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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 3 ans et 39 jours

La France participe à l’exposition des arts décoratifs et de l’architecture moderne de Milan

La France participera à la 23e édition de l’exposition des Arts Décoratifs et de l’Architecture Moderne de la Triennale de Milan (15 juillet – 11 décembre 2022), organisée pour la France par l’Institut français, et où sera présenté un projet porté par les designers Pablo Bras, Juliette Gelli et Romain Guillet. L’édition 2022 – « Inconnus inconnus. Une introduction aux mystères » – sous le commissariat d’Ersilia Vaudo, astrophysicienne, cheffe de la diversité à l’agence spatiale européenne, et de Francis Kéré, architecte, sera un hommage à la « partie inconnue » du micro et macro univers. Formidable vitrine des modes de conception de demain, elle donnera l’occasion de questionner les nouveaux courants de pensée et les perspectives des pays invités. Cette 23ème édition sera pour la France l’occasion de mettre en valeur une nouvelle génération de designers français, au travers de l’équipe pluridisciplinaire lauréate du concours lancé par l’Institut français, formée autour du designer Pablo Bras et composée de Juliette Gelli (graphiste, plasticienne et scénographe) et de Romain Guillet (scénographe et designer). En réponse à la thématique formulée par Ersilia Vaudo, le projet initié par Pablo Bras s’efforce de trouver des pistes pour habiter l’instable. Il prend le parti que pour avancer, il ne faut pas explorer l’inconnu ou inventer de nouveaux mondes, mais observer l’actuel pour être à même de le configurer, d’en épuiser les combinaisons possibles. A rebours des grands projets, il estime que notre quotidien et les objets qui le constituent peuvent révéler des possibilités et des utilités insoupçonnées. Avec Juliette Gelli et Romain Guillet, ils penseront l’espace d’exposition comme une zone d’accueil dans laquelle seront réunies une quinzaine de pièces variées : industrielles, artisanales ou expérimentales, d’auteurs ou du quotidien, anciennes et nouvelles, constituant un ensemble fonctionnel, à la fois convivial et précaire. Les éléments de l’exposition, de la scénographie au graphisme, auront été pensés au sein d’un cycle d’usages qui dépasse le moment de la Triennale. Le regard du visiteur sera ainsi porté « au-delà » des objets, sur ce qui les précède et ce qui leur succède.   Photo : Gianluca Di Ioia  
Il y a 3 ans et 39 jours

Rheinzink participe à la modernisation et à l’attractivité urbaine d’Evry-Courcouronnes avec sa gamme Prismo or

Le projet, conçu et géré par le groupe d’architecte AU 12 Architecture, le groupe de conseil, de conception et d’ingénierie urbaine NR Conseil, et la ville d’Evry-Courcouronnes, était de construire de nouveaux bâtiments à destination des étudiants. L’objectif était de proposer une résidence étudiante moderne participant à l’attractivité de la ville où plus de 30.000 apprenants fréquentent l’université d’Evry.De cette ambition sont nés 243 logements, une salle d’étude partagée, une laverie et une salle de sport. Ces derniers sont aujourd’hui des espaces très conviviaux, facilitant l’échange entre les étudiants. Les travaux de démolition et de construction du nouveau bâtiment ont duré un peu moins d’un an et ont été livrés en août 2021. Le bâtiment se décompose en deux tours bien distinctes reliées grâce à une terrasse centrale.Pour l’enveloppe de ces deux tours, l’architecte s’est naturellement tourné vers le zinc PRISMO or de RHEINZINK, pour proposition de solutions esthétique et de qualité. Le PRISMO or attire l’attention tout en s’intégrant naturellement dans le paysage et sa surface colorée pigmentée offre en même temps une protection sous divers climats et influences environnementales. Sa qualité, sa durabilité et sa grande malléabilité ont permis d’envelopper une partie de cette résidence étudiante.La pose de 8 tonnes de zinc PRISMO or en 0,70 mm d’épais a été réalisée grâce à la technique du joint angulaire. Cette technique comporte plusieurs avantages comme la conception variable grâce à différentes longueurs et largeurs de bacs et différents sens de pose, l’adaptation aux surfaces arrondies et/ou gironnées, la possibilité d’obtenir les bacs préprofilés et profils de construction d’un seul et même fournisseurAfin de faire ressortir un volume pure blanc, le zinc PRISMO or n’a pas été posé sur l’ensemble du bâtiment mais uniquement sur trois de ses façades. Ce choix semblait évident pour renforcer l’architecture contemporaine souhaitée par l’ensemble des acteurs.Fiche d'identité du chantier :Projet : Logements étudiants, Evry-Courcouronnes, FranceMaîtrise d’ouvrage : IMODEVRéalisation des travaux : Bourgogne couverture, DijonArchitecte : AU12 Architecture & NR Conseil
Il y a 3 ans et 39 jours

La 17 eme édition des trophées PlACO est lancé

VALORISER LE SAVOIR-FAIRE DES ENTREPRISES ET L’EXCELLENCE DES MÉTIERS DU PLÂTRE  C’est en 1989 que le Club Entreprises Placo® lançait ses Trophées Placo® qui restent uniques dans l’univers du bâtiment par leur pérennité, la qualité des ouvrages présentés et l’excellence des entreprises participantes. Ce concours bisannuel met à l’honneur le savoir-faire des entreprises et la noblesse […]
Il y a 3 ans et 39 jours

Immeuble résidentiel passif en bois lamellé-croisé à Vallastaden en Suède

Ce bâtiment résidentiel a été entièrement construit en bois lamellé-croisé à Vallastaden, Linköping Suède, réalisée en 2017 par Witte Sundell. [De l’architecte] Les matériaux et la conception sont soigneusement étudiés pour minimiser l’impact environnemental du bâtiment pendant la phase de construction et tout au long de sa durée de vie. Le bâtiment est classé maison passive et ne […]
Il y a 3 ans et 39 jours

Une maison de quartier comme un village à Bordeaux, par Berranger Vincent

Dans le cadre du cycle de conférences "1 architecte, 1 bâtiment", le Pavillon de l'Arsenal, à Paris, reçoit l'artiste Richard Venlet et les architectes Kersten Geers et David Van Severen de l'agence Office KGDVS, pour un dialogue autour du projet de crématorium d'Ostende (Belgique). Le «bureau» d'architecture […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 39 jours

L'innovation au cœur du Carrefour International du Bois

Disponible et renouvelable, le bois trouve également sa place dans des domaines d’applications nouveaux, notamment dans la tech et l’innovation.À cet égard, le Carrefour International du Bois, qui aura lieu du 1er au 3 juin 2022 au Parc des Expositions de Nantes, fera la part belle à l’innovation au sein d’un espace dédié pour la deuxième édition consécutive. Situé dans le hall 1, l’espace innovation présentera les avancées de la filière sur les sujets de R&D ainsi que sur les nouveautés en matière de produits et de services. L’Afpia Solfi2A, Bois HD et Xylofutur, acteurs du secteur, animeront ce plateau dédié à l’échange et aux découvertes. Pour cette édition 2022, la Wood Tech, premier réseau de start-up de la filière forêt bois, rejoint les rangs et sera accompagnée par 4 de ses adhérents sur un stand.Le Carrefour International du Bois fait la part belle aux métiers d'avenirAprès 4 ans d’absence dus à la pandémie de COVID-19, la seizième édition du Carrefour International du Bois est vivement attendue par l’ensemble de la filière. Salon leader, il est dédié aux professionnels et aux produits bois sous toutes ses formes. Il rassemble sur 3 jours 563 exposants et plus de 11.500 visiteurs venus de 85 pays différents. Incontournable RDV business, le Carrefour est aussi un point de rencontre avec les métiers de demain. Tournée vers l’innovation, la filière forêt-bois s’étend parfois à des secteurs d’activités ou des domaines d’applications inattendus mais néanmoins essentiels, tant sur le plan environnemental, économique que social. Premier réseau de start-up de la forêt et du bois, la Wood Tech en est l’exemple concret : « Après un peu plus d’une année d’existence, notre regroupement compte aujourd’hui 29 jeunes structures innovantes qui évoluent dans le domaine du digital pour faciliter les interventions en forêt ou améliorer la connaissance des essences. Certaines de ces start-up travaillent aussi dans la création de plateformes pour la mise en relation directe des professionnels du bois avec les particuliers ou encore dans des applications plus orientées « produits » comme des écrans tactiles en bois ou bien un emballage alimentaire réutilisable et composé uniquement de fibres végétales », explique François VULSER, responsable de la Wood Tech. Sur les 29 adhérents que compte la Wood Tech, 4 seront présents au Carrefour International du Bois au sein de l’espace innovation. Leur participation est une formidable opportunité d’aller à la rencontre de leurs marchés, leurs partenaires, leurs fournisseurs et leurs futurs clients. François VULSER l’admet : « Le Carrefour est un indéniable accélérateur de business et une vitrine qui peut être vitale pour le lancement de leur activité ».Les start-up de la wood tech présentes au Carrefour International du BoisEPUR (Occitanie) est une start-up dont les deux co-fondateurs, tous deux charpentiers, se sont associés pour concevoir et développer un robot numérique portatif qui facilite, optimise et sécurise les travaux des charpentiers. EPUR participe à relancer l’industrialisation par la production de machines-outils labellisée Origine France Garantie et Made in France. NOIRDEBOIS (Hauts-de-France) est le 1er fabricant français de bardage et d’habillement mural de bois brûlé. Cette technique ancestrale d’origine japonaise qui consiste à brûler la surface extérieure d’une lame de bardage bois afin de la rendre plus résistante. EKWATO (Occitanie) est une solution digitale professionnelle et innovante pour piloter et maîtriser le risque sur toute la chaîne d’approvisionnement des produits bois. Il facilite le suivi de l’application d’une politique d’achat des produits bois, des exigences RSE, normatives ou réglementaires qui demandent la réalisation d’une analyse de risque, du gestionnaire forestier au distributeur. CLICOBOIS (Auvergne-Rhône-Alpes) est un service de vente en ligne de bois en click and collect, mettant en relation les industries de la filière bois et les clients finaux, utilisateurs de bois. Cette mise en relation directe permet aux particuliers d'acheter à un prix compétitif des produits venant de leur territoire (traverse, bordure, bardage, poutre, planche...). Une édition rythmée par des temps forts, marqueurs des initiatives de la filièreLa deuxième édition du concours d’innovation forêt-bois « Canopée Challenge » bat son plein. Depuis le début de l’année 2022, les nominés présentent leur projet devant un jury à l’occasion d’un tour de France. À l’issu des 7 étapes, les lauréats nationaux viendront pitcher leurs projets sur l’espace innovation. Ces différents temps forts autour de l’innovation démontrent l’engagement du Carrefour International du Bois à valoriser l’ensemble des initiatives de la filière forêt-bois tournées vers l’avenir. Vertueux et durables, le bois et les matériaux biosourcés sont de véritables alliés pour répondre aux actuels enjeux climatiques. À ce titre, les visiteurs du Carrefour pourront, pendant les 3 jours de salon, identifier les projets innovants aux impacts positifs, significatifs et mesurables.
Il y a 3 ans et 39 jours

BNP Paribas Real Estate livre la première phase de Tribequa, à Bordeaux

IMMOBILIER. Au coeur de l'OIN Bordeaux Euratlantique, près de la gare Saint-Jean, le promoteur vient de livrer un ensemble de 11.000 mètres carrés de bureaux et logements. L'ambition : "structurer un quartier actif" à proximité immédiate du centre-ville historique.
Il y a 3 ans et 39 jours

"Pour ne plus détruire, il faut construire des bâtiments qui peuvent muter" (P. Rubin)

ENERJ-MEETING. La réversibilité a été l'objet d'un débat, à l'occasion d'EnerJ-Meeting Paris. Tour d'horizon avec l'architecte Patrick Rubin, mais aussi Bruno Georges (Oteis) et Christelle Bastard, de Cushman et Wakefield.
Il y a 3 ans et 39 jours

Architecture citoyenne, par Tilt & Shoot Photographes

Dans le contexte des élections présidentielles, Tilt & Shoot (Maud Serra et Caroline Picard) a réalisé une série d’images de façades de bureaux de vote. La poursuite d’un travail qui, en lien avec l’actualité, interroge les institutions et notre rapport à la citoyenneté. Vote éducatif ? Les bureaux de vote sont souvent installés dans des écoles. […] L’article Architecture citoyenne, par Tilt & Shoot Photographes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 39 jours

AfterBIM#6 : Comment accompagner des PME de la construction dans des projets BIM?

Entreprises de la construction, d’architecture, d’électricité, de bardage… il n’est pas toujours évident de bousculer ses habitudes de travail lorsque l’on s’intéresse au BIM pour gagner en temps au quotidien. Au programme de ce sixième AfterBIM, Balthazar Cemeli vous propose un échange sur l’accompagnement des PME de la construction dans des projets utilisant cette méthodologie. Balthazar vous montrera comment le BIM peut se transformer d’un sujet délicat à incontournable pour vos projets. Nous vous donnons rendez-vous le jeudi 2 juin à 17h30 ! Inscrivez-vous sous ce lien.
Il y a 3 ans et 39 jours

Mondial du Bâtiment : les inscriptions aux Awards de l'Innovation 2022 sont ouvertes

Pour l’édition 2022, l’organisation du concours évolue afin de toujours mieux faire découvrir toutes les solutions candidates, avant, pendant et après les salons. Les inscriptions sont désormais ouvertes, et les industriels ont jusqu’au 10 mai 2022 pour candidater.Le meilleur de l’InnovationAu-delà du concours, les Awards de l’Innovation sont avant tout un dispositif qui permet de diffuser de façon élargie les innovations que les industriels lancent sur le marché. Il leur apporte à la fois de la visibilité et de la notoriété. Être candidat aux Awards de l’Innovation garantit en effet de bénéficier de plusieurs vecteurs de communication, et ce sur la durée, depuis le lancement des inscriptions et jusqu’après la tenue des salons.L’innovation est également le centre d’intérêt prioritaire des utilisateurs quel que soit leur métier ou leur profil (artisan, PME, majors...) et un véritable moteur pour les industriels de la construction.À chaque édition, les Awards de l’Innovation démontrent le dynamisme de la filière. En 2019, ce sont ainsi 140 innovations que les visiteurs des trois salons ont pu découvrir.Les Awards de l’Innovation 2022, un temps fort incontournableEn 2022, l’organisation des Awards de l’Innovation change en intégrant un parcours d’inscription et de sélection digitalisé pour faciliter la saisie des données mais aussi les échanges.Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 10 mai 2022. Neufs catégories « métiers » ont été définies dans lesquelles les innovations pourront être inscrites :Gros Œuvre, Structure et Enveloppe,Hors site,Construction Tech,Menuiseries & façades,Matériel, Outillage, Véhicules et équipements,Génie Climatique,Salle de bains,Aménagement Intérieur et Extérieur,Formations et ServicesNouveauté 2022, cinq thématiques d’usage ont été définies, dans lesquelles les solutions seront présentées. Elles illustrent les grands défis auxquels sont confrontés tous les acteurs de la filière :Construction 4.0L’environnementLe climatLes métiersUsager et habitantLes dossiers seront examinés par un jury d’experts métiers et un grand jury dès le mois de juin pour sélectionner les Nominés et les Lauréats des Awards de l’Innovation 2022. Ceux-ci auront l’occasion de présenter leur innovation aux journalistes lors d’un « Press Dating » le mardi 28 juin, à Paris.Cet événement se clôturera par l’annonce, en avant-première, des Lauréats et la remise officielle des prix des Awards de l’Innovation 2022 aura lieu en octobre, sur le salon.Du 3 au 6 octobre, les visiteurs auront la possibilité de découvrir la totalité des innovations candidates sur les Espaces Innovation de chacun de salon grâce à des sessions de pitchs thématiques quotidiennes et des écrans interactifs. Ils pourront également voter en direct pour leur innovation préférée.Par ailleurs, le catalogue digital des innovations sera mis à disposition avant, pendant et après le salon sur un site internet dédié.
Il y a 3 ans et 39 jours

La Team Aura, lauréate en 2012, représentera la France au Solar Decathlon Europe 2021-2022

Cette compétition étudiante internationale, la plus grande pour l'architecture et l'ingénierie, aura lieu à Wuppertal en Allemagne du 19 mai au 3 juillet 2022.
Il y a 3 ans et 40 jours

Finalcad accélère la transformation digitale des chantiers ferroviaires : l'exemple du chantier ETF à Dreux

L’enjeu de la digitalisation du secteur de la construction ferroviaireEncore peu exploité dans le secteur des BTP/construction, et dans celui du ferroviaire, le digital constitue pourtant un enjeu important qui est en passe de bouleverser les habitudes et les méthodes de travail de tous les acteurs de la chaine (entreprise titulaire du marché, maîtrise d’œuvre et client). En effet, il permet de récolter des données, de les partager entre les équipes sur et hors site et de les mutualiser. Résultat : l’optimisation de la collaboration sur le chantier, du suivi des défauts, du contrôle et du bilan de conformité, de la communication chantier bureau, … ce qui contribue ainsi à garantir la tenue des délais et le suivi de la qualité de l’ouvrage.Finalcad, spécialiste de la digitalisation du BTP/construction met, depuis plus de 10 ans, son expertise au service du secteur via sa plateforme collaborative. Depuis 2016, il travaille également avec les principaux acteurs de la construction ferroviaire pour lesquels il a adapté et enrichi sa plateforme.Outre sa facilité d’utilisation, le principal atout de cette plateforme est de permettre aux équipes de collecter et partager les différentes informations mais aussi d’avoir des retours d’expérience de chantiers pour pouvoir constituer des bases de données facilement accessibles et analysables. L’objectif étant l’optimisation des chantiers sur le long terme.La digitalisation réussie du chantier ETF de rénovation de voies de service - DreuxETF avait pour mission le renouvellement de voies, près de la gare de Dreux, pour accueillir les nouveaux trains REGIO 2N à partir de 2021. Le principal challenge était au-delà d’assurer la qualité, de garantir le délai.Les travaux ont débuté le 7 septembre dernier pour s’achever le 4 novembre avec une phase d’un mois où les équipes ont travaillé en double rotation 2X8 (6-14h et 14-22h) sur 3,5 km de voies.Pendant toute la durée du chantier, l’ensemble des parties prenantes ont eu accès à la plateforme digitale Finalcad aussi bien coté ETF (chef d’agence, chef d’équipe, chef de chantier, contrôleur qualité, conducteur de travaux et chef de secteur) que côté maîtrise d’œuvre (surveillant de travaux et chef de projet) ainsi que le client, la SNCF Réseau.Via la plateforme collaborative Finalcad, elles ont pu notamment éditer et générer automatiquement des journaux de chantier - synthèses des événements, des travaux réalisés durant la journée, détaillées avec des photos, des commentaires, des informations précises - qui leur a permis d’économiser au moins une heure par jour mais également de conserver ces données de façon consolidée. Géré par le conducteur de travaux, ces rapports digitaux ont pu être partagés avec les différents interlocuteurs du projet sur site ou hors site ; ce qui est particulièrement utile pour les rotations d’équipes (équipes jour/nuit et semaine/week-end) et la traçabilité de l’information.« L'innovation et la transformation digitale sont des enjeux majeurs dans le secteur de la construction ferroviaire. Les bénéfices de cette collaboration avec Finalcad, acteur référent du marché, ont été une meilleure gestion de la coactivité, un meilleur suivi de la qualité du chantier, des gains de temps pour les équipes notamment lors des rotations, un suivi plus rapide et un reporting plus précis.Aujourd’hui, cette collaboration avec Finalcad nous permet de collecter et de partager des données pour améliorer nos chantiers mais il ne s’agit ici que d’une première étape de la digitalisation de nos chantiers.Nous souhaitons dans un second temps déployer ce type d’outil sur la majorité de nos chantiers en Ile-de-France pour atteindre l’excellence opérationnelle sur nos projets. Par ailleurs, nous souhaitons déployer la digitalisation à grande échelle et intégrer le BIM dans nos offres, ce sur quoi Finalcad pourrait également nous accompagner », se réjouit Jeremy Goguet, Chef d’Agence chez ETF.« Notre première collaboration avec ETF date de 2016 et nous sommes particulièrement fiers de pouvoir continuer d’accompagner cette entreprise dans la digitalisation de ses chantiers. Nous mettons à disposition de ses équipes sur site et dans les bureaux une plateforme digitale dotée d’une prise en main intuitive et facile, pour leur permettre de livrer le meilleur ouvrage dans les délais impartis.Travailler avec ETF, nous a permis de renforcer notre expertise des chantiers ferroviaires notamment des très grands linéaires et d’adapter nos outils à ce secteur qui prend de plus en plus conscience des enjeux stratégiques du digital », indique Franck Le Tendre, PDG de Finalcad.
Il y a 3 ans et 40 jours

En Scandinavie, les immeubles en bois poussent de plus en plus haut

"Les piliers avec la charpente, dans leur interaction avec l'acier et le bois, c'est ce qui porte les 20 étages de l'hôtel", explique à l'AFP Therese Kreisel, responsable de la planification urbaine de Skellefteå.Regroupant un centre municipal et un hôtel, le gratte-ciel a ouvert en fin d'année dernière dans cette ville d'environ 35.000 habitants du nord de la Suède."Même les cages d'ascenseur sont entièrement en bois. Il n'y a pas de plâtre, pas de joints ou d'isolation sur le bois. Ce qui est unique pour un bâtiment en bois de 20 étages", dit Mme Kreisel en faisant visiter les lieux.Dans cette moitié septentrionale du pays, la forêt est partout, et construire les maisons en bois est une tradition bien ancrée. Mais ici, comme ailleurs dans les pays nordiques, ce sont des chantiers d'immeubles et de tours qui se multiplient, à la faveur des progrès techniques.Grâce à des ressources forestières majeures et une expertise traditionnelle dans le domaine, les architectes suédois veulent être les pionniers et faire évoluer le secteur vers des méthodes plus responsables.La réalisation de la Sara Kulturhus "prouve qu'il est possible de construire en bois quelque chose d'aussi grand et de complexe", estime Robert Schmitz, un des deux architectes de la tour."Et quand vous avez ça comme référence dans vos discussions, vous pouvez toujours dire: +on a fait cela, comment pouvez-vous dire que ce n'est pas possible?+".Le centre culturel Sara dispute à une tour de 85 mètres construite récemment à Brummundal dans le sud-est de la Norvège et à une autre de 84 mètres à Vienne en Autriche, le titre de plus haut immeuble en bois du monde - certains comptent les mètres, d'autres avancent les étages. Une tour en construction à Milwaukee aux États-Unis, avec un peu plus de 86 mètres, devrait venir leur chiper le trophée d'ici quelques mois."Lego empilés""Il y a eu beaucoup plus de défis à relever parce que c'était du bois, mais cela nous a aussi permis d'ouvrir des portes et de réfléchir d'une nouvelle façon", assure l'autre architecte des lieux, Oscar Norelius.Les chambres de l'hôtel ont ainsi été préfabriquées, puis "empilées comme des pièces de Lego", explique-t-il.Pour Anders Berensson, un autre architecte basé à Stockholm qui place le bois au cœur de ses projets, il y a aussi des avantages à utiliser ce matériau."Si quelque chose a été manqué au moment de la découpe, il suffit de prendre le couteau et la scie et d'ajuster ça directement sur site. C'est high-tech et artisanal à la fois", dit-il.Mais le principal avantage du bois de construction, plaident ses promoteurs, est climatique.Le ciment - et donc le béton - et l'acier, deux matériaux parmi les plus courants du BTP, sont très émetteurs en CO2.Le bois, lui, en émet peu lors de sa fabrication et séquestre encore une grande partie du CO2 absorbé par l'arbre, même dans le bâtiment. Plus léger, le matériau nécessite aussi moins de fondations.Selon le dernier rapport des experts du Giec, le bois comme matériau de construction peut être jusqu'à 30 fois moins intensif en CO2 que le béton, et des centaines à milliers de fois moins que l'acier.Les efforts mondiaux pour réduire les émissions font que les immeubles de bois suscitent désormais un intérêt accru, selon Jessica Becker, coordinatrice de Trästad ("ville de bois"), une organisation qui fait la promotion du bois de construction.A Stockholm, un complexe d'immeubles en bois en fin de chantier, Cederhusen, a remporté le titre de construction de l'année décerné par le magazine spécialisé Byggindustrin."Je crois qu'on a vraiment vu les choses virer de bord ces quelques dernières années... On voit un énorme changement à présent, c'est un peu le moment clé. Et j'espère que d'autres pays vont s'engager sur ce chemin, on voit par exemple l'Angleterre, le Canada et d'autres endroits dans le monde", explique-t-elle.
Il y a 3 ans et 40 jours

Référence : La cité-jardin de la Butte-Rouge, un héritage moderne

Organisé par l’association Avenir Radieux, le septième séminaire d’architecture de Pesmes aura lieu du 18 au 30 juillet 2022. Il sera encadré par l’architecte Bernard Quirot, avec Stefano Moor et Emilien Robin, lauréat avec PNG, Julien Boidot et l’atelier des Cairns de l’Équerre d’argent 2021. Les candidatures sont […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 40 jours

JDM Expert présente Hydroway®, le premier revêtement perméable

Soucieux des enjeux environnementaux, Denis Joandel, fondateur de JDM Expert a développé la solution HYDROWAY®, un revêtement d’extérieur 100% perméable et facile d’entretien. Grâce à ce procédé novateur, l’eau n’est donc plus en stagnation sur le sol mais elle rejoint directement les nappes phréatiques, une réponse écologique permettant d’être plus respectueuse de l’environnement et du cycle naturel de l’eau.En 2008, JDM Expert a déposé un brevet pour sa solution HYDROWAY® et celle-ci répond fièrement à la Loi Climat et Résilience de 2021 qui prévoit la division par deux du rythme de la bétonisation d’ici 2030.Un revêtement de sols extérieur respectueux de l’environnement, c’est possibleDans une logique environnementale et pour le bien commun, il n’est plus question de favoriser l’imperméabilisation des sols, les collectivités et particuliers sont à la recherche d’une réponse au plus près des enjeux environnementaux. Depuis plusieurs années, nous assistons à une multiplication des revêtements imperméables, les eaux de pluie ne pénètrent donc pas dans le sol et reste en surface. Une quantité d’eau considérable doit être ainsi évacuée, nécessitant l’installation de réseaux d’égouttage et provoquant bien souvent l’inondation des rivières, des rues et des habitations mais aussi la pollution des eaux par le ruissellement.HYDROWAY® répond aux enjeux environnementaux par sa réduction de son empreinte carbone réduite, 5 fois moins élevée qu’un béton. Mais aussi, grâce à sa perméabilité qui laisse presque instantanément passer l’eau évitant ainsi la pollution des eaux par ruissellement et l’alimentation des nappes phréatiques. Enfin, ses coloris clairs évite l’accumulation de chaleur en journée limitant ainsi les îlots de chaleur.HYDROWAY® : une innovation responsable et simplePour la pose de l’HYDROWAY®, JDM Expert fait appel à un réseau d’applicateurs formés et agréés dans toute la France métropolitaine, les DOPM TOM, la suisse et la Belgique. Les professionnels du bâtiment s’occupent étape par étape de la pose du revêtement. HYDROWAY® se présente sous forme d’une structure perméable et offre une excellente résistance aux intempéries et aux charges comme les engins motorisés.Cette solution répond parfaitement aux cahiers des charges de la Loi Climat et Résilience de 2021 en réalimentant directement les réserves des nappes phréatiques. HYDROWAY® évite les flaques stagnantes et la prolifération des plantes aquatiques comme les algues et les mousses. La conception perméable de l’HYDROWAY® est basée sur le calcul du débit d’eau pouvant être infiltré, lors d’une forte pluie ou d’averses faibles, mais continues. HYDROWAY® en bref :Un sol esthétique et responsable : fabriqué en France et composé de plus de 90% d’éléments naturels, le revêtement unique est créé par un alliage de granulats et d'un liant adapté permettant un rendu naturel.Un sol perméable : sa structure innovante permet une infiltration de l'eau jusqu'à 1 litre par m2 et par secondes. Grâce à cela le revêtement ne nécessite aucune pente pour être posé en plus d'éviter ruissellements et flaques. Cela permet de faire une véritable une économie sur les VRD (grille, réseaux d’égouts…)Une solution résistante : idéal pour les cours d’écoles, allées et chemins, plages de piscines, voire aires de stationnement, la portabilité du revêtement supporte des poids lourds jusqu’à 26 tonnes.Un sol antidérapant et carrossable : le rendu reste confortable tout évitant les dérapages et en permettant aux véhicules de rouler dessus.Facilité d’entretien : possibilité de le nettoyer très facilement avec un balai, un souffleur à feuilles, un nettoyeur à haute pression.
Il y a 3 ans et 40 jours

La bible des bétons de fibres par Pierre Rossi

Expert dans le domaine des bétons de fibres métalliques (BFM), Pierre Rossi revient avec un ouvrage de référence : “Les bétons de fibres”. [©DR] Responsable de division à l’université Gustave Eiffel, Pierre Rossi a plus d’une corde à son arc. Cet expert mondial des bétons de fibres métalliques (BFM) a créé, il y a deux ans, sa propre maison d’édition. A savoir, les éditions Martialis, spécialisées dans les titres scientifiques et les romans : « Mes deux casquettes ! » Ainsi, il vient de publier l’ouvrage “Les bétons de fibres” après un premier livre édité en 1998 par les Presses de l’Ecole nationale de ponts et chaussées. « Il fait suite, mais n’en est pas une suite. En effet, les objectifs et l’esprit, pour ne pas dire le style, qui sous-tendent ce deuxième opus sont très différents. Il est aussi beaucoup plus synthétique », explique Pierre Rossi. Et de poursuivre : « Il est le fruit de la connaissance, de l’analyse et de choix subjectifs d’un expert, qui a consacré plus de 30 ans de sa carrière professionnelle à vivre en toute intimité avec un matériau au doux nom de béton de fibres ». Une synthèse sur les BFM Ce guide se veut militant, « au sens où il milite avec conviction pour l’utilisation de ce matériau, plus que cinquantenaire, dans le domaine de la construction. Mais militant ne veut pas dire aveugle. J’ai toujours essayé de l’appliquer avec le maximum de rigueur, en traquant et en dénonçant les erreurs et les incompétences qui ont fait et font encore ce matériau plus beau qu’il ne l’est ». Ainsi, pour Pierre Rossi, « les bétons de fibres constituent la 3e révolution technique, après le béton armé et le béton précontraint, dans l’art de renforcer les constructions réalisées en matériaux composites à matrice cimentaire ». “Les bétons de fibres” comprend 3 grandes parties. La première est relative aux connaissances scientifiques actuelles sur le matériau. La deuxième explique les applications industrielles existantes et potentielles. C’est une partie essentielle du livre qui découle de la première. Enfin, la dernière partie traite des outils d’analyse et de dimensionnement, dont on dispose, aujourd’hui, pour concevoir et construire, en utilisant les bétons de fibres. Pierre Rossi énonce ici toute sa philosophie concernant ce matériau. Et de conclure : « Il est temps que le monde de la construction change de siècle ! » Cet ouvrage s’adresse aux professionnels (bureaux d’études, ingénieurs…) et aux chercheurs. Editeur : Editions Martialis Auteur : Pierre Rossi Prix : 60 €TTC Retrouvez l’ouvrage ici 
Il y a 3 ans et 40 jours

Aménagement et agencement d’espaces

NOTRE MÉTIER ?  [ IMAGINER ]  CONCEVOIR L’ESPACE, IMAGINER L’AVENIR  Chacun de vos projets est réfléchi afin de satisfaire vos attentes, vos goûts, vos exigences et votre confort.  [ CONCEPTUALISER]  BUREAU D’ÉTUDES  Qualité d’écoute, conseil, ingénierie, étude et accompagnement pour que vos projets soient élaborés avec toute l’expertise qu’ils méritent.  [ RÉALISER]  SECOND D’OEUVRE  Un […]
Il y a 3 ans et 40 jours

Les anciens, à l'avant-garde - Exposition au Pavillon de l'arsenal

Organisé par l’association Avenir Radieux, le septième séminaire d’architecture de Pesmes aura lieu du 18 au 30 juillet 2022. Il sera encadré par l’architecte Bernard Quirot, avec Stefano Moor et Emilien Robin, lauréat avec PNG, Julien Boidot et l’atelier des Cairns de l’Équerre d’argent 2021. Les candidatures sont […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 40 jours

Marseille lauréate du label européen « 100 villes neutres en carbone d'ici 2030 »

Pour Benoît Payan, Maire de Marseille : « C’est une grande victoire pour Marseille. Cette victoire, nous sommes allés la chercher directement à Bruxelles. C’est la victoire d’un projet, la victoire d’une volonté, d’une ambition pour une ville qui répond aux défis du XXIe siècle. C’est aussi la victoire d’une ville qui réussit quand elle se rassemble. Aujourd'hui Marseille fait un pas de plus vers une ville plus verte, une ville qui répond aux enjeux climatiques, environnementaux et sociaux, une ville où on respire mieux. »Cette victoire collective est l’acte fondateur d’une nouvelle ère de transformation écologique qui s’ouvre pour Marseille. Ce projet commun est un moyen historique pour rattraper un retard accumulé depuis de trop longues années, pour lutter contre les inégalités et rétablir un cadre de vie à la hauteur des attentes et des besoins formulés par les Marseillaises et les Marseillais. Cette labellisation, c’est la récompense d’un projet porté par la municipalité avec le soutien d’une centaine de partenaires institutionnels, associatifs ou privés qui se sont investis pour proposer une programmation à la hauteur des enjeux. Elle permettra à la ville de mener, par le biais d’ingénierie et de subventions européennes, les projets de transformation environnementale qui s’imposent pour faire de la Ville un territoire modèle de la transition écologique. Cette labellisation offrira à la Ville, en étroite collaboration avec l’ensemble de ses partenaires, l’opportunité de travailler sur des projets concrets dans les prochains mois sur la question du retour de la nature en ville, des transports, sur la réhabilitation thermique du parc immobilier et des équipements publics de la Ville, sur la production d’énergies renouvelables et durables, en passant par l’inclusion citoyenne et l’innovation. Cela s’inscrit dans la continuité de l’action municipale sur la végétalisation des parcs, jardins et écoles, la rénovation des bâtiments et équipements publics de la Ville, la lutte contre la pollution de l’air, la promotion des mobilités douces et du tri des déchets ou encore la protection de la biodiversité terrestre et marine.Cette première victoire honore la Ville et l’engage. Dans les semaines qui viennent, un groupe de travail sera mis en place, incluant les partenaires du projet, pour travailler à la rédaction du contrat « Ville climatique » que Marseille s'apprête à signer avec la Commission Européenne.La Ville de Marseille remercie tous ses partenaires, mobilisés depuis plus d’un an pour construire cette candidature et désormais mettre en œuvre son projet de transition. C’est grâce au soutien et à l’action de la Préfecture, de la Région et de la Métropole, mais aussi de partenaires institutionnels comme l’Université d’Aix-Marseille, le Grand Port Maritime ou la Chambre du Commerce et de l’Industrie, et privés comme la CMA-CGM, l’Olympique de Marseille, Cap au Nord Entreprendre ou encore associatifs comme le Geres, FNE Paca, Massilia Sun System... que cette candidature a convaincu le jury de la Commission Européenne.Marseille sera à la hauteur de la tâche confiée, et s’engage dès aujourd’hui à devenir une ville qui convainc par la solidité de ses projets et sa capacité à agir durablement pour la préservation du climat, de l’environnement et du cadre de vie de tous ses habitants. La programmation marseillaise sera résolument écologique et sociale, pour une ville plus verte et plus juste.Prochaines étapes : Mai : Mise en place d’un groupe de travail pour l'écriture du Contrat Ville climatiqueDe Juin à décembre : Co-construction du Contrat Ville Climatique, un Plan d’actions et d’investissements Signature du Contrat Ville Climat 2023-2030 : Mise en œuvre du contrat Ville Climat
Il y a 3 ans et 40 jours

La justice annule une carte qui "sanctuarise" plus de 100.000 hectares de terres agricoles en Corse

La justice avait été saisie par une vingtaine de requérants, parmi lesquels plusieurs communes de l'île (Lecci, Bonifacio, Albitreccia, Pietrosella, Calenzana) mais aussi des particuliers et des SCI (sociétés civiles immobilières). Dans leur viseur, une délibération du 5 novembre 2020 de l'assemblée de Corse modifiant le Plan d'aménagement et de développement durable de la Corse (Padduc), qui comprenait cette cartographie.Le vote des élus avait eu lieu alors que la justice administrative avait déjà annulé à plusieurs reprises la cartographie des ESA en 2018, laissant le Padduc sans cartographie pendant deux ans. Une porte ouverte à l'urbanisation, selon les nationalistes.Cette annulation de la cartographie ne remet toutefois pas en cause le principe des espaces stratégiques agricoles, qui restent sous la surveillance des services de l'Etat.La justice administrative a estimé "que la collectivité de Corse aurait dû engager une procédure de révision, plutôt qu'une procédure de modification, que le public a été privé d'informations sur le projet et que la commission permanente de l'assemblée de Corse aurait dû être consultée préalablement".Ces trois motifs "entraînent l'annulation totale de la délibération", détaille le communiqué de presse du tribunal administratif.Le Padduc, document aux accents politiques voté pour la première fois en 2015, avait été présenté par la majorité nationaliste à la tête de la région comme un projet de société censé assurer l'équilibre entre la préservation de l'environnement et le développement économique et social de l'île. Mais il ne fait pas l'unanimité.Selon ses défenseurs, le Padduc doit permettre d'enrayer la spéculation foncière et immobilière tout en permettant un développement économique équilibré non axé sur le tout tourisme et le BTP."Cette cartographie gèle des terrains à l'urbanisation et cela pose problème dans la propre définition par les communes des terres agricoles," a estimé pour sa part, lors de l'audience, Me Claire Giorsetti, avocate de Pietrosella (Corse-du-Sud), l'une des communes requérantes.Julien Paolini, président de l'agence de l'urbanisme de la Corse, a annoncé que la collectivité de Corse allait entreprendre un recours devant la cour administrative d'appel de Marseille.
Il y a 3 ans et 40 jours

Accédez aux données produits des fabricants CVC de BIM&CO depuis FISA

Fabricants, bureaux d’études et installateurs en génie climatique, n’attendez plus pour débloquer la valeur des données produits ! Accédez maintenant aux produits fabricants BIM&CO directement dans le logiciel métiers Fisa. Découvrez au travers de ce webinar le partenariat BIM&CO Fisa présenté par Vincent Berlioz de BIM&CO et Marc Chaperon de FISA, le 19 mai à 11h.
Il y a 3 ans et 40 jours

R600 PERGOKLIMA : équilibre parfait entre légèreté et flexibilité

R600 PERGOKLIMA: équilibre parfait entre légèreté et flexibilité Le confort thermique et la possibilité d’exploiter les éléments naturels pour le bien-être, sont les caractéristiques des pergolas bioclimatiques BT Group. R600 Pergklima est une pergola bioclimatique auto-portante en aluminium au design recherché et innovant. Gouttière périmétrale 20 x 21,5 cm, avec récolte de l’eau intégrée dans les montants. Couverture à lames en aluminium de L 22 cm x H 4 cm que l’on peut orienter de 0° à 140°, avec joints et gouttières de déchargement latéral de l’eau. En fonction de l’orientation des lamelles, la structure offre une protection totale ou partielle du soleil, une climatisation parfaite, et abri sur contre la pluie, en devenant un espace à vivre toujours. Dimensions maximales réalisables en module unique L 5,00 x S 8,00 m avec quatre / six montants périmétraux de 20 x 20 cm. Fonctionnement exclusivement à par moteur linéaire à basse tension. La structure offre des options supplémentaires, telles que les lumières à LED, capable de créer des synergies entre le nouvel espace et l’environnement, qui génèrent solutions originales et personnalisées. Les profils portants permettent l’application de brise-soleil et de baies vitrées qui s’intègrent bien aux fermetures typiques en rouleau. Chaque pergola est disponible dans de nombreuses variantes, avec la possibilité de développer des formes exclusives, sur mesure. Le Custom made fait est une partie intégrante de l’ADN de l’entreprise, le fleuron d’une capacité de conception et de production, l’indice d’une inépuisable vitalité et le progrès. Le choix des matériaux utilisés, les contrôles des étapes de production, font de BT Group non seulement un choix de qualité, mais un symbole de statut qui sublime le produit “100% Made in Italy”. > Site web : btgroup.fr > Découvrez le Catalogue Prestige Collection       
Il y a 3 ans et 40 jours

« Que chacun respecte la loi », Daniel Rigout, président d’EGF.BTP

Dans le contexte de flambée des prix des matériaux, le représentant des entreprises générales de France appelle la maîtrise d'ouvrage publique à conclure des contrats à prix révisables.
Il y a 3 ans et 40 jours

Retour sur le BIM World 2022 : rencontre avec Mathieu Walckenaer, dirigeant de PlanRadar France

Batinfo : pouvez-vous nous présenter PlanRadar ?Mathieu Walckenaer : PlanRadar a été créé en Autriche en 2013 suite à un constat simple : le manque d'outils permettant de communiquer et de partager l'information sur les chantiers. De cette observation est née l'application numérique PlanRadar permettant aux équipes du BTP de partager, modifier, et visualiser toutes les données d'un chantier en temps réel. Fin 2014, nous avons atteint le cap des 100 clients, prouvant ainsi l'efficacité de notre application. En 2015, PlanRadar a vendu sa première licence sur le continent asiatique.Deux ans plus tard, la société a raflé 9 trophées en 1 an pour son application, démontrant son énorme potentiel. En 2020, PlanRadar a levé 30 millions d'euros pour partir à la conquête de l'Europe puis en 2022, 69 millions d'euros pour s'implanter durablement sur les marchés asiatiques et sur le continent américain. Aujourd'hui, PlanRadar c'est : 10 bureaux en Europe, des employés parlant 18 langues différentes et plus de 15.000 clients répartis dans 60 pays.Batinfo : quelles sont les spécificités de votre application ?Mathieu Walckenaer : PlanRadar est une solution digitale disponible sur navigateur, iOS, Android et Windows, pour la gestion des tâches, la communication et les rapports. Concrètement l'application permet de saisir directement les tâches à effectuer à partir d'appareils mobiles et d'y ajouter des photos, du texte ou un mémo vocal. PlanRadar est accessible partout tant pour les équipes sur le terrain que celles travaillant depuis le bureau.L’application facilite l’attribution de tâches à la personne concernée. Celle-ci recevra automatiquement une notification. Via la plateforme, les équipes peuvent aussi envoyer des comptes-rendus aux gestionnaires et maîtres d’ouvrage, ce qui leur permet d’être à jour sur l’état d’avancement du projet.La génération de statistiques et de documents utiles à votre activité est très facile. Dans le cas de conflits juridiques nécessitant des documents particuliers, PlanRadar peut aussi être utile grâce aux rapports structurés et automatisés pour faciliter la transmission de preuves pour les procédures contentieuses. Grâce à une personnalisation et une configuration vantées par les utilisateurs, PlanRadar a su trouver son public. De plus, PlanRadar est un outil tout-en-un, qui ne requiert aucune autre plateforme. On peut y suivre toutes les étapes d'un projet, de la conception, à la phase de démolition en passant par la construction et la maintenance. Pouvoir utiliser un seul outil dans toutes ces tâches facilite ainsi la communication entre les équipes et permet un gain de temps et de productivité. En plus de ces fonctionnalités, vous pouvez consulter vos plans en version numérique, les délais et les contacts via l'application PlanRadar, même en étant hors-ligne, afin que chaque membre de l'équipe comprenne ses missions et participe au bon déroulement du projet.Enfin, l’équipe derrière PlanRadar est, constamment, au plus près du terrain pour prendre en compte les avis de ses utilisateurs. Dans l’optique d’une amélioration continue de la plateforme et en prenant en compte les retours d’expérience, nous avons lancé : PlanRadar Connect. C’est une API connectant PlanRadar à des outils tels que Microsoft Dynamics, Google Drive, Adobe Analytics… de manière intuitive et sans code requis. Avec cette API, toutes les données et documents sont centralisés dans un seul outil. Gain de temps assuré !Batinfo : Comment voyez-vous l'avenir de PlanRadar ?Mathieu Walckenaer : Grâce aux 69 millions d’euros que nous venons de lever, nous allons renforcer notre présence dans les pays que nous couvrons et nous allons nous implanter sur tous les continents.Nous concentrons aussi nos efforts sur nos investissements en R&D afin d’accélérer l’ajout de fonctionnalités telle qu’un accès au BIM directement sur les chantiers. Toujours dans cette optique de prendre en compte les retours clients et de faciliter leur quotidien, nous travaillons sur trois aspects stratégiques qui sont la gestion de document, de planning et de projet.Nous poursuivrons également le développement de PlanRadar Connect, qui vient d’être lancé. Cela simplifiera l’interopérabilité et l’intégration automatique des logiciels à PlanRadar, sans nécessité de codage.
Il y a 3 ans et 41 jours

Centre de réunions et de congrès de Bruges : un plafond en métal haut de gamme, pour le nouvel édifice moderne au coeur de la ville historique

Dans une ville historique comme Bruges, la conception d’un centre de conférence urbain avec un auditorium et des salles de réunion est une affaire délicate. L’équipe d’architectes Eduardo Souto de Moura et le cabinet d’architecture META ont livré l’impressionnant projet. Hunter Douglas Architectural y a participé en réalisant le plafond intérieur en acier et le […]
Il y a 3 ans et 41 jours

Avis d’avocat : les destructions d’œuvres architecturales face au droit

L'architecture dans l'œil du juridique : à l'invitation de L'Architecture d'Aujourd'hui, le cabinet d'avocats Loyseau de ...More about Cet article Avis d’avocat : les destructions d’œuvres architecturales face au droit est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 41 jours

"Il persiste des réflexes qui invisibilisent les professionnelles et contre lesquels il faut lutter", collectif Architoo

Rencontre avec plusieurs membres du collectif Architoo, composé d'enseignant·e·s-chercheur·e·s des écoles d'architecture et de paysage, un an après la publication de leur manifeste en faveur de l'égalité des genres et la parité au sein de ces établissements. Un chantier au long cours, à […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 41 jours

Partenariat : SMA et Trace Software International connectent Sunny Design et le logiciel photovoltaïque archelios™ PRO

Lyon, le 26 avril – SMA, spécialiste de l’ingénierie des systèmes pour le photovoltaïque et le stockage, et Trace Software International annoncent un partenariat autour de leurs solutions logicielles de conception d’installations photovoltaïques. L’interconnexion, entre l’outil de planification en ligne Sunny Design de SMA Solar Technology AG (SMA) et le logiciel de conception photovoltaïque archelios™ […]
Il y a 3 ans et 41 jours

Finir la ligne 14 pour les JO, priorité de la Société du Grand Paris

Jean-François Monteils, arrivé en mars 2021 à la tête de l'organisme public chargé de construire l'ouvrage, avait entériné plusieurs retards en juillet, pour cause de pandémie et de difficultés techniques. Notamment le premier tronçon de la ligne 16 en Seine-Saint-Denis, qui était présentée comme une liaison majeure pour les JO et n'ouvrira pas avant la mi-2026.Il reste dans le programme des JO les prolongements de la ligne 14, construits avec la RATP au nord jusqu'à Saint-Denis Pleyel --où doit être construit le village olympique-- et au sud jusqu'à l'aéroport d'Orly. "Aujourd'hui, je dors quasiment sur une oreille et demie, ce qui est beaucoup", affirme le patron de la SGP dans un entretien à l'AFP.La "sécurisation" de l'ouverture de "la 14" en mars-avril 2024 est un "objectif stratégique" qui occupe "des équipes dédiées", explique-t-il.Les choses avancent bien sur les autres lignes en travaux, remarque-t-il. Y compris sur des sections contestées, comme du côté du Triangle de Gonesse (Seine-Saint-Denis) ou sur le plateau de Saclay (Yvelines) où des opposants craignent que l'arrivée du métro n'entraîne une urbanisation à outrance.La SGP est chargée de construire, d'ici 2030, 200 km de métro automatique, avec quatre lignes nouvelles --numérotées de 15 à 18-- et les prolongements de la ligne 14. S'articulant autour d'une ligne circulaire, plusieurs branches doivent relier les aéroports d'Orly et Roissy, le pôle scientifique de Saclay et des quartiers sensibles de Seine-Saint-Denis."Ça serait très étonnant qu'il y ait zéro conséquence" sur les chantiers, du fait des actuels problèmes d'approvisionnement en matériaux et composants et de la poussée inflationniste. "Mais aujourd'hui, je suis strictement incapable de les chiffrer", précise M. Monteils."On est supervigilants !"Projets immobiliersQuelles hausses des prix peut-on attendre ? Sont-elles déjà couvertes dans les contrats ? Et si oui, la SGP, société publique, a-t-elle intérêt à mettre en difficulté des entreprises dont les marges sont faibles ?"Ça vaut le coup qu'on en reparle dans six mois", lance-t-il. Pour l'instant, il s'en tient au budget, réactualisé en octobre de 35,6 à 36,1 milliards d'euros.Même réponse quand on l'interroge sur d'éventuels retards supplémentaires : M. Monteils n'a pour le moment "pas d'éléments objectifs" qui iraient en ce sens.Reste qu'il faut encore lancer une bonne partie de la ligne 15 (circulaire) à l'ouest, au nord et à l'est de Paris. La SGP a décidé de passer pour ces 45 km quatre gros marchés de "conception-réalisation" pour en sous-traiter la construction. Les appels d'offres sont en cours, et les contrats doivent être signés en 2023 et 2024, l'objectif étant d'achever les travaux à l'horizon 2030."Il va falloir se battre pour rester dans les délais", reconnaît M. Monteils.Quant au financement du Grand Paris Express, il est assuré "à 76%", se réjouit-il. La SGP a emprunté des milliards d'euros quand les taux d'intérêt étaient bas. "On sait payer (les chantiers) jusqu'en 2027/28, aujourd'hui."En attendant, la SGP s'intéresse de plus en plus à l'aménagement des quartiers des futures stations. Elle veut mettre "un peu de planification" dans ces nouveaux morceaux de ville, parler interconnexion des moyens de transport et s'investir dans la construction de logements."On a créé une filiale, SGP Immobilier, qui va prendre des participations dans des sociétés civiles de construction-vente que l'on créera avec des promoteurs immobiliers, après consultation", explique son président."Une centaine" de projets ont été identifiés, représentant "un million de mètres carrés de planchers constructibles" dans des quartiers de gares totalisant 32 millions de mètres carrés potentiels, précise-t-il. Il compte choisir ses premiers partenaires dès cette année.Maintenant que le chantier est bien engagé, la SGP s'interroge aussi sur son avenir, et sur la valorisation qu'elle pourrait faire de son expertise, ailleurs, une fois que le supermétro francilien sera achevé. "C'est évidemment une question qu'on doit se poser", lance M. Monteils.
Il y a 3 ans et 41 jours

Ciment : une piste bas carbone avec le biochar et le carbonate de calcium

Des scientifiques du département d’ingénierie des systèmes de l’Université de l’État du Colorado ont étudié une nouvelle voie vers la réalisation d’un bâtiment neutre en carbone. La recherche s’est concentrée sur les effets de l’interaction du biochar et du carbonate de calcium dans du béton dit durable, pour leurs capacités de capture du carbone. Stockage du carbone à l’aide […]
Il y a 3 ans et 41 jours

À Paris, Dominique Perrault fait de l'emblématique poste du Louvre un morceau de ville

Rencontre avec plusieurs membres du collectif Architoo, composé d'enseignant·e·s-chercheur·e·s des écoles d'architecture et de paysage, un an après la publication de leur manifeste en faveur de l'égalité des genres et la parité au sein de ces établissements. Un chantier au long cours, à […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 41 jours

Géocomposites plus performants

DÖRKEN rénove sa gamme DELTA-TERRAXX, désormais composée des trois géocomposites de drainage DELTA-TERRAXX, DELTA-TERRAXX ULTRA et DELTA-TERRAXX LIGHT, solutions à toutes les problématiques liées aux venues d’eau sur, sous et autour des bâtiments : toitures- terrasses étanchées accessibles aux véhicules (lourds ou légers), aux piétons, toitures-terrasses végétalisées, drainage sous dallage (tapis drainants), parois verticales enterrées (soubassements), retrait- gonflement des sols argileux… La structure alvéolaire des géocomposites de la nouvelle gamme DELTA-TERRAXX, de même que leurs géotextiles filtrants, ont été repensés et améliorés pour offrir plus de résistance à la compression à court terme et à long terme lors de passages répétés de véhicules. La nouvelle gamme DELTA-TERRAXX accueille un nouveau type de géotextile filtrant anti-colmatage : des essais de colmatage faits au laboratoire ANTEA d’Orléans (rapport N° Lab20199 du 02/06/2021) démontrent que ceux-ci conservent une perméabilité à l’eau optimale dans le temps, dans tous les cas de figure, là où les géotextiles « classiques » présentent rapidement des signes de colmatage.
Il y a 3 ans et 43 jours

Création d’une prime au rétrofit électrique pour les véhicules lourds

Alors que les transports représentent aujourd’hui le premier poste d’émissions de gaz à effet de serre en France, 23% des émissions du secteur sont dues aux poids lourds, autobus et autocars. Une transformation en profondeur est indispensable pour atteindre l’objectif fixé de neutralité carbone à l’horizon 2050.Afin de soutenir cette transition, le Gouvernement crée une incitation à la transformation d’un poids lourd, d’un autobus ou d’un autocar à motorisation thermique en véhicule à motorisation électrique grâce à une prime au rétrofit électrique. Cette aide était jusqu’à présent réservée au rétrofit électrique d’une voiture particulière, d’un véhicule utilitaire léger, d’un deux-trois roues ou d’un quadricycle motorisé.Le montant de la prime s’élève à 40% du coût de la transformation du véhicule, dans la limite de 50.000 euros pour un poids lourd et de 30.000 euros pour un autobus ou un autocar.Retrouvez en ligne :Les modalités d’accès à la prime iciLe décret ici
Il y a 3 ans et 43 jours

100 millions d’euros débloqués face au risque de sécheresse

Face au risque de sécheresse, le gouvernement a nommé le préfet Frédéric Veau en qualité de délégué interministériel, le 28 avril. Avec une enveloppe de 100 millions d’euros, il accélérera la mise en œuvre des mesures inscrites au Varenne de l’eau conclu le 1er février dernier par le ministère de l’Agriculture.
Il y a 3 ans et 43 jours

RE2020 : le Conseil d'État rejette le recours pour inconstitutionnalité déposé par les filières du béton et de la terre cuite

Fin décembre 2021, plusieurs fédérations industrielles de la construction ont déposé une Question Prioritaire de Constitutionnalité auprès du Conseil d'État pour demander l'annulation « pour excès de pouvoir » des premiers décrets et arrêtés publiés en 2021 concernant les exigences et les méthodes de calcul de la RE2020. Ces organisations estimaient qu'une forme de favoritisme du recours au bois pour la construction de bâtiment était contraire à « la liberté d'entreprendre » et au « principe d'égalité ».« S'il est soutenu que les dispositions contestées établissent une différence de traitement entre la filière bois, qui présenterait de bons résultats en matière de stockage de carbone pendant la durée de vie des bâtiments, et les autres filières et matériaux, il résulte des termes des articles L. 171-1 et L. 171-2 du code de la construction et de l'habitation que les dispositions contestées s'appliquent indifféremment à tous les constructeurs et se bornent à introduire une exigence de résultats minimaux, sans identifier aucun matériau donné. Par suite, et en tout état de cause, il ne peut être sérieusement soutenu que ces dispositions porteraient atteinte au principe constitutionnel d'égalité devant la loi. »Avec la RE2020, « le législateur a entendu favoriser la réduction des émissions de gaz à effet de serre, dans un but de protection de l'environnement » en imposant une attente de résultats en termes de limitation de l'impact sur le changement climatique et calculée sur l'ensemble de la vie du bâtiment et en prenant compte du stockage de carbone durant le cycle de vie du bâtiment. Mais le Conseil d'État précise que « cette obligation n'impose toutefois pas aux acteurs de la construction un choix particulier de matériau, et ne fixe aucune prescription quantitative imposant directement une proportion de matériaux identifiés dans le bâti. L'atteinte ainsi portée à la liberté d'entreprendre des acteurs de la construction par le législateur n'est donc pas manifestement disproportionnée au regard de l'objectif d'intérêt général de protection de l'environnement ».Le Conseil d'État a donc déclaré dans sa décision du 29 mars « que la question de la conformité aux droits et libertés garantis par la Constitution des dispositions contestées ne présente pas un caractère sérieux. Il n'y a, dès lors, pas lieu de la renvoyer au Conseil Constitutionnel ».
Il y a 3 ans et 43 jours

L’UFC-Que Choisir défend devant le Conseil d’État le droit à un prix raisonnable de l'électricité

Alors que cette mesure salutaire est attaquée par plusieurs organisations syndicales d’EDF devant le Conseil d’État, l’UFC-Que Choisir intervient ce jour dans la procédure en soutien du gouvernement compte tenu des effets inflationnistes qui résulteraient de son annulation. L’association demande parallèlement au président de République de prendre toutes les mesures permettant d’écarter une potentielle explosion de 47% des factures d’électricité des consommateurs en 2023.Une mesure gouvernementale limitant la hausse des factures d’électricité contestée par les syndicats de salariés d’EDFAlors que la hausse du tarif réglementé de vente aux particuliers (TRV) aurait pu atteindre 35% TTC en 2022, le gouvernement – sous l’impulsion de la société civile et de la Commission européenne – a pris plusieurs mesures pour la limiter. Parmi elles, outre la baisse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (passée de 22,5 €/MWh à 1 €/MWh), le gouvernement a décidé d’agir sur l’ARENH, un dispositif permettant aux concurrents d’EDF d’acheter à un prix régulé une partie de sa production nucléaire. En relevant le plafond de l’ARENH de 100 à 120 TWh, EDF doit ainsi davantage rendre accessible à ses concurrents – et par capillarité faire bénéficier à leurs clients – l’avantage compétitif du parc nucléaire par rapport aux prix sur les marchés de gros.Les syndicats de salariés d’EDF attaquent actuellement devant le Conseil d’État les textes réglementaires précisant les modalités de ce relèvement du plafond de l’ARENH, en arguant notamment qu’il affaiblirait la situation financière d’EDF. S’il est vrai qu’EDF tirerait davantage profit de la vente de 20 TWh de sa production nucléaire sur les marchés à des cours en pleine ébullition autour de 200 €/MWh plutôt que d’en faire bénéficier les consommateurs français au prix régulé de 46,2 €/MWh, le véritable scandale réside dans le fait que les consommateurs sont privés depuis 2019 de la pleine jouissance de la rente nucléaire (1) alors qu’ils ont financé la construction des centrales, et sont ainsi artificiellement surexposés aux prix de l’électricité sur les marchés internationaux.Une annulation de la hausse du plafond de l’ARENH pourrait entraîner un rattrapage tarifaire de 16%Si la faible sensibilité de ces syndicats au montant de la facture d’électricité peut s’expliquer (puisque les salariés d’EDF bénéficient de « l’avantage énergie » : gratuité de l’abonnement, fourniture d’électricité à un prix équivalent à 4% du prix de base et exonération des taxes) (2), pour l’immense majorité des consommateurs, le prix de l’électricité constitue une préoccupation aussi forte que légitime. Et les conséquences qu’aurait pour les consommateurs une annulation du plafond de l’ARENH seraient concrètes et désastreuses. En effet, en se focalisant sur les seuls intérêts pécuniaires d’EDF, le recours de ses syndicats de salariés passe sous silence le fait qu’une telle annulation contraindrait vraisemblablement les concurrents d’EDF à augmenter leurs prix, mais que surtout les 65% de ménages au TRV seraient également affectés, puisque le TRV est calculé de telle sorte que plus la quantité d’électricité vendue au tarif de l’ARENH est limitée, plus son prix est élevé (3).Concrètement, si la hausse du TRV en 2022 n’avait pas été plafonnée à 4% par le gouvernement, elle aurait atteint 20% avec un plafond d’ARENH à 100 TWh. D’après les calculs de l’UFC-Que Choisir cette hausse aurait été réduite à 10% avec un plafond à 120 TWh. Dès lors, annuler les textes administratifs permettant aux fournisseurs alternatifs d’avoir accès à 20 TWh supplémentaires pourrait aboutir à ce qu’un rattrapage tarifaire de 16% soit effectué sur les factures des consommateurs en 2023 au titre du plafonnement à 4% effectué en 2022. En effet, bien que le gouvernement se soit engagé à ne pas procéder à un tel rattrapage, le flou demeure sur l’effectivité de cette promesse (4).Attention au scénario catastrophe en 2023 : + 47 % de hausse des factures !Limiter le risque d’un rattrapage massif sur les factures en 2023 est d’autant plus indispensable qu’un tel rattrapage viendrait s’ajouter à une hausse des factures qui pourrait déjà être phénoménale hors rattrapage. En effet, compte tenu de la cherté actuelle de l’électricité sur les marchés de gros et de l’absence d’arguments plaidant pour une baisse tangible au cours des prochains mois, l’UFC-Que Choisir estime (5) que la hausse du tarif réglementé en 2023 pourrait faire flamber les factures des consommateurs de 32%. Ainsi, un ménage moyen chauffé à l’électricité verrait sa facture bondir de 1 615 euros à 2132 euros. Si en plus un rattrapage tarifaire intégral en 2023 lié au plafonnement en 2022 du TRV devait avoir lieu, c’est une facture annuelle d’électricité de 2 380 euros (+765 euros, soit +47,3%, par rapport à 2022) qui viendrait peser lourdement et indûment sur le pouvoir d’achat des consommateurs. Soucieuse de préserver le pouvoir d’achat des consommateurs en assurant qu’ils puissent pleinement bénéficier de la compétitivité du parc nucléaire qu’ils ont financé, l’UFC-Que Choisir a donc décidé d’intervenir devant le Conseil d’État pour soutenir le bien-fondé de la décision du gouvernement d’augmenter le plafond de l’ARENH à 120 TWh en 2022. De plus, compte tenu de l’inquiétante perspective inflationniste des factures d’électricité en 2023, l’association presse le Président de la République : D’assurer que l’engagement pris par le ministre de l’Économie de ne pas faire supporter en 2023 aux consommateurs un rattrapage de factures au titre du plafonnement du TRV en 2022 soit traduit dans les faits ; De prendre au plus vite l’ensemble des dispositions permettant de limiter la hausse du TRV en 2023 (augmentation du plafond de l’ARENH à 150 TWh comme le permet la loi, fin de la TVA sur les taxes…). Notes (1) En raison du mécanisme d’écrêtement des demandes ARENH, précédemment décrit dans le détail par l’UFC-Que Choisir. Notons que l’UFC-Que Choisir déplore l’organisation actuelle du marché de l’électricité et formule des propositions de réformes (cf. Ibid.). (2) https://www.ccomptes.fr/system/files/2019-02/06-politique-salariale-EDF-SA-Tome-2.pdf (3) Cf. Ibid. (4) https://www.quechoisir.org/billet-du-president-plafonnement-du-prix-de-l-electricite-la-fausse-promesse-du-gouvernement-n98264/ (5) En se basant sur la formule officielle de calcul du TRV, et en prenant pour hypothèse un prix moyen du produit calendaire base 2023 de 200 €/MWh d’ici à la fin de l’année (un chiffre inférieur à celui actuellement constaté), un prix de 300 €/MWh pour le produit de pointe, et un maintien des autres paramètres ayant dicté l’élaboration du TRV en 2022 (frais de réseaux, prix sur le marché de capacité, coûts commerciaux et marge d’EDF).
Il y a 3 ans et 43 jours

Le jalonnement cyclable franchit un cap de cohérence

La bible du jalonnement des réseaux et itinéraires cyclables se désigne déjà par son acronyme : le Jarlic, promis au destin de « best-seller de l’écosystème vélo du printemps 2022 » selon Camille Thomé, directrice de l’association de collectivités Vélo & Territoires. 500 internautes réunis par cette dernière ont assisté, le 15 avril, au webinaire de présentation de ce guide de référence pour la maîtrise d’ouvrage départementale et intercommunale.
Il y a 3 ans et 44 jours

Podcast #12 – Arcosanti : Et au milieu du désert, une cité utopique

Raconté par Muriel Carbonnet – Production & réalisation : Sivagami Casimir Article original paru en juillet 2021 dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine C’est une ville en béton compacte et éco-responsable, conçue dans les années 1970 et édifiée depuis par plus de 8 000 personnes. Elle émerge du désert de la Sonora, à 110 km, au Nord de Phoenix, en Arizona, aux Etats-Unis. Ici l’architecture est travaillée. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. Vous êtes à Arcosanti, une cité écologique créée de toutes pièces par l’Italo-Américain Paolo Soleri (1919-2013). ACPresse · Podcast ACPresse Arcosanti Ecolos avant l’heure Adepte de l’Arcologie (contraction d’architecture et d’écologie), l’architecte voulait montrer qu’il était possible de développer un projet urbain unique. Tout en respectant l’environnement. Thème peu en vogue il y a 50 ans – en dehors peut-être du mouvement hippie -, mais qui trouve tout son sens à notre époque. Ses idées semblent aussi logiques qu’attrayantes… Il s’agit bien d’un “laboratoire urbain”, comme l’annonce le panneau de bienvenue aux portes d’Arcosanti. Dans cette ville idéale auto-suffisante, les habitants n’ont plus besoin de voitures, la notion même de route n’a plus aucun sens. Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Fini aussi les ampoules le jour, l’air conditionné l’été, même au beau milieu du désert ! L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte aurait semé çà et là. Un zeste loufoque.  Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Ici, le Café, moments conviviaux en perspective. [©Elitemedia.network] Les principes de l’Arcologie Le projet s’appuie sur une structure communautaire dirigée par Paolo Soleri. Les réalisations d’Arcosanti ont toutes été construites avant 1990. Le “Crafts III” sert de centre d’accueil pour les visiteurs. Il comprend des magasins et des logements. Sa climatisation est passive organisée autour de systèmes de ventilation et de grandes baies. Le “Ceramics Apse” est une abside en béton coulé en place, en utilisant un moule en terre. Sa forme permet de capter le maximum de lumière en hiver et le minimum en été. On y fabrique des carillons éoliens (“Wind Bell”), l’une des sources de revenus de la communauté. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. [©Rosa Menkman]L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte Paolo Soleri aurait semé çà et là. [©Jan Pauw]Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. [©Ted Major] Le béton à l’honneur Le “East & West Housing” est un bâtiment d’habitation en béton coulé en place ou préfabriqué. Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau non jointives et ouvertes à leurs extrémités, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… Leur partie inférieure est réalisée en béton aussi, tandis que leur partie supérieure est formée de panneaux de béton préfabriqués. Des espaces sont accolées de part et d’autre sur le côté Est pour le stockage et l’atelier paysagiste. Et sur le côté Ouest pour les activités commerciales. Le sommet de la voûte sert de belvédère… Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. [©Cody from Phoenix]Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… [©Graeme Maclean] Piscine au milieu du désert environnant. [©heather vescent] Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. Défendant toujours les principes de Paolo Soleri, même après sa disparition… Et qui fera peut-être de nouveaux adeptes, l’écologie étant dans l’air du temps ! En savoir plus sur la cité d’Arcosanti Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 44 jours

Cathédrale de Notre-Dame, ressources franciliennes, lieux publics privés : 3 expositions d’architecture à visiter ce week-end

En apprendre plus sur les ressources qui permettent de construire les villes, découvrir l'histoire de la ...More about Cet article Cathédrale de Notre-Dame, ressources franciliennes, lieux publics privés : 3 expositions d’architecture à visiter ce week-end est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 44 jours

Un projet Bercy-Charenton à Paris plus vert et moins dense

Les travaux de ce serpent de mer parisien, dont les premières études remontent au milieu des années 2000 sous le précédent maire Bertrand Delanoë, doivent désormais débuter "au mieux" en 2025 pour livraisons entre 2028 et 2030, a indiqué M. Grégoire lors d'une conférence de presse à l'Hôtel de Ville.Il n'y a aura aucun bâtiment de plus de 50 m de haut et la surface totale construite diminuera de moitié, passant de 500.000 m2 à 230.000 m2, notamment en raison de la création d'un parc d'au moins 3 hectares au cœur du futur quartier, a annoncé le bras droit de la maire PS Anne Hidalgo.Des immeubles devaient à l'origine être construits à l'emplacement de ce parc, sur un triangle de pleine terre situé au milieu de faisceaux ferroviaires.Juste à côté, une ancienne gare de marchandises aujourd'hui désaffectée sera elle finalement conservée dans un esprit de "préservation totale de l'héritage ferroviaire", a souligné M. Grégoire.Résultat, le projet ne prévoit plus que d'accueillir 3.500 habitants au lieu des 9.000 prévus en 2018, a indiqué M. Grégoire, même si 2.200 de plus pourraient être à terme logés dans des bureaux réversibles.Le projet vise à désenclaver non seulement la zone coincée entre les rails menant aux gares de Lyon et Bercy, la petite ceinture désaffectée, le périphérique et la Seine, mais aussi la commune voisine de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne), via le prolongement de la rue Baron Le Roy qui sera surélevée pour franchir les boulevards des Maréchaux.Avec cette refonte, Bercy-Charenton "devrait coûter moins cher" à la Ville, avec 150 millions de déficit au lieu de 200 millions dans le projet d'origine, qui "imposait trop de lourdes contraintes", a souligné M. Grégoire, rappelant que l'aménageur de la Ville, la Semapa, doit racheter les terrains à la SNCF pour ensuite les revendre.Le compromis trouvé entre socialistes, Verts et communistes, les trois composantes de la majorité d'Anne Hidalgo, est très favorable aux écologistes. Présente lors de la conférence, Emmanuelle Pierre-Marie, la maire EELV du XIIe arrondissement, s'est félicitée de "l'absence d'immeuble de très grande hauteur" qui a "permis de trouver des consensus"."C'est une concession du groupe communiste, sinon il n'y avait rien", a réagi auprès de l'AFP Nicolas Bonnet-Oulaldj, chef des élus communistes parisiens et élu du XIIe."Si le projet ne sort pas, on n'aura rien fait du mandat", a ajouté l'élu communiste en insistant sur le respect de "l'équilibre" trouvé pour les "logements et équipements publics", dont une future piscine "très attendue" dans un arrondissement qui n'en compte que deux pour 140.000 habitants."L'abandon des immeubles de grandes hauteurs de 180 mètres de haut est une avancée indéniable" mais "les immeubles prévus atteignent tout de même 50 mètres et sont très concentrés, ce qui préfigure de véritables îlots de chaleur urbain", a réagi de son côté Valérie Montandon, opposante LR de l'arrondissement.
Il y a 3 ans et 44 jours

Grand Témoin: Valérie David, dir. développement durable/innovation transverse d'Eiffage

INTERVIEW. Valérie David a rejoint le groupe Eiffage fin 2007, comme directrice du développement durable. Dix ans plus tard, elle y ajoute une casquette consacrée à "l'innovation transverse". Son regard sur l'actualité des derniers mois, les grands enjeux qui l'animent, ses réflexions, sa vision, son message aux professionnels et son portrait en cinq traits sont à découvrir dans ce grand entretien.
Il y a 3 ans et 44 jours

Autodesk rachète Spacemaker spécialiste de l'IA pour l'aménagement urbain

A l'occasion d'Autodesk University, Autodesk annonce avoir signé un accord définitif pour acquérir Spacemaker pour un montant de 240 millions de dollars nets (environ 203 millions d'euros). Basé à Oslo en Norvège, Spacemaker utilise l'intelligence artificielle et la conception générative pour aider les architectes, les urbanistes et les promoteurs immobiliers à prendre plus rapidement et de façon mieux avisée, des décisions dans les premières phases d'une opération (en particulier lors des études d'avant-projet). Cela permet également d'intégrer les perspectives de durabilité dès le départ. En évaluant très rapidement, les meilleures options de conception, Spacemaker aide les architectes à optimiser les investissements immobiliers de leurs clients sur le long terme. L'acquisition de Spacemaker dote Autodesk d'une plateforme puissante capable d'apporter, grâce à l'intelligence artificielle, des fonctions modernes et accessibles d'automatisation, et d'accélérer la productivité des architectes en matière de design.Grâce à Spacemaker, les architectes peuvent rapidement créer et évaluer des options de conception relatives à un bâtiment ou à un aménagement urbain. Avec l'intelligence artificielle comme partenaire de l'architecte, la plateforme Spacemaker permet aux utilisateurs de générer, d'itérer et d'optimiser très tôt diverses options de conception, tout en tenant compte des critères de conception et des données comme le terrain, les cartes, le vent, l'ensoleillement, le trafic... Spacemaker génère rapidement des options de conception optimisées pour exploiter au mieux le site. De meilleurs résultats sont ainsi obtenus dès le départ. Les concepteurs peuvent alors se concentrer sur la partie créative de leur métier.« Spacemaker dispose d'une connaissance approfondie de l'automatisation et donne aux concepteurs la possibilité de créer et de tester des idées d'aménagement urbain en quelques minutes », explique Andrew Anagnost, PDG et Président d'Autodesk. « Avec deux milliards d'habitants en plus sur notre planète d'ici 2050, concevoir rapidement et durablement des plans d'aménagement urbain doivent être une priorité. La technologie de Spacemaker apporte un changement fondamental dans la façon dont nous imaginons et construisons les villes, tout en préservant la santé de la population et celle de la planète. »« Chaque décision que nous prenons reflète nos valeurs. L'acquisition de Spacemaker souligne notre engagement à accompagner les architectes et les designers à changer le monde pour le meilleur », déclare Amy Bunszel, vice-présidente principale pour les solutions de conception AEC (architecture, ingénierie, construction) chez Autodesk. « Associée à nos technologies et à nos équipes, la solution révolutionnaire de Spacemaker permettra aux designers de prendre des décisions de conception plus avisées et de contribuer à résoudre certains des plus grands défis qui nous attendent tous. »« Il y a quatre ans, nous nous sommes donnés pour mission d'aider les équipes de conception, d'ingénierie et de projet à réinventer le développement des villes et des quartiers dans le monde entier, pour qu'ils soient plus durables tout en maximisant l'investissement », a déclaré Havard Haukeland, PDG et cofondateur de Spacemaker. « Autodesk partage notre vision : celle de concevoir une planète plus saine pour tous. De plus, Autodesk dispose d'un réseau international unique qui permettra de rendre disponible notre solution plus rapidement auprès des équipes de planification. C'est une étape importante pour notre équipe et pour ceux qui nous ont soutenus depuis le début. »« En Norvège, les promoteurs immobiliers sont à l'avant-garde de la transformation numérique dans le secteur du bâtiment. Cela se traduit à la fois par une rentabilité accrue des projets mais surtout par une meilleure capacité à lutter contre le changement climatique grâce à des développements immobiliers plus durables », a déclaré Daniel Kjørberg Siraj, PDG d'OBOS. « Les entreprises qui rebattent les cartes telles que Spacemaker font partie de la solution. Aussi, il est primordial de leur ouvrir la voie dont ils ont besoin pour avoir cet impact. En tant qu'investisseur et utilisateur de la première heure, je suis très heureux de voir Spacemaker rejoindre Autodesk. J'attends avec impatience de voir cette technologie d'origine norvégienne transformer l'industrie à l'échelle mondiale. »
Il y a 3 ans et 44 jours

Grafton lauréat du prix Mies van der Rohe 2022 avec le projet Town House

Rencontre avec plusieurs membres du collectif Architoo, composé d'enseignant·e·s-chercheur·e·s des écoles d'architecture et de paysage, un an après la publication de leur manifeste en faveur de l'égalité des genres et la parité au sein de ces établissements. Un chantier au long cours, à […] Lire l'article