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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Divers

(5841 résultats)
Il y a 2 ans et 240 jours

Une application pour accompagner les professionnels du BTP en prévention sur les chantiers

L'OPPBTP, l'organisme professionnel de prévention du BTP, lance l'application mobile "check chantier" afin de contribuer à la promotion de la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
Il y a 2 ans et 240 jours

Meljac présente ses mini spots encastrés à Led

Des spots élégants, simples à installerLes nouveaux spots MELJAC s’accordent avec toutes les gammes en laiton de la marque et leur fixation a été optimisée : le transformateur est placé dans le faux plafond et la plaque en laiton directement clipsée sur le spot. Avec un indice de protection IP 54, ils peuvent être installés aussi bien dans les couloirs et chambres que salles de bains et cuisines. Leur éclairage à LED peut être direct ou asymétrique, blanc chaud ou froid, selon le choix du client. Les deux modèles existent avec intérieur blanc ou noir.Formats : Ø58 mm, 58x58 mm (épaisseur 3 mm) Eclairage LED direct ou asymétrique Couleur d’éclairage : blanc chaud (2.700K) ou blanc froid (4.000K)Puissance : 230V – 5W Angle de diffusion du faisceau : 24° Bords droits, sans vis apparentes Indice de protection : IP 54 Classe II
Il y a 2 ans et 241 jours

Illuminations, enseignes, éclairages, les Champs-Élysées adoptent un plan de sobriété énergétique

C’est pourquoi, sur « la plus belle avenue du monde », les horaires des illuminations, ceux des éclairages et des lumières des enseignes vont être significativement réduits. Cette décision prise par le Comité Champs-Élysées, à l’issue de son conseil d’administration du 20 septembre 2022, après consultation de l’ensemble de ses adhérents, parmi lesquels certaines des plus grandes marques mondiales et plusieurs acteurs culturels majeurs de la capitale, se veut à la fois une réponse aux recommandations du gouvernement, un accompagnement des mesures annoncées par la Ville de Paris, un appui aux dispositions que viennent de prendre plusieurs des principales entreprises de notre pays. Les Champs-Élysées, engagés pour leur rénovation dans une étude urbaine qui fait une part importante à la transition écologique, sont conscients des enjeux énergétiques, de la nécessité de les surmonter, de l’urgence à agir. Pour cela, ils ont voulu, dans une démarche, non pas de contrainte et d’obligation, mais de pédagogie et de conviction, formuler sans attendre des propositions concrètes qui conjuguent sobriété et efficacité, solidarité et rapidité.Concernant les Illuminations de Noël, deux décisions ont été prises avec le souci de faire la part tant de leur efficacité que de la volonté de conserver l’émerveillement et la « magie de Noël ». À l’instar des dispositions adoptées pour plusieurs des monuments parisiens, leur scintillement cessera à 23h45, soit 2h15 plus tôt que les années précédentes. En brillant du dimanche 20 novembre au lundi 2 janvier inclus, au lieu du dimanche 20 novembre au lundi 9 janvier, elles dureront 6 semaines contre 7 auparavant. À titre exceptionnel, elles demeureront allumées les 24 décembre et le 31 décembre.Ces choix sont importants : ils permettront de réduire de 44% la consommation d’énergie des illuminations. Cette évolution vient prolonger les initiatives déjà prises par le Comité Champs-Élysées depuis plusieurs années. En 15 ans, entre 2006 et 2021, grâce, notamment, à la mise en place d’éclairages LED, l’électricité nécessaire aux illuminations aura été diminuée de 97%. Sans évoquer les 480.000 KwH nécessaires aux illuminations jusqu’en 2006, les illuminations 2022 ne mobiliseront que 13.176 kwH, soit la consommation annuelle d’un foyer de 3/4 occupants, contre 23.400 KwH en 2021.Concernant les boutiques, les vitrines, les écrans, au terme d’un processus de concertation mené depuis la rentrée avec ses adhérents, le Conseil d’administration du Comité Champs-Élysées souhaite que les enseignes de l’avenue éteignent leur éclairage au plus tard à 22h00 et 7h00 le lendemain, au moins. Les commerces et les acteurs économiques poursuivant leurs activités au-delà (cinémas et restauration principalement) pourront naturellement dépasser cette limite. Le Comité les incite cependant à éteindre leur éclairage aussitôt qu’ils seront fermés. Cette mesure entre en application immédiatement et devra être généralisée avant le 15 octobre 2022. Les foncières, les propriétaires et les utilisateurs de bureaux des Champs-Élysées ont été invités également à se joindre ce mouvement. La durée de ce plan de sobriété énergétique sera prolongée autant que de besoin. Il fera l’objet régulièrement de points d’étape.De manière générale, le Comité Champs-Élysées incite ses adhérents à utiliser l’application gratuite et ouverte à tous, EcoWatt, éditée par RTE et l’ADEME, qui mesure, en temps réel, le niveau et le pic de consommation énergétique, à lancer des plans d’information de leurs salariés, à initier des actions de communication vers leurs clients sur les modifications des comportements individuels permettant des économies d’énergie à long terme.On l’aura compris : l’objectif du Comité est de proscrire les consommations énergétiques superflues, sans compromettre le rayonnement culturel, touristique, commercial, économique des Champs-Élysées, ni à la qualité esthétique et ludique des promenades sur l’avenue lors des périodes de fêtes. La sobriété énergétique ne doit pas être synonyme de récession économique ou d’austérité psychologique. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. La traditionnelle conférence de presse des illuminations aura lieu dans la matinée du 27 octobre : le nom du parrain ou de la marraine, le sponsor, ainsi que le nouveau design des Illuminations seront annoncés à cette occasion. Innovation dans cette communication, dans un souci d’excellence et d’exemplarité partagées, un événement marquera la première extinction des illuminations le même jour.Pour Marc-Antoine Jamet, président du Comité Champs-Elysées : « Les Champs-Élysées sont, pour le monde entier, un symbole et une vitrine, celle de Paris, celle de la France. Il était de notre devoir de nous montrer, collectivement, solidairement, exemplaires. Une semaine après avoir salué la première rotation de la barge qui transporte au cœur de la capitale, par la Seine, les matériaux indispensables à nos chantiers de réparation en cours, (trottoirs, chaussées), précurseurs discrets, mais réels, en matière d’économies d’énergie, le temps était venu, par notre action, par notre modèle, de participer concrètement et d’inciter à la sobriété énergétique. En agissant ainsi, nous avons un souhait et un espoir. Notre souhait, c’est que Paris reste une fête. Non seulement nous sommes, comme l’immense majorité des Français, soucieux de préserver l’atmosphère si particulière des fêtes de fin d’année, pour nos enfants, pour notre moral, pour nos traditions, mais nous sommes conscients de ce que notre attractivité touristique, commerciale et culturelle représente de croissance et d’emplois. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. Mon espoir, c’est que notre célébrité soit au service de la sobriété énergétique à laquelle il faut adhérer et que nous entraînions dans notre sillage l’ensemble des comités de quartiers, des cercles d’entreprise, pour que cet esprit de frugalité se répande. Y compris dans l’excellence énergétique, les Champs-Élysées doivent être un modèle et rester premiers. »
Il y a 2 ans et 241 jours

Certivea et la Smart Buildings Alliance récompensent les bâtiments connectés et communicants les plus remarquables

Des projets remarquablement innovants qui permettent de répondre dès maintenant aux enjeux de sobriété et flexibilité énergétique, et apportent aux utilisateurs des services adaptés au plus près de leurs besoins (qualité de vie, sécurité, maintenance, connectivité, etc.).Pour Patrick Nossent, Président de CERTIVEA : « Depuis 4 ans, le label Ready2Services aide les acteurs dans la transition numérique de l’immobilier. Un virage qui permet de faire d’un bâtiment une véritable plateforme de services intégrés pour répondre notamment aux enjeux immédiats de sobriété et de flexibilité énergétique tout en offrant les services numériques maintenant indispensables aux utilisateurs. Ces Trophées sont aujourd’hui l’occasion de célébrer l’engagement des lauréats et de montrer la voie à tous les acteurs de la filière pour porter le développement des bâtiments connectés, intégrés dans la ville durable et intelligente. »Pour Sébastien Meunier, Président de la Smart Buildings Alliance : « Le label R2S et ses extensions servicielles apportent une solution concrète à tous les acteurs de l’immobilier pour les accompagner dans leur transition énergétique et numérique. Bien au-delà de la seule connectivité du bâtiment, la démarche Ready2Services porte une vision du numérique responsable et créateur de valeur pour les occupants, les exploitants, les gestionnaires d’immeubles et les propriétaires. Elle propose un socle solide pour répondre aux objectifs de sobriété énergétique dans le bâtiment et aider tout le secteur à consommer moins et consommer mieux. La SBA est fière aujourd’hui de participer à la remise des Trophées R2S qui distinguent des acteurs et réalisations remarquables en termes de performances et de services numériques. »Le palmarès 2022 des Trophées Ready 2 ServicesCatégorie « Bâtiment Neuf »Immeuble Origine – ICADE – Nanterre (92)2 immeubles de bureaux neufs situés à Nanterre (92), dans le prolongement de Paris-La Défense, intégrés dans un ensemble mixte formant un îlot urbain ouvert sur la ville, occupés par le groupe Technip Energies.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Exploitation »Immeuble Wave – VINCI Energies – Lille (59)Livré en 2019, WAVE est le siège régional de VINCI Energies, situé dans le quartier central de la métropole Lilloise avec Euratechnologies, 1er incubateur de startups en France.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Rénovation »Le ‘156’ à Paris – MAIFLe nouveau bâtiment MAIF a accueilli en 2020 ses premiers occupants provenant de 3 sites parisiens. Le bâtiment a fait l’objet d’une rénovation concertée, avec notamment des objectifs environnementaux et numériques.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Campus »Campus Région du numérique Charbonnières-les-Bains - Région Auvergne-Rhône-AlpesOuvert depuis janvier 2021, le campus accueille des étudiants, enseignants, entreprises et industriels sur un espace de 11 ha. Le lieu se veut un catalyseur d’innovations permettant d’accompagner la transformation numérique des acteurs régionaux.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Top 3 des acteurs qui cumulent le plus grand nombre de m² labellisés ou en cours de labellisationCovivioIcadeRedman[Plus de détails, cliquez ici]Le Label R2S, la meilleure preuve qu’un bâtiment est équipé, connecté et sécurisé pour des services numériques performants et durablesReady2Services (R2S) est le socle de la famille des labels ‘Numérique’ délivrés par CERTIVEA. Déployé dès 2018, le label R2S, fruit de la collaboration entre CERTIVEA et la Smart Buildings Alliance, a été conçu pour aider les acteurs, quel que soit leur secteur, dans le déploiement d’infrastructures numériques sûres, évolutives et performantes, pour améliorer le bien-être, la performance et la durabilité au sein des bâtiments tertiaires, quelle que soit leur étape de vie (neuf, exploitation ou rénovation).Les bâtiments labellisés R2S répondent à des exigences couvrant six thèmes complémentaires : Connectivité - Architecture Réseau – Equipements et interfaces – Sécurité numérique – Management Responsable – Services Numériques.Une nouvelle version du label a été lancée à l’été 2022. Ces 4 années ont en effet été l’occasion de nourrir une réflexion poussée autour de l’évolution de ce label unique en son genre, en prenant en compte les retours d’expériences, les réglementations récentes, mais aussi les attentes des maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, prestataires… Parmi les nouveautés de la nouvelle version, on notera une prise en compte accrue des réseaux sans fil (Wi-Fi, GSM, IoT, géolocalisation), l’ajout d’un critère sur la présence d’un Building Operating System (BOS) ou encore la fiabilité de la connexion internet. Autres points importants : la clarification du rôle des protocoles (BACnet, LonWorks, KNX…), qui ont toute leur place dans un bâtiment labellisé R2S, et l’accent mis sur un numérique plus responsable et performant afin de réduire l’empreinte environnementale du bâtiment.Le label R2S en données clés+100 : Bâtiments labellisés ou en cours de labellisation R2S1,7 M de m² :Surface cumulée des bâtiments engagésX 3 : Progression du nombre de projets engagés entre 1er trimestre 2021 et 202250/50 : Répartition des projets entre IDF et reste de la France+100 : Référents R2S formés à travers la France
Il y a 2 ans et 242 jours

Lignotrend : Aménagement créatif de bureaux avec LIGNO® Acoustique

L'aménagement intérieur se révèle un outil fondamental pour transmettre efficacement la culture, les valeurs et l'image d'une entreprise. Le bien-être des collaborateurs dans les locaux ou encore l'attrait d'une entreprise pour les candidats sont souvent influencés par la perception de l'espace. L'ameublement, les couleurs, la lumière et surtout la qualité des matériaux contribuent à créer des expériences intérieures uniques. C'est pourquoi les architectes d'intérieur misent sur l'effet naturel des panneaux en bois véritable LIGNO® Acoustique. Ses différents types de profilés et de bois apportent une touche de nature dans les bureaux et ennoblissent les murs et les plafonds. Ces panneaux s'intègrent dans les cloisons et les éléments encastrés ou, imprimés, ils deviennent de véritables oeuvres d'art. Grâce à leur grand choix de conifères et de feuillus (plus de vingt variantes différentes), les panneaux de revêtement LIGNO®Acoustique permettent d'exprimer des messages d'aménagement très différents et de créer des ambiances très personnelles et caractéristiques dans la pièce.
Il y a 2 ans et 243 jours

Un gratte-ciel en Chine ravagé par un incendie

Le feu, désormais éteint, a touché le bâtiment de l'opérateur téléphonique China Telecom à Changsha. Cette ville peuplée de 10 millions d'habitants est la capitale de la province du Hunan.Les impressionnantes images diffusées par la télévision publique CCTV montraient d'immenses et puissantes flammes orange ravager tout un côté du bâtiment, qui compte 42 niveaux en surface.Sur des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, on peut voir une fumée noire extrêmement dense s'échapper de l'immeuble et des passants s'enfuir afin d'éviter d'être touchés par des débris incandescents tombés du ciel."Selon une enquête préliminaire", l'incendie "se serait déclaré sur un mur extérieur du bâtiment", ont indiqué les pompiers de la province sur le réseau social Weibo."Le feu a été éteint et aucune victime n'a été trouvée", ont-ils souligné, disant avoir reçu le premier appel au secours à 15H48 (07H48 GMT).Immeuble calcinéDes internautes ont publié des images d'un long bras articulé des pompiers projetant à l'aide d'une lance de l'eau sur la carcasse noire du bâtiment en partie calciné."L'incendie a été éteint vers 16H30" et "les communications (téléphoniques) n'ont pas été interrompues", a précisé China Telecom dans un message publié sur Weibo, confirmant l'absence de victime pour le moment.La construction du gratte-ciel avait été achevée en 2000, selon CCTV.Cette relative modernité de l'immeuble pourrait expliquer en partie l'absence de victime pour le moment, des exercices anti-incendie étant régulièrement pratiqués dans les bâtiments des grandes villes.Des précédentsDes incendies mortels surviennent toutefois régulièrement en Chine, où l'application parfois laxiste des consignes de sécurité et les constructions illégales peuvent compliquer l'évacuation d'un bâtiment en feu.En juin 2021, dans la province du Henan (centre), l'incendie d'une école d'arts martiaux avait fait 18 morts, pour la plupart des élèves âgés de sept à 16 ans.Les médias officiels avaient indiqué que le bâtiment abritant l'école n'avait pas passé les contrôles de sécurité obligatoires. L'événement avait provoqué un tollé en ligne et une mobilisation sur les réseaux sociaux pour de meilleures normes anti-incendie.En 2017, deux incendies avaient tué plus d'une vingtaine de personnes dans des quartiers de Pékin habités par des travailleurs migrants venus d'autres provinces.En 2010, un vaste incendie avait ravagé un immeuble résidentiel de 28 étages à Shanghai, tuant 58 personnes.
Il y a 2 ans et 243 jours

Mastic silicone A10 Würth : une nouveauté haute performance

Grâce à sa qualité premium de type Alcoxy, ce mastic est plus respectueux des utilisateurs et de l’environnement. Il est polyvalent et possède de très bonnes caractéristiques d’adhérence sur un grand nombre de surfaces et de supports rencontrés dans l’industrie du bâtiment.Une forte technicitéIl dispose d’une grande facilité d’extrusion à toute température. Sa densité élevée lui permet d’être facilement lissable, pour une finition exceptionnelle au niveau des joints d’étanchéité. Sa polyvalence permet une adhérence optimale sur de nombreux supports, notamment sur les PVC ainsi que sur les aluminiums laqués ou anodisés. Le nouveau mastic A10 Würth dispose des labels SNJF Façade et Vitrage, d’une déclaration de performance (DOP) et d’une classification A+ au niveau dégagement des composés organiques volatiles (COV). Il est résistant aux U.V., aux agressions chimiques extérieures, à la pluie, à la température et au vieillissement.Domaines d’applicationsConvient parfaitement pour la réalisation de joints d’étanchéité et de collages dans les domaines de la construction et de la menuiserie. C’est également un obturateur élastique en vitrerie-miroiterie, sur cadres aluminium thermolaqués ou anodisés, murs rideaux et façades. Ses propriétés lui confèrent une très bonne adhérence sur aluminium, aluminium anodisé, cuivre, acier, acier zingué, inox, zinc, polyester, polystyrène, verre, PVC, bois, béton, …Utilisation – mode d’emploiL’application se réalise à l’aide d’un pistolet manuel, pneumatique ou à batterie. Il faut ensuite utiliser une spatule pour lisser le mastic. Pour une finition optimale, utiliser un agent de lissage. L’élimination du mastic encore frais et non réticulé se fait à l’aide d’un solvant adapté et non agressif. Seule une action mécanique pourra enlever le mastic sec.Le mastic silicone A10 est disponible en teinte blanche (Art. N° 0892 857 32) et en translucide (Art. N°0892 857 33).
Il y a 2 ans et 246 jours

Les moyens pour développer l'économie circulaire

L'économie circulaireLes déchets de démolition sont désormais des ressources. Afin de renforcer leur usage dans la construction, le CSTB multiplie les initiatives pour développer de nouvelles filières et diffuser les bonnes pratiques auprès des acteurs. 2022 sera dans le BTP une année charnière pour l'économie circulaire et la gestion des produits, équipements, matériaux et déchets de déconstruction. Sylvain Laurenceau - Directeur Économie et Ressources En complément du nouveau diagnostic, le dispositif réglementaire de responsabilité élargie du producteur (REP) entrera en application dans la construction le 1er janvier 2023. Dans ce contexte, les déchets deviennent des ressources et le diagnostic « Déchets » devient le diagnostic « Produits, équipements, matériaux, déchets » (PEMD) qui s'applique non seulement aux PEMD issus de la déconstruction, mais aussi de la rénovation de bâtiments. Les professionnels doivent renforcer leurs pratiques de déconstruction sélective, de recours au réemploi et de recyclage. Lire la suite En savoir plus : Le diagnostic PEMD en 30 secondes avec Sylvain Laurenceau Consultez le guide "Secteur du bâtiment, comment mieux valoriser et déconstruire ?" S'inscrire à la formation certifiante Diagnostiqueur PEMD Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 246 jours

Le matériau bois : une partie de la solution pour décarboner la construction

En France, la part du bois dans la construction (secteur résidentiel et non résidentiel) atteint près de 10 % et devrait fortement progresser dans les prochaines années*. Utilisé dans la construction depuis toujours, le bois s’impose dorénavant en tête des matériaux renouvelables et biosourcés et ses usages se diversifient. Il entre ainsi dans la construction, la réhabilitation, la rénovation et l’aménagement. Le bois représente des enjeux écologiques, sociétaux et environnementaux majeurs. Développement du Grand Paris, chantiers liés aux Jeux Olympiques, construction grande hauteur, maison individuelle... les débouchés ne manquent pas aussi bien dans la construction collective qu’individuelle, pour le tertiaire comme pour le résidentiel. La mise en application récente de la RE 2020 est également un facteur de développement du marché pour les prochaines années.BATIMAT met une nouvelle fois en lumière la construction bois et toute la filière en amont comme en aval. Un secteur de 1 521 m2, lui est entièrement dédié dans le Pavillon 1 avec près de 40 exposants inscrits à date. Il s’agit d’organismes tels que FNCB CFDT, FRANCE BOIS FORET, CODIFAB et d’industriels de renom : ADKALIS, AGIBOIS SAS, ALSAFIX, ARCLIN LLC, BEST WOOD SCHNEIDER, C.B.S.T./ SCIERIE JOSLET, CAMBRAI CHARPENTE, ESSETRE S.R.L. UNIPERSONALE, FELIX DISTRIBUTION, GOLBALUX SP. Z O.O., GRABO, GROUPE BERKEM, GROUPE SETIN, HANS HUNDEGGER AG, JUNGINGER NATURHOLZWERK GMBH, KAMEOKA CONSTRUCTION CO., LTD, KYOCERA UNIMERCO FASTENING A/S, LES FILS DE CYRILLE DUCRET, LIGNATEC, LIXOL, MACH DIFFUSION, MALAYSIAN TIMBER COUNCIL, MANUBOIS, MAX EUROPE BV, MONNET SEVE, PGB EUROPE NV, PIVETEAU BOIS, SCHILLIGER BOIS SAS, SCIERIE EYMARD, SELECTION VOSGES, SIMONIN SAS, SIMPSON STRONG TIE, STEICO SE, TECHNIWOOD.Cet espace, ainsi que les conférences dédiées permettent à la fois de saisir tous les enjeux fondamentaux de ce matériau et de valoriser la diversité des produits en bois français.* France Bois Forêt – Le Bois dans la Construction – sept 2020Les conférencesLe bois est au cœur des sujets de décarbonation et sera notamment la thématique de deux conférences Experts’Corner :Mercredi 5 octobre de 16h à 16h45. (Agora 1, Pavillon 1) :Bois & traçabilité dans le cadre des Jeux de Paris. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence sera animée par Marie Jorio, Coordinatrice du Projet France Bois 2024 (projet accompagnant le bois dans les Jeux de Paris soutenu par le CODIFAB et France Bois Forêt, accompagné par le CNDB) qui animera en présence de Georges-Henri Florentin, Président de France Bois 2024, une table ronde composée de Jérôme Martinez, Responsable du Label Bois de France ; Paul Emmanuel Huet, Directeur Exécutif PEFC France ; Aurélien Sautière, Directeur Exécutif FSC France, la Solidéo et Paris 2024.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDBJeudi 6 octobre de 16h à 16h45 :Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2030. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence traitera en introduction de la RE2020, du positionnement des bâtiments actuels, des objectifs du futur. Une table ronde donneraensuite la parole à deux cabinets d’architectes qui viendront témoigner lors de cette session de leurs projets ou réalisations respectives, dont le cabinet A003 architecte.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDB.Il sera aussi l’une des thématiques phares du plateau TV de Bati-Journal, organisé par Éditions des Halles et BATIMAT et situé au cœur du secteur bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Le bois sera abordé lors de quatre émissions :La préfabrication des bâtiments boisConstruction bois, préserver la ressourceLe bois, matériau biosourcé par essenceLe bois, matériau des circuits courtsDemandez votre invitation gratuite pour BATIMAT
Il y a 2 ans et 246 jours

Val-d’Oise : le nouveau centre aquatique de Cergy-Pontoise sera prêt d’ici à 2028.

Initialement prévue pour 2025, l’ouverture du nouveau centre aquatique de Cergy-Pontoise, dans le Val-d’Oise, sera reportée à 2028. En juin...
Il y a 2 ans et 246 jours

Parution du Smart Guide de la RE2020 : Construire des logements avec les Smart Systèmes en Béton

Il a pour objectif de guider les acteurs de la construction à mieux comprendre les trois objectifs de la RE2020 et de démontrer qu’utiliser les solutions préfabriquées en béton permet d’ores et déjà de répondre pleinement aux exigences environnementales et de confort de la nouvelle réglementation et de favoriser la sobriété énergétique du bâti.Destiné à tous les acteurs de la construction et en priorité aux CMistes, promoteurs et bureaux d’études thermiques et environnementaux, ce guide de 24 pages, pédagogique, ludique et étayé par des cas concrets, est divisé en deux grands chapitres :Comprendre les objectifs de la RE2020 : ses trois objectifs (sobriété énergétique, fraîcheur des bâtiments en cas de fortes chaleurs et diminution de l’impact carbone) et son calendrier d’application, les évolutions entre la RT2012 et la RE2020, le calcul de l’impact carbone à l’échelle du bâtiment et la méthode ACV, le respect des seuils carbone construction nécessitant que tous les lots contribuent à la réduction de l’impact carbone des bâtiments.Utiliser les Smart Systèmes en Béton pour passer la RE2020 : les solutions préfabriquées en béton pour les logements pour répondre aux trois objectifs de la RE2020, et donc, construire bas carbone, diminuer toujours plus l’impact carbone des systèmes constructifs en béton et favoriser le confort d’été lié à l’inertie des bâtiments.Au travers des Smart Systèmes en Béton, la FIB a initié un programme pour valoriser l’intelligence embarquée dans chacune des solutions préfabriquées en béton, en termes d’économie des territoires, des ressources, de l’énergie et de la fonctionnalité, résolument inscrites dans une voie de production responsable et connectée.La publication du guide s’inscrit dans ce cadre et dans la communication collective initiée par la Fédération pour valoriser l’apport des solutions préfabriquées en béton pour réduire l’empreinte environnementale, notamment les murs et planchers destinés aux marchés des maisons individuelles et logements collectifs.Elle est complétée par une panoplie d’autres outils : des études de cas, outils d’aide à la décision, fiches chantiers avec le témoignage de bureaux d’études pour quantifier les paramètres d’application de la RE2020, une web série de vidéos témoignages pour faire incarner les messages par des bureaux d’études, des constructeurs…La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100% d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables.Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) est un Centre Technique Industriel, reconnu d’utilité publique et institué en 1967 conjointement par le ministre chargé de l’Industrie et par le ministre chargé de l’Économie et des Finances, à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB). Avec plus de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise, ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15.000 m 2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Opérateur de recherche du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ses travaux de R&D éligibles peuvent bénéficier du Crédit d’Impôt Recherche.L'industrie du béton en France461 entreprises722 sites de production2,8 milliards d’€ de CA départ usine, hors taxes et hors transport, dont : 62,8% à destination du bâtiment37,2% destination des travaux publics et du génie civil20 millions de tonnes de produits en béton en volume19.200 emplois directs100% réseau localLe 1er employeur des industries de la branche carrières et matériaux de construction.
Il y a 2 ans et 247 jours

Le Pôle Fenêtre FFB fait des propositions pour massifier les travaux de rénovation énergétique

Le Pôle Fenêtre FFB (Fédération Française du Bâtiment)* regroupe cinq organisations professionnelles représentatives des activités fenêtres, façades vitrées, vérandas, vitrages, fermetures et stores. Avec pour premier marché la rénovation (plus de 70% des chantiers), cette filière française innove, investit et crée des emplois. Forte d’environ 1.200 ETI et PME industrielles, fabricants de fenêtres et de composants, ainsi que 51.000 PME et artisans, fabricants et installateurs répartis sur tout le territoire, elle représente près de 240.000 salariés, dirigeants et travailleurs non-salariés.Au regard de la consommation actuelle du parc français des bâtiments à rénover, et des économies d’énergie possibles à moyen terme, le Pôle Fenêtre FFB souhaite être associé et contribuer aux travaux du Gouvernement. Il entend ainsi participer aux débats et travailler avec les Ministères afin de co-construire le plan de sobriété énergétique français. Le Pôle Fenêtre FFB ambitionne de valoriser les fenêtres et les protections solaires dans les incitations financières, tout en limitant les impacts budgétaires. Le Pôle Fenêtre FFB présente déjà deux premières propositions concernant les logements et les bâtiments tertiaires.Pourquoi la rénovation des fenêtres est-elle fondamentale dans le plan de sobriété énergétique ?Pour les organisations professionnelles regroupées autour du Pôle Fenêtre FFB : « L’intérêt du remplacement des fenêtres dans les gestes de rénovation pour atteindre la sobriété énergétique des bâtiments est déjà démontré. Selon leurs surfaces, les déperditions des anciennes menuiseries représentent 15 à 40% des déperditions totales du bâtiment. Le remplacement des anciennes menuiseries par des produits performants permet de réduire les besoins de chauffage jusqu’à 30%. En valeur absolue, cette réduction peut représenter jusqu’à 60 kW/m2/an, soit plus de 25% de l’amélioration nécessaire pour porter un logement de 300 à 80 kW/m2/an. De plus, en logement collectif, c’est le seul poste de travaux individuel auquel les ménages ont accès. Enfin, c’est un geste de rénovation thermique qui s’effectue à court terme avec des effets immédiats. »A l’approche de l’hiver, la priorité des ménages, des professionnels et de l’Etat est avant tout de considérer les gains de consommation de chauffage. Le remplacement des fenêtres permet d’isoler une grande partie de l’enveloppe extérieure du bâtiment et offre des apports de chaleur gratuite grâce aux apports solaires en hiver. L’économie est directement visible sur la facture d’énergie et évite un plan de restrictions. Ces travaux de rénovation sont accessibles pour un grand nombre de ménages français.Par ailleurs, après avoir vécu plusieurs épisodes de canicule, il est maintenant indispensable de maîtriser les températures intérieures et limiter les apports solaires en été. Grâce aux volets et stores qui y sont associés, la baie vitrée a ainsi contribué à la réduction des besoins de froid. C’est le seul équipement à offrir la possibilité de rafraîchissement nocturne sans consommation d’énergie. Son efficacité peut être améliorée par l’installation de protections solaires qui limitent l'entrée du froid et les déperditions thermiques en hiver. Elles permettent aussi de maîtriser les apports solaires en été, et le recours à la climatisation. Le remplacement total des menuiseries contribue également à une économie d’éclairage substantielle grâce à l’augmentation de clair de vitrage.Des propositions sur les incitations financières afin de massifier la rénovation énergétiqueAujourd’hui, les incitations financières ne permettent pas de massifier la rénovation énergétique compte tenu du reste à charge trop important et de la complexité de certaines d’entre elles. Le Pôle Fenêtre FFB présente plusieurs propositions pour le logement et le tertiaire :Pour le logementLes mesures d’incitations financières dédiées à la rénovation énergétique des bâtiments sont toutes basées sur les conditions d’éligibilité de MaPrimeRénov’.Le Pôle Fenêtre FFB propose un réaménagement des conditions d’éligibilité afin de permettre à un plus grand nombre de ménages, dont le pouvoir d’achat est aujourd’hui fortement impacté, d’accéder à ces aides et accompagnements.Ce réaménagement pourrait être basé sur la simplification des conditions d’éligibilité aux aides et incitations financières de l’Etat, des organismes bancaires et des collectivités :Quelques exemples de propositions du Pôle Fenêtre FFB :un montant forfaitaire universel, applicable dès le niveau « conditions de ressources modestes »,une bonification du forfait universel pour les revenus très modestes,la suppression de la répartition des conditions de ressources par régions de France,la suppression de l’obligation de remplacement de simple vitrage. Aujourd’hui, près d’un tiers des fenêtres remplacées sont équipées de double vitrage ancienne génération dont les performances d’isolation thermique ne sont plus adaptées aux objectifs d’économie d’énergie pris par la France,la prise en compte de la rénovation des portes d’entrée donnant sur l’extérieur, le maintien de l’éco-conditionnalité (obligation de la mention RGE pour les entreprises de mise en œuvre).Le Pôle Fenêtre FFB demande qu’en contrepartie des efforts réclamés aux industriels et aux ménages, la TVA applicable aux travaux de rénovation des menuiseries (portes extérieures, fenêtres et volets) reste au taux réduit de 5,5% sans condition particulière.Considérant la part grandissante des consommations de climatisation dans les logements, le Pôle Fenêtre FFB propose également qu’un volet « confort thermique » soit intégré dans la politique publique de rénovation énergétique des logements.Pour le tertiaireLe report possible dans l’application du dispositif Eco Energie Tertiaires semble difficile à accepter compte tenu du gisement d’économies d’énergies pour les bâtiments.Le Pôle Fenêtre FFB demande de considérer une entrée en vigueur en janvier 2023.La profession travaille sur la création de fiches standardisées Certificats d’Economies d’Energies (CEE), dédiées à la façade vitrée et aux protections solaires dans les bâtiments tertiaires. Les autres fiches standardisées CEE fenêtre en logement et en tertiaire sont en cours de révision : la filière demande également leur revalorisation.
Il y a 2 ans et 247 jours

"Zéro artificialisation nette" des sols : Béchu demande aux préfets de "ne pas se précipiter"

"Qu'on demande aux préfets de ne pas se précipiter d'appliquer un décret pour lequel il y a des points qui apparaissent comme objectivement améliorables, ça ne me semble pas une remise en cause", a estimé le ministre, auditionné par la Commission des lois de l'Assemblée nationale.L'objectif de zéro artificialisation est inscrit dans la loi Climat adoptée en 2021. Plusieurs décrets datés du 29 avril dernier précisent ses modalités d'application, dont l'un fixe une nomenclature des sols concernés."Apparaissent des choses dans le décret qui, pour certains parlementaires, ne leur semblent pas avoir fait partie de la volonté du législateur et pour d'autres aboutissent à des aberrations ou des incohérences", a déclaré M. Béchu."La plus belle, et qui va m'amener à écrire le 4 août aux préfets, c'est la nomenclature qui classe les parcs et jardins comme des espaces artificialisés", a-t-il donné en exemple. Le décret mérite "une levée de stylo pour ne pas que les préfets se mettent à appliquer un décret qui souffre de la part de parlementaires d"un certain nombre de remarques", a-t-il insisté.Ces réflexions "ne modifient en rien" le calendrier d'application, a assuré le ministre, relevant qu'on "a plus artificialisé en 50 ans qu'en 5 siècles".L'objectif de la loi est de diminuer le rythme de grignotage des espaces naturels par la ville pour arriver à zéro en 2050. L'artificialisation dégrade la biodiversité, augmente les risques d'inondations et contribue au réchauffement climatique en libérant du CO2 stocké dans les sols.Mais l'application de la loi a suscité de vives opposition de professionnels de l'immobilier comme d'élus. L'Association des maires de France (AMF) a notamment annoncé saisir le Conseil d'Etat contre deux des trois décrets d'application de l'objectif ZAN.
Il y a 2 ans et 247 jours

La nomination de Valérie Metrich-Hecquet à la tête de l'ONF validée par le Parlement

Les commissions des affaires économiques du Sénat et de l'Assemblée ont entendu la haute fonctionnaire, directrice générale de la performance économique et environnementale des entreprises (DGPE) du ministère de l'Agriculture, avant de procéder à un vote.Son élection a été plus serrée au Sénat (10 voix pour, 12 contre, 2 bulletins blancs) qu'à l'Assemblée (29 voix pour, 22 contre, 2 abstentions). Sa candidature n'aurait pu être invalidée que si au moins trois cinquièmes des suffrages s'étaient exprimés contre elle dans chacune des commissions.Ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts, Mme Metrich-Hecquet a été secrétaire générale du ministère de l'Agriculture de 2014 à 2018, avant de prendre la tête de la DGPE: à ce titre, le syndicat majoritaire parmi les personnels, le SNUPFEN Solidaires, estime qu'elle a "piloté la politique de réduction drastique des effectifs de l'ONF"."Vous étiez parmi les opérateurs de ce qu'on a souvent appelé une maltraitance institutionnelle", l'a accusée le député PS Dominique Potier lors de son audition, tandis que Mathilde Panot (LFI) s'est étonnée que Mme Metrich-Hecquet n'ait pas eu "un mot sur la souffrance des agents" pendant sa présentation.Soulignant la fragilité de la forêt française, qui doit s'adapter d'urgence au changement climatique après un été marqué par des incendies monstres, la candidate a dit vouloir dès son arrivée "veiller à l'adéquation entre les missions et les moyens" de l'ONF.S'il s'avère que les missions liées notamment à la détection et prévention des feux ne peuvent être remplies, cela pourrait conduire à "une non-application des réductions d'effectif sur ces missions", a-t-elle affirmé. Le contrat d'objectifs et de performances avec l'Etat prévoit de supprimer près de 500 postes supplémentaires (475 équivalents temps plein) entre 2021 et 2025."Je me battrai pour l'établissement, mais je considère au bout de 35 ans (de service public) que le fonctionnaire a un devoir de loyauté et j'appliquerai les décisions prises par le gouvernement", a-t-elle toutefois prévenu.Sur sa feuille de route figurent aussi l'accompagnement de la filière bois, qui permet à l'office d'engranger des recettes, ou le renforcement du dialogue avec les collectivités locales et les usagers de la forêt.
Il y a 2 ans et 248 jours

gagnez de la place avec les chassis pour portes a galandage dierre france

Le châssis à galandage New Space de chez Dierre France rend à la maison tout l’espace habituellement occupé par les portes battantes. Il s’agit d’une solution qui offre de nouvelles possibilités d’ameublement et qui permet de recevoir des portes classiques ou modernes, à 1 vantail ou 2 vantaux, lisses ou avec des décors et reliefs.
Il y a 2 ans et 248 jours

Une nouvelle usine dédiée au hors site pour Vestak

SITE DE PRODUCTION. Disposant d'un premier site d'assemblage en Seine et Marne, le groupe Vestak, spécialiste de la construction hors-site de bâtiments en matériaux biosourcés, annonce l'ouverture d'un deuxième site d'ici à la fin de l'année.
Il y a 2 ans et 248 jours

Entretien avec Pierre Knoché, DG France de Kiloutou

D’où vient Kiloutou ? Depuis quand l'entreprise existe-elle ?Pierre Knoché : Le groupe Kiloutou a été fondé en 1980 par Franky Mulliez avec la volonté de devenir la première chaîne française de location de petits matériels et outillage. Tout a commencé avec 3 agences dans le Nord, aujourd’hui elles sont 564 réparties en France, en Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et depuis peu au Danemark et au Portugal. Aujourd’hui la société s’est considérablement développée avec un élargissement de sa gamme sur le matériel de terrassement, d'élévation et de véhicules et l'extension à l'international. Le parc matériel compte actuellement 265.000 matériels.Quelle est la place de Kiloutou sur le marché ? Comment décririez-vous l’évolution du marché de la location de matériel ?Pierre Knoché : Kiloutou est actuellement le 3ème loueur de matériel européen et 95% des clients sont des professionnels (aussi bien les grands acteurs du BTP, que les artisans ou les industriels).L’évolution du marché de la location de matériel est désormais orientée vers la lutte contre le réchauffement climatique :On sait que 20% des émissions de CO2 d’un chantier sont liées au fonctionnement du matériels (Etude Carbone 4 pour la FNTP - périmètre France). De sa fabrication à sa fin de vie, en passant par son usage et sa maintenance, un matériel à motorisation électrique rechargée sur le réseau, à hydrogène vert ou biogaz, permet jusqu’à 60% de réduction des émissions de CO2 par rapport à un modèle thermique.Notre principale préoccupation est donc de pouvoir proposer des matériels plus respectueux de l’environnement et moins émetteurs de CO2, sans faire de compromis sur leur performance. Désormais nous devons composer avec un mix énergétique (électrique, hybride, H2 et les biocarburants qui ont chacun leurs limites). Ces nouvelles technologies manquent encore de maturité (manque d’infrastructures de recharge à proximité des chantiers par exemple), mais nous ne pouvons pas passer à côté étant donné les avantages qu’elles apportent : réduction des émissions de CO2 et de particules fines, mais également des nuisances sonores pour les riverains ou encore des vibrations pour les compagnons.Ces grandes évolutions supposent aussi que l’on accompagne nos équipiers : notre force commerciale, formée à analyser chaque chantier pour déterminer le parfait mix usage / performance ; et dans nos ateliers, nos équipes techniques qui seront garantes de la pérennité de cette flotte.Quelles innovations pensez-vous avoir apporté au secteur ?Pierre Knoché : Dès 2007, Kiloutou a formalisé une stratégie RSE d’ampleur et est devenu en 2012 le premier loueur à établir le bilan carbone de ses locations. En 2012 nous avons signé le Global Compact qui nous engage à aligner notre stratégie sur 10 principes touchant les droits de l’Homme, les normes du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption.Plus récemment, en 2021, Kiloutou a lancé la gamme iMPAKT qui réunit plus de 3500 matériels électriques ou hybrides, tous recensés dans le Guide des Matériels alternatifs, qui permet aux clients de comparer chaque matériel avec son équivalent thermique et ainsi de rendre compte des économies de carburant réalisées et les émissions de CO2 et de bruit évitées.Par la même occasion, le Groupe a lancé la première édition des Rencontres du Matériel Durable (RMD), qui réunit fabricants, clients et fédérations professionnelles afin de débattre et d’imaginer les solutions des chantiers de demain. Parce qu’il est évident que pour atteindre nos objectifs de réduction des émissions carbone à tous, c’est ensemble que nous devons travailler.Grâce aux études commandées par Kiloutou aux cabinets Carbone 4 et Arthur D.Little, les participants ont pu peser les pour et les contres des diverses énergies alternatives et avoir un aperçu du mix énergétique projeté à 2030 suivant deux scénarios : l’un conservateur, l’autre plus agressif. Ils ont également débattu de plusieurs propositions qui seront faites au Gouvernement. Rendez-vous est déjà donné en février prochain pour la 4ème édition.Et parce que la RSE comprend évidemment l’environnement, mais aussi l’Humain, Kiloutou s’est doté depuis plusieurs années d’une gamme de matériel dédiés à la sécurité et l’ergonomie sur les chantiers nommée Kare. On y retrouve notamment l’ergosquelette - qui permet de soulager les épaules dans une posture bras hauts, le gabarit laser - qui crée une frontière invisible pour éviter l’intrusion sur des chantiers à risque, le gilet connecté - qui prévient le risque de heurt engin-piéton, et le bras 0 gravité - qui soutient le poids d’un outil (jusqu’à 15kg) sans altérer la dextérité de son utilisateur. Ces dispositifs sont imaginés et conçus par des entreprises partenaires et nous fournissons à nos clients tout le conseil et leur mise en place directement sur les sites et chantiers.Quelle est la direction stratégique de Kiloutou dans les années à venir ? Avez-vous notamment des projets en cours en termes de digitalisation ?Pierre Knoché : Kiloutou a lancé son premier site internet vitrine en 2000. Aujourd’hui, il permet d’obtenir un devis et de réserver son matériel en ligne. Il est agrémenté de tutos vidéos pour permettre aux utilisateurs d’être le plus autonome possible. L’objectif est aujourd’hui de le rendre toujours plus personnalisé pour le client et d’en faire un réel apporteur d’affaires pour nos agences.Dans les en-cours, nous finalisons actuellement des projets qui avaient été mis en stand-by durant la crise sanitaire, notamment Youse : un système de partage de matériels qui vise principalement les clients industriels. L’objectif est de leur permettre, à travers une interface digitale, de mettre à disposition l’ensemble des matériels détenus ou loués à leurs équipes et prestataires et d’organiser un système de réservation. Cela permet d’amortir l’investissement, de limiter le nombre de matériels (et les émissions qui les accompagnent) sur un seul et même site et de verrouiller la responsabilité de chaque utilisateur.Nous poursuivons également notre partenariat avec l’entreprise Apizee pour la visio-assistance. L’objectif est de faire intervenir nos techniciens à distance afin de répondre aux questions de fonctionnement ou pannes légères. Sans application à télécharger, il permet 80% de résolution en moins de 4h et économise les déplacements.
Il y a 2 ans et 248 jours

Vicat : Carat, un bijou carbo-négatif

A l’état frais, le béton Carat présente une teinte presque noire… [©ACPresse] Carat constitue la nouvelle offre de liants carbo-négatifs, tout juste développée par le groupe cimentier Vicat. Carat, en référence à l’unité de mesure de masse des pierres précieuses, dont le diamant – carbone pur cristallisé – est la référence absolue. Ce nouveau matériau constitue une rupture technologique et n’entre pas dans le champ d’application des normes ciments NF EN 197-1 et NF EN 197-5… « Nous avons fait une demande d’Appréciation technique d’expérimentation ou Atex de type A pour les bétons formulés sur la base des liants Carat », souligne Damien Rogat, directeur innovation appliquée et systèmes constructifs de Vicat. Le cimentier devrait l’obtenir à la mi-2023…Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 248 jours

Schöck Stacon type LD : seuls goujons sous DTA validé par le CSTB

Avec encore une longueur d’avance sur la profession, Schöck annonce que sa nouvelle gamme de goujons Schöck Stacon® type LD vient d’obtenir un DTA (Document Technique d’Application), numéro 3.1/15-817_V2, délivré par le CSTB, en tant qu’éléments de liaison structurelle dans les ouvrages en béton armé. Cette exclusivité devrait s’accompagner très prochainement de la sortie d’un logiciel inédit, Scalix®, pour le dimensionnement des goujons. Fort de ces avantages concurrentiels, Schöck entend se démarquer plus que jamais ! Un système complet, économique et sûr Le traitement des joints de dilatation évite la fissuration du béton et la fatigue des armatures structurelles résultant d'une dilatation due à la température, au retrait du béton entre deux ouvrages ou bâtiments longs.Qu'il s'agisse de l'infra- ou de la superstructure, les solutions courantes pour liaisonner mécaniquement les ouvrages séparés par un joint de dilatation s’avèrent complexes à mettre en œuvre, onéreuses et sources d’un encombrement important : réalisation d’un corbeau en béton avec un appui de glissement ou réalisation d’une double structure (doubles murs).Simples d’utilisation, les goujons Schöck Stacon® type LD évitent les investissements supplémentaires et permettent une optimisation structurelle. A haute résistance mécanique et prêts à être mis en œuvre, ils relient les éléments de construction contigus du joint, assurant la reprise d’efforts de cisaillement importants tout en autorisant un ou plusieurs degrés de liberté (axial et radial). Composés de barres cylindriques en acier inoxydable ou en acier galvanisé, ils garantissent un traitement de qualité et sans entretien des joints de dilatation.Un large panel en diamètres et finitions pour toutes les configurations Produits sur mesure, les goujons Schöck Stacon® type LD déclinent plusieurs diamètres différents, disponibles en acier inoxydable ou en acier galvanisé à chaud, afin de s’adapter idéalement aux multiples configurations rencontrées sur les chantiers, aussi bien en intérieur qu'en extérieur.Au-delà d’être actuellement le seul fabricant à proposer des goujons bénéficiant d’un DTA, Schöck annonce également l’avènement d’un nouveau logiciel Schöck Scalix®, bientôt disponible pour le dimensionnement des goujons Schöck Stacon®. Le logiciel fonctionnera sur tous les navigateurs internet courants et permettra de définir instantanément et avec pertinence les références de goujons Schöck Stacon® les plus appropriées en fonction de chaque cas de figure. Précisons que ce nouveau logiciel traitera également l’implantation des rupteurs de ponts thermiques en ITE, à l’instar de son homologue Open BIM Schöck qui le réalise déjà pour les rupteurs dédiés à l’ITI.
Il y a 2 ans et 249 jours

Zéro artificialisation nette : le calendrier "ne sera pas modifié", annonce le ministre

AMÉNAGEMENT. Le ministre de la Cohésion des territoires et de la Transition écologique a affirmé que la proposition de loi sénatoriale de report du calendrier d'application du Zéro artificialisation nette n'avait aucune chance d'aboutir. En revanche, il a ouvert la porte à une évolution de la nomenclature.
Il y a 2 ans et 249 jours

Cemex investit dans l’impression 3D

Cemex investit dans la technologie révolutionnaire d’impression 3D de Cobod. Via sa filiale de capital-risque, Cemex étend son partenariat avec Cobod, spécialiste des imprimantes 3D dans la construction. Une collaboration qui a débuté l’année dernière et qui s’accentue, afin d’innover dans le domaine de la construction additive. « En travaillant avec Cobod, Cemex a développé une expérience clients en matière de construction par impression 3D, qui est supérieure à tout ce qui a été fourni par le passé, déclare Gonzalo Galindo, responsable de Cemex Ventures. Nos efforts d’innovation nous positionnent à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui contribuent à la construction d’un avenir meilleur. » Limiter les dépenses Grâce à ce partenariat, une nouvelle technologie a été présentée. Elle consiste à utiliser du béton prêt à l’emploi dans le processus d’assemblage.  Mise en œuvre dans plusieurs pays, cette solution permet de réaliser des économies considérables par rapport aux méthodes et aux matériaux de construction imprimés en 3D. Un investissement colossal qui permet à Cemex de proposer une nouvelle façon de répondre aux besoins en matière de logements. Innover davantage De plus, les deux partenaires ambitionnent d’améliorer la performance des bâtiments. « Nous avons l’intention de continuer à développer de nouveaux matériaux innovants pour construire un avenir meilleur. Ainsi que de réduire de manière drastique les coûts et le temps de construction »,conclut Henrik-Lund Nielsen, fondateur et directeur général de Cobod.
Il y a 2 ans et 249 jours

20 % du volume d’eau potable perdu

Avec 117 communes privées d’eau potable, 93 départements sur 96  en alerte sécheresse cet été, et à ce jour, de nombreux départements encore soumis à des restrictions d’eau, l’actualité relance l’urgence de renouveler le patrimoine des canalisations devenu trop vétuste. Le taux de renouvellement annuel du réseau d’eau potable en France est de 0,67 %, soit, en moyenne, un renouvellement tous les 160 ans, alors que la durée de vie d’une canalisation est de l’ordre de 80 ans. Le rendement moyen des réseaux de distribution d’eau potable évalué pour l’année 2020 à 80,1 % n’est pas satisfaisant, d’autant plus que le rythme de recharge des nappes phréatiques est relativement faible. À l’échelle « France entière », cela représente 20 % du volume d’eau potable perdu, soit sur cinq litres d’eau distribués dans le réseau, qui ont été captés et traités, un litre qui n’arrive jamais jusqu’au robinet du consommateur, du fait des fuites dans les réseaux de canalisations qui tardent à être rénovés, sécurisés ou remplacés. Les Canalisateurs rappellent que des solutions existent pour mieux préserver ce patrimoine, qui invisible, n’en ait pas moins précieux et se doit d’être transmis aux générations futures. Il y a urgence à investir pour les territoires en matière de réseaux de manière curative et préventive, pour réduire enfin les fuites, diminuer ainsi les prélèvements sur le milieu aquatique naturel, éviter de gaspiller de l’énergie (pompage de l’eau, traitement pour la rendre potable) et de consommer inutilement des produits pour le traitement. Qui plus est, l’eau destinée à la consommation humaine provient de ressources de plus en plus difficiles à exploiter, parce qu’elles sont plus lointaines, plus polluées ou déjà très sollicitées. Les entreprises de canalisations mettent en œuvre toute une panoplie de solutions pour renforcer la performance et la résilience des réseaux. Travaux de remplacement des canalisations défaillantes, déploiement de l’interconnexion de l’eau potable pour relier et sécuriser les réseaux de distribution entre les communes, et réduire ainsi les inégalités entre les territoires, nouveaux moyens de stockage de l’eau ou de réutilisation des eaux usées traitées, adaptation et dépollution des réseaux d’eaux pluviales, construction d’adducteur… Cet article 20 % du volume d’eau potable perdu est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 250 jours

Plusieurs manifestations pour l'accès au logement réclament le classement de la Bretagne en zone tendue

Entre 350, selon la préfecture, et 500 personnes, selon les organisateurs, ont défilé dans Douarnenez. Ils étaient une centaine à Concarneau et environ 400 à Vannes, selon les préfectures du Finistère et du Morbihan.Certains manifestants portaient des pancartes "Vue sur mer pour les précaires" ou encore "Que ferais-je sans toit ?", selon un photographe de l'AFP."Nous voulons l'application du dispositif de zone tendue aux villes qui le réclament (...) afin de débloquer plusieurs leviers publics pour produire des logements à prix abordables", a expliqué à l'AFP Maxime Sorin, membre du collectif "Droit à la ville Douarnenez".Le classement en "zone tendue", accordé par décret, permet notamment aux municipalités d'imposer une fiscalité complémentaire sur les logements vacants et les résidences secondaires, une régulation des locations touristiques de courte durée et un encadrement des loyers."Aucune commune de Bretagne n'est placée en zone tendue, ça cristallise le mécontentement. Les élus et les citoyens sont démunis face à folie spéculative immobilière. (...) Les acheteurs locaux ne peuvent plus suivre", a réagi Gaël Roblin, membre du collectif costarmoricain "Tregor Argoat Goelo Zone Tendue".Pour expliquer le phénomène, ce conseiller municipal d'opposition à Guingamp (Côtes-d'Armor) cite la multiplication des résidences secondaires, "qui s'est accélérée pendant le Covid", les déménagements de résidents venus de Rennes, Nantes et de la région parisienne, "avec un pouvoir d'achat important", ainsi que le développement de la location courte durée."Les salariés du littoral sont donc repoussés très loin à l'intérieur des terres, avec des temps de trajet démesurés", a estimé M. Roblin.
Il y a 2 ans et 250 jours

Face à la sécheresse les Canalisateurs alertent sur l’urgence de renouveler et de sécuriser les réseaux d’eau

À l’heure où préserver la ressource en eau est devenu un enjeu écologique crucial, directement lié au changement climatique, un gaspillage d’1 milliard de m 3 chaque année n’est plus soutenable. Les Canalisateurs rappellent que des solutions existent pour mieux préserver ce patrimoine, qui invisible, n’en ait pas moins précieux et se doit d’être transmis aux générations futures.L’impératif de renouveler plus rapidement les réseaux d’eauLe taux de renouvellement annuel du réseau d’eau potable en France est de 0,67%, soit, en moyenne, un renouvellement tous les 160 ans, alors que la durée de vie d’une canalisation est bien inférieure, de l’ordre de 80 ans. Le rendement moyen des réseaux de distribution d’eau potable évalué pour l’année 2020 à 80,1% n’est pas satisfaisant, d’autant plus que le rythme de recharge des nappes phréatiques est relativement faible.À l’échelle « France entière », cela représente 20% du volume d’eau potable perdu, soit sur cinq litres d’eau distribués dans le réseau, qui ont été captés et traités, un litre qui n’arrive jamais jusqu’au robinet du consommateur, du fait des fuites dans les réseaux de canalisations qui tardent à être rénovés, sécurisés ou remplacés.Le devoir d’une meilleure gestion et connaissance patrimonialeC’est une réelle gestion patrimoniale, à commencer par l’inventaire détaillé des réseaux, qui permet, notamment, de cibler les investissements les plus efficaces et rentables. Mais, avec un indice de connaissance et de gestion patrimoniale (ICGP) qui s’élève à 100 points sur 120 pour les réseaux d’eau potable, la connaissance n’est que parcellaire.Cette moyenne cache aussi des disparités : toutes années confondues, environ la moitié des services d’eau potable, qui ne sont à priori pas ceux qui ont la meilleure connaissance et gestion de leur patrimoine, n’ont pas renseigné l’ICGP dans la base de données Sispea, et 10% des services d’eau potable disposent d’un indice inférieur à 40 points (le plus souvent des petites collectivités rurales).Une dépréciation du patrimoine plus rapide que son renouvellementCes dernières années, bien que la capacité d’autofinancement des collectivités soit restée stable, les investissements se sont, eux, orientés à la baisse, créant une dépréciation du patrimoine plus rapide que son renouvellement. Le déficit d’investissement pour les réseaux d’eau et d’assainissement est estimé à près de 2 Mds € par an. Et, si l’on n’agit pas très rapidement, les travaux de renouvellement coûteront à l’évidence plus cher.Les Canalisateurs, des acteurs engagés pour inscrire la problématique de l’eau au cœur du changement climatiqueIl y a urgence à investir pour les territoires en matière de réseaux de manière curative et préventive, pour réduire enfin les fuites, diminuer ainsi les prélèvements sur le milieu aquatique naturel, éviter de gaspiller de l’énergie (pompage de l’eau, traitement pour la rendre potable) et de consommer inutilement des produits pour le traitement. Qui plus est, l’eau destinée à la consommation humaine provient de ressources de plus en plus difficiles à exploiter, parce qu’elles sont plus lointaines, plus polluées ou déjà très sollicitées.Pourtant, les entreprises de canalisations mettent en œuvre toute une panoplie de solutions pour renforcer la performance et la résilience des réseaux, leur capacité à anticiper et à s’adapter au changement climatique, à limiter les prélèvements sur la ressource, en particulier sur les territoires où elle est soumise à un stress hydrique important.Travaux de remplacement des canalisations défaillantes, déploiement de l’interconnexion de l’eau potable pour relier et sécuriser les réseaux de distribution entre les communes, et réduire ainsi les inégalités entre les territoires, nouveaux moyens de stockage de l’eau ou de réutilisation des eaux usées traitées, adaptation et dépollution des réseaux d’eaux pluviales, construction d’adducteur…, c’est une multitude de solutions efficientes qui sont mises en œuvre par les entreprises de canalisations.Les Canalisateurs soutiennent et développent aussi des innovations technologiques pour mieux surveiller les réseaux d’eau, par un système de canalisations connectées à l’aide de puces, pour faciliter la détection de fuites et anticiper une détérioration complète. Pour repérer les fuites, d’autres dispositifs sont également déployés, dont la recherche par gaz traceur, par électroacoustique ou par des chiens renifleurs.Mais, trop de ces travaux, qui permettraient de lutter efficacement contre les fuites, tardent toujours à être réalisés. Et ce, malgré l’engagement de longue date des Canalisateurs, notamment, pour accompagner la mise en place des inventaires du patrimoine et des Chartes qualité de l’Astee et pour sensibiliser toutes les parties prenantes du secteur de l’eau à cette problématique.Pour Pierre Rampa, président des Canalisateurs : « Le combat mené par les Canalisateurs pour prioriser les travaux de renouvellement et de sécurisation des réseaux d’eau fait aujourd’hui particulièrement sens et ne manque pas de relancer le débat. Nos entreprises, nos métiers ont un rôle de premier plan à jouer pour améliorer leur gestion patrimoniale, assurer un fonctionnement hydraulique optimal, pour maintenir la qualité et pérenniser les infrastructures de canalisations. Espérons qu’à l’épreuve de cette sécheresse historique toutes les solutions, qui concourent à offrir aux citoyens un approvisionnement de qualité en eau, seront enfin durablement déployées sur tous les territoires. La Profession publiera prochainement les résultats des travaux réalisés par ses 80 délégués territoriaux, avec l’association La Fresque du Climat, pour agir face au changement climatique. »
Il y a 2 ans et 250 jours

Une nouvelle pompe à chaleur air/eau Daikin pour préparer l'hiver sans énergie fossile

Cette gamme présente la particularité d'être compacte, performante et silencieuse.Venant remplacer la gamme Daikin Altherma M en taille 5 et 7, cette solution est idéale pour les projets de construction neuve (notamment pour les petites tailles) comme pour les programmes de rénovation lors du remplacement/relève des chaudières non condensation (gaz ou fioul) et le remplacement d'une ancienne PAC Air/Eau Monobloc.Groupe Monobloc tout en unLe groupe extérieur de la nouvelle gamme Daikin Altherma 3 M disponible de la taille 4 à 8 dispose d'une grille de ventilation avec un habillage blanc.La pompe à chaleur Daikin Altherma 3 M Moyenne Température à 55°C est disponible en chauffage seul ou en version réversible (chauffage et rafraîchissement), uniquement en version monophasée. La gamme dispose aussi d'un appoint électrique 3kW integré de série.Elle peut être connectée à des radiateurs basse et moyenne température, à un plancher chauffant ou chauffant/rafraîchissant (en cas de solution réversible) ou à des ventilo-convecteurs (qui fonctionnent en chauffage et en rafraîchissement).Tous les composants nécessaires au fonctionnement de ce système sont intégrés dans le groupe extérieur, libérant l'espace intérieur de toute installation, à l'exception d'un ballon d'eau chaude sanitaire ou d'un chauffe-eau thermodynamique ou solaire si cette option est retenue.Daikin offre la possibilité d'installer le groupe extérieur en-dessous d'une fenêtre pour gagner encore davantage en discrétion. Grâce à son monoventilateur dissimulé et ses couleurs sobres, l'appareil se fond aisément dans le décor, et se fait également oublier sur le plan acoustique avec une pression sonore à partir de 36 dB(A) à 5 m.Compact et discret, il présente aussi l'avantage de faciliter les opérations de maintenance des installateurs grâce à l'intégration d'une plaque rotative sur le devant du groupe afin de simplifier l'accès à la platine électronique.Réponds aux objectifs de neutralité carboneEn fonctionnant en mode chauffage l'hiver comme en mode rafraîchissement l'été, la nouvelle série de la gamme Daikin Altherma 3 M est proposée avec le label énergétique allant jusqu'à A+++ (fonctionnement à 35°C). Le confort est aussi assuré en hiver, avec une température de sortie d'eau à 55°C jusqu'à des températures extérieures de -15°C, et un fonctionnement garanti jusqu'à -25°C.Le système fonctionne au réfrigérant R-32, fluide ayant un potentiel de réchauffement planétaire 3 fois plus faible que le R-410a (ancien fluide équipant les PAC Daikin Altherma) et favorisant la décarbonisation de nos équipements de chauffage. De plus, le R-32 permet également de réduire la quantité de fluide nécessaire au fonctionnement du système, comparativement au R-410a.De tels atouts permettent à la gamme Daikin Altherma 3 M de correspondre en tous points aux exigences de la Règlementation Environnementale 2020 pour favoriser les constructions bas carbone. De plus, le système est éligible aux aides en faveur de la rénovation énergétique, qui sont cumulables et fonction des revenus des foyers (Ma Prime Renov' – CEE – des aides régionales…).Contrôle et connectivitéComme pour l'ensemble de sa gamme de pompes à chaleur air/eau Daikin Altherma de 3 ème génération, la solution monobloc bénéficie des mêmes avantages grâce à sa connectivité au Cloud Résidentiel Daikin. Grâce à une carte WLAN (livrée de série) et une connexion sans fil sécurisée, l'utilisateur final à un accès simplifié à différents services connectés.Il peut aisément piloter sa pompe à chaleur Daikin Altherma 3 M Monobloc depuis son smartphone ou sa tablette, à domicile ou à distance, au moyen de l'application « Onecta ». Elle permet de faire fonctionner le système de chauffage, de définir des programmations, de commander les températures en temps réel et de suivre les consommations.Un des services connectés permet aussi le pilotage par la voix via les assistants vocaux « Amazon Alexa » et « Google Assistant » grâce à des consignes claires telles que « OK Google, allume la pompe à chaleur ».Daikin s'est associé avec Somfy, Niko et Sowee afin de renforcer son eco-système de maison connectée. Le contrôle et le pilotage du système de chauffage (marche/arrêt – fonction mode boost ECS…) s'effectuent très facilement.Avec l'achat de la PAC Daikin Altherma 3 M, le particulier est invité à s'inscrire sur la plateforme standbyme.daikin.fr (http://standbyme.daikin.fr/), développée par Daikin, pour lui offrir la possibilité de souscrire à la garantie 10 ans pièces.L'installateur peut, quant à lui, souscrire à un nouveau service : DCS Residential. Une fois l'installation du client utilisateur reliée au cloud résidentiel Daikin et l'enregistrement de l'unité sur Stand By Me, l'installateur peut, par la suite modifier les paramètres à distance (fonction Marche/Arrêt, activation du mode boost ou alors réglage de la température de sortie d'eau).A l'intérieur du logement, la télécommande design « Madoka » (disponible en blanc, gris ou noir) se fixera facilement et discrètement au mur (85 x 85 mm) et permettra de contrôler un large nombre de fonctionnalités.
Il y a 2 ans et 253 jours

Union des fabricants de panneaux et des fabricants d’ameublement

Les industriels des panneaux dits de process (panneaux de particules, MDF et OSB) et les fabricants d’ameublement et d’agencement ont décidé d’unir leurs deux organisations professionnelles. Au 1er juillet 2022, les adhérents de l’UIPP sont devenus adhérents de l’Ameublement français au sein d’un nouveau groupement « Panneaux – UIPP ». Les fabricants du panneau de process et de l’ameublement partagent 4 enjeux stratégiques, au cœur de la responsabilité sociale et environnementale de ces industriels : – Une convention collective commune Dans le cadre de la dynamique de rapprochement des branches professionnelles, impulsée par le gouvernement, les organisations professionnelles et les partenaires sociaux ont conclu le 28 mai 2021 un accord de fusion des champs d’application respectifs des conventions collectives de la branche de la fabrication de l’ameublement et de la branche de l’industrie des panneaux à base de bois. – Une tension sur la ressource bois et la nécessité de réaffirmer la hiérarchie des usages Les tensions sur la ressource bois (bois industrie comme bois recyclés) impactent fortement l’activité des fabricants de panneaux et peuvent conduire à des situations de pénurie et d’inflation dans les approvisionnements en panneaux des agenceurs et fabricants d’ameublement. Les enjeux de la transition écologique, engendrant notamment une demande croissante pour le bois énergie, nécessitent de réaffirmer et d’organiser la hiérarchie des usages du bois. La fusion des deux organisations permet de parler d’une seule voix en ayant plus de poids auprès des décideurs politiques français et européens. – Recyclage et économie circulaire Principal matériau mis en œuvre dans l’ameublement, le panneau est au cœur des problématiques de recyclage et recyclabilité des Déchets d’Eléments d’Ameublement (DEA), et aussi de ceux des Produits & Matériaux de Construction du Bâtiment (PMCB). Allier les expertises permet d’aller plus loin sur ces sujets et d’apporter une expérience de plus de 10 ans précieuses pour les enjeux de la REP PMCB, en lien avec la filière bois, les éco-organismes et l’ADEME. – Santé des collaborateurs et des consommateurs Aller toujours plus loin dans la réduction des poussières de bois et des émissions de COV (notamment le formaldéhyde) sont deux enjeux partagés par les fabricants de panneaux et d’ameublement. Cela passe par l’innovation et l’utilisation des meilleures technologies pour produire des panneaux et des meubles toujours plus respectueux de la santé des consommateurs et des collaborateurs. Photo : Laurent de Sutter, Président de l’UIPP et Philippe Moreau, Président de l’Ameublement français
Il y a 2 ans et 254 jours

La filière béton s’expose à Batimat

Le Sfic souhaite rappeler les engagements de la filière à l’horizon 2030 et 2050. [©ACPresse] Sous l’égide de Cimbéton, son pôle d’application, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) s’installe à la porte de Versailles pour quatre jours. Une présence d’importance à l’heure de la mise en application de la RE 2020 et de la recherche de réduction de l’empreinte carbone des matériaux. En effet, l’organisme a plusieurs messages à faire passer. Le premier est de rappeler les engagements à 2030 et 2050 de la filière en matière de décarbonation de ses process industriels. L’autre est de confirmer que les matériaux béton et ciment sont conformes aux exigences de la RE 2020. Les pitchs du Cement Lab En parallèle, le Sfic va apporter ses réponses aux enjeux de la construction de demain. Là encore, des rappels et des préconisations semblent nécessaires. Car il faut savoir comment éco-concevoir ? Comment et où aller chercher les bonnes évaluations environnementales ? D’autant qu’il y a beaucoup d’informations disponibles, presque trop… Quelles données utilisées, aussi ? Pour le Sfic, les Fdes constituent un passage obligé ou, a minima, la base Inies. Enfin, la filière organise une série de conférences [Téléchargez le programme ici]. Une vingtaine est programmée à ce jour, intégrant les trois interventions du Cement Lab, qui verra pitcher, en particulier, neuf start-up. Rendez-vous Hall 1 – Stand N 108
Il y a 2 ans et 254 jours

Thermor lance Kenya 4, un nouveau radiateur chaleur douce

Un nouveau design aux courbes affinées avec un appareil de seulement 115mm d’épaisseur Kenya 4 est également disponible en 3 formats : Horizontal, Vertical et Plinthe (30cm de hauteur).Une nouvelle gamme 100% connectée de série avec l’application Thermor Cozytouch pour un pilotage à distance des appareils et un suivi des consommations depuis un smartphone ou une tablette.**Sous réserve d’être équipé du bridge CozytouchEn termes de fonctionnalités, on peut noter qu’il est équipé d’une programmation libre et d’une détection automatique d’ouverture et de fermeture des fenêtres pour un maximum d’économie d’énergie.Un confort absolu permis grâce à un corps de chauffe en fonte unique qui procure une chaleur douce et inertielle.Côté prix, Kenya 4 est disponible à partir de 416€ HT (Prix public conseillé) – TVA à 10% en passant par un installateur (rénovation d’un logement de plus de 2 ans).Un radiateur fabriqué en FranceGarantie 2 ans, le Kenya 4 est issu des ateliers de fabrication basés à St jean de la ruelle (45) et la roche sur Yon.
Il y a 2 ans et 255 jours

Coup d'envoi d'une nouvelle réforme de l'assurance chômage contestée

Ouvrant la voie à la première réforme sociale du second quinquennat, le projet de loi vise paradoxalement dans un premier temps à pouvoir prolonger les règles actuelles de l'assurance chômage. Issues d'une réforme déjà controversée du premier quinquennat, elles arrivent à échéance le 31 octobre. Il s'agit d'éviter "une rupture d'indemnisation" d'environ 2,5 millions de demandeurs d'emplois, a souligné le porte-parole du gouvernement Olivier Véran à l'issue du Conseil des ministres. Plus que le contenu du texte, qui sera discuté dès le début de la rentrée parlementaire d'octobre, le débat porte sur la séquence qu'il enclenche "dans la logique de la double temporalité de l'urgence et des réformes profondes" selon M. Véran. "A très court terme", d'ici "quelques semaines", selon M. Véran, le gouvernement va saisir les partenaires sociaux de la question d'une modulation de l'assurance chômage afin qu'elle soit, selon les mots d'Emmanuel Macron, "plus stricte quand trop d'emplois sont non pourvus, plus généreuse quand le chômage est élevé". Cela se fera "dans le cadre d'une concertation" et non d'une négociation, a précisé mercredi sur franceinfo le ministre du Travail Olivier Dussopt, ajoutant que dans ce cas, "c'est un échange, c'est une discussion, ce sont des propositions, des contre-propositions (..) et à la fin le gouvernement prend les décisions qu'il doit prendre" par décret. L'objectif est d'aboutir à des critères --le taux de chômage par exemple--, dont l'évolution à la hausse ou à la baisse pourrait déterminer le nombre de mois de travail requis pour accéder à l'indemnisation (6 mois actuellement sur les 24 derniers) ou encore la durée de celle-ci. L'exécutif martèle, à l'image d'Olivier Dussopt, qu'il y a urgence face aux difficultés de recrutement et fait de cette réforme une des conditions pour atteindre l'objectif de plein emploi (un taux de chômage d'environ 5% contre 7,4% actuellement) en 2027. Cette réforme est réclamée par les organisations patronales, la CPME (petites et moyennes entreprises) la jugeant "urgente" car certaines entreprises doivent, faute de personnel, "renoncer à des marchés ou réduire leur activité". "Avant la fin de l'année" Selon l'économiste et député Renaissance (ex-LREM) Marc Ferracci, un des inspirateurs de la réforme de 2019, "des dizaines d'études prouvent que les règles de l'assurance chômage, notamment la durée et les seuils d'éligibilité, ont un effet sur le niveau de l'emploi", notamment pour les chômeurs les plus autonomes dans leur recherche. Faux, rétorquent les syndicats pour qui les difficultés de recrutement sont d'abord liées à la formation et à l'attractivité des métiers (salaires, conditions de travail, mobilité, etc.). Réunis lundi au siège de la CFDT, les syndicats se sont mis d'accord sur leur opposition à négocier une telle mesure "contracyclique" et devraient publier la semaine prochaine un texte commun en ce sens. Il portera "sur la problématique actuelle de l'emploi et des difficultés de recrutement qui ne trouveront pas de réponse efficace avec une réforme qui réduit encore les droits des chômeurs", a précisé Marylise Léon (CFDT). "On veut négocier une nouvelle convention d'assurance chômage, mais à condition qu'on nous laisse la main", renchérit Michel Beaugas (FO). "La réalité, c'est que l'exécutif donne des gages au Medef qui n'a donc aucun intérêt à négocier avec les syndicats", déplore François Hommeril (CFE-CGC). De fait, le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a déjà jugé qu'"ouvrir une négociation ne servira à rien vu qu'elle n'aboutira pas faute de diagnostic partagé avec les syndicats". En faisant le choix d'une concertation, le gouvernement, qui veut aller vite, semble avoir acté ce manque d'appétence des partenaires sociaux à négocier. Il souhaite une mise en oeuvre "avant la fin de l'année" selon M. Dussopt.A plus long terme, le gouvernement compte ouvrir un autre chantier sur la gouvernance de l'Unédic, le régime paritaire de l'assurance chômage, en lien avec la réforme de l'accompagnement du RSA et la création de France Travail, qui doit succéder à Pôle emploi et mieux coordonner les acteurs intervenant sur l'emploi. Sur ce dernier point, "je souhaite que la mise en place soit possible progressivement à partir de 2024", a-t-il indiqué mercredi sur BFM Business.
Il y a 2 ans et 255 jours

Un impératif : bâtiments et villes face au changement climatique

Alexandra Lebert - Photo : Raphaël DautignyFace au changement climatique, ce domaine d'action stratégique est structuré autour de deux axes : l'atténuation et l'adaptation. L'urgence est de décarboner le secteur de la construction dans ses phases de construction, d'exploitation et de rénovation. Comprendre précisément notre responsabilité collective en termes d'émissions de gaz à effet de serre, quantifier les solutions de décarbonation ainsi que les besoins d'investissements pour les prioriser et construire des scénarios à l'échelle de parcs ou de territoires seront nos axes de travail. Concernant l'axe Adaptation aux effets du changement climatique, nous avons fait le choix de mettre l'accent sur la lutte contre les îlots de chaleur urbains (ICU) et la disponibilité de la ressource en eau. La recherche du CSTB est à ce croisement : une exigence de rigueur scientifique couplée à une volonté d'"opérationnalité" et de mise en application rapide et partagée. Alexandra Lebert - Directrice de Domaine d'Action Stratégique Recherche En savoir plus : Consultez les Feuilles de route scientifiques et techniques, vision 2030 Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 255 jours

Loto du Patrimoine : la Maison Berweiller en Moselle va bénéficier de travaux d’aménagement

À Sierck-les-Bains, la Maison Berweiller retrouvera d’ici à 2025 son lustre et son cachet d’antan grâce au loto du patrimoine.
Il y a 2 ans et 256 jours

Architecture de verre et fusions environnementales

La particularité de ce matériau photographique réside dans le fait qu’il présente des bâtiments en verre non pas comme des objets autonomes mais plutôt comme un moyen de visualiser leur environnement affecté par les conditions climatiques ou lumineuses. Chronique-photos d’Erieta Attali. Dans cette série de photographies, je ne souhaite pas documenter objectivement les œuvres architecturales […] L’article Architecture de verre et fusions environnementales est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 257 jours

Assurance chômage : un projet de loi prélude à une nouvelle réforme

Pourquoi prolonger les règles actuelles ?Ces règles, issues de la réforme controversée de 2019 mais dont l'application a été retardée jusqu'à l'automne 2021 par le Covid et les recours juridiques, arrivent à échéance le 1er novembre.Faute d'avoir pu lancer à temps la procédure classique pour revoir les conditions d'indemnisation (lettre de cadrage et négociation des partenaires sociaux) en raison du contexte électoral, le gouvernement légifère avec ce texte, qui sera le premier au menu du Parlement début octobre.Il va permettre via un futur décret de continuer d'appliquer la réforme de 2019 qui a notamment durci les conditions d'indemnisation des demandeurs d'emploi, en particulier ceux alternant périodes de travail et d'inactivité. La réforme a également mis en place un "bonus-malus" dans sept grands secteurs consommateurs de contrats courts.L'Unédic, qui gère le régime d'assurance chômage, n'a pas encore estimé l'effet de ces mesures.Pourquoi vouloir "aller plus loin" ?Dans le délai offert par la prolongation des règles actuelles, le gouvernement compte "aller plus loin".L'exécutif s'est fixé l'objectif du plein emploi (estimé à un taux de chômage d'environ 5% contre 7,4% aujourd'hui) à la fin du quinquennat. Il part du postulat, rejeté par les syndicats mais soutenu par le patronat, qu'une partie des difficultés de recrutement des entreprises pourrait être liée aux conditions d'indemnisation du chômage et entend aboutir à des règles "plus incitatives à la reprise d'emploi".L'idée est de moduler les conditions de l'assurance chômage selon la situation du marché du travail, à l'image de ce qui se fait par exemple au Canada. "Quand ça va bien, on durcit les règles et, quand ça va mal, on les assouplit", a résumé le ministre du Travail Olivier Dussopt.Dans la foulée du Conseil des ministres, le gouvernement compte saisir les partenaires sociaux d'une demande de négociation d'un accord sur ces critères de modulation (nombre de demandeurs d'emplois, de créations d'emploi, etc.) qui détermineraient alors les conditions d'indemnisation (ouverture, durée, dégressivité...)."Selon le délai donné et selon leur capacité à trouver ou pas un accord, on prendra un décret soit pour appliquer l'accord, soit pour constater la carence et définir les règles", a indiqué M. Dussopt, qui souhaite une mise en œuvre "avant la fin de l'année".Un accord des partenaires sociaux est-il possible ?Avant même d'être lancée, la négociation semble mal engagée car les deux numéro un de chaque camp syndical et patronal (la CFDT et le Medef) y sont défavorables."Quelques personnes à la tête de ce pays pensent que, parce que l'on appuiera sur la tête des chômeurs, on règlera les difficultés de recrutement. Toutes les études montrent que le problème, c'est la formation, l'attractivité de ces métiers et la localisation" des emplois, a déclaré Laurent Berger (CFDT). "Je ne tomberai pas dans ce piège", "ces règles on ne les écrira pas", a-t-il prévenu.Si Cyril Chabanier (CFTC) juge "compliqué de ne pas aller du tout" à la négociation, il doute de l'applicabilité concrète de règles fluctuant avec la conjoncture, pointant notamment le risque d'être "à contretemps" par rapport à l'économie "qui évolue vite".Pour le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, "ouvrir une négociation ne servira à rien vu qu'elle n'aboutira pas faute de diagnostic partagé avec les syndicats sur l'effet des règles d'indemnisation sur la reprise d'emploi".Ce n'est pas la position de l'U2P (TPE) pour laquelle "remettre directement les clés de l'assurance chômage à l'Etat (...) serait de nature à abandonner une mission phare des partenaires sociaux".Le dossier ne sera pas clos avec la modification des règles d'indemnisation. Le gouvernement compte ouvrir d'ici quelques mois une autre concertation sur la gouvernance de l'Unédic, le régime paritaire de l'assurance chômage, qui serait concomitante avec la création de France Travail (qui doit succéder à Pôle emploi) et la réforme de l'accompagnement du RSA.
Il y a 2 ans et 257 jours

Zéro artificialisation nette : le Sénat à l'offensive, le ministre temporise

AMÉNAGEMENT. Les sénateurs de droite ont déposé une proposition de loi visant à donner un an de plus aux acteurs pour inscrire la réduction de l'artificialisation dans les documents de planification. Le ministre a demandé, cet été, aux préfets de ne pas anticiper le calendrier, alors que les décrets d'application sont attaqués devant le juge administratif.
Il y a 2 ans et 257 jours

Cem’in’Eu annonce la mise sur le marché d’un ciment bas carbone

La réduction de l’empreinte carbone a toujours été au cours de la démarche de Cem’In’Eu depuis sa création avec la mise en place d’une logistique multimodale, maritime, fluviale et ferroviaire qui réduit au maximum les émissions de CO2 liées au transport. Aujourd’hui Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, matière première naturelle extraite localement, baissant fortement le pourcentage de clinker et donc de l’empreinte carbone du ciment. Le recours à la pouzzolane représente un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits par Cem’In’Eu, en vrac comme en sac.Grâce à un contrat d’approvisionnement à long terme, Cem’In’Eu a sécurisé son approvisionnement de pouzzolanes, indispensables à la formulation de son ciment bas carbone sans risque de rupture de la chaine d’approvisionnement. Ce sont ainsi 300 kt de ciment bas carbone qui pourront être produites sur les 4 prochaines années. Pour la première fois en France un ciment bas carbone en sac est mis sur le marché avec un taux de clinker ramené à 50%. Ce qui représente une baisse de 30%. Pour la partie vrac, le taux de clinker sera abaissé de près de 20%.Cela représente un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments vendus par Cem’In’Eu.Des investissements sécurisés pour l’adaptation de l’outil industriel de Rhône-ciments Les commandes des équipements nécessaires à cette nouvelle production ont été passées. Elles sont financées avec la Caisse d’Épargne Loire Drôme Ardèche, acteur local très engagé dans le soutien de l’activité industrielle dans les territoires. Ce nouveau dispositif industriel sera à terme dupliqué sur les autres sites de production du groupe. L’exigence de la qualité Les premiers essais en laboratoires, industriels et en application ont été réalisés avec succès. Pour ces nouveaux ciments, Cem’In’Eu poursuivra sa politique certificative exigeante et une première certification CE et NF est attendue dès la fin de l’année pour le premier ciment. Les premiers ciments bas carbones de Cem’In’Eu seront mis sur le marché au 1er trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 261 jours

Matterport révolutionne les jumeaux numériques avec la caméra Pro3 et sa nouvelle plateforme cloud

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), a présenté le 30 août sa toute nouvelle caméra Matterport Pro3 ainsi que des mises à jour majeures de sa plateforme cloud de jumeaux numériques, leader du secteur. La Pro3 représente une avancée majeure dans la technologie de capture 3D, permettant de numériser chaque aspect du monde physique, à l'intérieur comme à l'extérieur. La plateforme de jumeaux numériques de nouvelle génération de Matterport s'appuie sur les expériences virtuelles immersives révolutionnaires de la société pour permettre une collaboration et une productivité avancées, se traduisant par des économies et une augmentation des revenus pour les organisations de toutes tailles, des petites entreprises aux multinationales.Ces nouvelles offres arrivent alors que la demande mondiale de jumeaux numériques - des modèles 3D interactifs et visuellement immersifs de bâtiments et d'espaces - continue d'augmenter. Selon Forrester Research, 55 % des décideurs mondiaux en matière de technologie logicielle ont déjà adopté les jumeaux numériques[1]. En tant que leader du secteur, Matterport a enregistré une croissance de 52 % de son nombre total d'abonnés au deuxième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente, et sa plateforme de jumeaux numériques est utilisée par déjà 23 % des entreprises du classement Fortune 1000.Pour RJ Pittman, président-directeur général de Matterport : « Ce jour est un tournant pour la technologie 3D avec l'introduction des produits les plus puissants que Matterport ait jamais créés. Notre nouvelle caméra Pro3 et notre plateforme cloud créent des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et époustouflants au monde. L'opportunité n'a jamais été aussi grande pour les entreprises d'embrasser la puissance des jumeaux numériques de Matterport pour transformer leur activité. »Les solutions « Enterprise » de MatterportLes jumeaux numériques permettent aux chefs d'entreprise de naviguer en toute confiance dans un environnement économique incertain tout en accélérant la productivité d'une main-d'œuvre mobile et globale. 79% des chefs d'entreprise citent les économies de coûts et 71% les gains d'efficacité opérationnelle comme les principaux moteurs de leurs investissements dans les jumeaux numériques[2]. C'est la raison pour laquelle la nouvelle caméra Pro3 et la plateforme cloud ont été conçues pour répondre aux exigences des entreprises en matière de flexibilité, de fiabilité et de sécurité, faisant de la plateforme de jumeaux numériques de Matterport l'une des plus fiables du secteur.Les avancées de la nouvelle caméra Pro3 et de la plateforme cloud facilitent plus que jamais la création de jumeaux numériques immersifs pour les clients. Des clients de tous les secteurs - usines, détaillants, hôtels et compagnies aériennes - indiquent que les jumeaux numériques ont permis de réduire la durée des projets de 30% et de diminuer les frais de déplacement jusqu'à 50% grâce à une meilleure collaboration à distance. Un client du secteur de l'immobilier commercial a déclaré avoir conclu des ventes jusqu'à 85% plus rapidement. Les clients du secteur de l'hôtellerie constatent que les réservations et les taux d'occupation augmentent de 14% dans les établissements dotés d'un jumeau numérique.Et les avantages ne sont pas réservés aux grandes entreprises : les agents immobiliers qui utilisent des jumeaux numériques obtiennent jusqu'à 74% de biens en plus et 71% des acheteurs particuliers se déclarent aujourd’hui prêts à acheter une maison sans l'avoir vue si elle dispose d'une visite numérique en 3D.La plateforme pour jumeaux numérique de MatterportMatterport a imaginé une nouvelle plateforme logicielle cloud qui permet de créer, publier et gérer les jumeaux numériques de bâtiments et d’espaces de toute taille et forme, en intérieur comme en extérieur. Toutes ces nouvelles fonctionnalités s’intègrent de manière harmonieuse afin de permettre aux clients de créer en toute sécurité des environnements immersifs à explorer et où collaborer pour leurs employés, clients et partenaires.Parmi les fonctionnalités phares, il est possible :D’optimiser la productivité à partir d'un jumeau numérique unique grâce à un nouvel outil de travail collaboratif appelé Views, pour permettre aux groupes et aux grandes organisations de créer des flux de travail distincts, grâce à un système d’autorisations, pour gérer différentes tâches avec différentes équipes, telles que : les inspections virtuelles, la formation à distance, l'aménagement de l'espace, les visites virtuelles personnalisées, et bien plus encore.D’augmenter l'engagement des clients, la productivité et le taux de conversion avec les toutes nouvelles visites guidées et les étiquettes qui améliorent l'expérience des visiteurs. Désormais, les équipes de marketing et de vente peuvent créer des visites virtuelles de tout espace commercial ou résidentiel adaptées aux intérêts de leurs visiteurs, et les équipes d'exploitation peuvent créer des formations en ligne guidées pour les travailleurs à distance.D’aller plus loin en recourant aux services de capture « à la demande » de Matterport, disponible dans les grandes villes du monde et toujours plus performants avec la nouvelle caméra Pro3, et ainsi d’obtenir un jumeau numérique professionnel de la plus haute qualité, réalisé par un technicien de capture. Capture Services for Enterprise permet de numériser un seul espace ou un portefeuille de milliers de bâtiments, à l'intérieur comme à l'extérieur. Qu'il s'agisse de chaînes de magasins, de groupes hôteliers ou de campus d'entreprises, il n'a jamais été aussi facile d'obtenir un jumeau numérique Matterport photoréaliste et dimensionnellement précis pour gérer ses propriétés en ligne.D’accéder à l’ensemble des fonctionnalités de la plateforme, où que l’on soit, grâce à une solution mobile entièrement activée qui rassemble les capacités de capture, de personnalisation, de visualisation, de modification, de publication et de restauration des jumeaux numériques avec la nouvelle application Matterport pour les appareils iOS et Android.La caméra Matterport Pro3La caméra Matterport Pro3 est le dispositif de capture 3D Matterport le plus avancé, avec une puissante combinaison de capteurs travaillant en harmonie pour créer des images étonnantes, à l'intérieur comme à l'extérieur. Aucune autre caméra ne combine l'incroyable puissance de cet appareil à ce prix, rendant la capture 3D plus largement accessible.Grâce à un capteur personnalisé de 20 mégapixels et à un objectif à 12 éléments couvrant un angle ultra large, la caméra Pro3 produit des jumeaux numériques précis et détaillés aux couleurs vibrantes et réalistes. Les avancées du capteur LiDAR haute précision permettent de capturer des millions de mesures dans diverses conditions, de la lumière tamisée à la lumière directe du soleil, jusqu'à une portée de 100 mètres, en moins de 20 secondes par balayage.La caméra Pro3 révolutionne la capture 3D, établissant de nouvelles normes en matière de vitesse, de fidélité, de polyvalence et de précision. Alors que le maillage interactif était auparavant limité à 50.000 polygones, il est désormais illimité et le maillage des grands espaces peut facilement dépasser un million de polygones. De nouveaux jumeaux numériques sont désormais diffusés à la demande, au fur et à mesure que l'utilisateur se déplace dans un espace, disponibles sur les plateformes mobiles et web pour tous les utilisateurs avec des temps de chargement plus rapides, des fréquences d'images plus rapides et beaucoup plus de détails sans compromettre les performances.Le moteur Cortex AI de Matterport est mis à niveau pour capturer une portée 5 fois supérieure, permettant aux clients de transformer leurs espaces intérieurs et extérieurs, même lorsqu'ils rencontrent des zones denses comme des feuillages, des éclairages et des surfaces réfléchissantes difficiles. La puissance combinée de la nouvelle plateforme Matterport Digital Twin, de la caméra Pro3 et du moteur Cortex AI amélioré permet d'obtenir des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et étonnants jamais créés.Pour Lou Marzano, vice-président de la Recherche et du Développement et de la fabrication : « La caméra Pro3 est le fruit d'années de recherche avancée et d'une écoute attentive de nos clients. Le résultat est une véritable révolution dans la technologie de capture 3D. Les exigences de l'industrie du numérique poussent les normes de nos produits à de nouveaux niveaux, rendant la précision, la portée et la mobilité essentielles au succès de nos clients. Nous avons réuni tout cela dans un appareil portable qui atteint un nouveau palier en termes de rapport prix/performance pour la capture LiDAR commerciale. Certaines de nos plus grandes entreprises clientes ont déjà mis la Pro3 à l'épreuve en capturant de grands sites extérieurs, des stades aux campus, avec une vitesse et une précision jamais vue auparavant. Comme les Pro1 et Pro2 qui l'ont précédée, la caméra Pro3 est dans une classe à part et je suis très fier de l'équipe qui est à l'origine d'une autre première dans le secteur. »Dotée d'un nouveau design saisissant, propre à Matterport, la Pro3 regorge de fonctionnalités révolutionnaires, notamment :Un capteur de 20 mégapixels et un objectif à 12 éléments fabriqués sur mesure pour une capture ultra large de grands espaces ;Une capacité de capture de 100k points par seconde à des profondeurs allant de 0,5m à 100m ;Un capteur LiDAR haute précision pour une précision inégalée dans diverses conditions de lumière ;Un temps de démarrage de la caméra de moins de 40 secondes ;Des blocs de batteries amovibles pour un balayage continu, les batteries se rechargent complètement en 3,5 heures ;Un poids plume de moins de 2 kilos 5 - la Pro3 est 30 % plus petite et 35 % plus légère que la caméra Pro2 ;Une nouvelle fixation de trépied conçue pour la Pro3 et de nouveaux étuis pour une portabilité et une protection maximales.Prix et disponibilitéLa caméra Pro3 de Matterport est disponible sur matterport.com/pro3 ou chez les revendeurs partenaires de Matterport dont Amazon, B&H Photo et Video ou encore Adorama.La caméra Matterport Pro3 est vendue au prix de 5695 euros et comprend :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport ;Un support de trépied ;Une batterie et un kit de chargement ;Un an de garantie.Le kit Matterport Pro3 Accélération, au prix de 7695 euros. Il comprend tout ce qui est nécessaire pour une journée complète de capture :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport10 fichiers de nuages de points haute densité Matterport E57 pour réaliser rapidement de grands projets;10 MatterPaks pour extraire des plans d'étage, des fichiers de nuages de points et des fichiers OBJ à partir de jumeaux numériques ;Un support de trépied ;Deux piles avec un kit de chargement ;Un trépied, un chariot à roulettes, deux butées de porte, une valise rigide et un sac à dos ;Une garantie de 3 ans sur la caméra Pro3 et le support de trépiedLes accessoires sont disponibles séparément aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'Union européenne via Amazon. Pour obtenir des informations sur les prix, rendez-vous sur le site Web de Matterport.Disponibilité de la caméra Pro3 en fonction des régions :Amérique du Nord : commandes ouvertes dès aujourd'hui, date d’expédition estimée à début septembre 2022.EMEA/Asie Pacifique : ouverture des commandes imminente (date à confirmer), date d’expédition estimée à début octobre 2022.
Il y a 2 ans et 262 jours

GCC s'engage pleinement dans la lutte contre le gaspillage de matériaux

REVALORISATION. Le groupe de BTP, GCC, déploie une nouvelle application visant à favoriser l'emploi de matériaux non-utilisés sur ses chantiers.
Il y a 2 ans et 263 jours

Seine-Saint-Denis : Construction d’un futur parc aquatique olympique à Saint-Denis.

Un centre aquatique olympique pour les Jeux olympiques de 2024 est en construction depuis 2021 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Il y a 2 ans et 263 jours

Une passerelle pour relier la piscine olympique des JO-2024 au Stade de France

"Symbole des Jeux olympiques", une passerelle piétonne reliant le futur centre aquatique olympique (CAO) des JO-2024 au Stade de France a été installée le 9 août à Saint-Denis.
Il y a 2 ans et 263 jours

Clim' et portes ouvertes : le Groupement Actibaie appelle le gouvernement à agir en faveur de la transition énergétique

Si le décret se fait attendre, le Groupement Actibaie, syndicat professionnel affilié à la FFB (Fédération Française du Bâtiment) avance que l’automatisation des portes permettrait de remplir les exigences des arrêtés préfectoraux, mais également de réaliser des économies d’énergie en période de chauffage ou de climatisation.Des villes comme Bourg-en-Bresse, puis Lyon, Besançon, Paris ou Nantes ont pris des arrêtés municipaux depuis mi-juillet, alors que la France a connu une canicule exceptionnelle, pour que les magasins climatisés ferment leurs portes, sous peine d'amende.Pour Vladimir Luzbhin-Asseev, Responsable Technique du Groupement Actibaie : « En effet, les portes ouvertes provoquent des déperditions thermiques et augmentent la consommation énergétique des locaux d’environ 20%. Or une solution peu coûteuse et accessible existe sur le marché : les portes automatiques piétonnes. Toute porte battante peut être automatisée ou à défaut remplacée par une porte coulissante ce qui permettrait aux commerces de remplir leurs obligations réglementaires, mais également de réaliser des économies d’énergie importantes, alors même que le gouvernement annonce un plan national de sobriété énergétique. »Un projet de décret* passé en consultation publique en janvier 2021 avait déjà proposé l’obligation de fermeture des portes dans des bâtiments tertiaires chauffés ou refroidis, mais a été rejeté par le CSCEE.Pour Vladimir Luzbhin-Asseev : « La raison donnée était qu’il serait difficile de contrôler l’application d’une telle mesure. Les arrêtés préfectoraux et les amendes infligées aux magasins qui ne les respectaient pas montrent qu’une obligation de fermeture des portes est tout à fait applicable et contrôlable. Il est donc temps que le décret soit remis à l’ordre du jour des législateurs. »Accompagner les commerçants dans la transition énergétiqueSi les solutions existent, elles ont néanmoins un coût. En effet, pour l’automatisation d’une porte existante il faut compter environ 2.000 euros et 4.000 euros pour un nouveau système (travaux inclus). Une dépense conséquente pour certains commerçants.Pour Vladimir Luzbhin-Asseev : « Malheureusement, les différentes aides** allouées aux TPE et PME pour le financement de leurs travaux de rénovation énergétique concernent les gestes réalisés avant décembre 2021. Au vu des dernières dispositions prises par le gouvernement, il serait judicieux de remettre en place ces aides, devenues plus que nécessaires aux commerçants. »* Projet de décret relatif à l’obligation de fermeture des ouvrants des bâtiments ou partie de bâtiments tertiaires, chauffés ou refroidis, 4 janvier 2021.* Aides aux entreprises pour favoriser leur transition écologique, 9 décembre 2021
Il y a 2 ans et 263 jours

"Zéro artificialisation nette": les sénateurs LR et centristes demandent un moratoire

Les sénateurs LR et centristes demandent un moratoire sur les décrets d'application de l'objectif "zéro artificialisation nette" des sols (ZAN), qui "s'éloignent" selon eux de "l'esprit" de la loi Climat adoptée en 2021.
Il y a 2 ans et 264 jours

Assurance chômage : l'entrée en vigueur du "bonus-malus" pénalise 6.500 entreprises

Promesse de campagne d'Emmanuel Macron en 2017, le bonus-malus consiste à moduler la contribution d'assurance chômage - 4,05% de la masse salariale – à la hausse (malus) jusqu'à un plafond de 5,05% ou à la baisse (bonus) jusqu'à un plancher de 3%, en fonction "du taux de séparation" des entreprises.Ce taux de séparation correspond au nombre de fins de contrats – hors démissions - ou de missions d'intérim assorties d'une inscription à Pôle emploi, rapporté à l'effectif de l'entreprise. Un taux de 180% dans une entreprise de 100 salariés signifie qu'il y a eu 180 fins de contrat de travail sur un an.Présentée par l'ex-ministre du Travail Muriel Pénicaud comme la contrepartie des règles durcissant l'indemnisation des chômeurs, cette mesure, vivement combattue par le patronat, vise à inciter les entreprises à allonger la durée des contrats de travail proposés.Le montant du bonus ou du malus a été calculé en comparant le taux de séparation des entreprises - entre le 1er juillet 2021 et le 30 juin 2022 – et le taux médian dans leur secteur d'activité.Mais son champ d'application est limité. Il ne vise que les entreprises de plus de 11 salariés de sept grands secteurs très consommateurs de contrats courts ("hébergement et restauration", "fabrication de denrées alimentaires", "transports et entreposage", "autres activités spécialisées, scientifiques et techniques" comme la publicité ou les sondages, "travail du bois, industrie papier", "fabrication de produits en caoutchouc et en plastique", "assainissement, gestion de déchets").Ces sept secteurs ont été retenus car ils avaient un taux de séparation moyen sur 2017-2019 supérieur à 150%, soit plus de trois contrats courts pour deux CDI, selon le ministère du Travail.Cependant, pour la première année d'application, les entreprises les plus touchées par la crise sanitaire (notamment dans l'hôtellerie-restauration et le transport) ont été exemptées du bonus-malus.Au final, selon le ministère du Travail, confirmant à l'AFP des chiffres dévoilés vendredi par les Echos, environ 18.000 entreprises employant 1,3 million de salariés verront leur cotisation modifiée en septembre. Environ 63% sont gagnantes et 37% perdantes. L'agroalimentaire est le meilleur élève (74% de bonus) mais il est trop tôt pour savoir si c'est une conséquence de la mesure ou si ce sont des difficultés de recrutement qui poussent les entreprises à proposer des contrats plus longs.
Il y a 2 ans et 264 jours

Nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila

Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G de Stabila sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. [©Stabila] Les nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila, alimentés par batterie, sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Trois lignes à 360° permettent une mise à niveau en position horizontale et verticale en même temps. Et deux lignes verticales perpendiculaires permettent de diviser l’espace en quatre fois 90°. Ces caractéristiques sont complétées par un aplomb vers le haut et le bas, généré par l’intersection des lignes verticales. Ainsi que par une ligne horizontale pour des reports de hauteur exacts et des travaux d’implantation précis. Une sécurité maximale pour un nivellement efficace Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Les deux modèles se distinguent surtout par la couleur des lignes laser. Sur le modèle Lax 600, elles sont rouges avec une portée allant jusqu’à 30 mm. Tandis que sur le Lax 600 G, elles sont vertes et donc encore plus visibles avec une portée allant jusqu’à 40 m. Ils permettent de travailler directement sur les lignes laser fines, des diodes haute puissance garantissant à chaque fois une visibilité maximale. En termes de maniabilité, les deux lasers sont identiques et très simples, chaque touche n’ayant qu’une seule fonction. Après un auto-nivellement rapide à l’aide de la technologie à pendule adaptée aux chantiers, le laser est immédiatement prêt à l’emploi. Ce dernier est aussi protégé de manière optimale contre l’infiltration d’eau et de poussière selon l’indice de protection IP 65. Grande autonomie grâce à la batterie Cas Pour la première fois, les lasers de Stabila sont équipés d’une batterie Cas Li-Power 12 V (2 Ah). Ils peuvent donc être combinés avec tous les blocs batteries 12 V des marques Cas 12 V et les chargeurs de toutes les marques Cas. Selon le modèle, la batterie offre des durées d’utilisation différentes : jusqu’à 28 h pour le Lax 600 et jusqu’à 15 h pour le Lax 600 G. L’affichage de la capacité permet de vérifier en permanence le niveau de charge. Pour prolonger les autonomies, les lignes peuvent être activées ou désactivées individuellement en fonction de l’application. Avec le chargeur rapide SC 30, la batterie est entièrement rechargée en 45 mn maximum. Les nouveaux lasers multi-lignes sont livrés avec cible avec support magnétique et réticule pour l’alignement du laser sur une cible. Mais aussi avec support universel à positionnement flexible SUB 10 et support mural montable SWB 10. Et enfin, coffret de transport pour un transport aisé et un rangement sûr.
Il y a 2 ans et 264 jours

Veka SAS annonce la disparition de son Président Jos Lenferink

Jos Lenferink avait rejoint VEKA en juin 2003. Président de VEKA SAS depuis 2004, il avait également pris la Direction de VEKA Iberica en 2012 et était responsable de la zone SWENA (South West Europe and North Africa) du Groupe.Polyglotte, brillant et passionné, Jos Lenferink était doté d’une personnalité entrepreneuriale exceptionnelle qui laissera un grand vide dans la profession. Il a en effet façonné ce qu’est aujourd’hui la zone SWENA en traversant avec succès plusieurs périodes difficiles (crise économique de 2008, montée de la concurrence européenne, pandémie Covid, pénurie et augmentation du coût des matières premières...). Au fil des années, il a su fidéliser les clients par la qualité du service global apporté mais aussi par une profonde et sincère relation humaine. Pleinement engagé dans la stratégie marketing et commerciale de l’entreprise, il a également su convaincre de nouveaux clients français et espagnols de choisir VEKA comme partenaire et a posé les jalons d’un développement prometteur au Maroc. L’activité des sites de production de Thonon-les-Bains et de Burgos s’est ainsi développée régulièrement, renforçant un savoir-faire solide et une production locale. Il a d’ailleurs initié plusieurs projets dans les deux pays pour augmenter les capacités de production et garantir le plus haut niveau de service. Son enthousiasme, son énergie communicative, sa vivacité et son engagement sans faille pour VEKA et la défense de la filière PVC étaient appréciés au quotidien, à travers son leadership et ses prises de positions fortes. Pour cet homme de contact, la proximité et le relationnel ont toujours été au cœur de ses échanges professionnels. Son exigence, tant vis-à-vis de lui-même qu’avec ses collaborateurs, et sa bienveillance ont également marqué profondément les équipes VEKA.Pour le Comité de Direction de VEKA SWENA : « Jos Lenferink incarnait pleinement les valeurs et la vision du Groupe, avec à la fois les collaborateurs, les clients et les partenaires. Sa passion et son engagement à défendre les causes sociétales qui lui étaient chères, au-delà des enjeux commerciaux, caractérisaient son souci de l’humain. C’est une perte immense pour nous, mais nous allons continuer à œuvrer pour cette entreprise et cette profession dont il était si er. La feuille de route a été dé nie sous sa présidence. Avec l’appui de la maison mère, les salariés français et espagnols poursuivront sa mise en œuvre pour assurer le développement de VEKA SWENA.»