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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 215 jours

ABUS – Des systèmes de sécurité sur-mesure dédiés aux administrations publiques

Les administrations publiques, centrales aussi bien que locales, comptent de nombreux services dont les accès sont réservés à différentes catégories de personnes. Pour organiser les flux et gérer au mieux les autorisations d’entrée, la solution la plus pertinente consiste à mettre en place des organigrammes. Fabricant et fournisseur mondial de solutions de sécurité innovantes, ABUS propose des organigrammes de cylindres de qualité, adaptés au degré de protection recherché et capables de répondre aux éventuelles extensions structurelles ou fonctionnelles d’un bâtiment. Fondée en 1924, l’entreprise familiale ABUS conçoit et fabrique des produits de haute qualité. La marque allemande met son expertise au service de trois domaines d’activité – domicile, deux roues et bâtiments, incluant les sites complexes dotés de plusieurs accès – avec toujours la sécurité comme dénominateur commun. À l’ère du renforcement de la sécurité, les organigrammes ABUS constituent une manière pour les administrations publiques d’optimiser leur politique de protection. ABUS propose une offre complète de produits de haute qualité idéale pour les collectivités, quelles que soient leurs exigences en matière de sécurité : – Cylindres de porte et organigrammes – Contrôle d’accès – Système de vidéosurveillance – Système d’alarme – Sécurisation de matériel   Cylindres et organigrammes ABUS ABUS fourni des solutions de verrouillage exceptionnellement flexibles et offre un contrôle efficace des clés. Les différents systèmes permettent l’accès par : • Un seul passe général, ou clé principale, ouvrant tous les cylindres de l’organigramme, • Un passe partiel, ou clé secondaire, assurant l’ouverture d’un ensemble de portes, • Une clé individuelle, ne pouvant ouvrir qu’un seul accès. L’efficacité des systèmes repose essentiellement sur la façon dont est conçu l’organigramme. ABUS propose donc un accompagnement complet avec audit gratuit du site à sécuriser. Réalisé par un expert ABUS, cet audit sert à guider les administrations dans la création de leur organigramme et le choix des cylindres. Il les aide aussi dans leur projet d’extension des plans d’organigrammes. L’expertise ABUS accompagne également la mise en œuvre des organigrammes mécatroniques combinant cylindres mécaniques et cylindres électroniques.   Des emballages de qualité Pour un gain de temps à la pose et au contrôle, les organigrammes ABUS de 9 à 100 cylindres sont livrés, sans frais supplémentaires, dans un emballage VARIO. Ce dernier est identifié par une étiquette indiquant les positions des cylindres dans l‘organigramme. Il convient à tous types de cylindres européens. Les plus : • Boîte compacte • Calages renforcés • Étiquettes de variures et repères • Clés passes dans un emballage individuel   Cylindres mécaniques et organigrammes ABUS Sécurité maximale, gestion efficace et adaptative, gain de temps Le cylindre est au cœur de la sécurisation de toute porte ou point d’accès. Outre la solidité et la polyvalence du cylindre en lui-même, la gestion et le déploiement efficaces et pérennes du système de clés sont essentiels pour garantir sécurité, confort et flexibilité dans les bâtiments. Les cylindres mécaniques ABUS sont des produits de haute qualité, “made in Germany”, dotés d’une technologie de pointe. Ces systèmes de fermeture sont brevetés, ce qui leur confère un haut niveau de sécurité contre la reproduction illicite des clés, les extractions et autres actes malveillants. Dans cette gamme, le Modular MX ABUS se distingue par sa flexibilité. Champion de la modulation et du gain de temps, le cylindre Modular MX permet d’ajuster sur site la longueur d’un cylindre avec des éléments intermédiaires adaptables à toutes les épaisseurs de porte. Les allonges sont disponibles dans des longueurs de 5 à 40 mm, afin de moduler le cylindre facilement et sans outil. Le cylindre permet ainsi de réagir rapidement aux situations rencontrées sur site et de gagner en autonomie en s’affranchissant des problèmes de stock, car la taille du cylindre est adaptable sur l’instant avec les allonges MX. Sûr et rapide, le système Modular MX ABUS s’ajuste en quelques gestes à la longueur de cylindre souhaitée. La longueur de base de 30/30 mm est extensible, des deux côtés, jusqu’à 200 mm maximum (40/160, 100/100), ce qui assure une flexibilité maximale. Une seule vis de fixation suffit pour ajuster la longueur. L’insert anti-perçage en acier inoxydable hautement résistant et les goupilles en acier trempé à l’intérieur du cylindre offrent en série une protection élevée. L’alésage fileté modulaire en acier inoxydable assure une protection anti-extraction supplémentaire. Le système Modular MX est disponible pour les systèmes de fermeture BRAVUS, VITESS et ZOLIT ABUS.   Cylindres électroniques ABUS Un contrôle flexible pour sécuriser les accès Les cylindres électroniques ABUS apportent une vue d’ensemble sur les accès des bâtiments : profils horaires, gestion des autorisations à distance via une application… Ces systèmes de contrôle offrent de nombreuses possibilités pour déverrouiller la porte : un code, une clé ou un badge. Avec les cylindres électroniques ABUS, les problèmes liés à la perte des clés, qui faisaient perdre beaucoup de temps, sont désormais résolus. De plus, les cylindres électroniques peuvent être étendus à tout moment (à l’instar du système mécanique modulaire), s’insérer dans un organigramme mécanique, ou  être complétés par d’autres systèmes de sécurité tels que les systèmes d’alarme ou de vidéosurveillance. Faciles à installer, les cylindres électroniques CodeLoxx à code ou à badge ABUS s’adaptent à toutes les portes. Grâce au logiciel gratuit ABUS Key Manager, la création d’organigrammes, même les plus compliqués, devient un jeu d’enfant. Le logiciel permet d’attribuer un droit d’accès personnalisé, des plages horaires d’accès, ou encore de consulter l’historique des accès. • Le CodeLoxx à code ABUS (jusqu’à 511 codes) protège efficacement contre l’intrusion, et offre un confort de vie sans clé en saisissant son code au niveau du bouton. Avec le code, il est toujours possible d’entrer, même en cas de perte de clé ou de porte qui claque. Programmer de nouveaux codes et/ou les effacer est possible à tout moment. Un code pour des artisans qui effectuent des travaux pourra donc être supprimé à la fin du chantier. Parallèlement au code d’accès, il est possible d’utiliser une clé électronique ABUS, également programmable. Les clés peuvent ainsi être dotées de droits d’entrée variables. • Le CodeLoxx Proximity ABUS fonctionne avec un badge qui, présenté devant la tête de lecture, enclenche le cylindre. Il peut être programmé à l’infini et stocker un historique des mille derniers événements.Programmer des badges utilisateurs est très simple : la clé de programmation est introduite dans la serrure, puis le badge est passé sur la tête de lecture du bouton extérieur pendant 2 secondes. Effacer ou reprogrammer des badges s’avère tout aussi facile. Comme pour les badges, plusieurs clés électroniques ABUS peuvent être programmées pour donner des droits d’entrée variables. Le CodeLoxx Proximity autorise la programmation de 511 badges ou clés ABUS.   La mairie de Brunoy choisit ABUS pour sécuriser ses bâtiments La mairie de Brunoy, commune de l’Essonne en Île-de-France, a sollicité ABUS pour l’accompagner dans son projet de mise en place d’un centre service qui devrait se déployer sur 35 bâtiments communaux. Le projet pilote a été réalisé au sein d’un groupe scolaire comprenant une école maternelle, une école primaire et un centre de loisirs. Ce projet porte sur la sécurisation de 87 portes intérieures et extérieures. Étant déjà équipée de cylindres ABUS, la mairie a souhaité poursuivre avec les produits de la marque afin de gagner en autonomie, et a décidé d’investir dans une machine de taillage de clés (FUTURA PRO). Ainsi, le profil des clés utilisé pour les précédentes installations sera dupliqué afin de garder un modèle unique permettant une économie de temps et d’argent. Les cylindres ABUS équiperont 2 800 portes Pleinement satisfaite des produits ABUS, la commune de Brunoy envisage de déployer le projet pilote sur d’autres bâtiments, et ainsi d’équiper les 35 bâtiments communaux (soit un total de 2 800 portes). « Nous avons fait le choix de créer un centre service dans la commune pour gagner en indépendance et en réactivité. Nous avons donc fait appel à ABUS, et en sommes pleinement satisfaits lorsque nous constatons le gain de temps et l’économie que nous procurent ses solutions. Déjà équipés de cylindres ABUS pour leurs qualités, nous avons décidé d’utiliser exclusivement ces cylindres pour la réalisation et l’extension de nos organigrammes », confirme un responsable magasin de la commune de Brunoy.
Il y a 4 ans et 215 jours

Dotation exceptionnelle : le CMN engagera d’importants chantiers de restauration en 2021

Dans le cadre du plan de relance, le Centre des monuments nationaux bénéficiera d’une dotation exceptionnelle de 40 millions d’euros pour soutenir le patrimoine et valoriser les métiers d’art et les savoir-faire d’excellence à travers la restauration de monuments historiques qui lui ont été confiés en gestion par l’Etat. Ce sont ainsi quatorze monuments du réseau du CMN qui seront concernés à partir de 2021. Il est prévu : – La restauration des remparts nord du château d’Angers – Maine-et-Loire (6,5 M€ / d’avril 2021 à décembre 2022) ; – La restauration des façades du palais du Tau à Reims, dans le cadre d’un programme de restauration complet du bâtiment et d’aménagement d’un nouveau parcours de visite – Marne (2,5 M€ / de fin 2021 à fin 2022) ; – L’achèvement de la restauration des façades et toitures de la « Merveille » de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, engagée grâce à une première subvention du ministère – Manche (1 M€ / du 1er trimestre 2021 à décembre 2022) ; – La restauration de la dernière partie du chemin de ronde des remparts de la cité de Carcassonne, permettant au public d’effectuer un tour complet du circuit des remparts – Aude (4,5 M€ / à partir de mai 2021) ; – L’aménagement, avant les épreuves des Jeux olympiques de 2024, d’un nouveau ponton, de nouveaux espaces d’accueil et d’un restaurant au château d’If – Bouches-du-Rhône (6 M€ / en 2022) ; – La restauration de l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue et l’aménagement d’un musée exposant l’importante collection de peintures des époux Brache-Bonnefoi – Tarn-et-Garonne (3 M€ / de janvier 2021 à avril 2022) ; – La restauration de la contrescarpe du château de Villeneuve-Lembron – Puy-de-Dôme (2,2 M€ / de septembre 2021 à novembre 2022) ; – La restauration, en vue de son ouverture au public, de la terrasse nord du château de Cadillac – Gironde (3 M€/ de mai 2021 à l’été 2022) ; – La restauration de la charpente, de la toiture et des souches de cheminées du château de Montal – Lot (2,9 M€ / de mai 2021 jusqu’à décembre 2022) ; – La restauration du « logis du gouverneur » et l’aménagement des espaces d’accueil et d’un parcours d’introduction à la visite pour les tours et remparts d’Aigues-Mortes – Gard (1 M€ / de septembre 2021 à septembre 2022) ; – L’achèvement de la restauration de la caserne Rochambeau de la place forte de Mont-Dauphin – Hautes-Alpes (3,6 M€ de septembre 2021 jusqu’à début 2023) ; L’achèvement de la restauration de l’aile Sarcus du château de Bussy-Rabutin – Côte-d’Or (1 M€ / jusqu’à fin 2021) ; – La restauration des façades et toitures de l’aile des Preuses, de la tour Alexandre et la tour Godefroi de Bouillon du château de Pierrefonds – Oise (2 M€ / jusqu’à fin 2023) ; La restauration de la chambre de l’Evêque du château de Carrouges – Orne (1 M€ / de 2021 à 2022) Quant au château de Villers-Cotterêts, il bénéficie dans le cadre du plan de relance d’une enveloppe spécifique supplémentaire de 100 millions d’euros (qui s’ajoutent aux 85 millions déjà prévus), destinée à la création, dans le château restauré, de la Cité internationale de la Langue française. Le CMN poursuit par ailleurs les chantiers déjà engagés, notamment la restauration de la Colonne de Juillet de l’Hôtel de la Marine à Paris, la restauration du pavillon du roi du château d’Oiron, ou encore l’aménagement du musée du site archéologique d’Ensérune. Les opérations de restauration prévues en 2021 dans le cadre du programme d’investissement de l’établissement, comme la restauration de la toiture de la chapelle du château d’Aulteribe, ou la restauration du château de Vincennes (restauration du châtelet, de la barbacane est, des ponts-levis, du pont-dormant et des pavillons) seront engagées comme prévu.
Il y a 4 ans et 215 jours

Une chapelle démolie, un palais sauvé, émoi des défenseurs du patrimoine

La chapelle de l’ancien collège Saint-Joseph à Lille, édifiée à la fin du XIXe siècle dans un style éclectique, est la propriété de JUNIA (ex-Yncrea), grande école d’ingénieurs, membre la Fédération universitaire et pluridisciplinaire de Lille (dite « la Catho »). Désaffectée depuis de nombreuses années et dans un état très dégradé, elle a fait l’objet d’un permis de démolir délivré par la maire de Lille, dans le cadre du projet de réaménagement du site du collège destiné à accueillir une partie du nouveau campus de JUNIA. Ce permis de démolir a été assorti de prescriptions de l’architecte des bâtiments de France en matière de conservation et de réutilisation de certains éléments mobiliers. La perspective de cette démolition a suscité une certaine émotion et conduit des opposants au projet à demander au ministère de la Culture l’ouverture d’une instance de classement au titre des monuments historiques de l’édifice, qui aurait légalement entraîné la suspension, pour un an, du chantier, le temps que les instances compétentes se prononcent sur l’opportunité d’un classement définitif de l’édifice. Après une étude approfondie du dossier et de nombreuses discussions avec le porteur de projet, le ministère de la Culture a estimé que les conditions d’une mise en instance de classement de la chapelle n’étaient pas réunies. Il a constaté l’impossibilité d’intégrer, au stade actuel de son développement, la conservation de la chapelle dans le projet de réaménagement de l’ensemble immobilier, qui doit permettre de porter à terme la capacité d’accueil du nouveau campus de 5 000 à 8 000 étudiants. Renoncer à la démolition de la chapelle impliquerait donc de devoir abandonner un projet important pour le développement de l’enseignement supérieur, qui représente un investissement de 120 millions d’euros. Pour le ministère, l’intérêt patrimonial de la chapelle n’était pas suffisant pour justifier, à l’issue de l’instance de classement, un classement définitif : de sorte que si la mise en instance de classement avait été décidée, cela n’aurait fait que repousser l’échéance d’un an, sans permettre de « sauver » l’édifice. Le porteur de projet s’est par ailleurs engagé à déposer et à réemployer des éléments de décor la chapelle Saint-Joseph, notamment des vitraux, en lien avec les prescriptions initiales de l’architecte des bâtiments de France et les échanges qui se sont poursuivis à l’initiative du ministère de la Culture. L’architecte Étienne Poncelet, inspecteur général honoraire des monuments historiques, regrette que le ministère oppose la sauvegarde de la chapelle à la restauration du palais Rameau. « Nous demandons qu’il y ait véritablement une synergie entre ces différents projets ». Le projet de nouveau campus intègre la restauration intégrale, avec le concours de l’Etat, du palais Rameau, édifice classé au titre des monuments historiques, actuellement sans utilisation et dont l’état est très dégradé. Le palais Rameau fera l’objet d’un bail emphytéotique consenti par la ville de Lille et deviendra un démonstrateur d’agriculture urbaine ouvert au public. Lors des discussions qui ont eu lieu ces dernières semaines, le ministère de la Culture a obtenu de la part du porteur de projet qu’il renforce significativement l’étendue des restaurations et la valorisation du lieu. Abandonner ce projet, ce serait renoncer aussi à la restauration et à la réutilisation de ce monument historique. C’est pour ces motifs que le ministère de la Culture a fait le choix de ne pas ouvrir d’instance de classement sur cette chapelle. En union avec plusieurs riverains et citoyens mobilisés pour la Chapelle Saint-Joseph, Urgences Patrimoine a, par l’intermédiaire de son avocat, déposé samedi 14 novembre 2020 un recours pour excès de pouvoir contre le courrier du 20 octobre 2020 par lequel le ministère de la culture a refusé de mettre l’édifice en instance de classement au titre de Monuments Historiques. Photo : https://www.lagazettedupatrimoine.fr/blog/  
Il y a 4 ans et 215 jours

OPTICLIP, nouveau luminaire éco-responsable à modules LED remplaçables de Sylvania

Respect de l’environnement, performance énergétique et réduction des coûts de maintenance sont autant de facteurs de plus en plus pris en compte pour déterminer les équipements des bâtiments tertiaires d’aujourd’hui et de demain. A la pointe de la technologie, Sylvania lance une solution unique sur le marché pour l’éclairage tertiaire (bureaux et salles de classe) : OPTICLIP, nouvelle gamme de luminaires éco-responsables à modules LED remplaçables offrant une facilité de maintenance optimale. Fabriquée dans l’usine Sylvania de Saint-Etienne, la gamme OPTICLIP concilie éco-responsabilité, performances et personnalisation pour s’adapter à tous les projets. NOUVELLE SOLUTION D’ECLAIRAGE ECO-RESPONSABLE Les luminaires OPTICLIP sont équipés de 2 modules LED amovibles clipsés à plat sur la surface du luminaire. Cette conception inédite, couplée à une simple connexion Plug and Play au driver permet de les remplacer facilement. Cette particularité en fait une solution d’éclairage éco-responsable puisque seuls les modules LED ou drivers défectueux sont changés. En commandant seulement ces pièces détachées, la maintenance est ainsi facilitée et moins coûteuse, un atout apprécié des exploitants de bâtiments tertiaires et d’enseignement. D’une durée de vie de plus de 60.000 heures (L80B10), les luminaires OPTICLIP sont garantis 5 ans, avec une extension de garantie possible de 5 ans en cas de changement des 2 modules LED et du driver, soit 10 ans au total. DESIGN, EFFICACITE & PERFORMANCES Au design discret, les luminaires OPTICLIP se fondent dans l’architecture intérieure des bâtiments. Développés pour des applications encastrées dans des plaques de plâtre à l’aide d’accessoires de montage à commander séparément, les luminaires de la gamme OPTICLIP sont recouvrables de laine de verre, sans risque de perte d’efficacité dans le temps. Ils peuvent également être suspendus au plafond. Associant une haute efficacité lumineuse (jusqu’à 129 lm/W) et un bon indice d’éblouissement (UGR
Il y a 4 ans et 215 jours

Une galerie rêvée 2/5 : Armelle Caron

Dans le hors-série « L’Architecture est un territoire » publié par L’Architecture d’Aujourd’hui et consacré au travail de l’architecte ...En savoir plus Cet article Une galerie rêvée 2/5 : Armelle Caron est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 215 jours

Un campus international des arts dans l’ancienne grande Ecurie du Roi du château de Fontainebleau

Le groupement International Arts Campus dont le projet a été sélectionné pour mener à bien la requalification du quartier des Héronnières et de son proche environnement, à l’issue de l’appel à projet lancé fin 2018 par l’établissement public du château de Fontainebleau. Cet ensemble patrimonial de premier plan, construit sous le règne de Louis XV par l’architecte Gabriel pour accueillir la grande Ecurie du Roi, a été affecté au ministère de la Guerre à la fin du Second Empire et sensiblement modifié pour répondre aux nouveaux usages du lieu. Occupé par le ministère de la Défense jusqu’en 2001, il a été transféré au ministère de la Culture puis rattaché au domaine national de Fontainebleau en 2006. Il est classé au titre des monuments historiques depuis 2008. Ce quartier est constitué de 11 bâtiments formant un quadrilatère entourant un bâtiment central d’une surface bâtie d’environ 12 000 m2. Il est situé sur la frange Sud-Est du domaine national, jouxte au sud-ouest la forêt domaniale et, à l’Est, les terrains militaires du clos des Ebats. Inoccupés parce que ne correspondant à aucun besoin, ni présent ni futur du château, soumis à des actes de vandalisme, les bâtiments se sont fortement dégradés, compromettant gravement leur sauvegarde. Dans l’attente de leur restauration, des mesures d’urgence pour les sécuriser et les mettre hors d’eau et hors d’air ont été prises entre 2014 et 2015. L’objectif poursuivi par l’établissement était de revitaliser ce quartier grâce à un projet porté par des investisseurs privés qui le sauveraient de la ruine en y installant des activités respectueuses de son cadre patrimonial et de la place qu’il occupe au sein du domaine. Novateur, respectueux du patrimoine et de son environnement, et économiquement viable, ce projet consiste à faire des Héronnières le cœur d’un campus international d’excellence dédié aux arts, au design et au management culturel. Interdisciplinaire et interculturel, il constituera un pôle d’enseignement et d’apprentissage, de co-création et d’innovation unique en son genre. A compter de 2025, si le calendrier des travaux le permet, il accueillera chaque année quelque 10 000 étudiants sur des cycles différenciés, dont 3 000 simultanément. Dotés d’un Master, ces étudiants proviendront d’universités étrangères installées sur tous les continents. Le campus proposera également des académies d’excellence et hébergera une résidence d’artistes et de startups culturelles. Le projet de campus international des Arts est porté par un groupement réunissant la SAS International Arts Campus, les architectes Francis Metzger (Agence MA2, Bruxelles) et Christian Marina (Agence MPA, Paris), l’entreprise spécialisée dans les monuments historiques Pradeau-Morin (groupe Eiffage), le constructeur-promoteur Pitch (groupe Altaréa Cogedim), des partenaires éducatifs, culturels et artistiques ainsi que des professionnels du secteur des industries culturelles et créatives.
Il y a 4 ans et 216 jours

Le Corbusier sauvée des eaux

L’emblématique péniche l’Asile Flottant aménagée en 1929 par le Corbusier et l’architecte japonais Maekawa vient d’être remise à flot. Elle avait sombré au fond de la Seine durant la crue de 2018. Ce renflouement a été rendu possible grâce à l’ADAN, une association de valorisation de l'architecture nippone à l'étranger. Après sa réhabilitation, cette embarcation amarrée quai d’Austerlitz sera exclusivement dédiée à la culture. Ouverture prévue en 2022.  Le 10 février...
Il y a 4 ans et 216 jours

Le street art fait sa révolution à Versailles, ville royale

"L'idée était d'embellir la ville par tous les moyens", argue l'instigateur de cette politique culturelle, François de Mazières, maire de Versailles depuis douze ans et passionné d'art. L'ancien président de la Cité de l'architecture et du patrimoine plaide pour l'art urbain, "le plus démocratique qui soit (...) qui se donne gratuitement à voir à tout le monde".L'élu espère notamment démontrer aux quelque 10 millions de visiteurs annuels du château de Versailles que la ville ne se résume pas à l'imposante bâtisse du XVIIe siècle.Ainsi, près de l'église où a été baptisé Louis XIV, des coulures noires esquissent des silhouettes sur les passages cloutés, clin d'oeil de l'artiste Emmanuel Braudeau à Jackson Pollock.Plus loin, des illustrations des Fables de la Fontaine égayent des armoires électriques, des trompe-l'oeil de magasins d'époque habillent les murs nus du centre-ville, une dizaine d'immenses fresques peintes par des artistes internationaux annoncent l'un des plus grands quartiers HLM de la ville, Bernard de Jussieu.Et au coin de certains immeubles ont fleuri d'ironiques châteaux, têtes couronnées voire... guillotinées, oeuvres à l'esthétique de jeu vidéo rétro du célèbre artiste Invader.D'abord "étonné" puis "réticent", François de Mazières salue finalement le travail facétieux du mosaïste, même s'il avertit: "La beauté de cette ville vient aussi du fait que depuis des siècles, il y a des règles qui s'appliquent"."Trop coloré"Une réglementation drastique dont le maire fait lui-même les frais et qui rend toute intervention sur cet "univers protégé (...) dérogatoire". "De temps en temps, les Architectes de France me disent non", s'amuse-t-il."Au départ, on m'a dit que mes oeuvres étaient un peu trop colorées pour la rue du Vieux Versailles", renchérit Cyklop, qui a peint 25 poteaux représentant des personnages historiques revisités en Lego, de Louise Michel à Madame de Maintenon en passant par Louis XV.Mais le maire ayant adhéré à leur esthétique pop, les potelets se sont taillé une place de choix dans la ville, à la grande joie des habitants, qui les trouvent "sympas", "rigolos" et "funs pour une ville ancienne comme Versailles"."A chaque fois qu'on fait quelque chose, on prend un risque", estime celui qui s'est déjà attiré les foudres de l'opposition, notamment en raison de la commande d'une oeuvre de 200.000 euros, un banc long de 90 mètres au sein du jardin des étangs Gobert.Mais d'un point de vue budgétaire, le maire se défend de toute démesure.Versailles est "une ville pauvre de gens riches", estime-t-il. Sur 2.600 hectares, 800 sont occupés par le château qui ne rapporte rien à la Ville, 450 par le ministère des Armées avec 2.500 logements de militaires et 350 à l'Office national des forêts.La surface dédiée aux activités économiques "est historiquement faible" dans la ville royale. C'est pourquoi les trompe-l'oeil sont réalisés par les étudiants des deux écoles d'art de Versailles, souvent dans le cadre de leur scolarité.De même, le coût des fresques du quartier HLM sont intégrés au budget de rénovation thermique des immeubles. "L'idée est que le fait d'investir artistiquement n'ait pas davantage d'impact économique", explique Mimouna Khaldi de Quai 36, qui représente les artistes muralistes étant intervenus dans le quartier Bernard de Jussieu.De la cité HLM au centre-ville historique, François de Mazières vante la diversité de quartiers de Versailles qui demeure "une ville incubatrice de la création artistique, y compris au XXIe siècle".
Il y a 4 ans et 216 jours

Effondrement sans précédent de la commande publique

Sous le double effet de la crise sanitaire et de la séquence électorale prolongée du printemps, les achats publics, en investissement et en services, connaissent un effondrement préoccupant. Au regard de la même période en 2019 (janvier à septembre), la commande publique des communes a chuté de 7 milliards (-37%) et celle des intercommunalités à fiscalité propre (communautés et métropoles) d’environ 2 milliards (-23%).C’est pour autant indiscutablement à l’échelle des communes et intercommunalités que se jouera l’essentiel de la relance en termes d’appels d’offre et de travaux. En concentrant 55% de l’ensemble des achats – poids inchangé depuis 2012 -leur rôle est déterminant dans la relance engagée par le gouvernement, tant en ce qui concerne la passation de marchés de prestations et de services, la poursuite des travaux de renouvellement, que des projets nouveaux portés par les équipes élues au printemps et au début de l’été.Tous les secteurs sont concernés : travaux neufs et surtout travaux de renouvellement sont durement touchés par la crise : respectivement -24% et -35% pour l’ensemble des acheteurs. Le secteur des services, qui était en forte progression ces dernières années, est également en repli en 2020.Engager le plan de relance au plus vite dans les territoiresDans ce contexte, l’AdCF se félicite des instructions enfin données par le gouvernement aux préfets de région et de départements (circulaire du 23 octobre 2020) pour engager les mesures du plan de relance dans les territoires, en combinant actions de court terme et mesures à plus longue échéance. Le mode d’emploi du plan était largement attendu par les intercommunalités de France.A l’occasion de son assemblée générale qui s’est tenue le 5 novembre à Paris, et au cours de laquelle ont été renouvelées ses instances nationales et sa présidence, les élus de l’AdCF ont réaffirmé leur volonté de s’engager activement dans la rel. L’AdCF va ainsi inciter l’ensemble des adhérents à accentuer leur mobilisation sur le terrain à travers leurs plans de relance locaux, si possible co-construits avec les acteurs économiques locaux (entreprises du BTP, industriels, agriculteurs, entreprises de proximité, délégataires de services publics, milieux associatifs, secteurs culturels et sportifs, professions du tourisme…)L’AdCF constate que nombre de plans de relance locaux sont déjà adoptés ou en cours d’adoption. Ils seront décisifs pour redonner de la visibilité aux acteurs économiques et faciliter les coordinations entre investissements publics et privés. Par leurs compétences opérationnelles de maîtrise d’ouvrage et leurs ingénieries, les métropoles et communautés ont un rôle majeur à jouer au plus près du terrain. Il leur reviendra notamment de porter des projets structurants en matière de développement économique et de réindustrialisation, d’équipement et d’usages numériques, d’efficacité énergétique et de transition écologique, de mobilités et de logement, de revitalisation du commerce et de l’artisanat …L’AdCF appelle également ses adhérents à aider leurs communes à relancer leurs propres politiques d’investissement et d’achat. Ces aides peuvent passer par des concours budgétaires mais aussi des appuis en ingénierie pour accélérer les passations de marché et la concrétisation des projets. C’est ensemble, en se coordonnant étroitement dans des plans d’investissement pluriannuels de territoires, que communes et intercommunalités contribueront le plus efficacement à la résilience des économies locales.
Il y a 4 ans et 216 jours

Projet du Campus Junia à Lille : une chapelle au coeur de la discorde

RECOURS. Au lendemain de l'officialisation par le Ministère de la Culture, ce 14 novembre, du rejet de la demande de classement monument historique de la Chapelle Saint-Joseph de Lille, l'association Urgence Patrimoine a annoncé avoir déposé un recours. La chapelle est vouée à la démolition dans le cadre du vaste chantier de construction du nouveau campus de l'école d'ingénieurs Junia (ex-Yncrea).
Il y a 4 ans et 216 jours

Dans un prestigieux quartier parisien, un hôtel surélevé de quatre niveaux

TRANSFORMATION. La remise aux normes et la surélévation de l'hôtel Wallace, situé dans le quinzième arrondissement de Paris, a été imaginée par Silvio d'Ascia Architecture.
Il y a 4 ans et 216 jours

Les noces de cinq ans ne laissent pas de bois

Ami(e)s lecteur(e)s. A Chroniques, nous en avons pris notre parti : on ne peut pas arrêter la pluie. On peut s’en protéger, avec un parapluie, avec des vêtements, avec un toit mais on ne peut pas arrêter la pluie. Alors, cinq ans déjà pour un magazine indépendant, en vie de chien, cela ferait combien ? 35 ans ? […] L’article Les noces de cinq ans ne laissent pas de bois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 216 jours

Avec le label E+C-, quand le politique fait l’âne, les architectes tenus de bêler ?

On s’habitue à tout, même aux imbécilités qui finissent, sans que nous en prenions conscience, par envahir notre vocabulaire quotidien, au point que l’on en oublie qu’il s’agit d’une imbécilité. Voyez par exemple comment les architectes et tous les acteurs de la construction se sont finalement habitués au label E+C-. Quatre ans déjà… Aujourd’hui, fin […] L’article Avec le label E+C-, quand le politique fait l’âne, les architectes tenus de bêler ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 216 jours

L’architecture empirique : attitude plutôt que latitude ?

Bâtir sans ni chauffage ni climatisation ? La mode est désormais à la frugalité, à la sobriété et à l’économie. Pourtant bien des solutions proposées concernent, sous nos latitudes tempérées, le confort d’été. Avec les immeubles 2226, l’agence Baumschlager Erbele (BEA) démontre pourtant que, même dans le Voralberg autrichien, l’architecture bioclimatique sait parer aux plus rigoureuses […] L’article L’architecture empirique : attitude plutôt que latitude ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 216 jours

L’UFME décrypte le marché de la fenêtre en France

Priorité aux entreprises du territoireHistoriquement partisane de la fenêtre française de qualité, l’UFME se satisfait de l’importance accordée à la provenance des produits. Alors que 89% des produits vendus sont fabriqués en France dont 21% dans les Pays de la Loire, berceau de la menuiserie, l’importation recule de 5,1% par rapport à 2017.Un marché prometteur marqué par la crise sanitaireGlobalement, la fenêtre ne déroge pas à la règle du marché du bâtiment. Les projets en rénovation dominent (67% dont 61% pour le résidentiel et 6% pour le non résidentiel). Les chantiers neufs (33%) concernent majoritairement le résidentiel (27%). Entre 2017 et 2019, le marché de la fenêtre affiche une croissance de 1,6% en volume, dans un contexte de rénovation atone du fait de la diminution des incitations fiscales et de la crise des gilets jaunes. Alors que l’année 2020 s’annonçait prometteuse, l’arrêt brutal des activités du 17/03 au 10/05/2020, lié à la crise sanitaire de la Covid-19, amène un recul de 22,9% en volume au premier semestre, tous chantiers et matériaux confondus.« La fenêtre constitue un marché prometteur pour le bâtiment. Je dirais que quand la fenêtre va, tout va ! Les études montrent au fil des années que les maîtres d’ouvrage sont de mieux en mieux sensibilisés au rôle qu’elle joue. Au-delà du confort, la fenêtre est un élément clé d’une rénovation énergétique réussie. Nous comptons sur la concrétisation du Plan France Relance pour soutenir nos activités et nos entreprises qui mettent tout en œuvre pour répondre à la demande par un service de proximité, une innovation forte, et une démarche environnementale renforcée. ».Bruno CADUDAL, Président de l’UFMEDes choix tournés sur les performances et le confortLes foyers français misent majoritairement sur le PVC (60%) qui multiplie les atouts en termes de performances d’isolation thermique et acoustique, d’esthétique, d’entretien, de labellisation… Le confort chez soi reste au cœur de leurs priorités. Plus d’une fenêtre sur deux vendue en 2019 présente un coefficient de transmission thermique Uw inférieur à 1,4. Ce haut niveau de performances thermiques est principalement porté par la fenêtre PVC, dont 82% d’entre elles affichent un Uw inférieur à 1,4. Côté finition, les choix restent traditionnels, se tournant vers du rectangulaire, du blanc et une ouverture à frappe à la française. Les innovations, initiées depuis ces dernières années par les fabricants de profilés et de fenêtres PVC, offrent aujourd’hui aux ménages français une multitude de couleurs, d’aspects et de textures qui permettent aux fenêtres PVC de s’adapter à toutes les envies et styles décoratifs. Autre critère de choix, l’assurance d’une fenêtre de qualité à travers les certifications et labels. La marque NF reste le marquage qualité le plus représenté dans l’univers de la fenêtre.Et la fenêtre type 2019 est…Installée en maison individuelle dans le cadre de travaux de rénovationEn PVCFabriquée par une usine française dans les Pays de la LoireMarquée NFAvec une ouverture à frappe à la françaiseDe forme rectangulaireMajoritairement blancheThermiquement performante (plus de 82% des fenêtres PVC dépassent les exigences requises par MaPrimeRenov’)* Étude réalisée entre mars et juillet 2020 pour l’UFME, le SNFA et l’UMB-FFB, avec le soutien financier du CODIFAB.
Il y a 4 ans et 216 jours

Eiffage sur la bonne voie d'une autoroute en Norvège

CONTRAT. Le groupe devrait signer en décembre 2020 un marché en conception-construction pour une tranche ferme de 7km. Une section additionnelle de 10km est également en jeu.
Il y a 4 ans et 216 jours

Un futur de plus en plus incertain pour les bureaux d’études techniques et les ingénieurs conseils

Si les entreprises adhérentes de CINOV sont moins nombreuses qu’en septembre à déclarer une baisse de leur CA sur un an (54% en octobre VS 69% en septembre) les prévisions restent très pessimistes : 52% des répondants prévoient encore une baisse de leur CA dans les trois prochains mois (+2 pts par rapport à septembre). Ces perspectives sont d’autant plus assombries que ces entreprises vont devoir subir les conséquences d’un nouveau confinement. Parmi les filières les plus touchées figurent l’architecture et l’urbanisme, le conseil en management, le secteur de l’acoustique ou encore celui de l’ergonomie.Les chiffres clés du baromètre CINOV pour octobre 202054% des adhérents CINOV déclaraient une baisse de leur CA en octobre 20209% des entreprises déclarent une baisse de CA de plus de 50%52% des TPE PME de la branche BETIC1 prévoient une nouvelle baisse de CA dans les 3 prochains mois62% des entreprises avec des salariés interrogées ont recours au télétravail13% d’entre elles déclarent envisager des licenciements économiquesUne crise qui s’enracine malgré des signes de repriseMalgré des signes de reprise encourageants par rapport au mois de septembre (54% des répondants déclarent une baisse de chiffre d’affaires au mois d’octobre : -15 points par rapport à septembre) plus de la moitié des TPE PME de la branche prévoient néanmoins une baisse de chiffre d’affaires pour les trois mois à venir. Si l’impact de la crise diffère en fonction des secteurs d’activité, les secteurs du conseil en management et celui de l’architecture et de l’urbanisme restent, à l’instar du mois de septembre, les secteurs les plus impactés, avec une baisse de plus de 50% de leur chiffre d’affaires. Paradoxalement, ce même secteur de l’architecture et de l’urbanisme prévoit tout de même une hausse de son chiffre d’affaires pour les trois mois à venir tout comme l’industrie et les technologies, le numérique et l’ingénierie.Des difficultés inchangées et des chefs d’entreprise de plus en plus soucieuxMalgré un mois d’octobre qui semblait plus prometteur que celui de la rentrée (10% des entreprises ont déclaré avoir enregistré une hausse de leur chiffre d’affaires sur la période contre 4% en septembre), la première vague de Covid-19 semble indéniablement laisser des traces au sein des entreprises de la branche BETIC1 qui peinent à redresser la barre et font face à des difficultés dont la nature ne change pas. Ces dernières restent identiques à celles évoquées en septembre et se renforcent :la baisse ou la renégociation des honoraires pour 6,4% des interrogés (+1 point vs septembre)la gestion de la trésorerie pour 15,7% du panel (+4 points vs septembre)l’imprévisibilité de l’activité pour 65,7% des répondants.Au regard de ces statistiques, 49% des dirigeants se déclarent, inquiets pour la pérennité de leur entreprise, inquiétude en nette augmentation par rapport au mois dernier (+11 points).Les entreprises s’adaptent, tentent de surseoir aux licenciements mais reportent les recrutementsLes conséquences encore ressenties de la première vague de Covid-19 couplées à la montée en puissance des chiffres du virus pour ce troisième quadrimestre ont contraint les TPE et PME de la branche à adapter leurs méthodes de travail. 62% des entreprises avec salariés sondées ont recours au télétravail et 15,5% à l’activité partielle. A noter que 67% des entreprises faisant appel à l’activité partielle souhaitent voir le dispositif perdurer après novembre, un bond de 27 points par rapport au mois d’octobre. Si l’APLD ne constitue toujours pas une solution pour la majorité du panel, le reconfinement pourrait rebattre les cartes. Enfin, si 63% des TPE PME n’envisagent pas de nouveaux recrutements, l’impact du coronavirus sur l’emploi reste heureusement encore mesuré puisque seulement 13% du panel envisagent des licenciements économiques.1La branche des Bureaux d’Études Techniques, Cabinets d’Ingénieurs Conseils et Sociétés de Conseils
Il y a 4 ans et 216 jours

Green New Deal ? Le siècle avait vingt ans et naissait le Bauhaus

Le « Green New Deal » propose un nouveau Bauhaus. Une nouvelle « route de l’architecture » ? Cependant, la fascination du Bauhaus pour l’industrie a ouvert la voie au mirage de l’autonomie et à la répétition comme outil de l’uniformisation. Tout est à refaire ? En octobre dernier, dans le cadre du « Green New Deal » Européen, Ursula Von der Leyen, […] L’article Green New Deal ? Le siècle avait vingt ans et naissait le Bauhaus est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 216 jours

Contrat de construction d’une maison individuelle : le réquisitoire

La triste aventure de M. & Mme Monmoulin touche à sa fin. Ils ont dépensé leurs économies et se retrouvent endettés pour une maison inhabitable. Enfin, ils ont leur journée au tribunal et assistent, plein d’espoir, à l’audience. Maisons Hypnos « Pour dormir sur vos deux oreilles » Vs M. & Mme. Monmoulin : le procès. Maître Hannibal […] L’article Contrat de construction d’une maison individuelle : le réquisitoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 216 jours

"Injonctions paradoxales" sur le télétravail : les architectes se sentent aussi concernés

CONFINEMENT. Les dirigeants de bureaux d'études se disent déroutés par rapport aux signaux contraires qu'ils perçoivent sur la bonne application du télétravail en ce deuxième confinement. "Sortons de ce climat de défiance", demande Frédéric Lafage, président de la fédération Cinov, contacté par Batiactu.
Il y a 4 ans et 216 jours

Pour l’architecte, le métier est un chantier constant

Dubois s’inquiète de la capacité de nuisance de l’architecte. Pour Ethel Hazel, sa psychothérapeute, l’émotion est un élément en chantier. Dr. Nut, s’il n’est pas aveugle, n’y voit pourtant rien. *** « Le rêve est une construction de l’intelligence à laquelle le constructeur assiste sans savoir comment cela va finir ». Cesare Pavese *** Ethel Hazel a […] L’article Pour l’architecte, le métier est un chantier constant est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 216 jours

Trois ans de travaux pour le musée zoologique de Strasbourg

La réouverture du musée zoologique de Strasbourg est prévue en 2023.
Il y a 4 ans et 216 jours

30.000 tuiles émaillées H10 Huguenot d’EDILIANS coiffent la nouvelle Halle Charras de Courbevoie

Ayant accueilli ses premiers commerçants mi-octobre, la nouvelle Halle Charras s’inscrit dans le cadre de la rénovation du centre-ville de Courbevoie. Situé au cœur d’un environnement urbain dense, à proximité du quartier d’affaires de La Défense, le projet visait à offrir aux habitants un lieu de vie attractif et convivial renouant avec les valeurs associées aux marchés alimentaires. Pour y parvenir, l’agence Croix Marie Bourdon Architectes Associés, en charge de sa conception, a imaginé un édifice à la forme elliptique qui fait la part belle aux matériaux nobles parmi lesquels, les tuiles émaillées H10 Huguenot d’Edilians en toiture.   Une nouvelle interprétation architecturale des halles d’antan D’une surface totale de 2.480 m2, le programme défini par la Ville de Courbevoie comprend la création d’un parking public de 600 places et d’une esplanade ainsi que la construction de la nouvelle halle. Elément fédérateur de ce nouvel espace partagé, cette dernière abrite les commerçants trois jours par semaine, une conciergerie et un restaurant en proue du bâtiment.   Pour l’agence Croix Marie Bourdon Architectes Associés, l’un des enjeux architecturaux de ce projet était « d’inscrire la nouvelle Halle Charras dans son contexte urbain et historique pour proposer une interprétation contemporaine, environnementale et élégante portée par des matériaux nobles : le bois pour la charpente, la tuile émaillée pour la couverture, le verre et l’acier pour les façades ».   A l’architecture exceptionnelle, le bâtiment associe ainsi : • une charpente aux courbes oblongues en bois lamellé-collé, technique particulièrement adaptée aux grandes portées, avec de l’épicea en intérieur et du pin Douglas en extérieur, • sur laquelle repose une toiture basse à double pente que les architectes ont choisi d’habiller d’une « couverture à motifs de tuiles émaillées pour souligner la volumétrie et la finesse de l’édifice ».   L’ensemble assure une intégration parfaite de la nouvelle Halle Charras dans son environnement et la rende particulièrement lumineuse, une caractéristique essentielle pour ce lieu de vie où se retrouvent clients et commerçants.   Une 5ème façade vibrante, recouverte de tuiles émaillées H10 Huguenot « Mariant des tuiles blanches brillantes et mates à des tuiles gris perle brillantes dont l’aspect change au fil de la journée et des saisons, la couverture de la nouvelle halle joue un rôle central dans l’insertion et l’expression du projet », souligne l’agence Croix Marie Bourdon Architectes Associés. Particulièrement visible, la toiture de la Halle Charras tient en effet ici pleinement son rôle de 5ème façade. « Outre son niveau de certification NFFP la rendant adaptée à une mise en œuvre sur une toiture à double pente de 53%, la forme douce et moderne de la tuile terre cuite H10 Huguenot convenait parfaitement à ce chantier d’exception », explique Eric Martinat, Directeur Développement Produits d’Edilians.   Mais plus encore que l’esthétique de son moule faiblement galbé à relief, ce sont les trois coloris d’émaux mis au point par Edilians de façon personnalisée, dans des délais très courts, ainsi que les trois finitions proposées (brillante, granitée, mate) permettant de jouer avec la lumière et les reflets, qui ont définitivement séduit l’architecte. « En terme de créativité, nous offrons vraiment aux concepteurs de projets architecturaux un champ des possibles extrêmement large. Nous sommes capables de produire exactement ce dont ils ont rêvé et ça c’est unique ! » confie Eric Martinat. Sur la base du nuancier RAL, l’agence Croix Marie Bourdon Architectes Associés a ainsi choisi un blanc brillant, un blanc granité et un gris perle brillant.   Une fois la teinte des émaux définis, il ne restait plus qu’à mettre au point pour Edilians un process d’émaillage à échelle industrielle qui concilie une qualité irréprochable du produit final et une fabrication en un temps record. Un pari réussi puisque ce sont près de 3.000 m2 de tuiles H10 Huguenot émaillées qui ont été fabriquées en 1 mois avant d’être livrées sur le chantier.   Un plan de calepinage minutieusement préparé Au-delà du travail de recherche et de conception entre les architectes et Edilians, la réalisation de la couverture de la Halle Charras a nécessité également une étroite collaboration avec l’entreprise familiale JMC Couverture, en charge de la mise en œuvre des tuiles émaillées.   Pour respecter la colorimétrie définie par l’architecte et réussir à dessiner sur la toiture des motifs sous forme de losanges, au centre desquels sont intégrés des percements pour l’éclairage/ désenfumage, le couvreur a conçu à l’aide de son bureau d’études intégré un plan de calepinage complexe et minutieux.   Dès que celui-ci a été validé par l’agence Croix Marie Bourdon Architectes Associés, JMC Couverture a tracé ce même plan directement sur l’ensemble de la toiture d’une surface de 3.000 m2. « A raison de 10 tuiles au m2, ce ne sont pas moins de 30.000 tuiles H10 Huguenot qui ont été calepinées une par une sur le toit avant la livraison, avec pour chacune une légende correspondante au coloris » explique Anthony Da Silva, gérant de l’entreprise. Et de poursuivre : « cet important travail de préparation nous a permis de gagner un temps considérable à l’exécution ».   Pour la mise en œuvre sur site, JMC Couverture a mobilisé 12 couvreurs qui ont étalé les tuiles à joints droits avec des liteaux espacés de 330 mm, en veillant à toujours respecter scrupuleusement la colorimétrie.   Inaugurée officiellement le 13 décembre prochain, la nouvelle Halle Charras constitue le premier chantier d’envergure en tuiles émaillées pour Edilians. Ce nouvel espace de vie emblématique pour Courbevoie illustre plus que jamais le savoir-faire industriel d’Edilians. Il témoigne également de sa capacité à apporter, grâce à une offre globale de solution toiture, une réponse personnalisée à tous les projets, de la maison individuelle à de très grandes réalisations. http://www.edilians.com
Il y a 4 ans et 216 jours

Autodesk rachète Spacemaker

A l’occasion d’Autodesk University qui se déroule en virtuel cette année, Autodesk annonce le rachat de Spacemaker. Objectif : mettre à disposition des architectes la conception générative pour explorer des idées de conception et créer des espaces et des villes plus durables.
Il y a 4 ans et 216 jours

Une galerie rêvée 1/5 : Bruno Fontana

Dans le hors-série « L’Architecture est un territoire » publié par L’Architecture d’Aujourd’hui et consacré au travail de l’architecte ...En savoir plus Cet article Une galerie rêvée 1/5 : Bruno Fontana est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 216 jours

Érika, la marque de peinture écoresponsable et made in France, lance son nouveau site internet

La gamme ERIKA, créée par l'entreprise alsacienne LCTP, répond parfaitement à cette problématique : elle est composée de peintures innovantes, écologiques et fabriquées en France, que l'on peut maintenant découvrir sur le nouveau site de la marque.La peinture « smart » qui en fait voir de toutes les couleurs aux passionnés de décoERIKA est une marque française de peintures décoratives haut de gamme pour la décoration intérieure. Elle concilie grande technicité et respect de la nature, avec de belles couleurs et des produits écologiques véritablement couvrants et qui conservent leur luminosité au fil du temps.Les peintures ERIKA sont « propres » : elles ne contiennent ni solvant, ni phosphate, ni bisphénol, ce qui permet de préserver la qualité de l'air intérieur et la santé des occupants. En même temps, ce sont des peintures techniques : elles sont faciles à appliquer, résistantes, couvrantes et lessivables.ERIKA : la meilleure alliée des fans de relooking et de DIYL'autre atout des peintures ERIKA, c'est leur originalité. La marque mise sur l'innovation, avec des peintures qui changent de couleur, des peintures parfumées, et des peintures spéciales pour le relooking de meubles et de meubles cuisine. Ces dernières sont très pratiques : elles permettent de couvrir le mobilier sans passer par les cases décapage, ponçage et sous-couche, et sans appliquer de vernis de protection.ERIKA propose également des outils d'aide : des guides d'inspiration qui font voyager du Brésil au Japon et qui explorent les styles récup', bohême, nature ou encore contemporain, mais aussi des nuanciers peints à la main et les kits prêts à l'emploi ErikaBox.ERIKA s'adresse aussi aux boutiques de décoration et aux magasins spécialisés qui souhaitent distribuer la gamme, en profitant de tarifs avantageux.Un nouveau site internet pour la peinture jolie et intelligenteLe nouveau site d'ERIKA est à son image : vivant, dynamique et intelligent, c'est une véritable mine d'informations et d'inspirations qui ravira les passionnés de déco. On y trouve une boutique en ligne où on peut se procurer les peintures et produits de la gamme, ainsi que des conseils sur le choix et l'application des peintures, des nuanciers, et un blog avec des astuces et des tutoriels.Par ailleurs, ERIKA a su rassembler une communauté de passionnés sur sa chaîne YouTube, sa page Facebook et son compte Instagram. Et, chaque mois, les clients reçoivent dans leur boite mail une newsletter sur l'actualité de la marque.Ce site reflète les valeurs de LCTP, une marque historique française qui est au service de ses clients, et mise sur l'accompagnement et l'écoute.La petite histoire d'ERIKALa fabrique de peinture LCTP s'est faite connaitre en proposant des peintures et des couleurs sur mesure pour les acteurs de la décoration intérieure. Ses clients sont essentiellement des revendeurs et des passionnés de déco.En 2014, à l'occasion du salon Maison Déco de Colmar, l'entreprise est sollicitée pour présenter une peinture sur-mesure. Celle-ci devait à la fois interpeller par son originalité, et mettre en avant le savoir-faire alsacien.LCTP relève le défi avec brio. De sa fabrique sort ERIKA, une peinture unique, qui permet à chacun de se transformer un peu en magicien, car elle change de couleur quand on la touche. Et le plus beau, c'est qu'elle ne contient pas de solvant !Cette peinture étonnante fait beaucoup parler d'elle sur le salon, et de nombreux relookeurs de meubles et décorateurs expliquent à LCTP qu'ils souhaiteraient pouvoir utiliser une gamme professionnelle de peintures, adaptée à leurs besoins en matière de couleur, de qualité, d'innovation et de technicité.L'équipe de LCTP décide alors de créer une marque pour eux, et la baptise ERIKA, du nom de la peinture qui lui a donné naissance.
Il y a 4 ans et 216 jours

Tribune. « L’impact de la COVID-19 : réinventer nos espaces de vie »

La crise sanitaire "va sans aucun doute précipiter des transitions déjà en œuvre" , selon l'architecte d'intérieur Michael Malapert... Cet article Tribune. « L’impact de la COVID-19 : réinventer nos espaces de vie » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 216 jours

On peut s'approprier un bien, de mauvaise foi

"La prescription acquisitive est un moyen d'acquérir un bien ou un droit par l'effet de la possession", explique le code civil. Il précise que l'auteur n'est pas obligé de prouver sa propriété par un titre juridique et que personne ne peut la lui contester en invoquant sa mauvaise foi.Il suffit, ajoute le code, de prouver une "possession continue et non interrompue, paisible, publique, non équivoque et à titre de propriétaire".Le procès opposait deux frères et les juges avaient d'abord conclu que celui qui tentait de s'approprier un morceau de terrain appartenant à l'autre savait parfaitement qu'il avait tort, ce qui lui interdisait de se dire occupant des lieux depuis trente ans "à titre de propriétaire".Mais la notion d'occupant "à titre de propriétaire" est à juger aux yeux des tiers, a rectifié la Cour de cassation, et la connaissance de la véritable situation juridique de la parcelle en cause n'empêchait pas l'auteur des faits d'avoir l'intention de se comporter comme s'il en était propriétaire.La Cour avait cependant exclu en septembre 2010 qu'un occupant de mauvaise foi puisse réaliser une telle opération. Mais dans ce cas précis, l'auteur de l'opération avait officiellement montré qu'il savait ne pas être propriétaire puisqu'il avait proposé au propriétaire d'acquérir le bien.(Cass. Civ 3, 20.12.2018, C 17-28.107).
Il y a 4 ans et 216 jours

La bataille judiciaire autour du projet des tours Hermitage à La Défense se poursuit

Plus de dix ans après avoir été annoncé en grande pompe, ce projet, porté par le promoteur immobilier russe Emin Iskenderov et chiffré à près de trois milliards d'euros, est enlisé dans une guérilla judiciaire et juridique émaillée de dizaines de procédures.Concernés en premier lieu par ce projet adoubé à l'époque par Vladimir Poutine et Nicolas Sarkozy, plusieurs locataires de la résidence des Damiers, vouée en partie à la démolition pour faire place au projet, ne désarment pas et entendent, pour sept d'entre eux expulsés en août 2018, être réintégrés dans leur logement.Leur cas était au centre de la nouvelle audience qui s'est tenue mardi à Versailles où la question de la législation applicable à leurs contrats de location, législation de droit commun ou législation dérogatoire HLM, a été débattue."De cette législation applicable dépend la légalité ou non des expulsions qui sont intervenues et qui vont être examinées en 2021" par la justice, a déclaré à l'AFP leur avocate Armelle Coulhac-Mazérieux, à l'issue de l'audience. "La législation de droit commun prévoit qu'on ne peut pas expulser quelqu'un avant que le bail soit venu à échéance.""Or, leurs baux sont toujours effectifs, certains d'entre eux courent jusqu'en 2027 et ils ont donc le droit de demander à être réintégrés dans les lieux", a ajouté l'avocate qui a également soulevé une QPC portant sur l'interprétation, faite en mai 2020 par la Cour de cassation, de la loi du 6 juillet 1989 sur les rapports locatifs.A l'audience, l'avocate de RATP Habitat (ex-Logis Transports), Me Laure-Anne Fournier, a exprimé "l'agacement" du bailleur social et propriétaire des immeubles, situés à Courbevoie (Hauts-de-Seine)."Cette QPC s'inscrit dans dix ans de contestation de ce projet, on n'avait pas eu de QPC jusqu'à présent, ça manquait à ce dossier, on aura donc tout eu!", a-t-elle ironisé, déplorant une "stratégie qui a fait perdre un temps considérable à ce projet".Concernant le fond du dossier, "quel est l'intérêt des locataires de venir contester l'application d'un régime locatif HLM plus favorable (...) si ce n'est faire échec à ce projet?", a-t-elle ajouté.Dessinées par l'architecte britannique Norman Foster, les tours Hermitage, deux gratte-ciels de 320 m de haut, doivent offrir résidences de luxe, bureaux, hôtels et commerces. Elles sont censées être livrées d'ici aux JO-2024 à Paris.L'affaire a été mise en délibéré au 5 janvier.
Il y a 4 ans et 216 jours

Un pacte national pour simplifier et accélérer les procédures d’urbanisme

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique en charge du Logement, François BAROIN président de l’Assemblée des Maires de France, Johanna ROLLAND, présidente de France Urbaine, et Sébastien MARTIN, président de l’Assemblée des communautés de France ont signé, le 13 novembre 2020, avec les principales associations représentatives des acteurs de la construction et du logement social, un pacte national pour la relance de la construction durable. Il matérialise l’engagement collectif pour la relance de la construction de logements, durement frappée, à l’image d’autres secteurs économiques, par la crise sanitaire que traverse notre pays. Par ses effets sur la vie des citoyens, la crise sanitaire renforce le besoin de transformation de nos modèles de construction et de conception des logements et des espaces publics. Le pacte réaffirme la nécessité que les constructions proposées répondent aux attentes des Français en matière de qualité environnementale, de confort et d’accès à la nature. Le pacte porte sur deux grands axes d’engagement : simplifier et accélérer les procédures d’urbanisme pour limiter la baisse des mises en chantier en 2021 et accompagner l’émergence de projets durables de construction, en promouvant la sobriété foncière, la qualité des logements et du cadre de vie. Il appelle à une déclinaison locale, à travers des accords locaux de coordination, pour fédérer les acteurs concernés par sa mise en œuvre. A ce titre, une instruction aux Préfets accompagne la signature du Pacte, afin qu’ils en organisent la déclinaison locale, sous la forme d’instances locales de coordination sur les autorisations d’urbanisme. La circulaire insiste par ailleurs sur la nécessaire continuité de l’instruction et de la délivrance des autorisations d’urbanisme (en particulier des permis de construire) et des agréments pour les logements sociaux pendant la nouvelle période de confinement. Mesure 1 : mener à son terme et accompagner la dématérialisation des procédures Mesure 2 : mettre en place des bonnes pratiques d’instruction des autorisations d’urbanismes Mesure 3 : mobiliser les Établissements publics fonciers et les Établissements publics d’aménagements Mesure 4 : mobiliser le foncier public Mesure 5 : optimiser les capacités des PLU(i) Mesure 6 : privilégier les projets sur des fonciers déjà artificialisés et limiter l’empreinte des projets en matière de consommation d’espaces Mesure 7 : promouvoir des programmations mixtes, en adéquation avec les besoins des territoires Mesure 8 : promouvoir des logements et des constructions de qualité Mesure 9 : associer efficacement les citoyens aux projets   Ce pacte a également été signé avec les président(e)s de l’Union sociale pour l’habitat (USH), la fédération des promoteurs immobiliers (FPI), la fédération française du bâtiment et le Pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment (FFB),  le conseil national de l’ordre des architectes (CNOA), et l’union nationale des aménageurs (UNAM).
Il y a 4 ans et 216 jours

Weber élargit son offre ITE biosourcée

Le nouveau système d’ITE webertherm XM fibre de bois, destiné aux supports maçonnés et, sous certaines conditions, aux ossatures bois, intègre des panneaux conçus à partir de chutes de bois issu de forêts françaises certifiées, broyées et agglomérées avec de la résine. Un sous-enduit à la chaux aérienne s’y associe et un large panel de finitions (silicates, organiques, minérales minces et semi épaisses) allie technique et esthétique. Sa faible conductivité thermique de 0.039 W/(m.K) ainsi que sa forte capacité thermique massique de 2100 J/(kg.k) confèrent à webertherm XM fibre de bois des performances d’isolation optimales stockant les calories durant la journée pour les restituer vers l’extérieur durant la nuit. Ce confort thermique vaut en hiver et en été, favorisant la conservation du frais lors de pics de chaleur. Le bois a la faculté de réguler l’humidité, évitant la prolifération de moisissures, pour un air intérieur plus sain. Si son excellente perméabilité à la vapeur d’eau en fait l’allié de la rénovation des bâtis anciens, webertherm XM fibre de bois s’avère également une ITE à valeur ajoutée pour toutes constructions neuves, en résidentiel (maison individuelle ou logement collectif) comme en tertiaire. Validé par un test lepir2, ce système ne requiert aucun aménagement en bandes coupe-feu, confirmant son excellent comportement en cas d’incendie (classement B-s1, d0).
Il y a 4 ans et 216 jours

L'autopsie du pont Morandi signée Cyrille Simonnet, lauréate du prix du livre 2020 de l'Académie d'Architecture

Des six ouvrages nommés, c'est l'autopsie du pont Morandi, dressée par l'architecte et historien Cyrille Simonnet aux Editions Parenthèses, qui remporte le prix du livre d'architecture 2020 décerné par l'Académie d'Architecture. L'ouvrage retrace l’aventure de la construction du pont de Gênes, dont on […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 217 jours

A Arcueil, RVA a rhabillé le Chaperon vert pour l’été et l’hiver

RVA (Dominique Renaud, Philippe Vignaud) a livré à Arcueil (Val-de-Marne) pour Opaly maître d’ouvrage la réhabilitation de l’îlôt 5 du quartier du Chaperon vert. Sur 1,2 hectare, le programme commandait la réhabilitation, l’extension et restructuration de 264 logements en site occupé, l’aménagement des espaces publics et résidentiels et la création d’un square public de proximité […] L’article A Arcueil, RVA a rhabillé le Chaperon vert pour l’été et l’hiver est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 217 jours

SYLVANIA PRESENTE OPTIX R4 CELLS, UN LUMINAIRE DISCRET ET PERFORMANT

SYLVANIA complète sa gamme de luminaires haute performance dédiés au tertiaire avec OPTIX R4 CELLS, spécialement conçu pour les zones de circulation et les espaces restreints. Avec ses 4 cellules LED, ce luminaire est doté d'un design discret et compact.
Il y a 4 ans et 217 jours

En octobre 2020, les ingénieurs ont été moins nombreux à subir un impact sur leur CA

BAROMÈTRE. 54% des entreprises adhérentes du Cinov ont déclaré avoir enregistré une baisse de leur chiffre d'affaires (CA) au cours du mois d'octobre 2020, contre 69% en septembre. Les autres indicateurs économiques de la fédération des métiers de l'ingénierie ne sont cependant guère optimistes.
Il y a 4 ans et 217 jours

Bureaux de demain : quelles sont les attentes des salariés et des dirigeants ?

ETUDE. La crise sanitaire a bouleversé les modes de travail accélérant le développement du télétravail et de la digitalisation. Covivio (ex Foncière des régions) dévoile sa dernière étude sur ce que veulent les salariés et les dirigeants en matière de bureaux dans les années à venir.
Il y a 4 ans et 217 jours

Bénéfriches démontre l’intérêt économique du recyclage des friches

Les bénéfices induits par le recyclage des friches dépassent les surcoûts immédiats. Développée par le groupe d’ingénierie Arcadis et les chercheurs d’Efficacity pour le compte de l’Agence de la transition écologique (Ademe), l’application libre d’accès Bénéfriches en administre la preuve. Dopée par le déploiement du fonds Friches jusqu’en 2022 dans le cadre du plan de relance, l’appropriation de l’outil d’aide à la décision s’inscrit dans une tendance à la monétisation des impacts des choix d’aménagement.
Il y a 4 ans et 217 jours

Bureaux d'études techniques, ingénieurs conseils : les chiffres de la crise

La fédération patronale représentative des métiers de la prestation de services intellectuels du conseil, de l'ingénierie et du numérique, Cinov, a révélé lundi 16 novembre les résultats de son baromètre mensuel réalisé auprès de ses adhérents, composés essentiellement de TPE PME. Leurs prévisions restent très pessimistes : 52% des répondants prévoient une nouvelle baisse de leur chiffre d'affaires dans les trois prochains mois. Parmi les filières les plus touchées figurent l’architecture et l’urbanisme, le conseil en management, le secteur de l’acoustique ou encore celui de l’ergonomie.
Il y a 4 ans et 217 jours

Les premiers résultats du plan de relance sont "très encourageants" selon Bercy

Si l'essentiel du plan de relance de 100 milliards d'euros doit se déployer d'ici à 2021, plusieurs mesures sont déjà en vigueur.En matière de rénovation énergétique des bâtiments, le dispositif "MaPrimeRénov" monte en puissance, après avoir été renforcé pour inciter davantage de ménages à lancer des travaux dans leurs logements.Alors que moins de 50.000 ménages l'avaient sollicité entre janvier et juin, il y a eu 20.000 dossiers déposés en septembre et 30.000 en octobre.Du côté de la rénovation des bâtiments publics, le gouvernement prévoit de désigner d'ici la fin du mois les lauréats d'appels à projets. Plus de 5.000 projets ont été candidats, représentant une demande de financement de 8 milliards d'euros pour une enveloppe prévue de 2,7 milliards.Sur le volet consacré à la réindustrialisation de la France, 323 projets ont déjà été désignés pour bénéficier d'un soutien de l'Etat via un guichet doté initialement de 550 millions d'euros pour cette année et que le gouvernement prévoit de réabonder de 250 millions d'euros.Sur le volet dédié à l'emploi, plus de 42.000 demandes d'aides à l'embauche d'un apprenti ont été accordées au 1er novembre, sur près de 80.000 demandes.Plus de 67.000 demandes d'employeurs ont aussi été reçues depuis le 1er octobre pour bénéficier de la prime à l'embauche de jeunes de moins de 26 ans.Enfin dans l'automobile, le gouvernement, qui avait musclé au printemps la prime à la conversion pour l'achat de véhicules moins polluants et le bonus écologique, fait état de 23.000 primes accordées en octobre et 2.600 bonus par semaine depuis le 1er juin. Ces premiers résultats "démontrent que la protection immédiate de notre économie et la relance sont complémentaires", insiste Bercy dans un communiqué, alors que l'opposition et certains économistes critiquent le contenu du plan de relance au moment où la France est partiellement reconfinée.
Il y a 4 ans et 217 jours

« On peut et on doit continuer à construire, mais pas n'importe où », Pierre Hurmic, maire (EELV) de Bordeaux et premier vice-président de Bordeaux Métropole

Végétalisation, matériaux biosourcés, maîtrise du foncier : le maire bordelais indique ses priorités pour l'aménagement et l'immobilier.
Il y a 4 ans et 217 jours

DI.BI. : Di.Big

Di.Big est une porte d’entrée sur pivot avec insert central vitré qui combine design et sécurité pour les grandes ouvertures. En concevant la maison de vos rêves, vous imaginez sûrement un endroit confortable, élégant et surtout sécurisé. Di.Big peut vous garantir tout cela : il s’agit d’une porte d'entrée sécurisée et pivotante. La porte est posée en tunnel avec le cadre, et dispose d’un système de pênes latéraux sur les deux côtés du vantail.Les matériaux de haute qualité, le soin apporté aux détails et le design élégant font de la porte Di.Big un composant idéal pour l’ameublement. De plus, grâce à ses performances thermo-acoustiques et à la résistance à la pression du vent et l’étanchéité à l'eau, la porte Di.Big peut aussi être installée à l’extérieur.La porte d'entrée sur pivot Di.Big est disponible avec trois solutions de pose : standard, en tunnel avec le cadre intérieur pour boiserie et en tunnel avec le cadre extérieur.Pour en savoir plus, visitez le site de l’entreprise DI.BI.Visuels : © DI.BI. La Rédaction
Il y a 4 ans et 217 jours

Château de Villers-Cotterêts: un chantier présidentiel qui fait débat

Le coût du "chantier présidentiel" du château de Villers-Cotterêts (02), future cité internationale de la francophonie, fait débat alors que le budget 2021 rajoute 100 M€ à la charge de l'Etat.
Il y a 4 ans et 217 jours

Assistez aux présentations en ligne « Workshops » d'ARCHLine.XP, logiciel d'architecture BIM

Distribué exclusivement en France par la société ZW FRANCE, ce logiciel BIM conçu pour modéliser une maquette numérique 3D sera présenté sous la forme de 2 workshops en ligne sur la chaine YouTube de ZW FRANCE.Les mardi 24 et mercredi 25 novembre : 2 workshops en ligne de 45 minutes dédiés au logiciel BIMLe 1er workshop, le 24 novembre est dédié à une présentation générale d’ARCHLine.XP. Au programme : interface, outils de construction et d’agencement et documentation (bibliothèques BIM).Le 2nd worshop du 25 novembre sera, lui, consacré à ARCHLine Live, le logiciel complémentaire de rendu réaliste en temps réel. Il y sera présenté la synchronisation avec ARCHLine, les bibliothèques d’objets/matériaux, la gestion des lumières et d’effets de caméra ou encore la création d’images, de vidéos et de panoramas.Chacune des présentations sera suivie d’un temps de questions/réponses où les internautes auront au préalable posé leurs questions dans le chat YouTube.Pour avoir plus d’informations et s’inscrire : CLIQUEZ ICIVendredi 27 novembre : -15% de remise à l’occasion du Black FridayA l’issue de ces deux jours de présentation, ZW FRANCE proposera une remise exceptionnelle de 15% pour tout achat de licence ARCHLine.XP, qu’il s’agisse de la version LT, Pro ou du logiciel de rendu réaliste en temps réel ARCHLine LIVE. Cette offre sera valable uniquement le vendredi 27 novembre, lors du Black Friday.ARCHLine LT et ARCHLine Live sont aujourd’hui au tarif de 585 € HT. La version Pro, est, quant à elle à 2.290€ HT.
Il y a 4 ans et 217 jours

Fabemi, un groupe engagé dans l'économie circulaire

Cette démarche en faveur de l'environnement présente le triple avantage de soutenir la production locale, de réduire la consommation des ressources et d'inciter les industriels à mettre en place une bonne gestion de leurs déchets. La construction est un secteur particulièrement concerné par ces enjeux environnementaux.Le Groupe Fabemi s'engage depuis plusieurs années dans une démarche d'économie circulaire. Créé en 1961 à Donzère (Drôme), l'entreprise développe des systèmes constructifs en béton dans plusieurs domaines : Gros œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin.Le Groupe intègre véritablement l'économie circulaire dans son éthique d'entreprise.Éco-conceptionLe Groupe Fabemi fabrique des produits 100% français, certifiés origine France garantie (seul label permettant de garantir une fabrication française). Une reconnaissance pour l'entreprise qui légitime l'engagement historique du Groupe à fabriquer français, et qui assure au consommateur fiabilité et qualité des produits.Les blocs Fabtherm® montrent l'exemple100% naturels et recyclables, les blocs isolants Fabtherm® et Fabtherm® Air sont un exemple de la démarche d'éco-conception au cœur de l'innovation et du développement produits Fabemi.Présentant un faible impact sur l'environnement, ces blocs contribuent à réduire l'empreinte carbone des bâtiments de l'ordre de 4 à 8% par rapport à d'autres solutions constructives, permettant ainsi la réalisation d'ouvrages labellisés E+C-. Les produits Fabtherm® sont d'ores et déjà une solution permettant de répondre aux enjeux de la future RE 2020. De leur fabrication à leur recyclage en fin de vie, l'empreinte carbone des produits Fabemi est réduite grâce à une production-distribution locale, des approvisionnements au plus proche des usines, un procédé de fabrication sans cuisson, un séchage naturel des produits et une utilisation sur des chantiers dans une zone de chalandise moyenne de 200 km autour des sites de production, permettant de contenir l'impact CO2 du transport des produits.Lancés en 2018, les produits Fabtherm® confortent Fabemi comme leader et novateur sur le marché des produits préfabriqués en béton.Élargir le recyclage à tous les bétonsDans un contexte mondial de croissance de la demande en matières premières et de tension concernant l'approvisionnement en ressources, il est essentiel que les produits mis sur le marché incorporent plus de matériaux issus des filières de valorisation des déchets.Fabemi encourage l'élargissement du domaine d'emploi des bétons issus de matériaux recyclés pour une mise en œuvre dans ses produits. Les rebus de fabrication du Groupe, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que Fabemi projette de réemployer en les intégrant dans la fabrication des produits. Ces déchets peuvent dès à présent être valorisés et réutilisés pour la production de béton prêt à l'emploi (BPE), grâce à une évolution normative. Ceux-ci vont bientôt être autorisés pour la fabrication de produits préfabriqués comme les blocs bétons.Écologie industrielleLes usines Fabemi ont été construites ou réaménagées selon les critères stricts du Groupe : sécurité, écologie industrielle et innovation en implantant dans les unités de production les meilleures technologies disponibles.De plus, l'entreprise privilégie l'internalisation des activités en lien avec la fabrication des produits finis : Fabemi Industrie produit les raidisseurs utilisés pour la fabrication des poutrelles RAID développées par le Groupe. Cette intégration verticale est un exemple supplémentaire de l'importance de l'économie circulaire pour le Groupe Fabemi, les aciers étant fabriqués sur le même site de production que celui des poutrelles.Fabemi innove toujours et investit dans la modernisation de ses installationsLe Groupe Fabemi, qui génère un chiffre d'affaire de 120 millions d'euros par an s'appuie sur une stratégie de développement agile faisant la promotion de l'industrie 4.0., en collaboration avec des industriels français comme Quadra ou des indépendants très spécialisés pour les outils de production industrielle.Qui se ressemble s'assembleLa démarche d'économie circulaire fait d'ores et déjà de nombreux adeptes parmi les industriels français et ce n'est pas un hasard si certains d'entre eux ont développé des partenariats avec le Groupe Fabemi. Travailler conjointement sur ces thématiques universelles en partageant la même éthique environnementale accroît la viabilité et la pertinence de leurs modèles économiques dans un monde en plein bouleversement, en lien avec la prise de conscience environnementale.Par exemple, Knauf, fabricant de solutions d'isolation thermique et phonique, partenaire de Fabemi, est fortement impliqué lui aussi dans le recyclage des déchets de PSE (polystyrène expansé). En février 2020, Le Groupe Knauf a créé Knauf Circular® (knaufcircular.fr), un service qui a pour objectif le recyclage des déchets propres de PSE (hors déconstruction) issus de la mise en œuvre de produits PSE sur chantier. Ce nouveau service est actuellement lancé en phase pilote sur le quart Sud-Est de la France et devrait se déployer ensuite sur la France entière, à partir de 2021. Les volumes de PSE ainsi collectés sont ensuite acheminés vers un des sites autorisés de recyclage du PSE.Une production localeLes produits fabriqués par Fabemi gros œuvre sont conçus « économie circulaire » : maçonneries de blocs béton et planchers préfabriqués poutrelles entrevous. L'approvisionnement des 12 usines du Groupe réparties sur le territoire français est local, celles-ci se trouvent stratégiquement dans un rayon de 10 km des carrières de granulats.Dans le cadre de l'entrée en vigueur de la RE 2020, les produits du Groupe ont été certifiés NF FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) permettant une quantification de l'impact environne-mental des produits en Kg de CO2 / m2 ou ml.Dans la prochaine réglementation environnementale devant entrer en vigueur en juillet 2021, les émissions de CO2 dues à la construction et à la vie du bâtiment seront comptabilisées et ne devront pas dépasser des valeurs seuil. Les produits Fabemi apparaissent comme des solutions constructives bas carbone prêtes à relever les nouveaux défis liés aux évolutions réglementaires.Le Groupe poursuit la mise en place de stratégies de développement de solutions constructives éco-conçues, faisant du faible impact carbone des produits un formidable levier de croissance de ses activités.Une offre complèteLe Groupe Fabemi développe des produits et solutions pour la construction et l'aménagement des espaces, organisées en 3 lignes de produits :Gros œuvreCette activité comprend la fabrication de systèmes constructifs à faible impact CO2 : blocs béton traditionnels, blocs béton isolants, poutres, poutrelles et entrevous.Plus de 1 million de tonnes de blocs béton et plus de 4 millions de mètres linéaires de poutrelles par an.Voirie & RéseauxEn constante évolution, cette activité mobilise des ressources en recherche et en fabrication. Fabemi développe cette activité en concevant des produits - dalles, pavés, bandes de guidage, caniveaux - respectant les normes en vigueur. La gamme Caladia Fabemi, point fort de l'activité Voirie, comprend des produits plus esthétiques, tout en restant conforme aux critères d'aménagement et d'embellissement des espaces publics.Plus de 100.000 tonnes de bordures par an.Terrasse & JardinCette activité s'articule autour des gammes BRADSTONE et CARRÉ D'ARC : produits d'aménagement extérieur tels que dallages, margelles et accessoires, bordures, murets, parements muraux ou encore de pavages. Fabemi propose un large choix de produits dans différents matériaux - béton design, béton décoratif, pierre naturelle, céramique -, pour créer terrasses, plages de piscine, allées…3 millions de m2 de dallages par an.