Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61913 résultats)
Il y a 2 ans et 341 jours

La mobilité et la ville : je t’aime, moi non plus

L’offre de transports toujours plus efficaces, toujours plus rapides, est une offre de liberté. Le prix de cette libération est cependant lourd pour la ville qui perd en intensité. Explications. Les villes se sont développées à des carrefours, sur des lieux de grand passage. Pendant des siècles, la mobilité a nourri la ville, lui a […] L’article La mobilité et la ville : je t’aime, moi non plus est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 341 jours

Étape 11 : d’Albertville à Serre Chevalier, le Tour se monte du col

Cette fois, aucun prétendant au Maillot jaune ne peut plus se cacher. Toute la légende des Alpes est dans ce parcours de 152 km qui verra les coureurs franchir les cols fameux du Télégraphe et le Galibier pour rejoindre Serre Chevalier et attaquer les dix kilomètres à plus de 9 % pour atteindre le col […] L’article Étape 11 : d’Albertville à Serre Chevalier, le Tour se monte du col est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 341 jours

VM dévoile la vitrine de son nouveau concept « VM LE SHOW-ROOM »

VM, activité négoce du groupe HERIGE, franchit un nouveau cap dans son plan de transformation avec la concrétisation de l’un de ses objectifs majeurs : la modernisation de ses points de vente. Il a ainsi totalement réinventé son concept de salle d’exposition carrelage désormais baptisé « VM le show-room », véritable innovation dans l’univers du […]
Il y a 2 ans et 341 jours

WAW - Portrait

Bérenger Marinot, Stanislas Cheuvreux et Arnaud Coutine s'associent en 2015 et fondent l’agence d’architecture WAW Architectes. Bérenger Marinot, Stanislas Cheuvreux et Arnaud Coutine travaillent ensemble depuis leur première année d’étude à l’École d’Architecture de Paris-Val de Seine. Diplômés en […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 341 jours

Au coeur de la Défense fleurit un pavillon tout en bois

ARCHITECTURE. L'agence d'architecture Tolila + Gilliland a conçu cet espace presque tout en bois dans ce quartier minéral. Le bâtiment, aujourd'hui utilisé comme restaurant, a été livré en 2022.
Il y a 2 ans et 341 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 341 jours

A Alfortville, l’agence WAW recompose une identité colorée pour le 148

La 40e édition de l'Équerre d'argent est lancée ! Proposez vos réalisations sur la plateforme dédiée avant le 9 septembre 2022. Le prix organisé par les rédactions du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 341 jours

Paris Plages déplie parasols et transats pour son édition 2022

Jusqu'au 21 août, ils pourront profiter gratuitement des parasols et des transats dépliés le long des berges piétonnisées de la rive droite de la Seine et sur les quais du bassin de La Villette, ainsi que de six "baignades estivales éphémères"."Les sourires sont là, le soleil aussi. Donc venez à Paris Plages, c'est pour vous", a lancé Mme Hidalgo.A deux ans des Jeux olympiques de Paris, Paris Plages 2022 fait la part belle aux activités sportives, notamment nautiques: canoë-kayak, kayak polo, pédo ou stand up paddle, mais aussi pétanque, tai chi, escalade ou gym suédoise.En matière de culture, des expositions, une ludothèque et une "bibliothèque hors les murs" sont également proposées.Le dispositif s'est encore "verdi" cette année grâce à une "végétalisation étoffée des espaces de loisirs et de détente", a souligné la mairie de Paris, avec plus de palmiers et de mûriers.Malgré la septième vague de l'épidémie de Covid qui frappe le pays, la mairie de Paris a promis cette année une édition "sans entrave", c'est-à-dire sans jauge ni restriction.Alors qu'une nouvelle vague de chaleur est attendue la semaine prochaine à Paris, le mouvement social des maître-nageurs et des agents techniques qui affecte les piscines municipales de la capitale ne devrait pas perturber les "bassins éphémères" de Paris-Plage, selon la municipalité."On aura le nombre de maîtres-nageurs nécessaires", a assuré vendredi l'adjoint aux sports Pierre Rabadan.
Il y a 2 ans et 341 jours

Au Pays basque, une réglementation "anti-Airbnb" revue et corrigée

"On va arrondir les angles là où le juge considère qu'on doit les arrondir", résume le président de la communauté d'agglomération Pays basque, Jean-René Etchegaray.Début juin, le tribunal administratif, saisi par un collectif de 50 requérants propriétaires et sociétés de conciergerie, avait relevé un "doute sérieux" quant à la légalité de cette mesure votée le 5 mars.Le règlement a donc été revu et corrigé sur plusieurs points, au regard des observations formulées par les juges des référés. La date d'entrée en vigueur a été repoussée au 1er mars 2023 pour "laisser un délai supplémentaire aux personnes morales pour réorganiser leur activité".La mesure de compensation, qui devait entrer en vigueur le 1er juin avant d'être retoquée, oblige les propriétaires à produire, dans la même ville et avec une surface équivalente, un bien sur le marché locatif à l'année pour compenser un logement transformé en meublé touristique. Elle doit s'appliquer à 24 communes du Pays basque d'une zone dite "tendue".Ce samedi, les règles de compensation ont été précisées, pour y introduire une "meilleure proportionnalité", face à la "rareté voire l'inexistence de locaux éligibles à la compensation", soulignée par les juges.Les propriétaires peuvent acheter des "droits de commercialité" à d'autres, pour récupérer des locaux. "C'était déjà dans le règlement précédent mais seulement dans une annexe", souligne Daniel Olçomendy, vice-président de l'intercommunalité.Le règlement concède également que des locaux de rez-de-chaussée, jusque-là exclus du cadre, puissent être convertis, tant que leur vitrine ne donne pas sur le domaine public.Dans la foulée, l'Union des loueurs des meublés de tourisme (ULMT) annonce ce samedi qu'elle attaquera cette nouvelle délibération en justice. "Ce qui est inacceptable c'est d'être la cible unique d'une incurie de la politique du logement au Pays basque depuis plus de trente ans", commente l'ULMT qui juge la mesure "illusoire"."Les seules conséquences seront le simple retour à la résidence de vacances et des ventes forcées de gens qui ne pourront pas conserver leur bien".Un référé-suspension sera déposé devant le tribunal administratif dans un délai de deux mois, précise Me Victor Steinberg, avocat de l'ULMT et autres requérants, qui évoque également des "modifications juridiques purement cosmétiques"."Nous regrettons l'absence de concertation ainsi que la précipitation avec laquelle ce nouveau texte a été adopté", ajoute l'avocat.Depuis 2016, une augmentation de 130% des locations de meublés de tourisme a été observée, passant de "7.150 annonces actives en 2016 à 16.440 en 2020", relève l'agglomération basque, sur la base de chiffres donnée par l'Agence d'urbanisme Atlantique et Pyrénées (Audap).
Il y a 2 ans et 342 jours

Portalp invite les prescripteurs à découvrir Bloomframe® sur le salon Architect@Work Paris

Rendez-vous incontournable des architectes, architectes d’intérieur et autres prescripteurs (maîtres d’ouvrage, urbanistes et économistes), ARCHITECT@WORK est l’occasion pour les industriels de présenter leur innovation dans un écrin d’exposition. Ainsi, Portalp, fabricant français de portes automatiques, dévoilera Bloomframe®, ouverture de façade interactive et automatisée née du partenariat avec l’architecte néerlandais Hofman-Dujardin. Du 22 au 23 septembre 2022, l’équipe de prescription de Portalp sera heureuse d’accueillir les visiteurs à Paris sur son stand n°87 afin de leur expliquer tous les avantages de cette nouvelle solution architecturale conçue par Hofman- Dujardin et fabriquée et installée par Portalp dès l’automne 2022. http://www.portalp.com
Il y a 2 ans et 342 jours

Découvrez les finalistes des Trophées de la construction 2022

CONCOURS. Qui sont les finalistes de la vingt-et-unième édition des Trophées de la construction, organisés par Batiactu groupe et SMABTP ? Découvrez-le au sein de quatorze catégories.
Il y a 2 ans et 342 jours

Signature d'un nouveau décret pour le bilan des émissions de gaz à effet de serre

Cette évolution conduira les organisations à avoir une vision plus complète de leur empreinte climatique, afin de mieux cibler les gisements les plus efficaces de réduction d’émissions et de prioriser les actions à entreprendre.La généralisation et la consolidation d'une véritable comptabilité du carbone par les organisations (entreprises, administrations publiques, collectivités, etc.) est une étape importante en vue de l’atteinte de nos objectifs climatiques. En France, le dispositif des bilans d’émissions de gaz à effet de serre (BEGES) s’inscrit pleinement dans cette optique et prévoit que les organisations réalisent et publient régulièrement un bilan sur une plateforme publique.Jusqu’à ce jour, seules les émissions directes et les émissions indirectes associées à l’énergie consommée (« scopes 1 et 2 ») devaient obligatoirement être prises en compte dans les BEGES, ce qui n’était pas toujours représentatif de l’impact réel des organisations sur le climat. Un décret signé par la ministre de la Transition énergétique le 1er juillet rend obligatoire la comptabilisation et la déclaration de l’ensemble des émissions indirectes significatives, incluant ainsi les émissions dites du « scope 3 ». Cela intègre par exemple les émissions associées à l’utilisation des produits vendus par une entreprise, ou les déplacements domicile-travail des salariés. Cette évolution de la réglementation conduira les organisations à avoir une vision complète de leur empreinte climatique. Elle fait écho à une proposition de la Convention citoyenne pour le climat et est cohérente avec les dernières versions des normes internationales en la matière.Le décret apporte également une simplification pour les entreprises en facilitant la publication des BEGES consolidés pour les groupes d’entreprises, afin de mieux prendre en compte la réalité opérationnelle de la réalisation de leurs bilans.Enfin, le décret intègre les évolutions apportées par la loi relative à l’énergie et au climat de 2019 concernant le dispositif des BEGES, notamment en ce qui concerne le plan de transition qui doit être plus précis et détaillé, et le montant de la sanction revu à la hausse.Il est plus que jamais nécessaire que les organisations mesurent leur impact climatique et agissent concrètement pour le réduire, tout en communiquant de façon transparente sur leurs actions.Le dispositif des BEGESLe dispositif des bilans d’émissions de gaz à effet de serre (BEGES), encadré par l’article L. 229-25 du code de l’environnement, prévoit la réalisation d’un bilan d’émissions et d’un plan d’action volontaire visant à les réduire tous les trois ou quatre ans pour :Les personnes morales de droit privé de plus de 500 salariés - L’État, les régions, les départements, et les EPCI de plus de 50 000 habitantsLes autres personnes morales de droit public employant plus de 250 personnes (hôpitaux, etc.) L’ensemble des bilans sont publiés sur une plateforme publique administrée par l’ADEME.Un guide et plusieurs ressources méthodologiques sont mis à disposition des acteurs sur cette plateforme.
Il y a 2 ans et 342 jours

JO-2024 : touchée mais pas coulée, la piscine d'entraînement d'Aubervilliers validée par la justice

"Le projet sur lequel la Cour s'est prononcée avait très nettement évolué par rapport au projet initial", a estimé la cour administrative d'appel de Paris dans un communiqué."Deux permis modificatifs sont intervenus, qui ont profondément modifié le projet d'origine en supprimant d'abord le restaurant initialement prévu, puis les équipements qui devaient empiéter sur le périmètre des jardins ouvriers", a-t-elle justifié.Pour obtenir ce feu vert, la ville d'Aubervilliers, sommée de revoir sa copie, a présenté au juge une nouvelle version du projet, délesté de certains équipements annexes.Elle a pour cela exclu l'objet central des crispations: la construction d'un "solarium", sorte de terrasse minérale grignotant 4.000 m2 de parcelles vivrières sur les 2,5 hectares (25.000 m2) des Jardins des Vertus.Les opposants voyaient dans cet équipement un symbole de la "bétonisation" qui asphyxie davantage les villes, à rebours selon eux de l'urgence écologique.Les travaux auraient causé "des conséquences difficilement réversibles" dans ce "noyau primaire de biodiversité", avait estimé le juge des référés en mars, sommant la ville d'arrêter cette partie du chantier.Les jardins concernés avaient déjà été détruits par les tractopelles."Le projet a été abandonné. Le solarium ne se fera pas", a affirmé jeudi la Ville d'Aubervilliers à l'AFP.Des engins de chantiers sont toujours présents sur site, a constaté l'AFP."Conformément à la décision du juge, il y a eu une remise en état pour éviter l'effondrement" du secteur, impliquant le comblement de fontis, des effondrements du sol en surface, a expliqué la Ville.Il reviendra à Grand Paris Aménagement, propriétaire du lieu, de décider de l'utilisation de ce terrain, accolé à d'autres parcelles de verdure demeurées intactes, a-t-elle ajouté."Cette décision est une victoire car elle prend acte du fait que les jardins sont sanctuarisés, le permis ne touche plus à ces espaces verts", a réagi auprès de l'AFP Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine des recours, aux côtés de deux associations de défense de l'environnement."J'appelle Grand Paris Aménagement à pendre acte de cette décision et à reconstituer ces jardins détruits", a-t-il ajouté.Calendrier serréAprès deux interruptions par la justice, le chantier va donc pouvoir reprendre sur la partie autorisée."Deux grues se sont installées courant juin pour préparer la reprise des travaux", a d'ailleurs dévoilé la Ville. Le terrassement est "en cours d'achèvement" et le gros-oeuvre doit démarrer "d'ici fin juillet".La livraison de l'équipement est prévue en "avril 2024", juste à temps pour les Jeux (26 juillet-11 août).La tenue du calendrier est d'autant plus cruciale que le comité d'organisation de Paris-2024, sollicité à maintes reprises sur ce projet, a indiqué qu'il trouverait un autre site pour l'entraînement des nageurs si la piscine d'Aubervilliers ne voyait pas le jour dans les temps.Aubervilliers, qui rêve d'un bassin olympique depuis longtemps, bénéficie d'une enveloppe de 10 millions d'euros de la Solideo, la société chargée des ouvrages olympiques.Soit environ un tiers du budget total de la piscine, réévalué à 32 millions d'euros, la nouvelle version sans solarium faisant baisser la facture d'un million d'euros, a indiqué la Ville.A deux ans des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, la Seine-Saint-Denis tente d'engranger le maximum d'infrastructures pérennes qu'elle veut constituer en "héritage".La carte des sites a encore bougé fin juin, puisque les épreuves de tir quittent le département, qui accueillera en échange les phases de qualifications du tournoi de boxe.
Il y a 2 ans et 342 jours

Architecture Student Contest 2022 : Saint-Gobain met en lumière les architectes de demain

Lors de ce 17e concours international qu’organise Saint-Gobain pour les étudiants en architecture, interview exclusive de Benoît Bazin, directeur général de Saint-Gobain, venu à la rencontre des futurs architectes.
Il y a 2 ans et 342 jours

Dans 10 ans, un nouveau Hub pour l’aéroport de Zurich signé BIG

L’agence BIG (Bjarke Ingels) assure la conception de Dock A, le nouveau hub de l’aéroport de Zurich (Suisse). La proposition de conception célèbre l’expérience des passagers grâce à la mise en scène de techniques constructives locales. Livraison prévue en 2032. Communiqué. Depuis son ouverture dans les années 1950, l’aéroport de Zurich est devenu l’un des […] L’article Dans 10 ans, un nouveau Hub pour l’aéroport de Zurich signé BIG est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 342 jours

Béton[s] le Magazine 101

Daté juillet-août 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Aménagement public et urbain TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Les éoliennes de Fécamp ZOOM SUR. Les adjuvants pour bétons FONDAMENTAUX. Juridique. Céder un fonds de commerce – Partie II BETON D’ANTAN. L’abri conique de Villenoy. Du béton armé contre les bombes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 342 jours

Vinci décroche un contrat routier à 305 millions d'euros en Nouvelle-Zélande

Le géant français du BTP Vinci a décroché un contrat de 305 millions d'euros en Nouvelle-Zélande, où il construira une série de ponts dans la région d'Auckland, a annoncé le groupe le 30 juin.
Il y a 2 ans et 342 jours

Focus sur les travaux de ramonage

Le ramonage d’une cheminée est une opération obligatoire chaque année. Il est même imposé par la loi au cas où vous l’oublierez. Il faut aussi prendre certains points en compte avant de vous lancer. Vous obtiendrez ainsi une opération répondant pleinement à vos attentes et profitez du rendement de votre chauffage. Principe du ramonage d’une cheminée Ramoner une cheminée est une opération qui consiste à nettoyer le conduit comme il se doit. L’objectif est d’éliminer toutes les salissures qui peuvent se présenter à travers les parois intérieures de la construction. Cela peut s’avérer indispensable pour assurer le bon fonctionnement de votre chauffage. Il vous est conseillé de contacter un artisan ramoneur pour assurer la qualité du travail. En effet, vous éviterez de vous retrouver en mauvaise posture pendant les prochaines combustions si vous vous fiez à un spécialiste. Le point sur la règlementation Il suffit en principe de vous rendre auprès de la mairie pour vous informer sur la règlementation concernant le ramonage. Vous allez alors consulter le « règlement sanitaire départemental ». Ce document indique que vous devrez ramoner votre cheminée au moins une fois par an. Cela peut parfaitement augmenter jusqu’à 3 fois selon l’état de votre installation. Il faudra aussi solliciter un professionnel comme ce ramoneur dans le Var sur ce site : https://www.ramoneur-83-var.fr/ pour réaliser l’opération comme il se doit. Le ramonage appartient au propriétaire ou au locataire ? Le ramonage d’une cheminée revient normalement à la personne qui occupe le bâtiment. Cela est principalement valable pour une maison individuelle que vous soyez locataire ou propriétaire. Vous pouvez en outre vous tourner vers le syndic si vous avez des conduits collectifs. La présence de ce type d’entretien dans votre contrat de bail peut en outre changer les choses. Il suffit de vérifier le document pour déterminer la personne qui doit faire le travail. Les risques en cas de négligence Notez avant tout que vous allez vous exposer à une amende pouvant atteindre jusqu’à 450 € si vous négligez cette intervention. Il y a aussi le risque de voir votre indemnité de prise en charge baisser en cas de sinistre. En effet, votre assureur peut parfaitement évoquer votre négligence en cas d’incendie provoqué par la cheminée non entretenue. La suffocation par le CO est aussi un risque à ne pas négliger. Combien coûte un ramonage de cheminée ? Il est important de bien préparer votre budget avant de valider la réalisation d’un ramonage. Notez que le montant exact peut dépendre de l’état de votre cheminée. Il faudra aussi déterminer la technique que vous allez appliquer. Une intervention mécanique n’aura certainement pas le même prix qu’une opération chimique. Il suffit de demander un devis auprès de l’artisan que vous souhaitez engager pour vous faciliter les choses. N’oubliez pas votre certificat de ramonage Il se peut que vous soyez tenté de réaliser l’intervention tout seul. Notez en outre que vous ne pourrez pas demander une attestation de ramonage si vous prenez une telle décision. Ce type de document ne peut être délivré que par un artisan professionnel. Vous devrez alors contacter ce dernier pour réaliser le travail. Vous allez pouvoir vous en servir à tout moment quand il sera demandé. Votre compagnie d’assurance peut par exemple exiger ce certificat en cas de sinistre.
Il y a 2 ans et 342 jours

Interclima mondial du bâtiment AIRWELL lauréat de bronze des awards de l’innovation pour la solution ma maison HYBRIDE

 Lundi 4 juillet, pour la solution Ma Maison Hybride, Airwell acteur majeur créateur français de solutions climatiques et thermiques est Lauréat de Bronze dans la catégorie Construction Tech® – Start-Up et Nouvelles Technologies. Ma Maison Hybride conçue par Airwell est une solution globale de services qui permet à l’utilisateur de reprendre en main sa consommation […]
Il y a 2 ans et 342 jours

La Poste Immobilier, d’intérêt public

La Poste Immobilier, Maître d’ouvrage. À l’été 2022, Archipress Éditions publie une numéro hors-série de L’Architecture ...More about Cet article La Poste Immobilier, d’intérêt public est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 342 jours

Avec Concord Colossal, Sylvania offre une nouvelle dimension à l’éclairage architectural

L’éclairage architectural est un art dans lequel Concord de Sylvania s’efforce depuis toujours de développer des solutions qui répondent aux exigences des prescripteurs et concepteurs lumière. Aujourd’hui, la marque illustre une nouvelle fois son expertise et va encore plus loin. Elle les invite à entrer dans une nouvelle dimension et lance Concord Colossal, une large […]
Il y a 2 ans et 342 jours

De courbes et de transparence : un groupe scolaire à Lille, par SAM

Bérenger Marinot, Stanislas Cheuvreux et Arnaud Coutine s'associent en 2015 et fondent l’agence d’architecture WAW Architectes. Bérenger Marinot, Stanislas Cheuvreux et Arnaud Coutine travaillent ensemble depuis leur première année d’étude à l’École d’Architecture de Paris-Val de Seine. Diplômés en […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 342 jours

Inter Service Pompe : Pour le bien-être de ses collaborateurs

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine [©ISP] « A l’heure des problèmes de recrutement, il était important pour nous de “chouchouter” nos collaborateurs et de leur proposer une base vie de qualité sur les chantiers de pompage stationnaire. Nous avons voulu regrouper le tout dans un même bungalow sécurisé », explique Antonio Agostinho, président d’Inter Service Pompe (ISP). C’est ainsi que l’entreprise s’est tournée, il y a un an, vers Jérôme Hup, Pdg de Carrosserie Cavime et sa filiale espagnole Carros Cav, à Alicante. « Nous récupérons, recyclons et restaurons des conteneurs maritimes. Pour ISP, nous en avons transformé un en base vie complète avec chauffage, toilettes, douche, cuisine, salle de repos, vestiaires… Tout le confort ! Nous sommes partis d’un cube que nous avons isolé intérieurement avec la projection d’un éco-mélange de liège et d’eau pour couper les ponts thermiques. Puis, ont été posés des panneaux sandwich de 3 cm en aluminium isolés avec de la mousse compensée. C’est du “sur mesure” total. Nous espérons pouvoir réitérer ce genre d’opérations », indique Jérôme Hup. Le petit plus : l’intervention du graffeur espagnol RudiArt, alias Rudi Hernandez, qui a personnalisé le conteneur… pour éviter, à terme, les tags sauvages ! « Du Street Art sur les chantiers, ça change et ça donne un cachet supplémentaire à la base vie. Nous avons testé cette opération sur un conteneur pour voir l’impact sur les collaborateurs et les clients. Et tout le monde est content et satisfait au final. Le bien-être de notre personnel est vital pour nous. C’est le B.A.-ba du savoir-vivre », reprend Antonio Agostinho. Et Jérôme Hup, de conclure : « Le résultat est juste magnifique ». Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 342 jours

Une néo-usine pour le tramway

Tout de verre et métal, le flambant neuf centre de maintenance et de remisage du tramway T9, à Orly (94), opère une relecture de l'architecture industrielle du XIXe siècle.
Il y a 2 ans et 342 jours

Les cent bâtiments construits entre 2000 et 2020 sélectionnés par les internautes

Célébrant les 20 ans de sa refondation et son 300ème numéro, le magazine d’architectures propose cet été un regard rétrospectif sur 20 ans d'architecture en France. Une liste de 300 bâtiments a été soumise à un jury de 35 membres – architectes, critiques, journalistes et acteurs de la vie culturelle de l’architecture pendant les deux premières décennies du siècle en France. Elles et ils ont choisi 20 architectures du XXIe siècle qui les ont marqués. Retrouvez ces réalisations...
Il y a 2 ans et 342 jours

Location d’une benne à gravats : tout savoir

L’évacuation des gravats sur un chantier est indispensable pour éviter les encombrements inutiles. D’ailleurs, vous devrez vous occuper de ce sujet dès la fin des travaux. Il suffit de contacter une entreprise spécialisée pour louer une benne adaptée à cela. Vous pouvez en tout cas prendre note des points suivants avant d’envoyer une demande de location. Les premiers points à retenir sur la location d’une benne à gravats Il faut vous préparer à l’évacuation des gravats avant même de commencer des travaux de démolition. Vous pouvez pour cela contacter un professionnel qui saura vous proposer la meilleure option. Sinon, pensez à vérifier les services que la société qui vous intéresse peut vous offrir. Elle peut parfaitement se limiter à la livraison du produit sur le chantier. D’autres prestataires peuvent aller jusqu’à traiter vos déchets. Commencez par préparer une place sur votre chantier avant de louer le produit Il est important de trouver un emplacement pour la benne avant de la louer. Vous devrez aussi vous assurer que le livreur puisse manœuvrer facilement son camion. Il faut alors faire attention avec l’accès au chantier. L’emplacement peut alors avoir 2 ou 3 places de parking selon votre terrain. La première option peut suffire pour un modèle de 8 min 3 s au maximum. Il faudra aussi déposer une demande d’autorisation N’oubliez pas de demander une autorisation auprès de la mairie avant de faire appel à une entreprise de location benne. Cette étape peut s’avérer indispensable si vous comptez déposer le produit dans un espace public. Cela est aussi valable si l’équipement dépasse sur la voirie. Il faut envoyer votre dossier 8 jours avant le dépôt de la corbeille au minimum. Vous pouvez alors vous tourner vers le service de la voirie de votre commune ou la direction de l’urbanisme. Vous pouvez ensuite choisir la benne qu’il vous faut Vous êtes libre de choisir la benne à gravats que vous voulez louer une fois que vous obtenez l’autorisation de la commune. Il faut pour cela prendre en compte vos besoins ainsi que le volume de déchets que vous allez évacuer. Vous avez normalement le choix entre un modèle conçu pour les éléments de chantier ainsi que ceux qui sont considérés comme dangereux. Prenez aussi le temps de choisir la taille du produit qu’il vous faut.  En tout cas, vous pouvez toujours solliciter cette entreprise de location benne dans l’Oise sur ce site : https://www.ferrailleur-benne-60.fr/ si vous avez du mal à vous en sortir. Combien coûte ce type de location ? Le prix pour la location d’une benne peut varier entre 200 et 800 € en moyenne. Ce montant peut comprendre la livraison avec le dépôt du produit au bon endroit. À cela s’ajoute le loyer pour une journée ou plus ainsi que l’enlèvement des déchets. Vous pouvez parfaitement avoir un modèle de 10 à 40 min 3 s avec un tel budget. Il est plus judicieux de demander un devis pour obtenir la somme exacte que vous allez préparer. Votre budget peut dépendre de certains facteurs La somme à préparer pour la location d’une benne à gravats peut avant tout dépendre du volume total du produit. Il faudra aussi déterminer le type de déchets à évacuer ainsi que la durée de la prestation. À cela s’ajoute l’accès à votre chantier ainsi que la distance que le livreur doit faire. N’oubliez pas de prendre en compte les autres services qui pourront être proposés par l’entreprise de votre choix.
Il y a 2 ans et 342 jours

Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Pour la conception de la coque en béton de l’Ile O, Paschal a fourni près de 600 m2 de coffrage Logo.3. [©Hercules] Flottant sur le Rhône, au pied du pont Gallieni et de l’avenue Leclerc, dans le 7e arrondissement de Lyon, le théâtre l’Ile O ouvrira ses portes à l’automne. Le bâtiment a été imaginé par Koen Olthuis (Waterstudio), architecte néerlandais, conseiller spécial en construction flottante auprès de l’Unesco. Sur trois niveaux, il se compose d’une coque en béton de 480 t et de 6 volumes. Dont la superstructure en bois se mêle à une vêture en acier. La fabrication de la coque en béton armé a été réalisée, sur la terre ferme, dans le port Edouard-Herriot. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes L’entreprise Hercules, en charge de sa construction, a utilisé près de 600 m2 de coffrage Logo.3 signé Paschal. Le chantier s’est déroulé en 3 phases. La première englobe la paroi extérieure, le sol de la coque d’une épaisseur continue de 25 cm. Ainsi que quatre poutres transversales de renfort. Un coque en béton armé En plus d’un service de planification du coffrage, un monteur et un technicien d’application de Paschal ont été envoyés sur site. La coque en béton armé a été renforcée par six cloisons continues en béton armé durant la deuxième phase. Puis, deux cloisons transversales érigées à une distance de 73 cm de la paroi externe de l’étrave et de la paroi extérieure octogonale ont été montées. Enfin, la troisième étape a consisté en la conception de deux parois en béton armé d’une épaisseur de 17 cm. Et ce, à une distance de 60 cm des “bordés” pour le renforcement dans le sens longitudinal. La structure flottante en béton armé a ensuite été acheminée via le Rhône. Le 24 mai dernier, une grue de 56 m hauteur a manœuvré l’imposante coque en béton pour la mise à l’eau. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 342 jours

Hè viva #2022 : la Citadelle retrouvée à Ajaccio

Davantage qu’une préfiguration de site, Hè Viva #2022, vise à inscrire la citadelle d’Ajaccio (Corse du Sud) dans la vie citoyenne et à faire rayonner le projet de réhabilitation du site à l’échelle de l’île et du bassin méditerranéen grâce à une programmation culturelle et festive. Tout l’été 2022. La SPL Ametarra offre au projet […] L’article Hè viva #2022 : la Citadelle retrouvée à Ajaccio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 343 jours

Béton Pratique : Comment bien poser une anode sacrificielle ?

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Les constructions en béton armé sont sujettes à des agressions halogène, pouvant impliquer une corrosion des aciers. [©RGD] 1 – Qu’est-ce qu’une anode sacrificielle ? En existe-t-il différents types ? Une anode est un dispositif mis en place pour répondre à une demande de corrosion dans un environnement donné, pour protéger un autre métal. Cette technique a été découverte, en 1815, par Humphrey Davy. Celui-ci a développé par empirisme une technique de pose de zinc sur les coques en fer des bateaux, pour les empêcher de se corroder au contact de l’eau de mer. L’idée est que l’on dispose un métal sacrificiel sur un métal plus noble à préserver. Par électro-positivité, le métal sacrificiel attire les éléments “corrosifs”. Dans les années 2000, avec le Dr Nigel Davison, nous avons, à notre tour, fait des expériences, en plaçant une anode en fer et une autre en zinc sur une poutre en fer. Le tout dans les mêmes conditions d’exposition aux éléments “corrosifs”. Nous avons pu constater que le zinc était 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer, et donc beaucoup plus protecteur. A partir de cette technique, une large gamme d’anodes est née chez CPT. Le but étant d’optimiser la solution en fonction de l’ouvrage et de son armature. Sur le marché, certaines anodes sont disponibles sous forme de feuille. D’autres sont “ponctuelles”, d’autres encore adaptées à la préfabrication. Pour les rénovations, notamment des angles, il est possible d’en poser en réseau. Enfin, d’autres sont proposées sous forme filaire. 2 – Quand utilise-t-on une anode sacrificielle et pourquoi ? Des aciers corrodés peuvent mettre en danger la viabilité des constructions. [©RGD] Il y a besoin de poser une anode sacrificielle, lorsque l’on est en présence d’un agent agressif que l’on n’a pas maîtrisé et qui a pénétré le béton. L’agent agressif halogène va alors causer des dégâts sur les armatures. Il faut donc agir. La mise en place de la protection sacrificielle va polariser l’armature et les éléments “corrosifs” vont migrer vers l’anode. L’armature du béton ne sera donc plus en situation d’agression. Ce qui permet de stopper la dégradation du béton si elle est en cours et de réduire les besoins d’intervention. C’est un bureau d’études spécialisé corrosion qui doit décider du type et de la quantité d’anodes à utiliser, leurs conditions de mise en œuvre et la mise en place de la politique de protection des ouvrages. Ce calcul est volontairement pessimiste. Il oblige à mettre, sans doute, un peu plus d’anodes que nécessaire, mais en matière de protection, le plus est toujours le mieux. Il faut cependant reconnaître que parfois certaines formes d’anodes sont très adaptées, parfois elles le sont moins. C’est au bureau d’études de trouver le meilleur compromis. 3 – Quelles sont les différentes étapes de pose d’une anode sacrificielle, dans le cadre d’un ouvrage existant ? Le préalable est, bien entendu, qu’un diagnostic de l’ouvrage ait été réalisé, que la pose d’anodes sacrificielles soit la solution la plus adaptée et qu’un plan d’action ait été élaboré par un bureau d’études. L’étape suivante est de se procurer le plan d’armatures et de vérifier leur position exacte par rapport à ce plan. Ces vérifications se font avec un profomètre et un pachomètre. Il faut ensuite repérer les bonnes zones d’intervention, en traçant sur l’ouvrage les lignes d’armatures, et les points de perçage pour la mise en place des anodes. Le percement, qui est l’étape suivante, doit se faire de façon très soignée. Il faut bien vérifier qu’il n’y a pas de risque de couper une armature et mettre ainsi en court-circuit un acier. Pour la protection, le court-circuit ne poserait pas de problèmes, mais en poserait pour le suivi. Les opérateurs doivent donc être formés à ce type d’interventions. Le zinc est 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer. Placée sur une armature, l’anode en zinc attire les éventuels polluants. [©RGD]Les anodes peuvent prendre différentes formes. Ici, elles sont montées en réseau. [©RGD]Les anodes pourraient être posées en préfabrication, afin de prévenir une éventuelle agression. [©RGD] Ensuite, il faut vérifier la bonne profondeur et si le diamètre est bien respecté. Il faut alors réaliser une pose à blanc pour vérifier la bonne disposition de l’ensemble. Quel que soit le type d’anodes, la pose se fait après avoir pré-mouillé le forage. Une fois l’anode placée en fond de trou, l’ensemble est recouvert soit par une pâte cimentaire, soit une pâte active, selon les recommandations du fabricant. Le rebouchage doit être soigné pour ne pas laisser d’entrée d’eau. Enfin, le contrôle doit être effectué par un opérateur spécialement formé. Il vérifie que l’installation correspond au plan, qu’elle est au bon potentiel et courant attendu. Une fois sa validation donnée, le rebouchage définitif est effectué. L’ensemble de ces opérations constitue de traditionnels gestes de maçons. Il faut les effectuer avec précaution. 4 – Qu’en est-il de l’utilisation d’anodes sacrificielles en ouvrages neufs ? Les ouvrages conçus avec des protections ne sont pas encore rentrés dans les mœurs. La protection est plutôt effectuée par protection cathodique, via un courant imposé. Nous pourrions tout à fait imaginer poser une série d’anodes, qui s’activeraient à l’entrée des éléments “corrosifs”. Ils agiraient alors comme un bouclier de protection. Dans un cas idéal, nous pourrions placer en phase de préfabrication des lignes d’anodes sur les points les plus critiques des pièces en béton. Ce serait une bonne chose vis-à-vis de la maîtrise d’ouvrage pour la pérennité de l’ouvrage. RGD en bref... Depuis 20 ans, RGD est un fournisseur de solutions techniques permettant de répondre à une large gamme de problématiques du béton. Avec une spécialité dans le génie civil et le BTP. Pour cela, RGD est constitué de plusieurs activités complémentaires, qui gèrent et trouvent des solutions pour toutes les étapes de la construction. Du bureau d’études à la réparation, en passant par l’approvisionnement des matières premières, le traitement de surface et les formulations spécifiques. RGD comprend les marques MP2, Shemrock-BTP et le totem BOB. Sujet réalisé en collaboration avecRichard Guérin, Pdg de RGD Shemrock et l’un des concepteurs de la méthode Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 343 jours

L’abri conique de Villenoy : Du béton armé contre les bombes

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine En France, l’abri en béton armé de Villenoy est unique. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021] Au fond du parc de l’Hôtel de ville de Villenoy (77) subsiste un abri anti-aérien en forme de cône. Haut de 18 m pour une circonférence de 40 m, il a été réalisé entre 1938 et 1940, pour protéger des attaques aériennes le personnel de la sucrerie de la ville, située près des voies ferrées, et les habitants du quartier. Un choix technique lié à la proximité de la Marne et du Rutel, son affluent, qui empêchait une construction en sous-sol. Les qualités aérodynamiques de la forme conique permettaient de résister à l’effet de souffle en cas d’explosion d’une bombe. Racheté en 2004-2005 par la commune, cet abri appartenait auparavant à l’ancienne sucrerie Béghin Say. Agé de plus de 80 ans, il a subi les aléas du temps. La campagne de financement participatif de l’opération “Sauvons nos monuments 2021” a permis de lancer une série de travaux de rénovation. A savoir, ravaler l’extérieur qui s’effrite par endroits et retirer la mousse qui pousse le long de la paroi. Il est aussi nécessaire de rénover les supports en bois du cheminement qui mène à la sortie de cet abri. Ravaler l’extérieur et combler les fissures « Il faut refaire l’étanchéité du réservoir situé tout en haut, qui met en péril le reste du bâtiment. Après tout ce temps, la rouille touche les armatures. La tranchée d’accès depuis la sucrerie nécessite aussi d’être consolidée », insiste François Daveau, ancien professeur documentaliste au lycée de Meaux, sans qui rien n’aurait été possible. Depuis qu’il est à la retraite, il a remis le lieu en état, autant qu’il le pouvait. « Déjà, c’était une jungle autour de l’abri. Il a fallu beaucoup de travail physique. En même temps, cela a ressemblé à un mini-travail archéologique. Il faut de la finesse pour comprendre à quoi sert un bout de ferraille que l’on trouve. Comme les contrepoids qui servent à fermer rapidement les portes. » L’abri mesure 18 m de haut pour une circonférence de 40 m. Construits en béton armé d’anciens rails de chemin de fer réutilisés, les murs sont épais de plus de 55 cm. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021]François Daveau, ancien professeur documentaliste au lycée de Meaux, sans qui rien n’aurait été possible. Depuis qu’il est à la retraite, il a remis le lieu en état, autant qu’il le pouvait. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021] Durant la guerre, le bâtiment a permis par deux fois, à une centaine de personnes de se protéger des bombardements alliés en 1944. En s’installant au rez-de-chaussée doté d’une infirmerie et d’une douche de décontamination, au sous-sol ou dans les trois étages. Les quatre autres niveaux étant techniques. Comble du confort, chaque étage comporte des toilettes et est éclairé à l’électricité. Pour respirer, un ingénieux système de tuyauterie diffuse de l’air pompé grâce à un vélo actionné par un volontaire. Ce dispositif a, lui aussi, été réparé par François Daveau. Grâce à François Daveau Des travaux d’urgence ont pourtant débutés dès septembre 2011, à l’initiative de ce retraité. Financés par la commune, ils se sont poursuivis tout au long de l’année 2013. Mais ils n’ont pas suffi. Grâce à l’intervention des cordistes de la société chelloise Altissur, les parois externes du cône ont retrouvé un aspect presque neuf. La maçonnerie des trois entrées du sous-sol a été reprise. Un éclairage sur batterie de cinq pièces du rez-de-chaussée et du sous-sol a été réalisé. Et, comme en 1944, chaises et bancs de bois provenant de salles de ventes permettent aux visiteurs de s’imaginer attendre la fin d’une alerte aérienne. « C’est un beau projet municipal », insiste Valérie Perrin, chargée du patrimoine culturel de la mairie de Villenoy. Durant la guerre, le bâtiment a permis par deux fois, à une centaine de personnes de se protéger des bombardements alliés en 1944. [©Philippe Ayrault, Région Ile-de-France 2021] Construits en béton armé d’anciens rails de chemin de fer réutilisés (du recyclage avant l’heure), les murs sont épais de plus de 55 cm. Les petites ouvertures triangulaires de chacun des étages sont protégées intérieurement des éclats de bombes et du souffle de l’explosion par un lourd bouclier de fer. Que l’on pouvait mettre ou enlever à la main. Un volet métallique pivote et ferme l’ouverture.Bientôt, l’abri de Villenoy, après travaux de rénovation, sera ouvert au public. A découvrir. Un musée est aussi en cours de création dans les écuries, à 40 m de là. Ces deux dernières réalisations ont été reconnues comme ayant un intérêt patrimonial d’intérêt régional Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 343 jours

Arcade : Informatiser le secteur du béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, Alice Ladet, responsable commerciale, Guillaume Cordel, dirigeant d’Arcade, et Anne Cordel, responsable recherche & développement. [©ACPresse] « Comment allier ce que j’aime avec ce que je connais ? » Telle est la question que s’est un jour posée Guillaume Cordel, fondateur et gérant de la société Arcade. « Mon histoire personnelle est liée à celle de la carrière, du BTP, secteurs dans lesquels évoluaient mes parents et mes grands-parents. Je connais donc ces métiers de l’intérieur. » A côté de cela, Guillaume Cordel cultive une passion pour l’informatique. Naturellement, il s’installe dans les bureaux de l’entreprise familiale. Lire aussi : Des abeilles sur le toit d’Arcade ! Là, il développe Icare, sa première solution informatique. « Il s’agissait d’un logiciel de pesage, d’édition de bons de livraison et de facturation », précise Guillaume Cordel. Icare a été installé sur quelques grosses carrières, au début des années 1990. C’est ainsi qu’est né Arcade en 1993. En parallèle, Icare intègre une fonction “laboratoire”, qui finit par aboutir à un nouveau logiciel autonome : Icare Labo, réécrit entre temps pour Windows. Son nom : Wil (pour Windows Icare Labo). L’arrivée des suites “full web” « Wil est devenu notre logiciel phare, décliné en différentes versions, dont Wil Béton », rappelle Guillaume Cordel. Cette solution permet aujourd’hui la formulation et la gestion des essais autour du matériau, intègre les obligations normatives, et assure le suivi métrologique des équipements. « Nous continuons à enrichir et à faire évoluer Wil, qui va encore être là pour longtemps. » D’un point de vue historique, Arcade a fini par proposer une large offre de logiciels : Icare pour la gestion, Wil pour le laboratoire, Mentol pour l’environnement et la sécurité, et Carmin pour la maintenance industrielle. Des outils performants, mais auxquels il manquait la dimension “full web”. Pour répondre à cette nouvelle attente, Arcade a fait le choix de refondre cette offre et de mettre sur le marché sa suite Massia. « Il s’agit d’une solution web nouvelle, complète, modulable et évolutive », confirme Alice Ladet, responsable commerciale d’Arcade. Elle se décline en cinq modules : Gestion (administration des ventes), Performance (suivi de la production des industries extractives), Laboratoire et sa version “tablette et smartphone” Labo Mobilité, QSE et Foncier, et Maintenance (gestion des installations et du parc matériels). Collaborations avec Delta Automation et Oris « Tous ces modules ou logiciels ont demandé un très important travail de développement, souligne Guillaume Cordel. On ne met pas au point une suite comme celle-ci en quelques mois. L’informatique, ce n’est plus de l’artisanat. Massia a nécessité 5 années de R&D et mobilisé 10 informaticiens ! » Aujourd’hui, l’aventure Arcade se poursuit. Déjà, l’entreprise va fêter ses 30 années d’existence en 2023. Ensuite, elle a signé un partenariat avec Delta Automation, spécialiste des logiciels et automatismes pour centrales à béton. « L’idée est de créer un éco-système complet, en développant les synergies possibles entre nos outils informatiques. Delta Automation apporte ainsi son expertise en matière de logiciels de production. » Lire aussi : Un nouveau site Internet pour Arcade Un autre partenariat vient d’être mis en place avec la plate-forme Oris. « Il s’agit d’une plate-forme dédiée aux opérateurs de la construction routière pour sélectionner et comparer les solutions et les matériaux disponibles sur le marché. Dans ce cadre, Arcade va développer une passerelle pour permettre aux utilisateurs des suites Wil et Massia de déposer les fiches produits de leurs granulats sur la plate-forme Oris », conclut Guillaume Cordel. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 343 jours

Nanda Vigo montre l’espace intérieur au maad-bordeaux

‘Nanda Vigo, l’espace intérieur’ raconte au madd-bordeaux (Gironde) le travail de l’artiste à travers des installations immersives. Y sont abordés l’architecture, l’art et le design comme autant de champs de création totale, pour donner à voir, à percevoir et à ressentir toutes les dimensions de son travail. Jusqu’au 8 janvier 2023. Plus qu’un déroulé chronologique […] L’article Nanda Vigo montre l’espace intérieur au maad-bordeaux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 343 jours

Au Brésil, le nouveau siège de Nice Brésil signé Mario Cucinella Architects

Mario Cucinella Architects a livré en juin 2022 près de São Paulo (Brésil), le nouveau siège écoresponsable de Nice Brésil. Les 20 000 m² (plus de 20 M€ de travaux) du bâtiment constituent désormais une référence en matière d’architecture industrielle durable.  Communiqué. L’entreprise Nice a confié au studio Mario Cucinella Architects la conception et la construction […] L’article Au Brésil, le nouveau siège de Nice Brésil signé Mario Cucinella Architects est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 343 jours

Hauts-de-Seine : Des éléments préfabriqués en style Art Déco signés Cibetec

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Cibetec a réalisé 121 éléments préfabriqués pour ce bâtiment au style Art Déco. [©Cibetec] Dans un style néo Art Déco, un nouveau bâtiment situé au 39, rue Voltaire à Levallois-Perret, est récemment sorti de terre. Il bénéficie d’un béton architectonique, dont l’esthétisme et la teinte s’apparentent à la pierre. De plus, le matériau dispose d’une résistance élevée à l’encrassement dû à la pollution. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France La construction s’élève sur 5 étages sous attique et se développe sur une surface de 1 405 m2 de logements et 207 m2 de commerces en rez-de-chaussée. A l’extérieur, le bâtiment est entouré de balcons et de terrasses finement ouvragés. Ainsi, les éléments décoratifs à l’image des balcons, des balustres, des corniches, mais aussi des bandeaux et des frontons, sont en béton préfabriqué blanc (signé Ciments Calcia). La préfabrication des 121 pièces a été réalisée dans les ateliers de Cibetec. Une vingtaine de moules ont été nécessaires pour les nez de balcons ou encore les modénatures… Au niveau de la mise en œuvre, chaque pièce préfabriquée a été numérotée et fixée à l’ossature. Et ce, par clavetage béton ou par fixation mécanique de type “porte-manteau avec cornières”. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

Le shopping du mobilier urbain

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Bancs, jardinières, tables de pique-nique ou de ping-pong, cendriers ou encore poubelles et monuments… Le mobilier urbain habille les espaces publics. Les acteurs dans le domaine sont nombreux et chacun a sa “patte”. Béton[s] le magazine vous propose une petite sélection d’objets préfabriqués. Ici, le béton montre bien tous ses talents d’adaptation, que ce soit dans la forme, les teintes et l’usage… Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons Même s’ils ont été conçus, il y a déjà quelques années, les bancs lumineux fabriqués par l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons restent toujours de belles réalisations. En effet, 22 éléments de ce type ont été fabriqués pour l’Esplanade des Particules, chantier d’aménagement des extérieurs du Cern, en Suisse. Ils ont nécessité 600 l de Bfup SmartUP de Vicat, 1 000 fibres optiques installées à l’intérieur et 3 générateurs Led, d’une puissance totale de 10 500 lumens. Ces bancs de 6 m de long sont assemblés en trois parties et disposent de pieds réglables. Pour rappel, l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons est spécialisé dans la préfabrication en Bfup. [©Atelier Mérillon] Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 2 ans et 344 jours

Pathologies : L’alcali-réaction

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine L’ancien pont de Térénez, dans le Finistère, a été atteint par l’alcali-réaction. Il a été démoli et remplacé par un ouvrage haubané. [©ACPresse] I – Qu’est-ce que l’alcali-réaction ? L’alcali-réaction correspond à une réaction de gonflement interne (RGI) se produisant en présence d’humidité. Ceci, entre des phases minérales mal cristallisées contenues dans certains types de granulats (Fig. 1) et les alcalins présents dans la solution des pores du béton, fortement basique. Il s’agit d’une réaction dite “endogène” car les composés qu’elle implique sont présents dans la composition initiale du béton et ne nécessite pas d’apports d’agents agressifs extérieurs. L’alcali-réaction ne peut se développer que si trois conditions simultanées sont réunies : • présence de silice réactive ou de silicates réactifs dans le mélange granulaire ; • présence d’alcalins solubles ou actifs (Na2O + K2O), exprimés sous forme de Na2Oéq, à une teneur supérieure à un seuil critique ; • un environnement humide : humidité relative au-dessus d’une valeur seuil, de l’ordre de 80/85 % (facteur externe). Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 344 jours

Soltech : Un béton à choix multiples

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Près de 210 m2 de béton couleur sable ont été mis en œuvre. [©Soltech] Spécialisée dans les aménagements d’espaces, Soltech s’est imposée sur le marché réunionnais depuis 1992. Dirigée par Jean Ros, l’entreprise ne cesse de mettre en avant les avantages techniques, environnementaux et esthétiques du béton. En intérieur ou en extérieur, Soltech s’intéresse aux sols et n’hésite pas à explorer de nouvelles techniques ou tendances pour répondre à des problématiques précises. Retour sur trois chantiers de l’île Bourbon, qui résument bien la philosophie de l’entreprise. Une toute nouvelle étanchéité Dans le cadre de l’aménagement du port de plaisance de Saint-Gilles-les Bains, Soltech est intervenue dans la remise à neuve de la dalle extérieure. « Nous avons retiré la dalle de basalte pour refaire l’étanchéité et le revêtement », explique Jean Ros. Ici, Soltech a réalisé un calepinage pour le positionnement des joints. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_2" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 344 jours

Minéral Service : La ville comme laboratoire d’expérimentations

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques sur un chantier d’aménagement à Sotteville-lès-Rouen, dont un béton végétalisé et un béton drainant. [©Minéral Service] Basée à Grand-Couronne, dans la Métropole de Rouen, Minéral Service a su au fil des années, affiné son savoir-faire dans le domaine du revêtement de sols décoratifs. « Pavages, dallages, bétons architectoniques… Nous nous intéressons principalement au marché de l’aménagement extérieur, mais intervenons aussi en intérieur, » explique Jérémy Jamelin, directeur d’exploitation. Minéral Service s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux collectivités. Un profil qui constitue une grosse part de marché pour l’entreprise. « Nous maîtrisons toutes les techniques de béton et réalisons des éléments préfabriqués, comme du mobilier urbain, dans nos ateliers de Grand-Couronne. » L’entreprise intervient surtout dans le quart Nord-Ouest de la France, mais suit aussi ses clients, au-delà sur les chantiers. Des techniques différentes pour chaque espace Récemment, Minéral Service a réalisé une zone témoin, pour l’aménagement d’une voie de circulation à Sotteville-lès-Rouen. « Le but était de faire des essais grandeur nature qui conditionneront la suite des travaux dans cet axe. » En effet, les maîtres d’ouvrage, la Métropole de Rouen et la Ville ont demandé la mise en place de solutions techniques et respectueuses de l’environnement. L’objectif ? Favoriser la bonne circulation et désimperméabiliser les sols. Ainsi, Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques en béton. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_3" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 344 jours

Gard : KP1 installe des planchers chauffants/rafraîchissants

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant développée par KP1 et ThermAK a été mise en œuvre dans la réalisation de 66 villas à Laudun-l’Ardoise. [©KP1] Dans le cadre d’un programme social à Laudun-l’Ardoise, le maître d’œuvre Sud Ingénierie et le maître d’ouvrage Sud Invest ont opté pour une solution innovante. Le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant a ainsi été utilisé pour la réalisation de 66 villas. Développé par KP1 et ThermAK1, ce plancher structurel isolant intègre un système de chauffages réversibles. Et il répond aux exigences de la RE 2020. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Occitanie Au-delà du plancher en béton préfabriqué, livré prêt à poser avec l’isolant, le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant dispose de rupteurs de pont thermique. Assurant une bonne continuité de l’isolation. Car ce système “4-en-1” se compose d’un kit “chauffage et rafraîchissement” intégré, d’entrevous et de rupteurs. Le plancher structural bénéficie d’une dalle de compression très fine de 56 mm. Répondre aux exigences de la RE 2020 Sur le chantier, environ 3 personnes étaient en charge de la pose de 15 à 20 planchers de 45 m2 . Et ce, sur 3 à 4 j de travail. « Les tuyaux étant directement intégrés dans la dalle de compression, ce qui évitait aussi de couler la chape flottante. Laquelle est requise pour les planchers chauffants traditionnels et qui peut mettre plusieurs semaines à sécher », explique Grégory Dieudonné, maître d’œuvre du projet. Et de poursuivre : « Au-delà du confort de marcher pieds nus l’hiver et de ne pas souffrir de la chaleur l’été, le bilan économique est très intéressant ». En effet, pour une maison individuelle de 115 m2 de surface habitable, la facture d’électricité atteint une moyenne de 70 €/mois. Avec en hiver une température intérieure de 21 °C et, en été, une consigne de rafraîchissement à 26 °C. 1Société issue de l’association de KP1 et de Thermacome Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 344 jours

HEXAKIT, le nouveau concept de CLT, en format standard 100% français

PIVETEAUBOIS POURSUIT SON OBJECTIF DE DECARBONER LA CONSTRUCTION Dans l’optique d’accompagner les acteurs de la construction, PIVETEAUBOIS a décidé de créer un nouveau concept de CLT en format standard 100% français : HEXAKIT ! Une solution dont les bois sont tous issus de forêts locales gérées durablement et fabriquée dans son usine vendéenne pour optimiser l’impact carbone des chantiers. Depuis 2018, PIVETEAUBOIS continue ses investissements pour répondre aux nouvelles tendances du marché de la construction (ouvrages multi-étage) et son besoin croissant de nouveaux produits de structure bois comme le CLT (Cross Laminated Timbers). OUVREZ-VOUS À UN NOUVEAU STANDARD DE LA CONSTRUCTION Afin de répondre au besoin de réactivité des constructeurs et apporter des solutions pour construire bas carbone, PIVETEAUBOIS a développé une gamme de panneaux standard HEXAKIT de largeur 1,20 m, composés d’un mixte d’essences de provenance française : Pin et 1 face visible en Épicéa. Les longueurs des panneaux sont optimisées selon les portées sur 2 ou 3 appuis pour des applications en plancher, mur, toiture et support d’étanchéité. Un nouveau produit qui démocratise le CLT pour des constructions décarbonées.  Les +– Formats standards optimisés aux charges pour les habitations et les bureaux– Temps de pose au m² divisé par 3– Matériau protégé lors des phases chantiers avec sa protection PARKA (hydrofuge)– Epaisseur du plancher réduite– Sous-face visible épicéa pour conserver un plafond bois– Solution locale et bas-carbone accessible pour tous les types de chantiers– Livraison mixable avec d’autres produits PIVETEAUBOIS (ossature, BLC, BMA, bardage, terrasse, …) Le CLT Hexapli de PIVETEAUBOIS possède sa propre FDES validée et disponible sur inies.com avec une valeur de carbone stocké particulièrement avantageuse. Crédit photo : @Sylvain Malmouche – Architecte : Vincent Hemery – IE Architecture DÉCOUVREZ HEXAKIT EN VIDÉO www.piveteaubois.com/fr/nos-produits/nos-produits-clt-hexakit
Il y a 2 ans et 344 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 344 jours

La Saline royale : Le Cercle immense de la biodiversité

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Saline royale forme désormais un Cercle immense. [©Léo Guyot] La Franche-Comté produit du sel depuis le Haut Moyen-Age. Dans la région, la ville de Salins-les-Bains a su tirer profit de cet or blanc durant près de 1 200 ans. Au XVIIIe siècle, Louis XV, alors roi de France, demande l’édification d’une nouvelle saline. Et ce, à quelques kilomètres de là, à Arc-et-Senans. Le projet concerne ainsi la création d’un saumoduc, reliant les deux villes jurassiennes, et une toute nouvelle manufacture. Un chantier qui durera de 1775 à 1779. Louis XV confie l’opération à Claude-Nicolas Ledoux. Très ancré dans la philosophie des Lumières, l’architecte rêve d’une ville idéale. Ici, urbanisme et architecture seraient des remèdes aux maux de la société. Lire aussi : Naissance de la commission Patrimoine et Histoire du génie civil Même s’il n’a pas pu réaliser sa cité utopique, Claude-Nicolas Ledoux met toute sa vision moderne dans la Saline royale d’Arc-et-Senans. Il imagine un demi-cercle parfait où les bâtiments de la manufacture et les quartiers de la direction prennent une place centrale. Ici, pratiquement tous les travailleurs habitent sur place. Espaces de vie, potagers, ateliers pour les différents corps de métier… Les constructions et les circulations sont faites de telle manière que les ouvriers puissent vivre en harmonie sur le principe de la collectivité. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 344 jours

Corniche Kennedy : Entre terre et mer

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Corniche Kennedy épouse le littoral marseillais. Elle a fait l’objet d’une grande rénovation. [©Setec Diades] Construite entre la fin de la IIe République et le Second Empire, la Corniche Kennedy épouse aujourd’hui le littoral marseillais de la plage des Catalans jusqu’aux plages du Prado. L’édifice offre une belle balade comme une liaison entre terre et mer. Et en plus de la promenade, la corniche dispose de bancs, formant une chaîne de 3 km sur pratiquement tout son parcours. Le banc le plus long du monde selon la légende ! L’ouvrage connaît plusieurs transformations, dont un élargissement entre 1954 et 1968. C’est à cette époque qu’il devient la Corniche Kennedy en hommage au président américain John Fitzgerald Kennedy, mort en 1963. Soumise aux contraintes du temps, de la circulation ou encore des embruns et autres agressions dues à l’environnement, la Corniche a récemment fait peau neuve. « Les travaux se sont déroulés en quatre phases entre octobre 2018 et avril 2022 », explique Loriana Pace, ingénieure maîtrise d’œuvre chez Setec-Diades. En effet, pour permettre aux habitants et aux nombreux touristes de profiter de l’espace l’été, le chantier était en activité entre l’automne et le printemps. Initiée par la Métropole Aix-Marseille-Provence, la restauration de la corniche visait différents objectifs. D’une part, redonner la pleine vocation de la promenade et renforcer l’accessibilité du littoral. Et d’autre part, remettre à neuf les bancs et les ouvrages et la création d’une piste cyclable bidirectionnelle sécurisée. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 344 jours

Dossier : Aménagement public et urbain – Le béton comme réponse aux enjeux de la ville durable

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine L’aménagement des espaces au sein d’une ville revêt une importance cruciale. Par ce biais, des identités sont créées, des revendications régionales sont portées par des teintes et autres ornements, et des curiosités attirent les touristes. Les réseaux sociaux, tels qu’Instagram et Tik Tok semblent bien démontrer l’exercice. Prenons l’exemple du #paris. Parmi les (très) nombreuses photos de monuments, des “guest star” particuliers posent avec les influenceurs du Web : des pavés, du mobilier urbain, de majestueux axes de circulation ou encore des sols couleur pop de certains terrains de baskets. Aujourd’hui, des internautes du monde entier peuvent reconnaître la Ville des Lumières grâce à ces marqueurs forts. Et ce, sans jamais s’être déplacés ! Mais l’aménagement urbain a autant d’importance esthétique qu’urbanistique et sociale. Il sert à organiser les espaces, à faciliter les déplacements et à bien vivre en communauté. Selon la volonté d’un maître d’ouvrage, il peut aussi servir la lutte contre le réchauffement climatique. Ainsi, le choix des matériaux prend tout son sens. Comment favoriser la perméabilité des sols ? Comment construire de manière durable pour ne pas faire et refaire, en épuisant les ressources ? Ou encore, comment créer des îlots de fraîcheur ? La filière béton veut apporter une palette de solutions à l’ensemble de ces enjeux. Béton coloré, texturé, désactivé, végétalisé, éléments préfabriqués… sont autant de réponses. Ce dossier met en exergue différents acteurs, savoir-faire et innovations dans le domaine. Et à l’aube de la pause estivale, c’est aussi l’occasion de prévoir des pauses ludiques aux quatre coins de la France. Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Mini Sommaire Tramway d’Angers : Les invisibles bétons d’aménagementCorniche Kennedy : Entre terre et merIdeal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »La Saline royale : Le Cercle immense de la biodiversitéNova Crete : Occuper la place vacanteAlkern : Coquillages et pavésMinéral Service : La ville comme laboratoire d’expérimentationsSoltech : Un béton à choix multiplesLe shopping du mobilier urbain Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine