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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 4 ans et 321 jours

Plombé par la crise dans les hôtels, Covivio réduit fortement ses objectifs

"L'hôtellerie est clairement impactée par la crise, c'est une année noire et historique pour ce secteur", a noté auprès de l'AFP Christophe Kullmann, directeur général du groupe, à l'occasion des résultats semestriels.Ces derniers s'inscrivent en nette baisse. Par rapport à la même période de l'an dernier, les revenus reculent de 7,5% à 302 millions d'euros et le bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, de 12,4% à 192 millions.Covivio, qui n'avait pas redonné de prévisions depuis l'arrivée du coronavirus, s'attend donc désormais à une nette baisse de son bénéfice en 2020.Il table sur 380 millions d'euros, soit une centaine de millions en moins que ses précédents objectifs. Ce serait un recul de plus de 15% par rapport à 2019, alors qu'il prévoyait à l'origine une hausse.Covivio souffre principalement de sa présence dans les hôtels. C'est l'un des grands secteurs du groupe, qui détient également des bureaux et des logements à travers plusieurs grandes villes européennes.Or, la crise sanitaire a été catastrophique pour le secteur du tourisme. De nombreux pays ont fermé leurs frontières pendant plusieurs semaines au printemps et, parallèlement, interdit à beaucoup d'établissements d'accueillir du public.C'est surtout au Royaume-Uni que Covivio a été affecté par la fermeture obligatoire des hôtels jusqu'à juillet.Pour autant, tout en soulignant que les hôtels ne représentent qu'un sixième de son portefeuille, le groupe ne compte pas réduire son exposition à ce secteur."On est persuadé que ça reprendra" car les hôtels répondent au "besoin primaire" de se déplacer, a assuré M. Kullmann, prévoyant néanmoins une année 2021 toujours difficile dans ce secteur.Le groupe signe des résultats nettement plus favorables dans les bureaux et les logements, avec une progression de ses revenus semestriels dans les deux cas et un taux très faible d'impayés face à la crise.Dans les bureaux, "les seuls impayés importants que l'on a, ce sont les entreprises qui travaillent dans l'événementiel", a remarqué M. Kullmann, soulignant que les locataires de Covivio sont généralement de grands groupes.
Il y a 4 ans et 321 jours

Saint-Gobain Ecophon France, mécène du Groupe Hospitalo-Universitaire AP-HP.Sorbonne Université

Fruit d'une initiative solidaire des équipes de Saint-Gobain Ecophon France face à la crise sanitaire du COVID-19, cette opération a pour objectif, à travers le don de plafonds acoustiques, de soutenir le personnel hospitalier et les patients en leur apportant plus de confort et de bien-être au quotidien.Ainsi, l'entreprise s'engage à fournir différents produits de sa gamme Ecophon Hygiene™ (solutions acoustiques et bio-nettoyables répondant aux plus hautes exigences d'hygiène) à plusieurs hôpitaux du Groupe AP-HP Sorbonne Université : l'Hôpital de la Pitié Salpêtrière AP-HP (cardiologie, laboratoire de Neuropathologie, chambres de Neurochirurgie, crèche…), l'Hôpital Tenon AP-HP (zone de lavage de la stérilisation, zone scanner et d'une zone de détente) ainsi que l'Hôpital Saint Antoine AP-HP.De par leurs performances, ces solutions apportent d'importants bénéfices en termes de confort acoustique, qui se traduisent par une réduction des réveils nocturnes des patients, du besoin de médicaments supplémentaires, et de durée d'hospitalisation. Par ailleurs elles permettent d'améliorer la communication et le confort de travail du personnel soignant, notamment dans certains secteurs comme les urgences, où 83% de la communication se fait à l'oral. Par cette convention et grâce à son expertise combinant acoustique et hygiène pour les établissements de santé, Saint-Gobain Ecophon France s'engage de façon forte et pérenne auprès du personnel hospitalier fortement éprouvé par la récente pandémie.
Il y a 4 ans et 321 jours

Le grand rendez-vous des Français avec le patrimoine

Le grand rendez-vous annuel des Français avec leur patrimoine se déroulera bien les samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 autour du thème retenu dans toute l’Europe « Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie ! ». Le temps d’un week-end et partout en France, propriétaires publics et privés de monuments historiques, membres d’associations de protection et de valorisation du patrimoine, conservateurs du patrimoine, restaurateurs de biens et d’objets patrimoniaux, guides-conférenciers, architectes en chef des monuments historiques… se mobiliseront pour accueillir les visiteurs dans le respect des recommandations sanitaires qui seront en vigueur au moment de l’événement. Il sera proposé aux scolaires, dès le vendredi 18 septembre, via l’opération « Levez les yeux ! » conduite en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse, de (re)découvrir sous la conduite de leur enseignant le patrimoine qui les entoure. Sortir de la classe, regarder autour de soi le cadre de vie et ses éléments patrimoniaux, ou se rendre dans un édifice, y apprendre son histoire, celle d’un objet ou d’un geste patrimonial et sa signification dans un contexte local, régional, national voire européen. C’est également l’occasion de découvrir des métiers, des savoir-faire, prendre conscience de l’importance de la protection de ce patrimoine pour leur génération et celles à venir, et aussi, s’émerveiller devant la beauté artistique et architecturale qui se présentent à leurs yeux.
Il y a 4 ans et 321 jours

Les essentiels à connaître sur le métier d’un façadier

Un façadier est le professionnel dont le domaine d’activités est orienté vers le ravalement de façade. Il a suivi une formation dans le secteur. Il a suivi une formation spécifique qui lui a permis de maîtriser ce métier. Ainsi, c’est un véritable expert dans les travaux portant sur la réfection des murs extérieurs. Si vous envisagez un tel type d’intervention, le recours à ce genre de spécialiste est fortement conseillé. Celui-ci est doté des compétences requises pour mener à bien votre projet. Œuvrant dans ce secteur, il dispose forcément de tous les outils indispensables au chantier. Il a également l’habitude de les manipuler donc il est déjà habile. Ce métier vous intéresse ? Focus sur la profession d’un façadier. Comment devenir façadier ? Quel que soit le métier que vous choisissez, vous devez tout d’abord en être passionné. Viennent ensuite les autres conditions, dont les qualités requises et les diplômes exigés. Pour occuper le poste d’un façadier, vous devez être en bonne santé, car vous serez amené à intervenir tout le temps sur le terrain. Un sens pointu de l’organisation est également nécessaire, vu qu’il s’agit d’un travail d’équipe. Pour la même raison, disposer d’une bonne aisance relationnelle serait un très grand atout. Puis, étant un technicien, une connaissance aisée sur la façade est primordiale. La maîtrise des différentes stratégies y afférentes sont aussi d’une importance capitale. Pour acquérir ces compétences, suivre des études ou des formations professionnalisantes est obligatoire. Quelles sont les fonctions d’un façadier de façade ? Il est à noter qu’un façadier comme ce façadier en Essonne (91) a pour principale mission de travailler vos murs extérieurs afin qu’ils puissent retrouver une nouvelle apparence. Ainsi, il s’occupe de l’intervention proprement dite ainsi que des démarches administratives relatives à l’exécution des travaux. Il prend donc en main l’intégralité du projet de ravalement de façade que son client lui confie à commencer par le calcul des dépenses nécessaires. Pour cela, il établit un devis clair et précis incluant les achats à réaliser, l’étendue des travaux, le coût de la main-d’œuvre et les frais de déplacement. Le total à payer équivaut au budget alloué. Durant tout le processus, il peut répondre à toutes les questions. Il est également là pour donner des conseils en cas de besoin. Bien choisir son façadier professionnel : les critères à prendre en compte Un façadier est décrit comme étant bon lorsqu’il est capable d’effectuer des travaux de ravalement selon les normes en vigueur. Pour ce faire, il doit donc savoir manipuler les outils indispensables à la réalisation des travaux. Par ailleurs, il doit être en mesure de vous offrir des services de qualité pour aboutir à un rendu répondant à vos attentes. Pour vous en assurer, portez votre attention à ses années d’expérience. Demandez également des références sur les derniers travaux qu’il a réalisés. Faites un tour sur son site internet. Prenez le temps de lire les feedbacks des précédents clients. Regardez également les notes qu’ils lui ont attribuées. Toutes ces informations vous permettront d’avoir un aperçu sur l’efficacité de votre artisan. Aussi, il est prudent de demander si le professionnel a souscrit une assurance décennale. Celle-ci couvre les éventuels incidents pouvant survenir durant son intervention. Les risques sont donc couverts par l’assurance, ce qui est bénéfique pour vous.
Il y a 4 ans et 321 jours

BePOSITIVE 2021 : concrétiser l’accélération de la transition énergétique

BePOSITIVE, le seul salon français dédié exclusivement aux enjeux et aux solutions de la transition énergétique, qui rassemble tous les acteurs des filières bâtiment et énergies, se déroulera à Eurexpo-Lyon du 2 au 4 mars 2021. Véritable rendez-vous fédérateur de ceux qui construisent le monde décarboné de demain, il offre un tremplin à l’innovation. Il s’organisera autour de 4 secteurs d’exposition : les nouveaux systèmes énergétiques ; l’énergie dans le bâtiment ; le bâtiment durable, et le bois énergie. A 8 mois de l’ouverture, sa directrice Florence Mompo voit l’occasion de partager sa vision des conséquences de la crise que nous vivons, et des perspectives pour les secteurs de la transition énergétique : « Cette crise sanitaire, qui se transforme en crise économique et sociale, a évidemment été un choc par sa soudaineté et la remise en question globale de nos façons de vivre, de consommer, de travailler… L’incertitude qu’elle engendre pèse sur la reprise économique, et si nous voyons déjà ses conséquences immédiates : tensions internationales, récession et hausse du chômage, grandes difficultés pour de nombreux secteurs, il y a aussi des effets positifs. Après une période de privation, on assiste à une reprise de l’activité et de la consommation stimulée par des plans d’investissement massifs. On voit des engagements de bons sens autour du local, des enjeux de l’économie circulaire et du réemploi, ou tout simplement de la place de l’individu dans notre développement. Le confinement a mis en lumière la nécessité de privilégier la santé, le confort, le bien-être des gens, par exemple, dans la conception des logements et des bâtiments tertiaires. »
Il y a 4 ans et 321 jours

Les escroc fragilisent le marché de la rénovation et les aides associées

La FFB alerte sur les dérives constatées depuis que les pouvoirs publics ont intégré les offres à 1€ comme politique de rénovation énergétique. Elles dévalorisent les travaux et permettent à des escrocs de capter à bon compte les Certificats d’Économie d’Énergie associés en bâclant les travaux. C’est ce qu’il vient de se passer avec l’Isolation Thermique par l’Extérieur à 1€ mise en place en 2020. Pour palier à ça, le gouvernement a modifié les critères de MaPrimeRénov’, nouveau dispositif qui n’a pas sept mois d’existence ! Depuis le 15 juillet, le montant de l’aide pour les travaux d’ITE a été abaissé à 60 €/m² pour les ménages modestes et 75 €/m² pour les ménages très modestes (contre respectivement 75 €/m² et 100 €/m² auparavant). De plus, la surface éligible de murs isolés se trouve dorénavant limitée à 100 m² par opération. Pour Olivier Salleron, le nouveau Président de la FFB, « ces dispositions pénalisent avant tout les ménages modestes et les entreprises qui travaillent bien. En revanche, elles ne règlent pas le problème de fond, puisque les intermédiaires peu scrupuleux bénéficieront toujours des CEE, qui suffisent à financer une intervention de piètre qualité. En outre, ce rabotage introduit à nouveau de l’instabilité dans le principal mécanisme public de soutien à la rénovation énergétique. Il tombe au plus mal, alors que MaPrimeRénov’ peine à monter en puissance, et brouille le message du gouvernement qui annonce depuis plus d’un mois un grand plan de rénovation énergétique. »
Il y a 4 ans et 321 jours

Chantier : comment définir le gros matériel dont vous aurez besoin ?

En matière de construction, il existe différents types de chantiers, variant en fonction du bien final qui est à construire ou à modifier. On a par exemple les travaux de construction de maisons individuelles ou encore les travaux de rénovation et d’aménagement, dont les chantiers sont généralement peu exigeants. D’autre part, on peut avoir affaire à des chantiers pharaoniques, devant déboucher sur la réalisation d’immeubles de grande envergure ou d’ouvrages d’art comme les ponts. Si en tant qu’entrepreneur, vous devez gérer des chantiers complexes, vous aurez besoin d’un parc d’engins et de matériel de construction plus lourds, qu’on regroupe généralement sous le vocable de « gros matériel ». Préparation et coulage du béton : la bétonnière Qu’il s’agisse d’un petit ou d’un grand chantier, la bétonnière reste un matériel indispensable dans la préparation et le coulage du béton. Cet engin procède à la fabrication du béton par malaxage des composants comme le sable, le gravillon, le ciment ou la chaux. Il existe plusieurs types de bétonnières, le choix est alors fonction de l’étendue des travaux à réaliser et surtout du cuvage de béton nécessaire. Lorsque le chantier l’exige, vous pouvez faire usage des modèles suivants : auto-bétonnière ou camion-toupie : elle est utilisée pour les travaux de chantiers plus ardus bétonnière manuelle : son fonctionnement dépend du déploiement de la force physique humaine bétonnière motorisée : électrique ou thermique, elle dispose d’un moteur essence ou diesel qui la fait fonctionner Il est utile de préciser qu’en plus de la bétonnière, les équipements comme les pompes à béton, les bennes distributrices ou les vibrateurs forment un ensemble indispensable d’engins pour la préparation, le transport et la fabrication du béton. La nacelle : un indispensable pour les travaux en hauteur D’une façon ou d’une autre, la réalisation de vos travaux de grands chantiers nécessitera assurément que vous travailliez en hauteur. Dans ce cas, la nacelle se présente comme la solution la plus adaptée. Toutefois, si vous n’en avez pas dans votre parc d’engins BTP, vous n’êtes pas obligé d’en acheter. Il vous suffit de vous adresser aux professionnels de la location d’engin de levage pour les chantiers de construction, et vous obtiendrez satisfaction. Chez ces fournisseurs, vous trouverez différents types et formats de nacelles à adapter à votre projet. Nacelle articulée Proposé en motorisation diesel ou électrique, ce modèle peut atteindre des hauteurs de travail allant jusqu’à 43 m, avec des capacités de charge variant de 230 à 272 kg. Il propose également un déport de plus de 20 m, peu encombrant et facile à manœuvrer. Nacelle télescopique Il s’agit d’un modèle tout terrain proposé en déport, avec des hauteurs de travail pouvant atteindre les 50 m. Pour la motorisation, vous avez le choix entre le diesel et l’électrique, et les capacités varient également. Souple et pratique, il s’adapte à tous types de travaux en hauteur. Nacelle en ciseaux Adapté à la construction aussi bien intérieure qu’extérieure, ce modèle, d’une largeur d’environ 2,25 m et d’une hauteur de travail allant jusqu’à 20 m, est employé pour les travaux d’envergure moyenne et supporte une charge d’environ 500 kg. Nacelle araignée Tout terrain et pour les travaux en hauteur les plus importants, la nacelle-araignée offre plus de sécurité et de praticité avec des capacités de charge très élevées. Nacelle tractable Encore appelée nacelle sur remorque, elle est compacte, légère et facile à transporter grâce à un véhicule. Camion nacelle Il s’agit d’un modèle pour les chantiers répétitifs. Des formats pouvant aller jusqu’à 70 m de hauteur de charge existent pour tous types de chantiers. Nacelle à mât vertical Surnommée nacelle toucan en moins large qu’une grue, elle est adaptée aux zones peu accessibles et peut effectuer une rotation sur 360°. Il faut noter que lorsque les limites de la nacelle sont atteintes, vous pouvez recourir à un autre dispositif de levage plus important : la grue. La grue pour les hauteurs et charges plus importantes Sur les chantiers de grande envergure, vous aurez forcément besoin d’une grue pour déplacer des charges importantes à des hauteurs très élevées. Si la principale et la plus utilisée est la grue à tour, elle est proposée en divers modèles et formats. De fait, dans la catégorie des grues à tour, deux modèles se démarquent. Les grues mobiles : montées sur chenilles ou sur pneumatiques, les grues mobiles font partie intégrante d’un engin et se déclinent en trois formats (automotrices, automotrices tout terrain et sur porteur. Les grues statiques : elles peuvent être fixées sur le sol du chantier ou lestées avec des blocs de béton. Elles sont proposées en format GMA (grue à montage automatisé) ou GME (grue à montage par éléments). En dehors de ces modèles et formats, les grues à tour sont conçues avec différents types de bras. Articulé : il s’agit des grues hydrauliques auxiliaires. Télescopiques : on retrouve ces bras sur les grues mobiles. Flèche unique : elle équipe les grues à montage automatisé GMA. Flèche, contre-flèche, porte-flèche et tirant : ce type de bras se retrouve sur les grues à montage par éléments GME. Il est utile de préciser qu’il n’existe pas de grue qui soit la meilleure à tout point de vue. Chaque grue dispose est adaptée à certaines exigences et correspond donc à des opérations de levage spécifiques. Engins et matériel indispensables Le parc de matériel et d’engins que vous aurez à utiliser sur un gros chantier ne se limite pas à la nacelle, la grue et la bétonnière. En fonction des besoins, il existe d’autres outils et équipements tout autant indispensables. Par exemple, au niveau du terrassement, vous pourriez avoir besoin de bulldozers ou bouteurs, rippers, scarificateurs, scrapeurs, niveleuses, chargeurs, tractopelles, compacteurs, etc. Au niveau des outillages et engins de génie civil, les échafaudages, les pompes d’épuisement, les treuils, les ascenseurs, les pompes d’enduits et mortiers sont autant d’éléments dont vous aurez besoin. D’un autre côté, à ces ressources matérielles s’ajouteront celles humaines. Il s’agira de l’équipe technique qui assurera le bon fonctionnement technique du chantier, et d’autre part du personnel de manœuvre.
Il y a 4 ans et 321 jours

Cem’In’Eu : Un nouveau sac en polyéthylène

Retrouvez cet article dans le numéro 949 de Process industriels. Cem’In’Eu lance le sac Facilicim en version “25 kg” reconnaissable à la couleur bleue. [©Cem’In’Eu] Cem’In’Eu lance un nouveau sac de ciment de 25 kg en polyéthylène. Produit à l’usine Aliénor Ciments de Tonneins (47), le Facilicim CEM II/B-LL 32,5R NF est disponible depuis début juillet. « Dès notre lancement, nous avons fait le choix stratégique de commercialiser une gamme de sacs en polyéthylène et non en papier, explique Olivier Evrain, directeur commercial et marketing, chez Cem’In’Eu. Les utilisateurs finaux et les négociants avec lesquels nous travaillons sont unanimes pour saluer ses avantages. Nous lançons aujourd’hui notre gamme en conditionnement 25 kg pour répondre en particulier aux problématiques de dosage et de pénibilité. Nous sommes très confiants sur son succès. » Ce nouveau sac a été développé pour faciliter le quotidien des compagnons et pour être manipulé sans risque de casse. Il peut être stocké en extérieur grâce à ses capacités étanches. Le choix du polyéthylène recyclé et recyclable entre dans la ligne directrice de la start-up. En effet, Cem’In’Eu s’attache à développer une industrie et une organisation pour minimiser son impact carbone. Cela passe par l’approvisionnement en matières premières, la logistique, la production, la distribution, mais aussi le conditionnement. Moins lourd, le sac Facilicim 25 kg vient compléter la gamme composée du Facilicim NF en sac de 35 kg, ainsi que Le Ciment Européen marqué CE conditionné en 20 kg et 35 kg.
Il y a 4 ans et 321 jours

La période de crise aurait favorisé l'accès au crédit immobilier des ménages aisés

Pour ce faire, une analyse comparative des différentes transactions ou dossiers traités entre avril et juin 2020, par rapport à la même période en 2019, a été effectuée. A quel type de profils la crise a-elle-profité ? Dans quelles conditions et pour quels projets ?Alors que le secteur immobilier a été fortement impacté par la crise, un signal fort en faveur de la reprise était attendu. La récente décision du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) de maintenir les mesures restrictives relatives à l'octroi de crédit immobilier (limitation de la durée des prêts à 25 ans et taux d'endettement inférieur à 33%) est donc une véritable mauvaise nouvelle pour le marché. Une décision qui aura pour conséquence directe de limiter encore davantage l'accès à la propriété des emprunteurs les plus modestes, à commencer par les primo-accédants, déjà particulièrement affectés par la crise économique... Malgré cette conjoncture inédite et une légère augmentation des taux de crédit constatée au mois de juillet 2020, les conditions d'emprunt demeurent favorables, plus particulièrement pour les prêts sur une durée de 10 et 25 ans.Retour sur la période de crise : des banques plus exigeantes au profit des emprunteurs au dossier le plus solide !Dans un contexte de forte incertitude, les banques sont restées prudentes et ont parfois joué sur une légère augmentation des taux. Elles ont par ailleurs privilégié les meilleurs dossiers [1] afin d'éviter le risque de défaut. Dressant un état des lieux de la période de crise (avril, mai et juin 2020), La Centrale de Financement a également constaté une augmentation du montant moyen du prêt, dont la hausse la plus marquante a été constatée en comparant les mois de mai 2019 et 2020. Sur cette période, le montant moyen des prêts contractés a augmenté de 14,24% (pour les dossiers finalisés).« La hausse du montant du prêt pourrait notamment trouver une explication dans l'augmentation des prix de l'immobilier, engendrant une hausse structurelle du montant des crédits contractés sur la période analysée. » - Sylvain Lefèvre, président de la Centrale de FinancementCette augmentation des prix de l'immobilier dispose d'un impact direct sur le profil des emprunteurs en mesure d'accéder au crédit. Il s'agit principalement de ménages aisés, dont le revenu moyen s'élève à 57 171€ en moyenne entre avril et juin 2020 (pour les dossiers finalisés). Sur la même période, en 2019, le revenu moyen s'élevait à 53 419€. Le revenu moyen des ménages emprunteurs au deuxième trimestre 2020 est donc supérieur de 7,02% par rapport au deuxième trimestre 2019.Sur les trois derniers mois étudiés, la période de crise est restée favorable à l'emprunt à deux puisque la part des prêts montés par des emprunteurs en couple est relativement stable par rapport à la même période en 2019.La crise a également conforté l'attrait des ménages pour l'achat d'une résidence principale. En effet, la part consacrée à l'acquisition d'une résidence principale s'élevait à 85% en moyenne sur le deuxième trimestre 2019, contre 87% sur la même période en 2020.Pour l'ensemble des dossiers de prêts montés et finalisés étudiés, la Centrale de Financement a constaté une augmentation du montant d'apport entre le deuxième trimestre 2019 et 2020. En effet, la part d'emprunteurs dont l'apport est inférieur à 10 000 € a baissé sur la période étudiée.Les durées de prêts se sont également allongées entre 2019 et 2020, sur les mois d'avril, mai et juin. Les dossiers de prêts montés en mai ont par exemple vu leur durée moyenne augmenter de 6 mois, et de 3 mois en juin, entre 2019 et 2020.L'apport personnel de plus en plus indispensable pour les primo-accédantsAlors que les primo-accédants ont été particulièrement impactés par la crise, avec la mise en chômage partiel de nombre d'entre eux, ces derniers se sont retrouvés fortement pénalisés face à l'emprunt immobilier. Leur proportion par rapport au nombre total d'emprunteurs a globalement diminué sur la période d'avril à juin entre 2019 et 2020. La part du nombre de primo-accédants est donc passée de 34% pour les dossiers finalisés en avril 2019 à 26% en avril 2020. Toujours concernant les dossiers finalisés, cette part est passée de 37% en juin 2019 à 33% en juin 2020.Afin de sécuriser leurs dossiers, les banques ont requis un apport personnel de plus en plus conséquent, notamment pour couvrir les frais de notaire ou de garantie.« Dans une période où l'accès au crédit pour les primo-accédants peut être plus compliqué, le besoin de conseil et d'accompagnement est plus que jamais indispensable. Par certains mécanismes permettant de s'adapter à la situation de chacun, comme la délégation d'assurance, La Centrale de Financement a la possibilité de construire des solutions de financement respectant les limites fixées par le HCSF et permettre à son dossier d'obtenir une réponse favorable. » déclare Sylvain Lefèvre.Une demande d'apport plus importante dans l'ancien que dans le neuf !Le montant de l'apport demandé dépend également du type de projet de l'acquéreur ! La Centrale de Financement a par exemple comparé trois projets dans le département de la Seine Maritime : un achat dans le neuf, un achat dans l'ancien, et la construction d'une maison, pour un montant total de 220 000 euros chacun. Pour le projet dans le neuf, la demande d'apport personnel s'élève à 8 765 euros (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris), et à 10 049 euros pour le projet de construction (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris). En revanche, pour le projet dans l'ancien, l'apport personnel nécessaire est de 18 315 euros (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris). À montant total égal, il est donc plus difficile d'accéder à la propriété dans l'ancien en raison du besoin d'un apport personnel plus élevé.« Un marché de l'ancien atone aurait pour conséquence directe de freiner le dynamisme du neuf. Ces marchés sont interdépendants : l'un ne peut être vigoureux que si l'autre l'est également ! Par exemple, un retraité habitant à la campagne souhaitant vendre son bien ancien pour investir dans le neuf en centre-ville ne pourra le faire que s'il trouve un acheteur. » soutient Sylvain Lefèvre.Juillet 2020, un mois toujours favorable à l'emprunt malgré une légère hausse des tauxLes taux ont légèrement augmenté par rapport au mois précédent. Hormis pour les prêts d'une durée de 10 et 25 ans pour lesquels les taux baissent, ils augmentent pour les durées comprises entre 12 et 20 ans, ainsi que pour ceux d'une durée de 7 ans. Cette hausse à l'arrivée de la période estivale s'explique en partie par la volonté des banques d'anticiper une certaine baisse de la demande pendant les congés annuels. Malgré ces hausses des taux, les conditions d'emprunt restent extrêmement bonnes, avec des taux à des niveaux toujours avantageux.Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, pour un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000€ sur 20 ans à 1,29 %, la mensualité s'élèvera à 851.22 euros avec un coût total de crédit de 24 292,8 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de juillet 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées augmentent de 0,02% pour les prêts sur 7 et 20 ans. Pour les prêts sur une durée comprise entre 12 et 15 ans, les taux ont augmenté de 0.04%. En revanche, pour les emprunts d'une durée de 10 ans et de 25 ans, les taux ont respectivement diminué de 0.02% et 0.01%.Les meilleurs taux immobiliers de juillet 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de juillet augmentent légérement par rapport à ceux du mois de juin pour l'ensemble des durées d'emprunt. Un emprunteur bénéficiant d'un très bon dossier pourra donc solliciter un financement, avec un taux qui reste très avantageux.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en juin 2020L'emprunteur type du mois de juin 2020
Il y a 4 ans et 321 jours

Le prolongement nord de la ligne 14 ouvrira mi-décembre

Ce chantier, qui prolonge la ligne du métro parisien entièrement automatisée au delà de la gare Saint-Lazare, avec quatre nouvelles stations jusqu'à Mairie de Saint-Ouen, a été ralenti d'abord par le confinement puis par les nouvelles règles sanitaires applicables sur les chantiers.
Il y a 4 ans et 321 jours

La sécurité des cathédrales n'est "pas seulement une question d'argent"

"L'urgence va être de faire en sorte que toutes les installations électriques soient vérifiées et que les cathédrales soient toutes dotées de systèmes de détection d'incendie et de détection de fumée, que les plans d'évacuation des œuvres soient mis en œuvre et parfaitement cohérents", a-t-elle argumenté lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée Nationale."Mais ne nous faisons pas d'illusions, ce n'est pas seulement une question d'argent: la mise en sécurité des cathédrales est quelque chose de complexe, parce que ce n'est pas un musée, pas un château qu'on visite: c'est un lieu de culte, de prière, de partage, dans lequel on rentre évidemment sans discrimination et en toute liberté", a-t-elle souligné."Comment mettre en sécurité, avec des détecteurs de fumée, une nef qui fait 37,5 mètres de hauteur... C'est la responsabilité de tous et de toutes de garder la sécurité de nos cathédrales", a insisté Mme Bachelot.La ministre de la Culture était interrogée sur le plan "sécurité cathédrales" de son ministère qui concerne 89 édifices cultuels dont l'Etat est propriétaire. Adopté après l'incendie, en avril 2019, de Notre-Dame de Paris par l'ancien ministre Franck Riester, ce plan est doté de 2 millions d'euros en 2020, en sus des 40 à 45 millions d'euros affectés annuellement aux cathédrales.Les investigations de la police judiciaire se poursuivent à Nantes pour tenter de déterminer l'origine du sinistre qui s'est déclaré samedi matin. L'enquête a révélé l'existence de trois points de feu distincts.L'un des pistes envisagées par le sacristain de la cathédrale est celle d'un court-circuit électrique.La plupart des incendies qui se déclarent chaque année dans les églises et cathédrales ne sont pas la conséquence d'actes criminels. Les installations électriques défectueuses sont à l'origine de quelque 30% des sinistres, selon les experts du patrimoine.
Il y a 4 ans et 321 jours

Edycem et Centrale Nantes renouvellent leur chaire de recherche

Cet investissement de 3 M€ confirme l’engagement d’Edycem dans une démarche d’innovation portée sur les problématiques sociétales. [©Charles Marion] Les synergies entre Edycem et Centrale Nantes ne cessent de croître depuis le début de leur collaboration en 2001. Ceci, pour innover et étoffer l’offre de produits et de services dédiés aux professionnels du béton. Ainsi ils renouvellent  leur chaire de recherche pour le développement de bétons responsables.Déjà en 2015, leur première chaire de recherche sur “Des bétons innovants pour de nouvelles applications” a vu naître des réalisations innovantes. A savoir le premier béton connecté Smartcem ou encore le concept de béton éco-responsable Edy’Eco. Fin 2019, les deux acteurs ont lancé, la chaire de recherche baptisée “Des bétons responsables au service de l’environnement”, pour une durée de 5 ans. Cet investissement de 3 M€ confirme l’engagement d’Edycem dans une démarche d’innovation portée sur les problématiques sociétales. Les travaux sont axés sur des matériaux capables de répondre aux enjeux de la ville de demain. Notamment, en diminuant l’impact des bâtiments neufs sur l’environnement. Et en tenant compte de l’ensemble des émissions sur leur cycle de vie, dès leur construction. Trois nouvelles thèses Les sujets qui seront abordés s’inscrivent dans la continuité des travaux antérieurs. Ceci, pour créer des bétons et des procédés de construction contribuant aux défis environnementaux. Le béton isolant structurel Techniliss fait aujourd’hui l’objet d’un brevet. La chaire de recherche II se compose de trois nouvelles thèses, qui porteront sur les enjeux de développement durable et les défis climatiques de demain :– Les bétons bas carbone ;– L’optimisation de la formulation des chaussées drainantes pour les voiries ; – La durabilité des bétons dans les stations de traitement d’eau.
Il y a 4 ans et 321 jours

Commerce en ligne : Pompili propose un moratoire sur les projets de nouveaux entrepôts

La proposition portée par Mme Pompili, qui avait signé une tribune en ce sens il y a quelques semaines avant de prendre ses fonctions, n'a pas été tranchée encore au niveau gouvernemental, précise-t-on, confirmant une information de RTL.Dans son discours de politique générale mercredi, le Premier ministre Jean Castex a promis la mise en place d'un moratoire pour l'installation de nouveaux centres commerciaux dans les zones périurbaines, "pour lutter contre l'artificialisation des sols".La proposition de Mme Pompili, qui ne se veut "pas anti e-commerce" dit-on au ministère, est liée à des raisons de "cohérence des politiques publiques", afin de lutter contre cet étalement urbain et revitaliser les centres-bourgs.La nouvelle ministre suggère le lancement d'une mission parlementaire, "en lien avec Bercy", pour dresser un état des lieux de l'impact économique et environnemental de l'essor des entrepôts logistiques en France. Un moratoire sur les installations nouvelles, dont la durée reste à préciser, serait imposé en attendant ses résultats.Interrogé par l'AFP, Amazon a indiqué vendredi ne pas avoir "d'information spécifique sur un potentiel moratoire" concernant ces dépôts et n'a pas souhaité commenter.Le géant américain défend son rôle en matière d'emploi (30.000 emplois directs et indirects en France, dont 9.300 directs sur les 200.000 du commerce en ligne, selon une porte-parole).Le Syndicat des indépendants (SDI), qui représente notamment les commerçants de proximité, a pour sa part "accueilli favorablement" cette proposition qui permettrait "un rééquilibrage" entre commerces de centre-ville, grandes surfaces de périphérie et commerce en ligne."Cette proposition, si elle est appuyée par le gouvernement, permettra de revitaliser les centres-villes et de soutenir la relance des commerces de proximité. Ces derniers ont été durement touchés par la crise sanitaire et les mouvements sociaux qui ont précédé, et ils sont aujourd'hui dans une détresse économique qui les laisse sans armes face à la concurrence des acteurs du e-commerce", a commenté Marc Sanchez, secrétaire général du SDI.Pour les Amis de la Terre, "l'annonce de Barbara Pompili crée de l'espoir mais la bataille au gouvernement est loin d'être gagnée".Pour l'ONG, "une différence de traitement" entre les entrepôts de commerce en ligne et les zones commerciales serait "injustifiée d'un point de vue juridique, économique et environnemental".
Il y a 4 ans et 321 jours

CSTB’Lab : A la recherche des bâtiments de demain

Retrouvez cet article dans le n° 89 de Béton[s] le Magazine. Rémi Bouchié a pris la direction du CSTB’Lab au mois d’avril dernier. [©CSTB] Fondé il y a 3 ans, en partenariat avec Impulse Partners, le CSTB’Lab s’intéresse aux start-up qui s’inscrivent dans l’exploration du bâtiment durable, responsable et connecté. En bref, le bâtiment de demain. Une thématique qui colle parfaitement à la feuille de route du CSTB. « Le Centre oriente ses travaux de recherche autour des enjeux stratégiques que sont notamment l’économie circulaire, le bas carbone, ou encore le réemploi ou la qualité de l’air intérieur », explique Rémi Bouchié, directeur du CSTB’Lab. C’est donc de façon naturelle que le CSTB accompagne les innovations dans ces domaines. « Depuis 2017, nous avons accueilli environ une trentaine de start-up. Nous proposons 3 à 4 sujets thématiques par an. » Une fois les grands thèmes dessinés, le CSTB’Lab, grâce à sa veille, repère les start-up susceptibles d’être accompagnées par son accélérateur. « Les entreprises peuvent aussi candidater de manière spontanée, notamment via notre site Internet ou les réseaux sociaux. » Un accès aux connaissances techniques et scientifiques du CSTB Les start-up disposent des locaux de l’incubateur du CSTB à Paris dans le XVIe arrondissement. [©CSTB] La sélection des start-up est réalisée sur dossier par un jury de professionnels du CSTB. Le but n’étant pas de retenir un nombre de start-up précis, mais de s’assurer que la collaboration soit bénéfique pour les deux parties. « Nous auditons une dizaine d’entreprises. Nous regardons le côté disruptif de leur projet et ce que le CSTB peut apporter. » Le CSTB’Lab se positionne entre la phase de prototypage et la phase industrielle et commerciale. « Nous visons l’accélération avant la massification. » Les start-up disposent des locaux de l’incubateur du CSTB à Paris dans le XVIe arrondissement. Rémi Bouchié réalise un entretien personnel avec chacune d’elles, afin de spécifier quel est son objectif, de prioriser les axes d’accompagnement et enfin de désigner un parrain. « Pendant un an, elles disposent d’un parrain issu des équipes de chercheurs du CSTB. » Son rôle consiste à informer, conseiller, mais aussi mettre en relation les start-up et les interlocuteurs adéquats à l’évolution de leur projet. C’est aussi à travers ce parrain que les entreprises ont accès aux connaissances scientifiques et techniques du CSTB. Si les projets de digitalisation et de traitement des datas sont bien représentés, le CSTB’Lab accueille aussi des solutions constructives concrètes. « Nous souhaitons co-construire et co-développer avec les start-up que nous accueillons. L’objectif à l’issue de l’accompagnement est d’aboutir à des partenariats et à des collaborations sur le long terme et d’explorer de nouveaux sujets de recherches », conclut Rémi Bouchié. En ce moment, 18 start-up bénéficient de l’accélérateur. Juillet 2020
Il y a 4 ans et 321 jours

De nouvelles réalisations en Stonepanel de Cupa Stone

Avec un large choix de couleurs, de formes et de formats, le parement en pierre qui donne du relief aux murs intérieurs et extérieurs est une excellente alternative aux revêtements utilisés habituellement pour des décors rustiques voire contemporains ! Très tendance, il réserve bien des surprises en matière de déco. Zoom sur 4 nouvelles réalisations Cupa Stone.Dans le jardin : les parements stonepanel bien intégrés aux paysagesLes parements Stonepanel® permettent une multitude de réalisations pour aménager et décorer le jardin : les murets et bordures en pierre naturelle se fondent harmonieusement dans la végétation et nécessitent peu d'entretien. Les parements Stonepanel® les habillent avec brio en offrant des lignes asymétriques qui accrochent le regard et dynamisent l'espace.Stonepanel® SaharaGneiss multicolore de teinte marron avec des nuances de gris d'aspect sobre et rustique.Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 120,67 €/m2Ce muret en ardoise se caractérise par des lignes épurées, la pierre est fine et allongée, et offre une esthétique minimaliste pour un bel effet déco. De quoi vous inspirer pour créer des aménagements qui sortent de l'ordinaire !Stonepanel® Jet Noir Lames FinesL'ardoise traditionnelle aux nuances de noir et de gris s'adapte parfaitement aux aménagements extérieurs.Format standard : 60 x 20 cm x 2-4,5 cmPrix public indicatif TTC : 126,00 €/m2 hors poseVue sur la ville : une vraie terrasse urbaineLes propriétaires ont aménagé ce petit espace sur le toit, en terrasse facile à vivre, pour se reposer, se détendre et recevoir des amis sans pour autant jardiner. Ils ont choisi un parement dans des teintes gris/bleu pour son aspect très naturel et décoratif ; c'est cet habillage du mur qui souligne ici l'originalité et fait toute la différence !Stonepanel® NordicCe quartzite aux nuances grises et bleues transmet fraîcheur et clarté pour un style très contemporain. Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 119,48 €/m2 hors poseDonner son empreinte à la maison avec la pierre naturelleEnvie de nouveautés ou de relooker sa maison, pensez aux solutions hautement esthétiques de Cupa Stone, les parements en pierre naturelle Stonepanel®. La gamme complète répond à tous les styles et permet de créer des décors exclusifs. Elle connaît un regain d'intérêt pour toutes les constructions ou rénovations soucieuses d'écologie et d'environnement.Cette maison incarne l'esprit du sud, alternant simplicité et modernité sur fond de douces tonalités mêlant design épurés et matériaux bruts. Les parements confèrent un cachet et une personnalité aux façades avec un effet d'enrochement plus vrai que nature !Stonepanel® MarinaPierre lumineuse et élégante avec des tonalités crème et rose claire. Ce panneau est idéal pour créer des projets contemporains. Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 120,67 €/m2 hors poseLes + produitsL'installation des panneaux est simple et facile. Elle n'implique pas l'utilisation de machines spécifiques.La pose est dix fois plus rapide que la pose traditionnelle (20m2 en moyenne/jour).Le panneau ne nécessite aucun travaux de nettoyage pendant au moins une dizaine d'années ; l'aspect visuel du parement reste impeccable dans la durée.Les déchets et les pertes dues aux coupes sont largement diminués durant le chantierLe système de fixation breveté et homologué, en acier inoxydable, permet l'installation à plus de 2 mètres de hauteur (Avis technique, CSTB).La base de ciment renforcée (3 cm d'épaisseur) par une armature en fibre de verre garantit la tenue des pierres.Le parement en forme de « S » rend les joints invisibles et assure un aspect homogène à la surface installée.Tous les produits en pierre naturelle sont disponibles exclusivement dans les 11 agences du réseau Cupa Stone en France.A découvrir sur le site internet : www.cupastone.fr
Il y a 4 ans et 322 jours

Un nouveau marché de déploiement de fibre optique attribué dans la Manche

RÉSEAUX. Avec ce nouveau contrat en conception-réalisation, le département compte sur une couverture de 100% de son territoire d'ici à 2025.
Il y a 4 ans et 322 jours

Tunnel Lyon-Turin: 4 puits à 220 Millions d'euros pour le groupement Vinci

Le promoteur public chargé de l'opération a attribué la réalisation de quatre puits de ventilation du tunnel de base à un groupement d'entreprises piloté par Vinci pour un montant de 220 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 322 jours

Le groupe Icade, reflet de l'immobilier face à la crise

La crise "fait un trou d'air en 2020 mais l'effet dans le temps sera assez limité", a assuré à l'AFP Olivier Wigniolle, directeur général d'Icade, à l'occasion des résultats semestriels mardi.Son bénéfice net semestriel a chuté de 89%, par rapport à un an plus tôt, à cinq millions d'euros. Le "cash-flow net courant", plus représentatif des performances, a reculé de 7,8% à 161,3 millions d'euros, et les revenus de 8,3% à 622 millions.Sur toute l'année, Icade estime que la crise privera ses résultats d'une centaine de millions d'euros, mais espère en récupérer presque la moitié en 2021.Ces chiffres dressent des perspectives pour l'ensemble du secteur immobilier au-delà de la seule situation du groupe, au capital dominé par le public via la Caisse des dépôts.En effet, Icade joue sur de multiples tableaux. Il fait construire des logements, loue des bureaux et possède des établissements de santé, essentiellement des cliniques et maisons de retraite.Le groupe accélère depuis plusieurs années dans cette dernière activité."On ne savait évidemment pas que le Covid allait arriver", a souligné M. Wigniolle. "Mais à rebours, ça valide cette stratégie. L'immobilier de santé, on va en avoir plus besoin demain qu'hier."Le patron d'Icade évoque notamment le "Ségur de la santé". Lancées en pleine épidémie, ces négociations entre gouvernement et monde de la santé viennent d'aboutir à la promesse de vastes investissements.Signe qu'Icade croit toujours beaucoup à la santé, et pas seulement en France, le groupe a annoncé mardi l'achat pour 145 millions d'euros de maisons de retraite, largement situées en Allemagne, au groupe Orpéa qui continuera à les exploiter.Sur le même modèle, "peut-être verrons-nous les hôpitaux publics externaliser (vendre) une partie de leurs murs, même s'il est trop tôt pour le dire", a avancé M. Wigniolle.Le logement rebonditL'immobilier de santé, est une niche, mais les résultats d'Icade donnent d'autres indications sur un univers beaucoup plus vaste, le logement. Elles sont plutôt rassurantes, dans la lignée de chiffres déjà donnés par un grand concurrent, le promoteur Kaufman & Broad, début juillet.Les revenus ont certes chuté face à l'interruption de nombreux chantiers lors du strict confinement contre le virus au printemps. Mais les réservations, gage de futures rentrées d'argent, ont fortement rebondi dès le déconfinement."Objectivement, ce n'était pas le pronostic que nous faisions", s'est félicité M. Wigniolle, estimant que le confinement fait émerger une "aspiration à un logement de meilleure qualité".Néanmoins, plus que les particuliers, ce sont les grands investisseurs qui ont soutenu les ventes et les dominent désormais. Leurs réservations ont doublé par rapport à un an plus tôt."C'est une classe d'actifs qui leur semble assez intéressante dans le contexte actuel", a remarqué M. Wigniolle, évoquant un "niveau de risque extrêmement limité".A ce titre, Icade a annoncé une énorme vente - 1.000 logements - à la filiale de logements de la Caisse des dépôts, CDC Habitat.Certes, la transaction se fait en famille, vu les liens entre Icade et la Caisse, mais elle n'est pas isolée. Kaufman & Broad avait aussi souligné l'immense appétit de CDC Habitat qui a promis de financer des dizaines de milliers de nouveaux logements face à la crise.Reste le cas des bureaux. La crise va-t-elle se traduire par la faillite de multiples locataires, entraînant une déprime générale de l'immobilier d'entreprise ?Icade n'observe pas de défaillances en série, mais a renoncé à percevoir plusieurs mois de loyers auprès des plus petites entreprises, de l'argent qu'il ne récupérera jamais.Quant aux bureaux eux-mêmes, vont-ils devoir changer de visage alors qu'entreprises et employés se sont - parfois difficilement - habitués au travail à domicile ?"Je ne sais pas si le travail dans les immeubles de bureaux va être très affecté par la crise", a éludé M. Wigniolle. "On n'en est pas encore là."
Il y a 4 ans et 322 jours

Sécurité et accessibilité des piétons durant un chantier

Du fait de la transformation perpétuelle du paysage urbain, les chantiers se multiplient dans les villes et, avec eux, les difficultés de circulation pour les différents usagers de la route. Parmi eux, le profil le plus sensible est celui des piétons, qui doivent faire l’objet d’une attention particulière en matière de sécurité et d’accessibilité, durant toute la phase de travaux.  Intérêts de la prise en compte des piétons durant un chantier  Il n’est pas toujours simple de se déplacer dans une rue ou un quartier en chantier. Si les raisons de réaliser des travaux publics sont variées, les usagers qui cohabitent dans l’espace urbain le sont tout autant. Aussi, pour limiter les risques liés à l’impact de travaux sur le cheminement des piétons, tout un ensemble de règles et de préconisations sont mis en place. Leur objectif est double :  garantir la sécurité des piétons face aux risques liés au chantier et à la circulation,  conserver une accessibilité du cheminement pour l’ensemble des piétons.  Ces notions de sécurité et d’accessibilité sont d’autant plus importantes qu’elles englobent les personnes valides, mais également celles porteuses d’un handicap, ainsi que les personnes dites “en situation de mobilité réduite”, comme les femmes enceintes, les personnes avec poussette ou chariot, les usagers étrangers ne comprenant pas la langue, les piétons distraits par leurs écouteurs, etc.  Les obligations quant à la sécurité et à l’accessibilité des piétons  Afin d’assurer l’accessibilité et la sécurité des piétons durant la phase de chantier d’un espace public, les acteurs du BTP sont soumis à des obligations réglementaires, ainsi qu’à la mise en place d’une signalisation claire.  Obligations réglementaires  Qu’il s’agisse d’entreprises privées ou de collectivités publiques, les obligations réglementaires sont issues des textes réglementaires à la coordination pour la sécurité et la protection de la santé (SPS) sur les chantiers.  Ainsi, comme dans le cadre légal général, l’accessibilité doit être garantie par le biais de passages piétons, ressauts, équipements, mobiliers et cheminements. Par ailleurs, tous les chantiers ont obligation d’assurer la continuité du cheminement piéton en priorisant l’accès au trottoir ou l’aménagement sécurisé d’une portion de chaussée. La traversée de celle-ci ne doit être envisagée qu’en dernier recours.  La réglementation fixe également des largeurs minimales de cheminement, afin d’assurer la libre circulation des individus sur l’espace public.  Obligations de signalisation temporaire  La signalisation a pour rôle d’alerter et guider les usagers de la voie public pour garantir leur sécurité. Également, elle va leur permettre d’adapter leur comportement face à une situation de circulation perturbée.  Ainsi, en milieu urbain, différents balisages doivent former une barrière physique entre le cheminement et l’espace de travaux, afin d’assurer la sécurité sur la voie publique et sur le chantier. Par ailleurs, la position et l’encombrement du chantier doivent être signalés et si l’équipement nécessaire aux travaux déborde sur le trottoir, un espace minimum de 1,40 mètre doit être aménagé pour garantir la circulation des usagers, quelle que soit leur situation.  Quid de l’accessibilité et la sécurité des cyclistes ?  En plus des usagers piétons, une attention particulière doit être portée à la sécurité et à l’accessibilité des cyclistes. En effet, lors de chantiers les pistes et bandes cyclables peuvent se trouvées coupées ou déviées. Il est alors nécessaire d’instaurer une signalisation temporaire efficace, au moyen de panneaux ou de marquages au sol.  En l’absence d’une prise en compte des cyclistes, ceux-ci peuvent se trouver en situation gênante, s’ils empruntent le cheminement piéton, un passage généralement réduit, vélo à la main. Également, leur sécurité peut être altérée par une continuité sur la chaussée, dans des conditions dégradées si celle-ci est réduite, abîmée ou que la circulation est interrompue.
Il y a 4 ans et 322 jours

Tout sur le nettoyage de fin de chantier

Etape indispensable en fin de travaux, le nettoyage de fin de chantier est le plus souvent réalisé par une entreprise spécialisée. Il permet de livrer un logement propre et exploitable immédiatement au client. A moins que celui-ci ne décide de faire le ménage lui-même. Qu’est-ce que le nettoyage de fin de chantier ? Le nettoyage de chantier est l’étape ultime, qui marque l’achèvement dudit chantier. C’est en effet la dernière opération avant livraison des travaux au client. De manière générale, cette opération a lieu durant la phase préalable de réception des travaux par le maître d’ouvrage. On distingue deux principales étapes au nettoyage de fin de chantier : le nettoyage grossier et en profondeur. Le nettoyage grossier Le nettoyage grossier constitue la première partie d’un nettoyage de fin de chantier. Il vise à débarrasser le théâtre des travaux des gravats et déchets afin de laisser les pièces vides et balayées. Lors de cette étape, on balaie le gros de la poussière avec un chiffon sec pour la déplacer au sol avant d’utiliser un puissant aspirateur. On veillera à conserver les films protecteurs posés aux les murs et les sols jusqu’à la fin du nettoyage grossier. Le nettoyage en profondeur De son côté, le nettoyage en profondeur vise à rendre parfaitement saines et habitables les pièces concernées par le chantier. En effet, lors de travaux, de grandes quantités de poussière sont générées, qui vont s’insinuer dans les moindres recoins. Ainsi, le nettoyage en profondeur va s’intéresser de près à de nombreux éléments : portes et fenêtres, stores et volets, sols et plinthes, interrupteurs, prises et robinets, cuisine et salle de bains, murs et crépis, Radiateurs. Dans le cadre du nettoyage en profondeur, l’intégralité du logement est nettoyée de fond en comble. Au-delà du dépoussiérage, il est nécessaire de désinfecter les lavabos, baignoires et équipements sanitaires, de décaper les sols, dégraisser les vitres, aérer le logement, etc. Faire appel à une société spécialisée Du fait de l’importante quantité de poussière, gravats ou résidus divers présents dus aux travaux, le nettoyage est généralement confié à une société spécialisée. Celle-ci peut être mandatée par l’entreprise qui a réalisé les travaux, qui se chargera de répercuter le coût sur la facture globale du chantier. Elle peut également être mandatée par le client lui-même, qui pourra distinguer les coûts des travaux et du nettoyage. Dans ces deux cas de figure, les actions à réaliser par l’entreprise de nettoyage de fin de chantier sont définies par le client et consignées dans le cahier des charges de l’intervention. Réaliser le ménage soi-même Si le cas le plus courant est de faire intervenir une entreprise spécialisée, rien ne vous empêche de réaliser vous-même le nettoyage de fin de chantier. L’occasion de peut-être tester votre système d’aspiration centralisée flambant neuf ? Cette opération vous demandera beaucoup d’huile de coude, d’aide et de produits appropriés, mais pourra vous faire économiser une somme conséquente : en effet, un nettoyage de fin de chantier coûte en moyenne entre 300 et 400 € pour 100 m² de surface.
Il y a 4 ans et 322 jours

« Accompagner les maires pour bâtir le village planétaire »

L’ingénierie d’Etat accompagnera les nouveaux maires, face aux défis écologiques. Directeur général du Centre d’étude et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) depuis mai 2018, Pascal Berteaud livre ce message dans la continuité d’une carrière centrée sur l’environnement. Ancien directeur adjoint du cabinet de Nathalie Kosciusko-Morizet de 2010 à 2012, l’ingénieur X-Ponts a notamment coordonné les contrats de transition écologique.
Il y a 4 ans et 322 jours

Réouverture à Rouen de l'Aître Saint-Maclou, édifice médiéval rare

"Des centaines de compagnons (menuisiers, peintres, restaurateurs, etc)", ont participé à ce chantier de 14 millions d'euros, précise la collectivité propriétaire des lieux. La région Normandie et l'État ont participé à hauteur de respectivement 4 et 2,2 millions d'euros.L'édifice du XIVe siècle se compose d'une cour fermée, entourée de galeries à pans de bois ornées d'éléments de décoration en pierre ou boisés.L'élément le plus saillant de la restauration est la réouverture d'une galerie entre les deux rues qui encadrent le monument historique.L'aître sera ouvert du lundi au dimanche en accès libre et gratuit. Des visites guidées sont également proposées pour expliquer par exemple le crâne à triple faces sculpté de la façade ou la cloche de la cour.Une galerie installée dans les ailes nord de l'aître et abritant des expositions ouvrira au public le 8 août.Selon Alain Bardin, coordinateur du projet de réhabilitation, "Rouen est la seule ville d'Europe à posséder un décor de danse macabre sculptée au sein d'une cour carrée".Avant rénovation, l'Aître attirait en moyenne plus de 300.000 visiteurs par an.Jusqu'en 2014, le monument était occupé par l'école des Beaux-Arts de Rouen.
Il y a 4 ans et 322 jours

Concessions d'autoroutes : le Conseil d'État rejette la requête d'un militant écologiste

Raymond Avrillier, 72 ans, espérait l'annulation d'un accord qui prévoyait une hausse des tarifs autoroutiers chaque année entre 2019 et 2023 pour compenser le gel des tarifs décidé en 2015 sous la pression de Ségolène Royal, alors ministre des Transports et de la transition énergétique.Cet ancien élu à la ville de Grenoble réclamait également l'annulation, pour "excès de pouvoir", de plusieurs clauses de ce même protocole d'accord, conclu le 9 avril 2015, qui accordaient aux sociétés autoroutières un allongement de leurs concessions en échange des travaux à réaliser.Dans sa décision, dont l'AFP a obtenu copie, le Conseil d'État a notamment estimé que la requête de M. Avrillier était "entachée d'une irrecevabilité manifeste" car "l'intéressé", qui "se prévaut de sa qualité de contribuable", ne "peut (...) être regardé comme un tiers susceptible d'être lésé dans ses intérêts de façon suffisamment directe et certaine"."Les clauses du protocole relatives (...) à la mise en œuvre du protocole dont M. Avrillier demande l'annulation sont dépourvues de caractère réglementaire", a ajouté le Conseil d'État, précisant que la seconde requête de l'ancien élu n'est pour cette raison "pas non plus recevable".Le 18 mars 2019, le Conseil d'État avait enjoint Bercy de communiquer à M. Avrillier - à l'origine de plusieurs affaires judiciaires embarrassant Nicolas Sarkozy et d'un scandale impliquant l'ancien maire de Grenoble Alain Carignon - les documents relatifs à cet accord après plusieurs refus du ministère.La haute juridiction avait estimé que "le protocole transactionnel" signé par les deux ministres compétents à l'époque - Emmanuel Macron pour l'Économie et Ségolène Royal pour les Transports - "constitue un contrat administratif et présente le caractère d'un document administratif communicable".
Il y a 4 ans et 322 jours

La beauté du patrimoine d’Outre-mer

Les 12 régions et collectivités plurielles qui forment l’Outre-mer sont dotées d’un patrimoine riche et diversifié. On y retrouve de magnifiques paysages et une architecture hors-du-commun. Découvre certains de ses édifices portés par les projets du Loto du patrimoine  sélectionnés lors de la Mission Stéphane Bern.   L’habitation Zévallos au roule  ©Fondation du patrimoine Construite en 1850, cette maison réunit des codes des bâtisses des Cajuns de Louisiane avec sa structure en brique et en fer. Aujourd’hui, elle est au cœur d’un vaste projet de développement et de valorisation : les savoir-faire ancestraux seront employés pour sa restauration mais l’objectif est également d’y édifier un musée et d’y organiser des spectacles. Projet emblématique de la Guadeloupe pour cette année, l’habitation Zévalos retrouvera son aspect d’origine une fois le chantier achevé. Découvrir le projet >             Le Pont suspendu de la rivière de l’Est ©Fondation du patrimoine Perdu au milieu de la végétation, ce pont suspendu date de 1893. L’objectif était alors de relier la région Est à celle du Nord et de développer l’industrie sucrière par le transport des cannes. Aujourd’hui, ce patrimoine aux airs de décor de cinéma est dans un état préoccupant. Projet emblématique de La Réunion, sa restauration permettra de le rendre de nouveau accessible au public mais également d’en faire un pôle d’attractivité touristique et économique favorisant le commerce d’artisanat et de produits locaux. Découvrir le projet >               L’église du Sacré-Cœur de Balata ©Fondation du patrimoine Le projet retenu pour la Martinique est l’église du Sacré-Cœur de Balata. L’architecture de l’édifice évoque le monument éponyme parisien tout en proposant une adaptation tropicale du style romano-byzantin. Il s’agit d’un lieu de culte mais également d’un site touristique ouvert au public au sein duquel sont organisés des concerts et des spectacles. La restauration de l’église permettra de la sauvegarder et de lui permettre de résister au climat local et aux infiltrations. Découvrir le projet >             L’église Saint-joseph d’Iracoubo  ©Fondation du patrimoine En Guyane, l’église Saint-Joseph d’Iracoubo est le témoin d’une mobilisation des habitants. En effet, les travaux débutent en 1887 grâce aux dons des villageois. Elle conserve entre ses murs un décor peint réalisé par le bagnard Pierre Huguet, entre 1892 et 1898, ce qui ajoute au caractère exceptionnel des lieux. Les affres du temps et notamment l’humidité fragilisent cette église qui a désormais besoin d’une restauration. Les abords seront également mis en valeur. Découvrir le projet >             Soutenez d’autres projets sur : le site internet
Il y a 4 ans et 322 jours

Boulogne-Billancourt : Mille colonnes en soil-mixing soutiennent la gare

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. La future gare Pont-de-Sèvres se situera en bordure de Seine, juste en face de la Seine Musicale. [©Caroline Kim] Conçue par Soletanche Bachy et baptisée Fundex F5000, la plus grande foreuse d’Europe a travaillé sur le chantier de la future gare Pont-de-Sèvres entre septembre 2019 et mars 2020. Sa mission : renforcer le sol sous le futur terrassement. En effet, la gare sera située en bord de Seine. Le sous-sol est composé de sable sur craie. A une profondeur allant de 15 m à 39 m, la craie a été jugée trop fragile pour accueillir l’infrastructure. La Société du Grand Paris, maître d’ouvrage de l’opération, a donc retenu la solution de soil-mixing proposée par le groupement Horizon, qui réalise le lot T3A (le tunnel de l’Ile de Monsieur à Sèvres jusqu’à la gare de Fort-d’Issy – Vanves – Clamart, deux gares – Pont-de-Sèvres et Issy-RER – et quatre ouvrages annexes).  Le soil-mixing consiste à Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 322 jours

Les étapes de construction d’une véranda

Une véranda ou une terrasse couverte a une fonction importante dans votre jardin. Elle offre une protection contre le soleil, le froid, la pluie et les chutes de feuilles. Cependant la planification d’une véranda peut être perçue comme un processus difficile. Pour tirer le meilleur parti de votre rénovation extérieure, vous devez vous assurer que vous avez une bonne vision des résultats du projet et du budget nécessaire pour atteindre vos objectifs.   Utilisation Dans un premier temps, vous devez trancher sur l’utilité qu’aura votre véranda : aménager un salon ou une cuisine, prendre le repas, couvrir une piscine, etc. Par ailleurs, il faut prendre en compte les éléments suivants : intimité, flux de circulation, lumière et ombre, emplacement et connexion aux sorties du logement, intégration au jardin. Ce ne sont là que quelques-uns des éléments pour obtenir un espace réussi. Décidez donc de ceux qui sont le plus importants en fonction du budget.   Conception Le fait de cocher les options de conception, y compris les matériaux, déterminera l’orientation des résultats et des coûts. Elle peut être en bois ou en aluminium, être ouverte sur tout le pourtour ou avoir des murs partiellement fermés. Elle peut avoir un toit fermé en métal ou être faite de panneaux de polycarbonate transparents ou translucides, dans les deux cas avec des dispositifs de drainage. A savoir que le toit doit avoir une hauteur d’au moins 2,2 mètres, et que vous devez également tenir compte de la hauteur du cadre et, si nécessaire, de l’ouverture et de la fermeture des portes de la maison. Une fois que vous avez décidé des options que vous préférez, faites préparer un plan conceptuel pour visualiser et développer votre espace afin de vous assurer que le résultat final concorde avec votre concept.   Planification Comme pour tout autre bâtiment, faites préparer des plans que vous ou votre constructeur pouvez chiffrer de manière réaliste et assurez-vous que le résultat prévu sera atteint.   Budgétisation Disposez d’un budget réaliste pour réaliser l’ensemble de votre projet. Si le processus de planification ci-dessus est suivi, cela garantira que les constructeurs proposent tous le même résultat de projet, y compris les matériaux. Si vous vous assurez que votre budget est raisonnable, vous vous retrouverez à faire des économies sur la conception, les matériaux, la finition et le constructeur.   Construction Entreprendre un projet en tant que « constructeur maison » est certainement une option si vous avez les connaissances, le temps, les fournitures et les contacts. Si ce n’est pas le cas, et que vous n’êtes pas en mesure d’assurer la réalisation, la meilleure option pour vous est de choisir un constructeur expérimenté ayant fait ses preuves. Choisir un constructeur ayant de l’expérience dans votre type de projet est une décision judicieuse pour garantir le meilleur résultat. Ne faites pas votre choix uniquement en fonction du prix.   Programmation Prévoyez suffisamment de temps pour planifier, sélectionner le constructeur, obtenir l’autorisation et enfin construire. Le délai minimum pour réaliser le processus ci-dessus sera de 3 à 4 mois si aucune planification ou approbation du conseil n’est requise du début à la fin. Commencez donc à planifier votre projet dès le début pour éviter toute déception.
Il y a 4 ans et 322 jours

Monaco : Trois jours pour tout changer

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. A Monaco, EMT vient de mettre en route le logiciel CP de Command Alkon. [©EMT] L’Entreprise Monégasque de Travaux (EMT) possède la seule centrale à béton de la Principauté. L’installation est conçue autour de deux malaxeurs. Mais cela impliquait de gérer un planning des commandes chargé. Une situation pas toujours simple, notamment quand il faut changer le logiciel des automates de la centrale. « Nous étions équipés du logiciel CE2 de Command Alkon, qui arrivait au bout de ses possibilités. Nous venons de passer sur leur nouveau logiciel CP, avec quelques adaptations dues à la configuration particulière de notre unité de production, indique Franck Carles, directeur d’exploitation d’EMT. L’opération devait être bien réglée en amont, puisqu’elle a débuté un vendredi après-midi et que le lundi matin, nous avions déjà à répondre à une commande de 1 000 m3de béton. Mais tout a bien fonctionné ! » Les équipes de Command Alkon ont d’autant plus préparé cette intervention, qu’elles déployaient le nouveau CP, dans le cadre du remplacement de CE2, seulement pour la deuxième fois. « Le logiciel CE2 s’arrêtera en 2024. Nous commençons à faire migrer nos clients vers son successeur, le CP,reprend Gaël L’Hopital, directeur opérationnel de Command Alkon. Nous avions déjà fait un pilote avec Eqiom. Cette intervention était la seconde de ce type. Avoir seulement trois jours pour agir était un défi, comme le fait d’avoir deux malaxeurs dans la centrale. Mais nous avions réalisé des simulations en amont. Et le jour J, tout a été réalisé tout de suite. Nous avons même pu faire des tests toute la journée du dimanche. » EMT peut à présent envisager avec confiance les migrations vers son nouveau logiciel, qui vont se généraliser. 
Il y a 4 ans et 322 jours

Aperçu sur les différents travaux d’aménagement publics

Pour développer le tourisme dans un pays ou une ville, il est indispensable d’aménager ou de créer un certain nombre d’infrastructures. L’objectif est d’attirer un maximum de visiteurs tous les ans pour booster l’économie de la région ou du pays en question. Pour concrétiser un projet de ce genre, il est préférable de recourir à l’expertise d’une entreprise spécialisée en travaux d’aménagement public. Le terrassement : une branche des travaux d’aménagement publics Pour des projets de construction ou d’extension, par exemple, les travaux de terrassement s’imposent. Il s’agit d’une opération qui consiste à préparer un terrain destiné à l’édification d’une structure. Et donc, pour mener à bien les travaux, il faut se munir d’un parc de matériel conséquent et d’une main-d’œuvre qualifiée. À noter qu’il existe deux types de terrassements : le remblai et le déblai. Le premier consiste à déplacer des terres prélevées sur le terrain à construire afin d’uniformiser la surface, tandis que le déblai permet d’enlever des terres pour rabaisser le niveau de terrain, puis de l’aplanir. Ensuite, il va falloir charger les terres enlevées dans un véhicule afin de les déplacer pour le déblai. Terrasser signifie également préparer le sol en déplaçant des quantités importantes de terres ou de roches pour mettre le sol à niveau. Ainsi, on pourra réaliser certains ouvrages tels qu’une habitation ou une route. Avant de lancer le chantier, le terrassier effectue en amont un diagnostic. Le prestataire peut également s’occuper de la réalisation de bordures esthétiques en fonction des attentes des clients. Concernant le coût, tout dépend du type de sol du terrain, de son emplacement, de sa longueur, de la difficulté d’accès, etc. La création des réseaux divers Les travaux publics englobent également les travaux liés aux besoins primaires des consommateurs en matière d’hygiène. Cela concerne aussi bien le milieu urbain que le milieu rural. On parle ici des opérations d’assainissement et d’épuration des eaux usées. Concrètement, elles consistent à faire évacuer ces dernières ainsi que les eaux domestiques de chaque foyer par un réseau d’assainissement collectif. On cherche à dépolluer les eaux et les sols grâce à un système d’évacuation. Cette étape des travaux peut de même consister à la mise en œuvre d’un réseau d’approvisionnement en eau. Il s’agit ici de construire des structures facilitant l’acheminement de l’eau potable dans des zones, comme le quartier, la région, la ville, voire un pays entier. Certaines entreprises s’occupent de la pose de graviers pour créer des allées piétonnes, par exemple. Aussi, elles sont spécialisées dans la pose d’enrobé en vue de créer des chaussées ou une piste d’aviation. D’autres proposent leur savoir-faire dans des travaux de génie civil. Il s’agit des travaux de construction de tout type de bâtiment, allant des petits édifices aux gratte-ciels. Cela concerne également la réhabilitation et la rénovation d’une structure déjà existante. Ces travaux sont divisés en 4 parties, à savoir la construction d’infrastructures de transport, la construction de barrages, la construction d’infrastructures urbaines et de structures industrielles. Pour la concrétisation des travaux, il est recommandé de demander plusieurs devis auprès de plusieurs sociétés de construction.
Il y a 4 ans et 322 jours

Gare du Nord : "le lancement des travaux aura lieu" (E. Wargon)

GRANDS PROJETS. Le Gouvernement a confirmé, devant les sénateurs, son intention de lancer la rénovation de la Gare du Nord en l'état, malgré l'opposition de nombreux acteurs, dont la mairie de Paris, et plusieurs architectes de renom.
Il y a 4 ans et 322 jours

Un contrat routier de 183 M€ pour Vinci au Canada

Le ministère des Transports de la province de l’Alberta a retenu, pour la réalisation du segment sud du périphérique de Calgary, le groupement d’entreprises composé de filiales de Vinci (65 %) - Carmacks, filiale d'Eurovia, mandataire du groupement, et Vinci Construction Terrassement - et de la société canadienne Graham (35 %).
Il y a 4 ans et 322 jours

Le who’s who des beaux bétons

Retrouvez cette article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Le béton fluide DefiPerf Parement de Vicat a été mis en œuvre pour la construction des archives départementales de l’Isère. Une réalisation CR&ON/ D3 Architectes. [©Vicat] Au-delà des exemples de réalisations traitées dans les pages précédentes, l’offre “béton” comme solution d’architecture est plus que large. Les adeptes du “coulé en place” peuvent ainsi se tourner vers les fournisseurs de BPE, dont beaucoup ont imaginé et mis au point des produits spécifiques pour l’architecture. La préfabrication est l’autre porte d’entrée. Là, ces industriels spécialisés savent donner des réponses “sur mesure”. C’est même cela qui fait leur force… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 322 jours

Lancement du 3ème Challenge Start-ups Construction Tech

Le Challenge Start-ups Construction Tech® est un concours qui a pour but de soutenir des start-ups déjà présentes dans la filière Construction / Bâtiment / Immobilier mais également de faire émerger toutes les start-ups qui souhaiteraient proposer leurs solutions dans ces secteurs.Le coup d'envoi de la troisième édition du Challenge Construction Tech® est dès à présent donné ! Les start-ups ont jusqu'au 30 octobre 2020 pour proposer leurs candidatures qui seront étudiées par un jury d'experts courant décembre 2020. Les lauréats seront annoncés officiellement à l'issue de ce jury.Ce jury choisira les lauréats, ainsi que le Grand Lauréat, en fonction de plusieurs critères dont la pertinence et la maturité de la solution ou du produit présentés, dans des domaines aussi variés que :Sécurité des personnes & équipement de protection individuelleSmart home, Smart building & IoTSmart citiesBIM, 3D & réalité virtuelleSolution constructive et matériauxÉnergie, efficacité énergétique & ENRPlateforme d'intermédiationData, IA & blockchainGestion de chantierÉconomie circulaireVégétalisation.Challenge Construction Tech® : une vitrine pour les start-upsConstruction Tech® mettra à disposition des lauréats de nombreux outils pour valoriser leurs innovations.Dès leur inscription au Challenge Start-ups Construction Tech®, les lauréats seront valorisés à travers des campagnes sur les réseaux sociaux, des e-mailings, et une communication spécifique menés par BATIMAT. Ils pourront aussi bénéficier de l'enregistrement d'un podcast dans « La start-up de la semaine » sur BATIRADIO.Nouveauté pour cette édition, le Grand Lauréat aura la possibilité de prendre la parole sur le salon Pollutec (Lyon, 1-4 novembre 2020).En janvier 2021, tous les lauréats se verront proposer de venir « pitcher » lors d'une conférence de presse Construction Tech® et de présenter leurs solutions devant les journalistes. Pour se préparer, ils recevront l'aide d'un des membres du jury, invités à parrainer la start-up de leur choix.En novembre 2021, le Grand Lauréat aura la possibilité d'être présent sur le secteur Construction Tech® de BATIMAT, lui apportant une forte visibilité auprès du secteur du bâtiment, et la possibilité de rencontres avec les industriels et les décideurs du secteur.Les start-ups inscrites au 3ème Challenge seront également invitées à intégrer l'Annuaire numérique des Start-Ups Construction Tech®, un outil exclusif développé par BATIMAT pour faciliter la mise en relation entre les start-ups et les autres acteurs du Bâtiment et de l'Immobilier.
Il y a 4 ans et 322 jours

Rénovation : "les marchés seront là, il faut après que chacun aille les chercher" (Griset)

CONJONCTURE. Les nouveaux reports de charges dont pourront bénéficier les petites entreprises ont été confirmés par le ministre délégué aux PME, qui a aussi indiqué les pistes d'évolution des PGE envisagées par Bercy. Alain Griset a en outre appelé les artisans du bâtiment à "aller chercher les marchés" de la rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 322 jours

Le prolongement au nord de Paris de la ligne de métro 14 ouvrira en décembre

Ce chantier, qui prolonge cette ligne de métro entièrement automatisée au delà de la gare Saint-Lazare, avec quatre nouvelles stations jusqu'à Mairie de Saint-Ouen, a été ralenti d'abord par le confinement puis par les nouvelles règles sanitaires applicables sur les chantiers."Grâce aux essais concluants de circulation de trains (...) réalisés le week-end des 4 et 5 juillet, la RATP vise une mise en service du prolongement de la ligne 14 au nord pour mi-décembre 2020 avec l'ouverture de trois nouvelles stations (Pont Cardinet, Saint-Ouen, Mairie de Saint-Ouen) et une ouverture de la station Porte de Clichy en janvier 2021", a indiqué la RATP, dans un communiqué.La régie des transports franciliens estime que "le maintien d'une ouverture quasi-totale en 2020 (par rapport au calendrier précédent qui prévoyait une mise en service mi-septembre) résulte à la fois des efforts déployés par la RATP, les équipes de la maitrise d'oeuvre et l'ensemble des entreprises mobilisées"."La station Porte de Clichy, plus étendue que les trois autres stations (...) sera achevée avec un léger décalage et sera maintenue fermée en décembre", précise la RATP.Elle souligne aussi que le nouveau calendrier prévisionnel "reste lié au bon déroulement des prochaines étapes du chantier et de la fourniture des automatismes et matériels roulants, ainsi, bien sûr, qu'à l'évolution de la crise sanitaire".
Il y a 4 ans et 322 jours

Kaufman & Broad victime d'une "tentative de prise de contrôle rampante"

ACTIONNARIAT. Après que le promoteur Promogim a déclaré détenir 13,41% des actions de son concurrent Kaufman & Broad, celui-ci dénonce une "tentative de prise de contrôle rampante" et déclenche son programme de rachat d'actions.
Il y a 4 ans et 322 jours

Nomination de Marc Bellair au sein de Bluetek

Un parcours internationalMarc BELLAIR débute sa carrière dans le bâtiment en 1991 au sein de l'entreprise thaïlandaise Sodap Taïland Ltd, filiale du groupe Lafarge, en qualité de manager technique de production. Il y a assuré la direction de l'usine de production et la gestion des grands comptes clients internationaux.Durant 6 ans (1991-1997), Marc BELLAIR a également apporté son concours à travers diverses missions de support auprès d'unités du groupe au Pakistan, à Taïwan ou encore à Hongkong. En 1997, Marc BELLAIR intègre la filiale Lafarge Refractories, du groupe éponyme, spécialisée dans la fabrication des bétons réfractaires pour l'industrie de l'aluminium. Jusqu'en 2002, Marc BELLAIR a eu pour mission de développer le marché international des matériaux réfractaires avec un périmètre d'action couvrant pas moins de 20 pays.Fort de ces expériences, Marc BELLAIR occupera le poste de la Direction Nationale des Ventes Façade et Prescription chez Wienerberger auprès des maîtres d'œuvre, des architectes et des bureaux d'études tout en participant à la stratégie commerciale de cette branche d'activité de Wienerberger.Un nouveau challenge dans la gestion des énergies dans le bâtimentL'arrivée de Marc BELLAIR, depuis le 1er juin 2020, témoigne de la volonté d'ADEXSI de renforcer la prescription de sa filiale Bluetek en restructurant cette cellule autour des compétences et des services du groupe ADEXSI et de l'offre GENATIS, solution globale pour la gestion des énergies naturelles des bâtiments.Cette nouvelle organisation de la prescription de BLUETEK aura pour vocation d'apporter des solutions clés en mains aux maitres d'œuvres et d'ouvrage ainsi qu'aux architectes.Genatis : une solution globaleGENATIS est une marque transversale d'ADEXSI qui regroupe les produits et savoir-faire de l'ensemble de ses filiales – BLUETEK, ESSERTEC, SOUCHIER-BOULLET, TELLIER BRISE-SOLEIL, SIA – en vue de proposer une solution globale de gestion des énergies naturelles dans les bâtiments.Destinée à tous les professionnels de la construction (architectures, aux maîtres d'œuvre, aux maîtres d'ouvrage, etc.), l'offre GENATIS, est une solution avant-gardiste qui répond aux nombreux défis de la rénovation énergétique des bâtiments ainsi qu'à la future réglementation environnementale de 2020.Une offre de services spécifiquesLa solution GENATIS se complète d'une offre de services dédiés en complément des produits des filiales d'ADEXSI. Parmi ces services, GENATIS assure la gestion du rafraichissement des bâtiments grâce à des automates programmables pilotables pas les gestionnaires permettant notamment d'obtenir un confort optimisé par la gestion de la gradation de l'éclairage artificiel, l'ombrage des façades et des lanterneaux présents en toiture, la ventilation, le rafraichissement par évaporation ou la façade bioclimatique. Enfin, GENATIS propose également un service « Diagnostic ».Cette prestation fait partie des leviers clés de l'offre GENATIS qui permettront à Marc BELLAIR de professionnaliser d'avantage la prescription de BLUETEK en apportant une étude complète des bâtiments pour mieux comprendre leurs pathologies. Ceci afin de mieux appréhender les solutions - et leurs installations - les plus adaptées. Ce service, traité par le bureau d'étude d'ADEXSI, comprend l'étude d'optimisation, les travaux, l'accompagnement et la garantie de performances sur l'ensemble des solutions GENATIS.
Il y a 4 ans et 322 jours

Crossrail : le dépôt ferroviaire de Plumstead a été livré

INTERNATIONAL. TSO, filiale de NGE, vient de terminer les travaux du dépôt de maintenance de Plumstead, dans le cadre du chantier de la future ligne de RER à Londres.
Il y a 4 ans et 323 jours

Bruno Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

"Le modèle de délégation de service public à des entreprises privées a apporté la preuve de son efficacité mais la condition, c'est que la régulation soit améliorée", a déclaré le ministre devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières.M. Le Maire, qui était directeur de cabinet du Premier ministre Dominique de Villepin, de 2006 à 2007, au moment de la privatisation des sociétés d'autoroutes, a jugé que cette opération avait été "réussie"."L'Etat n'a pas vocation à gérer des autoroutes", a-t-il affirmé, estimant que les gestionnaires privés étaient "mieux à même, mieux équipés" pour cela. Mais il a souligné que l'Etat restait propriétaire des infrastructures, n'ayant fait que céder ses parts dans les sociétés gestionnaires.Il a estimé que l'Etat en avait tiré "le meilleur prix", avec 14,8 milliards d'euros de recettes.Selon le ministre, la qualité de service a été au rendez-vous, grâce notamment à 22 milliards d'euros d'investissements réalisés par les sociétés concessionnaires. "Nous avons un des meilleurs réseaux autoroutiers au monde", a déclaré M. Le Maire.Reconnaissant que les tarifs étaient "chers" pour beaucoup d'usagers, il a assuré qu'ils ne s'étaient pas envolés et avaient "augmenté en suivant un rythme proche de celui de l'inflation et conforme aux règles prévues dans les contrats".Mais il a reconnu qu'il y avait "matière à amélioration" sur la régulation des concessions."Les hypothèses sous-jacentes aux contrats ne prévoyaient pas la baisse très forte des taux d'intérêt qui a permis aux sociétés concessionnaires de réduire leurs frais financiers, en refinançant leurs dettes à des conditions plus favorables. C'est un point fondamental", a-t-il dit.M. Le Maire a jugé "impératif pour les prochaines concessions de pouvoir réévaluer" ce coût de financement "pour que le concessionnaire ne bénéficie pas d'une sur-rentabilité".Il a notamment proposé de réduire la durée des contrats à 15 ans pour des infrastructures "qui ne nécessitent pas d'investissement massif dans les années à venir" et d'instaurer une "clause de rendez-vous tous les cinq ans qui permet de réévaluer les taux de retour sur investissements cibles"."Je ne crois absolument pas à l'opportunité d'une renationalisation de ces autoroutes", a-t-il dit, estimant qu'elle aurait un coût "considérable pour les finances publics, compris entre 45 et 50 milliards d'euros" et "serait un très mauvais investissement".
Il y a 4 ans et 323 jours

Durieu Owatrol : les solutions bois d'extérieurs

En retrait ou bien partie intégrante du jardin, cachette pour les enfants, remise à outils ou gazebo pour se réunir, l'abri de jardin est toujours en bois et doit durer car on n'en change pas tous les ans ! Plutôt que de le délaisser, la tendance est à l'entretien pour faire renaître ! On ne change pas, on prend soin, on transforme, on pérennise.Attitude actuelle, pérenniser n'est pas si simple. Pour faire durer et réussir la rénovation d'un ouvrage en bois, il faut s'approprier les bons réflexes car le bois vit et requiert des soins particuliers.Avant de lui appliquer quelque finition que ce soit, il faut qu'il soit propre. La première étape est donc toujours le nettoyage et il est indispensable de diagnostiquer la solution adéquate. C'est-à-dire analyser et déterminer s'il faut dégriser, déshuiler ou décaper. Ensuite vient l'étape de protection.Étape nettoyage : rappels et solutions OWATROL®On dégrise un bois simplement sale : NET-TROL®, véritable cure de jouvence, dégrise en 15 min les bois juste gris.On déshuile un bois encrassé par une ancienne finition huilée qui a cuit au soleil : AQUANETT® déshuile les bois encrassés en 20 minutes.On décape un bois avec un ancien revêtement très filmogène ou une ancienne peinture : DILUNETT® ou PREPDECK® s'attaquent au décapage et laissent un bois impeccable en moins de 2 h.NB : Après avoir déshuilé ou décapé il faut ABSOLUMENT stabiliser le support avec une passe de NET-TROL® afin d'assurer la tenue de la finition qui viendra ensuite.Étape protection : choisir la finition - Huile, lasure ou saturateurL'huile apporte un bel aspect mais va noircir sur le bois sous l'effet des UV et l'encrasser. L'entretien est plus compliqué.La lasure apporte une finition filmogène qui va s'écailler, il faudra décaper pour la maintenance.Le saturateur nourrit le bois en profondeur et le protège de l'intérieur sans laisser de film en extérieur. L'entretien est simple.Durieu privilégie le saturateur pour les bois extérieurs car c'est le seul produit qui avec son mode opératoire apporte une protection vraiment complète : avec une imprégnation optimale et en saturant le bois mouillé sur mouillé, la protection est totale. Les saturateurs de la gamme Owatrol® sont incontournables et chacun apporte une solution très technique bien ciblée.Zoom TEXTROL®Les bois tendres qui sont moins durs, moins denses et plus poreux que les autres essences ont besoin d'un soin particulièrement nourrissant qui se combine bien aux particules du bois pour assurer une protection optimale et durable.TEXTROL® est un saturateur très riche dédié aux bois tendres qui les magnifie et les protège durablement.À base d'huiles végétales combinées à des résines alkydes souples de haute qualité le TEXTROL® possède des qualités de pénétration exceptionnelles qui vont permettre de nourrir le bois dans la masse pour garantir sa longévité.Nourri de l'intérieur, le bois est prêt à résister aux intempéries pluie, vent soleil, air salé…Déco : TEXTROL® offre une large palette allant du classique incolore au gris graphite ultra moderne !
Il y a 4 ans et 323 jours

Comment optimiser les espaces de votre maison ?

La construction ou la rénovation d’une maison est une étape cruciale dans la vie d’un propriétaire. Ainsi, les choix faits durant la conception auront des conséquences considérables sur son mode de vie future. Lors de l’aménagement des espaces de la maison, il va falloir prendre en compte ses habitudes, celles de sa famille, pour que tout le monde puisse s’y sentir bien. L’optimisation de l’entrée L’entrée se présente comme étant un espace important dans une maison. En effet, c’est elle qui va donner la première impression. Entrée indépendante ou ouverte sur la cuisine ou le salon, il est important qu’elle soit aménagée de sorte à ce qu’elle soit fonctionnelle et pratique pour tous les occupants de la maison. Afin d’optimiser plus d’espace, lors d’un projet d’aménagement d’intérieur, il est nécessaire de penser à d’autres aménagements intéressants sur la porte d’entrée comme des meubles à chaussures, des casiers nominatifs pour accessoires, une penderie avec porte-manteaux ou encore des espaces pour le vide-poche. Le rangement de la salle de bains La salle de bain n’a pas besoin d’une surface importante pour être agréable. Il suffit seulement qu’elle soit bien rangée, avec des aménagements bien pensés. D’ailleurs, il existe sur le marché plusieurs accessoires et équipements au design original et ergonomique pour les petits espaces. Ainsi, vous pouvez privilégier des plans suspendus à tiroir pour ranger les serviettes, ou encore s’équiper avec une baignoire d’étagères pour gagner encore plus de surface. Les étagères murales sont également idéales pour dégager de la place au sol tout en donnant l’impression d’avoir une espace plus importante. Comment aménager le salon ? Le salon est une pièce principale. Rien que pour cette considération, il doit avoir plusieurs usages selon les habitudes de la famille. Il peut ainsi être un lieu de passage ou un lieu de détente. Le salon doit être facilement accessible, où la circulation sera fluide. Pour apporter une meilleure optimisation à cet espace, l’éclairage et la lumière naturelle sont des facteurs très importants. Comment faire entrer de la lumière dans une pièce sombre ? Lors d’une rénovation, c’est le moment pour apporter de la lumière naturelle dans une pièce jusque là sombre. En effet, le manque de lumière impacte directement sur le moral et la santé des occupants du logement : mauvaise humeur à répétition, baisse de motivation ou encore fatigue permanente. Heureusement qu’il existe des astuces pour faire entrer de la lumière naturelle dans la pièce. Force est de constater que plus de lumière apporte une sensation d’espace ainsi qu’une atmosphère chaleureuse dans la maison. Les pièces qui ont le plus besoin de lumière sont la cuisine, le salon ainsi que la salle de bains. Il existe quelques astuces pour profiter au maximum de l’éclairage naturel sans recours aux luminaires. Cela est à la fois pratique et économique. Capter la lumière avec un réflecteur de lumière Le principe est simple : la lumière naturelle tombe à la verticale, et elle passe devant les fenêtres sans forcément entrer dans la pièce. Ainsi, le réflecteur de lumière va faire en sorte que la pièce bénéficie de la lumière du jour, une fois qu’il est posé sur le bord d’une fenêtre ou sur un balcon. Grâce à cette solution ingénieuse, le manque de luminosité dans les habitations au rez-de-chaussée ou dans les appartements mal orienté sera pallié. Désencombrer le bord des fenêtres On a tendance à placer des meubles à proximité de nos ouvertures ou sur le bord de nos fenêtres. Avant d’optimiser plus d’espace, il est nécessaire de dégager les meubles autour des ouvertures pour faire plus de lumière, dans un rayon de 40 cm. Optez pour des meubles suspendus, qui sont à la fois pratiques et décoratifs. Privilégier deux tons pour les murs Les tons d’une pièce permettent également de donner une impression d’optimisation d’espace. Dans une pièce sombre et donc, plus petit, donner de la couleur aux murs est une excellente idée. Préférez des tons chauds, pour éviter l’atmosphère froide. Vous pouvez également choisir une palette à deux tons, comme jaune et gris ou bleu et blanc. Bien organiser les chambres pour plus d’espace Suite parentale, chambre d’enfant, chambre d’adolescent ou chambre d’amis, chacun de ces pièces a sa spécificité. L’essentiel est pourtant de bien s’y sentir. En effet, une chambre est un espace personnel, un cocon confortable où se blottir pendant les mauvais jours. Ainsi, pour une chambre d’enfants on priorise les rangements pratiques et accessibles. Il faut également disposer des espaces ludiques pour développer leur créativité. Quant aux chambres d’adolescents, elle doit regrouper plusieurs options : un espace de bureau, un espace détente et un espace lit, pour recevoir des amis. Enfin, la suite parentale, l’aménagement tendance nous est importé d’Asie avec les influences du Feng Shui. Cette méthode permet de privilégier le sommeil profond et un bien-être intense.
Il y a 4 ans et 323 jours

Le Sénat vote une prime à l'embauche plus large

Le premier dispositif, évalué à 400 millions d'euros, propose aux entreprises de moins de 250 salariés une prime à l'embauche pour tout CDI ou CDD de plus de six mois, d'un montant de 4.000 euros maximum sur deux ans. Avec une majoration de 50% pour l'embauche de jeunes de moins de 26 ans en sortie de formation initiale, soit 6.000 euros.Hormis pour les jeunes, pour lesquels il n'y aurait pas de plafond, le bénéfice d'une telle prime serait limité aux embauches de salariés jusqu'à 1,6 SMIC.Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a contesté une prime "trop large", attribuée "quel que soit l'âge" et a appelé les sénateurs à "se rallier à l'amendement" du gouvernement sur l'emploi des jeunes.Présenté dimanche, cet amendement a été rejeté par le Sénat, le rapporteur général Albéric de Montgolfier (LR) jugeant que le dispositif adopté par la chambre haute dans la nuit "satisfait pleinement l'intention du gouvernement".Le gouvernement proposait une enveloppe d'un milliard d'euros pour tirer "les conséquences budgétaires" de l'annonce du président de la République le 14 juillet "de mettre en place un dispositif exceptionnel de réduction du coût du travail, à hauteur de 4.000 euros par an pour les jeunes".Le porte-parole du groupe LREM au Sénat Julien Bargeton a défendu "un geste significatif", qui "témoigne de la riposte" du gouvernement face à l'urgence de la situation économique et sociale.Le Sénat a en revanche voté deux amendements du gouvernement en faveur de l'apprentissage. Le premier ouvre 744 millions d'euros de crédits en autorisations d'engagement pour le financement de la mesure incluant les contrats de professionnalisation dans l'aide exceptionnelle à l'apprentissage.Le second prévoit le financement à hauteur de 7 millions d'euros de la protection sociale des jeunes qui auront commencé une formation en CFA entre le ler août et le 31 décembre 2020 et qui n'auront pas signé de contrat d'apprentissage entre 3 et 6 mois après le début de leur formation.Dans la nuit de samedi à dimanche, le Sénat a également voté une mesure de bons d'achat ou de chèques loisirs de 400 euros pour 6 millions de foyers modestes, dans leurs activités culturelles et touristiques, y compris pour des prestations hôtelières ou dans la restauration.Le Sénat a voté ce dispositif de 2,4 milliards d'euros contre l'avis du gouvernement."Pour les ménages les plus modestes, nous avons clairement préféré affecter les moyens dont nous disposons au financement de l'activité partielle et du fonds de solidarité avec l'objectif de préserver l'emploi et les compétences d'un maximum de Français", a réagi le ministre Olivier Dussopt, opposé à cet amendement.
Il y a 4 ans et 323 jours

La FNTP perçoit une "lueur d'espoir" dans les propos de Jean Castex

TRAVAUX PUBLICS. L'organisation professionnelle a accueilli "favorablement" le discours de politique générale du Premier ministre, Jean Castex, devant le Parlement. Si le chef du gouvernement a promis de soutenir l'investissement public local, la FNTP reste cependant sur ses gardes et attend la concrétisation des paroles en actes.
Il y a 4 ans et 323 jours

Le bâtiment fustige le rabotage de MaPrimeRénov' pour l'isolation thermique par l'extérieur

Malgré les alertes de la FFB, les fraudes se sont multipliées depuis la mise en place en 2020 de l'Isolation Thermique par l'Extérieur à 1€.Face à ce constat, le gouvernement a décidé de modifier brutalement les critères de MaPrimeRénov', nouveau dispositif qui n'a pas sept mois d'existence !Depuis le 15 juillet, le montant de l'aide pour les travaux d'ITE a été abaissé à 60 €/m² pour les ménages modestes et 75 €/m² pour les ménages très modestes (contre respectivement 75 €/m² et 100 €/m² auparavant).De plus, la surface éligible de murs isolés se trouve dorénavant limitée à 100 m² par opération.« Ces dispositions pénalisent avant tout les ménages modestes et les entreprises qui travaillent bien. En revanche, elles ne règlent pas le problème de fond, puisque les intermédiaires peu scrupuleux bénéficieront toujours des CEE, qui suffisent à financer une intervention de piètre qualité. En outre, ce rabotage introduit à nouveau de l'instabilité dans le principal mécanisme public de soutien à la rénovation énergétique. Il tombe au plus mal, alors que MaPrimeRénov' peine à monter en puissance, et brouille le message du gouvernement qui annonce depuis plus d'un mois un grand plan de rénovation énergétique. » Olivier Salleron, Président de la FFB
Il y a 4 ans et 323 jours

SDC : Un travail d’orfèvre

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Des bétons sablés pour les accès et désactivés sur les trottoirs… SDC a aussi mis en place des banquettes en béton brut lisse, intégrées au niveau des bordures de voirie. [©SDC] Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’éco-quartier des Orfèvres, à Trévoux (01), porte bien son nom. En effet, la commune a l’ambition d’en faire un joyau, en termes de sobriété énergétique et de respect de l’environnement. Cette ambitieuse opération doit voir la démolition d’anciens bâtiments, la réhabilitation de ceux conservés, la reconstruction de logements et la résidentialisation de toute la zone, d’une superficie de 10 ha. Le programme prévoit aussi des équipements publics, tels un groupe scolaire, deux crèches ou encore un pôle socio-culturel et administratif…   De manière logique, la voirie existante profite de cette refonte du quartier pour s’inscrite dans une nouvelle réalité. C’est dans ce cadre que viennent d’intervenir les équipes de SDC1. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne