Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61931 résultats)
Il y a 4 ans et 136 jours

Nouveaux dispositifs d'ouverture sans contact Stylos Smart & Smart Relay Iseo

ISEO, spécialiste des systèmes de sécurité, a développé, des solutions de déverrouillage sans contact, dotées des technologies RFID et Bluetooth. On y trouve le lecteur STYLOS SMART qui peut être activé aussi bien avec un badge qu'avec un Smartphone (jusqu'à 10 mètres de distance) grâce à l'application ARGO et à la technologie Bluetooth. Combiné aux serrures électriques et électronique, aux opérateurs d'ouverture de portes automatiques, aux portes et portails automatiques ou aux ascenseurs, STYLOS SMART représente une solution complète d'ouverture sans contact. Ce dispositif permet en effet de ne plus entrer en contact avec la surface d'un boitier pour composer un code, pousser une porte ou actionner une poignée. Conçu pour être positionné sur des points d'accès, STYLOS SMART trouve des applications dans de multiples lieux et établissements : commerces (points de vente, restaurants, centres de données, …), bureaux, usines, collectivités, habitations, copropriétés, …SMART RELAY est un autre dispositif de la gamme ISEO géré également avec l'application ARGO.Ce système qui se présente sous la forme d'un boîtier permet de piloter une serrure électrique, une porte motorisée ou tout autre actionneur électrique. Il est utilisé pour commander des équipements de contrôle d'accès en intérieur comme en extérieur : porte électrique, porte de garage, portail métallique, portillon, tourniquet d'entrée, …Généralement situé dans une partie cachée du matériel à piloter (faux plafond, coffret du matériel à piloter), il existe en deux versions pour répondre à toutes les configurations d'accès : avec une antenne BLE intégrée à son boitier ou avec une antenne déportée, positionnée à une distance de 3 mètres du boîtier. L'application ARGO permet au gestionnaire de programmer STYLO SMART et SMART RELAY sur site avec un Smartphone : les droits d'accès peuvent être ajoutés, supprimés ou modifiés. Surtout, elle permet d'envoyer à distance des droits d'accès à toute personne équipée d'un Smartphone lui fournissant ainsi une clé virtuelle.ARGO garantit une communication entièrement sécurisée. L'application se connecte directement au dispositif d'ouverture via Bluetooth, sans passer par une connexion Internet, assurant ainsi le plus haut niveau de sécurité grâce à une communication cryptée. ARGO garantit la confidentialité des données et l'authentification grâce à des techniques de cryptographie éprouvées basées sur la norme de chiffrement avancé AES128.
Il y a 4 ans et 136 jours

Un sarcophage en plomb à Arras

Un sarcophage antique en plomb, mis au jour à l’occasion d’un diagnostic archéologique réalisé en juillet 2020 à Arras, a été ouvert mardi 19 janvier 2021 sous la surveillance d’un conservateur-restaurateur du métal du Centre de conservation et d’Étude (CCE) de Ribemont-sur-Ancre dans la Somme en présence de Luc Vallin et Laetitia Maggio, conservateurs du patrimoine au Service régional de l’archéologie (SRA) de la Drac Hauts-de-France. Le squelette est actuellement en cours de fouille et fera l’objet d’une étude anthropologique à la Direction de l’archéologie du Pas-de-Calais. Suite à la demande d’extension d’un supermarché rue Auphelle à Arras, le Service régional de l’archéologie de la Drac Hauts-de-France a prescrit un diagnostic archéologique afin de préciser le potentiel du terrain. A ce titre, seule une petite partie du terrain prévue pour l’aménagement a été ouverte, soit ici 6%. Une nécropole antique est partiellement connue dans ce secteur sud de la ville d’Arras par des attestations anciennes. Plusieurs sépultures ont déjà été mises au jour épisodiquement, depuis un siècle, au rythme de l’urbanisation du secteur. Par ailleurs, les nécropoles antiques sont traditionnellement installées en dehors des villes, or nous sommes en périphérie de Nemetacum, la ville d’Arras antique Le diagnostic a été réalisé par le service archéologique d’Arras, sous la responsabilité de Mathieu Béghin et sous le contrôle des services de l’État. Parmi les 43 sépultures à inhumation antiques repérées, seules quelques-unes ont été intégralement fouillées dont une contenait un sarcophage en plomb d’un poids de 400 kg. Une découverte rare dans le Pas-de-Calais, en effet 3 sarcophages en plomb ont été découverts antérieurement à Arras sans être conservés après leur découverte. A Amiens, une trentaine de sarcophages en plomb ont déjà été mis au jour et plusieurs autres dizaines dans le reste de la Gaule, en particulier dans les grandes villes antiques. Daté du IVe siècle après J.-C. (Bas-Empire romain), ce sarcophage en plomb témoigne du statut privilégié du défunt, car si le matériau est peu onéreux, la mise en forme et le décor sont plus coûteux. Les clous retrouvés autour du sarcophage prouvent que ce dernier était contenu dans un coffre en bois qui s’est décomposé avec le temps. Le poids des gravats en calcaire reposant sur le coffre après l’inhumation a donc porté à un moment uniquement sur le sarcophage en plomb, provoquant son affaissement et sa déformation. Ce type d’inhumation dans la région se rencontre uniquement entre la fin du IIe siècle et le IVe siècle ap. J.C. Le décor géométrique composé de 8 motifs de baguettes croisées par deux ou trois est assez courant sur les sarcophages en plomb de cette époque. Aucun matériel funéraire accompagnant le défunt n’a par ailleurs été retrouvé.   Photo : Laetitia Maggio – Drac Hauts-de-France  
Il y a 4 ans et 136 jours

Mécénat : acquisition du Trésor de la Vôge pour le musée national de la Renaissance-Château d’Écouen

Le Trésor de la Vôge, témoignage exceptionnel d’orfèvrerie française de la Renaissance découvert en 2017, a rejoint les collections du musée national de la Renaissance-Château d’Écouen. Reconnu « œuvre d’intérêt patrimonial majeur », le Trésor de la Vôge se compose de deux coupes, une salière et cinq cuillères de la seconde moitié du XVIe siècle auxquelles s’adjoignent deux ceintures en argent (fin du XVIe siècle – début XVIIe siècle). Ces éléments principaux d’un service de table de la Renaissance ont été retrouvés fortuitement en 2017 lors de travaux dans une habitation particulière. Ces pièces d’usage en argent, aux formes et au décor simple, appartiennent très probablement à une seule commande comme en attestent leur poinçon identique et leur grande proximité stylistique. Outre le Trésor de la Vôge, on compte seulement deux autres trésors d’orfèvrerie civile de cette importance : le trésor de Trois Epis découvert en 1864 (conservé au musée Unterlinden de Colmar) et le trésor de Pouilly-sur-Meuse découvert en 2006 (acquis par le musée Lorrain de Nancy). En effet, rares sont les objets en métal précieux de la Renaissance qui ont subsisté, fondus pour la plupart pour faire face à des besoins économiques urgents ou pour suivre les évolutions du goût. Le château d’Ecouen participe au rayonnement et à la connaissance des arts décoratifs du XVIe siècle à travers de riches collections embrassant l’ensemble des pays, des styles et des techniques de l’Europe de la Renaissance. Le musée national peut présenter, grâce à une politique d’acquisition active en matière d’orfèvrerie française, l’un des ensembles les plus importants conservés en France. Le Trésor de la Vôge est la deuxième œuvre qualifiée d’intérêt patrimonial majeur après avis de la Commission consultative des trésors nationaux à rejoindre les collections conservées par le musée, après le Portrait d’Ulysse en émail peint par Léonard Limosin, acquis en 2012, également grâce au mécénat de la société Vygon. Implantée à Ecouen, Vygon soutient depuis de nombreuses années les projets menés par le musée national de la Renaissance ; son mécénat exceptionnel pour le trésor de la Vôge constitue une nouvelle manifestation de cet investissement constant au service du développement de la culture sur le territoire. Cette acquisition a été rendue possible grâce aux dispositions fiscales de la loi du 1er août 2003 relative au mécénat, aux associations et aux fondations qui complètent celles de la loi du 4 janvier 2002 relative aux musées de France pour créer des conditions particulièrement favorables de mécénat d’entreprise pour l’entrée dans les collections publiques d’œuvres reconnues d’intérêt patrimonial majeur ou de trésors nationaux.   Photo : Ministère de la culture – O.Tavoso, Restaurateur du Patrimoine  
Il y a 4 ans et 136 jours

Lancement des inscriptions aux Wienerberger Brick Awards

Concours biennal d’envergure mondiales, les Wienerberger Brick Awards récompensent l’exceptionnelle diversité et la qualité de l’architecture moderne incarnées par des réalisations en terre cuite. Après le succès des précédentes éditions, Wienerberger annonce l’ouverture des candidatures de l’édition 2022. Les candidats seront évalués en fonction du concept et de l’esthétisme de leur projet mais aussi sur l’utilisation habile et novatrice des briques, tant en mur, qu’en toiture ou bien en façade et pavage. Une attention particulière sera également accordée à l’adéquation du projet par rapport au rendu final, au type de bâtiment, au contexte culturel ainsi qu’aux aspects de durabilité et d’efficacité énergétique. Les réalisations candidates vont concourir, au choix, pour l’édition 2022, dans cinq catégories : – Feeling at home Maisons familiales, maisons jumelées et petits ensembles résidentiels de haute qualité architecturale, proposant des espaces de vie confortable, sains et durables. – Living together Maisons multifamiliales, solutions résidentielles innovantes, prenant en compte les tendances et les défis de l’urbanisation tels que la rareté de l’espace, les défis sociaux et les nouveaux concepts de « vie commune ». – Working together Bâtiments commerciaux, bureaux et bâtiments industriels confortables, esthétiques et fonctionnels. – Sharing public spaces Lieux à des fins éducatives, sociales, médicales ou publiques, confortables, esthétiques et fonctionnels. – Building outside the box Des concepts innovants, des nouvelles façons d’utiliser la brique. L’utilisation de nouvelles technologies de construction, de nouvelles façons de maçonner, de briques sur mesure et/ou de nouvelles décorations. La période d’inscription sur la plateforme dédiée se termine le 8 avril 2021. Les cinquante projets choisis par un panel de journalistes et de critiques en architectures seront révélés sur le site des Brick Awards 2022 ainsi que sur les réseaux sociaux (Facebook et Instagram) à partir de l’automne 2021. Les lauréats 2022, élus par jury international d’architectes, seront communiqués, lors de la cérémonie de remise des Brick Awards, à la fin du printemps 2022. https://brickaward22.submit.to/register/  
Il y a 4 ans et 136 jours

EU Mies Awards 2022 : les projets français sélectionnés

La fondation Mies Van der Rohe vient de publier la  première liste des projets sélectionnés pour la session 2022 de son prix européen. Découvrez les 31 premières réalisations nominées en France. MÉCA, BIG - Bjarke Ingels Group, FREAKS, LAFOURCADE & ROUQUETTE architectes, Bordeaux Aménagement d'un atelier de verrerie pour Emmanuel Barrois, Antoine Dufour Architectes, Brioude Émergence, Aires Mateus e Associados, Atelier Architecture Vicent Parreira – AAVP, Clichy-sous-Bois...
Il y a 4 ans et 136 jours

Le deuxième appel à projets pour promouvoir la construction en biosourcés est lancé

TRANSITION ÉCOLOGIQUE. Réunis dans un collectif baptisé "Booster bois biosourcés", des industriels, des architectes et des collectivités ont lancé ce 1er février 2021 la seconde édition d'un appel à projets visant à encourager la construction en bois et matériaux biosourcés. Une initiative qui résonne évidemment avec l'actualité autour de la Réglementation environnementale 2020.
Il y a 4 ans et 136 jours

De la critique, le journaliste n’en peut mais. L’architecte non plus

L’architecture n’est pas une science exacte. C’est ce qui rend difficile sa critique, pourtant nécessaire. Pour les mathématiques par exemple, quand l’auteur a vu son équation validée par ses pairs, puis publiée dans une revue savante à comité de lecture, le résultat est réputé acquis : 2 + 2 = 4 ou E=MC². Les choses sont […] L’article De la critique, le journaliste n’en peut mais. L’architecte non plus est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 136 jours

De la crise architecturale à la crise de la critique. Et vice versa

La critique architecturale est-elle à ce point désabusée, ou déconnectée, qu’il faille la laisser aux usagers et à Madame Michu ? Constater la mort de la critique architecturale n’a rien d’inédit. Pourquoi peine-t-elle tant à renaître, à une époque où tout et son contraire peuvent être critiqués sur les places publiques virtuelles que sont Twitter, Facebook […] L’article De la crise architecturale à la crise de la critique. Et vice versa est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 136 jours

D’une crise l’autre, la critique en perpétuel débat

La critique d’architecture est en crise constante, en réflexion sur elle-même : son but, son langage, son rapport aux autres critiques, aux critiques eux-mêmes. La réflexion sur la construction de la critique d’architecture dans l’ouvrage d’Hélène Jannière* retrace l’histoire critique de la critique d’architecture. Retour sur certains points de cette lecture et aussi une brève réflexion […] L’article D’une crise l’autre, la critique en perpétuel débat est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 136 jours

Le critique d’architecture, un journaliste spécialisé dans les voyages ?

Herbert Wright est journaliste et auteur d’architecture au Royaume-Uni, un pays où la critique est réputée vigoureuse. Laquelle serait aujourd’hui étouffée par la générosité des « public relations » des agences (de voyages) ? Chronique d’Outre-Manche. Ecrire sur l’architecture, principalement pour le magazine Blueprint, m’a emmené en 2018 dans dix pays autres que le Royaume-Uni. Idem en 2019. […] L’article Le critique d’architecture, un journaliste spécialisé dans les voyages ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 136 jours

L’accompagnateur BDF, l’invention du siècle (en IDF seulement)

La nouvelle année est venue avec sa kyrielle de résolutions et de décisions déterminées, notamment aujourd’hui le souci de bienveillance et de tolérance à l’égard d’une administration que j’ai si souvent égratignée. Comment par exemple ne pas être impressionné par le tout nouveau BDF qui se propose de faire un bout de chemin avec les […] L’article L’accompagnateur BDF, l’invention du siècle (en IDF seulement) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 136 jours

Archéologie du présent, photographie de paysages engloutis

L’archéologie exige un engagement avec le paysage, or le paysage, c’est la culture. De la discussion « micro » de l’architecture à la discussion « macro » de la culture, chronique-photos d’Erieta Attali. Le degré auquel un bâtiment réagit avec la culture ou le paysage d’un lieu est principalement contrôlé par l’intention de la conception, […] L’article Archéologie du présent, photographie de paysages engloutis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 136 jours

L’architecture est un instrument d’environnements (suite)

[…] L’ar(t)chitecture instrument d’environnements doit aider (en complément des jardins ou des espaces « naturels » ou en libre évolution), à travers des environnements plus divers, plus subtils, plus parfumés, à produire un nouvel équilibre entre les milieux physiques et virtuels. Le luthier (ou l’architecte) L’architecte conçoit un instrument à vivre et pour vivre : […] L’article L’architecture est un instrument d’environnements (suite) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 136 jours

LafargeHolcim croît en France et en Italie

LafargeHolcim vient de reprendre 24 centrales à béton Cemex en Rhône-Alpes – Auvergne. [©Cemex] LafargeHolcim a annoncé l’acquisition simultanée d’Edile Commercial, en Italie, et le rachat de l’outil industriel de Cemex en Rhône-Alpes – Auvergne. Ces deux transactions concernent, en premier lieu, des unités de production de béton prêt à l’emploi. Pour ce qui est de Cemex, l’accord signé voit la cession de 24 centrales à béton et d’une carrière. Toutefois, Cemex conserve ses activités situées dans la métropole lyonnaise… L’industriel prévoit de finaliser la transaction d’ici début avril, une fois les conditions de clôture remplies. Et précise que « le produit de cette transaction sera affecté dans des projets de croissance sur des marchés clefs… » Côté italien, Edile Commerciale apporte à LafargeHolcim 11 centrales à béton, toutes situées sur le secteur de Milan. Ainsi, ce sont 35 unités de production de BPE qui viennent enrichir le parc des équipements du groupe franco-suisse.  Le béton vert EcoPact Ainsi, ces opérations renforcent la position de LafargeHolcim dans deux des zones les plus dynamiques et les plus attractives d’Europe. Des acquisitions complémentaires qui s’ajoutent à 8 initiatives similaires réalisées en 2020…  Ceci, en Australie, au Canada, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Suisse. « Je suis enthousiasmé par les perspectives de croissance à venir avec Edile Commerciale et Cemex Rhône-Alpes,souligne Jan Jenisch, directeur général de LafargeHolcim. Ces deux acquisitions s’inscrivent dans notre stratégie de croissance […]. Elles confirment notre ambition de revitaliser des villes de premier plan comme Milan et Lyon. Et notre vision de faire de l’Europe une région zéro net carbone d’ici 2050. Pour être un partenaire clef dans ce voyage, nous avons lancé le béton vert EcoPact l’année dernière. Je m’engage à assurer son déploiement rapide dans le monde entier. Cette année, nous avons une occasion unique d’accélérer la transition vers la construction durable. Ceci, avec une vague sans précédent de plans de relance gouvernementaux, axés sur les infrastructures, avec l’Europe en tête. »
Il y a 4 ans et 136 jours

La filière bois présente son « Plan Ambition Bois-Construction 2030 »

Cette règlementation doit permettre au secteur du bâtiment, qui compte parmi les plus émissifs du pays, de prendre sa part à la décarbonation de l'économie. Dans ce cadre, les professionnels alertent sur le fait qu'un arbitrage qui consisterait à renoncer ou affaiblir l'ACV dynamique serait catastrophique. En effet, si l'ACV dynamique, pilier incontournable de la RE2020, devenait facultative (renvoyée à un label) et non réglementaire en 2021, pour n'être ensuite qu'hypothétiquement reconsidérée en 2024, alors la France ne tiendrait pas ses engagements pris lors des Accords de Paris pour le secteur du bâtiment.Consciente de l'enjeu historique auquel doit impérativement répondre la RE2020, la Filière Bois Construction se mobilise pour apporter sa contribution à l'effort collectif nécessaire à la décarbonation de la construction française. C'est pourquoi les acteurs de la forêt et du bois-construction s'engagent aujourd'hui solennellement auprès des élus, du Gouvernement et de leurs partenaires en lançant le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 ».Ils prennent 10 engagements concrets pour faciliter la transition du secteur du bâtiment vers la neutralité carbone, du renouvellement des arbres à la fin du cycle de vie du bois de construction. Ces engagements stratégiques portent sur la formation, l'emploi, l'investissement, la recherche et le développement, le développement de l'offre en bois français, l'implantation dans les territoires, la mixité des matériaux, la gestion durable de la forêt, la réduction des coûts et enfin le recyclage du bois en fin de vie.La filière bois construction, convaincue que l'enjeu de la décarbonation réunira l'ensemble des métiers de la construction autour d'une vision durable et circulaire de la vie du bâtiment, démontre ainsi qu'elle sera au rendez-vous de la RE2020 et apportera tout son concours à l'avènement d'un secteur de la construction exemplaire. La mixité assumée des solutions constructives et des matériaux ainsi qu'une accélération des mises en chantier dès que l'incertitude sur les arbitrages de la RE2020 sera levée, profiteront économiquement à l'ensemble de la construction. Pour la seule filière bois, ce marché de la construction mixte représente déjà plus de 10 milliards d'euros de valeur ajoutée créée annuellement et 205 000 emplois directs sur les marchés finaux de la construction durable et bas carbone.Le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 » : une réponse à la RE 2020La RE2020 doit permettre au secteur du bâtiment d'accélérer sa transition vers la neutralité carbone et de participer à l'effort collectif de décarbonation complète de l'économie. Cette transition et cet objectif ambitieux constituent un remarquable accélérateur d'innovation et de mixité des matériaux, synonyme de valeur ajoutée supplémentaire pour les métiers et l'économie de la construction.L'enjeu est de taille pour le secteur du bâtiment, toujours régi par une norme antérieure aux Accords de Paris sur le Climat – la RT2012 - et frappé par la crise sanitaire et économique. La réussite de cette transition passe donc à travers la RE2020 par l'innovation et une mixité accrue des matériaux. Dans ce contexte la part du bois et des matériaux bio-sourcés est inévitablement appelée à rapidement s'accroitre.10 engagements pour accélérer la transition écologiqueAucun matériau n'est aussi vertueux que le bois et les matériaux biosourcés pour réduire rapidement et durablement l'empreinte carbone du bâtiment. Le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 » témoigne de la capacité de la filière bois-construction à répondre à la hausse de l'utilisation des matériaux bois et biosourcés. Il rassemble ses 10 engagements pour accompagner l'ensemble des professionnels de la construction dans la transition qui s'annonce :Former : « Nous nous engageons à accompagner, dans l'acte de construire, les opérateurs de la famille des bâtisseurs en lien avec les organismes de formation. Nous nous engageons également dans un effort de formation continue de nos professionnels, de l'amont à l'aval. »Développer l'emploi : « Nous nous engageons, en augmentant nos capacités de production, à développer l'emploi et à produire de la valeur ajoutée. »Mobiliser les volumes : « Nous nous engageons à favoriser les investissements liés au développement des usines de première et de deuxième transformation vers des produits mixtes, combinant le bois à d'autres matériaux, afin de répondre aux exigences du marché en termes de volume. »Investir en recherche et développement : « Nous nous engageons vers un effort constant en matière de recherche et développement, allant de l'ingénierie à la conception de produits et systèmes constructifs novateurs, afin de favoriser l'essor des marchés de la construction bois et biosourcée. »Développer l'offre en bois français : « Nous nous engageons à favoriser la construction de logements bas-carbone avec une priorité donnée au bois français. »Soutenir l'économie des territoires : « Nous nous engageons à développer des acteurs industriels de référence et des capacités de transformation au cœur des territoires français. »Favoriser la mixité des matériaux : « Nous nous engageons à relever le défi de l'accroissement de la mixité des matériaux auprès des entreprises de la construction, forts de tous les acquis des programmes démonstrateurs menés depuis plusieurs années. »Planter et replanter : « Nous nous engageons à maintenir un effort constant afin de garantir le renouvellement de la forêt française. »Réduire les coûts : « Nous nous engageons à maintenir un effort constant afin de massifier l'utilisation du bois et investir dans des outils de production pour diminuer les coûts. »Recycler le bois en fin de vie : « Nous nous engageons à investir dans les usines biomasse et à optimiser l'utilisation des produits bois en fin de vie. »
Il y a 4 ans et 136 jours

Weber incubateur, un nouveau service dédié aux artisans

Loin d’un simple effet d’annonce, cette volonté s’affirme par des mesures très concrètes, dont le lancement aujourd’hui d’un nouveau service : weber incubateur. Il s’agit d’accompagner les artisans créatifs qui innovent pour réinventer leur métier.« Vous avez l’ébauche d’un nouveau produit, service ou accessoire pour améliorer votre quotidien et révolutionner votre métier, weber incubateur vous apporte toute l’aide nécessaire pour passer de l’idée à la réalité » interpelle Laetitia Lemoigne, Responsable de l’Expérience Client, en s’adressant aux artisans.Le principe est simple : un artisan imagine une solution, notamment pour gagner en confort de travail (la réduction de la pénibilité constituant un thème cher à Weber) mais n’a ni le temps ni les moyens de la concrétiser. Il contacte alors Weber, via la plateforme collaborative incubateur, qui va réaliser une étude de faisabilité approfondie et l’accompagner jusqu’au dépôt de brevet, voire même jusqu’au contrat de commercialisation.Premier bénéficiaire de ce nouveau service, Jean-Jacques Carbon, gérant de l’entreprise F2J CARRELAGE à Rennes (35). Fort du constat que manipuler tous les jours jusqu’à 15 seaux de colle à carrelage de 32 kg en étant en position à genoux s’avérait éreintant (avec notamment des douleurs à l’épaule du fait de le tirer à soi à chaque avancement du sol carrelé), ce carreleur a pensé un dispositif astucieux afin de le déplacer sans efforts et pallier tout risque de TMS¹.« Un chariot qui permet de transporter les seaux de colles en ras de sol avec un centre de gravité relativement bas. C’est un système qui est extrêmement léger, évolutif et qui facilite beaucoup la vie ! » confie l’entrepreneur. Weber incubateur lui a ainsi permis de protéger son invention qui sera distribuée prochainement en France sous la marque Weber (Monsieur Carbon étant bien entendu intéressé financièrement aux ventes de son outil).Pour solliciter incubateur, rien de plus simple : sur www.fr.weber, en accès libre, le candidat remplit un formulaire et poste un pitch décrivant l’unicité de son idée. Il reçoit une confirmation de bonne réception du dossier puis sera recontacté par Weber, sous quelques semaines, pour l’informer des suites données à son projet.1 . (TMS) Troubles musculosquelettiques
Il y a 4 ans et 136 jours

D.Kube, le nouveau conditionnement recyclable et Eco Label qui remplace le pot de peinture

Pourquoi une brique ?Dans sa démarche citoyenne et en parallèle du strict respect de la règlementation Durieu réfléchit constamment aux moyens de rendre ses produits toujours plus en adéquation avec le respect de l'environnement, plus pratiques, plus simples à utiliser… Cela passe aussi bien par l'amélioration ou l'aménagement des formulations que par la recherche packaging.Dans cette optique les équipes de Durieu ont lancé une étude pour un nouveau type d'emballage à la fois pratique à utiliser et à stocker et plus eco-friendly.Les désagréments d'un pot de peinture classiqueDifficile à ouvrir, à refermer,Perte de produit lorsque l'on verse le pot dans un contenant,Coulures de peinture sur le pot…L'idée est donc née de changer complètement de concept pour offrir un nouvel emballage en forme de brique.Les avantages immédiats du D.KUBEÉquipé d'un bec verseur avec bouchon, le versement, l'ouverture, et la fermeture sont facilités.Le stockage est plus simple en magasin et chez le particulier : la forme en brique du nouveau D.KUBE permet de le ranger facilement, sans perdre de place.Recyclage simplifié de la brique une fois son utilisation terminée.Nouvel emballage pour un contenu 100% efficaceL'innovation packaging du D.KUBE n'éclipse en rien une formulation pointue : dans le D.KUBE, on retrouve toute la qualité De Keyn d'une peinture acrylique haut de gamme :Application simple avec un très bon pouvoir couvrant résultant d'une très bonne opacité.Grâce à la qualité de ses résines, la peinture est lavable et offre une résistance renforcée à l'usure du temps.Très beau rendu mat bien garnissant qui permet de masquer les aspérités et les défauts du mur.Le plus - Atout stockage : D.KUBE est parfaitement adapté à son nouveau contenant avec une très bonne stabilité des pigments et l'absence de sédimentation, ce qui permet de garder la peinture longtemps ouverte ou non.Explications : une fois ouverte D.KUBE se conserve très bien (plusieurs années) dans des conditions normales de stockage. En effet au fur et à mesure de l'utilisation, la poche à l'intérieur de la brique se dégonfle et évite l'entrée de l'oxygène qui pourrait oxyder la peinture restante. Le produit se trouve alors naturellement à l'abri de l'oxygène et des bactéries et se conserve ainsi encore plus longtemps.Déco infinie : 45 teintes hyper tendance, blanc inclus.
Il y a 4 ans et 137 jours

Un nouveau Cerema pour un monde en grande mutation

Le Cerema opère sa mue en capitalisant sur ses forces qu'il met au service des territoires engagés dans une démarche résiliente.Mieux adapté aux problématiques de terrain des collectivités et des aménageurs qui y œuvrent au quotidien, il se positionne résolument comme un tiers de confiance engagé durablement pour plus d'efficacité pour affronter les défis actuels et futurs. Une vision moderne portée par une direction en phase avec les enjeux environnementaux à l'échelle globale comme aux échelles locales les plus fines.Cette mue se traduit aussi par une nouvelle identité visuelle et coïncide avec l'arrivée d'une nouvelle présidente, Marie-Claude Jarrot, élue de terrain pour qui la résilience des territoires est un enjeu concret et essentiel.Afin de clarifier son action, le Cerema se positionne sur six grands domaines d'expertise tous liés à l'adaptation au changement climatique :Expertise et ingénierie territorialeBâtimentsMobilitésInfrastructures de transportEnvironnement et risquesMer et littoralIl propose des solutions, sur-mesure aux collectivités, maîtres d'ouvrage, entreprises ou porteurs des politiques publiques.Partenaire des territoires, le Cerema veille plus que jamais à s'adapter à leurs besoins afin de les accompagner dans leur transition pour les aider à gérer l'inévitable et à éviter l'ingérable.
Il y a 4 ans et 137 jours

Granudem : « Par ricochet, nous sommes concernés par la RE 2020 »

Stéphane Poullard est le gérant de l’entreprise Granudem. [©ACPresse] Pouvez-vous nous rappeler en quoi consiste le concept de Granudem ? Nous avons travaillé à produire des granulats recyclés, faciles à réutiliser dans des productions différentes et issus d’apports hétérogènes. Nos produits sont utilisés par les préfabricants, les BPE, les artisans ou des particuliers. Point important : l’utilisation de nos granulats recyclés ne change pas les habitudes de travail. L’enjeu essentiel est d’obtenir un produit homogène ? Nous avons un process qui permet d’assurer l’homogénéité des matériaux. La plupart de nos apports viennent de nos démolitions. Les matériaux sont alors déferraillés, concassés, lavés, puis l’on sépare les boues. Enfin pour obtenir des granulats, nous criblons le tout, le sable est lui obtenu par un cyclonage. Lors de ce dernier process, les matériaux de moindre qualité sont éliminés pour nous permettre d’obtenir, in fine, des sables qui vont de 63 µm à 4 mm. Nous effectuons aussi un travail sur la forme du granulat, pour augmenter sa résistance et son absorption. Le process est normé depuis cette année. Vous travaillez notamment avec l’industriel du béton Spurghin Leonhart. Est-ce par proximité géographique ? Pour le moment, notre zone de chalandise se limite aux alentours de Chartres. Spurghin Leonhart a travaillé sur le chantier du Onze, dans la même ville, chantier auquel nous avons collaboré aussi. A l’issue des travaux, l’industriel est revenu vers nous pour pérenniser nos liens. Aujourd’hui, nous avons une semi-remorque qui part chaque jour vers son usine. Nous sommes autour de 4 000 t livrées sur un an. Spurghin Leonhart incorpore 15 % de granulats Granudem dans leurs formulations. Un pourcentage limité par notre propre capacité de production, l’installation est prévue pour 40 t/h, mais nous sommes plus à 200 t/semaine. Nous allons passer à un taux d’incorporation de 20 % en début d’année prochaine. Il vous faut réfléchir à un nouvel outil industriel ? Oui, il nous faut passer à un niveau supérieur. Nous allons changer de site, je l’espère dans l’année, afin de doubler nos installations. A l’heure actuelle, notre site ne nous permet pas d’augmenter la production. Et encore moins d’élargir notre gamme. Par exemple, nous ne pouvons que produire du béton avec 100 % de granulats recyclés, ce qui n’est pas normé. Avec un nouveau site et un nouveau process, nous pourrons avoir des bétons entrant dans la norme. Nous pourrons aussi élargir le panel de nos apports. Nous avons aussi entamé des discussions avec des industriels qui sont intéressés par notre brevet. L’idée est d’avoir des franchisés que nous accompagnons dans la mise en place de leur business, en utilisant notre concept. Mais ce processus prend du temps. Faire accepter les granulats recyclés est aussi un processus assez long… Au début, on nous prenait pour des extra-terrestres. Mais au fil de nos collaborations, les professionnels ont pris conscience que cela marchait. Nos clients deviennent nos meilleurs promoteurs. Et puis, nous avons désormais le soutien de la métropole de Chartres, puisqu’il est inscrit dans leur PCAET1 que chaque chantier public de bâtiment doit incorporer une part de granulats recyclés. Nous avançons… Pourtant, l’économie de ressource n’est pas une notion présente dans la RE 2020. Avez-vous l’impression d’être soutenu par l’Etat ? La RE 2020 ne parle que d’économie de CO2. Pourtant, nous travaillons en circuit court, sans production de nouvelle matière, c’est de l’économie de carbone indirecte. Mais la RE 2020 met en avant des systèmes vertueux. Par ricochet, nous sommes concernés. Il est aussi compliqué de convaincre des politiques et des entrepreneurs de viser une croissance économique avec moins de production… Nous avons lancé ce concept, parce que nous y croyions, sans aide gouvernementale. Nous sommes sans doute des précurseurs, mais je veux faire comprendre à tous que l’on peut faire du business avec du recyclage ou des solutions vertueuses. La croissance verte est possible. Nous en sommes un très bon exemple. 1PCAET : Plan climat-air énergie territorial.
Il y a 4 ans et 137 jours

Bouygues retenu pour le chantier de rénovation de la gare du Nord

"Au terme d'un appel d'offres, nous avons retenu Bouygues Bâtiment Ile-de-France comme attributaire pressenti des travaux de rénovation qui représentent 600 millions sur les 900 millions du projet au total pour StatioNord, en y incluant l'aménagement des abords de la gare, les frais financiers, les taxes etc..", déclare Aude Landy-Berkowtiz, présidente du directoire de StatioNord.En ajoutant une passerelle piétonne et cyclable devant surplomber les voies qui ne relève pas du même budget, un parking souterrain et un nouveau bâtiment SNCF, le projet total dépassera la barre du milliard d'euros.Les travaux qui devraient être lancés d'ici juin, "sans attendre la délivrance du permis modificatif et la purge des recours, comme le droit de l'urbanisme nous le permet", dureront quatre ans, puis StatioNord exploitera les espaces commerciaux jusqu'en 2065, indique la dirigeante.Selon Mme Landy-Berkowitz, les travaux vont générer 450 emplois, puis 1.800 emplois directs permanents pour les diverses activités de la gare, hors SNCF.Un accord avait été conclu fin 2020 avec la mairie de Paris sur la forme finale de la gare qui devrait avoir un peu moins de surfaces commerciales et un peu plus de parkings à vélos qu'initialement prévu.Le Terminal TransManche, d'où part l'Eurostar, devrait être livré "à temps pour la Coupe du monde de rugby de 2023" et "tous les ouvrages ferroviaires seront opérationnels pour les Jeux Olympiques de 2024" prévus à Paris, ajoute-t-elle.Le projet comporte peu de démolitions, et le principe d'une construction en métal et verre, qui ne nécessite qu'un assemblage d'éléments, a été retenu pour accélérer le chantier et minimiser les nuances.Plus de 700.000 personnes transitent chaque jour dans cette gare aujourd'hui "et 900.000 sont prévus en 2030", selon Mme Landy-Berkowitz.
Il y a 4 ans et 137 jours

Etude Ademe : les clés pour atteindre une rénovation performante

L’ADEME a étudié les conditions techniques permettant la rénovation des maisons individuelles au niveau Bâtiment Basse Consommation en moyenne nationale. Ce niveau, fixé par la Stratégie nationale bas carbone, est celui que doit atteindre le parc des maisons individuelles, pour respecter les objectifs de neutralité carbone à l’horizon 2050. La tendance actuelle des ménages français, analysée dans l’enquête TREMI pour la période 2016-2017, montre que 75% des travaux de rénovation en maisons individuelles n’ont pas permis de changer de classe de DPE. Il y a donc un enjeu majeur à accélérer le rythme des rénovations plus performantes. L’étude s’attache à définir les conditions techniques pour qu’une rénovation puisse être performante. Elle précise le nombre d’étapes maximum ainsi que les risques d’impasses techniques en cas de rénovation partielle. Elle s’inscrit dans le cadre du Plan de relance et du renforcement des dispositifs d’aide « MaPrimeRenov’ » et « Coup de POUCE CEE » vers les rénovations performantes diminuant à minima de 55% les consommations énergétiques. Les principaux constats de l’étude Pour les maisons individuelles datant d’avant 1982, un parcours de rénovation performante comprend nécessairement 6 postes de travaux : isolation des murs, de la toiture, du plancher bas, remplacement des menuiseries extérieures, systèmes de ventilation et de chauffage/Eau Chaude Sanitaire. L’étude pointe que la réalisation de travaux de rénovation énergétique, non coordonnés, peut conduire à des impasses techniques incompatibles avec une rénovation performante. L’étude montre aussi que l’ordonnancement des travaux est crucial pour le bon fonctionnement des systèmes de production de chauffage. La première étape doit préférentiellement viser les travaux d’isolation et de ventilation, pour éviter des pathologies et un surdimensionnement des systèmes de chauffage, grevant la performance des systèmes de production de chauffage. La rénovation performante doit privilégier les énergies renouvelables (EnR) pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire (poêle à bois, chaudières bois, pompes à chaleur, chauffe-eau solaire). Le système de chauffage choisi doit posséder un bon rendement, y compris à basse puissance puisque les besoins sont fortement réduits dans une rénovation performante. Elle doit veiller à assurer le confort et la santé des habitants en se prémunissant des conséquences d’une mauvaise ventilation, de ponts thermiques et de condensations qui peuvent provoquer le développement de moisissures et de pathologies diverses. Elle gagne pour cela à être réalisée en une seule étape et au maximum en deux ou trois grandes étapes cohérentes afin de traiter des interfaces et interactions entre postes de travaux. Elle exige d’être coordonnée par un pilote (maître d’oeuvre ou architecte, groupement d’entreprise, contractant général). Les travaux de rénovation de qualité et pensés dans leur ensemble méritent donc d’être encouragés via des aides financières attractives pour les travaux et leur conception et pilotage. Les récentes évolutions de MaPrimeRénov’ et des « coup de pouce » des Certificats d’économie d’énergie décidées dans le cadre du Plan de relance vont dans ce sens. https://www.ademe.fr/renovation-performante-etapes   Visuel : Pertes de chaleur d’une maison d’avant 1974 non isolée. Source : Guide Isoler sa maison de l’ADEME.
Il y a 4 ans et 137 jours

Lycéennes, lycéens, découvrez le métier d’architecte !

Cette année, crise sanitaire oblige, la traditionnelle Journées des lycéen·ne·s sera virtuelle. Le mercredi 3 février 2021 de 14h30 à 15h30, l’Ordre des architectes d'Île-de-France organise une réunion d'information à destination des lycéen·ne·s, de leurs familles et des acteurs de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 137 jours

Transformation de bureaux vides en logements, c’est le moment !

Les surfaces de bureaux vides se comptent en millions de m², la pénurie de logements croît et une nouvelle source de financement de la transformation de bureaux en logements est disponible
Il y a 4 ans et 137 jours

A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois

L’agence parisienne Ameller Dubois a livré en 2020, pour le CHU de Reims (Marne), maître d’ouvrage, l’extension (4 740 m² SDP) de l’EHPAD Roederer-Boisseau. Créée au XIXe siècle, cette maison de retraite est la plus ancienne des résidences pour personnes âgées de la ville. Communiqué. L’extension, réalisée avec un budget de 8,3M€, accueille 90 lits […] L’article A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 137 jours

A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois

L’agence parisienne Ameller Dubois a livré en 2020, pour le CHU de Reims (Marne), maître d’ouvrage, l’extension (4 740 m² SDP) de l’EHPAD Roederer-Boisseau. Créée au XIXe siècle, cette maison de retraite est la plus ancienne des résidences pour personnes âgées de la ville. Communiqué. L’extension, réalisée avec un budget de 8,3M€, accueille 90 lits […] L’article A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 137 jours

Pour la 1ère fois,

Le fabricant de portes d'intérieur, Eclisse France, veille à ce que ses prescripteurs (bureaux d'études, architectes, décorateurs d'intérieur, artisans-poseurs, menuisiers, installateurs...) préconisent ses produits pour leur design, technicité et qualité. Pour aller plus loin, en 2021, Eclisse France s'est donné comme objectif de développer sa marque auprès des architectes et décorateurs d'intérieur. Objectif ? Développer la relation et toujours mieux les accompagner dans leurs réalisations.
Il y a 4 ans et 137 jours

Nouveau - Plaque stabilisatrice de gravier URBANGRAVEL JOUPLAST

L'offre JOUPLAST® s'urbanise Leader européen des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de TMP CONVERT, se présente comme le spécialiste en solutions constructives dédiées aux aménagements extérieurs. Reconnue pour ses produits innovants et durables, JOUPLAST® élargit son offre et cible l'aménagement en milieu urbain. Avec URBANGRAVEL®, le fabricant français lance sur le marché une solution qui permet de consolider la pose de gravier pour les parkings, routes d'accès, zones industrielles ou commerciales, même avec un trafic dense.
Il y a 4 ans et 137 jours

L’Université populaire d’architecture fait sa rentrée

Pour cette nouvelle session 2021, l’Université populaire propose 4 cours en ligne sur les « actes fondamentaux » présentés par Richard Scoffier. Ce troisième cycle débute ce samedi 6 février de 11h à 13h, en direct sur le site du Pavillon de l’Arsenal.  Ce mois de février correspond au début du cycle des actes fondamentaux de de l’Université populaire du Pavillon de l’Arsenal. Ces cours proposent une réflexion sur une action élémentaire interrogée par le prisme de l’architecture....
Il y a 4 ans et 137 jours

ACOVA complète sa gamme ARTEMIA avec une version chauffage central

Fabriqué en France, le nouveau radiateur vertical ARTEMIA en version chauffage central est doté de nombreuses innovations. Pour s'harmoniser aux intérieurs contemporains, il bénéficie également d'un design minimaliste et de finitions soignées.
Il y a 4 ans et 137 jours

Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod

L’agence Hérault-Arnod (Isabel Hérault – Yves Arnod) a été en janvier 2021 désignée lauréate pour la conception réalisation du camion-musée MuMo x Centre Pompidou. Ou quand le musée va vers les gens en camion… Pour tout comprendre en 30 secondes chrono ! L’article Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 137 jours

Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod

L’agence Hérault-Arnod (Isabel Hérault – Yves Arnod) a été en janvier 2021 désignée lauréate pour la conception réalisation du camion-musée MuMo x Centre Pompidou. Ou quand le musée va vers les gens en camion… Pour tout comprendre en 30 secondes chrono ! L’article Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 137 jours

Levée de fonds : Ecodrop en passe de devenir le "Uber" des déchets du bâtiment

LEVEE DE FONDS. La start-up, Ecodrop, spécialisée dans la gestion et collecte des déchets de chantiers, annonce avoir levé 5 millions d'euros. Découvrez auprès de qui et à quoi servira cette enveloppe.
Il y a 4 ans et 137 jours

Un chef d'œuvre de l'Art nouveau ouvre ses portes au public à Bruxelles

"C'est peut-être plus important encore en temps de Covid de pouvoir passer un moment relax au milieu de cette beauté totale", sourit (derrière son masque) Pascal Smet, secrétaire d'Etat au Patrimoine dans l'exécutif de la région bruxelloise.Cet élu de la capitale fait office de guide ce jour-là pour une poignée de journalistes dans l'Hôtel Solvay. Et il emploie l'adjectif "total" à dessein pour décrire cet hôtel particulier de trois étages, à la cage d'escalier majestueuse où la lumière naturelle entre par un vitrail multicolore.Construit par Horta entre 1895 et 1903 pour un fils de l'industriel belge Ernest Solvay, le lieu a conservé, dans leur version originale, la gamme complète des réalisations du maître de l'Art nouveau. Qui concevait la structure (apparente) du bâtiment mais dessinait aussi le mobilier des pièces à vivre, radiateurs et poignées de porte compris."Cela donne le sentiment du bâtiment parfait, tout a été pensé dans le moindre détail", poursuit Pascal Smet dans ce décor jaune-orange-beige où la couleur chaude des fauteuils est assortie à celle des boiseries.L'Unesco a inscrit l'Hôtel Solvay sur la liste de son patrimoine mondial au début des années 2000.Selon l'organisme des Nations unies, c'est "l'œuvre la plus ambitieuse et la plus spectaculaire de Horta qui nous soit parvenue de la période Art nouveau", un style qui à la fin du XIXe siècle révolutionna l'architecture avec son esthétique des courbes, appliquée à des matériaux nouveaux à l'époque (verre et acier)."Sauvé de la démolition"L'hôtel particulier a connu une histoire mouvementée après la mort de son premier propriétaire en 1930.Endommagé par une bombe allemande pendant la Deuxième guerre (il a fallu reconstruire le vitrail principal), il a été "sauvé de la démolition" à la fin des années 50, quand un couple dirigeant une maison de haute couture a décidé de le racheter pour en faire son atelier.A l'époque, l'Avenue Louise, le large boulevard où l'édifice est situé, voyait se multiplier les grands immeubles de bureaux, et les constructions Art nouveau étaient même menacées par les promoteurs, assure l'actuel propriétaire, Alexandre Wittamer, petit-fils du couple."Cela paraît difficile à imaginer mais dans les années 50-60 à Bruxelles tout était autorisé, et c'est arrivé qu'on démolisse des bâtiments Art nouveau, qu'ils soient d'Horta ou d'autres architectes", raconte ce quadragénaire, cadre dans la finance, qui organise désormais les visites.Pour l'instant, ce joyau architectural ne sera accessible que les jeudis et samedis, à condition d'avoir réservé préalablement un créneau horaire sur internet (le site hotelsolvay.be). C'est le principe appliqué par tous les musées belges, restés ouverts malgré la pandémie.Faute de touristes étrangers (pas les bienvenus en ce moment), la région de Bruxelles, partenaire financier, joue la carte de la clientèle nationale et du "beau bâtiment méconnu des Bruxellois", selon M. Smet.Depuis les années 80, après la fin de l'activité de couture, l'Hôtel Solvay servait à des événements privés et ne se visitait qu'à de rares occasions comme les Journées du patrimoine.L'ancienne maison personnelle de Victor Horta (1861-1947) où il avait aussi son atelier, tout près de là, est devenue un musée en 1969.
Il y a 4 ans et 137 jours

Découvrez quelques réalisations des trois premiers lauréats du Palmarès BBCA 2020

CONCOURS. Parmi les lauréats de l'édition 2020 du palmarès de l'Association Bâtiment bas-carbone (BCCA), les entreprises Nexity, Woodeum et Icade constituent le top 3. Tour d'horizon des projets les plus emblématiques de ces constructeurs.
Il y a 4 ans et 137 jours

Pour 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent

En proposant un format AUGMENTÉ grâce au digital, Reed Expositions France, l'Afisb[1] et Uniclima[2] entendent également accompagner les professionnels toute l'année pour les aider à saisir l'ensemble des opportunités du secteur et découvrir les innovations.Plus de convivialité : le Mondial du Bâtiment revient à ParisDepuis 2013, toutes les demandes allaient dans ce sens : faire revenir le Mondial du Bâtiment au cœur de Paris. C'est chose faite pour l'édition 2022 qui réintègre donc le parc d'exposition rénové de la Porte de Versailles. Ce retour est largement plébiscité puisque 93,6% des exposants et 97,9% des visiteurs ont exprimé leur intention de venir à la prochaine édition des salons[3].Programmés du 3 au 6 octobre 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima occuperont 6 pavillons, soit plus de 140 000 m² d'exposition.En un seul et même lieu, tous les professionnels auront accès aux innovations, conseils et démonstrations pour expérimenter et appréhender toutes les évolutions de leur secteur. Mais audelà de ces 4 jours, le Mondial du Bâtiment souhaite également animer la communauté des professionnels et créer du lien tout au long de l'année grâce à une stratégie qui mise sur la complémentarité du digital et de la présence physique.Plus économiques : les salons apportent un meilleur retour sur investissement pour les exposants Sur les six pavillons qu'occuperont les salons Batimat, Idéobain et Interclima, le nouveau format d'exposition limite la taille des stands à 99 m² par société, avec la possibilité d'inclure un étage. Il simplifie également l'implantation des pavillons avec des modules de stand multiples de 9. Les surfaces prévues pour chaque stand s'échelonnent ainsi de 9 à 99 m² soit 9 m², 18 m², 36 m², 54 m² et 99 m².Cette refonte de l'implantation apporte de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.Par ailleurs, les stands de 9, 18 et 36 m² seront proposés avec une gamme d'aménagement clés en main à personnaliser. Cette nouveauté répond à une demande des exposants de simplifier la préparation des salons, et permettra d'améliorer les flux logistiques autour de la porte de Versailles.Plus hybrides : les salons se digitalisent pour devenir des salons augmentésDepuis plusieurs années, le Mondial du Bâtiment et les salons Batimat, Idéobain et Interclima sont engagés dans une démarche qui vise à animer la communauté des professionnels entre deux éditions et pas uniquement sur 4 jours de présence physique. Cette anticipation a notamment permis d'acquérir une forte expertise en matière de référencement sur les moteurs de recherche comme Google que les professionnels du secteur utilisent de plus en plus.Fort de cet acquis, Reed Expositions France, l'Afisb et Uniclima proposeront à partir de mai 2021, des salons « AUGMENTÉS » grâce à un blog unique. Celui-ci complètera l'usage des sites internet dédiés aux salons physiques en regroupant les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et ils disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un annuaire de fournisseurs, avec les produits/services proposés ;Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus sur les métiers qu'ils retrouveront sur les salons physiques.Toujours en amont des salons physiques, Batimat, Idéobain et Interclima initient une matinale, « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment ». Diffusée sur Batiradio en podcasts et en format vidéo, elle décryptera les grandes tendances de la construction pour animer les communautés et favoriser les échanges entre professionnels face aux enjeux du secteur.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques.Les rendez-vous du Mondial du BâtimentÀ retrouver une fois par mois, chaque premier vendredi à partir du 2 avril de 9h00 à 12h30. Cette matinée, destinée à toute la communauté des professionnels du bâtiment, décrypte les sujets phares du secteur en présence des plus grands experts. Ces rendez-vous fédérateurs, préparés en partenariat avec l'Afisb, l'ACIM, CCCA-BTP, Construction 21, Hors-Site, Plan Bâtiment Durable, Uniclima.Chaque mois des thématiques récurrentes : Le rendez-vous France Relance ; Le Grand Dossier du Mondial du Bâtiment ; La rénovation énergétique dans les territoires ; Le décryptage RE2020 ; Les métiers ; La Construction 4.0 ; Les Tendances et le Design. Ce programme LIVE s'accompagne de vidéos de pitchs Innovation et d'un programme de replays.Les thématiques 2021 :2 avril : En quoi la RE2020 va-t-elle permettre de construire durable ?7 mai : REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ?4 juin : Accessibilité : pourquoi le zéro ressaut en salle de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?2 juillet : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?3 septembre : Énergies renouvelables1er octobre : Rénovation5 novembre : Industrialisation du bâtiment3 décembre : Qualité de l'air.Ce programme est conçu pour répondre aux souhaits des professionnels de disposer d'un rendez-vous périodique et synthétique pour suivre de manière régulière les toutes thématiques fortes de transformation du secteur.Plus engagés : les salons deviennent plus sobresL'arrivée à Porte de Versailles et les nouvelles attentes des visiteurs et des exposants sont aussi l'occasion pour le Mondial du Bâtiment de lancer une démarche d'amélioration sur des sujets RSE fondamentaux. Batimat, Idéobain et Interclima prennent leurs responsabilités et s'engagent sur 4 ambitions prioritaires pour faire de l'édition 2022 une édition exemplaire :Réduire l'empreinte carbone : dès 2022, les organisateurs du Mondial du Bâtiment mesureront l'empreinte carbone des salons et mettront en œuvre une série d'actions concrètes dont l'optimisation des process logistiques et de transport, l'accès au site privilégiant les mobilités écologiques, et l'écoconception des aménagements, des zones communes et des stands packagés.Améliorer la gestion des déchets : avec pour ambition d'atteindre à terme le zéro déchet, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pour objectif de réduire les déchets des salons d'au moins 10% en 2022, d'accroître la circularité des matériaux utilisés, d'améliorer le dispositif de tri et de mieux gérer les déchets grâce à des systèmes d'analyse, de traçabilité et de pilotage.Mettre en place une offre de restauration responsable en luttant contre le gaspillage et en gérant les surplus, en valorisant les bio déchets et en adoptant des conditionnements et une alimentation responsables.Privilégier les achats responsables en favorisant les achats auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA), en intégrant des critères RSE aux politiques d'achats et notamment dans le choix des fournisseurs et en privilégiant des produits et des services écoconçus et respectueux de l'environnement.« Nous sommes convaincus que le bâtiment, la ville et les territoires seront au centre des transformations sociétales des dix prochaines années. Et nous sommes intimement persuadés que notre rôle est d'une part d'anticiper ces changements et d'autre part d'accompagner les professionnels chaque jour pour les aider à saisir toutes les opportunités qui peuvent s'offrir à eux. C'est avec cette ambition que nous avons repensé le Mondial du Bâtiment et ses 3 salons. »Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du BâtimentAvec cette stratégie innovante combinant physique et digital, les salons Batimat, Idéobain et Interclima souhaitent fédérer l'ensemble des professionnels du secteur du bâtiment et accroître le nombre d'exposants de 15% pour l'édition 2022.[1] Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN.[2] Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.[3] Sondage réalisé entre le 19 et le 26 janvier 2021. Bases contacts 2017 et 2019. Répondants : 141 exposants et 3507.
Il y a 4 ans et 137 jours

Plan de relance : 206 bâtiments du ministère de la Justice seront rénovés

Éric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice, a présenté lundi 1er février les 206 opérations retenues sur l’ensemble du territoire pour un montant de plus de 130 millions d’euros.
Il y a 4 ans et 137 jours

Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) : les lauréats 2020 dévoilés

Les lauréats 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) ont été dévoilés le 29 janvier dernier... Cet article Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) : les lauréats 2020 dévoilés est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 137 jours

Combien coûterait un reconfinement à l'économie et aux finances publiques

Impact sur l'activitéSelon plusieurs économistes interrogés par l'AFP, un confinement d'un mois, avec un niveau de restrictions globalement similaire à celui observé en novembre, amputerait le produit intérieur brut (PIB) d'environ un point, soit un peu plus de 20 milliards d'euros, sur l'année.Sachant que le couvre-feu pénalise déjà l'activité, "le premier trimestre sera certainement un trimestre de récession", avance Ludovic Subran, chef économiste de l'assureur Allianz.Selon le ministère de l'Économie, le confinement pourrait entraîner une perte mensuelle d'activité allant de 10 à 18% par rapport au niveau d'avant la crise. En novembre, l'activité avait baissé de 12% par rapport à son niveau de fin 2019 et en avril, de plus de 30%.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a aussi reconnu mercredi qu'en cas de nouvelles mesures de restrictions, "bien entendu, nous aurons une croissance qui ne pourrait pas atteindre les 6% en 2021", comme le prévoit pour l'instant le gouvernement.Nouvelles dépenses et pertes de recettesActuellement, avec le couvre-feu à 18H00, "les aides coûtent environ 6 à 7 milliards d'euros par mois à l'État", montant auquel il faut ajouter les pertes de recettes fiscales, ce qui conduit à plus de 10 milliards d'euros, selon le député LREM et rapporteur général du budget à l'Assemblée Laurent Saint-Martin."En confinement, si on est sur le format du mois de novembre dernier, cela va probablement coûter encore plus cher (...) ça peut approcher les 15 milliards d'euros toutes dépenses et non-ressources confondues", a-t-il affirmé sur Radio J dimanche dernier.Les trois principales mesures de soutien mises en place par le gouvernement sont le fonds de solidarité pour les entreprises, la prise en charge du chômage partiel et les exonérations de charges.Pour le mois de novembre par exemple, le gouvernement a dépensé plus de 4 milliards d'euros au titre du fonds de solidarité, et l'addition pourrait encore monter car les entreprises ont jusqu'au 31 janvier pour en faire la demande.Le chômage partiel a concerné 3,1 millions de salariés en novembre pour un montant de 2,3 milliards d'euros, selon les chiffres de la Dares.A cela s'ajoutent de possibles aides supplémentaires pour soutenir les secteurs qui restent très touchés par la crise. Bruno Le Maire a ainsi évoqué mercredi au Sénat la possibilité de convertir certains prêts garantis par l'État en subvention, si Bruxelles donne son feu vert.Comment l'État va financer ces aidesLe gouvernement a été "prévoyant" en 2020, a affirmé à plusieurs reprises Bruno Le Maire. De fait, sur le budget prévu pour financer les aides, 28,8 milliards d'euros n'ont pas été dépensés l'an dernier. Cette enveloppe est donc disponible pour cette année, même si environ 9 milliards sont déjà préemptés pour financer les aides attribuées au titre de 2020, mais qui n'ont pas encore été payées.La semaine dernière, le ministre avait indiqué qu'à situation sanitaire constante, le gouvernement pouvait "tenir 3 mois et demi" sans avoir besoin de réabonder le budget 2021.Mais en cas de reconfinement, il faudra en passer par un projet de loi de finances rectificative.Il pourrait survenir "probablement à la fin du premier trimestre (...) fin mars-début avril, mais cela peut-être accéléré en fonction des besoins", selon Laurent Saint-Martin.
Il y a 4 ans et 137 jours

Le n° 2 de “Monuments & Patrimoine” est sorti

La nouvelle revue “Monuments & Patrimoine” fait la part belle à tous les édifices, connus ou méconnus de France. Le n° 2 vient de sortir. [©DR] Les monuments sont un lien entre les générations, une trace dans l’histoire. Certains sont si emblématiques qu’ils sont associés à un lieu, une ville ou même un pays. Ils ont indéniablement un attrait touristique. La nouvelle revue “Monuments & Patrimoine” fait la part belle à tous ces édifices, connus ou méconnus de France. On trouve aussi bien de monuments (château de Cheverny, tour Eiffel) que contemporains (Cité du Vin, à Bordeaux, Opéra de Lyon). Pour ce qui concerne notre thématique “béton”, la 2e édition de “Monuments & Patrimoine” est l’occasion de découvrir un portrait de Le Corbusier, le projet fou de la construction du Palais idéal du facteur Cheval ou la visite de l’église Notre-Dame-des-malades, à Vichy, temple de l’Art déco où domine le béton… Un nouveau magazine à soutenir… En kiosque, 6,90 €
Il y a 4 ans et 137 jours

3 acteurs majeurs s'associent pour faciliter le renouvellement du parc de chaudières à gaz et réduire la consommation énergétique des ménages

L'opération Coup de Pouce Chauffage du ministère de la Transition écologique et solidaire encore active en 2021 permet d'offrir un financement extrêmement attractif, pouvant aller jusqu'à la totalité du montant des remplacements, pour des travaux engagés jusqu'à la fin de l'année. 2021 devrait être la dernière année pour bénéficier du Coup de Pouce Chauffage du ministère de la Transition écologique et solidaire pour ce type d'opération.L'objectif du partenariat entre Chaffoteaux, Cheminées Poujoulat et Sonergia est de faire bénéficier de cette offre à de nombreux bailleurs et gestionnaires de parcs de logements, grâce à la mobilisation d'un large éventail de services et d'équipements : conduits d'évacuation, chaudières, financement et suivi administratif. Déjà plus de mille foyers ont bénéficié du partenariat.« Remplacer des chaudières à condensation implique le surcoût, souvent oublié, du remplacement des systèmes d'évacuation de fumées. Ce partenariat permet à la fois d'aider les maîtres d'ouvrage à passer outre cet obstacle et d'œuvrer à la réduction de l'impact environnemental de leurs logements. »Jean Louis Prost, Directeur des ventes et du développement Chauffage de Poujoulat« Ce partenariat est une très belle opportunité pour les bailleurs de valoriser leur parc de logements et d'améliorer le confort quotidien de leurs locataires grâce au système de régulation très performant de nos chaudières »Félix Cazères, Responsable prescription secteur résidentiel de Chaffoteaux« Nous sommes très heureux de cette association avec deux fleurons historiques de l'industrie du chauffage. Ce partenariat va permettre le déploiement d'équipements performants auprès de ménages logés par des bailleurs ou des résidents de copropriétés qui pourront réduire leur consommation de gaz avec un gain direct sur leur facture.»Franck Annamayer, président de Sonergia et cofondateur du GPCEE
Il y a 4 ans et 137 jours

AJAP 2020 : Les lauréats

Le jury de la session 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes s’est tenu les 14 et 15 janvier 2021 en adaptant ses modalités à la crise sanitaire. Placé sous la présidence de la ministre de la Culture, il était coprésidé par Jacqueline Osty, paysagiste, Grand Prix national du paysage 2018 et Grand Prix national de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 137 jours

Figure de proue boulevard Brune à Paris, un conservatoire signé Bruno Mader

Bruno Mader a livré en novembre 2019 le nouveau conservatoire du XIVe arrondissement de Paris. L’ouvrage de quatre étages sur rez-de-chaussée – surface 4056 m² / 2410 m² SU ; montant des travaux : 13.9 M€ HT – compte, outre un Grand Studio, un studio d’art dramatique et une salle d’orchestre, tous les équipements associés à sa […] L’article Figure de proue boulevard Brune à Paris, un conservatoire signé Bruno Mader est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 137 jours

Capremib : Etre encore plus réactif

Clément Blanc, directeur général de Capremib-Cibetec : « Nous sommes de plus en plus engagés sur la voie du bas carbone ». [©ACPresse] Pour Capremib, l’année 2020 a été celle des grandes évolutions. Et le programme a été chargé. Entre l’intégration du BIM, la mise en service d’une centrale à béton dédiée aux Bfup et la signature d’un partenariat avec HGCT, les changements s’annoncent profonds. « La préfabrication, c’est un puzzle pour les chantiers. » Ainsi Clément Blanc, directeur général de Capremib et Cibetec, définit-il le travail de l’industrie du béton. Aussi et malgré le développement du BIM, les plans fournis par les entreprises ne sont pas toujours exploitables en usine de préfabrication. « Les bureaux d’études réalisent le dimensionnement des pièces et non des dessins exploitables en atelier. Les clients ne sont pas des spécialistes de la préfabrication, d’où des décalages entre leurs besoins et nos impératifs techniques. » A vrai dire, les contraintes de la préfabrication ne sont pas intégrées au BIM. C’est pour combler ce manque que Capremib vient d’adopter le BIM au sein de son bureau d’études. « Nous serons pleinement opérationnels dès le début de l’année 2021 », confirme Clément Blanc. Trois postes sont, d’ores et déjà, équipés du logiciel Tekla Structures de Trimble. « A présent, nous sommes en mesure de recevoir les plans BIM de nos client. Et de leur proposer des solutions plus lisibles. La visualisation 3D est aussi très utile pour bien comprendre les pièces en préfabrication. » Une centrale dédiée aux Bfup Surtout, Tekla Structures va faciliter le travail de Capremib autour des plans BIM, que l’industriel pourra compléter à loisir selon ses propres impératifs. Et sans devoir repartir de zéro. La division Cibetec, spécialiste des bétons architectoniques, profitera de la technologie BIM du bureau d’études Capremib. De même que les projets clients non encore développés en BIM. Et puis, cette technologie permettra d’aller plus loin. Comme d’indiquer le bilan carbone des pièces préfabriquées directement dans les données BIM. « Le délai est notre meilleur allié, reprend Clément Blanc. La préfabrication est un travail en temps masqué pour le chantier. Avec le BIM, nous sommes en mesure d’être encore plus réactifs. » L’autre porte d’entrée vers une meilleure réactivité se situe dans l’atelier. Là, Capremib vient d’inaugurer une nouvelle centrale à béton, installée dans un bâtiment neuf et isolé de 250 m2. « Cet équipement est dédié à la production de Bfup et de bétons fibrés. C’est une centrale d’ingénierie qui nous permettra aussi de tester de nouvelles formules, de réaliser des bétons spéciaux en petites quantités. » Un partenariat avec HGCT L’installation s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, d’une capacité de 1 500 l. C’est BSC qui en a assuré la fourniture, mais aussi la conception et la construction de la centrale à béton dans son ensemble. Côté matériaux, Capremib a opté pour le BSI du groupe Eiffage. Outre l’intégration du Bfup dans ses process de production, Capremib a signé un accord avec l’industriel du ciment Hoffmann Green Cement Technologies. L’objectif ici est de permettre une accélération vers la transition écologique, tout en luttant contre la mauvaise image du béton auprès des non-initiés… « Avec HGCT, nous pensons aller plus vite, car ils sont en pointe sur ces sujets », insiste Clément Blanc. Capremib a signé pour la fourniture du ciment décarboné H-UKR, même s’il n’est pas encore “qualifié” génie civil. « C’est un premier pas dans ce sens, pour eux comme pour nous. » Aussi, les premières utilisations de ce ciment se feront dans les écrans acoustiques. Des petits ouvrages d’art, à leur niveau…, qui intéressent les collectivités. Alors proposer des éléments plus vertueux vis-à-vis de l’environnement, réduits en carbone, permet de se démarquer face à la concurrence. « Ce choix de l’H-UKR, c’est aussi un moyen efficace pour mettre au défi les autres industriels du ciment », conclut Clément Blanc.
Il y a 4 ans et 138 jours

La CAPEB, la FFB et l'OPPBTP lancent le site internet des Règles de l'art pour réduire l'exposition au risque amiante lors de travaux en sous-section 4

Pour cette raison, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP, avec le soutien du PACTE et de l'Etat, ont uni leurs efforts afin d'élaborer les « Règles de l'art des travaux courants d'entretien et de maintenance sur matériaux amiantés dans les bâtiments » (sous-section 4).Le projet « Règles de l'art Amiante » s'appuie sur le geste métier et les retours d'expérience pour proposer des modalités d'intervention sur matériaux et produits contenant de l'amiante dans le cadre de travaux en sous-section 4. Afin de promouvoir ces solutions opérationnelles auprès du plus grand nombre de professionnels, les partenaires ont développé des outils simples, accessibles et pédagogiques, désormais mis à disposition sur un site internet dédié : www.reglesdelartamiante.fr.Accompagner l'ensemble des professionnels sur les travaux en sous-section 4 (SS4)En matière d'intervention sur des matériaux ou produits contenant de l'amiante (MPCA), chaque entreprise est tenue de former ses équipes et d'établir des modes opératoires pour la réalisation des travaux conformément à la réglementation du travail. Si les entreprises certifiées pour le retrait de matériaux et produits amiantés sont aguerries, cette tâche s'avère particulièrement complexe pour la majorité des entreprises du bâtiment, dont le cœur de métier n'est pas les interventions sur matériaux amiantés. Les Règles de l'art Amiante visent ainsi à accompagner ces entreprises formées en sous-section 4 (intervention d'entretien et de maintenance des matériaux et produits contenant de l'amiante) afin qu'elles s'approprient les gestes de prévention amiante, en complément de leur gestes « métier ».Né de discussions au sein du Plan Recherche et Développement Amiante (PRDA), le projet est piloté par l'OPPBTP, en partenariat avec la CAPEB et la FFB. Il est par ailleurs soutenu par les pouvoirs publics (DGT, DHUP) et par le Programme d'Action pour la qualité de la Construction et la Transition Energétique (PACTE).Définir des modalités d'intervention en se basant sur les gestes métiers et le retour d'expérienceLes Règles de l'art Amiante s'inscrivent aussi dans la continuité de la campagne « Pas formé, pas toucher » et du projet CARTO Amiante initié en 2014 par la profession, piloté par l'OPPBTP en partenariat avec la Direction Générale du Travail et l'INRS, qui a permis d'établir une cartographie représentative de l'empoussièrement amiante des processus de travail les plus courants du BTP en sous-section 4 (SS4). Les Règles de l'art Amiante ont pour vocation de rendre plus concrètes les préconisations issues de ces mesures en les mettant en œuvre de manière opérationnelle sur les chantiers. Elles décrivent ainsi des modalités d'intervention reconnues et validées que les entreprises pourront s'approprier.Afin de faire de ces modalités d'intervention de véritables pratiques de référence, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP ont travaillé sur une vingtaine de situations courantes lors d'interventions d'entretien et de maintenance en SS4. Celles-ci concernent des métiers représentatifs du secteur : couvreurs, peintres / soliers, façadiers, plâtriers, maçons, plombiers, électriciens et carreleurs.Des groupes de travail composés d'experts de l'OPPBTP et de représentants de quatre entreprises volontaires de même métier, recrutées par la CAPEB et la FFB, ont établi les premières versions de ces Règles de l'art, basées sur les retours d'expérience et la réflexion de ces groupes d'entreprises réunis dans huit régions distinctes.Ces travaux ont ensuite reçu l'approbation d'un Comité réunissant des représentants de la filière construction (CAPEB, FFB, AQC, USH et UNSFA), des préventeurs (OPPBTP), des assureurs (FFA), et des pouvoirs publics (DGT et DHUP).Un site internet complet pour diffuser les solutions opérationnelles au plus grand nombreAfin de rendre les Règles de l'art accessibles au plus grand nombre d'intervenants formés en SS4, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP lancent le site internet dédié www.reglesdelartamiante.fr. Intuitif et offrant un accès facile aux solutions opérationnelles, le site répertorie en libre accès, sur PC et mobile, l'ensemble des modalités d'intervention établies sous forme de fiches pratiques « Règles de l'art Amiante ». Celles-ci sont accessibles grâce à une recherche par métier, par technique ou à l'aide d'un moteur de recherche intelligent.Aujourd'hui, une dizaine de fiches correspondant à différentes interventions sont déjà disponibles. Simples et pédagogiques, elles détaillent chaque modalité d'intervention sur MPCA par des illustrations particulièrement axées sur le geste métier, afin d'en favoriser une appropriation optimale. Ainsi, les professionnels retrouvent sur chaque fiche un listing du matériel, des consommables et des EPI nécessaires à chaque situation, suivi des grandes étapes d'une intervention : la préparation, l'intervention en elle-même, le repli et la décontamination.Afin de favoriser le partage des bonnes pratiques, chaque fiche peut être téléchargée en format PDF, imprimée ou envoyée directement par mail à un collaborateur.Destiné à évoluer, le site internet sera progressivement enrichi de nouvelles fiches. Il sera également complété de deux modules de mise en situation en « serious game », permettant aux intervenants de visualiser et de s'approprier les Règles de l'art Amiante SS4 avant une intervention ou lors d'une formation.Faire évoluer les modalités d'intervention sur matériaux et produits amiantésLes fiches Règles de l'art Amiante s'appuient sur les résultats et les innovations techniques issus notamment des travaux du PRDA et de la CEVALIA.Ces nouvelles solutions opérationnelles permettent d'adapter les moyens de protection collective et les équipements de protection individuelle nécessaires à chaque type d'intervention. C'est le cas en particulier des « fiches d'intervention ponctuelle », dédiées à des interventions de courte durée, non répétitives et de faible empoussièrement, pour lesquelles, en raison des très faibles empoussièrements constatés, un seul opérateur est requis, avec des moyens d'intervention, de repli et de décontamination plus simples à mettre en oeuvre. Ces fiches permettent de poursuivre l'ambition pédagogique de sensibiliser les professionnels quant à la nécessité absolue de mettre en place des mesures de protection dès lors qu'ils interviennent en présence d'amiante.« Près des 2/3 de notre chiffre d'affaires sont réalisés en entretien et amélioration de bâtiment. Dans des proportions quasiment identiques, ces travaux sont réalisés par les entreprises artisanales. On peut en déduire que toutes nos entreprises peuvent être un jour ou l'autre confrontées au problème de l'amiante. Notre devoir était de les accompagner dans une démarche vertueuse et réglementaire et, dans un premier temps sur le chantier même, de préserver la santé des chefs d'entreprises et de leurs compagnons. Ce que le PACTE nous a permis de faire est vraiment accessible à tous, dans la clarté et la simplicité. C'est un bel exemple d'actions conduites dans la filière, et nous allons faire une large promotion dans notre réseau de ce site internet. »Cécile Beaudonnat, cheffe de file de la CAPEB pour les questions de Santé-Sécurité au travail« Dans le cadre réglementaire existant, notre souhait est que les règles de l'art amiante en sous-section 4 permettent une meilleure approche de ce sujet très complexe pour nos métiers. Les éléments mis à disposition ne pourront que faciliter cette prise en compte. Tous ces travaux ne seront bien évidemment utiles que si les entreprises sont sensibilisées et formées.»Frédéric Reynier, Président de la Commission prévention de la FFB« Notre ambition est d'assurer un haut niveau de protection des professionnels tout en leur faisant gagner un temps précieux et en réduisant les aléas de chantiers, les délais et les coûts d'intervention. Les Règles de l'Art Amiante associent conseils professionnels et pédagogie et conjuguent ainsi prévention et performance des entreprises. »Paul Duphil, Secrétaire général de l'OPPBTP