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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 5 ans et 87 jours

A6A x Atelier Archipel : Les Patios

En collaboration avec Atelier Archipel, l’agence A6A – Atelier 6 Architecture – construit une Maison de Santé, baptisé Les Patios. Installée à Jarnac (16), le centre médical regroupe plusieurs cabinets de médecins généralistes et spécialistes dans un édifice à la volumétrie simple et à l’esthétique épurée. Isolé de l’espace public, la Maison de santé Les Patios est bordée par une sur-largeur de trottoir formant un parvis et un grand jardin arboré surélevé. Le centre de santé est fermé sur lui-même, protecteur et confidentiel. Repère identifiable, avec sa volumétrie simple et son architecture horizontale, à l’entrée de la zone tertiaire de la commune, l’établissement devient un équipement structurant de la ville de Jarnac. Choisi à la fois pour son apparence brute, sa durabilité et la facilité de son entretien, le béton blanc des façades est adoucit par des bardages et des persiennes en bois noir. Le tout s’inscrit ainsi dans le paysage local ponctué de carrières de calcaire et de chais noircis. Répartis sur un seul niveau, les différents volumes de la Maison de Santé s’organisent autour du jardin extérieur et d’une galerie intérieure, qui donne accès aux quatre pôles médicaux et aux espaces partagés. Baignée de lumière naturelle grâce à de larges baies vitrées, la galerie donne également sur l’espace vert et les patios extérieurs.Les Patios réunit au sein d’un même centre des cabinets de médecins généralistes, dentistes, ostéopathes, psychologues, psychiatres, sages-femmes, Orthophonistes, Podologues, Infirmiers. De quoi faciliter la vie des Jarnacais ! Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier 6 Architecture Photographies : Agnès Clotis Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 87 jours

Bois et zinc pour une surélévation esthétique sur un toit d’un ancien hôpital

L’association d’aide à l’enfance, la Chaîne de l’Espoir s’est installée dans un l’ancien hôpital Broussais Auch, rue des Morillons, à Paris, à Paris. Pour agrandir les capacités d’accueil, l’agence d’architecture Gérard Rosier a su profiter et utiliser 150 m2 de surface libre et déjà existante pour revaloriser l’immeuble en le surélevant. De cette ambition sont nées une salle de réunion et une salle polyvalente. Séparée par une cloison mobile, la salle de réunion est couverte sur 95 m2 et donne sur une terrasse extérieure de 60 m2. Pour l’enveloppe, les architectes se sont tournés vers le zinc GRANUM skygrey de RHEINZINK, pour sa proposition de solutions esthétiques, idéales pour la rénovation. Cette vêture présente un aspect gris mat traditionnel obtenu par un traitement de haute technicité laissant alors transparaitre la veinure typique du .Le choix d’une ossature bois a été retenu pour sa légèreté car la terrasse existante ne pouvait pas supporter un étage en dur. La couverture en zinc est venue se poser dans une même logique et se fond dans le paysage des toitures parisiennes. Mise en œuvre en pente à 10 %, elle aborde pleinement l’effet recherché. Architecte maître d’œuvre : Gérard RosierEntreprise de pose : Julien Tramblay – Tramblay CouverturePhoto : Philippe Dureuil
Il y a 5 ans et 87 jours

Colle pour tout faire sur les membranes EPDM

Griffon lance une nouvelle colle à usage professionnel, l’EPDM MAX, qui fixe les membranes EPDM sur de nombreux supports en leur conférant une étanchéité hors pair. Résistante à l’eau, à l’humidité et aux intempéries, l’EPDM MAX Griffon peut aussi servir lors de travaux de réparation. Sans solvants, elle colle et/ou rend étanches tous les EPDM européens fixés sur une grande variété de matériaux comme le bois, le métal, le béton, la pierre et la mousse isolante rigide. Ce produit d’une efficacité exceptionnelle sert également à réparer les déchirures sur l’EPDM, et à rendre étanches les jonctions entre l’EPDM et d’autres supports. Elle présente une puissance de collage élevée (110 kg/cm2) associée à une résistance exemplaire à l’eau, aux intempéries, aux UV et aux écarts thermiques (– 40 °C à + 100 °C). Facile et rapide à appliquer sur des surfaces verticales comme horizontales, le produit offre une prise très rapide. Après 24 heures de pose, les éléments collés sont manipulables et la colle affiche une prise définitive au bout de 48 heures. Autres avantages : l’EPDM MAX ne rétrécit pas et ne forme pas de bulles.
Il y a 5 ans et 87 jours

Nouveau lanterneau d’éclairement zénithal et d’aération naturelle

BLUETEK innove avec Slick inside carré, nouveau lanterneau d’éclairement zénithal et d’aération naturelle pour les toitures plates et couvertures des bâtiments tertiaires, les logements collectifs et l’habitat individuel, en neuf ou en rénovation. Ce lanterneaú se décline dans 2 modèles pour répondre à tous les besoins : Slick inside carré fix pour l’éclairement zénithal, Slick inside carré Air pour l’aération naturelle. Il bénéficie d’une costière blanche en polyester avec une isolation thermique renforcée. Disponible dans de multiples dimensions, il transmet 54 % de la lumière, isole des bruits extérieurs et résiste aux chocs (1200 joules). En fonction des exigences d’isolation thermique, il est équipé d’un double ou d’un triple vitrage feuilleté. Grâce à ce vitrage performant et à une étanchéité à l’air élevée, le lanterneau apporte lumière et aération naturelle aux pièces situées sous un toit plat. Pour une grande discrétion, le mécanisme d’ouverture est invisible, puisque le vérin à chaîne est intégré à la costière.
Il y a 5 ans et 87 jours

Béton auto-cicatrisant : Le réveil des bactéries

Le microbiologiste Hendrik Marius Jonkers, en collaboration avec l’Université technologique de Delft, a développé un additif pour la formulation de béton auto-cicatrisant. [©Basilisk] Aux Pays-Bas, le microbiologiste Hendrik Marius Jonkers s’est intéressé à la fissuration des bétons. Et plus particulièrement, comment ce matériau peut panser ses propres plaies… En effet, si certaines fissures sont inévitables dans le béton et non nocives, d’autres peuvent menacer sa durabilité, corroder les armatures et entraîner de graves dégâts [Lire notre article à ce sujet]. « Dans la nature, il existe des plantes et des animaux qui s’auto-soignent. Nous nous sommes donc inspirés de ce principe. » Le scientifique a ainsi développé et breveté, en collaboration avec l’Université technologique de Delft, une solution pour créer des bétons auto-cicatrisants. Et c’est de là qu’est née la start-up Basilisk. L’entité fait par ailleurs partie du programme LH Accelerator. Pour permettre au béton de combler lui-même ses fissures, Hendrik Marius Jonkers a fait appel à une ressource naturelle et biosourcée : les bactéries. Ces dernières peuvent se trouver dans la nature, en particulier dans la pierre volcanique. Un additif respectueux de l’homme et l’environnement La solution de Basilisk se présente sous la forme d’un additif qui se mélange à la formulation du béton. Il se compose de particules qui contiennent des bactéries dormantes et des nutriments pour celles-ci. Lorsque des fissures se forment dans le béton, il suffit que les bactéries soient en contact de l’eau pour se “réveiller”. En se nourrissant des nutriments présents dans la solution de Basilisk, elles vont combler les fissures, en créant du calcaire. La start-up estime que les fissures peuvent se remplir ainsi en 3 semaines. Peu importe leur longueur, mais pour une largeur allant jusqu’à 0,8 mm. Le produit développé par Hendrik Marius Jonkers et Basilisk permet de prolonger la vie de la construction en béton, mais limite aussi les risques d’infiltration d’eaux. Sans nocivité pour l’homme, les bactéries isolées dans la solution peuvent rester à l’état “dormant” durant près de 2 000 ans. Une version pour les bétons déjà existants L’additif de Basilisk peut être utilisé dans la formulation de béton dédié à la fabrication de voussoirs, de réservoirs d’eau, ou encore de ponts et dallages… La start-up propose aussi une solution spécifique pour les fissures déjà existantes : Basilisk Liquid Repair System ER7. Le produit s’adapte aux petites fissures, qui ne peuvent pas être traitées avec un mortier. Après l’application – une passe si la fissure fait entre 0,2 et 0,4 mm de largeur et 2 ou 3 passes jusqu’à 0,8 mm – le liquide forme un gel qui la remplit. Les bactéries convertissent ensuite le gel en calcaire pour une étanchéité permanente. Basilisk compte déjà plusieurs projets à son actif, à l’image d’un bassin de rétention d’eau au port de Rotterdam ou encore l’extension du Het Loo Palace à Apeldoorn, toujours aux Pays-Bas.
Il y a 5 ans et 87 jours

DokaXLight : Un nouveau coffrage-cadre plus léger

DokaXLight est le coffrage-cadre le plus léger de la gamme de Doka. [©Doka] Doka propose désormais DokaXLight, le coffrage-cadre le plus léger de sa gamme. La nouvelle solution de l’industriel autrichien ne dépasse pas les 22,6 kg pour l’élément principal (0,75 m x 1,50 m). Elle s’adapte à tous types d’ouvrages en béton avec ses différents formats, que ce soit en construction neuve ou en rénovation. Le DokaXLight est manipulable sans grue et par une seule personne. Il permet de travailler plus rapidement et de gagner en productivité, en optimisant les ressources disponibles sur le chantier. Doka précise que le coffrage supporte une pression de bétonnage, allant jusqu’à 50 kN/m2 pour les voiles et jusqu’à 75 kN/m2 pour les poteaux. Le Dokaxlight peut se réemployer plusieurs fois grâce au panneau Xlife et à la bague de protection pour ancrage, édités par Doka. Son cadre en aluminium assure aussi la durabilité du produit. Son nettoyage est facilité, puisqu’il a bénéficié d’un traitement spécifique. Le DokaXLight est disponible en vente et en location (sauf les panneaux de 3 m de haut sur 30 à 75 cm de largeur, réservés à la vente).
Il y a 5 ans et 87 jours

Bilan et perspectives pour le marché de la construction par l’AIMCC

Contrairement aux prédictions établies fin 2018 et après 3 années de croissance, l’année 2019 n’a pas été si catastrophique pour le marché de la construction. [©Anhydritec] L’AIMCC1 a présenté les résultats de la 4e édition de “Tendances Conjoncture”. Menée entre décembre 2019 et janvier 2020, l’enquête s’est appuyée sur le retour de 80 organisations professionnelles et membres de l’association. Elle a permis de dresser un bilan de l’année passée et de revenir sur des problématiques clefs en cours et à venir. Contrairement aux prédictions établies fin 2018 et après 3 années de croissance, l’année 2019 n’a pas été si catastrophique. L’association parle même d’un « atterrissage maîtrisé ». En effet, l’activité du bâtiment devrait connaître une progression de 1,2 %. C’est moins que 2018 (+ 2,3 %), mais plus que les prévisions des professionnels du secteur. Si le nombre de mises en chantier de logements a subi une légère baisse (410 000 contre 417 000), le non-résidentiel atteint + 6,9 %. L’entretien/rénovation enregistre un petit + 0,2 %. Un marché pénalisé par un mauvais 1er trimestre 2019. De leur côté, les travaux publics sont portés par les investissements des collectivités locales avec un + 10 % de croissance. Un dynamisme qui s’explique par l’approche des élections municipales et par des chantiers d’envergure, à l’image de ceux du Grand Paris. En revanche, ces projets, essentiellement métropolitains, creusent les disparités entre les territoires urbains et ruraux. Du côté des industriels, 47 % enregistrent une croissance significative (supérieure à 4 % en volume), 1 % et 3 % progressent de façon plus limitée et 8 % se sont stabilisés. Le camembert restant (entre 44 % et 42 %) est sur une phase de recul. + 1,2 % de croissance contre 2,3 % en 2018 Des différences sont observables au niveau des segments d’activités : 93 % des industriels du gros œuvre ont vu leur activité s’envoler, contre 72 % pour ceux du second œuvre. Pour l’équipement, ils sont 86 % à bénéficier d’une légère croissance. Pour 2020, les professionnels du secteur sont mitigés. Les indicateurs économiques laissent entrevoir un ralentissement et une relative stagnation de l’activité. Le FMI a d’ailleurs revu à la baisse, en octobre dernier, ses prévisions de croissance mondiale pour 2020. Les avancées réglementaires et autres mesures des Pouvoirs publics auront aussi leur rôle à jouer. A l’image de la future RE 2020, les concrétisations de la loi Essoc ou encore le projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage pour une économie circulaire. Selon les estimations de la FFB, le secteur ne devrait pas dépasser 1 % de croissance (+ 0,8 %). Du fait de la baisse des mises en chantier de logements neufs, des faibles progressions du non-résidentiel et du secteur de l’entretien/rénovation. De son côté, la FNTP prévoit une année plutôt stable, malgré la baisse de la commande publique prévue durant cette année électorale. L’année 2020 sera aussi marquée par plusieurs enjeux pour le secteur du bâtiment et les travaux publics. La lutte contre les passoires énergétiques reste toujours une perspective porteuse. 2020 : Entre enjeux environnementaux et sociétaux Le marché de la rénovation est vaste et le gouvernement semble vouloir s’investir dans la massification de la rénovation énergétique. Notamment avec la mise en place de mesures favorables : aides, lutte contre la fraude… L’AIMCC estime que « compte tenu de la masse de travaux à générer, les industriels ont un rôle essentiel à jouer, en termes de formation, de pénétration de l’innovation. Et d’intégration des offres les plus performantes et de gains de productivité. » D’autres perspectives vont occuper les professionnels du secteur. L’environnement et l’économie circulaire, le Plan Energie Climat, la décarbonatation, la transition numérique, la révolution 3D. Ou encore, la formation et le développement des compétences qui est un axe stratégique. L’AIMCC vient d’ailleurs de signer un accord EDEC1 avec le ministère de l’Emploi, la CFE CGC Sidérurgie et le soutien de la Capeb. Cependant, l’association précise que la filière construction ne pourra bénéficier d’une reprise durable et d’un retour à la compétitivité des entreprises que sous certaines conditions. Comme le retour des marges pour les sociétés, un soutien à l’investissement productif et à l’économie circulaire pour maintenir la modernisation du parc industriel. Mais aussi, une stabilité réglementaire, juridique et fiscale, en France et en Europe. Et enfin, la mise en place de partenariats dans le secteur de la formation professionnelle comme réponse à la pénurie de main-d’œuvre qualifiée. 1Association française des industries des matériaux et produits de construction2Engagement développement emploi compétences.
Il y a 5 ans et 87 jours

Saint-Gobain devient un acteur majeur sur le marché de la plaque de plâtre

Saint-Gobain a obtenu l'accord des actionnaires de Continental Building Products et des autorités de la concurrence américaine pour finaliser l'acquisition du fabricant de plaques de plâtre.
Il y a 5 ans et 87 jours

Un chantier sous contraintes pour le nouveau siège de Vinci

Le Groupe Vinci a confié aux architectes Jean-Paul Viguier et Marc Mimram la conception réalisation de son futur siège social installé en surplomb de la future Gare de Nanterre La Folie.
Il y a 5 ans et 88 jours

L’apprentissage connaît une bonne dynamique dans les travaux publics

Le 4 février, le ministère du Travail a communiqué les chiffres 2019 de l’apprentissage en France, évoquant une croissance à deux chiffres du nombre d’apprentis l’an passé. C’est aussi le cas dans les travaux publics, qui a connu une hausse de 13% des demandes d’inscriptions.
Il y a 5 ans et 88 jours

Taillandier Architectes Associés : Villa T

Réhabiliter un logement historique typiquement toulousain en une demeure contemporaine ? Pari tenu pour les équipes de Taillandier Architectes Associés qui signent un projet de rénovation étonnant dans le quartier de Montplaisir de la Ville rose (31), où façade classique, béton et bois cohabitent en harmonie. Situé dans une zone de protection des monuments historiques, la Villa T est le fruit d’une réhabilitation d’un logement typique de la région de Toulouse : corniche, rosasses, toiture à deux pentes parallèles à la rue et façade en brique composent en effet le décor de la maison d’origine. Difficile donc de se projeter dans un logement contemporain ! Et pourtant, les architectes, qui ont pris le parti de conserver cette façade sur rue extrêmement travaillée, réussissent le tour de force de transformer cette maison de ville jusqu’alors vétuste en une résidence ancrée dans le XXIème siècle. Côté façades, deux identités communiquent. Quand celle sur rue est en partie conservée et nettoyée des éléments parasites du temps, le traitement accordé à celle donnant sur le jardin est résolument plus contemporain, où le béton fabriqué est percé de grandes baies vitrée laissant pénétrer la lumière naturelle dans les espaces de vie. La maison est pensée comme l’union de deux duplex superposés : le « duplex vie » et le « duplex nuit ». Les pièces de jour occupent en effet deux niveaux faisant le lien avec celui de la rue et celui du jardin, tandis que la partie nuit est répartie sur les deux étages supérieurs. Les espaces de vie se composent d’une cuisine ouverte sur la double hauteur surplombée d’une large pièce réunissant le salon et la salle à manger, tandis que le « duplex nuit » accueille deux chambres d'enfant au premier niveau et une suite parentale au dernier étage. Là aussi, c’est un véritable dialogue qui s’établit entre la contemporanéité du béton et la chaleur du bois. « Le contraste entre le béton lasuré et le chêne clair, met en relief la dualité de la maison, bâti historique/construction contemporaine, espace intimes/ espace muséal, espaces vie et réception/ espaces nuit et intimes. » signifient d’ailleurs les architectes. Pour ce projet, les maîtres d’œuvre se sont inspirés de grands classiques architecturaux. On retrouve ainsi une bibliothèque s’enroulant autour de l’escalier – à la trémie évidée de 15 centimètres sur la hauteur des quatre niveaux –, clin d’œil évident au savoir de l’antique Babylone ainsi qu’une rampe reliant la rue au rez-de-jardin faisant écho à celle du Guggenheim de New-York. Le rapport entre espace de vie et scénographie muséale est également une caractéristique de la réalisation. Quand le garde corps de l’escalier devient cimaise pour les peintures de Raymond Espinasse, le dépouillement des matériaux renvoie à l’univers du white cube, au sein duquel les propriétaires exposent leur mobilier de designers. Un projet qui cache son lot de surprises. Pour en savoir plus, visitez le site de Taillandier Architectes et Associés Photographies : Luc Boegly Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 88 jours

2019 : surchauffe pour la PAC, engouement pour la biomasse

Avec une hausse de 83 % en 2019, le marché des pompes à chaleur air/eau est celui qui a le plus bénéficié des aides mises en place, révèle Uniclima lors de son traditionnel bilan annuel. Autre grand gagnant, les chaudières à granulés dont le marché a quasiment doublé, soutenu principalement par le coup de pouce chauffage.
Il y a 5 ans et 88 jours

Julien Denormandie annonce son plan pour une "ville durable"

Cent fermes urbaines, des bâtiments publics exemplaires, un accompagnement des élus locaux sur les questions techniques: alors que l'écologie s'est imposée comme un thème central des municipales, le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, annonce mercredi un plan d'action pour un aménagement des territoires plus durable.
Il y a 5 ans et 88 jours

Fondation France Bois Forêt Pour Notre Patrimoine

En direct du salon Eurobois 2020, nous rencontrons sur notre plateau Bati-journal TV : Michel Druilhe – Président de France Bois Forêt, Jean-Emmanuel Hermes – Directeur Général de France Bois Forêt, Bernard Lechevalier – Rédacteur en chef d’Atrium, patrimoine et restauration qui nous présentent la Fondation France Bois Forêt pour Notre Patrimoine et du lancement du concours « Forêt, bois et Patrimoine » Invités : Michel Druilhe – Président de France Bois Forêt Jean-Emmanuel Hermès – Directeur Général de France Bois Forêt Bernard Lechevalier – Rédacteur en chef de Atrium, patrimoine et restauration La Fondation FRANCE BOIS FORÊT pour notre Patrimoine Concours Forêt, bois et Patrimoine
Il y a 5 ans et 88 jours

Aéroport de Nice: le projet d'extension attaqué au tribunal

Trois associations de défense de l'environnement ont annoncé mercredi 5 février avoir déposé un recours au tribunal administratif contre le projet d'extension du deuxième hub international de France après Paris.
Il y a 5 ans et 88 jours

FREAKS : Sammode Research and Innovation Center

Sammode – Société d’Application des Méthodes MODernes d’Éclairage électrique – est une entreprise familiale française, spécialisée dans l’éclairage industriel et architectural, connue pour ses tubes fluorescents hermétiques très résistants. Fondée en 1927 à Châtillon-sur-Saône (88) par Louis Lemaire pour fabriquer des luminaires de qualité, Sammode ambitionne aujourd’hui de concevoir éclairages – techniques ou décoratifs –, toujours plus performants. La société se tourne vers l’innovation et créé un centre de recherche dernier cri – le Sammode Research and Innovation Center –, qu’elle a installé dans les locaux d’une ancienne imprimerie réhabilitée par le talentueux trio de FREAKS. Situé dans la ville de Lamotte-Beuvron, en Sologne (41), le Sammode Research and Innovation Center est un centre de recherche et développement, qui vient compléter les services marketing et commercial situés à Paris et le site de production historiquement implanté dans les Vosges (88). L’entreprise a fait appel à l’agence FREAKS, créée en 2007 par les architectes Yves Pasquet, Cyril Gauthier et Guillaume Aubry, pour réaliser la réhabilitation d’un ancien hangar industriel en un laboratoire de recherche et de développement constitué de salles de travail, d’étude et de production de prototypes. Afin de répondre aux impératifs du programme et aux ambitions de l’entreprise, l’équipe de FREAKS a opté pour des opens paces, des généreux espaces de bureaux ouverts, envisagés comme des plateformes d’échange. Seules les salles laboratoires, qui requièrent un aménagement technique spécifique, sont fermées et isolées pour tester la qualité, la résistance, les paramètres et les normes de chaque nouveau prototype. Les espaces de travail, répartis sur un seul niveau, s’organisent en trois entités distinctes de 350 mètres carrés chacune : un espace de bureaux et d’espaces partagés, une zone de montage et une partie dédiée au prototypage des luminaires. Les salles de réunion, semblables à des serres de jardin en verre, laissent visibles les recherches collectives tout en isolant les conversations grâce à un vitrage acoustique innovant. À l’exception des quatre cellules construites en structure bois, étanches à l’air et à la lumière, qui abritent des salles de tests, les espaces sont ouverts, fluides et partagés. À l’extérieur, le bâtiment revêt désormais une enveloppe argentée, une alternance de tôles ondulées inox pleines et perforées qui crée des jeux de transparence. La mise en lumière de la façade, réalisée par Sammode, est un clin d’œil évident aux activités du centre. L’aménagement d’une terrasse en prolongement de la façade, ainsi que la création d’un patio végétalisée et la plantation de plusieurs végétaux, assurent également à l’équipe travaillant sur le site un confort de vie certain. Réhabilité, le centre est un espace propice à l’innovation et la recherche, de la conception à la réalisation des nouvelles solutions d’éclairage et collections de luminaires design. Pour en savoir plus, visitez le site de FREAKS Photographies : David Foessel, Elisa Welz Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 88 jours

A Paris, une barre de logements sociaux réhabilitée

EN IMAGES. Dans le quatorzième arrondissement parisien, c'est une barre de 303 logements sociaux qui a traversé une phase de réhabilitation complète, orchestrée par ICF habitat.
Il y a 5 ans et 88 jours

Mise en œuvre du décret tertiaire : 4 vidéos pour tout comprendre à la nouvelle réglementation

En matière de performance énergétique des bâtiments, la réglementation évolue. Le décret encadrant la rénovation énergétique du parc immobilier tertiaire, public et privé est entré en vigueur le 1er octobre dernier. C’est un signal fort, attendu par toute la profession depuis près de 10 ans !
Il y a 5 ans et 88 jours

Vous effectuez des travaux chez vous ? Pensez à vous protéger.

Avant de vous lancer dans les travaux chez vous, peu importe lesquels, on vous conseille de vous protéger de toutes les manières possibles. Outre de vous familiariser avec les normes de rénovations en vigueur notamment, le port de tenues de chantier est obligatoire. La marque engelbert strauss, réputée pour la fabrication de vêtements et de chaussures de sécurité depuis 1948, peut vous en proposer plusieurs sortes. Pourquoi des chaussures de sécurité ? Les chaussures de sécurité sont imposées par les assureurs pour les artisans professionnels. C’est notamment une preuve de bonne foi, comme quoi vous avez pris toutes les précautions possibles afin d’éviter tout accident. Il s’agit de chaussure spécifique que vous devez porter sur n’importe quel chantier. Pour la fabrication de ce genre de chaussure, les marques ne s’attardent pas réellement au style, mais à la robustesse et l’étanchéité du modèle. Il y a des normes de fabrication à respecter. Une chaussure de sécurité, comme son nom l’indique, a pour but de vous assurer une totale sécurité sur les chantiers, peu importe les travaux à faire. Elle est étanche pour les travaux de rénovation en plomberie. Elle est épaisse pour vous protéger des jus en cas de travaux électriques. Elle peut aussi être le gage de votre confort et de votre liberté de mouvement sur le chantier. Elle est pourvue d’une semelle épaisse et antidérapante pour vous protéger des clous et autres dangers des lieux. Elle est aussi munie d’une coque de protection sur le sommet. Profitant notamment des nouvelles technologies, les nouveaux modèles de chaussure de chantier sont beaucoup plus légers que les anciennes grâces à une coque en aluminium. Enfin, la chaussure de sécurité vous permet d’avoir un certain style pendant toute la durée du chantier, tout en garantissant une protection optimale de vos pieds. Disponible en différents coloris et modèles, ce genre d’accessoire est prisé aussi bien par les bricoleurs du dimanche que les professionnels. Choisir le bon modèle de chaussure de sécurité Les chaussures de sécurité engelbert strauss peuvent se décliner en plusieurs sortes. De quoi vous aider notamment à personnaliser aussi votre style sur les chantiers. Vous avez notamment les accessoires classiques, imposants et modiques. Ils ont déjà fait leur preuve dans la sécurisation des ouvriers. Ce sont notamment les bottes de chantiers conseillés par les assurances pour les ouvriers professionnels afin de bien se protéger sur n’importe quel type de chantier. Mais pour les bricoleurs amateurs, il est possible aussi d’avoir un peu plus de style dans les tenues de chantier. Les grandes marques proposent à présent des baskets de chantier, beaucoup plus légères et design, et qui proposent le même niveau de sécurité. Se déclinant en plusieurs modèles, ce sont les nouvelles tendances du moment. Différentes pointures sont notamment proposées sur les sites dédiés. Des modèles beaucoup plus féminins sont proposés par les marques sur les sites de vente en ligne si besoin est. Les paires ne vous coûtent que quelques dizaines d’euros. Quand porter les chaussures de sécurité ? Vous devez enfiler vos chaussures de sécurité avant même de pénétrer sur le chantier. C’est valable pour tous les types de projets : rénovation plomberie, travaux d’emménagement, travaux de peintures, rénovation électriques, etc. Pour ce qui est des travaux de peinture notamment, les chaussures de sécurité servent surtout à vous éviter de tacher vos chaussures habituelles tout en vous assurant un certain confort pendant toute la durée du chantier. Confort et design, ce genre d’accessoires se porte aussi très bien dans la vie de tous les jours.
Il y a 5 ans et 88 jours

Slick Inside Carré : un lanterneau lumineux et performant pour les toitures plates

BLUETEK, acteur français du désenfumage naturel et de l'éclairement zénithal, innove avec SLICK INSIDE CARRÉ, nouveau lanterneau d'éclairement zénithal et d'aération naturelle pour les toitures plates et couvertures des bâtiments tertiaires, les logements collectifs et l'habitat individuel, en neuf ou en rénovation.
Il y a 5 ans et 88 jours

La Chine ouvre un hôpital en 10 jours pour lutter contre le coronavirus

C'est une prouesse en pleine épidémie : un hôpital de fortune construit en 10 jours accueille ses premiers groupes de patients à Wuhan, avec l'ambition de soulager les établissements surchargés de la ville chinoise berceau du nouveau coronavirus.
Il y a 5 ans et 88 jours

Où trouver les Zones de présomption de prescription archéologique ?

Sur l’ensemble du territoire national, le Code du patrimoine prévoit que certaines catégories de travaux et d’aménagements font l’objet d’une transmission systématique et obligatoire au préfet de région afin qu’il apprécie les risques d’atteinte au patrimoine archéologique et qu’il émette, le cas échéant, des prescriptions de diagnostic ou de fouille. Les catégories de travaux concernés sont : les zones d’aménagement concerté (ZAC) et les lotissements affectant une superficie supérieure à 3 ha, les aménagements soumis à étude d’impact, certains travaux d’affouillement soumis à déclaration préalable et les travaux sur immeubles classés au titre des Monuments Historiques (livre V, article R. 523-4). Créés par la loi du 1er août 2003 relative à l’archéologie préventive, les zones de présomption de prescription archéologique (ZPPA) se substituent aux zones de saisine instituées par la loi de 2001 qui elles-mêmes succédaient aux périmètres de protection archéologique pris dans le cadre du décret 86-192. L’Atlas des patrimoines recense des zones de présomption de prescription archéologique et des zones de sensibilité archéologique. http://atlas.patrimoines.culture.fr/
Il y a 5 ans et 88 jours

Un atelier de faïencerie du xviiie siècle exhumé à Rouen

Une équipe de l’Inrap intervient depuis fin septembre 2019 sur la rive gauche de la Seine à Rouen, à l’emplacement de l’ancien CFA Lanfry, dans le cadre d’un projet immobilier porté par le groupe Edouard Denis. Cette fouille permet d’étudier les vestiges d’une manufacture de faïence du XVIIIe siècle et de la filature qui lui a succédé au XIXe siècle. Dans les archives, peu d’indications sont fournies sur la faïencerie, en dehors de l’existence de deux fours, que les archéologues ont refait sortir de terre. Plutôt bien conservés, ces deux fours forment un ensemble solidaire, comprenant des parties souterraines – chambre de chauffe et alandier/foyer, ainsi que des pièces dites de service. Deux d’entre elles s’organisent autour des foyers et servent à leur entretien. Elles communiquent par des escaliers avec d’autres salles situées à l’arrière, destinées à la préparation des fournées. L’usure des revêtements de sol révèle le cheminement des ouvriers. Le bâtiment des fours dans sa totalité est estimé à 15 mètres de longueur sur 8,80 mètres de largeur ; de manière inattendue, les fours eux-mêmes sont aménagés directement au contact de la rue Saint-Julien. Diverses zones d’activité se dessinent à proximité des fours. Au nord, une vingtaine de fosses regorgent de matériel d’enfournement brisé, de morceaux de fours détériorés et de fragments de vaisselle, de vases, de fontaines murales, de jardinières et de bénitiers à différents stades de leur élaboration, certains portant déjà les décors peints. Au nord-ouest, une rangée de bacs, maçonnés ou simplement creusés dans le sable du sous-sol, sont enduits d’un revêtement blanc. Après leur abandon, ils sont comblés par des rebuts de fabrication. Au sud, les vestiges d’une maçonnerie circulaire indiquent l’emplacement probable d’un moulin à broyer les émaux. Sur le même alignement, un long bâtiment de plus de 20 mètres de longueur sur 6 mètres de largeur est divisé en quatre pièces ; l’une d’entre elles au moins livre un dépôt d’argile. Des bacs à argile ont été également retrouvés autour de ce bâtiment. Enfin à l’ouest, à la limite du jardin de la faïencerie, les archéologues ont identifié plusieurs fosses circulaires contenant des résidus argileux. Après la cessation d’activité du dernier faïencier en 1796, une filature est construite. Cet établissement est constitué d’un très grand atelier de près de 40 mètres sur 15 mètres, divisé en deux nefs par une ligne de piliers. S’y accolent des structures imposantes en calcaire destinées à servir de socle à de lourdes machines. Un bâtiment de plus petit gabarit est prolongé par une cave profonde et une autre plus modeste qui a servi de soute à charbon. Photo : La salle de préparation des fournées en cours de fouille, au premier plan la chambre de chauffe et l’alandier du four nord Paola Calderoni, Inrap Aménagement : Groupe Edouard Denis Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Normandie) Recherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Paola Caledroni, Inrap
Il y a 5 ans et 89 jours

Isolation : quels sont les critères pour un bon confort thermique 2/2

Tel que nous l’avons déjà abordé, ici la plupart des occupants ou propriétaires d’habitats qui font réaliser des travaux d’amélioration ont pour objectif principal la recherche d’un meilleur confort. Pour y parvenir, ils font soit réaliser soit améliorer l’isolation. Ils y sont incités par le paradigme général que nous avons dénoncé de nombreuses fois dans […]
Il y a 5 ans et 89 jours

L’atelier Novembre lauréat du concours pour la rénovation du musée Rolin d’Autun

C’est l’Atelier Novembre qui a été sélectionné pour réaliser le futur agrandissement du musée Rolin. Il va ainsi investir les locaux de l’ancien Palais de Justice ainsi que ceux de l’ancienne prison d’Autun. La bâtisse est par ailleurs un exemple unique d'architecture carcérale de plan panoptique circulaire. Le projet de réaménagement porté par la ville d’Autun souhaite faire du Musée un « phare culturel » pour son territoire. C’est avec un parti architectural et...
Il y a 5 ans et 89 jours

Jusqu'à 4 ans de prison requis pour l'attribution du marché du "Pentagone français"

Une peine de 4 années d'emprisonnement et de 200.000 euros d'amende a été requise lundi contre le principal prévenu dans le procès de l'attribution du marché du "Balardgone", le ministère de la Défense inauguré à Paris en 2015.
Il y a 5 ans et 89 jours

"Pentagone français" : 4 ans de prison requis contre le principal prévenu

JUSTICE. Une peine de quatre années d'emprisonnement et 200.000 € d'amende ont été requis contre le principal prévenu dans le procès de l'attribution du marché du Balardgone, l'homme d'affaires Karim Aïssa. L'ancien militaire Fabrice Couderc risque quant à lui deux ans de prison, dont un avec sursis, et une amende d'un montant de 50.000 €.
Il y a 5 ans et 89 jours

Repérage amiante : les exigences de diagnostic renforcées

RÉGLEMENTATION. Un texte paru au Journal officiel réintroduit l'obligation pour un diagnostiqueur amiante de posséder une "mention" pour réaliser ce type de repérages avant travaux. Cette obligation avait été retoquée l'an dernier par le conseil d'État. Elle revient renforcée.
Il y a 5 ans et 89 jours

Au Chêne Pointu, un projet en mode gestion de l’attente

Le paysage du film Les Misérables est en pleine mutation. Le Chêne pointu, ce quartier de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) est le coeur de cible de la première opération en France de requalification des copropriétés dégradés d’intérêt national (ORCOD-IN). Réhabilitation, destruction et […] L’article Au Chêne Pointu, un projet en mode gestion de l’attente est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 89 jours

Le bois et le patrimoine

Invités : Philippe JARNIAT – Responsable de marchés L’Ameublement Français Jérôme CARRAZ – Responsable de l’institut de la charpente et construction bois Les Compagnons du Devoir Sébastien FLEURY – Conducteur de Travaux SAGA Agencement
Il y a 5 ans et 89 jours

A Cholet, Essor réalise la suite du campus Bodet

CHANTIER. Depuis 2001, Essor est aux manettes du nouveau campus du groupe Bodet. Depuis le mois de juillet 2019, le constructeur réalise l'extension du bâtiment Software 1. Une collaboration entre les deux acteurs qui donne une homogénéité au lieu. Contactée par Batiactu, l'équipe d'Essor explique les spécificités du chantier.
Il y a 5 ans et 89 jours

Mobilité & rénovation urbaine : tribune à Bruno Marzloff, sociologue et prospectiviste

Comment inclure le principe de mobilité dans un projet de rénovation urbaine ? Bruno Marzloff, sociologue et prospectiviste, prend la parole sur l'usage des territoires.
Il y a 5 ans et 89 jours

La construction de logements baisse un peu en France en 2019

La construction de logements neufs s'est repliée  l'année dernière mais dans une moindre mesure, selon le gouvernement qui veut voir au dernier trimestre 2019 "une reprise" à consolider.
Il y a 5 ans et 89 jours

Attribution du marché du "Pentagone français": un procès s'ouvre à Paris

Le procès de deux hommes, jugés pour corruption et favoritisme dans l'attribution du marché du "Pentagone à la française", le ministère de la Défense, a démarré à Paris.
Il y a 5 ans et 89 jours

Solution de paroi bas carbone pour le marché des bâtiments à étage

Premier fabricant français indépendant de produits préfabriqués en béton, Alkern propose une solution constructive packagée totalement optimisée, à base de blocs en béton de granulats courants rectifiés pour un calepinage…Cet article Solution de paroi bas carbone pour le marché des bâtiments à étage est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 89 jours

La chaîne de l'espoir se surélève en zinc-titane et élargit ses capacités d'accueil à l'enfance

L'association d'aide à l'enfance, la Chaîne de l'Espoir s'est installée dans un immeuble rue des Morillons à Paris. Pour agrandir ses capacités d'accueil, les architectes se sont lancés dans un projet de surélévation. La solution zinc-titane GRANUM skygrey de RHEINZINK a été choisie pour recouvrir toiture et façade de cette extension, qui abrite notamment aujourd'hui une toute nouvelle salle polyvalente.
Il y a 5 ans et 89 jours

DDL Architectes : Collège Auguste Brizeux

Le conseil départemental du Morbihan (56) a confié à DDL Architectes la reconstruction du collège Auguste Brizeux en centre-ville de Lorient. Installé en bord de mer, sur le même site que son prédécesseur récemment démoli, le nouvel établissement offre aux élèves un édifice de qualité. L’agence DDL Architectes basée à Lorient a relevé le défi de reconstruire le collège de la commune bretonne, malgré les contraintes évidentes de sa situation géographique et de son contexte urbain. Localisé face port de plaisance de Lorient, le site se caractérise par une très mauvaise qualité de portance du sol. L’équipe de DDL Architectes a donc surélevé le bâtiment, construit des fondations profondes et réalisé une géothermie sur pieux, afin d’éviter tout risque de submersion en cas de fortes intempéries.Erigé sur une parcelle carrée, le collège avoisine des rues, un mail piéton végétalisé et une salle de sport. Au regard de cet emplacement et du cahier des charges, l’agence a également opté pour l’inscription de l’édifice dans le maillage orthogonal du centre-ville et la restauration de l’îlot éducatif historique. Bien que le nouvel établissement se fonde harmonieusement dans la ville, il sépare l’équipement éducatif de l’espace public. Clos sur eux-mêmes, les différents modules du complexe s’organisent en effet selon un plan en U, autour d’une cour intérieure, abritée des vents marins et souvent ensoleillée. Le bâtiment principal, au Nord, comprend un atrium longitudinal doté d’un dispositif bioclimatique, qui garantit un confort thermique en été comme en hiver tout en réduisant l’impact environnemental du complexe. Résolument contemporain, le collège est aussi esthétique que fonctionnel. Pérenne et décorative, la brique blanche, utilisée pour les façades, l’enseigne, la clôture et le moucharabieh, crée l’unité du complexe tout en le mettant à distance du centre-ville. Aujourd’hui, le collège peut accueillir jusqu’à 600 élèves et se constitue de différents pôles scolaires à la décoration minimaliste : un accueil, des espaces dédiés à la vie scolaire et à l’administration, un centre de documentation et d’information, un service de restauration, ainsi que des salles de classes spécifiques dotées de l’équipement nécessaire à l’étude des sciences, de la technologie, de la musique et des arts plastiques. Véritable sanctuaire de l’apprentissage, le collège Auguste Brizeux offre un cadre de travail idéal aux élèves bretons ! Pour en savoir plus, visitez le site de DDL Architectes Photographies : Florence Vesval Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 89 jours

Sylvain Raynaud, responsable “Travaux souterrains” chez BASF CC France

Sylvain Raynaud est le nouveau responsable national “Travaux souterrains” de BASF France – Division Construction Chemicals. [©BASF CC France] Sylvain Raynaud est le nouveau responsable national “Travaux souterrains” de BASF France – Division Construction Chemicals. Ses missions ? Il animera et accompagnera l’équipe française “Travaux souterrains”. De plus, il participera à l’enrichissement d’une offre produits déjà étendue et développera de nouvelles solutions. Après un BTS technico-commercial, option “génie électrique et mécanique”, il rentre à l’Ecole supérieure de commerce et de l’industrie de l’Ain. Il s’y forme, en suivant l’option internationale “responsable de développement et de commercialisation en milieu industriel”. Dès son premier poste, Sylvain Raynaud intègre le monde de la construction et du béton, chez Polycomposite, où il travaille comme chargé d’affaires. Ceci, dans les domaines des ouvrages sur mesure, les réhabilitations d’ouvrages souterrains et les tunnels. Mais aussi la préfabrication béton, et les eaux et canalisations. Par la suite, il intègre le groupe Sika comme chef de marché export pour l’Afrique centrale et l’Afrique de l’Ouest. Cette expérience le conduit vers le groupe Condat où il occupe la fonction d’ingénieur d’affaires.
Il y a 5 ans et 89 jours

Un site dédié aux métiers de l’électricité

Le site « www.metiers-electricite.com » développé par le SERCE a pour objectif de faire découvrir aux jeunes, à leurs parents, ainsi qu’aux enseignants des métiers qui contribuent concrètement à l’aménagement du territoire et à l’amélioration du cadre de vie, en permettant l’émergence de nouveaux usages. Il présente une trentaine de métiers, accessibles via de nombreuses formations initiales diplômantes ou des CQP créés à l’initiative de la profession. Il décrit les principaux secteurs d’activité de la profession et sa capacité d’innovation pour proposer des solutions qui répondent aux nouveaux enjeux environnementaux et sociétaux. La présentation et les référentiels des diplômes, des informations sur la formation continue, des actualités et des vidéos complètent le site. Accueil
Il y a 5 ans et 90 jours

Un mort dans l'effondrement spectaculaire d'un complexe sportif en Russie

Un ouvrier a trouvé la mort vendredi dans l'effondrement spectaculaire d'un grand complexe sportif en pleins travaux de démontage à Saint-Pétersbourg, la deuxième ville de Russie.
Il y a 5 ans et 90 jours

Atelier Du Pont : Woody

Pour le siège Santé Publique France, l’Atelier Du Pont imagine un écrin où le bois est roi. Installé à l’orée du Bois de Vincennes (94), l’établissement dialogue brillamment avec son environnement arboré. Justement nommée « Woody », la structure tire le meilleur d’un matériau. Focus sur un projet unique. Le projet réside en la création de structures dédiées à la recherche. Encadrant une cour verdoyante, le bâtiment est constitué de quatre volumes articulés les uns avec les autres de façon à former deux bras accueillants. Les architectes décrivent d’ailleurs eux même leur projet comme un « ensemble de bâtons posés sur le sol qui se ramifie comme des bras de protection ouverts », comme un clin d’œil au programme : la création d’une siège pour une institution qui s’assure de la protection et de la santé des Français. S’accordent alors au rez-de-chaussée des espaces conviviaux comme un restaurant, une cuisine et deux salles de conférence quand les deux niveaux supérieurs sont dédiés aux bureaux, aux salles de réunions et aux cafétérias d’étage. Les façades rigoureuses misent sur une géométrie ouverte et alternent ossatures et menuiseries intégrées bois, bardeaux et brises soleil de mélèze non traitées et baies vitrées. Mais là où le bois est souvent cantonné à l’extérieur, l’Atelier Du Pont prend le parti de réaliser un bâtiment où le bois est omniprésent et s’exprime sous ses diverses formes à l’extérieur comme à l’intérieur. En effet, la conception mise sur la chaleur du bois pour créer un environnement agréable. La pièce maîtresse ? L’escalier sculptural où seuls des gardes corps métalliques discret et des suspensions lumineuses réveillent l’ensemble. En mobilier, au sol ou en revêtement, le bois est ici décliné sous toutes ses formes pour un résultat confortable. Un projet complet à l’identité marquée. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Du Pont Photographies : Takuji Shimmura et Karel Balas Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 90 jours

En Auvergne-Rhône-Alpes, la filière bois manque de bras

Le salon Eurobois, qui ouvre ses portes du 4 au 7 février 2020 à Lyon Eurexpo, a placé son édition 2020 sous le signe de l’industrie 4.0 et de l’emploi et de la formation. Au cœur du salon, le « campus Eurobois » entend faciliter les échanges entre les acteurs de la filière et les personnes en recherche d’emploi ou en quête de formation.
Il y a 5 ans et 90 jours

L'effondrement impressionnant d'un complexe sportif en Russie

VIDÉO. A Saint-Pétersbourg (Russie), un ouvrier de 29 ans a trouvé la mort lors des travaux de démontage d'un grand complexe sportif. Alors que l'homme sciait un bout de béton sur le toit, l'ensemble de la structure s'est effondré.
Il y a 5 ans et 90 jours

Les Assises juridiques du bâtiment et des travaux publics

31 mars 2020 Fédération Nationale des Travaux Publics – 3 rue de Berri, Paris LEXPOSIA organise sa 3e édition des Assises juridiques du bâtiment et des travaux publics, avec Maître Frédéric Coppinger, avocat chez Coblence, pour directeur scientifique. Inscriptions en ligne PROGRAMME 8h30 Accueil des participants 9h00 Mot de bienvenue et ouverture des travaux par Frédéric COPPINGER 9h15 Table ronde : Les contrats en construction CCMI, VEFA, contrat de maître d’œuvre, d’entreprise, de vente immobilière,  de promotion immobilière, d’immeuble à construire, d’architecte… 10h00 Echanges avec la salle 10h10 Table ronde : L’émergence de différentes branches du droit dans les contrats Par l’apparition de nouveaux acteurs dans les opérations de construction (BIM manager, AMO BIM…), de nouvelles clauses voient le jour dans les contrats de construction, notamment celles relatives aux modalités de participation de chacun ou aux droits de propriété. Droit d’auteur, droit des logiciels, droit des bases de données, droits de propriété intellectuelle (brevets, marques). 11h00 Pause-café 11h20 Table ronde : La protection renforcée du maître d’ouvrage/consommateur Contrats protecteurs, garanties, responsabilité 12h00 Echanges avec la salle 12h10 Grand Témoin 12h30 Déjeuner buffet 14h00 Intervention : Le devoir de conseil du professionnel envers le maître d’ouvrage Etendue du devoir de conseil du professionnel et sanctions 14h20 Table ronde : Contrat de sous-traitance et responsabilité du sous-traitant Obligation de résultat ? exonération de responsabilité possible ? Nature de la responsabilité envers le maître d’ouvrage ? 15h00 Echanges avec la salle 15h10 Table ronde : La responsabilité de l’architecte Quelle est l’étendue de la responsabilité de l’architecte ? Contre qui peut-il se retourner ? Quel est son droit moral ? 15h50 Echanges avec la salle 16h00 Pause-café 16h20 Intervention : Le motif légitime dans l’expertise judiciaire Appréciation du motif légitime de l’article 145 du code de procédure civile et application. 16h40 Table ronde : Le permis d’expérimenter comme solution innovante Solution alternative à la réglementation en vigueur, quelles sont les modalités d’application ? Domaines couverts ? Quid d’une mauvaise mise en œuvre ? 17h25 Echanges avec la salle 17h30 Synthèse par Frédéric COPPINGER 17h35 Fin des travaux