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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 227 jours

Le diagnostic de performance énergétique immobilier est relancé

Murs "déperditifs" (qui donnent sur l'extérieur ou un local non chauffé), huisseries, chauffage, ventilation... rien ne doit échapper à l'oeil du diagnostiqueur lorsqu'il entre dans un logement, ni l'orientation, les matériaux de construction ou l'épaisseur de la lame d'air dans le double vitrage. Les données sont ensuite condensées et pondérées par des coefficients.Au final, une note entre A et G sur la performance énergétique du logement: c'est le DPE, qui n'est plus informatif mais opposable depuis le 1er juillet, et avec un mode de calcul non plus basé sur les factures d'énergie mais plutôt sur les caractéristiques du bâtiment.Toutefois, le signal d'alarme a été rapidement tiré par les professionnels du diagnostic comme par les propriétaires. En raison d'"anomalies" remarquées dans les premiers diagnostics effectués durant l'été, l'édition de DPE pour les logements construits avant 1975 (année des premières réglementations thermiques) avait été suspendue fin septembre. Depuis le 1er novembre, elle a repris avec des correctifs au logiciel.Ainsi, un appartement de 80 mètres carré dans un immeuble haussmanien du 18e arrondissement, au nord de Paris, avait reçu à la rentrée la note G. Quelques semaines plus tard, avec le logiciel corrigé, le diagnostiqueur Karim Rebah, gérant d'Adeka Expertises, observe avec les mêmes données la remontée d'une catégorie.L'estimation de coûts annuels d'énergie du logement, une information qui accompagne le DPE et ne manque jamais de faire réagir les propriétaires selon le diagnostiqueur, a quant à elle chuté de 500 euros environ."On va être très vigilant, parce que derrière il y a quand même des enjeux importants d'obligations, des questions de rénovation, d'interdiction de louer. Ce n'est pas anodin", prévient Jean-Marc Torrollion, président de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM).Chasse aux passoires thermiquesLe DPE est devenu "un des piliers" de la transition énergétique avec la loi climat et résilience, souligne Lionel Janot, le président de la Fédération interprofessionnelle du diagnostic immobilier (Fidi)."Du coup, il fallait que le DPE soit fiable", ajoute-t-il, "satisfait" du correctif apporté.La loi fait en effet la chasse aux "passoires thermiques", ces logements énergivores qui seront progressivement interdits à la location à partir de 2025."La transition énergétique, il va falloir la faire, et le bâtiment ne peut pas y échapper", observe Karim Rebah. "Il n'y a pas 36 solutions: on isole si on veut consommer moins".Le nouveau DPE, c'est une dizaine de pages avec des codes couleurs et des schémas didactiques, notamment pour montrer la part en pourcentage de chaque élément dans les déperditions. Il inclut des recommandations, et selon les travaux réalisés, précise dans quelle catégorie de note le logement rénové se situerait.Le ministère du Logement estime à 80.000 le nombre de DPE portant sur des logements construits avant 1975 ayant reçu la note de F ou G au cours de l'été, qui seraient donc "refaits de manière automatique", sans frais pour les propriétaires -- le coût sera pris en charge via une indemnisation des diagnostiqueurs par l'Etat. Dans le cas d'une note D ou E, le propriétaire pourra demander une réédition, "sans frais supplémentaire non plus", avait-il annoncé dans un communiqué début octobre.L'impact de ce nouveau DPE est très attendu, même si pour l'instant dans "l'euphorie" des ventes cet été, "il n'y a pas eu d'effet", note Jean-Marc Torrollion. Avec une nuance importante: "on a quand même des banques qui ont refusé des financements de (logements classés) G".Et du côté des bailleurs? "La prise de conscience arrive", constate M. Torrollion, tout de même "étonné de l'ignorance des conséquences de la loi climat et résilience, par exemple des élus locaux".
Il y a 3 ans et 227 jours

Albertville : dégoudronnage de la cour de la cité scolaire Jean-Moulin

Le projet de dégoudronnage de la cour de la cité scolaire Jean-Moulin fait partie des lauréats de la première édition du Budget citoyen de la Savoie.
Il y a 3 ans et 227 jours

Face à la recentralisation, les maires de France affichent leur unité

Les maires de France fêteront leurs retrouvailles, du 16 au 18 novembre à Paris, porte de Versailles. Privés d’occasions de se rencontrer depuis leur élection en juin 2020, ils affirmeront leur rôle moteur dans la relance de l’économie frappée par la crise sanitaire, à l’occasion de leur 103ème congrès. Les 900 exposants du salon les immergeront au cœur des enjeux de leur mandat.
Il y a 3 ans et 227 jours

L'équilibre économique du régime des catastrophes naturelles est tendu, selon la FFA

"Il est important que les politiques de prévention et d'adaptation s'intensifient très nettement dans notre pays", a déclaré Florence Lustman, qui rappelle que les assureurs contribuent également au financement de la transition écologique.En 2020, ils ont ainsi augmenté de 30% leurs placements verts, en les portant à 113 milliards d'euros, soit 4% des 2.700 milliards d'euros versés par les assurés.Avec le changement climatique, le secteur des assurances va être de plus en plus mis à contribution. Selon la FFA, qui a publié jeudi une étude sur le sujet, le coût total des sinistres climatiques en France pourrait doubler sur la période 2020-2050 comparée à 1989-2019.Outre la prévention, nécessaire pour adapter les bâtiments et les constructions "aux nouveaux risques" et limiter ainsi les sinistres à indemniser, des pistes de réflexion sont en cours pour revoir le périmètre des dommages couverts, a souligné Mme Lustman.Par exemple, "la sécheresse endommage les bâtiments mais parfois ce n'est que purement esthétique. Donc nous pourrons nous demander s'il faut continuer à couvrir les conséquences qui ne seraient que de cet ordre", indique la présidente de la FFA, qui souhaite "préserver les grands fondamentaux de ce régime (catastrophes naturelles): la solidarité et l'universalité".Mais ce n'est qu'une fois l'accent mis sur la prévention et l'adaptation qu'il conviendra de "regarder comment adapter la tarification de ce régime", plaide-t-elle.Depuis plusieurs années, les tarifs des réassureurs mondiaux, qui assurent les assureurs, notamment face aux grands risques, n'ont cessé d'augmenter pour faire face à des catastrophes de plus en plus fréquentes.
Il y a 3 ans et 227 jours

iBAT poursuit sa croissance et réalise un tour de financement de 2.1 millions d’euros pour aider les TPE du BTP à se digitaliser

Pour accompagner le développement de son activité, et, notamment, le déploiement de sa solution auprès des PME/TPE, pour poursuivre le développement de sa solution et apporter toujours plus de performance à ses clients, la société toulousaine a finalisé un nouveau tour de financement en 2021.PRO BTP Innovation entre ainsi au capital d'IBAT. Les partenaires bancaires d'IBAT, BPI France, Caisse d'Epargne et la Banque Populaire Occitane (Next-Innov), contribuent à ce tour, de même que la région Occitanie.Mélanie Lehoux, fondatrice et CEO d'IBAT annonce : « Nous sommes très heureux de la confiance renouvelée de nos partenaires financiers en cette période décisive pour l'avenir du secteur du BTP. La croissance et le développement des petites et moyennes entreprises va passer par une nécessaire digitalisation et nous sommes fiers de pouvoir innover et leur proposer des solutions qui répondent à ces enjeux. Nous sommes également fiers que la vision et la stratégie d'IBAT, créateur de marge, aient convaincu PRO BTP Innovation, notre nouveau partenaire en capital, dont l'investissement vient en soutien de la croissance de l'entreprise pour l'accompagner sur le long-terme. »PRO BTP Innovation bénéficie d'une connaissance approfondie des enjeux du secteur du Bâtiment et des Travaux Publics (« BTP ») et du besoin d'innovation de ses acteurs.IBAT compte parmi ses clients nombre d'acteurs du BTP, dont, pour n'en citer que quelques-uns, Demathieu Bard, GCC, Spie Batignolles, Eurovia, Paris Ouest, ETPO. La proposition de valeur de l'entreprise s'adresse désormais aussi aux acteurs du BTP de plus petite taille, pour lesquels l'innovation représente un levier déterminant.Nouvelle offre IBAT et nouvelles fonctionnalitésIBAT a mis sur le marché au mois de mai 2021 une nouvelle version de son application de gestion des achats destinée aux PME, TPE et artisans : IBAT Achat Zen. Cette application a été voulue comme un véritable hub qui vient faciliter la relation entre les professionnels du BTP et leurs fournisseurs.Les entreprises peuvent désormais, en quelques clics, trouver les fournisseurs à proximité de leurs chantiers, passer leur commande à tous leurs fournisseurs depuis une seule et même application, réaliser des demandes de devis, puis piloter leurs achats et valider leurs factures. Elles gagnent ainsi beaucoup de temps dans leurs tâches administratives et maîtrisent en temps réel leurs dépenses. Elles peuvent alors se concentrer davantage sur leur cœur de métier.Les applications IBAT au service des professionnels du BTPIBAT s'est donné pour mission d'alléger la charge administrative des professionnels du BTP. Elle commercialise depuis 2017 des solutions numériques pour optimiser l'ensemble des dépenses sur chantier.Les outils d'IBAT apportent de réels gains de temps et financiers dans la gestion des 3 dépenses de l'entreprise : la main d'œuvre, les achats et la sous-traitance.IBAT ACHAT : l'application de commande en ligne multifournisseurs et de digitalisation des process achats,IBAT TEMPS : l'outil de planification, pointage et gestion des équipes travaux,IBAT CONSULT : l'application de consultation numérique pour la réalisation des appels d'offres des chantiers.
Il y a 3 ans et 227 jours

Thierry Legrand devient le président Europe de Fortera

Thierry Legrand est le nouveau président Europe de Fortera [©DR] A l’occasion de son arrivée sur le marché européen, l’américain Fortera accueille Thierry Legrand au poste de président Europe. Cette nomination est le premier pas vers un développement international du groupe. Depuis 2019, date à laquelle Fortera a été créée, l’entreprise a pour ambition  d’accompagner les acteurs de la construction dans la réduction de leurs émissions de carbone. Pour cela, elle a développé un procédé de recarbonation, qui convertit les émissions de CO2. Provenant des fours cimentiers en un produit cimentaire. De plus, d’ici 2022, Fortera commercialisera son propre ciment.  Vers la réduction des émissions carbone Aujourd’hui, le monde entier essaye, tant bien que mal, de réduire ses émissions de carbone. Pour cela, l’Europe s’est fixée de nombreux objectifs. Des dispositifs ont été mis en place, afin d’inciter l’arrivée de nouvelles technologies, qui vont dans ce sens. Fortera y a vu une opportunité de croissance à l’international. « En confiant notre développement européen à Thierry Legrand, nous sommes convaincus. Que nous pourrons déployer notre technologie efficacement et rapidement », témoigne Ryan Gilliam, directeur général et co-fondateur de Fortera. En effet, fort de son expérience, Thierry Legrand a pour mission de piloter l’ensemble de l’implantation de Fortera en Europe. Rappelons qu’en 2019, le secteur de la construction a rejeté19,95 Gt de CO2à l’échelle mondiale. Thierry Legrand souligne ainsi la nécessité de réduire cette empreinte carbone : « Il n’y a pas de sujet plus important pour la construction aujourd’hui que la neutralité carbone. Des innovations sont nécessaires pour réduire les émissions de CO2. Mais celles-ci doivent être accessibles à un coût raisonnable. » Le parcours de Thierry Legrand Polytechnicien et ingénieur de formation, Thierry Legrand a débuté sa carrière chez Saint-Gobain, dans les secteurs de l’optimisation des procédés et de l’organisation des usines. En 1992, il poursuit sa carrière, en intégrant Lafarge Ciments. Il restera chez Lafarge et Holcim pendant plus de 20 ans à des postes de direction en Afrique, en Asie et en Europe.  1Selon une étude menée par l’Alliance mondiale pour le bâtiment et la construction et du Programme des Nations unies pour l’environnement. 
Il y a 3 ans et 227 jours

Alphi inaugure son futur

Alphi a inauguré son nouveau siège social le 21 octobre 2021. [©ACPresse] Le spécialiste du coffrage horizontal Alphi vient d’inaugurer son nouveau siège social. Implanté à Méry, commune située juste à côté d’Aix-les-Bains, en Savoie, le bâtiment a été conçu comme un espace de “bien travailler et bien vivre ensemble”. Il est ainsi le résultat de la démarche du “Care Management”, prônée par la direction d’Alphi depuis plusieurs années déjà. « Lorsque l’on “prend soin” de ses équipes, on prend soin de ses clients, de ses fournisseurs, mais aussi de son territoire », résume Alexandre et Philippe Souvignet, co-dirigeants de l’entreprise. Ainsi, l’ensemble des collaborateurs a été impliqué dans la création du nouveau siège pour concevoir un véritable lieu de partage. Les open spaces favorisant les échanges cohabitent avec les pièces fermées, propices à la concentration… Un chiffre d’affaires de 50 M€ d’ici à 3 ans Se développant sur une superficie globale de 1 500 m2, le nouveau siège multiplie par deux l’espace disponible en comparaison aux anciens locaux. Toute la surface n’est pas occupée pour le moment, laissant ainsi une bonne réserve pour accompagner le développement d’Alphi.« Nous avons doublé notre chiffre d’affaires en trois ans. Celui-ci est passé de 15 à 28 M€ et atteindra les 30 M€ à fin 2021 », reprend Alexandre Souvignet. Et de poursuivre : « Notre ambition est à présent de devenir une entreprise de taille intermédiaire, c’est-à-dire une ETI avec un chiffre d’affaires de 50 M€. C’est notre plan à trois ans ».  Etre reconnaissable entre tous Le nouveau siège de l’entreprise se veut le symbole de cette stratégie, de cette “CroisSens”. « La performance financière doit être la conséquence d’un projet d’entreprise et jamais une fin en soi », martèle Alexandre Souvignet. Une croissance qui s’inscrit pleinement dans le “Care Management”.  Avec un “A” de couleur bleue courant sur toute la hauteur de sa façade, le bâtiment réussit le pari d’être reconnaissable entre tous. En plus d’être ancré dans son territoire. Une autre volonté affirmée d’Alphi. Découvrez dans Béton[s] le Magazine n° 97 – Novembre/Décembre 2021 ce qui se cache derrière la stratégie et le “prendre soin” prôné par Alphi… 
Il y a 3 ans et 227 jours

Nouveau module ProDevis, 3D, Diapason et Ramasoft

#1 Le nouveau module Interventions de ProDevisProDevis, le logiciel n°1 de chiffrage et gestion commerciale Menuiserie, Store, Fermeture, présente son nouveau module Interventions ! Son objectif : permettre aux 20.000 utilisateurs de gérer tous types d'interventions (dépannage gratuit ou payant, SAV, fin de chantier…) de manière globale, de simplifier leur traitement, tout en bénéficiant d'une analyse fine et précise de cette activité.De son côté, ProDevis START, l'application de chiffrage et commande 100% web pour les Artisans présente ses modules Favoris et Médias. Deux nouveaux modules, un objectif commun : toujours plus simplifier la création de leurs devis et gagner en efficacité dans leur activité quotidienne !#2 Le 1er configurateur 3D fenêtres 100% web pour les IndustrielsELCIA présente son 1er configurateur 3D fenêtres 100% web à destination des particuliers. A disposition des Industriels du secteur, ce configurateur 3D s'intègre dans leur site web ou encore leurs bornes de showroom. Leurs clients particuliers y modélisent leur projet Menuiserie simplement et rapidement via une représentation 3D fidèle et précise. Outil d'aide à la vente, le configurateur permet à l'industriel de générer des leads et capter de nouveaux clients. Déployée chez un client pilote, la solution sera dévoilée sur le salon.#3 Les configurateurs 3D BatiTrade accessibles depuis ProDevis – Elu nouveauté ARTIBAT 2021ELCIA poursuit également son objectif de démocratiser l'usage des configurateurs 3D grâce à l'interface entre ProDevis et BatiTrade ! Plus de 20.000 menuisiers peuvent désormais accéder aux configurateurs 3D BatiTrade directement depuis leur logiciel de chiffrage et gestion commerciale ProDevis, pour réaliser leur projet de portails, clôtures, portes de garage, garde-corps, portes d'entrée, pergolas, lames de terrasse ou encore placard/dressing en 3D. C'est toute l'expérience clients entre l'industriel, l'installateur et le particulier qui est révolutionnée !#4 Diapason innove dans la gestion des écrans AteliersLa gestion des écrans ateliers de Diapason prend un nouveau virage. Dédiée aux ateliers de production, son objectif est d'optimiser le pilotage de la production, d'apporter un support « 0 papier » aux opérateurs et d'assurer un suivi qualité, directement depuis les écrans ateliers. 100% Web, cette nouvelle brique est facile à déployer pour un gain de productivité immédiat.Autre nouveauté : Diapason s'interface également avec Microsoft Power BI pour créer des rapports et tableaux de bord dynamiques. Au travers d'un nouveau module, Diapason mettra à disposition un puissant moteur d'extraction pour permettre à des key users sans connaissance technique d'exploiter facilement toutes les données de l'entreprise.#5 Ramasoft et ProDevis se connectent pour simplifier la gestion commercialeLogiciel de fabrication de menuiseries PVC et Alu sur-mesure, Ramasoft se connecte à ProDevis pour offrir de nouvelles possibilités aux fabricants du secteur. Grâce à cette interface, après avoir chiffré leurs menuiseries les plus complexes avec Ramasoft, ces derniers pourront importer automatiquement leurs chiffrages et ainsi piloter toute leur gestion commerciale avec ProDevis. Inversement, toutes les commandes signées dans ProDevis pourront être transférées dans Ramasoft en un clic pour lancer en fabrication.
Il y a 3 ans et 228 jours

NOUVEAUTÉ FIBERDECK : BARDAGE WEO®60

Si le bardage offre un rendu esthétique aux façades, il améliore également l'efficacité énergétique du bâtiment et renforce son confort thermique. Incité par les dernières réglementations thermiques, acoustiques et au feu ainsi que les avancées technologiques, le bardage en bois composite connaît un bel engouement en France. Son aspect moderne, sa pérennité, sa stabilité et son faible entretien en font un habillage de façades porteur et tendance, que recherchent les prescripteurs, les architectes, les maîtres d'oeuvre...
Il y a 3 ans et 228 jours

Le site JOUPLAST fait peau neuve

Acteur majeur sur le marché des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de la société française TMP CONVERT, propose aux artisans, paysagistes et particuliers des gammes et solutions pour aménagements extérieurs. Les produits, développés et fabriqués en France, sont issus de matières recyclées, ce qui démontre l'engagement environnemental de l'entreprise. L'obtention du label MORE « MObilisés pour REcycler» atteste de la démarche du fabricant. L'innovation selon JOUPLAST® apparaît clairement sur son site, qui vient de prendre un coup de jeune et aide l'utilisateur à aller droit au but.
Il y a 3 ans et 228 jours

Fonctionnalité et durabilité : la nouvelle collection MEWA PEAK

Les vêtements de travail MEWA associent l'innovation et la durabilité. La nouvelle gamme PEAK maintient la surface de la peau à une température constante d'environ 37,5 °C. PEAK allie la technologie 37.5®, bien connue dans le milieu sportif, et le recyclage de bouteilles en PET. Son tissu innovant est élastique, extrêmement respirant et thermorégulateur. Il conserve enfin toutes ses caractéristiques, même après de nombreux cycles de lavages. La collection, composée de vestes et de pantalons, est exclusivement proposée avec le système de prestation de service MEWA.
Il y a 3 ans et 228 jours

Flambée des prix de l'énergie

Dès les premiers froids, le chauffage devient indispensable. Face à la hausse des prix de l'énergie, notamment du gaz, le bois constitue une solution économique pour de nombreux foyers. Écologiques et performants, les poêles à granulés de bois Qlima cumulent les avantages et s'imposent de plus en plus en tant que mode de chauffage individuel privilégié pour réaliser des économies d'énergie. De plus, les granulés de bois Qlima, fabriqués à partir des sous-produits forestiers de l'industrie du bois (sciures, écorces et autres copeaux…), sont 100 % naturels. Enfin, Qlima, qualifié RGE Qualibois, met tout son savoir-faire au service des particuliers en leur proposant l'installation et la mise en service de ses poêles à granulés de bois, avec l'assurance d'un rendement optimal en toute sécurité.
Il y a 3 ans et 228 jours

Amadea 116 Qlima

L'Amadea 116 Qlima est un poêle à granulés de bois étanche et contrôlable par WiFi via l'application Tuya. Grâce à sa chambre de combustion parfaitement étanche, l'appareil fonctionne en prélevant l'oxygène à l'extérieur de l'habitat. Tout en réduisant la consommation de combustible, il offre un excellent confort thermique dans les maisons les plus modernes, sans aucun risque d'émissions de fumée dans la pièce.
Il y a 3 ans et 228 jours

Au moins sept morts et des dizaines d'ouvriers coincés après l'effondrement d'un immeuble en construction au Nigeria

Au total, sept personnes ont été sauvées des ruines de l'immeuble de 21 étages, a déclaré à l'AFP Ibrahim Farinloye, un responsable de l'Agence nationale de gestion des urgences (Nema)."Il y a sept morts et sept rescapés", a-t-il affirmé à l'AFP, en ajoutant : "Il y a encore de l'espoir, beaucoup d'autres sont à l'intérieur. J'ai parlé à certains d'entre eux il y a quelques minutes et leurs voix sont fortes", a-t-il poursuivi.Les sauveteurs continuaient de s'activer mardi matin devant la montagne de gravats de cet immeuble situé sur une des avenues les plus chics de Lagos, dans le quartier d'Ikoyi, et qui s'est effondré lundi après-midi alors que des dizaines d'ouvriers se trouvaient sur le chantier.Dans la matinée, des journalistes de l'AFP présents sur place ont entendu la faible voix d'un homme criant à l'aide depuis les décombres, tandis qu'une douzaine de membres des services d'urgence et de la police tentaient de le localiser. Deux pelleteuses creusaient parmi les décombres.Dans un communiqué publié lundi soir, le président nigérian Muhammadu Buhari a exhorté les autorités "à intensifier les efforts dans les opérations de secours" aux victimes.Gerrard Road, l'artère très fréquentée où se situait l'immeuble, a été partiellement bloquée dans la matinée pour faciliter l'arrivée sur place des secours. La veille, un embouteillage monstre a empêché les secours et les équipes chargées de déblayer les gravats d'accéder au site pendant près de deux heures."Je déteste ce pays !"Plus de cent personnes, pour la plupart proches des victimes ou des portés disparus ainsi que des témoins, étaient rassemblées devant les gravats. Les services de secours ont extrait les deux rescapés des décombres sans que la foule, qui criait, ne puisse les voir. Une femme, dont le mari était à l'intérieur de l'immeuble quand il s'est effondré, pleurait.Témoin de l'effondrement la veille, Enahoro Tony est revenu sur place dire sa colère. "J'ai extrait trois corps et ensuite nous avons été chassés par l'armée", lâche-t-il."Qu'est ce qu'il se passe dans ce pays ?", souffle-t-il en montrant la montagne de gravats haute de plus de dix mètres. "Je déteste ce pays de merde !""Des gens sont en train de mourir sous les décombres !", criait un autre.L'effondrement de bâtiments est une tragédie fréquente au Nigeria, le pays le plus peuplé d'Afrique, où des millions de personnes vivent dans des immeubles délabrés et où la législation concernant la construction est régulièrement bafouée.Assis près de la montagne de gravats de plus de dix mètres de hauteur, les frères Fawas Sanni, 21 ans, et Afolabi Sanni, 17 ans, attendent en état de choc des nouvelles de leur soeur. "Notre soeur est à l'intérieur", se lamente Fawas, une larme coulant sur la joue."Je suis le dernier à lui avoir parlé avant qu'elle aille au travail hier matin", raconte le frère aîné en se couvrant la tête de ses mains.Dans l'une des pires catastrophes de ce type, un immeuble appartenant à une église s'était effondré en 2014 à Lagos, faisant plus de 100 morts, pour la plupart des Sud-Africains.Une enquête avait ensuite révélé que l'immeuble avait été construit de manière illégale et présentait des défauts structurels.Deux ans plus tard, 60 personnes avaient perdu la vie dans l'effondrement d'un toit d'une église évangélique à Uyo, la capitale de l'Etat d'Akwa Ibom, dans l'est du pays.
Il y a 3 ans et 228 jours

Logement d'urgence, un équilibre précaire en début de trêve hivernale

Numériquement, les avancées sont là, avec 200.000 places d'hébergement à disposition, dont 150.000 dédiées à l'hébergement d'urgence. Le gouvernent va en effet maintenir ouvertes jusqu'à fin mars 2022 les 43.000 places d'hébergement d'urgence créées depuis le premier confinement en mars 2020. Une manière de mettre fin à la "gestion au thermomètre", et qui va coûter 700 millions d'euros et porter le budget annuel consacré à l'hébergement d'urgence à 2,9 milliards, selon le ministère du logement."Cette décision est neuve et positive, mais cela suppose une vigilance constante" pour maintenir le volume de places à 200.000 qui reste "un minimum", estime Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS, regroupant les gestionnaires de 80% des centres d'hébergement).Conserver les 70.000 places d'urgence en hôtel est notamment l'un des défis. Autant le confinement, avec l'arrêt du tourisme et des déplacements commerciaux, avait rendu les hôtels plus enclins à louer à un public défavorisé, même à prix cassés (environ 25 euros la nuitée), autant "c'est plus compliqué aujourd'hui pour les hôtels de mélanger les clientèles", relève Alain Christnacht, président du SamuSocial de Paris. "Jusqu'à présent avec l'aide des préfets et de la région, on est arrivé à remplacer les places, mais nous n'avons pas de certitude que cela puisse durer", explique-t-il.La situation reste donc fragile à en croire le regain actuel d'appels au 115, le numéro d'urgence pour les sans abris, de l'ordre de 400 personnes par jour dont "certaines demandes restent non pourvues", selon M. Christnacht.Or, le taux d'occupation de toutes les places d'hébergement est déjà de 100 %", selon le ministère du Logement.Craintes pour le printemps"Que va-t-il se passer après la trêve? Le contexte est assez préoccupant et il faut mettre le paquet pour éviter une catastrophe sociale" au printemps, avertit le délégué général de la Fondation Abbé Pierre, Christophe Robert.Selon le ministère, du 1er janvier 2018 au 30 juin 2021, le programme "Logement d'abord" a permis à 280.000 personnes sans domicile fixe, à la rue ou en centre d'hébergement, d'accéder au logement. En termes de logement d'urgence, l'objectif est par ailleurs d'arriver à 190.000 places fin 2022 avec consigne aux préfets de planifier cette décélération pour éviter les expulsions sèches, c'est-à-dire sans relogement pérenne.Mais comment anticiper les effets de la hausse des factures d'énergie, de la baisse des APL, de la réforme de l'assurance chômage et du poids grandissant du loyer dans le budget des ménages moyens? Les expulsions non effectuées du fait de la prolongation de la trêve risquent également de faire gonfler le nombre de sans-abri après mars, redoutent les organismes interrogés.A titre d'exemple, 2 millions de repas à 1 euro ont été distribués dans les restaurants universitaires pour le seul mois de septembre. Cette précarisation frappe l'ensemble des jeunes, souligne Tommy Veyrat de l'Union nationale des Comités Locaux pour le Logement Autonome des Jeunes.Outre une hausse du nombre de logements sociaux, conditions sine qua non pour sortir d'une gestion au coup par coup, la Fondation Abbé Pierre propose donc de mettre à profit le "répit" de la trêve pour renforcer le modèle de prévention, l'anticipation des effets de la crise économique et l'accompagnement juridique et social des familles et ce afin de limiter les expulsions le printemps venu.La FAS plaide pour sa part pour une loi de programmation pluriannuelle intégrant l'hébergement d'urgence et le programme "Logement d'abord". Ce à quoi la ministre Emmanuelle Wargon se dit "très favorable".
Il y a 3 ans et 228 jours

Tour Triangle : les travaux débuteront "d'ici à la fin de l'année", affirme URW

GRANDS PROJETS. Alors qu'une enquête pour favoritisme est en cours sur les conditions de l'attribution du projet, et que la majorité municipale parisienne se déchire sur le sujet, le gestionnaire de centre commerciaux URW annonce, le 2 novembre, être en mesure de lancer prochainement les travaux de la Tour Triangle, dans le 15e arrondissement.
Il y a 3 ans et 228 jours

Le fonds américain Bain Capital s'associe à Fimalac pour tenter de briguer Equans

ACQUISITION. L'étau se resserre autour d'Equans, filiale d'Engie spécialisée dans les services à l'énergie. Aujourd'hui, ce sont trois offres de reprise qui sont en lice. Parmi elles, figure celle du fonds américain Bain Capital, qui vient de s'associer à la holding Fimalac détenu par Marc Ladreit de Lacharrière.
Il y a 3 ans et 228 jours

Saint-Malo : transformation de l’ancien tribunal en logements

À Saint-Malo, en plus des logements, quelques bureaux et un restaurant seront aménagés à la place de l’ancien tribunal.
Il y a 3 ans et 228 jours

Nexity en passe d'atteindre ses objectifs 2021

RÉSULTATS. Les neuf premiers mois de l'année montrent une progression du chiffre d'affaires du principal promoteur immobilier français, porté principalement par l'immobilier résidentiel et plus particulièrement par "le retour des investisseurs individuels". L'immobilier d'entreprise, privé de grosses prises de commandes, stagne.
Il y a 3 ans et 228 jours

COP26 : comment construire et produire durablement pour le monde de demain ?

Les émissions de gaz à effet de serre ne cessent de croître. La température de la planète a déjà augmenté de 1 °C en 150 ans. Les premiers signes du changement climatique sont déjà visibles. Pour limiter les conséquences, le réchauffement de la planète doit être contenu sous 2°C. C'est l'engagement qui a été pris lors de la COP21 à Paris. Mais pour tenir cet objectif, les États doivent redoubler d'efforts.Les entreprises du monde entier ont aussi un rôle à jouer : produire, construire, fabriquer de façon éco-responsable pour assurer l'avenir des prochaines générations. Le défi ? Mettre en place des processus et des techniques durables tout en répondant à une demande sans cesse en croissante. Pour les secteurs du BTP, c'est une double problématique. Depuis 2007, les villes hébergent plus de la moitié de la population mondiale, un chiffre qui devrait atteindre 60 % d'ici 2030. De l'autre côté, en raison des préoccupations relatives au changement climatique et à l'épuisement des ressources naturelles, une pression croissante s'exerce sur les acteurs du BTP pour une construction durable et pour réduire considérablement leur impact environnemental. Le secteur industriel doit également répondre à ces enjeux.L'exemple d'Autodesk qui travaille d'ores et déjà sur des projets dans le monde entier, tels que :La création d'un « tech hub » en Chine par l'entreprise suédoise Sweco grâce au cloud et aux logiciels d'Autodesk :Les architectes et les ingénieurs utilisent Autodesk BIM 360 pour réaliser leurs maquettes numériques et les intégrer à un flux de travail unifié qui regroupe la conception, l'ingénierie et la construction. Grâce à ce mode de fonctionnement, les architectes de Sweco ont pu soumettre leurs structures les plus avant-gardistes à des essais de résistance sur la base de calculs paramétriques.La fabrication de skis à la fois plus performants et plus durables par l'entreprise WNDR Alpine grâce au logiciel Fusion 360 d'Autodesk :Les designers ont utilisé la bio-fabrication pour concevoir des skis avec des matériaux dérivés de microalgues. Ce nouveau matériau, développé par Checkerspot, l'entreprise de biotechnologie propriétaire de WNDR Alpine, offre des performances améliorées et une empreinte carbone réduite.La restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris avec la technologie de pointe du BIM d'Autodesk :L'établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a décidé de se doter de cette technologie de premier plan. Cette méthode de travail collaborative et intelligente permet aux acteurs du chantier de bénéficier en temps réel d'une base de données 3D partagée et évolutive qui regroupe des informations riches et nécessaires au bon déroulement de ces opérations.En définitive l'adoption de techniques de production durable prépare les entreprises du BTP et leurs clients à l'avenir. Avec le temps, l'apprentissage sera plus aisé; les processus pour le moment marginaux s'imposeront comme les règles de l'art à mesure que les acteurs du secteur seront plus nombreux à répondre aux besoins de construction durable.
Il y a 3 ans et 228 jours

Les primo-accédants, premiers pénalisés par la crise de l'énergie face au crédit immobilier

La Centrale de Financement alerte donc sur la zone de turbulence que le marché du crédit immobilier s'apprête à traverser et espère que « l'indemnité inflation » de 100€, envisagée par le gouvernement (pour soutenir les Français gagnant moins de 2000€ net par mois), permettra d'éviter d'agrandir la fracture sociale entre les ménages les plus aisés et les primo-accédants, déjà fortement malmenés par la crise sanitaire et les normes du Haut Conseil de la Stabilité Financière (HCSF)...Premier maillon de la chaîne du crédit immobilier, les primo-accédants subissent la crise de l'énergie de plein fouet. En raison de leurs modestes revenus, ils s'orientent généralement vers des biens situés en-dehors des grandes villes et métropoles. Ces biens, souvent anciens et mal isolés, induisent des dépenses plus soutenues et des travaux d'isolement à réaliser afin de mettre leur logement aux normes du nouveau Diagnostic de Performance Énergétique (DPE)[3].Avec l'inflation récente des prix des matières premières, l'enveloppe qu'ils doivent aujourd'hui allouer à leur consommation énergétique ainsi qu'au trajet à effectuer en voiture, pour se rendre sur leur lieu de travail, s'élève à environ 200€ par mois. Une somme importante désormais prise en compte par les banques dans le calcul du reste à vivre des emprunteurs. La Centrale de Financement constate d'ores et déjà qu'une partie des demandes de prêts des primo-accédants est refusée, sur la base de ces nouveaux critères de sélection..."Nous nous apprêtons à traverser une véritable zone de turbulences sur le marché du crédit immobilier : l'écart économique entre les ménages les plus aisés et ceux aux revenus les plus modestes, souvent primo-accédants, risque de s'accentuer et de renforcer le système d'une France à deux vitesses face au crédit immobilier. Nous espérons vivement que l'indemnité proposée par le gouvernement, en complément de la limitation des tarifs réglementés du gaz et de l'électricité, permettra d'y remédier et de maintenir le dynamisme économique de l'un des piliers de l'économie française : l'immobilier ! " déclare Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de Financement.[1] Source : https://www.ecologie.gouv.fr/prix-des-produits-petroliers#scroll-nav__5[2] Source : https://www.cre.fr/Documents/Presse/Communiques-de-presse/la-cre-constate-une-nouvelle-hausse-du-cout-du-gaz-naturel-importe-entrainant-une-hausse-des-tarifs-reglementes-de-vente-de-gaz-naturel-pour-le-moi[3] Entrées en vigueur le 1er juillet 2021
Il y a 3 ans et 228 jours

3R : Le Cat insonorise le tamisage

Le Cat de 3R divise par 8 le niveau sonore perçu lors d’un tamisage de granulats. [©3R] Tamiser des cailloux fait partie des fondamentaux du laborantin. Pour répondre à ce besoin, 3R développe depuis de nombreuses années sa tamiseuse Sysmo. Problème, l’opération de tamisage reste plutôt bruyante : de l’ordre de 85 dB. Compliqué pour communiquer au sein du laboratoire et obligation de porter un casque anti-bruits… Afin de rendre le niveau sonore beaucoup plus acceptable, 3R vient de mettre sur le marché le Cat, son premier Caisson Antibruit pour Tamiseuse. La Sysmo rentre parfaitement dedans, tout comme les tamiseuses d’autres marques. La grande performance du Cat est d’offrir une réduction sonore de près de 30 dB, c’est-à-dire que le bruit est perçu comme 8 fois moins fort. On passe ainsi à 55 dB, soit la sonorité d’une tondeuse à gazon au milieu d’un jardin à une ambiance de bureau calme… D’un poids de 210 kg, le Cat s’appuie sur un châssis métallique mécano-soudé posé à même le sol du laboratoire. Il se manipule sans problème à l’aide d’un transpalette. Sa dimension fermée est de 75 cm x 75 cm x 1,70 m de haut. La partie supérieure prend la forme d’une armoire ou d’un coffre avec deux portes pivotantes, dont les parois sont constituées d’un matériau isolant phonique à haute performance. C’est là tout le secret du Cat. 
Il y a 3 ans et 228 jours

Cemex, mécène d’Odyssée

Julia Borderie et Eloïse Le Gallo pendant la confection de “Chirurgie des sables, le fleuve nous regarde”, avec les matériaux de Cemex. [©Cemex] Cemex : le passionné de culture. Le spécialiste du béton prêt à l’emploi a participé à Odyssée, le rendez-vous culturel, environnemental et solidaire dédié à la Seine. L’industriel a contribué à l’élaboration d’une œuvre d’art performée par Julia Borderie et Eloïse Le Gallo. La collaboration entre Cemex et les artistes semblait invraisemblable. Et pourtant, cela est bien arrivé. « Nous nous réjouissons de participer à Odyssée, en mettant nos matériaux à disposition des artistes, déclare Florence Boutmy, directrice du secteur Ile-de-France chez Cemex. Ce partenariat nous a semblé tout naturel, du fait de notre présence historique sur le fleuve, de nos activités et de nos nombreuses implantations en Ile-de-France. »  Cemex : Une collaboration artistique Cette collaboration n’est pas anodine. Ce projet s’intègre dans la politique RSE de Cemex. C’est “Dans le sens de Barge” qui est à l’origine de cette association. « Ce collectif nous a contactés pour réaliser un projet itinérant sur 2 ans, explique Eloïse Le Gallo. Il nous a aidées à entrer en contact avec Cemex pour nous permettre de réaliser notre objectif. » L’industriel a ainsi fourni environ 300 t de sables et de graviers pour réaliser leur sculpture.  Lire aussi : In béton veritas “Chirurgie des sables, le fleuve nous regarde” n’est pas une œuvre comme les autres. Julia Borderie et Eloïse Le Gallo ont réalisé une sculpture qui sort de l’ordinaire. Au premier abord, l’œuvre des deux artistes semble banale. Pourtant, il n’en est rien ! Ces 300 t de matériaux n’ont pas été utilisées au hasard. « Notre sculpture pour Odyssée a évolué au fil de l’évènement, explique Julia Borderie. Nous avons commencé avec un gros tas de sable et de graviers que nous avons transformé au fur et à mesure en une montagne avec un escalier. »  Une œuvre tout sauf banale Les deux artistes préparent leur oeuvre pour l’Odyssée. [©Cemex] Et Eloïse Le Gallo d’ajouter : « Nous avons ensuite creusé un trou en forme de cône inversé pour rappeler l’extraction des sédiments. Le fait d’avoir placé un escalier nous a permis de dynamiser notre œuvre. » De plus, les deux artistes ne se sont servies que d’outils en bois, réalisés par elles-même. Ainsi, à travers cette œuvre, elles ont rappelé qu’avec peu de moyens, on peut faire beaucoup. En parallèle, Julia Borderie et Eloïse Le Gallo ont qualifié leur œuvre de “geste poétique éphémère”. Une fois Odyssée terminé, elles ont laissé la nature reprendre ses droits. Les sédiments utilisés pour l’œuvre se sont dispersés dans l’air comme si la montagne n’avait jamais existé. Cependant, dans le cœur des milliers de visiteurs, leur sculpture restera gravée à jamais dans les mémoires.
Il y a 3 ans et 228 jours

Découvrez le Top 10 des travaux envisagés en copropriétés

CHANTIERS. Quels sont les travaux les plus convoités en copropriété ? Réponses avec la dernière édition du baromètre annuel Baticopro-SMABTP-GRDF.
Il y a 3 ans et 228 jours

La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation

Sept actions opérationnelles ont été mises en place pour mener à bien la collaboration entre la FNTP et le CCCA-BTP. [© Syvlain Barthélémy] Promouvoir et développer la formation dans le secteur des travaux publics. Tel est l’objet de la convention de partenariat que la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) et le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) viennent de mettre en place. Dans les années à venir, le secteur des travaux publics devra relever de nombreux enjeux, en termes de compétences professionnelles. Ceci, avec 8 000 entreprises, qui emploient plus de 310 000 salariés. Lire aussi : CCCA-BTP : L’innovation au cœur de la formation Pour y répondre, la FNTP a souhaité renforcer ses collaborations avec le CCCA-BTP. Et s’appuyer sur ses expertises pédagogiques et éducatives. Ceci, pour maintenir et développer une formation professionnelle de qualité, adaptée aux métiers des travaux publics. Ainsi qu’à leurs évolutions environnementales, technologiques et numériques. Sept leviers pour une collaboration entre la FNTP et le CCCA-BTP Sept actions opérationnelles ont été mises en place. Tout d’abord, la réalisation d’études spécifiques aux travaux publics. Puis, la promotion des métiers et le sourcing. Ainsi que l’innovation de la formation aux métiers des travaux publics. Mais encore, le soutien aux acteurs du développement des compétences. Et la mise en place des certifications professionnelles et l’appui à la qualité de la formation : instruction des dossiers des demandes du label “Excellences TP”, créé par la FNTP. Enfin, le développement des partenariats. « Cet accord réaffirme les liens forts entre le CCCA-BTP et la FNTP à un moment où les besoins en compétences n’ont jamais été aussi importants. Et où la transformation des métiers à l’aulne des transitions écologique et numérique doit être la préoccupation de chacun », témoigne Bruno Cavagné, président de la FNTP 
Il y a 3 ans et 228 jours

Le chantier de la Tour Triangle débutera "d'ici la fin de l'année", avec Axa en soutien d'URW

"La Tour Triangle sera un atout pour le développement économique et le rayonnement de la capitale. Le projet générera pendant sa construction plus de 5.000 emplois directs et indirects", indique le géant des centres commerciaux, propriétaire du Forum des Halles.Avec ce chantier, URW dit confirmer "son attachement à des projets structurants pour le rayonnement de la ville et du territoire".Le soutien d'Axa lui permet de respecter "sa stratégie claire d'optimisation de l'allocation de ses ressources", souligne-t-il, en référence à sa stratégie de désendettement.De fait, sans une bouffée d'oxygène venue de l'extérieur, ce projet à quelque 700 millions d'euros, selon des estimations qui ont circulé dans la presse, n'était pas assuré de voir le jour.Unibail-Rodamco-Westfield a beaucoup souffert de la crise sanitaire et de la fermeture des commerces dits "non essentiels". Le chiffre d'affaires du groupe a dégringolé, avant une légère reprise au troisième trimestre 2021.Axa, dont l'apport financier n'a pas été précisé, s'est dit "fier" de s'associer à la construction de la Tour Triangle: "un projet phare pour la ville de Paris et sa région", "un lieu particulièrement innovant et qui bénéficiera des meilleures certifications environnementales", a salué Isabelle Scemama, cheffe d'Axa IM Alts, la division de l'assureur français dédiée aux investissements alternatifs.Signée de l'agence d'architecture suisse Herzog et de Meuron, cette tour de 180 mètres de haut et 42 étages sera érigée dans l'enceinte du Parc des expositions de la Porte de Versailles, dans le XVe arrondissement de Paris.Elle doit notamment héberger un hôtel quatre étoiles, plus de 2.000 mètres carrés d'espace de travail partagé ("coworking"), un centre de santé et un espace culturel.Les travaux, confiés à l'entreprise Besix, devraient durer jusqu'en 2026, a souligné URW.Enquête du parquet financierLe projet est au coeur d'une bataille politique.Le maire (LR) du XVe arrondissement Philippe Goujon "totalement opposé" à ce projet a estimé lundi qu'"entre les beaux discours de la maire de Paris sur l'environnement et la réalité qui est de construire une tour de près de 200 m de haut, il y a un océan".Née en 2008 sous la mandature de Bertrand Delanoë, lorsque Anne Hidalgo était adjointe à l'urbanisme, la Tour Triangle reste soutenue par l'Hôtel de Ville mais pas par les élus écologistes, alliés de Mme Hidalgo.Pour le conseiller EELV, Emile Meunier, ce projet "antiécologique au possible" est "révoltant". "J'en veux particulièrement à AXA qui a sauvé ce projet in-extremis", a-t-il déclaré lundi à l'AFP estimant que le groupe "qui se vante de faire des investissements responsables et écologiques, investit dans ce projet du siècle dernier"."On voit bien que si on laisse les enjeux économiques et les grandes entreprises guider les choix d'infrastructure, notre politique (...) ce sont toujours des projets qui iront à l'encontre du climat, à l'encontre de l'intérêt général, qui seront choisis", a renchéri l'adjoint EELV à la transformation de l'espace public David Belliard.L'adjoint (PS) à l'urbanisme, Emmanuel Grégoire, a pour sa part salué une "excellente nouvelle pour l'attractivité de Paris et de notre pays", ajoutant que "ce projet répond aux plus exigeantes normes environnementales et s'intégrera parfaitement dans le tissu urbain parisien de la Porte de Versailles".L'octroi par la ville de Paris de la concession où doit être bâtie la tour intéresse par ailleurs la justice. Le Parquet national financier (PNF) a ouvert en juin dernier une enquête préliminaire pour "favoritisme", après un signalement en 2020 de la maire LR du VIIe arrondissement, Rachida Dati, et le dépôt début 2021 d'une plainte par l'association Anticor.Mme Dati et Anticor s'appuient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020 concernant le Parc des expositions de la Porte de Versailles. Selon ce rapport, la ville de Paris a notamment accepté d'indemniser le concessionnaire du parc, Viparis, qui est une filiale d'URW, à hauteur de 263 millions d'euros "pour un préjudice non démontré". Tout en attribuant à Viparis "dans des conditions en partie contestables" un nouveau contrat pour continuer à exploiter les installations.Après l'annonce de cette enquête préliminaire, le groupe URW avait contesté "formellement les allégations sans fondement portées à son encontre" et regretté "la confusion opérée avec la Tour Triangle"."Alors que le PNF a été saisi et que les interrogations sont plus que légitimes, ce début du chantier est inacceptable. Plus que jamais cette tour énergivore de bureaux est une aberration écologique et un projet économique appartenant au passé", a déclaré à l'AFP la conseillère LFI, Danielle Simonnet.
Il y a 3 ans et 228 jours

Ce que contient le "contrat d'engagement jeune", annoncé pour mars 2022

ANNONCE. L'État mettra en place dès l'an prochain un dispositif d'aide pour permettre aux jeunes de trouver une formation ou un emploi, avec, à la clé, une allocation de 500 euros par mois. Dans un long discours, le Premier ministre a dessiné les contours de ce plan. L'opposition crie à la "farce".
Il y a 3 ans et 228 jours

Kiloutou lance sa gamme environnementale “Impakt”

Kiloutou dévoile sa nouvelle gamme “Impakt” pour réduire l’empreinte carbone des activités de leurs clients [©Franck Dunouau] Le spécialiste de la location de matériels, Kiloutou poursuit sa stratégie environnementale. Le groupe propose sa nouvelle gamme “Impakt”, pour accompagner les professionnels dans leur démarche de réduction d’émissions de CO2. La collection réunit environ 3 500 matériels électriques, hybrides ou bi-énergie. Depuis plus de 10 ans, le loueur s’engage en faveur de la transformation durable du secteur de la location. Lire aussi : Unilin Insulation rejoint le programme environnemental “Circular Foam” En effet, le groupe a pris conscience que les actions de ses clients représentaient 94 % de ses émissions totales de CO2, dont 63 % sont liées aux chantiers. Kiloutou a donc fait évoluer son offre pour offrir des produits à énergies alternatives. Parmi ces matériels : il propose des nacelles hybrides, des découpeuses ou encore, des bétonnières. L’avantage majeur de ces équipements est leur faible impact environnemental. Mais aussi, lors de leur utilisation, ils réduisent les nuisances sonores, les troubles musculo-squelettiques ou les émissions de particules fines.  Kiloutou au service des professionnels En parallèle, Kiloutou a lancé une campagne d’information. Afin de faire connaître ses produits aux professionnels, l’industriel a dévoilé son “guide de matériels”. Cet ouvrage propose une présentation détaillée des produits. Et regroupe les caractéristiques des matériels, comme l’autonomie ou les coûts. Il identifie aussi les performances des équipements pour déterminer lequel est le plus éco-responsable. Cela a pour but de sensibiliser aux enjeux environnementaux liés à ces solutions. Lire aussi : France Rénov’ à votre service De plus, le spécialiste de la location a créé un espace dédié à la gamme “Impakt” sur Internet. Un peu comme le guide, le site donne les caractéristiques techniques des appareils. Néanmoins, il permet aussi aux maîtres d’œuvre et d’ouvrage de visualiser l’impact carbone de leurs projets grâce à la “calculette carbone”. Enfin, les collaborateurs de Kiloutou ont été formés pour conseiller et aider les professionnels à choisir leur matériel. Ils les accompagnent et les sensibilisent sur le fonctionnement et les performances des nouveaux matériels.
Il y a 3 ans et 228 jours

Le préfet chargé du grand plan pour Marseille défend "un partenariat" avec les élus locaux

Le préfet chargé par l'Etat du suivi du grand plan pour Marseille a défendu "un partenariat" avec les élus locaux en présentant les grandes lignes de sa mission qualifiée de "très exigeante".
Il y a 3 ans et 228 jours

142 M€ d’aide pour 1288 communes en faveur des logements durables

Dans le cadre du plan France Relance, le Gouvernement a mis en place en septembre 2020 une aide à la relance de la construction durable, répondant au double objectif de production de logements et de lutte contre l’artificialisation des sols. Le dispositif prévoit le versement d’une aide forfaitaire de 100€ par m2 de surfaces de logement construit au-delà d’un seuil de densité pour les programmes d’au moins deux logements autorisés à la construction. En complément de ce forfait, les opérations de transformation de bureaux en logements et les opérations dans des opérations d’aménagement exemplaires bénéficient d’un bonus. Un arrêté du 25 octobre 2021 fixe les montants d’aide. Ce sont ainsi près de 142 M€ qui seront versés à 1288 communes pour les accompagner dans leur effort de construction de logement, en contribuant au financement des équipements publics, infrastructures et autres aménités urbaines favorables à l’accueil de nouveaux ménages et à l’amélioration du cadre de vie des habitants. L’aide sera versée aux communes avant la fin de l’année par les services des préfets de département. Au total, ces communes ont délivré 2499 permis de construire pour des opérations de logements dépassant les seuils de densité fixés. Ces permis ont autorisé la construction de 67 450 logements au total dont plus de 1,357 millions de m² construits au-delà des seuils, soit environ 19 500 logements.
Il y a 3 ans et 228 jours

142 M€ d’aide pour 1288 communes en faveur des logements durables

Dans le cadre du plan France Relance, le Gouvernement a mis en place en septembre 2020 une aide à la relance de la construction durable, répondant au double objectif de…Cet article 142 M€ d’aide pour 1288 communes en faveur des logements durables est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 228 jours

Sto dévoile sa nouvelle gamme de produits vertueuse AimS® à base d'huile de pin

En remplaçant 30% du liant hydrocarboné de ses produits par de l'huile de pin, le spécialiste de la façade contribue à préserver les ressources avec à la clé moins de consommation de pétrole, tout en maintenant la qualité reconnue des produits d'ITE Sto. L'huile de pin permettant cette substitution provient de restes de scieries et autres transformations du bois.Disponible à partir de février 2022, la nouvelle gamme AimS ® intègre un sous-enduit, un enduit de finition taloché et une peinture de façade, qui, ensemble, constituent le premier système ITE complet optimisé en termes de CO2.Une gamme pour « Bâtir en responsable »Fidèle à sa devise, Sto souhaite offrir à ses clients, qu'ils soient maîtres d'ouvrage, prescripteurs ou applicateurs, des solutions leur permettant de construire de manière durable et en toute conscience, tout en conservant d'excellentes performances et propriétés de mise en œuvre.Qualité, protection du climat et préservation des ressources sont les mots d'ordre de la nouvelle ligne de produits développée par Sto, baptisée AimS ® (Aim Sustainability = Objectif Durabilité).Avec sa gamme AimS®, Sto entend contribuer à établir durablement l'utilisation de produits et matériaux respectueux de l'environnement dans le secteur de la construction.« Pour développer AimS®, notre objectif était le suivant : les nouveaux composants ne devaient pas être obtenus en faisant concurrence à l'industrie alimentaire, ils ne devaient contenir ni éthanol, ni huile de palme et en aucun cas être associés au travail des enfants ou à de longues distances de transport. Avec un liant à base d'huile de pin, toutes ces conditions sont remplies : l'écorce de pin est un matériau résiduel produit en masse par l'industrie du bois. C'est de cette matière première que nous extrayons l'huile. En même temps, ses propriétés sont comparables à celles des liants hydrocarbonés. De cette manière, nous pouvons maintenir nos standards de qualité pour tous les produits AimS ® », souligne le département R&D du groupe Sto.Pourquoi 30% d'huile de pin ?Pour développer sa nouvelle gamme AimS®, Sto n'a pas souhaité faire de compromis sur la qualité. Si la proportion de matières premières renouvelables était plus importante, les produits seraient moins performants et leurs propriétés de mise en œuvre modifiées.StoTherm AimS®, le nouveau système d'ITE en faveur du développement durableStoTherm AimS® est le premier système complet constitué de plusieurs couches optimisées en matière de durabilité, qui, dès sa fabrication, permet d'économiser des hydrocarbures.En effet, l'enduit de base, l'enduit de finition, et même la peinture de façade, avec sa technologie Lotus-Effect®, sont fabriqués à partir de matières premières renouvelables et largement disponibles. L'isolant, quant à lui, est le Sto-Panneau en laine de roche, fabrique à partir de la roche, une matière première disponible en abondance.Concrètement, pour chaque projet, cela se traduit par l'économie de nombreux litres d'hydrocarbures (exemple : 173 litres de pétrole économisés sur un immeuble collectif pour 800 m2 de surface de façade). Sans faire de concession, les propriétés de mise en œuvre éprouvées et le rendu esthétique, qui sont la marque de fabrique des systèmes ITE StoTherm, restent inchangés. Tout comme leurs excellentes propriétés de protection contre les intempéries, les micro-organismes, les fissures et les sollicitations mécaniques.Autant de raisons qui ont valu au système StoTherm AimS ® d'être récompensé par le label environnemental « Ange Bleu » (Blauer Engel).StoTherm AimS® en un coup d'œilComposé à plus de 95% de matières premières renouvelables et disponibles en abondanceIdéal pour les immeubles de grande hauteur, les bâtiments publics et constructions hors normesRésistant aux fissures et aux chocsClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1Récompensé par le label environnemental allemand « Ange Bleu » (Blauer Engel)StoArmat Classic AimS®, le nouveau sous-enduit à empreinte carbone réduiteStoArmat Classic AimS est un sous-enduit organique et sans ciment fabriqué à partir de matières premières renouvelables et suffisamment disponibles. Il associe le respect de l'environnement à d'excellentes propriétés de mise en œuvre et de lissage.Sa résistance aux chocs est pratiquement imbattable : il absorbe des coups d'une puissance de 10 joules, correspondant à l'impact d'une boule de pétanque, sans qu'aucune fissure ne se forme. Avec une réaction au feu A2-s1,d0, les exigences les plus élevées de la protection incendie sont remplies.StoArmat Classic AimS® en un coup d'œil30% du liant est à base d'huile de pinRésistant aux fissures et aux chocsExcellent confort d'application, de lissage, lié à la qualité du grain employé.Exempt de solvantClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1Stolit AimS®, l'enduit de finition respectueux de l'environnementCôté enduit de finition, Stolit AimS® utilise des principes et des matériaux naturels sans biocides pour offrir une protection naturelle contre les algues et les champignons sur la façade.La proportion d'hydrocarbures dans le liant a été réduite : 30% ont été remplacés par la matière première renouvelable qu'est l'huile de pin. Enfin, l'enduit est exempt de solvant.Grâce à Stolit AimS® , la façade reste belle pour longtemps, la longévité restant toujours la solution la plus durable !Stolit AimS® en un coup d'œil30% du liant est à base d'huile de pinProtection naturelle contre la contamination d'algues et/ou de champignonsDiffusion élevée de la vapeur d'eau (classe V2)Exempt de solvantClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1StoColor Lotusan AimS®, la peinture naturellement innovanteReconnue pour ses propriétés autonettoyantes, la peinture de façade StoColor Lotusan, dotée de la technologie Lotus-Effect® , se décline désormais dans une nouvelle formulation intégrant l'huile de pin.StoColor Lotusan AimS® est composée à plus de 95% de matières premières renouvelables et/ou disponibles en abondance.StoColor Lotusan AimS® en un coup d'œilPeinture respectueuse de l'environnement (30% huile de pin, sans protection de film biocide)Peinture de façade innovante régulatrice d'humidité et autonettoyante grâce à sa technologie Lotus-Effect® et son excellente perméabilité à la vapeur d'eau Protège durablement contre l'encrassement végétalParticulièrement adaptée aux façades fortement exposées aux intempériesRallonge le délai entre 2 entretiens tout en conservant l'esthétique de la façadeEn tant que leader de l'isolation thermique par l'extérieur, Sto établit avec sa nouvelle gamme AimS ® de nouveaux standards écologiques, économiques et sociaux en termes de durabilité.
Il y a 3 ans et 228 jours

BIM : rencontre avec deux architectes-charpentières

Le 18 novembre prochain, le CNDB et Abvent organisent la rencontre de deux architectes, praticiennes expertes de la conception bois et utilisatrices du BIM, qui croiseront leur regard et parleront de leur expérience. Quelles lignes de convergences se dessinent entre la démarche de Marie Schweitzer, à la tête d’une agence parisienne, et celle de Dorothée Sola dans son atelier du bassin d’Arcachon ? Amour du matériau, éthique artisanale et place de l’homme dans son environnement. Lors de cette rencontre, elles évoqueront 30 ans de révolution du numérique de la conception bois : inspiration, technique, innovation, formation, matériau bois, mentalités, apports du numérique et projets-phare. Un échange à bâtons rompus et sans langue de bois sur la nouvelle place du bois dans l’architecture et la construction en France depuis les débuts pionniers jusqu’à la reconnaissance actuelle. Conception Bois et Numérique #2 : Afterwork à Paris jeudi 18 novembre 2021 à 19 heures. Conception Bois et Numérique – Rencontre du Jeudi 18 novembre à 19h00
Il y a 3 ans et 228 jours

BIM : rencontre avec deux architectes-charpentières

Le 18 novembre prochain, le CNDB et Abvent organisent la rencontre de deux architectes, praticiennes expertes de la conception bois et utilisatrices du BIM, qui croiseront leur regard et parleront…Cet article BIM : rencontre avec deux architectes-charpentières est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 228 jours

Les bureaux d’études veulent leur place dans France Renov’

Le vendredi 22 octobre 2021, le gouvernement annonçait le lancement de France Rénov’, un nouveau service public dédié à la rénovation de l’habitat qui entrera en vigueur au 1er janvier 2022. Le lancement de ce nouveau dispositif, fruit de la fusion entre le réseau FAIRE et celui de l’Anah, s’intègre aux initiatives portées par la loi Climat et Résilience visant à simplifier le parcours usager et à rendre les aides plus lisibles. La Fédération CINOV, représentative des TPE PME de la branche BETIC (ingénierie, conseil, numérique), salue ces nouvelles mesures et rappelle que les professionnels de la filière BETIC ont toutes les qualifications et les compétences pour accompagner ces nouvelles mesures et les transitions en cours. La création du rôle d’« accompagnateur Rénov » est une initiative positive pour améliorer l’accès à la rénovation et faciliter des prises en charge globales et sur-mesure pour les problématiques diverses auxquelles sont confrontés les particuliers dans leurs démarches. A condition toutefois que celle-ci s’appuie sur les professionnels les plus pertinents et les plus qualifiés pour accompagner ces démarches et ces transitions, au premier rang desquels les bureaux d’études et l’ensemble des professionnels de la branche BETIC.
Il y a 3 ans et 228 jours

Les bureaux d’études veulent leur place dans France Renov’

Le vendredi 22 octobre 2021, le gouvernement annonçait le lancement de France Rénov’, un nouveau service public dédié à la rénovation de l’habitat qui entrera en vigueur au 1er janvier…Cet article Les bureaux d’études veulent leur place dans France Renov’ est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 228 jours

Rénov’aides, un nouveau service destiné aux artisans RGE

Pour simplifier les démarches administratives, accompagner les artisans qualifiés RGE et leur permettre de réaliser plus de chantiers, ISOVER a développé Rénov’aides, une plateforme qui permet de mutualiser la gestion…Cet article Rénov’aides, un nouveau service destiné aux artisans RGE est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 228 jours

Anne-Claire Mialot proposée par l'Élysée pour diriger l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU)

Ce choix, effectué sur proposition du Premier ministre Jean Castex, doit désormais être entériné par des votes à l'Assemblée nationale et au Sénat.En cas de votes positifs, Mme Mialot succéderait à Nicolas Grivel, en place depuis 2014.L'ANRU intervient notamment sur la rénovation des quartiers prioritaires, les logements, les espaces publics, les équipements scolaires, les crèches, les commerces, et l'activité économique.
Il y a 3 ans et 228 jours

Au nord du Sénégal, Eiffage s'affaire sur un réseau de transport et distribution d’électricité

Eiffage Énergie Systèmes a débuté les travaux du projet dit de la « Boucle du Ferlo ». Un contrat d'un montant de 106 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 228 jours

Le chiffre d'affaires de Saint-Gobain gonflé par la hausse des prix et la reprise du bâtiment

Au troisième trimestre 2021, Saint Gobain a réalisé un chiffre d'affaires de 10,8 milliards d'euros, en hausse de 6,7% par rapport aux trois mois équivalents de 2020, portant à 32,9 milliards d'euros le chiffre des ventes sur les neuf premiers mois, soit un bond de 18,1% par rapport à la période équivalente de 2020.Le consensus des analystes de Factset tablait sur un chiffre d'affaires trimestriel de 10,67 milliards.Le groupe "confirme la très forte progression de son résultat d'exploitation à un nouveau plus haut historique" en 2021, indique le groupe.Saint-Gobain a maintenu la révision en hausse de ses coûts en énergie et matières premières pour 2021 en raison de l'inflation dans le secteur, soit environ 1,5 milliard d'euros sur l'année, au lieu de 1,1 milliard annoncé fin juillet.Mais porté surtout par la hausse de ses propres prix de vente, il se dit "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" sur l'ensemble de l'année, "étant donné la forte accélération de la hausse des prix à +8,7% au troisième trimestre par rapport à la période équivalente de 2020".En Europe du Nord, son principal marché, le chiffre d'affaires a progressé de 12% sur le trimestre à 3,8 milliards d'euros, plus que ce qu'attendaient les analystes, grâce à une "forte accélération des hausses de prix".Les pays nordiques ont enregistré une "solide croissance", en particulier dans les solutions de construction légère sur le marché "porteur" de la rénovation.Le rythme de croissance en Allemagne a décéléré compte tenu de l'impact du recul du marché automobile sur la demande de verre, même si la construction modulaire reste "bien orientée", indique le communiqué.Au Royaume-Uni, la croissance a été tirée "exclusivement par les prix" dans un marché "perturbé par des difficultés de chaînes d'approvisionnement".En Europe du Sud (qui inclut le Moyen Orient et l'Afrique), les ventes du groupe se sont élevées à 3,15 milliards d'euros, soit quasiment autant que ce qu'attendaient les analystes (3,17 milliards d'euros).En France, Saint-Gobain a continué d'observer de "bonnes tendances", soutenues par le marché de la rénovation, et surtout les incitations à la rénovation énergétique impulsées par le plan de relance de l'économie. 400.000 dossiers de demande d'aide publique (MaPrimeRenov') ont été déposés en France depuis le début de l'année, indique le groupe qui compte sur la rénovation de bâtiments publics en 2022.Interrogé par les analystes sur la poursuite de la hausse des prix de matériaux d'ici la fin de l'année, le directeur général du groupe Benoit Bazin a répondu qu'il s'agissait d'une "priorité" pour le groupe, qui bénéficie d'une bonne "acceptation" de ses clients.Le titre Saint Gobain, coté au CAC40, a progressé de 0,89% jeudi à 60,89 euros, dans un marché en hausse de 0,75%.
Il y a 3 ans et 228 jours

Jo Taillieu - Portrait

L'architecte gantois Jo Taillieu fonde son agence en 2004. En 2009, il entame une collaboration prolifique avec Jan De Vylder et Inge Vinck, avec qui il conduit architecten de vylder vinck taillieu (ADVVT).  En 2018, ils reçoivent le lion d'argent lors de la 16e Biennale de Venise pour la transformation d'un pavillon abandonné de l'hôpital psychiatrique […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 229 jours

La villa Casamaures, une bouffée d'Orient rescapée aux portes des Alpes

Surnommée la "Dame de la Casamaures", sa propriétaire Christiane Guichard a obtenu son classement en monument historique en 1986 et piloté quatre décennies durant sa rénovation, se fixant pour "double défi de sauver l'architecture et de lui donner vie par la création"."Dès le début c'était un lieu de vie, un tiers lieu. Dès le début, dans les gravats, il y a eu des expos", relate l'alerte sexagénaire, blouse de travail et chignon bohème.Perchée depuis 1855 sur les premières pentes du massif de la Chartreuse à Saint-Martin-le-Vinoux, la Casamaures, toute en colonnades, arabesques exquises, moucharabiehs et immenses vitraux colorés, détonne franchement parmi ses voisines au style plus sobre.Un pan entier de façade, en bois, provient du pavillon turc de l'Exposition universelle de 1855, transporté on ne sait comment jusqu'à Grenoble. Il ouvre sur un lumineux jardin d'hiver de 9 mètres sous plafond, rempli de bibelots orientaux.La villa, qui héberge plusieurs artistes et associations culturelles, domine des jardins en terrasses ornés de plantes exotiques et de cadrans solaires.Outre son cachet exotique, la maison fascine par sa construction en ciment moulé ou "or gris", une technique "révolutionnaire" pour l'époque, relève Dominique Peyre, conservateur des Monuments Historiques. "En architecture, le XIXè a produit des œuvres d'une créativité étonnante", souligne-t-il dans un livre consacré à la Casamaures.Guerre d'AlgérieComment un palais oriental a-t-il surgi en banlieue de Grenoble ? Question de contexte, note Béatrice Besse, historienne de l'art et autrice d'un récent roman historique retraçant le parcours de son concepteur, le négociant grenoblois Joseph Jullien dit Cochard.Le milieu du XIXè siècle en Europe occidentale est une période d'intense fermentation intellectuelle, politique et industrielle."Suite à l'expédition de Bonaparte en Egypte, il y a eu un enthousiasme pour tout ce qui touchait" au pays, étendu ensuite notamment à l'empire ottoman. Cette fièvre touche particulièrement Grenoble où vécurent l'égyptologue Jean-François Champollion et le savant Joseph Fourier, explique-t-elle.Ce goût d'un Orient souvent fantasmé inspire de nombreuses constructions. Quelques-unes survivront, comme la maison de l'écrivain Pierre Loti à Rochefort - fermée depuis 2012 pour une rénovation de 7 millions d'euros. Beaucoup seront détruites, jugées sans intérêt ou victimes des tensions politiques liées à la guerre d'Algérie dans les années 1960.Si la vie de Cochard reste entourée de mystère, il semble établi qu'il n'a jamais voyagé en Orient. Sa fantasque villa visait à "impressionner la bourgeoisie grenobloise pour assoir sa réputation", estime Mme Besse.Mais il joue de malchance: après 23 ans de travaux, sa deuxième épouse le déshérite, semble-t-il pour se venger d'avoir été trompée. Criblé de dettes, il cède la merveille avant de mourir. Sa troisième femme, elle-même tombée dans le dénuement, se suicide avec son fils.K-popLa Casamaures voit alors défiler les propriétaires, subissant morcellements et dégradations. Elle abrite pendant 25 ans une fabrique de fromage, "Le bon lait". Sa décadence s'accélère lorsque des sans-abri y élisent domicile dans les années 60-70.Elle n'était guère plus qu'une ruine promise aux promoteurs lorsque Mme Guichard la rachète en 1981, au grand dam du maire de l'époque. "Il pensait que +ça ferait propre+ d'avoir un petit immeuble à la place. J'ai une formation de Beaux-arts et j'ai trouvé ça choquant", explique-t-elle.Mais aujourd'hui, cette villa classée et couronnée de nombreux prix architecturaux reste entourée de vieux entrepôts pour partie amiantés et occupés par des squatteurs. "Les lois de protection des abords ne sont pas appliquées", s'agace la propriétaire, déplorant l'"inertie" des politiques.Malgré cela, la maison attire des visiteurs d'horizons très divers, comme ces deux jeunes filles récemment venues y tourner un clip de K-pop pour un challenge sur les réseaux sociaux. "Elle est une muse", se félicite la Dame de la Casamaures.
Il y a 3 ans et 229 jours

Et si l'usine du futur s'adaptait toute seule à la demande ?

Emmanuel Macron se rend lundi dans l'entreprise Sileane à Saint-Etienne, spécialisée en robotique, vision et intelligence artificielle, pour promouvoir les initiatives du récent plan d'investissements France 2030 dans ce domaine, indique-t-on au cabinet de la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher.En avril 2019, les députés Bruno Bonnell et de Catherine Simon s'inquiétaient dans un rapport ("Robotique et systèmes intelligents") d'un retard français dans la robotisation des processus industriels, source de perte de compétitivité dans des secteurs-clés.L'enjeu est énorme. Car à elle-seule, la Chine, usine du monde, représente un tiers de la demande mondiale en terme de robots industriels, selon la banque d'affaires Bryan Garnier spécialisée dans les technologies.La France, qui souhaite relocaliser une partie de son industrie, est en 7e position mondiale pour le nombre de robots, derrière la Chine, le Japon, les Etats-Unis, la Corée du Sud, l'Allemagne et l'Italie, selon la Fédération Internationale de la robotique (IFR) basée à Francfort en Allemagne.Et avec des machines âgées en moyenne de 17 ans dans les PME industrielles françaises, Bercy se désole de voir qu'une partie des 8.000 projets de modernisation qui ont pu voir le jour grâce au guichet "industrie du futur" du plan de relance en 2020, n'aient pas bénéficié à des constructeurs français."Robotique adaptative"Raison pour laquelle le plan France 2030 consacre un budget pour aider à la production de robots et à la structuration de projets locaux autour de sites industriels.L'usine Sileane prise en modèle par Emmanuel Macron lundi pratique la "robotique adaptative", c'est-à-dire l'intelligence artificielle.Agée d'une vingtaine d'années et employant une centaine de personnes, elle produit notamment des robots qui conditionnent des poches de perfusion pour le domaine médical, ou qui gèrent les déchets dans le domaine nucléaire. Ils sont conçus pour gérer des situations imprévisibles, capables, si les choses ne se passent pas comme prévu, de s'ajuster et d'évoluer."Nous avons besoin d'usines plus flexibles, capables de se reconfigurer pour faire face à des brutales variations de la demande", explique Thierry Weil, conseiller au groupe de réflexion "La fabrique de l'industrie" et animateur de la chaire "Futurs de l'industrie et du travail" à Mines Paris, PSL.En clair, des "usines intelligentes" avec des chaînes d'assemblage qui "croisent intelligence artificielle, robotique et objets connectés", ajoute Stéphane Pezeril, directeur Innovation et recherche d'Ausy, cabinet de conseil du groupe Randstad, dans le livre blanc de l'industrie pour 2030 publié par Randstad."On a vu pendant la crise du Covid des constructeurs ou des équipementiers automobiles fabriquer des respirateurs. Il savent assembler des pièces de métal et de plastique, de l'électronique et des ventilateurs, mais ils faut pouvoir reconfigurer rapidement des machines polyvalentes comme les robots et réarranger les lignes de production" dit-il.Reste la lourde et délicate question de l'emploi. Est-ce que cette automatisation industrielle risque de "détruire" demain tous les emplois industriels humains? Un rapport du Sénat "demain les robots" s'en inquiétait en décembre 2019.La réponse n'est pas facile. Dans un premier temps, l'aide à la modernisation industrielle va au moins permettre une augmentation de 30% des formations en alternance, dont une partie dans la robotique.L'entreprise Technics Développement Robotique, située à Lallaing dans les Hauts-de-France (20 salariés) et spécialisée dans la robotisation des PME, a notamment bénéficié d'une aide exceptionnelle pour recruter quatre personnes dont trois apprentis en alternance issus de formations professionnelles en robotique ou en ingénierie d'automatisation et d'informatique grâce au dispositif "un jeune, une solution".
Il y a 3 ans et 229 jours

S'engager et se loger, un modèle de colocation solidaire pour les étudiants

Inspiré du système de "kots à projets" de nos voisins belges, et exporté en France en 2010, les "kaps" pour "kolocation à projets solidaires" sont en constante augmentation. Le nombre de colocataires, appelés "kapseurs et kapseuses", est passé de 28 en 2010 à près de 900 à la rentrée universitaire 2021.Les étudiants sont sélectionnés sur dossier selon leur degré de motivation et doivent répondre à quelques critères : être âgé de 18 à 30 ans, être étudiant, en formation alternée ou en service civique et consacrer près de 5 heures par semaine à des actions solidaires.À Paris, où une personne sur dix suit des études supérieures, les places en "kaps" sont chères. "Il y a 140 places et nous avons reçu près de 2.000 demandes chaque année", raconte Olympe Langelot, déléguée territoriale à l'Afev chargée des "kaps" parisiennes.À l'échelle nationale, les "kapseurs" sont répartis dans plus de 33 villes et 69 quartiers prioritaires où ils prennent part à plus de 300 actions solidaires, selon le dernier bilan "kaps" 2019-2020.Les loyers proposés sont attractifs - avec un coût moyen s'élevant à 230 euros (hors APL) - mais cet argument financier n'a pas été le seul à peser dans la balance pour Zoé Lemaire, étudiante en art appliqué de 23 ans et "kapseuse" pour la première fois cette année à Paris."Ça faisait surtout longtemps que je voulais m'engager sur le long terme, tout en poursuivant mes études", raconte la jeune femme, habituée à vivre en collectivité. Avec les "kaps", elle a trouvé le moyen de faire "une pierre trois coups" entre un logement abordable, une vie en coloc' et une activité solidaire."Mixité sociale"Ce modèle de colocations s'inscrit dans l'une des priorités de l'Afev: la lutte contre les inégalités.L'association poursuit un double objectif, répondre au besoin de logement des étudiants tout en contribuant à la mixité sociale dans les quartiers prioritaires.Le programme permet aux étudiants de s'investir dans divers projets au coeur des quartiers auprès d'acteurs de terrain parfois en manque de bénévoles pour "améliorer le cadre de vie et créer du lien": du soutien scolaire à la création de jardins partagés en passant par la lutte contre l'isolement des seniors ou l'accompagnement de personnes transgenres dans leur quotidien etc.Diop Papa Souleymane, 24 ans, est un "kapseur" aguerri. Depuis 2018, il accompagne des écoliers et collégiens de son quartier du XVIIIe arrondissement de Paris dans leurs devoirs et organise des activités culturelles."Le fait d'avoir des personnes extérieures avec une autre vision du monde leur permet de s'ouvrir culturellement et d'accéder à d'autres informations", explique l'étudiant en master de sociologie.Les "kapseurs" vivent et initient des projets concrets dans des quartiers souvent associés à la drogue et à l'insécurité. Pour eux, "qui ne sont pas issus de ces milieux", souligne Joëlle Bordet, chercheuse émérite et psychosociologue, c'est une "véritable épreuve de réalité" qui "permet une rencontre positive avec les quartiers populaires".Auteure d'une évaluation nationale des "kaps" entre 2015 et 2017, Mme Bordet voit d'un bon oeil le dispositif mais réclame plus d'investissement de l'Etat. Pour elle, "les associations n'ont plus les moyens à la hauteur des travaux qu'elles portent".