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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 5 ans et 83 jours

A Paris, 22 logements, et deux locaux d’activités, par Avenier Cornejo

L’agence Avenier Cornejo Architectes (Christelle Avenier, Miguel Cornejo) a livré en juillet 2019 à Paris (XII), pour Habitat Social Français maître d’ouvrage, 22 logements sociaux et deux locaux d’activités. L’ouvrage, d’un coût 3,65 M€ HT, qui présente les premiers logements […] L’article A Paris, 22 logements, et deux locaux d’activités, par Avenier Cornejo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 83 jours

Comment enlever les déchets des travaux en rénovation urbaine ?

La gestion des déchets de chantier est une contrainte réelle dans les quartiers urbains denses. De nouveaux services facilitent la vie des entreprises.
Il y a 5 ans et 83 jours

Attribution du marché du "Pentagone français": jusqu'à 4 ans de prison requis

Une peine de 4 années d'emprisonnement et de 200.000 euros d'amende a été requise contre le principal prévenu dans le procès de l'attribution du marché du ministère de la Défense inauguré à Paris en 2015.
Il y a 5 ans et 83 jours

Signature de la « Charte d’’engagement volontaire des industriels de la construction pour des Jeux Olympiques et Paralympiques durables »

La construction des villages des athlètes et des médias est emblématique de la principale ambition de Paris 2024 : accueillir des JOP exemplaires en termes de bilan carbone, et symboliser, au-delà…Cet article Signature de la « Charte d’’engagement volontaire des industriels de la construction pour des Jeux Olympiques et Paralympiques durables » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 83 jours

Trois conditions à la réussite de tout projet durable

Pour parvenir aux objectifs ambitieux fixés par le gouvernement dans le nouveau plan « ville durable », il est fondamental de donner aux territoires les clés pour s’engager efficacement dans une démarche durable. En s’appuyant sur les retours d’expériences de plusieurs milliers de bâtiments et d’une centaine de territoires qui ont entrepris une certification HQE, Certivéa a identifié trois conditions incontournables à la réussite de projets durables. Le rôle central des élus En tant que garant de la vision du territoire à court, moyen et long terme, l’élu a un rôle central à jouer pour la réussite des projets d’aménagement urbain durable. Il a la légitimité et la responsabilité d’inscrire chaque projet dans une vision globale du territoire et de mettre en place une gouvernance de projet qui associe toutes les parties prenantes et en premier lieu les habitants.Une vision multicritère Un projet durable doit répondre simultanément à une multiplicité de critères comme l’adaptation au changement climatique, la réduction des émissions de carbone, la transition énergétique, la lutte contre la pollution de l’air, la réduction du bruit, la gestion des déchets ou bien encore le développement de l’économie circulaire.Une vision multi échelle Pour que chaque projet concoure à l’amélioration durable du territoire, l’aménagement durable doit être appréhendé à plusieurs échelles : celles des bâtiments, du quartier, de la ville et, bien sûr, de l’ensemble du territoire.
Il y a 5 ans et 83 jours

Appel à projets pour réduire les déchets du bâtiment

Brune Poirson, secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, a annoncé le lancement d’un appel à projets opéré par l’ADEME dans le cadre du Programme…Cet article Appel à projets pour réduire les déchets du bâtiment est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 84 jours

La Société du Grand Paris lance son premier marché de conception-réalisation

Le premier marché de conception-réalisation de la ligne 15 Ouest du Grand Paris Express est lancé. Il concerne le tronçon entre Pont de Sèvres et La Défense, dans les Hauts-de-Seine. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 11 mars 2020. La Société du Grand Paris notifiera le marché au 2e trimestre 2022.
Il y a 5 ans et 84 jours

Appel à réalisations pour le 9e Prix National de la Construction Bois

Concours de référence pour l’ensemble de la filière forêt-bois, le Prix National de la Construction Bois récompense chaque année des acteurs professionnels pour leurs projets.  
Il y a 5 ans et 84 jours

Les ateliers Zaha Hadid construiront le prochain siège d'Oppo

CHINE. L'agence d'architecture Zaha Hadid a été sélectionnée pour le projet de construction du futur siège de la société Oppo, à Shenzhen, en Chine.
Il y a 5 ans et 84 jours

Centre An Nour : Magnifier la lumière

Le Centre An Nour est en cours d’achèvement. Sa réalisation s’est fragmentée sur une dizaine d’année. [©Martin Itty/Pixitty] Projet faramineux de plus de 10 ans, le Centre An Nour est en cours d’achèvement, à Mulhouse (68). Lieu de culte, d’enseignement, équipement sportif, commercial et de restauration, il s’étend sur une surface plancher de 6 500 m2. « Ce centre a pour objectif de répondre à des besoins culturels, qui ont généré un programme singulier pour construire un “vivre ensemble”, explique Jean-François Brodbeck, architecte chez Narcisse, en charge de la réalisation. Le maître d’ouvrage avait cette exigence sur la qualité des matériaux, afin de respecter les personnes qu’il accueille. Cette attention particulière a été appliquée tant à l’extérieur, qu’à l’intérieur. » Les recherches foncières ont débuté dès 2000 et ont été arrêtées en 2007. « Entre 2009 et 2012, diverses autorisations et débuts de construction ont été constatés. L’année 2012 fut celle de la nouvelle conception architecturale par notre équipe. » Ce lieu de culte et de culture s’étend sur près de 6 500 m2. [©Martin Itty/Pixitty] An Nour veut dire “la lumière” en arabe. Ainsi, c’est naturellement que cette matière se retrouve au cœur du projet. Pour ce faire, l’agence Narcisse a opté pour un monolithe de béton blanc. La subtilité ? Le bloc est ciselé pour faire rentrer cette fameuse lumière. « Nous avons choisi le béton, parce que notre vallée rhénane est riche en graviers. Et le blanc nous a permis de magnifier la lumière, une chose rare ici… L’absorption, la captation par la matière et sa réverbération sont des moyens de mettre en énergie ce site. » L’industriel Béton Contrôle de Seebogen (BCS) s’est chargé de la préfabrication des différents éléments et son entreprise sœur, Gherardi, de la réalisation du gros œuvre. Une arborescence lumineuse. « Les façades ont été construites et dessinées avec la volonté d’évidement par ciselage de la masse construite sur front urbain dur. La matière “enlevée” a été en quelque sorte réutilisée sur la façade Ouest et sur les parvis pour générer de l’épaisseur par rapport à la rue. Les hommes qui ont réalisé cet ouvrage l’ont nommé “arborescence”. Cette dernière viendra organiser toute la gestion et la composition de la lumière naturelle. Nous devrons nous en protéger ou, au contraire, essayer de l’amener encore plus loin que la normale. » Pour les façades, le maître d’œuvre s’est tourné vers un béton architectonique. Sa blancheur vient des granulats de marbre et des sables de Carrare (en Italie), ainsi que d’un ciment blanc, qui composent sa formulation. Le Centre An Nour est un monolithe blanc ciselé. Une façon de jouer avec la lumière. [©Martin Itty/Pixitty] L’agence Narcisse Basée à Mulhouse, Narcisse est une agence d’architecture spécialisée dans l’architecture d’intérieur. Elle a été fondée par Jean-François Brodbeck et Serge-Henri Gayraud. « Nous sommes une douzaine de personnes à travailler ensemble à l’Est du Grand Est – tout en étant plus au Sud, précise avec humour Jean-François Brodbeck. Nos 50 ans d’existence nous ont permis d’asseoir notre réputation d’architectes qui aimont construire. » L’agence travaille sur différents types de programmes. « Nous savons inventer une maîtrise d’œuvre ad hoc pour les besoins des maîtres d’ouvrage et des entreprises au profit de nos projets. » Sur les façades verticales sans joints horizontaux, le matériau a ainsi été poli 6 fois. « Nous avons voulu réaliser les arborescences en une seule pièce, explique Flavio Gherardi, directeur de l’entreprise éponyme et de BCS. C’était la difficulté du chantier : faire ces éléments fins et imposants de 12,80 m de haut et les retourner sur chantier. » Près de 40 poteaux de 12 t ont ainsi été conçus et polis dans l’usine de BCS. Les poteaux rappellent les tracées d’une arborescence. Chacun des éléments de 12,80 m de haut ont été réalisés en une seule pièce. [©Martin Itty/Pixitty] « Les autres éléments de façade ont été traités avec la même formulation de béton et aussi polis, afin de garder une uniformité du bâtiment. » Une finition digne d’un marbrier… « Cela génère une économie de maintenance et une stabilité intemporelle du bâti, conclut Jean-François Brodbeck. L’écriture architecturale qui lie le général au particulier dans toutes ses dimensions poétiques se veut simple, efficace, sans représentations, sans froissements, mais dans l’axe. Le béton poli nous permet d’utiliser les reflets pour mieux s’intégrer au paysage. Par temps de pluie, un effet miroir fantastique  vient en continuité des verres au droit des arborescences… » Sivagami Casimir Repère : Maître d’ouvrage : Association des musulmans d’Alsace (Amal)Maîtrise d’œuvre : Narcisse et Arcanes Minotaure Roland Spitz (AMRS) architectes Entreprise de gros œuvre : Gherardi Préfabricant et BET préfabrication : BCSCoût : 30 M€
Il y a 5 ans et 84 jours

Combien prévoir en moyenne pour un extension de maison ?

Votre maison répond de moins en moins à vos besoins en espace, pourtant vous avez du mal à envisager un déménagement ? La solution est alors d’envisager une extension de votre habitat. Cette opération vous permettra d’agrandir votre surface habitable jusqu’à 50m2 de plus. Une extension verticale ou horizontale, aménagement des combles ou du garage, ce ne sont certainement pas les options qui manquent. Mais ces interventions sont liées à des coûts qui peuvent varier d’une surface à une autre, il en est de même de la matière, mais aussi de la localisation. Quel est donc le coût d’une extension de maison ? Le coût d’une extension de maison par surélévation ou extension verticale Cette technique d’agrandissement de son habitat est surtout répandue en ville, là où la surface est beaucoup plus réduite et n’admet pas d’extension de la maison sur le plan horizontal. Vous l’aurez compris, il s’agit d’une technique qui consiste à rajouter un ou plusieurs étages à l’habitation, vous pouvez également prévoir une surélévation partielle, c’est-à-dire ajouter uniquement une pièce au-dessus d’un garage. Pour pouvoir envisager ce type d’extension, votre maison devra disposer de solides fondations, d’une charpente en bon état et d’un toit dont la pente ne doit pas excéder 30°, d’où la nécessité d’une étude détaillée au préalable. Pour ce type d’intervention, comptez entre 1000 et 3000€ / m2, selon le matériau que vous décidez d’utiliser. Extension horizontale de maison Très fréquente, cette technique d’agrandissement demande une surface beaucoup plus importante car elle consiste à augmenter la surface au sol de votre habitation. Vous procéderez ainsi à l’augmentation de la surface habitable de votre maison par les côtés en agrandissant une ouverture existante ou en en créant une nouvelle. Quoi qu’il en soit, vous devrez impérativement vous référer au Plan Local d’Urbanisme de votre commune pour voir quelles possibilités s’offrent à vous sur la surface à ajouter ainsi que le nombre d’étages pour votre extension. En plus d’un budget d’entre 2000 et 3500€ par m2, il faudra également penser à prévoir plus de temps pour les travaux car ils devront partir de zéro, des fondations à la toiture. Aménagement du sous-sol ou excavation Très simplement, il s’agit de créer un nouvel espace habitable dans votre sous-sol en creusant plusieurs mètres dans les fondations. Cette solution n’est pas vraiment compliquée, plusieurs critères sont juste à vérifier avant de procéder : la hauteur du plafond dans cette nouvelle surface devra être de plus de 2,10 mètres, la surface devra être assez spacieuse et non située dans une zone inondable pour éviter que l’humidité ne réduise le confort des habitants. Il faudra compter entre 1000 et 2500€ pour ce type d’extension. L’extension de maison par aménagement des combles : à quel prix ? Si la hauteur sous plafond de votre habitation est supérieure à 1,80m et si l’inclinaison de votre toit est de plus de 30°, une extension par aménagement des combles est une solution fortement conseillée pour vous, de plus, c’est la moins coûteuse, à hauteur de 900 à 1500€ par m2. Des travaux d’isolation et de création de fenêtres ainsi que l’aménagement d’un escalier devront être réalisés.
Il y a 5 ans et 84 jours

A Charleville-Mézières, 51 logements, et une réhabilitation, par Ateliergadbois

Ateliergadbois (José Gadbois, Thierry Taquet) a livré en décembre 2019 à Charleville-Mézières (Ardennes) pour Habitat 08 maître d’ouvrage un programme de 51 Logements et un local tertiaire ainsi que la réhabilitation de la maison carrée : Coût travaux : 5,5M€ […] L’article A Charleville-Mézières, 51 logements, et une réhabilitation, par Ateliergadbois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 84 jours

Les revenus du constructeur de maisons Hexaom ont augmenté en 2019, portés par la rénovation

Le chiffre d'affaires du constructeur français Hexaom a progressé en 2019, le groupe tirant profit de la récente accélération de ses activités de rénovation.
Il y a 5 ans et 84 jours

Habiter la ville de demain

A l’occasion des 10 ans du Plan Ville Durable, « Habiter la ville de demain », Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement a annoncé 10 nouvelles mesures pour préparer la ville et des territoires sobres, résilients et inclusifs. Accélérer les transitions en faveur de l’aménagement urbain durable 100 quartiers fertiles : renforcer l’agriculture urbaine dans les quartiers prioritaires L’Agence Nationale de la Rénovation Urbaine développera un appel à projet spécifique en faveur de l’agriculture urbaine dans les quartiers prioritaires de la ville. Il permettra d’encourager la création de 100 « quartiers fertiles », des fermes urbaines dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Les 30 premiers quartiers seront sélectionnés d’ici l’été, avec un financement dédié de 20 millions d’euros. Lancer une expérimentation de quartiers à énergie positive et à faible impact carbone. En 2020 et pendant deux ans l’ADEME accompagnera 22 quartiers volontaires pour développer leur projet à énergie positive et faible impact carbone. Jusqu’ici la mise en œuvre de leurs objectifs énergie et carbone était limitée à l’échelle du bâtiment (réglementation E+C-). En proposant une aide opérationnelle via la mise à disposition d’une assistance à la maîtrise d’ouvrage mutualisée et interdisciplinaire, l’ADEME a pour ambition d’animer un vivier d’expérimentations concrètes sur le moyen terme et une communauté de travail pérenne sur le sujet afin de créer un véritable dynamique d’essaimage et déploiement de la démarche. Cette expérimentation est valorisée par le ministre dans le cadre du projet l’initiative européenne Positive Energy District. Unifier les démarches de ville durable dans le label EcoQuartiers Exemplarité de l’Etat : Fixer des objectifs ambitieux aux opérations d’aménagement conduites par l’État Ces objectifs portent sur : l’économie circulaire : 20% de terres excavées réemployées, valorisation de 30 % de déchets de chantier,la sobriété énergétique et carbone : déploiement de quartiers E+C-,l’éco-conception : 50 % des opérations intégrant des matériaux biosourcés ou géosourcés,la biodiversité : 20% de la surface totale de l’opération favorable à la biodiversité. Accompagner les acteurs et dynamiques locales Rapprocher l’innovation des territoires via une plateforme d’open-innovation Cluster, accélérateurs, incubateurs, acteurs institutionnels, acteurs de la recherche, associations, clubs d’entreprises, collectivités, pôles de compétitivité, grands groupes… à l’échelle locale comme natio- nale, l’écosystème et les outils de l’innovation urbaine évoluent et il convient d’en évaluer la réalité et les impacts. Démultiplier les « ateliers des territoires » pour faire émerger les stratégies locales L’expérience des « ateliers à la carte » est très sollicitée par les collectivités : le dispositif sera donc démultiplié. 50 nouveaux territoires seront accompagnés dès 2020 par les « ateliers des territoires » mettant l’accent sur la transition écologique. Faciliter l’accès aux aides à l’ingénierie et aux aides financières Un référent spécialisé dans ces questions sera progressivement désigné dans les services déconcentrés de l’Etat (chaque Direction Départementale des Territoires et chaque Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement). Son objectif : conseiller les collectivités, accompagner les projets des territoires (instruction, accès aux aides…), mettre en œuvre les programmes nationaux. Le ministère facilitera également l’accès aux aides en déployant l’outil « Aides territoires », un site recensant toutes les aides financières et aides en ingénierie disponibles aux collectivités locales pour financer leurs projets. Conforter le modèle français de la ville Durable et le porter à l’international Fédérer les initiatives de tous les acteurs au sein de France Ville Durable pour mieux les valoriser Dès janvier 2020 sera créé France Ville Durable par la fusion du réseau Vivapolis et de l’Institut de la Ville Durable. Structurer une filière d’excellence de la ville durable la nouvelle université Gustave Eiffel formera les architectes, urbanistes et ingénieurs de demain autour d’un axe central fort : Penser la ville durable comme une ville économe en ressources, sûre et résiliente et intelligente. Elle a été officiellement lancée le 28 janvier à Marne-La-Vallée avec le regroupement de six établissements. Construire la feuille de route internationale de la France Au plan international, l’année 2020 est jalonnée d’évènements de haut niveau pour lesquels la ville durable sera une thématique majeure et sur laquelle la France souhaite porter sa voix, en particulier le forum urbain mondial (février 2020), le sommet Afrique France (juin 2020) et l’exposition universelle (à partir d’octobre 2020). L’enjeu pour la France est de faire partager le plus largement sa vision des territoires durables. Le Partenariat Français pour la Ville et les Territoires a organisé dix groupes de travail en 2019, en partenariat avec le ministère chargé de la Ville et du Logement. Visuel : Pershing (13e), Lauréat : « Mille arbres » du concours réinventer Paris
Il y a 5 ans et 85 jours

Paris-Saclay – Une consultation pour une résidence étudiante et un Pôle sportif

L’EPA Paris-Saclay et Toit et Joie – Poste Habitat lancent une consultation pour la conception et la réalisation d’un pôle sportif et d’un programme de logements étudiants sociaux au sein du Campus urbain de Paris-Saclay. Jusqu’au 17 février. Toit et […] L’article Paris-Saclay – Une consultation pour une résidence étudiante et un Pôle sportif est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 85 jours

Aux Batignolles, 127 logements, et une école, par Querkraft et Sam

Dans la Zac Paris Clichy-Batignolles les agences viennoise Querkraft et parisienne Sam architecture (Boris Schneider) ont livré en 2019 un programme de 127 logements sociaux (dont une résidence sociale de 50 logements ; Karawitz – architecte MOE de réalisation), une […] L’article Aux Batignolles, 127 logements, et une école, par Querkraft et Sam est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 86 jours

Salle de spectacle Salvador Allende à Mons-en-Barœul, par Dominique Coulon

L’agence strasbourgeoise Dominique Coulon & associés a conçu la salle de spectacle et studios de répétition Salvador Allende de Mons-en-Barœul (Nord). Sur 2 502m² SDP, l’équipement compte une salle de spectacle de 500 places assises (1000 places debout), une grande […] L’article Salle de spectacle Salvador Allende à Mons-en-Barœul, par Dominique Coulon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 86 jours

Le Nant’île, 132 logements, et des bureaux, par Leibar & Seigneurin

Le Nant’ile, sur l’île de Nantes (Loire-Atlantique) est une opération de construction de 132 logements (8 613 m² SDP), huit locaux commerciaux et six plateaux de bureaux (4 525 m² SDP bureaux et commerces) livrée en 2018 par l’agence Leibar […] L’article Le Nant’île, 132 logements, et des bureaux, par Leibar & Seigneurin est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 87 jours

Trois nouveaux tunneliers du Grand Paris Express baptisés au Bourget

TRANSPORTS. Sur le chantier du croisement des futures lignes 16 et 17 du Grand Paris Express, situé au Bourget (Seine-Saint-Denis), trois nouveaux tunneliers ont été baptisés par les jeunes du département.
Il y a 5 ans et 87 jours

Deux majors décrochent un contrat à 68 M€ sur le Grand Paris Express

SUPERMÉTRO. Eiffage et Vinci Energies ont annoncé ce 6 février 2020 avoir remporté en groupement, 50-50, le marché de réalisation des infrastructures électriques des premiers tronçons des lignes 16 et 17 du Grand Paris Express. Le contrat, d'un montant supérieur à 68 millions d'euros, nécessite "l'organisation d'une logistique de chantier complexe en milieu urbain dense", précisent les deux groupes.
Il y a 5 ans et 87 jours

Bruno Léchevin, ancien président de l'Ademe, est décédé

DISPARITION. L'ancien président de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), Bruno Léchevin, est décédé ce jeudi 6 février 2020. Il avait notamment fondé l'ONG Électriciens sans frontières, qui aide au raccordement des territoires victimes de catastrophes.
Il y a 5 ans et 87 jours

En 2019, les ENR ont couvert un quart de la consommation électrique

ÉNERGIE. Le Panorama de l'électricité renouvelable 2019 montre que les énergies vertes ont produit 53.609 MW l'année dernière, un niveau en hausse de 2.347 MW. La production électrique renouvelable a ainsi pu couvrir 23% de la consommation française. En parallèle, le ministère de la Transition écologique a annoncé les lauréats de la 9e période de l'appel d'offres d'installations photovoltaïques sur bâtiments.
Il y a 5 ans et 87 jours

Michel Rémon & Associés : Centre de recherche et développement d’Air Liquide

L’agence d’architecture Michel Rémon & Associés conçoit une architecture aérée pour accueillir le nouveau centre de recherche et de développement du Groupe Air Liquide, leader mondial des gaz, technologies et services pour l’industrie et la santé. Situé sur le plateau de Saclay (91), le complexe, qui a été inauguré le 27 septembre 2019, offre aux chercheurs un point de rencontre stratégique favorisant les échanges avec les acteurs majeurs du monde de la recherche industrielle et scientifique. Le Centre de Recherche Paris Innovation Campus d’Air Liquide est installé sur le cluster Paris-Sacaly, un pôle dédié à la recherche scientifique et technologique, actuellement en cours d’aménagement dans le cadre du Grand Paris. Le programme comprend des bureaux, un showroom, des auditoriums, des laboratoires. En travaillant main dans la main avec les experts recherche et développement d’Air Liquide, l’agence Michel Rémon & Associés conçoit un complexe architectural et paysager innovant à haute performance énergétique. Le centre assure en effet lui-même une grande partie de ses besoins énergétiques : il est alimenté en électricité renouvelable et en énergies renouvelables intermittentes, grâce à une pile à combustible d’hydrogène et 300 mètres carrés de panneaux photovoltaïques. La conception passive du bâtiment permet également de réduire la consommation énergétique au mètre carré, allant jusqu’à la compenser par des apports internes et solaires. La performance thermique de l'isolation, l’intégration de protections solaires, un système de ventilation naturelle traversante et les ilots acoustiques suspendus permettent à Centre de Recherche trouve en lui ses propres ressources énergétiques et de prétendre à la certification « BREEAM Excellent ». Orienté selon la course du soleil, ce bâtiment héliotrope se traverse du nord vers le sud. Le pavillon d’accueil conduit au hall « Rotonde », un sas de transition entre l’extérieur et le centre. Une vaste coupole métallique de 26 mètres de diamètre, conçue en Gridshell et mise en lumière par le plasticien français Yann Kersalé – connu pour sa promenade lumineuse dans les jardins du musée du Quai-Branly (7ème arrondissement) – chapeaute l’entrée. Dans son prolongement, « l’artère de la Recherche », un axe principal de 100 mètres de long, ponctuée de trois escaliers hélicoïdaux, dessert les bureaux ouverts sur le jardin paysager imaginé par Laure Planchais et les laboratoires de recherche. Au-delà d’offrir aux salariés et chercheurs d’Air Liquide un environnement de travail idéal, le complexe architectural dessiné par Michel Rémon révèle les savoir-faire du Groupe. Le centre permet en effet de tester de nouvelles solutions énergétiques, propres ou renouvelables, à l’échelle du bâtiment. Un centre de recherche et développement tourné vers l’avenir. Pour en savoir plus, visitez le site de Michel Rémon & Associés Photographies : Fabien Garcia, Sergio Grazia Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 87 jours

Lecoadic-Scotto : Cour des Vosges

Écrin de verdure luxueux de Paris, la place des Vosges se voit agrémentée d’un hôtel offrant des vues d’exception sur cette place emblématique de la capitale. Pour le « Cour des Vosges », les architectes de l’agence Lecoadic-Scotto investissent les murs de l’ancien hôtel de Montbrun et proposent une réécriture contemporaine de ces espaces jusqu’alors délabrés. Du charme de l’ancien hôtel particulier datant de 1654, il ne restait pas grand-chose. Autrefois joyaux du 4ème arrondissement, le lieu s’était mué en ensemble tertiaire où linoléum et faux plafond dissimulaient plafonds peints à la française, moulures et sols en terre-cuite. Un cadre idyllique que les équipes de l’agence Lecoadic-Scotto décident de sublimer et de faire entrer dans le XXIème siècle. C’est un véritable dialogue entre les époques qui s’installe dans cet ensemble déployé sur quatre niveaux comprenant douze chambres et suites uniques – allant de 25 à 60 mètres carrés –, toutes donnant sur le square Louis-XIII et ses immeubles en briques roses. Le rez-de-chaussée quant à lui abrite un restaurant, une pâtisserie et un espace commun, destiné à la détente des usagers. Côté déco, les maîtres d’œuvre misent sur un mélange des styles et font cohabiter les plafonds peints à la main et les tomettes rouges d’époque avec des lits à baldaquin en inox, des tapisseries monochromes suspendues et du mobilier de designer des années 1970. « Luxe, calme et volupté ». Pour en savoir plus, visitez le site de Lecoadic-Scotto Photographies : Guillaume de Laubier Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 87 jours

THE architectes : Capitainerie

La capitainerie de Piriac-sur-Mer (44) fait peau neuve ! L’agence parisienne THE architectes restructure cet équipement portuaire installé dans une villa balnéaire fin-de-siècle et construit un nouveau volume : « un socle habité », qui se fond harmonieusement dans le paysage urbain. Une rénovation réussie qui valorise à la fois le patrimoine architectural historique et l’environnement urbain. La réhabilitation de la capitainerie de Piriac-sur-Mer consiste en la démolition des agrandissements successifs de la villa, la modernisation d’un complexe architectural daté et l’aménagement d’un nouvel équipement adapté aux besoins actuels du port de plaisance. Pour ce faire, les équipes de THE architectes choisissent de préserver les éléments architecturaux historiques – le bâtiment du XIXème siècle, le mur en pierre et les espaces publics associés – et de réaliser un volume contemporain discret, qui dialogue avec la volumétrie du bâti existant. La nouvelle capitainerie, accessible de plain-pied depuis l’extérieur, est répartie entre le nouveau volume et l’ancienne demeure. Des rampes douces et des escaliers, réalisés avec les toitures du rez-de-port, servent à l’aménagement d’une terrasse haute, positionnée au-dessus du module, qui mène à la nouvelle entrée de la capitainerie. L’accueil, grand hall en double hauteur situé au rez-de-chaussée de la villa, est désormais doté d’un escalier en contreplaqué de pin, qui crée un puit de lumière au centre de l’édifice et dessert les espaces du rez-de-chaussée et du R+1. Le premier étage, simplement aménagé, comprend un open space et un secrétariat. Sous les toits, le dernier étage, accessible par une volée d’escalier, accueille une salle de réunion pouvant également faire office de salle de repos. Les meubles, réalisés sur mesure en contreplaqué de pin, évoquent l’intérieur d’un bateau. Le module neuf et le sous-sol de la maison historique abritent dans ses entrailles des sanitaires, des vestiaires, des douches et une laverie, ainsi qu’un atelier et des espaces de stockage, tous dédiés au personnel de la capitainerie. Outre sa fonction portuaire, la capitainerie assume désormais son statut d’espace public mis au service des citoyens piriacais. A l’extérieur, la toiture du socle a en effet été conçue comme un espace public à part entière. Recouverte d’un dallage minéral blanc, elle résonne avec l’environnement urbain : dalles et pavés de sol en pierre de la région, marches et rampes en béton. Habillées de verre dépoli, toutes les façades métamorphosent le volume en « bâtiment phare » à la nuit tombée. Ce volume urbain atypique, qui se présente aussi comme un « socle habité » pour l’ancienne villa, requalifie ainsi le front de mer de la commune. Pour en savoir plus, visitez le site de THE architectes Photographies : Philippe Piron Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 87 jours

rhb architectes et Bruno Kubler : Requalification du centre-ville de Benfeld

À la fois projet urbain, architectural et paysager, la Requalification du centre-ville de Benfeld (67) par l’agence rhb architectes et le paysagiste Bruno Kubler est un travail subtil de valorisation du patrimoine, dans le but de rendre le centre plus attractif et praticable pour les habitants de la commune. L’ensemble couvre 16 600 mètres carré de terrain, et suit plusieurs étapes. La première ? La mise en place d’une nappe de dalle de granit déployée autour de l’hôtel de ville et englobant les voies alentours, trottoirs et petites places. Un motif géométrique contemporain rythmant les allers et venues des habitants. Le projet est complété par l’ajout de structures. La première, une résille délicate, dissimule les équipements techniques de la commune et contribue à créer l’identité de ce centre ville alsacien. Un passage public a également été mis en place dans l’annexe du presbytères afin de relier cet hyper-centre dynamique à un square aux remparts en bois réalisés par les architectes et rappelant la première structure. Un projet simple mais terriblement efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de rhb architectes Photographies : rhb architectes Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 87 jours

Ameller Dubois & Associés : Bâtiment de formation continue de l’université Paris Nanterre

Face à la croissance des reconversions professionnelles et l’évolution de l’emploi, l’université Paris Nanterre, haut-lieu de la révolution estudiantine de Mai 68, développe activement son offre de formations continue afin de favoriser les synergies entre le monde de l’emploi et les cursus proposés. En 2013, le conseil régional d'Île-de-France a donc missionné l’agence d’architecture Ameller Dubois & Associés pour construire le nouveau bâtiment de formation continue de la faculté. Après six ans de chantier, Philippe Ameller et Jacques Dubois livrent un édifice fonctionnel à l’écriture architecturale atypique. Conscients de l’évolution des manières de travailler et de construire sa carrière professionnelle, les architectes d’Ameller Dubois & Associés ont conçu leur projet en tenant compte des enjeux actuels du monde de l’emploi. Bien qu’il affiche une identité forte en contracte avec le bâti voisin, le bâtiment de formation continue de l’université Paris-Ouest à Nanterre, implanté entre deux édifices très différents, le long des voies ferrées, crée toutefois une unité architecturale certaine au sein du campus. Le bâtiment s’inscrit harmonieusement dans son contexte urbain. En face des voies ferrées, la façade sud, visible depuis le train, s’anime en effet grâce à un dispositif atypique de brise-soleils verticaux colorés disposés en décalage progressif, contrastant avec la façade nord habillé de vitrages et de panneaux métalliques sérigraphiés et les façades en cœur de parcelle réalisées à partir de lames de bois horizontales. Ameller Dubois & Associés réalise ainsi une enveloppe multifacette, qui accompagne les mutations de la faculté. Ce complexe universitaire atypique, qui se présente aussi comme une architecture cinétique attractive, abrite des services pour les étudiants : un grand hall, une médiathèque, un amphithéâtre, des espaces de repos, des salles de travail et des salles informatiques. Outre leur fonction scolaire, ces espaces, construits selon une conception écologique de l’architecture, garantissent des économies d’énergie notables. L’équipe d’Ameller Dubois & Associés réalise un équipement, économe, fonctionnel et séduisant, brillamment adapté aux enjeux économiques, environnementaux et professionnels contemporains. Pour en savoir plus, visitez le site d’Ameller Dubois & Associés Photographies : Sergio Grazia Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 87 jours

A+ Architecture : Collège Ada Lovelace

Depuis la rentrée, les anciens résidents du collège Jules-Vallès de Nîmes (30) ont posés leurs cartables dans un nouvel établissement à énergie positive mettant en valeur la pierre du Gard. Monolithe impressionnant dominant les hauteurs de la commune, le collège Ada Lovelace est un projet bien ancré dans son temps. Voilà plus de trente ans qu’il était question de reconstruire le collège du quartier du Mas de Mingue ! Datant des années 1970, la bâtisse du collège Jules-Vallès, peu attrayante, n’était clairement plus adaptée aux usages des élèves d’aujourd’hui. Un souvenir désormais lointain, grâce à l’intervention des équipes du cabinet montpelliérain A+ Architecture qui ont achevé en septembre dernier la construction du collège Ada Lovelace, un tout nouvel ensemble dédié à l’apprentissage des jeunes de élèves de 5ème, 4ème et 3ème. Un ajout architectural qui contribue à redorer l’image du quartier, dont le collège de secteur était alors fuit par les familles de la région. Le projet d’une superficie de 4 674 mètres carrés est caractérisé, côté rue, par un usage particulier de la pierre du Gard. Utilisée en cassettes sur la façade, elle est dynamisée par quelques éléments métalliques réfléchissant la lumière du soleil ainsi que par de grandes ouvertures horizontales. Reposant sur des piliers en béton, l’ensemble s’insère dans un site de 14 562 mètres carrés comprenant également un plateau sportif, une cour de récréation, des logements de fonction et une cantine. Ce collège « nouvelle génération » jouit d’une conception et d’un fonctionnement bioécologique et est labellisé NoWatt et Bâtiment Durable Occitanie niveau Argent. Un soin attentif donné à l’énergie qui se traduit par la large présence de panneaux photovoltaïques en toiture ainsi qu’a des choix de matériaux significatifs – pierre locale et isolation en chanvre et en laine de bois. À l’intérieur, les architectes optent pour un minimalisme subtil et léché. Le béton brut et le bois s’accordent alors élégamment quand des éléments de signalétique et des luminaires encastrés finissent de créer l’identité raffinée de l’établissement. Un projet qui annonce un nouvel avenir pour le quartier du Mas de Mingue. Pour en savoir plus, visitez le site de A+ Architecture Photographies : Benoît Wehrle Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 87 jours

Taillandier Architectes Associés : Campus Enova

A la demande de Vinci Immobilier, l’agence toulousaine Taillandier Architectes Associés réalise un bâtiment épuré pour accueillir le nouveau Campus Enova à Labège, près de Toulouse (31). Retour sur la genèse de ce projet universitaire. Le Campus Enova regroupe, sous le même toit, quatre écoles supérieures : ESARC Évolution (École de commerce, de gestion, de finance, de tourisme et d'informatique), ESG Toulouse (Ecole de commerce), Digital Campus (Ecole Digital) et LISAA (L'Institut Supérieur des Arts Appliqués). Ce pôle universitaire, installé dans le tout nouveau parc d’activités ENOVA, offre aux étudiants de secteurs très différents un cadre d’enseignement idéal pour étudier et développer son projet professionnel. Taillandier Architectes Associés construit un bâtiment, en forme de L, paré d’une enveloppe vitrée composée de murs-rideaux isolants et de châssis en aluminium. Une façade, aussi sobre que fonctionnelle, qui garantit la stabilité thermique et l’ensoleillement de l’intérieur du campus en été comme en hiver. Le pôle universitaire s’articule en deux ailes – l’aile est et l’aile nord-ouest – accessibles depuis le hall d’accueil. Au rez-de-chaussée, l’aile est abrite des salles de cours et un amphithéâtre, quand celle nord-ouest héberge des bureaux et des locaux. Dans les deux étages supérieurs sont installés les services administratifs, les salles informatiques et quelques salles de cours. A l’intérieur, le verre se marie harmonieusement avec le béton laissé brut. Certains vitrages, habillés d’un film de couleur, apportent une touche de gaîté à la simplicité des espaces partagés. Installé dans un parc arboré, le bâtiment s’ouvre sur le paysage environnant. Le hall traversant, entièrement vitré, initie un dialogue entre intérieur et extérieur, tandis que les salles de cours du rez-de-chaussée, dotées de grandes fenêtres, donnent sur les cheminements piétons, le cours d’eau et les espaces verts. Taillandier Architectes Associés réalise un campus à la sobriété assumée, où minimalisme rime avec sérieux, quiétude et réflexion. Pour en savoir plus, visitez le site de Taillandier Architectes Associés Photographies : Roland Halbe Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 87 jours

LAN Architecture : Quartier de Semi-liberté et services pénitentiaires d'insertion des Hauts-de-Seine

La conception d’une prison n’est jamais chose facile. Plus qu’un simple ouvrage architectural, « c’est avant tout une question sociologique et politique », précisent les architectes de LAN, en charge de la construction d’un bâtiment à double usage : un quartier de Semi-liberté et les services pénitentiaires d'insertion des Hauts-de-Seine. Focus sur un ensemble aux multiples problématiques gérées avec brio. L’univers carcéral est un monde bien complexe pensé, bien souvent, en dehors de tout tissus urbain. Entre décentralisation et murs d’enceinte, tout est mis en œuvre pour exclure les prisons de la vie citoyenne. Les architectes de l’agence parisienne LAN partent alors de ce constat pour inscrire leur projet dans le 21ème siècle, avec les questions sociétales qui accompagne notre époque. Un seul mot d’ordre ici : « l’ambition d’estomper le sentiment d’hétérotopie entre la ville et l’enclos du pénitencier ». La première caractéristique de ce projet réside dans un regroupement inédit de deux programmes bien distincts rassemblés dans un ensemble en forme de L. Alors que le siège des services pénitentiaires d’insertion et de probation des Hauts-de-Seine (SPIP), installé dans le front bâti, permet de garantir un suivi des détenus, le quartier de semi-liberté (QSL), développé en cœur d’îlot, assure à des condamnés de jouir d’un régime particulier leur permettant de quitter la prison dans le but de s’investir dans un projet de réinsertion, prévenant ainsi les risques de récidive et facilitant leur sortie finale. Le projet s’inscrit dans une zone urbaine dense où cohabitent logements pavillonnaires, grands ensembles et bâtiments industriels. Depuis la rue, la construction apparaît comme un grand monolithe en acier corten à l’angle de deux rues, percé en façade Sud par l’entrée du Quartier de semi-liberté. Un espace de transition reliant intérieur et extérieur est quant à lui surplombé d’une structure en porte-à-faux. Le Quartier de semi-liberté s’illustre aussi par un playground coloré et un jardin planté visible des cellules et accessibles via le rez-de-chaussée. Placées à ce niveau, les salles communes – réfectoire, salle de musculation, médiathèque et laverie – s’ouvrent sur la promenade. Une conception neuve du milieu carcéral qui ouvre de nouvelles perspectives bienvenues. Pour en savoir plus, visitez le site de LAN architecture Photographies : Cyrille Weiner Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 87 jours

StudioLada : Office de tourisme

Le collectif nancéien StudioLada imagine un office de tourisme tout de rose vêtu pour la commune de Plainfaing (88). Dans le cadre de ce projet, les architectes, missionnés par la communauté d’agglomérations de Saint-Dié-des-Vosges, réalisent une petite entité accueillante à partir de matériaux locaux. Retour sur l’histoire d’une architecture durable locale. Installée en face de la Confiserie des Hautes Vosges – fabrique artisanale de sucreries ouverte au public –, l’office de tourisme de Plainfaing est construite à un emplacement stratégique afin d’attirer les visiteurs de la confiserie et leurs faire découvrir les secrets de la Vallée de la Haute-Meurthe. Guidés par la volonté de développer les activités touristiques de la vallée, le collectif StudioLada conçoit une architecture locale en collaboration avec les artisans et les professionnels de la région dans le but de valoriser les circuits courte et une démarche écologique, ainsi que l’attractivité du territoire. De la structure à la façade, tous les matériaux sont produits dans les environs. Les pierres de grès rose des Vosges, utilisés pour les murs porteurs, proviennent de la carrière de Champenay à Plaine (67), tandis que les bois de la charpente, du parquet (chêne), du bardage (mélèze) et des aménagements intérieurs (épicéa) ont été achetées dans quatre scieries vosgiennes. studiolada promeut ainsi la valorisation des économies en place, du producteur au consommateur. Tout en courbes, ce petit bâtiment de 150 mètres carrées en pierres massives fait la part belle au grès rose des Vosges, pierre singulière du territoire. L’intérieur, habillé entièrement de bois, est aussi une ode à la région. L’occasion de découvrir, dès la visite de l’office du tourisme, la diversité des ressources vosgiennes. Une architecture engagée manifeste de l’économie locale et des richesses territoriales. Pour en savoir plus, visitez le site de studiolada Photographies : Ludmilla Cerveny, Christophe Aubertin Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 87 jours

Carl Fredrik Svenstedt Architecte : Chai Delas Frères

Le nouveau chai de la Maison Delas Frères, signé Carl Fredrik Svenstedt, est un monolithe raffiné à la façade remarquable, installé au cœur de la commune de Tain l’Hermitage (26). Retour sur un ensemble qui met l'architecture et le vin à l'honneur. La maison Delas Frères prend place au centre du village de Tain l’Hermitage, commune caractérisée par ses coteaux et ses terrasses ondulantes plantées en vigne. Déjà implantée dans la région depuis des années, la maison se voit désormais enrichie d’un ensemble destiné à la production et à l’accueil du public imaginé par l’agence Carl Fredrik Svenstedt Architecte. Leur intervention s’articule en deux temps : la réhabilitation d’un hôtel particulier existant en un lieu de réception et la création d’un chai vinicole. Déjà existant mais tombé en désuétude, un hôtel particulier conserve sa façade bourgeoise de la fin du XIXème siècle mais se voit transformé en un lieu d’accueil et une maison d’hôtes de 11 chambres destinées aux séjours des amateurs de vin. Au rez-de-chaussée, des salles de réceptions et une cuisine attendent les convives quand au sous-sol, une cave voûtée abrite les plus grands crus de la maison. Cette structure domine un jardin clos de murs dont les espaces verts ont été conçus par Christophe Ponceau et Mélanie Drevet. Le nouveau chai, quant à lui, s’élève face à une colonnade de pierres du caveau de vente et de dégustation – installé derrière un mur de clôture donnant sur la rue – et est dissimulé derrière une imposante façade de calcaire culminant à 7,6 mètres et s’étalant sur 80 mètres de long. Véritable marqueur d’identité du lieu, ce voile de pierre réinterprète le relief de la région grâce à ses courbes poétiques. Cette longue façade dissimule le cuvier et le chai à barriques ainsi que des locaux de travail et de production ayant accès à une arrière-cour prévue pour recevoir des véhicules agricoles. Si cet ensemble est destiné au processus de conception du vin, il contribue néanmoins à faire rayonner la région. En effet, il propose un parcours œnologique aux visiteurs qui pénètrent dans l’enceinte via une double rampe desservant les deux étages de la structure et permettant, grâce à deux baies vitrées, d’apercevoir le cuvier et le chai à barrique. Et pour prolonger le séjour, un chemin relie directement le chai à l’hôtel particulier, concluant le parcours. Un enchantement pour tous les amateurs de bon vin. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Fredrik Svenstedt Architecte Photographies : Dan Glasser Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 87 jours

Franklin Azzi : Deskopolitan Voltaire

Après un premier espace à Paris, la firme française de coworking Deskopolitan ouvre un nouveau centre, boulevard Voltaire, dans le 11ème arrondissement. Installé dans un immeuble historique du quartier, ce campus urbain abrite sous le même toit des espaces de travail et de vie. L’agence Franklin Azzi, en charge de la rénovation et de l’extension du bâtiment existant, réalise ici une réhabilitation audacieuse. Zoom sur un projet d’envergure. Quatre ans après l’acquisition d’un ensemble immobilier appartenant la RATP, Deskopolitan a inauguré en juin 2019 son deuxième espace de coworking à Paris. Véritable lieu de vie et de travail, ce complexe contemporain de 6 000 mètres carrés révolutionne le coworking et propose aux citadins de l’Est parisien des services variés. Deskopolitan Voltaire réunit, au sein d’un même pôle, 400 postes de travail, un hôtel, un restaurant, des studios sportifs, des ateliers de création, un studio d’enregistrement, un potager collectif, une crèche associative, un barbier et un speakeasy. Derrière la façade haussmannienne du 226 boulevard Voltaire se cachait autrefois les locaux de la maison Cusenier, une distillerie française fondée en 1868. Une arrière-cour qui abritât ensuite le siège social de la Mutuelle B2V, puis un pôle de la RATP rapidement abandonné. En 2015, Deskopolitan achète l’ensemble immobilier et confie le projet de rénovation et d’extension des constructions existantes à Franklin Azzi. Soucieux de préserver l’âme du site, l’architecte conserve la trame du bâti historique tout en le transformant en un complexe contemporain. Dans le cadre de ce projet d’ampleur, Franklin Azzi privilégie une démarche écologique afin de réaliser une réhabilitation durable avec un faible impact environnemental et énergétique. Les structures, les ouvertures et les ouvertures des bâtiments d’origine sont conservées, tandis que les parkings sont transformés en bureaux. A cela s’ajoutent une extension contemporaine – un module en verre placé sur le toit de l’édifice principal – et un bâtiment neuf, qui accueille l’hôtel. Ces deux entités dialoguent avec l’histoire et l’architecture des bâtiments existants, créant ainsi un ensemble urbain harmonieux. A l’intérieur, sobriété et minimalisme sont de mise pour créer un environnement de travail. Les équipes de Morey Smith, studio britannique de design et d’architecture, imagine des espaces flexibles et ouverts propice aux rencontres et à la collaboration. Plus qu’un espace de travail, Deskopolitan Voltaire est un véritable lieu de vie. Une réhabilitation réussie qui garantit à la préservation de l’âme du site historique et sa transformation en une structure contemporaine adaptée aux nouvelles manières de travailler et de vivre. Pour en savoir plus, visitez le site de Franklin Azzi Architecture Photographies : We Are Content(s) Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 87 jours

Cro&Co : Carré Michelet

Bâtiment iconique du quartier d’affaires Paris La Défense (92), le Carré Michelet bénéficie d’un lifting de qualité signé Cro&Co. Le bâti, datant de 1986, voit ainsi ses façades nettoyées, son volume clarifié et sa surface augmenter. Zoom sur un projet de réhabilitation des plus réussis. La première étape de cette restructuration consiste à désolidariser le Carré Michelet de ses bâtiments voisins dans le but d’afficher clairement sa présence dans le paysage de la Défense. La stratégie urbaine mise en place par les maîtres d’œuvre est « connecter, clarifier, innover ». Une fois cette disjonction effectuée, deux percées ont été réalisées de part et d’autre du volume afin de relier La Défense et Puteaux. Des terrasses ont par la suite été construites à l’intérieur même du bâtiment afin de compenser 14 mètres de dénivelé et d’assurer une continuité entre le parvis et la ville. Les choix architecturaux s’articulent également selon diverses valeurs qui contribuent à fonder l’identité du Carré Michelet, soit « connectivité, ouverture, valeur humaine et sérendipité ». Afin d’inscrire les bureaux dans l’ère du temps, les architectes ont misés sur le modèle du flex office aux différents espaces baignés de lumière naturelle. Trois niveaux ont été ajoutés à la construction initiale qui passe d’ailleurs de 30 000 à 37 000 mètres carrés. Le 9ème étage est alors surélevé et les architectes ont également créé des mezzanines, formant un grand attique panoramique en double hauteur offrant une vue d’exception sur le Mont Valérien. Un dialogue entre intérieur et extérieur accentué par la large présence de végétalisation sur les différents plateaux. Concernant la matérialité, l’intérieur du projet est traité selon une esthétique « loft » où les planchers CLT en porte-à-faux sont suspendus à une ossature métallique apparente. Entre bureaux monumentaux et esprit « atelier d’artiste », le Carré Michelet est une belle réussite qui complète la skyline à la française de La Défense. Pour en savoir plus, visitez le site de Cro&Co Photographies : Gaston Bergeret Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 87 jours

Boman Architectes : Logis pour archers

Niché au cœur de la coulée verte des Vallons-de-la-Bièvre (92), le logis de la compagnie de tir à l’arc « Arc de Sceaux » est un édifice d’une grande sobriété qui dialogue élégamment avec son environnement. Imaginé par le studio d’architecture Boman, le bâti est conçu dans des matériaux entièrement naturels, rendant hommage à ce poumon vert en plein milieu urbain. Pour ce projet, les équipes de l’agence Boman prennent le parti de construire un logis respectant l’environnement dans lequel il s’inscrit. Un engagement écologique qui se retrouve dans le choix de matériaux minéraux pour réaliser cet ensemble de 49 mètres carrés de surface de plancher. Le logis est construit en briques de terre cuite perforées et porteuse, matériau choisi pour son caractère biosourcé et sa participation à une économie de la matière. Ces briques ont été assemblées une à une sur 3 à 4 rangs par jour et prennent place sur une semelle périphérique, créant ainsi une façade esthétique autoporteuse. La sobriété de ces murs est soulignée par la présence de trois fenêtres rondes qui encerclent le paysage à la manière d’un tableau bucolique. Là encore, le choix de la forme n’est pas anodin et renvoie à l’univers du tir à l’arc et à la silhouette d’une cible. L’uniformité des façades est également rythmée par les cadres des menuiseries et les linteaux de portes en béton préfabriqué et lasuré de teinte rose. Ce rythme et cette géométrie se retrouvent également dans l’ajout d’un grand volet rond coulissant en bois lasuré sur rail aux proportions monumentales. Un logis surprenant au sein duquel on jouerait bien les Robin des Bois ! Pour en savoir plus, visitez le site de Boman Architectes Photographies : Antoine Séguin Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 87 jours

Foyer social à Bordeaux réhabilité par Petitdidierprioux Architectes

Boulevard Albert 1er, à Bordeaux (Gironde), l’agence Petitdidierprioux Architectes (Cédric Petitdidier, Vincent Prioux) a livré en février 2019 la réhabilitation, restructuration et extension d’un foyer de 140 chambres (3 495 m² SDP). Destiné majoritairement au personnel de la SNCF, les […] L’article Foyer social à Bordeaux réhabilité par Petitdidierprioux Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 87 jours

Les Carrières du Boulonnais à fond de train

Extraction - La plus grande carrière à ciel ouvert de France mène un chantier colossal pour faire face aux commandes croissantes de granulats du Grand Paris Express.
Il y a 5 ans et 88 jours

Economie circulaire : une priorité en construction

ENVIRONNEMENT. Ce jeudi 6 février 2020, le Palais Brongniart accueille la quatrième édition d'EnerJ-meeting, la Journée de l'efficacité énergétique et environnementale du bâtiment. Pour l'occasion quatre acteurs de la construction se sont réunis pour une table ronde avec comme thème : la rénovation bas carbone et l'économie circulaire.
Il y a 5 ans et 88 jours

Notre-Dame : objectif d'une réouverture du parvis en mars après un nettoyage

Sous réserve d'un accord des autorités sanitaires, le parvis de Notre-Dame, fermé depuis l'incendie de la cathédrale, pourrait être de nouveau accessible "en mars", à l'issue d'un nouveau nettoyage, ont annoncé mercredi le préfet d'Ile-de-France et la secrétaire générale de la préfecture de Paris.
Il y a 5 ans et 88 jours

Atelier Steve : Appartement Jules César

Pauline Borgia, la fondatrice de l’Atelier Steve, s’appuie sur son expérience d’architecte pour réaliser la rénovation et l’aménagement d’un appartement parisien de 90 mètres carrés. Elle imagine un intérieur coloré, fluide et lumineux, où le parquet en chevrons, les radiateurs en fonte et les cheminées historiques se marient brillamment avec des panneaux naturels ou écologiques, hauts en couleur. La rénovation de l’appartement Jules César est le premier projet, porté par l’agence Atelier Steve, dont le programme s’inscrit dans une démarche écologique, de l’organisation spatiale à la décoration d’intérieur, en passant par le choix de matériaux organiques, minéraux ou recyclés. Pauline Borgia a pris le parti de conserver l’identité haussmannienne de ce logement parisien – les radiateurs en fonte et le parquet ancien sont restaurés – tout en le transformant en une habitation confortable et lumineuse résolument contemporaine. La rénovation consiste en la réorganisation de la distribution des pièces, l’optimisation de l’espace et la personnalisation d’un intérieur. Il s’agissait d’un appartement typiquement parisien à la distribution classique. Repensée sur mesure, l’habitation est désormais envisagée comme un lieu de vie ancré dans son époque. Les cloisons d’origine sont ajourées ou abaissées pour favoriser les circulations d’air et de lumière par un mouvement traversant. Grâce à ce tour de force, toutes les pièces sont baignées de lumière naturelle, ce qui permet de retarder, en été comme en hiver, l’heure de l’éclairage artificiel. L’organisation spatiale est entièrement modifiée selon une logique d’éco-rénovation innovante : des panneaux de fibres de bois naturel, en coton recyclé et en fibre gypse redessinent l’espace. Ces panneaux, utilisés pour les rangements et les cloisons, permettent à l’architecte de jouer avec les perspectives, les textures et les couleurs de la cuisine ouverte sur la salle à manger, du salon, du dressing et des chambres. Les pièces d’eau, quant à elles, sont recouvertes de carreaux en terre cuite récupérés dans une ancienne ferme d’Ile-de-France et dotées de vasques en céramique blanche issue d’une école parisienne.Les menuiseries, toutes en MDF – Medium Density Fiberboard – écologique, et les aplats réalisés en peinture végétale soulignent la volonté de l’agence de créer des intérieurs tendance respectueux de l’environnement. Une rénovation, aussi écologique que tendance, qui se fond dans l’air du temps. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Steve Photographies Bertrand Fompeyrine Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 88 jours

Habitat modulaire : d'un marché de niche à un marché de masse

Le marché de l'habitat modulaire pourrait doubler de taille d'ici 10 ans si le secteur parvient à creuser un écart de compétitivité avec l'habitat traditionnel. La recherche d'une taille critique et le recours à des modèles industriels, inspirés notamment de l'automobile, seront les enjeux des 10 prochaines années pour passer d'un marché de niche à un marché de masse.
Il y a 5 ans et 88 jours

Urbanmaker : La Canopée

À deux pas de l’ancien Palais de justice de Nantes (44), les architectes d’intérieur d’Urbanmaker imaginent un écrin de verdure, où règnent goût et gastronomie, le tout dissimulé derrière une porte cochère verte. Bienvenue à Canopée, nouveau temple du cool de la Belle endormie. Le programme réside en la restructuration et rénovation d’une cour d’immeuble du XIXème siècle aux mille vies. Tour à tour une usine de machines à coudre, un garage automobile puis une cave à vin, c’est aujourd’hui en brasserie branchée que l’adresse revit, sous la houlette de l’agence d’architecture d’intérieur nantaise Urbanmaker. Profitant des espaces généreux de la structure – 350 mètres carrés –, les maîtres d’œuvre imaginent un concept dédié aux épicuriens, et proposent, inspirés par les nombreux investissements du lieu, un ensemble éclectique aux espaces divers. Cohabitent ainsi un bar, véritable invitation au voyage ; un cabinet de curiosité confortable ; des loges intimistes ; une salle de restauration et une terrasse. Grâce à l’immense verrière suspendue sur l’ancienne cour et à l’omniprésence d’une végétation luxuriante, le restaurant estompe les notions d’intérieur et d’extérieur. Pour l’aménagement, les architectes puisent leur inspiration dans les codes des grandes brasseries françaises et agrémentent l’espace aux éléments de structure laissés bruts – sols en béton, murs en pierre – d’éléments plus luxueux. S’invitent alors dans ce décor des banquettes cannelées en velours, des suspensions en laiton et en verre, un comptoir en marbre et du mobilier en chêne naturel. Le résultat ? Un lieu intemporel et élégant au sein duquel il fait bon vivre. Pour en savoir plus, visitez le site de Urbanmaker Photographies : C-H.Paysan Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 88 jours

Dossier : Un week-end design à Bruxelles

Restaurants animés, boutiques tendance, musées et galeries d’art… Bruxelles vibre au rythme du design et la création. Après un week-end passé dans la Capitale de l’Europe, la rédaction de Muuuz vous propose un tour d’horizon des adresses incontournables de la capitale belge, des grands espaces culturels aux lieux les plus festifs. Un restaurant : Café FloraLieu mythique installé sur le parvis de la Place Saint-Gilles, le Café Flora est la nouvelle adresse tendance de la capitale, qui avait déjà tapé dans l’œil de la rédaction . Le bistrot historique a en effet fait peau neuve grâce à la collaboration entre le décorateur et designer Lionel Jadot – à qui l’on doit la création des Ateliers Zaventem – et les Atelier J&J – un studio de conception et de fabrication de meubles design. Le tandem réhabilite l’ancien Aegidium avec brio. Le créateur belge choisit de conserver son style années 30 de la salle de spectacle en y apportant une touche contemporaine. Le décor, inspiré par l’univers des cafés milanais, mêle alors mobilier coloré et motifs pop. Idéal pour boire un verre autour de délicieuses tapas, le lieu retrouve aujourd’hui son faste d’antan. . Un espace culturel : BozarA deux pas du Mont des Arts, le Palais des Beaux-Arts, désormais baptisé BOZAR, est un espace culturel pluridisciplinaire à la programmation variée – concerts, expositions, spectacles et autres manifestations artistiques – installé dans le chef-d’œuvre Art nouveau signé Victor Horta. Cette année, à l’occasion du festival EUROPALIA, BOZAR célèbre l’œuvre de Constantin Brancusi. La rétrospective réunit pour la première fois à Bruxelles les œuvres maîtresses du sculpteur roumain – Le Baiser, Leda, Muse endormie – et les créations de ses contemporains, de Marcel Duchamp à Man Ray. Une exposition monographique passionnante qui nous entraîne dans la réflexion de Brancusi sur la sculpture, l’espace et la représentation. . . Un hôtel : Jam Hôtel Installé dans des anciens bureaux, le Jam n’est pas un hôtel classique. Mélanger les genres et les styles, voilà le parti pris de Lionel Jadot, qui signe la décoration de l’hôtel, et de l’agence Olivia Gustot Architectes, qui réalise la rénovation du bâtiment existant. Côté extérieur, la façade a été entièrement rénovée et les toitures ont été aménagées en espaces partagés comprenant une terrasse répartie sur deux niveaux et une piscine chauffée ouverte toute l’année. Entre l’auberge de jeunesse haut de gamme et l’hôtel branché, le Jam comprend 80 chambres, allant de 1 à 18 lits, qui ont toutes conservé la facture industrielle de l’édifice d'origine. La décoration d’intérieur du rez-de-chaussée et du rooftop confié à Lionel Jadot joue la carte de la démesure. Popular, le restaurant de l’hôtel, embarque sa clientèle en Italie à coups de pizzas napolitaines, de burratas crémeuses et de vins italiens. Au centre de la salle trône une installation lumineuse imaginée par le Studio Elémentaires. Le Jam propose ainsi une expérience aussi bien olfactive que gustative. . Une galerie : Eleven SteensJeune galerie ouverte au printemps 2019, Eleven Steens est un vaste espace culturel dédié à la création contemporaine internationale. Le curateur Jean-Marc Dimanche, en charge la direction artistique et du commissariat général du centre culturel, promeut la jeune création à travers une programmation pluridisciplinaire et transversale qui fait la part belle à l’art, au design, à la mode et à l’architecture. Inaugurée à l’occasion de la BRAFA, l’exposition spécial Art & Craft « MATIERE(S) / MANIFESTE » présente jusqu’au 15 mars le travail d’artistes contemporains qui travaillent notamment le bois, la céramique, le textile et le métal. Théâtre de la lumière, la galerie est répartie sur quatre niveaux, d’environ 400 mètres carrés chacun, ouverts sur la rue. Pour le premier accrochage de l’année, le centre guide notre déambulation en dédiant les trois premiers plateaux à l’exposition des créations en bois, céramique et textile. Le dernier étage quant à lui accueille le solo show du designer Johan Viladrich, qui crée des objets minimalistes à partir de matériaux industriels bruts tels que le métal et le polymère. Tapisseries, sculptures, meubles, ou même installation nous invitent ainsi à découvrir le design émergent. Ici, la galerie bruxelloise propose au public de prendre le temps de comprendre les possibilités artistiques de la matière. . Une boutique : Patterns Entre objets vintage et mobilier contemporain, la boutique Patterns mélange les époques et les styles. Ici, les créations de jeunes designers européens cotoyent des pièces classiques. Situé dans le haut de la ville entre la Place du Châtelain et le musée Victor Horta, le showroom s’installe dans un espace lumineux au décor raffiné qui devient l’écrin de la sélection de luminaires, d’assises, de tables et d’objets d’art chinés avec goût par Christian Giraudo. . Un centre culturel : Centre de la gravure et de l’image impriméeSituée à La Louvière, non loin de la capitale, le Centre de la gravure et de l’image imprimée organise des expositions temporaires qui mettent à l’honneur la diversité de la création moderne et contemporaine en dévoilant des clichés, des estampes, des gravures, ou encore des lithographies d’artistes émergents ou mondialement connus. Après deux rétrospectives dédiées à des artistes femmes, Louise Bourgeois et Françoise Pétrovitch, le Centre de la gravure et de l’image imprimée organise la première monographie belge dédiée à la plasticienne américaine Kiki Smith. Jusqu’au 23 février, plus de cent dessins, estampes, collages et sculptures révèlent les multiples facettes de son œuvre syncrétique. L’exposition « Kiki Smith, Entre chien et loup » présente en effet l’univers pluriel de l’artiste empreint de légendes ancestrales ou de contes merveilleux, ses femmes célestes et ses corps féminins, ses créatures hybrides et ses animaux fantastiques : une création marquée par un engagement féministe et social, un monde enchanté et une réflexion sur la mort. Kiki Smith appartient à cette génération d’artistes femmes pionnières et s’impose aujourd’hui comme une figure tutélaire de l’art féministe. . Un espace artistique : MAD Brussels Le MAD de Bruxelles est une école, un lieu où les gens partagent leurs réflexions, leurs connaissances et leurs pratiques de la mode et du design. Actuellement, ce hub créatif expose l’installation Triclinium réalisée par Caroline Wolewinski et Sandro Della. Comme son nom l'indique, la pièce est un voyage au cœur de l’été. Trois confortables banquettes vertes, sur lesquelles on peut s’asseoir ou s’allonger, des petites tables d'appoint, des murs d’un bleu Majorelle éclatant, des céramiques fantaisistes, ou même des plantes crée le décor de cette oasis fantasmée. Pour Triclinium, le duo a remporté le Prix Visual Merchandising à la Design Parade Toulon en 2019. Photographies : 1) © Johan Viladrich2) DR 3) Brancusi Constantin, Muse endormie, 1910 © Centre Pompidou, MNAM-CCI, © Sabam Belgium, 20194) © Jam Hôtel5) © Johan Viladrich6) © Patterns7) Kiki Smith, Puppet, 1993-1994, Coll-CGIi8) Caroline Wolewinski et Sandro Della Noce, Triclinium, 2019 © Alexandra Bertels Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 88 jours

A EnerJ-meeting, le cap est fixé vers la rénovation bas carbone

ENVIRONNEMENT. Alors que la construction neuve va, dès 2021, tenir compte de l'impact carbone d'une construction, il n'en est toujours pas clairement question pour la rénovation de l'existant. Mais c'est le prochain grand chantier qui attend le secteur, ont assuré des décideurs intervenant lors d'EnerJ-meeting Paris 2020.