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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 128 jours

Dossier : Le BTP fait sa fashion week

Sélection de la rédaction. Des EPI en jeans, protection ultime et plein de style. [©Armalith]Sélection de la rédaction. Une collection automne-hiver pleine de modernité par Lafont. [©Lafont]Sélection de la rédaction. Même sur un chantier, il faut avoir du style. [©Molinel]Sélection de la rédaction. Lafont nous montre son modernisme. [©Lafont]Sélection de la rédaction. Des chaussures de protection tendance et connectées, c’est la nouvelle gamme de Parade. [©Parade]Sélection de la rédaction. La technologie Armalith est utilisée pour des EPI modernes et tendance. [©Armalith] Le marché mondial du vêtement professionnel représente 7 Md€. En France, environ 8 M de personnes utilisent des vêtements professionnels, soit le tiers de la population active. Parce que les métiers du bâtiment et des travaux publics peuvent s’avérer dangereux, il est indispensable d’avoir une tenue adéquate pour travailler en toute sécurité. Tout en répondant aux exigences des différents métiers.Fabriqués de manière à résister à de nombreuses situations, les vêtements professionnels permettent d’être efficace, tout en travaillant confortablement. Défilé Calvin Klein Les marques déploient ainsi leur collection avec des gammes de produits de haute qualité et souvent éco-responsables. Et qui s’adaptent aux différents environnements de travail.Cela permet aux professionnels de travailler avec une tenue à la fois moderne et design, qui peut être portée à l’atelier comme en ville. Si, si…. En 2018, le créateur de mode Calvin Klein s’est inspiré des vêtements de travail pour proposer des pièces uniques et tendance. Dans un décor de chantier, les mannequins défilaient avec des bleus de travail, des bandes fluorescentes et même des cagoules de protection. Raf Simons, le directeur artistique de Calvin Klein, n’est pas le seul à emprunter les codes des EPI. Plusieurs expositions ont lieu en France, mettant toujours en avant ce vêtement si iconique. Pour son défilé de 2018, Calvin Klein a pioché son inspiration dans les vêtements de travail. [©Calvin Klein] Lafont a eu l’honneur de voir exposer ses pièces cultes. Il est le premier à avoir déposée en marque ses vêtements de travail. Son créateur, Adolphe Lafont, est celui qui a inventé la salopette, ainsi que la poche mètre. Il est en quelque mot le créateur de l’industrie du textile professionnel. C’est donc tout naturellement que le Mucem, à Marseille a sélectionné les vêtements Lafont pour son exposition “Vêtements modèles”. Lors de l’évènement “Bleu de travail”, on a pu retrouver des archives du monde du travail, des collections de vêtement et même des pièces de prêt-à-porter inspirées du “workwear”1. “L’atelier customise ton bleu” faisait partie de ce rendez-vous. Il proposait aux visiteurs de repartir avec une pièce de tissu, réalisé avec la même matière que les bleus de travail professionnel, totalement personnalisée. Ainsi, le vêtement de travail influence notre société. Les marques de prêt-à-porter haut de gamme s’emparent du phénomène, ainsi que des expositions.  L’exposition sur les bleus de travail au Mucem a su attirer du monde. [©Mucem] EPI, accessoires de mode… obligatoires Selon la dernière étude de l’Assurance Maladie – Risques Professionnels (2016), le nombre d’accidents de travail dans le secteur du BTP reste très largement supérieur à la moyenne, avec 60 accidents/j pour 1 000 salariés. Il est donc obligatoire et impératif de s’équiper en accessoires : les équipements de protection individuelle (EPI). Pour cela, les marques proposent une protection de la tête aux pieds et des services adaptés : casques, gants, genouillères… Le secteur compte nombre d’acteurs et nombre d’EPI. Tout est passé en revue chez les marques pour les professionnels, de la tête au pied. En France, il est obligatoire de s’équiper en vêtements de protection. Des entreprises comme Mewa renouvellent donc leur collection. [©Mewa] Aujourd’hui, l’industrie textile est la deuxième industrie la plus polluante du monde. Gaspillage, surconsommation, pollution des eaux… Toute n’est pourtant pas à mettre dans le même panier. Celle du vêtement professionnel ne s’est pas jetée à bras ouvert dans cette course à l’hyper-consommation textile. Bien au contraire. Les marques proposent des vêtements costauds et qui durent dans le temps. Dès ses débuts, le secteur en a produit des résistants, durables et techniques que les clients usent jusqu’au bout. Des tissus nouvelle génération « Le bleu de travail est un achat d’obligation, de raison et de sécurité qui privilégie la qualité et la technicité à la quantité. Le secteur des vêtements professionnels est beaucoup moins gaspillant que celui des vêtements de loisirs.  Il ne surproduit pas en masse et n’a pas besoin de renouveler toutes ses gammes de produits. En effet, en règle générale, seuls 10 à 12 % des produits du catalogue sont renouvelés chaque année. Certains produits peuvent même figurer depuis plus de 25 ans dans un catalogue. Aucune entreprise ne souhaite les changer tous les mois, surtout, s’il n’y a pas de destruction des invendus », explique Frédéric Jacquart, directeur commercial de Timberland Pro. Les marques de vêtements professionnels mettent tout en œuvre pour proposer le plus de produits à leurs clients. [©ChatardPro] De plus, certaines marques développent des tissus de nouvelle génération, comme l’Armalith 2.0, obtenu par l’assemblage d’une fibre de coton avec la fibre UHMWPE. Jusqu’à présent réservée aux applications spatiales, militaires et offshore, cette technologie exclusive est un authentique denim avec en son cœur, une armature, lui conférant les qualités mécaniques du cuir. L’Armalith propose le confort du jean stretch, la sécurité du cuir et les belles teintes de l’indigo. Un petit plus pour des vêtements anti-abrasion, toujours tendance. Une féminisation des collections En parallèle, certaines marques permettent la location de vêtements. Ainsi, l’entreprise est débarrassée de tout un ensemble de tâches, comme l’achat, le stockage et l’entretien des textiles. Mais aussi l’adaptation continuelle aux besoins. Comme, par exemple, lorsqu’une personne de l’équipe d’une entreprise a besoin d’un pantalon supplémentaire ou en cas d’embauche de nouveaux collaborateurs ou collaboratrices. D’autres privilégient la haute technologie, comme des chaussures intelligentes à détection de chute. Les chantiers se féminisent, les entreprises doivent donc proposer des vêtements pour les femmes. [©EPICenter] Et petit plus : dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, les équipes tendent à se féminiser. Attentif aux attentes spécifiques de ces utilisatrices et aux besoins de mixité des tenues dans les entreprises et les collectivités, les marques se sont lancées dans les gammes féminines. Coupes cintrées, taille réglable par système élastiqué pour un bon maintien au niveau des hanches, poches arrondies et ajustées… Chaque vêtement propose des tenues ergonomiques et adaptées à chacune des silhouettes. Confort, facilité de mouvements et sécurité au quotidien. Tout en permettant aux équipes d’être assorties côté style…  Nous allons vous faire découvrir la collection automne-hiver 2020-2021 de quelques marques, la liste n’étant pas exhaustive. Charline David et Muriel Carbonnet 1Vêtement de travail. Sommaire du Dossier : Aigle Pro : Deux nouveaux modèles de chaussures Buffalo : La chaussure de sécurité haute performance   Chatard : La veste de pluie Concept Tricots Bonnemaille : Une gamme de vêtements haute protection Damart accroît l’influence de DamartPro Dickies dévoile sa nouvelle gamme 2020-2021 Mewa Move : La nouvelle collection tendance de Mewa Milwaukee : De nouveaux vêtements s’ajoutent à la gamme M12 Molinel : Des EPI haute protection  Parade : La chaussure de sécurité connectée Rostaing : Elles leur vont comme des gants professionnels Uvex dévoile ses gants protecteurs et novateurs
Il y a 4 ans et 128 jours

Helioz s’associe à BIM&CO en tant que content partner pour la modélisation d’objets BIM

Helioz Technologies est une entreprise croate, développant des solutions de configuration de produits pour les fabricants de produits architecturaux et mécaniques. La société propose du contenu BIM facilement utilisable par toutes les entreprises, contenant un grand nombre d’informations avec des propriétés spécifiques. C’est en février 2020 que la société Helioz est devenue partenaire de BIM&CO. Mia Velikanović, créatrice de contenu chez Helioz Technologies explique son parcours. « Je travaille chez Helioz depuis l’automne 2019. J’ai commencé à travailler avec des outils BIM à l’université. Cela m’a beaucoup intéressé  car le BIM aide à améliorer les processus, la communication et permet de faire le travail de manière plus rapide et plus efficace. » Les systèmes BIM sont pour elle le moteur de l’architecture et du génie civil. « Les outils BIM&CO sont simples et intuitifs dans leur utilisation, tout en étant très puissants et c’est ce que j’aime vraiment chez eux. » ajoute-t-elle. Les équipes d’Helioz Technologies sont également intervenues sur la création de contenu fabricant : les produits du fabricant Aiphone, spécialiste dans la fabrication de systèmes d’interphone, ont été modélisés au format BIM par leurs équipes.  La content creator d’Helioz, Mia Velikanović précise : « Les équipes de BIM&CO nous fournissent la donnée fabricant par le biais d’Onfly, ce qui représente un gain de temps significatif pour les deux parties concernées. Nous importons ensuite la donnée dans Revit par le biais du plugin BIM&CO, et créons la géométrie. Puis, les objets sont publiés au format Revit ou IFC sur bimandco.com ». Avant leur publication, les objets sont contrôlés par les BIM Content Specialists de BIM&CO et soumis à la validation finale du client. « Les technologies mises à notre disposition pour la création d’objets génériques ou fabricant nous permettent de réaliser un gain de temps, mais aussi de générer des objets à la qualité éprouvée », complète Mia Velikanović. Helioz profite d’autre part d’une visibilité accrue grâce à une page entreprise « Content Partner » dédiée, disponible en sept langues. Actuellement, plus de 120 objets génériques répondant à divers besoins (matériel médical, objets méthodes, éléments d’extérieur…) ont été publiés par Helioz sur bimandco.com : Voir les objets Helioz À propos d’Helioz – helioztechnologies.com – @HeliozMT Helioz Technologies développe et met en œuvre des solutions de configuration de produits pour les fabricants de produits mécaniques et architecturaux. Ils s’associent avec les meilleurs fournisseurs de technologie du monde pour le développement de contenu BIM 2D/3D et de produits mécaniques, afin de fournir la meilleure expérience digitale à leurs clients. Helioz Technologies crée des objets BIM simplifiés et riches en informations, utilisables par tous les groupes d’entreprises et contenant des informations et des propriétés spécifiques aux produits. À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco Filiale du groupe Trace, BIM&CO est née en 2015 et bénéficie de plus de 30 ans d’héritage technologique dans le calcul, le traitement et la redistribution de la donnée technique. BIM&CO a pour mission de connecter tout corps d’état aux pouvoirs de la data, pour bâtir ensemble le monde de demain. BIM&CO met en place des solutions de gestion des données pour les ingénieries et fabricant, au-delà des barrières de langues, standards et formats. Pour répondre aux enjeux de la digitalisation des métiers de l’industrie, BIM&CO préconise une approche ingénieuse et maîtrisée du BIM, basée sur l’usage optimisé de la donnée partagée. Sa technologie d’harmonisation et de synchronisation s’enrichit quotidiennement pour permettre à tout corps d’état de disposer d’objets validés et de données connectées qualifiées, exploitables sur toute plateforme (dans tous standards ou formats). BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et Montréal. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes. Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 128 jours

Molinel : Des EPI haute protection

Les EPI Molinel peuvent être mis à rude épreuve sur les chantiers. [©Molinel] Le Français Molinel conçoit, produit et commercialise des EPI depuis 1845. Grâce à sa politique d’innovation, il a su rester sur le marché des vêtements de protection depuis sa création. Répondant aux attentes des professionnels, son offre a évolué dans le temps. Aujourd’hui, il propose des EPI destinés aux environnements extrêmes. Molinel a pour objectif de présenter une solution selon le type de métiers et les risques auxquels l’utilisateur est exposé. Les tissus se sont améliorés pour procurer un confort, une performance et une protection extrême. Les équipes de conception n’ont pas pour autant mis de côté le design des produits. Les différents EPI s’adaptent à tout type de métiers. Forte température, éclaboussures de produits, arcs électriques, port de matériels lourds…, les gammes de Molinel sont ajustables aux besoins des travailleurs.  Charline David
Il y a 4 ans et 128 jours

Mure & Peyrot : Le nouveau couteau de sécurité Albret

Le couteau de sécurité Albret par Mure & Peyrot. [©Mure&Peyrot] L’entreprise familiale française Mure & Peyrot fabrique des couteaux de sécurité et des lames industrielles à usage professionnel. Fêtant ses 117 d’existence en 2021, elle vient de dévoiler le couteau Albret. Ce petite nouveau à lame de sécurité est compatible avec un chargeur à lames individuelles. Des lames en acier et en céramique sont disponibles pour ce modèle. La sécurité se décline à plusieurs niveaux. Déjà, l’utilisateur a la possibilité de changer la lame sans jamais la toucher. Cela supprime les risques de coupures. De plus, le couteau est doté d’un système de rétraction de la lame automatique, lorsque le couteau n’est pas utilisé. Enfin, toujours pour garantir une sécurité accrue, le bout de la lame est arrondi. Evitant ainsi tout risque de piqûre et de coupure. Le design du couteau Albret a été pensé pour une utilisation simplifiée. Il permet un travail rapide, précis et sûr. Les équipes de Mure & Peyrot ont conçu ce couteau pour protéger les utilisateurs de tout accident de travail. Pour cela, le revêtement du couteau est anti-dérapant. Par ailleurs, ce couteau est ambidextre et peut être utilisé dans pas moins de 100 000 actions. En ce qui concerne le chargeur à lames, il est biodégradable et biosourcé.  Charline David
Il y a 4 ans et 128 jours

Milwaukee : De nouveaux vêtements s’ajoutent à la gamme M12

Le blouson Milwaukee protège de la pluie comme du vent. Il est une solution pour se protéger des intempéries. [©Milwaukee] Depuis 1924, l’Américain Milwaukee développe et fabrique des outils électriques à usage professionnel. Avec plus de 500 modèles et 3 000 références d’accessoires, la marque est devenue un acteur important du marché. C’est en 2010 qu’elle lance sa collection de blousons chauffants M12. Conçus avec des textiles innovants, ces vêtements sont un parfait allié contre le froid. Cette gamme a été réalisée pour répondre aux besoins des professionnels du bâtiment et de la construction. En 2016, elle a été en totalité revue, la technologie utilisée ayant évolué. Les vêtements sont désormais plus robustes et plus polyvalents. Avec une durée de vie accrue.  La fibre de carbone comme alliée Grâce à leur design, les blousons chauffants Milwaukee en fibre carbone garantissent des zones chauffantes. Cela permet une meilleure répartition de la chaleur sur tout le haut du corps. La matière extérieure est imperméable et résistante à la pluie. La gamme est composée de 10 modèles pour homme comme pour femme. Pratique, ces vêtements sont lavables en machine.  Un des petits nouveaux de la marque est le blouson chauffant premium M12 HJ, disponible en noir et gris. Il est composé de 5 zones chauffantes et d’une doublure en polaire. Comme les autres éléments de la gamme, il garantit une répartition de la chaleur optimale. Il possède de larges poches où l’on peut trouver des prises USB. Sa durée de vie a été multipliée par 5 et sa résistance sur les chantiers a, elle aussi, été réévaluée à la hausse. Protéger du froid n’est pas sa seule mission. Le blouson protège de la pluie comme du vent. Charline David
Il y a 4 ans et 128 jours

Daniel Buren et Philippe Parreno investissent la galerie Kamel Mennour - Derniers jours

Titulaire d'un master en architecture de l'université de Delft, Chris van Duijn est architecte partenaire d'OMA depuis 2014. Il y dirige les projets asiatiques tels que la galerie commerciale Hanwha de Séoul (2020) ou le Columbia Circle masterplan de Shanghaï, un projet de préservation patrimoniale de grande échelle. Ayant intégré OMA en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 129 jours

Clap de fin pour une utopie de 50 ans d'un collège ouvert près de Rennes

En cette matinée humide de fin janvier, à l'heure de la "récré", on aperçoit avec étonnement des centaines de collégiens dehors, croisant des habitants promenant leur chien, au milieu de talus arborés. Le Rheu, qui n'était qu'un village dans les années 1950, s'est agrandi avec l'implantation d'une usine Citroën à proximité, se développant à travers les préceptes du célèbre urbaniste Gaston Bardet (1907-89), promoteur du "mariage de la ville avec la verdure".Morgane, 14 ans et en 4e, est "fière" et "adore" être dans ce collège de plain-pied bâti en 1974, "où l'on a plus de liberté". "On peut aller dans l'herbe et c'est plus joli sans clôture!". Et elle rappelle en souriant cette anecdote propre au collège Brassens: le premier jour, le principal fait le tour de l'établissement en montrant les "limites virtuelles" à ne pas dépasser.Son camarade Milan, sweat à capuche, est opposé à la future sécurisation du site comme tous ses copains et se demande si le terrain de basket et de foot sera à l'intérieur ou non de la clôture. "On a moins de problèmes ici que dans des collèges avec grillages. Et si on met un mur de 1,50 m le terroriste qui va commettre un attentat il passera par-dessus!".Mais pourquoi ce qui a été possible pendant près de 50 ans n'est plus possible en 2021 ? "On a eu une réunion en préfecture de la cellule de veille et de sécurité autour du préfet, du procureur, services de renseignements et de sécurité", explique Jean-Luc Chenut, président socialiste du conseil départemental, auquel est confiée la gestion des collèges."La situation atypique du collège du Rheu a été fortement pointée avec une cotation de risque élevé" alors que le pays est placé "sous le dispositif Vigipirate attentat, le niveau de vigilance le plus élevé", résume M. Chenut, qui fut maire du Rheu. La nouvelle clôture, qu'il souhaite "paysagère" pour un coût chiffré entre 200.000 et 250.000 euros, doit être prête pour la prochaine rentrée de septembre.Réversibilité ?Mais pour beaucoup de parents d'élèves, cette décision dénature la déclinaison architecturale du projet pédagogique. "Philosophiquement, c'est l'idée qu'on peut faire confiance aux jeunes, qu'il y a un apprentissage progressif de l'autonomie", explique Matthieu Mahéo, secrétaire général académique Snes-FSU et représentant des parents d'élèves."On regrette qu'un président socialiste du conseil départemental n'ait pas le courage politique de défendre la particularité de la commune et cède aux sirènes sécuritaires", lance M. Mahéo, reconnaissant que l'attentat ayant coûté la vie à Samuel Paty a conduit "à porter un regard nouveau" sur les établissements scolaires.Selon Sébastien Cordrie, documentaliste, "il n'y a jamais eu de fuite d'élèves. Ici les élèves sont considérés comme des futurs adultes", relève-t-il, notant qu'il n'y a "pas d'autre collège ouvert" en France.Au centre-bourg, les habitants de cette commune de 9.000 habitants expriment des avis plus nuancés. "Ça ne me choque pas qu'ils le ferment, il faut privilégier la sécurité. Est-ce que ça dénature l'histoire de la ville? Les temps ont changé, ce n'est plus la petite cité jardin qu'on a découverte il y a 40 ans...", pointe, nostalgique, Colette, 67 ans.Romain, un commerçant, explique tout de go qu'il a "tout fait" pour ne pas mettre ses enfants dans ce collège. "Les gamins de 11 ans qui sortent de primaire sont encore des bébés, ils auront le temps de se responsabiliser plus tard! Là, ils sont un peu lâchés, on les voit aller au supermarché, à la boulangerie..."Le maire Mickaël Bouloux (divers gauche) espère que la clôture aura l'"impact visuel le moins fort possible" et que la structure pourra être "réversible"... Pour un jour, qui sait, revenir à l'idéal initial.
Il y a 4 ans et 129 jours

Un ouvrier, coincé sur un chantier à Marseille, secouru après 20 heures d'intervention

L'homme de 54 ans dont les membres inférieurs étaient ensevelis a été sorti conscient mardi en fin de matinée et transporté aux urgences, ont précisé les marins-pompiers.Les secouristes avaient été appelés lundi vers 15H30 pour un homme "semi-enseveli" à la suite de l'effondrement d'un chantier dans le XIIe arrondissement, à l'est de la ville.Après avoir sécurisé la structure du chantier qui, en raison de son instabilité, représentait un "danger pour les intervenants", les marins-pompiers ont dû découper une partie bétonnée au moyen "d'une lance à plasma".
Il y a 4 ans et 129 jours

En quoi consiste le soudage industriel ?

Le soudage industriel fait partie des bons à savoir quand vous vous lancez dans une activité professionnelle d’envergure et qui nécessite l’utilisation de machines en tout genre. Le domaine tend de plus en plus à s’automatiser depuis quelques années. Il n’en demeure pas moins qu’une intervention humaine est toujours requise pour mieux gérer les choses. Mais en quoi consiste réellement cette pratique et quelle est son importance ? Le point. Les différentes techniques de soudage industriel Dit simplement, le soudage industriel consiste à fixer des pièces métalliques entre elles sous une certaine température. Désormais, sur procédé de soudage, il existe plusieurs techniques que l’on peut utiliser afin de réussir une telle démarche et gagner non seulement en efficacité, mais aussi en robustesse. En voici quelques-unes. Soudage à l’arc  C’est la technique la plus prisée dorénavant pour le soudage industriel. Et pour cause, elle permet non seulement de gagner du temps et de garantir la qualité de la soudure des différentes pièces. Le principe est simple : souder les plaques de métal en créant un arc électrique. Soudage TIG Surtout utilisé pour le raccordement ou la réparation de tuyaux, le soudage TIG consiste toujours à réaliser un arc, mais cette fois à l’aide de diodes et d’une torche de soudage spécifique. Plus minutieux en effet, il garantit un maximum d’efficacité pour les petites pièces en général. Soudage MIG et MAG C’est la dernière technique de soudage qui est apparue sur le marché. Moderne et tendance, elle est déjà semi-automatique, donc plus simple à réaliser. Elle nécessite toutefois des postes soudures spécifiques, livrés justement avec tous les éléments nécessaires pour la réalisation de l’opération. Dit simplement, dans le soudage MIG et MAG, il s’agit de coller deux pièces métalliques ensemble avec un fil de soudage qui servira aussi d’ajout sur la pièce. De quoi lui assurer un maximum de robustesse. Il peut y avoir plusieurs types de fils à utiliser pour ce genre de procédés : pleins, massifs, ou fourrés. Tout est une question de goût. L’importance du soudage industriel Depuis toujours, le soudage industriel est très prisé. Ce peut être notamment par les simples particuliers pour la réparation ou la construction d’accessoires en métal. Ce peut être aussi par les entreprises qui ont des matériels en métal qui nécessitent un entretien et une réparation minutieuse. Avec ces différentes techniques, il sera possible d’assurer la stabilité et la robustesse de vos créations en métal et d’assurer aussi une longue vie à vos appareils de fabrication et de production. Sans compter que cela peut revenir moins cher de réparer simplement les engins en question que de les remplacer. Désormais, le soudage industriel s’invite dans plusieurs domaines. Ce peut être de la construction immobilière et du BTP ou dans les entreprises en tout genre.  C’est une technique efficace, rapide et facile pour travailler tous les types de métal. Comment procéder ?  Si expliqué ainsi, le soudage industriel semble être facile, ce n’est pas le cas dans la vraie vie.  Il faut respecter certaines normes et connaître les bonnes techniques ainsi que les différents procédés pour garantir la qualité de la prestation, mais surtout ne pas risquer votre sécurité. Un conseil donc : faites appel à un professionnel dans ce domaine pour la réalisation de tous vos projets de soudage industriel. Il n’en manque pas sur le marché. Les experts peuvent se déplacer avec leur poste de soudage. Ou pour gagner du temps et de l’argent en ce sens, vous pouvez aussi engager un soudeur parmi vos salariés et installer un poste de soudage uniquement dédié à vos appareils dans votre siège.
Il y a 4 ans et 129 jours

“Ceci n’est pas une porte”, le premier projet du Studiolo

Le Pavillon de l’Arsenal inaugure le Studiolo, programme ouvert de micro-expositions visibles depuis le... Cet article “Ceci n’est pas une porte”, le premier projet du Studiolo est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 129 jours

Dickies dévoile sa nouvelle gamme 2020-2021

Dickies développe des vestes chauffantes haute innovation. [©Dickies] L’Américain Dickies s’est développé, en se transformant d’une boutique de salopettes à une entreprise internationale. Qui conçoit et produit des vêtements de travail. Chaque année, en parallèle de la sortie de ses nouvelles gammes, il retravaille certains de ces produits phares. Ainsi, Dickies a lancé pour cet hiver une nouvelle gamme de vestes pour les conditions météorologiques extrêmes. Cette gamme intègre les technologies AWT (résistante à l’eau et respirante) et AWT+ (imperméable, respirante et coupe-vent). Elle se compose de vestes et de chaussures. Et accueille 3 nouveaux produits : la veste imperméable Generation Over Head, la veste Generation Waterproof et la veste Softshell Two Tone. Les vestes Generation Over Head et Waterproof ont été conçues et réalisées sur le même modèle. Elles sont toutes deux adaptées aux temps pluvieux. Et présentent un design moderne et épuré. Quant à la veste Softshelle Two Tone, elle fait partie de la gamme Flex. Elle apporte mobilité et confort aux professionnels. Elle est aussi résistante à l’eau.  Charline David
Il y a 4 ans et 129 jours

Chatard : La veste de pluie

La nouvelle veste de pluie haute visibilité de Chatard. [©Chatard] Avec ses 36 ans d’expérience dans le domaine du vêtement de protection, l’entreprise française Chatard ne cesse d’innover, grâce à son savoir-faire. Elle propose des produits qui répondent aux attentes des consommateurs. De plus, ces vêtements sont conformes aux exigences des normes européennes.  La nouvelle gamme Chatard Sa nouvelle gamme de vestes de pluie haute visibilité est fabriquée avec des tissus imper-respirants. Elle est aussi compatible avec les blousons chauffants de la marque. Ces vestes peuvent aussi se transformer en parka, afin de s’adapter selon les conditions météorologiques. Plusieurs modèles sont disponibles, pour permettre de toucher la plus grande cible possible. Cette gamme se veut sportswear avec un design épuré. Elle est un atout indispensable pour le travail sur les chantiers. Ce vêtement promet aux usagers ergonomie, facilité de mouvement et confort. Charline David
Il y a 4 ans et 129 jours

Du pavillon au pylône végétalisé, l’impression 3D utile à l’architecture ?

Dans son roman Pylône, écrit en 1935, William Faulkner rend hommage aux « fous volants », ces pilotes de foire quand l’aviation était encore une activité dangereuse avant d’être une industrie, les nouvelles technologies triomphant cependant de l’ancien monde. Aujourd’hui l’impression 3D a quitté les labos des écoles d’architecture pour rejoindre ceux des industriels. Bienvenue aux fous […] L’article Du pavillon au pylône végétalisé, l’impression 3D utile à l’architecture ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 129 jours

Concept Tricots Bonnemaille : Une gamme de vêtements haute protection

Avec son design moderne et sa capacité de protéger du froid, le pull Lautrec de Concept Tricots Bonnemaille est un “must have”. [©Concept Tricots Bonnemaille] Depuis de nombreuses années, le Français Concept Tricots Bonnemaille est experte dans la conception et la fabrication de vêtements professionnels en maille. La nouvelle équipe dirigeante, qui a repris l’entreprise en 2017, a redonné un élan à sa créativité. Nouveau design, ergonomie, sécurité et matériaux sont aujourd’hui la priorité des services de création.  Le pull Lautrec  Pour permettre la fabrication de pulls, Concept Tricots Bonnemaille récupère et valorise les anciens pulls de ses clients. Le résultat est un pull 100 % produit à partir de matières recyclables. Ce qui réduit son bilan carbone de 98 % par rapport à du neuf. Grâce à son partenariat avec une filature régionale, les pulls usagés de ses clients peuvent jouir d’une seconde vie.  Ainsi, le pull Lautrec est souple, confortable et garantit une résistance au froid. Il apporte une liberté de mouvement et de la chaleur. Parfait pour l’hiver. Ses finitions soignées et son look ne font pas de ce pull un simple vêtment. Car il peut aussi bien être porté sur un chantier ou un atelier qu’avec une tenue de ville.  Le t-shirt Cut-Stop à manches longues Quant à la gamme de t-shirts à manches longues Cut-Stop, elle procure à ses utilisateurs une protection optimale lors de la manipulation d’objets coupants. Elle se compose de t-shirts avec des protections au niveau des bras et du ventre. On pourrait imaginer qu’un vêtement anti-coupures soit inconfortable. Concept Tricots Bonnemaille propose un t-shirt en coton pour un contact avec la peau agréable. Les clients peuvent choisir entre plusieurs modèles, que ce soit au niveau de la matière, de la couleur ou encore de la forme du col. Concept Tricots Bonnemaille leur offre la possibilité de les personnaliser avec un logo brodé, cousu ou en étiquette.  Charline David
Il y a 4 ans et 129 jours

RE2020 : l’ACV dynamique, c’est de la dynamite écologique et … politique !

A quelques mois de la mise en place annoncée de la RE2020, le ministère de la Cohésion des territoires, voulant faire feu de tout bois, change brusquement les règles du jeu. Modifier l’ACV statique en dynamique, à quelques mètres du but, pas très fairplay !  Explications. Les ministres Emmanuelle Wargon et Barbara Pompili et les fédérations […] L’article RE2020 : l’ACV dynamique, c’est de la dynamite écologique et … politique ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 129 jours

Le chauffage au granulé de bois a-t-il sa place dans le collectif ?

Grâce à sa densité énergétique, son homogénéité, son coût, son excellent bilan carbone et sa combustion propre et sa flexibilité d'utilisation, ce type de chauffage répond à des besoins spécifiques qui le rendent incontournable dans le mix énergétique français.Avec plus de 1.100 chaufferies au granulé de bois en France, les retours d'expérience sont nombreux et très satisfaisants : écoles, lycées, bureaux, mairies, gymnases, lotissements …Pour identifier au mieux le marché et évaluer les zones de pertinence économique de ces installations, Propellet a mené l'enquête. Cette étude rendue en novembre 2020 « Articulation des usages entre granulé et plaquette » a été financée par l'ADEME, l'interprofession France Bois Forêt (FBF) et coréalisée avec le Comité Interprofessionnel du Bois Energie (CIBE) et le Syndicat National des Producteurs de Granulé de Bois (SNPGB).Le marché du granulé domestique représente aujourd'hui 95%. Un potentiel très significatif pour le marché du collectif et industrielAujourd'hui, le marché du domestique (poêles et chaudières) représente 95%. Et, en 2019, la consommation cumulée de granulé pour le secteur collectif et industriel s'élevait à 70 000 t/an, soit moins de 5% de la consommation de granulé de bois en France !Hors CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain), le granulé représente seulement 2% de l'énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois (alors que le nombre de chaufferies « bois » représente près de 20% de l'ensemble). La très large majorité d'entre elles est fournie par le bois déchiqueté (plaquettes forestières, connexes des industries du bois, broyats de bois en fin de vie…).Le paysage français dans le chauffage collectif et industriel au granulé est marqué par la prédominance des chaudières de petites et moyennes puissances. En effet, Dans le secteur collectif / industriel, le CIBE recense, pour 2018, un parc de 1 156 chaufferies au granulé de bois de plus de 50 kW pour une puissance cumulée de 178 MW. Plus de 90% des chaudières au granulé ont une puissance inférieure à 300 kW.Pertinence du granulé et capacité de la filièreLes récentes annonces du gouvernement concernant l'interdiction d'utiliser du gaz dans les logements collectifs neufs à partir de 2022 (RE2020) vont permettre d'accélérer le développement de ce marché. La filière bois énergie est prête pour aborder ce virage.Le bois énergie est un cercle vertueux, puisque l'utilisation du bois dans la construction permet à la fois de stocker du CO² dans le bâtiment et de générer des coproduits de bois qui sont utilisés pour fabriquer du granulé.En 2019, la France a produit 1.6 million de tonnes de granulés bois. Grâce à de nouveaux projets d'usine, la capacité devrait atteindre les 2 millions de tonnes d'ici 2 à 3 ans. Au-delà du passage obligatoire à la sobriété énergétique qui diminuera les besoins, les perspectives sont rassurantes puisque la ressource issue de la forêt est abondante. L'accroissement naturel de la forêt est de 10% par an en volume et il n'est prélevé pour tous les usages (bois d'œuvre, bois d'industrie, bois d'énergie) que la moitié de cette progression.Logique de décision des prescripteurs en faveur d'une solution boisÉtudier la valeur ajoutée du granulé par rapport à la plaquette facilite la logique de décision.Le choix se fait en fonction d'études de faisabilités et de préconisations de maîtres d'œuvre et d'experts. La volonté d'un maître d'ouvrage de valoriser une ressource locale de bois afin de dynamiser le territoire peut souvent orienter la décision en faveur de la plaquette ; en particulier dans le cas de communes disposant de forêts.Comparaison plaquette / granulé = les facteurs de décisionQuand le choix de l'énergie bois est acté, l'arbitrage se fait entre plaquette et granulé. Les premières questions que vont se poser le maitre d'ouvrage concernent :Des éléments techniquesLes contraintes techniques ou foncières liées à la superficie du site de la chaufferie = la densité énergétique du granulé fait que 3 à 4 fois moins d'espace est nécessaire pour le stockage que pour la plaquette.L'accessibilité du site aux camions de livraison = conditions de déchargement. Le granulé nécessite donc aussi 3 à 4 fois moins de livraisons que la plaquette.Les moyens pour assurer l'exploitation de l'installation = les plaquettes nécessitent plus de compétences et de surveillance (personnel en interne ou contrat d'exploitation).À noter : Le fractionnement de la puissance en plusieurs chaudières est courant pour les installations au granulé. Du fait d'une puissance minimale autorisée plus faible que pour une chaudière unique, cette configuration permet de couvrir une plus grande part des besoins thermiques par le bois (y compris les besoins d'eau chaude sanitaire l'été), éventuellement jusqu'à 100% c'est-à-dire sans recourir à une énergie fossile en appoint.Des éléments financiersL'analyse en coûts différenciés investissement / fonctionnement pour les maîtres d'ouvrage (situation assez rare).L'analyse économique en coût global = décisif pour le choix du maître d'ouvrage. C'est ici que se pose la question de l'intermittence d'usage de la chaleur. La souplesse d'une installation au granulé est un avantage dans le cas de cette intermittence mais, surtout, à puissance égale installée, l'intermittence entraînera une moindre consommation d'énergie qui rendra économique l'utilisation du granulé.Dans le milieu industriel, les projets s'évaluent généralement en temps de retour brut sur investissement plutôt qu'en coût global de l'énergie. Une installation au granulé présentera un meilleur temps de retour brut sur investissement qu'un projet plaquettes, (si faibles variations des prix des 2 combustibles), et pour des besoins énergétiques faibles.Analyse de l'intérêt économique des solutionsL'analyse de l'intérêt économique d'un projet s'effectue généralement par la comparaison des factures énergétiques en coût global pour chacune des solutions.Ce graphique montre que lorsqu'on décompose le coût global :La part d'énergie est inférieur pour le granulé face aux énergies fossilesLa part de l'appareil au granulé (maintenance inclus) est moins importante face à la plaquetteLes grandes tendances d'un point de vue financier après analyseFace au fioul domestique (95 €TTC/MWhPCI), les chaufferies dédiées au bois sont systématiquement compétitives.Face au gaz naturel (55€TTC/MWhPCI), à contrario, les chaufferies dédiées au bois ne sont compétitives que dans de rares cas : établissements scolaires, sanitaires et sociaux ou résidentiels collectifs par exemple. Suivre l'impact de la RE 2020.Lorsque les deux solutions bois sont comparées entre elles, la solution « granulé » devient plus pertinente lorsque l'intermittence augmente ou pour satisfaire de faibles besoins thermiques.Plus le prix de l'énergie fossile utilisée en appoint est élevé, plus importante est la zone de pertinence de la solution granulé : avec le granulé, seuls 10% des besoins sont couverts par l'énergie d'appoint contre 15% pour la solution plaquette. Ce qui représente une réduction de 33% du recours à cette énergie d'appoint.Une réflexion globale à mener sur les réseaux de chaleur bois dans les territoires rurauxLes récentes décision gouvernementales (fioul et gaz) nécessitent d'engager une réflexion d'ensemble et des actions pour développer le bois-énergie dans les territoires ruraux. Des centaines de milliers de familles, de bâtiments publics et commerciaux seront concernés et devront trouver une alternative.Mais les solutions individuelles ne sont pas souhaitables. Il faudra éviter le passage au propane (dérivé du pétrole fossile) ou au chauffage électrique sous toutes ces formes (par effet joule ou de manière plus vertueuse par pompe à chaleur) qui aggraverait le pic d'appel de puissance électrique en hiver.Une réflexion collective est primordiale. Les petits réseaux de chaleur renouvelables dans les territoires ruraux ont toute leur place.
Il y a 4 ans et 129 jours

Malgré la déprime ambiante, une reprise est toujours en vue cet été selon le gouvernement

Cela peut paraître paradoxal, tant la crise sanitaire semble s'éterniser, entre un nombre de contaminations quotidiennes au Covid-19 qui peine à redescendre sous la barre des 20.000 depuis janvier et la progression du variant anglais qui fait planer la menace d'un nouveau confinement.Face à cette atmosphère morose, marquée par des appels à la désobéissance de restaurateurs ou d'élus locaux, le gouvernement affiche un optimisme à toute épreuve.Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a salué lundi "l'exceptionnelle capacité de résistance de l'économie française" en 2020, grâce à laquelle 360.000 emplois ont été perdus, deux fois moins qu'anticipé."Elle va montrer à la fin de l'année 2021 son immense capacité de rebond", a prédit sur Europe 1 le ministre, qui maintient pour l'instant sa prévision d'une croissance de 6%.Tout comme la Banque de France, qui a confirmé mardi sa prévision de croissance de 5% pour 2021. "L'économie française, qui avait déjà connu l'été dernier le plus fort rebond d'Europe, a montré à nouveau fin 2020 sa résilience. C'est encourageant pour quand nous sortirons des restrictions sanitaires", a déclaré son gouverneur François Villeroy de Galhau dans un entretien aux quotidiens du groupe Ebra.Le gouvernement fonde son optimisme sur la réaction de l'économie à l'issue du premier confinement, qui a permis une croissance de 18,5% au troisième trimestre, puis en décembre, quand les commerces ont été autorisés à rouvrir, entraînant un rebond de 23% de la consommation des ménages, après une chute de 18% en novembre."Dès que des restrictions ont été levées, le retour des consommateurs et de leur confiance a été spectaculaire", a souligné le gouverneur.Pourtant, une étude publiée lundi a jeté un froid. L'assureur-crédit Euler-Hermès a calculé que l'Union européenne accusait un retard de cinq semaines par rapport à son objectif de vacciner 70% de la population d'ici l'été. Or, "si ce retard n'est pas compensé, il pourrait coûter près de 90 milliards d'euros à l'économie européenne en 2021", a-t-il mis en garde."Prendre du recul"L'économiste en chef de Bercy, Agnès Bénassy-Quéré, a toutefois appelé à "prendre un peu de recul" vis-à-vis des chiffres de la vaccination égrenés "au jour le jour". "Normalement, à l'été, la vaccination aura été massive", a assuré la cheffe économiste du Trésor, qui compare le Covid à un "couvercle" comprimant l'activité."Quand on enlève le couvercle, l'économie se redéploie très rapidement", a illustré Mme Bénassy-Quéré, qui dit avoir été "surprise" par la "vigueur" de la consommation observée après chaque assouplissement.Comme si les Français, dont les revenus ont été dans l'ensemble préservés par l'indemnisation du chômage partiel, n'attendaient que la réouverture des bars, restaurants et lieux culturels pour dépenser les quelque 100 milliards d'épargne Covid accumulés en 2020.L'optimisme du gouvernement fait d'ailleurs écho à celui de la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde. "2021 sera une année de reprise. La reprise économique a été retardée, mais non battue en brèche. Elle est évidemment attendue avec impatience", a-t-elle dit dans un entretien au Journal du dimanche.Toutefois, "nous ne sommes pas à l'abri de risques encore inconnus", et "nous ne retrouverons pas les niveaux d'activité économique d'avant la pandémie avant mi-2022", a-t-elle prévenu.De son côté, le FMI a revu à la hausse sa prévision de croissance mondiale pour 2021, à 5,5%, la vaccination devant permettre de juguler la pandémie qui a fait plus de 2,3 millions de morts.Et si l'Allemagne, premier partenaire commercial de la France, a abaissé sa prévision annuelle de 4,4% à 3%, en raison de la chute attendue du PIB au premier trimestre, Berlin table sur une reprise de l'activité économique à l'été, grâce à la "vaccination d'une grande partie de la population".En Israël, où 40% de la population est vaccinée, le troisième confinement a d'ailleurs commencé à être levé dimanche, comme un avant-goût de ce qui attend l'Europe.
Il y a 4 ans et 129 jours

Trois décennies, 26 joueurs : le destin contrarié des ministres de la Culture

Ce pourrait être une brève de comptoir au Café du commerce : « Il n’y a rien de mieux pour flinguer une carrière politique, depuis Malraux et Lang, qu’un poste de ministre de la Culture ». De Jean-Jacques Aillagon à Frédéric Mitterrand, en passant par Fleur Pellerin et Françoise Nyssen, c’est un jeu de massacre… L’avant-dernier, Franck Riester, […] L’article Trois décennies, 26 joueurs : le destin contrarié des ministres de la Culture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 129 jours

Entre permaculture et urbanisation, de l’utilité publique à Gonesse !

Le 18 décembre 2020, la cour administrative d’appel de Versailles a rétabli le PLU de Gonesse (Val-d’Oise) qui prévoit l’urbanisation de son fameux Triangle. Si EuropaCity n’est plus à l’ordre du jour, c’est désormais l’étalement de la permaculture qui a les faveurs des écolos quand, à Gonnesse, les élus veulent urbaniser. Pour quelle utilité publique ? Tout […] L’article Entre permaculture et urbanisation, de l’utilité publique à Gonesse ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 129 jours

L’architecture est un instrument d’environnements (3/3)

[…] Considérer l’ar(t)chitecture comme instrument d’environnements ouvre de nouveaux champs de conception dans lesquels l’architecte conçoit un lieu de vibrations potentielles, activable, doué de résonances et capable de surprendre. Le manuel & les partitions Instrument d’environnements aux acteurs multiples, le ou les interprètes, mêmes bien coordonnés, ne suffisent pourtant pas à produire une belle œuvre […] L’article L’architecture est un instrument d’environnements (3/3) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 129 jours

Droit de réponse – BDF né d’un cousinage avec BDM : consanguinité ?

Suite à la chronique intitulée L’accompagnateur BDF, l’invention du siècle (en IDF seulement) et publiée le 2 février 2021, la rédaction a reçu le droit de réponse suivant. J’ai eu l’occasion de lire la chronique de mon confrère François Scali sur l’invention du siècle. Je suis très surpris de ce que j’ai pu lire, évidemment […] L’article Droit de réponse – BDF né d’un cousinage avec BDM : consanguinité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 129 jours

Réinventer Paris 3 : une nouvelle méthode et six premiers sites dévoilés

APPEL A PROJETS. Profitant d'un contexte favorable avec la baisse anticipée de la demande de bureaux, la Ville de Paris lance un appel à projet spécifiquement dédiés à la transformation de bureaux en logements.
Il y a 4 ans et 129 jours

Chalet : Opter pour un parquet à la perfection imparfaite !

Le bois reste, en 2021, une tendance décorative majeure. Pour offrir à tous ceux qui prônent le wabi-sabi comme art de vivre et qui souhaitent faire entrer la nature dans leur intérieur, DESIGN PARQUET enrichit sa gamme Authentique avec CHALET, un parquet semi-massif en chêne à l’aspect fond de wagon, vieilli par le temps. Chalet, un parquet à la perfection imparfaite Empruntant l’aspect des fonds de wagons postaux, le nouveau parquet semi-massif en chêne CHALET affiche des marques d’usure (traces de sciage, bouchages noirs, décolorations et épaisseur irrégulière), caractéristiques du style wabi-sabi célébrant la perfection imparfaite. Brut, avec ses lames structurées et protégées par une finition huilée Natura ou incolore, il fait l’éloge de la nature dans son aspect le plus authentique. Sa patine et sa structure en surface vieillie par le temps sont autant de symboles de la durabilité de CHALET, parquet semi-massif Loft Pro sur support contreplaqué bouleau (parement de 4,5 mm). Arborant une teinte brune chaleureuse, il donne une dimension unique au sol et se marie autant avec des meubles contemporains qu’avec ceux chinés en brocante. Disponibles en 2 largeurs (130 et 220 mm) et en longueurs de 1000 à 2000 mm, le parquet CHALET se pose à l’anglaise. Son assemblage s’effectue par rainures et languettes. Il est compatible avec des sols chauffants rafraîchissants hydraulique basse température, en pose flottante ou collée. http://www.designparquet.fr/
Il y a 4 ans et 129 jours

EAS SOLUTIONS, QUALIFIÉE RGE, OPTIMISE LA RÉNOVATION DE L’ÉCLAIRAGE PROFESSIONNEL

QUALIFIÉE RGE ÉTUDE, EAS SOLUTIONS PROPOSE AUX PROFESSIONNELS UNE OFFRE DE RÉNOVATION D’ÉCLAIRAGE OPTIMISÉE ET CLÉ EN MAIN AVEC DES SOLUTIONS LED ÉLIGIBLES AUX CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE Spécialiste de l’éclairage professionnel, EAS SOLUTIONS accompagne ses clients professionnels de l’industrie, de la logistique et du tertiaire dans le choix et l’installation de solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique pour réaliser jusqu’à 90% d’économie d’énergie. En 11 ans, EAS SOLUTIONS a permis à ses clients d’économiser 192 millions de kWh et 68 725 tonnes de C02. Soucieuse d’aller plus loin dans son engagement vis-à-vis des professionnels qui souhaitent rénover l’éclairage de leurs installations, EAS SOLUTIONS propose une offre globale « clé en main », éligible aux Certificats d’Economies d’Energie (CEE). Les primes générées par les CEE contribuent de manière significative au financement de la rénovation comme le montrent les exemples de projets ci-dessous. COMMENT CETTE OFFRE FONCTIONNE-T-ELLE ? Avec l’obtention de sa qualification RGE Etude (Reconnu Garant de l’Environnement) dans le domaine de l’éclairage, EAS SOLUTIONS effectue l’étude préalable du projet qui dresse l’état des lieux avant et après la rénovation et mentionne notamment les économies d’énergie prévues.  Une fois l’étude acceptée par le client, EAS SOLUTIONS procède à la mise en place des luminaires LED éligibles aux CEE. Grâce au partenariat conclu avec OBJECTIF 54, EAS SOLUTIONS délègue la partie administrative à un spécialiste du domaine qui monte et suit le dossier jusqu’au versement de la prime. L’accompagnement d’OBJECTIF 54 consiste à vérifier les conditions d’éligibilité, évaluer le montant de la prime, déposer le dossier et enfin procéder au versement de la prime que le client bénéficiaire récupère soit en déduction du devis TTC soit par paiement direct.  Le montant de la prime peut être bonifié dans le cadre d’un CPE (Contrat de Performance Energétique), EAS SOLUTIONS s’engageant alors préalablement sur les économies d’énergie à réaliser. EXEMPLE DE PROJET TERTIAIRE : Le projet concerne la rénovation de l’éclairage d’une base logistique dédiée au commerce d’une superficie de 40 000M2. L’étude préalable de dimensionnement menée par EAS SOLUTIONS préconise la mise en place de 534 solutions LED intelligentes de 147 W avec détection de présence et de luminosité. Ce projet clé en main d’un montant de 360 000€ TTC comprend l’installation de luminaires LED dont l’éligibilité aux Certificats d’Economies d’Energie est vérifiée par OBJECTIF 54, prestataire partenaire qui, en l’espèce, estime à 20 000€ TTC le montant de la prime CEE. Prime bonifiée à 65 000€ dans le cadre d’un CPE (Contrat de performance), EAS SOLUTIONS s’engageant préalablement à réaliser 75% d’économie d’énergie chaque année pendant 5 ans. Le retour sur investissement est alors de 2 ans.  EXEMPLE DE PROJET INDUSTRIEL : Le projet concerne la rénovation de l’éclairage de 3 halls d’une superficie de 19 000 M2 dédiés à la production et à l’assemblage de matériel électrique. L’étude préalable de dimensionnement menée par EAS SOLUTIONS préconise la mise en place de 612 solutions LED intelligentes avec détection de présence et de luminosité totalisant une puissance de 60 862W. Ce projet clé en main d’un montant de 300 000€ TTC comprend l’installation de luminaires LED éligibles aux CEE. OBJECTIF 54 estime dans le cas présent à 14 700€ TTC le montant de la prime CEE. Prime qui est bonifiée à 25 700€ dans le cadre d’un CPE (bonification possible jusqu’au 31.12.2021), EAS SOLUTIONS s’engageant préalablement à réaliser 75% d’économie d’énergie chaque année pendant 5 ans. Le retour sur investissement est alors inférieur à 3 ans. . A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr . A propos d’OBJECTIF 54  Depuis 2008, OBJECTIF 54 est spécialisée dans les Certificats d’Economies d’Energie (CEE) et permet aux maîtres d’ouvrage (personnes physiques ou personnes morales) de bénéficier de primes CEE dans le cadre de la réalisation de travaux de rénovation et d’optimisation énergétique de leurs bâtiments ou process. Quel que soit le projet de travaux (petit ou grand), OBJECTIF 54 s’adapte aux besoins de chacun dans le but de diminuer les consommations d’énergies et les émissions de gaz à effet de serre. Pour ce faire, la société met à disposition son réseau national d’installateurs spécialisés sur différents métiers : isolation, thermie, équipement. Ces sociétés intègrent directement dans leurs offres les primes CEE qui sont déduites du coût final des travaux. L’équipe d’OBJECTIF 54 analyse les projets de travaux, vérifie l’éligibilité et estime les montants des primes CEE, étape essentielle pour garantir la viabilité du dossier de demande de CEE, tant sur le plan technique qu’administratif. objectif54.com
Il y a 4 ans et 129 jours

Les chantiers des JO-2024 de Paris dans les starting-blocks

"On est à un moment de bascule", explique Nicolas Ferrand, directeur général de la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), pour qualifier l'année 2021 qui va voir débarquer des dizaines de grues et des milliers d'ouvriers.Tout doit être bouclé pour décembre 2023.Les travaux du village olympique, pièce maîtresse de 300.000 mètres carrés, situé à Saint-Denis, Saint-Ouen et l'Ile-Saint-Denis, vont débuter en mars. "Les 26 permis de construire ont été obtenus et les ventes ont été signées", s'est réjoui M. Ferrand, grand ordonnateur de la Solideo, lors d'une conférence de presse cette semaine.Miracle, le Covid et le premier confinement n'ont fait prendre qu'à peine un mois de retard.Parmi ce que Nicolas Ferrand qualifie néanmoins de "belle difficulté": un investisseur canadien partenaire de Vinci s'est envolé en cours de route. 50.000 mètres carrés de bureaux attendent preneurs en plein milieu du village olympique, qui deviendra un quartier résidentiel en 2025.Un "gros ministère" est sur les rangs pour y installer son administration centrale, une fois les athlètes partis. L'appel d'offre est en cours.Non loin du village olympique, la construction du tout nouveau centre aquatique olympique, dit "CAO" dans le jargon olympique, va être lancé au printemps."Une belle bête""Une belle bête!", commente Patrick Ollier, président LR de la Métropole du Grand Paris, maître d'ouvrage de cette piscine construite par Bouygues, qui recevra plongeon, natation synchronisée et water-polo.Au total, la Solideo, qui a un budget d'argent public de près d'1,4 milliard d'euros (sur 3,2 milliards environ), supervise 62 ouvrages. Autre chantier d'ampleur: le village des médias, au nord du département, près de l'aéroport du Bourget. Il sera construit en deux étapes, une partie sera réalisée après les Jeux, avec au total 1.300 logements.La justice rejette le recours déposé contre le village des médias La justice a rejeté vendredi le recours déposé par des opposants à la cession d'une partie du parc départemental Georges-Valbon en Seine-Saint-Denis, qui doit accueillir le village des médias pour les Jeux olympiques de Paris-2024 puis être transformé en éco-quartier, selon une décision consultée samedi par l'AFP.Dans ce recours en référé (mesure d'urgence) déposé le 28 janvier devant la cour administrative d'appel de Paris, le Mouvement national de lutte pour l'environnement (MNLE 93), le Collectif pour le Triangle de Gonesse et une dizaine d'usagers de cet immense parc demandaient l'annulation de la cession du terrain par le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis."Ces parcelles, affectées depuis des dizaines d'années aux loisirs et sports, fêtes, ces espaces verts et boisés avec leur biodiversité, leur faune et flore seront détruits et cédés par lots à des bétonneurs et promoteurs", dénonçaient ces opposants.La vente d'une partie de l'"Aire des Vents", située sur la commune de Dugny, avait été votée le 10 décembre, au profit de la société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) pour 6,9 millions d'euros.La zone, en partie bétonnée et qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, doit se transformer en vue des Jeux olympiques. Le projet prévoit d'y construire le village des médias, qui deviendra ensuite un écoquartier de 1.300 logements et commerces.Les opposants dénoncent une "artificialisation définitive" et "l'amputation" de ce parc de 400 hectares, situé en majeure partie sur la commune de la Courneuve, poumon vert d'un département très densément peuplé, où "la population s'accroît chaque année de 15.000 nouveaux habitants".Le collectif d'associations va déposer un nouveau recours en justice, cette fois contre l'autorisation environnementale délivrée par le préfet de la Seine-Saint-Denis, a indiqué samedi à l'AFP Jean-Marie Baty, président du MNLE 93.Les opposants ne comptent pas rendre les armes : "Nous avons déjà mené le combat contre Europacity -projet de megacomplexe de loisirs et de commerce qui devait s'installer sur les terres du Triangle de Gonesse, dans le Val-d'Oise-, dont on disait que c'était David contre Goliath, et nous l'avons gagné", fait valoir Jean-Marie Baty.
Il y a 4 ans et 129 jours

Hager enrichit son offre KNX avec une passerelle KNX de communication pour compteurs d’énergie

©Hager   Hager complète son offre KNX avec une nouvelle passerelle de communication KNX pour compteurs d’énergie électrique, adaptée à la majorité de ses compteurs. La marque franco-allemande confirme ainsi sa présence dans l’univers KNX, et sa volonté de proposer aux intégrateurs, aux bureaux d’études et aux installateurs des solutions de comptage toujours plus simples à installer et à connecter. Compatible avec la majorité des compteurs d’énergie Hager[1] et tous les modes de communication (impulsionnel, Modbus, M-bus), la passerelle de comptage KNX TXF121 se connecte automatiquement grâce à une cellule infrarouge, dès lors qu’elle est positionnée à gauche d’un compteur d’énergie Hager. Elle se distingue aussi par son encombrement réduit : un seul module. Elle s’intègre facilement sur le rail DIN d’un tableau électrique. Avec la passerelle TXF121, il est désormais possible de rendre les compteurs d’énergie communicants et de transmettre sur le bus KNX les données mesurées sur les réseaux monophasés jusqu’à 80A et sur les réseaux triphasés jusqu’à 125A en lecture directe. Il est également possible de renvoyer les données des compteurs triphasés utilisant des transformateurs de courant. [1] Sauf ECM140D et ECR140D. Dans le cadre d’installations tertiaires (commerces, centres commerciaux hôtels etc.) ou résidentielles (villa, multi-résidentiel), la passerelle TFX121 permet notamment de connaître l’état du réseau électrique, la qualité d’énergie, les consommations par zone ou par usage. C’est une nécessité, voire une obligation dans le cadre normatif de la RT2012 ainsi que les mesures environnementales de l’IEC 60 364-8-1 et de l’ISO 50 001, qui exigent que les constructions soient équipées d’instruments de mesure de la consommation par zone ou par usage. Auto-alimentée par le bus KNX, le TXF121 permet de renvoyer l’ensemble des données de mesure sur n’importe quel superviseur KNX. Il est alors possible de cibler les consommations,  d’établir un diagnostic pour mettre en place des actions correctives et d’anticiper les dérives afin d’éviter une surconsommation. Disponible en programmation sous ETS pour les grands projets, la passerelle de comptage KNX Hager est également paramétrable en mode Easy, afin de permettre des installations simples et rapides dans un environnement produit Hager. Grâce à la nouvelle passerelle de comptage KNX TXF121, il est désormais possible de renvoyer sur un superviseur Hager domovea paramétré en Easy des données de comptage électrique. Grâce à la nouvelle passerelle de communication TXF121, les professionnels de la filière ont accès à une solution simple à installer, à encombrement réduit, avec une référence unique adaptée à la majorité des compteurs de la gamme Hager.  
Il y a 4 ans et 129 jours

Finalcad One, la nouvelle plateforme collaborative de gestion de projets qui optimise le travail en équipe

Avec la pandémie de Covid-19, l'usage des outils de travail collaboratif s'est propagé à vitesse folle sur la planète. Le secteur du BTP et de la construction, nécessitant une coordination et une collaboration importantes des équipes, n'y a pas échappé. Répondant ainsi aux attentes des acteurs du marché mais aussi des industries périphériques, Finalcad One a pour ambition de permettre aux équipes d'optimiser leur collaboration ; ce qui revêt une importance toute particulière dans ce secteur où le manque de communication est la principale cause de retard de livraison d'un projet*.Genèse de Finalcad One : une application pensée sous angle collaboratifLancée il y a 10 ans, Finalcad est une société qui a construit son développement autour de solutions digitales pour répondre aux besoins principalement de la construction et accompagner les entreprises dans leur transformation digitale. L'objectif étant de faciliter la collaboration et la coordination sur un chantier entre les différentes parties prenantes. Au fil des années, ces solutions ont été largement enrichies car créées sur des technologies qui ont-elles-mêmes évoluées.Pour répondre toujours plus aux besoins de ses clients, Finalcad a décidé de lancer une toute nouvelle solution collaborative basée sur les dernières innovations technologiques et qui bénéficie également de l'expérience des solutions Finalcad qui ont accompagné plus 24 000 projets à travers le monde.Finalcad One, dotée d'une ergonomie innovante, s'adresse ainsi à tous les corps de métiers et à toutes les phases d'un projet, de son initialisation en passant par la phase de construction et jusqu'à la maintenance. Au-delà d'apporter des solutions métiers, cette nouvelle application totalement personnalisable a été pensée sous l'angle de la collaboration.Une expérience utilisateur unique en mode collaboratifChaque projet est unique et fait appel à de nombreuses parties prenantes : des entreprises et des équipes qui ne se connaissent pas toujours, mais qui doivent travailler ensemble depuis des sites différents et ce parfois dans plusieurs langues. L'Humain et la collaboration sont donc au centre de tout projet et déterminent la performance et la productivité. Une étude internationale montre d'ailleurs que 62% des professionnels interrogés* identifient le manque de communication comme première cause de retard de livraison d'un projet.Cette collaboration est d'autant plus essentielle dans le contexte sanitaire actuel de distanciation sociale qui s'accompagne de nouvelles restrictions et contraintes.Il était donc essentiel pour Finalcad, afin d'être toujours au plus près des besoins de ses clients, de proposer un outil collaboratif le plus facile d'utilisation possible : une solution BtoB répondant aux standards B2C permettant la création de groupes de travail s'inspirant du modèle des messageries instantanées avec en plus la possibilité d'interagir avec toutes les personnes rattachées à un projet quelles que soient leurs fonctions et ce à toutes les phases du projet. Qu'il s'agisse du partage d'information, de l'utilisation des formulaires de saisie ou encore du travail en équipe sur des observations réalisées sur site, Finalcad s'est inspiré des meilleures pratiques en termes d'expérience utilisateur pour maximiser l'adoption de la solution par les équipes de ses clients.Le mode Freemium pour un accès à la plateforme au plus grand nombreFinalcad One donne accès, en mode freemium, et de manière illimitée dans le temps à l'ensemble de ses fonctionnalités. Si l'utilisateur veut profiter pleinement des avantages de la digitalisation dans sa gestion de projets, des offres supérieures lui seront alors proposées lui permettant ainsi de d'accroitre considérablement son niveau d'usage de la plateforme.En levant la barrière financière, Finalcad a souhaité faciliter le quotidien des équipes et permettre à toutes personnes (artisans, architecte, chef de chantier, ...), quelle que soit la taille de son entreprise, de pouvoir collaborer à l'ensemble d'un projet et pendant toute sa durée.L'ambition est de pouvoir ainsi créer une importante communauté d'utilisateurs.Une application qui s'adapte à tous les secteurs d'activitéFinalcad One s'adresse à tous les secteurs gravitant autour d'un projet de construction (secteur historique de Finalcad), comme par exemple l'assurance, la distribution, l'immobilier, tourisme … mais aussi aux nouveaux métiers périphériques émergents pour répondre aux défis de la construction, comme la construction bas carbone.« Aujourd'hui, chaque utilisateur de smartphone dispose d'une multitude d'applications associées à des besoins particuliers. Avec Finalcad One, nous avons l'ambition de proposer une application unique afin de casser la barrière entre mondes professionnel et personnel. L'objectif est d'apporter un véritable confort au travail grâce à une application simple d'utilisation et tout en un, répondant aux besoins de chacun.Nous avons également souhaité proposer cette application en mode freemium pour dépasser les contraintes financières et permettre au plus grand nombre d'avoir y accès », s'enthousiasme Franck Le Tendre, CEO de Finalcad.* Étude de marché internationale menée par Finalcad et Coleman Parkes en Février 2020 auprès de 400 professionnels de la construction.
Il y a 4 ans et 129 jours

Bureaux à Paris par Lobjoy Bouvier Boisseau

Titulaire d'un master en architecture de l'université de Delft, Chris van Duijn est architecte partenaire d'OMA depuis 2014. Il y dirige les projets asiatiques tels que la galerie commerciale Hanwha de Séoul (2020) ou le Columbia Circle masterplan de Shanghaï, un projet de préservation patrimoniale de grande échelle. Ayant intégré OMA en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 130 jours

A Dubaï, Apis Cor fait impression 3D en montant des bureaux à l’étage

Apis Cor, entreprise américaine spécialisée en impression 3D, a achevé en octobre 2019 les structures murales imprimées en 3D d’un bâtiment administratif de deux étages pour la municipalité de Dubaï. D’une hauteur de 9,5 mètres pour une superficie de 640 m², c’est paraît-il le plus grand bâtiment imprimé en 3D à ce jour. Communiqué de […] L’article A Dubaï, Apis Cor fait impression 3D en montant des bureaux à l’étage est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 130 jours

Nouveau rassemblement contre le projet de serre tropicale sur la côte d'Opale

Cette serre avec un dôme de 20.000 m² et 35 m de haut, qui abritera papillons, colibris, poissons, reptiles et arbres exotiques, sera la plus grande serre tropicale au monde, selon ses promoteurs.Estimé à 73 millions d'euros, ce projet est en partie subventionné par la région (2 millions d'euros de prêt), la communauté d'agglomération (400.000 euros) et des fonds européens (10 millions)."Ce projet, idiot, absurde, ne tient pas la route. Il est d'un autre temps. Il ne faut pas se faire avoir par un miroir aux alouettes pour faire sortir de terre un énième éléphant blanc", a déclaré à l'AFP Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, joint par téléphone.Selon lui, les champs en question promis à l'artificialisation devraient être utilisés notamment pour nourrir les cantines, en bio, et les pouvoirs publics devraient développer "l'écotourisme, une solution plus résistante", dans la région . "Ce qui est bon pour le climat est bon l'emploi", a-t-il répété.En soutien à l'eurodéputée et tête de liste EELV aux régionales Karima Delli, seule candidate capable selon lui pour engager les Hauts-de-France "dans cette voie", il a dénoncé un "Xavier Bertrand (président du conseil régional, ex-LR) qui dilapide des fonds publics pour des projets qui n'ont aucun sens".En présence du député LFI Ugo Bernalicis, de l'eurodéputé EELV Yannick Jadot et du maire de Grenoble EELV Eric Piolle, entre 150 personnes, selon la préfecture, et 200 selon EELV, se sont rassemblées près des quelque 9 ha de terrain agricole transformé en "zone d'aménagement concerté" en 2010, entre les communes de Verton et Rang-du-Fliers.Les promoteurs ont obtenu fin 2019 un permis de construire contre lequel un recours a été déposé devant la justice administrative. Une audience devrait se tenir d'ici à la fin de l'été, selon la préfecture samedi. Le 20 décembre dernier, environ 150 opposants au projet avaient déjà manifesté.
Il y a 4 ans et 130 jours

Une poignée de militants débutent "l'occupation de la ZAD" du Triangle de Gonesse

Sauvés de l'artificialisation par Emmanuel Macron, qui a abandonné le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity en novembre 2019, le sort des 280 hectares de terres agricoles situées à une quinzaine de kilomètres de Paris reste encore incertain."Nous revendiquons l'abandon du projet de gare et de ZAC, pour que le projet agricole alternatif que nous portons puisse commencer", a dit à l'AFP Bernard Loup, le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Le militant associatif a expliqué qu'une douzaine de personnes, "des soutiens du collectif", ont décidé dimanche matin de "débuter l'occupation de la zone". Des tentes ont été installées, ainsi que l'eau et l'électricité, et "une douzaine de personnes vont dormir sur place", a-t-il précisé. Pour l'heure, il est prévu que cette zone, interdite à l'habitat car coincée entre les aéroports Paris-Charles de Gaulle et du Bourget, accueille une gare de la ligne 17 du métro du Grand Paris Express d'ici 2027, et une ZAC avec bureaux.De son côté le CPTG soutient le projet agricole de l'association Carma, qui comprendrait notamment l'installation d'activités maraîchères et horticoles dans une dynamique de circuits courts.
Il y a 4 ans et 130 jours

Découvrez les lauréats des Ajap 2020 (2/2)

RÉCOMPENSES. Dix-neuf jeunes professionnels - quinze architectes et quatre paysagistes concepteurs - ont été désignés lauréats des Ajap, les Albums de jeunes architectes et paysagistes. Découvrez dans cette deuxième série les dix lauréats restants, dont les quatre paysagistes.
Il y a 4 ans et 130 jours

Le marché des matériaux de construction poursuit son redressement au quatrième trimestre 2020

Ainsi, après une chute d'activité de -17% sur les six premiers mois de 2020 (CJO), l'indicateur matériaux a regagné +4,5% de juillet à décembre mais l'année se solde par un repli de près de 7% (données provisoires). Les derniers indicateurs suggèrent que, côté bâtiment, l'activité reste soutenue par des carnets de commandes encore étoffés tandis que, côté travaux publics, même si les appels d'offre, notamment de la clientèle publique, tardent encore à se réveiller, les perspectives se redressent lentement ; un contexte qui pourrait alimenter la demande de matériaux au moins sur les premiers mois de 2021.Le rebond n'efface pas le plongeonSelon les résultats provisoires de l'enquête mensuelle de décembre, l'activité dans le secteur des granulats et du BPE se serait contractée par rapport à novembre, mois plutôt dynamique, mais serait en hausse par rapport à l'an passé. Ainsi, la production de granulats, en repli de -4,5% sur novembre, est supérieure de +1,2% par rapport à décembre 2019 (données CVS-CJO). Au cours du dernier trimestre, l'activité granulats s'est stabilisée à son niveau du troisième trimestre mais affiche encore une progression de +1,3% au regard du quatrième trimestre de 2019. Ainsi, après la chute de -16,3% au premier semestre, l'activité des granulats s'est redressée de +2,6% au second. Sur l'année 2020, la contraction des volumes produits en granulats approche ainsi -7%. Du côté du BPE, les livraisons ont reculé de -5,1% par rapport à novembre mais sont +4% au-dessus de leur niveau de décembre 2019. Au cours des trois derniers mois, l'activité a certes perdu -2,4% par rapport au troisième trimestre mais s'inscrit encore en hausse de +3,8% au regard du dernier trimestre de l'an passé. Le second semestre décrit donc un rebond de +5% après le plongeon de -22,8% observé au premier. Au total sur l'année, les cubages de BPE enregistrent ainsi une baisse de plus de +9%.L'indicateur matériaux confirme ce profil contrasté. Après l'effondrement sur les six premiers mois de 2020 (-17% sur un an, données CJO), le rebond amorcé au troisième trimestre (+7,3%) s'est prolongé au quatrième avec bien moins d'ampleur toutefois (+1,7%). L'activité du panier des matériaux composant l'indicateur pourrait finalement se contracter de -6,7% en 2020.Résilience de la confiance dans le bâtimentEn janvier 2021, selon l'INSEE, l'opinion des entrepreneurs du bâtiment sur leur activité pour les trois prochains mois s'améliore de nouveau après le net rebond constaté en décembre. Bien que le solde d'opinion sur l'activité très récente se soit un peu dégradé, les professionnels du bâtiment restent en revanche très optimistes sur le niveau de leurs carnets de commandes qui affichent plus de 9 mois de réserve d'activité dans le gros œuvre, soit un niveau inchangé en moyenne depuis octobre. Pourtant, les dernières données sur la construction ne sont guère rassurantes. En 2020, le nombre de permis logements fond de 65 800 unités (soit -14,7% pour 381 600 autorisations), tandis que les mises en chantier se contractent de -6,9% (soit 28 200 unités en moins qu'en 2019 pour 376 700 unités au total). Dans les deux cas, le segment du collectif apparaît plus impacté que celui de l'individuel, notamment dans le secteur diffus où les permis progressent de +3,4% sur un an au dernier trimestre. Si, globalement, les chiffres du quatrième trimestre traduisent la poursuite du redressement des permis (+15,8% par rapport au troisième trimestre, CVS-CJO), ceux du mois de décembre sont très décevants avec une nouvelle baisse des autorisations pourtant en redressement continu depuis juillet. Quant aux mises en chantier de logements, elles se replient également entre le troisième et le quatrième trimestre (- 8,5%). Un signal plutôt encourageant se perçoit cependant du côté de la promotion immobilière. En effet, dans l'enquête trimestrielle de janvier 2021 menée par l'INSEE, l'opinion des promoteurs sur la demande de logements neufs s'améliore et ces derniers sont plus nombreux qu'en octobre à prévoir des mises en chantier au cours des prochains mois.Ce rebond concerne aussi bien les logements destinés à la vente que ceux destinés à la location. Après un resserrement en 2020, les contraintes pesant sur l'octroi des crédits bancaires ont été assouplies début janvier par le Haut Conseil pour la Sécurité Financière - HCSF, offrant sans doute ainsi des marges d'éligibilité à des ménages jusqu'ici écartés du marché par les critères de solvabilité.Enfin, s'agissant des locaux d'activité, la situation est beaucoup plus sombre : le déclin se poursuit au fil des mois tant pour les surfaces autorisées (-14,5% au quatrième trimestre, soit -19,2% sur l'année 2020) que pour les surfaces commencées (-11,9% et -16,3% respectivement). Le marché non résidentiel semble durablement impacté du fait de l'attentisme des donneurs d'ordre, tant publics que privés, et la FFB table désormais pour 2021 sur des surfaces commencées inférieures de 30% à leur niveau moyen de long terme (soit 16,8 millions de m² contre une moyenne de 24 millions).TP : toute petite éclaircieEn janvier 2021, l'opinion des entrepreneurs des travaux publics sur leurs perspectives d'activité pour les trois prochains mois s'améliore légèrement,notamment du côté de la maitrise d'ouvrage privée, même s'il demeure en dessous de sa moyenne de longue période. Si les entreprises constatent une certaine décélération de leur activité récente,elles notent néanmoins un léger frémissement de leurs carnets de commandes, encore jugés peu garnis à ce jour. Le réveil de l'activité reste conditionné par le retour des appels d'offre des collectivités locales, notamment du bloc communal, qui représente près de 40% de la maitrise d'ouvrage des travaux publics. La FNTP souligne ainsi l'urgence du soutien à l'investissement en infrastructures. En effet, selon des travaux menés par l'OFCE*, la forte chute de l'investissement public au premier semestre 2020 (-26%) pourrait se solder par une dépréciation de l'actif existant. Dans un tel contexte, la mise en place rapide du Plan de relance paraît tout aussi indispensable pour sauver l'activité et l'emploi que pour préserver la qualité de service et les exigences de sécurité du patrimoine et des réseaux actuels. Les collectivités sont ainsi les acteurs incontournables pour assurer la territorialisation de cette relance mais, pour l'heure, les chantiers se font attendre.
Il y a 4 ans et 130 jours

EHRET fait évoluer sa gamme de volets battants avec le nouveau modèle «BEAUNE».

©Ehret Leader du marché européen des volets battants en aluminium, EHRET dispose d’une très large gamme de solutions aluminium, esthétiques et fonctionnelles, pour la fermeture et la protection solaire. L’entreprise fait évoluer sa gamme de volets battants avec le  nouveau modèle « BEAUNE ». Un volet battant aluminium plus épais (32 mm) qui concède une excellente tenue dans de grandes dimensions grâce une parfaite rigidité. ©Ehret Une conception en aluminium résistante et durable. Conçue en aluminium, la gamme BEAUNE est pourvue d’un prétraitement et d’un processus de thermolaquage identique à l’ensemble de la gamme (y compris thermolaquage classe 2). Ce thermolaquage de haute qualité assure une parfaite résistance aux intempéries, aux rayures ainsi qu’une stabilité des coloris. Les surfaces en aluminium parfaitement recouvertes sont une garantie pour la protection durable des principaux composants. Pour les conditions extrêmes telles que la proximité de la mer, la piscine ou encore l’industrie chimique, EHRET a développé OCEANLINE plus, le prétraitement spécial qui apporte une protection supplémentaire contre la corrosion filiforme. BEAUNE remplit également les normes QUALICOAT et QUALIDECO. ©Ehret L’adjonction d’un cadre périphérique pour plus de robustesse et de rigidité. Un cadre périphérique assure une jonction entre les montants haut, bas, gauche et droit, liés entre eux par des équerres intégrées directement dans le cadre, ce qui confère plus de résistante et de rigidité à l’ensemble. L’équerre en aluminium est glissée dans la partie basse du cadre et en assure une liaison mécanique. Les cadres sont fabriqués sur mesure et s’adaptent à chaque embrasure de fenêtre. Ils sont mis en œuvre aussi bien sur constructions anciennes que neuves. Harmonisation des gammes. Evolution de la gamme DIJON, le modèle BEAUNE est désormais plus épais (32 mm).  EHRET a choisi d’uniformiser l’ensemble des épaisseurs des gammes de volets battants, et de permettre à cette gamme de bénéficier de l’ensemble des accessoires et options pour la pose en rénovation comme en neuf. Pour habiller élégamment le volet, il est possible d’ajouter des barres et des écharpes en version B, BB, Z ou ZZ. Disponible avec l’ensemble de la gamme des options EHRET, BEAUNE peut être équipé : – d’une protection anti-effraction. Les verrous et serrures supplémentaires constituent un autre obstacle efficace pour parer à l’intrusion d’inconnus. Les produits retardateurs d’effraction peuvent dans certains cas être montés et combinés postérieurement, ce qui permet de compléter et d’améliorer une installation déjà existante sans aucun problème. – d’un pré-cadre de montage (Z75 ou Z135) pour réaliser une pose simple et précise. Ce système de cadre annihile les opérations d’ajustement, de perçage et de montage des volets sur site. La pose extrêmement aisée et les nombreuses possibilités permettent de poser le volet en un minimum de temps. Dans le cas d’une pose avec pré-cadre, 2 équerres en aluminium par angle sont prévues. ©Ehret Forte d’un savoir-faire de plus de 50 ans et à l’appui d’une expérience technique éprouvée, EHRET s’engage à livrer des solutions et systèmes de très haute qualité. La marque garantit une qualité constante à ses produits afin qu’ils soient dotés des plus hautes performances. En cela, elle propose aujourd’hui la gamme BEAUNE qui se décline en un large choix de designs, de finitions et d’accessoires pour répondre aux besoins de tous les logements, quel que soit l’usage ou la région. Disponible en 1,2,3 ou 4 vantaux, BEAUNE est proposée avec un nuancier de 213 coloris RAL et 3 coloris AkzoNobel -2100, 2700 et 2900- (disponibles sans plus-value pour le volet et ses accessoires) afin de se fondre harmonieusement dans l’architecture existante. En tout, ce sont plus de 4.000 coloris qui sont proposés à la vente. Des variantes design avec des formes spécifiques (cintre, triangle…) sont également possibles pour répondre à des demandes personnalisées.
Il y a 4 ans et 130 jours

Saint-Gobain présente la nouvelle édition du Grand Memento du Vitrage

Il intègre les dernières innovations comme le nouveau miroir MIRALITE® PURE qui bannit le plomb, les formaldéhydes et les C.O.V., COOL-LITE® SKN183, le verre d’isolation thermique et de contrôle solaire le plus lumineux dans sa catégorie et la gamme de doubles vitrages la plus performante ECLAZ® confort sans oublier le verre décoratif au design géométrique MASTERFLEX, ainsi que les solutions en kits pour l’aménagement des douches et bains.Conçu pour être accessible à tous, le Grand Mémento du Vitrage est devenu l’outil de référence des acteurs de la filière. Il présente l’ensemble des produits et services relatifs au verre, activité emblématique de Saint-Gobain, dans une démarche pédagogique et didactique.Ce guide mis à jour recense les éléments réglementaires et techniques de la profession, présente les options pour sélectionner les solutions les plus adaptées en termes de confort et de design, en neuf comme en rénovation. Véritable outil d’aide à la décision, cette nouvelle version propose une lecture intuitive, agrémentée de nombreuses illustrations (schémas descriptifs, exemples de réalisations) pour une meilleure appréciation des gammes de produits.Le Grand Memento du Vitrage est également disponible en version digitale, à télécharger ou à consulter en ligne sur smartphone, tablette ou PC. Ce E-Memento est régulièrement actualisé et permet une recherche d’informations exhaustive, grâce à un index et des liens cliquables. Consulter Le Grand Memento du Vitrage
Il y a 4 ans et 130 jours

420 arbres, 4000 arbustes et 7500 plantes sur une tour de 20 étages à Milan

L’architecte Milanais Stefano Boeri projette de bâtir la tour Botanico, de 110 m, avec structure bois sur un noyau béton et acier. Elle sera enveloppée d’une enveloppe végétale capable de capter 14 t de CO2/an.
Il y a 4 ans et 130 jours

#QUIESTLARCHITECTE : bonne réponse au Québec

Les Québécois du collectif Kollectif ont lancé à l’automne 2020 une campagne de sensibilisation intitulée #QUIESTLARCHITECTE. Bonne question ! Surtout une façon intelligente de rappeler au grand public le rôle de l’architecte, souvent aussi mal compris là-bas qu’ici. Deux différences cependant, les Québécois se bougent pour défendre leur profession et ils le font avec humour ! Communiqué. […] L’article #QUIESTLARCHITECTE : bonne réponse au Québec est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 130 jours

Le CSTB'Lab accueille 6 nouvelles start-ups

L'accélérateur de start-ups du CSTB compte à présent 6 nouvelles start-ups, sélectionnées pour le caractère innovant des solutions qu'elles proposent. Le CSTB'Lab les accompagnera dans le développement et la fiabilisation de leurs procédés et leur fera profiter de son écosystème scientifique et technique. Rénovation, réduction des charges énergétiques et réemploi Kocliko propose une nouvelle technologie d'individualisation des frais de chauffage - obligatoire dans 5 millions de logements en chauffage collectif depuis la Loi ELAN - tout en maintenant le confort des usagers. Vitrum Glass est spécialisée dans le verre actif, dit verre intelligent et connecté (verre opacifiant, verre chauffant, verre dynamique), qui permet un confort absolu et une réduction de la consommation énergétique des bâtiments auxquels il est intégré. Co recyclage développe des outils numériques et propose des process innovants pour optimiser le réemploi des mobilier, matériels et matériaux de ses clients (entreprises et administrations), et réduire ainsi leur production de déchets, tout en les valorisant. Qualité des ambiances dans les bâtiments Rubix S&I est une société d'analyse qui - via un portefeuille de dispositifs IoT de micro-capteurs et une plateforme cloud d'analyses – est dédiée à la surveillance des atmosphères intérieure et extérieure, des toxiques, des nuisances, de la sécurité et du bien-être au travail. Hxperience propose la solution logicielle « SMATI », qui permet de répondre aux enjeux de RSE, tout en améliorant la performance opérationnelle et financière de l'entreprise : baisse des consommations d'eau et d'énergie et rationalisation du nombre de mètres carrés loués. Com'In a conçu un réseau de capteurs intelligents installés sur le terrain, qui identifie la nature des nuisances – sonore, vibratoire, atmosphérique– gaz, poussières, mobilité - et en localise la source. Une plateforme analyse les enregistrements et alerte les responsables d'opérations en cas de dépassements des seuils autorisés. En savoir plus : Site Web du CSTB'Lab
Il y a 4 ans et 130 jours

Une passerelle imprimée en 3D : première mondiale pour Lavigne & Chéron?

En prévision des Jeux Olympiques de 2024, l’Etablissement Public Territorial Plaine Commune a confié au groupement dirigé par Freyssinet, en association avec Lavigne & Chéron Architectes et la startup spécialisée XtreeE, la conception et la réalisation d’une passerelle piétonne de 40 mètres dont le tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel. Communiqué de […] L’article Une passerelle imprimée en 3D : première mondiale pour Lavigne & Chéron? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 130 jours

Tribune : le monde de l’art au créneau

Musées fermés, culture confinée : le monde de l’art se mobilise. En mai 2020, l'État débloquait ...En savoir plus Cet article Tribune : le monde de l’art au créneau est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 130 jours

Une formation de coffreur-bancheur by Ramery

Dix jeunes venant de tous les horizons vont pouvoir se former au métier de coffreur-bancheur au sein du groupe Ramery. [©Groupe Ramery] Les étudiants sont plus que jamais impactés par la crise sanitaire, sociale et économique. Classé deuxième meilleur employeur des entreprises du BTP d’après le classement du magazine Capital, le groupe Ramery a donc décidé d’agir en leur faveur. Fondée en 1972, l’entreprise a lancé une formation certifiante de coffreur-bancheur. Durant un an, dix alternants pourront apprendre ce métier. Ceci, dans le but d’obtenir une certification de niveau 5 enregistrée au Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP). Gonçalo Soares, maître compagnon de chantier au sein de Ramery depuis 45 ans, est le parrain de ce projet. Parmi les dix apprentis choisis, certains sont sans diplômes, d’autres sans emplois. Mais tous espèrent pouvoir apprendre un métier et se former comme coffreur-bancheur. Ils sont motivés et souhaitent s’investir pour le groupe familial. Un an pour se former Le coût d’envoi de cette formation a été donné, le 18 janvier dernier, et devrait se terminer un an après, soit en janvier 2022. Les dix alternants seront formés au sein du centre d’apprentissage Elfe de Noyelles-Godault (62). Ils auront l’opportunité de se rendre sur des chantiers des entités Ramery Flandres Littoral, Lille Métropole ou encore Artois Hainaut. A la fin de leur cursus, ils auront acquis de nombreuses compétences théoriques, mais aussi pratiques. Leur savoir se verra élargi par l’intermédiaire de plusieurs cours. Par exemple, sur les bases techniques de la réalisation d’un ouvrage en béton armé, sur les consignes de sécurité ou encore sur les règles du travail en équipe. Un projet créateur de perspectives « A l’issue de l’année écoulée, ils devront être à la pointe des techniques, des moyens utilisés et soucieux de la qualité de service, tout en étant très humains », souligne Gonçalo Soares. In fine, les apprentis auront la possibilité d’intégrer le groupe Ramery en CDI, afin de poursuivre leur carrière dans le BTP. « Nous avons à cœur de nous engager auprès des acteurs locaux, afin d’aider les personnes à se reconnecter au monde du travail. Ceci, en les formant, en leur offrant un contrat de travail et des perspectives, explique Nicolas Boone, responsable ressources humaines au sein du groupe Ramery. Si l’essai est transformé, les dix alternants vont être intégrés à l’entreprise à l’issue de la formation et nous donner l’ambition de renouveler la démarche en 2022. »
Il y a 4 ans et 130 jours

Un musée d'art moderne livré à l'Abbaye royale de Fontevraud

"Ce mélange d'époques, ce mélange de styles, ce voyage à travers tous les continents, il va y en avoir pour tous les goûts", s'enthousiasme Bruno Retailleau qui a initié le projet lorsqu'il était président de la région Pays de la Loire."Cet éclectisme est un atout", fait valoir l'homme politique au sujet de la collection de Martine et Léon Cligman. Le couple, qui vit à Paris, a rassemblé au fil des ans plus de 500 oeuvres, datant de 2.000 ans avant JC pour les plus anciennes et produites dans les années 1960 pour les plus récentes."Les biens immatériels, les oeuvres de l'esprit sont essentiels à notre vie sociale", souligne M. Retailleau. Les visiteurs, précise-t-il, ne pourront pas venir à partir du 19 décembre, comme prévu initialement, mais seront les bienvenus à Fontevraud dès que la situation sanitaire le permettra.Le musée rassemble des peintures, dessins et sculptures. Il permet également de découvrir l'histoire de l'Abbaye royale inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, ainsi que la vie des époux Cligman, un industriel et une artiste qui ont donné leur collection privée à l'Etat et à la région."C'est une abbaye qui dans sa dimension est assez exceptionnelle à l'échelle européenne; ensuite, c'est une nécropole des souverains anglais; donc, de fait, on a un public ici qui est à forte connotation britannique", résume Christophe Batard, architecte en chef des Monuments historiques qui a réhabilité les lieux.Construite à partir du XIIe siècle, l'abbaye a été transformée en prison en 1814 et l'univers carcéral est très présent dans l'architecture du musée où le choix du mobilier et de l'éclairage a été étudié avec beaucoup de soin.Rodin, Delaunay et jumeaux ibejiLe bâtiment du musée a "un côté très austère, très brut, qui était très intéressant à exploiter pour nous", explique Christophe Batard. Près de l'édifice se trouvent l'église où repose Richard Coeur de Lion, roi d'Angleterre de 1189 à 1199, et sa mère, Aliénor d'Aquitaine, ainsi qu'un restaurant étoilé.Le musée n'est organisé ni en fonction des époques ni de la géographie car les oeuvres viennent des cinq continents, mais, au fil des salles, de magnifiques pièces sont mises en valeur.On peut notamment admirer un autoportrait d'Henri de Toulouse-Lautrec, peint en 1884, un buste de Balzac réalisé par Auguste Rodin, une toile de Robert Delaunay et des antiquités trouvées sur l'île de Chypre comme dans l'archipel des Cyclades.Les amateurs d'Egypte ancienne et d'art premier seront fascinés par plusieurs masques funéraires qui sont exposés non loin de statuettes de jumeaux ibeji du Nigeria."Né de la générosité de Martine et Léon Cligman,(...) ce nouveau musée est un remarquable témoignage de l'enrichissement des collections publiques par une collection privée", souligne la ministre de la culture, Roselyne Bachelot-Narquin, dans la brochure présentant le projet.Aujourd'hui âgés de 100 ans et 88 ans et mariés depuis six décennies, Martine et Léon Cligman ont expliqué avoir "voulu rendre à la France ce qu'elle nous a donné".Lui a fait fortune dans le domaine du textile avec des usines implantées à Tours, Angers ou Cholet. Elle est artiste et fille d'un couple de collectionneurs: Pierre et Denise Lévy qui sont à l'origine du musée d'Art moderne de Troyes (Aube).
Il y a 4 ans et 130 jours

Action Logement et le gouvernement ont décidé d’amplifier les interventions du Groupe

Au terme de discussions menées depuis début décembre avec le ministère du Logement, le ministère de l’Economie, des finances et de la relance, le ministère délégué aux Comptes publics, les Partenaires sociaux d’Action Logement s’engagent sur le fondement d’un constat partagé : la crise a fait émerger de nouvelles priorités en matière de logement. Prenant appui sur les résultats de la Convention quinquennale 2018-2022 et du Plan d’Investissement Volontaire, le Groupe, animé par sa vocation d’utilité sociale, a décidé d’adapter ses interventions au contexte d’urgence. Il renforce son soutien à la reprise économique et à la construction au service de l’attractivité des territoires et de l’emploi. Cet accord avec l’État, qui fera l’objet de la signature d’un avenant à la Convention quinquennale, comprend quatre axes majeurs d’intervention : 1.  Accompagnement de 20 000 salariés accédant à la propriété d’un logement neuf par le versement d’une aide de 10 000 € sous conditions de ressources et de nature de l’acquisition. 2. Soutien supplémentaire à la production de 250 000 logements sociaux et abordables en deux ans pour 1,17 Md€ dont 250 millions d’euros en prêts et 450 millions d’euros en subventions, pour la production de logements abordables. 145 millions d’euros de prêts et 65 millions d’euros de subventions pour financer 14 000 places en résidences et logements pour jeunes actifs et étudiants auxquels s’ajoutent 10 millions d’euros de subventions pour financer des logements en colocation. 250 millions d’euros en prêts ou subventions, pour financer 2 000 logements et favoriser par des interventions de l’Association Foncière Logement, la mixité sociale en zones détendues dans les quartiers prioritaires de la ville et dans les centres anciens marqués par l’habitat indigne. 3. Sécurisation des parcours et accompagnement des jeunes et des salariés en augmentant le montant de l’enveloppe destinée à l’accompagnement des salariés en difficulté, en plus de la poursuite du versement de l’aide à la prévention des loyers impayés. En étendant le bénéfice de l’aide mobilité de 1 000 €, à tous les jeunes de moins de 25 ans munis d’un bail locatif, entrant en emploi, rémunérés entre 0,3 et 1,1 SMIC. En élargissant la garantie Visale à l’ensemble des salariés du secteur privé et agricole de plus de trente ans, gagnant moins de 1 500 euros nets par mois pour favoriser leur accès à un logement locatif dans le secteur privé. 4. Rénovation Urbaine Mobilisation de 1,4 milliard d’euros supplémentaires pour intensifier les opérations de rénovation urbaine et de mixité sociale portées par l’ANRU dans les quartiers prioritaires de la ville, qui permettra avec la contribution de l’Etat et du mouvement Hlm de porter le montant du NPNRU de 10 à 12 milliards d’euros. Le Gouvernement et les Partenaires sociaux vont désormais entamer des discussions pour poursuivre la modernisation du modèle d’Action Logement et des relations entre l’État et le groupe.
Il y a 4 ans et 130 jours

« Madame Roselyne Bachelot, sauvons la Butte Rouge de la démolition »

Titulaire d'un master en architecture de l'université de Delft, Chris van Duijn est architecte partenaire d'OMA depuis 2014. Il y dirige les projets asiatiques tels que la galerie commerciale Hanwha de Séoul (2020) ou le Columbia Circle masterplan de Shanghaï, un projet de préservation patrimoniale de grande échelle. Ayant intégré OMA en […] Lire l'article