Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61902 résultats)
Il y a 4 ans et 65 jours

Treetek : immeuble mixte bois et béton à Lille

Tereneo, filiale de Nexity, a livré à INEA l’immeuble Treetek, en structure mixte bois et béton aux performances environnementales exceptionnelles, au sein du pôle d’excellence dédié au numérique EuraTechnologies à…Cet article Treetek : immeuble mixte bois et béton à Lille est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 65 jours

Refaire place : esplanade publique et petit commerce en centre bourg par Bauchet & de La Bouvrie

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°295-avril 2021) et disponible en format numérique: un événement sur l'enseignement de l'architecture et les débats qui agitent les enseignants des Ensa, un dossier sur l'habitat pour séniors, des détails "cloisons mobiles" et une […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 65 jours

A Beyrouth, la Tour Aya, signée SOA

Après 36 mois de travaux, l’agence parisienne SOA architectes (Augustin Rosenstiehl) a livré en janvier 2021 à Beyrouth (Liban) la Tour Aya, un immeuble de 7 254 m² SDP. L’ouvrage, édifié pour HAR Properties maître d’ouvrage pour 25 M€ HT compte 45 logements, bureaux et commerces. Dans le quartier historique de Mar Mikhael, une tour […] L’article A Beyrouth, la Tour Aya, signée SOA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 65 jours

Deux cycles de conférences à l'EPFL

La galerie d’architecture Archizoom, affiliée à l’EPFL, organise son cycle de conférences semestrielles Superonda Talks sur le thème d’architecture et environnement. Ce semestre, le cycle est organisé par le philosophe Sébastien Marot, professeur invité à l’EPFL et fondateur de la revue de critique d’architecture Le Visiteur et l’architecte Raphaël Bach.   Depuis 2019, chaque semestre, la galerie Archizoom propose de développer l’un des thèmes de recherches de...
Il y a 4 ans et 66 jours

Décès de Bernard Delabrèche, ancien prescripteur chez Pieri

Bernard Delabrèche, anciens collaborateurs chez Pieri est décédé. C’est avec une profonde tristesse que GCP Applied Technologies nous apprend le décès de Bernard Delabrèche, un de ses anciens collaborateurs. « Bernard a marqué de son empreinte les étapes importantes du développement de l’entreprise Pieri », indique l’industriel dans un communiqué. Entré en 1987, Bernard Delabrèche a participé au développement et au lancement des agents de démoulage, des premières fibres synthétiques en France. Puis, il est devenu responsable des ventes pour la région Ile-de-France. De 1997 jusqu’à sa retraite en 2009, il a exercé en qualité de prescripteur des produits Pieri, mission qu’il a poursuivie en tant que consultant jusqu’en 2020, en particulier auprès des architectes. « Il laissera l’image d’une personne appréciée, reconnue par ses pairs et l’ensemble de la profession, inlassable promoteur des produits Pieri et du béton architectonique. »
Il y a 4 ans et 66 jours

Victoire pour Mallet-Stevens

Après deux ans d'une longue bataille juridique, les membres de l'association Mont 14 et les habitants ...En savoir plus Cet article Victoire pour Mallet-Stevens est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 66 jours

Crédit immobilier : La baisse du taux d'usure risque de pénaliser les emprunteurs les plus fragiles

Celle-ci pourrait générer un effet ciseau particulièrement préjudiciable aux emprunteurs les plus modestes, et dont le dossier nécessite de négocier des intérêts plus élevés (banques et assurance-de prêt compris)... Afin de permettre à ces emprunteurs d'accéder à un crédit immobilier dans ce contexte, la Centrale de Financement propose des solutions de financement sur-mesure et parvient à réduire significativement le coût de l'assurance, grâce à une délégation d'assurance adaptée.Au 1er avril 2021, la Banque de France a révélé les nouveaux taux de l'usure appliqués au crédit immobilier, pour ce deuxième trimestre : pour les prêts d'une durée de 10 à 20 ans, le taux d'usure est réévalué à 2,52% (contre 2,57% au premier trimestre 2021) ; pour les prêts d'une durée de 20 ans ou supérieure à 20 ans, celui-ci s'élèvera à 2,60% (contre 2,67% au trimestre précédent). Conçu pour protéger l'emprunteur contre des taux de crédit immobiliers supérieurs à ce taux plafond, le taux d'usure joue un rôle de régulateur de l'économie dans son ensemble. Réévalué tous les trimestres par la Banque de France, il ne s'applique pas uniquement au taux d'emprunt proposé par la banque, mais au Taux Annuel Effectif Global (TAEG) qui inclut l'assurance emprunteur et les frais annexes. Seniors et profils considérés comme « à risque » : les emprunteurs les plus pénalisés par la baisse du taux d'usureL'effet ciseau, généré par la réduction de l'écart entre les seuils de l'usure et les taux pratiqués par les banques, a réduit de manière significative la marge de négociation pour les emprunteurs considérés comme « à risque » par les assureurs. Avec un coût de l'assurance de prêt plus conséquent, les seniors, les personnes exerçant un métier exposé à des risques d'accident ou d'invalidité, ou les emprunteurs poly-pathologiques sont donc particulièrement exposés au refus de leur dossier, en raison d'un dépassement probable du taux d'usure...Lutter contre l'effet pervers du taux d'usure, grâce à la délégation d'assuranceAfin de permettre aux ménages impactés par cet effet ciseau d'accéder à un crédit immobilier dans les meilleures conditions possibles, la Centrale de Financement propose des solutions de financement sur-mesure et parvient à réduire significativement le coût de l'assurance, grâce à une délégation d'assurance adaptée.Le montant de l'assurance de prêt varie selon l'état de santé du contractant au prêt. Si ce dernier est atteint d'une ou plusieurs pathologies, le montant de l'assurance proposé par les Banques, généralement un contrat d'assurance groupe négocié en amont avec un assureur, peut être suffisamment important pour que son Taux Annuel Effectif Global (TAEG) atteigne rapidement le taux d'usure en vigueur. Le montant des assurances crédit proposées par les banques se base généralement sur le calcul d'un taux moyen établi selon le profil de l'emprunteur, et appliqué au montant total du capital emprunté.Or, avec une délégation d'assurance, l'emprunteur bénéficie de garanties d'assurance véritablement adaptées à son profil et ses capacités financières. Elle permet de bénéficier d'un remboursement évolutif et se base non pas sur le capital total à rembourser mais sur ce qui reste à rembourser par l'emprunteur. Ainsi, tout au long du remboursement du prêt, le montant de l'assurance diminue et engendre des mensualités moins importantes pour l'emprunteur, lui permettant de contracter un prêt immobilier dans les meilleures conditions« Grâce à notre important réseau de partenaires assureurs, nous avons réellement la possibilité de proposer la délégation d'assurance la plus pertinente et la plus adaptée aux besoins de nos clients, quels que soient leur situation financière ou leur profil. », ajoute Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement.Avril 2021 : les taux diminuent à nouveauAprès une légère remontée des taux de crédit immobilier au mois de mars 2021, le mois d'avril débute avec une nouvelle baisse, sur la plupart des durées d'emprunt. Ainsi, avec les taux annoncés en avril 2021, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000€ sur 25 ans à 1,22%, verra sa mensualité s'élever à 696,42 euros pour un coût total de crédit de 28 926 euros, soit 6,5% de moins que le mois précédent (correspondant à une économie de près de 2 000 euros) pour un prêt de la même durée et du même montant.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens d'avril 2021 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0.03%, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : pour les prêts sur 7 et 15 ans, les taux de crédit sont restés stables par rapport au mois précédent. Les diminutions de taux de crédit les plus significatives s'observent principalement pour les prêts contractés sur 12 ans et 25 ans, avec une baisse des taux de crédit de 0.07% et 0.05% respectivement par rapport à mars 2021.Les meilleurs taux immobiliers d'avril 2021 par durée d'empruntLes meilleurs taux obtenus sur le mois d'avril 2021 sont plus avantageux que ceux obtenus au mois de mars 2021, pour les prêts contractés sur une durée de 15 ans, avec une baisse de 0.05% des taux obtenus, ainsi que pour les prêts d'une durée de 7 ans, et pour ceux d'une durée de 25 ans, avec une diminution de 0.02%. Pour les prêts contractés sur 10 et 12 ans, les meilleurs taux obtenus en avril 2021 restent, quant à eux, stables et identiques à ceux du mois précédent.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en mars 2020
Il y a 4 ans et 66 jours

L’EFB et l’ESTP lancent le parcours de formation “ACV Digital Learning”

L’EFB et l’ESTP lancent le parcours de formation “ACV Digital Learning”. [©ESTP Paris] Pour la rentrée 2021, l’Ecole française du béton (EFB) et l’ESTP Paris lancent un nouveau parcours de formation : l’ACV Digital Learning. Dès septembre prochain, les élèves ingénieurs de l’ESTP Paris seront formés à une approche éco-responsable, globale, multi-critères et multi-échelles. Couvrant tout le cycle de vie d’un ouvrage depuis sa construction jusqu’à sa fin de vie. Cette innovation pédagogique sera aussi accessible à tous sur la plate-forme de l’EFB.  La formation permettra à celles et ceux qui la suivront de se familiariser avec les règlementations en vigueur. Ou celles à venir. Et de manipuler sur une étude de cas concrète l’outil ACV (analyse du cycle de vie) des produits en béton. Il est aujourd’hui indispensable pour les acteurs du secteur de pouvoir mesurer leurs impacts. Et d’éco-concevoir le mieux possible le monde de demain. En utilisant les meilleurs outils à disposition, en intégrant toutes les composantes environnementales sociétales et économiques. Et en impliquant tous les acteurs. Au travers de vidéos et témoignages, cette formation permettra de découvrir dans un contexte de RSE, quels sont les enjeux des acteurs de la construction : maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, industriels en France et dans le monde. Qu’est-ce que l’ACV ? L’ACV est l’outil le plus abouti en matière d’évaluation globale des impacts environnementaux. Cette méthode normalisée permet de mesurer les effets quantifiables de produits ou de services sur l’environnement. L’ACV recense et quantifie, tout au long de la vie des produits, les flux physiques de matière et d’énergie associés aux activités humaines. Elle en évalue les impacts potentiels. Puis, interprète les résultats obtenus en fonction de ses objectifs initiaux. La création de cette nouvelle formation s’inscrit dans un contexte. Où les acteurs du béton cherchent à diminuer toujours plus l’impact des nouveaux produits développés sur l’environnement. Et ce, dans l’optique de la future RE 2020. Depuis de nombreuses années, les chercheurs mettent au point de nouveaux bétons bas carbone. Et valorisent le réemploi avec le recyclage de granulats de béton issus de la déconstruction. « Le béton est un matériau clef de la construction, que ce soit pour les logements, les équipements, les infrastructures ou encore les ouvrages du génie civil. Loin de l’image de produit dépassé et producteur de CO2que certains lui prêtent, le béton est à même de faire face aux enjeux du XXIesiècle. Construire en béton aujourd’hui, c’est utiliser le bon matériau au bon endroit », rappelle l’EFB. Depuis le 29 mars dernier, seize vidéos de témoignages concernant le béton et la transition écologique sont diffusées sur les réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn et Twitter) de l’EFB. Le lien de la bande annonce du parcours ici.
Il y a 4 ans et 66 jours

Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy »

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Nelson Morgado est le président de Quali Parts & Services. [©Michel Roche] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Qui est Quali Parts & Services (QPS) ? Quels sont ses domaines de compétence ? Nelson Morgado :Au départ, QPS a été créé pour les besoins internes de Quali Pompage. Son rôle était d’assurer l’entretien et les réparations courantes de nos pompes à béton. Un service que nous avons élargi à d’autres sociétés possédant du matériel de pompage et ayant les mêmes besoins. Chez QPS, nous sommes tous des techniciens du pompage, avec une excellente connaissance des matériels et des problématiques de pompage. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 66 jours

Deux ans après l'incendie de Notre-Dame de Paris, où en est le chantier de restauration ?

PATRIMOINE. Le mois d'avril 2021 sera marqué par le triste "anniversaire" de l'incendie qui a ravagé une partie de la cathédrale Notre-Dame de Paris : il y a deux ans, les flammes emportaient de nombreux et précieux éléments structurels de l'un des symboles de la capitale et de l'histoire de France. Retour sur les travaux qui ont été accomplis depuis, et sur ce qui reste encore à faire.
Il y a 4 ans et 66 jours

Travaux de toiture : quels sont les éléments indispensables à respecter?

A la base, il est important de noter que votre charpente joue un rôle stratégique dans la structure de votre maison. En effet, elle contribue à la protection des occupants tout en assurant votre confort intérieur. De plus, elle vous offre une grande qualité esthétique en rehaussant le design extérieur de votre immeuble. Autrement dit, il est crucial de réaliser de manière systématique vos travaux de toiture, si vous souhaitez garantir sa longévité. Toutefois, vous devez noter que ces opérations se passent en hauteur, ce qui nécessite un certain sang-froid et une grande capacité de résistance aux pressions. Par conséquent, il est recommandé de faire appel à une entreprise de couverture pour mener à bien votre chantier. Les normes à suivre Dans la pratique, les travaux de toiture sont des opérations très complexes qui demandent une grande maîtrise technique. En effet, une petite erreur de calcul peut engendrer de graves conséquences notamment pour les vieilles maisons. Leurs charpentes présentent une certaine fragilité qui risque d’entraîner facilement leur affaissement ou de favoriser les infiltrations dans le cas d’un toit-terrasse. Recourir au service d’une entreprise de couverture comme https://www.travaux-toiture-31.fr/ vous permet ainsi de bénéficier d’une prestation de qualité. Pour ce faire, ce professionnel respectera les étapes suivantes pour réaliser la rénovation de votre charpente : Evaluation de l’état de votre armature, Diagnostic de l’existant, Planification des interventions utiles en tenant compte de la forme du toit, l’ensemble des revêtements récupérable, le type d’isolation. Préparations du chantier (papiers administratifs…), Dépose de la toiture, Les formalités administratives indispensables Dans la plupart des cas, les propriétaires préfèrent garder les mêmes types de couvertures, en cas de remplacement lors des travaux de toiture. Dans cette optique, vous n’avez pas besoin remplir des formalités administratives. Autrement, faire appel à une entreprise de couverture qualifié vous offrira l’avantage de bénéficier de précieux conseils dans les trois scénarios qui suivent. Et ce, compte tenu du fait qu’ils visent particulièrement à transformer l’aspect esthétique ou la disposition de votre propriété. A savoir : la vision extérieure du revêtement ou de la charpente. En effet, quand vous décidez de changer de style de votre architecture ou d’implanter de nouveaux accessoires, il est nécessaire de faire une déclaration auprès votre localité. la surélévation ou l’ajout d’un étage nécessite une demande de permis de construire. le changement de la structure extérieure de toute votre bâtisse requiert l’obtention d’un visa de la part de votre mairie. Notamment si vous sous situez à proximité d’un monument et d’un parc régional. Il vous informera à l’occasion qu’il est impératif de prendre une autorisation pour l’utilisation d’un échafaudage durant l’intervention, particulièrement s’il vient empiéter sur la voie publique. L’importance de la performance de votre toiture De façon concrète, vous devez noter que votre revêtement assure en moyenne 30 % du maintien de la chaleur dans votre maison. De ce fait, si vos travaux de toiture sont mal faits, vous verrez votre facture d’énergie augmenter exponentiellement. Ainsi, faire appel à un professionnel en travaux de toiture vous permettra de profiter d’un bon système isolation par extérieur, si vous le souhaitez. Vous aurez aussi l’opportunité de bénéficier de plus d’espaces habitables tout en préservant votre confort thermique. Il peut également vous conseiller d’utiliser des panneaux photovoltaïques, pour vous laisser la possibilité de produire votre propre énergie renouvelable. Ce qui favorisera la diminution de votre consommation. De plus, vous aurez l’avantage d’avoir belle maison dotée d’une esthétique moderne et à la fois élégante.
Il y a 4 ans et 66 jours

Le marché des matériaux de construction retrouve une certaine dynamique

Portées par un contexte conjoncturel plutôt bien orienté côté bâtiment, les productions de béton alimentent des chantiers de gros œuvre dont le stock reste soutenu par des retards et délais de réalisation allongés du fait du contexte sanitaire ; quant aux granulats, l'activité bénéficie pour le moment d'un effet de rattrapage des anciens chantiers TP, dans l'attente de carnets de commandes plus garnis, notamment avec la mise en œuvre des mesures du Plan de relance. Dans un cas comme dans l'autre, la demande de matériaux vit actuellement de ses acquis et reste tributaire du rythme d'exécution des carnets en cours, côté bâtiment, et du timing d'arrivée des nouveaux appels d'offre, côté TP.Un mois de février dans la moyenneSelon les premières estimations pour le mois de février, l'activité des matériaux aurait décroché par rapport à janvier mais aussi au regard de l'an passé. Toutefois, cette évolution est à relativiser en raison du niveau élevé observé début 2020. Ainsi, dans les granulats, la production aurait reculé de -6,5% par rapport à janvier (données CVSCJO provisoires) et de -7,5% par rapport à février 2020 mais se situe exactement dans la moyenne des dix dernières années. Pour autant, grâce à un bon mois de janvier, les volumes se sont maintenus sur les trois derniers mois comparés aux trois mois précédents (+0,5%) mais s'affichent en recul au regard de la même période de l'an passé (-2,6%), par un effet de base assez logique. En cumul sur les deux premiers mois de 2021, les productions de granulats cèdent -4,3% comparé à l'an passé tandis qu'en cumul sur douze mois glissants, la baisse atteint -8,5%. Du côté du BPE, les livraisons se sont contractées de -6,5% par rapport à janvier et de -6,2% sur un an mais surplombent de 2% la production moyenne d'un mois de mars sur ces vingt dernières années. En dépit d'un bon mois de janvier là aussi, l'activité sur le dernier trimestre a reculé par rapport à septembre-novembre (-2,2%) mais aussi, bien sûr, par rapport à la même période de l'an passé (-1,7%).En cumul sur deux mois,la production de BPE s'inscrit en repli de -4,2% sur un an et de -9,9% en cumul sur douze mois.A partir du mois de mars, toutes les évolutions en glissement annuel seront « dopées » par un effet de base devenu très favorable mais pour l'heure, l'indicateur matériaux, provisoire pour février, se replie de -4,2% sur un an (CJO) après une baisse de -6,4% sur l'ensemble de l'année 2020.Le bâtiment « vit sur ses carnets » encore bien garnisUne fois n'est pas coutume, les entrepreneurs du bâtiment, interrogés en mars par l'INSEE, ont confirmé leur optimisme pour les prochains mois, anticipant même une amélioration de l'activité. Leurs carnets de commandes, toujours rivés à plus de 9 mois dans le gros œuvre, sont même jugés mieux garnis qu'en février et les perspectives d'embauche mieux orientées. L'activité du secteur semble donc pour le moment alimentée par un stock important de chantiers en cours ou à réaliser, héritage d'un rebond des permis enregistré avant l'arrivée de la crise sanitaire. Côté construction pourtant, les derniers chiffres des mises en chantier, bien que souvent révisés, témoignent d'un recul sensible, de -3,1% au cours des trois derniers mois, à fin février, comparé au trimestre précédent. En cumul sur un an, on dénombre ainsi 351 900 logements commencés (-9,5% sur un an). Côté permis, le redressement amorcé ces derniers mois semble s'essouffler (+0,5% en glissement trimestriel à fin février contre +16,8% à fin janvier) et la tendance sur un an demeure fortement baissière (-17,4% avec 377 000 autorisations), le segment du collectif étant plus impacté que celui de l'individuel diffus (-25,4% contre -9,5%). Enfin, s'agissant du secteur non résidentiel, la situation reste préoccupante : les surfaces autorisées (32,6 millions de m² en cumul annuel à fin février) continuent de se dégrader, reculant de -20,6% sur un an, un rythme qui semble s'accélérer sur les trois derniers mois (-21,5%), les bâtiments publics ou commerciaux affichant même des baisses proches de -25%. Quant aux surfaces commencées, elles s'enfoncent de -19,5% sur un an au cours des trois derniers mois et de -21,2% sur douze mois, les chiffres par types d'ouvrage étant souvent perturbés par des effets de retards de collecte et d'enregistrement de gros chantiers. Fragilisée par les conséquences économiques de la crise sanitaire sur les ménages et les entreprises, la construction de logements (et de locaux), semble également freinée par les blocages politiques et réglementaires.Dans bon nombre de collectivités, la délivrance des permis apparaît ralentie voire grippée, occasionnant parfois un allongement important entre les autorisations et le début des travaux (pouvant aller jusqu'à 24 mois dans le collectif). Par ailleurs, dans le cadre de la Loi Climat et résilience, l'objectif de lutte contre « l'artificialisation des sols » semble désormais dicter la politique foncière des donneurs d'ordre en dépit des besoins économiques et sociaux des différents territoires ; et ce, dans un contexte où les besoins en logements demeurent prégnants, où les conditions d'accès au crédit sont appelées à se durcir (application des critères HCSF à l'été 2021) et où les prix immobiliers du neuf continuent de se tendre (+7,1% pour les maisons depuis fin 2019 et +4,9% pour les appartements). Et cette inflation immobilière pourrait s'accélérer sous l'effet conjugué d'une raréfaction de l'offre des promoteurs, des nouvelles règlementations constructives (RE2020) et des tensions actuelles sur les prix des matériaux (acier, plastiques, métaux non ferreux, bois d'œuvre…). Cette actualité souligne l'enjeu du choix des matériaux dans le mode constructif. Le béton, disponible immédiatement, produit localement et peu soumis aux tensions du marché international, répond ainsi aux exigences de maitrise des délais d'approvisionnement et des coûts de construction, facteurs clés de l'accès au logement.Travaux publics : un peu mieuxLe début de l'année 2021 demeure très poussif dans les TP même si le risque d'un trou d'air qui était attendu semble pour le moment écarté. Selon la FNTP, les travaux réalisés, en repli de -10,4% en janvier sur un an, renouent cependant avec les niveaux de 2019 mais les facturations annuelles reculent de -14%. Les carnets de commandes, très dégarnis, frémissent toutefois en janvier (+5,9% sur un an). Mais les professionnels restent en attente d'un réveil des appels d'offre, en liaison notamment avec la mise en place des projets du Plan de Relance.Au total, la demande de matériaux en 2021 restera soumise à de fortes incertitudes : côté BPE, alimentée par les carnets du bâtiment au moins jusqu'à l'été, elle pourrait varier de -2% à +2% selon les délais d'exécution et le rythme d'épuisement du stock des permis. Côté granulats, l'évolution de l'activité dépendra, de celle du BPE certes, mais aussi du timing des nouveaux chantiers de TP et du Plan de Relance et varierait entre 0 et +4%, avec une seconde partie de l'année mieux orientée.
Il y a 4 ans et 66 jours

L’art au diapason de l’architecture

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. L’ouvrage “1 immeuble, 1 œuvre 2015-2020” a été écrit par Alexia Guggémos. [©In fine Editions] Initiée en 2015 et signée par 13 membres fondateurs (ils sont aujourd’hui 47), la charte “1 immeuble, 1 œuvre” s’inscrit dans la politique ministérielle de soutien à la création artistique. Et de diffusion des arts plastiques auprès du public le plus large. Elle a pour objectif d’installer l’art au plus près de chacun dans des bâtiments privés et publics. L’ouvrage “1 immeuble, 1 œuvre 2015-2020” fait un état des lieux de ce partenariat fructueux entre promoteurs, architectes et artistes. « 5 ans, 300 œuvres installées… Il nous est apparu important de saluer l’engagement des signataires de la charte. Et de concevoir un livre manifeste qui montre la façon, dont les artistes et les œuvres peuvent investir l’espace public et privé », explique Arthur Toscan du Plantier, président de l’association du “Club 1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. Editeur : In fine EditionsAuteur : Alexia GuggémosPrix : 29 €TTCwww.infine-editions.fr Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 66 jours

Laurent Tirot rejoint le développeur européen Equilis en tant que CEO de sa filiale française

L'arrivée de l'ex-Directeur Général Adjoint Groupe de Bouygues Immobilier à la tête de la filiale française traduit la volonté d'Equilis Europe d'accélérer son développement en France – et notamment le marché résidentiel et les opérations mixtes, et d'en faire l'un des piliers de sa croissance européenne. Le parcours du nouveau CEO, tant en France qu'à l'international, lui confère en effet l'expertise pour donner à Equilis France l'impulsion nécessaire à son rayonnement sur le marché français.‘'Nous sommes ravis d'accueillir Laurent à la tête d'Equilis France, il sera un atout majeur pour faire de la France un pays stratégique du groupe. Au-delà du professionnel, c'est l'homme et ses valeurs qui m'inspirent'' a déclaré Carl Mestdagh, Executive Chairman Equilis Europe."Sa carrière immobilière et son regard constitueront des forces-clés pour appuyer la phase de croissance dans laquelle la société s'est inscrite" a complété Olivier Beguin, CEO Equilis Europe.Laurent Tirot a pour mission d'accélérer le développement de l'activité d'Equilis France créée en 2016, historiquement ancrée sur la région PACA. A côté de son implantation dans le Sud Est, le nouveau CEO vise un déploiement en Ile-deFrance, en région bordelaise/Bassin d'Arcachon et en région lyonnaise/Pays de Gex. Ces nouvelles ambitions sont portées par l'expertise du groupe dans l'ensemble des métiers de la promotion immobilière (commerce, résidentiel et bureaux), et dans un savoir-faire spécifique en termes de réhabilitation de friches industrielles. Un savoir-faire qui permet à Equilis France de porter l'un des projets les plus ambitieux de la technopole Sophia Antipolis, La Canopée, un vaste projet mixte de quelque 25.000 m² qui va redonner vie à l'ancien site des Terrasses de Sophia.“Je connais Carl Mestdagh et le groupe Equilis depuis de nombreuses années, nous avons pleinement confiance l'un envers l'autre. C'est pourquoi j'ai accepté de rejoindre le groupe, ses valeurs, ses expertises dans les différents métiers de l'immobilier, son ouverture européenne, et relever ce fabuleux challenge de développement sur la France ”, commente Laurent Tirot.“C'est une aventure passionnante à plus d'un titre. D'abord pour la liberté d'action et de développement accordée à chaque filiale, une autonomie sans pareil qui permet d'innover et de se dépasser. Ensuite pour l'expertise du groupe, sa capacité à innover et s'adapter à des marchés immobiliers en pleine mutation. Cette expérience nous permet de travailler sur des projets intégrant la mixité d'usage, qui répondent aux nouveaux modes de vie, d'habitat, de travail et de consommation et qui tiennent compte, aussi, des enjeux du développement durable. C'est justement parce que les besoins sociétaux évoluent et que notre métier est en train de bouger, que je me lance dans cette nouvelle aventure pour le bonheur d'être sur le terrain, à l'écoute des collectivités, de leurs attentes, et pour pouvoir faire preuve d'agilité, de flexibilité et d'esprit d'innovation”, conclut-il.Il s'appuiera sur la structure déjà mise en place par Jean-Jacques Ballester à Sophia Antipolis, un bureau créé à Paris et deux implantations à Bordeaux et Lyon. Jean-Jacques Ballester prend la Direction régionale Sud Est avec pour objectif de poursuivre le développement de ce territoire. Un plan de recrutement est prévu pour étoffer, dans un premier temps, l'équipe Ile-de-France. Laurent Tirot vise une activité multipliée par trois d'ici quatre ans.
Il y a 4 ans et 66 jours

SoPump veut digitaliser le pompage du béton

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’application SoPump est destinée aux acteurs du pompage. [©SoPump] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.  SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. « Cette profession est encore peu digitalisée, alors que les besoins et les attentes sont là », constate Morad Houmir, co-fondateur de la start-up développant l’outil. SoPump est en action depuis une année maintenant, après avoir nécessité deux ans et demi de réflexion et de développement, au sein de l’incubateur de l’Ecole des mines d’Alès.  La première réponse apportée par l’application est la simplification de la partie administrative de l’activité de pompage. Une grosse attente des premiers utilisateurs et, pour certains “bêta-testeurs” de la solution. « Nous cherchions une application qui nous permette de dématérialiser les bons de pompage et d’assurer la gestion rapide des avoirs. Ceci, sans erreur de saisie et avant les facturations finales », détaille Thierry Bénazet, comptable de Pompage Occitan. Les documents papier généraient des ressaisies, des interprétations au niveau de l’écriture manuscrite des chauffeurs… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 66 jours

Murs en pierre sèche : les nouveaux outils aident les entreprises et les artisans

L'UNESCO est également intervenue pour légitimer sa valeur: fin 2017, l'art des murs en pierres sèches a été inscrit sur la Liste du patrimoine culturel immatériel à protéger et à sauvegarder.Les raisons ont des racines lointaines: la connaissance de cette technique a été transmise parmi les anciennes communautés rurales jusqu'aux professionnels d'aujourd'hui. Toujours avec un seul objectif: prévenir les glissements de terrain et les inondations, lutter contre l'érosion des sols et la désertification, tout en respectant pleinement l'environnement. L’inscription regroupe huit pays européens dans lesquels les techniques de construction des murs en pierres sèches sont différentes mais toutes réalisées "de manière artisanale" ou avec des pierres les unes sur les autres, sans l'utilisation d'autres matériaux sauf dans certains cas, de terre sèche.Au fil du temps, cependant, même les techniques les plus anciennes ont ajouté au travail des «artisans» - main-d'œuvre qualifiée qui disparaît malheureusement - celui de nouveaux équipements, capables de terminer le travail plus rapidement et de garantir une précision maximale: comme les pinces de tri MB-G , dont les griffes saisissent, déplacent, placent des pierres, des roches ou des pierres de tous types et de toutes tailles avec une extrême précision et délicatesse. Comme dans trois chantiers de construction différents - un en France, un en Allemagne et l'autre en Slovénie - où la pince MB a été choisie pour construire des murs en pierres sèches précisément parce que sa plaque inclinée lui permettait d'avoir un champ d'action plus large.et placer les pierres avec une précision extrême, contrairement à d'autres équipements - comme le godet d'excavation - avec lesquels cela aurait été impossible. Il est également possible d'installer un kit de dents, ce qui facilite la préhension et le contrôle des matériaux avec des poids et des formes particuliers.Aussi pour les murs réalisés avec des poteaux en bois, les opérateurs ont choisi de travailler avec les produits MB Crusher, en l'occurrence des godets concasseurs et cribleurs La raison est simple: par concassage et criblage sur site, il est possible de récupérer les déchets et de les utiliser immédiatement comme drainage ou tout-venant. C'est ce qu'a fait une entreprise italienne, qui dans un chantier de reconstruction d'une pente de soutènement effondrée a utilisé les deux outils MB: annulation des coûts logistiques, utilisation de matériaux locaux, rapidité de construction, pas de difficultés dues au dénivelé de l'escarpement.Une sorte d'évolution de murs en pierre sèche est la nouvelle technique de la terre armée, la solution d'ingénierie naturaliste qui permet de remplacer les murs en béton par des structures à moindre impact environnemental. En effet, comme pour les murs en pierres sèches, cette technique utilise des matériaux de remplissage locaux, garde un aspect naturel, est plus élastique aux sollicitations du sol et est facile à installer et à entretenir. Le cas d'une entreprise vénitienne chargée de construire un mur de soutènement en terre armée pour remplacer la maçonnerie en béton existante est significatif. Sonia, le géotechnicien de l'entreprise de construction, explique comment ils ont résolu les problèmes de gestion des déchets et la marge de manœuvre limitée en raison de la pente de la route de montagne.«Pour mener à bien ce travail, nous nous sommes appuyés sur l'équipement MB Crusher pour les étapes de concassage et de criblage. Nous avons ainsi pu économiser sur l'achat de nouveaux matériaux en concassant les pierres récupérées du criblage de la terre et dont nous aurions autrement dû nous débarrasser à des coûts substantiels pour obtenir la pierre que nous avons utilisée pour le drainage. Le sol tamisé, en revanche, a été immédiatement réutilisé pour la pose à l'intérieur des coffrages. Je remercie MB Crusher pour les conseils qui nous ont permis de gagner de l'argent en termes de temps et d'argent, tout en respectant l'environnement "N'est-ce pas le rêve de chaque entreprise d'avoir dans son parc des équipements polyvalents et faciles à utiliser qui vous permettent de travailler avec précision, rapidité et économies de coûts?
Il y a 4 ans et 66 jours

Les pompes nouvelles sont arrivées

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’automotrice Sermac 5Z36 retient l’attention : malgré une flèche cinq bras de 36 m, elle reste compacte. [©Sermac] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. [Abonnes] La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.   [/abonnes] ACM Equipement : Pour qui sont ces serpents... Distribuer de manière simple et rapide le béton sur chantier, telle est la vocation du Concrete Cobra. Cet outil signé Royal Makine a été développé en partenariat avec ACM Equipement. D’un poids de 250 kg en ordre de marche, il se présente comme un module autonome radio-commandé, alimenté par un moteur thermique Honda et disposant de quatre roues directionnelles. Ce choix permet les demi-tours rapides, dans un espace restreint, mais aussi une marche en crabe. La singularité du Concrete Cobra est de bénéficier d’un bras de distribution orientable sur 360°, mais surtout relevable. De quoi permettre des bétonnages dans un rayon de 2,50 m autour de la machine ou à une hauteur maximale de 4 m. La forme de l’extrémité du bras, en forme de tête de serpent, donne son nom au Concrete Cobra. Le diamètre standard du tuyau équipant la machine est égal à 125 mm. La connexion de tuyaux de diamètres plus petits est possible, par l’intermédiaire de réducteurs. Le Concrete Cobra s’utilise en liaison avec une pompe à béton stationnaire ou automotrice qui, elle, assure le transfert du béton à partir de la toupie. Le Concrete Cobra, le petit module de pompage adapté à tous les chantiers.[©ACPresse] Cifa Zoomlion : Une 47 m bien adaptée à la France Si la pompe automotrice K40H a fait les feux de l’actualité ces derniers temps, Cifa Zoomlion détient une autre machine tout aussi intéressante. Son nom : K47H. Ce “H” final indique la présence de bras en carbone. D’un PTAC de 32 t, montée sur un porteur 8 x 4, cette pompe reste malgré tout compacte, avec un encombrement identique à celui d’une 42 m. « Au moment de choisir, la question de la taille peut se poser... », indique Xavier Jean, directeur général de Cifa Zoomlion France. Il est vrai que cette pompe offre une flèche à cinq sections à pliage en “RZ”, allégée par la présence des deux dernières sections en carbone. Disponible depuis un peu plus de 18 mois en France, cette K47H a déjà conquis trois acheteurs. Ceux-ci peuvent ainsi réaliser des chantiers avec cette machine dédiée à une 42 m. Et ce, avec un confort absolu. Mais surtout disposer de 5 m complémentaires de flèche en cas de besoin. Comme nombre de ses aînées, la K47H reçoit le classique groupe de pompage HP1608EC, installé sur toutes les pompes de la marque de 28 à 47 m. L’équipement offre un débit de 160 m3à une pression maximale de 80 bar. La pompe K47H de Cifa Zoomlion est disponible en France depuis maintenant dix-huit mois.[©Zoomlion] Dy/Quali Parts & Services : Dites “33” Distributeur exclusif pour l’Europe et le Moyen-Orient de la marque de pompes à béton Sud-coréennes Dy, Quali Parts & Services (QPS) annonce l’arrivée de la toute nouvelle 33X-ZZ5. Cette machine se caractérise par la présence d’une flèche de 33 m cinq bras à pliage en “Z”, autorisant un déploiement sous une hauteur de 5,80 m. L’autre plus est une rotation à 360° en continu, offrant ainsi un maximum de polyvalence. Le groupe de pompage permet un débit de 160 m3/h, à une pression de 85 bar. Destinée à être montée sur un porteur 6 x 4, cette pompe affiche un PTAC d’environ 24,5 t. Sa longueur en ordre de marche est de 10,48 m, pour une hauteur de 3,90 m. QPS indique que la première machine de cette série sera livrée dans le courant du mois de juin prochain. La Dy 33X-ZZ5 arrive pré-montée, prête pour son installation sur un porteur européen.[©Quali Parts & Services] Everdigm/Flypump : La 43 m comme vedette Dans le domaine des grandes flèches, Everdigm poursuit sa logique de renouvellement de ces modèles. L’année 2020 a été celle de la pompe ECP 48 CX, qui a remplacé l’ECP 47 CX, tout en s’intégrant sur un châssis identique. En 2021, c’est l’ECP 43 CX qui tient la vedette, en succédant à l’ECP 42 CX. Pour l’utilisateur, le gain est de 1 m de flèche, tout en restant compact sur un châssis identique d’un PTAC de 32 t. Avec ses cinq bras, à pliage “ZR”, cette flèche autorise un déploiement sous une hauteur de 8,30 m. Ce qui permet de travailler en intérieur ou de rentrer efficacement par des accès extérieurs sans difficulté. Le bloc de pompage Everdigm 2116 offre une capacité de 160 m3/h, à 85 bar. Quant à la stabilisation, elle est de type “diagonal télescopique”, de 8 m à l'avant et de 8,50 m à l'arrière, en papillon. La pompe est équipée du système ESS qui avertit le pompiste de la zone de travail autorisée, en fonction des stabilisateurs sortis. Ceci, en ralentissant la rotation puis, en déclenchant une alarme, avant de stopper la rotation de flèche. Enfin, la machine est pourvue d’un compresseur d'air, d’une pompe à eau et d’un nettoyeur haute pression. Elle autorise aussi le transport de tuyaux complémentaires, de colliers, joints et autres équipements sur chacun de ses côtés, suivant le besoin des clients. En France, la marque Everdigm est distribuée en exclusivité par Flypump. Ce dernier vient d’ailleurs de livrer le premier exemplaire français de l’ECP 43 CX à MK Pompage. « Cette entreprise nous fait confiance pour la 5efois et elle n’est pas la seule dans ce cas,conclut Jean-Marc Wattebled, directeur de Flypump. Nous faisons toujours le maximum pour accompagner nos clients, car leur fidélité est notre satisfaction. » L’Everdigm ECP 43 CX tient la vedette, en succédant à l’ECP 42 CX.[©Everdigm] Imer : Des stationnaires pour la fin d’année Aujourd’hui, Imer dispose d’une offre restreinte de pompes à béton. Celle-ci se limite, pour l’heure, aux malaxeurs-pompes Boomix, déclinés en trois longueurs de flèche : 22 m, 24 m et 29 m. Ce qui répond bien à la demande du marché. A cela s’ajoute un unique modèle de pompe automotrice muni d’un bras de 36 m et une petite pompe stationnaire baptisée Booster 15... Mais l’année 2021 s’annonce comme celle de l’évolution et d’un enrichissement de l’offre automotrice, dont les nouveautés seront dévoilées à l’occasion de la Bauma. En attendant, dans les mois qui viennent, cette gamme stationnaire sera élargie avec l’arrivée des Booster 30 et 45, pour des capacités de pompage de 30 et 45 m3/h. Et en fin d’année, Imer devrait mettre sur le marché les modèles Booster 60 et 90. La petite pompe stationnaire Imer Booster 15 verra l’arrivée de quatre sœurs dans le courant de l’année[©Imer] Liebherr Malaxage et Techniques : Une 42 m bien née Pour Liebherr, l’année 2021 constitue une période de positionnement de son offre pompage sur le marché français. D’autant plus que l’industriel met à jour l’ensemble de son offre. Le haut de gamme actuel de la marque n’est autre que la 50 M5 XXT. Mais c’est la pompe automotrice 42 M5 XXT qui retient aujourd’hui l’attention. Montée sur un porteur 8 x 4, cette machine de nouvelle génération affiche un PTAC inférieur à 32 t, tout en offrant une portée verticale de 41,2 m. Et une hauteur de déploiement minimale de 8,60 m. Mais ce qui caractérise le plus cette machine est son groupe de pompage Powerbloc,« qui surprend les pompistes expérimentés par sa douceur de fonctionnement », précise Arnaud Lévy, directeur de Liebherr Malaxage et Techniques. Les à-coups sont beaucoup moins perceptibles, procurant un sentiment de légèreté au pompage, accompagné d’une bien plus grande stabilité de la flèche. Ceci, avec un régime moteur bas sans compromis sur la puissance de pompage. L’équipement est disponible en deux variantes : 140H et 170 H. Soit 144 m3/h ou 167 m3/h, à une pression de 80 bar. La différence se fait au niveau du nombre de cycles : 29 pour le 140H et 34 pour le 170H. Une première 42 m a intégré le parc de l’Alsacien Michel et sillonne activement les routes mosellanes [Lire Béton[s] le Magazine n° 92, p. 54]. Une deuxième machine est en préparation pour rejoindre le Sud de la France... Par ailleurs, Liebherr annonce aussi l’arrivée de la 36 M5 XXT. « Ce sera la nouveauté de l’automne, qui viendra enrichir la gamme actuelle », dévoile en conclusion Arnaud Lévy. La première 42 M5 XXT de Liebherr tourne en Alsace depuis quelques mois.[©Liebherr] Mecbo : Le renouveau des petites tailles Mecbo met en service sa toute nouvelle pompe automotrice 25 RZ, montée sur un porteur 4 x 2, d’un PTAC de 19 t. Le poids réel de la machine, pleins faits, est de 18,5 t. Sa flèche quatre bras autorise le déploiement sous une hauteur de 4,20 m. Repliée, elle permet à la pompe de s’inscrire dans une longueur hors tout de 8,10 m.« Le cahier des charges de la 25 RZ était simple : disposer de la flèche la plus longue possible, avoir un poids réduit et être compacte pour circuler en ville », détaille Antonio Agostinho, président de Mecbo. Cette machine reçoit le groupe de pompage Pulsar 6, d’une capacité de 90 m3/h. L’autre innovation Mecbo est la CityPump, qui voit sa flèche gagner 2 m, passant de 20 m à 22 m. Ceci, avec toujours un élément à pliage en “Z”, divisé en quatre bras. Le groupe de pompage est le Pulsar 4, de 70 m3/h et l’ensemble de la machine est inscrite sur un porteur 4 x 2, d’un PTAC de 19 t. Enfin, Mecbo annonce aussi une petite révision de sa 51 m, qui perd un peu de poids... Mecbo lance sa toute nouvelle pompe automotrice 25 RZ, montée sur un porteur 4 x 2.[©ACPresse] Putzmeister : L’électrique, c’est fantastique Exit le rouge et jaune historiques. Pour la dernière-née de ses pompes automotrices, Putzmeister a choisi une livrée bleue et noire. Répondant au nom de Iontron Hybrid, c’est une gamme électrique qui arrive sur le marché, disponible dans les classes de 20 m, 30 m et 40 m. Ces machines reprennent tous les fondamentaux des pompes automotrices classiques. Pour le pompiste, aucun changement, sauf la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Il ne faut pas chercher de batteries non plus : il n’y en a pas. L’Iontron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Une puissance de 125 A est nécessaire... Pour ce faire, il suffit de dérouler le câble présent sur la machine et de le brancher. Puis, de basculer sur le Mode-E, en actionnant un simple bouton. Et enfin, de couper le moteur du porteur. Le moteur électrique prend en charge toutes les fonctionnalités de la pompe. Et s’il n’y a pas de courant ? L’Iontron peut profiter de lamotorisation thermique du porteur. Il est même possible de basculer d’un mode à l’autre, y compris durant le pompage. Pour permettrecette hybridation, Putzmeister s’est appuyé sur sa nouvelle technologie de pompe iLS. Ce groupe est proposé sur les machines de classe 30 m et 40 m et offre une capacité de 100 m3/h. Le mode électrique de l’Iontron permet une importante action sur le bruit et le CO2. Ainsi, la pression sonore passe de 115 dB(A) à 107 dB(A), soit un niveau divisé par deux. Quant au gaz carbonique, il n’y en a tout simplement plus : zéro CO2émis et zéro consommation de gasoil, contre 26,53 kg de CO2/h et 10,2 l de gasoil/h pour le moteur thermique diesel. Même si l’Iontron Hybrid constitue une belle innovation dans le domaine du pompage, Putzmeister n’en abandonne pas pour autant les technologies traditionnelles. Et d’annoncer la mise sur le marché de ses nouveaux malaxeurs-pompes Pumi. En fait, l’évolution vient du nouveau groupe de pompage TMP 1007 S, qui équipe à présent l’ensemble de la gamme. Le TMP 1007 S voit sa puissance améliorée et la course de son piston unique augmenté, passant à 1 000 mm. Résultat, un débit pouvant atteindre 92 m3/h. Enfin, l’offre des pompes stationnaires voit l’entrée en lice de la nouvelle série BSA 1000. Les BSA 1005 et 1006 intègrent le Diesel Deutz à 3 cylindres (Stage V), d’une puissance de 55 kW. Ce moteur ne nécessite pas d’additif Ad-Blue. Il actionne la pompe à double piston (course de 1 000 mm), d’un débit de 64 m3/h à 70 bar. Une motorisation électrique de 45 kW est aussi disponible. Enfin, ces deux pompes bénéficient de la commande Ergonic 3, dont l’une des fonctionnalités est de ralentir le régime moteur durant toutes les phases de marche à vide. Avec l’Iontron Hybrid, Putzmeister bouscule l’univers de la pompe automotrice.[©Putzmeister] Sermac/Bonneux : Une 60 m pour atteindre les sommets Le constructeur italien Sermac propose une gamme de pompes, allant de la compacte 4ZR20 à l’imposante 6RZ65. Et c’est du côté des machines haut de gamme qu’il faut aller chercher la nouveauté. Ainsi, en 2021, l’industriel va lancer sur le marché international une pompe à béton inédite : la 6RZ60 Superlight. Cette machine sera dotée d’une flèche six bras de 60 m à pliage en “RZ”, tout à fait adaptés aux grands chantiers, et montée sur un porteur à cinq essieux. D’une manière plus spécifique pour le marché français, l’offre actuelle se concentre autour de plusieurs machines. Telle la petite pompe 4ZR20. Dotée d’une flèche quatre bras de 20 m à pliage en “ZR”, elle se caractérise par un empattement court limité à 3,69 m et une longueur hors tout de 8,10 m. Mais aussi un espace de stabilisation de 3,39 m à l’avant et de 2,95 m à l’arrière. Pour les chantiers urbains, on peut citer aussi la 4Z27. Mais c’est l’automotrice 5Z36 qui retient l’attention. Non seulement, elle bénéficie d’une flèche cinq bras de 36 m, à pliage en “Z”, mais elle reste compacte, ne dépassant pas les 9,88 m de long. De quoi se glisser dans les milieux urbains exigus. Montée sur un porteur 6 x 4, avec un empattement de 3,90 m, elle intègre le groupe de pompage G9, d’une cadence de 158 m3/h, à une pression maximale de 80 bar.A géométrie optimale, la S-valve garantit d’importantes sorties de béton pour une usure réduite au minimum. Quant à la 5Z42, Sermac l’annonce comme la seule pompe du marché à être conçue avec un pliage cinq bras en “Z”. Ce qui lui permet de bénéficier d’une grande rapidité d’ouverture, avec une hauteur de dépliage de 8 m. Enfin, le malaxeur-pompe Twinstar 3Z24 complète l’offre “France”. Dotée d’une flèche de 24 m, il permet tout de même d’atteindre une charge utile de 5 m3de béton. L’automotrice Sermac 5Z36 retient l’attention : malgré une flèche cinq bras de 36 m, elle reste compacte.[©Sermac] Schwing Stetter : Une 43 m automotrice ou une 20 m3 stationnaire ? Une pompe automotrice et une stationnaire font l’actualité Schwing Stetter, côté nouveauté. Ainsi, l’industriel a-t-il mis sur le marché la S47SX dans sa version III. Cette pompe s’articule autour de sa flèche de 47 m cinq bras à pliage en “RZ”, autorisant un déploiement sous une faible hauteur : 9,80 m seulement, ce qui reste très peu pour une machine de cette classe. Quant à la tourelle, elle offre un généreux pivotement de 2 x 365°, laissant une grande liberté de mouvement. De même, pour minimiser les risques de bouchons, la tuyauterie de la S47SX III est proposée avec des coudes à grands rayons de calibre 275 mm. La stabilisation SX avant, en forme d’arc de cercle, permet l’intégration du groupe de pompage P2525, à cylindres de refoulement de 2,50 m. De quoi offrir un débit de 60 m3/h à une cadence de seulement huit coups/mn. Le coût d’usure des pièces en est d’autant réduit. L’autre point fort de cette pompe est son système Esay/Esasyflex de pilotage de la stabilisation. Cette technologie permet de stabiliser la machine d’un seul côté, autorisant le pompage en toute sécurité, même dans des espaces restreints. Montée sur un porteur 8 x 4, la S47SX III présente une longueur de 11,88 m en ordre de marche, pour un PTAC à peine supérieur à 31 t. Pour sa part, la pompe stationnaire s’appelle TP 100. Se présentant sous la forme d’une remorque tractable, elle affiche un poids inférieur à 2 t. S’articulant autour du groupe de pompage P 0615, elle offre un débit de 20 m3/h à une pression maximale de 85 bar. La TP 100 est disponible en trois motorisations : deux Diesel (Stage IIIA ou V de 345 kW) ou un électrique de 30 kW. Pour répondre à chaque configuration de chantier. Schwing Stetter a mis sur le marché la S47SX dans sa version III.[©Schwing Stetter] Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 66 jours

L'accompagnateur rénov va "mettre de la sécurité et de la confiance", Olivier Sichel

ENTRETIEN EXCLUSIF. Accompagnateur rénov, financement du reste à charge, incompréhension avec les architectes et certains artisans : Olivier Sichel, auteur d'un rapport sur la rénovation des passoires thermiques, s'explique dans les colonnes de Batiactu.
Il y a 4 ans et 66 jours

Les nouveaux entrants de la pompe

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Coréen KCP a réussi plusieurs offensives depuis sa base arrière espagnole… [©ACPresse] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.  SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Longtemps, en Europe, le marché de la pompe à béton a été le terrain réservé de quelques marques, en tête desquelles se plaçaient Putzmeister et Schwing Stetter. D’aucuns les considèrent encore comme les références. L’Italie était en embuscade, avec des noms comme Cifa, Imer, Mecbo ou Sermac. Si les trois dernières sont encore européennes, Cifa, Putzmeister et Schwing Stetter sont passées sous pavillon chinois. Même si les usines sont toujours basées sur le Vieux Continent. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne  Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 66 jours

Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir »

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Jean-Marie Modica est le directeur général activité matériaux de Cemex France Sud. [©Cemex] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Producteur de BPE à l’échelle nationale, Cemex est en réalité présent sur deux secteurs. D’abord, au Nord d’une courbe reliant Rennes à Valenciennes via Paris. Puis, au Sud d’une autre courbe, dont La Rochelle est l’origine et Mâcon le point d’arrivée, mais en passant par Montauban. De longue date, l’industriel a fait le choix d’intégrer le pompage au cœur de son activité. « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir,souligneJean-Marie Modica, directeur général activité matériaux Cemex France Sud. Connaître les caractéristiques du béton et savoir proposer sa mise en œuvre efficace est un véritable plus. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 66 jours

Le Top Dix du pompage

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Avec 550 pompes automotrices, reconnaissables avec leurs couleurs écru et orange, Inter Service Pompe est le n° 1 incontesté du pompage en France. [©ACPresse] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Le n° 1 incontesté en France, en Europe et sans doute dans le monde, est Inter Service Pompe (ISP). L’entreprise est née en 1977, créée par José Agostinho, père de l’actuel dirigeant. Elle possède aujourd’hui 550 pompes automotrices, à quoi s’ajoutent une cinquantaine de stationnaires. ISP intervient sur l’ensemble du territoire national, à partir de ses filiales régionales.  Avec 224 pompes, tous profils confondus et affrétés à ses couleurs y compris, Delta Pompage occupe la deuxième marche du podium. Cette filiale spécialisée rattachée au groupe cimentier Vicat intervient principalement le long de l’axe rhodanien, en Ile-de-France et sur le Grand Est. Les mêmes secteurs que ceux occupés par son activité BPE. Filiale du groupe transporteur Charles André, GCA Pompage s’octroie la médaille de bronze de ce classement, avec 134 pompes automotrices en parc. Celles-ci sont complétées par une quinzaine de machines affrétées de manière récurrente. Quatorze pompes stationnaires viennent achever ce dispositif. Comme ISP, GCA assure une couverture nationale, en termes de services. Ceci, depuis l’ensemble des filiales et bases locales du groupe.  Le bétonnier Cemex propose, lui aussi, une prestation de pompage au niveau national. Du moins, sur les zones géographiques où sont installées ces centrales à béton. Son parc se situe sous la barre des 100 machines, avec 98 pompes : 50 % d’automotrices et 50 % de malaxeurs-pompes. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 66 jours

A Tel-Aviv, centre de recherche en nanosciences, par Michel Rémon

Conçu par Michel Rémon & Associés, le Centre de recherche en nanosciences et nanotechnologies en construction pour l’Université de Tel-Aviv a l’ambition de devenir dans son domaine un centre de recherche de référence mondiale. Livraison prévue : 2022. Communiqué. En 2016, à l’issue d’un concours international, l’architecte Michel Rémon et son équipe ont été choisis parmi […] L’article A Tel-Aviv, centre de recherche en nanosciences, par Michel Rémon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 66 jours

La Fédération des OPH rappelle sa ferme opposition à l'intégration des APL dans un revenu universel d'activité

Le projet actuel de RUA est d'associer le RSA, dont chacun reconnaît que le taux de non-recours est de l'ordre de 30%, avec la prime pour l'emploi qui connaît un faible taux de non-recours et les APL qui n'en connaissent pas. Le résultat est, qu'à enveloppe constante, comme cela a été précisé, ce sont les APL qui risquent de financer le RUA.Ces aides au logement sont pourtant reconnues par la Cour des Comptes comme les aides sociales les plus redistributrices.Si la Fédération nationale des Offices Publics de l’Habitat est favorable à un revenu universel, elle rappelle sa ferme opposition à l’intégration des APL dans un tel revenu.En mars 2020, la Fédération des OPH publiait le 3e et dernier acte de sa tribune « APL : chronique d'une casse programmée ? ». Au travers ce dernier épisode titré "Un nouveau coup porté aux APL avec le RUA ?", la Fédération interpellait d’ores et déjà le gouvernement sur les risques d'une intégration des APL dans le RUA.
Il y a 4 ans et 66 jours

À Paris, un immeuble restructuré en centre d’hébergement pour le Samu Social

L’agence CoBe Architecture et Paysage signe la restructuration et la surélévation de cet immeuble du... Cet article À Paris, un immeuble restructuré en centre d’hébergement pour le Samu Social est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 66 jours

Un an d'école d'architecture confinée: "où sont les meilleures années de notre vie?"

Voici plus d’un an que les étudiants français suivent la majorité de leurs cours à distance. Parmi eux, les élèves des vingt écoles d’architecture françaises. Enquête auprès d'eux, pour évoquer leur scolarité confinée, les difficultés à s'impliquer sur le long terme dans […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 67 jours

Histoires de photographies – Collections du Musée des Arts Décoratifs

Le Musée des Arts Décoratifs présente une exposition de ses collections de photographies, révélées pour la première fois au public. Ce fonds patrimonial exceptionnel, riche de plus de 350 000 phototypes, rassemble des photographies de mode, d’architecture, de paysage, de décor, mais aussi publicitaires, allant des années 1840 aux créations les plus récentes. Jusqu’au 2 […] L’article Histoires de photographies – Collections du Musée des Arts Décoratifs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 67 jours

A Palerme, le centre administratif de Sicile pour Leclerq & Co.

L’équipe franco-italienne emmenée par Leclercq Associés architectes urbanistes, avec Nicolas Laisné Architectes, Clément Blanchet architecture, Tekne ingénierie, Base paysagiste, a remporté en mars 2021 le concours international pour le nouveau Centre administratif de la Région Sicile (120 000 m² + 60 000 m² parking) à Palerme (Italie). Communiqué. Pour un montant des travaux de 270 […] L’article A Palerme, le centre administratif de Sicile pour Leclerq & Co. est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 68 jours

Silences et chuchotements – Estelle Lagarde

« Silences et chuchotements » est la réunion de deux nouvelles séries inédites d’Estelle Lagarde pour cette nouvelle exposition. A Strasbourg, jusqu’au 8 mai 2021. L’œuvre d’Estelle Lagarde est un cheminement pluriel. C’est de la rencontre avec une architecture, de l’appréhension d’une lumière et d’un certain écoulement du temps que naissent les narrations photographiques de l’artiste, échos […] L’article Silences et chuchotements – Estelle Lagarde est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 68 jours

A Shenzhen, Dominique Perrault lauréat du SIDI

Le groupement Dominique Perrault Architecte + Zhubo Design Co est lauréat du concours international pour la conception de l’Institut de l’Innovation et du Design (SIDI) de Shenzhen (Chine). Surface construite : 300 000 m² ; Investissement prévisionnel : 2,79 milliards de Yuans (environ 360M€). Communiqué. La ville de Shenzhen lance ces dernières années de nombreux concours […] L’article A Shenzhen, Dominique Perrault lauréat du SIDI est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 68 jours

Aménager un chalet en bois habitable : comment faire ?

Se faire construire son chalet en bois est un projet qui mérite tout à fait d’être réalisé. Ce type de construction peut faire une résidence parfaite pour les vacances, ou encore pour recevoir des invités. Dans ce second cas, le chalet en question fera office de maison d’ami. Pour que le chalet soit confortable et chaleureux, adopter une décoration adaptée est essentiel. Les propriétaires du chalet ont tout intérêt à accorder une attention particulière à chaque détail de l’ambiance qui sera mise en place au sein de la résidence. Étudier la surface disponible Avant de procéder à la réalisation de l’aménagement et aussi de la décoration intérieure du chalet en bois habitable, il est indispensable de s’intéresser à la surface totale disponible au sein de la résidence. Cette étape sera effectuée observant les plans du lieu. Se faire aider par un professionnel serait une initiative tout indiquée pour les propriétaires du chalet. Connaître la surface disponible de l’endroit donner l’occasion à ces derniers d’avoir le privilège de pouvoir l’exploiter le mieux possible. En effet, être au courant de l’étendue du chalet aidera à effectuer des projections réalistes sur ce qui peut être fait dans l’enceinte en matière d’aménagement et de décoration. Afin de trouver le professionnel le plus adapté pour prêter main forte dans cette tâche, les propriétaires peuvent aller sur les plates-formes spécialisées sur internet. Ces plates-formes en question peuvent tout à fait être intéressantes pour rechercher toute sorte de prestataires. Dénicher le meilleur électricien à Franconville est une des missions qui peuvent tout à fait être réalisées. Choisir le style de décoration idéal Dans le cadre de la décoration de l’intérieur d’un chalet en bois habitable, il est indispensable de trouver le style le plus adapté. Il ne faut pas oublier que bien que les propriétaires aient en tête une idée particulière, il faudra qu’i considère tout de même certaines choses. D’une part, ils considéreront le fait que la construction est faite de bois. Ce matériau est l’idéal pour un chalet habitable. En tout as le bois est sélectionné assez souvent pour leur fabrication. Mettre en valeur ce matériau est recommandé dans la démarche de décoration intérieure choisie. D’autre part, toujours dans cet esprit de mise en valeur du bois et de son entretien, les techniques d’habillage des murs et aussi des sols adoptés dans la mise en place du style de déco, devront être sélectionnées en tenant compte de la nature du bois. Se procurer les accessoires et articles de déco Afin de parfaire la décoration intérieure du chalet en bois habitable, il est conseillé de se procurer des articles de déco ainsi que des accessoires. Ces derniers serviront notamment à compléter le style déco choisi et aussi à orner les lieux de manière esthétique et fonctionnelle. Les articles et accessoires de décoration peuvent en effet être à la fois des éléments pour faire joli dans le chalet, mais aussi des articles pour rendre la vie des locataires plus agréable.
Il y a 4 ans et 69 jours

Notre-Dame de Paris : les métiers d'art du chantier de restauration se dévoilent

PATRIMOINE. Les métiers d'art à l'oeuvre sur le chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris sont mis à l'honneur à l'occasion des Journées européennes qui leur sont dédiées, du 6 au 11 avril 2021. Une visite exclusive de l'édifice ainsi que quatre vidéos mettant en avant ces compétences uniques sont proposées à cet effet sur les réseaux sociaux.
Il y a 4 ans et 69 jours

Une hotline accélère la maintenance des itinéraires cyclables

Après un test prometteur sur trois grands itinéraires cyclables, l’outil de signalement d’anomalies entre dans sa phase de déploiement national sur le réseau français des véloroutes et voie vertes. Opérateur de l’application, l’association de collectivités Vélo & Territoires mise sur les circuits courts entre les cyclistes et les maîtres d’ouvrage pour créer les conditions d’une maintenance efficace. Deux webinaires adressés à ces publics lancent cette nouvelle étape en avril 2021.
Il y a 4 ans et 69 jours

CCAG spécifique à la maîtrise d'oeuvre : les organisations d'architectes plutôt satisfaites

COMMANDE PUBLIQUE. Fin mars, le gouvernement a publié six cahiers des clauses administratives générales (CCAG) à destination des acheteurs publics. La nouveauté réside dans la création d'un CCAG-Maîtrise d'oeuvre, demandé de longue date par la profession. Décryptage.
Il y a 4 ans et 69 jours

Le marché locatif des bureaux en France toujours en recul au premier trimestre

"Le démarrage poussif de la campagne de vaccination en France et les restrictions (...) dans un contexte sanitaire toujours difficile retardent la reprise" a résumé dans une communiqué le cabinet JLL, l'un des membres d'Immostat.Entre janvier et mars, la superficie totale de bureaux loués en région parisienne a reculé de 30%, à 327.400 mètres carrés, par rapport à la même période l'année précédente, indique le bilan trimestriel Immostat.Mais en écartant de la comparaison la "transaction" de Total au premier trimestre 2020 sur la tour "The Link" de "126.000 mètres carrés" dans le quartier d'affaires de la Défense, la baisse du marché locatif se maintient à -4%, nuance le cabinet JLL.Le bilan Immostat, effectué par plusieurs gros spécialistes du secteur dont JLL, concerne seulement l'Ile-de-France, où se concentre le gros du marché français.En plus de la chute des locations de bureaux, un autre chiffre témoigne des difficultés du marché depuis un an, celui de l'argent versé par les investisseurs pour devenir propriétaires d'immobilier d'entreprise.A 3,2 milliards d'euros investis au premier trimestre dans le secteur en région parisienne, il recule de près de 38% par rapport à un an plus tôt, mais reste "en accord avec la moyenne des 5 dernières années" note le cabinet JLL."Nous anticipons une reprise marquée de l'activité au second semestre qui devrait permettre d'atteindre un volume d'investissement relativement similaire à celui enregistré en 2020", estime Stéphan Von Barczy, du département investissement de JLL.Sur l'ensemble de l'année 2020, le marché locatif des bureaux en région parisienne avait reculé de près de moitié (-45%), dans un contexte marqué par la crise du coronavirus, le recours massif au télétravail et plusieurs épisodes de confinements.Par rapport aux logements, les bureaux font généralement l'objet d'opérations plus lourdes et leur attrait reflète plus directement la situation économique.
Il y a 4 ans et 69 jours

Grand témoin : Benoit Bazin, directeur général délégué du Groupe Saint-Gobain

INTERVIEW. Benoit Bazin, actuel directeur général délégué du Groupe Saint-Gobain, prendra les rênes du groupe à la suite de Pierre-André de Chalendar, qui reste président non exécutif, le 1er juillet prochain. Découvrez ses réflexions, sa vision, son actualité, son message aux professionnels et son portrait en 5 traits.
Il y a 4 ans et 69 jours

L'ouverture du chômage aux indépendants a raté sa cible

Depuis le 1er novembre 2019, les non-salariés peuvent bénéficier de l'allocation pour les travailleurs indépendants (ATI) pour un montant de 800 euros pendant six mois, à la suite d'une liquidation ou d'un redressement judiciaire, s'ils se retrouvent avec des ressources personnelles inférieures au montant du RSA.Ce filet de sécurité se voulait la traduction d'une promesse de campagne d'Emmanuel Macron, selon qui "les artisans, les commerçants, les entrepreneurs, les professions libérales et les agriculteurs" devaient avoir droit, comme les salariés, à l'assurance-chômage.En effet, "3,3 millions de travailleurs indépendants, soit 10% de la population active, ne bénéficient d'aucune protection sociale contre le risque de perte d'emploi", moins d'1% souscrivant une assurance privée, selon le député LREM Dominique Da Silva, auteur d'un rapport d'information sur le sujet.Mais, en 16 mois, selon Pôle emploi, seules 911 personnes ont eu accès au dispositif pour un coût de 3 millions d'euros, là où l'étude d'impact en prévoyait 29.300 par an pour 140 millions.Pour le député, "ce bilan décevant" s'explique d'abord par "des critères trop restrictifs qui excluent de nombreux indépendants".Sur les 2.396 demandes effectuées auprès de Pôle emploi, 59% ont été rejetées. Si 23% l'ont été au profit d'anciens droits à l'assurance-chômage plus avantageux pour des ex-salariés, 36% ont été rejetées parce que les demandeurs ne remplissent pas les conditions d'éligibilité.La grande majorité des rejets concerne le seuil de revenu d'activité minimal de 10.000 euros par an en moyenne sur les deux dernières années, ce qui "exclut le travailleur en difficulté ayant des revenus d'activité déficitaires ou nuls", selon M. Da Silva.Refus psychologiqueAutre blocage: l'activité doit être cessée "de manière définitive et involontaire", ce qui exclut tous ceux qui ne peuvent justifier d'une liquidation ou d'un redressement judiciaire, des procédures longues et coûteuses."Vous n'avez pas l'obligation de passer par le tribunal de commerce pour arrêter l'activité d'une entreprise. Des chefs d'entreprise sont oubliés", soulignait Anthony Streicher, président de l'association Garantie sociale du chef d'entreprise (GSC) lors d'une récente audition à l'Assemblée nationale.Pour Lionel Canesi, président du Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptables, "l'ATI ne fonctionne pas parce que son champ est très restreint". Sont exclus plusieurs statuts comme "le gérant majoritaire d'une SARL", soit "le coeur du tissu économique".M. Da Silva propose en conséquence d'élargir la condition de cessation d'activité "à la liquidation amiable, dès lors qu'elle vise à anticiper un état de cessation de paiement" et de rendre l'ATI accessible "à tous les statuts juridiques de travailleurs indépendants non-salariés et assimilés salariés".Il suggère de remplacer le seuil de revenu d'activité par celui de chiffre d'affaires afin d'en faire bénéficier les micro-entrepreneurs (47% des indépendants avec un revenu annuel de 5.000 euros en moyenne) ainsi que de relever le niveau de ressources du RSA (564 euros) au seuil de pauvreté (1.063 euros)."Sans cotisations versées au titre du chômage, l'ATI doit s'entendre comme une allocation de solidarité, forfaitaire et de courte durée, pour aider au rebond d'un travailleur indépendant aux ressources modestes mais aux compétences riches", résume-t-il. Des propositions que pourra étudier le ministre délégué aux Petites et moyennes entreprises (PME), Alain Griset, qui doit présenter prochainement un plan pour améliorer la protection sociale des indépendants.Mais l'échec de l'ATI s'expliquerait aussi par "un aspect psychologique", selon Sophie Jonval, présidente du Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce."Quand vous êtes dans une démarche de création d'entreprise, vous êtes dans une dynamique positive, vous n'avez pas forcément le réflexe de prévoir ce qui se passera en cas de difficulté (...). On ne prépare pas un divorce lorsqu'on se marie", soulignait-elle lors de cette audition à l'Assemblée."Les chefs d'entreprise ne veulent pas d'une couverture chômage. Si la volonté existait, ils iraient massivement vers les dispositifs d'assurance existants", tranchait Lionel Canesi.
Il y a 4 ans et 69 jours

Les bureaux vacants à la location en progression de 30% en Ile-de-France

CONJONCTURE. La vacance des bureaux a augmenté depuis le début de l'année 2020. Pourtant, d'autres indicateurs ne fléchissent pas, tels que les commercialisations, et surtout l'investissement, qui reste au-dessus de la moyenne décennale.
Il y a 4 ans et 69 jours

Ravagée par la crise, l'hôtellerie attire toujours les investisseurs

"2020 devait être une très belle année pour nous, mais nous avons dû fermer cinq mois et demi", dit à l'AFP Philippe Monnin, un ex-conseiller en gestion de patrimoine qui a fondé avec son épouse avocate d'affaires le groupe hôtelier Millésime, à la tête d'une dizaine d'établissements à Bordeaux, Reims, Montignac, La Baule, Porto, Megève... et de futurs qui ouvriront en 2022 et 2023.Depuis 2015, tous deux reprennent "des bâtiments plutôt à l'état de ruines, qui ont une âme, pour les restaurer dans les règles de l'art et y développer une activité tournée vers l'art de vivre", mêlant hôtellerie et restauration.Ces "maisons", qui emploient 200 salariés, sont codétenues avec des investisseurs: au départ une vingtaine de familles fortunées, aujourd'hui des acteurs institutionnels.Pour l'heure, la société de M. Monnin "tient le choc grâce aux aides de l'État" mais il s'attend à voir la fréquentation repartir en flèche, lorsque le tourisme de loisirs reprendra grâce à l'avancée des campagnes de vaccination.Beaucoup tablent sur une reprise vigoureuse du tourisme de loisirs alimenté par une clientèle de l'Hexagone et d'Europe, alors que le tourisme d'affaires devrait ne redémarrer que lentement, vers 2023 ou 2024, de concert avec l'activité de congrès et séminaires, tout comme les palaces parisiens ou de la Côte d'Azur à la fréquentation très internationale.L'an dernier les ventes d'hôtels en France n'ont représenté que "900 millions d'euros contre 2,1 milliards d'euros par an d'ordinaire", rapporte Gwenola Donet, responsable du secteur hôtelier au sein du cabinet immobilier JLL."Partager le gâteau"Mais "en France, grâce aux aides gouvernementales, les propriétaires n'ont pas été acculés à vendre", dit-elle. "Beaucoup d'investisseurs s'attendaient à ce grand soir, qui n'est pas venu", grâce aussi au "soutien des banques, qui n'ont pas dit 'Je veux mes intérêts, sinon c'est dehors !'"."Il y a eu une vraie pause de l'investissement, mais il y a cette conviction qu'on va repartir", poursuit Mme Donet. Du fait de l'abondance des capitaux disponibles sur les marchés et du "peu d'actifs à vendre" en France, "la correction sur les prix y a été limitée, de 7 à 12%".En 2020, onze ventes ont été conclues sur le marché hôtelier hexagonal par Christie & Co, la société de conseil en immobilier la plus active dans le secteur en Europe en 2020, selon Real Capital Analytics (RCA).Parmi elles, le rachat en novembre du plus grand Holiday Inn de France, un hôtel d'affaires milieu de gamme de 262 chambres, situé porte de Clichy à Paris, par les sociétés Extendam et Catella Hospitality Europe.Le montant de cette transaction, qui n'est pas connu, a subi "une correction de valeur liée à l'impact de la Covid-19", a fait savoir Catella, se disant confiant dans l'hôtellerie, qui "continuera à générer des rendements supérieurs à ceux du marché immobilier locatif classique"."Comme tout le monde, lors du premier confinement on s'est dit +L'année est fichue+... mais on s'est aperçu que, que les hôtels soient fermés ou qu'ils aient des résultats très bas, l'intérêt pour l'immobilier hôtelier n'a pas baissé. Dès le mois de mai on a recommencé à avoir des coups de fil", explique à l'AFP Philippe Bijaoui, directeur de Christie & Co France.Pour Mme Donet, "il y a certes un trou d'air à passer, mais la crise aura aussi à long terme, des effets positifs: en mode survie, les hôteliers ont repensé leur structure de coûts et se sont posé les bonnes questions".En 2022, "toute la clientèle ne sera pas encore de retour, il faudra partager le gâteau. Il faudra séduire, avoir un service impeccable, une équipe très avenante et des prix bien positionnés", conclut-elle. "Ce sera l'heure de vérité".
Il y a 4 ans et 69 jours

Solution Recyclage Bâtiment poursuit son évolution et devient Tri’n’Collect

La société, fondée en 2019, devient Tri’n’Collect. Cette évolution a pour objectif de créer une marque plus claire, qui donne une immédiate compréhension de l’activité de l’entreprise : le tri et la collecte sur chantier. Ce changement de nom s’accompagne de la création d’une nouvelle charte graphique.Tri’n’Collect accompagne les maîtres d’ouvrage pour un meilleur recyclage de leurs déchets sur chantier. L’entreprise réalise un véritable travail de fond pour former et sensibiliser les artisans, mettre à disposition des stations de tri, collecter de manière régulière sur les chantiers et recycler à travers des filières adaptées (11 matières sont recyclées à ce jour). Le service s’adresse à tous les chantiers : bâtiment, travaux publics, déconstruction, réhabilitation...En devenant Tri’n’Collect, l’entreprise souhaite plus que jamais affirmer son ambition de rendre la construction plus éco-responsable. Avec la combinaison des mots « tri » et « collecte », l’activité est ainsi immédiatement exprimée et compréhensible.« Il était important pour nous que les publics auxquels nous nous adressons comprennent rapidement nos périmètres d’intervention. Le tri à la source, pour garantir la qualité des déchets et leur niveau de valorisation. La collecte, pour répondre aux besoins des artisans et des entreprises du bâtiment et leur faire gagner un temps précieux. » explique Quentin Charoy, co-fondateur de Tri’n’Collect.
Il y a 4 ans et 69 jours

Centre de recherche Horiba, à Paris-Saclay, par Sérau Architectes

Sur le quartier ouest de Polytechnique à Palaiseau (Essonne), dans le cadre du Campus Paris-Saclay, le Centre de recherche en optique et siège européen du groupe Horiba, un ouvrage conçu par l’agence parisienne Sérau Architectes, est enveloppé de Métal Déployé pour de multiples raisons. La Société Horiba Jobin Yvon, fondée en 1819, est un acteur […] L’article Centre de recherche Horiba, à Paris-Saclay, par Sérau Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 69 jours

Construire Hors Standard - Livre

Deux architectes et un anthropologue ont entrepris un tour de France de deux mois pour aller à la rencontre de ceux qui construisent des maisons individuelles écologiques s'éloignant des modèles vendus clés en mains. A travers la mise en perspective de trente réalisations, cette étude est une invitation à penser et à fabriquer […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 69 jours

A Nice, appel à projets pour un bâtiment signal

L’EPA Nice Écovallée lance un appel à projets pour la conception et réalisation d’un bâtiment signal dans le quartier d’affaires et de vie du Grand Arénas. Jusqu’au 13 juillet 2021. L’EPA Nice Écovallée, moteur et porteur de la relance pour le territoire lance une nouvelle consultation dans le cadre du nouveau plan guide du Grand […] L’article A Nice, appel à projets pour un bâtiment signal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 69 jours

A Shanghai, l’opéra signé Christian de Portzamparc

Christian de Portzamparc a livré en 2020 le Conservatoire de musique de Shanghai (Chine). Sur environ 30 000 m², l’ouvrage compte un opéra de 1 200 places, dix salles répétition, salle de congrès, centre de documentation, conservatoire de musique, centre d’administration, salles de répétitions, salle d’archives et commerces. Communiqué. Ce nouvel opéra est situé sur […] L’article A Shanghai, l’opéra signé Christian de Portzamparc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 69 jours

5 conseils pour bien éclairer chaque pièce de sa maison

L’éclairage constitue un élément essentiel de votre décoration, en intérieur comme en extérieur. En effet, si une pièce dégage une atmosphère particulière, c’est que l’éclairage y est pour quelque chose. Il en va de même pour une pièce lumineuse qui offre un confort de vie appréciable grâce à la visibilité optimale qu’elle confère. Pour toutes ces raisons, il est important de bien éclairer les différentes pièces qui constituent votre habitation. Mais comment y procéder, sans pour autant altérer l’intimité de la pièce ? Découvrez nos astuces pour faire de chaque pièce, un endroit fonctionnel ou reposant, selon son usage. Prendre en compte l’usage de la pièce Chaque pièce de la maison possède une fonctionnalité propre à elle. Avant d’acquérir votre luminaire, il implique de considérer sa fonction dans votre espace de vie. Pour la salle à manger, un lustre muni de graduateur d’intensité est favorable, tandis que dans la cuisine, les suspensions au-dessus du plan de travail sont à privilégier. Les encastrés autour de la pièce peuvent également faire leur effet pour mieux éclairer la pièce lors de la préparation des repas. Un lampadaire design idéal pour votre salon peut habiller l’angle du séjour ou l’extrémité du canapé. Son éclairage tamisé apportera une ambiance conviviale à cette pièce, à côté de vos mobiliers. Pour la chambre à couche, la lampe de table ou les appliques murales sur chaque côté du lit sont idéales pour la lecture. Pour l’éclairage général, la suspension se révèle particulièrement efficace. Placer les graduateurs stratégiquement Également appelé dimmer, le graduateur est une fonctionnalité permettant de varier l’intensité de l’éclairage en fonction de ses besoins en luminosité. Ainsi, vous pouvez adapter l’éclairage en fonction de vos activités et des heures de la journée. Les luminaires qui intègrent cette option sont à inclure dans les pièces multifonctionnelles comme le salon, la salle à manger ou encore la salle familiale. Dans les chambres à coucher comme dans la salle de bains, les graduateurs se révèlent également très pratiques. Dans ce cadre, leur but étant de tamiser l’éclairage. Bien choisir le type d’ampoule On distingue une grande variété d’ampoules à choisir en fonction de son usage, à savoir : Les tubes fluorescents pourvus d’une lumière vive, voire blafarde, idéalement à installer avec graduateur. Les ampoules incandescentes, appréciées pour leur efficacité énergétique. Les ampoules à LED qui dominent le marché, de par leur durabilité et leurs différents aspects : rubans à LED, habillage, etc. Les ampoules fluocompactes, une version miniature du tube fluorescent. Les ampoules halogènes, peu énergivores, donc économiques. Opter pour l’éclairage localisé L’éclairage général est un éclairage direct ou indirect qui projette une lumière diffuse sur la globalité de la pièce. Il peut prendre la forme d’encastrés ou de rail. Toutefois, les points lumineux sont plus intéressants pour bien éclairer les points d’intérêts de la maison. C’est ce qu’on appelle, l’éclairage localisé qui permet de créer des zones distinctes comme une toile ou un mur. On retrouve généralement ce type d’éclairage dans les galeries d’art, les magasins ou autres locaux commerciaux. Dans une maison, il est à prévoir pour le plan de travail de la cuisine, le coin lecture du salon, le bureau, etc. L’éclairage d’accent L’éclairage d’accent apporte la touche finale à chaque pièce. Il consiste à mettre en valeur un détail architectural de la pièce, un objet ou l’isolant. Dans les musées, pour éclairer les œuvres d’art posés à plat, on utilise des projecteurs de type unidirectionnel pour obtenir un faisceau de lumière dirigé. Sinon, pour les objets à relief, les projecteurs de type multidirectionnels vont venir découper l’objet dans l’espace. Comme son nom l’indique, ce mode d’éclairage vise à accentuer une zone précise de la pièce de votre logement. Les lampes de table comme les lampes sur pied sont parfaitement adaptées pour créer un espace intime en retrait du reste de la pièce.