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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 3 ans et 2 jours

Avec Ateliers Italie, la RATP transforme un site industriel en espace mixte

PROJETS. D'un atelier de maintenance vieillissant, inconfortable et non adapté au nouveau matériel roulant, assortis d'un espace tertiaire sous-utilisé dans le 13e arrondissement, la RATP a imaginé un site mixte comprenant des logements, des bureaux, et un atelier de maintenance dernier cri.
Il y a 3 ans et 2 jours

Iwona Buczkowska, architecte de l’oblique

Iwona Buczkowska est arrivée en France en 1973, et n’est jamais repartie en Pologne. Son atelier à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) est logé au rez-de-chaussée et au coin des rues qui accueille un ensemble de logements sociaux qu’elle a construit entre les années 80-86. La vitrine permet de voir les maquettes de son travail marquées par la […] L’article Iwona Buczkowska, architecte de l’oblique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 2 jours

Canicule : les citadins face à la surchauffe urbaine

Microclimat urbainA la campagne, la végétation utilise le soleil et l'eau du sol pour la photosynthèse, puis restitue à l'atmosphère l'eau puisée dans le sol. La nuit, cette "évapotranspiration" s'arrête.Mais en ville, les surfaces largement imperméables emmagasinent l'énergie solaire. Et pendant la nuit, ces bâtiments, routes en bitume et trottoirs relâchent dans l'air la chaleur accumulée.Résultat, il fait souvent plus chaud dans une ville qu'en périphérie, avec des écarts encore plus marqués pendant les canicules et la nuit, qui peuvent aller jusqu'à plusieurs degrés de plus que dans la campagne environnante.Ce mécanisme est connu sous le nom d'"îlots de chaleur urbains" (ICU), mais il devient "surchauffe urbaine" lorsqu'on y ajoute l'inconfort thermique des habitants, qui dépend aussi de paramètres plus individuels (âge, logement sous les toits mal isolés, métabolisme...).Avec des impacts sanitaires majeurs. "La situation des citadins soumis à ces conditions extrêmes peut conduire à des coups de chaleur et des déshydratations jusqu'à la mort des personnes les plus fragiles", souligne l'Ademe dans son guide "Rafraîchir les villes".Par exemple, lors de la canicule historique de 2003 qui avait fait plus de 15.000 morts en France, la surmortalité avait atteint 141% à Paris ou 80% à Lyon, contre 40% dans les villes petites et moyennes, selon Santé Publique France.Des facteurs identifiésLes facteurs favorisant ces "bulles de chaleur" urbaines sont connus: beaucoup de surfaces artificielles minérales et sombres qui absorbent la chaleur, pas assez de végétation, propriétés des matériaux de construction, présence insuffisante d'eau, activités humaines, orientation des bâtiments, forme des villes...Sans oublier le cercle vicieux de la climatisation qui en rafraîchissant ceux qui peuvent se l'offrir réchauffe l'air extérieur par ses rejets.Des solutionsLa question du rafraîchissement urbain est un domaine de recherche encore récent mais crucial alors que les îlots de chaleur urbains risquent d'amplifier les effets des canicules qui se multiplient et s'intensifient avec le réchauffement de la planète.Des solutions existent pour faire éclater ces bulles de chaleur, comme l'explique l'Ademe dans son guide qui présente 19 types de mesures "émergentes ou éprouvées" parmi lesquels les villes peuvent piocher en fonction de leurs spécificités.D'abord des solutions basées sur la nature, en bref la végétation et l'eau: développement de parcs qui forment de vrais îlots de fraîcheur, plantation d'arbres pour l'ombrage, toitures végétalisées pour le confort intérieur, façades végétalisées pour limiter l'inconfort des piétons, ou encore plans d'eau et rivières avec leurs berges végétalisées.Parmi les solutions "grises", l'Ademe met notamment en avant des formes urbaines "bioclimatiques" qui permettent une meilleure circulation de l'air, l'arrosage de l'espace urbain, des structures d'ombrage, des panneaux solaires pour remplacer les surfaces qui emmagasinent la chaleur ou encore des revêtements drainants, l'isolation des bâtiments.Dernière piste évoquée, les solutions "douces" liées à l'usage de la ville, comme la réduction du trafic routier et des moteurs thermiques qui produisent de la chaleur ou encore la limitation de la climatisation.Pas de miracleMais attention, "aucune solution ne peut résoudre seule la problématique de la surchauffe urbaine", prévient l'Ademe qui suggère une combinaison de plusieurs solutions."Il est alors important de prendre en considération le fait que certaines solutions ne sont pas compatibles, voire s'annulent entre elles, tandis que d'autres agiront en synergie".Il faut également dans le choix des solutions possibles se pencher sur l'effet recherché de chaque solution: rafraîchissement global de la ville ou à l'échelle du confort du piéton.Ainsi par exemple, les fontaines et jets d'eau ont un impact fort pour le confort thermique mais aucun à l'échelle de la ville.Au contraire, des revêtements réfléchissant la lumière (peinture blanche ou matériaux innovants) sur les sols, les murs ou les toits, réduisent l'îlot de chaleur urbain mais peuvent créer de l'inconfort pour les passants à cause du rayonnement.
Il y a 3 ans et 2 jours

Nouvelle génération de système de rails insert pour plus de flexibilité et de facilité de mise en œuvre !

En tant que leader mondial des systèmes de fixation, fischer s’attache à développer des solutions d’ancrage innovantes, aux performances élevées et assurant une grande sécurité aux ouvrages. Pour les applications très exigeantes dans le domaine de la construction d’immeubles, de bâtiments industriels, de centrales électriques, de métros et voies ferrées, de tunnels, d’ouvrages d’art… fischer a conçu une nouvelle génération de système de rails insert qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling). Disposant d’une ETE-18/0862 (Evaluation Technique Européenne) dans le béton fissuré, ce système de fixation complet et économique, composé de rails et de tiges d’ancrage prémontés en usine, offre une grande souplesse d’utilisation et un réel gain de temps de pose. Il évite d’endommager la structure existante et garantit des installations parfaitement sûres. Une utilisation variée Le nouveau système de rails insert fischer répond à de nombreuses applications que ce soient dans le domaine industriel, de la construction, des travaux publics… Il permet la fixation d’éléments de façade, d’ascenseurs, de réseaux de plomberie, d’électricité, de panneaux de signalisation, d’échafaudages suspendus, de murs anti- bruit, de barrières de sécurité, de sièges de stades, d’éléments de structures préfabriqués, de machines… Adapté au béton fissuré, le système de fixation a été conçu selon les méthodes de calcul de performances EN 1992-4/EOTA TR047 et il dispose de l’ETE-18/0862. Un système simple et sûr Le système de rails insert fischer se compose d’éléments prémontés : des rails en forme de C (1) matricés à froid ou laminés à chaud avec des tiges d’ancrage en forme de I ou cylindriques (2) soudées au rail. Les angles du rail sont renforcés ce qui confèrent aux éléments de construction une tenue particulièrement stable. Des trous sur le rail permettent sa mise en place sur le coffrage. Le rail est rempli par une mousse et dispose de capuchons à ses extrémités afin d’éviter que le béton frais n’obture le rail. La mousse se retire facilement lors du décoffrage grâce à une languette. Enfin, des boulons d’ancrage (3) se glissent dans le rail pour connecter divers éléments et permettre le transfert des charges. Ce système complet offre de multiples avantages : – Une flexibilité de pose : il s’adapte à tous les types de constructions. – Un supportage fiable et sûr : les tiges d’ancrage solidaires du rail sont ancrées en profondeur dans la structure en béton pour supporter les charges. – Une installation qui n’a pas d’impact sur la structure existante. – Un gain de temps : les éléments du système pré-assemblés en usine rendent plus rapide et facile le montage de la structure. – Une réduction des coûts d’installation grâce à un support technique, lors du prédimensionnement de la construction, combiné au BIM. Une excellente résistance à la corrosion Les rails galvanisés à chaud sont plongés dans une solution de zinc fondu, ce qui les rend parfaitement adaptés aux applications en extérieur. Quant aux rails formés à froid, un alliage zinc-aluminium est projeté en surface. Quel que soit le revêtement et le procédé, les rails insert fischer bénéficient d’une excellente résistance à la corrosion. Les rails insert existent en version crantée et non crantée et sont disponibles dans de nombreuses longueurs de 100 mm à 6070 mm.  
Il y a 3 ans et 2 jours

Au Mexique, un luxueux pavillon en bord de lac offre un panorama à 360°

Situé à la périphérie de Valle de Bravo, le Clubhouse a été conçu avec soin pour sublimer son environnement et sa vue à 360° sur le lac adjacent et les montagnes voisines.Le pavillon Clubhouse est le fruit d’une collaboration entre le studio d’architecture mexicain Sordo Madaleno Arquitectos et les promoteurs Grupo Terraforma. Situé à seulement deux heures de Mexico, le pavillon Valle San Nicolás est idéalement positionné pour offrir une véritable évasion dans la nature, qui met l’accent sur le bien-être et conserve une approche durable.Habillée de bois Kebony, cette structure durable offre une superbe expérience de bien-être, renforcée par une connexion intime avec la nature. Elle incarne une rencontre entre style architectural moderne et technologie de construction écologique de pointe.Ce projet de 385 hectares comprend un plan de sol circulaire, unique en son genre, qui guide le regard vers le spectaculaire paysage. La disposition ouverte permet au soleil de pénétrer dans la structure, de l’aube au crépuscule. Le site comporte un lac de ski nautique de 800 mètres, adjacent au pavillon Clubhouse, lequel constitue la pièce maîtresse du projet, tandis que la vue panoramique sur le lac s’encadre de collines. L’accent mis par Sordo Madaleno Arquitectos sur les pièces et les couloirs ouverts offre une vue à 360° sur la topographie environnante, y compris sur les forêts et les montagnes, depuis presque tous les endroits à l’intérieur du Clubhouse.Un passage central en contrebas divise le Clubhouse en deux ailes qui encadrent un plan d’eau interne. Chaque aile est équipée de nombreuses installations dédiées à la relaxation, à la socialisation et au bien-être. L’aile ouest donne accès à la salle de sport, au jacuzzi extérieur, aux cabines de spa et au hammam, tandis que l’aile est permet aux groupes de se détendre grâce à un bar, une cuisine, une salle à manger, un barbecue et un brasero. Un couloir de nage et un solarium situés sur une extension de la jetée offrent également une expérience de sérénité qui complète le paysage extérieur.Les terrasses des deux allées circulaires traversantes du Clubhouse sont revêtues de bois Kebony Character. Développée en Norvège, la technologie pionnière de traitement du bois de Kebony consiste à chauffer des bois résineux d'origine durable avec de l'alcool furfurylique, un produit d’origine agricole, modifiant ainsi le bois pour qu'il acquière les mêmes propriétés que les bois durs tropicaux, avec une empreinte carbone réduite. Le bois Kebony est économique et d’une couleur brune riche, rendant son choix évident pour ce pavillon ultramoderne qui respecte l'environnement et accorde une grande importance à la durabilité.Le Clubhouse de Valle San Nicolás témoigne d’une reconnaissance de la demande croissante pour des expériences bien-être luxueuses qui s’engagent en faveur de la construction durable et de la protection de sites naturels, tels que le panorama mexicain qui entoure ce lieu. D’autres touches viennent compléter la structure en bois lamellé-croisé (CLT), notamment de la pierre volcanique et un toit en chêne rouge d’Amérique.Pour Nina Landbø, Directrice internationale des ventes chez Kebony : « Le développement de Valle San Nicolás honore un engagement fort en faveur de la construction durable, sans compromis sur l’esthétique. L’installation en Kebony, avec ses tons naturels, promet une durabilité et une stabilité élevées, tout en nécessitant peu d’entretien, ce qui en fait le choix idéal pour une terrasse de pavillon au bord de l’eau. »
Il y a 3 ans et 2 jours

Eloge de Marc Barani à Claude Parent

Lors de sa séance d’installation à l’Académie des beaux-arts, Marc Barani a prononcé un éloge vibrant à Claude Parent, son prédécesseur au fauteuil n°5. L’éloge est un exercice littéraire désormais peu usité mais à l’honneur sous la Coupole. Tutoiement de rigueur, éloge in extenso de Marc à Claude. Chers amis, Je pensais en venant à […] L’article Eloge de Marc Barani à Claude Parent est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 2 jours

Outils sans-fil Bosch Professional : La performance qui s’adapte à chaque utilisateur

Outils sans-fils 12 V et 18 V Bosch : La puissance quels que soient les travaux, même les plus exigeants Bosch compte parmi les leaders mondiaux en outillage électroportatif. Entreprise innovante, elle ne se contente pas d’utiliser des techniques existantes, elle les perfectionne sans cesse au profit de l’utilisateur professionnel afin de les accompagner dans leurs activités, quel que soit leur corps de métier, et devance ainsi les besoins du marché. Depuis plus de 20 ans, la division Bosch Professional s’est attachée à développer des outils sans-fil de haute qualité, toujours plus performants et puissants, pour que les artisans travaillent plus efficacement au quotidien, en toute sécurité et en toute simplicité. Innover pour proposer des outils qui accroissent leur productivité, tout en offrant un confort d’utilisation et de meilleures conditions sur le chantier est le leitmotiv de Bosch. L’un des facteurs clés de la croissance de Bosch est la confiance que les professionnels accordent à la marque. Les outils sans-fil sont fiables, puissants et résistants; ils offrent une grande autonomie et répondent aux attentes des chantiers et des artisans. La qualité des machines repose sur le savoir-faire Bosch, une analyse précise des besoins des utilisateurs et de leur travail au quotidien, et sur un échange permanent avec eux. Gammes 12 V et 18 V : Des systèmes pour chaque application Quand Bosch Professional innove, ce n’est pas au détriment de la compatibilité des équipements. Avec ses systèmes Professional 12 V et 18 V, Bosch dispose d’une offre complète, capable de satisfaire tous les corps de métier et de répondre à tous les besoins. – Le Professional 12 V System : un concentré de performance et de liberté. Il offre toutes les performances nécessaires dans un format compact. Les outils sont légers et pratiques, parfaits pour les professionnels à la recherche de polyvalence sans devoir sacrifier la puissance. Les batteries de grande capacité sont utilisables sur de nombreux outils électroportatifs et instruments de mesure. Depuis 2005, les batteries 12 V sont compatibles avec les nouveaux produits et ceux existants de la même catégorie de voltage. – Le Professional 18 V System  : une puissance extrême. Il apporte des performances inédites même en conditions extrêmes. Depuis 2008, le système est compatible avec les nouveaux produits et ceux existants de la même catégorie de voltage. De plus, il regroupe une gamme complète d’outils d’une puissance équivalente à celle d’outils filaires allant jusqu’à 2 000 W et tout cela avec une seule batterie 18 V. ProCORE18V : La technologie de batterie innovante qui facilite le travail des artisans Les batteries ProCORE18V Bosch sont à ce jour les batteries les plus performantes grâce à une toute nouvelle technologie de cellules et une gestion thermique optimisée. Disponibles en 4.0, 5.5, 8.0 et 12.0 Ah, elles offrent aux professionnels la possibilité de choisir la batterie qui répond le mieux aux besoins de chaque application. La combinaison d’une nouvelle génération de cellules, d’une capacité plus élevée et d’une conception de la batterie fondée sur la technologie CoolPack 2.0 améliorée garantissent un courant de sortie supérieur dans un format très compact. Les batteries affichent une durée de vie plus longue que les modèles classiques et permettent de réaliser des travaux tout en puissance de manière prolongée.  Compact ProCORE18V 4,0 Ah Une batterie idéale pour tous les perçages et les vissages où le poids est important : travail en série ou en hauteur. Elle offre des performances équivalentes à celles d’une batterie 4,0 Ah standard, tout en étant plus légère et plus compacte (de 39 % dans certains cas) que les batteries comparables de sa catégorie. Performance ProCORE18V 5,5 et 8,0 Ah Idéales pour les travaux plus gourmands en puissance, elles offrent une puissance comparable à celle d’outils filaires de 1 800 W et une autonomie plus élevée. Elles s’adaptent parfaitement aux nouveaux outils BITURBO. Endurance ProCORE18V 12,0 Ah Elle convient pour les applications extrêmes et exigeantes. La structure composée de trois couches de cellules permet de travailler très longtemps avec une puissance maximale. Une seule et même batterie pour tous les appareils Par ailleurs, Bosch a ouvert en 2020 sa plateforme de batteries 18 V à d’autres marques professionnelles, révolutionnant une fois de plus le segment sans-fil pour les utilisateurs professionnels. Pour encore plus de liberté et de simplicité, les batteries Professional 18V System sont compatibles avec des outils d’autres marques spécialisées, permettant aux professionnels de n’avoir qu’une seule batterie sur leur chantier : la batterie universelle est devenue une réalité ! Gamme BITURBO : La puissance du filaire… sans-fil L’innovation dans le sans-fil chez Bosch se poursuit également du côté des outils avec la gamme BITURBO Brushless. Bosch a en effet ouvert une nouvelle dimension et bousculé les standards en termes de puissance et de légèreté en lançant sur le marché cette nouvelle génération d’outils sans-fil. Meuleuses d’angles, scies, perceuses-visseuses, boulonneuses et perforateurs ont été optimisés pour offrir les meilleures performances avec les batteries ProCORE18V, que tous les outils sans-fil Bosch qui les ont précédés. Les machines BITURBO Brushless permettent aux professionnels de disposer d’une puissance équivalente à celle d’un outil filaire de 1 000 à 2 000 W et sont, avec une seule batterie, aussi performantes que les modèles du marché fonctionnant avec deux batteries. L’adéquation parfaite de leur moteur haute performance sans charbon de conception spéciale et de la batterie ProCORE18V fait que la technologie BITURBO utilise au mieux le plein potentiel des batteries ProCORE18V de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Les outils sont endurants et répondent aux applications intensives et aux travaux difficiles qui requièrent beaucoup de puissance, tout en restant compatibles avec le Professional 18V System. Les professionnels qui n’ont pas encore de batterie ProCORE18V peuvent continuer à utiliser les batteries Lithium-Ion déjà en leur possession : le Professional 18 V System Bosch garantit la pleine compatibilité depuis 2008 avec les tous nouveaux chargeurs et batteries comme avec les anciens. Extrêmement compacts, légers et ergonomiques, les outils BITURBO Bosch se caractérisent aussi par leur maniabilité. En outre, équipés de plusieurs technologies intelligentes et de fonctions de sécurité qui rendent les travaux plus sûrs, rapides et efficaces, ils procurent un sentiment de contrôle absolu.
Il y a 3 ans et 2 jours

L’activité du bâtiment tient encore

Olivier Salleron, Président de la Fédération Française du Bâtiment, vient de tenir une conférence de presse durant laquelle, il a présenté les chiffres de la construction et de la rénovation, ainsi que la prévision d’une forte hausse des prix pour compenser celle des matériaux. Les mises en chantier de logements neufs se stabilisent sur quatre mois à fin avril 2022, la hausse de l’individuel (+8,3 %) compensant la chute du collectif (-6,1 %). Quant aux autorisations, sur la même période, elles s’envolent de 21,8 %, sous l’effet du traitement des dépôts massifs de permis en décembre 2021, par anticipation de la RE2020. Ce choc positif est arrivé à son terme dans l’individuel (chute de 8,1 % en avril 2022 par rapport à avril 2021), alors qu’il se poursuit encore dans le collectif (+32,0 %) en raison de délais d’instruction plus longs. Dans le non résidentiel neuf, les surfaces commencées se redressent nettement de 26,0 % sur quatre mois à fin avril 2022, grâce aux bâtiments industriels et assimilés (+67,8 %), ainsi qu’aux bâtiments administratifs (+25,1 %) et commerces (+19,0 %). Les surfaces autorisées progressent, quant à elles de 12,4 % sur la même période, portées par les commerces (+52,1 %), mais également par les bureaux (+17,3 %) et les bâtiments industriels et assimilés (+11,8 %). Elles se maintiennent pour autant encore bien en-deçà de leur niveau d’avant-crise (-11,8 %). Pour l’activité en amélioration-entretien, les résultats provisoires de l’enquête des Cerc sur le premier trimestre 2022 montrent une légère accélération, à +1,4 % par rapport au premier trimestre 2021. Toutefois, la rénovation énergétique semble marquer le pas, à +1,1 %, en revanche, ce segment ressort bien au-dessus de son niveau d’avant-crise (T1 2019), à +2,2 %. La croissance de l’emploi ralentit, avec 25 600 postes supplémentaires entre les premiers trimestres 2021 et 2022, dont 23 300 salariés. À l’horizon de l’été 2022, on relève quelques inquiétudes côté entreprises. Les perspectives d’activité se tassent en neuf comme en rénovation, malgré des carnets de commandes toujours bien garnis. Les chefs d’entreprise de plus de dix salariés interrogés par l’Insee en mai 2022 prévoient très majoritairement, et beaucoup plus que par le passé, une poursuite de la hausse de prix bâtiment. Ces hausses s’avèrent indispensables pour compenser les nouvelles augmentations, parfois vertigineuses, de coûts des matériaux, suite au déclenchement du conflit entre l’Ukraine et la Russie, comme le montrent les évolutions, entre décembre 2021 et avril 2022, des prix de production des aciers pour le bâtiment (+27,5 %), des demi-produits en aluminium (+23,9 %), des produits PVC (+13,9 %), ainsi que des demi-produits en cuivre ou alliage (+10,7 %). Il faut encore ajouter à cette liste les tuiles (+20,0 %), les produits céramiques (+13,1 %), plastiques (+9,6 %) et verriers (+8,3 %). Graphique : Ventes de maisons individuelles en secteur diffus – Source : CGI Bâtiment/Caron Marketing, Markemétron  
Il y a 3 ans et 2 jours

A Reims, cinq maisons en béton impression 3D, une première en France

"C'est simple et beau. Parfois la simplicité n'est pas facile à obtenir": devant un mur d'apparence texturée, composé de fins boudins de béton empilés horizontalement les uns sur les autres, Rochdi Zardi, 60 ans, locataire qui emménagera le 1er juillet avec sa famille, affiche un large sourire."Ça fait un an que je cherchais un logement social de plain-pied", explique cet ancien enseignant et ancien gestionnaire de supermarché, qui ne travaille plus pour pouvoir s'occuper de sa femme lourdement handicapée.Le loyer pour sa future maison comportant trois chambres et un jardin, bâtie dans l'éco-quartier Rema'Vert sur un ancien site ferroviaire, s'élève à 920 euros par mois, au lieu de 700 pour son actuel appartement en étage."Ici, ce sera un peu plus cher comme loyer, mais quand on compare ce qu'on a, c'est très correct. Quand on voit les prix dans le privé! En plus, une maison comme ça, neuve!", s'exclame-t-il.De fait, les murs montés par l'aller-retour d'une tête d'imprimante chargée de béton liquide qui se solidifie en cours de formation, permettent la créativité. Notamment d'imaginer des murs courbes à la carte, un luxe pour un logement social.Ici, l'impression 3D n'a pas été utilisée partout, seulement pour 35 murs des cinq maisons reliées entre elles (cuisines, salles de bain, toilettes utilisant des murs classiques).Un mur entier 3D, réalisé par la startup XtreeE, basée à Rungis dans le Val-de-Marne, fait une vingtaine de centimètres d'épaisseur. Il est composé de deux parois de quelques centimètres, reliées entre elles par des raidisseurs (sortes de zigzag de béton) qui assurent la cohésion du tout. L'espace au centre est vide, et peut être utilisé pour accueillir un isolant, soit en laine de roche, soit en matériaux biosourcés comme le chanvre."Cela permet un chantier sec, en atelier, pas de béton coulé sous les intempéries, pour construire plus vite avec moins d'aléas et sans porter de parpaings, car les murs sont transportés en camion et portés à la grue", souligne Romain Duballet, directeur de XtreeE Studio.La technique permettrait surtout d'utiliser 50% de béton de moins qu'une construction traditionnelle avec un mur de béton armé coulé entre deux éléments de coffrage verticaux appelés banches, font valoir ses promoteurs."Liberté des formes"Un à trois murs ont été imprimés par jour. "Ce que la 3D permet surtout, c'est d'aller plus vite, de réduire la pénibilité de la construction", dit Florent Haas, directeur de l'agence Champagne du constructeur Demathieu Bard Construction qui a coordonné le chantier.La méthode permet aussi de réduire le gâchis. "En moyenne de l'ordre de 30% de matières sont gâchées sur un chantier classique", estime Emmanuel Coste, l'architecte du projet, pour qui son principal avantage est "la liberté des formes".L'initiative de la technique revient au bailleur social Plurial Novilia, installé en Champagne-Ardenne et en Ile-de-France, qui s'est battu pour obtenir une certification du procédé 3D par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTV).Cette homologation garantit "l'assurabilité" aux cinq maisons en leur assurant la précieuse "garantie décennale" engageant la responsabilité des constructeurs, architecte compris, pendant dix ans contre des malfaçons, norme de construction française qui figure parmi les plus strictes du monde.Pour la 3D, "nous avons développé un béton de haute performance pour résister aux pressions, mais moins dosé en ciment pour réduire les émissions de gaz à effet de serre", explique Olivier Martinage, responsable de l'impresssion 3D béton du groupe cimentier Vicat qui a participé à l'aventure. Son prochain défi, utiliser aussi des granulats recyclés dans l'imprimante, pour réduire encore l'impact sur le climat, le processus de fabrication du ciment étant très émetteur de dioxyde de carbone.Mais pour l'architecte Emmanuel Coste, le principal défi à relever sera certainement d'arriver "à imprimer des murs avec autre chose que du béton"."Le béton c'est la solution qu'on a sous la main pour l'instant, mais il émet encore énormément de gaz à effet de serre, il est clair qu'il faudra en sortir".
Il y a 3 ans et 2 jours

Ille-et-Vilaine : modernisation de la piscine communautaire de Vallons de Haute-Bretagne communauté à Guichen

La piscine communautaire de Vallons de Haute-Bretagne communauté à Guichen (Ille-et-Vilaine) disposera d’une infrastructure plus moderne et plus accessible d’ici à l’horizon 2024.
Il y a 3 ans et 2 jours

Six nouveaux adhérents pour France Matériaux

France Matériaux, groupement de négoces en matériaux indépendants, renforce son maillage territorial avec l’arrivée de six nouveaux adhérents. En parallèle, trois distributeurs du réseau ouvrent de nouveaux points de vente. France MATÉRIAUX accueille six nouveaux adhérents : • COSTAZ Matériaux, société familiale basée à Nangy, en Haute-Savoie, qui dispose de deux points de vente d’une surface totale de 7.000 m2 et qui a réalisé en 2021 un chiffre d’affaires de 2,3 millions d’euros. • ECO-LOGIC, spécialiste en matériaux naturels et écologiques depuis 2013. Dirigé par M. Lanet, l’entreprise de Montauban (Tarn-et-Garonne) bénéficie d’une surface de vente de 4.000 m2 et a réalisé un chiffre d’affaires de 1,5 millions d’euros en 2021. • GLC MATÉRIAUX, fournisseur de matériaux de construction et de décoration à Forcalquier dans les Alpes de Haute Provence. Dirigé par M. Scoppa, ce point de vente de 7.000 m2 a réalisé, en 2021, un chiffre d’affaires de 1,8 millions d’euros. • GROUPE DCA, dont la direction est assurée par M. Alexandre Cotut, est implanté depuis 4 ans à Noisy-Le-Grand (Seine Saint-Denis). Avec une surface de vente de 700 m2, le groupe DCA a réalisé un chiffre d’affaires de 1,9 millions d’euros en 2021. • ITS MATERIAUX, dont un établissement de 700 m2 spécialisé dans les matériaux d’isolation est situé à Le Thillay dans le Val d’Oise, et qui va ouvrir un nouveau point de vente courant Juin. Dirigée par M. Adet, l’entreprise a réalisé en 2021 un chiffre d’affaires de 2,2 millions d’euros. • QUINCAILLERIE SAINT-JEAN, basée en Guadeloupe et gérée par la famille POMMEZ, qui compte deux magasins. Parallèlement à l’arrivée de ces nouveaux adhérents, trois distributeurs du réseau – ENDUIT 34, ADITEC NORMANDIE et POMMIER dans le Jura – étendent leur zone de chalandise avec l’ouverture d’un nouveau magasin. Ayant des ambitions fortes de développement, FRANCE MATÉRIAUX a confié l’animation de son réseau à M. Eric MORILLON depuis Août 2021. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 3 ans et 2 jours

Du ‘South Side’ de Chicago au jardin royal : herbe verte, spiritualité noire

Le ‘Serpentine Pavilion’ à Londres attire chaque année une attention mondiale. Pour cette édition 2022, l’artiste Theaster Gates apporte son activisme, son savoir-faire et sa spiritualité, tous enracinés à Chicago. Chronique d’Outre-Manche. La première fois, en 2015, que j’ai rencontré l’artiste américain Theaster Gates Jr, c’était dans le ‘South Side’ de Chicago. La population – […] L’article Du ‘South Side’ de Chicago au jardin royal : herbe verte, spiritualité noire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 2 jours

Nouvelle édition du SITEM !

Le SITEM, Salon International des musées, des lieux de culture et de tourisme, se tiendra au Carrousel du Louvre de Paris les 28, 29 et 30 juin prochains. Pendant 3 jours, les conférences et ateliers du SITEM rassemblent des acteurs internationaux et les thèmes abordés sortent des sentiers battus. Quant aux Ateliers, il forment un ensemble d’études de cas  sans équivalents. Ces matériaux intellectuels, à l’originalité sans cesse renouvelée, sont devenus un des points d’attraction du SITEM. > Pour découvrir le programme complet des conférences et des ateliers > Toutes les infos pratiques sur le site du SITEM.
Il y a 3 ans et 2 jours

Cacher ce sein… Les usines loin des yeux, loin du cœur !

Dans notre pays centralisé, nous avons perdu l’habitude de voir les centres de production. Les hydrocarbures viennent du diable Vauvert, les centrales nucléaires sont pour la plupart loin des agglomérations. Ne pas voir pour ne pas savoir ? La visibilité est une vertu ! La visibilité est une vertu quand il s’agit de fixer des objectifs, de […] L’article Cacher ce sein… Les usines loin des yeux, loin du cœur ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 2 jours

Le Groupe Kardham va concevoir le nouvel immeuble tertiaire bioclimatique de l'IRSN

Installé sur le site du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) de Cadarache à Saint-Paul-lez-Durance en Provence-Alpes Côte d’Azur, ce bâtiment se distingue par son architecture bioclimatique et HQE, de manière à s’intégrer dans un environnement respecté et offrir un cadre de travail de grande qualité.Destiné à regrouper les équipes de l’IRSN dans un objectif de performance et de modernisation de son parc immobilier, le futur édifice constitué de deux ailes, aura une superficie d’environ 5.400 m² (SDP), répartis sur 4 niveaux dont 1 semi-enterré.Un bâti qui dialogue avec le paysageLes équipes de Kardham ont tout d’abord porté une attention particulière à adapter le projet à la topographie, au climat et à la géographie du site hôte, le CEA de Cadarache, plus grand centre de recherche et développement en Europe sur les énergies bas carbone.La construction s’intègre ainsi dans une pinède constituée de pins maritimes de 8 à 12 mètres de hauteur conservée au maximum et qui servira d’écrin végétalisé au site de l’IRSN. Les altimétries des voiries et les parkings seront par ailleurs adaptés à la pinède pour conserver les sujets existants.Pour respecter la topographie du site, Kardham a par ailleurs opté pour des différences de niveaux pour créer un parvis surélevé, une terrasse en balcon, ou encore des gradins dans un talus formant un amphithéâtre naturel. En limitant autant que possible la hauteur du bâti en R+2, la volumétrie d’ensemble s’intègre dans ce site boisé exceptionnel et est à l’échelle des autres constructions du site.Les formes ont par ailleurs été dessinées et les couleurs choisies pour se fondre dans le paysage : le socle, en bardage couleur rouille, vient chercher la vibration et le langage du sol, en dialoguant avec ce paysage méditerranéen constitué d’aiguille de pins, de rocaille, tandis que les parties supérieures de l’immeuble viennent quant à elles discuter avec les pins et la Canopé des arbres. Les lignes verticales reprennent les inclinaisons des troncs et viennent se joindre aux ombres portées et lignages multiples. Les brise-soleils évoquent quant à eux le feuillage dans les arbres afin de renforcer la vibration des boites.Une construction durable et frugaleL’immeuble a été éco-conçu pour répondre à des attentes fortes en matière d’allègement de son empreinte carbone.Du point de vue du choix des matériaux tout d’abord, il témoigne d’une biodiversité constructive marquante : la structure, les façades et les dalles du bâtiment sont en béton armé. Les châssis vitrés sont en aluminium et se fondent dans les larges ouvertures vitrées dans l’ombre des brise-soleil. L’ensemble des matériaux de construction et d’aménagement utilisés, le bois, le verre, la végétation, etc. sont des matériaux naturels et organiques.L’édifice se veut aussi bien pensé dans son orientation et dans son utilisation du soleil et des vents, pour avoir besoin le moins possible d’équipements pour l’entretenir, le chauffer ou le rafraîchir. Ainsi, dans un souci d’économies de fonctionnement et de moyens de mise en œuvre de protections solaires, l’orientation Nord / Sud a été privilégiée.Enfin, la construction vise la certification HQE « Bâtiment Durable » niveau excellent, label E3 C1 ainsi qu’un engagement de maîtrise de la consommation d’énergie, conformément aux exigences du plan France Relance.Un édifice propice aux échanges et aux synergies La composition architecturale de l’immeuble repose sur l’organisation des fonctions qu’il abrite :Un socle regroupant les services liés aux espaces de livraison.Une ouverture horizontale traversante sur les espaces extérieurs du RDC, créant un entre-deux accueillant les services partagés et l’accueil.Les volumes suspendus flottant dans la pinède accueillant les bureaux des services de recherche. L’immeuble a par ailleurs été conçu pour proposer des centralités fortes, véritables pôles d’échanges et de convivialité :Au centre du bâtiment, à l’intersection de ses 2 ailes, un escalier décloisonné en forme de faille verticale traversante ouverte sur l’extérieur, crée du lien entre les différents services.Des polarités d’étage autour d’espaces communs : au droit de cette faille verticale sont regroupés à chaque niveau les différentes fonctions communes d’étage : espace café, archives ouvertes, espace réunion modulables, espaces de travail partagés, sanitaires. Espace privilégié du bâtiment, cette faille profite aussi d’une ouverture traversante sur la pinède des deux côtés de l’édifice.Des extérieurs conviviaux en connexion avec les services partagés du RDC : à leur Nord, un parvis d’entrée offre un large espace d’échanges ombragé, tandis qu’à leur Sud une grande terrasse offre un espace extérieur commun accessible depuis l’entrée. Enfin, à chaque pignon les escaliers sont prolongés de terrasses permettant d’ouvrir des espaces partagés sur l’extérieur.Cette centralité conviviale regroupant les bureaux de l’IRSN existe également dans sa forte connexion avec les différents bâtiments sur le site. Le hall d’entrée permet de les desservir facilement. Par ailleurs, les voies de circulations relient de manière optimale les espaces de stationnement extérieurs aux bâtiments existants. Des cheminements piétons confortables complètent le maillage du site.Des espaces de travail modulables co-conçus avec les collaborateursLes espaces de travail allient travail de réflexion et de confidentialité et travail collaboratif. Ces lieux communs, de réunion, d’échange et de convivialité, de postes de travail ouvert ou isolés dans des cocons ou derrière des claustras intimisant l’espace, sont par ailleurs flexibles et notamment équipés de cloisons pour suivre l’évolution des besoins des services. Pour une plus grande modularité, ces espaces bénéficient en outre d’un éclairage naturel direct et de grandes surfaces au centre du bâtiment.En matière de design d’espaces, Kardham accompagnera les collaborateurs de l’IRSN au travers de nombreux ateliers et entretiens pour leur permettre de se projeter dans la programmation fonctionnelle et exprimer leurs attentes et besoins en matière d’aménagement des espaces de travail et des espaces collaboratifs de proximité. Grâce à ces modules de co-conception ils pourront envisager les différents scénarios pour le positionnement des espaces communs, des typologies d’espace et de postes de travail. L’occasion aussi de passer de la dimension individuelle à celle de l’équipe, et de découvrir l’espace de travail dans son ensemble. Au final, le projet a été conçu de manière à répondre à de forts enjeux en matière de développement durable et s’inscrit dans une logique intelligente et bienveillante de respect de l’environnement et d’une plus grande qualité de vie au travail.
Il y a 3 ans et 2 jours

In the Banlieues au Pavillon de l’Arsenal

Quelle que soit la manière de les nommer, banlieues, périphéries, franges urbaines… ‘In the Banlieues’ met en lumière au Pavillon de l’Arsenal (Paris) le retournement symbolique du centre à la périphérie. Les banlieues imposent aujourd’hui leur influence et inventent des solutions. Jusqu’au 28 août. Croisant les approches urbaines, artistiques et sociales, la manifestation ‘In the […] L’article In the Banlieues au Pavillon de l’Arsenal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 2 jours

ITE360, la première application dédiée à l’ITE qui gère les devis, les chantiers et les plannings des équipes

Conçue pour faciliter le quotidien des entreprises spécialisées dans l’Isolation Thermique par l’Extérieur, ITE360 permet de réaliser directement via l’application toutes les étapes commerciales, techniques, administratives de suivi de chantier.Très facile d’utilisation, l’application ITE360 propose une navigation par étape :La première partie est consacrée au devis avec automatisation des métrés des façades, ainsi que des éléments singuliers propres à chaque chantier, pour réaliser un devis complet dès le premier rendez-vous. Toutes les configurations sont proposées pour établir un devis personnalisé (prise en compte de fenêtres et balcons, détail de la mise en oeuvre, type de revêtement…). Le professionnel peut ainsi configurer son chantier dans les moindres détails, et même ajouter des photos pour un meilleur suivi.Pour s’adapter à chaque entreprise, ITE360 propose une bibliothèque de produits de plus de 700 références, comprenant les différents systèmes d’isolation existants (PSE, laine de roche, fibre de bois, liège…) et tout le matériel nécessaire à la mise en oeuvre du chantier : de l’échafaudage à l’enduit de façade, en passant par les cornières, les joints ou les systèmes de déports. Une fois ces éléments enregistrés, le calcul des temps de pose nécessaires au chantier se fait automatiquement pour définir le coût horaire. L’application prend en compte également les aides et les subventions légales à déduire lorsque la configuration du chantier le permet. Gain de temps pour l’artisan, l’application comprend une grille de tarifs (matériel et main d’oeuvre), qu’il est possible de modifier selon ses propres barèmes.Dès que le devis est accepté, la partie chantiers prend le relais avec un suivi quotidien de l’avancement du projet, des équipes dédiées et du temps imparti.Directement depuis l’application, l’utilisateur répartit ses équipes sur les différents chantiers en cours en précisant le temps passé. Il voit ainsi en direct l’avancée des projets et les éventuels ajustements à faire selon le devis initial qui est enregistré comme repère de temps pour la réalisation. Une fois l’affectation des équipes enregistrée, chaque collaborateur reçoit directement un mail avec les détails de sa mission. Outre le suivi de chantier, l’application permet ainsi de gérer ses équipes en sachant précisément le temps de travail par personne et par chantier et en prenant en compte les absences et les congés le cas échéant. ITE360 devient ainsi un outil de gestion RH précis et mis à jour au quotidien !Enfin, lorsque le chantier est finalisé, la facture est générée en 1 clic à partir du devis initial et des ajustements réalisés en cours de travaux. Les taux de TVA sont également enregistrés par produit et une attestation de TVA est automatiquement générée.Pensée comme un outil global, ITE360 enregistre tous les chantiers et leur historique pour une gestion sur le long terme.ITE360 est un outil professionnel proposé en abonnement, adapté selon ses besoins (Pro, Premium, Gold) : www.ite360.fr
Il y a 3 ans et 2 jours

Découvrez les lauréats du concours Brick Award 2022

EN IMAGES. Des projets internationaux d'une grande qualité architecturale et composés de briques ont été choisis par le jury du concours Brick Award. Cinq agences ont été récompensées, dont une française.
Il y a 3 ans et 2 jours

Idéobain 2022 : lieu de toutes les réponses aux besoins des professionnels de la salle de bains

Une édition prometteuseOrganisé à Paris Expo Porte de Versailles (Hall 2) de, du 3 au 6 octobre prochain, IDÉOBAIN est le lieu de convergence physique de tous les acteurs du secteur. L’édition 2022, qui s’annonce comme prometteuse pour le business, l’innovation et la convivialité, enregistre une participation forte des acteurs et leaders du marché avec 95 exposants, dont 66% d’exposants internationaux, prêts accueillir les visiteurs et leur présenter leurs innovations et nouvelles solutions. Parmi les exposants, on compte 39 nouveaux arrivants et 56 retours. 74% de la surface d’exposition est ainsi déjà vendue.Le carrefour des métiers de la salle de bainsRendez-vous de référence des professionnels du secteur de la salle de bains, IDÉOBAIN est le lieu où tous les acteurs peuvent trouver les produits répondant aux attentes des clients finaux des secteurs du logement, du tertiaire, des établissements recevant du public etc.Au-delà de l’offre de solutions proposée par les exposants, les différents profils de visiteurs du salon (installateurs, bainistes, vendeurs de salles d’exposition, architectes, décorateurs et maîtres d’ouvrage...) bénéficieront des temps forts et actions inédites imaginés par IDÉOBAIN pour leur permettre de trouver les réponses aux défis actuels et futurs du secteur de la salle de bains.1. Un lieu unique d’inspirationL’Espace Créateurs est un espace de rencontres des industriels, mis en place en 2019, qui a vocation à influencer les tendances de la décoration grâce à l’innovation ou à des collaborations artistiques remarquées. Il est construit autour de marques exclusives et de spécialistes de projets haut de gamme. À date, la majorité des exposants de 2019 se sont déjà réinscris comme Aquaelite, Bongio, Herbeau, Idea Group, ou encore Winckelmans. À leurs côtés, de nombreuses nouvelles marques font leur apparition comme Alpi, Burgbad, Burlington, Ceresa Spa Keuco et Laufen.2. Un programme de conférences richePrès de 15 conférences sont d’ores et déjà programmées avec un tiers d’expertises techniques, un tiers de formation et un tiers destiné à l’architecture et à l’aménagement extérieur. Le programme précis sera disponible sur le site IDÉOBAIN à partir de la fin du mois de mai.3. Des démonstrations produitsPrès de 50 stands présenteront des démonstrations de produits sur des espaces dédiés. Un parcours thématisé et en autonomie permettra de découvrir toutes ces démonstrations. Pour promouvoir en amont du salon ce nouveau dispositif, des influenceurs seront amenés à réaliser tous les mois une vidéo sur une des démonstrations prévues. Ces vidéos seront relayées sur les réseaux sociaux à partir du mois de juin.4. Valoriser les savoir-faire et les compétencesL’AFISB animera un espace Métiers, Formation & Compétences.Après plusieurs années de gestation, la Salle de Bains Académie sera lancée sur le prochain salon Idéobain (3 au 6 octobre 2022), avec des compétences qui s’articuleront autour de 4 grands piliers : la plomberie, le carrelage, l’électricité et la maçonnerie. Son ambition : faire connaître toutes les formations initiales et continues pour améliorer les compétences des professionnels du secteur.Toute la semaine, dans le cadre de l’Académie de la Salle de Bains, des speed-dating permettent à des formateurs, des installateurs et des concepteurs-vendeurs de se rencontrer. En outre, l’AFISB fera un focus sur les Salles de Bains Remarquables, qui récompensent les innovations du secteur. Le palmarès de la 6ème édition sera dévoilé le 9 mai, à l’occasion des Etats Généraux de la Salle de Bains. Les 12 projets récompensés seront présentés lors du prochain salon.IDÉOBAIN se mobilise pour faire venirPlus que jamais, IDÉOBAIN met tout en œuvre pour permettre à l’ensemble des professionnels de participer à cet événement majeur pour la filière. Le salon propose aux distributeurs et négociants de mettre à leur disposition des bus pour accompagner leurs clients sur le salon. Plus de 3.200 professionnels seront ainsi transportés vers Paris depuis différentes villes : Tours, Blois, Bourges, Vierzon, Orléans, Le Mans, Chartres, Le Havre, Evreux, Dreux, Rouen, Beauvais, Auxerre, Montargis, Troyes, Sens, Reims, Epernay, Lille, Lens, Amiens, Compiègne, Caen...
Il y a 3 ans et 2 jours

Iveco renforce son offre de formations

Iveco Academy propose des modules sur l’offre produits et services de la marque. [©Iveco] Iveco renforce son offre de formations et crée l’Iveco Academy. Cette nouvelle entité regroupe des formateurs et les concepteurs de formation de la marque. Cela, afin de développer les futurs programmes d’apprentissage en phase avec leur technologie. « Cette nouvelle organisation nous permet de créer des synergies, de gagner en productivité et en réactivité, précise Natacha Rostomov, directrice d’Iveco Academy France. Ceci, en vue de préparer l’arrivée de notre offre électrique et hydrogène avec une approche globale vente et après-vente. » Iveco engagé dans la formation Ainsi, les formations proposeront des modules internationaux sur l’offre produits et services. Elles seront complétées par des modules propres au marché français pour intégrer les spécificités réglementaires nationales. De plus, l’Iveco Academy consolide les partenariats de l’industriel avec les CFA techniques pour soutenir les jeunes. Lire aussi : Bruno Solo dans la peau d’un chauffeur poids lourds d’Iveco Dans ce cadre, une formation “Sales-Export” a donc été mise en place. Elle renforce les techniques commerciales sans négliger la formation aux produits et services du groupe. Tout au long des 6 semaines d’apprentissage, l’Academy accompagnera les étudiants pour faciliter leur entrée dans son réseau. D’ailleurs, le développement de l’électro-mobilité de la marque démarrera dès le mois de septembre prochain. Il sera marqué par l’arrivée du véhicule Daily électrique.
Il y a 3 ans et 2 jours

Würth France fait son grand retour au salon Eurobois

Eurobois sera l’occasion pour Würth de présenter des nouveautés produits, les systèmes et solutions développées pour faciliter le quotidien des professionnels sans oublier de nombreuses démonstrations de leurs experts !Retrouvez Würth France sur leur stand N° 6G28Créez votre badge pour Eurobois : cliquez ici
Il y a 3 ans et 3 jours

Jeux d'acteurs ou de ballons ? Un pavillon temporaire par DREAM, à Rome

La 40e édition de l'Équerre d'argent est lancée ! Proposez vos réalisations sur la plateforme dédiée avant le 9 septembre 2022. Le prix organisé par les rédactions du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 3 jours

Musée départemental Albert-Kahn par Kengo Kuma

En mars 2022, le musée départemental Albert-Kahn a ouvert ses portes à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) après l’intervention de l’architecte japonais Kengo Kuma pour le Conseil général du 92. Une nouvelle étape incontournable vers la connaissance et le sens, l’émotion et l’expérience sensible chers au philanthrope ? Communiqué. Dans l’écrin offert par l’ambitieux projet architectural signé du Japonais […] L’article Musée départemental Albert-Kahn par Kengo Kuma est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 3 jours

Climat et logement : des militants bloquent un grand axe routier parisien

L'action du groupe "Dernière rénovation", dont une militante avait perturbé la semaine dernière une demi-finale du tournoi de tennis de Roland Garros en s'attachant au filet, a duré au total une heure et complètement bloqué la circulation dans le sens de la sortie de Paris pendant une trentaine de minutes, créant de fortes retenues.Une douzaine de militants étaient assis sur la chaussée, alors que d'autres distribuaient des tracts ou allaient à la rencontre des automobilistes coincés, dont certains ont tenté de déloger les bloqueurs.Arrivée rapidement sur les lieux, la police a interpellé les manifestants et rouvert une voie du pont à la circulation, mais trois d'entre eux s'étaient collé une main au bitume avec de la super glue, nécessitant l'intervention de pompiers qui les ont décollés avec du dissolvant, avant qu'ils ne soient à leur tour menottés et interpellés."On ne peut plus rester les bras ballants, on n'a que quelques années face à l'urgence climatique, par rapport aux millions de victimes que peut faire cette crise, une garde à vue ce n'est pas grand-chose", a expliqué un des manifestants collés, qui s'est présenté comme Ronan, 22 ans, étudiant en école d'ingénieur."Dernière rénovation" réclame le vote immédiat d'une loi visant à la "rénovation globale et performante du parc immobilier français d'ici 2040", sans coût pour les propriétaires les plus modestes.Les manifestants ont reçu le soutien du photographe et cinéaste Yann Arthus-Bertrand, très engagé pour la planète, venu sur place filmer l'action pour un prochain film. "Je trouve ces jeunes gens très courageux. Ce n'est pas ma façon de faire, mais on a besoin de ça, ces gens ils se battent pour la Terre", a-t-il estimé.
Il y a 3 ans et 3 jours

Le plafonnement des loyers mieux respecté en région parisienne, selon une étude

Sur les 1.560 annonces en ligne épluchées d'août 2021 à février 2022 par CLCV (Consommation, logement et cadre de vie) à Paris et dans l'intercommunalité Plaine Commune, au nord de la capitale, 66% respectaient le plafonnement, contre 60% en 2020.Cette mesure consiste à fixer un prix maximum au mètre carré pour les biens immobiliers en fonction de plusieurs variables (quartier, date de construction, logement meublé ou non...).Il est possible d'y déroger si le logement dispose de caractéristiques particulières.Appliqué à Paris depuis 2015, avec une interruption contrainte par la justice en 2018-2019, le système s'est depuis étendu à d'autres villes : Lille, Lyon, Villeurbanne, et les intercommunalités de Seine-Saint-Denis Plaine Commune (autour de Saint-Denis) et Est Ensemble (entre Montreuil et Bobigny).Vont s'y ajouter Montpellier à partir du 1er juillet et Bordeaux d'ici à la fin de l'année.Selon l'étude de CLCV, le montant du dépassement moyen pour les annonces hors-la-loi est de 118,98 euros par mois.Les logements gérés via une agence respectent bien davantage l'encadrement que ceux loués directement par le bailleur (79% contre 55%), note l'association.Fait inédit, les locations meublées respectent davantage l'encadrement que les non meublées à Paris, alors qu'elles étaient moins dans les clous auparavant et le sont toujours à Plaine Commune.CLCV y voit un effet de la pandémie et de la désertion des touristes. "Il ne fait aucun doute que la crise sanitaire (du Covid) a eu ici un impact important. Devant l'impossibilité de procéder à des locations saisonnières, les propriétaires de logements meublés sont revenus à des baux classiques, entraînant une mise sur le marché de nombreux logements, entraînant de fait une baisse des prix", estime l'association.Elle réclame une application plus large de la mesure, dans l'ensemble de l'agglomération parisienne, et des amendes plus fréquentes et plus dissuasives pour les contrevenants.
Il y a 3 ans et 3 jours

Découverte d'un important sanctuaire gallo-romain près de Rennes

Sur commande de l'État, des fouilles ont démarré en mars à La Chapelle-des-Fougeretz (Ille-et-Vilaine) sur 7 hectares de terres agricoles classées urbanisables "de longue date", selon la mairie. Elles s'achèveront en octobre avant la réalisation d'un programme immobilier d'environ 700 logements.Le site, repéré dès 1984 par survol aérien, avait fait l'objet d'un premier diagnostic de l'Inrap en 2018 pour définir une zone de fouilles et en estimer le coût, évalué à environ 1 million d'euros."Ce sanctuaire public important se compose d'une galerie de 60 mètres sur 30, qui forme un cloître, au centre duquel se trouvent deux temples classiques de l'époque romaine du 1er siècle avant JC jusqu'au 5e siècle après JC", a détaillé Bastien Simier, responsable scientifique de l'opération à l'Inrap."Ces fouilles ont la particularité de couvrir une surface environ deux fois plus importante que la moyenne, ce qui permet de mieux connaître l'environnement du sanctuaire", a-t-il ajouté.Outre les deux temples, des habitats ont été mis au jour ainsi que des thermes de 120 m2, une "surprise" pour les archéologues.Parmi les objets retrouvés, une statuette en bronze représentant Mars, dieu de la guerre, une coupe en bronze avec un aigle et une représentation de la foudre sur ses anses, ainsi que des fibules, des urnes funéraires datant de -500 avant JC et 150 pièces de monnaie, objets de dévotion."Ce qui nous intéresse sur une fouille comme celle-ci,c'est de comprendre l'origine de nos campagnes, de collecter des informations sur le mode de vie, l'organisation sociale dans les campagnes, les trames des voies, du parcellaire pour restituer l'organisation du nord du bassin rennais à l'époque romaine", a expliqué Bastien Simier.Le site sera ouvert au public les 18 et 19 juin de 11H00 à 18H00 à l'occasion des Journées européennes de l'archéologie.La Bretagne est la première région de France en nombre de fouilles archéologiques préventives réalisées chaque année par l'Inrap.L'Institut, qui fête ses 20 ans et emploie 2.200 agents, assure la détection et l'étude du patrimoine archéologique en amont des travaux d'aménagement du territoire. Il réalise chaque année quelque 1.800 diagnostics archéologiques et plus de 200 fouilles.
Il y a 3 ans et 3 jours

Distribution : Sfic repense son parcours client

EXPÉRIENCE CLIENT. Sfic, enseigne de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, spécialisée dans les plafonds, produits plâtre, cloisons de bureaux, isolation, va profiter de la rénovation de ses agences pour améliorer le parcours client. Premier point de vente à se lancer : Sfic Ivry Mazy.
Il y a 3 ans et 3 jours

L'industrie, menace ou solution pour la planète ? Une expo pour réfléchir

À la Cité des Sciences et de l'Industrie, où l'exposition "Évolutions industrielles" ouvre ses portes mardi, une bande son électro composée de bruits d'usines syncopés accueille le visiteur. Écrans numériques et installations artistiques l'accompagnent.Une gravure représentant la "révolte du poivre" en 1400, tirée d'un livre de Marco Polo succède à une photo de trieurs de déchets dans un centre de recyclage d'ordures ménagères du 21 siècle.Autour des thèmes "paysages transformés", "standardisation", "figures de travailleurs" ou "réseaux", des projections font découvrir l'histoire et l'actualité d'un monde devenu hyper-industrialisé bien qu'émaillé de poches de désindustrialisation.Pour Astrid Fontaine, commissaire de l'exposition, la priorité était "de proposer une réflexion sur ce qu'est le processus d'industrialisation dans la vie des hommes"."Nous avons voulu traiter de manière frontale la question de l'ambivalence de l'industrie, qui à la fois permet de vivre mieux et plus longtemps, et en même temps nous menace", résume-t-elle pour l'AFP.Les partenaires de l'opération, chercheurs de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et industriels de la métallurgie (UIMM), ont d'abord dû se mettre d'accord sur une définition. Celle de l'historien Philippe Braunstein a prévalu : L'industrie est "une production quantitativement importante, régulière, de qualité constante, qui dépasse le marché local".HybridationDans un appartement témoin reconstitué, au décor familier, un film est projeté sur un mur de verre high tech fourni par l'entreprise Saint-Gobain, ode au progrès et à la technologie.Il donne à réfléchir sur l'origine de chaque objet manufacturé du quotidien, sur la complexité des chaînes de valeur liées aux activités extractives ou aux transports internationaux : pour fabriquer un simple opercule de pot de yaourt, il a fallu d'abord trouver de la bauxite, puis la transformer en aluminium."L'idée était de montrer le déplacement des lieux de production" par rapport au consommateur final, dit Mme Fontaine.Sept petites salles "capsules" focalisent sur des objets-icônes issus de matières transformées, qui à leur tour nous transforment: la boite de conserve, le T-shirt en coton, la machine à laver, la pilule contraceptive, le drone, le smartphone et l'énergie au sens large.La fabrication de la boîte de conserve en acier recyclable à l'infini engendre des pollutions, mais elle a joué un rôle dans l'allongement de la vie humaine. La machine à laver a libéré la femme mais l'obsolescence programmée a suivi.Plus loin, Elon Musk, le patron du constructeur automobile Tesla, s'entretient avec le critique de la société industrielle Ivan Illitch, dans un joyeux débat en ligne, modéré par René Descartes et Francis Bacon. Tous deux ont fort à faire pour départager l'inventeur de Apple, Steve Jobs, vantant "la qualité" face au père du taylorisme, Frederick Taylor.Après les deux anciens symboles que sont la mine et l'usine, le parcours se termine sur un final grandiose et futuriste autour du nouvel emblème de l'industrie, la plateforme numérique.Câbles sous-marins, satellites et centres de données : les trois infrastructures lourdes, et bien physiques, du continent numérique qui nous entoure, y sont "révélées" alors qu'elles sont d'ordinaire "invisibles" et "cachées à la vue", souligne Mme Fontaine.Du coup, l'exposition dévoile aussi l'hybridation en cours "entre le monde réel et virtuel", et "entre l'industrie lourde et les services".Le tailleur et le casque-micro d'une téléconseillère voisinent avec la combinaison et le casque d'un ouvrier-marin qui pose des câbles de télécommunication au fond de l'océan.(Du 14 juin 2022 au 5 mars 2023 - Cité des sciences et de l'industrie )
Il y a 3 ans et 3 jours

Suresnes accueille un colloque international sur les cités-jardins

Quelle place pour les cités-jardins dans les villes du XXIè siècle ? Ce concept qui a marqué l’évolution du logement populaire durant l’entre-deux-guerres à l’échelle locale, nationale, européenne et mondiale, peut-il proposer un modèle pour l’habitat futur ?  La question sera au centre du Colloque international « Des cités-jardins pour le 21è siècle » qu’accueille Suresnes les 23 et 24 juin 2022. Organisé par l’Association régionale des Cités-jardins d’Île-de-France, à l’occasion de son 10è anniversaire, ce colloque réunira 60 intervenants (chercheurs, habitants, collectivités, architectes) représentant 11 pays et plus de 20 cités-jardins. L’occasion de mettre en perspective les différentes dimensions d’un patrimoine commun : les cités-jardins d’Île-de-France, les premières cités-jardins anglaises (Letchworth et Hampstead), deux cités-jardins classées patrimoine mondial de l’Unesco (la cité Frugès de Le Corbusier et la cité du fer à cheval à Berlin) et d’autres cités plus confidentielles mais possédant un intérêt patrimonial, culturel, social ou touristique. En France, Henri Sellier, Maire de Suresnes de 1919 à 1941 et Président de l’Office public d’Habitations à bon marché de la Seine, fut à l’origine de l’implantation des quinze cités-jardins créées autour de Paris, dont neuf subsistent aujourd’hui. Avec ses 3100 logements, ses équipements publics variés, celle de Suresnes fut le véritable laboratoire d’un urbanisme social à échelle humaine. Les cités-jardins sont confrontées aujourd’hui, pour beaucoup d’entre elles, à la pression foncière et au renouvellement urbain. Réhabilitée de 1983 à 1996, la cité-jardins de Suresnes a été, avec celle de Stains, une des premières à bénéficier d’une protection. Les efforts pour la préserver ont été salués par l’attribution du label Patrimoine d’intérêt régional en 2018 et vont se poursuivre puisque la ville de Suresnes et Hauts-de-Seine Habitat vont lancer une réhabilitation décennale de la cité-jardins.
Il y a 3 ans et 3 jours

Inauguration d'un nouveau parc solaire géant à Gien dans le Loiret, mais la France encore loin du compte

L'an dernier a vu un niveau record de construction de sites solaires dans l'Hexagone.A Gien, le parc de 75 ha d'une capacité de 55 mégawatts (MW) peut alimenter environ 40.000 personnes en électricité. Avec lui, le groupe pétro-gazier TotalEnergies, qui veut se diversifier, atteint désormais un total de 1 gigawatt (GW) de capacité solaire ou éolienne en France. Il vise 4 GW en 2025."Ca n'est qu'un début et TotalEnergies a bien l'intention d'être un acteur majeur de cette transformation" énergétique, a déclaré Stéphane Michel, directeur Gaz, renouvelables et électricité pour le groupe, en inaugurant les lieux vendredi sous un soleil de circonstance.Mais la France n'est à ce jour pas le pays le plus accueillant pour les renouvelables. A 13 GW de capacité, elle devrait rater son objectif pour 2023 (20 GW), et ce alors que le président Emmanuel Macron veut désormais pousser à 100 GW en 2050.Pour Stéphane Michel, en France, "le grand sujet c'est l'accès au foncier". Pour trouver des zones d'implantation, le groupe a signé une convention avec la fédération agricole FNSEA, et mène des projets pilotes dans l'agrivoltaïsme permettant de mêler productions agricole et d'énergie."Être informés"A Gien, c'est le propriétaire du terrain qui est venu voir l'énergéticien.Michel Beaumont ne savait que faire de cet espace agricole, selon lui peu fertile, dans lequel il avait investi pour tenter d'implanter un parc animalier.Le photovoltaïque, "c'est le plus beau projet qu'on pouvait faire, car on en a besoin," dit cet entrepreneur de travaux publics, qui a signé un bail de location de 20 ans, pour un montant non précisé.Le projet n'a pas fait l'objet de recours. Mais le processus a duré huit ans, entre instruction, études environnementales, fouilles archéologiques qui ont in fine réduit la surface, aménagement de mares et de haies...Pour impliquer les riverains, une part du projet (38 millions d'euros d'investissement au total), a aussi fait l'objet d'un financement participatif de 2,2 millions d'euros, souscrit par 200 habitants.Le maire (DVD) de Gien, Francis Cammal, se félicite d'un projet alliant "nature et technologie": "la triste actualité (en Ukraine) rend plus cruciale une nécessité évidente. Il faut accroître la part des énergies renouvelables et réussir ensemble la transition énergétique du pays".Il salue aussi les retombées fiscales -- plusieurs dizaines de milliers d'euros, dit-il à l'AFP -- et le "souci de concertation". "Il faut être informés, car nous nous interrogeons, par exemple, sur la durabilité des panneaux."En France, TotalEnergies affiche une certaine modestie dans ses ambitions solaires ou éoliennes."A Gien, on a trouvé un équilibre entre coût et acceptabilité. On n'est pas forcement convaincu que de plus grandes centrales puissent faire sens, si un projet doit prendre 15 ans et n'est pas garanti d'aboutir. Il n'y a pas de course à la taille pour la taille".La situation est différente aux Etats-Unis, en Inde, au Chili, en Espagne, ou au Qatar où "on met en production 800 MW au milieu du désert, et ce n'est pas un problème".Selon lui, la multinationale consacre aujourd'hui 25% de ses investissements annuels aux renouvelables et à l'électricité, en croissance organique ou en acquérant des entreprises.Le groupe commence aussi à internaliser certaines fonctions, de recherche-développement, calcul et modélisation, etc., dit encore le responsable du groupe.TotalEnergies réalise à ce jour environ 5% de ses ventes dans les renouvelables et l'électricité (y compris d'origine gazière), le reste provenant de ses activités traditionnelles.
Il y a 3 ans et 3 jours

Eqiom lance Ressourceo, une marque en faveur de l’économie circulaire

Eqiom lance Ressourceo, pour contribuer à préserver les ressources naturelles. [©Eqiom] Eqiom lance Ressourceo, une nouvelle offre de produits et de services conçue dans un modèle d’optimisation des ressources. L’industriel renforce ainsi son engagement en faveur de l’économie circulaire, en contribuant à préserver les ressources naturelles. Et à proposer des matériaux alternatifs au service de l’éco-construction. L’offre Ressourceo s’adresse à l’ensemble des acteurs de la construction, des travaux publics, de la déconstruction, ainsi qu’aux collectivités, aux architectes, aux maîtres d’ouvrage… Elle vise à préserver les ressources naturelles, en valorisant les déchets et leur réemploi. Ceci, autour 5 priorités : l’accueil et la valorisation de déblais inertes dans le cadre du réaménagement des carrières en activité. Cela permet de créer de nouveaux espaces post-industriels : boisements, remise en terres agricoles, zones humides ;la production de granulats recyclés destinés aux applications routières et béton ;l’incorporation de gravillons recyclés dans la production de bétons prêts à l’emploi et de préfabrication ;la valorisation de terres polluées ;la valorisation des déchets non inertes (hors terres polluées).
Il y a 3 ans et 3 jours

Amélie de Montchalin défend la "cohérence" de son ministère

La nouvelle ministre de la Transition écologique a défendu vendredi 3 juin l'architecture gouvernementale concernant la lutte contre le changement climatique, sans exclure l'ajout de nouveaux portefeuilles.
Il y a 3 ans et 3 jours

La justice rejette le recours d'opposants pour le projet de gratte-ciel à Toulouse

Le tribunal administratif a rejeté un recours introduit par des opposants à la construction de la Tour Occitanie, un immeuble de 150 mètres de haut dans le centre de Toulouse.
Il y a 3 ans et 3 jours

Rénovation, défi climatique : les perspectives du Conseil des architectes d'Europe en 2022

PROFESSION. Dans une récente note, le Conseil des architectes d'Europe fait le bilan de l'année 2021 et dessine ses perspectives pour 2022. De nombreux défis attendent le secteur, en pleine mutation.
Il y a 3 ans et 3 jours

Mission photographique sur l'architecture contemporaine, premiers fruits

Le mercredi 15 juin 2022, à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris, seront présentés les premiers résultats de la mission photographique initiée par le ministère de la Culture, sur l'architecture contemporaine remarquable. Les photographes Cyrus Cornut, Clément Guillaume, Sandrine Marc et Myr Muratet, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 3 jours

Ernest Pignon-Ernest à Landerneau

Le fonds Hélène & Edouard Leclerc pour la Culture à Landerneau (Finistère) invite à entrer dans l’œuvre d’Ernest Pignon-Ernest, en révélant l’ensemble de son processus de création. Jusqu’au 15 janvier 2023. Ernest Pignon-Ernest intervient depuis plus de cinquante ans dans l’espace public. L’exposition présentée au fonds Hélène & Edouard Leclerc pour la culture rassemblant plus […] L’article Ernest Pignon-Ernest à Landerneau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 3 jours

Lidl ouvre la première plateforme logistique d’Europe ayant recours à l’hydrogène vert, grâce à ses partenaires Lhyfe et Plug Power

Lidl marque une nouvelle étape dans sa démarche de développement durableDepuis plus de 10 ans, Lidl investit pour moderniser ses infrastructures et accroître leurs performances environnementales. En 2021, l’enseigne choisit l’hydrogène vert pour assurer l’approvisionnement de ses engins de manutention et de levage sur la plateforme de Carquefou.Située au Nord de Nantes, Carquefou devient la première plate-forme logistique d’Europe à opter pour l’hydrogène vert pour faire fonctionner ses engins de manutention. Depuis le mois de janvier 2022 ce sont 98 engins de manutention (80% de la flotte logistique) qui sont alimentés par de l’hydrogène vert. Lidl s’approvisionne en hydrogène vert auprès de Lhyfe, pionnier dans la production d’hydrogène issu de sources d’énergies renouvelables et locales, puisque l’usine de Lhyfe est située à quelques dizaines de kilomètres de Carquefou. Produit à partir d’eau de mer et d’électricité renouvelable, la disponibilité de cet hydrogène vert était la condition pour réaliser ce projet, évitant ainsi le recours à une énergie fossile ou électrique pour alimenter les chariots. Lidl dispose ainsi d’une solution énergétique locale qui combine les avantages écologiques et la performance logistique.L'hydrogène pour optimiser la logistiqueLe plein pour un engin à hydrogène ne dure que de 2 à 3 minutes contre plusieurs heures pour la recharge d’une batterie plomb-acide. Une haute disponibilité des engins à hydrogène (97% du temps contre environ 50% avec la technologie plomb-acide) qui offre la possibilité à la plateforme d’optimiser le stationnement des engins en local de charge.3 bornes de recharge d’hydrogène suffisent à alimenter l’ensemble des engins de manutention du site. Il n’y a donc plus besoin d’espace dédié pour la recharge.La performance et l’autonomie des engins de manutention est constante tout au long de la vie de la pile hydrogène. La productivité des opérations logistiques n’est pas corrélée au vieillissement de la pile comme cela pouvait être le cas avec une batterie plomb-acide.Un hydrogène vert pour l'environnementL’hydrogène vert permet de décarboner significativement l’activité : il est produit à partir d’énergies renouvelables et ne rejette ni CO2, ni particules, que ce soit au moment de sa fabrication ou de son utilisation.La durée de vie des piles à combustible (10 ans) est supérieure à celle des engins à batteries plomb-acide (3 à 5 ans) ce qui induit une réduction de la fréquence de renouvellement des piles par rapport à une utilisation de batterie.Un projet ambitieux mené grâce à l'accompagnement de partenaires experts Pour accompagner Lidl dans la réalisation de ce projet, les entreprises Lhyfe, Plug Power, HRS et Jungheinrich ont étroitement collaboré afin d’adapter une solution sur mesure aux besoins de la plateforme de Carquefou (montage du dossier ICPE, design et implantation des équipements intérieurs et extérieurs, adaptation des engins aux piles à hydrogène, prévisions de la consommation en hydrogène).Plug Power est un pionnier de la pile à hydrogène pour le fonctionnement d’engins de manutention. Concrètement, Plug Power fournit, en collaboration avec HRS et Jungheinrich, les équipements nécessaires à la mise en place de la solution hydrogène. Plug Power réalisera également la maintenance de l’ensemble des équipements sur le site. Lhyfe est un pionnier mondial et pure player de l’hydrogène vert. En tant que producteur d’hydrogène vert, Lhyfe livre un hydrogène renouvelable et local produit à 75 km de la plateforme de Lidl. Pour cela, Lhyfe utilise du vent et de l’eau : un champ éolien voisin fournit l’électricité, tandis que l’eau de mer est pompée en très petites quantités, puis désalinisée et purifiée. L’électrolyseur sépare alors les éléments qui constituent l’eau (l’hydrogène et l’oxygène) pour produire l’hydrogène vert. Lhyfe sera garant de l’approvisionnement nécessaire au fonctionnement des engins de manutention, ce qui représente 75 kg/jour d’hydrogène vert au plus fort de l’activité de la plateforme. Ce volume d’achat important - 300 kg/jour à fin 2021 à 1 tonne/jour d'ici 2023 sont produits dans l’usine - permet à Lidl de contribuer au développement la première entreprise française productrice d’hydrogène vert. 2022 n'est que le point de départ de l'hydrogène vert chez Lidl En parallèle, Lidl étudie déjà la possibilité de développer l’hydrogène vert en tant que solution pour optimiser sa logistique et réduire ses émissions de gaz à effet de serre. A moyen terme, Lidl envisage de déployer des engins à l’hydrogène vert sur d’autres plateformes logistiques ou encore de l’utiliser pour alimenter une partie de sa flotte de camions de livraison.Pour Gregory Podda, Responsable logistique, Lidl France : « Lidl est fière d’ouvrir à Carquefou la première plateforme logistique d’Europe fonctionnant à l’hydrogène vert grâce à ses partenaires Plug Power, qui a adapté les engins de manutentions, et Lhyfe dont l’usine de production d’hydrogène vert se trouve à 75km de notre site. Avec 98 engins de manutention opérationnel et un camion de livraison à venir en 2022, Lidl croit en l’avenir de l’hydrogène vert pour optimiser sa logistique et baisser ses émissions de CO2 conformément à ses engagements. »Pour Julien Saleix, Responsable des ventes régionales, Plug Power : « La technologie hydrogène pour chariots de manutention est mature, déployée sur 165 sites et 50 000 engins à travers le monde, choisie pour les gains de productivité qu’elle procure. Pour la première fois en Europe, l’hydrogène utilisé ici est un hydrogène vert, renouvelable : Lidl fait émerger un modèle énergétique plus durable. Ce site de Carquefou associe enjeux économiques et objectifs environnementaux ambitieux. »Pour Matthieu Guesné, Président Fondateur, Lhyfe : « Nous sommes ravis de ce partenariat qui illustre parfaitement l’intérêt multiple – à la fois engagé et pragmatique – des entreprises à passer à l’hydrogène renouvelable. Après le secteur de la mobilité, les acteurs publics, Lidl ouvre la voie de l’hydrogène renouvelable au monde de la logistique, du transport et des acteurs privés. C’est un tournant très prometteur pour la transition énergétique. »
Il y a 3 ans et 3 jours

La restructuration joyeuse, un lycée par l'Atelier Philéas à Bobigny

Le mercredi 15 juin 2022, à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris, seront présentés les premiers résultats de la mission photographique initiée par le ministère de la Culture, sur l'architecture contemporaine remarquable. Les photographes Cyrus Cornut, Clément Guillaume, Sandrine Marc et Myr Muratet, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 3 jours

Le musée de Shunchang (Chine), signé UAD, entre l’eau et la montagne

L’agence UAD (Architectural Design & Research Institute of Zhejiang University) a livré en mars 2021 le nouveau musée du comté de Shunchang County, à Nanping, dans la province du Fujian en Chine. Les 10 138 m² de l’ouvrage sont organisés autour d’un arbre remarquable. Communiqué. Le musée Shunchang est situé dans un cadre unique, un site […] L’article Le musée de Shunchang (Chine), signé UAD, entre l’eau et la montagne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 3 jours

Mondial du bâtiment : Le programme des conférences révélé

Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations durant 4 j… [©Mondial du bâtiment] Pour son retour à la Porte de Versailles en octobre prochain, le Mondial du bâtiment voit les choses en grand avec un programme inédit de conférences. De nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : “Préserver le climat et l’environnement”, “Bien vivre dans la ville en 2050”, “Transformer les méthodes”, “Valoriser les métiers”. Un programme ambitieux qui va représenter 14 scènes ouvertes sur les 3 salons : Batimat, Idéobain et Interclima. Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations durant 4 j… « Ces conférences permettront à tous les professionnels et aux acteurs des transitions d’avoir une vue d’ensemble des grands défis du secteur grâce aux analyses et aux décryptages de grands témoins venant de tous horizons », indique l’organisateur. De nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition. Un “Davos” du bâtiment « Les hommes et les femmes du bâtiment sont à la tête d’un formidable défi. Ils auront la responsabilité de permettre à la France de réussir ses transitions et notamment la décarbonation de l’acte de construire, souligne Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Face à cette urgence et cette responsabilité immense, nous avons souhaité donner une dimension inédite au programme de conférences, en associant tous les acteurs du bâtiment. Mais aussi des personnalités diverses et inspirantes venant d’autres univers. C’est en quelque sorte un “Davos” du bâtiment que nous préparons. Le programme des interventions de cette édition du Mondial du bâtiment sera exceptionnel par son ampleur, la qualité et la diversité des intervenants, le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur en les mettant en perspective dans un contexte plus large : économique, politique, environnemental, sociétal et solidaire… ». Quatre grands thèmes Le programme des conférences est porté par 4 grands thèmes. En voici un aperçu non exhaustif : • Préserver l’environnement : l’urgence de la lutte contre le réchauffement de la planète nous est rappelée chaque jour. Les alertes des experts et la multiplication des épisodes climatiques extrêmes nous obligent à prendre nos responsabilités. Toute la chaîne de valeur du bâtiment doit se transformer pour freiner son impact sur l’environnement et préserver le vivant. Le lundi 3 octobre  11 h 00 – 12 h 30 : Est-il vraiment urgent d’industrialiser la construction ?14 h 00 – 15 h 30 : Réhabiliter plutôt que de construire. Quels leviers pour atteindre la neutralité carbone ?16 h 00 – 16 h 45 : Les territoires, acteurs de la décarbonation. Le mardi 4 octobre  9 h 00 – 10 h 30 : Economie circulaire, par et pour les acteurs du bâtiment11 h 00 – 12 h 30 : Economiser les ressources et valoriser les matériaux16 h 00 – 19 h 00 : Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone Le mercredi 5 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Nouvelles filières des matériaux bio- et géosourcés11 h 00 – 12 h 30 : Accélérer l’efficacité et la sobriété énergétique des bâtiments Le jeudi 6 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : La formation et les compétences au centre de la transformation du secteur • Bien vivre dans la ville en 2050 : en 2050, près de 70 % de la population mondiale vivra en ville. A quoi ressembleront les villes et nos modes de vie à cet horizon ? Penser la ville de 2050, c’est répondre aux nombreux défis auxquels les urbains sont déjà soumis. Le mercredi 5 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Panorama européen des architectes engagés dans la décarbonation11 h 00 – 12 h 30 : Le futur en cours de construction14 h 00 – 15 h 30 : Repenser notre habitat pour mieux vivre ensemble16 h 00 – 17 h 30 : Retour sur l’opération Low Carbon Construction Tour. Décarbonation du secteur de la construction Le jeudi 6 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Architecture durable, réhabiliter plus que construire16 h 00 – 16 h 45 : Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2030 • Valoriser les métiers : à l’ère digitale, tous les métiers de la construction et du bâtiment sont en profonde mutation. Les nouveaux outils de collaboration, la data et l’intelligence artificielle font émerger de nouvelles compétences, voire de nouveaux métiers. Le lundi 3 octobre  10 h 00 – 10 h 45 : RE 2020 et études ACV. Enjeux et défis pour engager le bâtiment et les acteurs de la construction dans la démarche bas carbone11 h 00 – 11h 45 : Renouveau urbain pour la requalification architectu-rale des cœurs de ville Le mardi 4 octobre  9 h 30 – 10 h 15 : Quel coût de construction en RE 2020 ?11 h 30– 12 h 15 : Les spécificités de la RE 2020 en logements collectifs14 h 00 – 14 h 45 : Anticiper le changement d’usage d’un bâtiment dans le temps16 h 00 – 16 h 45 : La construction bas carbone : points cruciaux et recommandations Le mercredi 5 octobre  11 h 00 – 12 h 15 : Décarbonation des matériaux de construction • Transformer les méthodes : assurer la transition écologique du secteur, réussir sa digitalisation, garantir son modèle économique et améliorer sa productivité : la filière du bâtiment est sous pression. Moderniser nos méthodes s’impose. Organisation du travail, outils de production, gestion des équipes, commercialisation et relation clients : tous les chantiers sont ouverts. Ces interventions seront portées et organisées par l’Ecole des ponts Paris Tech. Le lundi 3 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech autour de l’architecture décarbonée et solidaire Les mardi et mercredi 4 et 5 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech, de Marjolaine Meynier-Millefert, présidente Alliance HQE – GBC France, et de Romain Duballet, co-fondateur d’XtreeE, autour de la politique environnementale Le jeudi 6 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech et de Guy Sidos, Pdg de Vicat, autour de l’industrie de la construction. En savoir plus ici 
Il y a 3 ans et 3 jours

POINT.P ÉTOFFE son expertise carrelage à ALBI (81) avec l’acquisition d’un point de vente sup caro

POINT.P, négoce généraliste et multi spécialiste et enseigne principale de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, vient de finaliser l’acquisition du point de vente SUP CARO d’Albi. Située plus précisément sur la commune de Puygouzon, cette agence compte 5 collaborateurs. Elle est spécialisée en carrelage, aménagement extérieur, parquet et sanitaire.  « Cette acquisition renforce nos positions sur […]
Il y a 3 ans et 3 jours

Ardian entre au capital du courtier en assurances Odealim

Cet investissement à parts égales entre les deux principaux actionnaires "permettra à l'entreprise de passer à la prochaine phase de son développement en créant un leader intégré sur le segment de l'immobilier", précise Ardian dans un communiqué.Odealim, ex-AssurCopro, réalise plus de 160 millions d'euros de chiffre d'affaires, toujours selon son nouvel actionnaire.Le montant investi n'a pas été communiqué mais il se situe dans "la fourchette basse" de la politique d'investissement de l'équipe Ardian Buyout, aux tickets compris entre 180 millions et 700 millions d'euros.TA Associates est actionnaire d'Odealim depuis 2018 et le rachat des parts d'Eurazeo PME. L'équipe de management et le fonds français Raise sont également présents au capital.Ardian possède par ailleurs une part minoritaire dans Diot-Siaci, un géant du courtage né de la fusion en fin d'année dernière de Siaci Saint Honoré et Diot.La société de gestion française se présente comme l'un des leaders mondiaux de l'investissement privé avec 130 milliards de dollars gérés ou conseillés en Europe, en Amérique et en Asie.
Il y a 3 ans et 4 jours

Les différentes étapes essentielles pour réussir votre ravalement de façade

Pour mener à bien vos travaux de ravalement, vous devez effectivement prendre soin de respecter la succession des différentes tâches indiquées avant d’obtenir une belle façade. Dans cette optique, le mieux est de faire appel à un façadier expérimenté pour avoir l’assurance que votre projet soit couronné de succès. En effet, cette pratique nécessite la maîtrise des compétences spécifiques pour déterminer les traitements adaptés en vue de rafraîchir votre façade et lui rendre son bel aspect esthétique. De plus, ce type d’intervention requiert la mobilisation d’outils dédiés et la mise en place de dispositif sécuritaire, étant donné qu’il s’effectue en hauteur. Assimiler les principes de base pour obtenir un résultat exceptionnel Dans la pratique, un ravalement de façade est le meilleur moyen de redonner à votre devanture une belle esthétique en rénovant vos murs. Cependant, cette pratique doit être exécutée en tenant compte du plan local d’urbanisme (PLU) en vigueur dans votre commune, afin de préserver le style architectural régional. De plus, une intervention menée efficacement vous permet également de garantir par la même occasion sa pérennité en assurant la protection de votre construction contre les sources de dégradation. A savoir : Les intempéries, La pollution du climat et de l’air… Autrement, il est important de souligner qu’il s’agit d’une obligation légale et que vous êtes tenu de solliciter l’expertise d’un ravaleur confirmé pour sa prise en charge. En effet, un ravalement de façade exige la maîtrise des compétences spécifiques, afin de pallier le défaut d’étanchéité de votre revêtement et d’assurer l’isolation de votre devanture. Prendre connaissance des 4 phases indispensables Avant de commencer votre chantier, le diagnostic constitue la première étape que le ravaleur de façade réalisera, afin de détecter précisément l’étendue des interventions nécessaires. Il s’agit notamment d’un point majeur, car il vous donne la possibilité d’évaluer en conséquence le coût global des travaux à engager. Par la suite, votre prestataire procèdera à la préparation de votre chantier après avoir estimé les grandes lignes de votre plan, à l’instar de : type de revêtement adapté à votre besoin (peinture ou crépi), devis de l’opération, durée du projet… Dans cette optique, il installera des échafaudages pour la sécurisation du chantier et pour la protection du sol en étendant des bâches sur la surface. Pour passer à la prochaine étape, avant d’appliquer votre nouveau revêtement, le professionnel entreprendra au préalable le nettoyage de votre façade. Pour ce faire, il s’organise pour décontaminer la peinture défraîchie et utiliser la technique de décapage thermique ou chimique, afin de parfaire son intervention. Il fera notamment les réparations qui s’imposent et pour finit il engagera la dernière étape qui consiste à poser l’habillage sélectionné au préalable : enduit, carrelage, Pour résumer, les travaux de ravalement ne permettent pas uniquement de redonner plus de fraîcheur à votre devanture et d’améliorer son aspect esthétique. En effet, cette intervention spécifique vous offre notamment l’opportunité d’optimiser la protection de votre édifice contre les risques de détérioration majeures. Dans cette optique, vous devez faire appel à un façadier expérimenté comme sur ce site : https://www.facadier-peintre-30.fr/facadier-ravalement-facade-nimes-30000 afin de réussir à mener à bien votre chantier.
Il y a 3 ans et 4 jours

A Dubaï, conçu par Shaun Killa, le Musée du Futur ?

Inauguré au printemps 2022, le Musée du Futur de Dubaï (Emirats arabes unis), conçu par l’agence dubaïote Shaun Killa Design, se veut un nouveau centre mondial pour la pensée, les technologies et l’innovation du futur et un centre d’inspiration, d’innovation et de solutions aux défis et aux opportunités du développement humain. Communiqué. Le Musée du […] L’article A Dubaï, conçu par Shaun Killa, le Musée du Futur ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.