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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

(55317 résultats)
Il y a 7 ans et 196 jours

Bordeaux Métropole: la DUP du BHNS suspendue et les travaux reportés

Le juge des référés du tribunal administratif de Bordeaux a suspendu, hier, la déclaration d'utilité publique du "bus à haut niveau de service" (BHNS) entre Saint-Aubin-de-Médoc et la gare Saint-Jean à Bordeaux, donnant ainsi raison à l'association "Bordeaux à c"ur". Les travaux prévus sur les réseaux sont suspendus en attendant le jugement sur le fond et Bordeaux Métropole se pourvoit en cassation.
Il y a 7 ans et 196 jours

En images : le 1er lançage du nouveau tablier du viaduc de Guerville sur l'A13

Le 25 octobre 2017, Sapn et son maître d'oeuvre Arcadis ont réalisé avec succès une phase très importante du chantier de rénovation du viaduc : le 1er lançage du nouveau tablier.
Il y a 7 ans et 196 jours

Le programme Pacte publie un calepin de chantier numérique, pour la mise en "uvre, "Fenêtres avec isolation thermique par l'extérieur"

Issu du guide Rage "Menuiseries extérieures avec une isolation thermique par l'extérieur - Mise en œuvre", il s'adresse principalement au personnel de chantier.
Il y a 7 ans et 196 jours

Li Yizhong Interior Design : Hotel Yi Chen

Conçu sur un site exceptionnel situé entre lac et montagne, à Dali (Chine), l'hôtel Yi Chen, agencé par le studio chinois Li Yizhong Interior Design, est un havre de paix à l'esthétique unique alliant éléments rustiques et contemporains. Nommé d'après un poème de Wang Wei datant de la dynastie des Tang (VIe siècle) décrivant une maison d'hôte verte, " couleur de saule nouveau ", le lieu d'une surface de plancher de 560 mètres carrés est le fruit de la réhabilitation d'une villa de quatre niveaux en un lieu d'hébergement de 8 pénates. Dans le rez-de-jardin anciennement purement technique, le studio Li Yizhong Interior Design installe des salles de réunion et une suite ouvertes sur un espace vert imaginé et creusé spécialement pour l'hôtel. Les trois étages supérieurs bénéficient quant à eux chacun d'une quadruple orientation solaire et de deux chambres dont quasiment toutes bénéficient d'un espace extérieur. L'ensemble est organisé autour d'un atrium central qui amène de la lumière naturelle jusqu'au rez-de-chaussée et ses zones de réception (accueil, cuisine et bar). Une mezzanine au dernier étage accueille un bar tamisé surplombant un sas arboré. Mêlant mobilier contemporain et matériaux de revêtement naturels " bois, pierre et ajouts de plantes ", la réalisation répond à son emplacement géographique, où l'on retrouve ces mêmes éléments. La quiétude règne en maître, dans une ambiance rendant ses lettres de noblesse à l'art de vie asiatique. Le décor minimaliste fait de bois, de crépis et de béton brut valorise les vues alentour à couper le souffle, sur le lac Erhai ou sur la montagne Canshan. Une réalisation élégante où chacun rêve de se prélasser afin de prolonger encore un peu l'été indien qui touche à sa fin. Pour en savoir plus, visitez le site de Li Yizhong Interior Design Photographies : Hai Zu
Il y a 7 ans et 197 jours

Baromètre de la commande publique : la reprise se confirme, sauf pour les travaux neufs

Les résultats du troisième trimestre 2017 du baromètre de la commande publique sont positifs. La reprise amorcée au premier semestre semble ainsi se confirmer. Les marchés de services et le " bloc local " sont à l'origine de l'embellie, à l'inverse des travaux neufs et des marchés des bailleurs sociaux toujours en chute.
Il y a 7 ans et 197 jours

Conjoncture : la filière des matériaux de construction marque le pas au cours du troisième trimestre

A l'exception du béton pour les travaux publics, le volume d'activité des producteurs de matériaux (granulats, béton prêt à l'emploi?) a connu un net ralentissement au cours des trois derniers mois, constate l'Unicem dans sa dernière lettre conjoncturelle.  
Il y a 7 ans et 197 jours

Réaménagement et extension de la gare Saint-Jean à Bordeaux

« C’est en 2009, après une première étape d’aménagement accompagnant l’arrivée de la ligne C du tramway en gare de Bordeaux,… Cet article Réaménagement et extension de la gare Saint-Jean à Bordeaux est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 197 jours

Un robot-peintre pour assister les artisans dans leurs tâches rébarbatives

FUTURISTE. A l'avenir, des robots se verront-ils confier des tâches pénibles et répétitives sur les chantiers ? Antoine Rennuit, un ingénieur des Mines de Douai docteur en robotique, a développé un assistant automatisé pour les peintres, à la prise en main simplifiée, capable de poncer puis traiter de grandes surfaces. Zoom.
Il y a 7 ans et 197 jours

Ingénierie du BTP : Alain Bentéjac prend la tête de la fédération internationale du secteur [exclusif]

L'ancien président de Syntec Ingénierie, qui co-dirige également d'Artelia, vient d'être nommé à la tête de la Fidic (Fédération internationale des ingénieurs-conseils). Une première pour un Français depuis? un siècle.
Il y a 7 ans et 197 jours

Lyon-Turin : le tunnelier Federica en action malgré les aléas

CHANTIER TITANESQUE. Malgré des arrêts provoqués en fin d'année 2016 par des accidents géologiques, le chantier de la liaison ferroviaire franco-italienne se poursuit dans la vallée de la Maurienne (Savoie). Près de 1.992 mètres ont été creusés par le tunnelier Federica le long du premier maillon de la galerie de reconnaissance. Reportage.
Il y a 7 ans et 197 jours

L'encadrement des loyers plébiscité par les Français, selon une consultation LREM

L'encadrement des loyers, ou encore l'instauration d'un système à points pour l'attribution des logements sociaux sont des propositions plébiscitées par les 20.000 participants à une consultation menée par La République en marche sur "la stratégie logement", publiée jeudi.
Il y a 7 ans et 198 jours

Récylum recycle l'éclairage des écoles parisiennes

Dans le cadre de son second contrat de performance énergétique pour 140 écoles, la Ville de Paris a confié le recyclage de 50 tonnes de matériels à l'éco-organisme Récylum. 9 000 luminaires et leurs 30 000 tubes fluorescents seront ainsi dépollués et recyclés à plus de 80% de leur poids. Ces travaux de rénovation énergétique répondent aux ambitions fixées par le Plan Climat Energie de Paris.
Il y a 7 ans et 200 jours

Dans les Landes, le chantier de la dernière section de l'A63 en phase opérationnelle

La troisième et dernière phase de l'opération d'élargissement de l'A63 à 2x3 voies entre Saint-Geours-de-Maremne et Biriatou (67 km) a officiellement été lancée vendredi 27 octobre, sur le chantier à Benesse-Maremme. Ces travaux, qui concernent la section entre Saint-Geours-de-Maremne et Ondres (27 km) et sont menés par Vinci Autoroutes (maître d'ouvrage) et Egis (maître d'"uvre), dans le cadre du plan de relance autoroutier, s'élèvent à 315 millions d'euros.
Il y a 7 ans et 200 jours

Mises en chantier et demandes de permis ont continué de progresser

Entre les mois de juillet et de septembre 2017, les mises en chantier de logements neufs ont augmenté de +11 %, tandis que les autorisations ont progressé dans les mêmes proportions. Détails et réaction.
Il y a 7 ans et 200 jours

La construction de logements reste dynamique à fin septembre 2017

En un an, d'octobre 2016 à septembre 2017, 496.900 logements (en données brutes cumulées sur douze mois) ont été autorisés à la construction et 414.000 logements ont été mis en chantier, soit une augmentation respective de 12,1% et 17,6% par rapport au cumul des douze mois précédents.
Il y a 7 ans et 200 jours

Événement : Shiro Kuramata à la Galerie Wauthier

La toute jeune galerie Wauthier " ouverte en juillet 2017 ", située en plein c"ur du Marais à Paris (3e) accueille une rétrospective dédiée au travail du designer japonais Shiro Kuramata. Rassemblant une vingtaine d'"uvres, l'exposition, à découvrir jusqu'au 30 décembre 2017, témoigne de l'univers poétique de l'ancien membre du groupe Memphis. Proche du designer italien Ettore Sottsass, fondateur du groupe Memphis en 1980 à Milan, Shiro Kuramata réalise des objets élégants, caractérisés par des influences diverses. Un style situé entre Bahaus occidental et épuration nippone qui a attiré notamment l'attention du MoMA à New York (USA) ou encore du Centre Pompidou de Paris (4e), qui ont intégré certaines de ses réalisations dans leur prestigieuse collection permanente. " Les créations de Kuramata restent en suspens dans un état de flottement ésotérique, mais elles sont en même temps remplies de vie et de sensualité. " Matthias Dietz et Michael Mönninger, critiques d'art et de design Au-delà de leur fonctionnalité, les éléments de mobilier " que la série de fauteuils How High The Moon ", imaginés par le designer bénéficient d'une esthétique aérienne et raffinée et le corpus présenté à la galerie Wauthier devient ainsi une ode à la poésie, une invitation à la rêverie. Entre "uvres mondialement connues " comme Sealing of Roses, bloc de plexiglas renfermant deux roses intactes réalisé en 1989 ", et pièces rares, la rétrospective permet de redécouvrir le travail minimaliste de Kuramata. Une manifestation qui ravira les amoureux de la discipline désireux de connaître le travail du créateur japonais d'un nouvel "il. Shiro Kuramata, jusqu'au 30 décembre à la galerie Wauthier, Paris (3e). Pour en savoir plus, visitez le site de Shiro Kuramata Photographies : DR Galerie Wauthier
Il y a 7 ans et 200 jours

Événement : Shiro Kuramata à la Galerie Wauthier

La toute jeune galerie Wauthier " ouverte en juillet 2017 ", en plein c"ur du Marais à Paris (3e) accueille une rétrospective dédiée au travail du designer japonais Shiro Kuramata. Rassemblant une vingtaine d'"uvres, l'exposition, à découvrir jusqu'au 30 décembre 2017, témoigne de l'univers poétique de l'ancien membre du groupe Memphis. Proche du designer italien Ettore Sottsass, fondateur du groupe Memphis en 1980 à Milan, Shiro Kuramata réalise des objets élégants, marqués par des influences diverses telles que le Bahaus ou le design nippon caractérisé par l'épure. Un style qui a notamment attiré l'attention du MoMA de New York (USA) ou encore du Centre Pompidou de Paris (4e), intégrant certaines des réalisations de Kuramata à leur prestigieuse collection permanente. " Les créations de Kuramata restent en suspens dans un état de flottement ésotérique, mais elles sont en même temps remplies de vie et de sensualité. " Matthias Dietz et Michael Mönninger, critiques d'art et de design Au-delà de leur fonctionnalité, les éléments de mobilier imaginés par le designer " telle que la série de fauteuils How High The Moon ", bénéficient d'une esthétique aérienne et raffinée. Le corpus présenté à la galerie Wauthier devient ainsi une ode à la poésie, une invitation à la rêverie. Entre pièces rares et "uvres mondialement connues " comme Sealing of Roses, bloc de plexiglas renfermant deux roses intactes, réalisé en 1989 ", la rétrospective permet de redécouvrir le travail minimaliste de Kuramata. Une manifestation qui ravira les amoureux de la discipline et de son disciple. Shiro Kuramata, jusqu'au 30 décembre à la galerie Wauthier, Paris (3e). Pour en savoir plus, visitez le site de Shiro Kuramata Photographies : DR Galerie Wauthier
Il y a 7 ans et 200 jours

Projet Carto Amiante : un premier bilan positif

Suite à la signature en 2014 d'une convention de partenariat, une campagne de mesurages amiante sur chantiers - Carto Aminate - a été lancée dans toute la France afin d'établir une cartographie de l'empoussièrement amiante des processus de travail les plus courants du BTP en sous-section 4.
Il y a 7 ans et 200 jours

BIG : Lego House

Qui, étant petit, n'a jamais rêvé de donner vie à ses constructions Lego® ? L'architecte Bjarke Ingels, l'a fait ! Grâce au jeune prodige de l'architecture, il est désormais possible de se balader à l'intérieur d'un assemblage de briques grandeur nature, la LegoHouse, dans la ville de naissance de l'illustre parallélépipède en plastique : Billund (Danemark). Billund... Si ce nom ne vous dit probablement rien, il est pourtant au centre de l'industrie danoise mais également de toutes nos caisses de jeu ! En effet, combien de générations n'ont-elles pas été bercées au doux toucher des éléments Lego® ? Combien d'architectes n'ont-ils pas vu naître ainsi leur vocation ? Combien de parents n'ont-ils pas haï leur progéniture après avoir marché sur l'une de ces pièces distraitement laissées par terre ?Pour le meilleur comme pour le pire, nous devons tout cela à Ole Kirk Christiansen, menuisier et fondateur de l'entreprise de jouets (qui ne s'appelait pas encore Lego) en 1934 qui, après avoir développé canards, yoyos et autres objets récréatifs en bois, imagine, en 1955, le système d'assemblage éponyme issu de la contraction de " LEg " et " GOdt ", qui signifie à la fois " joue bien " en danois et " j'assemble " en latin. Un tour de maître pour l'entrepreneur qui, grâce à cette invention aussi simpliste que révolutionnaire, a posé sa brique à l'édifice du marché du jouet mondial et plus largement à celui de notre enfance. Ouverte au public depuis deux semaines, la LegoHouse est décrite par Bjarke Ingels, enfant du pays, comme " une manifestation littérale des possibilités infinies de la brique de Lego ". " Littéral ", c'est peu dire... Les 12 000 mètres carrés du bâtiment sont en effet répartis de manière pyramidale, dans 21 blocs rectangulaires dont la volumétrie se fonde sur celle du module en plastique. Une déclinaison qui se retrouve en 3D, donc, mais aussi en 2D par le biais du bardage omniprésent en carreaux de céramique blanche clipsés sur montants métalliques, disposé à l'intérieur comme à l'extérieur. Si la construction réinterprète le jeu qui a fait le succès de la firme, sa conception n'a pourtant rien d'enfantine. En effet, pour maintenir entre elles les 21 masses géométriques, sans utiliser de colonnes en partie centrale, le maître d'"uvre a recours à la technique de la voûte, à grands renforts de 900 tonnes d'acier. Depuis le vaste hall de 2 000 mètres carrés où l'empilement des parallélépipèdes est clairement revendiqué, aucun élément porteur ne trouble donc la vue et les circulations des 250 000 visiteurs attendus chaque année par l'institution. " Cet assemblage est possible en Lego, mais moins en réalité ", livre, un brin amusée, Trine Nissen, chargée des relations presse de la marque " même si cette bévue structurelle a retardé le chantier d'un an. Implanté à Billund, que l'on pourrait qualifier de Ville Lego® " où l'organisation a même installé un aéroport et un parc d'attraction ", l'équipement ludique se devait d'être en partie ouvert à tous, mais aussi à leurs bourses... avec trois restaurants et une boutique. Dès lors, parmi les douze toit-terrasses aménagés, huit sont publiques et accessibles sans ticket d'entrée " dont deux en gradins ", grâce à des circulations qui s'enchaînent en spirales. Ces belvédères sont accessibles depuis le parvis paysagé qui entoure le bâtiment ou par le biais du vaste hall du rez-de-chaussée où un ascenseur mène au sommet du temple Lego® : la plateforme coiffant la Masterpiece gallery, point culminant, clé de voûte structurelle et lieu de départ d'une expérience immersive dans le monde de la petite brique. Accéder à cette salle constitue en effet un chemin initiatique, qui commence au rez-de-chaussée, au centre du forum (après s'être délesté de 199 couronnes, soit un peu moins de 27 euros), avec un escalier monumental suspendu, s'enroulant autour d'un arbre en Lego qui a nécessité de 6,3 millions de pièces, 24 350 heures de travail et 3 ans de montage par des petites mains. Une fois arrivés en haut, dans cet espace dont les oculi vitrés s'inspirent des huit excroissances rondes du fameux pavé, les visiteurs découvrent les créations les plus déjantées des fans de Lego®, surnommés AFOLs " comprendre Adult Fan Of Lego®. Il dessert ensuite de manière hélicoïdale quatre aires situées en contrebas, surnommées " zones d'expériences ", dont la couleur fait référence aux teintes historiques du jouet et correspond à une qualité humaine à stimuler : rouge pour la créativité, bleu pour les compétences cognitives, vert pour le développement des liens sociaux, et le jaune pour l'émotion. Dans ces surfaces ouvertes et éclairées par des puits de lumière zénithaux, petits et grands peuvent entre autres créer leurs propres cités, inventer des personnages, développer un film en stop-motion, confronter leurs bolides, dans un décor ponctué d'éléments de mobilier en Corian®, résine composite résistant au temps mais surtout aux enfants ! " Toutes les activités sont liées à notre philosophie selon laquelle le jeu créatif favorise l'innovation. La LegoHouse nous permettra d'offrir aux adultes et aux jeunes invités la possibilité de stimuler la créativité et l'apprentissage. " Jesper Vilstrup, directeur général de la LegoHouse Et pour les plus curieux, un espace d'exposition disposé au sous-sol retrace l'histoire de la société et de ses différentes inventions. Finalement, l'illustre système d'assemblage ne mériterait-il pas lui aussi sa place au Panthéon du design, aux côtés des créations de Kaare Klinte, Hans Wegner, Poul Henningsen, ou encore Arne Jacobsen ? Un édifice qui ravira toutes les générations par la qualité de ses espaces et la multitude d'activités qu'elle propose, mais dont la littéralité de composition n'a d'égale que l'omniprésence du marketing. Quand celui-ci dépasse le plaisir de jouer, ce sont une partie de nos souvenirs d'enfance qui s'envolent avec. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG et de la LegoHouse Photographies : Iwan Baan (hors photo aérienne ©Kim Christensen)
Il y a 7 ans et 200 jours

BIG : Lego House

Qui, étant petit, n'a jamais rêvé de donner vie à ses constructions Lego® ? L'architecte Bjarke Ingels, l'a fait ! Grâce au jeune prodige de l'architecture, il est désormais possible de se balader à l'intérieur d'un assemblage de briques grandeur nature, la LegoHouse, dans la ville de naissance de l'illustre parallélépipède en plastique : Billund (Danemark). Billund... Si ce nom ne vous dit probablement rien, il est pourtant au centre de l'industrie danoise mais également de toutes nos caisses de jeu ! En effet, combien de générations n'ont-elles pas été bercées au doux toucher des éléments Lego® ? Combien d'architectes n'ont-ils pas vu naître ainsi leur vocation ? Combien de parents n'ont-ils pas haï leur progéniture après avoir marché sur l'une de ces pièces distraitement laissées par terre ?Pour le meilleur comme pour le pire, nous devons tout cela à Ole Kirk Christiansen, menuisier et fondateur de l'entreprise de jouets (qui ne s'appelait pas encore Lego) en 1934 qui, après avoir développé canards, yoyos et autres objets récréatifs en bois, imagine, en 1955, le système d'assemblage éponyme issu de la contraction de " LEg " et " GOdt ", qui signifie à la fois " joue bien " en danois et " j'assemble " en latin. Un tour de maître pour l'entrepreneur qui, grâce à cette invention aussi simpliste que révolutionnaire, a posé sa brique à l'édifice du marché du jouet mondial et plus largement à celui de notre enfance. Ouverte au public depuis deux semaines, la LegoHouse est décrite par Bjarke Ingels, enfant du pays, comme " une manifestation littérale des possibilités infinies de la brique de Lego ". " Littéral ", c'est peu dire... Les 12 000 mètres carrés du bâtiment sont en effet répartis de manière pyramidale, dans 21 blocs rectangulaires dont la volumétrie se fonde sur celle du module en plastique. Une déclinaison qui se retrouve en 3D, donc, mais aussi en 2D par le biais du bardage omniprésent en carreaux de céramique blanche clipsés sur montants métalliques, disposé à l'intérieur comme à l'extérieur. Si la construction réinterprète le jeu qui a fait le succès de la firme, sa conception n'a pourtant rien d'enfantine. En effet, pour maintenir entre elles les 21 masses géométriques, sans utiliser de colonnes en partie centrale, le maître d'"uvre a recours à la technique de la voûte, à grands renforts de 900 tonnes d'acier. Depuis le vaste hall de 2 000 mètres carrés où l'empilement des parallélépipèdes est clairement revendiqué, aucun élément porteur ne trouble donc la vue et les circulations des 250 000 visiteurs attendus chaque année par l'institution. " Cet assemblage est possible en Lego, mais moins en réalité ", livre, un brin amusée, Trine Nissen, chargée des relations presse de la marque " même si cette bévue structurelle a retardé le chantier d'un an. Implanté à Billund, que l'on pourrait qualifier de Ville Lego® " où l'organisation a même installé un aéroport et un parc d'attraction ", l'équipement ludique se devait d'être en partie ouvert à tous, mais aussi à leurs bourses... avec trois restaurants et une boutique. Dès lors, parmi les douze toit-terrasses aménagés, huit sont publiques et accessibles sans ticket d'entrée " dont deux en gradins ", grâce à des circulations qui s'enchaînent en spirales. Ces belvédères sont accessibles depuis le parvis paysagé qui entoure le bâtiment ou par le biais du vaste hall du rez-de-chaussée où un ascenseur mène au sommet du temple Lego® : la plateforme coiffant la Masterpiece gallery, point culminant, clé de voûte structurelle et lieu de départ d'une expérience immersive dans le monde de la petite brique. Accéder à cette salle constitue en effet un chemin initiatique, qui commence au rez-de-chaussée, au centre du forum (après s'être délesté de 199 couronnes, soit un peu moins de 27 euros), avec un escalier monumental suspendu, s'enroulant autour d'un arbre en Lego qui a nécessité de 6,3 millions de pièces, 24 350 heures de travail et 3 ans de montage par des petites mains. Une fois arrivés en haut, dans cet espace dont les oculi vitrés s'inspirent des huit excroissances rondes du fameux pavé, les visiteurs découvrent les créations les plus déjantées des fans de Lego®, surnommés AFOLs " comprendre Adult Fan Of Lego®. Il dessert ensuite de manière hélicoïdale quatre aires situées en contrebas, surnommées " zones d'expériences ", dont la couleur fait référence aux teintes historiques du jouet et correspond à une qualité humaine à stimuler : rouge pour la créativité, bleu pour les compétences cognitives, vert pour le développement des liens sociaux, et le jaune pour l'émotion. Dans ces surfaces ouvertes et éclairées par des puits de lumière zénithaux, petits et grands peuvent entre autres créer leurs propres cités, inventer des personnages, développer un film en stop-motion, confronter leurs bolides, dans un décor ponctué d'éléments de mobilier en Corian®, résine composite résistant au temps mais surtout aux enfants ! " Toutes les activités sont liées à notre philosophie selon laquelle le jeu créatif favorise l'innovation. La LegoHouse nous permettra d'offrir aux adultes et aux jeunes invités la possibilité de stimuler la créativité et l'apprentissage. " Jesper Vilstrup, directeur général de la LegoHouse Et pour les plus curieux, un espace d'exposition disposé au sous-sol retrace l'histoire de la société et de ses différentes inventions. Finalement, l'illustre système d'assemblage ne mériterait-il pas lui aussi sa place au Panthéon du design, aux côtés des créations de Kaare Klinte, Hans Wegner, Poul Henningsen, ou encore Arne Jacobsen ? Un édifice qui ravira toutes les générations par la qualité de ses espaces et la multitude d'activités qu'elle propose, mais dont la littéralité de composition n'a d'égale que l'omniprésence du marketing. Quand celui-ci dépasse le plaisir de jouer, ce sont une partie de nos souvenirs d'enfance qui s'envolent avec. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG et de la LegoHouse Photographies : Iwan Baan (hors photo aérienne ©Kim Christensen)
Il y a 7 ans et 200 jours

BIG : Lego House

Qui, étant petit, n'a jamais rêvé de donner vie à ses constructions Lego® ? L'architecte Bjarke Ingels, l'a fait ! Grâce au jeune prodige de l'architecture, il est désormais possible de se balader à l'intérieur d'un assemblage de briques grandeur nature, la LegoHouse, dans la ville de naissance de l'illustre parallélépipède en plastique : Billund (Danemark). Billund... Si ce nom ne vous dit probablement rien, il est pourtant au centre de l'industrie danoise mais également de toutes nos caisses de jeu ! En effet, combien de générations n'ont-elles pas été bercées au doux toucher des éléments Lego® ? Combien d'architectes n'ont-ils pas vu naître ainsi leur vocation ? Combien de parents n'ont-ils pas haï leur progéniture après avoir marché sur l'une de ces pièces distraitement laissées par terre ?Pour le meilleur comme pour le pire, nous devons tout cela à Ole Kirk Christiansen, menuisier et fondateur de l'entreprise de jouets (qui ne s'appelait pas encore Lego) en 1934 qui, après avoir développé canards, yoyos et autres objets récréatifs en bois, imagine, en 1955, le système d'assemblage éponyme issu de la contraction de " LEg " et " GOdt ", qui signifie à la fois " joue bien " en danois et " j'assemble " en latin. Un tour de maître pour l'entrepreneur qui, grâce à cette invention aussi simpliste que révolutionnaire, a posé sa brique à l'édifice du marché du jouet mondial et plus largement à celui de notre enfance. Ouverte au public depuis deux semaines, la LegoHouse est décrite par Bjarke Ingels, enfant du pays, comme " une manifestation littérale des possibilités infinies de la brique de Lego ". " Littéral ", c'est peu dire... Les 12 000 mètres carrés du bâtiment sont en effet répartis de manière pyramidale, dans 21 blocs rectangulaires dont la volumétrie se fonde sur celle du module en plastique. Une déclinaison qui se retrouve en 3D, donc, mais aussi en 2D par le biais du bardage omniprésent en carreaux de céramique blanche clipsés sur montants métalliques, disposé à l'intérieur comme à l'extérieur. Si la construction réinterprète le jeu qui a fait le succès de la firme, sa conception n'a pourtant rien d'enfantine. En effet, pour maintenir entre elles les 21 masses géométriques, sans utiliser de colonnes en partie centrale, le maître d'"uvre a recours à la technique de la voûte, à grands renforts de 900 tonnes d'acier. Depuis le vaste hall de 2 000 mètres carrés où l'empilement des parallélépipèdes est clairement revendiqué, aucun élément porteur ne trouble donc la vue et les circulations des 250 000 visiteurs attendus chaque année par l'institution. " Cet assemblage est possible en Lego, mais moins en réalité ", livre, un brin amusée, Trine Nissen, chargée des relations presse de la marque " même si cette bévue structurelle a retardé le chantier d'un an. Implanté à Billund, que l'on pourrait qualifier de Ville Lego® " où l'organisation a même installé un aéroport et un parc d'attraction ", l'équipement ludique se devait d'être en partie ouvert à tous, mais aussi à leurs bourses... avec trois restaurants et une boutique. Dès lors, parmi les douze toit-terrasses aménagés, huit sont publiques et accessibles sans ticket d'entrée " dont deux en gradins ", grâce à des circulations qui s'enchaînent en spirales. Ces belvédères sont accessibles depuis le parvis paysagé qui entoure le bâtiment ou par le biais du vaste hall du rez-de-chaussée où un ascenseur mène au sommet du temple Lego® : la plateforme coiffant la Masterpiece gallery, point culminant, clé de voûte structurelle et lieu de départ d'une expérience immersive dans le monde de la petite brique. Accéder à cette salle constitue en effet un chemin initiatique, qui commence au rez-de-chaussée, au centre du forum (après s'être délesté de 199 couronnes, soit un peu moins de 27 euros), avec un escalier monumental suspendu, s'enroulant autour d'un arbre en Lego qui a nécessité de 6,3 millions de pièces, 24 350 heures de travail et 3 ans de montage par des petites mains. Une fois arrivés en haut, dans cet espace dont les oculi vitrés s'inspirent des huit excroissances rondes du fameux pavé, les visiteurs découvrent les créations les plus déjantées des fans de Lego®, surnommés AFOLs " comprendre Adult Fan Of Lego®. Il dessert ensuite de manière hélicoïdale quatre aires situées en contrebas, surnommées " zones d'expériences ", dont la couleur fait référence aux teintes historiques du jouet et correspond à une qualité humaine à stimuler : rouge pour la créativité, bleu pour les compétences cognitives, vert pour le développement des liens sociaux, et le jaune pour l'émotion. Dans ces surfaces ouvertes et éclairées par des puits de lumière zénithaux, petits et grands peuvent entre autres créer leurs propres cités, inventer des personnages, développer un film en stop-motion, confronter leurs bolides, dans un décor ponctué d'éléments de mobilier en Corian®, résine composite résistant au temps mais surtout aux enfants ! " Toutes les activités sont liées à notre philosophie selon laquelle le jeu créatif favorise l'innovation. La LegoHouse nous permettra d'offrir aux adultes et aux jeunes invités la possibilité de stimuler la créativité et l'apprentissage. " Jesper Vilstrup, directeur général de la LegoHouse Et pour les plus curieux, un espace d'exposition disposé au sous-sol retrace l'histoire de la société et de ses différentes inventions. Finalement, l'illustre système d'assemblage ne mériterait-il pas lui aussi sa place au Panthéon du design, aux côtés des créations de Kaare Klinte, Hans Wegner, Poul Henningsen, ou encore Arne Jacobsen ? Un édifice qui ravira toutes les générations par la qualité de ses espaces et la multitude d'activités qu'elle propose, mais dont la littéralité de composition n'a d'égale que l'omniprésence du marketing. Quand celui-ci dépasse le plaisir de jouer, ce sont une partie de nos souvenirs d'enfance qui s'envolent avec. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG et de la LegoHouse Photographies : Iwan Baan (hors photo aérienne ©Kim Christensen)
Il y a 7 ans et 200 jours

CCAG marchés privés de travaux de bâtiments : la nouvelle norme décryptée

La nouvelle version de la norme NF P 03-001, qui constitue le cahier des clauses administratives générales (CCAG) applicable aux marchés privés de travaux de bâtiment, est parue le 20 octobre 2017. Frédérique Stephan, secrétaire de la Commission de normalisation du Bureau de normalisation des techniques et équipements de la construction du bâtiment (BNTEC) s'est plongée dans le texte et en décrypte pour " le Moniteur " les principales nouveautés.
Il y a 7 ans et 200 jours

Nouvelle fenêtre Vision XXL by VEKA

Plus grande, plus fine pour plus de lumière et d'apports solaires, mais toujours aussi performante... c'est la nouvelle fenêtre Vision XXL by VEKA lancée le 17 octobre dernier. Combinant design et technologie, cette fenêtre PVC nouvelle définition correspond au style d'architecture privilégiant les larges baies, tout en maîtrisant les contraintes techniques liées aux grandes dimensions.
Il y a 7 ans et 200 jours

Studio KO : Musée Yves Saint Laurent

À Marrakech (Maroc), le Musée Yves Saint Laurent, imaginé par les jeunes Français du Studio KO, retrace derrière une façade en brique, la carrière du célèbre couturier tombé amoureux de la ville. À deux pas du jardin Majorelle restauré par le créateur et son compagnon Pierre Bergé dans les années 1980, le lieu est le premier édifice du continent africain dédié à la mode. Si l'on pouvait s'attendre à ce qu'un grand nom de l'architecture soit choisi pour l'élaboration du musée, la Fondation Pierre Bergé, à l'origine du projet, a préféré confier cette tâche au Studio KO, jeune agence française composée de Karl Fournier et d'Olivier Marty. Implanté à Marrakech depuis 2001, le binôme discret s'était jusqu'alors illustré dans la conception de résidences privées, notamment pour le compte de Pierre Bergé himself, ou encore de Patrick Guerrand-Hermès, arrière-petit-fils du fondateur de la maison éponyme. Des concepteurs qui réalisent ici leur premier établissement recevant du public. L'édifice de 4 000 mètres carrés est à l'image des créations de Saint Laurent pour lesquelles les maître d'"uvre ont été " frappés par des courbes qui côtoient des lignes droites, par la succession de formes délicates et audacieuses ". Un dessin que l'on retrouve dans le bâtiment aux airs de forteresse, avec un enchaînement de volumes à la fois voluptueux et géométriques. La façade en terrazzo en zone basse et brique en partie haute fait quant à elle référence à la chaîne et à la trame des tissages, ainsi qu'aux moucharabiehs typiques de la région. Ses tons ocre et or évoquent également les modèles qui ont fait la renommée du créateur, notamment la Saharienne, veste camel emblématique imaginée par YSL dans les années 1960. " Quand Yves Saint Laurent a découvert Marrakech en 1966, il a été tellement ému par la ville qu'il a immédiatement décidé d'acheter une maison ici, et est revenu régulièrement. Il me semble parfaitement naturel, 50 ans plus tard, de construire un musée dédié à son "uvre, si inspirée par ce pays. " Pierre Bergé, directeur de la Fondation Pierre Bergé et ancien compagnon d'Yves Saint Laurent L'intérieur aux tons froids et aux textures lisses diffère radicalement de l'enveloppe, à l'image d'une doublure de vêtement. Réalisé à partir d'un plan en U organisé autour d'un patio circulaire, la ballade dans le musée débute par un hall d'entrée orné de vitraux monochromes, baignant l'accueil aux murs blancs d'une lumière tout en nuances de bleu. Au nord, la zone d'accueil mène à une galerie d'exposition permanente, intitulée " salle YSL " puis à la librairie et à un second espace d'exhibition, dédiée aux shows temporaires. La zone sud abrite quant à elle les espaces de recherches " l'auditorium et la bibliothèque ", ainsi qu'un café ouvert sur une terrasse. Conçue par le scénographe français Christophe Martin, la salle YSL présente plus de 50 pièces de haute-couture dans un décor sombre de 400 mètres carrés illuminé par une installation audiovisuelle rassemblant interviews, photographies et extraits de films contextualisant la création des pièces sélectionnées. La seconde galerie de 120 mètres carrés présente par le biais de vitrines et tableaux des expositions aux thèmes plus larges : actuellement une collection de tableaux orientalistes qui appartenait à Jacques Majorelle. Parée de son bleu emblématique , cette zone recevra de multiples expositions axées sur divers thèmes, comme la mode, l'art, l'anthropologie ou la botanique. Tout aussi impressionnant, le grand auditorium de 130 places bardé de fines baguettes de chêne verticales, voué à devenir le nouveau centre culturel de la municipalité. Ici prendront place des concerts, des projections, ou encore des conférences traitant aussi bien des costumes que de la culture berbère. Une réalisation raffinée, à l'image des créations d'Yves Saint Laurent, et qui honore l'amour porté par le créateur à la culture maghrébine. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio KO Photographies : Nicolas Mathéus
Il y a 7 ans et 200 jours

Studio KO : Musée Yves Saint Laurent

À Marrakech (Maroc), le Musée Yves Saint Laurent, imaginé par les jeunes Français du Studio KO, retrace derrière une façade en brique, la carrière du célèbre couturier tombé amoureux de la ville. À deux pas du jardin Majorelle restauré par le créateur et son compagnon Pierre Bergé dans les années 1980, il est le premier édifice du continent africain dédié à la mode. Si l'on pouvait s'attendre à ce qu'un grand nom de l'architecture soit choisi pour l'élaboration du musée, la Fondation Pierre Bergé, à l'origine du projet, a préféré confier cette tâche au Studio KO, jeune agence française composée de Karl Fournier et d'Olivier Marty. Implanté à Marrakech depuis 2001, le binôme discret s'était jusqu'alors illustré par la conception de résidences privées, notamment pour le compte de Pierre Bergé himself, ou encore de Patrick Guerrand-Hermès, arrière-petit-fils du fondateur de la maison éponyme. Des concepteurs qui réalisent ici leur premier établissement recevant du public. L'édifice de 4 000 mètres carrés est à l'image des créations de Saint Laurent pour lesquelles les maîtres d'"uvre ont été " frappés par des courbes qui côtoient des lignes droites, par la succession de formes délicates et audacieuses ". Un dessin que l'on retrouve dans le bâtiment aux airs de forteresse, avec un enchaînement de volumes à la fois voluptueux et géométriques. La façade, en terrazzo en zone basse et brique en partie haute, fait quant à elle référence à la chaîne et à la trame des tissages, ainsi qu'aux moucharabiehs typiques de la région. Ses tons ocre et or évoquent également les modèles qui ont fait la renommée du créateur, notamment la Saharienne, veste camel emblématique imaginée par YSL dans les années 1960. " Quand Yves Saint Laurent a découvert Marrakech en 1966, il a été tellement ému par la ville qu'il a immédiatement décidé d'acheter une maison ici, et est revenu régulièrement. Il me semble parfaitement naturel, 50 ans plus tard, de construire un musée dédié à son "uvre, si inspirée par ce pays. " Pierre Bergé, directeur de la Fondation Pierre Bergé et ancien compagnon d'Yves Saint Laurent L'intérieur aux tons froids et aux textures lisses diffère radicalement de l'enveloppe, à l'image d'une doublure de vêtement. Réalisé à partir d'un plan en U organisé autour d'un patio circulaire, la ballade dans le musée débute par un hall d'entrée orné de vitraux monochromes, baignant l'accueil aux murs blancs d'une lumière tout en nuances de bleu. Au nord, la zone d'accueil mène à une galerie d'exposition permanente, intitulée " salle YSL " puis à la librairie et à un second espace d'exhibition, dédiée aux shows temporaires. La zone sud abrite quant à elle les espaces de recherches " l'auditorium et la bibliothèque ", ainsi qu'un café ouvert sur une terrasse. Conçue par le scénographe français Christophe Martin, la salle YSL présente plus de 50 pièces de haute-couture dans un décor sombre de 400 mètres carrés illuminé par une installation audiovisuelle rassemblant interviews, photographies et extraits de films contextualisant la création des pièces sélectionnées. La seconde galerie de 120 mètres carrés présente des expositions aux thèmes plus larges : actuellement une collection de tableaux orientalistes qui appartenait à Jacques Majorelle. Parée de son bleu emblématique , cette zone recevra de multiples expositions axées sur divers thèmes, comme la mode, l'art, l'anthropologie ou la botanique. Tout aussi impressionnant, le grand auditorium de 130 places bardé de fines baguettes de chêne verticales, voué à devenir le nouveau centre culturel de la municipalité. Ici prendront place des concerts, des projections ou encore des conférences traitant aussi bien des costumes que de la culture berbère. Une réalisation raffinée, à l'image des créations d'Yves Saint Laurent, et qui honore l'amour porté par le créateur à la culture maghrébine. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio KO Photographies : Nicolas Mathéus
Il y a 7 ans et 200 jours

Hausse des mises en chantier de logement neuf en hausse de 11,1% de juillet à septembre

Les mises en chantier de logements neufs ont progressé de 11,1% de juillet à septembre en France,et les permis de construire ont augmenté de 9,7% à la même période.
Il y a 7 ans et 201 jours

Les mises en chantier de logements neufs en hausse de 11,1% de juillet à septembre

Sur ces trois mois, les mises en chantier se sont élevées à 89.100 unités, tandis que le nombre de permis de construire délivrés dans le même temps a été de 135.900, a annoncé le ministère de la Cohésion des territoires vendredi 27 octobre.
Il y a 7 ans et 201 jours

Lina Ghotmeh : Restaurant du Palais de Tokyo

Le restaurant du Palais de Tokyo à Paris (16e) a fait peau neuve ! Fruit du travail de l'architecte franco-libanaise Lina Ghotmeh, l'établissement accueille les affamés férus d'art dans un cadre alliant raffinement et matériaux bruts. Un régal pour les yeux comme les papilles. Réparti sur 553 mètres carrés, le nouvel espace de restauration du Palais de Tokyo est organisé en trois salles disposées en enfilade, de la plus ouverte à la plus intimiste, dans l'esprit industriel de la réhabilitation du centre d'art réalisée par Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal en 2014. Une esthétique brute qui fait également écho à Beyrouth (Liban), ville natale de Lina Ghotmeh, dont les bâtiments portent encore les stigmates de la guerre civile qui a touché le pays de 1975 à 1990. Dans la continuité des "uvres présentées par le musée, la première salle, où se déroule des performances culinaires est nommée Ready-Made, en référence aux "uvres de Marcel Duchamp. Elle donne accès à l'ensemble des galeries et invite les visiteurs à prendre place de façon informelle. Dans ce but, l'endroit est rythmé par différentes hauteurs d'assises : quand des gradins en béton agrémentés de tablettes en laiton appellent à la rencontre entre amis, des canapés et des fauteuils confortables accueillent les clients désireux de s'installer à leurs aises pour déjeuner, tandis que des tabourets placés le long d'un comptoir en marbre permettent aux visiteurs de ne pas perdre une miette des expositions, même pendant leur repas. Modulable, le lieu rappelle la scénographie évolutive du musée, où les parois ont spécialement été conçues pour être déplacées sans contrainte, de façon à s'adapter à tout type d'exhibition, procurant aux spectateurs un sentiment de renouveau à chaque saison. " Dans ce projet, j'ai souhaité souligner les grands volumes de la nef, dialoguer et remontrer autrement sa matière. On ne peut pas intervenir dans le Palais sans le penser comme une "uvre en soi, une "uvre totale. " Lina Ghotmeh, architecte Vient ensuite la pièce maîtresse, Les Grands Verres, aux 300 suspensions lumineuses épurées qui surplombent la surface. Organisé autour d'un long bar en terre compactée réalisé par la société française Quixotic Projets, ce deuxième acte gastronomique est plus intimiste que le précédent. Ici, pas question d'entendre la conversation de ses voisins ! Chaque groupe mange dans des box en bois avec banquettes, tables et chaises dessinées par l'architecte. Un espace unique dans lequel le mobilier aux matériaux naturels se combine avec brio à la brutalité du mythique centre culturel de Paris.La dernière pièce, nommée Glass House est quant à elle réservée aux privatisations. Prévue pour recevoir de grands groupes, cette zone transparente est organisée autour d'une large table tripode en marbre brun. Des courbes que l'on retrouve également dans l'éclairage composé d'un ensemble d'ampoules la lumière blanche formant un parcours sinueux ainsi que dans l'escalier hélicoïdal menant à une terrasse pouvant accueillir jusqu'à 200 personnes.Un programme qui s'inscrit dans la continuité de l'esprit du Palais de Tokyo, mêlant structure décharnée et élégance subtile, à l'image des "uvres contemporaines qui y sont montrées. Pour en savoir plus, visitez le site de Lina Photographies : Takuji Shimmura  
Il y a 7 ans et 201 jours

Lina Ghotmeh : Restaurant du Palais de Tokyo

Le restaurant du Palais de Tokyo à Paris (16e) a fait peau neuve ! Fruit du travail de l'architecte franco-libanaise Lina Ghotmeh, l'établissement accueille les affamés férus d'art dans un cadre alliant raffinement et matériaux bruts. Un régal pour les yeux comme les papilles. Réparti sur 553 mètres carrés, le nouvel espace de restauration du Palais de Tokyo est organisé en trois salles disposées en enfilade, de la plus ouverte à la plus intimiste, dans l'esprit industriel de la réhabilitation du centre d'art réalisée par Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal en 2014. Une esthétique brute qui fait également écho à Beyrouth (Liban), ville natale de Lina Ghotmeh, dont les bâtiments portent encore les stigmates de la guerre civile qui a touché le pays de 1975 à 1990. Dans la continuité des "uvres présentées par le musée, la première salle, où se déroule des performances culinaires est nommée Ready-Made, en référence aux "uvres de Marcel Duchamp. Elle donne accès à l'ensemble des galeries et invite les visiteurs à prendre place de façon informelle. Dans ce but, l'endroit est rythmé par différentes hauteurs d'assises : quand des gradins en béton agrémentés de tablettes en laiton appellent à la rencontre entre amis, des canapés et des fauteuils confortables accueillent les clients désireux de s'installer à leurs aises pour déjeuner, tandis que des tabourets placés le long d'un comptoir en marbre permettent aux visiteurs de ne pas perdre une miette des expositions, même pendant leur repas. Modulable, le lieu rappelle la scénographie évolutive du musée, où les parois ont spécialement été conçues pour être déplacées sans contrainte, de façon à s'adapter à tout type d'exhibition, procurant aux spectateurs un sentiment de renouveau à chaque saison. " Dans ce projet, j'ai souhaité souligner les grands volumes de la nef, dialoguer et remontrer autrement sa matière. On ne peut pas intervenir dans le Palais sans le penser comme une "uvre en soi, une "uvre totale. " Lina Ghotmeh, architecte Vient ensuite la pièce maîtresse, Les Grands Verres, aux 300 suspensions lumineuses épurées qui surplombent la surface. Organisé autour d'un long bar en terre compactée réalisé par la société française Quixotic Projets, ce deuxième acte gastronomique est plus intimiste que le précédent. Ici, pas question d'entendre la conversation de ses voisins ! Chaque groupe mange dans des box en bois avec banquettes, tables et chaises dessinées par l'architecte. Un espace unique dans lequel le mobilier aux matériaux naturels se combine avec brio à la brutalité du mythique centre culturel de Paris. La dernière pièce, nommée Glass House est quant à elle réservée aux privatisations. Prévue pour recevoir de grands groupes, cette zone transparente est organisée autour d'une large table tripode en marbre brun. Des courbes que l'on retrouve également dans l'éclairage composé d'un ensemble d'ampoules à la lumière blanche formant un parcours sinueux ainsi que dans l'escalier hélicoïdal menant à une terrasse pouvant accueillir jusqu'à 200 personnes. Un programme qui s'inscrit dans la continuité de l'esprit du Palais de Tokyo, mêlant structure décharnée et élégance, à l'image des "uvres contemporaines qui y sont montrées. Pour en savoir plus, visitez le site de Lina Ghotmeh  Photographies : Takuji Shimmura  
Il y a 7 ans et 201 jours

Liu Bolin : Ghost Stories

Si vous ne voyez pas tout de suite Liu Bolin en pénétrant dans l'enceinte de la Maison européenne de la photographie à Paris (4e), ne vous affolez pas. Loin de présenter de simples clichés de paysage, l'exposition Ghost Stories capture des performances de l'artiste chinois, roi du camouflage. Un " Où est Charlie ? " esthétique et politique. Le titre de l'exhibition de la MEP fait référence à la technique caractéristique des travaux du plasticien. Placé devant un décor jamais choisi au hasard, Liu Bolin se fait grossièrement peindre dessus, visage compris, jusqu'à disparaître, comme happé par le lieu devant lequel il posait. Une métaphore de la société de l'Empire du Milieu dont il dénonce la volonté d'homogénéisation du peuple jusqu'à le désindividualiser complètement. À travers une rétrospective rassemblant un corpus étalé sur 10 ans de carrière, Ghost Stories retrace l'engagement et les grands combats menés par l'artiste grâce à ses happening et ses photographies. Apparaissent ainsi quatre catégories de champs d'action : " Tradition et culture chinoise " ; " Politique et censure " ; " Société de consommation " et " Information, médias et liberté de la presse "." J'ai décidé de me fondre dans l'environnement. Certains diront que je disparais dans le paysage ; je dirais pour ma part que c'est l'environnement qui s'empare de moi. " Liu Bolin, plasticien* Une protestation silencieuse, qui n'en est pourtant pas moins puissante, dans laquelle l'architecture et le paysage urbain tiennent une place prépondérante. Sa série, Hiding in the City (commencée en 2007 et toujours incomplète à ce jour), illustre ce lien fort entre environnement et performance. Un de des premiers travaux de cette collection consiste par exemple à se tenir devant un graffiti gouvernemental clamant " Unifier la pensée pour promouvoir l'éducation ", symbole ultime de l'intervention du régime sur les murs de la villes et sur l'esprit du peuple. Il posera par la suite devant un portrait géant de Mao, la Cité Interdite ou encore une décharge publique au Bengladesh. Des sites lourds de sens qui absorbent non seulement Liu Bolin, mais également toute la société, sans même que celle-ci ne s'en rende compte.À ceux qui criaient " Liu es-tu ? ", même camouflé, l'artiste est plus présent que jamais. Ghost Stories, jusqu'au 29 octobre à la Maison européenne de la photographie de Paris (4e). Pour en savoir plus, visitez le site de Liu BolinPhotographies : Liu Bolin
Il y a 7 ans et 201 jours

Liu Bolin : Ghost Stories

Si vous ne voyez pas tout de suite Liu Bolin en pénétrant dans l'enceinte de la Maison européenne de la photographie à Paris (4e), ne vous affolez pas. Loin de présenter de simples clichés de paysage, l'exposition Ghost Stories capture des performances de l'artiste chinois, roi du camouflage. Un " Où est Charlie ? " esthétique et politique. Le titre de l'exhibition de la MEP fait référence à la technique caractéristique des travaux du plasticien. Placé devant un décor jamais choisi au hasard, Liu Bolin se fait grossièrement peindre dessus, visage compris, jusqu'à disparaître, comme happé par le lieu devant lequel il posait. Une métaphore de la société de l'Empire du Milieu dont il dénonce la volonté d'homogénéisation du peuple jusqu'à le désindividualiser complètement. À travers une rétrospective rassemblant un corpus étalé sur 10 ans de carrière, Ghost Stories retrace l'engagement et les grands combats menés par l'artiste grâce à ses happening et ses photographies. Apparaissent ainsi quatre catégories de champs d'action : " Tradition et culture chinoise " ; " Politique et censure " ; " Société de consommation " et " Information, médias et liberté de la presse ". " J'ai décidé de me fondre dans l'environnement. Certains diront que je disparais dans le paysage ; je dirais pour ma part que c'est l'environnement qui s'empare de moi. " Liu Bolin, plasticien Une protestation silencieuse, qui n'en est pourtant pas moins puissante, dans laquelle l'architecture et le paysage urbain tiennent une place prépondérante. Sa série, Hiding in the City (commencée en 2007 et toujours incomplète à ce jour), illustre ce lien fort entre environnement et performance. Un des premiers travaux de cette collection consiste par exemple à se tenir devant un graffiti gouvernemental clamant " Unifier la pensée pour promouvoir l'éducation ", symbole ultime de l'intervention du régime sur les murs de la villes et sur l'esprit du peuple. Il posera par la suite devant un portrait géant de Mao, la Cité Interdite ou encore une décharge publique au Bengladesh. Des sites lourds de sens qui absorbent non seulement Liu Bolin, mais également toute la société, sans même que celle-ci ne s'en rende compte. À ceux qui criaient " Liu es-tu ? ", même camouflé, l'artiste est plus présent que jamais. Ghost Stories, jusqu'au 29 octobre à la Maison européenne de la photographie de Paris (4e). Pour en savoir plus, visitez le site de Liu Bolin Photographies : Liu Bolin
Il y a 7 ans et 201 jours

La construction toujours dynamique, malgré un léger ralentissement au troisième trimestre

Encore un trimestre particulièrement dynamique pour le secteur de la construction ! D'après le ministère de la Cohésion des territoires, le nombre de logements autorisés a encore augmenté de 3,2% au cours des trois derniers mois (par rapport à l'exercice précédent). Même tendance du côté des locaux non résidentiels, où 11,4 millions de m2 ont été autorisés à la construction (+14,3%). Les mises en chantier, en revanche, continuent de baisser.
Il y a 7 ans et 201 jours

Des doublages cintrés et décorés de mosaïque sur la Seine Musicale

La charpente en bois tressé enveloppe la boîte en béton qui abrite l’auditorium. La face extérieure, largement visible, a été pourvue de doublages cintrés tapissés de mosaïque.
Il y a 7 ans et 201 jours

Détecteur de matériaux Bosch UniversalDetect

Accrocher un tableau ou visser une commode sur le mur... Les bricoleurs savent qu'il y a toujours des travaux de perçage à faire dans la maison. C'est pourquoi Bosch a développé le détecteur de matériaux UniversalDetect pour assurer une plus grande sécurité lors du perçage.
Il y a 7 ans et 201 jours

Dalle de plafond en bois acoustique et modulaire

Une dalle de plafond en bois lamellé-collé signée Lignotrend, sous avis technique pour le traitement acoustique des chantiers français, 
Il y a 7 ans et 201 jours

Formation, apprentissage : une réforme pour la fin de l'été 2018

Le gouvernement a dévoilé, le 25 octobre, la feuille de route et les orientations de la réforme de la formation professionnelle et de l'apprentissage, deuxième chantier social du quinquennat. Il table sur l'adoption définitive, avant la fin de l'été 2018, du projet de loi " visant à la création de nouvelles libertés et nouvelles protections professionnelles ".
Il y a 7 ans et 201 jours

Le chantier de 197 logements sociaux est lancé dans le sud de Paris

La reconstruction de trois bâtiments vient d'être lancée par le bailleur social Elogie-Siemp et l'aménageur SEMAPA, rue Paul Bourget dans le 13ème arrondissement de Paris. Au total, 24 mois de travaux seront nécessaires pour construire 197 logements sociaux.
Il y a 7 ans et 201 jours

Pénurie de MDI : le SNPU parle de "retour progressif à la normale"

MATERIAUX. Le Syndicat national des polyuréthanes (SNPU) affirme que la pénurie de MDI est à présent terminée. Mais précise que les délais de livraison de panneaux sur chantier restent plus élevés que la moyenne. Un retour à la normale est envisagé pour 2018.
Il y a 7 ans et 202 jours

Bouygues Immobilier investit dans la donnée intelligente avec Spallian

La société de conseil et d'édition de logiciel Spallian vient de réaliser une levée de fonds de 2,8 millions d'euros à laquelle a notamment participé le fonds d'investissement de Bouygues Immobilier. Objectif pour le promoteur : mieux cibler ses programmes immobiliers, grâce aux données publiques délivrées par la start up.
Il y a 7 ans et 202 jours

La tuile terre cuite, un produit " inspirant et moderne "

La tuile Terre Cuite ne veut plus être " cantonnée " au stéréotype de la maison traditionnelle ! Dans une campagne nationale lancée ce mois d'octobre, la filière revendique les qualités esthétiques et l'originalité de ce produit " inspirant et moderne ", et s'adresse à tous ceux qui veulent faire construire leur maison. Le but, mettre en images " sa pleine légitimité dans l'architecture et l'espace contemporain ".
Il y a 7 ans et 202 jours

Comment une collectivité châlonnaise fixe à l'avance la rémunération forfaitaire de ses maîtres d'oeuvre ?

Tenir l'impératif budgétaire de maîtriser le coût global de l'opération, voire de réduire le coût des travaux par rapport à l'estimation initiale... C'est l'objectif que la Communauté d'agglomération de Châlons-en-Champagne a fixé aux équipes candidates dans deux récentes consultations de maîtrise d'oeuvre.    
Il y a 7 ans et 202 jours

Notre-Dame-des-Landes : la médiation "déjà un échec" selon des élus

Les travaux menés par les médiateurs missionnés par le Gouvernement, pour l'aider à trancher sur le dossier Notre-Dame-des-Landes, n'ont pas convaincu des élus du Grand Ouest. Certains parlent même d'un "échec".
Il y a 7 ans et 202 jours

Comment Tremco Illbruck veut gonfler et verdir sa mousse

L'industriel européen, spécialisé dans la fabrication de solutions d'étanchéité, envisage de doubler son chiffre d'affaires d'ici trois ans par une extension géographique en Asie et un fort investissement dans les technologies vertes.
Il y a 7 ans et 202 jours

Viaduc du littoral à La Réunion : Spie fondations installe les pieux de culées

A la suite de l'intervention en 2015 de Spie fondations sur le viaduc de la Grande Chaloupe de l'Ile de la Réunion, les équipes de Spie batignolles ont débuté courant 2016 les travaux préparatoires nécessaires à la construction du nouveau viaduc de 5 400 m.