseil supérieur du Notariat émet 15 propositions pour simplifier le droit, dont plusieurs concernent l'urbanisme et l'immobilier : DPE, lotissement, transformation de bureaux en logements, transmission...
Il y a 2 ans et 291 jours

Hunter Douglas, nouveau propriétaire de Derako International Architecture Bois

Une acquisition qui fait du sens…Aad Kuiper, directeur général de Hunter Douglas EMEA & Océanie, a déclaré : « L'acquisition de Derako s'inscrit dans notre stratégie visant à offrir une large gamme de systèmes de plafonds uni-ques et durables, permettant aux architectes et aux designers de réaliser des projets révolution-naires et créatifs. Nous sommes convaincus que Hunter Douglas et Derako constituent une base solide pour la poursuite de notre croissance et notre succès commun. »Pieter van Rees, Business Development & Marketing Manager chez Hunter Douglas Architectural, voit une grande opportunité dans cette acquisition : « Les deux entreprises ont leurs propres do-maines d'expertise qui se complètent très bien. Grâce à la longue expérience de Derako, de nou-velles possibilités s'ouvrent dans le monde entier pour continuer à développer le marché des sys-tèmes de plafonds et revêtements muraux durables en bois massif dans la construction. Hunter Douglas dispose d'un vaste réseau de distribution international à fort potentiel de croissance, par le biais duquel les solutions personnalisées de Derako peuvent être commercialisées.…, après un partenariat de longue date« Une longue période de fiançailles qui a débouché sur un mariage », c'est ainsi que Peter van Laar, directeur général de Derako International, décrit l'acquisition par Hunter Douglas. L'étroite colla-boration qui existe depuis deux décennies sur le marché européen a été déterminante pour que les deux parties finissent par se dire « oui ». Par le passé, Hunter Douglas a déjà collaboré avec Derako sur de nombreux projets dans le monde entier pour la fabrication de ses plafonds modulaires et systèmes de cloisons en bois massif.Les deux entreprises seront désormais dirigées par un seul et même management. Le site de production de Derako International à 't Zand (Pays-Bas) ainsi que la direction restent inchangés.Derako conçoit et produit des systèmes durables de plafonds, de revêtements muraux et de façades en bois massif, qui sont fabriqués exclusivement sur la base de projets et donc sur mesure. L'entreprise emploie 32 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires de 6,8 millions d'euros en 2021.
Il y a 2 ans et 292 jours

Delta Light agrandit sa collection avec 3 nouveaux luminaires associant illusion d'optique et design

L'expert en lumière complète la gamme Superloop avec l'élégant Superloop Oval Après les versions circulaire et carré, le nouveau Superloop Oval en forme d'ellipse participe également à cette recherche d'adéquation entre fonctionnalité et design. Malgré sa forme asymétrique, la lumière est diffusée de manière harmonieuse avec un subtil effet architectural. Le modèle Superloop Oval est disponible en formats Small (38,7 W – 4570 lm) et Medium (51,9 W – 6027 lm) ; et se décline en noir, blanc, flemish gold et flemish bronze. Le Superloop Slim : Un traitement révolutionnaire de la lumière En diffusant la lumière par l'intérieur, l'extérieur et la face inférieure du cercle, le Superloop Slim explore les limites de l'éclairage. Tel un halo céleste au calibre ultra discret, ce choix ingénieux propose trois manières de diffuser la lumière et de personnaliser l'atmosphère d'une pièce. La bande LED munie d'un diffuseur sablé permet au Superloop Slim de déployer uniformément la lumière. Tout comme les autres modèles de la gamme, le Superloop Slim est disponible en plusieurs diamètres : 700, 900, 1200 et 1700mm et se décline en noir, bronze flamand, or flamand, or et or blanc. Lass-Oh ! R : la parfaite imperfection De forme cyclindrique élancée et muni de grappes de LED parfaitement intégrées, Lass-Oh! R repousse les limites du luminaire standard et se positionne comme le roi du design imparfaitement parfait. La marque de fabrique de Lass-Oh! R, c'est la fracture du cercle. Bien qu'elle en donne l'illusion, la forme géométrique n'est plus complète. Tel un serpent se faufilant à travers la pièce, ce modèle est disponible en diamètre de 620mm ou 920mm, en couleur noire ou dorée. Entre design et fonctionnalité L'utilisation différentes des matériaux, en utilisant du plexi préformé plutôt qu'un plexi souple, ouvre la voie à un jeu de lumière débridé. Fluide et aérien, les modèles semblent planer dans la pièce, et donnent une dimension supplémentaire et sophistiquée aux familles Superloop et Lass-Oh !.En utilisant un seul luminaire ou en combinant différentes tailles, couleurs et design, il est possible de créer un ensemble stimulant, tendance et élégant tout en gardant un éclairage équilibré.
Il y a 2 ans et 292 jours

Prototype Tova : un bâtiment imprimé en 3D avec de l’argile

Prototype Tova est un bâtiment de 9 m2 construit à partir d’une technique d’impression 3 D par les étudiants de l’Institut d’architecture avancée de Catalogne (Espagne) en collaboration avec WASP. De nos jours, nous avons besoin de près de deux planètes par an pour maintenir le modèle de production et de consommation que nous avons […]
Il y a 2 ans et 292 jours

Le fond(s) vert d’Elisabeth Borne annonce une météo agitée par les bugs

La première ministre, Elisabeth Borne, a annoncé le samedi 27 août 2022, dans un entretien au Parisien (AFP 27/08), des mesures qui ne dépassent pas les bornes, soit le déblocage d’un « fonds vert » doté d’1,5 Md€ destiné aux collectivités locales pour « les aider à lutter contre le changement climatique ». Parce que jusqu’à l’été […] L’article Le fond(s) vert d’Elisabeth Borne annonce une météo agitée par les bugs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

Trois projets de L'atelier Lâme Architecture, lauréat du concours "40 under 40"

ARCHITECTES. Alexandre Lahyani et Angel Menendez ont fondé L'atelier Lâme, leur agence d'architecture, en 2013. Ils ont été désignés, cette année, lauréats du concours européen "40 under 40" avec trois projets de réhabilitation d'équipements patrimoniaux dans des villes moyennes.
Il y a 2 ans et 292 jours

« Espace Océan », le cœur à l’ouvrage, pas les architectes

En août 2022, Ericka Bareigts, maire de Saint-Denis à La Réunion a fièrement annoncé le projet de parc lauréat qui doit voir le jour sur le site de l’ancien « Espace Océan », sonnant le glas d’une arlésienne dionysienne. A la manœuvre, les enfants de l’école primaire. Au jury, des passants. Même les baleines qui dansent au […] L’article « Espace Océan », le cœur à l’ouvrage, pas les architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

La France ne manque pas d’eau, d’ailleurs surfacturée, elle manque d’idées !

La gestion de l’eau ne devrait être rien d’autre qu’un outil d’aménagement du territoire. Or la gestion très politique de l’eau du pays a des effets pervers contre-productifs et coûteux, voire de plus en plus ostensiblement dangereux. Par où commencer ? L’été que nous venons de passer, entre chaleur, feux et sécheresse, a mis en exergue […] L’article La France ne manque pas d’eau, d’ailleurs surfacturée, elle manque d’idées ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

Retour à Al Ula, le calme du désert avant la cohue touristique

« J’ai découvert l’Arabie Saoudite il y a plus de trente ans. J’ai eu la chance de découvrir le site d’Al Ula en octobre 2021* et d’y retourner en juillet 2022. Seul sur tous les chantiers, en basse saison estivale à haute température, j’ai compris le potentiel touristique et symbolique de ce lieu merveilleux ». Carnet de […] L’article Retour à Al Ula, le calme du désert avant la cohue touristique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

Kedry Prime de KE pour la terrasse du Club au Domaine des Ormes

Parmi les activités proposées figurent le mini-golf, le tir à l'arc, le ski nautique, un parcours aventure dans les arbres et des tyroliennes. (Travaux en cours : ouverture prévue en avril 2022)Vous pouvez également y aller le temps d’un repas pour faire une pause entre amis/famille dans une agréable atmosphère, grâce aux 3 bars et restaurants présents dont Le Club placé en face du parcours de golf.C’est pour développer la capacité d’accueil de ce restaurant chic & décontracté que KE est intervenu. En effet la terrasse extérieure était couverte par de simples tonnelles, qui ne permettaient pas l’exploitation de cette zone lors d’un temps moins favorable, fait d’averses ou de vent.Le besoin du propriétaire du domaine était donc de créer deux espaces distincts design et fonctionnels en toute saison.En remplacement de ces tonnelles, a été choisi d’installer 4 pergolas bioclimatiques Kedry Prime. Adossées au bâtiment et faisant une liaison parfaite entre intérieur et extérieur, les pergolas sont équipées d’éclairage LED dans les lames et les coulisses ainsi que de vitrage, pour offrir aux clients un confort parfait à tout moment tout en profitant de la vue sur le golf.Ainsi se sont créés deux espaces :Un premier, fait de 2 modules de pergolas, totalement fermé et protégé par un vitrage panoramique Line Glass pour un maximum de confort lors des repas.Un deuxième, plus ouvert, dans un esprit bar/café, fait de 3 modules et fermé par du vitrage uniquement sur le côté gauche.La couleur Corten (aspect rouille) a été choisie, se fondant le plus naturellement possible dans ce décor au charme ancien.Le choix s’est porté sur KE car le projet présenté était le seul à répondre à la complexité de la demande :Des structures robustes et designDes pergolas évolutives qui peuvent être complétées au fur et à mesureDes modules additionnables pour une couverture maximale avec un encombrement minimalUne installation qui garde une sensation d’être à l’extérieur tout en offrant le confort idéalUn projet avec une totale implication du propriétaire à dessiner le résultat finalLa possibilité de retravailler les structures pour un projet sur mesurePar la diversité de sa gamme et la modularité de ses produits, KE est le choix privilégié pour tous les établissements du monde des Cafés, Hotels et Restaurants.Les fiches techniques des produits installés sont disponibles sur demande.Localisation / client : Le Domaine des Ormes, 35120 Dol-de-BretagnePhotographe : Aphélie VangSuperficie couverte : 50m2 + 76m2Produits installés : 5 Kedry Prime couleur Corten avec fermeture latérale par vitrage panoramique coulissant Line Glass et installation d’une porte anti-panique.Kedry Prime Modules adossés sans limitation Rotation des lames jusqu'à 135° Résistance au vent et aux charges de neige avec des performances élevées Des capteurs et la domotique domestique peuvent être incorporés Possibilité de fermeture avec des stores techniques verticaux et des systèmes de baies vitrées coulissantesÉclairage avec bande led interne et externe.Détails
Il y a 2 ans et 292 jours

Psychanalyse de l’architecte, saison 5 – L’architecte en garde à vue : prologue

[Résumé des quatre saisons précédentes. L’architecte Dubois fait une psychanalyse depuis quatre ans avec Ethel Hazel, psychanalyste rue Labrouste à Paris. Au fil du temps, les affres de l’homme de l’art, par ailleurs tueur en série de blondes aux yeux bleus, comme elle, n’en finissent pas de perturber la thérapeute. L’inspecteur Nutello, dit Dr. Nut, […] L’article Psychanalyse de l’architecte, saison 5 – L’architecte en garde à vue : prologue est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

La restauration de l'abbaye de Beaulieu-en-Rouergue (Tarn-et-Garonne)

Le logis abbatial a été restauré pour y présenter de façon permanente la collection Brache-Bonnefoi, tandis que l’aile des convers est consacrée à des expositions temporaires. Des réserves sont également aménagées dans un bâtiment adjacent. Parallèlement, un important chantier des collections a permis l’étude des 1 363 œuvres qui constituent la collection (tableaux, dessins, œuvres imprimées, sculptures, tapisseries, broderies…), et dont certaines ont été restaurées et encadrées à cette occasion. Le parcours muséal met en valeur la collection, mais aussi le monument, son histoire et son architecture, et se déploie dans les salons, le réfectoire et la salle des moines et les cellules monastiques du logis abbatial (XVIIe et XVIIIe siècles). Fondée en 1144 par l'évêque de Rodez, l'abbaye Notre-Dame de Beaulieu présente les caractéristiques de l'architecture cistercienne. Nichés dans la vallée de la Seye, les bâtiments, répartis selon un plan immuable, se distinguent par un appareillage soigné, un décor simple et épuré. Abandonnée à la Révolution, l'abbaye est sauvée de la ruine dans les années 1950 par Geneviève Bonnefoi et Pierre Brache. Leur collection d'œuvres d'art contemporain a orienté la vie culturelle actuelle du monument.
Il y a 2 ans et 292 jours

Pénurie, inflation, les architectes prennent position

Le monde de la construction traverse aujourd’hui une crise sans précédent. La conjoncture géopolitique renforce la tension sur le secteur par le biais de la hausse des prix des matières premières répercutée directement ou indirectement sur l’ensemble des acteurs. Tribune du Conseil régional de l’ordre des architectes – Ile-de-France (CROA-IDF). Les indices BT (bâtiments travaux […] L’article Pénurie, inflation, les architectes prennent position est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

Architectes / Ingénieurs : partenaires ou rivaux ?

Véritable marronnier, c’est une question qui revient régulièrement et à laquelle on ne sait toujours pas répondre. Il est de bon ton de dire qu’architectes et ingénieurs sont des partenaires complémentaires. Dans la réalité des faits, c’est plutôt l’inverse. Tribune d’Axel Sundermann, fondateur du bureau d’études CONSTRUIRE. Les deux corps de métiers sont souvent en […] L’article Architectes / Ingénieurs : partenaires ou rivaux ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

Les nombreux changements réglementaires de l'été synthétisés

À venir : un projet de décret à l’étude. Il prévoira une réhausse de l’objectif de la 5e période de plus de 25 %, correspondant à près d’1,5 milliard d’euros par an supplémentaires versés sous forme de primes aux travaux, réalisés principalement pour les ménages en situation de précarité*.Remplacement du Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiairesUn arrêté, paru le 3 août 2022**, est venu remplacer le Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires. Ce nouvel arrêté transfère désormais le raccordement des bâtiments résidentiels collectifs aux réseaux de chaleur du Coup de pouce Chauffage vers le nouveau Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiaires. Le Coup de pouce Chauffage n’inclut maintenant plus que le raccordement des maisons individuelles aux réseaux de chaleur.Ces nouvelles dispositions entreront en vigueur pour toutes les opérations engagées, le 1er septembre 2022.Hellio est signataire de la charte d’engagement Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et collectifs tertiaires.Exemple : Dans le cadre du raccordement d’un bâtiment tertiaire à un réseau de chaleur, deux critères techniques sont à respecter :Le bâtiment n’a jamais été raccordé à un réseau de chaleur avant la réalisation de l’opération,Le réseau de chaleur est alimenté majoritairement par des énergies renouvelables ou de récupération.* Source** SourceDans ce cas, le montant de prime CEE pour un bâtiment de 100m2 s’élève à 49.500 €.De nouvelles modifications concernant l’arrêté contrôlesL’arrêté du 20 juillet 2022***, paru le 4 août dernier, vient modifier l’arrêté du 28 septembre 2021 relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des CEE****. Deux fiches d’opérations standardisées sont ainsi modifiées :La BAR-TH-104 - pompe à chaleur de type air/ eau ou eau/ eau : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur.La BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur, le taux de couverture, par la pompe à chaleur hors dispositif d’appoint, des besoins de chaleur pour le chauffage du logement et la vérification du mode de régulation.Une autre modification est apportée à la BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle: le taux de couverture de la PAC pour couvrir les besoins de chauffage du logement (hors dispositif d’appoint) doit être d'au moins 70 %. Ce taux de couverture est calculé pour le mode de régulation choisi par le professionnel réalisant l’opération. La note de dimensionnement inclut le calcul de ce taux.Ces nouvelles modifications entreront en vigueur à compter du 1er novembre 2022 pour toutes les nouvelles opérations engagées.Création, abrogation et révision de certaines fiches d’opérations standardisées dans le cadre du 46e arrêtéDans le cadre du 46e arrêté, l’arrêté du 25 juillet 2022***** vient créer, abroger et réviser certaines fiches d’opérations standardisées.La BAR-TH-169 - pompe à chaleur collective de type air / eau ou eau / eau pour l’eau chaude sanitaire est créée et vient mettre en place un système centralisé constitué d’une ou plusieurs pompes à chaleur associées à un ou plusieurs ballons de stockage et de puissance thermique nominale inférieure ou égale à 400 kW pour la production d’eau chaude sanitaire collective. La date d’entrée en vigueur de cette nouvelle fiche est prévue pour le 5 août 2022.*** Source**** Source***** SourceLa BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois et la BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire font l’objet d’une révision :BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois : modification de la date d’abrogation de la fiche (1er octobre 2027), modification des paragraphes concernant l’artisan RGE et modification des conditions de l’appareil à installer.BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire : ajout des spécifications suivantes sur la partie “dénomination et modification dans les conditions de délivrances”.Ces révisions entreront en vigueur le 1er octobre 2022.À compter du 1er septembre 2022, trois fiches d’opérations standardisées sont abrogées :La BAR-EQ-102 - lave-linge ménager de classe A++ ou A+++La BAR-EQ-103 - appareil de réfrigération ménager de classe A++ ou A+++La IND-UT-123 - moteur prémium de classe IE3
Il y a 2 ans et 292 jours

Val-d'Oise : L’État accorde une aide de 47 millions d’euros pour rénover les copropriétés de Sarcelles

Dans le cadre de la rénovation de ses copropriétés, la commune de Sarcelles (Val-d’Oise) a reçu une subvention de l’État pour un montant total de près de 47 millions d’euros.
Il y a 2 ans et 292 jours

Haute-Garonne : Paulhac, le parking nord de la forêt de Buzet réaménagé

À Paulhac (Haute-Garonne), le parking nord et les zones de stationnement de la forêt de Buzet bénéficient d’un nouvel aménagement.
Il y a 2 ans et 292 jours

Oise : Des travaux de construction pour la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais.

La cathédrale Saint-Pierre de Beauvais (Oise) sera rénovée d’ici à 2026.
Il y a 2 ans et 293 jours

HomniPromotion annonce la mise en chantier d’une résidence services seniors Oh Activ à Valence (26)

Situé derrière la Comédie et ouvrant sur la Place Cardonnel, ce chantier a débuté en juillet 2022 et devrait se terminer en 2024. À la suite d’un diagnostic qui avait révélé la présence de vestiges archéologiques, les services de l’État¹ ont prescrit une opération de fouilles préventive sur l’emprise du projet. La fouille archéologique, qui a débuté en septembre pour se terminer à la fin de l’année, a pour objectif de retracer l’histoire de cet îlot urbain, occupé depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Patrimoine historique du XXème siècle, le bâtiment qui va être réhabilité en résidence services pour seniors autonomes sera rénové en respectant l’architecture originale.Sa situation avantageuse permettra aux résidents d’être à proximité de tous les commerces et services utiles à la vie quotidienne mais aussi de lieux de vie culturels comme le théâtre de la ville.Informations clés sur le chantier HomniPromotion : Promoteur : HomniPromotion Gestionnaire : Oh Activ Architecte : AA Group Bureau d’études fouilles archéologiques : Eveha Adresse : 4 Place Louis le Cardonnel, 26000 Valence Programmation : 89 appartements, du T1 au T3 Services en rez-de-chaussée : restaurant, Live Cube, fab-lab, co-working, ciné-actu, espace bien-être, etc.Le concept Oh Activ par HomniCity Nouvel acteur de l’immobilier serviciel, le Groupe HomniCity révolutionne le marché de l’habitat avec une approche novatrice. Sa filiale d’exploitation Oh Activ, destinée aux seniors autonomes, propose des résidences services seniors (RSS) connectées, inclusives, évolutives, urbaines et ouvertes sur le quartier, répondant aux exigences sociales et sociétales des seniors d’aujourd’hui et de demain. L’approche globale de la construction à l’exploitation garantit à HomniCity une maîtrise continue de la qualité de son offre et lui permet de proposer un immobilier inspiré des besoins et attentes des habitants.Avec le lancement de ce chantier valentinois - première construction dans le département de la Drôme - HomniPromotion compte aujourd’hui 19 projets immobiliers sur l’ensemble du territoire. ¹ (Direction Régionale des Affaires Culturelles – Service Régional de l’Archéologie)
Il y a 2 ans et 293 jours

Le Monologue de Wutopia Lab en Chine

L’agence de Shanghai Wutopia Lab a été mandatée par Sino-Ocean Group pour créer un musée d’art, le Monologue (1 272 m²), dans le parc de Seatopia à Beidaihe, dans la province du Qinhuangdao (Chine), ouvrage dédié à une minorité infinie de personnes qui veulent être libres des distractions du monde. Il a été achevé en […] L’article Le Monologue de Wutopia Lab en Chine est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 293 jours

Deux tours jumelles détruites par implosion en banlieue de Delhi en Inde

Une implosion contrôlée, au moyen de quelque 3.500 kg d'explosifs, a détruit, en quelques secondes, les "tours jumelles" hautes de 100 mètres, à Noida, dans le sud-est de New Delhi.Des milliers de riverains, ainsi que des dizaines de chiens errants, ont été évacués par simple précaution, l'équipe chargée de la démolition assurant que toutes les mesures de sécurité ont été prises."Il s'agit d'une belle prouesse d'ingénierie", s'est félicité le chef de l'équipe de démolition, Joe Brinkmann, cité par le quotidien Times of India.La Cour suprême avait conclu l'an dernier que les structures avaient été construites illégalement en collusion avec les autorités locales.Elle avait également ordonné au géant du secteur de la construction Supertech, de rembourser tous les acquéreurs d'appartements. Aucun d'entre eux n'avait encore e'mménagé dans les tours.Cette démolition est un rare exemple de fermeté des autorités à l'égard de promoteurs véreux.Alliance sacrilègeUday Bhan Singh Teotia est l'un des riverains dont les plaintes contre Supertech ont conduit à l'ordre de démolition."Le plan initial prévoyait 650 appartements, mais le constructeur a ajouté 1.000 appartements supplémentaires de manière frauduleuse", a déclaré à l'AFP M. Teotia."Les deux nouvelles tours qu'ils ont construites nous privaient de tout, de notre air et de la lumière du soleil. Il ne restait plus aucun espace vert", a-t-il poursuivi."L'ordonnance du tribunal expose l'alliance sacrilège entre les constructeurs et les autorités corrompues", a-t-il ajouté.Aucun des responsables de Supertech n'a répondu aux appels de l'AFP.L'avocat Jayant Bhushan, qui représentait les plaignants dans cette affaire, estime que les constructeurs doivent faire le ménage dans leurs affaires afin de regagner la confiance des potentiels acquéreurs."Quand les constructeurs ne suivent pas les règles, ce sont encore et toujours des acquéreurs malchanceux qui finissent par en payer le prix", à l'AFP.Les classes moyennes tombent dans le panneau, pressées d'acquérir le logement de leurs rêves, investissant toutes leurs économies dans des projets qui, souvent, ne voient jamais le jour. Elles se retrouvent entraînées dans de longues batailles juridiques contre de puissants promoteurs.Cités fantômesL'Inde, troisième plus grande économie d'Asie, à la croissance la plus rapide du monde, a connu un boom de la construction ces dernières années.Des promoteurs immobiliers peu scrupuleux, en quête de gros profits, rognent souvent sur les coûts de construction, en toute impunité, et capitalisant sur la faiblesse de la réglementation.Les entreprises construisent souvent des étages ou des tours supplémentaires et utilisent des matériaux de qualité inférieure, tandis que les fonctionnaires sont soudoyés pour fermer les yeux.Quand ils ne respectent pas la loi, les constructeurs s'en tirent souvent avec des pénalités et abandonnent tout simplement les chantiers inachevés.Dans les banlieues de Delhi, à Noida et Greater Noida, on estime que plus de 100 tours résidentielles ont été ainsi abandonnées, donnant à ces zones l'allure d'affreuses cités fantômes, défigurant le paysage.En 2020, quatre tours de luxe dans l'État méridional du Kerala avaient été abattues, pour infraction à des règles environnementales.Cependant les démolitions sont rares en Inde.
Il y a 2 ans et 293 jours

Assurance chômage : l'entrée en vigueur du "bonus-malus" pénalise 6.500 entreprises

Promesse de campagne d'Emmanuel Macron en 2017, le bonus-malus consiste à moduler la contribution d'assurance chômage - 4,05% de la masse salariale – à la hausse (malus) jusqu'à un plafond de 5,05% ou à la baisse (bonus) jusqu'à un plancher de 3%, en fonction "du taux de séparation" des entreprises.Ce taux de séparation correspond au nombre de fins de contrats – hors démissions - ou de missions d'intérim assorties d'une inscription à Pôle emploi, rapporté à l'effectif de l'entreprise. Un taux de 180% dans une entreprise de 100 salariés signifie qu'il y a eu 180 fins de contrat de travail sur un an.Présentée par l'ex-ministre du Travail Muriel Pénicaud comme la contrepartie des règles durcissant l'indemnisation des chômeurs, cette mesure, vivement combattue par le patronat, vise à inciter les entreprises à allonger la durée des contrats de travail proposés.Le montant du bonus ou du malus a été calculé en comparant le taux de séparation des entreprises - entre le 1er juillet 2021 et le 30 juin 2022 – et le taux médian dans leur secteur d'activité.Mais son champ d'application est limité. Il ne vise que les entreprises de plus de 11 salariés de sept grands secteurs très consommateurs de contrats courts ("hébergement et restauration", "fabrication de denrées alimentaires", "transports et entreposage", "autres activités spécialisées, scientifiques et techniques" comme la publicité ou les sondages, "travail du bois, industrie papier", "fabrication de produits en caoutchouc et en plastique", "assainissement, gestion de déchets").Ces sept secteurs ont été retenus car ils avaient un taux de séparation moyen sur 2017-2019 supérieur à 150%, soit plus de trois contrats courts pour deux CDI, selon le ministère du Travail.Cependant, pour la première année d'application, les entreprises les plus touchées par la crise sanitaire (notamment dans l'hôtellerie-restauration et le transport) ont été exemptées du bonus-malus.Au final, selon le ministère du Travail, confirmant à l'AFP des chiffres dévoilés vendredi par les Echos, environ 18.000 entreprises employant 1,3 million de salariés verront leur cotisation modifiée en septembre. Environ 63% sont gagnantes et 37% perdantes. L'agroalimentaire est le meilleur élève (74% de bonus) mais il est trop tôt pour savoir si c'est une conséquence de la mesure ou si ce sont des difficultés de recrutement qui poussent les entreprises à proposer des contrats plus longs.
Il y a 2 ans et 293 jours

Climat, énergie : après le sombre tableau, l'exécutif veut rassurer avec de premières mesures

L'exécutif marche sur des œufs après un été tourmenté par les canicules et la flambée des prix générée par la guerre en Ukraine qui se prolonge.Lors du Conseil des ministres de rentrée, mercredi, le chef de l'Etat a planté le décor en adoptant un ton sombre qui tranchait avec l'optimisme cultivé depuis son arrivée à l'Elysée en 2017.Face à la "série de crises graves" - du conflit en Ukraine au dérèglement climatique -, il a évoqué "la fin de l'abondance" et "la fin de l'insouciance", qui vont rendre nécessaires "des efforts", voire "des sacrifices"."Il ne s'agit pas de promettre du sang et des larmes, mais c'est important que chacun soit conscient de la gravité du moment", a abondé Elisabeth Borne, samedi, dans Le Parisien."Mobilisation générale"Soucieuse d'afficher un exécutif à la manœuvre, la Première ministre a présenté de premières mesures samedi, dont le déblocage d'un "fonds vert" doté d'1,5 milliard d'euros et destiné aux collectivités locales pour "les aider dans l'accélération de leur transition écologique".La cheffe du gouvernement a également promis que l'exécutif allait amortir "les hausses" des prix de l'énergie après la fin du bouclier tarifaire en décembre, grâce à des "dispositions spécifiques" pour les "plus fragiles"."Ce qui se passera en France n'est pas ce qui se passe en Angleterre où le prix de l'énergie augmente d'un seul coup de 80%", a insisté dimanche le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran.Lundi, devant le Medef, Mme Borne doit également appeler les entreprises et les particuliers à la "mobilisation générale" en matière de sobriété énergétique, afin que leur consommation baisse de 10%, avant d'en faire le bilan fin septembre-début octobre."Sobriété choisie plutôt que rationnement subi", résume Matignon. Si Elisabeth Borne ne reviendra pas devant les patrons sur la taxation des "super profits", à laquelle elle ne ferme pas la porte, elle incitera à nouveau les entrepreneurs à baisser les prix ou à donner du pouvoir d'achat à leurs salariés en utilisant à plein les dispositifs existants. Elle doit également évoquer les réformes envisagées autour de l'assurance chômage.Le message "est de dire aux entreprises: si vous ne tenez pas votre rôle au service du pouvoir d'achat des Français et des salariés, l'État prendra ses responsabilités" sur les super profits, a fait valoir dimanche M. Véran.Poussée par la gauche, qui envisage d'organiser un référendum d'initiative partagée sur la question, la taxation des "super profits" fait débat au sein de la majorité.Samedi, Mme Borne a aussi jugé "indispensable" que les "plus favorisés" donnent l'exemple, tels que les propriétaires de jets privés."Peur"Ces dossiers seront également au menu du séminaire de rentrée qui rassemblera mercredi l'ensemble des ministres à l'Elysée.Sur ce sujet comme sur d'autres, alors qu'il ne dispose pas de majorité absolue à l'Assemblée, Emmanuel Macron espère bâtir un consensus en lançant le 8 septembre le Conseil national de la refondation, une instance déjà controversée qui doit réunir élus, acteurs de terrain et société civile.Mais les oppositions, qui ont fait leur rentrée ce week-end, doutent de sa capacité à relever ces défis alors que son bilan environnemental est jugé très insuffisant."Tout ce qu'il propose est trop timide", dénonce l'écologiste Julien Bayou.Depuis la Drôme, dimanche, le leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon a fustigé le pessimisme de M. Macron: "Nous ne partageons pas cette méthode lamentable qui consiste à jouer sur la peur, car la peur tétanise".De son côté, la droite s'alarme de l'aggravation de l'état des finances publiques tandis que le Rassemblement national donne la priorité à la défense du pouvoir d'achat.Dans ce contexte, Élisabeth Borne n'a pas exclu de faire adopter le budget en recourant cet automne à l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote mais engage la responsabilité du gouvernement. Car "les Français ne nous ont pas demandé l'immobilisme", a-t-elle fait valoir.
Il y a 2 ans et 293 jours

Ouverture partielle à la Réunion de la nouvelle route du littoral construite sur la mer

Construit sur la mer en plein océan Indien à l'issue d'un chantier titanesque commencé en 2015, cet axe de circulation qui fera 10,5 kilomètres de long une fois achevé en 2028, a déjà coûté plus de deux milliards d'euros, alors qu'il devait être livré en 2020-2021 et que le montant des travaux initialement prévu était de 1,6 milliard.L'actuelle route du littoral est connue pour ses nombreuses fermetures en raison des conditions climatiques et des risques d'éboulements de la falaise qui la surplombe, alors que 60.000 véhicules l'empruntent chaque jour.La nouvelle route, qui relie le chef-lieu Saint-Denis au site de la Grande Chaloupe, n'ouvrira dans un premier temps que dans le sens nord-ouest sur une portion de 8 kilomètres, et dans les deux sens avant fin 2022. Un premier pas avant l'ouverture totale du tronçon d'ici 2023."L'urgence était d'ouvrir le premier tronçon de la route et le viaduc (...) C'est un évènement attendu par les Réunionnais. On leur a tant promis", a déclaré Huguette Bello dans une conférence de presse.Mais l'ouverture totale de ce tronçon ne représentera qu'une première étape pour ce chantier hors normes.La Région Réunion devra ensuite entamer la seconde partie des travaux: un nouveau viaduc financé en partie par l'Etat, à hauteur de 420 millions d'euros, pour un coût total de 840 millions d'euros.Un nouveau marché a été lancé par la Région pour la fabrication de cet ouvrage qui reliera la Grande Chaloupe à la commune de La Possession, et permettra de fermer totalement l'ancienne route du littoral.Ce second viaduc devait initialement être une digue. Un projet contesté devant les tribunaux par des militants écologistes, en raison de l'énorme quantité de roches nécessaire à sa réalisation, supposant l'ouverture de nouvelles carrières dans l'île pour mener à bien ces travaux.Le tribunal s'est finalement opposé à l'ouverture de ces carrières.C'est dans ce contexte qu'il a été décidé d'ouvrir le premier tronçon du viaduc, menant à la construction d'un raccordement entre l'ouvrage et la Grande Chaloupe.
Il y a 2 ans et 293 jours

L’immeuble de bureau-manifeste de l’enfant terrible

L’agence d'architecture Graam et son trublion Mathias Romvos livrent en périphérie de Dijon l’iconique siège social de la Caisse d’épargne Bourgogne Franche-Comté jouxté par un parking-silo en bois.
Il y a 2 ans et 293 jours

Geplast présente IrYs, le nouveau coffre demi-linteau fabriqué avec 98% de matière recyclée

Fabriqué en France et avec 98% de matière recyclée, il répond aux enjeux majeurs de la RE2020 (construction bas carbone) tout en proposant de véritables performances d’isolation thermique, acoustique et d’étanchéité à l’air pour l’utilisateur final.Breveté et sous avis technique, IrYs s’adapte particulièrement à deux types de poses : l’ossature bois et la maçonnerie traditionnelle.L’éco-conception au cœur du projet IrYs pour répondre à la RE2020 entrée en vigueur au 1er janvier 2022.L’ensemble des profils PVC et pièces injectées, les embouts en ABS et les tiroirs en polyamide sont réalisés uniquement avec de la matière recyclée.Le coffre IrYs fait l’objet d’une Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES individuelle) présentant le résultat d’une analyse depuis l’extraction des matières premières jusqu’à leur fin de vie. Celle-ci est enregistrée sur la base INIES, répertoriant les différentes FDES des produits du bâtiment.Pour préparer cette FDES, Geplast a réalisé un Inventaire du Cycle de Vie (ICV) de tous les composants du coffre IrYs. Grâce à l’utilisation de matières recyclées pour les profils PVC ainsi que pour les accessoires, le coffre IrYs permet de réduire l’impact carbone des constructions intégrant ce système.Selon notre Module d’Information Environnementale (MIE), le coût carbone pour 1m2 de fermeture est de 4,37 Kg CO2 eq. En comparaison des données du ministère de l’Environnement, un volet roulant en aluminium est de 251 Kg CO2 eq.En utilisant 420 T de recyclée par an pour la fabrication du coffre, Geplast économise ainsi ce même tonnage de matière vierge. L’éco-conception est donc le cœur du projet IrYs.IrYs est idéal pour les baies XXL. Il est le 1er coffre sous avis technique jusqu’à 3,50 m.Avec un enroulement maximisé de ø200 mm, il est compatible avec tous les types de protections solaires du marché : lames bioclimatiques et lames grandes portées, lames standards, B.S.O et moustiquaires.Son utilisation permet donc une meilleure gestion des apports solaires, évite la surchauffe dans les bâtiments l’été et réduit considérablement l’utilisation de climatisation.Le montage de ce coffre est rapide et intuitif.La réduction et/ou la combinaison de certaines pièces du coffre (tulipes et éclisses intégrées dans l’embout, consoles) permettent de limiter le nombre d’outillage et donc de réduire le coût carbone du produit fini. Les assemblages se réalisent principalement par clippages limitant ainsi l’utilisation d’outils motorisés de type perceuse, visseuse (concept breveté)...Le système de pattes de reprise de charge est facile à poser car il n’y a pas besoin de renfort acier et le service après-vente est facilité grâce aux tiroirs amovibles. Enfin, tous ces éléments permettent un démantèlement facilité (aucun renfort acier vissé, toutes les pièces se déclipsent et peuvent se recycler).Des performances certifiéesTHERMIQUE : Up = 0,64 W/m2.K en doublage 120 mmACOUSTIQUE : Essais en coursAÉRAULIQUE : Étanchéité à l’air : C*4 avec treuil et moteur (PV CSTB)Résistance au vent : V*4 en largeur 3,50 ml avec pattes de reprise RF038 (PV CSTB)
Il y a 2 ans et 293 jours

Sydney Build Expo 2023

Sydney Build Expo est le seul événement en Australie à offrir une plate-forme de rencontre pour tous les professionnels australiens de la construction, de l'architecture, de l'ingénierie, du transport, des infrastructures et de la conception. Les dernières nouveautés y seront présentées.
Il y a 2 ans et 293 jours

A Taïwan, Mayu Architects réhabilite un centre culturel en bibliothèque

En 2020, l’agence taïwanaise Mayu Architects a livré la réhabilitation et l’extension d’un centre culturel construit en 1983 en bibliothèque publique à Pingtung City (Taïwan). Désormais, le bâtiment de sept niveaux (8 596 m²) gagne en transparence et s’ouvre sur le parc du millénaire et sur la ville. L’objectif principal de la transformation est d’introduire transparence […] L’article A Taïwan, Mayu Architects réhabilite un centre culturel en bibliothèque est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 293 jours

Des vélos indestructibles, en béton armé

La station vélo de Léopold Kessler prend place à côté du Musée d’art contemporain de Cracovie, en Pologne. [©ACPresse] Inutile de tenter de garer son Vélib’ au niveau de la Surrogate Citybike, à Cracovie, en Pologne. Malgré son apparence classique, avec borne de retrait et bicyclettes stationnées, nous ne sommes pas en présence d’une station urbaine pour vélos. Mais d’une œuvre signée de l’artiste contemporain Léopold Kessler. Né à Munich, en 1976, il aime à explorer la limite entre l’espace public et la sphère privée. Léopold Kessler réalise de petites interventions dans l’environnement urbain qui l’entoure. Ces travaux reposent sur des observations malicieuses et humoristiques de la vie urbaine. Et montrent une conscience aiguë des systèmes qui font fonctionner la société d’aujourd’hui. Ces œuvres sont parfois difficiles à remarquer, mais restent toujours très précises et spécifiques à chaque site. Léopold Kessler vit et travaille à Vienne, en Autriche. Ville où il a étudié la sculpture et obtenu son diplôme en 2004. A côté de l’usine d’Oskar Schindler La Surrogate Citybike (station vélo de substitution) s’inscrit tout à fait dans cette démarche artistique. De prime abord, on ne la remarque pas. C’est une station vélo comme une autre, installée sur le côté d’un bâtiment public. En l’occurrence, le Musée d’art contemporain de Cracovie, qui occupe une partie de l’ancienne usine de production de biens d’équipements en acier émaillé d’Oskar Schindler. L’œuvre de Léopold Kessler est un miroir de l’évolution des mentalités et des habitudes des urbains. Au cours des dernières années, le principe du vélo partagé a prospéré dans les villes du monde entier. En effet, la bicyclette semble constituer la solution adéquate à de nombreux problèmes contemporains, comme les embouteillages et la pollution. En outre, elle tend à améliorer la santé des personnes l’utilisant. Toutefois, les systèmes de vélos en libre-service exigent une société adulte, car ils incitent les gens à abandonner leur voiture. Et nécessitent la création de pistes cyclables. Il faut aussi outrepasser certains instincts archaïques-capitalistes : au lieu d’acheter son vélo pour un usage privé, on profite d’un véhicule collectif standardisé… Les vélos sont fabriqués en béton armé. [©ACPresse]Tout y est : cadre, selle, pédalier et même le petit panier accroché sur le guidon. [©ACPresse]Malgré son apparence, ce n’est pas une station de location de vélos. [©ACPresse]Le message sur le panneau d’informations est clair : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler…” [©ACPresse]De loin, les vélos sont plus vrais que nature. De près aussi, mais la selle en béton semble tout de même un peu dure ! [©ACPresse]Le logo ne laisse planer aucun doute : c’est une station vélos. [©ACPresse] Ce n’est pas pour garer son vélo Aujourd’hui, le principe du vélo partagé prospère même dans des endroits qui semblent incompatibles avec son apparition. Du fait de l’absence de pistes cyclables, de la présence d’une circulation automobile dense et difficile, ou encore à cause d’un climat très rigoureux, en hiver.  La station Surrogate Citybike est entièrement construite en acier et en béton, selon un processus de fabrication standardisé, solide et bon marché. Elle n’est pas faite pour être utilisée, et ne peut pas l’être. C’est une installation permanente du musée. La vraie station se situe tout près, comme le précise un petit panneau d’informations : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler. Un parking à vélos est présent au niveau de l’entrée principale du musée, à côté de la Galerie Re”. Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 294 jours

A Saint-Gall, un ‘Learning center’ signé Sou Fujimoto

A l’Université de Saint-Gall (Suisse) pour la HSG Foundation, l’architecte Sou Fujimoto a livré en 2021, Square, un ‘Learning center’ en structure béton de 9 650 m².  Une étape clé dans les ambitions éducatives du campus helvète. Communiqué. « Questionnant les futures manières d’étudier, le nouveau Learning center de l’université de Saint-Gall tente de repenser le […] L’article A Saint-Gall, un ‘Learning center’ signé Sou Fujimoto est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 294 jours

Le vieux Buenos Aires se fait un lifting, mais le cœur inquiète

Dans la rue Humberto 1er, à quelques encablures de l'emblématique Place de Mai, l'asphalte a sauté. Agenouillés, des ouvriers remettent un à un, près d'un siècle plus tard, des pavés dans les rues du "Casco historico", centre historique de la capitale.Voies cyclables, plantations d'arbres, bus détournés, restaurations XXL, telles celle de l'immeuble Art nouveau Otto Wulf (1914) jadis légation de l'Empire austro-hongrois : d'ici mi-2023, 67.000 m2 du centre porteño seront retouchés par le "Plan Casco" dans lequel la ville va investir 2,2 milliards de pesos (17 millions d'euros).L'objectif est double : "restaurer un des quartiers les plus historiques, au patrimoine important", et "réinventer la vie dans l'hypercentre", explique Felipe Miguel, chef de cabinet de la municipalité (centre-droit) de la capitale de 3 millions d'habitants.Ironiquement, il y a une dizaine d'années, une municipalité du même bord, alors gérée par le futur chef de l'Etat Mauricio Macri (2015-2019), recouvrait d'asphalte les pavés de plusieurs quartiers (environ 3.400 des 30.000 rues de Buenos Aires sont pavées), ulcérant des associations de riverains.On invoquait alors une nuisance sonore moindre, des pneus épargnés, l'écoulement des eaux de pluie... "Il y a des quartiers qui ont changé et où prime la mobilité, d'autres plus typiques qu'il faut préserver", justifie Felipe Miguel.Le Covid en plusCar le patrimoine est de nouveau l'avenir. Comme tout ce qui pourrait doper un centre-ville, à la fois quartier d'affaires et de tourisme, que le souffle de vie a quitté pendant la pandémie et un confinement parmi les plus longs du monde."La pandémie est venue aggraver un problème déjà en cours, inexorable : la perte d'habitants du centre, à la population +flottante+, sur-utilisé le jour, sous-utilisé la nuit", explique Silvia Farje, architecte et experte en patrimoine, ex-ministre de la Culture de la ville.Un centre, poursuit-elle, où une population vieillissante ne peut plus entretenir des immeubles centenaires, où cette dernière n'est pas remplacée par des jeunes, peu enclins à vivre dans un quartier régulièrement paralysé par des manifestations sociales, déserté la nuit, dans des bâtiments dépourvus du confort numérique qu'ils ont appris à goûter en télétravail en périphérie.L'idée de rédemption par les vieilles pierres a quelque chose d'ironique, pour une capitale qui dans son histoire n'a pas toujours eu les égards dûs à ses vieilles pierres. N'hésitant pas, par exemple, à raser une partie du Cabildo, bâtiment iconique de 1751, pour percer en 1894 l'Avenida de Mayo, avenue cossue copie conforme d'un grand boulevard parisien. La référence d'alors.Risque du "parc à thème"L'"âge d'or" de l'Argentine (de 1880 aux années 1930) et ses vagues d'immigrants européens, ont valu à la capitale un rare patchwork d'influences, du style colonial à l'Art déco, de l'italianisant néo-renaissance au rationalisme..."Une accumulation éclectique plus qu'un style. Un vrai palimpseste", résume Patricio Cabrera, dirigeant de l'association de sauvegarde du patrimoine Basta de Demoler (Stop aux démolitions).Mais sur l'Avenida de Mayo, les "A vendre" ou "A louer" fleurissent aux fenêtres. Selon M. Miguel, 60% des occupants du coeur de Buenos Aires travaillaient dans des bureaux avant la pandémie, un chiffre qui a dégringolé à 20%. Beaucoup ne reviendront pas. Des rideaux de commerces, privés de clients, sont baissés pour de bon.D'où l'espoir de faire revivre un "centre à usage mixte", entre professionnels, touristes, habitants, jeunes si possible. Depuis 2021, les aides au crédit et incitations fiscales se multiplient pour qui veut habiter l'hypercentre, ouvrir un commerce ou transformer des bureaux en habitations. Un chantier-défi "qui prendra des années", reconnaît M. Miguel.A court terme, les 2,1 millions de visiteurs étrangers annuels de Buenos Aires (chiffre pré-Covid) sont une cible de choix. Mais aussi un risque, entre "touristification" et "gentrification" du centre historique, "comme cela s'est passé dans beaucoup de capitales du monde", souligne l'ONG Observatorio de la Ciudad.Et si Basta de Demoler salue "la conscience nouvelle du patrimoine, qui voit revenir des pavés, chose impensable il y a 40 ans", l'association met en garde contre le risque de "sacrifier l'essence à l'esthétique" et "devenir un parc touristique à thème".
Il y a 2 ans et 295 jours

Un centre autochtone canadien par Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture

Les architectes des agences Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture ont remporté le concours pour le centre autochtone Mukwa Waakaa’igan (budget : 12,38 M€) à Sault-Sainte-Marie (Ontario, Canada) pour l’Université Algoma, un lieu pour mieux comprendre la culture autochtone. Livraison prévue en 2024. Communiqué. Le centre autochtone Mukwa Waakaa’igan devient le nouveau cœur de l’Université […] L’article Un centre autochtone canadien par Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 295 jours

Au Canada, un centre autochtone signé Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture

Le  concours pour la conception du centre autochtone Mukwa Waakaa’igan à Sault-Sainte-Marie (Ontario, Canada) pour l’Université Algoma a désigné les agences canadiennes Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture. Le futur équipement (budget : 12,38M€), dont la livraison est prévue en 2024 deviendra le nouveau cœur universitaire, conçu pour offrir un espace accueillant à des visiteurs […] L’article Au Canada, un centre autochtone signé Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 296 jours

XYLEXPO 2022 : le point de départ d’un nouveau cycle technologique

Du 12 au 15 octobre 2022, à fieramilano Rho, aura lieu Xylexpo, la biennale mondiale des technologies pour le travail du bois et des composants pour l’industrie du meuble, promue par Acimall, l’association des constructeurs italiens de machines et d’outils pour le travail du bois, et organisée par CEPRA. Depuis 1968, exposition unique et immanquable pour les opérateurs du secteur, Xylexpo offre une vision large et exhaustive sur les technologies pour le travail du bois et ses dérivés, en interprétant au mieux l’évolution du secteur grâce à ses multiples facettes. Capable de renouveler continuellement les contenus et les services, à partir de cette édition Xylexpo change la période de déroulement, en passant du printemps à l’automne pour intercepter au mieux les exigences d’investissement des visiteurs qui, dans l’après-pandémie, se « retrouvent » avec un calendrier des salons profondément modifié. En faisant ce choix, Xylexpo sera de fait le point de départ du cycle d’innovation qui caractérisera les deux années suivantes, en s’affirmant comme la scène idéale pour présenter en avant-première les nouveautés technologiques développées par les entreprises, dans le meilleur moment pour récolter les intentions d’achat des utilisateurs, toujours très élevées dans la partie finale de l’année. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Reconnue comme le salon mondial pour la haute technologie pour le travail du bois, la manifestation se déroulera en parallèle avec BI-MU, la biennale internationale dédiée au monde des machines-outils pour le travail du métal, des robots, de l’automation, des technologies additives et auxiliaires. UN SALON DIFFÉRENT DE TOUS LES AUTRES L’évolution qui caractérise le secteur bois-ameublement, parmi les plus attentifs à la recherche de l’équilibre parfait entre beau et fonctionnel, doit énormément à l’industrie des machines et des technologies de production, tout comme à celle des composants, des équipements et des matériaux de dernière génération. Réelles forges d’expérimentation capables de donner forme, couleur et interprétation concrète aux idées de ses clients, les entreprises leaders du secteur trouvent depuis toujours en Xylexpo leur point de référence, faisant de cet événement un des moments capables de dicter les « règles » pour toutes les exigences de production au niveau international. STAR INTERNATIONALE Tout en étant solidement liée au marché italien, parmi les plus importants et évolués au monde pour les technologies et les matériaux, et devant satisfaire la demande d’un monde ample et exigent du meuble et du design, Xylexpo a une projection très importante vers l’étranger. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Avec un résultat consolidé dans le temps, qui voit les visiteurs étrangers dépasser 30 % du total, Xylexpo fait partie des toutes premières manifestations au monde pour son taux d’internationalité. Un fait qui consolide ultérieurement la capacité d’attraction de la manifestation vers le public international : la présence, comme d’habitude, de nombreuses délégations étrangères organisées par ICE – Agence pour la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes – notre partenaire institutionnel de référence. Pour l’occasion, ICE portera à Xylexpo 150 ouvriers étrangers qui travaillent principalement dans les secteurs de la production de produits semi-finis et finis en bois, spécialement sélectionnés et provenant principalement de la Méditerranée, des Balcans, de l’Est de l’Europe, de la Scandinavie et de la Baltique, pour un total d’environ 20 pays.
Il y a 2 ans et 296 jours

De nouveaux bureaux à haute efficacité énergétique pour Hellio

Des bureaux en cohérence avec l'image et le positionnement de Hellio Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, idéalement localisé sur la ligne 14 du métro. Les équipes de Hellio occupent désormais un plateau de près de 1.500 m2 au 6ème étage de l'immeuble Factory.Ce bâtiment neuf et moderne se veut être proche de l'image de l'entreprise et de son positionnement. L'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a fait le choix d'intégrer ce bâtiment de bureaux conçu dans une démarche environnementale exigeante : HQE Exceptionnel, BREEAM Very Good, WELL Ready ; et qui propose de nombreux services aux utilisateurs.Parmi les caractéristiques notables du bâtiment :Une isolation par l'extérieur des façadesDes protections solaires extérieures (brises soleil orientables)Un éclairage luminaires LEDUne production d'eau chaude faite par la CEVE (CPCU de la ville de Clichy)Une production d'eau glacée faite par 2 groupes froid en terrasseUne ventilation double fluxUne gestion centralisée de tous les équipements techniques« Plus proche de notre image et de notre positionnement, Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, au sein d'un bâtiment à haute efficacité énergétique, en parfaite adéquation avec notre métier de la maîtrise de l'énergie », précise Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.
Il y a 2 ans et 296 jours

Grand Paris Express : Colas et Eiffage remportent un marché de la ligne 18

CONTRAT. Le montant du marché s'élève à 26 millions d'euros. Les travaux devraient se dérouler en trois phases, jusqu'en 2027.
Il y a 2 ans et 296 jours

En Australie, le premier centre LGBTQI+ par BAU et GAA

A Saint-Kilda, près de Melbourne (Australie), Brearley Architects and Urbanists (BAU) et Grant Amon Architects (GAA) ont livré le ‘Victorian Pride Centre’, un premier lieu de 6 400 m² dédié aux communautés LGBTQI+ (budget : 24,16 millions d’euros). Une façon de « construire l’inachevé » expliquent les architectes. Communiqué. En 2017, une enquête nationale en faveur de l’égalité […] L’article En Australie, le premier centre LGBTQI+ par BAU et GAA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 297 jours

Le défi des installations de bornes de recharge dans les copropriétés

La copropriété de Gérard fait partie des 2% équipées en France, pour 10.000 places environ. Des chiffres encore faibles, en dépit du droit à la prise mis en place en 2011, qui permet à chaque copropriétaire d'installer, à ses frais, une prise pour son véhicule.Ce manque de bornes privées dans les habitats collectifs reste un obstacle de taille à l'électrification des voitures, brique indispensable dans la lutte contre le changement climatique."Des premières discussions dans la copropriété à la première installation, nous avons attendu 18 mois. Mais d'autres voisins ont suivi le mouvement et bientôt, nous aurons 17 bornes!", nuance le retraité, qui ne souhaite pas donner son nom, pendant que deux ouvriers d'un installateur privé s'attellent à équiper des places voisines.L'installation ne coûte rien à la copropriété: les propriétaires paient pour leur propre borne, et des subventions couvrent le reste.Car, outre la borne individuelle, il faut financer des infrastructures collectives, comme les câbles et parfois des compteurs communs. Le financement de ces équipements a longtemps été un point de discorde pour les copropriétés qui, jusqu'à peu, devaient les prendre à leur charge."Il y a toujours une crainte de certains copropriétaires de devoir payer pour les autres, ralentissant les demandes d'installation", explique Mathias Laffont, directeur des études à l'Union Française de l'Electricité (UFE). "A présent, des techniques existent pour faire uniquement payer les utilisateurs, moyennant quelques centaines d'euros pour l'achat de la prise, en plus de l'abonnement mensuel souscrit auprès de l'opérateur".Accélérer ce développementDes aides existent pour les propriétaires, les copropriétés et les opérateurs: Logivolt Territoires, lancé par la Banque des Territoires, le guichet de la Caisse des dépôts, finance toutes les dépenses collectives; le dispositif Advenir, financé par une enveloppe annuelle de fonds publics et piloté par l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere-France), en couvre la moitié.Les nombreuses start-up du secteur, Bornes Solutions, Zeplug ou Park'n Plug en tête, l'assurent: la demande d'équipements dans les habitats collectifs est en plein essor. Elles estiment qu'un million de places pourraient être équipées rapidement.Le reste à charge pour le particulier, après les aides, est entre 700 et 900 euros, selon elles.Mais les choses ne vont toujours pas assez vite.44% des Français vivent dans des habitats collectifs mais "70% des bornes privées sont en habitat individuel", d'après Clément Molizon, délégué général de l'Avere-France.Pour accélérer ce développement, un décret très attendu doit permettre à Enedis, le gestionnaire du réseau électrique, d'équiper les copropriétés en équipements de recharge, sans leur faire payer le moindre euro, en intégrant les coûts dans le tarif d'acheminement de l'électricité (Turpe). Une "concurrence déloyale", dénoncent au passage les installateurs privés, rassemblés derrière l'Association Française des Opérateurs de Recharge pour véhicules électriques (Afor).Pénurie de personnelEnedis anticipe "des milliers, puis des dizaines de milliers de nouvelles demandes, une fois le décret validé", comme l'assure Olivier Huet, directeur de projet infrastructure de recharge des véhicules électriques en résidentiel collectif d'Enedis. "Toutes les solutions sont nécessaires, le marché est trop important".Autre défi pour les opérateurs, le déploiement de prises de recharge dans les parkings privés en extérieur, qui nécessitent des travaux plus lourds. "C'est aujourd'hui trop onéreux pour que les opérateurs et les copropriétés puissent en assumer le coût", explique Lara Dupont, de Zeplug.A cela s'ajoute enfin le manque de personnel formé, estimé à "plusieurs milliers de personnes" par les opérateurs."Le secteur est en forte croissance, mais on manque cruellement de bras", déplore Jérôme Princet, directeur général de Bornes Solutions et vice-président de l'Afor.
Il y a 2 ans et 297 jours

Les frères Le Ny à tu et à toits

Couvreurs - Basée dans le Rhône, l'entreprise familiale rénove des monuments historiques en perpétuant les savoir-faire ancestraux.
Il y a 2 ans et 297 jours

Appel à Projet : Le sport dans la ville de demain sur le site Le Corbusier de Firminy

Le site Le Corbusier de Firminy-Vert (Loire) recherche la programmation de ses expositions 2023, dont la thématique sera ‘le sport dans la ville de demain’. Jusqu’au 23 septembre 2022. Dans le contexte de JO 2024, le site Le Corbusier de Firminy-Vert, sous la houlette de Saint-Etienne Métropole, a émis un appel à candidatures dans le […] L’article Appel à Projet : Le sport dans la ville de demain sur le site Le Corbusier de Firminy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 297 jours

7ème édition des prix des diplômes et des mémoires de la Maison de l’architecture IdF

La Maison de l’architecture IdF a lancé la 7ème édition des prix des diplômes et des mémoires, parrainée par Susanne Eliasson architecte associée de l’agence GRAU Architecture. Jusqu’au 9 octobre 2022. L’ambition de la Maison de l’architecture Ile-de-France est de construire des liens solides avec les écoles d’architecture. Dans cette perspective, deux objectifs sont définis […] L’article 7ème édition des prix des diplômes et des mémoires de la Maison de l’architecture IdF est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 297 jours

Réhabilitation du Pavillon Bleu d'Amiens

Cette tuile de la marque Koramic trouve son origine dans les Flandres. Son aspect authentique et son profil ondulé sont des atouts pour les demeures du Nord. Grâce à son caractère régional assumé, cette réhabilitation est un témoignage vibrant de période luxuriante s’étendant de la fin du XIXème au début de la 1ère Guerre Mondiale.Un lieu emblématique d’Amiens à complètement reconstruireCette ancienne laiterie devenue, après extension, une ginguette en 1898 puis une discothèque jusque dans les années 2000 était désaffectée depuis lors, malgré sa situation remarquable. Longeant le canal de la Basse Selle, le bâtiment se situe dans le parc zoologique d'Amiens, un lieu de promenade connu de tous dans la région.Propriété de la Métropole, il a fait l'objet d'un appel d'offres pour sa réhabilitation et la création d’un espace de restauration. C'est l'agence Socréa, architectes du patrimoine, qui a été chargée du projet.Pour Florent Basset, l'un des associés, « il a fallu sortir des chantiers habituels des bâtiments anciens, toucher à tous les corps de métier, et retrouver les traces du projet d'origine d'Anatole Bienaimé pour s'en rapprocher le plus possible ». Cet architecte réputé dans la région à la fin du XIXème siècle est notamment connu pour ses villas de bord de mer au Touquet-Paris-Plage ou à Berck-sur-Mer dont certaines sont classées monuments historiques. Des maisons souvent riches de décorations inventives et d'audaces architecturales.Convoquer l’esprit d’une époquePour Florent Basset, il était important de retrouver la richesse de « l’architecture pittoresque extravagante, qui mêle progrès techniques de cette période et imaginaires littéraires ». À l'aide d’archives retrouvées et de cartes postales anciennes, il a tenté de se rapprocher au plus près de la villa d'époque. Le charme du site vient de l'harmonie conjuguant diversité et alignement de plusieurs formes d'architecture. En effet, se superposent une laiterie, une tour, un kiosque, une salle puis une véranda polygonale, introduits par portails et passerelle japonisants. Le tout aligné face au parc et au canal. Florent Basset note que « toutes les façades sont orientées sud pour un ensoleillement maximal. La disposition des soubassements et des fenêtres apporte de la rigueur à cette profusion de formes différentes ».Une tuile choisie sur carte postaleTraditionnellement, les constructions de la région utilisent la terre cuite pour la toiture. Florent Basset s'est servi d'une ancienne carte postale pour trouver la bonne référence de tuile. « Je souhaitais restituer une ondulation avec un effet d'écaille en diagonale. Le modèle de tuile à onde douce Vieille Panne 451 de Koramic correspondait parfaitement. Il n'y a pas eu d'hésitation ». Le toit est agrémenté de figurines en terre cuite et de galeries de faîtage, décorations typiques de la région à la Belle Époque. Les épis de faîtage en forme d'animaux (héron, écureuil, hibou) composent un bestiaire rappelant la présence du zoo tout autour. Florent Basset précise que la pose des tuiles a été facilitée par les accessoires disponibles, et souligne que « le dialogue entre couvreurs et charpentiers a été essentiel pour optimiser la pose, surtout pour les endroits les plus délicats ».Une décoration intérieure réinventéePour l'architecture intérieure, Florent Basset a mis ses pas dans ceux des architectes de l'époque en retrouvant leurs sources d'inspiration : le Japon, Jules Verne avec notamment Cinq semaines en Ballon ainsi que les grandes avancées techniques d'alors comme la Tour Eiffel ou le Pavillon Baltard. Entièrement reconstruit, le Pavillon Bleu se devait d'afficher « une rutilance spectaculaire ». C'est la raison pour laquelle, une seule teinte de tuile a été choisie pour affirmer une reconstruction à neuf pleine de vibrations. Le Pavillon Bleu a retrouvé ses couleurs d'origine et ses promeneurs curieux lèvent la tête pour reconnaître ici un escargot ou là un échassier perché sur le toit...Zoom chantier...Type de projet : Rénovation du Restaurant Pavillon Bleu du Zoo d’Amiens (80)Lieu : Restaurant Le Pavillon Bleu, Zoo d’Amiens (80)Produit utilisé : Vieille Panne – 451 RougeArchitecte : SOCREA, Architectes du patrimoine – Florent Basset à Compiègne (60)Maître d’ouvrage : Amiens MétropoleEntreprise de pose : Emmanuel Delaforge à Sommereux (60)
Il y a 2 ans et 297 jours

« Density of lives » à la galerie d’architecture à Paris

A la galerie d’architecture à Paris, l’exposition « Density of lives » présente la vision de l’agence ITAR sur la densification urbaine. Jusqu’au 15 octobre 2022. Densifiez ! Pour beaucoup c’est un mot d’ordre qui se traduit par des données quantitatives, à l’image des habitants par kilomètre-carré, de l’emprise au sol, ou encore de la surface […] L’article « Density of lives » à la galerie d’architecture à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 297 jours

Retour : Un appartement à Athènes par Point Supreme architects

Le numéro 449 d'AA « Architectures Méditerranéennes » présente une multitude de projets méditerranéens, d'un spa ...More about Cet article Retour : Un appartement à Athènes par Point Supreme architects est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.