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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 2 ans et 344 jours

Globalisto une philosophie en mouvement au MAMC+

‘Globalisto, une philosophie en mouvement’, au MAMC+ à Saint-Etienne (Loire) est une installation collective qui propose de regarder le monde d’un point de vue panafricain et prend pour point de départ une philosophie prônant l’hospitalité, l’inclusion et l’idée d’un monde sans frontières. Jusqu’au 16 octobre 2022. Alors que l’Afrique est l’invitée d’honneur de la 12e […] L’article Globalisto une philosophie en mouvement au MAMC+ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 344 jours

Carlana Mezzalira Pentimalli livre l’école de musique de Bressanone (Italie)

Dans la plus ancienne ville du Tyrol, l’agence Carlana Mezzalira Pentimalli a achevé en 2021 ‘Wunderkammer’, l’école de musique (5 312 m²) de Bressanone (Italie), une institution fondée en 1961 et un point de repère pour toute la région  Coût : 9, 84 M€. Communiqué. L’agence Carlana Mezzalira Pentimalli, installée à Trévise, a conçu depuis le […] L’article Carlana Mezzalira Pentimalli livre l’école de musique de Bressanone (Italie) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 344 jours

Tramway d’Angers : Les invisibles bétons d’aménagement

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Franchissement de la voie ferrée sur le nouveau pont sur la Maine. [©ACPresse] Les mauvaises langues pourraient dire que les plus beaux bétons sont ceux que l’on ne voit pas ! D’un autre côté, au démarrage de son histoire, ce matériau restait souvent invisible. A la vérité, peu de gens savent, par exemple, que l’ensemble de la structure porteuse du théâtre des Champs-Elysées, à Paris, est en béton… Tant les ors et les marbres qui l’habillent cachent sa véritable nature. Pour la construction de la seconde ligne de tramway d’Angers, l’approche est assez comparable. Point d’or, ni de marbre, mais une ossature en béton tout à fait imperceptible, enfouie pour l’essentiel sous des tapis de verdure. Seuls, les rails métalliques laissent deviner la présence de cette infrastructure souterraine. Ce qui montre bien que l’aménagement d’espaces publics prend bien des formes. La nouvelle ligne B a pour terminus la station Belle-Beille, du côté Ouest d’Angers. Mais une fois la Maine franchie, via un pont métallique érigé pour l’occasion, elle emprunte l’actuel tracé de la ligne A. Celle-ci avait été dévoyée en 2019 sur ce nouvel itinéraire traversant le centre-ville. Ensuite, la ligne B poursuit son parcours, sur un tronçon neuf, en direction du Nord-Est, vers la station Monplaisir, qui constituera son autre terminus. Deux lignes pour le prix d’une ! Cette jolie organisation cache une surprise ! En effet, en dévoyant la ligne A en centre-ville, Angers Loire Métropole, maître d’ouvrage de l’opération, a libéré un petit morceau de tracé, qu’il a pu affecter à une 3e ligne : la C… Cette dernière aura donc un parcours commun avec la ligne B sur le début de son trajet et avec la ligne A (en service depuis onze ans) sur la fin de son itinéraire. Et profite d’une section qui lui est propre en centre-ville. D’une certaine manière, Angers s’est offert deux nouvelles lignes de tramway pour le prix d’une ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 344 jours

Vienne : Réhabilitation ambitieuse menée par Spie Batignolles Grand Ouest

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Spie Batignolles Grand Ouest opère une rénovation ambitieuse mêlant performance et économie circulaire. [©Spie Batignolles] Spie Batignolles Grand Ouest est en charge de la réhabilitation de la résidence Schuman, à Poitiers. Le chantier constitue la première transformation avant une requalification globale du quartier des Couronneries. Et ce, pour créer un nouvel ensemble plus durable, attractif en faveur de la mixité. L’immeuble Schuman en R+4 dispose d’une architecture typique des années 1970. Il est doté de 85 appartements, et 40 bureaux et locaux commerciaux. La réhabilitation permettra de totaliser 97 appartements et 21 locaux commerciaux (au rez-de-chaussée). Le chantier vise une performance BBC Rénovation. L’économie circulaire est un marqueur fort sur ce programme. Ainsi, les équipes Spie Batignolles ont proposé la récupération de différents éléments durant les phases de démolition des cages d’escalier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Nouvelle-Aquitaine A l’image de granulats récupérés, envoyés en carrière pour être concassés et réinjectés dans la formulation de nouveaux bétons. Près de 34 t de matériaux ont été identifiées pour être réemployées dans le cadre de cette rénovation. D’autres innovations ont été choisies par l’entreprise de BTP. A l’image du lean pour optimiser le planning de ce chantier. Ou encore la maquette BIM. Enfin, pour la création d’ancrage en béton pour supporter les charges de la charpente, Spie Batignolles a opté pour l’impression 3D. Les 160 coffrages en béton seront imprimés depuis le parc matériel de Spie Batignolles, à Ollainville (91) où le groupe possède sa propre tête d’impression. La livraison du chantier est prévue à la fin mai 2023. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

Près d'Amsterdam, un quartier pionnier "rend la terre aux gens"

Chacun construit à son rythme et selon ses envies à Oosterwold, un espace vert de 43 kilomètres carrés près d'Amsterdam. A condition de respecter certaines règles, comme dédier au moins la moitié de son terrain à l'agriculture urbaine."On peut tout construire nous-même et tout décider", explique Barbara van Schaick, 45 ans, au milieu de sa parcelle où pommes de terres, oignons et arbres fruitiers poussent à proximité de sa maison toujours en construction."C'est très agréable", "surtout combiné avec la promotion de l'agriculture urbaine", ajoute-t-elle auprès de l'AFP. Cette bio-informaticienne passionnée de jardinage a quitté la capitale néerlandaise pour se lancer dans "l'expérience Oosterwold" il y a près de deux ans.Le terrain, situé sur des "polders", ces zones gagnées sur la mer, était longtemps dédié à l'agriculture biologique, avant que la terre ne soit "rendue aux gens" en 2016 pour cette initiative imaginée par la firme MVRDV et un politicien néerlandais."Image romantique"Leur parcelle achetée, les résidents ont quartier libre pour construire logement et infrastructures, sous certaines conditions.Les habitations doivent être bien isolées et les habitants doivent privilégier les énergies renouvelables et pompes à chaleur. La moitié du terrain doit être consacré à l'agriculture urbaine et il doit y avoir des espaces de vie et de circulation publiques.Oosterwold est "unique", affirment fièrement ses habitants, même si tout n'est pas si simple, concèdent-ils.Devant une élégante bâtisse qui semble se fondre dans son vaste terrain vert, construite à l'aide d'un architecte et d'un entrepreneur, Nadine Alsaz, 55 ans, dit vivre dans un "paradis".Arrivée à Oosterwold en 2017, elle souligne que l'initiative permet aussi des échanges fondamentalement différents de ceux en ville, "où on se connait à peine".Les gens ont toutefois souvent une "image romantique" du projet, et peuvent sous-estimer la flexibilité nécessaire à sa mise en oeuvre, explique-t-elle.La construction des routes, qui se définit entre associations d'habitants, fait par exemple l'objet de discussions houleuses, que ce soit sur les matériaux à utiliser, la façon de procéder et ou la division des coûts."On aurait pu croire que construire une route serait plus facile", explique Barbara, alors que le chemin de terre cahoteux menant à sa parcelle attend toujours que les voisins se mettent d'accord.La construction coûte "beaucoup d'énergie", explique-t-elle, surtout pour ceux qui, comme elle, construisent tout de A à Z. Certaines parcelles sont abandonnées et laissées en friche.Et pour ceux qui n'ont pas d'expérience dans le domaine, l'agriculture urbaine est "un défi", ajoute Jeroen Dobber, 39 ans, qui a surtout choisi Oosterwold pour s'éloigner des contraintes dans les villes traditionnelles."Bonne pour le monde"De nombreux terrains proposés par l'initiative ont été achetés par des développeurs de projets immobiliers, et leurs locataires ne sont pas toujours aussi conscients de ce qui est attendu d'eux, observe-t-on.Certains déplorent également l'absence de services publics et d'école à proximité, mais selon M. Dobber, "ça va venir".Les habitants sont de tout âge, et de différentes opinions politiques, selon M. Dobber, mais la plupart ont un niveau d'études élevé, note-t-il.Et si des logements sociaux sont également en construction, l'augmentation des prix de la terre ne favorise pas la diversité.L'endroit est très populaire. Une deuxième phase du projet doit commencer en 2025 et tirera des leçons des premières années de l'expérience, en rendant par exemple la charge de l'évacuation des eaux et la construction de certaines routes à la municipalité d'Almere, à proximité.Oosterwold comptera 15.000 lots, dont un dixième a déjà été vendu, mais ne grandira pas plus que ça, garantit Nadine. Elle espère néanmoins que l'initiative, "bonne pour le monde", sera imitée ailleurs.
Il y a 2 ans et 344 jours

Espaces possibles au Forum d’urbanisme et d’architecture de Nice

Les tiers-lieux sont dans l’actualité. Pour autant, savons-nous vraiment ce qu’ils sont ? Plus encore, savons-nous quel rôle peut être dévolu à l’architecte dans la mise en forme de ces nouveaux espaces de collaboration et de sociabilité ? Espaces possibles, au Forum de la ville de Nice (Alpes Maritimes) tentent d’y répondre. Jusqu’au 15 octobre […] L’article Espaces possibles au Forum d’urbanisme et d’architecture de Nice est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 344 jours

Holcim rachète un fabricant de béton prêt-à-l'emploi en Roumanie

ACQUISITION. Le cimentier suisse a fait l'acquisition de l'entreprise General Beton Romania. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué.
Il y a 2 ans et 344 jours

“HQE Pour Tous”, un outil numérique pour la construction durable

L’outil “HQE Pour Tous” s’adapte aux connaissances de tous les professionnels pour mieux les accompagner dans leurs actions. [© Alliance HQE-GBC] Pour mieux faire connaître la Haute Qualité Environnementale (HQE) et la rendre plus accessible, l’Alliance HQE-GBC lance “HQE Pour Tous”. Cet outil numérique est destiné aux acteurs de la construction pour leur faire découvrir les 26 thématiques, les engagements et les objectifs que cette norme englobe. Il a pour objectif de faciliter la compréhension des cadres de références réunis autour de quatre engagements. A savoir, la qualité de vie, le respect de l’environnement, la performance économique et le management responsable. Pour rappel, l’alliance HQE-GBC a pour mission de piloter les travaux d’innovation collaborative en faveur de la construction durable. Dans ce cadre, elle a pour ambition de réunir les professionnels autour d’un langage commun. « Avec cet outil, nous avons l’ambition de vulgariser et de rendre lisible la HQE à travers l’utilisation d’un outil numérique didactique et ludique, déclare Marjolaine Meynier-Millefert, présidente de l’alliance HQE-GBC. » Un outil pour comprendre la HQE De plus, « cet outil s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’apport d’information sous la forme d’un concept encourageant et non culpabilisant pour l’utilisateur », poursuit Marjolaine Meynier-Millefert. Ainsi, “HQE Pour Tous” a été conçu selon le niveau de connaissance de l’utilisateur professionnel. Il propose deux parcours : Découverte pour dévoiler la HQE et Approfondissement, pour ceux qui la connaissent déjà et qui souhaitent savoir comment leur projet de bâtiment peut mieux prendre en compte les quatre engagements de la norme. Les détails de ces derniers seront d’ailleurs accessibles pour les professionnels via un socle d’information. Lire aussi : L’Alliance HQE-GBC publie le “Guide sur la richesse de l’ACV” Enfin, l’outil numérique permet de réaliser un auto-diagnostic pour un projet de bâtiment durable. Pour chacun des engagements et des thématiques, le professionnel renseigne par oui ou non les actions réalisées. Puis, il reçoit une synthèse qui permet d’identifier les leviers à actionner pour chaque thème de la HQE. A l’issue du diagnostic, l’outil propose des liens vers les certificateurs. Pour le moment, “HQE Pour Tous” a été imaginé pour le bâtiment. Cependant, l’Alliance HQE-GBC proposera prochainement une autre plate-forme digitale pour faciliter la prise en main des indicateurs dans le secteur de l’aménagement. Lien vers “HQE Pour Tous” ici
Il y a 2 ans et 344 jours

Le confort d’été et la RE 2020 selon le Filmm

Le Filmm décrypte des solutions constructives pour assurer le confort d’été. [©Filmm] Le Syndicat national des fabricants d’isolants en laines minérales manufacturées (Filmm) a édité une nouvelle brochure sur le thème du confort d’été. La RE 2020 a intégré une évolution importante avec l’introduction d’un nouvel indicateur dans les bâtiments : les degrés-heures d’inconfort (DH), exprimés en °C.h. Désormais, les hausses des températures et les vagues de chaleur provoquées par le réchauffement climatique ont été prises en compte avec une nouvelle méthode de calcul. Et afin que cette notion soit plus concrète, le Filmm illustre le principe de cet indicateur avec un graphique. Les solutions contre l’inconfort Pour faire simple, pour prendre en compte la durée de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de bien-être est dépassée. Pour effectuer ensuite la somme, heure par heure, des écarts de degrés entre la température mesurée dans le bâtiment et celle maximale dite de “confort”. Une fois le résultat obtenu, il est essentiel de savoir quelles solutions à mettre en œuvre. Pour déterminer cela, le Filmm a mandaté le bureau d’études “Bastide et Bondoux”, afin de réaliser une étude de sensibilité sur le confort d’été en lien avec la RE 2020. Lire aussi : Filmm : La RE 2020 plus aboutie que la RT 2012 ? Cette étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec des combles aménagés. Chacune possède une structure maçonnée, puis une structure en ossature bois. Le bureau d’études a pris en compte les méthodes de calcul des DH. Ainsi, la brochure fait la synthèse, donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été optimal. La brochure synthétise des informations essentielles à connaître pour s’orienter vers les bons choix techniques lors de la construction. L’étude est en accès libre sur le site du syndicat ici   
Il y a 2 ans et 344 jours

Revcoo : Quand innovation technologique rime avec transition écologique

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Revcoo a installé son innovation sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. [©Eiffage Route] En Europe, le secteur industriel représente 46 % des émissions de dioxyde de carbone. Dans un contexte où industrie devrait rimer avec écologie, les actions doivent être vite mises en place. Ainsi, Revcoo, une jeune start-up lyonnaise, œuvre pour la transition écologique. Elle a élaboré une nouvelle technologie capable de capturer le CO2 des usines. Cela, dans le but de limiter le réchauffement climatique de + 1,5 °C d’ici 2050. Ce procédé consiste à capter le carbone directement en sortie des cheminées d’usine par cryogénie. La technique se déroule ainsi en 3 étapes. Tout d’abord, le gaz à traiter est comprimé avant d’être déshumidifié. Il est ensuite filtré pour isoler le dioxyde de carbone, afin qu’il soit pur. Enfin, ce gaz conditionné est placé dans le désublimateur dans lequel le CO2 se transforme en neige carbonique. Lire aussi : Carbon8 Systems, de déchets à matériaux Des usines éco-responsables Des premières installations sont prévues prochainement sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. Au démarrage, Revcoo devrait capter environ 2 t/j de CO2. Pour la fin d’année, il espère monter à 20 t/j. La technologie permettrait alors d’éviter l’émanation de 95 % des émissions dans l’atmosphère. De plus, la technique ne perturbe pas la production et ne force pas les professionnels à changer leurs procédés. La start-up propose donc un moyen pour les usines industrielles de devenir éco-responsables. A cela s’ajoute un gain d’argent significatif. En effet, l’innovation permettrait d’optimiser les coûts carbone parmi les plus bas du marché avec un CO2 capturé pour moins de 19 €/t. Soit environ 4 fois moins cher que sa valeur actuelle ; En parallèle, Revcoo valorise une partie du carbone cryogénisé pour ses recherches, pour l’élaboration de carburants verts ou encore pour la construction en béton. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

L'objectif "zéro artificialisation nette" des sols face à toujours plus d'oppositions

Au début de l'été, deux coups ont successivement été portés à ce principe, qui vise à diminuer le rythme de grignotage des espaces naturels par la ville pour arriver à zéro en 2050.Le premier par l'Association des maires de France (AMF), qui a annoncé saisir le Conseil d'Etat contre deux des trois décrets d'application du ZAN.Le second par des sénateurs, qui ont étrillé dans un rapport son application par le gouvernement, assurant que "le modèle économique du ZAN reste à définir".L'artificialisation dégrade la biodiversité, augmente les risques d'inondations et contribue au réchauffement climatique en libérant du CO2 stocké dans les sols.En dix ans, son rythme a diminué de près d'un tiers, passant de 31.589 hectares en 2009-2010 à 22.553 en 2018-2019, selon l'Observatoire de l'artificialisation des sols.Mais il reste trop important: selon les objectifs fixés par la loi Climat et Résilience de 2021, il va encore devoir être réduit de moitié tous les dix ans pour atteindre zéro net en 2050.Ce qui braque, de longue date, des professionnels de la construction, sceptiques sur cette mesure qui menace des pans entiers de leur activité."Contre-productif"Pour la Fédération française du bâtiment (FFB), le ZAN risque "d'accentuer la pénurie foncière" et de renchérir encore les prix de l'immobilier. "Ça va avoir un double effet négatif, sur le prix et sur la qualité de vie", estime aussi François Rieussec, président de l'Union nationale des aménageurs.La Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), qui tient à Strasbourg son congrès annuel où le sujet de la "sobriété foncière" a traversé les débats, n'y est pas opposée par principe, mais souligne que la première urgence est de produire des logements.Et désormais, ce sont des élus, majoritairement de droite, qui mènent la fronde."Le gouvernement n'a pas du tout prévu la suite de l'histoire. Il est allé très vite sur ce sujet (...) mais il n'a pas prévu son financement", soutient le sénateur (LR) du Vaucluse Jean-Baptiste Blanc, rapporteur spécial d'un texte sur le ZAN.Il y préconise, entre autres, d'établir un "fonds ZAN" pour financer les efforts des collectivités ou d'orienter les aides budgétaires et fiscales vers la sobriété foncière.Il craint également que cela n'accentue les déséquilibres territoriaux, entre les métropoles qui auraient les capacités d'élaborer des solutions innovantes et les petites collectivités, plus démunies.Du côté des maires, l'AMF a fustigé dans un communiqué "une approche de recentralisation rigide" et des décrets d'application qui "accentuent les fractures territoriales en opposant les projets entre eux, et sont contre-productifs car leur application arithmétique et indifférenciée va à rebours des aménagements vertueux en matière de lutte contre le changement climatique, mais aussi des aménagements indispensables à l'ambition de réindustrialisation du pays".Friches"Comment fait une commune qui a travaillé ces dix dernières années sur ses friches ?", s'interroge également Constance de Pélichy, maire (LR) de la Ferté Saint-Aubin (Loiret), qui réclame que l'Etat prenne en compte les efforts passés des communes en matière de sobriété foncière.Pourquoi cette opposition ?"C'est normal, parce que le logiciel qu'on donne aux élus depuis longtemps, c'est la construction sur le vide", réagit auprès de l'AFP Christine Leconte, présidente du Conseil national de l'ordre des architectes."Là où l'Etat doit avancer avec les territoires, c'est en leur permettant de voir leur potentiel, qui aujourd'hui n'est pas les terres agricoles mais les friches, les petites parcelles, les dents creuses, les bâtiments en ruine", ajoute-t-elle."La principale hypothèse, c'est qu'un certain nombre d'élus n'avaient pas été sensibilisés au problème, et n'ont pas vu cette mesure arriver", juge Vincent Le Rouzic, urbaniste et directeur adjoint des études à la Fabrique de la Cité, laboratoire d'idées du groupe Vinci."Le deuxième élément, c'est qu'on a certains territoires qui ont un mode de développement territorial principalement fondé sur de l'étalement urbain progressif, par du pavillon diffus, et de ce point de vue-là, l'objectif ZAN est un obstacle", détaille-t-il.Précisément ce modèle que la loi entend limiter.
Il y a 2 ans et 344 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures  
Il y a 2 ans et 344 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures   Cet article Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 344 jours

EUROBOIS 2022 : une édition réussie

L’ensemble des exposants et partenaires sont unanimes vis-à-vis de la dynamique de cette édition d’Eurobois. L’affluence le confirme avec 22 883 professionnels présents durant les 4 jours et l’augmentation de la part du visitorat national entre 2020 et 2022, qui représentait 50% cette année, en hausse de 5 points par rapport à 2020. Les visiteurs étaient majoritairement composés de porteurs de projets, acheteurs et décideurs, venus visiter le salon avec des objectifs concrets (lancement de nouvelles activités, investissements en équipements, recherches de partenaires…). Le Top 5 des activités visiteurs les plus représentées sur le salon sont : la décoration et de l’agencement intérieur, la menuiserie, la charpente, la scierie – l’affûtage – le séchage et enfin les fabricants de matériel et machines diverses. Dans un contexte de forte croissance liée aux nouvelles réglementations et au soutien des pouvoirs publics, la filière bois peine à recruter. Et même si la situation tend à s’améliorer (+2% de recrutements depuis 2 ans), les efforts doivent être maintenus. Alors que plus de 70 000 projets de recrutement sont prévus à l’échelle nationale cette année, le campus Eurobois soulignait l’engagement du salon aux côtés des professionnels. Plus de 100 offres d’emploi ont ainsi été proposées sur le Mur de l’Emploi, dans différentes spécialisations et 15 organismes de formation étaient présents sur le Campus Eurobois pour présenter leurs formations initiales et continues : Centre de Formation Forestière (Saugues) Centre de formation professionnelle du Pays des Bleuets CFPF DE CHATEAUNEUF DU RHONE – Centre de Formation Forestière de Châteauneuf du Rhône CFPPA REINACH FORMATIONS (Savoie) Compagnons du devoir L’Ecole Technique du Bois (01) ENSTIB (Lorraine) EPLEFPA Roanne Chervé, Site du Lycée Nature et Forêt ESB (Nantes) FIBOIS (Lyon) FORMABOIS (Québec) GRETA CFA Lyon métropole Institut des Métiers Lycée Claude Mercier (03) Master Sciences du Bois Faculté des Sciences – Université de Montpellier … Pôle Emploi était également présent sur 2 journées afin d’informer les visiteurs sur les offres d’emploi disponibles dans la filière En plus des animations historiques du salon, comme l’atelier de Fabrication de Panneaux MOB, le Plateau Batijournal TV ou encore les nombreuses démos sur le salon, de nouvelles animations sont venues enrichir cette édition 2022. Eurobois donne dès à présent rendez-vous du 6 au 9 février 2024 pour sa prochaine édition.
Il y a 2 ans et 344 jours

Jacques Ferrier et Chaix & Morel passent en CO’Met à Orléans

Il a fallu pas moins que Jacques Ferrier Architecture (coordinateur), Chaix & Morel Associés, Ferrier Marchetti studio et Populous pour réaliser le CO’Met d’Orléans (Loiret), un équipement composé de quatre structures : un Zénith, un parc d’exposition, un Palais de congrès et une salle sportive. L’ensemble est habillé par Gantois Architecture de 14 000m² de résille aux […] L’article Jacques Ferrier et Chaix & Morel passent en CO’Met à Orléans est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 345 jours

Une copropriété s'engage dans la rénovation énergétique pour passer de la classe E à la classe B

La rénovation énergétique des copropriétés reste une décision difficile Les copropriétaires reculent devant les frais à engager, notamment lorsqu'ils ont des revenus modestes ou ne sont pas les occupants de leur logement. Le retour sur investissement peut s'avérer très long. À Rennes (Ille-et-Vilaine), la résidence le Galicie a pourtant franchi le pas. Cette copropriété de 95 logements, dont plus de la moitié en location, vient d'achever sa mue après plusieurs années de projet. Projet de ravalement « Les premières réflexions remontent à 2014 », se souvient Kévin Verger, gestionnaire pour Foncia, syndic de la copropriété. Cet immeuble du quartier de l'hôpital Sud, livré en 1969, avait besoin d'une rénovation. Un ravalement des façades vétustes s'impose. Une équipe de maîtrise d'œuvre est constituée autour de l'agence rennaise Séverine TouchetArchitecte DPLG dirigée par Séverine Touchet, architecte et ingénieure, spécialisée dans la réhabilitation de bâtiments existants. Celle-ci travaille avec la coloriste de la Ville de Rennes à une présélection de gammes de couleurs afin de redonner vie à cette façade neutre et pâle. « Les seuls reliefs de ce long bâtiment R+3 en U sont constitués par les voiles en béton saillants au niveau des douze cages d'escalier, décrit Séverine Touchet. Nous avons proposé de ponctuer ces entrées par de la couleur.» Deux camaïeux de mauve et de bleu sont proposés au groupe de copropriétaires désignés pour former la commission travaux. Ce sont trois mauves différents qui viendront rythmer les halls d'entrée, associés à deux beiges et un blanc pour les parties courantes et un gris en soubassement. Du ravalement à l'isolation des façades « En tant que premier syndic de France, Foncia a choisi d'être un acteur de la transition énergétique, en informant les conseils syndicaux et les copropriétaires sur les enjeux et les bénéfices de la rénovation énergétique, souligne Kévin Verger. Longtemps réticents à engager de tels travaux, ce qui est parfaitement compréhensible car il s'agit souvent de montants assez élevés, ceux-ci se montrent de plus en plus sensibles à l'utilité de telles interventions, notamment quand on leur explique qu'ils y gagneront en qualité de vie. »Á la résidence Le Galicie, parallèlement aux études architecturales, un audit énergétique est réalisé par le bureau d'études Acceo/E2C et la copropriété se voit sélectionnée par Rennes Métropole avec cinq autres résidences dans le cadre d'un programme d'aide à la rénovation énergétique nommé « Ville de demain » géré par la Caisse des Dépôt et Consignations, et ayant pour « vocation de financer des projets innovants, démonstrateurs et exemplaires de ce que sera la ville de demain ». Aux aides publiques de l'État s'ajoutent des subventions de la communauté de communes pour réaliser la rénovation, à condition d'obtenir le label BBC Rénovation après travaux.Le projet évolue donc vers une rénovation énergétique globale. Au simple ravalement se substitue une isolation thermique par l'extérieur, complétée par l'isolation du plancher haut du sous-sol et de la toiture terrasse et associée à la rénovation complète du système de ventilation de l'immeuble. Les menuiseries extérieures d'origine ont été remplacées par certains copropriétaires mais il reste encore 10 à 15 % de fenêtres en bois à simple vitrage. Puisqu'on ne peut pas imposer à tous les copropriétaires le remplacement des menuiseries de leur logement, l'équipe de maîtrise d'œuvre s'est assurée d'atteindre le niveau de performance énergétique du label BBC en équipant le toit terrasse de panneaux solaires thermiques destinés à produire une partie de l'eau chaude sanitaire. La chaufferie collective est rénovée et des robinets thermostatiques équipent tous les radiateurs.L'ensemble de ces mesures permet au bâtiment de passer de la classe énergétique E à la classe B et ainsi d'obtenir les financements attendus.« En fonction des revenus de chaque copropriétaire, les aides peuvent couvrir 30 à 50 % du coût des travaux, voire 90 % pour quelques personnes aux revenus très modestes », décrit Kevin Verger. La décision d'engager les travaux est votée en Assemblée Générale de copropriétaires en décembre 2018.Enduit sur laine de roche En façade, la solution préconisée par l'architecte est le système d'ITE StoTherm Mineral qui utilise un isolant incombustible en laine de roche. Pour atteindre une résistance thermique R de 3,7 m2K/W, les panneaux isolants auront une épaisseur de 140 mm. L'enduit de finition taloché retenu est le StoSilco K à base de résine siloxane, particulièrement résistant aux intempéries. La société rennaise SNPR décroche le marché de travaux de façade et démarre en septembre 2019 un chantier qui durera près de deux ans. Habituée à travailler avec les produits Sto, l'entreprise, forte de son expérience, respecte à la lettre les préconisations du maître d'œuvre. « Sto est un de nos principaux fournisseurs, confie Hervé Rouault, responsable du secteur façades de SNPR. Nous apprécions sa large gamme de produits, les conseils du commercial, les courts délais de livraison, les produits adaptés aux conditions de pose grâce à des versions été et hiver… » La fixation calée-chevillée des panneaux d'isolant minéral est réalisée avec le Sto-Mortier colle B et des chevilles à rosace. Une couche d'enduit de base StoLevell Uni armée d'un treillis en fibre de verre est ensuite appliquée, suivie d'une deuxième passe du même enduit. Les surfaces du rez-de-chaussée sont renforcées avec une armature de blindage noyée dans une première passe d'enduit. Le revêtement de finition taloché StoSilco K1.5 est décliné en trois teintes issues du nuancier StoColor System selon son emplacement sur la façade : blanc et deux tons de beige. Technologie X-black Les façades, des cages d'escalier non chauffées, ne nécessitent pas d'isolation. Elles font donc l'objet d'un ravalement technique en imperméabilité de façade de classe I3, comprenant une couche d'impression StoPrim, une sous-couche Irtop SC et une couche de finition talochée Irtop S K 1.5, permettant d'obtenir le même grain d'enduit de finition que les parties isolées. Les teintes mauves choisies (33400, 33401 et 33402 du nuancier StoColor System) étant soutenues, l'enduit bénéficie de la technologie X-black exclusive de Sto qui réduit son coefficient d'absorption solaire et limite l'absorption de chaleur en été. Les soubassements, les sous-faces et les nez de balcon sont quant à eux revêtus d‘une peinture microporeuse classe D2 à la finition mate StoColor Jumbosil. Confort d'hiver et d'été A l'automne 2021, alors que les travaux n'étaient pas totalement achevés, les copropriétaires ont confié leur satisfaction à Kévin Verger. Outre l'aspect esthétique de leur résidence, qui était leur objectif initial, ils apprécient désormais le confort accru de leur logement, été comme hiver. Ils ont constaté qu'il y faisait moins chaud pendant les périodes de canicule estivale et nombre d'entre eux n'ont pas eu besoin d'allumer leurs radiateurs au début de la période de chauffe. Fiche technique Type de bâtiment : réhabilitation d'immeuble de logement collectif Localisation : square de Galicie et avenue de Pologne, 35000 Rennes Surface de façade traitée : 5 200 m2 Maître d'ouvrage : représenté par Foncia Rennes Maître d'oeuvre : SARL « Séverine Touchet - Architecte DPLG » Bureau d'étude thermique : ACCEO/E2C Organismes : Rennes Métropole, écoTravo, Caisse des dépôts, CEE, Anah Entreprise applicatrice : SNPR Date de réception : fin 2021 Solutions utilisées : système StoTherm Mineral, enduit StoSilco K, revêtement d'imperméabilité Irtop S K avec technologie X- black, peinture StoColor Jumbosil
Il y a 2 ans et 345 jours

Le Far West de la comptabilité carbone des entreprises

Bâtiment, travaux publics, groupes cotés, PME... De plus en plus d’entreprises calculent leur empreinte carbone mais selon la méthode et le périmètre choisis, le résultat en tonnes de gaz à effet de serre émis dans l’atmosphère et les objectifs de réduction qui en découlent peuvent varier.
Il y a 2 ans et 345 jours

Atelier(s) Alfonso Femia signe en Italie un pôle logistique et de production

En Italie, à Marostica, le pôle logistique et de production signé Atelier(s) Alfonso Femia se dresse désormais entre l’horizontalité des terres agricoles environnantes et la sinuosité des collines avoisinantes. L’ouvrage de 44 303 m² de la société Vimar (maître d’ouvrage) a été livré en 2021 pour un budget de 27 M€. Communiqué. La réalisation du pôle […] L’article Atelier(s) Alfonso Femia signe en Italie un pôle logistique et de production est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 345 jours

Configurateur Plancher dalle – un logiciel développé par RECTOR pour accompagner les architectes

Pour anticiper la transformation des bâtiments dès leur conception et réduire leur impact environnemental, RECTOR lançait, en 2020, Caméléo®, une structure révolutionnaire de plancher dalle préfabriquée en béton sans mur porteur, intégrant tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Cette nouvelle approche impactant la manière de construire, RECTOR crée, aujourd’hui, le configurateur Plancher dalle […]
Il y a 2 ans et 345 jours

L’innovation : la raison d’être de LOUINEAU depuis plus de 40 ans

 NOUVEAUX SYSTÈMES DE FIXATION ET D’HABILLAGE, ET NOUVEL OUTIL DIGITAL POUR FACILITER TOUJOURS PLUS LE QUOTIDIEN DES PROFESSIONNELS  Un industriel qui place le savoir-faire de l’artisan au coeur de ses lignes de production  Concepteur et fabricant français de systèmes de fixation et d’habillage pour les menuiseries et murs-rideaux, LOUINEAU cultive sa démarche d’innovation depuis plus de […]
Il y a 2 ans et 345 jours

4 choses importantes à considérer pour une maison plus écologique !

La responsabilité de l’homme face à de son environnement est un sujet qui préoccupe de plus en plus, aussi bien au niveau des gouvernements, des entreprises que des individus. En effet, l’impact hautement négatif des activités humaines sur la nature a atteint un niveau critique et le secteur de la construction est vivement concerné. C’est justement pour cette raison que la transition écologique et énergétique prône la construction des maisons écologiques, respectueuses de l’environnement tout en assurant le confort et le bien-être de ses habitants. Dans le présent article, découvrez 04 choses à mettre en œuvre pour bâtir une maison plus écologique ! L’utilisation des matériaux naturels, sains et durables Une maison écologique est définie comme une maison qui respecte l’authenticité de son environnement immédiat, génère le moins de pollution possible et réduit à la baisse sa consommation d’énergie. Ainsi, la première chose à faire lorsqu’on a en projet une écoconstruction est de privilégier les matériaux de construction naturels, que l’on peut obtenir localement, tels que le bois, la pierre, la paille et la brique en terre crue d’argile. Ces matériaux sont non seulement naturels, mais également résistants, durables, et n’intègrent rien de nuisible à l’environnement. Par ailleurs, sur le point de l’esthétique, ils n’ont rien à envier. En effet, vous connaissez très bien la valeur esthétique qu’offrent le bois, la paille et la pierre, ainsi que la diversité de conceptions et de styles ! Des constructeurs tels que Hexagone Architecture, sont des spécialistes des écoconstructions en matériaux bio. L’entreprise s’impose comme un acteur de l’habitation écologique et sait allier un coût raisonnable à la qualité du résultat final. Les économies d’énergie pour une maison écologique Une maison écologique doit avoir une très basse consommation en énergie, en réduisant les besoins et en éliminant les pertes ! Il s’agit entre autres de mettre à profit la maison et la nature pour la régulation de la température intérieure, en laissant pour compte l’utilisation des systèmes de chauffage et de climatisation conventionnels, lesquels sont énergétivores. Différents procédés sont utilisés par les constructeurs à cette fin. Par exemple, comme il est connu qu’en hiver la façade sud de la maison est exposée au soleil, on recommande donc d’orienter sa résidence en plein sud afin de capter au maximum la chaleur du soleil, laquelle sera diffusée à l’intérieur et maintenue durablement grâce à une isolation thermique intérieure efficace (telles que les doubles et triples vitrages). Vous pouvez également planter de façon stratégique des arbres de sorte à vous protéger du vent et à garantir de l’ombre dans les pièces en période d’été. Il est également important de savoir que certains matériaux de construction peuvent se montrer thermorégulateurs, c’est-à-dire qu’ils sont capables de retenir la chaleur en période hivernale et de délivrer une fraicheur en été. Nous pouvons penser à la terre crue et à la paille essentiellement ! Sources d’énergies renouvelables et équipements écologiques L’une des caractéristiques d’une maison plus écologique est son autonomie énergétique en utilisant des sources d’énergie renouvelable. Ces sources utilisent les richesses de la nature et doivent être les moins polluantes possible. On peut citer essentiellement l’énergie solaire, l’énergie éolienne et l’énergie géothermique. Il est également important d’utiliser des équipements écologiques optimisant leur consommation. Pour le chauffage, pourquoi ne pas utiliser par exemple, des chaudières et poêles à granulés ? Ils sont à haut rendement énergétique et écologique. Pour l’équipement électroménager, optez pour les appareils de classe énergétiques A+, moins énergétivores. La qualité de l’air intérieur dans votre maison écologique Une maison écologique doit par-dessus tout préserver la santé de ses habitants. L’un des pans sur lesquels il faut absolument veiller est la qualité de l’air d’intérieur. Il doit être dépourvu des composés organiques volatils (COVs), pollens, virus, bactéries et autres particules fines. L’air d’intérieur mérite ainsi d’être bien renouvelé et il suffit souvent d’installer un bon système de ventilation pour y arriver. Vous pouvez aussi vous procurer un purificateur d’air, connu pour être efficace dans la filtration de l’air.
Il y a 2 ans et 345 jours

La Réunion : Soltech organise sa journée de rencontres béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Les équipes de Soltech et Via Sols ont organisé leur journée de rencontres béton en mai dernier. [©Soltech] Comme chaque année, l’entreprise Soltech, avec la participation de Via Sols, a organisé sa journée de rencontres béton. Près de 80 professionnels du monde de la construction et de l’aménagement public ont participé à l’évènement. « Le but est de présenter les dernières innovations adaptées à La Réunion, explique Jean Ros, dirigeant de Soltech. Après le Covid, tout le monde avait envie de se retrouver et d’échanger. » Ce rendez-vous permet aussi à l’entreprise de comprendre les attentes et les interrogations des maîtres d’ouvrage, des urbanistes et des paysagistes, et d’adapter ses solutions. Retrouvez l’actualité des entreprises en région La Réunion Lors de cette dernière rencontre, Soltech et Via Sols ont abordé différents sujets. « Il y a d’abord une présentation produits, puis un temps de questions/réponses. » Perméabilité des sols, zones vertes, béton coloré ou encore mortier hydraulique pour une application sur enrobé, sont autant de sujets abordés. L’année prochaine, toujours au mois de mai, après le Salon de la Maison qui se tient à La Réunion, la rencontre béton s’orientera sur la chape. « Nous explorerons la chape fluide pour la maison avec un revêtement terrazzo, mais aussi les DTU d’application… » Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 345 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre

"C'est une première mondiale qui démarre en France", a annoncé Patrice Richard, directeur de la distribution du groupe: un programme de masse visant à réutiliser à partir de 2023 la terre d'excavation de chantiers, aussi bien pour bâtir des maisons individuelles que des immeubles à étage.A l'origine, le groupe cherchait depuis 2019 à répondre à la demande d'un des plus grands aménageurs publics d'Europe, Euroméditerranée, qui pilote la rénovation des quartiers déshérités du nord de Marseille."Ils nous ont dit: +Le gouvernement et les normes françaises nous imposent du bois et des matériaux biosourcés pour faire baisser les émissions de CO2 de la construction, mais nous n'avons pas de bois: que peut-on faire avec de la terre? Parce que nous avons de la terre+", se souvient M. Richard.En alliant ses forces de recherche, ses usines et son réseau de distribution de matériaux Point P, Saint-Gobain a imaginé la possibilité de remplir des murs à ossature de bois avec un "béton de terre" projeté ou coulé, ou de construire avec des parpaings composés de terre, d'un liant à base de déchets de sidérurgie, de concassage de béton recyclé et de végétaux comme le chanvre.Des idées au MarocOutre le fait qu'elles sont économiques, les maisons en torchis ou en pisé, que l'on trouve du Maroc à l'Amérique latine en passant par le Sahara ou le Yémen, ont trois qualités: elles offrent un meilleur confort en été et en hiver, une meilleure hygrométrie, et une meilleure isolation phonique.Autant de facteurs issus des cultures traditionnelles très recherchés pour adapter la construction moderne au réchauffement climatique, tout en faisant baisser les émissions carbone du secteur de la construction, alourdies par celles de la fabrication du ciment. A lui tout seul, le ciment émet trois fois plus de carbone que le transport aérien.Le béton de terre, s'il ne permet pas encore de bâtir des murs porteurs, pourrait aussi permettre de réduire les consommations de sable, de plus en plus rare, soulignent ses promoteurs."Nous sommes allés prendre des idées au Maroc", précise M. Richard. "Ce que nous ne pouvions pas répliquer, ce sont des murs aussi épais que là-bas, et surtout nous devions trouver une solution demandant moins de main-d'oeuvre."Avec la technique de projection de béton de terre dans une structure porteuse en bois, on débouche sur un bâtiment "négatif en carbone", assure-t-il.Cette technique devrait aussi permettre de consommer moins d'énergie pour chauffer ou rafraîchir le bâtiment puisque la terre a la capacité de stocker la chaleur en été (au moins 15 heures), de freiner le froid en hiver, d'aspirer l'humidité quand il y en a trop, ou en rejeter si l'air est trop sec.Maisons "test""A condition de ne pas l'utiliser en façade", avertit néanmoins Manu Foucher, façadier qui craint les lézardes et craquellements dus à la sécheresse, malgré le chanvre incorporé dans la recette pour limiter le retrait de la terre lorsqu'il fait sec.A l'utilisation, avec un camion-pompe qui remplit de béton de terre l'ossature-bois, M. Foucher trouve "qu'on gagne du temps sur le chantier". Saint-Gobain s'est engagé à lancer des programmes de formation pour les artisans.Pour l'instant, une poignée de maisons "test" sont prévues en France et le groupe a signé deux projets d'immeubles dont la construction devrait démarrer en 2023.Côté coûts, le projet "était surnommé Dacia au début", du nom de la voiture à bas coût de Renault qui s'est avérée un succès commercial, explique M. Richard. "Un mur fourni et posé ne devait pas coûter plus qu'un mur de base" en béton, sinon il ne pourrait jamais prendre son envol, souligne-t-il."Les fabricants de béton ne sont pas des concurrents, ce sont des partenaires, car nous les aidons à décarboner les immeubles, et on ne pourra pas se passer de la portabilité des bâtiments (les fondations en béton armé), mais grâce à la terre on pourra être conforme aux nouvelles normes de construction françaises RE2020", espère Michel Daniel, directeur aménagement et ville durable chez Saint-Gobain.
Il y a 2 ans et 345 jours

La région Ile-de-France adopte un contrat État-région sans volet transports

Ce engagement financier a "vocation à rééquilibrer, sur le long terme, les investissements en Île-de-France au bénéfice de tous les territoires, urbains comme ruraux", a souligné la région présidée par Valérie Pécresse (LR) dans un communiqué.La région se félicite du "doublement de l'enveloppe strictement dédiée aux projets environnementaux" (572 millions d'euros) qui doit notamment servir au développement de la filière hydrogène et au remplacement des vieilles chaudières polluantes.L'enveloppe du volet enseignement supérieur et recherche, à plus d'un milliard d'euros, permettra notamment de rénover des bâtiments universitaires, acheter du matériel scientifique de pointe ou agrandir les résidences étudiantes.L'aménagement durable (749 millions), l'emploi et la formation (383 millions) et la culture (254), pour la première fois, font également l'objets de volets distincts, comme l'égalité femmes-hommes (30).Le précédent CPER, d'un montant final de 7,4 milliards d'euros, comportait une enveloppe de 5,3 milliards pour les transports.Les discussions pour une nouvelle enveloppe n'ayant pas abouti, Etat et région sont convenues en 2021 d'un avenant au précédent contrat, pour une durée de deux ans et un montant de près de 2,6 milliards d'euros.Un retard dénoncé dès janvier par les départements franciliens qui déploraient que l'Etat "reste sourd" à leurs appels, alors qu'ils investissent 1,5 milliard pour développer les transports.Elu de la majorité de droite, Pierre Liscia a dénoncé ce "grand absent" des transports, fustigeant le fait que "l'Etat se désengage du secteur des mobilités" dans la "plus grande région d'Europe, celle qui accueillera les JO en 2024"."Ce CPER est un rendez-vous manqué" notamment en raison des transports, a jugé Jonathan Kienzlen (PS), pour qui "la faute en incombe principalement à l'Etat".La majorité de droite a voté un amendement de l'opposition communiste demandant une entrée en application du futur volet mobilités au plus tard au 1er janvier 2023.Assemblée consultative de la société civile, le Conseil économique, social et environnemental régional (Ceser) francilien a regretté dans son rapport le "faible taux d'exécution globale du précédent CPER", avec 40% de crédits mandatés fin 2021.
Il y a 2 ans et 345 jours

L'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) s'installe en Seine-Saint-Denis, "un symbole"

Installée, depuis sa création en 2004, rue de Vaugirard dans le VIème arrondissement de la capitale, l'agence a déménagé ses 130 salariés de l'autre côté du périphérique, dans un immeuble flambant neuf le long du canal de l'Ourcq, où le foncier disponible a fait fleurir les projets immobiliers."L'idée de venir en Seine-Saint-Denis s'est imposée compte tenu du fait que c'est le département sur lequel nous avons la plus grosse intervention en terme de renouvellement urbain", explique dans un entretien à l'AFP Anne-Claire Mialot, nommée en décembre dernier."Ça permet aussi de montrer qu'on croit concrètement à la possibilité de transformation des quartiers, et c'est aussi cela que symbolise notre arrivée", appuie-t-elle.Le nouveau siège doit être inauguré jeudi, en présence du nouveau ministre de la Ville et du Logement, Olivier Klein, qui occupait jusqu'alors la présidence de cet établissement public."C'est une fierté de voir le président accéder à ces fonctions qui sont essentielles pour l'avenir de notre pays. Il a l'expérience de la construction de logements, du renouvellement urbain et de la politique de la ville dans sa ville de Clichy-sous-Bois" dont il est maire, estime Mme Mialot.Au total, 453 quartiers sont ciblés par le nouveau programme national pour le renouvellement urbain mené par l'ANRU, qui dispose d'un budget de 12 milliards d'euros."Aujourd'hui, c'est le temps de l'opérationnel" avec une majorité de chantiers lancés, souligne sa directrice.Trente-sept quartiers de Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de France métropolitaine, sont concernés par ces opérations pour "plus de 2 milliards d'euros de concours financier", soit des subventions et des prêts bonifiés.Plus globalement, "l'Ile-de-France est la première région où on intervient", rappelle Mme Mialot, citant également des villes emblématiques telles Sarcelles (Val-d'Oise), Grigny (Essonne) ou Les Mureaux (Yvelines)."Une bosse" ?L'ANRU entend aussi se déployer massivement à Marseille, où le plan "Marseille en Grand" prévoit d'injecter 650 millions d'euros pour rénover les quartiers pauvres (Castellane, Kalliste...) et "le centre-ville où on met 200 millions d'euros pour travailler sur l'habitat privé".Des villes ouvrières du Nord tout comme la métropole lyonnaise verront également des programmes de rénovation se concrétiser.Avec partout, la même boussole: "travailler sur la rénovation de l'habitat, mais aussi sur la mixité sociale et fonctionnelle, faire revenir du développement économique et des activités dans les quartiers".Exit les "quartiers dortoirs", il faut "refaire des villes où toutes les fonctions sont présentes", annonce Mme Mialot.Par son action, l'ANRU a, selon sa directrice générale, "un effet levier sur d'autres problématiques comme l'inclusion, le développement durable, la résilience".Mais la reprise de l'inflation, qui frappe notamment le prix des matériaux et renchérit le coût des prêts, ne risque-t-elle pas de contrarier certains grands projets ?"Si c'est conjoncturel, c'est une bosse qu'on passera comme d'autres, si c'est un peu plus structurel, la question pourrait se poser de la soutenabilité d'un certain nombres de projets", glisse Anne-Claire Mialot."Pour l'instant, j'ai des élus et des bailleurs qui me disent, +c'est compliqué+, mais je n'ai personne qui m'a dit +j'arrête ce projet parce que je ne peux pas le financer+".Au-delà de l'amélioration du cadre de vie des habitants, les opérations de rénovation urbaine incluent la présence d'équipements publics (écoles, crèches) et "la diversification de l'habitat" pour accueillir différentes populations."La concentration des personnes les plus précaires dans un même lieu n'apporte rien de bon. La mixité permet l'entraide, le dialogue, le vivre-ensemble, la connaissance réciproque, de faire tomber les stéréotypes", juge Anne-Claire Mialot.
Il y a 2 ans et 345 jours

Dexamenes Seaside Hotel, de K-studio

Le numéro 449 d'AA « Architectures Méditerranéennes » présente une multitude de projets méditerranéens, d'un spa ...More about Cet article Dexamenes Seaside Hotel, de K-studio est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 346 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure sur le confort d’été dans la RE 2020

Le FILMM détaille les solutions pour un confort d’été efficient. La Réglementation Environnementale – RE 2020 – a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. Ainsi, comme l’explique la brochure du FILMM, la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. À la disposition des professionnels et des particuliers, en accès libre de téléchargement sur son site Internet, cette nouvelle brochure du FILMM permet de mieux comprendre le confort d’été dans le cadre de la RE 2020, synthétise des informations essentielles à connaître, pour s’orienter vers les bons choix techniques à faire, en matière de confort d’été. L’étude distingue les paramètres importants du confort d’été et souligne qu’une combinaison de solutions est la clé de voûte du confort d’été.
Il y a 2 ans et 346 jours

Edilians étend sa gamme de produits photovoltaïques et dispose aujourd’hui d’une offre complète pour répondre à toutes les configurations et tous les styles architecturaux

Même si l’installation de panneaux photovoltaïques s’est imposée ces dernières années en construction neuve, la production d’énergie solaire doit s’accélérer afin d’atteindre l’objectif de la loi Climat & Résilience qui vise la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour répondre au défi de l’urgence climatique, EDILIANS propose déjà des solutions toiture innovantes parmi lesquelles ses tuiles terre cuite solaires, le photovoltaïque ultra intégré, et la tuile Solaire Max, son best-seller depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui, l’acteur de l’éco-habitat passe à la vitesse supérieure et enrichit son offre destinée aux couvreurs et solaristes avec Easy Roof, une gamme complète de systèmes conçus pour faciliter l’intégration ou la surimposition de panneaux photovoltaïques en toiture, et le brise-soleil Umbra Solar Pro. EASY ROOF EVOLUTION et EASY ROOF ACCESS : des produits solaires intégrés au bâti pour une esthétique optimale en toiture Outre ses tuiles terre cuite solaires riches de 3 modèles disponibles en coloris rouge et noir (Alpha Solaire, HP 10 Solaire, Rhôna Solaire) et sa tuile solaire universelle (Tuile Solaire Max) déclinée également dans les même teintes, EDILIANS ajoute à sa gamme deux nouvelles solutions d’intégration de panneaux photovoltaïques en toiture : – EASY ROOF EVOLUTION, système de fixation ventilé dont l’ingénieux procédé breveté d’emboîtement permet aux différents éléments qui le composent de s’imbriquer les uns aux autres avec la plus grande précision (abergement haut intégré au cadre et centrage parfait des modules), sans découpe ni joint. L’étanchéité de la toiture est assurée par recouvrement. Rapide et facile à monter, puisque 6 heures suffisent pour une installation de 3kW à 2 personnes. Performant, il bénéficie d’une grande résistance à toutes les conditions climatiques (U.V., grêle, pluie, neige, vent) et d’une ventilation optimisée grâce à des entrées et sorties d’air présentes sous chaque module au service d’une meilleure performance énergétique. Compatible avec la majorité des modules photovoltaïques existants sur le marché, EASY ROOF EVOLUTION convient parfaitement aux toitures présentant une pente de 10 à 50°, quelles que soient les applications (résidentielles, commerciales, bâtiments publics, agricoles et industriels), – EASY ROOF ACCESS, un kit qui réunit en un système complet le panneau photovoltaïque et le procédé de fixation. Il associe la rapidité de montage et la fiabilité du système Easy Roof Evolution au panneau photovoltaïque Luxor Eco Line M120/340 W. Alliant esthétique et robustesse grâce à une sélection exigeante des composants, il garantit un excellent rendement énergétique avec une réflexion optimisée sur la surface cellulaire. L’ensemble constitue une solution idéale pour développer l’autoconsommation énergétique en toute sérénité (garantie 15 ans du module). EASY ROOF FLAT : simple à installer et de plus en plus plébiscité pour les toitures terrasse Ce système de montage pour panneaux photovoltaïques en toiture plate convient quels que soient l’orientation (Sud, Est/Ouest) et le type de revêtement (bitume, membrane, béton, graviers). Conçu pour accueillir la majorité des modules cadrés du marché ayant une largeur allant jusqu’à 1100 mm, il dispose d’une pente ajustable pour s’adapter à toutes les situations : parallèle au toit, de 10° à 14° (1 châssis par module), de 8° à 14° (configuration inter-module). Léger et résistant, chaque châssis Easy Roof Flat intègre tous les composants nécessaires à la fixation des modules par rail ou par socle. Sa mise en œuvre s’effectue ainsi de façon rapide et économique. EASY ROOF TOP : la solution photovoltaïque Edilians en surimposé Idéal sur toiture existante, Easy Roof Top rend possible la mise en œuvre de modules photovoltaïques cadrés sur tous types de toiture, présentant une pente de 8° à 50°, en tuiles (canal, à emboîtement, plate mécanique), en ardoise et sinusoïdales (fibrociment, plaque sous tuile) grâce à des crochets de fixation dédiés. Ce système en surimposition s’installe ainsi par-dessus la couverture existante tout en étant fixé directement sur la structure du bâtiment. Disponible en portrait, il peut également être posé en mode paysage. Grâce à une embase spécifique, une simple rotation de rail suffit, ce qui représente un véritable gain de temps lors de la mise en œuvre. Pour une esthétique irréprochable, le système Easy Roof Top se décline en deux finitions (aluminium, noir) et aucun élément (rail et fixation) ne dépasse du champ photovoltaïque. UMBRA SOLAR Pro : une alternative efficace ou complémentaire à une solution PV en toiture Pour concilier réduction des besoins énergétiques et confort d’été, EDILIANS présente UMBRA SOLAR Pro. Solution idéale en neuf, conformément aux exigences de la RE2020, comme en rénovation, ce nouveau modèle de marquise solaire permet de créer une avancée de toit au-dessus des ouvertures (fenêtres, baies vitrées, hall d’entrée) d’un bâtiment commercial, industriel ou même résidentiel collectif. A l’aide de son support en acier zingué qui assure une protection optimale contre la corrosion, il se pose simplement et rapidement en façade pour faire office de brise-soleil. Il protège alors de l’inconfort lié aux rayonnements solaires tout en récupérant l’énergie pour la production en instantané de l’électricité. L’inclinaison optimale à 15° des modules garantit le meilleur compromis entre protection solaire et rendement énergétique, quelles que soient la saison et la zone géographique. Grâce à son esthétique épurée et à la possibilité d’aligner une succession de modules photovoltaïques, il s’intègre harmonieusement à toutes les architectures. En contribuant ainsi à réduire les besoins en climatisation tout en optimisant les économies d’énergie, UMBRA SOLAR Pro trouve naturellement sa place dans tous les projets BEPOS, BBC ou encore HQE. Rappelons qu’EDILIANS propose également la MARQUISE SOLAIRE, un kit complet prêt à l’emploi qui comprend la structure composée de 2 consoles avec système de fixation inclus, un ou deux panneaux photovoltaïques ainsi que le micro-onduleur. En enrichissant ainsi son offre solaire avec des produits photovoltaïques issu du savoir- faire français reconnu d’IRFTS*, EDILIANS propose aux couvreurs et solaristes une gamme étendue de solutions complètes pour répondre à toutes les configurations d’installations. En complément, afin d’aider ses clients couvreurs à se développer sur ce marché, EDILIANS déploie un panel de services dédiés : formation avec habilitation électrique BP, assistance 1er chantier, soutien dans la constitution du dossier administratif de raccordement et raccordements électriques, bureau d’études et hotline pour étudier les projets et répondre à toutes les questions techniques… Un véritable accompagnement clé en main pour leur simplifier toujours plus la vie au quotidien ! *Depuis le 1er février 2022, EDILIANS a officiellement intégré l’activité solaire en toiture d’IRFTS (technologies, brevets et systèmes). http://www.edilians.com
Il y a 2 ans et 346 jours

AGC et E.ON confirment leur partenariat pour améliorer l'efficacité énergétique et la décarbonation de sites

Dans ce contexte, l'énergéticien E.ON et le fabricant de verre AGC renforcent leur partenariat par un projet commun de récupération de chaleur résiduelle et de production d'énergie verte dans l'usine de verre flotté d'AGC à Seingbouse, en France. Le projet sera développé, mis en œuvre, financé et exploité par E.ON. E.ON et AGC Glass Europe ont lancé leur partenariat en 2019 et ont déjà mis en œuvre des projets d'efficacité énergétique dans divers pays européens. En outre, la construction de futures centrales photovoltaïques d'une capacité allant jusqu'à 20 mégawatts (MW) est prévue en Hongrie et en République tchèque.« Waste Heat to Power » Récupération de chaleur fatale pour produire de l'électricité neutre en CO2 La chaleur fatale est la plus grande source d'énergie inutilisée au monde. Environ la moitié de la chaleur utilisée dans l'industrie est ainsi perdue. Le cœur du processus de fabrication du verre est le four à verre flotté qui fonctionne à des températures élevées, supérieures à 1000°C. Environ 30 % de la chaleur nécessaire au processus de production est finalement perdue dans les gaz de combustion et restait, jusqu'à présent, inutilisée. E.ON et AGC Glass Europe veulent remédier à cela. Sur le site de production d'AGC à Seingbouse, cette chaleur sera récupérée pour générer de l'électricité neutre en CO2 en mettant en œuvre une centrale innovante à cycle organique de Rankine (ORC) d'une capacité de 1,3 mégawatts (MW).Pour poursuivre la décarbonation du site, E.ON installe également une centrale photovoltaïque (PV) d'une capacité de 2,7 MW sur le site de l'usine. Elle produira de l'électricité renouvelable sur une surface totale de 27 000 m2.Un « Green PPA » sur site pour réduire la dépendance aux marchés de l’énergieEn combinant une centrale électrique ORC avec une centrale PV, E.ON fournira à AGC environ 10 gigawattheures (GWh) d'électricité décarbonée par an à partir de 2023. Cette électricité est entièrement produite et consommée sur le site d'AGC et couvre une grande partie des besoins en électricité du site. Sur cette base, environ 595 tonnes de CO2 sont évitées chaque année.Le projet est structuré sous la forme d'un contrat d’achat d’électricité (PPA : Power Purchase Agreement) long terme où E.ON produira et vendra de l'électricité à un prix fixe. Cela permettra au site d'AGC de se prémunir du risque de volatilité des marchés de l'énergie. De plus, le projet ne nécessite aucun investissement de la part d'AGC car il est financé par E.ON et soutenu par l'Etat français dans le cadre du plan « France Relance » mis en place par l'ADEME*.Marc Bartheld, directeur d'usine AGC Seingbouse : « Notre usine est l'une des plus grandes lignes de production d'AGC pour le secteur du bâtiment avec une production annuelle de 240 000 tonnes de verre flotté. Notre objectif est de réduire nos émissions de gaz à effet de serre de 30 % et notre consommation d'énergie de 20 % d'ici 2030. Pour y parvenir, nous travaillons constamment à l'amélioration des performances environnementales de nos sites de production. Le projet de Seingbouse ici en France est un parfait exemple de la manière dont E.ON peut nous aider non seulement à atteindre nos objectifs de durabilité, mais aussi à garantir la compétitivité du site sur le long terme."Guenther Schneider, président d'E.ON France : « Outre la décarbonation, la sécurité d'approvisionnement et l'indépendance vis-à-vis des prix volatils des matières premières deviennent, dans le contexte de marché actuel, de plus en plus cruciales pour nos clients industriels. Par conséquent, ces objectifs peuvent être atteints en combinant mesures d'efficacité énergétique avec la réutilisation de la chaleur perdue et production locale d'énergie verte. Grâce à sa présence internationale, E.ON peut aider AGC à mettre en œuvre cette stratégie de développement durable de manière efficace sur l'ensemble de ses sites européens."(*) Le projet ORC a été financé par le Gouvernement français dans le cadre du plan de Relance opéré par l’ADEME. Le programme « France Relance », porté par l'ADEME, contribue à accélérer la décarbonation de l'industrie française.
Il y a 2 ans et 346 jours

Pose des premières pierres des résidences Orphéa et Archange, deux projets d’envergure aux portes de Rennes

L’événement s’est déroulé en présence Frédéric-Xavier BAUDIER, directeur national résidentiel grands projets de Crédit Agricole Immobilier, Thomas DUKE, directeur général délégué d’Aiguillon construction, Luc SIMON, adjoint au maire de Saint-Jacques de la Lande, Honoré PUIL, vice-président de Rennes Métropole et président de l’association Foncier Solidaire Rennes Métropole et Jérôme BERRANGER, architecte chez Berranger|Vincent Architectes. Le collectif de graffeurs rennais La Crémerie, qui avait réalisé une fresque sur une palissade de travaux de 200m2, en septembre 2021, était également présent pour créer un diptyque en direct.Archange, 1er programme commercialisé et livré en BRSArchange est le 1er programme commercialisé et livré en BRS, par imoja, la marque d’Aiguillon dédiée à l'accession, sur la commune de Saint-Jacques de la Lande, en lien avec l’OFS de Rennes Métropole.41 logements collectifs locatifs (15 PLUS-Prêt Locatif à Usage Social- / 15 PLAI -Prêt Locatif Aidé d'Intégration- / 11 PLS -Prêt Locatif Social-) et 13 logements en accession BRS -Bail Réel SolidaireDémarrage des travaux : septembre 2021Livraison : 4e trimestre 2023Orphéa, un symbole de responsabilitéSituée au pied des transports et des services, la résidence Orphéa de Crédit Agricole Immobilier propose des logements construits avec des matériaux durables et des équipements économes en énergie.49 logements (41 en accession libre et 8 à prix de vente maîtrisés)Espaces de bureaux et commercesDémarrage des travaux : juillet 2021Livraison : 3e trimestre 2023La Courrouze, un écoquartier aux portes de RennesLe quartier de la Courrouze, aux portes de Rennes à 8 minutes du centre-ville et de la gare en métro, a été reconnu par le ministère du logement et de l’égalité des territoires comme écoquartier. Imaginé pour valoriser une qualité de vie optimale et les mobilités douces, le quartier est à proximité directe de nombreux services, écoles, espaces verts et services culturels.
Il y a 2 ans et 346 jours

Matterport lance Notes, un outil interactif de communication et de collaboration dans le jumeau numérique

Matterport Inc., le leader mondial de la technologie de capture 3D et des données spatiales, a annoncé l'ouverture de la beta de l'application Notes, un outil de conversation, de collaboration en équipe en temps réel et de partage de fichiers directement dans le jumeau digital Matterport.Avec Notes, les acheteurs et locataires de maisons peuvent inviter leurs amis et familles à localiser et étiqueter visuellement leurs pièces favorites et leurs caractéristiques préférées de leur habitat, les équipes d'entreprise sur le lieu de travail peuvent collaborer sur la planification de l'espace et l'aménagement des bureaux et les entreprises peuvent gérer les installations, attribuer des tâches et prendre des décisions opérationnelles clés plus rapidement sur un portefolio de sites distants.« Notes change la donne pour le travail d'équipe et l'efficacité », commente Japjit Tulsi, directeur technique CTO chez Matterport. « De plus en plus, les entreprises adoptent des fonctionnalités collaboratives et de communication afin d'améliorer le travail à travers des effectifs répartis afin de faire un gain de temps et d'argent. Notes est une première dans l'industrie, apportant des conversations collaboratives dans le jumeau numérique. En permettant les interactions directement avec des emplacements et des objets spécifiques dans le jumeau numérique, Notes fait gagner un temps considérable et améliore significativement le travail d'équipe, l'efficacité et la productivité à travers plusieurs parties prenantes. », ajoute-t-il.En utilisant Notes, les utilisateurs peuvent avoir des conversations directement dans un espace Matterport. N'importe qui étant invité à un espace peut poser des questions, écrire un commentaire, voir, répondre et créer des fils de discussion et recevoir une notification par courriel instantanément lorsqu'une activité se produit. De nouveaux utilisateurs peuvent être facilement ajoutés via @mentions.De plus, de multiples utilisateurs peuvent partager et accéder aux fichiers en toute sécurité et prendre part à des fils de discussion incluant des pièces-jointes, des images, des documents et des vidéos. Avec des fonctionnalités de confidentialité intégrées, seuls les participants ayant été invités peuvent voir et commenter sur Notes, et ce même si l'espace Matterport est publiquement disponible.
Il y a 2 ans et 346 jours

Unique en France pour le collage des rails métalliques : Poly Max® High Tack Express Griffon bénéficie de la certification TÜV SÜD confirmée par le rapport d’essai CSTB N°DSSF 21-06581

Griffon, le spécialiste des systèmes d’assemblage, de collage, d’étanchéité et de protection dédiés aux professionnels, bénéficie d’un rapport d’essai CSTB et de la certification TÜV SÜD pour sa colle Poly Max® High Tack Express. Premier produit validé pour les installations sans vis de profilés métalliques, il répond à des exigences strictes, notamment en termes de […]
Il y a 2 ans et 346 jours

Balsan enrichit sa collection de LVT Symbiance

LOOSE LAY, collection Symbiance, un système plombant amovible idéal pour la rénovationLa pose plombante amovible proposée par les lames et dalles modulaires nouvelle génération LVT Loose Lay, est adaptée à la rénovation de tous les locaux du logement, du bâtiment et de l'hôtellerie. Elles sont faciles à poser par dessus un sol existant ou peuvent être remplacées sans engendrer de lourds travaux.La collection de LVT Symbiance se définit par la chaleur du bois et le caractère de la pierre, venant se mesurer à la douceur intrinsèque de la moquette. Une alliance unique qui se conjugue à merveille avec des ambiances contemporaines, chics et tendances. Deux décors sont proposés dans la collection Symbiance : Wood (11 coloris) et Stone (5 coloris), qui se jouent en contrastes ou ton sur ton avec la moquette. La collection s'enrichit de nouvelles finitions : 4 finitions bois (merisier, chêne brut, châtaigner et épicéa) et 2 finitions pierre très tendances (Granito et Terrazzo).Textures et couleurs composent ainsi une dualité complémentaire pour une atmosphère sophistiquée très actuelle. Les dalles et les lames Loose Lay se mixent parfaitement aux moquettes Balsan.Symbiance LVT Rigid Clic AcousticBalsan lance une solution acoustique intégrée, LVT Rigid Clic Acoustic qui complète la gamme SYMBIANCE. La sous-couche acoustique intégrée, sous les lames et dalles vinyles de la collection Symbiance amortit naturellement les bruits d'impacts gênants tels que ceux provoqués par des talons, des chaises qui crissent, des valises à roulettes ...Elle est idéale dans tous les immeubles de logements ou à étages pour réduire la transmission de bruits (18dB).Les aspects pierre et bois de ces lames LVT se mêlent au textile pour un jeu de matières et de formats résolument unique. Cette lame LVT Rigid Clic acoustique offre de nombreux avantages pour tous les espaces de bureaux et hôteliers. Le système Clipsable « Unipush » est adapté aux grandes surfaces tertiaires et hôtelières.
Il y a 2 ans et 346 jours

Les hypothèses en mouvement de l'agence MBL - Portrait

En Espagne, pour aménager les intérieurs d'un ancien hôpital devenu équipement municipal, les architectes déploient une enveloppe en multi-plis et contreplaqué. L'ouvrage est percé d'oculus pour diffuser la lumière naturelle. L'ancien hôpital Sancti Spiritus de Baiona (Espagne) accueille désormais les archives […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 346 jours

Détails : plafonds dessinés

    Parfois qualifié de « cache-misère », le plafond concourt souvent à la neutralisation de l'espace en occultant la complexité des réseaux qu'il renferme. Pourtant, de même que les parois ou le sol, le plafond, dessiné, peut participer à l'expérience architecturale. Les concepteurs qui prennent ce […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 346 jours

Les projets aux abords du périphérique parisien réexaminés

Par un texte demandant "que soient encore améliorés et réexaminés les projets d'aménagement prévus aux abords et au-dessus du périphérique", l'exécutif municipal a rallié les écologistes qui réclamaient un moratoire sur les constructions à moins de 150 m de l'axe.Ces dernières années, "des dizaines de projets sont sortis de terre, ils vont dans le sens inverse de nos objectifs", avait fustigé Emile Meunier (EELV), pour qui la future "ceinture verte" vantée par Mme Hidalgo "devient grise comme le béton".Outre la nécessité de ne pas "exposer des personnes à des niveaux élevés de pollution", "on ne peut pas sacrifier la nature pour quelques m2 de bureaux", a ajouté l'élu écologiste, rappelant l'abattage de plus de 70 arbres porte de Montreuil.Autres alliés de Mme Hidalgo, les communistes se sont abstenus, Nicolas Bonnet-Oulaldj estimant qu'un moratoire équivalait à une "double peine pour les quartiers populaires" en attente de services publics.A l'horizon 2030, Mme Hidalgo entend réserver une voie du périphérique aux bus, taxis et covoiturage, une mesure qui suscite l'opposition de la présidente de droite de la région Valérie Pécresse et une forte réserve du préfet de police Didier Lallement.Depuis un rapport d'élus parisiens en 2019, la majorité de gauche a été "incapable de créer les conditions de la concertation" avec "les collectivités territoriales, la région et l'Etat", a taclé la députée MoDem Maud Gatel."Le travail de concertation va se poursuivre dans les prochains mois et années", notamment via un "grand débat" sous l'égide de la Commission nationale du débat public (CNDP), a répondu l'ex-candidate du PS à la présidentielle.Jean-Baptiste Olivier (LR) a réclamé la couverture de l'axe "partout où c'est possible" mais essuyé un refus de la part de l'adjoint (PS) à l'urbanisme Emmanuel Grégoire, pour qui cette mesure onéreuse "ne règle pas le problème" de la pollution.Interrogé par l'AFP sur l'avenir d'un immeuble-pont porte de Montreuil, qui suscite des critiques à gauche, le premier adjoint a indiqué vouloir convaincre ses partenaires "que c'est une mesure de protection pour l'immense espace vert" prévu sur cette entrée orientale de la capitale.
Il y a 2 ans et 346 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Entreprises et organisation du travail »

Lors d’un déplacement au centre de commande national de GRTgaz, le 23 juin dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail sur la sobriété énergétique. Objectif : réduire la consommation d’énergie, toutes énergies confondues (gaz, électricité, carburant), de 10% d’ici deux ans.Après le lancement d’un premier groupe sur « L’Etat exemplaire » mercredi 29 juin, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont réuni, ce vendredi 1er juillet, au ministère de la Transition énergétique, un deuxième groupe consacré aux entreprises et à l’organisation du travail. A cette occasion, les deux ministres ont rappelé leur volonté d’agir vite et fort contre le gaspillage de l’énergie. Différents experts, notamment du Haut Conseil pour le Climat, ont pour leur part fait un état des lieux de la situation et évoqué les leviers à activer pour tenir l’objectif de réduire de 10% notre consommation d’énergie d’ici deux ans. Lors d’un tour de table, les représentants des organisations syndicales et patronales ainsi que les fédérations professionnelles ont rappelé le travail déjà mené et ont partagé les freins à lever et les pistes d’amélioration à creuser.La réunion a permis de prendre acte du fait que la sobriété énergétique devait être un pan central des discussions paritaires sur la transition écologique dans l’entreprise qui s’ouvrent à compter du 8 juillet, dans le cadre de l’agenda social autonome des partenaires sociaux. Pour la réussite de ces discussions, les ministres ont assuré les acteurs de la disponibilité des experts présents en appui de leurs travaux.La réunion a également permis de faire un premier bilan de différents dispositifs existants, dont la plateforme « Mission Transition écologique ». Cette dernière a permis d’accompagner des dizaines de milliers d’entreprises en recherche de soutien pour financer leurs projets de transition écologique et énergétique, en recensant les différents dispositifs existants et en leur permettant de bénéficier de l’appui d’un expert.Parmi les différents leviers, celui de la mobilité a été évoqué. Les différents dispositifs sur lesquels peuvent s’appuyer les entreprises afin d’accompagner la transition des usages des salariés ont été rappelés. Qu’il s’agisse de l’importance de bâtir un plan de mobilité employeur ou de s’engager en faveur des différents dispositifs de soutien aux salariés – forfait mobilités durables, prime transport pour l’aide au carburant, auto-partage, ou encore label employeur pro-vélo –, de nombreux leviers existent pour permettre aux entreprises de s’engager dans la transition vers les mobilités durables. A condition, comme cela a été rappelé par différents acteurs, de donner de la visibilité aux entreprises sur les aides existantes.Par ailleurs, l’organisation du travail de manière plus générale a fait l’objet de nombreux échanges. Les acteurs se sont accordés avec les ministres sur l’importance de mettre sur la table toutes les options qui pouvaient permettre d’améliorer notre souveraineté et de baisser la facture énergétique, en protégeant la qualité de travail des salariés.La question de la gestion des bâtiments d’entreprises a également été au cœur des discussions. A nouveau, un diagnostic partagé a pu être fait sur la nécessité de promouvoir les pratiques écoresponsables au bureau, notamment en matière d’éclairage, de températures et de choix informatiques.Enfin, il a été acté qu’un plan d’accompagnement sera mis en place et consistera notamment à mobiliser les organismes préventeurs afin de produire des documents simples et didactiques et des outils de communication adaptés. Ce plan consistera aussi à accompagner les entreprises pour actualiser leurs plans de continuité de l’activité, à actualiser des fiches métier en incluant notamment des consignes simples en cas de travail en période de « grand froid » ou de « fortes chaleurs ». Le plan visera également à mobiliser les réseaux, comme les Services de Prévention et de Santé au Travail, ou les Caisses d’Assurance Retraites et de Santé au Travail, comme premier relai des recommandations. Il aura par ailleurs pour objectif de promouvoir et d’accompagner le dialogue social en entreprise pour favoriser une réflexion sur le plan de continuité d’activité en cas de restrictions énergétiques.Le groupe de travail « Entreprises et organisation du travail » s’attèlera, au cours de l’été, dans le cadre du dialogue paritaire, à faire émerger une feuille de route de recommandations simples et opérationnelles, à destination de l’ensemble des entreprises. Dans ce cadre, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont insisté sur la méthode de travail. Le Gouvernement et les experts ne se substitueront pas aux partenaires sociaux. Ils joueront le rôle de facilitateurs, pour que les organisations syndicales et les fédérations professionnelles, en responsabilité, identifient les leviers qui leur paraissent les plus adaptés pour réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici deux ans.Ce travail de concertation mené avec les différents groupes de travail sur la sobriété énergétique devra être la première marche afin d’initier le changement, en matière de transition énergétique, au sein de l’ensemble de la société.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Le lancement de ce groupe de travail dédié aux entreprises et à l’organisation du travail, que j’ai co-présidé avec mon collègue Olivier Dussopt, est une étape importante du plan sobriété que nous avons annoncé avec la Première ministre Elisabeth Borne. Après avoir mobilisé l’administration, il montre notre volonté de faire de la transition énergétique un véritable objet de dialogue social. Nous faisons confiance aux organisations syndicales et patronales, ainsi qu’aux fédérations professionnelles, pour se saisir du sujet et trouver les leviers afin de réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici 2024. »Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion : « Nous sommes désormais entrés de plain-pied dans la transition énergétique et climatique. Nous devons collectivement coordonner nos efforts pour moins consommer d’énergie. Ce groupe de travail devra déboucher sur des engagements concrets et ambitieux, mais bien entendu, les choix des mesures de sobriété ne pourront être décidés au niveau national. C’est aux partenaires sociaux, à chaque branche, à chaque entreprise de les définir dans le cadre du dialogue social de proximité. »
Il y a 2 ans et 346 jours

Franck Lirzin, auteur : « Paris n’a pas de culture climatique »

Ingénieur du corps des Mines, Franck Lirzin a été directeur exécutif de Gecina de 2017 à 2021. Il signe Paris face au changement climatique, aux Editions de l’aube. Un ouvrage prospectif, qui invite à un changement de culture du bâtiment et de la ville.
Il y a 2 ans et 346 jours

Première réhabilitation d'envergure pour l'intérieur du Grand Palais

PATRIMOINE. Célèbre pour ses évènements culturels et sportifs, son architecture majestueuse et son immense verrière construite pour l'Exposition universelle de 1900, le Grand Palais fait l'objet d'un important chantier de réhabilitation de son intérieur. Objectif : achever cette cure de jouvence d'ici les Jeux olympiques de 2024.
Il y a 2 ans et 346 jours

État des lieux du parc de logements français à l'occasion du premier anniversaire du DPE nouvelle formule

État des lieux du parc de logements en France : un enjeu environnemental et économique pour les propriétairesA ce jour en France, 16,8 % des logements sont des passoires énergétiques (F et G), autrement dit des logements à rénover en priorité pour minimiser le gaspillage et la précarité énergétique.En France :75,4 % de tous les logements ont une étiquette énergie D ou pire, un constat d’ailleurs partagé à l’échelle européenne avec 82 % du parc au Royaume-Uni et jusqu’à 95 % en Espagne.Seulement 74 000 logements font l’objet de rénovations globales chaque année, sur les 360 000 nécessaires à la réhabilitation du bâti.Selon Pierre Leroy, co-fondateur de Heero, « l’impact de l’état du parc de logements est double… Le premier est bien entendu environnemental avec la question de savoir comment réduire les émissions de gaz à effet de serre et atteindre la neutralité carbone en 2050. Rappelons que 16,8 % des logements anciens consomment plus de 331 kWhEP/m² par an. L’autre conséquence est bien sûr économique : d’ici 2034, 15 millions de logements seront inaptes à la mise en location en France, du fait des dernières mesures relatives à la Loi Climat dont les premières entrent en application dès cet été ». En effet, à partir du mois d’aout 2022, les loyers des logements F et G ne pourront plus être augmentés et dès 2023 certains logements G ne pourront plus être mis en location. Mais avec la mise en place de l’audit énergétique en septembre 2022 c’est la plupart des logements énergivores qui pourraient subir une décote de prix en raison de la hausse des dépenses énergétiques qu’ils engendrent pour les acheteurs.En France, selon le Ministère de la transition écologique, 16,8 % des logements neufs et anciens confondus sont des passoires énergétiques, (18,4 % des maisons et 14,7 % des appartements), soit 4,8 millions de logements. A contrario 6,6 % seulement des biens sont économes (A et B), c’est-à-dire respectueux de l’environnement et peu coûteux à l’usage, mais ceux-ci sont généralement des biens neufs, avec bien sûr de fortes disparités régionales.De fortes disparités régionales liées au climat, à l’état du parc, à la typologie des logements et au dynamisme du marché immobilier7 régions sur 13, affichent une part de passoires supérieure à 10 % du parc de logement. La Bourgogne-Franche-Comté, le Centre-Val de Loire et la Normandie disposent actuellement du parc le plus consommateur avec respectivement 16,6 %, 15,7 %, et 14,8 % de passoires (logements évalués F et G dans l’ensemble de parc).De façon globale, les régions du nord et de l’est de la France affichent des besoins énergétiques supérieurs du fait de leur climat hivernal plus difficile mais aussi en raison d’un fort contraste en températures entre des étés chauds et secs et des hivers froids et humides… Résultat, les logements économes (évalués A ou B dans l’ensemble du parc, neuf inclus), sont en plus faible proportion : entre 13 et 17 % seulement.L’Ile-de-France fait figure d’exception avec près de 24 % de logements économes, le meilleur score avec l’Occitanie, en lien notamment avec la plus grande part de logements neufs dans les DPE réalisés - respectivement 21 % et 25 % - mais également avec une plus grande part d’appartements dont la consommation énergétique est souvent moins élevée que les maisons.C’est dans le sud de la France, dans les régions PACA, Occitanie et Nouvelle-Aquitaine que l’on compte actuellement le moins de passoires énergétiques : respectivement 6,8 %, 7,3 % et 7,6 %. Ce sont également celles qui affichent le plus de logements économes (entre 18 et 24 %). Ces résultats sont logiques compte tenu de l’attractivité du littoral Atlantique et de la Méditerranée qui affichent les plus forts soldes migratoires de France, avec un dynamisme du marché immobilier et de la construction (20 % des DPE sont réalisés dans le neuf en Nouvelle Aquitaine par exemple). En outre ces régions jouissent d’un climat plus favorable et comptent également beaucoup de résidences secondaires acquises par des ménages aux revenus élevés qui ont davantage de moyen d’entretenir et rénover leur logement.« Même si les régions du sud affichent de bons scores, ceux-ci reposent sur l’analyse des Diagnostics de Performance Energétique enregistrés entre 2014 et 2021, soit avant la réforme du DPE. Désormais, de nouveaux indicateurs sur le confort d’été et sur la ventilation sont pris en compte dans l’efficacité énergétique d’un logement. Même si on manque encore de recul, les territoires du sud risquent d’être plus impactés » analyse Romain Villain, directeur marketing et études chez Heero.La typologie des habitations a également son importance : la part des logements énergivores (évalués E, F ou G, neuf inclus) dans le parc de maisons, va de 26 à 47 % selon les régions, contre 23 à 38 % pour les appartements. Ce sont dans les régions Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val de Loire et Grand Est que les maisons sont les plus énergivores avec des taux entre 46 et 47 %, en rapport avec le climat mais aussi avec l’âge du parc (seuls 13 % de Dpe dans le neuf en Bourgogne-Franche-Comté).A noter que la part de maisons est très importantes dans cette région : 65 % du parc en Bourgogne et même 72 % en Centre-Val de Loire avec beaucoup de terrains agricoles et des habitats en lien avec l’activité (corps de ferme, maisons, chalets).Pour autant, si la Bretagne, les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine affichent plus de 70 % de maisons, seul un tiers d’entre elles sont énergivores, notamment en raison de la part importante de résidences secondaires dans ces régions mais aussi d’un dynamisme immobilier et de la construction plus important. « On le constate : la part globale de passoires énergétiques par région est généralement contrebalancée par la dynamique des programmes neufs. Si on retire cette variable de l’équation, le constat diffère : toutes les régions de France sont réellement concernées (surtout autour des ensembles montagneux), hormis le long des façades maritimes. La rénovation énergétique doit être sur tout le territoire, une priorité » analyse Pierre Leroy. « C’est pour cela que nous avons créé Heero : pour permettre aux Français de valoriser leur patrimoine mobilier, de réaliser une économie réelle sur leur facture d’énergie et de gagner en confort en leur apportant les solutions facilitant leurs démarches : une estimation des aides et primes en 3 minutes, un seul point d’entrée pour l’obtention des certificats d’économie d’énergie et MaPrimeRénov’, et un accompagnement pour le financement du reste-à-charge » Mais des atouts pour rénover et un effort des régions pour accompagner la rénovation, notamment dans les plus énergivoresDepuis le 1er janvier 2022, un nouveau service public de la rénovation énergétique en France a été lancé : France Rénov. Un objectif : regrouper les acteurs de la rénovation énergétique sous une seule et même bannière, les rendre visible. Il existe plus de 300 espaces France Rénov à date en France métropolitaine, répartis de façon plutôt homogène entre les régions.Ce sont dans les régions Nouvelle Aquitaine et Grand-est que l’on trouve le plus d’espaces France Rénov avec respectivement 45 et 42 espaces, suivi de la région Hauts-de-France, cette dernière avec le Grand-Est faisant partie des 3 régions dans lesquelles les besoins de rénovation sont les plus élevés. Viennent ensuite la Bretagne, Pays de la Loire et l’Ile-de-France, avec près d’une trentaine d’espaces France Rénov au total. Si la Corse est lanterne rouge du classement, avec seulement 5 espaces sur l’ile, rapportés au nombre de logements, c’est la région qui en compte finalement le plus, suivi de la Bretagne et du Grand-Est.« Même si depuis le début de l’année 2022, le gouvernement affiche une profonde volonté d’uniformisation, la multiplicité des dispositifs d’aide peut représenter un frein à ces rénovations énergétiques. D’autant que certaines régions ont également mis en place des plateformes d’aides à la rénovation énergétique, dans les régions du nord de la France, complétées par l’attribution d’aides financières locales à l’instar d’Effilogis en Bourgogne-Franche-Comté, de l’AREL dans les Hauts-de-France ou encore de la plateforme Eco Energie Normandie, dans la région du même nom. De belles initiatives mais que les particuliers ne connaissent pas forcément. C’est l’une des missions de Heero : les aider à mieux connaitre ces aides et de faciliter les démarches pour y accéder ! » analyse Romain Villain.L’objectif de Heero est de mettre à disposition des Français cette connaissance sur les dispositifs locaux et régionaux pour les aider, les éclairer et ainsi les inciter à passer à l’action. Toutes les données des territoires seront disponibles sur le site d’Heero https://heero.fr/ en accès libre ainsi que détaillées sur des pages dédiées à chaque région dans les prochaines semaines, grâce au travail d’une équipe renforcée de spécialistes de la data.
Il y a 2 ans et 346 jours

Thermostatique de douche à encastrer Ceratherm Navigo® d’Ideal Standard : un contrôle précis et une installation sans effort !

Avec leur design consensuel et épuré et leurs boutons texturés et intuitifs bénéficiant de la technologie Navigo®, les nouveaux mitigeurs thermostatiques de douche à encastrer Ceratherm Navigo® confèrent confort et sérénité à l’espace douche. Ils se composent d’une façade en métal et d’un corps à encastrer Easy Box offrant un système de montage simple et rapide. Un contrôle précis La technologie Navigo® a été conçue pour un contrôle facilité du débit et de la température de l’eau à partir d’un même bouton de commande. Pour ouvrir et fermer l’arrivée d’eau, il suffit d’appuyer sur le bouton et de le tourner pour ajuster précisément le débit d’eau. Dotés de rainures de préhension, les boutons métalliques ergonomiques peuvent être utilisés même avec des mains savonneuses ou humides. La sécurité a également été prise en compte avec la cartouche thermostatique FirmaFlow® Therm qui offre aux utilisateurs un contrôle précis et durable des réglages de température. L’élégante collection Ceratherm Navigo® est disponible en versions carrée et ronde ainsi qu’en quatre finitions : chrome, gris magnétique, gris orage et or brossé. La plaque frontale mince, qui ne fait que 10 mm de profondeur, présente un aspect contemporain et épuré. Les options de douche sont indiqués par des symboles discrets sur le dessus des boutons de commande afin de ne pas nuire à l’esthétique de l’ensemble. EasyBox, une technologie d’installation éprouvée Pour garantir une performance sans faille et une installation sans effort des mitigeurs thermostatiques de douche Ceratherm Navigo®, la gamme a été associée à EasyBox, kit d’installation intégré fiable d’Ideal Standard Lancé il y a plus de 10 ans, il est utilisé dans des centaines de milliers de salles de bains à travers l’Europe, démontrant ainsi sa qualité et sa fiabilité. Conçu pour répondre aux défis de la vie moderne, EasyBox bénéficie d’une série de fonctionnalités et de caractéristiques intelligentes, telles que le système de montage Fast-Fix. Des fixations judicieusement placées facilitent toutes les positions d’installation, tandis que les tiges de fixation permettent de régler la profondeur pour garantir une application sans problème. En outre, le système bénéficie de connexions qui permettent une fixation rapide des tuyaux pour les tailles courantes. Il s’adapte ainsi à tous les projets et permet différentes possibilités d’encastrement : installation dans le mur, en applique, devant le mur sur des supports réglables, devant le mur (montage sur supports dans un coffrage) et installation sur une structure en bois ou métallique. EasyBox est totalement étanche et offre une triple protection contre l’entrée ou la sortie d’eau de l’unité encastrée, éliminant ainsi le risque de fuite derrière le mur. Le système permet de maintenir les joints étanches et utilise un voile d’étanchéité externe, des joints internes supplémentaires et une protection de construction. Le kit d’installation universel EasyBox se marie parfaitement avec la large gamme de robinetterie encastrée (thermostatiques de douche et mitigeurs mécaniques), d’Ideal Standard, ainsi qu’avec les mitigeurs monocommande, offrant ainsi plus de flexibilité dans la conception de la salle de bains, avec la même installation rapide. Présenter aux clients une offre complète pour trouver leur solution individuelle, telle est la philosophie du concept SingularTM récemment lancé par Ideal Standard dans lequel EasyBox s’inscrit pleinement. https://www.idealstandard.fr/
Il y a 2 ans et 346 jours

A l’interface encore plus ergonomique, la plateforme de formation Watts Works s’enrichit de nouveaux modules

Comptant plus de 2.000 inscrits et plus de 6.500 formations effectuées depuis son lancement, la plateforme d’e-learning Watts Works connaît un succès grandissant. L’occasion pour Watts de procéder à un relooking pour la rendre encore plus conviviale et de rajouter une quinzaine de modules d’apprentissage inédits. Accessible gratuitement et en illimité sur le site Training.Watts.com, le programme d’e-learning Watts Works s’adresse aux installateurs, techniciens, ingénieurs et grossistes qui souhaitent développer leurs compétences professionnelles afin de répondre aux besoins évolutifs du marché. Enrichi d’une quinzaine de nouveaux modules, il se compose désormais d’une bibliothèque de plus de 50 formations portant sur une large sélection de produits et solutions de Watts Industries France. Classées par thématiques, elles ont été réorganisées et sont plus facilement identifiables grâce à un code couleur : – Protection anti-pollution avec de nouvelles sessions sur le disconnecteur BA 4760 et les clapets anti- retour, – Sécurité des réseaux étoffé par des modules sur les vannes de régulation hydraulique, – Régulation et domotique (système Watts Vision), – iDroset pour l’équilibrage des réseaux, – Solutions Chauffage (collecteurs inox pour planchers chauffants, modules hydrauliques Flowbox), – Kit de fixation Robifix®, – Conduites et flexibles pré-isolés (système Microflex®), – Ultramix, – Mitigeurs thermostatiques. Les professionnels peuvent ainsi accéder de façon plus fluide et plus rapide au contenu pédagogique de leur choix. A l’issue de chaque courte séquence vidéo (moins de 10 minutes), ils retrouvent le quizz pour tester leurs connaissances et cumuler des points en fonction de leur score. Rappelons que ces derniers sont échangeables pour commander l’un des nombreux cadeaux siglés Watts disponibles sur la plateforme d’e-learning. Deux nouvelles thématiques font également leur apparition : la « Sélection du moment » qui met en avant un module choisi spécialement par Watts et les « Références chantiers ». Didactique, ce chapitre constitue un véritable outil pour se familiariser avec les différentes problématiques rencontrées sur le terrain et les solutions Watts mises en œuvre pour y répondre. Une rubrique « Ressources externes » figure parmi les autres nouveautés de la plateforme de formation en ligne. Pratique, elle permet aux participants de retrouver en un seul et même endroit tous les documents mis à disposition par le fabricant (collection d’objets BIM, outils de calcul, agréments, manuels d’installation…). Afin d’inciter les professionnels à rejoindre son dispositif d’apprentissage à distance Watts Works, Watts lance l’opération Super Jet. Du 1er juillet au 23 septembre, chaque nouvel inscrit, ayant finalisé 10 modules de formation, se voit offrir un bonus de 3000 points. C’est le moment où jamais de profiter de l’été pour se former…et gagner ! http://www.wattswater.fr
Il y a 2 ans et 347 jours

Wolf France, spécialiste de systèmes de chauffage, climatisation et ventilation, dresse un bilan positif de 2021

Une marque de confiance, pionnière dans le confort intérieurSpécialiste de systèmes de chauffage, de climatisation et de ventilation, WOLF se donne chaque année pour mission de répondre aux besoins les plus essentiels de chacun en termes d’eau, d’air et de chaleur pour un confort de vie au quotidien. Cet objectif s’est affirmé grâce à une large gamme de produits conçus avec des technologies ultra-modernes et dont la qualité et les hautes performances sont hors pair. De plus, tous les appareils de la marque se coordonnent parfaitement et peuvent être combinés ensemble, pour une gestion totale et globale du confort intérieur en résidentiel comme en tertiaire.Les distributeurs eux-mêmes sont conquis« La maintenance sur vos produits est vraiment facile, et rapide. La conception de vos produits est ingénieuse; vous vous mettez bien à la place des installateurs On voit bien que vous avez travaillé sur plein de détails qui nous facilitent la vie… La Wolf App est d’une simplicité exemplaire; on y trouve facilement toutes les pièces, avec les vues éclatées; et votre «inspecteur erreur» donnent bien les réponses attendues. Bravo pour votre service technique ; surtout n’en changez pas ! Vos techniciens à la hotline décrochent vite, et sont compétents. Félicitations pour votre logistique; la livraison à J+1, pour toute commande avant 12h30, marche parfaitement bien et est plus qu’appréciable. Les collaborateurs Wolf sont vraiment réactifs; on sent bien le sens du service, c’est très appréciable. WOLF en France, c’est un peu une grande famille; on connaît les gens par le prénom. Et on voit bien qu’ils se décarcassent pour nous. Quand je vois vos produits, je dis chapeau la qualité! Je peux proposer ça en toute tranquillité à mes clients. » La qualité PREMIUM comme ligne directriceLa qualité des produits WOLF n’est plus à prouver. WOLF veille à améliorer en continu ses technologies afin de proposer de nouvelles solutions toujours plus adaptées aux besoins futurs de la population et avec une qualité irréprochable « Made in Germany ».L’ensemble des produits WOLF chauffage sont PREMIUM et sont imaginés, créés et fabriqués dans leur usine à Mainburg en Bavière. 5 ans de garantie sont valables pour toutes les chaudières à condensation de 2e génération, pompes à chaleur et ventilations résidentielles. Outre la qualité que WOLF se fixe dans la fabrication de ses produits, l’entreprise a maintenu des délais de production courts en pleine crise de Covid-19 pour suivre l’exigence qu’elle s’est donnée. En pleine pandémie, WOLF est fière d’avoir continué à livrer ses clients dans les plus brefs délais, réel défi alors que les matières premières venaient à manquer.Le « Made in Germany » aspire aux quatre coins du monde à une image de qualité, de haut de gamme et de fiabilité reconnus depuis des décennies. Le label allemand est l’une des indications de provenance les plus réputées au monde, voire la plus prestigieuse.Les chiffres clés de l’année 2021Le C.A a connu une progression exceptionnelle de 50%Le C.A de WOLF Europe est de 500M€Toutes les familles de produits ont progressé : + 36% sur le gaz, + 183% sur les pompes-à-chaleurDes ambitions fortes pour l’année 2022Une entreprise pérenne qui recruteAvec plus de 3.000 employés à son actif, WOLF développe ses équipes d’année en année. En 2021, la structure a accru sa force commerciale (itinérante et sédentaire) pour accompagner son développement. 4 commerciaux ont rejoint l’équipe chauffage, basée à Lyon, et un chef de produit a également intégré les équipes pour superviser le lancement de la nouvelle gamme de pompes à chaleur FHA.Focus sur les produits phares de 2022WOLF développe son offre et va proposer une nouvelle gamme complète de pompes-à-chaleur monoblocs attendue pour l’automne 2022. Le segment des pompes-à-chaleur Air-Eau monoblocs est celui qui connaît la plus forte croissance (+ 82% en France en 2021). Ces produits, plus faciles à installer que les bi-blocs, répondaient à une demande constante de la part des clients. Les installateurs en rêvaient, WOLF l’a fait.La satisfaction client comme priorité continuePour cette nouvelle année, WOLF souhaite consolider ses liens personnels avec ses clients. Pour ce faire, les équipes ont pour projet de réaliser des présentations produits par le biais de quatre camions de démonstration qui parcourent la France. WOLF souhaite ainsi renforcer sa présence dans des départements français.Les équipes sont également mobilisées afin de réaliser des formations dans leur 4 centres de formation et comptent créer des événements destinés à leurs clients. En 2022, le positionnement de WOLF sur le marché de la pompe à chaleur sera confirmé grâce à la commercialisation d’une toute nouvelle gamme inédite, qui vient asseoir le statut d’expert de la marque sur son marché.
Il y a 2 ans et 347 jours

La solution de rénovation Réno VMC-Gaz de Cheminées Poujoulat récompensée par un Award de l'Innovation

Le Grand Jury a également accordé une mention spéciale à Cheminées Poujoulat dans la catégorie transversale « Bien Vivre dans la Ville en 2050 » pour cette solution d'adaptation aux installations VMC gaz. La remise des prix se déroulera lors de la prochaine édition du salon Interclima du 3 au 6 octobre 2022, qui fera son retour à la Porte de Versailles à ParisSeule solution sur le marché pour le remplacement d'un appareil VMC-Gaz par une chaudière performante (THPE) à condensationPlusieurs centaines de milliers de logements collectifs sont équipés de chaudières gaz sur VMC-Gaz en France, un équipement en vogue dans les années 1980.Depuis septembre 2015, la Directive européenne Éco-conception exige un rendement de plus en plus élevé pour les équipements gaz, imposant le recours à l'installation de chaudières à condensation.Mais avec un problème de taille à résoudre pour les professionnels : adapter les anciens conduits de VMC-Gaz qui ne supportent pas les effets induits des générateurs THPE.Déjà fort de plusieurs solutions permettant la rénovation et l'adaptation des conduits collectifs et individuels, qu'il s'agisse de l'évacuation des produits de combustion ou de la ventilation (Airflue Rénovation, Rénoshunt, 3CE P Multi+), Cheminées Poujoulat dévoile une nouvelle innovation : Réno VMC-Gaz.Ce système, unique en son genre à ce jour, permet de remplacer un appareil VMC-Gaz peu performant par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifs, en vue de réaliser des économies d'énergie.Il est constitué de conduits de fumées individuels en acier inoxydable et d'un terminal monté en toiture sur chaque colonne d'évacuation pour évacuer les produits de combustion et fournir l'extraction d'air nécessaire à la ventilation des logements.Réno VMC-Gaz est une solution brevetée en attente d'une validation d'ATEx.Facilité et rapidité de mise en œuvreRéno VMC-Gaz se distingue également par le fait que le système s'appuie sur le cadre technique existant.À la clé : des travaux limités, une vitesse de mise en œuvre réduite et moins de gêne pour les habitants. Et bien entendu, la VMC est conservée dans les logements.Dernier atout : l'installation peut être individualisée, logement par logement, un facteur primordial dans le cadre d'une copropriété !Réno VMC-Gaz sera disponible à partir de fin 2022.Une innovation à découvrir sur le stand de Cheminées Poujoulat - Pavillon 3 / Stand F112 - lors du salon Interclima du 3 au 6 octobre 2022, ainsi que sur l'espace Innovation Batimat situé au coeur de Pavillon 1.