Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

L'intriguant design de Victor Castanera trouble la perception de l'utilisateur, la structure qui apparait aux premiers abords équilibrée défit en réalité les lois de l'apesanteur. La lampe instaure une discussion entre sphères et lignes qui se supportent et s'empilent mais ne s'équilibrent pas. Cette fragilité structurelle est contrebalancée par l'utilisation de matériaux durs comme le marbre. Le noir et le blanc se répondent comme les textures mates et réfléchissantes. Cette composition épurée et dynamique semble avoir été figée à un instant T. Pour en savoir plus, visitez le site de Victor Castanera

L'intriguant design de Victor Castanera trouble la perception de l'utilisateur, la structure qui apparait aux premiers abords équilibrée défit en réalité les lois de l'apesanteur. La lampe instaure une discussion entre sphères et lignes qui se supportent et s'empilent mais ne s'équilibrent pas. Cette fragilité structurelle est contrebalancée par l'utilisation de matériaux durs comme le marbre. Le noir et le blanc se répondent comme les textures mates et réfléchissantes. Cette composition épurée et dynamique semble avoir été figée à un instant T. Pour en savoir plus, visitez le site de Victor Castanera

L'acronyme W8 est un clin d'"il au jeu de poids des différents matériaux qui composent la table d'Alain Gilles et éditée chez ligne Roset. Lieu de rencontre entre la stabilité et l'instabilité, il joue sur le déséquilibre apparent de la structure du meuble. De forme convexe, les pieds de la table ne peuvent maintenir l'équilibre de l'objet, la masse sous-jacente vient stabiliser le tout par un système de contre poids. La pierre de grès pietra serena, contribue au visuel graphique et courbe de la table. Les deux matériaux antagoniques se complètent, et deviennent finalement essentiels l'un pour l'autre. Pour en savoir plus, visitez le site d'Alain Gilles

La marque japonaise Mark's ouvre son premier concept store européen à Paris, dont le design a été confié à Joseph Grappin Studio. L'architecte a imaginé un espace au style contemporain, habillé de béton et de bois pour contraster et souligner leurs produits typiquement japonais. Dans la boutique, une structure étagère conçue en bois clair de frêne-olivier court le long des murs et du plafond. Le volume arborescent est décuplé par un jeu de miroir disposé au plafond, procurant une sensation de profusion végétale. L'ossature sous forme de grille géométrique est assemblée par clés de bois qui viennent successivement bloquer les pièces à chaque hauteur de plateau. Ce nouveau procédé met en avant une relecture et adaptation des techniques de charpentes traditionnelles japonaises. Aérien et dynamique, le module de bois clair allège les solides de bétons sous-jacents. Cette architecture graphique confère à la fois une esthétique contemporaine et japonisante au lieu tout en optimisant l'espace et le rangement. La construction modulable permet au magasin de devenir une entité changeante qui se meut au rythme des volumes de bétons et des poutres de bois. Joseph Grappin dans son projet mêle esthétisme et aménagement, pour donner vie à un nouveau principe constructif. Pour en savoir plus, visitez le site de Joseph Grappin

C'est au Centquatre qu'a élu domicile le festival de la jeune photographie européenne. Véritable tremplin pour les jeunes photographes depuis 2011, et laboratoire prospectif et innovant de la créativité contemporaine, Circulation(s) propose un regard croisé sur l'Europe à travers la photographie. Sa vocation est de faire émerger les talents et de créer un réseau de structures européennes. A voir au Centquatre du 21 janvier au 5 mars 2017 Le festival Circulation(s) est l'un des projets les plus originaux et les plus ambitieux de la photographie contemporaine. Il est dédié à la diversité photographique européenne. Depuis sa création en 2011, il a exposé plus de 225 artistes et reçus près de 175 000 visiteurs. La programmation s'articule autour de la sélection du jury suite à un appel à candidatures international (800 dossiers reçus / 25 artistes sélectionnés), d'une galerie et d'une école invitées, ainsi que de la carte blanche du parrain de l'édition. Chaque artiste sélectionné présente lors du festival un ensemble d'"uvres permettant aux visiteurs, professionnels et grand public, d'appréhender le mieux possible son travail artistique. 450 "uvres sont produites par le festival et restituées aux artistes à la fin de l'exposition (hors tournées). Paris devient un lieu de rencontre internationale pour la photographie en proposant des artistes qui sont exposés pour la première fois dans la capitale. Circulation(s) - Festival de la jeune Photographie européenne, jusqu'au 5 mars 2017, Plein 5¤ - Réduit 3¤, Centquatre " 5, rue Curial, 75019 Paris - Du mercredi au dimanche (hors vacances) du mardi au dimanche (en période de vacances)de 14h à 19h en semaine et de 12h à 19h le week-end Pour en savoir plus, visitez le site de Circulation(s) et du Centquatre

Sur les bords d'un lac artificiel au milieu d'une forêt des Landes, le projet des Échasse s'installe sur ses rives et remodèle son dessin. Ici l'architecture veut tutoyer la nature et réparer les coupures parfois trop franches d'un lac s'imposant à son milieu. Le dialogue dessine un paysage de dunes auréolé de pins élancés, le sable dragué est déposé en cordon sur la périphérie du plan d'eau de façon à créer de petites baies où nichent les bungalows du projet hôtelier. Le choix des architectes s'est porté sur une série de chambres bâties en bois orientées sur le lac tout en ménageant l'intimité de ses occupants. Contrastant avec les lignes arrondies des dunes les toitures des pavillons s'affirment en se dressant à l'oblique. "La concordance entre les constructions et l'environnement n'est pas de l'ordre de l'imitation : l'architecture et le site sont définis dans une homologie contrastée. Posées au-dessus de l'eau dans laquelle elles se mirent, ces petites unités autonomes sont un moment du paysage et permettent à la nature de former un milieu continu. Différents cheminements serpentent entre les reliefs et, à travers la variété des perspectives offertes sur le site, confirment ce sentiment." Patrick Arotcharen Architecte Photographies : Vincent Monthiers , Mathieu Choiselat Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Arotcharen Architecte  

ATN fait état d'une année 2016 s'achevant sur une " bonne tendance ". Malgré un peu de retard pris sur la commercialisation des nouveaux produits, le constructeur enregistre au 15 janvier 2017 15 M¤ de commandes, soit le montant du CA 2016. 4 nouvelles nacelles innovantes ont rejoint le catalogue du constructeur qui se consacrera à leur promotion en 2017. Entretien avec Daniel Duclos, PDG d'ATN.

Si les constructions récentes font appel à la gestion des pluies raisonnées à la parcelle, lorsqu'il s'agit du c"ur des villes, c'est une démarche difficile à mettre en place. Il est plutôt fait appel à des bassins de grande taille pouvant  contenir les pluies des gros orages faisant office d'ouvrage tampon afin d'éviter la montée en charge des réseaux d'évacuation et la pollution des fleuves. C'est le cas à Issy-les-Moulineaux où un bassin géant a vu le jour sous un complexe sportif.

Afin de sublimer un ensemble de bureaux de 5 020 m² installé au coeur d'Eurotechnologies à Lille, TERREAL et l'architecte Paolo Tarabusi se sont associés pour créer des façades alternant des briques à hauteur d'étage (BHE) et des surfaces vitrées. L'ensemble forme un jeu de colonnes répétées 1 500 fois pour habiller les deux bâtiments d'un motif géométrique contemporain. C'est grâce à une étroite collaboration entre TERREAL et l'atelier Tarabusi que ce projet a pu prendre forme. L'entreprise spécialisée en terre cuite n'a pas hésité à ajuster ses produits pour répondre aux spécificités du chantier. "Depuis les toutes premières réflexions nous avons eu envie d'associer au nouveau bâtiment une utilisation de la brique très contemporaine et, en même temps, en continuité avec la tradition constructive locale. On voulait réaliser autre chose qu'une coque en béton revêtue de briques de parement." Paolo Tarabusi L'environnement proche est historiquement caractérisé par la présence de bâtiments industriels de grande taille aujourd'hui transformés ou en cours de transformation, et par la petite échelle des maisons ouvrières en bande. L'aménagement urbain de la nouvelle ZAC introduit à travers les nouveaux bâtiments, un éventail riche de gabarits intermédiaires capables de créer, selon les cas, des transitions visuelles parfois fluides et parfois plus contrastées, fruit d'un dosage savant et finement calibré. Dans cette variété urbaine, sauf rares exceptions, un seul matériau, la terre cuite, déclinée sous diverses formes, unifie et relie les différents volumes, programmes et époques. Séduit par la matérialité brute des briques monolithes à hauteur d'étage TERREAL des bâtiments agricoles, Paolo Tarabusi a imaginé un projet architectural innovant et contemporain ancré dans la tradition locale. Les façades des bureaux du Doge à Lille intègrent ainsi 1 500 éléments de grande hauteur en terre cuite séparés un à un par des vitrages. Les surfaces pleines sont à quelques centimètres près de la même largeur que les vitres et donnent au bâtiment un aspect ajouré, teinté de matière et de légèreté. Une véritable innovation architecturale qui s'intègre parfaitement au paysage du plus grand incubateur d'entreprises d'Europe. Les pièces de terre cuite sont sans ornement et expriment pleinement leur matérialité et leur couleur naturelle ocre rouge. Une liaison en partie haute et basse permet à la brique monolithe isolée d'être posée sans joints ni enduits. Les striures, irrégularités et nuances de teinte de la terre cuite donnent au bâtiment un caractère rustique et volumineux rendu léger et aérien grâce aux éléments vitrés. Le process de mise en oeuvre représente à lui seul un véritable défi technique. Les briques n'ont pas été scellées mais assemblées mécaniquement et fixées en une seule fois grâce à des platines hautes et basses prises dans le béton. Pour gagner du temps et éviter les salissures, le béton a été coulé directement sur palettes dans un atelier situé à quelques kilomètres du chantier. Les équipes de mises en "uvre ont ainsi été en mesure d'encastrer 60 briques de 2,60 m x 2x80 m par jour.     Intitulé du Projet : Le DogeLieu : Lille Maitrise d'ouvrage : NacaratMaitrise d'"uvre : Atelier Tarabusi Surface : 5 020 m²Montant des travaux : 5 500 000 ¤ HT Calendrier : Livraison décembre 2016  TERREAL Fabricant de matériaux de construction pour l'enveloppe du bâtiment Terreal est depuis plus de 150 ans un acteur référent des matériaux de construction en terre cuite et déploie des solutions innovantes pour l'enveloppe du bâtiment au travers de 4 activités : couverture, structure, façade, décoration. Terreal réalise un chiffre d'affaires d'environ 350 millions d'euros et compte plus de 2 400 collaborateurs à travers le monde. Photographies : Atelier Tarabusi Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2017 dans la catégorie Bureaux, espaces tertiaires Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards,  de l'Atelier Tarabusi et du fabricant TERREAL

L'Établissement public d'aménagement de La Défense Seine Arche (Epadesa) et Bouygues Immobilier s'apprêtent à débuter la construction de deux immeubles de logements dans le secteur Nanterre Coeur de Quartier de la ZAC Seine Arche.

Le groupement constitué de Spie batignolles SCGPM, Besix et de Francis Soler (architecte) a livré fin 2016 le nouveau centre R&D d'EDF en construction depuis mi-2008 sur le plateau de Paris-Saclay (EDF Lab Paris-Saclay). Coût de cet investissement : 212 M¤.

Fournisseur de produits pour bétons architectoniques et décoratifs, GCP Applied Technologies lance Moby Cline VBA, un nouveau système autonome de lavage, collecte et traitement des effluents. Destiné aux chantiers de béton désactivé et de béton drainant, il supprime le rejet des désactivants et amoindri la consommation d'eau.

Case Construction Equipment vient de lancer en production dans son usine de San Mauro, sa nouvelle gamme de mini pelles. Basée sur un design signé du coréen Hyundai, cette nouvelle offre - qui comptera à terme 10 modèles de 1 à 6 t - a été finalisée à travers un mode de partage de savoir-faire. Pour l'instant, le modèle de pelles sur pneus de 5,5 t existant chez Hyundai, n'est pas prévu dans l'offre Case.

Le loueur Loxam a gonflé son offre d'achat en numéraire à 270 pence (3,11¤) par action sur le groupe britannique Lavendon, spécialisé dans la location de nacelles. Soit un montant de 459M£ (531,27 M¤).

Un nouveau chalet recouvert d'un bardage de bois brulé a rejoint les cabanes perchées du désormais célèbre Treehotel situé au nord de la Suède. La nouvelle structure, conçue par Snøhetta, s'élève à 10 mètres au-dessus du sol et comme ses voisines s'accroche aux arbres du parc de cet hôtel atypique. 12 colonnes métalliques portent le projet. Fines et aux teintes sombres, elles semblent se fondre dans le paysage vertical offert par les troncs des arbres de la forêt. L'architecture proposée par Snøhetta s'inspire des formes traditionnelles de l'habitat nordique. Elle élève un volume coiffé d'un toit à double pente tutoyant le haut des conifères voisins. La sous-face du projet, véritable sixième façade, est recouverte d'une feuille d'aluminium, elle reflète le décor et offre de la légèreté à l'ensemble. La perception du volume est alors tronquée, le projet se dissimule dans son environnement. "The boundaries between indoors and outdoors are blurred, making the cabin part of the fores." Snøhetta Contrastant avec le bardage extérieur, l'intérieur est habillé de bois clair. L'espace de 55 m² permet d'accueillir 5 invités. Son plan distribue 2 chambres, un salon et une salle d'eau. Presque au centre du plan et imaginé comme un patio, une terrasse constituée d'un filet permet une expérience en apesanteur au dessus des bois. Photographies : Johan Jansson Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta et celui du Treehotel

A BAU, on trouve tout pour la construction bois : fibres et laines de bois pour l’isolation, structure bois pour construire en hauteur, menuiseries, …KLH fête ses 20 ans !

Dans une société saturée de sons et d'images, le silence devient un véritable luxe. Pourtant le calme est nécessaire pour se retrouver, se concentrer parmi ce vacarme incessant. Ce besoin se retrouver dans le design par la volonté de retourner à l'essentiel, la recherche de la simplicité et le renouement avec la mesure du temps. " Le silence n'est pas seulement absence de bruit. Nous l'avons presque oublié. Les repères auditifs se sont dénaturés, affaiblis, désacralisés. La peur, voire l'effroi suscités par le silence se sont intensifiés. Dans le passé, les hommes d'Occident goûtaient la profondeur et les saveurs du silence (...). L'intimité des lieux, comme celle de la chambre et de ses objets, comme celle de la maison, était tissée de silence."  Alain Corbin Elisabeth Leriche, scénographe de l'espace d'Inspirations a conçu pour illustrer la thématique un parcours au sein du salon. Le point de départ est constitué d'une salle symbolisant notre quotidien : saturé d'informations, d'images de sons et d'objets. Cette profusion chaotique nous rappelle la valeur du silence. Cet espace assourdissant est relié à la deuxième partie du parcours, par un couloir de décompression. Doucement le bruit s'attenu et laisse place au silence. Les alcôves et les pièces se succèdent, les visiteurs découvrent les différentes représentations de la thématique des artistes. Là, des objets de bois liés à la cérémonie du thé au Japon. Ici une vidéo de piano silencieux, ailleurs, un halo flou, qui évoque la disparition, la neige et glace... Un moment inspirant et reposant. En design l'absence de bruit peut prendre plusieurs formes toutefois on imagine un style minimaliste et des matières allégées et isolants. Le hall 7 est consacré au café-librairie, entité qui s'inscrit dans la continuité de l'espace d'Inspirations. Il propose des ouvrages sélectionnés sur la thématique du salon et un espace de détente et de réflexion. Pour en savoir plus, visitez le site de Maison&Objet

Nantes Métropole a confié au groupe Altarea Cogedim, à travers sa direction régionale Cogedim Atlantique associées à deux cabinets d'architectes-urbanistes, DTACC et tandem+, la transformation urbaine de l'ancienne Maison d'Arrêt de Nantes en programme mixte.

En ce début d'année 2017, Maison&Objet présente Pierre Charpin comme le créateur de l'année en tant que designer produit. Le créateur a eu carte blanche pour investir un espace dédié au c"ur du salon à Villepinte. Touche à tout, Pierre Charpin sait insuffler son style épuré et généreux aux différents objets qu'il confectionne. On reconnait sa patte grâce aux formes courbes et aux couleurs vives de ses pièces. C'est au cours de ses études aux Beaux-Arts à Bourges et à la culture du design en Italie, que Pierre Charpin perçoit une ouverture, la possibilité d'un travail sur la forme. Il s'adonne quotidiennement au dessin, pratique qui lui permet de mettre à plat ses idées et d'avancer dans sa quête de la simplicité et des formes essentielles. Le designer a été sollicité pour de nombreuses collaborations avec des maisons telles que Alessi, la Cristallerie Saint-Louis, Design Gallery Milano, Hermès, Ligne Roset, la Manufacture Nationale de Sèvres, Post Design, Tectona, Venini, Wrong for Hay. La plupart de ces projets ont débouché sur la création d'objets primés par de prestigieuses récompenses comme le prix Compasso d'Oro pour son vase Triplo. "Un objet n'existe jamais par lui-même : il crée des paysages dans lesquels nous allons vivre"Pierre Charpin Pierre Charpin s'intéresse également à la relation entre l'objet et son environnement. Il scénographie ainsi d'importantes expositions thématiques, telles que Les sixties mode d'emploi (Musée de la Mode et du textile, Paris 2010), Mobiboom (Les Arts Décoratifs, Paris) et la troisième édition du Triennale Design Museum de Milan Quali Cose Siamo, organisée en 2010 par Alessandro Mendini et intervient également sur ses propres expositions. Pour en savoir plus, visitez le site de Pierre Charpin

A l'occasion du Rising Talent Award UK, Maison&Objet propulse cette année encore, six designers émergeants sur le devant de la scène mondiale du design. Pour cette édition six des plus grands noms du milieu ont chacun été invité à choisir et présenter une nouvelle figure du design anglais. Les six créateurs sélectionnés, exposeront leurs travaux et partageront leurs univers avec des professionnels qui visiteront le salon, du 20 au 24 janvier 2017 à Paris.   Marcin Rusakrepéré par Ilse Crawford Marcin Rusak d'origine polonaise a choisi de s'établir à Londres en tant qu'artiste et designer. Diplômé dans les sciences sociales et dans l'Art, le designer nous livre un travail qui oscille entre exploration historique et réflexion sur les habitudes de consommation et les méthodes industrielles contemporaines. Pour sa collection Flora Temporaria, Rusak a principalement travaillé à partir de résine et de fleurs, évoquant voire réinterprétant les peintures flamandes du XVIe siècle. Selon le designer le motif floral représente la cherche de la décoration naturelle " la nature devient elle-même un élément de décoration ". Pour en savoir plus, visitez le site de Marcin Rusak   John Boothrepéré par Sir Paul Smith John Booth a grandi dans le nord de l'Angleterre, où très tôt il s'intéresse à l'Art et notamment au collage. Passionné par l'illustration et les motifs, il a étudié les imprimés de mode au Central St Martins College of Art and Design pour être créateur de textile. Très vite son travail est sollicité par de grands couturiers comme Rhodes, Galliano, Shannon, tous interpellés par ses réalisations et son "il pour capter les formes et les structures. L'artiste est touche à tout, il travaille en suivant son intuition et ne limite pas sa créativité. Il retranscrit ses motifs souvent de couleurs primaires par collage, tracé, broderies sur différents médiums comme la céramique, les textiles, les papiers. " Ce que je veux avant tout, c'est trouver un langage visuel puissant et me l'approprier pleinement. " Pour en savoir plus, visitez le site de John Booth   Giles Millerrepéré par Ross Lovegrove Giles Miller est passionné par le développement de nouveaux habillages. " Notre monde est constitué de ces surfaces, elles doivent donc être traitées comme un élément essentiel de nos intérieurs et doivent faire l'objet d'une attention particulière, compte tenu de l'impact qu'elles peuvent avoir sur nous. " Son studio se réapproprie des méthodes de revêtement dites traditionnelles comme la gravure à l'acide ou le moulage du zinc mais explore aussi de nouveaux matériaux, techniques et finitions. Si l'interaction avec l'environnement est primordiale pour ses surfaces design, Miller ne perd pas de vue la fonctionnalité. Pour en savoir plus, visitez le site de Giles Miller   Sebastian Coxrepéré par Jay Osgerby Sebastian Cox évolue depuis son enfance dans le milieu de l'artisanat. Pour le designer britannique la conception et la fabrication sont deux facettes complémentaires de son métier. Il a étudié le mobilier à Lincoln University et a complété sa formation par un Master de design. Dans une démarche écoresponsable, Sebastian travaille à partir de matériaux abondants et désuets. Sa méthode est traditionnelle mais sa démarche créative est contemporaine. Il recherche un esthétisme simple et lisible qui s'inscrit dans une mouvance fonctionnelle. Pour en savoir plus, visitez le site de Sebastian Cox   Studio Swinerepéré par Nigel Coates L'architecte japonaise Azusa Murakami et l'artiste britannique Alexander Groves forment le Studio Swine. Ils sont tous deux passionnés par les matériaux et les nombreuses opportunités qu'ils nous offrent. Les deux designers concernés par l'épuisement des ressources naturelles, transforment des matériaux usagés en pièces uniques au design impeccable. Cette démarche durable adoptée par Studio Swine se retrouve également dans leurs créations artistiques et cinématographiques, où ils interrogent les thèmes de l'identité régionale et de l'avenir des ressources dans le contexte de la mondialisation. Ils représentent l'avenir d'un nouveau design écoresponsable. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio Swine   Zuza Menghamrepérée par Tom Dixon Refusant l'étiquette d'artiste ou de designer, Zuza Mengham préfère être caractérisée par son intérêt pour l'interaction entre l'espace et ses créations sculpturales. Diplômée en sculpture du Wimbledon College of Art, la créatrice a forge son style abstrait-moderniste à travers son travail sur l'acier. Elle ne cesse de tester de nouveaux matériaux pour ces objets sculpturaux, toujours à la recherche d'explorer de nouveaux rendus, techniques et inspirations. Pour en savoir plus, visitez le site de Zuza Mengham