Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61960 résultats)
Il y a 4 ans et 221 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE RLE, UNE GAMME DE LUMINAIRES LED INTELLIGENTS PUISSANTS, ÉTANCHES, TRÈS ÉCONOMES EN ÉNERGIE ET RÉSISTANTS AUX TEMPÉRATURES ÉLEVÉES

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente RLE, une gamme de luminaires LED connectés et étanches, conçus et fabriqués par DIGITAL LUMENS (an Osram business) pour l’éclairage professionnel intérieur, notamment en environnements difficiles. Très polyvalent avec ses rampes de LED orientables qui peuvent reproduire une optique asymétrique afin de s’éloigner d’une zone très chaude ou pivoter sur elles-mêmes pour réaliser un éclairage indirect, le luminaire LED intelligent RLE fournit une solution d’éclairage LED connecté de forte puissance pour répondre aux multiples besoins de l’éclairage intérieur professionnel, quel que soit l’environnement. La gamme des luminaires LED RLE possède un très haut rendement avec un flux lumineux de 18.364 à 65.224 lumens et une efficacité lumineuse performante allant jusqu’à 160 lm/W. Disponibles en plusieurs versions (2, 3 et 6 rampes de LED avec optique standard étroite et large), puissances (139 W, 207 W, 408 W) et températures de couleur (4000K, 5000K), les luminaires LED intelligents RLE sont étanches (IP66), robustes avec un corps métallique et une vasque en polycarbonate ou en option verre. La grande amplitude de leur température de fonctionnement qui oscille de -40° à +65° leur permet d’être installés dans des environnements difficiles. Ils conviennent ainsi à l’éclairage intérieur professionnel de zones de froid ou de zones de fortes chaleurs, par exemple à proximité de fours de cuisson. Ils sont éligibles aux CEE (avec Cos Phi > 0.9 et taux d’harmoniques < 10%), classés GR1 concernant les risques photo biologiques et  garantis 10 ans. Les luminaires LED intelligents RLE sont équipés de capteurs intégrés (luminosité, présence, Bluetooth Low Energy …) permettant une meilleure gestion du luminaire et une diminution de la consommation d’énergie pouvant aller jusqu’à 90%. Positionnés en hauteur et répartis sur tout un site, les luminaires LED connectés collectent via leurs capteurs, des données opérationnelles qu’ils transmettent à la supervision SiteWorx de DIGITAL LUMENS (an Osram business) en charge de la surveillance des données environnementales ainsi que de celle de tous les paramètres utiles comme la consommation énergétique des machines, la température en divers points du bâtiment, l’humidité, les taux d’occupation, les données de sécurité… Le système de supervision SiteWorx analyse les données en temps réel et met en place les actions correspondantes afin d’optimiser en permanence la consommation d’énergie et améliorer l’efficacité, la productivité et la sécurité du site, transformant ainsi tout bâtiment en bâtiment intelligent de nouvelle génération. Le luminaire LED RLE peut être aussi équipé d’une batterie pour disposer d’un éclairage d’ambiance en cas de coupure d’alimentation. Les tests batteries mensuels et semestriels (courts et longs) sont réalisables à distance par SiteWorx. Il est à noter que le Module capteur/radio/intelligence est très facilement déconnectable permettant ainsi de faire évoluer dans le temps le luminaire avec de nouvelles fonctionnalités. &nbsp; A propos d’EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 221 jours

Grand Prix Entreprise catégorie « Toiture – Couverture » : le savoir-faire Edilians distingué au concours du Geste d’Or 2020

La 10ème édition du concours du Geste d’Or*, association mettant à l’honneur les actions valorisant le patrimoine bâti, s’est déroulée à la Société d’encouragement pour l’industrie nationale à Paris fin Octobre. Le Jury a attribué à EDILIANS, leader en France de la tuile terre cuite et créateur de solutions durables pour la toiture, le Grand Prix Entreprise dans la catégorie « Toiture – Couverture » pour trois de ses réalisations. Chaque année, le concours du Geste d’Or, ouvert aux maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre et entreprises, récompense les réalisations remarquables du patrimoine sur plusieurs critères tels que le respect environnemental, la gestion sociale et l’ingénierie financière. Il met en valeur non seulement « l’héritage », mais aussi son adaptation au présent, et les constructions à venir. Lors de la dernière édition, EDILIANS a reçu le Grand Prix Entreprise, dans la catégorie « Toiture – couverture » pour trois de ses réalisations : . Village Alzheimer à Dax (Landes) Le premier village Alzheimer en France s’inspire de l’architecture landaise et privilégie les matériaux typiques de la région. Pour y parvenir, l’équipe de maîtrise d’œuvre franco-danoise, composée de Champagnat & Grégoire Architectes et Nord Architects, a recréé un véritable village landais dans lequel la tuile Aquitaine Poudenx d’EDILIANS contribue à rappeler les bastides à l’ancienne typiques de la région. Tous les bâtiments du village font en effet écho au style architectural landais tant au niveau des couleurs que des matériaux choisis. Cette volonté conjointe du Conseil Départemental et des architectes d’utiliser des produits locaux se retrouvent aussi bien dans le bardage que dans l’ossature bois des maisonnées et de la Bastide réalisés en pin des Landes. Mais elle se voit surtout dans les toitures recouvertes de tuiles Canal traditionnelles. Caractéristique de la région, le coloris Paysage a aussi été une évidence car cette teinte référence de la tuile Aquitaine Poudenx se retrouve souvent dans les constructions locales. De la Bastide aux 16 maisons en passant par les locaux techniques, 12.000 m2 de tuiles Aquitaine Poudenx ont été posées à joints droits avec rives à rabat, à raison de 11 tuiles au m2, avec une pente de toiture de 35%. Au préalable, toutes les toitures ont été protégées par un écran de sous- toiture AERO 2 HPV d’EDILIANS. . Abbaye Sainte-Madeleine, Le Barroux (Vaucluse) Pour mieux accueillir les fidèles, les moines de l’Abbaye Sainte-Madeleine ont fait réaliser des travaux de rénovation et d’extension. La couverture de ces nouveaux bâtiments a été réalisée en tuiles Canal traditionnelles et en tuiles Canal Réabilis Domitia d’EDILIANS reproduisant les effets du temps et offrant ainsi une homogénéité avec les toitures existantes. . La Cité des Chambelles à Nantes (Loire Atlantique) En 2016, Nantes Métropole Habitat lançait un appel d’offre pour rénover la Cité des Chambelles à Nantes. Construits dans les années 30 sur le modèle de la cité jardin, les bâtiments, jugés vétustes, étaient destinés à la démolition. Le cabinet d’architecture HUCA s’est vu confier la mission de construire 57 nouveaux logements collectifs et 3 maisons individuelles avec des performances énergétiques élevées et un faible impact environnemental. Pour couvrir la toiture et le bardage des façades, c’est la tuile petit moule à pureau plat Beauvoise Huguenot d’EDILIANS qui a été retenue en deux finitions, Vallée de Chevreuse et Terre de Beauce. En toiture et en façade, la tuile apporte une dimension à la fois traditionnelle et audacieuse à la réalisation. Cette distinction illustre la capacité d’EDILIANS à s’inscrire, grâce à une large gamme de solutions toiture, dans la valorisation du patrimoine de tous les types de projets architecturaux en neuf comme en rénovation. * Geste d’Or est une association indépendante et transversale, intervenant pour la valorisation du Patrimoine Bâti. Présente partout en France, elle est composée de six collèges et regroupe des personnalités qualifiées, représentatives des différentes parties prenantes du secteur : architectes, ingénieurs, compagnons, entreprises de toutes tailles, élus&#8230; http://www.edilians.com
Il y a 4 ans et 221 jours

Eiffage et Vinci remportent plusieurs contrats à l'étranger

Eiffage a été désigné "adjudicataire pressenti" par le ministère norvégien des Transports pour aménager un tronçon d'autoroute "qui reliera les villes de Langangen à Rugtvedt, pour un montant d'un peu plus de 190 millions d'euros", a-t-il détaillé dans un communiqué.Le contrat, qui comprend la construction de plusieurs viaducs, pourrait être complété par un nouveau marché, cette fois de 260 millions d'euros sur la même autoroute.De son côté, Vinci a gagné deux contrats, via sa filiale Eurovia, auprès de Deutsche Bahn, équivalent allemand de la SNCF, pour un montant total de 67 millions d'euros. L'un vise à rénover la gare de Bonn-Beuel et l'autre à construire ou rénover plusieurs kilomètres de chemin de fer.
Il y a 4 ans et 221 jours

Le coût du "chantier présidentiel" du château de Villers-Cotterêts débattu à l'Assemblée nationale

Tandis que certains députés d'opposition jugent le projet "disproportionné", l'entourage de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, souligne auprès de l'AFP "le niveau de délabrement" du site, un "scandale patrimonial"."C'est la première fois sous la Ve République qu'un président de la République place son +grand chantier+ hors de Paris", contrairement au Centre Pompidou, au Grand Louvre, à la BNF ou au Musée du Quai Branly, insiste-t-on rue de Valois.Dans l'hémicycle, la députée LR Valérie Bazin-Malgras, bien que "réjouie" par la "rénovation de ce château Renaissance", s'est dite "frappée de la disproportion des moyens qui lui sont consacrés"."Cela sème le doute sur l'ambition initiale de ce grand projet présidentiel", a-t-elle jugé lors de l'examen du budget 2021 du ministère de la Culture."Le projet envisagé apparaît aujourd'hui assez disproportionné à un moment où chacun est invité à revoir ses ambitions à la baisse", a abondé Frédérique Dumas, du groupe Libertés et Territoires."Ce n'est pas parce que les travaux dérapent, mais parce que les financements privés et le mécénat ne sont pas au rendez-vous, ce que l'on peut comprendre", en cette période de crise, a nuancé le député LR Gilles Carrez.Dans un rapport parlementaire, Gilles Carrez précise que la prise en charge de l'Etat s'alourdit en raison "de travaux non prévus initialement, dont 60 millions d'euros pour la réfection de la cour et le clos et couverts des espaces appelés à accueillir des activités privées"."Aucune contribution de mécénat n'a pu être mobilisée, alors que 25 millions d'euros étaient attendus à ce titre", ajoute-t-il.Pour l'entourage de Mme Bachelot, ce projet est "un acte très fort de déconcentration" et pour la francophonie."Il est certain que c'est une somme très importante, qui reflète l'engagement présidentiel pour le sujet", poursuit-il. "Cet important chantier de restauration répare un véritable scandale patrimonial: l'abandon par l'Etat, propriétaire du château depuis 1794, de ce témoin majeur de l'Histoire et de l'architecture française."M. Macron avait annoncé en 2018 son souhait de faire du château de Villers-Cotterêts, château royal du XVIe siècle bâti par François Ier, un "laboratoire" de la francophonie.C'est dans ce château qu'a été promulguée en 1539, l'ordonnance de Villers-Cotterêts qui a rendu l'usage de la langue française obligatoire dans tous les documents officiels.
Il y a 4 ans et 221 jours

Chantier avec précadres conçus intégralement en polystyrène

Missionnés par le cabinet Verna Architectes, pour un projet global de rénovation et d’isolation d’une copropriété à Saint-Maur-des-Fossés, Lorillard Façade et Lorenove Grands Comptes ont signé une collaboration efficiente avec l’entreprise Alpac et son système de précadre thermo isolant. Ce chantier a pour objectifs l’isolation et le ravalement de la façade arrière du bâtiment de 200m² de surface avec de nombreuses ouvertures, le traitement de pignons, ainsi que la rénovation des parties communes. La complexité du chantier a consisté dans la synchronisation de la pose des encadrements avec le ravalement, sachant que des garde-corps de sécurité ont dû être déposés, pour adopter un système de garde-corps provisoire, le temps que les garde-corps définitifs soient fabriqués aux dimensions voulues. La solution ALPAC PRESYSTEM a été retenue, signant ainsi la 1ère collaboration entre Alpac et le Groupe Lorillard, pour faciliter la mise en oeuvre, et obtenir un rendu esthétique parfait. PRESYSTEM est le premier précadre thermo-isolant conçu intégralement en polystyrène.
Il y a 4 ans et 221 jours

Participez aux Trophées de la chaux !

Ciments Calcia et Socli viennent de lancer la seconde édition de leur concours biennal récompensant les chantiers exemplaires réalisés à base de chaux hydraulique naturelle. Ouvertes à toutes entreprises et artisans maçons spécialisés dans les domaines de la restauration et/ou de l&rsquo;éco-construction, les candidatures peuvent être déposées dès à présent et jusqu&rsquo;au 15 mars 2021. Il s&rsquo;agit de présenter un chantier réalisé en France entre le 1er janvier 2019 et le 15 février 2021, avec au moins un produit de la gamme chaux Socli ou Ciments Calcia. Outre l&rsquo;aspect descriptif de la réalisation expliquant la technicité de mise en œuvre, l&#8217;emploi de solutions innovantes, rares ou complexes, la prise en compte de l&rsquo;environnement et des conditions de sécurité sur chantier, les participants devront également fournir une dizaine de photos au format numérique illustrant l&rsquo;ouvrage avant/pendant/après. Le jury chargé de départager ces “chantiers d’exception” se composera d’un architecte des Bâtiments de France, un représentant de la Fondation du Patrimoine, un représentant d&rsquo;une organisation professionnelle du BTP et un journaliste du secteur Presse Construction. Quant aux 3 lauréats, ils se verront remettre leur Trophée, à l’issue d’un grand oral final, lors du Salon International du Patrimoine Culturel 2021, avec des dotations d’une valeur de 5.000 euros pour le premier, 3.000 euros pour le second et 2.000 euros pour le troisième. Dossier d&rsquo;inscription et règlement à télécharger sur ciments-calcia.fr et socli.fr, rubrique « Les Trophées de la chaux ». A retourner de préférence par email: mbenoist@ciments-calcia.fr ou par voie postale à à la Direction Marketing Communication de Ciments Calcia/Socli &#8211; Muriel Benoist &#8211; Les Technodes &#8211; 78 931 Guerville Cedex
Il y a 4 ans et 221 jours

Une façade sinueuse signée Droo Architects à Londres, MasterPrize 2020

Qui succ&egrave;dera &agrave; la r&eacute;sidence Julia-Bartet con&ccedil;ue par&nbsp;l&#39;architecte Charles-Henri Tachon, laur&eacute;ate de l&#39;&Eacute;querre d&#39;argent 2019? Vingt r&eacute;alisations sont en lice pour d&eacute;crocher la prestigieuse r&eacute;compense. Cinq autre le sont pour obtenir le prix de la Premi&egrave;re &OElig;uvre 2020.&nbsp;Chaque &eacute;quipe&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 222 jours

A Dijon, la tour Elithis sous haute protection solaire

A Dijon (Côte-d’Or), la tour Elithis dessinée et réalisée par Arte Charpentier accueille depuis 2010 le siège social du groupe Elithis. Depuis cette date, le bouclier thermique en Métal déployé protège le bâtiment. Bâtiment à énergie positive, l’édifice de 5 000 m² et 33,50 m de haut (11 étages dont 1 niveau technique) est un [&#8230;] L’article A Dijon, la tour Elithis sous haute protection solaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 222 jours

Canopée, une tour en bois sur l’île de Nantes signée Youssef Tohmé

Sur l’île de Nantes développée par la SAMOA, l’agence beyrouthine Youssef Tohmé YTAA (mandataire), avec THE architectes, a livré en 2020 une des rares tours entièrement en bois construites en France. Intégré au quartier de la Prairie-au-Duc, ce projet mixte de 8 970 m² mêle logements et activités au sein d’un immeuble composé d’une structure [&#8230;] L’article Canopée, une tour en bois sur l’île de Nantes signée Youssef Tohmé est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 222 jours

Infiltrations d’eau en façade: comment y remédier?

La façade est un terme employé pour désigner les murs extérieurs d’une maison. À l’instar de la toiture, elle fait partie des éléments les plus exposés aux intempéries et à la pollution. En effet, les mousses, les lichens et les algues élisent domicile sur celle-ci lorsqu’elle manque d’entretien. Pourtant, ces éléments peuvent occasionner de graves problèmes tels que les infiltrations d’eau en façade. Il s’agit là d’un souci à aborder avec beaucoup d’attention. En effet, lorsqu’elle s’infiltre l’eau peut faire des ravages. Le décollement des revêtements des murs ou le ramollissement de ceux-ci figurent parmi ses conséquences néfastes et les symptômes qui la caractérisent. Justement, nous allons voir dans cet article comment remédier aux infiltrations d’eau en façade. D’où les problèmes d’infiltration d’eau tiennent-ils leur source ? Pour remédier efficacement à un problème, il convient de déterminer ses origines au préalable. Pour avoir une idée précise de la provenance des infiltrations d’eau, un diagnostic approfondi de la façade est nécessaire. Pour cette tâche, l’idéal est de contacter un façadier professionnel comme https://www.facadier-peintre-77.fr/ . Ces problèmes sont tout d’abord dus à la porosité de la façade. En effet, les matériaux utilisés pour sa construction deviennent plus poreux avec les intempéries répétitives, les champignons parasitaires, ainsi que les fréquentes variations de température. Ces phénomènes altèrent aussi bien la peinture que l’enduit. Ce qui laisse l’occasion aux eaux de pluie de s’installer entre le revêtement et le mur. Ensuite, le mauvais état des murs extérieurs explique les problèmes d’humidité. Dans une telle situation, il importe donc de vous demander s’il n’est pas temps d’exécuter des travaux de ravalement de façade. Au fil des années, les végétaux parasites, notamment les mousses, les lichens et les algues se développent sur la façade. Les joints de cette dernière peuvent également être abimés. Tous ces éléments ne font que favoriser son manque d’étanchéité. Pour poursuivre, le mauvais état de la toiture, notamment les gouttières, engendre de tels problèmes. C’est le cas lorsqu’elles sont percées par endroit ou lorsqu’elles ne permettent pas une bonne évacuation des eaux de pluie. En conséquence, ces dernières ruisselleront donc le long des murs. Une inspection régulière des gouttières devra ainsi être réalisée. Si besoin est, des travaux de réparation sont de mise. Enfin, la malfaçon de l’ouvrage peut être à l’origine des infiltrations d’eau en façade. Elle est principalement due à l’utilisation de matériaux inadéquats ou peu adaptés au moment de la construction des murs. Pour mettre fin à ces soucis, le recours aux services d’un professionnel en travaux de ravalement est incontournable. Quelles solutions adopter face aux infiltrations d’eau en façade ? Comme susmentionnés, les problèmes d’infiltration d’eau sont à prendre au sérieux. En effet, ils peuvent occasionner de grands dégâts à l’exemple du ramollissement des murs ou de l’altération des isolants.  S’ils persistent, l’humidité peut atteindre l’intérieur de la maison. D’où la formation des moisissures et des traces incommodantes sur les murs. Néanmoins, il existe différentes façons de remédier à ces problèmes. On peut agir en amont par le biais des traitements préventifs, ou en amont avec des traitements curatifs. Les traitements préventifs Seules les façades en bon état pourront faire l’objet d’un traitement préventif. Pour ce faire, on peut procéder, d’une part, à leur « hydrofugation ».  Cette opération consiste à imprégner les murs extérieurs du logement d’un liquide hydrofuge. En pénétrant au cœur des matériaux, ce produit va leur conférer ses vertus imperméabilisantes. Il forme également à leur surface une couche protectrice impénétrable pour l’eau. Malgré cela, les murs pourront respirer convenablement. Sachez que l’hydrofugation des murs présente d’innombrables avantages. En plus d’imperméabiliser les murs, elle les rend moins vulnérables à l’encrassement, aux intempéries, surtout au développement des mousses et des algues. D’autre part, ces problèmes peuvent être résolus grâce à l’entretien régulier de la façade. En effet, une séance de nettoyage des murs est à effectuer une fois au moins tous les ans. Retenez qu’il existe différentes techniques de nettoyage de façade (la nébulisation, le nettoyage à haute pression, le gommage, etc.). Leur mise en œuvre sera toutefois tributaire de l’état des murs. Ainsi, nous vous conseillons de laisser au ravaleur professionnel le soin de déterminer le type de traitement qu’exigent vos murs. Les traitements curatifs Si la façade se trouve dans un piètre état, son hydrofugation ne suffira pas à mettre fin aux problèmes d’infiltration d’eau. Dans ce cas de figure, l’exécution des travaux de ravalement de façade est de mise. En raison de la complexité et de la lourdeur des opérations, le recours aux services d’une entreprise spécialisée est incontournable. Les travaux en question ne visent pas uniquement à améliorer l’aspect extérieur de la bâtisse. En général, ils s’accompagnent des travaux d’isolation thermique qui rendent cette dernière plus confortable.
Il y a 4 ans et 222 jours

La réouverture de l’Opéra Grand Avignon est prévue le 29 janvier 2021

L’Opéra Grand Avignon retrouvera son public fin janvier 2021.
Il y a 4 ans et 222 jours

A Paris, dans les tours endormies de la Défense, plus grand quartier d'affaires d'Europe

Après avoir refermé la porte de l'espace de travail de 25 postes à l'isolement depuis qu'un cas Covid a été détecté au sein d'une équipe, Laurent Lévy, directeur général de Freelance.com, située au 18e étage de la Grande arche, parcourt les 1.200 m2 à moitié déserts de son entreprise de 200 salariés."On navigue à vue", lâche-t-il, sans compter "l'impact systémique qu'on va se prendre sur l'année 2021."Par la fenêtre du plateau plongé dans le noir, les immenses tours futuristes percent à peine le ciel de plomb en cette journée d'automne morose, près d'un an après l'apparition du coronavirus.En contrebas, les cadres supérieurs en costume slaloment entre les gratte-ciels du quatrième centre d'affaires au monde. Les grandes enseignes et le centre commercial Les 4 Temps brassent leur flux de consommateurs. Des adolescents en baskets squattent les marches menant à la Grande arche, dont des techniciens en apesanteur réparent l'ascenseur vertigineux.Derrière les murs des 59 tours de verre et d'acier, plus rien ne ressemble au monde d'avant.Selon l'établissement public Paris-La Défense, qui gère ce quartier construit dans les années 60, depuis la fin du confinement en France en mai, la fréquentation de ses quelque 180.000 salariés a baissé de 40%. Les 3,7 millions de m2 de bureaux des 500 entreprises sont bien clairsemés.De la fourmilière qu'était La Défense, qui abrite banques, sièges sociaux du CAC 40 ou grandes entreprises internationales, "il ne reste pas grand-chose", soupire Rabah Kidri, responsable d'équipe dans une grande banque du quartier.Sens de circulation imposésAu bureau de ce trentenaire, entre le télétravail, les mesures barrière et les sens de circulation imposés, les salariés ne sont "plus jamais en même temps au même endroit". Les liens sociaux se délitent, le travail est ralenti."Pour aller voir Antoine qui est à trois chaises derrière moi, je suis obligé de faire le tour de deux salles", explique le jeune homme, au siège de son entreprise deux à trois jours par semaine."Si on le fait, c'est qu'il y a nécessité, (...) alors qu'avant, on pouvait le faire plusieurs fois dans la journée, ne serait-ce que pour voir comment ça allait ou se faire un petit coucou."Dans une autre tour, siège d'un géant de l'énergie, Mohamed, qui nettoie des bureaux à la Défense depuis 17 ans, a vu l'atmosphère changer radicalement."Avant le Covid, les employés se permettaient de boire un café avec nous, ils rigolaient. Maintenant, c'est travail, travail et rien d'autre. Même quand ils nous voient à la cafétéria, ils vont nous regarder : est-ce que tu es masqué, quelle est ta société... Les gens sont méfiants !"Pour les agents d'entretien, la pression est forte. "On est en première ligne. On n'a pas le droit à l'erreur. On oublie de mettre un savon dans les toilettes et l'affaire remonte tout en haut", raconte Mohamed, qui préfère ne pas donner son nom de famille. Comme ses collègues, il craint d'attraper le virus "mais après on n'a pas le choix, il faut qu'on travaille."Le mot d'ordre : "rassurer", même si la charge de travail s'en trouve alourdie. "Les gens doivent voir qu'on est partout, qu'on désinfecte les ascenseurs, les bureaux, comme ça, dès qu'ils touchent quelque chose, ils savent que ça a été nettoyé."A la pause déjeuner, Mohamed court pour tout aseptiser, claviers d'ordinateurs, tables, plexiglas entre les bureaux.Rabah Kidri lui préfère éviter la cantine, qui n'a plus rien d'un lieu de convivialité: il faut y réserver sa place une semaine à l'avance, pour un créneau d'une demi-heure."Le visage de l'autre"Ambiance "morose", "tendue" à la Défense, disent ses salariés.Face aux visages masqués et aux plateaux fantômes. "Tout le monde attend avec impatience de pouvoir enlever son masque, moi le premier, pour respirer un peu et ne serait-ce que pour voir le visage de l'autre", dit Laurent Lévy de Freelance.com.Face à la deuxième vague et aux nouvelles mesures qui ne cessent d'être annoncées, au risque d'aggraver la crise économique. Pour cette année, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) prévoit une récession de 9% et la destruction de 840.000 emplois en France.Si les grandes sociétés des tours de la Défense paraissent solides, elles prennent des coups.Le cours de l'action Société Générale a presque été divisé par trois depuis février. Dans certains groupes, l'activité a chuté au point que les salariés sont désoeuvrés. "Les managers essaient d'occuper les gens en confiant des tâches annexes", souffle cet employé d'une petite institution financière."Tout est devenu plus pesant", soupire Chantal Raisséguier, directrice d'une société de conseil immobilier spécialisée dans l'hôtellerie."Dès que les choses redémarrent un peu, on a le sentiment qu'il va y avoir des annonces négatives, des freins qui se remettent. (...) Ça donne le sentiment que ça ne va jamais s'arrêter."Sans compter des conditions de travail déshumanisées.A Freelance.com, comme dans beaucoup de sociétés de La Défense habituées aux outils numériques, le télétravail, imposé massivement et de manière soudaine, est la règle. Pour la plupart, les échanges se font depuis des mois par emails, visio, téléphone.L'intégration des "nouveaux" est un casse-tête. A distance, "c'est quand même beaucoup plus compliqué de comprendre ce qu'on fait, qui est qui, les tenants et aboutissants de l'organisation", souligne Claude Tempe, vice-président de la société."Le body langage, les rapports humains, les ragots de couloir, tout ça construit la façon dont les gens communiquent entre eux."Cyril de Thoury, qui dirige un pôle de neuf personnes dans sa banque, raconte avoir recruté un jeune alternant sans l'avoir jamais rencontré. Son intégration avec des équipes présentes seulement 50% du temps a posé d'énormes difficultés.Réinventer le bureauMais globalement, à Freelance.com comme ailleurs, le télétravail n'a pas posé de problèmes logistiques majeurs. "On a réussi à maintenir un niveau d'activité et de service quasi équivalent à ce qui se faisait quand tout le monde était au bureau", constate Claude Tempe.Nombre de salariés ont d'ailleurs compris que l'ère de la présence au bureau touchait à sa fin. La pandémie a montré "qu'on peut très bien travailler de n'importe où en France avec une efficacité presque équivalente", dit Rabah Kidri prêt à "aller travailler ailleurs avec un salaire peut-être un peu moindre mais une qualité de vie supérieure".Un moyen de faire des économies pour des sociétés qui pourront être tentées d'y louer moins de m2 - comme certaines grosses entreprises l'ont déjà envisagé à la City de Londres ou à Manhattan.A La Défense, quatre nouvelles tours sont en construction, dont deux de plus de 200 mètres de haut.Paris-La Défense se veut optimiste: "On sait que l'immobilier est fait de cycles et depuis 60 ans La Défense en a connu de nombreux."Mais Christophe Burckart, directeur général de IWG, entreprise qui loue 18.000 m2 pour le coworking dans le quartier, ne croit pas à un retour en arrière. "Le bail conventionnel où les entreprises doivent s'engager à louer pour 6, 9 ou 12 ans devient une rigidité très contraignante pour les entreprises", affirme-t-il.Persuadée que "le bureau va devoir se réinventer", Mme Raisséguier parle désormais au passé de ce pôle économique "extrêmement vivant" où elle a travaillé une vingtaine d'années."Est-ce que le quartier redeviendra aussi plein qu'avant ? Pas certain", avance-t-elle, alors que tout le monde subit le reconfinement.
Il y a 4 ans et 222 jours

Pourquoi les années 50 ont tant marqué l'histoire du design et de l'architecture

Bonnes feuilles. Avec l'ouvrage Le style années 50, l'intégrale, paru aux éditions Parenthèses, Dominic Bradbury nous offre une somme indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à cette période qui compte comme l'une des plus marquantes et créatives de l'histoire du design et de l'architecture. Retour sur la richesse et sur les grandes lignes de ce qu'on appelle "le style années 50."
Il y a 4 ans et 223 jours

« Niemeyer Sphere »: une œuvre posthume à Leipzig

L’un des derniers projets imaginé par Oscar Niemeyer a été livré à Leipzig, 8 ans après sa disparition. Ce projet mis au point à partir de ses croquis dessinés en 2011 a été développé puis finalisé par son assistant J. Valera en collaboration avec l’architecte lipsien Harald Kern. Le résultat est une symbiose étonnante entre un bâtiment industriel en brique rouge et une extension sphérique moderniste en béton blanc. Un chantier complexe marqué par le développement de vitrages...
Il y a 4 ans et 223 jours

Des permis de construire accordés par le maire de Bonifacio à son prédécesseur annulés

Les associations U Levante et l'association bonifacienne comprendre et défendre l'environnement (ABCDE) ont contesté la validité de deux arrêtés municipaux pris en août et septembre 2019 par l'actuel maire Jean-Charles Orsucci (LREM).Ces arrêtés accordaient des permis de construire à Jean-Baptiste Lantieri, l'ancien maire (DVD) de 1998 à 2008 de la cité des Falaises, à l'extrême sud de l'île de Beauté.Le premier permis portait sur la création d'une résidence de tourisme de 32 logements et le second de 46 appartements.Dans les deux cas, le tribunal administratif de Bastia a estimé que le secteur des projets ne respectait pas le code de l'urbanisme précisé par le plan d'aménagement et de développement durable pour la Corse (Padduc) et a annulé les permis de construire, selon les décisions de justice prises mardi et consultées par l'AFP."Le projet en litige s'implante dans un espace essentiellement vierge d'urbanisation où sont implantées quelques constructions de façon diffuse ne pouvant de ce fait être regardées comme constituant une agglomération ou un village", indique le tribunal dans sa décision portant sur le second projet.
Il y a 4 ans et 223 jours

Télétravail: Elisabeth Borne prévient les employeurs récalcitrants qu'ils s'exposent à des sanctions

Après une visite au siège de BNP Paribas dans le quartier Opéra, puis dans les locaux d'Engie et de Total à la Défense, la ministre a insisté lors d'un point presse sur le caractère "indispensable" du télétravail pour les activités qui le permettent, au vu de l'épidémie "très brutale" de Covid-19.Depuis une semaine, la nouvelle version du protocole national en entreprise prévoit que "100% des tâches télétravaillables doivent être télétravaillées", a-t-elle rappelé, des règles qui semblent appliquées avec moins d'entrain depuis le nouveau confinement."J'ai passé ma semaine à appeler des dirigeants d'entreprises, des DRH, pour leur dire que même si aujourd'hui - et c'est ce qui revient beaucoup - les salariés ne souhaitent pas majoritairement repasser à 100% en télétravail, il faut le faire", a ajouté la ministre, plaidant qu'il faut trouver "le bon équilibre" entre poursuivre l'activité économique et "casser la dynamique de l'épidémie"."C'était important pendant cette semaine de sensibiliser" et ensuite "si jamais certaines entreprises n'ont pas compris, on sera dans notre rôle de conseiller, d'accompagner, mais aussi de contrôler et si ça ne va pas, de mettre en demeure et d'avoir des sanctions", a affirmé la ministre."On fait d'abord confiance" au dialogue social et "si certains ne comprennent pas, on sera amenés à faire des sanctions", a-t-elle insisté.Au siège de BNP Paribas, dans la matinée, la ministre a visité un immense open-space quasiment vide, la direction indiquant n'avoir "jamais fait revenir tous les salariés" depuis la première vague. Dans une agence bancaire, "service essentiel" selon la direction, 6 salariés sur 9 étaient en revanche présents, avec un protocole sanitaire strict.La ministre s'est ensuite rendue au siège d'Engie, accueillant en temps normal 4.000 personnes. Ils n'étaient que 80 vendredi, soit 2%, contre environ "2.000 avant le second confinement", selon l'entreprise. Celle-ci a expliqué avoir choisi de laisser "des soupapes" pour les personnes ayant des raisons personnelles de venir, car "trop seules ou dans des appartements trop petits", ou ayant des activités nécessitant d'être sur place (dépannage informatique, service courrier...).Enfin, chez Total, la direction a fait état de 8% de personnes présentes vendredi dans les 4 sites du groupe du quartier d'affaires, et 20% en moyenne sur la semaine.Le ministère a commandé un sondage pour mesurer l'état réel du recours au télétravail, attendu en principe en début de semaine prochaine.
Il y a 4 ans et 223 jours

Rue Charrière à Paris, MAO ne raconte pas d’histoires mais une histoire

Parfois, un bâtiment contemporain raconte en même temps, exactement, ce que la ville fut, ce qu’elle est au présent et ce qu’elle sera. La rue Charrière est une petite voie discrète du XIe arrondissement de Paris dont l’immeuble de 35 logements livré en août 2020 au 9-11 par l’agence parisienne MAO fait œuvre de livre [&#8230;] L’article Rue Charrière à Paris, MAO ne raconte pas d’histoires mais une histoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 223 jours

Mixité urbaine : le concept fétiche de la ZAC Tartempion ?

La mixité est désormais utilisée à toutes les sauces par tout un chacun parlant de tout et n’importe quoi n’importe comment. Du politique au promoteur en passant par les urbanistes, chacun y va de sa berceuse. Décryptage. En réponse à notre article «&#160;A Noisy-le-Grand, la ZAC Maille-Horizon, un outil de dé-mixité ?*&#160;», une lectrice, habitante [&#8230;] L’article Mixité urbaine : le concept fétiche de la ZAC Tartempion ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 223 jours

Le Métabolisme construit : une balade dans l’avant-garde japonaise

A quoi bon s’entêter à transformer toutes les villes en musée d’architecture à ciel ouvert ? L’obsolescence programmée de l’architecture n’est pourtant pas chose nouvelle. En témoigne le métabolisme nippon. Sous la plume de Benoît Jacquet, architecte et chercheur installé au Japon depuis 1999, et les belles images du photographe Jérémie Souteyrat (résident au Japon [&#8230;] L’article Le Métabolisme construit : une balade dans l’avant-garde japonaise est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 223 jours

ABC Grenoble, un "démonstrateur" de l'autonomie énergétique

EN IMAGES. Concevoir et construire des logements utilisant trois fois moins d'eau et d'électricité issue des réseaux que des logements classiques, Linkcity et Valode et Pistre Architectes s'y sont attelés pendant huit ans. Le projet ABC Grenoble a été livré cette année. Retour sur une expérimentation grandeur nature.
Il y a 4 ans et 223 jours

L’architecte est-il encore le bouffon social de Claude Parent ?

Quel architecte ne s’est jamais retrouvé, le visage bouffi de colère, face à un maître d’ouvrage, une entreprise, un voyer, un responsable de projet, un assistant, un… un… un…qui, fort de son incompétence, suppute le cadre de ses responsabilités et de ses prérogatives ? Trêve de bouffonneries, l’architecture est « d’intérêt public » ! Dans l’architecte bouffon social*, Claude [&#8230;] L’article L’architecte est-il encore le bouffon social de Claude Parent ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 223 jours

Il était une fois un fonctionnaire – Lettre d’exil de Claude Parent

Quand Claude Parent (1923 – 2016) écrit en 1982 L’architecte Bouffon Social (Edition Casterman), il dit dans sa préface ressentir « une haine telle que la souffrance peut la justifier ». Sa lettre d’exil, que Chroniques d’architecture reproduit ici, pourrait avoir été, sans en changer un mot, écrite aujourd’hui et nous éclaire sur l’objet de [&#8230;] L’article Il était une fois un fonctionnaire &#8211; Lettre d’exil de Claude Parent est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 223 jours

L’Ile-de-France signe pour plus de bois et de biosourcé

L’Hester, Rosny-sous-Bois. [©Sergio Grazia] Pour arriver à la neutralité carbone d’ici 2050, la route est longue… Dans l’état, le bâtiment fait toujours partie des activités les plus émettrices de carbone. Le choix des matériaux de construction, la performance globale du bâtiment sont autant de paramètres, qui pèsent dans la balance. Comme l’avait souligné l’association BBCA en 2018, 60 % du bilan carbone d’un bâtiment sont liés à sa construction. La Stratégie nationale bas carbone prévoit la réduction de 49 % (par rapport à 2015) de l’empreinte du secteur d’ici 2030. Si la rénovation est un axe important dans cet objectif, la construction neuve est aussi un enjeu majeur. La RE 2020 devrait engager le processus et ainsi éviter de construire les passoires thermiques de demain. Pourtant certains professionnels du secteur s’inquiètent de l’efficacité de la nouvelle réglementation. Et si la révolution environnementale venait d’ailleurs&nbsp;? Comme le dit si bien Julien Vidal dans son ouvrage éponyme «&nbsp;Ça commence par moi&nbsp;»&nbsp;! C’est le message que semble aujourd’hui porter la Région Ile-de-France. Appuyé par l’interprofession FIBois Ile-de-France, le Pacte Bois-Biosourcés rassemble près de 28 aménageurs et maîtres d’ouvrage. En créant de nouveaux marchés dans la région, le pacte a pour but d’accompagner la structuration des filières des matériaux biosourcés sur tout le territoire national. «&nbsp;Il incarne la solidarité entre les territoires, via la mise en place de relations vertueuses entre nos villes et nos forêts&nbsp;», explique Paul Jarquin, président de FIBois Ile-de-France. Près de 28 signataires au Pacte Bois-Biosourcés Ainsi, les signataires1 s’engagent à réaliser en 4 ans, entre 10 % et 40 % de constructions neuves ou réhabilitations en bois et/ou biosourcés. La moitié des bâtiments devra intégrer du bois en structure. Ils devront mettre tous les moyens en œuvre pour atteindre un objectif de 30 % de bois et matériaux biosourcés français. Et utiliser impérativement du bois issu de forêts gérées durablement. Enfin, les parties prenantes devront garantir l’atteinte de ces engagements via des référents bois. Ou encore, la formation des équipes de maîtrise d’ouvrage et le partage des connaissances avec les autres signataires… De son côté, la FIBois Ile-de-France compte soutenir de manière active les 28 engagés depuis le début. D’ailleurs, l’interprofessionnel a annoncé la mise en place d’un Observatoire de la construction bois et biosourcés en Ile-de-France dès 2021. Elle met en avant 4 axes de suivi&nbsp;: la traçabilité des matériaux pour favoriser les circuits courts, la régénération de la forêt francilienne, la valorisation de la ressource forestière locale. Et un accompagnement sur la complémentarité et les ponts avec des labels et certifications. Tels les labels BBCA, Bâtiment biosourcé ou E+C-… De plus, les signataires pourront bénéficier du regard des partenaires de la filière forêt-bois. A l’image de l’association BBCA, Collect’if Paille, Construire en Chanvre Ile-de-France. Ou encore, l’UICB et Ekopolis… 1Les signataires aménageurs&nbsp;: EPA Marne, EPA Sénart, EPA Paris-Saclay, EPFIF, Grand Paris Aménagement, EPA Orly Rungis Seine Amont, Paris et Métropole Aménagement, Semapa, Société du Grand Paris, Solideo.Les signataires bailleurs sociaux&nbsp;: Elogie-Siemp, CDC Habitat &#8211; Grand Paris Habitat, Groupe 3F, Paris Habitat, RIVP.Les signataires promoteurs immobiliers&nbsp;: Aventim, Bouygues Immobilier, CDU Immo, Continental Foncier, Icade, Kaneah, Linkcity, Marignan, Redman, REI Habitat, SemParisSeine, Woodeum.Les collectivités&nbsp;: La Région Ile-de-France.
Il y a 4 ans et 223 jours

L’architecte, les dynasties et le facteur cheval

L’architecte est à cheval sur l’indépendance. Ethel Hazel n’est pas très à cheval sur sa généalogie. Dr. Nut n’en revient pas des affaires du monde. *** «&#160;Une femme doit ignorer la différence qu&#8217;il y a entre un étalon et un cheval&#160;» Gustave Flaubert. *** Ethel Hazel est retenue dans une pièce sombre – une écurie&#160;? [&#8230;] L’article L’architecte, les dynasties et le facteur cheval est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 223 jours

De bonnes raisons de confier ses travaux de construction à un professionnel

Contrairement aux idées reçues, construire soi-même sa maison est loin d’être une solution économique. Particulièrement risquée, cette idée peut, au contraire, présenter de nombreux inconvénients. Pour éviter les éventuels accidents et les erreurs de construction, il vaut mieux faire appel à une agence de construction professionnelle. Disposant d’une équipe qualifiée, elle saura répondre aux demandes et aux exigences du client. Un gage de qualité et de professionnalisme L’un des plus grands avantages de faire appel à une agence de construction, c’est la qualité de service qu’elle fournit. Celle-ci sélectionne, en effet, les meilleurs ouvriers et artisans afin de garantir la réussite du projet de construction de maison. Tout au long des travaux, son équipe fait preuve de compétence, de sérieux et de professionnalisme pour mener à bien les missions qui lui sont confiées. En confiant la construction de sa maison à un professionnel, le propriétaire a l’assurance de bénéficier d’un travail soigné et de qualité. De l’élaboration du plan à la remise des clés, l’agence travaille dans les règles de l’art et selon le strict respect des normes en vigueur. Recourir à une société à Angers, c’est aussi éviter les erreurs et les désordres qui surviennent au cours de la construction. Il faut dire que construire une nouvelle maison implique un grand nombre d’interventions qui ne s’improvisent pas. Il ne suffit donc pas d’avoir du matériel pour assurer la préparation du terrain et pour réaliser les travaux de maçonnerie. Encore faut-il disposer d’une solide compétence et d’une expérience avérée dans le domaine. D’où l’importance de faire appel à un expert de la construction de maison neuve comme Les Maisons Batibat. Que le client souhaite construire un bâtiment traditionnel, contemporain, avant-gardiste ou de plain-pied, il saura réaliser son rêve. Un seul et unique interlocuteur De nombreux particuliers ont recours aux services de l’agence de construction pour trouver des programmes immobiliers neufs. Les expériences acquises lui permettent, en effet, de proposer des offres adaptées à tous les budgets. En tant que principal partenaire du client, l’agence va prendre en main la construction de A à Z de la maison, depuis la phase de conception jusqu’à la livraison du chantier. Elle va, pour cela, réunir tous les corps de métier du BTP, notamment les maçons, les plombiers, les peintres en bâtiment, les électriciens, les spécialistes en isolation et en ravalement de façade. Au lieu de faire appel à plusieurs prestataires, le propriétaire n’aura affaire qu’avec un seul interlocuteur. La construction d’une maison neuve requiert généralement un investissement colossal que bon nombre de clients particuliers ne disposent pas. Que ce soit au niveau des gros œuvres ou au niveau de la finition, le propriétaire doit trouver les fonds nécessaires pour terminer en temps et en heure les travaux. Pour être sûr d’obtenir la maison de ses rêves, le mieux est de confier les travaux à une entreprise de bâtiment professionnelle. En plus des avantages cités ci-dessus, l’investissement immobilier neuf permet aussi de bénéficier d’une aide financière importante et d’un suivi rigoureux des travaux.
Il y a 4 ans et 223 jours

Exercice : Pylône

Le studio de création français Exercice développe des projets à la croisée de l’architecture, du design et de l’art. Avec « Pylône », il signe une ligne de meubles modulables qui conjugue simplicité et élégance. La collection « Pylône » est une série de tables à l’écriture minimaliste. Très contemporaines, ces tables résultent d’un assemblage de tôles et de tubes en aluminium brut de différentes dimensions. Le système de fixation du piétement est le même pour chaque pièce afin que tous les plateaux de la série soient interchangeables. Derrière l’apparente froideur de l’aluminium se cache une étonnante douceur. Les designers ont subtilement travaillé ce matériau brut pour jouer sur les contrastes, et ainsi donner du cachet à la collection. La finition polis du plateau offre un toucher soyeux, tandis que la rigueur des lignes du piètement est adoucie par les angles arrondis. Les tables « Pylône » sont réduites à l’essentiel, et témoignent d’une belle recherche sur la simplicité des formes et l’économie de moyens. Pour en savoir plus, visitez le site du studio Exercice.Visuels : © ExerciceLa Rédaction
Il y a 4 ans et 223 jours

Layher, 75 ans et toujours tourné vers l’avenir

Eric Limasset, président de Layher France, présente l’Uni-Safe. [©ACPresse] L’année 2020 a été particulière à plusieurs niveaux pour Layher. Déjà, l’échafaudeur allemand fête ses 75 printemps. Avec 27 M de ml de tubes d’acier produits chaque année, une présence sur 5 continents et 2 000 collaborateurs, le groupe a su traverser les âges et rester innovant. Pour preuve, Layher France, premier client du groupe, avait présenté pas moins de quatre nouveautés produits à l’occasion du dernier Batimat. Puis, dès mars 2020, la crise sanitaire et le premier confinement mettent en pause le monde du bâtiment et de nombreux secteurs. Si la filiale française a dû réduire ses activités, elle est tout de même restée opérationnelle. «&nbsp;Notre siège et nos dépôts étaient ouverts sur rendez-vous, explique Eric Limasset, président de Layher France. Et près de 40 % de notre masse salariale était en chômage partiel. Puis, les chantiers sont repartis assez tôt. La 2e quinzaine d’avril, 90 % de nos activités bâtiment avaient repris.&nbsp;» Entre innovation et formation Les secteurs de l’industrie, de l’événementiel ou de l’aéronautique restent encore peu dynamiques pour Layher France. Pour le moment, l’échafaudeur tient ses objectifs. «&nbsp;Nous avons beaucoup performé en vente. Nos clients ont profité des aides pour renouveler ou acheter leur matériel. A voir comment les entreprises vont être affectées sur les mois d’octobre, novembre et décembre. Et quelles conséquences sur nos activités ?&nbsp;» L’équipe française reste confiante pour 2021. « Il faut redynamiser nos façons de travailler. Nous investissons en temps sur l’innovation et pour prendre de nouvelle part de marché… » Un état d’esprit mis en pratique dès le début du confinement. En effet, à travers sa filiale Layher Formation, l’industriel a mis en place des formations à distance. Au total, les 50 webinaires ont permis de réunir près de 3 000 participants. Cette formule pourrait être pérennisée, quand cela est possible, dans le cadre de préparation de stage. Puis, fort de son partenariat avec le Sfece (Syndicat français de l&rsquo;échafaudage, du coffrage et de l&rsquo;étaiement) au lycée professionnel de la Rochette, Layher France compte accompagner l’ouverture de nouvelles classes d’échafaudeurs en 2021 dans tous les lycées spécialisés dans les métiers du bâtiment. Et ce, grâce à un accord avec le ministère de l’Education nationale sur un projet de Mention complémentaire. « Les entreprises ont du travail, mais il y a toujours un problème de ressource, de main-d’œuvre. La formation et l’accompagnement des jeunes sont un moyen d’y répondre. » Aussi, durant le mois d’avril, Layher France a travaillé sur la traduction de ses solutions sur Revit. Et depuis septembre, l’industriel est passé en “FullBIM”. Il a déjà réalisé cet été l’intégration du chantier Rollercoaster de Disneyland Paris avec cette technologie. Solution de protection collective Autre avancée vers la digitalisation de la profession, Layher France s’est doté depuis septembre d’un nouveau service de relevés par drone. « C’est un moyen de modéliser les chantiers, d’avoir un rendu précis et d’optimiser le temps de préparation du plan de calepinage. Cela permet aussi de ne pas ramener du matériel inutile. Ce service s’adapte très bien aux Monuments historiques. » Enfin Layher France lance un nouveau produit : l’Uni-Safe. Imaginée pour le marché de l’échafaudage, la solution répond au montage pour la Protection collective. Elle se compose de montants, de lisses, de garde-corps d’extrémité plus légers et de boîtiers comportant deux clips rouges, permettant de relier les éléments les uns aux autres. Ce système de clips en crochets de sécurisation permet un montage et un démontage sans outils et par une seule personne. Uni-Safe est plus compact qu’un matériel classique. Et nécessite un volume de logistique divisé par deux et moins d’espace de stockage sur chantier.
Il y a 4 ans et 223 jours

Ginger acquiert Hydrosol Fondations leader de la géotechnique en Tunisie

Le groupe d"ingénierie qui détenait jusqu’ici 30% du capital d'Hydrosol Fondations a récupéré les parts détenues par la société Tuninvest Sicar (Africinvest Group).
Il y a 4 ans et 223 jours

La marque française Technal célèbre ses 60 ans

Un esprit visionnaire insufflé par son fondateur André Bos, créateur en 1963 du profilé rainuré « 4114 » qui a bâti la « success-story » TECHNAL. Marque de référence dans le monde de l'architecture et du bâtiment, et également chez les particuliers, TECHNAL est reconnue à l'international pour la qualité et la performance de ses solutions. Des menuiseries innovantes, design et gages de confort pour les utilisateurs qui vivent en harmonie, reflets de son ADN. Sa proximité avec l'ensemble des professionnels, son sens du service, son écoute… sont également des valeurs fondatrices et fédératrices que TECHNAL s'attache à perpétuer. À la recherche de l'excellence, elle s'appuie sur l'engagement et la passion des femmes et des hommes pour l'atteindre.60 ans d'innovation et de designInnover, en imaginant des choses simplement mais différemment, telle est la philosophie de TECHNAL. Un esprit pionnier, nourri par la marque, pour toujours conserver une longueur d'avance.* Véritable apporteur de solutions, TECHNAL est à l'origine de nombreuses avancées technologiques aujourd'hui démocratisées. Du coulissant épuré et performant GK considéré, dès sa commercialisation en 1975, comme la « Rolls des baies coulissantes » à la première véranda à tubulure du marché baptisée JADE en 1993, en passant par le lancement de la gamme de fenêtres universelles SOLEAL en 2007, le premier coulissant à ouvrant caché LUMEAL en 2009, la fenêtre anti-bruit active en 2015 ou plus récemment la fenêtre climatique en 2017… Créatrice de tendances, la marque a fait évoluer l'offre de finitions : le blanc laqué TECHNAL, les collections EXCLUSIVES aux tonalités texturées et en 2019 les couleurs « Regards d'architectes » en collaboration avec ALAIN MOATTI et KENGO KUMA. TECHNAL a également été précurseur en communication. Elle a par exemple été la première marque dans le secteur de la menuiserie à être présente en télévision dès 1987.60 ans de passion pour l'architectureANDRÉ BOS a noué très vite des relations étroites avec les architectes. Cela a débuté avec des documentations complètes que les commerciaux leur remettaient en mains propres à travers la France. En 1987, TECHNAL franchit un nouveau cap en confiant la réalisation de son stand BATIMAT à un architecte de renom. DOMINIQUE CHÂTELET, JEAN NOUVEL, JEAN-MICHEL WILMOTTE, NORMAN FOSTER, FRANÇOISE-HÉLÈNE JOURDA, JACQUES FERRIER, NICOLAS MICHELIN, KENGO KUMA, STEFANO BOERI…, la collaboration se poursuit depuis 33 ans.En 2002, le lancement du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL est l'occasion de valoriser la coopération entre les architectes, les maîtres d'ouvrage, les fabricants-installateurs et l'industriel.Pour poursuivre et renforcer son histoire avec les prescripteurs, TECHNAL lance fin 2018 sa communauté « Club 4114 ». Au programme : échanges d'expériences, inspirations et amour pour l'architecture. En 2019, le concours international WORLD ARCHITECTURE TECHNAL AWARDS (WATA) marque d'une nouvelle pierre blanche l'histoire de TECHNAL. Il confirme le rayonnement de la marque française, reconnue au-delà des frontières pour son savoir-faire et ses solutions en aluminium conjuguant design et confort de vie.
Il y a 4 ans et 223 jours

Penser un habiter métropolitain, 100 logements sur l'île de Nantes par Tectône+Tact

Bien plus qu&#39;un simple a&eacute;roport, Orly, inaugur&eacute; par le g&eacute;n&eacute;ral de Gaulle le 24 f&eacute;vrier 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle a&eacute;rogare en verre et en acier pr&eacute;sente aux automobilistes venant de Paris une fa&ccedil;ade vitr&eacute;e bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernit&eacute; de son architecture.&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 223 jours

Équerre d'argent 2020: les nommés de la catégorie Habitat

Bien plus qu&#39;un simple a&eacute;roport, Orly, inaugur&eacute; par le g&eacute;n&eacute;ral de Gaulle le 24 f&eacute;vrier 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle a&eacute;rogare en verre et en acier pr&eacute;sente aux automobilistes venant de Paris une fa&ccedil;ade vitr&eacute;e bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernit&eacute; de son architecture.&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 223 jours

Une résidence séniors ID&amp;AL groupe sur le site de l'ancienne clinique de Mont de Marsan

114 logements, destinés à la location, verront ainsi le jour d'ici septembre 2022 au sein d'un programme visant à réduire les situations d'isolement des personnes âgées grâce à de nombreux services et une proximité directe du centre-ville.Le 14 septembre dernier, rue Henri Duparc à Mont de Marsan (40), a débuté la construction d'un programme pensé et développé par ID&AL groupe, avec le concours de l'Atelier SCHWEITZER Architectes. Ce projet consiste en la réalisation d'une résidence de services à destination des populations dites « seniors ». Cet habitat intermédiaire, véritable alternative entre l'Ehpad et le domicile, constitue une solution d'avenir pour les publics visés qui se retrouvent trop souvent isolés en périphérie de Mont de Marsan. Les habitants des 114 logements prévus par le programme jouiront d'une implantation idéale au cœur de la ville. Ainsi facilité, l'accès aux commerces, transports, loisirs et dispositifs médicaux est propice au lien social et complémentaire aux multiples services de la résidence assurant protection, sérénité et qualité de vie. Parmi les services et aménagements pensés par ID&AL groupe : espace d'accueil, restaurant, bar, piscine, salle de fitness, salle de détente. Une architecture responsable et agréable L'espace abandonné depuis le départ de l'ancienne clinique de Mont de Marsan a permis de concevoir un programme ambitieux et respectueux de son environnement naturel et calme. La prise en compte des maisons individuelles et du Parc Jean Rameau voisins a participé aux choix architecturaux évitant un volume continu et monotone. C'est dans ce cadre que le bâtiment se décline tout d'abord suivant une stratification horizontale avec un socle affirmé qui le « pose » sur le terrain en pente dont il convient d'accompagner la déclivité tout en gérant les différentiels de hauteurs. Les étages courants sont traités avec une alternance de loggias, baies libres et baies donnant sur balcons, et tous les appartements bénéficient d'une ouverture sur l'extérieur. Placés en sous-sol, les stationnements favorisent ainsi les espaces verts et les cheminements piétons en surface ainsi qu'un boulodrome. Le choix de la labellisation NF HQE vise quant à elle à limiter à court et long termes les impacts environnementaux de l'opération de construction et de réhabilitation, tout en assurant aux futurs occupants des conditions de vie saine et confortable. Cette résidence se compose de 114 appartements allant du T1 au T3 répartis comme suit :33 T1 de 36m² en moyenne63 T2 de 45m² en moyenne18 T3 de 65m² en moyenne« Face au vieillissement de la population et à l'isolement croissant des personnes âgées, les territoires doivent établir une politique du logement adaptée aux besoins de leurs concitoyens les plus âgés. En tant que développeur d'immobilier, notre rôle est de les aider à trouver des solutions pour répondre à la question du ‘'bien vieillir'' chez soi. C'est ainsi que nous avons conçu et pensé cette résidence. Elle est le fruit de notre volonté de créer du lien social et de garantir un maximum de confort et de convivialité aux habitants, tout en leur assurant la proximité du centre-ville et de ses attractions. Un concept qui a séduit la Mairie de Mont de Marsan par son potentiel de création d'emplois non délocalisables, son adaptation aux enjeux de prévention de la perte d'autonomie et son exploitation opportune d'un espace resté en déshérence ces dernières années »Kim MAS, Directeur de l'agence Côte basque d'ID&AL groupe
Il y a 4 ans et 223 jours

Récupération de la chaleur des villes : un potentiel énorme

L’Institut National de l’Economie Circulaire et France Energie viennent de révéler les résultats d’une étude inédite sur le potentiel de récupération de la chaleur en ville et les manières de mieux l’exploiter. En ville, les activités humaines génèrent de la chaleur perdue. : • 1,3 MWh/an de chaleur perdue par l’électroménager (sèche-linge…) d’un ménage de 3 personnes • 1,2 MWh/an de chaleur perdue dans les eaux usées d’un ménage de 3 personnes • De 25 à 75 MWh / an de chaleur perdue par les installations informatiques d’une PME • 0,5 MWh / an de chaleur perdue dans une salle de réunion occupée 200h / an • 0,1 MWh / an de chaleur perdue dans les salles de sport pour chaque sportif Un foyer français consomme en moyenne 14,7 MWh / an. La récupération de chaleur en ville permettrait de diminuer de 20% la consommation de chaleur / froid des bâtiments collectifs, pour contribuer aux objectifs de la transition énergétique et notamment à la Renovation Wave Strategy publié par la Commission Européenne le 14 octobre 2020. Les technologies pour récupérer cette chaleur perdue existent et sont françaises. Par exemple, Qarnot Computing décentralise les supercalculateurs informatiques pour utiliser leur chaleur comme source de chauffage dans les bâtiments. A Bordeaux, Qarnot chauffe, grâce à 350 radiateurs-ordinateurs, 6000m² de logements sociaux et de bureaux. France Energie récupère la chaleur en excès des bâtiments (façade ensoleillée, cuisine, eaux usées…) pour la rediffuser dans les pièces qui en ont besoin grâce à des pompes à chaleur sur boucle d’eau. Cette technologie permet par exemple de réduire de 40% la consommation d’énergie de la Banque de France (Paris) ou de la Tour TF1 (Boulogne). L’Institut National de l’Economie Circulaire et France Energie recommandent aux pouvoirs publics de développer une meilleure connaissance du potentiel de la récupération de chaleur décentralisée en ville et de ses technologies via la réalisation d’études quantitatives, d&rsquo;encourager la récupération de chaleur décentralisée dans la commande publique pour la rénovation énergétique des bâtiments publics et de faire bénéficier du Fonds Chaleur de l’ADEME la récupération de chaleur décentralisée.
Il y a 4 ans et 223 jours

Les entreprises du SERCE prônent l’autoconsommation

L’autoconsommation est un levier efficace pour réduire la consommation énergétique et répondre aux exigences du nouveau décret du 23 juillet 2019 relatif aux obligations d’actions de réduction de la consommation d’énergie finale dans des bâtiments à usage tertiaire. La mise en oeuvre de projets d’autoconsommation implique des compétences en ingénierie, en études, la réalisation des travaux, la maintenance et l’exploitation de ces solutions. Les entreprises de la transition énergétique et numérique regroupées au sein du SERCE ont une réelle valeur ajoutée dans ces nouveaux modes de consommation de l’électricité. Elles mènent depuis plusieurs années une réflexion sur des modèles énergétiques décentralisés et bénéficient déjà de retours d’expériences concrets. Intégrateurs de solutions, elles accompagnent les maîtres d’ouvrage sur toute la durée du projet en proposant des montages financiers innovants (leasing, Contrat de Performance Énergétique, Certificat d’Economie d’Energie, tiers financement&#8230;). Des nouvelles boucles locales d’énergie électriques associant producteurs et consommateurs vont émerger avec la multiplication des opérations d’autoconsommation collective. Celles-ci devront s’appuyer sur des logiciels de supervision et de management de l’énergie, conçus et mis en oeuvre par des experts aux compétences multitechniques (courants forts, courants faibles, etc.). La capacité des entreprises du SERCE à s’engager sur le long terme, leur expertise technique, leur présence territoriale et leur maîtrise du risque leur donnent la légitimité pour piloter ces projets dans leur ensemble et dans la durée.
Il y a 4 ans et 223 jours

Travailler ensemble dans Archicad 23 & 24

BIM Track est le compagnon naturel d’Archicad, résolument Open BIM pour que les architectes, les Bureaux d’études, les Ingénieurs et les maîtres d&rsquo;ouvrage travaillent ensemble. Abvent offre ce plugin à tous les utilisateurs d’Archicad 23 & 24. Directement à partir de la fenêtre de travail Archicad, il suffit au créateur-gestionnaire d&rsquo;un projet d’identifier un sujet et d&rsquo;ajouter un commentaire, de poser une question&#8230; puis de l’assigner au contributeur concerné (ingénieur MEP, structure&#8230;) pour qu’il le retrouve en temps réel, à la fois sur la plateforme BIM Track et dans son propre outil Open BIM : Archicad, bien sûr, mais aussi Revit, Navisworks, AutoCAD, Tekla Structures, Solibri et BIMoffice. C&rsquo;est tout aussi simplement que l&rsquo;invité à un projet accède à BIM Track. Il lui suffit de suivre les indications du créateur-gestionnaire de projet qui l’a invité puis de télécharger le plugin. A lui d&rsquo;apporter sa contribution, simplement et directement dans son propre logiciel.
Il y a 4 ans et 223 jours

Hunter Douglas présente Combi-Line, un système de pose unique pour plafond

Des possibilités de modulation infinies Le système de pose unique Combi-Line est équipé de clips compatibles avec différentes solutions proposées par Hunter Douglas Architectural : les lames en métal 30 BD/BXD, les panneaux linéaires en bois plaqué 30WL60 et les panneaux en feutre HeartFelt® 30HL60. Il permet ainsi l’assemblage de trois différents matériaux et styles de panneaux sur un seul et même support, et en tous sens.Les possibilités sont infinies : Combi-Line permet de rompre les lignes pour un design comportant moins de linéarité, de créer des motifs aléatoires et des espaces libres, etc. Le nouveau système, conçu par Hunter Douglas Architectural, donne ainsi l'opportunité à chaque architecte de composer un plafond modulaire hors du commun, avec une vaste gamme de panneaux proposant différents matériaux et existant dans différentes finitions.Par ailleurs, chaque panneau peut être démonté indépendamment des autres : les clips, spécialement conçus pour les lames HeartFelt® et les panneaux linéaires en bois plaqué ou en métal, s'insèrent sur le rail porteur en acier et se fixent sur des positions pré-définies.Design et développement : créer à partir d’un défi Combi-Line est né grâce à un défi rencontré sur un projet important. En effet, l’ingénieux système a été développé sur mesure par Hunter Douglas Architectural pour le terminal de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol, dans lequel il a été installé en 2015. Avec les architectes en charge du projet, l'équipe Recherche et Développement (R&D) du fabricant a travaillé à l'élaboration d'un système équipé de clips intégrés au rail ; le but étant de permettre l’installation des lames de plafond de manière aléatoire, tout en garantissant la possibilité de créer de vastes espaces ouverts sur le plénum.Satisfaite par le résultat et convaincue du potentiel de ce système de pose plafond sur mesure, l’équipe Hunter Douglas Architectural a décidé de continuer à le développer. C’est ainsi que Combi-Line est né.Michiel Langeveld, Responsable Recherche et Développement chez Hunter Douglas Architectural, avait la charge de développer la solution. Il explique : « Alors que nous travaillions à la solution idéale pour le projet de l’aéroport, nous avons tout de suite su que ce nouveau système flexible avait un fort potentiel. Nous nous sommes rendu compte avec enthousiasme que nous pouvions innover, en combinant les clips compatibles avec les différents types de lames pour permettre de les interchanger. J’ai demandé aux architectes si la possibilité de mélanger les panneaux serait intéressante pour eux, et ils ont répondu par l'affirmative. »Au cours de l'élaboration du système, l’équipe R&D de Hunter Douglas Architectural a également mis au point un robot programmé pour laisser des marques sur le rail, aux positions exactes où chaque lame doit être fixée.Solution esthétique et technique sur mesure Pour Hunter Douglas Architectural, Combi-Line est un produit qui offre à l'architecte une liberté exceptionnelle dans son design.Pieter van Rees, Responsable du Business Development chez Hunter Douglas Architectural explique : « Non seulement le système permet le placement aléatoire des panneaux, mais en plus il représente une solution esthétique pour les espaces laissés ouverts sur le plénum car ils sont mieux intégrés dans le design. »Par ailleurs, grâce à la diversité des panneaux compatibles, les choix de couleurs sont larges ; plusieurs combinaisons, correspondant à différents styles, sont proposées par Hunter Douglas Architectural.Côté technique, Combi-Line propose des performances acoustiques idéales pour créer un environnement agréable : ce système de plafond permet d’obtenir une valeur d’absorption (αw) maximale de 0,70 en fonction du plafond et de l’agencement des lames. De plus, comme pour tous les systèmes de plafonds Hunter Douglas Architectural, le plénum est facile d'accès pour les besoins d'entretien et chaque panneau peut être démonté indépendamment des autres. Combi-Line : un système et divers panneaux de plafonds, pour un design unique. Avec Combi-Line, le fabricant entend ainsi démontrer qu’il est possible de créer des plafonds uniques.Pieter van Rees ajoute : « Le développement de Combi-Line prouve plus encore : il démontre que même une entreprise d’envergure internationale peut proposer des solutions individuelles, sur mesure, quel que soit le projet. »En effet, pour la seconde phase de l'élaboration du projet concernant le terminal de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol, Hunter Douglas Architectural a créé un module de 135,5 mm (distance séparant les centres des panneaux) contre 60 mm pour le modèle standard.Grâce à la diversité de design proposée et ses performances acoustiques admirables, Combi-Line s’adapte à tous les secteurs : entreprises, transports (aéroports, stations de métro ou de bus, gares ferroviaires), commerces, loisirs, espaces publics, hôtellerie, résidences ou établissements de santé ou éducatifs.
Il y a 4 ans et 224 jours

A HafenCity, en Allemagne, l’objet sculpté par Christian de Portzamparc

HafenCity est un projet de réaménagement d’une ancienne partie du port de Hambourg, en Allemagne. Sur ce site de 155 hectares situés au bord de l&#8217;eau, Christian de Portzamparc répond à un programme de bureaux (20 000 m²), logements (5 000 m²), deux hôtels 3 et 4 étoiles de 200 chambres (chacun 20 000 m²), [&#8230;] L’article A HafenCity, en Allemagne, l&rsquo;objet sculpté par Christian de Portzamparc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 224 jours

Plan de relance et rénovation du patrimoine : les 14 chantiers prévus à partir de 2021

Dans le cadre du plan de relance, 40 millions d'euros sont prévus pour la restauration du patrimoine. Le ministère de la Culture a annoncé ce lundi les 14 chantiers qu'engagera le Centre des monuments nationaux sur tout le territoire grâce à cette nouvelle dotation.
Il y a 4 ans et 224 jours

Les propriétaires du "Signal", immeuble symbole de l'érosion côtière, bientôt indemnisés

Le protocole a été signé entre l'État, la mairie de Soulac-sur-Mer et la communauté de communes Médoc Atlantique qui, officiellement, va devenir propriétaire de l'immeuble pour le détruire.Les 75 propriétaires recevront de l'Etat une indemnisation à hauteur de 70% de la valeur originelle estimée du bien, à la condition de transférer ce bien pour un euro symbolique à la communauté de communes et de renoncer à toute demande indemnitaire supplémentaire. Ils ont jusque décembre 2021 pour accepter.Les premiers versements d'indemnisation devraient pouvoir intervenir à partir du mois de mars 2021, selon la préfecture."Ce dossier est exceptionnel et devrait le rester", a prévenu la préfète de Nouvelle-Aquitaine Fabienne Buccio. Pas question que cela devienne une jurisprudence.Construit à 200 m du rivage en 1967, l'immeuble de quatre étages se trouve aujourd'hui au bord d'une dune sableuse qui menace de s'effondrer, à seulement 20 m des flots. En 2014, la préfecture avait pris un arrêté de péril et les résidents avaient dû vider définitivement les lieux.Les coproriétaires avaient alors entamé une bataille juridique pour être indemnisés qui s'est terminée par un refus du Conseil d'Etat en août 2018. Les parlementaires locaux se sont ensuite emparés du dossier jusqu'à ce qu'une enveloppe de 7 millions d'euros soit adoptée par le Parlement."Le dénouement favorable d'aujourd'hui n'était pas évident (...) seul un dispositif législatif pouvait le permettre", admet le maire de Soulac-sur-Mer et président de la communauté de communes, Xavier Pintat."Il y avait une âme""C'est la ténacité qui a payé, la persévérance au milieu d'un océan de doute", s'est également réjoui l'ancienne sénatrice LREM Françoise Cartron qui a défendu le dossier à Paris. "C'est un moment émouvant", a-t-elle confié, "c'est là qu'on voit le lien entre les élus nationaux et les citoyens. Sans l'outil législatif, on ne pouvait y arriver".Pour Jean-José Guichet, qui représente les copropriétaires, la majorité de ceux-ci devraient accepter l'accord. Sinon ils seront expulsés : le "choix est limité", dit-il, "les gens sont tellement las, cela fait des années qu'on se bagarre"."Ce n'était pas une résidence de gens hyper riches. C'était très mélangé, on était tous soudés. Il y avait une âme dans ce Signal", ajoute-t-il en se souvenant de ses filles et petites-filles venant en vacances. "Il faut être conscient qu'on ne pouvait plus rester. Je suivais l'avancée de la mer depuis 25 ans", ajoute M. Guichet, propriétaire depuis 1978.Le bâtiment avait été désamianté en 2018 pour éviter que "12.000 tonnes de gravats contaminés à l'amiante" ne tombent à la mer et sur la plage de Soulac, station balnéaire courue du Médoc. Le coût de ce désamiantage, un million d'euros, avait exceptionnellement été pris en charge par l'Etat."Des choses comme celle-ci ne devraient plus arriver. C'est un exemple, "Signal". Il va falloir être extrêmement vigilant sur les implantations nouvelles", a demandé Jean-José Guichet aux représentants de l'Etat qui signaient le protocole."Notre cas n'est pas unique, j'ai des coups de fil de la Martinique, de la Réunion, où il y a des cas similaires au Signal", a-t-il ensuite dit à la presse."Ce dénouement favorable n'arrête pas l'érosion côtière, on en aura dans les années à venir (...) ça deviendra un enjeu", a reconnu Xavier Pintat.
Il y a 4 ans et 224 jours

anthropie studio : Appartement MAL

À Paris, l'architecte My-Linh Tôn , à la tête de la jeune agence anthropie studio, a rénové un appartement haussmannien de 78 mètres carrés dans un esprit minimaliste, en travaillant les couleurs et les volumes. Fondée en 2019 par l’architecte My-Linh Tôn, anthropie studio a rapidement su imposer sa vision de l’architecture grâce à des projets divers toujours travaillés de manière décloisonnée. Forte de ses expériences auprès de Lina Ghotmeh, puis de Nicolas Dorval-Bory, My-Linh Tôn défend aujourd’hui une approche transversale de l’architecture et envisage chaque espace comme un objet d’art total. Pour l’appartement MAL, elle a entièrement joué sur les volumes, travaillé les couleurs, simplifié les lignes et optimisé l’espace. Ce petit appartement haussmannien se démarque par une organisation spatiale fragmentée. Située au centre de l’appartement, la cage d’escalier le divise en deux parties distinctes : les espaces de vie et les espaces privés. Il a donc fallu tenir compte de la cage d’escalier, de la façade unique et mono-orientée et du plan rectangulaire pour repenser l’organisation spatiale, la circulation de la lumière et l’identité de l’habitation. En se réappropriant la transversalité haussmannienne de l’appartement, My-Linh Tôn a fait le choix de revaloriser la distribution en enfilade en créant un jeu de portes ouvertes et fermées, ce qui permet de réunir les espaces ou de les dissocier à sa guise. L’architecte a ainsi créé un noyau central dont les différents espaces sont délimités par une grande baie vitrée. Dessinée sur-mesure et sculptée dans un chêne massif, cette verrière sépare la cuisine de la chambre-bibliothèque tout en laissant la lumière naturelle circuler. Les tonalités blanches et naturelles se déclinent sur toutes les surfaces, et renforcent les lignes tranchées des volumes. Une deuxième galerie d’un vert olive profond signale les transitions entre extérieur et intérieur, entre espaces partagés et espaces intimes, et parachève l’identité de l’appartement. Pour en savoir plus, visitez le site et le compte Instagram d’anthropie studio. Visuels : © Juliette AlexandreLa Rédaction
Il y a 4 ans et 224 jours

Télétravail : les ingénieurs demandent des "règles claires"

EMPLOI. Les bureaux d'études réuni au sein de la Fédération Cinov demandent aux pouvoirs publics des règles plus claires sur le télétravail.
Il y a 4 ans et 224 jours

XELLA : Protection incendie coupe-feu : La maçonnerie armée, l’innovation Ytong pour des murs coupe-feu économique et rapide à monter

Les systèmes de protection au feu passifs que constituent les murs et cloisons coupe-feu dans un bâtiment répondent à plusieurs contraintes : empêcher la propagation du feu pour évacuer les personnes, protéger les biens et les équipements, et résister mécaniquement à l’action des lances à incendie. Parmi les matériaux utilisés, le béton cellulaire s’impose comme la solution coupe-feu idéale. Classé A1, il est incombustible et assure une excellente résistance au feu. Grâce à ses propriétés minérales, il est étanche aux flammes et aux fumées et limite fortement l’élévation des températures dans les cellules mitoyennes. Sains et durables, les murs et cloisons séparatives Ytong offrent une protection incendie haute performance. Parmi les solutions coupe-feu proposées, les maçonneries armées en béton cellulaire se distinguent par leur rapidité de pose et leur légèreté. Au sein des projets de bâtiments tertiaires et industriels, elles permettent d’optimiser la mise en oeuvre, en érigeant en un temps record des murs coupe-feu de grandes dimensions, et de réaliser ainsi d’importantes économies de temps et d’argent. Pour les projets du futur centre commercial Maine Street situé au sud de l’agglomération du Mans à Ruaudin (72), qui offrira une surface commerciale d’environ 27 000 m2 avec une quarantaine de boutiques, et de la chocolaterie Ethiquable à Fleurance dans le Gers (32), qui regroupera la production, l’entrepôt, les bureaux et une boutique ouverte au public, ce sont deux solutions différentes de maçonneries armées coupe-feu Ytong qui ont été retenues. En tenant compte des contraintes de chacun de ces chantiers, le service technique de Xella a préconisé des techniques constructives optimisées. Ainsi, l’Ytong Gigabloc a été mis en oeuvre de manière mécanique pour Maine Street, tandis que des blocs Ytong Compact 20 associés à Ytofor ont été posés manuellement pour l’usine Ethiquable. &nbsp; Maçonnerie armée et blocs Ytong grand format La haute performance coupe-feu Grâce à la nature minérale du béton cellulaire, ses propriétés intrinsèques et sa forte résistance thermique, les solutions maçonneries armées Ytong sont particulièrement adaptées aux applications coupe-feu. Incombustibles, leur point de fusion se situe à environ 1200°C, et elles ne dégagent aucun gaz toxique ou inflammable. Aurélien REGNIER de l’entreprise BCG qui a réalisé le gros-oeuvre et le génie civil du projet Maine Street, décrit les enjeux du projet : « Il s’agissait de construire un hypermarché relié à des magasins de retail pour une surface de 27 000 m2. La problématique des murs coupe-feu était centrale car ils devaient séparer les nombreuses cellules commerciales mitoyennes qui comptent des magasins « à risque » (généralement les espaces de restauration intègrent des cuisines). Les solutions coupe-feu Ytong s’adaptaient parfaitement à ses contraintes. » Le béton cellulaire étant doté de propriétés coupe-feu répondait largement aux exigences du programme. « Le matériau présente plusieurs intérêts. Sur le plan technique, sa légèreté par rapport à l’aggloméré ignifuge ou au béton facilite sa manutention et sa mise en place. Les Gigabloc d’Ytong requièrent l’utilisation d’engins mais leur manipulation et leur pose restent bien plus aisées qu’avec du béton qui est beaucoup plus lourd. Le béton cellulaire est également plus performant en matière d’isolations phonique et thermique. En tout, nous avons dû monter 20 murs coupe-feu en béton cellulaire de 32 à 40 m de long et de 7 à 8 m de hauteur. La maçonnerie armée permet de réaliser ces murs très longs et très hauts en se passant de poteaux intermédiaires et chacun a pu être érigé en une semaine. Le service technique de Xella nous a été d’un grand soutien pour le dimensionnement. Grâce à l’étude technique menée par leur service, nous avons pu déterminer les produits et détails de la maçonnerie ainsi que les principes de fixation des blocs. Outre les tors de 10 posés à chaque rang dans la longueur, les murs sont accrochés à la charpente métallique du bâtiment par des fixations «fusibles». Le service technique a déterminé le type de fixation nécessaire en fonction des zones et des charpentes métalliques pour y accrocher chaque mur. » Ingénieur du service technique Xella, Vincent SENECLAUZE ajoute : « Le cahier des charges du projet Maine Street requérait 3H de coupe-feu. Comme notre béton cellulaire est très performant, nous atteignons 3H avec des blocs de 10 cm d’épaisseur, mais lorsqu’il s’agit de murs aux dimensions importantes, d’autres paramètres rentrent en compte. Nous avons émis une note technique pour un produit donné avec ses caractéristiques, les dimensions, le degré coupe-feu, la réponse au feu ainsi qu’une hypothèse d’effort au vent et le référentiel de la norme de dimensionnement utilisée, qui est l’Eurocode 6. Ces calculs ont permis de valider la solution des Ytong Gigabloc 15. Le choix de cette solution constructive est exceptionnelle pour des murs de cette dimension (épaisseur 15 cm). Ils mesurent 120 x 62,5 cm et sont rainurés sur leur partie haute. Dans cette rainure, une armature standard, un tor de 10 à chaque rang, renforce la résistance du mur. » Quant au projet de la nouvelle usine Ethiquable, l’entreprise L2C, missionnée par le promoteur Essor Agro pour le gros-oeuvre et les travaux de murs coupe-feu, a fait le choix de la solution Ytong Compact 20 avec l’armature Ytofor. Son directeur Vincent Soury témoigne des atouts de la solution : « Le béton cellulaire réalise de belles performances en matière de coupe-feu et de résistance thermique. C’est le compromis idéal pour ce type de programme, une usine accueillant également du public. Une performance coupe-feu 2H était requise. » &nbsp; Une mise en oeuvre plus rapide Pour le bâtiment Ethiquable, le choix s’est porté sur une mise en oeuvre manuelle avec les blocs Ytong Compact 20 et l’armature Ytofor. Vincent Soury de l’entreprise L2C raconte : « Le procédé reste traditionnel. Le montage à joint mince est pratique car le poids du mur reste léger. Les atouts de cette solution sont indéniablement la légèreté et la facilité de mise en oeuvre. L’Ytofor est une armature, conditionnée sous forme de rouleau, qui se pose tous les rangs pour supprimer les raidisseurs et les chaînages en béton armé. L’avantage d’Ytofor, c’est qu’on a plus du tout de chaînage à créer, ce qui rend l’exécution hyper rapide. On gagne au moins 50 % du temps passé grâce à ces solutions de maçonnerie sèche, car rien n’arrête la main d’oeuvre avec Ytofor. On peut monter jusqu’à 55m² dans la journée. » Vincent SENECLAUZE (Xella) pointe les performances techniques de la solution : « La mise en oeuvre d’Ytofor tous les rangs, là c’est tout les 25 cm, permet d’obtenir un meilleur renforcement mécanique de la structure du mur, avec une armature répartie sur toute la hauteur. Grâce à Ytofor, nous améliorons les capacités de dilatation. Le caractère innovant d’Ytofor peut parfois susciter des questions, mais nous rassurons nos interlocuteurs car nous disposons de toutes les certifications sur son dimensionnement et sa mise en oeuvre. De plus, l’accompagement de notre équipe technique permet une une réponse personnalisée et optimisée pour chaque projet. Nos techniciens-démonstrateurs interviennent à toutes les phases du chantier : pose, démonstration&#8230; » Pour Aurélien REGNIER (BCG) qui a mis en oeuvre des Ytong Gigabloc sur Maine Street « La pose a été réalisée par 4 personnes : un opérateur commandait une grue, une personne au sol aidait à manipuler les blocs, et dans une nacelle 2 personnes étaient respectivement chargées du positionnement des blocs et de la réalisation des joints. Sur le dessus des Ytong Gigabloc, une rainure accueille un tor de 10 que l’on fixe avec du mortier colle YtongFix, permettant ainsi une construction plus propre. » &nbsp; Les performances environnementales du béton cellulaire Les solutions maçonneries armées Ytong répondent aux objectifs de performances énergétiques, critères également décisifs pour le bâtiment de la chocolaterie Ethiquable. L’enseigne a choisi de répondre au cahier des charges de l’appel à projet In’NoWatt de la Région Occitanie, une certification qui se situe au-delà du référentiel HQE et récompense les opérations innovantes de construction qui limitent leur consommation énergétique avec une empreinte carbone la plus basse possible tout au long de leur cycle de vie. Aurélien REGNIER (BCG) atteste également de la durabilité de la maçonnerie Ytong utilisée dans le cadre du projet Maine Street : « Le béton cellulaire est pour ainsi dire inusable. La durée de vie du matériau est excellente. » &nbsp; Un accompagnement technique Vincent SENECLAUZE Ingénieur du service technique Xella « Le dimensionnement des murs coupe-feu est un service spécifique que nous apportons aux entreprises en amont, avec la phase études, le dimensionnement&#8230; Une fois que le projet a démarré, un technicien-démonstrateur de chantier Xella accompagne l’entreprise pendant toute la période de mise en oeuvre, permettant de répondre à d’éventuels retours ou de rectifier certains éléments avec le service technique. Tel est le phasage d’environnement d’un chantier. » &nbsp; Solutions de protection incendie coupe-feu en maçonnerie armée Zéro chaînage YTONG GIGABLOC – une solution de montage rapide (grue ou élévateur nécessaire) Léger, isolant et de grandes dimensions, Ytong Gigabloc (120 x 62,5) permet de monter très rapidement des murs coupe-feu de grande envergure, à l’aide d’une petite grue de chantier. Cette pose facilite les manipulations, réduit considérablement le temps de mise en oeuvre et est plus économique. De plus, existants en deux dimensions, les blocs sont facilement coupables, ce qui assure une pose rapide et une parfaite adaptabilité sur le chantier. Enfin, ils assurent la sécurité des personnes et des équipements grâce à leur haute performance coupe-feu (EI 240) et leurs excellentes propriétés thermiques qui permettent de mieux résister aux sinistres. Ytong Compact 20 associé à Ytofor L’association des murs Ytong Compact avec l’armature Ytofor dans les joints horizontaux renforce la résistance aux efforts transverses et apporte une grande liberté pour la conception et la réalisation de murs coupe-feu. Elle supprime les chaînages horizontaux et verticaux et simplifie la mise en oeuvre du chantier (jusqu’à 25 % plus rapide à poser). L’armature métallique Ytofor s’intègre directement dans les joints de la maçonnerie en remplacement des chaînages habituels verticaux et horizontaux. Economique et rapide à poser, elle ne nécessite ni béton coulé, ni chaînages, ni accessoires spécifiques. &nbsp; Solutions de protection incendie coupe-feu en maçonnerie armée  compact 15  compact 20  maxibloc 15 maxibloc 20  gigabloc 15   DESCRIPTION Epaisseur (cm) 15 20 15  20 15 20 Dimensions (LxH) 62,5 x 25 62,5 x 25 60 x 62,5  60 x 62,5 60 x 62,5 60 x 62,5 Poids humide par pièce (kg)*  14,5  17,6  31,6  42,2  60,8  81,0 Profil TPE  TPE  Lisse  Lisse  Lisse  Lisse Bloc TA associé (diam cm)  10,0  12,0  &#8211;  &#8211;  &#8211;  &#8211; Bloc TU associé (évidement L x Ht (cm)  7 x 18  12 x 18  &#8211;  &#8211;  &#8211;  &#8211;  PROPRIÉTÉS  Résistance à la compression normalisée Rcn (MPa)  4,0  4,0  Résistance caractéristique à la compression fb (MPa)  3,78  3,78  Résistance caractéristique à la flexion fxk1 (MPa)  0,15  0,15  Résistance caractéristique à la flexion fxk2 (MPa)  0,30  0,30  Résistance au feu EI (min)  EI 240  EI 240  Hauteur maximale de stabilité au feu (m) 12  16  12   16  12   16 Durée de stabilité au feu HCM (min)  HCM 120  HCM 120  HCM 120  Résistance au feu REI (min)  REI 180 REI 180  Capacité portante sous l’incendie (t/ml)  9  16  9  16  9  16  Résistance thermique mur (m2.K/W)  1,20  1,82  1,36   1,82  1,36   1,82  Affaiblissement acoustique Rw (dB)  40 (-1;-5)  45 (0;-3)  40 (-1;-5)  45 (0;-3)  40 (-1;-5)  45 (0;-3)  Zone sismique (application mur CF) 1 &#8211; 2 &#8211; 3 &#8211; 4  1 &#8211; 2 &#8211; 3 &#8211; 4  UTILISATION  Nombre de blocs/m2  6,4 6,4  2,7  2,7  1,4  1,4  Conso colle (kg/m2)  2,6  3,5  1,1  1,5  0,6  0,8  Poids du mur sec (kg/m2)  77,6  93,5  68,6  91,5  68,1  90,8  Type de mise en oeuvre  Manuelle  Mécanisée  Pince de levage  Pince à bordure  Compatible en maçonnerie armée  Ytofor tous les rangs Acier HA 10 tous les rangs Définitions des valeurs : R = stabilité : laps de temps pendant lequel un élément de construction continue à remplir sa fonction porteuse et maintient sa stabilité pendant un incendie. E = étanchéité aux flammes : le laps de temps pendant lequel un élément de construction reste étanche aux flammes, à la fumée et aux gaz. I = isolation thermique : le laps de temps pendant lequel l’élement de construction limite la température du côté qui n’est pas exposé au feu, de telle sorte qu’il n’y ait pas de combustion spontanée dans l’espace qui ne brûle pas. &nbsp; PROJET MAINE STREET Lieu : Ruaudin (72) Promoteur : Groupe Dejouis Type de projet : Centre commercial de 27 000 m2 Blocs utilisés : Ytong Gigabloc 15 / 20 Date de livraison : courant 2021 Entreprise Générale du bâtiment BCG : Rue de Gasseville &#8211; Zone Artisanale Basse Choux BP 90022 &#8211; 57255 Sainte-Marie-Aux-Chênes Tél : 03 87 73 37 81 &#8211; www.bgc-france.fr PROJET ETHIQUABLE Lieu : Fleurance (32) Architecte : Essor Agro Type de projet : Usine de production et bureaux de 5 800 m2 Blocs utilisés : Ytong Compact 20 avec Ytofor Date de livraison : courant 2021 Entreprise L2C (Groupe Bernadet) : 17, rue du Commandant Cousteau &#8211; ZA Pont Peyrin 32600 L’Isle-Jourdain Tél. : 05.62.07.07.09 &#8211; www.groupe-bernadet.com
Il y a 4 ans et 224 jours

Vicat réalise des ventes en hausse de 6% au 3ème trimestre et reste optimisme pour l'ensemble de 2020

De juillet à septembre, son chiffre d'affaires s'est ainsi élevé à 762 millions d'euros, soit une croissance de 12% à périmètre et changes constants."La performance du groupe Vicat sur les 9 premiers mois de l'année 2020 démontre sa résilience et sa forte capacité à saisir les opportunités de croissance qui se présentent sur ses marchés. L'impact Covid sur la rentabilité opérationnelle (...) a été gommé fin juillet", s'est félicité son PDG, Guy Sidos, cité dans un communiqué.Ainsi, alors que le cimentier s'attendait cet été à une "baisse modérée" de son excédent brut d'exploitation (Ebitda) en 2020, il espère désormais une "croissance marquée" à périmètre et changes constants.Fin septembre, cet indicateur atteignait 403 millions d'euros, soit une progression de 8,1% sur un an (+11,7% à périmètre et changes constants).Vicat explique son optimisme par "la reprise de l'activité, notamment en France et en Inde" et par le "dynamisme des régions Amériques et Afrique".Le groupe, qui a déménagé son siège social de La Défense, près de Paris, à l'Isle-d'Abeau (Isère) en octobre, met également en avant le recul des coûts de l'énergie et son programme de réduction des coûts de structure évalué à 28 millions d'euros.Sur les neuf premiers mois de l'année, son chiffre d'affaires a légèrement grimpé, de 0,3%, pour s'établir à 2,1 milliards d'euros (+2,1% à périmètre et changes constants).En France, son principal marché qui représente près du tiers de ses ventes, le chiffre d'affaires a reculé de 5,8% (à périmètre constant) de janvier à septembre à 713 millions d'euros, malgré le dynamisme du troisième trimestre (+7,7%).
Il y a 4 ans et 224 jours

K-THERM CL PSE, une réponse simple à vos chantiers ITE

La question de la rénovation énergétique d’un bâtiment se pose souvent au moment du ravalement de la façade. Avec K-THERM CL PSE, Unikalo entend bien faire d’une pierre deux coups en proposant aux professionnels du bâtiment un système complet d’isolation thermique d’enduit mince sur plaques de polystyrène expansé (PSE) qui permet, à la fois d’isoler et d’embellir durablement les façades. K-THERM CL PSE, 1 seul système = 2 produits. Unikalo passe à l’offensive avec une toute nouvelle offre destinée à répondre de manière simple et efficace aux attentes terrain des professionnels en matière d’optimisation des chantiers d’ITE. En effet, K-THERM CL PSE est une ingénieuse solution qui va leur permettre un gain de temps évident, une diminution de la pénibilité, une logistique pratique et une économie financière immédiate. Pratique et polyvalent, K-THERM CL PSE se présente sous la forme d’un système unique, composé seulement de deux produits : K-THERM COLLE MCR : enduit fibré multifonction. Une solution 2 en 1 utilisée pour le collage / calage des plaques de polystyrène expansé (PSE) et leur enduisage pour la réalisation d’une couche de base armée. A base de ciment blanc ou gris, de sables sélectionnés et d’additifs spécifiques, ce mortier en poudre permet une consommation de 2,5 kg/m² en collage/calage et 4,5 kg/m² en enduisage. L’application est simplifiée par une glisse parfaite et une excellente facilité de reprise. Sa fine granulométrie apporte un aspect lisse et homogène. Autres caractéristiques techniques : > Aspect : mat minéral > Granulométrie inférieure à 0,8 mm > Rendement enduisage : 4,5 kg/m² K-THERM RPE SILOXANE : revêtement de peinture épais de finition haute durabilitée destinés à l’embellissement des façades. Prêt à l’emploi, l’application sans fixateur du K-THERM RPE SILOXANE offre un gain de temps (1 étape d’application en moins) et une économie de produit (pas de fixateur) sur chantier ! Autres caractéristiques techniques : > Aspect du film : mat > Granulométrie : 1,2 mm – 1,5 mm – 2 mm > Conditionnement : 25 kg Le nouveau système K-THERM CL PSE revendique des performances assez remarquables : &#8211; des propriétés thermiques élevées, jusqu’à R=6,5 m².K/W, &#8211; une protection renforcée anti-cryptogamique qui réduit considérablement la prolifération des moisissures, algues et champignons, &#8211; une résistance au feu classée (Euroclasse B-s1, d0), &#8211; une formule fibrée qui lui confère une excellente résistante mécanique afin d’éviter les risques de craquelures des enduits. Des atouts techniques attestés par les certifications en vigueur : ETA-19/0279- version 1 selon ETAG 004, DTA 7/19-1767_V1, K-THERM CL PSE entre ainsi dans le cadre de la garantie décennale des entreprises. K-THERM CL PSE a la faculté de s’adapter aisément à tous projets, les petits comme les grands chantiers et se destine à tous types de bâtiments : constructions neuves ou anciennes, maisons individuelles, logements collectifs, bâtiments commerciaux. Il convient également parfaitement aux exigences élevées des maisons passives et label BBC ou des chantiers de rénovation lourdes des ETICS (K5, K6 et K7). Bien isoler, mais décorer avant tout Un chantier ITE, c’est avant tout l’embellissement d’une façade. Que ce soit pour une intégration valorisante dans des architectures contemporaines ou dans le respect de la valeur patrimoniale d’un bâtiment admis en secteurs sauvegardés, les enduits de finition K-THERM se déclinent en un large choix : • de finitions (siloxane, silicate ou acrylique) : > K-THERM RPE SILOXANE : ce revêtement à base de copolymère et de siloxane possède un effet perlant pour une finition très haute durabilité. > K-THERM RPE ACRYL : les qualités hydrofuges et microporeuses de ce revêtement à base de copolymère acrylique lui permettent de bien protéger la façade. > K-THERM RME SILIKAT : l’aspect mat, très naturel de ce revêtement en phase aqueuse plaira à tous les amoureux des revêtements minéraux et permet de répondre aux cahiers des charges des Architectes des Bâtiments de France (ABF). • d’aspects et de granulométrie (taloché ou ribbé, grain fin, moyen ou gros grain), • de plus de 65 000 teintes. Pour éviter que les façades exposées au soleil palissent ou s’altèrent, les enduits de finition K-THERM bénéficie de la technologie K’OLOR TECH composée de pigments minéraux ultrasolides, créée une barrière réflective et renforce encore davantage la tenue des teintes des revêtements de finition. Une offre de services riche et adaptée à chaque besoin Afin de garantir la pleine réussite de chaque projet, Unikalo guide ses clients à chaque étape en déployant un large éventail de services personnalisés : • accompagnement technique: préconisation, assistance au démarrage chantier, assistance technique… • appui commercial : présence sur les chantiers, étude couleur, échantillonnage, • plateforme dédiée : référencement, centralisation et stockage de tous les accessoires nécessaires aux chantiers ITE, • logistique réactive et flexible : livraison par phases de chantiers en 24-48h dans plus de 220 distributeurs en France. Avec K-THERM CL PSE, Unikalo étend son expertise au marché de l’ITE en apportant une réponse technique complémentaire fonctionnelle. Elle prouve une fois encore que faciliter le travail des poseurs et les accompagner sur les chantiers est plus que jamais SA priorité.