Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61902 résultats)
Il y a 2 ans et 361 jours

C’est le moment de vous procurer le Reef et Bati CCTP

Grâce au Reef, disposez d’un référentiel technique et réglementaire du Bâtiment, complet et toujours à jour soit plus de 5400 références en vigueur dont plus de 4200 en texte intégral et comprenant plus de 1800 normes :L’essentiel des textes législatifs et réglementaires du secteur de la constructionTous les DTU en vigueur soit plus de 114 DTU-NF DTU en texte intégralPlus de 1800 normes en texte intégralTous les Cahiers des Prescriptions Techniques (CPT)etc.À l’aide de Bati CCTP vous pourrez contrôler ou générer en toute simplicité des CCTP complets et de qualité, à partir d'une bibliothèque de clauses préétablies, et ce pour les travaux neufs et de rénovation. Chaque lot de la bibliothèque précise les dispositions techniques et exigences nécessaires à l'exécution des prestations et le descriptif des ouvrages à mettre en œuvre. Les clauses de la bibliothèque sont établies à partir du référentiel technique et réglementaire en vigueur que votre Reef met à votre disposition (Normes, DTU CPT, etc.) et proposent différentes options pour s'adapter aux spécificités de votre projet.Quel est l'intérêt pour vous de vous abonner aux 2 services ? Au sein d'un seul et même environnement de travail, vous pourrez tout en créant vos CCTP, basculer dans votre Reef pour consulter simultanément les textes techniques et réglementaires cités dans les clauses et les descriptifs de vos projets. Vous aurez ainsi l'assurance de respecter la réglementation en vigueur et de trouver toutes les réponses à vos questions. Et vice versa, vous pourrez basculer de votre Reef vers Bati CCTP pour construire vos projets de CCTP. Profitez des remises exceptionnelles du CSTB Éditions avant le 30 juin 2022 : https://boutique.cstb.fr/
Il y a 2 ans et 361 jours

Les 7 péchés capitaux de l’architecture – Péché n°7 – La résignation

La profession d’architecte cumule bien des handicaps, bien des « péchés ».* Le 7ème, le dernier, est peut-être le pire de tous, puisqu’il a permis aux six autres de prospérer : la résignation. L’accumulation de tous ces péchés en une seule profession est bien lourde :1. Les architectes subissent une censure digne d’un autre âge. […] L’article Les 7 péchés capitaux de l’architecture – Péché n°7 – La résignation est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

Chelsea Flower Show : le futur des plantes, de la planète et des hommes ?

Constamment innovant, provocateur et débordant d’idées avant-gardistes, le Chelsea Flower Show de Londres, organisé chaque année au printemps et organisé par la Royal Horticultural Society (RHS), est le premier événement britannique à présenter la conception centrée sur les plantes et l’horticulture. De manière poignante, l’édition 2022 a vu une meilleure inclusivité et une approche des […] L’article Chelsea Flower Show : le futur des plantes, de la planète et des hommes ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

Nouvelle gamme d’anti-panique DOM Unico 100% compatible

Celle-ci exige, entre autres, que les portes dédiées à la sortie d’urgence soient équipées de dispositifs permettant d’assurer une évacuation fluide et sécurisée des personnes. Pour aider les gestionnaires de ces bâtiments à répondre à cette obligation notamment dans le cadre d’une rénovation, DOM présente sa nouvelle gamme d’anti-panique interchangeable DOM UNICO.100% compatibleUniverselle, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO présente l’avantage de pouvoir remplacer très facilement n’importe quel modèle standard du marché tout en conservant la manœuvre extérieure (béquille, bouton). En effet, ses platines d’adaptation pré-percées en fonction des différents entraxes existants sont dotées, en plus, de repères visuels qui indiquent l’initiale de la marque à changer.A l’instar des nombreuses solutions anti-panique proposées par DOM-Metalux, son mécanisme symétrique et réversible sans démontage, associé à la possibilité de recouper sa barre et ses tringles verticales à la dimension requise, rendent d’autant plus rapide son installation. De même, le faible encombrement de ses coffres autorise sa mise en œuvre sur profils étroits et augmente le passage libre. Un atout non négligeable pour une évacuation plus rapide !Afin de répondre à tous les besoins, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO se compose de serrures 1 et 2/3 points pour un stockage optimisé. Elle est proposée en version cross-bar, avec des pênes haut et bas ou latéraux. Au design élégant, elle se décline dans les trois coloris les plus courants (blanc, gris, noir) pour s’intégrer harmonieusement à tous les espaces.Une fiabilité hors-pair à tous les niveauxD’une grande qualité de conception de par le choix des matériaux utilisés, l’anti-panique DOM UNICO est certifiée EN1125 : 2008 en grade 7, soit le niveau le plus élevé exigé. Equipée de pênes en acier, elle est coupe-feu en standard.Pour concilier haute sécurité et protection sanitaire renforcée, elle est traitée de série avec une finition antibactérienne Protect Touch reposant sur la technologie des ions d’argent. Résistant au nettoyage, cet agent actif antimicrobien recouvre l’ensemble de l’anti-panique, même les parties qui ne sont pas exposées à un contact direct.Ajoutés au revêtement pendant la production pour garantir l’efficacité du traitement dans le temps (testé selon la norme ISO 22196:2011), les ions d’argent agissent 24 heures sur 24 pour éliminer plus de 99,99% des bactéries et des germes en surface grâce à une libération continue.Interchangeable rapidement avec tous les standards du marché, la gamme DOM UNICO constitue un véritable atout pour tous les professionnels (installateur, distributeur, gestionnaire d’un bâtiment), qui ont ainsi l’assurance en cas de besoin de remplacement de toujours disposer d’un modèle d’anti-panique adapté et de haute sécurité !
Il y a 2 ans et 361 jours

Procès du balcon effondré d'Angers : l'Ordre des architectes réagit

JUSTICE. Le conseil national de l'Ordre des architectes (Cnoa) a réagi au verdict du procès du balcon effondré, à Angers. L'organisme demande notamment le lancement des travaux de rédaction de règles professionnelles de conception et de réalisation de balcons.
Il y a 2 ans et 361 jours

Heartfelt  Multipanel : pour un plafond acoustique ludique, chaleureux et polyvalent

Soucieux de créer des espaces alliant confort, praticité d’usage et esthétique, les designers et les architectes accordent de plus en plus d’importance au “cinquième mur” que constitue le plafond. Jouant avec différentes formes et matériaux, ils créent ainsi des plafonds uniques. Avec la gamme en feutre HeartFelt®, Hunter Douglas Architectural a apporté une contribution de […]
Il y a 2 ans et 361 jours

Le CSTB créé une nouvelle Direction dédiée à l’Eau, confiée à Maxime Roger

Cette nouvelle Direction regroupe des activités transverses : Recherche & Développement, essais, évaluation et certification. Elle réunit pour cela des équipes spécialistes de la question, issues des anciennes directions Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration (CAPE) et Hydraulique et Équipements Sanitaires (HES), dans un objectif de synergies et de transversalité, pour adresser les nouveaux enjeux de la gestion durable de l’eau. Maxime Roger en est nommé Directeur opérationnel, par Etienne Crépon, Président du CSTB.Adresser l’ensemble des enjeux liés à la gestion durable de l’eau, dans le bâtimentEnviron 32 milliards de m3 d’eau douce sont prélevés chaque année pour le refroidissement des centrales électriques, l’alimentation des canaux, la production d’eau potable, les usages agricoles et industriels...* À l’échelle du bâtiment, des quartiers et des villes, cette consommation pose de nombreux défis, notamment :Environnementaux, avec la problématique centrale de la ressource en eau, en lien avec le dérèglement climatique et le stress hydrique associé ; Techniques, en particulier en lien avec l’état des équipements et des réseaux de canalisations, à renouveler et moderniser, dans une dynamique d’adaptation aux nouveaux usages (récupération, réemploi et recyclage...) ; Sanitaires, en lien avec une exigence de qualité centrale et continue.Travailler sur la question de la gestion durable de l’eau dans le bâtiment impose une prise en compte de l’ensemble de ces enjeux, mais aussi de tous les acteurs concernés, des fabricants et prescripteurs, aux usagers, en passant par les collectivités et les opérateurs immobiliers.C’est dans cet objectif qu’a été créée la Direction de l’Eau du CSTB.Organisation de la Direction de l’Eau du CSTBJusqu’à présent, deux directions du CSTB travaillaient sur l’eau : Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration et Hydraulique et Équipements Sanitaires, essentiellement dans le cadre d’activités de Recherche & Développement pour la première, et de certification pour la seconde.Ces équipes ont été réunies au sein de la nouvelle Direction de l’Eau, pour créer davantage de synergies et de transversalité dans les travaux et l’organisation des ressources et compétences, autour de l’eau, introduire plus de ressourcement scientifique et technique dans les prestations de certification et d’accompagnement de l’innovation, etc.La nouvelle Direction de l’Eau du CSTB est ainsi structurée pour : Adresser l’ensemble des problématiques actuelles et futures liées à la gestion durable de l’eau dans les bâtiments, connectés à leur environnement ;Dans le cadre d’une approche par besoins des acteurs, aux échelles produits, bâtiment et quartier, au service de l’intérêt général ;En fédérant l’ensemble des publics concernés, professionnels de la construction et institutionnels, déjà sensibilisés, mais aussi, plus largement acteurs de l’immobilier (propriétaires de bâtiments, exploitants, bailleurs sociaux...).La Direction de l’Eau est pour cela organisée autour de 4 divisions :Réseaux et ouvrages extérieurs, avec pour cible principale, les collectivités ;Réseaux et canalisations intérieurs, avec pour cibles principales, les constructeurs et installateurs ;Équipements Sanitaires du bâtiment, avec pour cible principale, les industriels ;Usages et nouveaux enjeux, avec pour cibles principales, les usagers, les propriétaires et les exploitants.Elle regroupe des activités de Recherche & Développement, d’essais, d’évaluation et de certification. Elle est pilotée par Maxime Roger.Maxime Roger, nommé Directeur opérationnel Eau au CSTBMaxime Roger, ingénieur diplômé de Polytechnique et de l’École des Ponts et Chaussées en 2008, rejoint le CSTB en 2009, en tant qu’ingénieur Études et Évaluation, d’abord responsable de l'équipe hygrothermique des ouvrages, puis du département Isolation et Revêtements.En 2015, il est nommé Directeur de l’établissement de Nantes du CSTB, et Directeur opérationnel Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration (CAPE).Il se voit aujourd’hui confier la nouvelle Direction de l’Eau, au CSTB, dans la création et l’organisation de laquelle il voit « une opportunité unique de répondre de manière transverse, efficiente et pérenne aux problématiques de gestion durable de l’eau dans le bâtiment, en fédérant l’ensemble des acteurs autour de cet enjeu crucial, d’intérêt public ».La Direction de l’Eau du CSTB sera présente sur le Carrefour des gestions locales de l’Eau, les 29 et 30 juin 2022, au Parc des Expositions de Rennes, stand 694, Hall 8.
Il y a 2 ans et 361 jours

Nouvelle Collection Création 2022 Gammes Création 40 et Création 55

Une collection All in 1, pensée de manière transversale, offrant un choix à la carte en matière de design et de solutions de pose selon l’usage (rénovation ou neuf) et le trafic (léger ou modéré) Gerflor, pionnier des dalles et lames vinyles depuis 1985, confirme avec ces innovations esthétiques et technologiques son leadership sur le […]
Il y a 2 ans et 361 jours

A Malakoff, STUDIOS Architecture de dernière génération ?

GA Smart Building, Batipart et la Française REM ont livré pour Safran à Malakoff (Hauts-de-Seine) un bâtiment de bureaux de dernière génération. L’ouvrage de 22 000 m² de bureaux en superstructure a été dessiné par STUDIOS Architecture. Communiqué du promoteur. L’opération de « Sale and Lease Back », menée par Safran, au travers d’une consultation […] L’article A Malakoff, STUDIOS Architecture de dernière génération ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

1 immeuble, 1 œuvre : plus de 500 œuvres d'art partout en France

Dans des villes de toutes les échelles, comme à Pantin, Villeurbanne, Lille, Marseille, Mulhouse mais aussi à Annemasse ou encore Amiens, au sein des immeubles résidentiels comme dans les lieux de travail, les 500 propositions artistiques acquises émanant du dispositif du ministère de la Culture s’inscrivent toutes dans un projet de ville et de vie, participent à la conversation nationale et donnent du sens à l’espace dans lequel nous vivons.La charte 1 immeuble, 1 œuvre s’inscrit dans la politique de l’État de soutien à la création artistique et de diffusion des arts visuels auprès du public le plus large. Elle témoigne de l’engagement commun de la société civile et de la puissance publique en faveur de la création artistique au bénéfice de tous. La charte du ministère de la Culture engage chaque entreprise signataire à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels, et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre.Aujourd’hui, le programme 1 immeuble, 1 œuvre continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux, de plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. Plus de 500 œuvres ont déjà été installées partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, près de 400 artistes, émergents et confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion mais aussi au débat, parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers.
Il y a 2 ans et 361 jours

Esthétisme et innovation avec l’éclairage de sécurité connecté BrioSpot

Kaufel® a lancé BrioSpot, un nouveau bloc d’éclairage de sécurité qui propose une signature graphique unique à haute valeur ajoutée pour des solutions harmonieuses et innovantes. Cette gamme offre encore plus de fonctionnalités pour des bâtiments plus sécurisés.   BrioSpot est la nouvelle collection de Kaufel®, marque historique d’ABB, qui allie esthétisme et innovation pour une […] L’article Esthétisme et innovation avec l’éclairage de sécurité connecté BrioSpot est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

Des enseignants et formateurs de CFA testent les deux premiers modules de formation initiale du programme FEEBAT

Une session pilote a ainsi été organisée fin mai, à Dijon. Trois journées en immersion pour une dizaine d’enseignants et formateurs de CFA, confirmant l’adéquation des ressources avec leurs besoins, attentes et contraintes, dans l’intérêt de leurs élèves, apprentis et étudiants.Pour que la rénovation énergétique, fondamentale dans la dynamique de transition écologique, soit mieux et plus efficacement traitée dans les enseignements délivrés aux futurs professionnels, la formation initiale est depuis 2018 un volet clé de FEEBAT, programme national* de Formation aux Économies d’Énergie dans le Bâtiment.En lien avec le ministère de l’Éducation nationale et le CCCA-BTP, FEEBAT a ainsi développé des ressources pédagogiques spécifiquement dédiées à ce sujet, à destination des enseignants en lycée et formateurs en OFA**, pour qu’ils forment à leur tour, les futurs professionnels du bâtiment.Fin mai, une dizaine d’enseignants et formateurs de 4 établissements*** de Dijon, exerçant au sein de plusieurs filières professionnelles, du CAP au BTS, a pu découvrir l’environnement de formation et tester ces ressources pédagogiques innovantes. Ils ont, pour ce faire, participé à une session pilote de formation, spécifiquement conçue pour les enseignants et formateurs, animée par les concepteurs des ressources et dispensée en format multimodal, avec une classe virtuelle puis 3 jours en présentiel.Ces « bêta-testeurs » ont ainsi pu mettre à jour ou rafraîchir leurs compétences et connaissances, avant de découvrir les deux premiers modules, « Enjeux de la rénovation énergétique » et « Principes de la performance énergétique », ainsi que des ressources de cours ou travaux dirigés adaptés aux différents niveaux de formation, qu’ils pourront utiliser dans leurs enseignements.* Métropole et Outre-mer éligible aux CEE** Organisme de Formation par l’Apprentissage*** Lycée Hippolyte de Fontaine, Lycée St Joseph, Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté, Lycée Les Marc d'OrQuels retours ?L’un des principaux enjeux, pour les représentants du programme FEEBAT présents, était de s’assurer que le parcours de formation destiné aux enseignants et formateurs était pertinent et que les contenus et outils développés pour la formation initiale étaient à la fois :Adaptés aux besoins et contraintes des enseignants et formateurs ;Pédagogiques, précis, cohérents et accessibles en termes de contenus ;Attrayants pour les élèves et les apprentis.Objectif atteint et confirmé par les enseignants et formateurs « bêta-testeurs », comme l’ont notamment souligné trois d’entre eux :Pour Matthieu, formateur Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté - DIJON : « Une très belle ambiance lors de cette session qui aura permis de beaux échanges entre professeurs, formateurs et porteurs du programme FEEBAT. Le travail accompli est remarquable. Nous voilà avec du contenu adapté, adaptable et évolutif. Vivement le déploiement du dispositif ! Hâte de l’exploiter avec mes apprentis ! »Pour Nicolas, formateur Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté – DIJON : « Merci à vous pour cette formation de 3 jours, très riche en échanges sur les méthodes pédagogiques, et bravo à toute l'équipe pour cette production de cours de qualité ! »Pour Olivier, enseignant lycée Les Marcs d'Or : « Enfin un outil bien conçu qui propose des ressources mises à destination aussi bien des enseignants que des apprenants et qui permet d'aborder concrètement la fameuse rénovation énergétique dont on nous parlait jusqu'ici sans réelle cohérence. Merci FEEBAT ! »Fort de ces premiers retours et de ceux des sessions pilotes de novembre et février dernier, FEEBAT confirme la cohérence et le positionnement ad hoc de son dispositif de formation initiale à destination des élèves, apprentis et étudiants du secteur du bâtiment.Un enseignement initial, au service du bâtiment durable, que FEEBAT réinvente en termes de :Contenus, avec des ressources pédagogiques dédiées à l’enjeu majeur qu’est la rénovation énergétique, ressources clé en main, accessibles, cohérentes, modulables ;Formats, avec des solutions innovantes, multimodales (vidéo, 3D, quiz...), favorisant l’interactivité, l’attrait et donc l’attention des jeunes, et qui permet l’adaptabilité aux différentes configurations de cours et aux besoins des enseignants et formateurs.Déploiement volet Formation initiale FEEBAT – Prochaines étapes :Le déploiement des modules de formation « Enjeux de la rénovation énergétique » et « Principes de la performance énergétique » débutera progressivement à partir d’octobre 2022, auprès des enseignants en lycée et formateurs en CFA.Ces derniers pourront alors utiliser ces ressources dans leurs enseignements, auprès de leurs élèves, apprentis et étudiants, futurs professionnels du bâtiment.
Il y a 2 ans et 361 jours

Trois nouveaux directeurs au sein du Sfic

Pôle “Application” du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic), Cimbéton vient de nommer trois nouveaux directeurs. En charge respectivement des questions de bâtiment, de génie civil, et des routes et terrassements. « Ce renforcement des équipes s’inscrit pleinement dans les ambitions et les objectifs de l’industrie cimentière en faveur de la décarbonation et du développement d’une construction durable », indique le Sfic. Le parcours de Stéphane Herbin Stéphane Herbin est nommé directeur bâtiment. Il succède à Laurent Truchon. « Incontournable dans la construction, le béton est destiné à toutes formes d’ouvrages et doit, à ce titre, répondre aux enjeux majeurs du développement durable. Et accompagner les nécessaires mutations du secteur du bâtiment dans les prochaines années. RE 2020, économie circulaire, flexibilité et mixité, gestion de ressources et des déchets, sont les principales thématiques. Sur lesquelles l’industrie cimentière œuvre, met au point et diffuse des solutions », rappelle Stéphane Herbin, définissant ainsi les orientations qu’il entend porter en tant que directeur bâtiment. Architecte DPLG, Stéphane Herbin débute sa carrière, en exerçant pendant une dizaine d’années au sein de diverses agences d’architecture. En 2000, il rejoint le Centre technique industriel de la construction métallique (CTICM), qui lui confie une mission de développement et de promotion des systèmes constructifs à base d’acier pour le logement collectif. Par la suite, il dirige des projets de recherche et d’innovation sur les différents aspects du développement durable. Mais aussi sur la problématique de la corrosion des bâtiments et ouvrages, ainsi que de l’application du BIM dans la modélisation des données. Ces travaux se sont traduits par l’élaboration de Fdes collectives, la création du configurateur save-construction.com, et la participation active aux normes NF EN 15804 et NF EN 15978 aux niveaux français et européen. Après une vingtaine d’années au service du CTICM, il apporte ses compétences auprès d’UPFactor, spécialisé dans la surélévation de bâtiments existants. Puis, rejoint en mai 2022 Cimbéton, le pôle application du Sfic. Le parcours de Benjamin Daubilly Benjamin Daubilly rejoint le Sfic en mars 2022 en tant que directeur génie civil. Il succède à Patrick Guiraud, qui a fait valoir ses droits à la retraite. « Les solutions en béton offrent une large palette d’utilisations en génie civil, dont la pérennité n’est plus à démontrer. Les constituants du béton, le dimensionnement des ouvrages… font l’objet de nombreuses avancées techniques qui sont compatibles avec les enjeux de la société. A savoir, le respect de la biodiversité, l’économie circulaire, la réduction des émissions de gaz à effet de serre… Il convient de promouvoir ces avancées, en particulier auprès des maîtres d’ouvrage, comme des solutions efficaces et durables », rappelle Benjamin Daubilly. Et de conclure : « Si les attentes sont grandes, les possibilités du béton sont, elles, infinies ». Ingénieur, diplômé des Mines d’Alès en 1999, option génie civil, ressources et aménagement, Benjamin Daubilly débute sa carrière en Nouvelle Calédonie en tant que responsable d’exploitation sur une mine de nickel. Avant de revenir en métropole, intervenant sur des sites d’exploitation de granulats, de roches massives et de sablières. En 2006, il rejoint la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), prenant en charge les sujets de normalisation et de réglementation technique. Dans ce cadre, il participe à la révision de la norme béton EN 206 et de son complément national. Ainsi qu’à l’élaboration des fascicules du CCTG portant sur le référentiel “Génie civil 2010”. En 2015, il est nommé délégué général de l’Union des métiers de la terre et de la mer (UMTM), organisme affilié à la FNTP, qui regroupe quatre syndicats professionnels dans le domaine des fondations spéciales, des terrassements, des travaux maritimes et fluviaux et des travaux souterrains. Le parcours de Cédric Le Gouil Cédric Le Gouil rejoint le Sfic, en mai 2022, en tant que directeur routes et terrassements. Il succède à Joseph Abdo. « Les performances structurelles et de durabilité des infrastructures mises en œuvre à base de matériaux aux liants hydrauliques ne sont plus à démontrer. Aujourd’hui et demain, les produits cimentiers vont continuer d’apporter des solutions pérennes et innovantes, tant pour la construction que pour l’entretien des infrastructures routières », explique Cédric Le Gouil. HerbinEt de poursuivre : « Historiquement engagée dans les évolutions de l’aménagement territorial, la profession va poursuivre ses efforts et accélérer sa transformation des process industriels pour les rendre encore plus vertueux. Le développement de nouvelles formulations de liants et de matériaux, l’optimisation des méthodes de construction, ainsi que l’apport de nouvelles fonctionnalités au travers de produits innovants contribueront pleinement à cette démarche de développement responsable. En phase avec les enjeux économiques, environnementaux et sociétaux. Je m’attacherai, dans mes nouvelles fonctions, à promouvoir toutes ces nouvelles solutions développées par l’industrie cimentière ». De formation universitaire scientifique et diplômé du Conservatoire national des arts et métiers de Paris, option matériaux avancés et management en 2002, Cédric Le Gouil travaille pendant 20 ans au sein de la Direction technique, R&D du groupe Colas, à Magny-Les Hameaux (78). Il y fait ses premières armes au service “Enrobés bitumeux”, avant de rejoindre celui des matériaux et liants hydrauliques. Poursuivant sa carrière chez Colas, Cédric Le Gouil intègre, en 2021, la direction développement en tant que responsable technique et développement.
Il y a 2 ans et 361 jours

Concours Acier 2022 : le palmarès

En juin, le jury du Concours Acier, destiné aux étudiants des écoles d’architecture française, a annoncé son palmarès de l’édition 2022 sur le thème « Habiter plus – Réinventer l’habitat ».  Les lauréats. Sur de thème brûlant d’actualité,  les étudiants ont présenté des projets pertinents, justes et s’imposant pour certains comme d’authentiques manifestes de la […] L’article Concours Acier 2022 : le palmarès est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

Trois ans après le rapport du Sénat sur la sécurité des ponts, le compte n'y est toujours pas

En rendant leurs conclusions le 27 juin 2019, sous la présidence d’Hervé Maurey, les rapporteurs Patrick Chaize et Michel Dagbert avaient alors tiré la sonnette d’alarme sur l’état préoccupant de nos ponts routiers en formulant 10 propositions répondant à 3 principaux constats : le nombre exact de ponts routiers n’est pas connu en France. La commission avait estimé leur nombre entre 200.000 et 250.000 sur la base de ses travaux ;l’état de ce patrimoine est très inquiétant, avec au moins 25.000 ponts en mauvais état structurel. Le problème est particulièrement aigu pour les petites communes ;nos ponts souffrent d’un sous investissement chronique depuis plus de 10 ans.Trois ans plus tard, la commission, présidée par Jean François Longeot, a chargé Bruno Belin de tirer un bilan de la mise en œuvre de ces propositions et de prolonger ce travail par des recommandations complémentaires, ayant vocation à nourrir une proposition de loi.Si 80 % des propositions formulées par la commission en 2019 ont trouvé une suite dans des mesures annoncées par le Gouvernement (lois de finances, programme national ponts du Cerema), leur mise en œuvre est notoirement insuffisante, en particulier s’agissant des moyens financiers mis pour la surveillance, l’entretien et la maintenance des ponts. Pour preuve, l’Observatoire national des routes estime l’état du patrimoine de ponts globalement moins bon en 2020 que les années précédentes, pour l’État ou pour les départements. Pour le bloc communal, la mise en place du Programme national ponts, piloté par le Cerema, constitue une évolution positive, mais les moyens déployés sont loin d’être à la hauteur des besoins. Les premiers résultats de ce programme semblent d’ailleurs dresser un état encore plus préoccupant que celui esquissé en 2019 par la commission : sur les 14.000 premiers ponts visités, 23% présentent des défauts significatifs ou majeurs.Dans ce contexte, et à la veille à la fois de la fin des concessions autoroutières et de potentiels transferts de voirie aux collectivités territoriales, la commission identifie 7 propositions complémentaires pour enrayer la spirale de dégradation de nos ouvrages d’art et faire face à ce « chantier du siècle ».L’essentiel du rapport est consultable en ligne sur le site du Sénat.Le rapport du Sénat de 2019 sur la sécurité des ponts est consultable en ligne sur le site du Sénat ainsi que la synthèse.
Il y a 2 ans et 362 jours

LOFT 77 par Doyen Choi et Sarah Fournier, à Gênes (Italie)

En cinq principes fondateurs, Doyen Choi et Sarah Fournier illustrent avec Loft77 – Eco-densifier : Habiter autrement comment la mixité programmatique peut requalifier une zone urbaine délaissée.  Mention spéciale du concours Construire Acier 2022. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les étudiants sur une thématique brûlante d’actualité pour laquelle les étudiants ont présenté des […] L’article LOFT 77 par Doyen Choi et Sarah Fournier, à Gênes (Italie) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 362 jours

Communauté réinventée dans la Tour de Bretagne à Nantes

A Nantes (Loire-Atlantique), des masses aux multitudes : une communauté de travailleurs dans la Tour Bretagne de Louis Fiolleau est un projet total qui ajoute à l’acte de réhabiliter une portée, utopique, sociale et politique. Premier prix ex-aequo du concours Construire Acier 2022 pour cette utopie coopérative. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les […] L’article Communauté réinventée dans la Tour de Bretagne à Nantes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 362 jours

Pour liaisonner la ville, Camille Ouvrard réhabilite la halle des Messageries

Habiter l’infrastructure, vers une ville plus résiliente : réhabilitation de la Halle des Messageries, le projet de Camille Ouvrard allie écologie, patrimoine et logistique urbaine au sein d’un contexte urbain à requalifier. Premier prix ex-aequo du concours Construire Acier 2022, expérimentation pour une ville productive. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les étudiants sur […] L’article Pour liaisonner la ville, Camille Ouvrard réhabilite la halle des Messageries est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 362 jours

Raviver la modernité avec la réhabilitation de la Tour 3M à Cergy-Pontoise

Avec Raviver la modernité : réhabilitation de la Tour 3M à Cergy-Pontoise (Val-d’Oise), l’architecte Antoine Leriche propose un contre-projet à la destruction actée du symbole cergy-pontain et de sa structure en acier. Premier prix ex-aequo du concours Construire Acier 2022 pour ce manifeste de la transformation. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les étudiants sur […] L’article Raviver la modernité avec la réhabilitation de la Tour 3M à Cergy-Pontoise est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 362 jours

Pour rénover la France, biosourcé ne veut pas forcément dire décarboné !

C’est près d’un quart des émissions de tout le pays. L’enjeu est donc colossal : déployer rapidement et à grande échelle des solutions à faible impact voire à impact positif pour notre planète. Pour se faire, les pouvoirs publics ont érigé en dogme LA solution miracle, l’utilisation de matériaux biosourcés.Pour autant, le diagnostic est-il bon ? Je ne le crois pas. Avant tout, il faut se poser les bonnes questions. Si on se réfère aux leviers de décarbonation du bâtiment proposé par le think tank The Shift Project, les recommandations sont d’abord de faire preuve de sobriété dans les constructions neuves, massifier la rénovation énergétique globale et performante ou encore mobiliser le bâtiment comme puits de carbone. L’isolation a un rôle majeur à jouer dans la rénovation et pour la massifier, l’Isolation Thermique par L’Extérieur (ITE) est la mieux placée pour répondre aux besoins. Ses avantages ne sont plus à démontrer : travaux propres et rapides qui ne perturbent pas l’intérieur des logements, compatible avec la pré-industrialisation, rupture des ponts thermiques des planchers, embellissement des façades…En effet, ce type d’isolation est au cœur de nombreux enjeux. Le cahier des charges est complet : isoler thermiquement, phoniquement et embellir les façades. Mais également protéger le bâtiment des risques incendies, bien se comporter en cas de séismes et éviter les infiltrations d’eau ou les problèmes de condensation qui amoindriraient les performances des isolants en place. Comme il reste tant à faire dans un temps si court, les chantiers doivent être rapides et propres, le tout en répondant à un budget acceptable ! Quand on comprend cela, on se rend compte que la solution à apporter n’est pas simple, elle est complexe. Et l’ITE est la mieux placée pour y répondre.Ensuite, on se rend compte rapidement que la solution du tout biosourcé ne fonctionne pas pour l’ITE. Pourquoi me direz-vous ? Il existe une multitude d’isolants biosourcés ! Du chanvre à la paille, en passant par la laine de mouton ou encore la plume de canard, ce n’est pas le choix qui manque. Cependant, ces solutions sont aujourd’hui adaptées pour l’Isolation Thermique par l’Intérieur (ITI), pour un marché local, au plus proche de la ressource et effectivement, dans ce cadre, cela fonctionne ! Mais l’enjeu dont on parle est d’isoler des millions de logements à un rythme jamais atteint. Le tout avec une obligation de résultats (pérennité des matériaux) permettant de réaliser des économies d’énergies et ainsi préparer une réelle décarbonation. Et c’est là que les choses se compliquent pour le biosourcé. A l’heure où l’on parle, il n’existe qu’un seul type d’isolant biosourcé répondant à une partie du cahier des charges exigeant qui permettra réellement de décarboner : la fibre de bois. C’est le seul qui présente à la fois certificat ACERMI, Fiche de Déclaration Environnementales et Sanitaires (FDES) et validité en ce qui concerne la sécurité incendie.On résume. Il faut rénover les bâtiments plutôt que d’en construire de nouveaux. Il faut utiliser l’ITE (adaptée à la massification) plutôt que l’ITI (à utiliser quand l’ITE n’est pas possible). Il faut avoir les garanties que la solution d’ITE choisie dure sur le temps long et compense son impact Carbone initial en quelques années maximum grâce aux économies qu’elle génère.Avant de proposer telle ou telle solution sur un système répondant à ces exigences, il faut commencer par le soumettre à l’exercice de la massification. Or, les bardages bois et/ou la fibre de bois ne peuvent pas répondre à eux seuls à l’enjeu. On comprend aisément qu’un parement en lames de bois produit dans les forêts du Morvan n’est pas en mesure d’équiper toutes les façades en bois de France ! Même constat pour les isolants en fibre de bois. En effet, importé et transporté sur longues distances, le bois voit alors son impact carbone monter en flèche. Autrement dit, réaliser des projets de niche est bon pour l’image de ceux qui les commandent et les exécutent, mais ils sont à des années-lumière du défi de la neutralité carbone. Le biosourcé seul n’est pas une solution pour décarboner à grande échelle : Faire appel à des systèmes hybrides est une nécessité !Pour ne pas tomber dans le piège du « tout-biosourcé », il est indispensable de regarder d’abord et avant tout l’impact de ces matériaux sur la planète. En la matière, le seul et unique juge de paix tient en quatre lettres : FDES. Tout le reste n’est que subjectivité, émotion et religion. Les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaires (FDES) sont certifiées de manière indépendante et font l’inventaire des émissions de CO2 de tous les composants d’un produit, de la fabrication de ses matières premières à sa fin de vie, en passant par sa production, son transport et sa mise en œuvre. Comparer les FDES des solutions d’ITE, vous risquez d’avoir des surprises ! Certains systèmes présentés comme « biosourcés et écologiques » ont une empreinte carbone plus forte que les systèmes Myral, composés d’isolant en polyuréthane, à forte teneur en matériaux recyclés, résistants, faciles à poser, sans ossature et d’une durabilité reconnue de plus de 50 ans. Il est donc temps de fonder son analyse sur des données objectives pour faire le bon diagnostic !Par le jeu de subventions aveugles, les pouvoirs publics oublient l’essentiel : c’est la baisse de l’impact carbone qui compte, et non souscrire à une solution attrayante au premier abord mais bien plus complexe en réalité. L’utilisation des matériaux biosourcés peut être l’une des solutions à faire baisser nos émissions, mais sûrement pas la seule. De plus, la course effrénée au 100% biosourcé est accentuée par les aides financières, plus personne ne prend le temps de regarder ce qui compte vraiment. Et cette vision de court-terme ne nous emmène pas sur le chemin du succès contre le réchauffement climatique. C’est un serpent qui se mord la queue.Maîtres d’ouvrage, architectes, poseurs ou industriels, nous avons tous un rôle à jouer pour sensibiliser un large public à la nécessité de mixer les solutions, arriver à des compromis intelligents et innover. Myral s’engage sur la voie de la transparence. Bientôt, chacun pourra comparer nos systèmes de solutions et leur impact sur l’environnement. Pour être éclairé avant de décider. Et pour réduire réellement, durablement, massivement et ensemble les émissions carbone du bâtiment.Halte aux idées reçues ! Posons-nous les bonnes questions, ouvrons les yeux, soyons honnêtes et objectifs : pour rénover la France, biosourcé ne veut pas forcément dire décarboné !Tribune de Julien Bagnard, responsable développement Myral (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 362 jours

Le Square, créé par Reynaers, un showroom au carrefour des inspirations

ADRESSE. Le studio de design 5-5 a conçu le nouveau showroom à Paris du groupe spécialisé en solutions de façades et d'huisseries, Reynaers. Baptisé le Square et accueillant plusieurs partenaires, cet espace se veut un nouveau pôle d'expertise autour de la fermeture et de l'enveloppe du bâtiment. Un lieu de rencontres, d'inspirations et d'échanges, à destination des prescripteurs, architectes et bureaux d'études.
Il y a 2 ans et 362 jours

Domomat, e-fournisseur de tous vos travaux

Domomat, le e-fournisseur de tous vos travaux, propose une large gamme de produits de bricolage pour la réalisation de vos travaux. L’équipe de Domomat a ainsi sélectionné pour ses clients particuliers et professionnels près de 50 000 références en ligne et plus de 200 marques spécialistes. Domomat, du matériel électrique au bricolage Le parcours de Domomat est ponctué d’évènements significatifs pour son développement : 2013 : Avant Domomat, il y avait le-materiel-electrique.com – Site de vente en ligne essentiellement tourné vers la vente en ligne de matériel électrique 2015 : la société s’appelle désormais Domomat avec de nouvelles gammes de produits 2018 : L’entreprise affirme sa proposition de valeur et se positionne comme le e-fournisseur de tous vos travaux 2020 : Domomat déménage sur Alby-sur-chéran dans des locaux plus vastes et augmente sa surface de stockage Le e-commerçant Domomat pour réaliser ses travaux En devenant le  « e-fournisseur de tous vos travaux », Domomat propose à l’achat une multitude d’articles à la typologie variée. Parmi elles : La climatisation avec des clims mobiles mais aussi des climatiseurs réversibles et des rafraichisseurs d’air. Toujours afin de limiter la sensation de chaleur, les ventilateurs de plafond ou ventilateurs sur pied. Les radiateurs et sèche-serviettes, connectés ou non, déclinés en plusieurs couleurs ou simplement blanc. Vous retrouverez ainsi dans le catalogue en ligne : des radiateurs Atlantic, Thermos ou Acova mais aussi les accessoires vous permettant de les programmer en toute simplicité. Les prises et interrupteurs de toutes marques pour commander l’éclairage, des équipements électriques ou encore les volets-roulants. Ainsi les prises de courant Odace Schneider Electric côtoient les prises RJ45 Céliane de Legrand, les plaques habillent les variateurs Legrand Dooxie… Le matériel de plomberie pour l’alimentation en eau potable mais aussi l’évacuation des eaux usées avec des tubes PER ou du multicouche, des L’éclairage, pour mettre en lumière vos espaces. Un choix large allant de la borne extérieure au spot encastré pour meubles, du hublot à la suspension design… L’outillage, indispensable pour l’installation des équipements. Parmi les références appréciées : une perceuse visseuse, des tournevis, des pinces… Le sanitaire avec la robinetterie, les cuvettes et autres douches, afin d’équiper vos salles de bains, WC ou encore cuisine. Et bien évidemment le matériel électrique divers avec des disjoncteurs, des interrupteurs différentiels etc pour assurer la protection des installations électriques et des habitants, mais également des coffrets électriques vides ou précâblés ainsi que des câbles électriques… Domomat, spécialiste du matériel électrique 3 raisons de commander chez Domomat Toute l’équipe de Domomat est basée en France, en Haute-Savoie. Que ce soit avant, pendant, ou après l’achat, c’est une trentaine de collaborateurs qui vous accompagnera dans votre projet. Parfois en direct via le service client et le service technique ou dans les coulisses avec les services informatique, rédaction, achats, communication et logistique. Ainsi, le service client est joignable de 9h à 12h et de 14h à 17h par mail ou via un numéro gratuit. Autre raison de commander chez Domomat, l’entreprise livre dans toute la France mais aussi à l’étranger. Plusieurs modes de livraison peuvent être proposés en fonction de la typologie de produits. Colissimo, Chronopost, point relais, retrait entrepôt ou directement au pied de l’immeuble via transporteur, le choix est donné aux clients particuliers et professionnels pour faire en fonction de leurs besoins. Chez Domomat.com, vous trouverez également un catalogue en ligne qui offre un vaste choix dans les références de produits disponibles sur le site, toujours avec l’objectif de proposer du matériel de qualité à prix réduit. Ce catalogue évolue chaque jour et si un produit n’existe pas, il suffit d’en faire la demande via le formulaire. L’équipe fera alors le nécessaire pour enrichir son site en fonction des disponibilités des références chez leurs fournisseurs.
Il y a 2 ans et 362 jours

Badi Deco, un nouveau badigeon 100% chaux aérienne prêt a l’emploi

En effet l’application d’un régulateur en première couche n’est pas nécessaire. Le lancement du badigeon s’accompagne également d’un nouveau nuancier et de nombreuses teintes sur mesure pour répondre aux demandes de coloris spécifiques. Formulé sans COV, BADI DECO s’applique aussi bien sur les façades que sur les murs intérieurs en rénovation comme en neuf.Un badigeon facile a appliquerDéveloppé pour répondre aux contraintes du bâti ancien, BADI DECO de PAREXLANKO est un nouveau badigeon aux multiples vertus. Il se compose de chaux grasse en pâte 100% aérienne (selon la norme NF EN 459-1) prête à diluer. BADI DECO assure une excellente perméabilité à la vapeur d’eau pour une meilleure durabilité dans le temps. Le nouveau badigeon a également été pensé pour une application sur des bâtiments neufs. Dès lors que les supports ne sont pas fermés ni hydrofugés, le nouveau badigeon de PAREXLANKO s’utilise à la fois comme régulateur pour la première passe et / ou comme produit de finition sur différents supports selon la dilution choisie (badigeon, eau forte, patine, …).En outre, BADI DECO ne contenant pas de COV (composés organiques volatiles), il autorise son application dans l’habitat tout en préservant la qualité de l’air intérieur. Il existe plusieurs supports admissibles tel que les maçonneries anciennes ou neuves enduites conformément au NF DTU 26.1, les enduits PAREXLANKO de la gamme PATRIMOINE, les mortiers d’interposition PARINTER RENOVATION ou encore les mortiers de plâtre et de chaux (MPC) ainsi que les pierres calcaires ou les briques.BADI DECO pensé pour l’applicateurPensé pour réduire la pénibilité sur les chantiers, PAREXLANKO a conçu son badigeon BADI DECO, prêt à l’emploi, avec une nouvelle formulation offrant une plus grande facilité d’application.Coloris : une réponse aux tendances actuellesLa commercialisation de BADI DECO s’accompagne d’un tout nouveau nuancier proposant 8 teintes, les plus prisées en façades. PAREXLANKO répond à une tendance forte des prescripteurs le blanc : celui de PAREXLANKO révèle une extrême blancheur grâce à son coloris 1000.Pour autant, afin de répondre à toutes les demandes et éventuelles contraintes de chantiers (coloris pouvant être exigé par les Architectes des Bâtiments de France, imposé par une commune, etc.), PAREXLANKO propose également un large panel de teintes sur mesure (avec un minimum de commande). Enfin, selon sa dilution, le nombre de passes, mais également de la technique de finition (brossée, chaulée, à l’eau-forte, patinée, etc.), le nouveau badigeon BADI DECO de PAREXLANKO offre un vaste éventail de finitions à l’aspect.
Il y a 2 ans et 362 jours

A Paris, Atelier du Pont, the good « life » ?

En décembre 2021, AG Real Estate a livré à Paris (XIIIe) ‘Life’, un immeuble de bureaux conçu par Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar & Philippe Croisier) au sein d’un environnement en mutation. Communiqué du promoteur. Situé dans le prolongement de la ZAC Paris Rive-Gauche, cet opus tertiaire de 10 000 m² se distingue par plusieurs […] L’article A Paris, Atelier du Pont, the good « life » ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 362 jours

La frugalité au pays des forêts

Au fin fond des monts du Beaujolais (69), la coopérative Coforêt a inauguré ses nouveaux bureaux le 9 juin 2022, dans le prolongement d’un bâtiment en bois construit il y a 20 ans.
Il y a 2 ans et 362 jours

Clareo éclaire la Sorbonne avec des arches lumineuses LED

C’est un projet qui se regroupe autour de 4 établissements avec chacun leurs spécificités. On y retrouve une zone restaurant, une zone bibliothèque de 3 étages, de grandes salles d’amphithéâtres et de spectacles, ainsi que des salles de travaux dirigés, de bureaux administratifs et associatifs.L’université Paris Sorbonne souhaitait un produit spécifique pour les 3 étages de bibliothèques.Caractéristiques Techniques :Type Ligne LumineusePuissance LED 31W – 48WDurée de vie - L70B50 50 000 heuresDimensions (mm)-A L1600xl100xH550Dimensions (mm)-B L2500xl100xH550IK IK04IP IP20Couleur : 4000°KLes Arches Lumineuses : une fabrication française 100% sur-mesurePour les besoins de ce projet, CLAREO a été sollicité pour concevoir un produit unique sur le marché : les Arches Lumineuses.Réalisées sur-mesure à 100 % et fabriquées en France, leurs tailles ont été adaptées directement aux dimensions des tables de la bibliothèque, le tout avec un design innovant et résolument moderne.Au total, CLAREO a fourni plus de 100 Arches Lumineuses sur-mesure pour ce projet !
Il y a 2 ans et 362 jours

Le Groupe Aliénor poursuit sa croissance

Avec l’acquisition d’Aqciom et JF ingénierie, le Groupe Aliénor enrichit ses compétences et ajoute deux nouvelles cordes à son arc. Il poursuit ses ambitions de croissance en déployant son rayonnement à l’échelle nationale tout en élargissant sa palette d’expertise technique.
Il y a 2 ans et 362 jours

Tile of Spain 2022 : les lauréats

L’ASCER (association des fabricants de céramique espagnols) a remis le 14 juin 2022 à Valence (Espagne) leur trophée aux lauréats de la 20ème édition des Tile of Spain, qui récompensent des projets professionnels et étudiants. L’association des fabricants de céramique espagnols a célébré en 2021 la 20ème édition des Tile of Spain Awards. Les prix […] L’article Tile of Spain 2022 : les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 363 jours

Le niveau de la mer en Nouvelle-Zélande augmente plus vite que prévu, selon une étude

Les données recueillies le long du littoral du pays ont montré que certaines zones s'enfoncent déjà de trois à quatre millimètres par an, accélérant le péril tant redouté.Les projections sont le fruit d'un vaste programme de recherche sur cinq ans - baptisé NZ SeaRise - effectué par des dizaines de scientifiques locaux et internationaux et financé par le gouvernement.Selon leurs prévisions, les autorités disposent de moins de temps que prévu pour planifier la manière de s'adapter aux conséquences du changement climatique, notamment une relocalisation des habitants vivant le long des côtes.D'après Tim Naish, le professeur à l'université Wellington de Victoria qui a co-dirigé le programme, si le niveau de la mer au niveau mondial augmentait d'environ un demi-mètre d'ici 2100, cette hauteur devrait atteindre près d'un mètre dans de grandes parties de l'archipel car la terre s'enfonce dans le même temps.Ce serait particulièrement catastrophique pour Wellington, la capitale, qui pourrait connaître une élévation du niveau de la mer de 30 cm d'ici 2040, ce qui n'était pas attendu avant 2060.Les habitants de Wellington pourraient ainsi être victimes chaque année d'une inondation occasionnant des dégâts."Nous avons moins de temps pour agir", a déclaré M. Naish, estimant que "c'est un peu terrifiant".Les données montrent que le littoral sud-est de l'île du Nord, plus peuplée, est le plus exposé.Auckland, qui, avec 1,7 million d'habitants, est la plus grande ville du pays, est particulièrement vulnérable.Selon les prévisions, le niveau de la mer augmentera 50% plus vite sur le front de mer du centre-ville et dans plusieurs banlieues, ce qui aura d'immenses répercussions sur le prix des maisons et les primes d'assurance.Outil en ligneNZ SeaRise a mis au point un outil en ligne permettant aux habitants et aux autorités de vérifier les prévisions pour la zone qui les concerne, afin qu'ils évaluent le risque d'inondation et d'érosion."Nous avons encore du temps, mais nous n'avons plus le temps de rester les bras croisés", a déclaré M. Naish, appelant les élus et promoteurs immobiliser à réfléchir à la meilleure façon de s'adapter à cette élévation du niveau de la mer.La Première ministre Jacinda Ardern a affirmé que la planification était déjà en cours, y compris la budgétisation de la relocalisation, loin du des côtes vulnérables, de certains habitants et infrastructures."La première chose n'est pas d'abdiquer parce qu'il y a une série d'options qui peuvent être mises en oeuvre", a-t-elle déclaré à Radio New Zealand."Nous travaillons avec les autorités locales et les assureurs pour déterminer qui doit supporter les coûts de certaines de ces options car ils ne doivent pas incomber à une seule partie."Mme Ardern a appelé les Néo-Zélandais à tout faire pour réduire les émissions et limiter les conséquences du changement climatique.L'élévation du niveau de la mer est due à la dilatation thermique de l'océan -l'eau prend plus de place quand elle se réchauffe - et à la fonte des glaciers des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique.
Il y a 2 ans et 363 jours

Chapelle International, à Paris, Tribeca, par Arte Charpentier

En septembre 2020, Linkcity Ile-de-France a livré sur les espaces Ferroviaires de Chapelle International, à Paris (XVIIIe), le Tribeca, un immeuble de bureaux conçu par Arte Charpentier. Surface de plancher : 21 200 m². Surface du gymnase : 1 170 m². Communiqué du promoteur. Le Lot A, également appelé Tribeca, contribue à la recomposition d’un […] L’article Chapelle International, à Paris, Tribeca, par Arte Charpentier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 363 jours

Corinna Del Bianco à Montréal avec Archipelago

A l’Institut culturel italien de Montréal (Canada), l’architecte italienne Corinna Del Bianco ouvre ses carnets photographiques insulaires qui enquêtent sur les liens étroits qu’entretiennent les îles construites avec la mer et le grand paysage. Jusqu’au 16 septembre 2022. Un répertoire d’images et de récits conduit à la découverte des formes de vie de quelques petites […] L’article Corinna Del Bianco à Montréal avec Archipelago est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 364 jours

En Albanie, la bataille perdue des bunkers anti-atomiques face à la mer

Selon les scientifiques, les rivages du petit pays des Balkans figurent parmi les plus touchés d'Europe par l'érosion due au changement climatique et à l'urbanisation sauvage.Sur les côtes de Seman, en Albanie centrale, les bunkers d'Enver Hoxha, défunt tyran qui s'était fâché avec l'Occident, l'ex-URSS, l'ex-Yougoslavie, la Chine et se préparait à être attaqué de toutes parts, sont sous l'eau.Idem pour le poste de police, les terrains de sport, le puits de pétrole.Sur les plages, des troncs d'arbres arrachés et des toits effondrés témoignent de l'impuissance face à l'avancée inexorable de la mer."Les bunkers étaient censés résister à tout mais ils ont échoué dans leur seule et unique bataille - contre la mer", dit à l'AFP Ilir Zani, 80 ans.Selon les habitants, l'Adriatique a avancé ici de 800 mètres en trois décennies. Izmir Mernica, 47 ans, a peur de voir disparaître son petit bar qui fait vivre sa famille. Il montre l'ancien château d'eau partiellement submergé. "Nous sommes inquiets, la mer est en train de tout engloutir. Regardez cette tour devant laquelle on garait jadis les voitures"."Deux mètres par an"En 2009, les autorités avaient tiré sur la plage sept bunkers submergés avec des chars T-59, après la mort de vacanciers noyés dans les tourbillons créés par le courant autour des structures. Las, la mer "les a pris à nouveau", poursuit Izmir, amer.D'après des rapports des experts du changement climatique pour le programme de l'ONU pour le développement (PNUD), "plus d'un tiers" des 427 kilomètres de côtes sont "touchés par l'érosion, à un rythme d'un à deux mètres par an".D'après Abdulla Diku, spécialiste de l'environnement, pour chaque hectare, environ 27 tonnes de terre partent à la mer chaque année, soit environ onze fois plus que la moyenne des pays européens.A Qerret, vers le nord, Vlash Moçi, 64 ans, a toujours son bunker, qui abritait autrefois des canons anti-aériens.Il l'a transformé en bar qui attire les touristes étrangers curieux d'en savoir plus sur le règne paranoïaque d'Hoxha, qui avait fait construire plus de 170.000 bunkers et de nombreux tunnels souterrains anti-atomiques.Mais il est angoissé. Le bunker voisin, structure vert pâle aux allures de soucoupe volante, a les pieds dans l'eau."Nous avons peur qu'un jour les grosses vagues nous avalent, c'est terrible", déclare-t-il à l'AFP.Pour tenter de lutter, les propriétaires de villas et d'hôtels de Qerret ont construit illégalement des jetées de rochers perpendiculaires à la mer. Mais elles modifient les courants et empirent la situation, selon les spécialistes. Egoïsme"Il s'agit de solutions individuelles qui aggravent le problème et nuisent à la biodiversité et aux écosystèmes marins", avertit Mirela Kamberi, spécialiste pour le PNUD.Tout se ligue pour favoriser la conquête de la mer. Il y a le changement climatique, avec l'augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes et l'élévation des températures et du niveau de la mer. Les experts prévoient en Albanie une augmentation du niveau des eaux de 40 à 105 cm d'ici 2100 par rapport aux années 1986-2005.Il y a aussi la déforestation, l'extraction du sable des rivières qui en accélère le cours, l'urbanisme sauvage sur le littoral."Le problème, c'est que les gens ont coupé presque tous les sapins pour construire des immeubles, endommageant les systèmes de la nature", peste Besnik Zara, 66 ans, en lançant sa canne à pêche dans l'eau. "Ici, même les poissons ont disparu".Sur la montagne de Shupal, près de Tirana, il est facile de constater les dégâts de l'érosion, la dégradation des terres et de l'eau des rivières qui finissent dans le lac de Bovilla.Ce lac, qui alimente la capitale en eau potable, "est déjà considéré comme un point chaud de l'érosion", souligne Abdulla Diku.Pour faire face, les autorités ont interdit en 2016 l'exploitation des ressources forestières et adopté les engagements des conférences de l'ONU sur le climat de Paris puis Glasgow.Tirana vient aussi de renforcer la législation. "Le crime environnemental sera traité par le code pénal comme un crime contre la vie, la propriété ou en bande organisée", a averti le ministre de l'Intérieur Blendi Cuçi.
Il y a 2 ans et 364 jours

A Lyon, immeuble de bureaux signé avec assurance par Archigroup

Crédit Agricole Immobilier a livré en juin 2022 à Lyon (Rhône), au 18/24 rue Garibaldi (6ème), un immeuble de bureaux de 4 200 m² conçu par ArchiGroup et nouveau siège social de l’Auxiliaire, assureur lyonnais spécialiste du bâtiment et des travaux publics. Communiqué du promoteur. Construit dans les années ’80, cet immeuble a bénéficié d’une […] L’article A Lyon, immeuble de bureaux signé avec assurance par Archigroup est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 364 jours

Otrivin Air Lab par ecoLogicStudio à Londres

Dans le cadre du London Festival of Architecture, Otrivin Air Lab met en lumière les recherches en cours pour atténuer l’impact de la pollution urbaine sur la santé respiratoire. Etat des lieux au Building Centre de Londres (Royaume-Unis). Jusqu’au 15 juillet 2022. ecoLogicStudio et « Otrivin Actions to Breathe Cleaner » expérimentent actuellement des solutions innovantes fondée sur […] L’article Otrivin Air Lab par ecoLogicStudio à Londres est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 364 jours

Au Brésil, une favela de Rio tourne à l'énergie solaire

"Certains habitants doivent choisir entre payer ces factures ou acheter à manger", déplore Stefano Motta, président de la première coopérative d'énergie solaire dans une favela au Brésil.Cette coopérative a installé 60 panneaux sur le toit du local d'une association de quartier, pour fournir de l'énergie à 34 familles.La production est connectée au réseau électrique local et le distributeur tient compte de cet apport d'énergie solaire pour réduire le montant des factures, avec un tarif variable selon la production.Résultat : une électricité moitié moins chère pour Marcia Campos, assistante sociale de 51 ans, bénéficiaire de ce projet mis en place en juillet 2021 par plusieurs associations, en partenariat avec l'ONG Revolusolar.Avant, sa facture s'élevait à 500 réais par mois (environ 95 euros), près de la moitié du salaire minimum au Brésil."Aujourd'hui, je paie autour de 260 réais, et j'ai même eu des mois à 180 réais" lors des périodes les plus ensoleillées, explique-t-elle.Au total, la favela compte 104 panneaux photovoltaïques, avec quatre installations, l'une d'entre elles sur le toit de l'auberge de jeunesse de la colombienne Bibiana Angel Gonzalez."Avant, on consacrait une bonne partie de notre maigre chiffre d'affaires au paiement de l'électricité", raconte-t-elle."Nous avions fait des devis de panneaux, c'était hors de prix. Mais en s'associant à d'autres, grâce à la coopérative, nous avons réussi à réduire les coûts de transport", ajoute-t-elle."Croissance rapide""Les habitants se plaignent de plus en plus du prix des factures d'électricité, et nous leur montrons que l'énergie solaire, c'est important pour l'environnement, mais aussi pour faire des économies", explique Stefano Motta, Italien de 45 ans originaire de Sicile installé depuis une dizaine d'années au Brésil.Il habite à Chapeu Mangueira, la favela voisine de Babilonia. André Luiz Campos, réceptionniste de 49 ans, n'est pas encore adhérent de la coopérative et a vu le montant de ses factures grimper en flèche ces derniers mois."J'ai juste un frigo, un congélateur et une télé et je paie 800 réais (150 euros) par mois. Comment est-ce possible ?", s'interroge-t-il. Le prix de l'électricité a augmenté de 7% en moyenne au Brésil en 2021 par rapport à 2020, une hausse qui devrait s'accélérer fortement cette année, à 21%, selon les dernières prévisions.Les tarifs ont notamment augmenté à cause de la sécheresse historique qui a touché le Brésil l'an dernier, dans un pays où 57,6% de l'énergie est fournie par des centrales hydroélectriques.Selon l'Association brésilienne d'Energie solaire (Absolar), la part du photovoltaïque dans la production nationale d'électricité est de seulement 1,8% dans ce pays tropical inondé de soleil.C'est pourtant "une alternative durable pour faire baisser le prix des factures des populations pauvres", assure Carlos Aparecido, spécialiste d'ingénierie électrique à l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ).D'autant plus que le secteur connaît une "croissance rapide", avec une progression de 29,3% de la capacité installée en 2021."Une nécessité"Il estime par ailleurs que l'installation de panneaux photovoltaïques dans les favelas pourrait faire baisser le nombre de connexions sauvages au réseau électrique, qui représentent 1,5 milliard de réais (environ 300 millions d'euros) de pertes par an dans le pays, selon une association du secteur.Selon lui, les distributeurs "font payer la note aux consommateurs" pour compenser ces pertes.Stefano Motta espère que le succès du projet de Babilonia fera des émules à Rio, qui compte 763 favelas où vivent près d'1,4 million d'habitants, environ un quart de la population de la ville.La première à suivre l'exemple est Elma de Aleluia, fondatrice de l'ONG SER Alzira, dans la favela de Vidigal, toute proche du quartier chic de Leblon.Elle a installé des panneaux photovoltaïques en décembre dernier, grâce à des dons d'entreprises. "C'était une nécessité. Grâce à ces économies, on a plus de moyens pour investir dans nos projets" socio-éducatifs, explique la militante associative.
Il y a 2 ans et 364 jours

Après un quinquennat agité, l'heure de la valse des collaborateurs de députés

Après les élections législatives de 2017, quelque 1.300 collaborateurs avaient été licenciés dans la foulée du débarquement des troupes LREM. Cette année, la vague de renouvellement devrait cependant être moins importante si la majorité présidentielle est confirmée."On connaît les règles du jeu. Mais ce n'est jamais évident, c'est toujours une histoire qui se termine", lâche l'un d'eux à l'AFP.Au service des 577 députés, ils sont au total 2.000 collaborateurs, dont 40% travaillant au Palais Bourbon et 60% en circonscription. Neuf sur dix sont en CDI: si leur député ne se représente pas ou est battu, ils sont licenciés; si leur député est réélu, ils sont automatiquement reconduits.Souvent "couteaux suisses", ces assistants assurent des tâches diverses, secrétariat, rédaction d'amendements, communication... et ne sont pas forcément du même bord politique que leur député, même si c'est souvent le cas.Ils sont employés par chaque élu, qui recrute, fixe conditions de travail et salaire, sur une enveloppe mensuelle de 10.581 euros attribuée par l'Assemblée, qui permet d'employer une à cinq-six personnes.L'affaire de l'emploi fictif de l'épouse de François Fillon les avait mis cruellement en lumière en 2017. "L'image de celui qui attend son chèque est restée, plutôt que celle de collaborateurs très investis pour la plupart", déplore l'une de ces petites mains.L'interdiction pour les parlementaires d'employer des membres de leur famille proche avait été votée dans la foulée.Après cet épisode, nouveau coup de projecteur sur les conditions de travail des collaborateurs: les situations de harcèlement ont été plus vivement dénoncées sous la mandature qui s'achève.Travail de nuit, promiscuité, relation de pouvoir... Face à ces conditions propices, l'Assemblée nationale a musclé en février 2020 son dispositif, avec la création d'une cellule anti-harcèlement, pluridisciplinaire et indépendante.En 2021, 24 personnes - surtout des collaborateurs - ont saisi cette cellule, pour du harcèlement moral principalement. Et la justice a été saisie pour un cas de harcèlement sexuel."Mercenarisation"Parfois en lien, le turn-over a fortement augmenté. Quelque 5.875 contrats ont été conclus entre mi-2017 et fin 2021, dont 3.950 ont été rompus (43% pour fin de CDD), selon les derniers chiffres connus.La durée moyenne en CDD s'établit à trois mois, signe d'une "mercenarisation" des collaborateurs, embauchés pour une tâche bien définie à un moment clé, souligne un vieux routier.Le Canard Enchaîné a établi un palmarès des 20 députés les plus "consommateurs", avec en tête Laurence Maillart-Méhaignerie (LREM), présidente sortante de la commission du Développement durable, qui a usé 29 assistants."Il y a eu beaucoup de ratés. Les députés de la majorité étaient souvent peu expérimentés, et ont recruté des collaborateurs peu expérimentés aussi. Beaucoup ont mal choisi", déplore un de ceux qui a dû changer de patron en cours de route.Les élus s'étaient entourés de nouveaux profils, comme d'ex-militants de leur campagne, voire de leurs suppléants -pratique pas interdite - pour 87 d'entre eux."Je dis aux plus jeunes de ne pas en faire leur métier à vie. C'est très prenant, très dur. On passe beaucoup de temps à faire la carrière d'un autre, pas la sienne", rapporte Brayen Sooranna (CFDT collaborateurs), dont la députée ne se représente pas et qui, à 37 ans, ne sait pas encore s'il va poursuivre.Effet bénéfique de l'affaire Fillon: des avancées ont été entérinées, avec notamment des accords en 2018 sur une "fiche métier" et en 2021 sur la reconnaissance de l'ancienneté, conclus avec l'Association des députés employeurs. "Nous ne sommes ni chauffeurs, ni baby-sitters ou femmes de ménage", clament encore les collaborateurs."L'effort de professionnalisation n'a pu porter ses fruits du fait du turn-over important", regrette Astrid Ribardière (Unsa-USCP). Au menu de la prochaine mandature, toujours: la demande d'un véritable statut, "avec des droits applicables", et non plus "précarité et opacité", réclament les syndicats.
Il y a 2 ans et 364 jours

London Festival of Architecture à Londres

Jusqu’à fin juin 2022, Londres (Royaume-Unis) accueille le London Festival of Architecture (LFA) sur le thème « Act » ? Volonté d’ouvrir des discussions autour de l’architecture, tester de nouvelles idées et promouvoir de nouveaux talents. Jusqu’au 30 juin 2022. Ce qui rend le LFA unique est que son programme est dirigé par des Londoniens mais coordonné […] L’article London Festival of Architecture à Londres est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 364 jours

Les courtiers en crédit immobilier sous la pression de la remontée des taux

Les banques traditionnelles rejettent actuellement 21% des demandes de prêts apportées par les courtiers, soit quatre fois plus qu'en fin d'année dernière, indique le directeur général de l'Association française des intermédiaires en bancassurance (AFIB) Géraud Cambournac."Nous arrivons à une situation de blocage qui devient insupportable", s'alarme-t-il, "avec des banques qui refusent purement et simplement (tous) les dossiers, comme le groupe Société Générale".Sans intermédiaire, plus de commission à régler par la banque ni à intégrer dans le calcul du taux effectif global du prêt (TAEG), plafonné par la loi.La banque au logo rouge et noir confirme à l'AFP qu'elle "a décidé d'arrêter temporairement le recours aux prescripteurs (courtiers, agences immobilières locales, etc.)" mais souligne qu'elle continue à en accorder directement à ses clients.Ce type de refus de dossier "est dommage, mais l'offre (de crédit) bancaire est encore suffisamment importante", tempère Cécile Roquelaure, du réseau de courtage Empruntis.Les relations entre banquiers et leurs apporteurs d'affaires ont toujours été émaillées de tensions, mais c'est la remontée rapide des taux d'intérêt qui a rallumé l'étincelle.Ces derniers sont passés d'une moyenne de 1,12% en décembre à une fourchette de 1,25% à 1,30% en avril, selon la Banque de France.De l'air pour les margesÀ ce taux nominal s'ajoute l'ensemble des frais liés à l'obtention d'un crédit, dont la commission demandée par les courtiers et le coût de l'assurance emprunteur.Le total ne doit pas dépasser le taux d'usure, destiné à protéger les particuliers de conditions d'emprunt abusives et qui est fixé chaque trimestre par la Banque de France.À titre d'exemple, le taux d'usure est actuellement de 2,40% pour un emprunt sur 20 ans, un niveau jugé désormais trop bas par de nombreux acteurs du marché, qui ne trouvent plus suffisamment d'air pour leurs marges.D'autres contraintes entrent aussi en jeu, comme le plafonnement des traites mensuelles en fonction des revenus et la limitation de la durée d'endettement dans certains cas.Il est "actuellement plus difficile d'obtenir un prêt", résume une note du comparateur Assurland.com, même si pour le moment les volumes ne baissent pas.La Banque de France ne constate en effet pas de ralentissement de l'octroi de nouveaux crédits à l'habitat : l'encours était même en hausse de 6,3% sur un an en avril.Laisser passer l'orageKissy Peron, courtière et animatrice d'un communauté autour de la vulgarisation du crédit sur les réseaux sociaux, ne voit pour l'instant pas le flux de clients se tarir.Les gens "continueront à acheter" des biens immobiliers, explique-t-elle à l'AFP, et les courtiers "savent se diversifier vers des produits qui sont au moins aussi rémunérateurs : regroupement de crédits, crédit à la consommation, voire des formations sur l'investissement immobilier".Eu égard à sa méthode de calcul, il faudra attendre le 1er octobre pour que le taux d'usure remonte de façon significative, sauf décision politique d'ici là."Certains pourront passer l'orage, pour d'autres ce sera plus difficile", s'inquiète M. Cambournac.À plus long terme, le président du réseau de courtage CAFPI Olivier Lendrevie écarte la menace durable d'une remontée des taux pour sa profession. Ce nouvel environnement de marché "rendra les emprunteurs plus sensibles à l'importance de faire le tour du marché, de comparer les taux des différentes banques", estime-t-il.Ces dernières resteront néanmoins en position de force : la fin des taux bas signifie pour elles plus de marge, tandis que la rémunération des courtiers, en honoraires auprès du client et de la banque, dépend du volume de crédits.
Il y a 2 ans et 364 jours

Entre mixité des matériaux et des énergies, les pistes pour décarboner le logement

HABITAT. Un architecte, un représentant de la filière bois et un porte-parole de GRDF se sont réunis pour parler des ambitions et enjeux de la décarbonation du logement en France. La table-ronde, tenue lors des Assises nationales du logement et de la mixité urbaine, a permis de soulever plusieurs points cruciaux régis notamment par la réglementation environnementale 2020.
Il y a 2 ans et 364 jours

Découvrez le palmarès du concours photos 2022 de l'Agence qualité construction

LAURÉATS. Les résultats du concours photos annuel "Éviter les désordres, apprendre par l'image !" de l'Agence qualité construction (AQC) viennent de tomber. Sept photographes ont été distingués cette année, et 30 non-qualités mises en avant dans un but pédagogique.
Il y a 3 ans et 0 jours

Quels sont les salaires des professionnels du BTP par fonction et par région ?

En Ile-de-France : la reprise des recrutements se fait sentir depuis le début de l’année et le marché de l’emploi reste actif en particulier à Paris, dans les Hauts-de-Seine et en Seine-Saint-Denis. Tous les métiers en MOE/ Travaux sont en tension, en bureau d’études comme en entreprise de travaux. Les profils de techniciens maintenance CVC, dessinateurs-projeteurs et ingénieurs travaux TCE sont particulièrement recherchés.En Ile-de-France, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 35 et 40 K€ par an.En Auvergne-Rhône-Alpes : région extrêmement dynamique, avec des grandes villes très attractives comme Lyon, Grenoble, Chambéry, Annecy et Saint-Etienne, des projets de moyenne à grande envergure et beaucoup de projets neufs. La plupart des entreprises sont représentées et recherchent de nouveaux profils, en particulier des conducteurs de travaux, chargés d’affaires, dessinateurs-projeteurs, pilotes OPC. Le bâtiment recrute tous secteurs confondus (gros œuvre, second œuvre, aménagement …), en entreprise comme en maitrise d’œuvre, énergies renouvelables ou encore lots techniques (électricité, CVC, plomberie).En Auvergne-Rhône-Alpes, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 31 et 36 K€ par an.Hauts-de-France : région très dynamique également, principalement à Lille, Roubaix et Tourcoing. Les secteurs du gros et second œuvres, travaux publics et béton recrutent de façon assez importante. Les entreprises recherchent des conducteurs de travaux, des ingénieurs et des techniciens d’étude.Dans les Hauts-de-France, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 30 et 36 K€ par an.Provence-Alpes-Côte d’Azur : région dynamique et attractive, les villes de Marseille et d’Aix-en-Provence sont en tête des bassins d’emploi. Le BTP recrute majoritairement dans les secteurs de la voirie et des réseaux divers (VRD), les travaux publics, les entreprises générales de bâtiment, le secteur des lots techniques (notamment chauffage, ventilation et climatisation, maîtrise d’œuvre sur les profils ingénieurs/projeteurs spécialisés). Les dessinateurs-projeteurs, ingénieurs d’études, conducteurs de travaux, de BIM modeleur, d’ingénieurs méthodes, ou encore de techniciens BE sont des profils très recherchés.En PACA, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 30 et 36 K€ par an.« La crise du COVID avait provoqué un ralentissement du marché avec des retards sur les chantiers qui doivent maintenant être rattrapés. Le marché est donc extrêmement tendu actuellement, les entreprises ont du mal à trouver des candidats disponibles » explique Jérémy Randoing consultant senior chez Fed Construction. « Cependant, du fait de la crise en Ukraine et de ses conséquences sur les prix des matériaux et de l’énergie, on commence à voir apparaitre une certaine prudence chez les recruteurs. Elle pourrait se renforcer dans les prochains mois, en fonction du contexte économique et géopolitique, notamment avec des entreprises plus exigeantes dans le choix des candidats. » conclut-il.Pour télécharger l'étude complète, cliquez ici.[1] Les données ont été recueillies entre mars et mai 2022 par les consultants de Fed Construction dans les régions Île-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France et PACA.
Il y a 3 ans et 0 jours

Paris : cinq groupements retenus sur la Zac Chapelle Charbon

PROJETS URBAINS. La grande consultation lancée en mars dernier pour près de 5.000 mètres carrés sur une friche ferroviaire au nord de Paris a franchi sa première étape. Cinq groupements promoteur+architecte ont été retenus.
Il y a 3 ans et 0 jours

Une "checklist" pour rendre l’aménagement sobre

« S’engager dans de nouveaux modèles d’aménagement » : sous ce titre, la fédération nationale des schémas de cohérence territoriale (FN Scot) publie une étude à l’occasion de ses 16èmes rencontres nationales, réunies le 17 juin à Besançon. L’intitulé illustre le volontarisme des chevilles ouvrières de la planification territoriale, prêtes à relever le défi du zéro artificialisation nette.