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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88102 résultats)
Il y a 3 ans et 233 jours

Nouveau poêle étanche et canalisable Amadea 116 Qlima

L’Amadea 116 Qlima est un poêle à granulés de bois étanche et contrôlable par WiFi via l’application Tuya. Grâce à sa chambre de combustion parfaitement étanche, l’appareil fonctionne en prélevant l’oxygène à l’extérieur de l’habitat. Tout en réduisant la consommation de combustible, il offre un excellent confort thermique dans les maisons les plus modernes, sans aucun risque d’émissions de fumée dans la pièce. Ce poêle élégant, au design tout en rondeur, est doté de deux sorties d’air : l’une pour la pièce où il est installé, et l’autre canalisable pour chauffer un second espace. Le poêle à granulés de bois Amadea 116 Qlima garantit des rendements très élevés (plus de 94 %) à un coût nettement moindre qu’un appareil à combustible fossile. Ces qualités auxquelles s’ajoutent des niveaux d’émission très bas en font un système de chauffage écologique. Un thermomètre intégré détecte la température ambiante et adapte automatiquement le fonctionnement du poêle pour obtenir la température désirée. L’appareil se met alors en bas régime. Une minuterie à 2 programmes permet de régler 2 périodes de chauffage par 24 heures. Les paramètres sont identiques pour chaque jour de la semaine. Par exemple la plage horaire 1 peut se situer de 8 h à 10 h, et la plage horaire 2 de 16 h à 18 h. Pour chaque jour de la semaine, il est possible de choisir sa préférence : aucun créneau horaire, un ou deux créneaux, ou encore les deux. Doté de plusieurs systèmes de sécurité et d’alarmes, le poêle Amadea 116 Qlima peut détecter toute anomalie. Il s’arrête immédiatement de fonctionner à la moindre alerte ou en cas de pression trop importante.   Amadea 116 Qlima   Capacité de chauffe : min 3,52 kW – maxi 10,03 kW Efficacité thermique : 94,39 % Classe énergétique : A+ Volume de pièce : 285 m3 – 114 m2 Consommation en granulés : min 0,77 kg/h, max 2,39 kg/h Autonomie : de 8,5 à 26 h Dimensions : L 530 x P 530 x H 1080 mm Garantie : 2 ans Prix de vente : moins de 2 890 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce
Il y a 3 ans et 233 jours

Fougères : le quartier de l’Annexe se transforme

Vingt millions d’euros seront nécessaires pour requalifier le quartier de l’Annexe.
Il y a 3 ans et 233 jours

Oléofloor® : retrouver la chaleur du bois à l'intérieur

Depuis toujours et plus que jamais, le bois matériau gage de qualité et synonyme d’authenticité habille la maison partout du sol aux murs ! Qui dit matière vivante dit soins à prodiguer ! Comme la peau, le bois, même sans subir les intempéries, demande une attention particulière. En intérieur, les risques proviennent de l’abrasion, de l’usure avec les passages répétés, des taches et de la vie quotidienne d’une maison. Il faut donc un produit qui permette de nourrir et de protéger en surface. Communément, 2 types de solutions s’offrent aux bois de parquet ou de plan de travail : les cires et les vitrificateurs.Les premières permettent de mettre en avant le bel aspect chaleureux recherché du bois : elles nourrissent et protègent en surface mais encrassent le bois au fil du temps, le font monter en teinte et le rendent glissant.Les seconds apportent une solution très résistante aux taches et à l’eau mais plus sensible à l’abrasion, avec une maintenance plus lourde comme pour la cire avec un ponçage fastidieux.Fort de son expertise pour la protection des bois marine et extérieurs, Owatrol® a su développer une gamme technique spécifique dédiée aux parquets et bois d’intérieur. Les huiles de la famille OLÉOFLOOR®, résultent d’un savant mélange d’huiles naturelles et de résines ultra performantes pour apporter un fini magnifié et une protection optimisée.OLÉOFLOOR® : décryptage d’une pépite surprenante !3 maîtres mots : imprégnation + fini seconde peau + résistanceImprégnation : comme pour les bois extérieurs avec les saturateurs, l’excellent pouvoir d’imprégnation conféré aux huiles permet à l’OLÉOFLOOR® de pénétrer dans le bois pour le protéger à coeur et garantir une belle durabilité.Fini seconde peau : la composition fluide et pénétrante de l’OLÉOFLOOR® lui permet de faire corps avec le support sans laisser de film, de magnifier le fini du bois tout en conservant la teinte d’origine.Résistance : les résines d’OLÉOFLOOR® se combinent entre elles à la surface et génèrent une véritable barrière aux agressions extérieures aussi bien mécaniques que chimiques. Les parquets, plans de travail protégés à l’OLÉOFLOOR® résistent mieux aux passages répétés et aux produits chimiques variés (détergents, feutres…).OLÉOFLOOR® rime aussi avec :Maintenance allégée : grâce à leur pouvoir d’imprégnation, les huiles de l’OLÉOFLOOR® ne restent pas en surface et le bois ne s’encrasse pas tout en résistant aux taches. Lors de sa maintenance il n’est pas nécessaire de procéder à un ponçage systématique et il est même possible de faire de simples retouches locales.À noter : OLÉOFLOOR® bénéficie de l’effet vaccin des saturateurs Owatrol®, c’est-à-dire : un bois nourri à l’OLÉOFLOOR® s’en souvient et les quantités nécessaires à sa maintenance sont limitées.Déco : pour tous les goûts !OLÉOFLOOR® Classic qui avive le bois pour donner un aspect chaleureux avec un beau fini mat satiné.OLÉOFLOOR® Natural qui agit comme une seconde peau avec un fini mat. OLÉOFLOOR® Natural est totalement invisible avec la version Incolore, ou bien très moderne dans ses versions blanc Antique et gris Antique.Une gamme respectueuse de l’environnement : en tête de liste avec son taux de COV bien inférieur aux normes réglementaires et son classement A+ (cf nouvelle norme « émissions dans l’air intérieur).Pérenniser l’intemporel, garantir l’authenticité et la beauté du bois avec les techniques du nouveau millénaire : gamme OLÉOFLOOR® d’OWATROL® : le bois à l’état pur !Pour plus d'info et acheter en ligne, consultez la pageOLÉOFLOOR® natural ou OLÉOFLOOR® classique.
Il y a 3 ans et 233 jours

Les bureaux d’études demandent à être intégrés aux dispositifs France Renov'

Le lancement de ce nouveau dispositif, fruit de la fusion entre le réseau FAIRE et celui de l’Agence nationale de l’habitat (Anah), s’intègre aux initiatives portées par la loi Climat et Résilience visant à simplifier le parcours usager et à rendre les aides plus lisibles. La Fédération CINOV, représentative des TPE PME de la branche BETIC (ingénierie, conseil, numérique), salue ces nouvelles mesures en faveur de l’amélioration du parcours des bénéficiaires et d’un accès accru aux dispositifs d’aide à la rénovation énergétique. Elle rappelle que les professionnels de la filière BETIC ont toutes les qualifications et les compétences pour accompagner ces nouvelles mesures et les transitions en cours.Une série de mesures salvatrices pour l’accélération de la rénovation énergétique des bâtimentsAlors que la RE2020 devrait finalement entrer en vigueur au 1er janvier 2022 et encadrer beaucoup plus strictement la consommation énergétique des bâtiments neufs, il était urgent de considérer que cela ne permettait de résoudre qu’une partie du problème, et que des mesures devaient également être prises pour favoriser l’accès aux aides à la rénovation énergétique pour les bâtiments existants. Les initiatives portées par la loi Climat et Résilience sont en ce sens salvatrices car elles devraient permettre de simplifier considérablement le parcours des bénéficiaires et de clarifier l’accès aux dispositifs d’aide à la rénovation énergétique en instaurant notamment un guichet unique.La création du rôle d’« accompagnateur Rénov », pour lequel les organisations professionnelles ont été consultées cet été, est également une initiative positive pour améliorer l’accès à la rénovation et faciliter des prises en charge globales et sur-mesure pour les problématiques diverses auxquelles sont confrontés les particuliers dans leurs démarches. A condition toutefois que celle-ci s’appuie sur les professionnels les plus pertinents et les plus qualifiés pour accompagner ces démarches et ces transitions, au premier rang desquels les bureaux d’études et l’ensemble des professionnels de la branche BETIC.La branche BETIC aux avant-postes des transitions environnementales et énergétiquesEn tant qu’experts du conseil, de l’ingénierie et du numérique, les professionnels de la branche BETIC sont au coeur des transitions environnementales en cours et possèdent toutes les compétences et les qualifications pour accompagner efficacement et durablement l’ensemble des dispositifs d’aide à la rénovation énergétique, sur l’ensemble du territoire. Il est donc primordial qu’ils soient associés pleinement à la mise en oeuvre de ces nouvelles mesures et qu’ils puissent être facilement identifiés par les bénéficiaires sur les champs de compétences qui leur sont propres.« Nous nous félicitons des initiatives portées par la loi Climat et Résilience en faveur d’une facilitation de l’accès aux dispositifs d’aide à la rénovation énergétique. Il est cependant déterminant, pour le succès de la mise en oeuvre de ces nouvelles mesures, que celles-ci s’appuient sur l’ensemble des champs de compétences et des professionnels qualifiés qui accompagnent les transitions à l’échelle nationale. Les TPE PME de la branche BETIC ont toute leur place au sein de France Rénov’ et la Fédération CINOV appelle de ses voeux au dialogue avec les instances dirigeantes de ce nouveau réseau » déclare Frédéric Lafage, président de la Fédération CINOV.
Il y a 3 ans et 233 jours

"Tous les acteurs de la construction sont appelés à amplifier leur coopération", Xavier Fournet, KPMG

Alors que le cabinet d'audit et de conseils dévoile son enquête annuelle sur le secteur des infrastructures et de la construction, Xavier Fournet, associé et responsable de ces sujets, en décrypte les principaux enseignements.
Il y a 3 ans et 234 jours

Plus de 2.700 friches potentielles répertoriées en Ile-de-France

Afin d'améliorer la connaissance du gisement foncier, la Région a missionné l'Institut Paris Region, organisme d'études qui dépend d'elle, pour la création d'un Observatoire des friches franciliennes. Le repérage des terrains à l'abandon a débuté en janvier 2020.En 2021, l'Institut a répertorié 2.721 friches "potentielles", dont 776 à Paris et en petite couronne. Ce décompte, publié pour la première fois mercredi, exclut les sites pour l'heure à l'abandon mais faisant l'objet d'un plan de revitalisation identifié."Il n'y a pas de définition légale de ce qu'est une friche" et la cartographie établie par l'Institut Paris Region n'est "pas exhaustive" et "évolue", a précisé devant la presse Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président de la Région Île-de-France.Les friches identifiées par l'Institut totalisent 4.200 hectares, soit l'équivalent de près de la moitié de la capitale. Parmi elles, 40% sont des espaces verts à l'abandon tels des lisières de bois, et 20% ne comportent aucun bâtiment. L'hétérogénéité de ces friches concerne également leurs propriétaires: 1.990 sont des acteurs privés, 706 publics et 25 public/privé.La Région Ile-de-France "est en croissance permanente", avec "50.000 habitants de plus chaque année". Elle s'est fixé l'objectif de "zéro artificialisation nette" d'ici 2050. "Une gageure", relève M. Dugoin-Clément, selon qui l'identification et la récupération des friches sont dans ce contexte "un enjeu majeur".Dans cette optique, l'Institut Paris Region est en train d'élaborer un outil pour accompagner les collectivités et autres porteurs de projets et les guider dans l'usage potentiel de ces friches, qu'elles soient destinées à du logement, une activité agricole ou industrielle, ou à des espaces publics.Cette plateforme a déterminé une centaine de critères (proximité de la friche avec une gare ou des lignes haute tension, présomption de pollution des sols, etc.), de quoi moduler les simulations et optimiser "l'utilisation des friches en fonction par exemple de la proximité avec un bassin d'emploi", a expliqué Nicolas Laurelle, urbaniste de l'Institut Paris Region.
Il y a 3 ans et 234 jours

Un opérateur lancé pour accélérer la production d'énergies renouvelables le long de la Seine

"Axe Seine Energie", qui aura pour but d'"accélérer la transition énergétique" dans la vallée, sera dotée d'un capital "de plusieurs millions d'euros voire peut-être plusieurs dizaines de millions d'euros", a indiqué le maire PS de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol en annonçant un premier partenaire, la Banque des territoires, branche de la Caisse des dépôts et consignations.Son lancement est prévu pour la "fin du premier trimestre 2022", le temps de "rassembler les financements publics" et de "mobiliser des financements privés et participatifs", a déclaré le maire (Horizons, ex-LR) du Havre, l'ancien Premier ministre Edouard Philippe."L'investissement public est un levier pour attirer des capitaux privés et accélérer des transitions", a soutenu Anne Hidalgo, maire de Paris et candidate du PS à l'élection présidentielle, même si la future SEM "n'est pas un instrument suffisant à lui tout seul pour porter l'ensemble des projets énergétiques", a reconnu M. Mayer-Rossignol.Les trois maires et le président de la Métropole du Grand Paris Patrick Ollier, qui veulent faire de la Seine "la première vallée de la décarbonation en France", ont annoncé formaliser leur collaboration avec la création d'une "Entente de l'Axe Seine".Cette association permettra de "mutualiser les ressources humaines et financières" autour de projets d'énergies renouvelables, comme des unités de production d'hydrogène.Début 2022, "un premier appel à manifestation d'intérêts sera lancé pour faire émerger des projets d'unités de production d'électricité solaire" le long du fleuve, ont-ils annoncé dans leur communiqué commun. Ces unités pourront prendre la forme de "parcs au sol, flottant, en carrières, ombrières, toitures photovoltaïques de grande taille..."La concrétisation de cette coopération entre les trois métropoles, initiée en février à Rouen, intervient au lendemain de la publication du rapport du gestionnaire du réseau électrique français RTE.Ce dernier a prôné un essor indispensable des énergies renouvelables mais souligné aussi un avantage économique à construire de nouveaux réacteurs nucléaires, replaçant le débat au centre de la campagne présidentielle.
Il y a 3 ans et 234 jours

Edycem dévoile ses bétons bas carbone Vitaliss

Edycem BPE a lancé Vitaliss, sa gamme de bétons à empreinte carbone réduite. [©Herige/Charles Marion] Vitaliss : tel est le nom de la gamme des bétons à empreinte carbone réduite. Tout juste lancée sur le marché par Edycem BPE (groupe Herige). « Vitaliss a été formulé pour offrir des réductions d’émissions de CO2allant de 20 % à plus de 50 %. Ceci, en comparaison des bétons traditionnels de résistances et de caractéristiques d’utilisations similaires », résume Olivier Collin, directeur général BPE et Préfa d’Edycem. La gamme se décline en quatre classes de réduction, identifiées par un référentiel de type “Ecoscore”. Et baptisé Vitascore dans le cas présent. Ce dispositif permet d’évaluer le niveau de baisse de l’impact environnemental des bétons. Exprimé en kg de CO2éq/m3. Ainsi, l’entrée de gamme affiche un Vitascore C, soit une réduction comprise entre 20 et 30 %. Viennent ensuite les bétons de Vitascore B (- 30 à – 40 %) et de Vitascore A (- 40 à – 50 %). Tous les bétons en Vitascore B au minimum Enfin, le Vitascore A+ identifie les bétons de la ligne Vitaliss affichant une réduction de l’impact carbone supérieure à 50 %… Pour ces derniers bétons, Edycem est en partenariat avec Hoffmann Green Cement, qui assure la fourniture du liant. Une demande d’Avis technique, faite par le cimentier, est aussi en cours pour cette application, car « nous sommes dans une technique non courante ». La gamme Vitaliss est adaptée pour permettre sa production sur chacun des sites BPE d’Edycem. Soit un accès potentiel au niveau des 33 centrales à béton de la marque. Et Didier Collin, de conclure : « Dans les trois ans qui viennent, je souhaite que l’essentiel de nos bétons commercialisés corresponde à un Vitascore B… »
Il y a 3 ans et 234 jours

Le CCCA-BTP lance sa plate-forme pour les jeunes

Le CCCA-BTP lance sa plate-forme “Destination BTP” pour aider les jeunes à trouver une formation dans les métiers du bâtiment [©CCCA-BTP] Le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) mise sur la nouvelle génération. Le CCCA-BTP a lancé sa plate-forme “Destination BTP” pour accompagner les jeunes dans leurs recherches de formations ou d’entreprises dans les métiers du bâtiment. Ce projet vise à aider les étudiants du collège, du lycée et en études supérieures, à trouver leur voie. En effet, la plate-forme offre des solutions pour bénéficier d’un suivi intuitif et personnalisé. Les intéressés peuvent découvrir les métiers du BTP, dynamiser leur recherche par la rédaction d’un CV. Ou encore, accéder aux offres d’emplois sur l’ensemble du territoire français. Le CCCA-BTP accompagne les jeunes Trois outils spécifiques sur le site sont disponibles pour accompagner les jeunes dans leur choix de carrière. Tout d’abord, “Ton parcours de découverte”. Celui-ci propose un test d’orientation pour faire découvrir les métiers du BTP. Il permet aux étudiants d’identifier leurs points communs avec les différentes professions pour mieux préparer leur avenir. Ensuite vient l’outil “MyFuture BTP”, qui offre des sessions “live” où les acteurs du secteur peuvent échanger avec les étudiants. Il les aide à consolider leur choix. Lire aussi : KP1 : à fond la jeunesse Enfin, la solution “Hellowork” vise à favoriser la mise en relation entre un jeune et une entreprise, grâce à un outil simple pour écrire son CV. Plus de 156 300 offres d’emplois sont disponibles, en contrat d’apprentissage, en CDD ou CDI. En parallèle, le CCCA-BTP organise un appel à candidatures à l’attention des organismes de formation aux métiers du BTP. Les jeunes bénéficieront de conseils et d’un service sur mesure. Ce sont déjà 40 organismes de formation qui mettent en place des animations à distance pour les sensibiliser à la vie active. En particulier, avec des simulations d’entretien d’embauche.
Il y a 3 ans et 234 jours

Isover, Placo® et Isonat s'associent pour accompagner le développement de la construction bois

Les trois marques entendent les accompagner dans l'accélération de leurs projets de construction bois en développant des partenariats pour co-construire des solutions en réponse aux problématiques techniques de ce mode constructif.Des expertises métiers au service des enjeux de la construction boisForts de leurs connaissances techniques dans les domaines de l'efficacité énergétique, l'acoustique, la protection au feu et l'hygrométrie, quatre enjeux majeurs de la construction bois, ISOVER, Placo® et Isonat proposent une gamme complète de solutions fabriquées en France :ISOVER conçoit des solutions d'isolation durable pour répondre aux enjeux d'efficacité thermique, d'acoustique et de protection au feu. Le spécialiste s'inscrit dans une démarche continue d'optimisation de l'impact environnemental de ses produits, de l'efficacité énergétique, de la qualité de l'air intérieur et du bien-être.Placo® est engagé dans le développement de produits dédiés à l'habitat durable. Pionnier de la plaque de plâtre en France, l'expert innove en permanence afin de proposer des solutions techniques qui répondent aux exigences acoustiques, thermiques, décoratives, de qualité de l'air intérieur… des particuliers et des professionnels.Isonat, entreprise innovante, est spécialisée dans l'isolation biosourcée en fibres de bois. L'entreprise conçoit et s'approvisionne en France pour l'ensemble de ses gammes et panneaux isolants dédiés à l'isolation par l'intérieur et l'extérieur.Ces trois experts comptent à leur actif plusieurs références dans le domaine. En témoigne leur participation au projet Sensations à Strasbourg, premier programme de structure bois en France développé par l'Eurométropole de Strasbourg et réalisé par Bouygues Immobilier et KOZ Architecture. Plusieurs solutions ont été prescrites : Placoplatre BA 18S et Placoflam® qui participent à la protection feu, la laine de verre GR 32 pour la performance thermique, Placomarine® pour la résistance à l'humidité, Placo® Duo'Tech® 25 et Domisol LR pour optimiser l'acoustique, les plaques de plâtre Activ'Air® pour la qualité de l'air intérieur.Des partenariats forts pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché« Nous avons pour ambition de créer des synergies avec les acteurs de la construction bois, afin de faire grandir ensemble la filière. Notre récent partenariat avec MATHIS, acteur majeur dans la conception, la fabrication et la construction de bâtiments à structure en bois, témoigne de cette volonté forte. La multiplication de ce type de synergies va nous permettre de nourrir mutuellement nos réflexions pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché. ». Nicolas FERRY, Directeur Marketing ISOVER, Placo® et Isonat« ISOVER et Placo® possèdent une expertise très complémentaire à celle de MATHIS pour relever les défis liés à la construction bois, notamment en termes de feu et d'acoustique. Cela nous a permis, dans des délais courts, de développer en partenariat le système de plancher AZURTEC-Placo® qui apporte une solution haute performance au marché. Nous avons également pu nous appuyer sur les compétences de l'équipe Développement Durable d'ISOVER et de Placo® pour réaliser la FDES de ce système. ». Frank Mathis, Président Directeur Général MATHIS« Faciliter l'accélération de l'avènement de la ville durable, s'accompagne immanquablement de la démonstration massive de l'aptitude durable à l'emploi des solutions constructives bas carbone. La construction de cette démonstration par l'évaluation, permet la structuration plus rapide des filières associées, grâce à la reconnaissance de leurs procédés en technique courante. Que ce soit à l'échelle du développement des produits, comme à l'échelle de la ville, c'est le but pragmatique que nous nous sommes fixés et que nous poursuivons au travers de toutes les missions d'accompagnement à l'innovation assurées auprès des plus grands donneurs d'ordres. Les nombreuses démarches d'évaluations engagées par ISOVER, Placo® et Isonat, entrent parfaitement dans cette même stratégie. ». Eric DIBLING, Fondateur et Dirigeant d'INGENECO Technologies ; Assistance à Maîtrise d'Ouvrage, Ingénierie, Expertise, Recherche« ISOVER, Placo® et Isonat sont engagés depuis de nombreuses années pour promouvoir des solutions innovantes, tout en assurant l'ensemble de la filière de la qualité des solutions proposées et mises sur le marché. Ainsi, les nombreux avis techniques dont ISOVER, Placo® et Isonat disposent, validant le domaine d'emploi et la mise en oeuvre des solutions, les validations par des essais feu ou acoustiques, sont autant d'éléments de preuve à disposition de nos clients. Les concepteurs de bâtiments bois peuvent donc s'appuyer en toute confiance sur notre expertise conjointe pour les accompagner sur leurs projets. » Stéphanie ROCHE, Responsable Marketing - Pôle Marchés Bâtiments ISOVER, Placo® et IsonatDes apporteurs de solutions globales pour toutes les paroisInformer, accompagner, guider : un coffret en édition limitéeISOVER, Placo® et Isonat ont créé à l'occasion du Forum International Bois Construction un coffret en édition limitée, conçu tel un guide de la construction bois pour les logements collectifs. Il est introduit par une présentation des valeurs et des engagements des trois experts en matière de gestion durable des ressources naturelles, d'éco-innovation, de logistique et de l'analyse du cycle de vie.Cet outil didactique se compose de 43 fiches produits recto/verso couvrant les quatre parois :cloisons,façades,planchers,toitures.Pédagogiques, elles présentent les fondamentaux de chaque solution via une vue 3D, leurs champs d'application, leurs bénéfices, leurs performances une composition détaillée schématisée du système et un descriptif technique.Des engagements durables pour répondre aux enjeux de la construction boisGestion durable des ressources et des matières premièresISOVER, Placo® et Isonat ont pour valeur commune la gestion durable des ressources et des matières premières. Tout est mis en oeuvre pour respecter cet engagement majeur au coeur de leur ADN. Par exemple, les laines de verre ISOVER contiennent entre 40 % et 80 % de verre recyclé. 100 % biosourcé, le liant de sa nouvelle laine est élaboré à partir de matières premières issues des industries céréalières et sucrières. Les plaques de plâtre Placo® concernées intègrent en moyenne 20 % de matières recyclées. Le carton utilisé provient de forêts gérées de manière responsable ou de matière 100 % recyclée. Placo® réalise une exploitation responsable de ses carrières souterraines et aériennes avec suivi environnemental et remise en état. De son côté, Isonat utilise le Pin Douglas, certifié PEFC, pour la fabrication de ses isolants. Les plaquettes de bois qui composent ses produits proviennent de déchets de scieries du bassin roannais, sourcés dans un rayon maximum de 60 km autour de l'usine.Éco-innovationLes trois experts mettent tout en oeuvre pour répondre aux exigences des professionnels visant des démarches de labellisation HQE, E+C-, Bâtiment Biosourcé… Leurs produits et solutions disposent de FDES, disponibles sur la base de données INIES et calculées sur une durée de vie de 50 ans. ISOVER et Placo® sont les premiers fournisseurs de FDES en France. Autre service exemplaire : l'offre LEAN by Placo® qui permet de minimiser les déchets sur chantiers en livrant la bonne quantité prédécoupée au bon endroit.Gestion de fin de vie des produitsISOVER et Placo® n'ont pas attendu l'avènement de la loi AGEC pour s'engager dans la gestion de la fin de vie de leurs produits. La laine de verre ISOVER et les plaques de plâtre Placo® sont recyclables à 100 % et à l'infini. ISOVER a mis en place la première filière au monde de recyclage de déchets de laine de verre issus du BTP : ISOVER Recycling. Premier recycleur de plaques de plâtre en France, la filière Placo® Recycling permet depuis 13 ans un recyclage des déchets de plaques de plâtre, réintroduits dans la production de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 234 jours

Low-Tech : Ma Biosphère, un livre et un film par Corentin de Chatelperron

À la différence des technologies high-tech basées sur une économie capitaliste et l’innovation de pointe, les low-tech fondent leur développement sur des technologies simples et une économie durable. C’est fort de leur philosophie de respect de l’environnement qu’un ingénieur, Corentin de Chatelperron parcourt le monde pour sensibiliser sur les low-tech. La genèse du Low-tech Lab C’est […]
Il y a 3 ans et 234 jours

Rendez-vous à Clermont-Ferrand pour la biennale d’architecture

Du 5 au 7 novembre, la 7e biennale du Réseau des maisons de l’architecture se tient à Clermont-Ferrand. Une occasion unique pour découvrir La Comédie, Scène nationale – un bâtiment restructuré par Souto de Moura et Bruhat & Bouchaudy livré l’an dernier. Deux journées sont consacrées à des ateliers, visites et projections. La journée d’études du 5 novembre a pour thème « De l’appropriation à la ré-appropriation », marquée par l’intervention de nombreuses personnalités....
Il y a 3 ans et 234 jours

Bruno Le Maire demande aux industriels d'accueillir plus d'élèves en visite d'usines

"Il faut inciter les jeunes à s'orienter vers les métiers de l'industrie", qui manque de bras, car "l'image de l'industrie est décalée par rapport à la réalité", a dit le ministre en suggérant à un parterre d'industriels reçus à Bercy "d'inviter les enfants à se rendre dans les usines" pour "découvrir juste ce que c'est, comment cela fonctionne et qu'ils s'en fassent une autre idée"."On emmène des enfants du primaire et du collège visiter des lieux de mémoire, des musées, des lieux du patrimoine, tant mieux, c'est indispensable de transmettre nos mémoires mais notre mémoire est aussi industrielle. Et si l'industrie fait partie de notre culture, pourquoi est-ce que nous n'inviterions pas nos enfants à partir du collège, du primaire?", a-t-il lancé.Selon lui, "la seule façon de remédier" à la désindustrialisation qui touche la France depuis 40 ans, c'est de "recréer une volonté industrielle"."La relocalisation est indispensable et vitale pour l'emploi, mais aussi pour la lutte contre les extrêmes, pour redonner confiance", a ajouté le ministre.Car, "là où une usine ferme, il y a une permanence du Front National qui ouvre, c'est une réalité politique", a ajouté M. Le Maire, qui s'exprimait en clôture d'un colloque sur la relocalisation d'activités essentielles sur le territoire national, organisé par Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie.Sur la désindustrialisation, M. Le Maire, plusieurs fois ministre, a fait son mea-culpa: "nous sommes collectivement responsables", a-t-il dit, citant "les politiques, les chefs d'entreprise, les filières industrielles, tous ceux qui ont inventé le fameux concept de +fabless industries+ (les entreprises sans usines, dépendant de la sous-traitance dans des pays à bas coût, NDR), tous ceux qui ont recouvert d'un vernis scientifique ce qui était une défaite politique"."La France a abandonné son industrie et nous en payons encore aujourd'hui le prix économique, le prix financier, le prix en termes d'emplois et le prix politique", a-t-il jugé.Estimant que, sans industrie, il n'y a ni indépendance, ni transformation énergétique, ni cohésion sociale, Agnès Pannier-Runacher a de son côté rappelé que les emplois de ce secteur sont à 70% "dans des communes de moins de 20.000 habitants".Pour un "choc de réindustrialisation", il faut "essayer de réconcilier, souvent les mêmes d'ailleurs, ceux qui veulent des médicaments produits en France, des emplois dans les territoires, avec ceux qui relaient une image passéiste dans l'industrie sans voir que nos investissements améliorent drastiquement les conditions de travail des salariés, créent de la richesse et nous aideront (...) à affronter concrètement les transitions environnementales et numériques", a-t-elle ajouté.Elle a rappelé les six secteurs considérés comme "stratégiques": santé, agroalimentaire, électronique, nucléaire, applications industrielles de la 5G, intrants essentiels de l'industrie (chimie, matériaux, métaux, matières premières transformées).
Il y a 3 ans et 234 jours

Trois ans de prison ferme pour extorsions de promoteurs immobiliers à Marseille

"Ces faits sont vraiment graves car ils troublent l'équilibre économique Ils ne sont plus supportables dans cette cité où il y a des règles qui s'appliquent pour tous. En d'autres circonstances, cela s'appelle du racket", a indiqué la présidente du tribunal Céline Ballérini. Le tribunal a prononcé un mandat de dépôt contre Gérard Haddad, 55 ans, à effet différé de "trois ou quatre mois pour mettre ses affaires en état".Il est reconnu coupable d'avoir négocié le retrait de ses recours contre des sommes très importantes et est aussi condamné à une amende pénale de 45.000 euros et doit, même en cas d'appel, immédiatement dédommager 13 sociétés immobilières en leur versant un total de près de 3,4 millions d'euros de dommages et intérêts.Il est définitivement interdit d'exercer une profession commerciale ou industrielle. Le tribunal s'est montré plus sévère que le parquet qui avait requis une peine de quatre ans de prison dont deux ans assortis d'un sursis probatoire.Il a écarté l'idée, défendue par la défense, d'un David, soucieux de lutter contre la défiguration de Marseille par les opérations immobilières, contre un Goliath incarné par de puissants promoteurs immobiliers.Si un recours administratif ne bloque pas la construction, "Gérard Haddad ne pouvait ignorer, en tant que marchand de biens, que dès lors qu'un permis est attaqué, cela pose des difficultés pour obtenir les concours et garanties bancaires", a estimé le tribunal.Un grand nombre de procédures intentées par Gérard Haddad et par son frère Albert Haddad, un médecin généraliste décédé en juillet, avaient été écartées par le tribunal administratif mais plusieurs entreprises avaient fait le choix de signer un protocole transactionnel dans le cabinet de leurs avocats.Le juge d'instruction avait recensé 19 protocoles leur ayant rapporté plus de 2,2 millions d'euros. "Beaucoup transigeaient avec vous dans des conditions de contrainte morale", a observé le tribunal.Lors de l'audience le 23 septembre, M. Haddad s'était présenté comme une sorte de Robin des Bois défenseur de Marseille. "Vous avez vu ces constructions neuves comme elles sont moches", avait-il lancé.Le juge d'instruction avait évalué à plus de 7 millions d'euros le patrimoine immobilier de la "sphère Haddad".
Il y a 3 ans et 234 jours

Face à l'avancée de l'Océan, des petites villes du Sud-Ouest prêtes à battre en retraite

La station balnéaire, comme celle de Lacanau ou d'autres sur le littoral atlantique, est prête à battre en retraite et faire reculer les bâtiments menacés par l'érosion marine - phénomène naturel enclenché depuis des siècles- mais réclament des outils juridiques et financiers pour y parvenir.Giflée par les vagues et les vents de l'Atlantique, la plage de Biscarrosse (16.000 habitants) est grignotée chaque année de 2 mètres en moyenne, jusqu'à 5 mètres en cas de fortes tempêtes l'hiver.Selon les chercheurs de l'Observatoire de la côte de Nouvelle-Aquitaine, l'érosion pourrait faire reculer le littoral sableux du golfe de Gascogne de 50 mètres d'ici à la moitié du siècle, auxquels pourraient potentiellement s'ajouter 20 mètres de repli supplémentaire, en prenant en compte les effets du changement climatique.Sur la dune, au sommet de la plage centrale, seules trois bâtisses "en dur", - deux villas d'une vingtaine d'appartements et un hôtel haut de gamme - construites au début du XXe siècle, subsistent après le démontage automnal.La commune landaise cherche à les racheter pour les reconstruire en arrière, dans les terres, au grand dam de certains propriétaires.Le Grand Hôtel de la Plage est "enraciné sur 14 mètres de profondeur" depuis sa remise à neuf en 2013, défend Alexandre Michel, directeur de cet établissement quatre étoiles, auprès de l'AFP."Il n'y a pas de risque que ça s'effondre. En 2045, on sera encore là", parie le gérant, écartant l'idée du repli.A l'inverse, pour Vincent Bawedin, géographe et ingénieur chargé de la gestion du trait de côte à Biscarrosse, ces bâtiments pourraient s'écrouler en "5 à 10 ans", en cas de puissantes tempêtes hivernales.EffondrementSelon le Groupement d'intérêt public Littoral (GIP), principal acteur des stratégies locales de gestion de l'érosion, sans aucun ouvrage de protection ou politique active de préservation, près de 6.500 logements et commerces côtiers seraient menacés d'effondrement d'ici 2050, du Médoc au Pays basque.Mais pour réussir le pari de la "relocalisation", les communes réclament des outils juridiques et financiers à l'Etat.Car "on a parfois l'impression que le législateur avance moins vite que l'érosion", se désole M. Bawedin, au pied d'un poste de secours en bois, reconstruit 15 mètres en arrière sur la dune cette année.La nouvelle loi Climat et Résilience, promulguée cet été, permet néanmoins désormais aux élus locaux de préempter un logement en cas de mise en vente sur les zones menacées.Des mesures pour faire baisser le coût à supporter, comme la "décote administrée" des biens à relocaliser, devraient aussi être prises les mois à venir, indique Stéphanie Dupuy-Lyon, à la tête de la Direction de l'aménagement du logement et la nature au ministère de la transition écologique.Ainsi, plus la menace de l'érosion "se rapprochera" d'un bâtiment, "moins sa valeur sera importante", explique-t-elle à l'AFP.Mais qui dit acquisition, ou expropriation - en cas de menace urgente- dit paiement.Pour Laurent Peyrondet, maire (Modem) de Lacanau, qui évalue à 400 millions d'euros la valeur des biens menacés sur son territoire, les communes n'ont "clairement pas les moyens" d'engager "seules" les rachats nécessaires au repli.Comme d'autres élus du littoral, il réclame à l'Etat la création d'un mécanisme de financement, en suggérant des ponctions sur les assurances, "sans que le contribuable ne soit touché".Sa ville de 5.000 habitants, pionnière dès 2012 dans les stratégies de repli, a finalement opté pour la construction d'un enrochement de blocs de pierres qui devrait fixer la dune sur un kilomètre jusqu'en 2050, avant d'enclencher "le scénario de relocalisation". Seuls les parkings d'accès à la plage et les postes de secours reculeront à court terme.Actuellement co-financée par les collectivités, l'Etat et les fonds européens, cette protection en dur coûtera, à terme, "plus de 30 millions d'euros", soit l'équivalent du budget annuel de la commune.Une solution écartée par Biscarrosse, car "les points durs" bloquent "le transfert de sédiments" et creusent encore plus la plage de part et d'autre des ouvrages, indique M. Bawedin.En attendant, sa ville recharge chaque hiver sa dune fragilisée avec du sable acheminé par des camions depuis une plage sauvage à proximité. Mais "jouer la montre est extrêmement dangereux", avertit le géographe, en constatant que les volumes de sable nécessaires augmentent d'année en année.
Il y a 3 ans et 234 jours

Matières premières : Akzonobel pourrait manquer de peinture bleue

PÉNURIE. Le PDG Thierry Vanlancker d'Akzonobel, fabricant néerlandais de peintures (Dulux Valentine,Sikkens...), a déclaré faire face à des difficultés d'approvisionnement au niveau mondial. Et c'est la peinture bleue qui pourrait en être la principale victime.
Il y a 3 ans et 234 jours

France rénov' devient "le système cohérent de la rénovation des logements" (A.-L. Deloron)

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. La coordinatrice interministérielle de la rénovation énergétique est revenue, dans une conférence, sur le lancement de France rénov', annoncé le 21 octobre. L'occasion pour l'administration, l'Anah et l'Ademe de préciser les contours de ce nouveau système qui remplace notamment les espaces Faire et le programme Sare, ainsi que l'aide Habiter mieux – sérénité, intégrée à MaPrimeRénov'.
Il y a 3 ans et 234 jours

Palmarès "ESTP au féminin" 2021 : des parcours d'excellence mis à l'honneur

TALENTS. Découvrez les lauréates (et un lauréat) de la cinquième édition des Trophées ESTP au féminin, remis le 11 octobre dernier : des parcours d'exception inspirants, qui démontrent, s'il le fallait encore, que les femmes ingénieures ont toute leur place dans le secteur et que la mixité doit être plus que jamais encouragée.
Il y a 3 ans et 234 jours

Plus de 2.700 friches potentielles cartographiées en Ile-de-France

TERRAINS. Les premiers résultats de l'Observatoire des friches franciliennes viennent d'être révélés à la presse par l'Institut Paris Région. La région espère que des collectivités pourront réimplanter de l'activité économique sur ces sites urbains.
Il y a 3 ans et 234 jours

"Le nucléaire sera le socle de notre production électrique jusqu'en 2035", Barbara Pompili

ÉNERGIES. En prenant la parole au lendemain de la publication par RTE de son rapport sur les différents scénarios de politique énergétique pour la France à l'horizon 2050, Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique, a insisté sur le caractère urgent des choix politiques à prendre. Sans pour autant dévoiler la préférence du Gouvernement pour tel ou tel scénario.
Il y a 3 ans et 234 jours

Feu vert du Sénat à un statut unique pour les indépendants protecteur du patrimoine personnel

"C'est un des piliers" du plan de soutien aux quelque trois millions de travailleurs indépendants présenté le 16 septembre par le président Emmanuel Macron, a indiqué le ministre. Il s'articule avec deux autres volets qui relèvent du projet de budget et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2022.Le projet de loi va maintenant aller, probablement début janvier, à l'Assemblée nationale, qui pourra revenir sur des modifications apportées par le Sénat. L'exécutif vise une mise en oeuvre de l'ensemble des mesures "après le premier trimestre 2022".Il répond selon M. Griset, à "un triple objectif: protéger les indépendants face aux accidents de la vie, les accompagner de la création d'entreprise à sa transmission, simplifier leurs démarches".Le ministre doit connaître le 8 décembre la décision du tribunal correctionnel de Paris, alors que le parquet a requis contre lui 10 à 12 mois de prison avec sursis pour avoir omis de déclarer une partie de son patrimoine.Le projet de loi vise tout d'abord à la création d'un statut unique de l'entrepreneur individuel, protecteur du patrimoine personnel. C'est une préoccupation de longue date des indépendants.Les entrepreneurs individuels seraient ainsi titulaires de deux patrimoines, l'un professionnel, l'autre personnel, qui serait insaisissable en cas de défaillance, alors qu'aujourd'hui seule la résidence principale est protégée en cas de difficultés.Saluant "une réforme indéniablement audacieuse", le rapporteur du texte au Sénat Christophe-André Frassa (LR) a néanmoins proposé une réécriture complète de l'article, "pour renforcer la robustesse juridique du nouveau statut".Les sénateurs ont ainsi précisé la démarcation entre les deux patrimoines. Ils ont aussi réduit les "larges dérogations" au principe de séparation des patrimoines prévues par le texte au profit de l'administration fiscale et des organismes de sécurité sociale.A gauche comme à droite, des inquiétudes se sont fait jour sur l'attitude des créanciers, notamment les banques, qui pourraient contourner la protection offerte par le nouveau statut. "Il ne supportera pas l'épreuve de la pratique", a estimé la présidente du groupe CRCE à majorité communiste Eliane Assassi.Accès à l'assurance chômageAutre disposition importante du texte, pour tenir l'engagement présidentiel d'ouvrir l'assurance chômage aux indépendants: les conditions d'accès à l'allocation des travailleurs indépendants (ATI), jugées trop contraignantes, sont élargies à toute cessation totale et définitive d'activité qui n'est pas économiquement viable. Il ne sera plus nécessaire d'être passé par une liquidation ou un redressement pour pouvoir bénéficier de cette allocation d'un montant forfaitaire de 800 euros par mois pendant une période maximale de six mois. Et cela tous les cinq ans.Un décret viendra assouplir le critère de revenu d'activité minimal, qui serait désormais de 10.000 euros minimum sur l'une des deux dernières années d'activité non salariée.Contre l'avis du gouvernement, les sénateurs ont introduit "une clause de revoyure" au 31 octobre 2024, avec obligation d'une concertation des partenaires sociaux au plus tard six mois avant sur le bilan et les perspectives de l'ATI.M. Griset a souligné que ce "dispositif de justice a vocation à être un système pérenne".Le projet de loi entend encore faciliter la transmission de l'entreprise et simplifier le financement de la formation professionnelle.Avec un avis de "sagesse" du gouvernement, le Sénat a adopté un amendement prévoyant que l'activité de toilettage des chiens et autres animaux de compagnie ne puisse être exercée que par une personne qualifiée.La gauche s'est abstenue sur ce projet de loi qui "ne répond pas suffisamment à l'objectif de protection", a déploré la socialiste Florence Blatrix Contat.Pour Claude Malhuret, président du groupe politique Les Indépendants, "ces mesures d'apparence technique ont le grand mérite, au pays des complexités administratives et fiscales, de simplifier la vie des indépendants".
Il y a 3 ans et 234 jours

Le plan de relance français efficace à court terme doit faire ses preuves sur le long terme

"L'objectif macro-économique de court terme est atteint ou va bientôt être atteint en termes d'activité et encore plus en termes d'emplois", s'est félicité le président du comité d'évaluation, Benoît Coeuré, lors d'une présentation à la presse.Toutefois, "on ne sait pas quantifier la contribution spécifique" de ce plan, baptisé "France Relance", " par rapport à l'ensemble des facteurs" qui ont permis le redressement, a nuancé M. Coeuré.Il a souligné que c'était la première fois qu'un plan de soutien public était évalué aussi rapidement et de manière indépendante, alors que le plan de 100 milliards d'euros, lancé à l'été 2020, court jusqu'à fin 2022.L'économiste a aussi salué le travail de "Bercy en tant que coordinateur", car "les objectifs opérationnels seront tenus", notamment celui d'engager 70 milliards d'euros avant fin 2021.A la fin août 2021, 47 milliards d'euros avaient été engagés et 29 milliards décaissés.De son côté, le gouvernement a pris "bonne note des résultats du rapport et de ses conclusions", rappelant que le comité "poursuivra ses travaux", selon un communiqué."La rapidité de déploiement du plan a été rendue possible par les efforts déployés pour la lisibilité et l'accessibilité des mesures, le ciblage des mesures et la mobilisation des acteurs économiques", a-t-il souligné.Benoit Coeuré a toutefois estimé qu'il y avait un risque "qu'en privilégiant un décaissement rapide et une massification des aides, on perde en qualité ce qu'on a obtenu en quantité, et qu'on ne sache pas mesurer l'impact transformationnel, sur la compétitivité ou sur la transition énergétique, de ce plan".France Relance assure la transition entre les mesures d'urgence prises pour préserver l'appareil productif pendant la crise sanitaire et le plan d'investissement de long terme France 2030, a-t-il souligné.Dans le détail, le rapport Coeuré relève que le dispositif MaPrimeRénov de rénovation énergétique des logements de particuliers, préexistant à la crise, a été élargi, ce qui a permis d'en faire profiter plus de ménages, y compris à revenus intermédiaires ou supérieurs. Malgré cet élargissement, "81% des bénéficiaires étaient des ménages aux revenus modestes ou très modestes", selon le comité.Le bilan est plus mitigé pour la rénovation des bâtiments publics car la mise en oeuvre, "tant de l'Etat que des collectivités locales, a privilégié les travaux pouvant être exécutés rapidement", ce qui a parfois "conduit à sélectionner des gros projets à impact énergétique plus faible", regrette M. Coeuré.Priorité à l'offreSur le volet industriel, il a estimé que le plan est très utile pour les PME mais que, pour les grandes entreprises, certains projets d'investissements étaient déjà dans les tuyaux et qu'on est "simplement passé d'un auto-financement ou d'un financement bancaire à un financement par subventions publiques".Par ailleurs, "compte tenu de la rapidité de sélection" des projets soutenus, "on ne peut pas être sûr qu'il y a derrière une grille d'analyse tournée vers des objectifs de transformation de l'outil industriel", a ajouté le président du comité d'évaluation.Par conséquent, "on est un peu circonspect sur l'impact de long terme", notamment "l'impact croisé des aides industrielles sur la transformation écologique et sur la décarbonation, pour laquelle on a vraiment très peu d'éléments à ce stade", a encore dit M. Coeuré.Au niveau européen, le plan de relance français s'inscrit "dans la moyenne des pays européens par sa taille, la France ayant privilégié comme le Royaume-Uni les mesures d'offre". Au vu des problèmes actuels sur les chaînes d'approvisionnement, ceci est "plutôt positif, car de nature à desserrer les contraintes sur l'offre", a jugé le président du comité.La France se distingue aussi avec l'Allemagne par sa rapidité de décaissement, tandis que le plan italien, d'une dimension plus importante, est plus lent à être mis en oeuvre.
Il y a 3 ans et 234 jours

Sérignan : réaménagement du parking Valessie et de la rue Marie-Curie

Ces deux projets bénéficient d’un fonds de soutien de la Communauté d’Agglomération Béziers Méditerranée (CABM).
Il y a 3 ans et 234 jours

Transition énergétique : les différents scénarios pour la France à l'horizon 2050

ÉNERGIES. Dans un rapport très attendu et déjà largement commenté, le Réseau de transport d'électricité (RTE) dévoile les différents scénarios de politique énergétique dont dispose l'Hexagone à l'horizon 2050. Un travail colossal et remarquable qui pourrait bien influencer les choix actuels et futurs des responsables politiques, à six mois de l'élection présidentielle de 2022.
Il y a 3 ans et 234 jours

Pour Noël, Watts met en ligne un calendrier de l’avent digital sur sa plateforme de formation Watts Works

Acteur incontournable du domaine de la plomberie, du chauffage et du traitement de l’eau, Watts organise une opération spéciale « Noël » à l’approche des fêtes et propose un calendrier de l’avent digital. L’objectif : encourager les 1.200 professionnels déjà inscrits à son programme d’e-learning Watts Works à compléter les modules de formation, enrichis régulièrement, et acquérir de nouveaux participants. A partir du 1er décembre, en allant sur le site Training.Watts.com, installateurs et prescripteurs sont invités à ouvrir quotidiennement l’une des 23 cases du calendrier en cliquant sur la date du jour. Derrière elle, se cache l’une des formations inédites sur un produit ou une solution sur-mesure des marques Watts, Socla et Desbordes qui seront mises en ligne fin novembre. Le professionnel peut alors suivre les modules jour après jour jusqu’à Noël ou les réaliser dans l’ordre qu’il préfère. Une fois toutes les cases ouvertes et tous les modules réalisés avant le 24 décembre, il peut alors participer au tirage au sort de Noël pour tenter de gagner l’un des 10 PC Hybride Microsoft Surface G02 mis en jeu. De quoi attendre patiemment l’arrivée du Père Noël ! Pour annoncer cette opération, Watts prévoit une campagne d’emailing ainsi qu’un relais sur les réseaux sociaux (LinkedIn, Facebook). Un calendrier imprimé sera également mis à la disposition de l’équipe commerciale Watts afin de les distribuer à leurs clients. http://www.wattswater.fr/
Il y a 3 ans et 234 jours

Après la publication du rapport de RTE, Gabriel Attal fustige les "idéologies" sur le nucléaire

"On a entendu beaucoup d'idéologies", "dans un contexte de pré-présidentielle", a dénoncé M. Attal sur Europe 1, se félicitant de son côté que le rapport "montre qu'arriver à la neutralité carbone en 2050, sortir du pétrole, c'est possible"."Ceux qui expliquent qu'on peut se priver des énergies renouvelables, arrêter de construire des éoliennes, voire supprimer les éoliennes, tout comme ceux qui disent qu'on peut sortir brutalement du nucléaire, ils nous promettent une chose: c'est de nous éclairer à la bougie dans les 15 ans qui viennent", a-t-il raillé.Le porte-parole du gouvernement a clairement visé les écologistes qui, "quand ils ne sont pas d'accord avec des constats, y compris des constats formulés par des experts ou des scientifiques, expliquent que c'est faux, que c'est de la manipulation".M. Attal a jugé "insultant(e)" la réaction du candidat écologiste Yannick Jadot qui avait dénoncé lundi à propos du rapport de RTE une "manipulation du gouvernement" et "une présentation partielle et donc partiale" du nucléaire en France, fondée "principalement sur une seule trajectoire d'évolution de la consommation électrique" et mettant volontairement mal en valeur l'hypothèse de la maîtrise de la consommation."On ne peut pas, quand on n'est pas content, parce que ça ne correspond pas à son dogme, jeter le travail qui a été fait par des experts et des responsables", a fait valoir M. Attal.Il a également critiqué la droite où il y a "encore une ligne climato-sceptique".Emmanuel Macron "s'exprimera dans les prochaines semaines" pour expliquer "la stratégie retenue sur notre mix énergétique", a en outre confirmé M. Attal, alors que le sujet du nucléaire s'est invité ces dernières semaines dans la campagne présidentielle."On veut continuer à investir dans le nucléaire", a-t-il répété, notamment pour "développer" des petits réacteurs dits "SMR" ("Small modular reactors"), tout en reconnaissant qu'"on ne peut pas sortir des centrales nucléaires de terre en 15 ans"."Il faut continuer à investir dans tout, en tout cas à court terme", notamment avec "un développement raisonné de l'éolien", du "photovoltaïque" et de "l'éolien en mer", a-t-il plaidé.
Il y a 3 ans et 234 jours

Ingérop se renforce dans le domaine des courants faibles

ACQUISITION. Ingérop vient de finaliser le rachat de la société GLI. L'ingénieriste souhaite ainsi compléter son offre dans le domaine des courants faibles et des bâtiments intelligents.
Il y a 3 ans et 234 jours

Cheminées Poujoulat renforce son accompagnement auprès des distributeurs professionnels

C'est pourquoi Cheminées Poujoulat souhaite renforcer son maillage territorial par le recrutement de 5 Animateurs(trices) des Ventes Merchandiser (AVM) afin d'accompagner quotidiennement et travailler en proximité avec ses clients distributeurs. Les distributeurs et Cheminées Poujoulat, c'est une histoire qui dure depuis toujours et reste la base historique de l'activité du leader européen des conduits de fumées et sorties de toit métalliques.Des animateurs des ventes merchandiser pour former et animer les négocesPour Cheminées Poujoulat l'animateur des ventes merchandiser joue un rôle important en complément du commercial qui suit le client.Véritables ambassadeurs de la marque, les Animateurs des Ventes Merchandiser sont chargés de faire monter en compétences les distributeurs en assurant, en relais du commercial, le suivi des opérations, l'animation et la formation proposés par Cheminées Poujoulat. L'objectif est le développement du chiffre d'affaires des distributeurs quelle que soit leur activité.Structurés par région, les AVM viennent compléter l'action commerciale et assurent le relais commercial avec les enseignes.Un accompagnement humain complémentaire à la démarche d'e-merchandisingCheminées Poujoulat n'en délaisse pas pour autant l'e-merchandising. Depuis plusieurs années, l'entreprise déploie un éventail de services digitaux pour accompagner et faciliter le quotidien de ses clients distributeurs et installateurs :disponibilité des produits via l'Espace pro Cheminées Poujoulatdes bannières et bases de donnéesdes vidéos et tutoriels de montagedes outils numériques « CAT-TOOLS » :CAT-DRAW Pour le calcul du dimensionnement des conduitsCAT-CHECK Carnet de chauffage en ligneCAT-RANGE Catalogue en ligneCAT-DESIGN Configurateur de mise en situation de l'appareil, du conduit et de la sortie toit"Les points de vente et les sites Internet sont étroitement liés. Nous sensibilisons les enseignes à déployer des outils digitaux pour les installateurs qui vont souvent sur le web avant de se rendre au sein du point de vente. Nous les accompagnons dans leur démarche d'e-merchandising et de merchandising en leur fournissant du contenu produits, réglementaire, des photos, vidéos, et même des bannières si besoin", relève Stéphane Thomas, directeur de la stratégie et du développement de Cheminées Poujoulat.
Il y a 3 ans et 234 jours

Xtremfix I-Road d’Hauraton France, nouveau système de caniveaux

Xtremfix I-Road est conforme à la norme EN 1433 et possède un marquage CE. [©Hauraton] Xtremfix I-Road, système de caniveaux en béton armé haute performance C60/75 est la nouvelle solution de drainage robuste, polyvalente et rapide à poser d’Hauraton France.Ceci, pour les zones à fortes contraintes jusqu’à la classe de charge D400. Il est ainsi adapté à la circulation importante, ainsi qu’aux charges lourdes. Conçu et fabriqué en France, ce système propose, pour la première fois sur le marché, une dimension de 3 m d’un seul tenant par un emboîtement à triple mâchoires. Garantissant une bonne étanchéité. Le drainage, quant à lui, est performant, puisque le débit d’eau absorbé est maximal. De plus, il assure la réduction des pertes de charge. Ce caniveau est doté d’une cornière enveloppante galvanisée monobloc. La présence des crochets Artéon sur les côtés assurent une manutention rapide et sécurisée. Le béton est ultra lisse, avec un coefficient de Manning-Strickler1supérieur à 0,95. Sa structure auto-portante de type I lui offre une mise en œuvre simplifiée et permet de circuler dessus en phase chantier. Xtremfix I-Roadest conforme à la norme EN 1433 et possède un marquage CE.  1Capacité d’un liquide à s’écouler sur une surface lisse.
Il y a 3 ans et 235 jours

Trois collections Milliken habillent le siège parisien de l’entreprise Perial Développement

« Pour notre nouveau siège, nous recherchions des dalles de moquette offrant de grandes qualités acoustiques ainsi qu’un rendu très qualitatif », explique Nicolas JULLIEN, DGA promotion immobilière chez Perial Développement. Construits en 1990, les locaux ont été réhabilités en 2020 par les architectes du cabinet JJ ORY et CRBE Design & Project. 180 employés évoluent dans les bureaux du siège, qui se déploient sur 3.000 m² aux 5, 6 et 7e étages de l’immeuble, tandis que les étages du bas, eux aussi habillés de dalles Milliken, sont loués par Perial à d’autres entreprises.Nicolas JULLIEN a découvert les produits Milliken sur recommandation d’architectes. C’est cette garantie de qualité, mais aussi les qualités acoustiques et esthétiques des produits qui l’ont convaincu de proposer ces dalles au comité de pilotage du projet. Les dalles de la collection Poise et leurs motifs texturés vecteurs de sérénité ont été choisis pour la salle de réunion et l’espace VIP. Poise a pour ambition de favoriser le silence, et façonne donc un environnement de travail idéal. « Nous avons apprécié les performances acoustiques de 33 db de ce produit, bien au-delà des standards du marché situés autour de 25 db », explique Nicolas JULLIEN. Dans les espaces de circulation ainsi que les bureaux loués à des tiers se déploie la collection Nordic Stories, avec ses tons naturels sourds et sa mousse riche, qui ajoutent de la profondeur et du relief graphique à l’espace. Enfin, Culture Canvas recouvre le sol de la salle de conférence. Ses motifs évoquent l’art urbain et invitent l’inspiration et la créativité au cœur des réunions.Ces deux dernières collections ont séduit l’entreprise en raison de leurs palettes de couleurs apaisantes, dont 80% des coloris présentent une réflexion lumineuse supérieure à 20%, ce qui en fait le choix idéal pour des espaces de travail. Mais ce sont également les qualités luxueuses et intemporelles de ces dalles qui les ont distinguées des autres solutions du marché, et qui distinguent désormais par la même occasion les bureaux de Perial Développement.
Il y a 3 ans et 235 jours

L’objectif climatique des 1,5 degrés sera inatteignable sans l’hydrogène vert, selon un rapport de Statkraft

Statkraft, le plus grand producteur d'énergie renouvelable d'Europe, élabore chaque année son Scénario de Faibles Emissions (Low Emissions Scenario), en analysant l'évolution des marchés mondiaux de l'énergie. L'analyse est utilisée comme base pour les investissements futurs de Statkraft.Selon le rapport, l'effet combiné de la baisse des coûts des énergies renouvelables et du renforcement des politiques climatiques entraînera des émissions carbones menant à une trajectoire de 2 degrés. Pour réduire davantage le réchauffement climatique, une augmentation substantielle des ambitions politiques et du rythme de l'action mondiale sont nécessaires. En particulier, l'hydrogène propre doit passer de zéro à plus de 5% de la demande totale d'énergie, si l’on veut pouvoir se rapprocher de la trajectoire des 1,5 degré.« Le monde a été appelé à répondre présent, à travailler à l'unisson pour ralentir le réchauffement de notre planète. C'est la mission d'une vie, celle qui marquera notre génération. Avec la réouverture lente du monde, les émissions reviennent également aux niveaux prépandémiques, renforçant notre conviction que la seule voie vers une trajectoire à 1,5 degré passe par une accélération de la transition énergétique », déclare Christian Rynning-Tønnesen, PDG de Statkraft.La croissance des énergies renouvelables est « inarrêtable »Le rapport note que les investissements verts ont augmenté en 2020 malgré le ralentissement économique causé par la pandémie. En particulier, les investissements dans les énergies renouvelables ont augmenté de 7% en 2020 par rapport à 2019. Mais même si 2020 a vu un développement record de l'énergie solaire et éolienne, il faudra en installer plus du double chaque année d'ici 2050 pour limiter le réchauffement climatique à deux degrés.Les coûts du renouvelable sont sur une tendance continue à la baisse. En général, pour un euro investi dans le solaire photovoltaïque et l'éolien aujourd'hui, on obtient environ quatre fois plus de rendement qu'il y a dix ans. L'énergie renouvelable est déjà dans la plupart des endroits moins chère que les combustibles fossiles lorsqu'on investit dans de nouvelles capacités.Le rapport prévoit que la demande d'électricité va plus que doubler jusqu'en 2050 et que celle-ci sera largement couverte par l'énergie renouvelable, qui devrait représenter environ les deux tiers de la production électrique mondiale.Développer massivement l’hydrogène vertL'hydrogène propre permet la décarbonation rapide de secteurs à fortes émissions dans l'industrie et les transports, et jouera un rôle clef dans le système énergétique du futur. Il sera le quatrième pilier d’un monde alimenté par l'énergie solaire, éolienne et hydraulique. Par une journée venteuse, les électrolyseurs alimentés par l'énergie éolienne peuvent produire des quantités massives d'hydrogène vert.Les coûts des électrolyseurs ont baissé de 60% au cours des cinq dernières années. Cette baisse devrait se poursuivre en raison de l'automatisation et des améliorations technologiques. Le rapport prévoit que les coûts d'investissement pour la production d'hydrogène vert diminueront de 60% supplémentaires d'ici 2050.Selon le rapport, 9,6% de la demande mondiale d'électricité proviendra de la production d'hydrogène vert en 2050, un niveau qui monte à 20% pour l'Europe.La majorité de l'hydrogène propre ira à l'industrie : à la fois pour remplacer la consommation d’hydrogène existante et pour éliminer les émissions dans les industries où l'électrification directe est impossible ou trop coûteuse, par exemple dans l'industrie sidérurgique.L'électrification réduit les émissions locales et mondialesL'électrification est le principal outil de réduction des émissions de CO2. La part de l'électricité dans la demande énergétique mondiale finale va plus que doubler pour atteindre 47% en 2050.L'électricité est plus efficace que les sources d'énergie fossiles dans la plupart des applications, selon le rapport. Par exemple, pour chauffer une maison, une pompe à chaleur n'a besoin que d’un tiers de l'énergie utilisée par une chaudière à gaz. Il en va de même pour les véhicules électriques, qui nécessitent environ un tiers de l'énergie dont les véhicules à combustibles fossiles ont besoin pour parcourir la même distance.2020 a été une bonne année pour les véhicules électriques. Les ventes mondiales de voitures électriques à batterie ont augmenté de 40%, même si les ventes totales de voitures ont chuté. Le scénario à faibles émissions estime que presque tous les nouveaux véhicules légers seront alimentés par batterie, tandis qu'environ la moitié des nouveaux véhicules plus lourds fonctionneront sur batterie ou à l’hydrogène en 2050 dans le monde.
Il y a 3 ans et 235 jours

Une 7e édition réussie pour les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021

Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021 ont rassemblé quelque 2 400 visiteurs. [©Juan Jerez] La 7eédition des Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) est un salon professionnel consacré aux matériaux innovants pour l’architecture, le design, la décoration et l’aménagement d’intérieur. Elle s’est tenue conjointement dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris (IIIe). Chacun d’eux a accueilli architectes, designers, artisans d’art et industriels autour de cycles de conférences, de discussions et de workshops. La scénographie immersive a été conçue sur mesure par le studio de design Frédéric Imbert.  Quelque 59 exposants et 2 400 visiteurs Pour la première fois, l’événement Fair(e) s’est déroulé dans un nouvel espace dédié à l’artisanat contemporain, à l’espace Marais.Marais. Ce nouveau lieu de 350 m2réparti sur 3 niveaux, a dévoilé aux professionnels la diversité de la création artisanale contemporaine, ainsi qu’un riche panel de matériaux innovants.  Lin, bois, béton, cuir, verre, bambou, céramique, pierre naturelle, chanvre… Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont permis la découverte des potentiels créatifs et techniques de matières connues comme inattendues. L’évènement était destiné à impulser rencontres et collaborations entre les industriels, concepteurs de matières et les prescripteurs, architectes, designers, agenceurs, bureaux d’études…  Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont eu lieu dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris dans le IIIe arrondissement. [©ACPresse] Cet évènement a regroupé quelque 59 exposants, experts dans leur domaine. Et rassemblé 2 400 visiteurs. Imaginée, conçue et organisée par Bookstorming, la 7eédition a accueilli 63 % d’architectes d’intérieur et de décorateurs. Ainsi que 31 % d’architectes DE et 6 % autres.« Nos exposants sont ravis de leurs échanges avec les 2 400 visiteurs présents et soulignent la qualité des contacts. Pour l’édition 2022, nous préparons quelques surprises, notamment une nouvelle adresse prestigieuse… », dévoile Sébastien Maschino, directeur général adjoint, associé et coordinateur du Rendez-vous de la matière – Fair(e) chez Bookstorming. Retours d’expérience de certains exposants A l’espace Commines, voici quelques marques qui ont retenu notre attention et leurs retours d’expérience : Confédération européenne du lin et du chanvre Matériau biosourcé, le lin déploie des atouts, en termes d’isolation – thermique et acoustique –. Tout en participant à l’aspect visuel et esthétique. Son approche multi-sectorielle met en lumière une application intérieure et extérieure. Il est devenu l’emblème des éditeurs souhaitant conjuguer esthétique et écologie. « Les solutions biosourcées lin & chanvre ont toujours accueilli une belle audience aux Rendez-Vous de la Matière depuis la première participation de la Confédération européenne du lin et du chanvre en 2016. L’année 2021 est marquée par une fréquentation toujours aussi accrue, renforcée pour cette édition par des enjeux réglementaires, en termes d’utilisation de matériaux biosourcés en vue de la RE 2020 », résume Julie Pariset, directrice innovations de la Confédération européenne du lin et du chanvre. Et Brice Roussel, responsable matériaux et innovations, de poursuivre : « Un retour au présentiel qui a permis des échanges enrichissants et nombreux, témoins de cette tendance de fond d’augmentation de l’utilisation du lin et du chanvre dans le design et l’architecture ». Kebony En pose verticale ou horizontale, le bois développé par Kebony illustre avec brio l’innovation portée aux matières naturelles. Misant sur un dégradé de nuances qui apparaît au fil du temps, les gammes imaginées par le fabricant français s’engagent dans une autre vision de l’architecture.  « Les Rendez-Vous de la Matière était un salon intimiste et très agréable, nous ayant permis de rencontrer beaucoup de personnes travaillant dans des cabinets d’architectes parisiens. L’organisation était telle que nous avons presque été en permanence sollicité par les visiteurs qui étaient, pour la plupart, à la recherche de matériaux biosourcés », explique Olivier Loheac, responsable commercial France. Et Julia Agnese, responsable vente Sud-Est, de conclure : « Comme son nom l’indique, Les Rendez-Vous de la Matière invitent les architectes à découvrir de nouvelles matières. C’est une des raisons pour laquelle ce salon a été intéressant pour Kebony. Avec beaucoup de passage, nous avons eu l’occasion de rencontrer de nombreux architectes parisiens, dont la plupart ont été conquis par le produit. Notamment par le toucher de la matière des échantillons. Ils ont aussi apprécié l’aspect écologique et la garantie de 30 ans proposée par Kebony. Nous sommes très contents d’avoir participé à ce salon qui, pour nous, est incontournable ». Laudescher Avec des lignes intemporelles et un relief travaillé, les panneaux de Laudescher misent sur une esthétique contemporaine, sans négliger l’aspect naturel du bois. Présentées aux Rendez-Vous de la Matière, ces solutions acoustiques rassemblent les performances propres à la marque, développées depuis trois générations. « Laudescher participait pour la deuxième fois aux Rendez-Vous de la Matière. Nous souhaitions mettre en avant nos solutions acoustiques en bois massif pour plafond suspendu et habillage mural. Et cela fut un vrai succès ! Le visitorat était très qualitatif et portait un réel intérêt aux solutions présentées. Ce qui laisse présager de beaux projets », indique le fabricant norvégien. [©ACPresse][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez] Matières Marius Aurenti Pionnier du béton ciré millimétrique, Matières Marius Aurenti conçoit et développe une palette de matières décoratives depuis plus de trente ans. Disposant d’un réseau d’artisans qualifiés, l’industriel accompagne des projet commerciaux et résidentiels dans toute la France et à l’international. « Nous avons apprécié de revenir rencontrer les architectes après cette période de Covid. Le salon était notre premier rendez-vous depuis la pandémie. Et nous avions à cœur de faire un salon aussi beau que qualitatif. Nous avons aimé participer à la scénographie sur notre stand, mais aussi mettre en avant les réalisations des artisans d’art avec les tables en béton ciré Marius Aurenti. Les rencontres que nous avons faites nous ont confortés dans notre envie d’innover autour de notre matière qu’est le béton. Ceci, toout en poursuivant le développement de nos panneaux en béton prêt à poser et des objets en béton », indique Aude Chevalier, cheffe de produit et marketing digital. Rieder Fort de son expertise dans le béton naturel, Rieder allie performance et créativité tout en s’engageant dans une éthique écologique et durable. Par une nouvelle palette de nuances et de textures, révélée en 2019, la marque ne cesse d’imaginer une façade innovante, en lien avec les désirs esthétiques des architectes. « Nous avons participé à l’édition 2017 et 2021. J’ai trouvé que la fréquentation du salon était très bonne. Il y avait très peu de périodes “creuses”, et les horaires semblent être bien adaptés au public. J’ai l’impression que le ratio des architectes par rapport aux architectes d’intérieur était plus faible cette année. Et j’ai eu assez peu de contacts avec des architectes. Il est possible aussi qu’ils aient été un peu plus discrets. J’ai quand même eu 3-4 contacts très qualitatifs. En ce qui concerne le stand, l’emplacement était très bien, tout près de l’entrée, mais j’avais l’impression que les visiteurs étaient plus happés par la scénographie générale, puis regardaient plus en détail ce qui se passait sur les desks. J’avais disposé nos nuanciers et c’est ce qui a attiré le plus l’œil – j’ai eu beaucoup de compliments pour les couleurs. Le lieu est agréable et la taille parfaite. L’équipe du salon était très sympathique, comme toujours ! », résume en détail Christa Kleindienst, directrice des ventes. 
Il y a 3 ans et 235 jours

Habitat légers : les catégories juridiques

Un rêve d’habitat léger vous habite ? Pour connaître le cadre légal applicable en France pour votre projet, la base de la réflexion sera toujours : dans quelle catégorie cet habitat rentre-t-il ? Car à chaque catégorie sa réglementation, ses endroits d’implantation, etc : les règles ne sont pas les mêmes pour tous les habitats légers, loin s’en faut. […]
Il y a 3 ans et 235 jours

Artibat 2021 conforte son positionnement de salon de référence pour la filière

Côté répartition, ARTIBAT conforte son positionnement habituel, avec l’accueil de tous les corps de métier au travers de ces 5 pôles d'activité synonymes d’offre globale.Ainsi, les entreprises de moins de 20 salariés représentent 45% du visitorat et les entreprises de plus de 20 salariés 18%. La prescription n’était pas en reste puisque 17% de profils d’architectes et maîtres d’œuvre se sont déplacés sur le salon pour y découvrir les nouveautés, millésime 2021. Notons que le visitorat était également composé de 7% de fabricants, 5% de distributeurs et 4% de sociétés de services.Enfin, soulignons une particularité pour cette édition 2021 : la forte fréquentation des apprentis, notamment des CFA de Bretagne et Pays-de-Loire. Ces futurs professionnels (4% du visitorat) sont en effet venus nombreux, comme s’en félicite Valérie Sfartz, Directrice du Salon : « A l'heure où le recrutement constitue une vraie problématique pour l'ensemble du secteur, ARTIBAT s'est imposé cette année comme lieu incontournable de rassemblement de toute la filière, avec une forte mobilisation des professionnels de demain venus échanger avec leurs pairs et futurs fournisseurs. »Au-delà d’une convivialité reconnue et appréciée de tous, ce salon d’affaires s’est à nouveau inscrit en véritable temps fort incontournable pour les professionnels français du BTP, appréciant découverte des innovations, qualité des échanges et business, comme en témoignent ces exposants.EDYCEM : Olivier Collin, Directeur Général« L’édition Artibat 2021 aura été une très belle occasion de retrouver l’ensemble de nos partenaires professionnels, un rendez-vous de qualité tant par son contenu que par sa fréquentation. Nous avons eu le plaisir de présenter au public nos innovations, et tout particulièrement notre gamme de bétons bas carbone Vitaliss, l’obtention du DTA pour notre chape sans pellicule Kalkiss SP Evolution, et le Vertical Bloc qui connaît un grand succès auprès de nos clients. »MALERBA : Lydie Chastan, Responsable Communication & Marketing« Artibat 2021 était une très belle édition placée sous le signe du soleil et de la bonne humeur. Au-delà du plaisir de se rencontrer à nouveau et d’échanger de vive voix, c’était aussi la vitrine parfaite pour présenter les nombreuses nouveautés mises au point au cours de ces longs mois de confinement. Salon après salon, ARTIBAT confirme qu’il est un RDV attendu et incontournable pour les professionnels du bâtiment. »SCHÖCK : Daniel Costa, Directeur Commercial et Marketing« Les 3 jours passés au salon Artibat ont répondu à nos attentes, tant en termes d’organisation que de qualité du visitorat et des échanges que nous avons pu avoir au fil de nos rencontres. Notre participation au salon nous a notamment permis de présenter notre nouveau logiciel Open BIM Schöck, avec la présence de notre partenaire et développeur CYPE France sur notre stand qui a réalisé des démonstrations en avant-première ! Résultat : une approche interactive pour présenter nos nouveautés, obtenir de premiers retours et échanger de manière constructive sur les défis auxquels doit faire face le secteur du bâtiment en matière de sobriété énergétique et décarbonation avec nos partenaires maîtres d’ouvrages, architectes, bureaux d’études thermique et structure. »WEBER : Frédéric Sevestre, Chef de Projet Communication« La richesse des échanges avec nos clients et le plaisir de nous retrouver dans un cadre convivial confirment plus que jamais l’importance de la proximité et du contact humain dans nos métiers. Année après année, Artibat continue de s’imposer comme un lieu de rencontre et de partage incontournable pour les professionnels du bâtiment. »
Il y a 3 ans et 235 jours

Agrandissement, high tech, et nouvel entrepôt pour Legallais

PLATEFORME LOGISTIQUE. Afin de répondre à la demande croissante, le distributeur spécialisé dans la quincaillerie, Legallais, annonce l'agrandissement de son entrepôt actuel situé dans le Calavdos ainsi que la construction d'une nouvelle plateforme à proximité.
Il y a 3 ans et 235 jours

Le gouvernement soutient 500 projets d'habitat au coeur des petites villes

"Entre le maintien à domicile et l'Ehpad, cette solution permet d'habiter avec d'autres personnes, mais dans un format de collocation ou de petite unité de vie", a affirmé la ministre de la Cohésion des Territoires, Jacqueline Gourault, lors des premières rencontres du programme Petites villes de demain, lancé il y a un an et doté d'une enveloppe de 3 milliards d'euros d'ici 2026.La ministre déléguée à l'Autonomie, Brigitte Bourguignon, a souligné, pour sa part, que cet "appel à manifestation d'intérêt dans les petites villes de demain permettra de mieux accompagner les porteurs de projet d'habitat inclusif"."Il est destiné aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap qui font le choix, à titre de résidence partagée, de résidence principale, d'un mode d'habitation regroupé entre elles et avec d'autres personnes", a-t-elle ajouté."Ce sont ainsi 500 opérations d'habitat inclusif en coeur de ville qui seront soutenues jusqu'en 2026 (...). Pour l'année 2022, 45 millions d'euros seront mobilisés sur l'ensemble du territoire national pour l'aide à la vie partagée", a-t-elle ajouté."Cela correspond à une demande très forte de gens qui à la fois ne se voient pas quitter l'endroit où ils ont vécu toute leur vie et qui ont envie de rester sur place et de vivre chez eux mais avec d'autres personnes", a précisé le cabinet de Mme Gourault.Le programme "Petites villes de demain" a pour objectif de soutenir les projets de revitalisation d'un millier de localités de moins de 20.000 habitants. Plus de 87% des communes concernées ont signé leur convention d'adhésion, a indiqué le ministère.
Il y a 3 ans et 235 jours

Il extorquait des promoteurs à Marseille: trois ans de prison ferme

JUSTICE. Un marchand de biens s'est notamment vu condamné à indemniser 13 sociétés de promotion auprès desquelles il avait négocié le retrait de ses recours contre des sommes très importantes. Le tout pour un enrichissement évalué à plusieurs millions d'euros.
Il y a 3 ans et 235 jours

Présidentielle 2022 : comment les candidats se positionnent sur les enjeux du Bâtiment

ÉCONOMIE. Invités à présenter leurs propositions pour le secteur de la construction lors d'un évènement organisé par la profession, huit candidats à l'élection présidentielle se sont succédé pour livrer leur vision de la filière. Souveraineté nationale, allègement des normes, transition bas-carbone, lutte contre la fraude, territorialisation de la politique du logement... autant de sujets qui ont notamment été évoqués.
Il y a 3 ans et 235 jours

Biocarburant, engins connectés... Comment BM Rent engage la décarbonation de son parc

FOCUS. Pour réduire son empreinte carbone de 40% d'ici à 2030 et aider ses clients à aller également dans ce sens, la filiale de Bergerat Monnoyeur travaille sur plusieurs fronts. L'utilisation d'un biocarburant pour l'ensemble de son parc en est un.
Il y a 3 ans et 235 jours

EAS SOLUTIONS MET EN LUMIÈRE L’EXTENSION D’ORLY 4 AVEC AÉROLUMAZ, UN LUMINAIRE LINÉAIRE LED CONÇU ET FABRIQUÉ EN FRANCE

AÉROLUMAZ, un luminaire linéaire LED conçu par EAS SOLUTIONS pour le Groupe ADP : Conçu et fabriqué en France, le linéaire LED AÉROLUMAZ offre une efficacité lumineuse de 120 lm/W, soit 40 à 50 % de plus que les traditionnels linéaires fluorescents. Par rapport à un produit LED standard, ce linéaire LED apporte un gain de 20% sur la consommation énergétique et une augmentation de la plage de variation de 40%. Il est équipé de la technologie DALI qui permet une gestion centralisée de l’éclairage et une gestion du flux lumineux en fonction de la lumière naturelle, grâce notamment aux capteurs de luminosité. Son driver séparé est conçu pour fonctionner 100 000 heures avec une plage de régulation allant de 1% à 100%, optimisant ainsi les dépenses en énergie. Auto-protégé et résistant aux microcoupures, il peut aussi fonctionner sur réseaux secourus ADP en 200 volt continu. Doté de LEDs très haut rendement, le luminaire AÉROLUMAZ possède un flux lumineux de 3600 lm, une puissance de 30W, un indice de rendu de couleur (IRC) de 80, une température de couleur de 4000K et une durée de vie de 54 000 heures. D’une longueur de 120 cm, il est robuste (réflecteur et corps en aluminium) et réparable. Ce linéaire LED est conçu pour fonctionner sans limite de durée d’utilisation (24H/24) à des températures allant de -20° à +50°C. Il permet, grâce à la variation, d’économiser plus de 80 % d’énergie et est garanti 5 ans. Le luminaire LED avec réflecteur AÉROLUMAZ, dont la photométrie particulière est certifiée Piséo, a été développé en fonction des exigences techniques et architecturales du Groupe ADP. Il apporte un grand confort visuel aux usagers sans éblouissement (risques photo biologiques GR0). Application : Mise en lumière de la nouvelle extension d’ORLY 4 : Crédit photo Groupe ADP La nouvelle extension de la zone internationale « Départs » d’Orly 4 avec sa lumineuse salle d’embarquement quasiment transparente d’une superficie de 2 500 m2, bénéficie d’un éclairage 100% LED. Cette réalisation, opérationnelle depuis juin dernier, s’étend sur 50 000 m2, dont 27 000 m2 en extension et 23 000 m2 en réaménagement de la zone existante. Elle comprend un système de tri bagages ainsi que des zones de débarquement et d’embarquement avec accès directs aux postes avions. Afin de mettre en lumière ce nouvel ouvrage conçu avec des matériaux nobles tels que la pierre, le verre et le bois, le Groupe ADP qui souhaite encore améliorer son empreinte carbone, a choisi la solution d’éclairage LED d’EAS SOLUTIONS, à savoir un nouveau linéaire LED avec réflecteur qui allie un haut rendement lumineux à une faible consommation énergétique pour un éclairage LED optimal. Après environ deux années d’études techniques du produit incluant notamment validation du flux lumineux et de la consommation puis la validation esthétique, EAS SOLUTIONS a procédé à la fabrication des 1368 luminaires LED que compte cette réalisation. A propos d’EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 235 jours

DOM-TSS lance sa solution de visio-assistance DOM-Live

Quels que soient les secteurs d’activité, la transformation digitale des services prend de plus en plus d’ampleur. Elle s’est même accélérée depuis la crise sanitaire. Avec pour priorité quotidienne la satisfaction de ses clients, DOM-TSS s’inscrit dans cette tendance et présente DOM-Live, son nouveau service d’assistance vidéo à distance qui allie simplicité, rapidité et efficacité. Sur le marché des serrures, il existe une multitude de variantes en fonction des applications. Qu’il s’agisse de sécuriser du mobilier (bureau, atelier…), de protéger des équipements et des personnes dans le secteur de l’énergie ou des transports (ferroviaire, automobile…), le nombre de références est considérable. Aussi, dans le cadre d’un remplacement, par exemple, il est parfois compliqué pour les partenaires de DOM-TSS d’identifier rapidement le bon modèle. Grâce à DOM-Live, le nouveau service de visio-assistance proposé par DOM-TSS, ils peuvent résoudre à distance, en direct, et donc très rapidement ce type de problématique. Pour cela rien de plus simple, il suffit au client de contacter le service commercial de DOM-TSS pour recevoir par SMS ou e-mail un lien sur lequel il n’a plus qu’à cliquer pour lancer une communication vidéo en temps réel. Grâce à la caméra de son smartphone, il peut alors montrer le produit concerné et suivre les indications du conseiller technique DOM-TSS en toute simplicité, comme s’il était à ses côtés. En visualisant en temps réel ce que filme la caméra du téléphone de son client, l’interlocuteur DOM-TSS le guide pour prendre les dimensions importantes d’une serrure et ainsi identifier la bonne solution de verrouillage. Il peut également apporter des annotations sur une photo du produit et transmettre des fichiers et documentations. Très facile à utiliser, le nouveau service de visio-assistance DOM-Live de DOM-TSS garantit aux professionnels d’être dépannés encore plus vite, où qu’ils soient, et ainsi de gagner en efficacité. http://www.ronis.fr/
Il y a 3 ans et 235 jours

La moitié des Français estime nécessaire de réaliser des travaux de rénovation énergétique mais regrette le manque d'accompagnement

Malgré ce fort intérêt, les Français restent perdus devant la complexité du fléchage des aides et disposent d'un budget en baisse par rapport à 2020 pour financer les travaux dans leur logement. Pour faciliter leurs démarches, ils plébiscitent l'accompagnement à travers un prestataire unique et, en prérequis, l'audit énergétique de leur logement.Dans un contexte de reprise, le dernier baromètre OpinionWay/Monexpert-renovation-energie.fr est riche d'enseignements sur la perception des nouvelles mesures de soutien à la rénovation énergétique qui sont destinées à massifier et à accélérer les travaux : malgré leur besoin croissant de rénover thermiquement leur logement et une meilleure connaissance des enjeux environnementaux, les Français sont toujours freinés dans leurs projets par la complexité des démarches administratives et le maquis des aides.Malgré une facture d'énergie conséquente, plus d'un tiers des Français déclare avoir froid dans son logementAlors qu'ils déclarent une facture énergie mensuelle moyenne de 184€, les Français sont 20% à payer plus de 200 € de facture de chauffage par mois. A noter que les 18-24 ans et les 65 ans et plus sont les plus impactés avec respectivement 202 euros de budget moyen mensuel et 227 euros. Ce budget énergétique conséquent a un véritable impact sur le pouvoir d'achat des Français. A ce titre, deux Français sur trois (66%) sont prêts à réaliser des travaux de rénovation afin de disposer d'une facture énergie plus réduite. Deux tiers souhaitent également réaliser ces travaux pour avoir davantage de confort dans leur logement (64%).En effet, plus d'un tiers de la population (36%) déclare avoir froid dans son logement au moins de temps en temps pendant l'hiver. Sans surprise, les locataires semblent davantage subir les effets de leur logement en matière de température : la moitié d'entre eux (50%) déclare avoir froid dans leur logement au moins de temps en temps pendant l'hiver, dont 18% souvent (contre 28% des propriétaires, dont 5% souvent).Ainsi, le fait d'avoir froid dans son logement l'hiver semble un critère déterminant dans le sentiment que des travaux de rénovation énergétique y sont nécessaires : plus de la moitié des Français (56%) qui estime que des travaux sont nécessaires dans leur logement déclare avoir froid chez eux l'hiver.La moitié des Français convaincue de la nécessité de réaliser des travaux malgré une méconnaissance des aides qui perdureAussi, ils sont nombreux (1 Français sur 2, soit 48%) à estimer nécessaire la réalisation de travaux énergétique dans leur logement et ils aimeraient même que cela soit obligatoire (52%). Car, ils sont conscients que cela apporte une vraie valeur au logement : pour près de8 Français sur 10, l'étiquette énergétique du logement visité serait un critère important dans leur projet d'achat (76%) et pour 33%, une bonne étiquette énergétique permet une revente facile.Cependant, 2 Français sur 3 (66%) ne sont pas en mesure de citer une aide financière permettant de réaliser des travaux de rénovation malgré la communication massive des pouvoirs publics et des acteurs privés. Et pourtant les enjeux financiers sont centraux pour les personnes envisageant ce type de travaux : une personne sur trois qui hésite à réaliser au moins un type de travaux estime ne pas en avoir les moyens financiers (34%). Le fait d'estimer ne pas avoir droit aux aides à la rénovation arrive en deuxième position (26%) des hésitations.De plus, les personnes qui estiment qu'une rénovation de leur logement est nécessaire sont nombreuses à déclarer manquer d'argent (53% contre 43% de ceux pour qui une rénovation n'est pas nécessaire). Et pourtant, beaucoup estiment ne pas avoir droit aux aides (30% contre 21%) et ne savent pas comment les obtenir (30% contre 8%).Près de 2 Français sur 3 ne connaissent pas l'étiquette énergétique de leur logementSi l'étiquette énergétique est un critère important lors d'un projet d'achat, près de 2 Français sur 3 (58%) ne savent pas quelle étiquette énergétique est attribuée à leur logement et la rénovation énergétique n'est même pas perçue spontanément comme ayant un lien avec la réduction de la facture. Les locataires, ayant généralement moins de marge de manœuvre en matière de travaux, sont les plus nombreux à ne pas connaître le niveau de performance énergétique de leur logement : 64% contre 52% des propriétaires.Dans ce contexte, même si près d'1 Français sur 2 a déjà réalisé certains travaux (44%), plus d'un Français sur 2 (56%) n'envisagent pas d'en faire dans les 2 ans à venir.Ainsi, pour ceux qui ont fait ou envisagent des travaux, arrivent sur le podium le changement de fenêtres et l'isolement des combles (tous deux à 17%) et le changement du système de chauffage (14%).Concernant les travaux envisagés pour les années à venir, sont cités des types de travaux plus ambitieux et coûteux : le changement de système de chauffage se trouve à la première place (21%), suivi de l'isolation des murs (19%) et de l'installation de panneaux solaires et du changement de fenêtres (tous deux à 18%).La raison des freins à la rénovation aujourd'hui : le budget et le manque d'accompagnementLe frein principal pour 1 Français sur 2 est l'argent. Avec un budget moyen de 2.546 euros, c'est un montant en baisse de 525 euros par rapport à la vague précédente (3.071 euros en 2020) et encore insuffisant pour effectuer des travaux efficaces. Cette baisse est toutefois à relativiser car le budget reste supérieur à celui enregistré en 2019 de 80 €. L'année 2020 a été une année particulière en raison des confinements qui ont permis à de nombreux Français d'économiser de l'argent et d'avoir davantage de temps à consacrer à ces travaux.Ainsi seulement 35% des Français disposent de plus de 1.000 euros pour les financer, 23% déclarent disposer de moins de 1.000 euros pour les financer et même 30% ne disposent d'aucune enveloppe budgétaire. Le corolaire de cette situation est la nécessité absolue de réduire, une fois les aides existantes déduites, le reste à charge des ménages, en particulier pour les plus modestes.Un écart important entre propriétaires et locataires est à souligner : le budget moyen envisagé par les propriétaires (3.451 €) est plus de trois fois supérieur à celui des locataires (1.121 €).Outre la question de la marge de manœuvre pour les travaux, il est également plus simple de prévoir ce type d'investissement à long terme pour les propriétaires. Sur ce point également, on peut observer de fortes disparités budgétaires entre les régions concernant le budget moyen, allant de 1.751 € en région Centre à 3.558 € dans le Grand Est.Au frein budgétaire s'ajoute le manque d'accompagnement technique et le manque d'artisans de confiance tous deux avancés par 25% des Français.Les Français plébiscitent l'audit de leur logement et l'accompagnement via un prestataire unique.Pour pallier ces freins, plus de 2 Français sur 3 qui envisagent des travaux (71%) se disent intéressées par un audit de leur logement, ne serait-ce que par curiosité pour 43%. Un véritable plébiscite du diagnostic énergétique du logement qui entre dans la logique de l'accompagnement de A à Z déjà largement exprimé lors des vagues précédentes.Pour ce faire, afin de faciliter les démarches et simplifier les travaux, une solution émerge largement : permettre aux Français de s'appuyer sur un interlocuteur unique avant, pendant et après leur projet. En effet, près de trois Français envisageant une rénovation sur quatre pourraient confier la gestion de leur rénovation à un unique prestataire qui s'occuperait de mettre en place le projet, de le suivre et de réaliser les démarches d'obtention d'aides à la rénovation.77% seraient prêts à le faire pour des travaux simples avec un seul type de rénovation et73% pour des projets plus complexes avec plusieurs types de travaux en simultané.La rénovation énergétique doit être au cœur du débat de la présidentielleDans ce contexte 2 Français sur 3 (63%) réclament que la thématique de la rénovation énergétique ait sa place dans le débat des élections présidentielles. Rappelons qu'outre les économies d'énergie qu'elle permet, la rénovation énergétique améliore le confort thermique à l'intérieur des logements, mais aussi une meilleure qualité de l'air et donc une meilleure santé et un meilleur moral pour ses occupants.En conclusion, afin de convaincre davantage de Français à réaliser des travaux de rénovation énergétique, Monexpert appelle les pouvoirs publics à systématiser le recours à l'audit et ce à un coût raisonnable. Aidé en partie par MaPrimeRénov' pour certains foyers, l'audit énergétique doit également être aidé par le dispositif des Certificats d'Economies d'Energie permettant par ce cumul d'avoir un reste à charge incitatif. Aussi ce reste à charge doit être modulé en fonction de la réalisation de travaux pour aider les plus engagés.Il est nécessaire de massifier mais de manière efficiente et dans la continuité. Et pour cela, revaloriser les aides est impératif pour inciter et aider les Français à passer à l'acte.
Il y a 3 ans et 235 jours

La Banque de France multiplie les dispositifs pour aider les entreprises pendant la crise

AIDE. La pandémie de Covid-19 a fragilisé de nombreuses entreprises et secteurs d'activité. La Banque de France rappelle que de nombreuses aides gratuites existent pour les accompagner.
Il y a 3 ans et 235 jours

Les six scénarios de RTE sur le futur électrique de la France

Une consommation en haussePour la consommation française, RTE retient le scénario de référence d'un niveau de 645 térawattheures (TWh) en 2050, soit une hausse de quelque 35% par rapport à l'époque actuelle.Elle suppose une électrification "progressive" des usages et une ambition forte sur l'efficacité énergétique.Mais RTE imagine aussi une trajectoire axée sur la "sobriété", où la consommation n'atteindrait que 554 TWh. Elle suppose une évolution des habitudes de vie: davantage de télétravail, moindre consommation de biens et moins de déplacements individuels.C'est le scénario privilégié par exemple par le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot.A l'inverse, une forte réindustrialisation de la France et un développement accéléré de la production d'hydrogène pourraient se traduire par une consommation électrique encore plus importante (754 TWh), selon RTE.Des scénarios sans nouveaux EPRSur les six scénarios qui imaginent le futur de la production électrique, trois se font sans nouveaux réacteurs nucléaires.Le premier scénario est 100% renouvelables en 2050: il suppose une sortie totale du nucléaire avec un rythme de développement du photovoltaïque, de l'éolien et des énergies marines "poussés à leur maximum".Dans un rapport publié fin janvier avec l'Agence internationale de l'énergie (AIE), RTE avait déjà conclu à sa faisabilité technique, à condition de remplir une série de conditions techniques strictes et cumulatives.La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili, opposante au nucléaire de longue date, avait alors salué un "moment copernicien".RTE souligne lundi que les scénarios à très hautes parts de renouvelables "impliquent des paris technologiques lourds pour être au rendez-vous de la neutralité carbone en 2050".Deux autres scénarios sans nouveaux EPR conservent pour leur part une part de nucléaire provenant des réacteurs existants. L'un s'appuie sur le développement de grands parcs notamment éoliens, l'autre sur une répartition "diffuse" avec beaucoup de solaire, notamment sur les toitures.Ce dernier est le scénario le plus coûteux pour la France.Trois chemins avec de nouveaux EPRLes trois derniers scénarios de production imaginent le lancement de nouveaux réacteurs de nouvelle génération (EPR2), associés dans tous les cas à une progression des renouvelables.Deux d'entre eux imaginent une part minoritaire mais significative du nucléaire dans le bouquet français en 2050, avec respectivement 8 EPR ou 14 nouveaux EPR lancés."Un scénario conservant une capacité de production nucléaire importante associé à un développement conséquent des renouvelables est de nature à limiter le risque de non-atteinte des objectifs climatiques", souligne RTE.Autre avantage de la construction de nouveaux réacteurs: c'est un choix "pertinent" du point de vue économique même si cet avantage est soumis à la capacité à accéder à des financements compétitifs.Un dernier scénario imagine enfin 14 EPR plus des petits réacteurs et la prolongation d'une partie du parc existant au-delà de 60 ans, permettant d'avoir encore 50% de nucléaire en 2050. RTE souligne le défi technique que poserait ce dernier choix, avec beaucoup d'incertitudes associées.