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Il y a 3 ans et 87 jours

Tracktor lève 12 millions d’euros pour simplifier la location de matériel de chantier partout en France et en Europe

La startup souhaite continuer à investir massivement pour offrir la meilleure expérience client du marché, devenir le standard de la location en France et étendre son réseau de loueurs en Europe.Lancée en 2017 par deux ingénieurs experts du secteur, TRACKTOR digitalise l’activité de location des PME du BTP et de l’industrie. La plateforme permet aux professionnels de s’affranchir de toutes les contraintes de la location traditionnelle : ils accèdent instantanément aux prix déjà négociés de plus de 400 loueurs partout en France. Toutes leurs locations sont centralisées dans un outil unique qui leur donne plus de visibilité pour optimiser leurs dépenses.Tracktor a déjà conquis plus de 3.500 entreprises des secteurs de la construction et de l’industrie, à qui elle permet de louer du matériel en 3 clics, quel que soit leur besoin, leur faisant ainsi gagner jusqu’à 3h sur la gestion de chaque location. L’entreprise, qui connaît une forte croissance, souhaite en 2022 multiplier par trois le volume d’affaires réalisé en 2021.Cette nouvelle levée de fonds va permettre à Tracktor de recruter de nouveaux talents pour doubler ses effectifs d’ici la fin de l’année. L’entreprise a pour ambition d’offrir la meilleure expérience client du marché en investissant massivement dans sa technologie et le développement de son produit : une application mobile viendra intégrer les besoins de ses clients sur le terrain, et un outil de gestion permettra de centraliser 100% de l’activité de location et de dématérialiser les flux internes des PME. Le deuxième enjeu sera de développer sa notoriété pour devenir le standard du secteur en France et de préparer son expansion en Europe dès 2023.Les nouveaux investisseurs ont apprécié cette proposition de valeur unique sur un marché de la location de matériel de chantier en très forte croissance et encore très peu digitalisé qui pèse plus de 5 milliards d’euros en France et 30 milliards d’euros en Europe (et plus de 70 milliards d’euros en Europe d’ici 10 ans).Pour Idir Ait Si Amer, co-fondateur de Tracktor : « Nous avons choisi AXA Venture Partners et Bpifrance car nous partageons une vision et une ambition communes : nous souhaitons devenir le 1-stop shop de la location de matériel de chantier en offrant la meilleure expérience client du secteur grâce à la Tech. »Pour François Robinet, Managing Partner d'AXA Venture Partners : « La crise du Covid a été un catalyseur pour l'adoption de solutions digitales notamment pour les particuliers mais aussi pour les entreprises. Nous pensons que les années qui viennent verront l'avènement d'un grand nombre de marketplaces BtoB. Dans cette optique et en établissant une véritable place de marché dédiée à la location de matériels, Tracktor peut profondément transformer le marché pour l'industrie du BTP. Nous avons été convaincus par cette vision portée par Idir et Julien et pensons qu’ils sauront la mettre en œuvre en France et à l'étranger. »Pour Victoire Millerand, Directrice d’investissements, et Claire Castel, Chargée d’investissements sénior au sein du pôle Digital Venture de Bpifrance : « Nous sommes convaincus de la pertinence de la proposition de valeur de Tracktor et de leur capacité à transformer fortement ce marché vaste et peu digitalisé à ce jour. Nous sommes ravis d’accompagner cette équipe de qualité dans la prochaine étape de son développement. »
Il y a 3 ans et 87 jours

Vinci Autoroutes met en service 53 points de recharge électrique rapide et ultra-rapide sur son réseau

Ces dernières semaines, 53 points de recharge supplémentaires ont été mis en service - dont 38 ultra-rapides - sur 11 aires, ainsi que sur le parking de covoiturage d’Orléans Nord. Gérées et exploitées par VINCI Autoroutes ou par ses partenaires commerciaux, ces nouvelles bornes, disponibles 24h/7j, sont compatibles avec tous types de véhicules. Elles viennent densifier le maillage du réseau VINCI Autoroutes qui, avec 348 points de recharge en service sur 99 aires, est aujourd’hui le réseau autoroutier le mieux équipé en France. L’ensemble de ces nouveaux points de recharge sont géolocalisés sur l’application Ulys, qui recense aujourd’hui plus de 33 000 bornes en France. Le paiement de la recharge est possible à l’acte.Des stations de recharge en service sur près des deux tiers des aires de services du réseau VINCI AutoroutesPoursuivant le déploiement de bornes électriques sur son réseau, VINCI Autoroutes a mis en service, depuis la fin de l’année 2021, 53 nouveaux points de charge, répartis sur les 12 sites suivants :sur le pourtour méditerranéen :sur l’A7 : Lançon-de-Provence Est et Ouest (dont 4 points ultra-rapides) ainsi que Sorgues (dont 6 points ultra-rapides, > 150 kW) ;sur l’A9 : Narbonne Vinassan-Nord (dont 6 points ultra-rapides) ainsi que Béziers Montblanc Sud et Nord (avec une borne de 50 kW chacune) ;sur l’A10, en direction de la façade atlantique : Poitou-Charentes Nord (dont 4 points ultra-rapides) ainsi que Val Neuvy (une borne de 50 kW). A ces aires s’ajoute le parking de covoiturage d’Orléans Nord, qui dispose notamment de 6 points ultra-rapides ;en région Centre-Val de Loire (A71) : Bourges Sainte-Thorette (dont deux ultra-rapides) et Chaumont-sur-Tharonne (une borne de 50 kW) ;l’aire de la Bruche, sur le nouveau Contournement Ouest de Strasbourg, avec notamment 6 points de charge ultra-rapides.Chacune des stations électriques propose a minima un point de recharge universel avec trois connecteurs (type 2, combo 2 et CHAdeMO) adaptés à tous les véhicules – afin de recharger tous les types de véhicules électriques actuellement en circulation. Disponibles 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, elles proposent une assistance téléphonique pour accompagner les utilisateurs qui en auraient besoin.Le paiement se fait, au choix, soit par carte prépayée ou badge via l’un des principaux opérateurs de mobilité offrant des abonnements en France ou en Europe, soit à l’acte, par carte bleue pour les bornes affichant le logo VINCI Autoroutes, ou par smartphone pour les bornes des partenaires présents sur les aires.Une nouvelle étape dans la densification du maillage électrique sur le réseau VINCI AutoroutesLe réseau de bornes de recharge est déployé en lien avec les opérateurs spécialisés et les enseignes commerciales des aires. Il offre à date 348 points de recharge installés sur 99 aires de services (soit près de 6 aires sur 10 d’ores et déjà équipées). VINCI Autoroutes s’est fixé pour objectif d’équiper 100% des aires de services de son réseau d’ici 2023.L’installation de ces nouvelles bornes illustre la volonté de VINCI Autoroutes de contribuer activement à la décarbonation des usages de la route afin de réduire l’empreinte carbone du secteur des transports. En multipliant le nombre de bornes de recharge présentes sur son réseau, VINCI Autoroutes souhaite apporter un service de qualité aux automobilistes ayant opté – ou souhaitant le faire - pour l’électrique, tant pour les déplacements urbains que pour les trajets de moyenne et longue distance.
Il y a 3 ans et 88 jours

Les professionnels de la rénovation énergétique alertent le gouvernement sur les conséquences dramatiques de l’arrêt des aides

Une situation inquiétante...Un an plus tard le constat est préoccupant, selon la lettre ouverte du Symbiote adressée au gouvernement le 22 février : Les chantiers de rénovation de l'isolation de combles, de murs, de planchers, ainsi que des mises en places d'équipements performants ont diminué de 80%.Les rénovations performantes en application avec la fiche BAR-TH 164 sont inexistantes.Des licenciements massifs se produisent, accompagnés de fermetures des entreprises depuis les 6 derniers mois avec une estimation d'environ 13 000 pertes d'emplois.Les ventes d'isolants et d'équipements subissent également une baisse de l'ordre de 50% malgré les investissements des industriels et le fait que l'industrie des produits d'isolation soit une industrie nationale et locale.Les particuliers semblent eux aussi dans l'incompréhension face à l'arrêt du dispositif d'aide pour la rénovation énergétique au moment où l'inflation des coûts d'énergie est particulièrement forte.... mais des solutions sont possibles pour sortir de la criseAfin de permettre la relance des travaux de rénovation, le syndicat demande donc :La mise en place d'un nouveau dispositif coup de pouce pour limiter l'effondrement complet des travaux d'isolation via un changement de méthode de calcul de la bonification et du forfait.Une augmentation de la bonification de la fiche BAR-TH 164.Une augmentation de 500TWh pour les CEE réalisés chez les ménages précaires.Un encadrement contrôlé pour éviter les dérives et les éco-délinquants.Pour lire la lettre ouverte du Symbiote, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 88 jours

Les maisons intelligentes : un atout pour l'indépendance des personnes âgées

Aujourd'hui, la technologie des capteurs intelligents est présente dans le monde entier dans les maisons intelligentes, les immeubles de bureaux, les systèmes modernes de contrôle des bâtiments et l'industrie 4.0. La mise en réseau d'équipements intelligents joue un rôle de plus en plus important, rendu possible par l'utilisation de données transmises par des capteurs. Ces données sont utilisées dans les bâtiments principalement pour économiser des coûts et de l'énergie. Mais dans les maisons intelligentes, l'accent est plutôt mis sur les besoins des habitants, sur le confort et la sécurité.L'assistance à l'autonomie à domicile appartient à cette dernière catégorie, car l'accent est davantage mis sur la sécurité, le confort et l'indépendance que sur l'efficacité et la réduction des coûts. Le vieillissement de la population dans les pays développés pose des défis majeurs au secteur de la santé. La population mondiale est de plus en plus âgée, les personnes ayant besoin de soins sont plus nombreuses, mais le personnel soignant disponible n'augmente pas dans la même proportion. En conséquence, les soins de santé pour les personnes âgées sont de plus en plus coûteux. Par ailleurs, de plus en plus de personnes âgées souhaitent rester le plus longtemps possible à leur domicile.Les technologies modernes peuvent contribuer à la mise en place de solutions adaptées. Les développements et les innovations dans les domaines de l'automatisation des bâtiments et de la maison intelligente peuvent apporter une contribution importante à cet égard. Les capteurs sans fil basées sur le standard radio EnOcean peuvent être facilement installées dans des infrastructures existantes et peuvent ainsi contribuer à améliorer la qualité de vie des personnes au quotidien, notamment lorsqu’elles sont entrées dans la vieillesse. Ces solutions peuvent également apporter un soutien, voire un soulagement, aux proches et au personnel soignant.Sécurité et confort à la maison - même à un âge avancéLes capteurs de mouvements dans les matelas et les chambres, les détecteurs de présence et de chute ou les boutons d'appel d'urgence et de commande simples à installer fournissent des informations importantes et nécessaires pour permettre de vivre en toute sécurité et confortablement chez soi, même à un âge avancé. Il est important que cette assistance s’intègre de façon transparente dans la vie quotidienne. Un autre aspect significatif est l'utilisation simple et intuitive des équipements, comparable aux applications des smartphones. La maison intelligente peut être la bonne solution pour cela. La commande intelligente de la lumière, du chauffage, des stores et d'autres appareils électriques augmente le confort de vie de toute la famille. Des aides pour les personnes âgées peuvent venir s'y ajouter facilement et de manière invisible. Il peut s'agir de capteurs qui enregistrent l'activité et le bien-être, par exemple. L'un des avantages est qu'ils ne fournissent une assistance qu'en cas de besoin et en cas d'urgence.Des systèmes radio adaptables en toute flexibilitéUne condition importante pour ces solutions est qu'elles puissent être facilement installées dans des environnements existants, tant à domicile que dans les établissements de soins. Cela permet aux personnes ayant besoin d'aide de vivre de manière aussi indépendante que possible dans leur environnement familier, et ce le plus longtemps possible. Ces solutions sont également avantageuses pour certains établissements de santé, mais si elles doivent être mises en place dans des installations existantes, les activités quotidiennes doivent être perturbées le moins possible. C'est pourquoi les systèmes câblés ne sont pas adaptés à ce cas de figure, car l'effort à fournir pour équiper chaque capteur d'un câble serait bien trop important. En outre, la flexibilité des solutions serait grandement altérée, car une fois installés, les capteurs seraient très difficiles à démonter et installer ailleurs. C’est pourquoi les systèmes sans fil ont clairement l'avantage : Sans être tributaires d’un quelconque câblage, les interrupteurs, les détecteurs de fumée, les capteurs de présence, de température, de qualité de l'air et de lumière ne nécessitent aucun entretien et peuvent être installés simplement là où ils sont vraiment nécessaires, même sur des meubles, des vitres ou des portes : par exemple, un détecteur de mouvement pour la commande de la lumière sur le cadre du lit ou un capteur tactile intégré dans le matelas pour la commande de la lumière et du chauffage, qui signale également si la personne âgée s'allonge de manière inhabituelle le matin ou quitte le lit de manière inattendue la nuit. En même temps, ces capteurs peuvent aussi être intégrés à tout moment dans des systèmes existants.Fonctionnement entièrement sans pilesDe nombreuses solutions qui fonctionnent sans alimentation électrique externe présentent un inconvénient majeur : des piles doivent générer l'énergie nécessaire aux interrupteurs et aux capteurs. Ceci a un impact négatif sur les coûts de maintenance d'une part et sur l'environnement d'autre part. Les piles doivent être contrôlées et remplacées régulièrement, ce qui est très coûteux avec un grand nombre de capteurs. L'élimination des piles pose également problème, car leur contenu toxique, nocif pour l’environnement, impose un traitement spécifique.La technologie EnOcean empreinte une voie radicalement différente : Les interrupteurs et capteurs sans fil captent et stockent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Lorsqu'un interrupteur est actionné, le convertisseur d'énergie électromécanique situé à l'intérieur convertit le mouvement en énergie. Ce signal peut être utilisé pour allumer et éteindre des appareils ménagers et des lumières, par exemple. Les modules alimentés par de petites cellules photovoltaïques peuvent se contenter de faibles intensités lumineuses, ne dépassant pas 50 lux. Il peut s'agir de capteurs de température, de CO2 et de présence, par exemple, mais aussi de contacts fixés su des fenêtres ou de capteurs d'humidité. Toutefois, les capteurs peuvent également fonctionner sans piles si l'apport de lumière est trop faible : une différence de température de seulement deux degrés Celsius fournit suffisamment d'énergie pour actionner une vanne de chauffage autoalimentée.Une assistance automatisée au quotidienGrâce à leur fonctionnement par signal radio, ces solutions peuvent être adaptées progressivement à l'évolution des besoins. Les lumières peuvent être allumées et éteintes automatiquement grâce à des détecteurs de présence, et des contacts magnétiques sur les fenêtres et les portes permettent de baisser automatiquement le chauffage lorsque la fenêtre est ouverte ou lorsque tout le monde a quitté la maison. Lorsque les lieux sont inoccupés, tous les appareils électriques tels que la cuisinière et la machine à laver peuvent être éteints par sécurité.Alors que de nombreuses personnes âgées souhaitent rester dans leur environnement familier le plus longtemps possible, de nombreuses applications basées sur le standard radio EnOcean peuvent contribuer à faire de ce souhait une réalité.ConclusionAvec l'aide des technologies modernes, il est possible de rester indépendant même à un âge avancé. Parmi ces technologies, les capteurs autonomes et sans fil occupent une place de choix et prennent de plus en plus d'importance dans le secteur de l'assistance à l'autonomie à domicile, car ils offrent aux personnes âgées un degré élevé d'indépendance et de confort. Toutefois, cette forme d'assistance ne doit pas être imposée et ne doit pas porter atteinte à la vie privée des individus (comme les caméras). Les solutions basées sur des capteurs au standard radio EnOcean sont particulièrement adaptées à ce type d'application. Une fois installés et mis en service, ils fonctionnent sans aucune maintenance et fournissent des données fiables pour contrôler et surveiller l'état de santé des personnes ayant besoin d'aide. Tribune d'Emmanuel FRANCOIS, Sales Manager West Europe chez EnOcean GmbH (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 88 jours

Allo Volet service vise 200 artisans-experts en 2023 pour son réseau

Créé en 2009, Allo Volet Service est un réseau de professionnels spécialistes du dépannage et de la modernisation de volets roulants et de fermetures pour l’habitat (portes de garage, stores, portails, menuiseries). Affilié à SOPROFEN, fabricant leader sur le marché de la fermeture, il compte 80 artisans réparateurs qui bénéficient ainsi d’une véritable expertise métier pour assurer des interventions rapides et fiables chez les particuliers et les professionnels. En 2022, Allo Volet Service passe à la vitesse supérieure et dynamise son réseau, avec pour ambition de devenir un acteur incontournable du secteur. A la conquête de nouveaux adhérents Préserver leur indépendance et les aider à développer leur activité, c’est la promesse d’Allo Volet Service vis-à-vis de tous les professionnels qui rejoignent le réseau. Un concept qui a d’ores et déjà séduit près de 80 artisans de tous corps de métiers (poseur, électricien, serrurier…). Répartis sur toute la France, ils s’engagent dans un rayon de 50 km à : – dépanner rapidement au meilleur prix tous types d’installations de fermetures, – trouver une solution adaptée pour les réparer, au lieu de les remplacer, – les moderniser pour apporter plus de confort au quotidien. En plus du quart nord-ouest de la France, de la région Rhône Alpes et de grandes agglomérations (Toulouse, Strasbourg, Nice, Marseille…) déjà bien desservies, Allo Volet Service souhaite aujourd’hui étoffer son réseau pour couvrir toute la France et bénéficier d’un maillage territorial harmonieux. Pour cela, le spécialiste du dépannage recrute de nouveaux adhérents aux profils variés. Tous les artisans déjà installés, désireux de compléter leur activité principale peuvent ainsi rejoindre l’aventure, sans renoncer à leur identité. Seul pré-réquis : être motivé, posséder une philosophie de service et commerciale ainsi que des compétences techniques dans l’univers de la menuiserie et de la fermeture. En échange, Allo Volet Service les accompagne pour réussir sur ce marché du dépannage et de la modernisation. Une panoplie d’avantages attractifs En plus de profiter de la notoriété du réseau national Allo Volet Service, une fois membre, le professionnel accède à tous les services et outils destinés à augmenter sa visibilité et à accélérer son développement parmi lesquels : – des formations techniques régulièrement dispensées en centre de formation ou lors des rencontres régionales, – un référencement sur le nouveau site internet www.allo-volet-service.fr qui lui permet, grâce à une géolocalisation, d’être en contact direct avec le particulier en recherche de dépannage, – l’application Synchroteam® pour gagner du temps dans la gestion et la planification de ses interventions, – des conditions privilégiées pour acheter toutes ses pièces détachées sur la boutique en ligne www.avs-store.fr, – la mise à disposition de supports de communication (objets publicitaires et vêtements logotés), – ou encore l’accès à une hotline technique. Grâce à ce partenariat gagnant-gagnant soutenu par un parc installé de volets roulants à réparer estimé à plus de 4 millions par an, les artisans-experts d’Allo Volet Service bénéficient ainsi d’une belle opportunité de développement. Nul doute que le renouveau du réseau initié cette année devrait permettre à  Allo Volet Service d’atteindre son objectif de 200 adhérents d’ici 2023 et une couverture nationale optimale afin que les particuliers puissent trouver, au plus près de chez eux, un réparateur référent. Une proximité qui, associée à sa volonté de prolonger la durée de vie des équipements, s’inscrit dans une démarche éco-responsable. https://www.allo-volet-service.fr/
Il y a 3 ans et 89 jours

Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ?

Côté magazine Côté magazine Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? Maquettes 3D et applications digitales commencent à faire partie du quotidien des acteurs de la construction. Mais où en sommes-nous des innovations dites « hardware », tels les équipements, le matériel et l’outillage ? Trois solutions à découvrir soutenues par Constructech Club.     Plus mobile que les dalles tactiles existantes, facilitant l’usage horizontal, sur table, Adok permet de retrouver le confort d’utilisation des plans papier, avec tous les avantages du numérique. « Notre Hub tactile permet de mener des revues de plans, avec des personnes en présentiel et d’autres connectées à distance. »Photo : Adok 1/ Avec Adok, les chantiers sont au bout des doigts Adok a développé un Hub tactile mobile. C’est un produit 3 en 1 qui embarque un PC Windows 10, un picoprojecteur et un système tactile. Cette technologie permet de transformer toutes les surfaces planes en interface tactile. Paul Péretié, CEO d’Adok, est parti du constat que les appareils collaboratifs disponibles dans les salles de réunion ou sur les chantiers n’étaient pas au niveau de nos smartphones ou de nos tablettes, en termes de facilité d’usage, de flexibilité, de mobilité et d’interactivité. De plus, les investissements pour passer au BIM – avec pour objectif de remonter des informations terrain, d’avoir des plans toujours à jour et de suivre la progression du chantier – étaient énormes d’un point de vue logiciel, mais n’avaient pas forcément les interfaces et notamment les appareils « hardware » pour faciliter ce passage au BIM. Cet appareil Made in France permet de mener des revues de plans et des réunions collaboratives sur une table, dans un bureau, dans une base-vie de chantier, ou dans tous les environnements de travail habituels. Paul Péretié précise que le développement de cette technologie a nécessité trois ans de recherche. « Ce système tactile fonctionne par reconnaissance d’images, et permet de retrouver la même précision et réactivité qu’un écran tactile traditionnel. » 2/ Carlita, prévenir les risques TMS dans la pose de carrelage et dallage Proposée par la start-up Robotile, la Carlita est une machine mécanique d’assistance à la pose de carrelage et dallage permettant de minimiser les efforts du compagnon, ainsi que les positions douloureuses à l’origine de TMS (troubles musculo-squelettiques) lors de la pose d’éléments de grands formats sur de grandes surfaces. Elle permet également un gain de temps qui est variable selon le format mis en œuvre et l’organisation des tâches. Son fondateur, Serge Sémété, nous explique que le principal avantage de Carlita est le fait que l’utilisateur reste en position debout et ne supporte plus le poids de l’élément à poser. « Le bénéfice physique est complet pour les muscles et articulations sollicités lors de la pose au sol, avec une charge de 10 à 30 kg à déposer en porte-à-faux devant soi : jambes, bras, mains et dos sont préservés. Une étude avec des capteurs d’efforts sur une pose manuelle d’éléments de 80 x 80 (16 kg/u) et une pose identique avec la Carlita affiche une réduction d’effort pour tous les muscles sollicités. Notre système équilibre la charge qui est en “apesanteur”. » La Carlita, un système très simple, robuste, durable et si nécessaire réparable sur chantier. Le compagnon n’a plus qu’à se soucier du placement de son carreau. La préhension des éléments est réalisée par des ventouses. Celles-ci sont très résistantes et la technologie a été éprouvée sur les postes robotisés des usines des fabricants. Photo : Robotile 3/ Instavox, le smartphone devient un talkie-walkie professionnel Instavox permet de reproduire les fonctions d’un réseau talkie-walkie professionnel (appel instantané d’un groupe prédéfini de personnes sur simple appui d’un bouton) à partir d’un smartphone grand public ou durci en utilisant les réseaux des opérateurs ou les réseaux Wifi. L’avantage essentiel de cette technologie est la complémentarité entre le « software » et le « hardware ». La solution répond aux contraintes de limite de portée des talkies-walkies conventionnels tout en proposant du matériel pouvant être utilisé dans des conditions propres aux projets de construction qui sont parfois extrêmes ; tel est le cas des casques antibruit et des micros déportés. « Nos clients utilisent sur leurs chantiers nos casques antibruit connectés à notre application sur leur smartphone talkie- walkie. Équipés d’un connecteur professionnel raccordé à leur radio, ils utilisent la fonction “push to talk” d’Instavox pour communiquer sur le chantier. L’avantage de ce casque dans les environnements très bruyants est qu’il permet de communiquer de façon très claire et très audible », explique Nicolas Grante, CEO d’Instavox. Pour communiquer entre les chantiers, les différents intervenants utilisent l’application Instavox couplée à des micros déportés – Bluetooth ou filaire – connectés aux smartphones. « En effet, les gants de protection des intervenants sur le chantier ne permettent pas de naviguer sur un smartphone. Il faudrait retirer les gants chaque fois qu’ils souhaitent communiquer et cela n’est pas possible », précise Nicolas Grante. Instavox ajoute également des fonctionnalités de géolocalisation permettant de savoir à n’importe quel moment où se situe chaque utilisateur, mais aussi des fonctionnalités d’appel vidéo instantané permettant de réaliser des levées de doute immédiates. Comme pour un talkie-walkie, le gain de temps dans la communication opérationnelle est le principal avantage de la solution Instavox : plus besoin d’appeler les collaborateurs un par un pour communiquer une information. D’une simple touche sur le smartphone, on communique verbalement un message à l’ensemble de l’équipe. Photo : Instavox À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Diana Gonzalez À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Bilan du Club Le hardware – ou solution physique – fait son apparition également dans le secteur depuis quelque temps et se développe de plus en plus. Ce type d’innovation demande un panel important de métiers et de compétences (mécanique, technique, électrique, software) et des coûts importants en recherche et développement. La mise sur le marché est plus longue par rapport à une solution digitale et les investisseurs peuvent s’avérer plus frileux. On retrouve ce type d’innovation dans la sécurité des chantiers et des personnes travaillant sur les chantiers, dans la surveillance de bâtiments, dans la communication et dans bien d’autres domaines encore.  Des « business models » alternatifs à l’achat du matériel ou de l’équipement permettent de conquérir de nouveaux clients et ainsi sécuriser la pérennité et la croissance des start-up qui développent ce type de solution. On peut citer le « leasing » (location de longue durée) et le HAAS (Hardware-as-a-Service). Ce dernier fournit le matériel – ou la machine – accompagné d’autres composants complémentaires tels que logiciels, maintenance et support, dans le cadre d’une offre mensuelle prépackagée. Rubriques Rubriques Actualités Bâtiment digital Paroles d'experts Dossiers Produits Web TV Le magazine Cet article Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 89 jours

Matterport présente Axis, nouveau support motorisé mains libres pour la capture 3D de précision sur smartphone

Cette solution pratique produit des résultats fiable et de grande qualité en un clic. Des maisons aux bureaux, en passant par des hôtels, des locations, des magasins ou encore des ateliers, Matterport Axis est le moyen le plus abordable de capturer un espace en 3D en utilisant seulement son téléphone et l'application Matterport Capture. Avec Axis, l'entreprise vise à accélérer la transformation digitale du monde bâti en permettant à tous les propriétaires de smartphone de digitaliser n'importe quel espace avec un niveau inédit de précision et une facilité d'utilisation.Depuis le 8 février, Matterport Axis est disponible en pré-commande sur Matterport.com au prix spécial de 59€. Le lancement officiel est prévu pour le 1er avril et Matterport Axis sera alors disponible à partir de 79€. Toutes les pré-commandes reçues avant le 31 mars inclus seront admissibles à la tarification préférentielle, sous réserve des modalités. Matterport a également fait appel à ses principaux partenaires e-commerce, Adorama et B&H, pour commercialiser Matterport Axis. Le prix spécial de pré-lancement est également disponible sur ces deux sites depuis le 8 février.Les clients de diverses industries utilisent Matterport pour virtuellement mesurer, documenter, gérer et promouvoir leurs propriétés en ligne. Aujourd'hui, avec Matterport Axis, les organisations du monde entier peuvent intensifier leurs efforts pour capturer facilement des jumeaux digitaux de grande qualité partout dans le monde. Les équipes obtiennent des résultats fiables et cohérents à partir de leur smartphone, et Axis veille à ce que chaque scan de chaque lieu atteigne le même niveau de précision. Matterport Axis simplifie les déploiements dans tous les secteurs dont :Le retail et l'hôtellerie. Les employés sur place peuvent utiliser Matterport Axis et leur smartphone dans leur poche pour capturer de manière fiable un jumeau digital de chaque emplacement à travers une chaîne de propriétés. Cela permet aux équipes merchandising et aux gestionnaires des installations de virtuellement inspecter, planifier et gérer plusieurs emplacements en ligne, éliminant les déplacements et les visites inutiles tout en augmentant rapidement la productivité.L'immobilier. Les professionnels, gestionnaires immobiliers et les propriétaires de locations de vacances peuvent maintenant créer un jumeau digital avec plus de rapidité et de facilité grâce à la capture 3D mains libres et abordable d'Axis, et publier de superbes visites virtuelles en ligne en moins d'une heure.La construction et l'assurance. Les constructeurs et les experts en assurance peuvent facilement déployer plusieurs unités Axis sur le terrain pour numériser avec précision et partager des jumeaux numériques détaillés à partir de n'importe quel smartphone compatible, à chaque étape du travail. Cela permet l'inspection, le suivi et la gestion à distance avec les entrepreneurs et les spécialistes du bâtiment partout dans le monde.« Chez Matterport, notre mission est de rendre chaque espace plus accessible, et d'en augmenter la valeur. Avec Matterport Axis, nous sommes heureux d'aider nos clients à mettre leurs propriétés en ligne afin qu'ils puissent les gérer n'importe quand, n'importe où. » a déclaré Japjit Tulsi, Chief Technology Officer à Matterport. « Nous avons démocratisé la capture 3D en rendant l'application Matterport Capture disponible pour des milliards d'utilisateurs Android et d'iOS. En combinaison avec Matterport Axis, nous facilitons encore son usage pour les particuliers, les petites entreprises et les grandes entreprises gérant de multiples propriétés, en leur permettant d'adopter rapidement, de manière fiable et à un prix abordable la technologie des jumeaux numériques. »Pour en apprendre plus sur Matterport Axis et accéder à la pré-commande, cliquez ici
Il y a 3 ans et 89 jours

Kebony Clear habille une maison avant-gardiste pleinement intégrée dans l’Alentejo et signée Gonçalo Bonniz

Avec un design avant-gardiste et des lignes très épurées, la maison s’intègre parfaitement au paysage de l’Alentejo, à la morphologie du terrain et à son environnement ; un objectif atteint grâce à l’utilisation de matériaux s’harmonisant avec les couleurs locales, dans une combinaison idéale de béton et de bois Kebony Clear. Le bois durable Kebony Clear fait partie intégrante de la maison FdP, située dans l’Alto Alentejo – une région reculée du Portugal – signée par l’architecte portugais Gonçalo Bonniz. Avec un design avant-gardiste et des lignes très épurées, la maison s’intègre parfaitement au paysage de l’Alentejo, à la morphologie du terrain et à son environnement ; un objectif atteint grâce à l’utilisation de matériaux s’harmonisant avec les couleurs locales, dans une combinaison idéale de béton et de bois Kebony Clear. « L’une de nos motivations principales était d’ériger une maison qui dominerait le paysage. Ce projet est fortement inspiré par le lieu, avec pour lignes directrices la morphologie du terrain, l’orientation solaire, la vue, les couleurs ainsi que la préservation des arbres, laquelle a contribué à sculpter la maison et à favoriser son intégration », explique Gonçalo Bonniz. Cette intégration chromatique « a été un facteur important de la dissimulation de la maison dans ce paysage rural, une connexion réussie grâce à la présence d’ardoises multicolores, grises et brunes, de béton avec pigments gris et de bois Kebony Clear », poursuit l’architecte.Le bois Kebony Clear a été appliqué sur la façade sans traitement de surface. Il présente une teinte brun foncé qui deviendra gris argenté au fil du temps et de l’exposition aux éléments, ce qui lui permettra de se fondre avec le béton armé utilisé dans la construction du bâtiment. Ce mariage des couleurs n’était que l’une des nombreuses raisons ayant motivé le choix d’un bois Kebony pour l’extérieur de cette maison particulière. Il convient également de souligner sa durabilité et sa stabilité, particulièrement importantes dans une région au climat rigoureux, ainsi que son vieillissement contrôlé et la non-nécessité d’opérations d’entretien.Le bois Kebony Clear est également très présent dans l’intérieur de la maison FdP. En plus de son application sur la façade extérieure et la terrasse, ce bois a également été choisi pour une grande partie du mobilier de la maison, y compris l’espace cuisine, ainsi que pour les armoires et les espaces de circulation, avec des portes de plus de trois mètres de haut. Tous les travaux de construction de Kebony Clear ont été réalisés par Matriz – Sociedade de Construções, Lda. Ce bois est facile à manipuler, très résistant, et sa douceur au toucher permet une finition de qualité supérieure, sans ajout de produit. « Cette application polyvalente du bois Kebony sur les façades, les terrasses et les meubles reflète la résistance et la stabilité de ce matériau, mais aussi son esthétique attrayante et ses qualités durables. La maison FdP est d’ores et déjà une référence majeure dans le portfolio Kebony », commente l’ingénieur du bois Mário Neves, représentant de Kebony au Portugal. Kebony, qui intègre la gamme Clear, est un bois durable et de haute qualité, qui bénéficie d’une certification FSC. Il se distingue par son aspect attrayant, sa dureté, sa stabilité et sa résistance, ainsi que par sa facilité d’entretien. Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical.
Il y a 3 ans et 89 jours

Valérie Gourvès, nouvelle Directrice opérationnelle Sécurité - Structures - Feu du CSTB

Évoluant dans l’univers de l’habitat depuis plus de 20 ans, Valérie Gourvès a piloté des activités de conseil, d’essais et de certification, successivement dans l’industrie et en Centre technique. Une expérience multi-activités et pluridisciplinaire qu’elle met aujourd’hui au service de la Direction Sécurité – Structures – Feu, mobilisant l’ensemble des activités du CSTB. Au-delà de l’approche globale de la sécurité du parc bâti, Valérie Gourvès voit dans ses nouvelles fonctions l’opportunité de contribuer à des enjeux clés pour la filière et plus largement pour l’intérêt général.Valérie Gourvès, femme de convictionsIngénieur chimiste, Valérie Gourvès est diplômée de l’École Nationale Supérieure de Chimie (ENSCM) de Montpellier et de l’institut d’administration des entreprises (IAE Paris). En 1996, après une première expérience dans le domaine de la production de peinture dédiée aux artistes, elle rejoint le Centre Technique du Bois et de l’Ameublement, aujourd’hui devenu FCBA. Elle y pilote plusieurs activités, notamment dès 2003, le laboratoire d’essais de réaction au feu, avant de prendre la direction de l’unité certification, puis du pôle multi-activités « Ameublement et Aménagement des Espaces de vie ».Elle rejoint aujourd’hui le CSTB au poste de Directrice opérationnelle Sécurité, Structures et Feu :Pour Valérie Gourvès, directrice opérationnelle Sécurité - Structures - Feu : « La Direction Sécurité – Structures – Feu travaille sur des enjeux fondamentaux de la construction, notamment la maîtrise des risques, et contribue, avec toutes les équipes du CSTB, à faire progresser les connaissances au service de la filière et de l’intérêt général. Face aux défis environnementaux, démographiques et à l’évolution des modes de vie, l'adaptation du parc de bâtiments au contexte et aux besoins de demain est une nécessité pour les acteurs du bâtiment et de l'immobilier. Avec mon équipe, je suis particulièrement mobilisée pour les accompagner dans l’innovation afin de répondre à ces enjeux clés. Évaluer un nouveau matériau pour son aptitude en structure ne peut plus se faire sans penser aux enjeux environnementaux, à la fin de vie de ce matériau et à sa contribution à d’autres axes comme le confort, l’acoustique, la qualité de l’air… En cela, le CSTB qui a une approche holistique et pluridisciplinaire à l’échelle des composants, du bâtiment et de l’urbain, est pour moi précurseur. Je suis ravie de rejoindre le CSTB et de prendre la direction d’une très belle équipe, qui rassemble des compétences riches et témoigne d’un engagement fort au service de nos clients et partenaires, en vue de contribuer à faire de la construction un secteur à impact positif. »
Il y a 3 ans et 89 jours

Soldes et affluence : un bâtiment réaménagé suite à la COVID-19 présente-t-il un risque de sécurité incendie ?

Tous les propriétaires de bâtiments tertiaires ont tout intérêt à penser à la façon dont ils vont utiliser leur espace pour assurer la sécurité des employés et du public. La mise en application de la distanciation sociale à court et moyen terme (voire éventuellement à long terme) s’impose. Cela signifie que l’agencement et la façon dont les personnes se déplacent dans l’espace doivent être modifiées simultanément.Les réglementations en matière de construction stipulent généralement que toute modification apportée à un bâtiment, implique une réévaluation du risque incendie. Suite aux changements d’agencement des bâtiments, de nombreuses structures internes et externes temporaires telles que les barrières et vitres de protection, la détection d’incendie et l’alarme incendie, l’éclairage de sécurité pour la signalisation des voies et issues de secours doivent être repensées.Chemins d’évacuationLa plupart des commerces et hôtels ont mis en place une circulation à sens unique, soit avec des flèches indiquant le sens de déplacement, soit en bloquant certains accès. Mais si le bâtiment doit être évacué en urgence, ces aménagements peuvent modifier les chemins d’évacuation, créer de la confusion, et peuvent même empêcher les personnes d’accéder facilement aux issues de secours.Cela peut, en conséquence, entraîner des conséquences sur le positionnement des luminaires d’éclairage de sécurité pour la signalisation des sorties de secours, dont certaines peuvent désormais être mal situées pour une évacuation simple et en toute sécurité. La présence d’extincteurs au niveau de chacun de ces nouveaux chemins d’évacuation doit impérativement être vérifiée.Avertissement : zones cloisonnéesEn cas de construction de nouvelles pièces, de cloisonnement de zones ou de modification de l’agencement pour séparer les personnes, des détecteurs d’incendie doivent être installés dans chaque nouvel espace et les personnes doivent pouvoir entendre et/ou voir les alarmes incendie lorsqu’elles sont à l’intérieur, afin de rester conforme avec la réglementation. Certains cloisonnements accentuent même le risque d’incendie, par exemple lorsque des matières plastiques sont utilisées pour créer des séparations (le plastique entraînant une grande quantité de fumée en cas d’incendie). Ces cloisonnements peuvent également altérer l’efficacité des réseaux d’extincteurs automatiques à eau. Dans les magasins, de nombreuses caisses sont séparées par une structure temporaire en bois et en plastique transparent ou en Perspex® pour assurer la distanciation sociale, mais ces caisses sont généralement situées à proximité des sorties. Si le pire devait se produire et qu’un incendie se déclarait, une voie d’évacuation pourrait être bloquée, et si cette structure devait prendre feu, cela peut accentuer le risque pour les personnes (par exemple : une fumée plus épaisse et toxique).Évaluation des risquesLa mise en œuvre d’un grand nombre de ces mesures est requise dans les bureaux. Mais il est également du devoir des propriétaires et employeurs de prendre en compte l’ensemble des risques auxquels les employés et le public peuvent être confrontés dans les espaces sous leur responsabilité. Cela signifie, en particulier, qu’une adaptation ou une modification des systèmes de sécurité incendie et d’éclairage de sécurité peut être nécessaire afin de pouvoir atténuer les risques liés à ces nouvelles mesures. Cela peut également amener une réflexion sur certains choix comme celui des matériaux utilisés pour construire des cloisons.Planifier la sécurité incendie en intégrant les risques de réaménagementsPour les nouveaux projets de construction et de rénovation, il est judicieux de planifier les systèmes de sécurité axés sur la flexibilité. Il est de plus en plus probable que les bâtiments doivent être rendus plus flexibles et que leur utilisation et leur agencement soient régulièrement modifiés à l’avenir. La façon dont nous travaillons et vivons va probablement changer.Prescrire et installer des systèmes de sécurité incendie et d’éclairage de Sécurité axés sur la flexibilité, en prenant en compte la technologie d’évacuation adaptative, c’est protéger l’avenir des bâtiments, de leurs responsables et surtout les personnes à l’intérieur. Si les bâtiments deviennent plus adaptables et modulaires, les moyens mis en œuvre pour la sécurité des occupants doivent l’être également.Tribune de Claude Boyer, Directeur Activités Life & Safety chez Eaton (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 92 jours

Plastor Fond dur et Huile parquet Effet bois nu

Un résultat totalement invisible pour préserver la beauté naturelle et brute du bois Chaleureux, le parquet en bois est très tendance. Chaque essence dispose d’une couleur, d’un veinage et d’un rendu qui lui est propre et qui apporte une authenticité unique aux lieux. Pour perdurer, ce revêtement a besoin d’être protégé contre le trafic, les taches et l’humidité. Mais bien souvent les vitrificateurs et les huiles réhaussent la teinte du bois et jaunissent fortement à cause des remontées de tanins. Pour tous ceux qui souhaitent préserver l’aspect brut du bois, Plastor, spécialiste depuis plus de 50 ans dans la fabrication de finitions pour la protection de sols, a développé une nouvelle gamme avec 2 produits pour parquet, totalement invisibles : le Fond dur et l’Huile Effet bois nu. Fabriquées en France dans le Jura, ces nouveautés Effet bois nu Plastor conservent et protégent la beauté naturelle du bois, sans réchauffer ni blanchir le bois d’origine. Simples et rapides à appliquer, elles limitent les contraintes de chantiers pour les professionnels du parquet. PRÉPARATION NOUVEAU – FOND DUR EFFET BOIS NU – Sous-couche d’accrochage Pour assurer une finition parfaite aux parquets clairs ou bruts, le nouveau Fond dur Effet bois nu Plastor imprègne le bois en profondeur, bloque les remontées de tanin tout en conservant complètement sa couleur pour lui laisser un aspect totalement naturel. Cette sous-couche d’accrochage s’utilise en système avec tous les vitrificateurs en phase aqueuse PUR-T® Plastor. Il est conseillé de l’appliquer avec le vitrificateur PUR-T®3 DUO mat pour garder un rendu totalement invisible. Prête à l’emploi et facile à utiliser, sa formulation fluide permet une application uniforme et sans traces de reprises. Ainsi, le nouveau Fond dur Effet bois nu Plastor offre des conditions de travail agréables aux artisans parqueteurs. Il sèche très rapidement, en 1 à 2 h entre couches, et ne nécessite pas d’égrenage. Il est conseillé d’appliquer 2 couches de sous-couche et 1 couche de vitrificateur.   Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 1L et 5L FINITION NOUVEAU – HUILE PARQUET EFFET BOIS NU – Protège la nature du bois Totalement invisible, l’Huile Effet bois nu Plastor préserve efficacement les parquets tout en mettant en valeur l’authenticité et le toucher naturel des essences de bois. En phase aqueuse, sa formulation haute qualité nourrit en profondeur le bois et protège durablement tous les parquets neufs ou anciens des agressions quotidiennes, des taches et de l’humidité. Prête à l’emploi, cette nouveauté assure le huilage complet d’un parquet en 1 journée, avec un seul égrenage entre la 2ème et la 3ème couche et un séchage de 1 à 2 h entre 2 couches. Cette application sans lustrage permet ainsi aux parqueteurs d’effectuer 3 couches dans la journée, un véritable gain de temps, appréciable sur les chantiers. Sans odeur gênante, cette huile pour parquet qui dégage seulement 25 g/L de COV est très agréable à appliquer. Excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense, l’Huile pour parquet Effet bois nu Plastor leur confère une excellente résistance à l’usure et facilite leur entretien. Rendement : 15 m2/L par couche Existe en 1L et 5L
Il y a 3 ans et 92 jours

Caméléo, le système plancher dalle modulable et respectueux de l’environnement

La structure plancher dalle préfabriquée et interchangeable Créer un bâtiment qui s’adaptera aux usages de demain, c’est désormais possible avec le système constructif préfabriqué Caméléo ! Caméléo est un système plancher-dalle préfabriqué par Rector qui consiste en un assemblage de poteaux.Grâce à sa structure en béton réduite à minima, profitez de volumes intérieurs ouverts, de plafonds lisses et dites adieu aux contraintes liées aux murs porteurs. Les éléments intégrés dans nos prédalles SPD, notamment les armatures anti-poinçonnement et les points de clefs du ferraillage vous assurent une mise en œuvre qualitative et moins pénible. Ainsi, le bâtiment construit aujourd’hui peut sans difficulté s’adapter à de nouveaux usages demain : la distribution de l’espace au sein du bâtiment est libre et les volumes sont personnalisables en fonction de vos besoins de construction. La structure plancher dalle adaptée aux nouveaux enjeux environnementaux Les prédalles SPD sont les éléments centraux du système plancher dalle : elles intègrent toutes les armatures nécessaires à leur tenue, sans avoir recours à des poutres porteuses. Désormais fabriquées en béton bas carbone, elles permettent de réduire considérablement votre empreinte carbone. Le système plancher dalle Caméléo s’inscrit dans une démarche d’écoconception. Le bâtiment n’est pas construit pour être détruit mais transformé ce qui permet des économies importantes de matériaux et par conséquent des émissions carbone lors de sa reconversion. De plus, le choix d’éléments comme des matériaux biosourcés pour construire les façades non-porteuses ou les cloisons intérieures permet de diminuer davantage votre bilan carbone. La structure plancher dalle qui vous fait gagner du tempsEn liaison avec le maître d’œuvre et/ou l’entreprise de gros œuvre, notre service logistique vous assure une livraison cadencée en fonction de l’avancement de vos travaux. Enfin, la grande adaptabilité de Caméléo vous assure un temps de mise en œuvre réduit de 25% en moyenne.
Il y a 3 ans et 93 jours

Premier liant zéro carbone signé Vicat

Le nouveau liant carbo-négatif de Vicat devrait être disponible dans le courant de l’année pour les premiers chantiers. [©Vicat] L’offre bas carbone Deca de Vicat s’enrichit aujourd’hui du premier liant carbo-négatif destiné à la formulation de bétons très bas carbone. Cette innovation renforce les engagements du groupe pour atteindre la neutralité carbone sur la chaîne de valeur d’ici 2050. Tout en répondant, dès à présent, aux enjeux de la RE 2020, tout juste entrée en application. Dans ce cadre, Vicat a développé un liant permettant de conserver l’ensemble des propriétés d’un ciment traditionnel et de ses usages. Ceci, tout en bénéficiant d’un bilan carbone correspondant à un niveau d’émissions nettes inférieur à 0 kgeqCO2/t ! Composé d’une matière biosourcée, ce liant “puits de carbone” s’inscrit pleinement dans la stratégie du groupe Vicat pour répondre aux réglementations, en termes d’abaissement de l’empreinte carbone de la construction. Un liant carbo-négatif en deux versions Disposant de modules d’informations environnementales vérifiés, ce nouveau liant atteint deux niveaux d’émissions nettes de CO2, selon sa composition. Ainsi, le liant “0133H” présente une valeur de – 15 kg CO2/t et affiche des performances techniques se rapprochant d’un ciment 42,5 R. Quant au liant “2402”, sa valeur est de – 310 kg CO2/t, pour des performances techniques comparables à un ciment 32,5 R. Vicat annonce que plusieurs démonstrateurs seront présentés au cours du printemps 2022, lors de la mise à disposition du produit. Les premiers chantiers pourront débuter aussi en cours d’année, après l’obtention de l’appréciation technique d’expérimentation (Atex). « Vicat confirme sa volonté d’être un acteur engagé, en innovant pour la construction du monde d’aujourd’hui et de demain. Le développement de ce liant est une réponse aux besoins de la RE 2020 et accompagne les filières du secteur vers la neutralité carbone », conclut Guy Sidos, Pdg du groupe Vicat.
Il y a 3 ans et 93 jours

Milliken signe le projet de rénovation des bureaux du groupe Adecco

Le nouveau site devait être situé dans le prestigieux quartier de la Défense.Approche designLe cahier des charges exigeait la création d’un environnement de bureau unifié, qui permette aux différentes marques d'Adecco installées dans l'espace de refléter leurs identités individuelles. Le client souhaitait également que l'aménagement de l'espace de travail comprenne une série de zones de réunion, de collaboration et de travail flexible. Pour répondre à cette demande, plusieurs espaces de style différent ont été conçus, notamment des espaces contemporains, vintage, biophiles et scandinaves. Grâce à une sélection minutieuse du mobilier et des finitions, le projet fini offre un nouvel environnement de travail exceptionnel pour les employés d'Adecco.Flexibilité modulairePour une zone de collaboration d'inspiration vintage, la collection de dalles de moquette primée Artistic Liberties est apparue comme le choix idéal pour apporter une touche sophistiquée. Les volutes décoratives de Outspoken Tradition dans les tons mats de Masquerade sont combinés avec le design de Inset et l'uniformité douce de Without Reserve dans les teintes dorées de Charmed. Ces couleurs riches s'accordent parfaitement avec les revêtements muraux art-déco et le mobilier élégant. En résulte un espace de réunion et de relaxation élégant et informel.La flexibilité de la moquette modulaire Milliken a permis à Tétris de faire preuve d’audace dans cet espace, en séparant la zone d’assise du reste de la pièce avec des couleurs et des motifs qui évoquent parfaitement l'aspect vintage que l'équipe de conception souhaitait obtenir. Avec son dossier Comfort Lite, la moquette a également apporté une touche de confort et de luxe supplémentaire sous les pieds des utilisateurs de cet espace.Design biophilique Pour la zone de réception de l’une des marques d’Adecco, la moquette Field Study de la collection modulaire Tracing Landscapes de Milliken a été choisie pour créer une ambiance chaleureuse et accueillante. Inspiré par les couleurs et les textures du monde naturel, ce design s'accorde parfaitement avec l'esthétique biophile des finitions en bois naturel de la réception. Field Study a été installé dans les tons pierre de Etched Valley tout autour du bureau de réception. Les références biophiliques se poursuivent dans les salles de réunion, où l'esthétique douce et sculpturale du revêtement de sol Field Study complète les motifs graphiques des papiers peints à feuilles, les plantes vertes naturelles et les tissus d'ameublement d’un vert subtil. La teinte neutre et l'esthétique douce et sculpturale de la surface de la moquette, associées au support Comfort Lite des dalles, confèrent à ces espaces de réunion une atmosphère de confort et de calme. Fabriquée à partir de fils de nylon teintés dans la masse, la collection Tracing Landscapes offre une couleur uniforme et saturée, ainsi qu'une haute résistance aux taches. Pour les couleurs plus claires, avec une valeur de réflectance de la lumière supérieure à 20, comme Etched Valley, Milliken fournit une protection supplémentaire StainSmart®. Des designs neutres en carbone Les collections Artistic Liberties et Tracing Landscapes sont toutes deux fabriquées en nylon régénéré 100 % Econyl®. Avec leur support Comfort Lite fabriqué à partir de 90 % de matériaux recyclés, ces collections sont certifiées Carbon Neutral (2021), tout comme l’ensemble des gammes Milliken. Pour le projet d'Adecco, elles offrent d'excellentes références en matière de durabilité et de bien-être, avec la certification BRE, la vérification EPD, ainsi que la certification GuT et CRI Green Label Plus pour la qualité de l'air intérieur.
Il y a 3 ans et 94 jours

La CAPEB dévoile les grandes priorités des entreprises artisanales du bâtiment pour le prochain quinquennat

Équité entre toutes les entreprises, petites ou grandesLa CAPEB demande que les règles de calcul de la représentativité patronale soient modifiées pour que les TPE occupent la place qui leur revient dans le dialogue social, par l’application de la règle suivante : une entreprise = une voix.L’équité s’entend aussi en matière de marchés publics par un juste accès des TPE à la commande publique.Stabilité et lisibilité des mesures, notamment en matière fiscale et sociale La CAPEB demande que les règles, en matière fiscale, soient fixées une fois pour toute. Il en est ainsi, notamment, de MaPrimeRenov’, des CEE, de l’ECO PTZ et du PTZ accession qui ne doivent pas constamment évoluer au gré des Lois de FinancesSimplification du quotidien des entreprises en particulier concernant les aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilitéLa CAPEB appelle à davantage de lisibilité et de simplification du quotidien des entreprises artisanales du bâtiment, tant du point de vue des dispositifs administratifs les concernant que pour les dispositifs d’aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilité (MaPrimeRénov’, ECO PTZ, PTZ Accession…), pour la qualification RGE et des dispositifs CEE.Enfin, la CAPEB réaffirme sa mobilisation sur les questions de l’emploi, de la valorisation des déchets, de la TVA à 5,5% pour l’ensemble de la rénovation, de la mise en œuvre des ZFE, de la formation, de l’attractivité des métiers du bâtiment, de la lutte contre la concurrence déloyale, de l’accessibilité et du maintien à domicile des aînés.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Parce qu’elles ont été fortement impactées par le contexte sanitaire et que le secteur du bâtiment est en perpétuelle mutation, il est primordial que les entreprises artisanales du bâtiment puissent se faire entendre sur les principaux enjeux du secteur. C’est l’objectif du livre blanc que nous publions aujourd’hui pour une économie plus durable dans laquelle les entreprises artisanales du bâtiment doivent trouver toute leur place. »
Il y a 3 ans et 94 jours

REP Bâtiment : une filière en attente

Cette avancée réglementaire dans la mise en place effective du dispositif nécessite de la part de la filière des produits ou matériaux de construction du secteur du bâtiment de se mettre en ordre de marche sinon d’accélérer le mouvement.Tant attendu par les professionnels du secteur, le décret d’application n°2021-1941 du 31 décembre 2021, publié au Journal Officiel le 1er janvier 2022, est venu mettre sur pied la nouvelle REP bâtiment. Prévue par la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, la filière de responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les déchets issus du bâtiment a pour objectif d’apporter des solutions concrètes et durables à la problématique de gestion de la production de déchets et des dépôts sauvages, émis par la filière. Chaque année, le secteur du bâtiment génère plus de 42 Mt/an de déchets, soit l’équivalent de la quantité totale de déchets produits annuellement par les ménages en France.Si la nécessité de réduire cette forme de pollution fait consensus auprès des professionnels de la filière, les moyens et les coûts de sa mise en œuvre font toutefois débat.Un dispositif centré sur la collecte et le traitement des déchets L’objectif est clair : collecter et revaloriser les déchets générés lors de la destruction et la rénovation des bâtiments. Tous les efforts sont donc concentrés sur le traitement des déchets, à défaut de pouvoir réduire efficacement leur émission.Le dispositif en tant que tel repose sur deux piliers que sont le développement des filières de réemploi et la lutte contre les dépôts sauvages.Le renforcement du maillage territorial des installations destinées à recueillir les déchets est indispensable. Or, ce dernier n’est pas directement fixé par le décret qui donne seulement compétence aux éco-organismes agréés. Ceux-ci auront donc la charge d’établir un projet de maillage. Ce projet devra respecter les standards fixés par le décret et retranscrits à l’article R. 543-290-5 du code de l’environnement. Par exemple, à l’échelle régionale, la distance moyenne entre le lieu de production des déchets et l’installation de reprise des déchets doit être, en principe, de 10 kilomètres.Ces standards ont été salués par les acteurs du bâtiment, comme la CAPEB (Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), car ils permettraient de limiter les coûts de transport, sous réserve qu’un projet de maillage soit mis en œuvre incessamment. A défaut, les dépôts sauvages continueront de croître et les dispositifs comme l’obligation de reprise des déchets perdront de leur efficacité.Si ce décret ne permettra pas de résoudre à lui seul cette question majeure, son apport est indéniable. Il permet en effet de fixer l’étendue des nouvelles obligations de reprise des déchets. Par ailleurs, en définissant les matériaux et producteurs concernés par la REP, ce décret ajoute une pierre à l’édifice au régime de responsabilité élargie des producteurs.Des retards dommageables dans la mise en œuvre du dispositifPour autant, et bien que le texte ait été salué par l’ensemble de la filière, sa mise en œuvre s’avère plus complexe que prévu. En effet, les concertations engagées avec les parties prenantes de la filière n’ont pas abouti dans les temps impartis par la réglementation applicable. A ce jour, aucun éco-organisme n’a été agréé alors que cet agrément est indispensable à la mise en place de la REP.Alors que la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, prévoyait une mise en œuvre du dispositif au 1er janvier 2022, le gouvernement a annoncé un report pour partie au 1er janvier 2023. La filière du bâtiment se retrouve de fait dans une situation paradoxale où la REP a force obligatoire, nécessitant de se mobiliser afin d’être en conformité avec cette réglementation, alors que les moyens de traitement et de collecte des déchets n’ont toujours pas été précisément définis et déployés concrètement. Cela se traduira pour l’exercice 2022 par un rattrapage dont les modalités devront être ultérieurement précisées d’ici à 2023.Ainsi, bien que ce décret soit une avancée majeure, l’agrément d’un éco-organisme est encore indispensable. Plus la période entre la mise en vigueur de la REP et cet agrément sera longue, plus le rattrapage dans la structuration de la filière sera complexe à organiser.Tribune de Maître Adrien Fourmon, Counsel en Droit public, énergie et environnement au sein du cabinet Jeantet (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 95 jours

Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges

Côté magazine Côté magazine Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges Le bilan de la Cop26 ? Tout dépend de qui l’on interroge. Pour l’activiste Greta Thunberg, la quinzaine écossaise s’est achevée sur un bla-bla-bla édulcoré, « ce qui est une vraie performance », commente-t-elle. Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, estime, lui, que ce sommet assure un meilleur avenir aux générations futures. La vérité est sûrement entre les deux. L’objectif officiel était de s’accorder sur les dernières règles d’application de l’accord de Paris, signé, lui, en 2015. Mission accomplie ! Les négociateurs savent maintenant comment interpréter les articles 6.2, 6.4 et 6.8 de l’accord conclu à l’issue de la Cop21. Il existe désormais un cadre pour l’échange de crédits carbone entre États, pour un marché international du carbone et pour la coopération climatique nord-sud. Les diplomates sont allés plus loin. Signé samedi 13 novembre, le pacte de Glasgow place la stabilisation du réchauffement à 1,5 °C au cœur des politiques climatiques nationales. Les parties à la convention climat (les États signataires) disposent désormais d’un délai d’un an pour mettre leur stratégie en cohérence avec cet objectif. Dit autrement, les gouvernements vont devoir expliquer à l’ONU comment ils comptent s’y prendre pour réduire de moitié en 10 ans les émissions de gaz à effet de serre (GES). Sans ce coup de décarbonation, il est inimaginable d’atteindre la neutralité carbone au milieu du siècle, l’un des buts de l’accord de Paris. De quels leviers disposons-nous ? La Cop en a actionné quelques-uns. États et entreprises ont promis de mettre un terme à la déforestation, de consacrer beaucoup d’argent à la décarbonation, de généraliser le véhicule électrique et de diminuer les consommations d’énergies fossiles. Nos appartements et nos maisons sont à l’origine de 11% des émissions de GES d’origine anthropique : 5 milliards de tonnes par an !  Valéry Laramée de Tannenberg rédacteur en chef , L’Usine à Ges L’Usine à GES est un site d’information français de l’agence Terragram consacré à la politique, à l’économie, au droit et aux technologies du climathttps://usineages.fr/   Autant de politiques à coordonner sur le plan international. Il en existe une autre, locale, créatrice d’emplois et de bien-être : la rénovation des logements. Le gisement est loin d’être ridicule. Nos appartements et nos maisons sont à l’origine de 11 % des émissions de GES d’origine anthropique : 5 milliards de tonnes par an ! À Glasgow, on a peu parlé de bâtiment. Gageons qu’avec la révision drastique des ambitions ordonnée par la Cop26, les gouvernements vont fortement miser sur un secteur sur lequel ils ont prise. Rendez-vous à Charm el-Cheikh, en novembre 2022, pour la Cop27. On y causera, à coup sûr, de transition climatique dans le bâtiment. Rubriques Rubriques Actualités Bâtiment digital Paroles d'experts Dossiers Produits Web TV Le magazine Cet article Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 95 jours

Würth ajoute un espace dédié au clouage sur son e-shop

Celle dernière s’adresse principalement aux applications des métiers du Bois, du Bâtiment et des Installateurs.À ce jour 6 cloueurs composent l’offre de Würth France afin de couvrir l’ensemble des besoins techniques des professionnels. Une équipe de 7 spécialistes terrain est présente pour accompagner au mieux les clients partout en France : démonstration produits, conseils techniques, formation et service d’entretien. Eric Hanss, coordinateur de la gamme Clouage chez Würth France précise : "À chaque application sa solution clouage. En fonction du support rencontré, de l’application visée, un cloueur et les consommables adaptés. Le but est d'utiliser un cloueur le plus souvent sur chaque chantier. La finalité est de gagner en temps, en confort de travail et en rentabilité."L’ensemble des cloueurs Würth est également disponible en location via l'offre MasterFleet.Un succès sur les réseaux sociaux ! L’un des cloueurs Würth (le BST 350 – 0864 22) a même fait le buzz sur TikTok grâce à une vidéo qui a été vues plus de 5.9 millions de fois ! Découvrez là ici.
Il y a 3 ans et 96 jours

Edycem BPE dévoile la nouvelle chape Kalkiss Premium

En témoigne le lancement de la version KALKISS® PREMIUM, sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1).Destinée aux espaces de grande surface, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant, elle est la première chape du marché français :à doubler la surface de fractionnement entre les joints,à bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface,tout en étant connectée SmartCEM®.Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie innovante qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Des avantages qui ne modifient pas la durée des travaux et qui respectent les délais de livraison.L’innovation au service de nouveaux marchés et du confort de l'usagerLa chape KALKISS® PREMIUM permet à l’architecte de concevoir librement et en toute sérénité des pièces spacieuses. Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Elle devient ainsi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Avec sa haute résistance à la compression, KALKISS® PREMIUM convient également aux locaux d’activités tertiaires type P4 où circulent de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d'entretien lourds. La mise en œuvre de la chape constitue pour les chapistes un véritable gain de temps. Fini l’application laborieuse du produit de surface et les allers-retours sur le chantier pour poncer !
Il y a 3 ans et 98 jours

JO-2024 : la justice demande de préserver les jardins d'Aubervilliers

"Il est enjoint au président de l'établissement public territorial Plaine commune d'engager la procédure de modification du plan local d'urbanisme intercommunal en ce qu'il classe en zone urbaine une partie de la frange ouest des jardins des Vertus", le nom de ces jardins centenaires en Seine-Saint-Denis, a décidé la cour dans son arrêt consulté par l'AFP.L'intercommunalité, dirigée par le maire (PS) de Saint-Denis Mathieu Hanotin, a quatre mois pour proposer une nouvelle mouture, a-t-elle précisé.La cour administrative d'appel de Paris estime que "l'urbanisation de la frange ouest des jardins des Vertus", pour la piscine mais aussi une future gare de métro, "portera également atteinte à la préservation d'un noyau de biodiversité primaire et accroîtra les discontinuités écologiques existantes".Dans son arrêt, cette instance compétente en matière de litige autour des projets olympiques a rappelé que le document contesté présentait des "incohérences" avec ses propres obligations, notamment environnementales.Le futur centre aquatique dispose d'un solarium, qui doit se construire sur environ 4.000 m2 de parcelles vivrières."Il n'y a pas de conséquence immédiate sur la question des travaux, le permis de construire reste valable. Ça ne remet pas en cause le projet", a réagi Mathieu Hanotin auprès de l'AFP, assurant que Plaine commune se mettrait en conformité.Sollicitée, la ville d'Aubervilliers a déclaré ne pas vouloir réagir "à ce stade"."On a toujours dit que le projet était illégitime, maintenant c'est illégal. Pour la première fois la justice nous donne raison en leur disant +vous n'avez pas le droit de faire ce que vous avez fait+", a réagi Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine de la requête.Une bataille juridique s'est engagée autour du projet. Les opposants, qui l'estiment à contre-courant de l'urgence écologique, ont également attaqué le permis de construire et ont occupé les lieux pendant quatre mois en 2021.Brièvement suspendus par décision de justice, les travaux ont finalement pu se poursuivre. Ce qui n'a pas empêché le 2 février des militants de s'accrocher à une bétonneuse jusqu'à l'intervention des forces de l'ordre.D'un montant de 33 millions d'euros dont un tiers financé par la Solideo (la société chargée de livrer les ouvrages pour les JO-2024), le centre aquatique doit servir de bassin d'entraînement pour les nageurs lors des JO, avant d'être accessible aux habitants.
Il y a 3 ans et 100 jours

Top départ pour le chantier du premier immeuble d'habitation bois R+6, en Bretagne

Le premier immeuble d'habitation bois de 6 étages Dans le cadre de la dernière tranche opérationnelle de la ZAC Beauregard-Quincé, l'aménageur Territoires a lancé une consultation en 2018 pour la réalisation de logements en accession libre intégrant une démarche de développement de la filière locale de construction bois. L'appel à manifestation d'intérêt (AMI) « Construction Bois pour Tous » initié par Rennes Métropole, avec Fibois Bretagne (la filière bois en Bretagne), a retenu ATARAXIA Promotion pour le plus ambitieux des 11 programmes immobiliers. Premier immeuble d'habitation de cette hauteur en Bretagne, il se compose de 111 logements en accession à la propriété, 72 en collectif (R+6, soit 25m de haut) et 39 maisons individuelles. Tout en construction à ossature bois (poteaux, poutres, planchers, refends, façades) ils sont répartis sur trois îlots fonciers distincts, qui feront l'objet de trois copropriétés.Un engagement précurseur pour la construction bois en BretagneConscient que la construction est un élément qui pèse dans l'activité carbonée, la volonté d'ATARAXIA Promotion est d'être le plus éco responsable possible dans son rôle de promoteur et acteur de la ville. Avec la construction bois, de plus en plus plébiscitée par les citoyens et encouragée par Rennes Métropole, il s'agit de démontrer qu'une nouvelle voie est possible. Le projet impose de penser « bas carbone » et d'apporter des solutions pertinentes pour produire les logements de demain, à coûts maîtrisés. Avec Île Ô Bois, ATARAXIA Promotion souhaite ouvrir la voie au développement de la construction bois en Bretagne en se donnant les moyens d'être au rendez-vous de cette expérimentation. « Ce projet pionnier s'inscrit dans une vision urbaine ambitieuse et responsable de la Ville de Rennes, souligne Philippe Clément, chef de projet chez Territoires. Ce type de construction demande un engagement et un investissement humain, financier très fort. Tout est encore à construire avec la filière bois. L'idée est d'avancer collectivement dans une démarche de pédagogie et de reproductibilité. »L'écosystème, un réseau d'experts performantPour relever ce challenge, ATARAXIA Promotion s'est entourée de partenaires expérimentés dans la construction bois : architectes, constructeur, bureaux d'études spécialisés (bois, acoustique, environnement) et paysagiste, accompagnée par Fibois Bretagne, cette équipe pluridisciplinaire a consacré plus de 3 ans à la conception du projet dans une approche ouverte et transparente. Malgré les aléas et les contraintes dus au contexte sanitaire, l'ensemble des équipes a gardé le cap ! Une opération qui permet à ATARAXIA Promotion d'acquérir une grande connaissance sur ce type de construction, de plus en plus demandé par les collectivités, et d'avoir un temps d'avance pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux.« Nous cherchons à être audacieux et responsables, dans une démarche environnementale que l'on se doit d'adopter, explique Dominique Feuvrier, directeur agence Bretagne ATARAXIA Promotion. Notre société évolue très vite : alimentation, mobilités, qualité de l'habitat sont des enjeux majeurs… Il était important d'être pionnier en s'entourant de partenaires, qui comme nous s'engagent, dans une voie nouvelle avec des savoir-faire et des compétences complémentaires. »Un projet bas carbone qui répond aux enjeux de santé environnementaleÎle Ô Bois a été conçu comme un projet résolument bas carbone. En réponse aux problématiques climatiques, environnementales et de santé, et aux nouvelles normes réglementaires telles que la RE 2020 qui s'impose depuis janvier, ATARAXIA Promotion a mis au coeur de ses priorités les enjeux de transition énergétique et de qualité sanitaire, en faisant la part belle aux matériaux biosourcés. « C'est pour ATARAXIA Promotion une opportunité d'innover sur les modes de vie, sur l'habitat et sur les procédés constructifs pour diminuer l'impact environnemental de la construction » souligne Dominique Feuvrier.Le bois et tous les matériaux biosourcés répondent aux attentes d'un habitat sain : ils régulent naturellement la température et l'humidité intérieures des bâtiments, permettant ainsi de conserver une atmosphère saine, sans développement de moisissures, de bactéries ou de virus.Le bois, matériau-roiPour Île Ô Bois, l'ossature et la structure primaire de l'ensemble des constructions sont intégralement en bois. Matériau isolant, il émet peu de carbone pour sa transformation contrairement au béton et à l'acier. Le bois stocke le carbone absorbé durant la croissance de l'arbre : 1 m3 de bois séquestre 1 tonne équivalent CO2 alors que la fabrication de 1m3 de béton en émet 471 kg ! « Pour Île Ô Bois, on a utilisé le bois lamellé croisé (CLT) qui offre de nombreux avantages comme sa flexibilité, sa légèreté et son aspect naturel très esthétique. Il permet également une rapidité incomparable d'exécution en matière d'assemblage et de construction qui réduit le temps de chantier. Les panneaux sont découpés et préassemblés directement chez le constructeur, Belliard. C'est un chantier sec, plus propre, moins bruyant. » précisent les architectes Christine Tanguy et Patrick Liard, du cabinet Liard et Tanguy à Rennes.
Il y a 3 ans et 101 jours

Perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo : les premiers outils dotés du système électronique de détection d’angle

Leur moteur haute performance sans charbon combiné à la batterie ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), offre un rendement très élevé. Avec un couple maximal de 150 Nm et jusqu’à 2 200 tours par minute, les deux outils garantissent une progression de travail rapide dans de multiples matériaux, notamment le bois, le métal et la maçonnerie.La fonction « Electronic Angle Detection » (EAD), une première sur le marchéGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précisGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précis.Une protection élevée de l’utilisateurPour une utilisation plus sûre, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch se caractérisent également par une protection élevée de l’utilisateur grâce au KickBack Control. Si l’outil se coince ou tourne brusquement sur son axe de perçage, le capteur intégré coupe le moteur en une fraction de seconde. Elle évite les risques de blessures. Si le KickBack Control n’est pas nécessaire pour certaines applications, par exemple lors du perçage avec une scie cloche, les utilisateurs peuvent activer et désactiver la fonction selon leurs travaux de vissage ou de perçage.Des outils robustes et ergonomiquesD’une grande fiabilité et d’une grande robustesse, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO sont dotées d’un mandrin métallique et d’un mécanisme d’engrenage tout en métal, ce qui accroît la longévité des machines. Leur design compact et ergonomique leur confère une bonne prise en main. Une poignée supplémentaire garantit aux artisans de toujours avoir leur outil sous contrôle. Elle peut être verrouillée dans 36 positions pour une flexibilité maximale.Les perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil BITURBO Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Elles sont compatibles avec les anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage.
Il y a 3 ans et 101 jours

RE2020 : les experts Rockwool décryptent la nouvelle réglementation environnementale à travers des vidéos pédagogiques

Le secteur du bâtiment qui représente 46% de la consommation énergétique nationale et 19% des émissions de gaz à effet de serre se doit ainsi de participer à l'effort de lutte contre le réchauffement climatique en réduisant ses consommations d'énergies.Une démarche déjà initiée depuis de nombreuses années par ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, à travers ses process de décarbonation notamment grâce aux évolutions progressives de ses lignes de production vers des fours électriques performants et moins émetteurs de CO2. Cette démarche est complétée par son service de recyclage des déchets de chantiers Rockcycle qui permet de réduire l'utilisation de ressources et donc l'impact environnemental de la laine de roche.De plus, la laine de roche est un isolant naturel et durable dont les performances thermiques permettent de réduire les dépenses énergétiques des bâtiments et donc les émissions de gaz à effet de serre, tout en offrant également des performances acoustiques et de protection contre l'incendie. De la pédagogie pour mieux comprendre les enjeux de la RE2020La réglementation RE 2020 s'applique aux maisons individuelles et logements collectifs depuis le 1er janvier. Elle sera appliquée pour les bureaux et bâtiments d'enseignement primaire et secondaire dès le moins de juillet. Quant aux bâtiments tertiaires (EHPAD, commerces, gymnases, restaurants…), constructions provisoires et extensions, la mise en application est programmée à partir de 2023.Dans ce contexte, afin de familiariser l'ensemble de son écosystème à la RE2020 - artisans, clients et particuliers - ROCKWOOL a imaginé une série de 7 vidéos « l'instant ROCKWOOL – tout sur la RE2020 ». Animées par ses experts Julien Molinier Expert Performance Energie ROCWOOL France et Vincent Marcolla, Chef de produit ROCKWOOL France, qui expliquent à travers des séquences concises et pédagogiques les enjeux de cette nouvelle réglementation, les différences avec la RT 2012 et le fonctionnement des indicateurs de performance énergétique et environnementale qui seront mis en œuvre. Les experts de ROCKWOOL prodiguent également des conseils pour les maisons individuelles en termes de niveaux d'isolation et apportent des premiers retours d'expériences de cas d'études, à travers des cas réalistes.Trois objectifs principaux de résultats pour la RE 2020 auxquels répondent les solutions ROCKWOOLDonner la priorité à la sobriété énergétique : les solutions en laine de roche permettent d'atteindre des hauts niveaux de performance thermique des bâtiments et donc la réduction des gaz à effet de serre générés par les consommations énergétiques de ces derniers.Diminuer l'impact carbone des énergies et de la construction des bâtiments : c'est le cas chez ROCKWOOL qui œuvre pour une meilleure performance énergétique des process et leur décarbonation notamment en faisant évoluer progressivement ses lignes de production vers des fours électriques performant et moins générateurs de CO2.Garantir le confort thermique des bâtiments en cas de forte chaleur : à ce titre ROCKWOOL propose une large palette de solutions participant à l'amélioration du confort d'été dans les bâtiments tout en innovant constamment pour valoriser la robustesse et durabilité des performances des produits dans le temps.Outre ce dispositif diffusé sur le site internet www.rockwool.fr et les réseaux sociaux de ROCKWOOL France youtube -Twitter et Linkedin – un service d'assistance téléphonique est à disposition des professionnels pour tout avis technique ou question de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 102 jours

Somfy accompagne les professionnels dans la mise en place de la RE2020

INITIATIVE. Pour accompagner les acteurs de la construction dans l'application de la nouvelle Réglementation Environnementale 2020, le spécialiste de l'automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment, Somfy, a décidé de créer un démonstrateur en ligne visant à les aider pour bien choisir les protections solaires.
Il y a 3 ans et 102 jours

Election du Bureau de l'OPPBTP : Jean-Marie Kerherno, élu Président et Christian Baix, élu vice-Président

L'Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics est le conseil de la branche du BTP pour la sécurité et l'amélioration des conditions de travail. Sa structure paritaire est composée de 20 membres représentant les organisations professionnelles et syndicales de la branche, assistée d'un représentant de l'État, d'un représentant de la CNAM et de Paul DUPHIL, actuel secrétaire général.Élu pour un mandat d'un an renouvelable une fois, le Bureau veille à l'exécution des décisions du Conseil du comité national et au fonctionnement régulier des services de l'organisme.Jean-Marie KERHERNOJean-Marie KERHERNO est chargé de mission Mutualisation à la Fédération des SCOP du BTP. Il a exercé sa carrière à la STPEE, scop d'électricité de 200 collaborateurs, de 1979 à 2015 dont 18 ans en tant que PDG. Il est membre du Conseil du comité régional Ile-de-France de l'OPPBTP de 1987 à 1999 (Président en 1995 et 1996) et du Conseil du comité national depuis 1999 (Président en 2006 et 2007 et vice-Président en 2020 et 2021).Christian BAIXChristian Baix a exercé dans le BTP en Belgique de 1978 à 2001, puis comme salarié de l'entreprise Imhoff filiale du groupe Vinci-Energies de 2001 à 2016. Il est actuellement salarié de l'entreprise Millot, filiale du groupe Vinci-Energies. Il est par ailleurs membre de la commission financière de contrôle de la Fédération Nationale des Salariés de la Construction, Bois et Ameublement CGT depuis 2011 et membre du conseil du comité national de l'OPPBTP depuis 2013.
Il y a 3 ans et 102 jours

Carrier et Barrisol lancent en Europe une gamme de solutions innovantes de plafonds CVC

A partir d’une solution tout air, chauffer, rafraîchir, ventiler, épurer l’air, sans bruit, ni mouvement d’air discernable, c’est la promesse du nouveau procédé développé par Carrier et Barrisol
Il y a 3 ans et 103 jours

Xella dévoile son nouveau site internet

Historiquement, Xella fabriquait et commercialisait des murs et des cloisons en béton cellulaire via la marque Ytong, et les outils de communication arboraient essentiellement les couleurs de la marque. Au fil des décennies, l’offre produits Xella s’est diversifiée et étoffée pour couvrir l’ensemble des besoins du marché en matière de solutions constructives, saines et durables. De nombreuses marques, dont les solutions sont complémentaires, sont ainsi venues renforcer le portefeuille du groupe :Ytong : Mur gros œuvre et coupe-feu passif en béton cellulaireSiporex : Aménagement intérieur et cloison en béton cellulaireSilka : Mur silico-calcaireHebel : Dalle en béton cellulaire arméMultipor : Isolation minérale thermique et coupe-feu Au travers de ses 5 marques, Xella peut répondre à toutes les demandes que ce soient pour des projets de constructions neuves, en rénovation ou réhabilitation, en maisons individuelles, logements collectifs, bâtiments industriels et tertiaires ou établissements recevant du public. C’est dans l’objectif de valoriser l’offre du groupe dans sa globalité, les champs d’application et de mise en œuvre de chaque solution constructive, et de proposer une expérience utilisateur optimale que Xella lance son nouveau site internet www.xella.fr. Un site riche qui présente tous les avantages de construire durable et sainement Arborant la charte graphique et la couleur bleue du groupe, le nouveau site corporate www.xella.fr est une véritable vitrine du savoir-faire Xella, des services et produits proposés. Destiné aux professionnels de la construction, ce site responsive a été développé pour offrir une expérience utilisateur agréable et fonctionnelle. La navigation est particulièrement fluide et agréable, les pages sont épurées et le contenu aéré, que ce soit sur un ordinateur, un Smartphone ou une tablette. Une homepage défilante permet de visualiser, d’un seul coup d’œil et de manière intuitive, l’ensemble du portefeuille des marques Xella. Plusieurs « entrées » sont proposées pour que chaque visiteur puisse trouver la ou les solutions constructives Xella les mieux adaptées à leur projet, accompagnées de vidéos et des avantages produits :Par projets : regroupe l’offre produits selon que le projet soit une maison individuelle, des logements collectifs, des bâtiments industriels et logistiques, des établissements recevant du public, de la rénovation ou réhabilitation.Par solutions : permet de trouver le produit selon l’application souhaitée - mur porteur, coupe-feu, isolation, traitement de ponts thermiques... ou les bénéfices recherchés : résistance au feu, confort de vie...Par produits : présente les principales caractéristiques de chaque solution constructive.Par marques : met en avant les particularités de chacune des marques. D’autres rubriques sont également rapidement accessibles pour accompagner au mieux les visiteurs : Documentations : rassemble l’ensemble de la documentation technique et commerciale de chaque marque, Services : présente les services Xella mis à disposition des partenaires distributeurs et des professionnels de la construction,Entreprise : met en avant l’histoire, les valeurs, le savoir-faire de l’entreprise Xella France et du groupe.www.carriere.xella.fr : un site internet pour attirer de nouveaux talents Le lancement du site corporate s’accompage du nouveau site www.carriere.xella.fr. Cette plateforme permet de valoriser la politique sociale et environnementale engagée par le groupe, de présenter les différents métiers exercés au sein de l’entreprise, de faire connaître les avantages dont bénéficient les collaborateurs, et de diffuser les offres d’emplois. Enfin, ce site permet de repositionner Xella France au sein de Xella Group, un groupe international, le plus gros producteur mondial de béton cellulaire. Cet outil entend attirer ainsi de nombreux talents pour étoffer les équipes Xella.
Il y a 3 ans et 106 jours

Béton Pratique : Comment identifier une armature de qualité ?

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Les usines doivent utiliser des aciers certificiés NF Afcab. [©Snaam] Essentielles au béton armé, noyées donc invisibles, les armatures n’en restent pas moins une partie structurante et technique du processus de construction. De leur qualité de production et de pose dépend aussi la réussite d’un chantier. 1 – Qu’est-ce qu’une armature ? Une armature est un élément en acier incorporé dans le béton. Elle est obtenue à partir d’aciers pour béton armé (barres, couronnes, treillis soudés) utilisés en l’état ou après diverses opérations, telles que le dressage, le façonnage ou le soudage. Intimement intégrées dans le béton qui résiste bien à la compression, mais mal à la traction et au cisaillement, les armatures reprennent ces derniers efforts, conférant au matériau ses caractéristiques si particulières. Avant de devenir armatures, les aciers peuvent subir à la fois un dressage, lorsqu’ils proviennent de couronnes, des coupes à longueur, du façonnage, afin de leur donner la forme prévue au plan. Ces opérations peuvent être complétées par un assemblage ou un formage, et par l’ajout de dispositifs spéciaux, tels que ceux de raboutage ou d’ancrage (coupleurs). Le marché de la construction définit trois grandes familles d’armatures : les armatures sur catalogue, qui sont fabriquées par les armaturiers pour assurer une fonction déterminée (chaînage, poteau, semelle, linteau…). Elles doivent être validées par un bureau de contrôles techniques. Elles sont présentées dans un catalogue, vendues sur stock et destinées surtout à la maison individuelle ;les armatures sur plans ou “traditionnelles”, qui peuvent être : – “coupées-façonnées” à partir d’éléments fabriqués suivant les plans du client et posées sur chantier (surtout en travaux publics) ; – “coupées-façonnées-assemblées”. Dans ce cas, l’armaturier livre sur chantier des produits tridimensionnels prêts à poser. Ce qui permet, en particulier dans le bâtiment, de gagner en productivité et en qualité de réalisation. les armatures spéciales comprenant des dispositifs spéciaux (en général, des coupleurs) ou encore constituées d’aciers particuliers (galvanisés ou inoxydables). 2 – Comment reconnaître une armature de qualité ? Quels sont les critères déterminants ? Les armatures peuvent être “coupées-façonnées” ou “coupées-façonnées-assemblées”. [©Snaam] Dans les faits, une armature de qualité répond aux exigences implicites et explicites d’un client. Pour rappel, la production d’une armature passe d’abord par les calculs du bureau d’études béton qui fournit un plan établi par logiciel. Le calcul de sections d’acier se faisant en respectant les Eurocodes. Dès réception des plans par l’armaturier, les “décortiqueurs” se chargent de les traduire en éléments fabricables, transportables et permettant une mise en œuvre simple et rapide. Lors de cette étape, il est fondamental pour le bureau d’études béton et le client final de pouvoir s’appuyer sur l’expérience et la technicité de l’armaturier. Ceci, afin de définir ensemble une armature optimisée, conforme et répondant parfaitement aux besoins du chantier. Dans ce cadre, les décortiqueurs peuvent proposer de décomposer les armatures en sous-éléments pour simplifier leur mise en place ou d’ajouter des accessoires de type “boîtes d’attente”, “coupleurs” et “goujons”, afin de faciliter leur utilisation. Dans tous les cas, la décision finale revient au bureau d’études béton. Une armature de qualité doit avant tout être fabriquée avec un acier de qualité. Pour cela, les armaturiers doivent choisir un acier certifié NF Afcab2. Mais de façon volontaire, ils peuvent pousser l’exigence plus loin, en choisissant de manière systématique un acier B 500 B (obligatoire pour les zones soumises à réglementation sismique) et de préférence laminé à chaud, qui offre plus de ductilité qu’un acier laminé à froid. De son côté, la RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. Pour assurer une empreinte carbone la plus basse possible, les armatures doivent être fabriquées à partir d’un acier français et local issu de la filière électrique. De plus, pour participer à la baisse de l’impact carbone, il est préférable de se fournir auprès d’une usine de production d’armatures à proximité du chantier. Ceci, pour optimiser le transport et bénéficier d’une plus grande réactivité de l’armaturier. Dans le même ordre d’idées, la pratique qui consiste à remplacer le diamètre 6 mm par un diamètre 8 mm est à proscrire, puisqu’elle augmente le tonnage d’armatures (jusqu’à + 10 %) et les coûts en proportion. En plus, elle pénalise, de fait, le bilan carbone. 3 – Existe-t-il d’autres agréments ou certifications ? Qu’apportent-ils en plus par rapport à la normalisation ? La RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. [©Snaam] En France, nous disposons de la certification NF Afcab, qui s’appuie sur un référentiel précis et deux audits par an et par usines. Cette certification permet aux clients de s’assurer du scrupuleux respect de la norme NF A 35-027. Il s’agit d’une certification volontaire, mais qui est exigée dans la plupart des chantiers de génie civil (Fascicule 65). Toutefois, elle reste encore trop peu exigée dans les cahiers des charges des chantiers de bâtiment. Depuis près de 30 ans, une norme européenne pour les aciers pour béton armé est en discussion… En 2005, la norme NF EN 10080 a été publiée, mais n’étant plus harmonisée, elle ne permet pas encore le passage au marquage CE, demandé par le Règlement des produits de la construction. Pour l’heure, les travaux de la Commission européenne de normalisation continuent… 4 – Quelles sont les normes qui régissent les armatures ? Sont-elles d’application obligatoire ? Les armatures sont surtout chapeautées par la norme NF A 35-027 – Armatures, qui regroupe les armatures sur catalogue, les armatures sur plans (dressage, coupe, façonnage, assemblage par soudage) et les armatures spéciales (armatures mettant en œuvre des dispositifs de raboutage ou d’ancrage, des boîtes d’attente, des aciers inoxydables). Les aciers pour la fabrication des armatures sont, eux, définis par différentes normes :   La plus importante est la NF A 35-080–1 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 1 – Barres et couronnes), qui couvre la très grande majorité des aciers utilisés type B 500 A et B 500 B ;Cette norme est complétée par la NF A 35-080-2 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 2 – Treillis soudés). Il faut optimiser les distances de transport entre le chantier et l’usine pour réduire l’empreinte carbone. [©Snaam] Ces deux normes décrivent notamment les classes techniques des aciers utilisables pour fabriquer des armatures : – B 500 A : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt (allongement sous charge maximale) de 2,5 % mini ; – B 500 B : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt de 5 % mini. Pour d’autres types de produits ou applications particulières, on peut citer les normes : NF A 35-014 – Aciers pour béton armé – Aciers inoxydables soudables – Barres et couronnes ;NF A 35-025 – Aciers pour béton armé – Barres et couronnes pour béton armé galvanisées à chaud ;NF A 35 020 – Dispositifs de raboutage et dispositifs d’ancrage d’aciers pour béton armé à verrous ou à empreintes; Sujet réalisé en collaboration avec le groupe Snaam : Jean-Michel Sohm, conseiller technique de la direction générale, et Marc Abadias, vice-président de l’APA1 et directeur de site. 1Association professionnelle des armaturiers. 2Association française de certification des armatures du béton. A propos de la Snaam Fort de 90 ans d'expérience, le groupe Snaam est le leader français des solutions pour le béton armé. Basé à Lyon, il compte 30 sites de production répartis dans toute la France. Et animés par plus de 1 000 collaborateurs partageant les mêmes valeurs : technicité, proximité, convivialité. Le groupe Snaam s’est donné pour mission d’optimiser la performance de tous les chantiers, du génie civil à la maison individuelle. Ceci, grâce à ses solutions innovantes et son expertise dans la production d’armatures sur mesure ou sur catalogue. Et enfin, grâce à la mise à disposition d’une gamme complète de produits techniques pour les chantiers (boîtes d’attente, de réservation, coupleurs, distanciers, goujons…). Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 106 jours

Saint-Gobain Nova : Répondre aux besoins du groupe

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Créé il y a une quinzaine d’années, Saint-Gobain Nova a réellement accéléré son activité en 2019. L’entité compte 13 collaborateurs, menés par Minas Apelian et dédiés à la structuration de partenariats avec les start-up. En effet, Saint-Gobain Nova sert de passerelle entre des jeunes pousses innovantes et les différentes filiales du groupe. Près de 150 partenariats ont déjà été noués. Présente en Asie, en Europe et aux Etats-Unis, l’entreprise propose une couverture géographique décentralisée à l’image du groupe. « Nous évaluons les différents besoins selon les spécificités des régions, explique Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe. Nous cadrons aussi nos axes de recherches en fonction des tendances du marché et répondons à une demande ou bien nous proposons des innovations. » Saint-Gobain Nova s’intéresse aux start-up déjà structurées qui testent leur solution ou qui débutent la phase d’industrialisation. De grandes tendances et des besoins spécifiques Logo Saint-Gobain Nova. [©Saint-Gobain] « La fenêtre de tir n’est pas très large. Si nous pouvons investir entre 50 000 € et 2 ou 3 M€, l’aspect financier n’est pas une fin en soi. Nous sommes surtout un “outil” stratégique et agile pour générer plus de partenariats avec des start-up. » De plus, à travers cette entreprise, Saint-Gobain cherche à valoriser l’entrepreneuriat au sein même de ses collaborateurs avec le programme InPulse. Ce dernier aide les employés à développer un business qui s’ancre dans les intérêts du groupe. Saint-Gobain Nova passe aussi par des fonds d’investissement spécialisés dans le domaine. En termes de tendances, Saint-Gobain Nova suit de nombreuses grandes thématiques. Parmi lesquelles, l’économie circulaire, la performance des bâtiments, la durabilité, le confort. Mais aussi, la productivité dans la construction, la robotique sur chantier ou encore la préfabrication et la digitalisation des métiers. Plus qu’un investissement financier « Il y a des spécificités par pays. En Europe par exemple, la France dispose d’un maillage très fort avec son activité distribution. Nous allons plus avoir de remontées de problématiques dans ce sens-là. En Allemagne, les tendances métiers ne sont pas les mêmes et dans les Pays nordiques ou au Royaume-Uni, nous remarquons un plus grand développement de start-up autour de la fabrication hors site. » Parmi les derniers investissements (plus de 10 start-up ont été repérées en 2021), Saint-Gobain Nova s’est intéressée au Britannique AMT. « Cette start-up a développé une solution pour rectifier et automatiser les finitions des objets imprimés en 3D. » L’entreprise compte aussi des acteurs comme EcoDrop, développeur français d’une application de collecte de déchets de construction, ou encore Unity Home, spécialisée dans la construction hors site flexible avec conception numérique. Sivagami Casimir Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 106 jours

La Manufacture du Béton : Le raffinement à l’état brut

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 98 Table « Trèfle ». Contraste entre la rigidité du béton et la douceur de la courbe. Béton blanc fibré ultra performant. Design Malherbe Paris. [©La Manufacture du béton] « A partir d’une matière brute, le béton, notre travail consiste à créer des éléments de design, aux formes inattendues et raffinées », annonce d’emblée Arnaud Deverre, co-fondateur de La Manufacture du Béton. Avec son associé, Antoine Courtiol, le Monsieur Béton de l’entreprise, ils ont fixé la barre haute. Ils se sont spécialisés dans les meubles “compliqués”, haut de gamme, coulés en une seule pièce, aux formes épurées et élégantes. Leur béton n’est autre qu’un Bfup de formulation maison, mis au point dans leur atelier de Brive-la-Gaillarde, en Corrèze. « La compacité de ce béton confère à nos produits une qualité de parement exceptionnelle, permettant toutes les extravagances de textures : béton mat, brillant, “fondu”, aspect bois, cuir, ardoise, peau de serpent ou carapace de tortue, bullé, lisse soyeux, avec inclusions… C’est aussi un atout supplémentaire pour la pérennité des créations en extérieur. » Le Bfup sans limites De plus, les caractéristiques mécaniques du Bfup sont 3 à 5 fois supérieures à celles d’un béton traditionnel. Elles permettent de concevoir des structures minces (jusqu’à 10 mm) et de fabriquer meubles, objets de décoration et éléments structurels “poids plume”. Table basse « O² », simple et brute. Design Antoine Courtiol. [©La Manufacture du béton] Sophistiqué, brut et industriel, le béton, tout comme les éléments de décoration, sont uniques. « Ce que nous inspire le béton ? Un défi technique intéressant, la création de porte-à-faux par exemple, qui tiennent bizarrement. Pour cela, nous inventons un mouvement et une dynamique. Nous générons une identité graphique. Le contraste entre le matériau et le résultat doit surprendre et éveiller la curiosité. Surtout, séduire celui qui regarde », explique Arnaud Deverre. Et de poursuivre : « Le béton n’a de limites que celles de l’imagination. Il joue la carte de l’innovation et du design. Matériau vivant, il permet de réaliser une large palette de surfaces ». Ainsi, le piètement et le plateau à trois pétales de la table basse “Clover” sont coulés ensemble.Les inserts en laiton viennent sublimer les pétales, et apportent délicatesse et raffinement à cet imposant meuble. Le dessin de la table “Nervure” reprend, elle, de façon stylisée, celui des nervures d’une feuille ou celles constituant les ailes d’un avion. Ainsi naît le contraste entre le dessin aérien et le matériau brut. Fabrication de ses propres moules De son côté, la table “Trèfle” met en exergue la rigidité du béton et la douceur de la courbe. Elle est moulée en un seul bloc, au drapé parfait. Aux formes florales et lisses. Elle peut être réalisée en plusieurs couleurs différentes et en plusieurs finitions. Ou bien encore, la table “Fragment Béton” s’inspire des tableaux de Mostapha El Oulhani. Le plateau est constitué de strates de bétons de teintes variées, créant un zoom dans un fragment de zellige. Une mosaïque dont les éléments, appelés “tesselles”, sont des morceaux de carreaux de faïence colorés, qui sont découpés un à un et assemblés sur un lit de mortier pour former un assemblage géométrique. Là, ce sont des morceaux de béton… Arnaud Deverre, fondateur et co-associé à La Manufacture du béton. [©La Manufacture du béton] Table « Nervure ». Le dessin reprend, de façon stylisée, celui des nervures d’une feuille ou des nervures constituant les ailes d’avion. Les techniques de moulage employées et le type de bétons utilisé permettent la réalisation de cette structure en nid d’abeille qui confère à la table sa solidité, malgré la finesse des parois en béton. Design Marco Marino. [©La Manufacture du béton] Simple, épurée, une merveille. [©La Manufacture du béton] Bois et béton pour une parfaite harmonie. [©La Manufacture du béton] « Nous réalisons nous-mêmes les pièces moulées. Dans un premier temps, un soin particulier est apporté à la conception et à la fabrication des moules, qui sont fabriqués dans notre atelier de menuiserie. Cette étape est primordiale : dimensions précises, montages soignés, qualités de surfaces du moule et choix des matériaux utilisés. Autant de détails qui participent à la qualité du meuble à venir. » Après démoulage, chaque pièce de béton est finie à la main : ponçage et lustrage des arrêtes. « C’est cette dernière opération qui permet l’harmonie des lignes et la douceur du toucher. Enfin, nous réalisons la patine sur le béton, qui a pour fonction de le protéger contre les tâches. Nous en proposons trois, faites à la main. C’est la dernière touche qui fait du meuble une pièce unique », conclut Arnaud Deverre. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 98
Il y a 3 ans et 107 jours

Valobat se renforce dans le secteur des déchets inertes

L’éco-organisme Valobat accueille son nouveau partenaire : Cigo. [©Valobat] L’éco-organisme Valobat poursuit son renforcement et accueille un nouveau partenaire, le syndicat des Carrières indépendantes du Grand Ouest (Cigo). Ce dernier représente près d’une cinquantaine d’adhérents, soit un tiers de la production de granulats du Grand Ouest. Ainsi, il intègrera le capital de Valobat, le 23 février prochain et rejoindra le Comité de secteur “inertes”. En effet, les matériaux inertes, soumis à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep), représentent aujourd’hui le plus important flux de déchets : environ 33,5 Mt/an. Pour l’éco-organisme, ce rapprochement permettra de mieux soutenir cette filière mature. Mais aussi, d’apporter des solutions innovantes pour monter en compétence, en termes de valorisation. Lire aussi : Valobat : Pour faire progresser le recyclage des déchets du bâtiment Et pour développer de nouvelles opportunités de réemploi. « Nous avons fait le choix d’intégrer Valobat pour sa volonté et sa force à réunir et à traiter toutes les catégories de matériaux, dont les inertes », déclare Dominique Barbier, déléguée générale de Cigo. Un secteur d’activité élargi Créé il y a 20 ans, Cigo se développe dans plusieurs autres régions. « Notre syndicat a un rôle essentiel à jouer pour faciliter la mise en application de la Rep aux professionnels de notre filière déjà tournés vers le traitement et le recyclage des granulats », conclut Dominique Barbier. Le syndicat accompagne ainsi les entreprises de l’industrie extractive pour gérer au mieux l’exploitation des ressources naturelles et leur recyclage.
Il y a 3 ans et 107 jours

Transition énergétique : des besoins en métaux qui inquiètent

Les ministres européens de l'Industrie ont réfléchi mardi à Lens (Pas-de-Calais) aux modes d'approvisionnement futurs de l'Europe en métaux "critiques" de la transition énergétique, afin de réduire leur énorme dépendance et leur retard vis-à-vis de la Chine, qui investit sur ces secteurs depuis une vingtaine d'années.Voici, secteur par secteur, leur utilisation, et les tentatives de substitution en cours pour essayer de diminuer leur consommation, telles qu'expliquées dans le rapport "sécuriser l'approvisionnement de l'industrie en matières premières minérales" présenté aux ministres, et dont l'AFP a obtenu copie partielle.1 - Éoliennes:Les éoliennes utilisent de l'aluminium, du cuivre, du plomb, du manganèse, du nickel. Elles ont aussi besoin de métaux plus rares, classés comme "critiques" par l'Union européenne comme le niobium, ou des terres rares pour fabriquer les aimants permanents de la turbine, comme le dysprosium (Dy), le neodynium et le praséodyme ajoutés à des alliages de fer, et du bore."Des recherches actives sont actuellement en cours pour concevoir des aimants sans terres rares pour les éoliennes à terre, mais pas sur les parcs offshore où le remplacement reste complexe", souligne le rapport de l'industriel Philippe Varin, présenté aux ministres européens.L'Europe est autonome à 58% pour la conception, la fabrication et l'assemblage d'éoliennes (grâce au Danois Vestals et à l'allemand Siemens essentiellement), "sans compter les usines installées par des acteurs non européens comme General Electric en France".Plus on remonte la chaîne de valeur, plus la dépendance européenne augmente vis-à-vis de l'Asie. La Chine à elle seule couvre 54% des besoins européens en matières premières pour les éoliennes, contre 1% pour l'UE.2 - Panneaux photovoltaïques:Le principe de base des panneaux solaires repose toujours sur du silicium, auquel on ajoute des alliages de terres rares pour doper les performances, comme le germanium, le gallium, l'indium, le molybdenum, le sélénium, le tellurium.L'Europe est quasiment absente des différentes étapes de la chaîne de valeur, dépendant à 70% de la Chine pour l'assemblage, à 90% pour les cellules photovoltaïques, et à 53% pour les matières premières autres que le silicium. "L'arrivée de nouvelles technologies innovantes pourrait contribuer à faire émerger" des acteurs européens, souligne le rapport.3 - Moteurs électriques:Pour sortir du pétrole, les moteurs électriques, comme ceux des éoliennes, ont besoin d'aimants permanents pour convertir l'électricité en force motrice, et donc des alliages de terres rares (dysprosium, neodynium, praséodyme) ajoutés à des alliages de fer et à du bore.L'Europe ne fournit que 1% des métaux bruts dont elle a besoin pour cela, alors que la Chine en procure 65% et 55% des métaux raffinés.4 - Batteries électriques:Les batteries Li-ion pour l'automobile utilisées en Europe sont produites à 66% en Chine (13% aux Etats-Unis, 13% dans les autres pays d'Asie et 8% dans le reste du monde). Elles reposent sur des anodes à base de graphite, des cathodes à base d'alliage de nickel, cobalt et manganèse ou aluminium, ainsi que du lithium.Pour améliorer les performances (les échanges d'électrons), on ajoute d'autres métaux en très petite quantité comme le titane, le silicium ou le niobium.L'énergie qu'une batterie est capable de stocker est directement conditionnée par la quantité de lithium que le matériau contenu dans l'électrode positive (cathode) est capable de contenir et d'échanger.Les batteries devraient garder leur composition actuelle en nickel, cobalt, manganèse et lithium au moins jusqu'en 2030-35 étant donné les investissements énormes pour construire des usines. Ensuite, les prochaines générations devraient voir réduire leur teneur en cobalt au profit du nickel.L'Union européenne qui commence tout juste à lancer ses premières giga-usines de batteries produit seulement 1% des métaux bruts dont elle a besoin, 8% des matériaux raffinés et 9% de ses électrodes.
Il y a 3 ans et 107 jours

L’Inrap a vingt ans

L’Institut national de recherches archéologiques préventives célèbre ses vingt ans d’existence, de recherches et de découvertes archéologiques. De 2002 à 2021, ses archéologues ont réalisé près de 50 000 opérations archéologiques, dont 5 000 fouilles en France métropolitaine et ultramarine. Liée à l’aménagement du territoire, cette intense activité de sauvegarde des archives du sol a entraîné un profond renouvellement de la connaissance du passé, du Paléolithique au XXe siècle. Établissement singulier dans le paysage international, l’Inrap est la plus importante structure de recherche archéologique en Europe. Il compte aujourd’hui 2 300 collaborateurs et est doté d’un budget de 175 M€. Ce vingtième anniversaire s’accompagne d’un dense programme scientifique et culturel. Créé le 1er février 2002 en application de la loi sur l’archéologie préventive de janvier 2001, l’Inrap est un établissement public placé sous la tutelle des ministères en charge de la Culture et de la Recherche. Sa mission est triple : il est opérateur de diagnostics et de fouilles ; il assure l’exploitation scientifique de leurs résultats ; il concourt à l’enseignement, à la diffusion culturelle et à la valorisation de l’archéologie. Dans un contexte concurrentiel parfois complexe, l’Inrap a conduit avec succès ses opérations de terrain, développé une ambitieuse politique de recherche et mené une active politique culturelle. En 2020, il surmonte la crise sanitaire et affiche en 2021 un résultat financier positif pour la quatrième année consécutive. Le rapport d’évaluation que rend le Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (Hcéres) en 2019 consacre la place et l’importance de l’Institut au sein de la communauté scientifique. Ce 20e anniversaire s’accompagne d’une importante programmation culturelle : publications, colloques, expositions… témoigneront des apports de l’archéologie partout sur le territoire. https://www.inrap.fr Photo : Décapage sur le site paléolithique d’Havrincourt (Pas-de-Calais), 2010. © Denis Gliksman, Inrap  
Il y a 3 ans et 108 jours

UTHERM Sarking Anti-Slide, pour une sécurité optimale de pose en climat de montagne

Pour offrir une solution adaptée aux contraintes de ces zones géographiques et garantir la sécurité optimale des charpentiers et couvreurs lors de l’isolation de ces toitures particulièrement pentues, Unilin Insulation propose une nouvelle gamme de plaques dotées d’un revêtement anti-dérapant et anti-réfléchissant, Utherm Sarking Anti-Slide, composée d’Utherm Sarking K Anti-Slide et Utherm Sarking K Comfort Anti-Slide.Utherm Sarking Anti-Slide, isolation et sécurité de pose en climat de montagnePerformante, la nouvelle gamme de plaques isolantes Utherm Sarking Anti-Slide d’Unilin Insulation permet de réaliser l’isolation par l’extérieur des toitures. Elle est particulièrement adaptée au climat de montagne (>900 m) et se décline dans deux modèles :Utherm Sarking K Anti-Slide, solution thermique ;Utherm Sarking K Comfort Anti-Slide, solution bi-matière thermo-acoustique apportant à l’usager le confort le plus complet dans l’habitat : thermique, d’été et acoustique.Les plaques sont revêtues d’un revêtement laminé anti-dérapant conçu pour une très grande adhérence des chaussures de sécurité en cas d’intempéries lors de leur installation. De couleur marron, il est également anti-réfléchissant, ce qui offre un confort de pose supplémentaire aux charpentiers et couvreurs puisqu’il limite l’éblouissement, notamment en été.Le petit format des panneaux (1200 x 1000 mm), en plus d’être léger et facile à manipuler, minimise la prise au vent. Il convient particulièrement aux toitures très pentues ou à formes complexes, ainsi qu’aux procédés d’étanchéité complémentaire requis par le climat de montagne.« C’est la solution idéale pour la pose en montagne ! Pas de glissade et un format plus petit pour faciliter les manipulations et les découpes plus précises. Cela améliore le confort de travail », témoigne M. Alexandre Borot, entreprise Borot Frères.Par ailleurs, les plaques sont très résistantes à la compression, comme par exemple celle due aux charges de neige.La pose des panneaux Utherm Sarking K Anti-Slide s’effectue en montagne sur platelage avec pare-vapeur et étanchéité complémentaire obligatoire. Pour un assemblage simplifié, les plaques quadrillées rainées bouvetées s’emboîtent les unes dans les autres. Elles sont posées en quinconce, parallèlement à la ligne d’égout, en 1 ou 2 lits.Cette gamme de produit est certifiée et répond aux exigences réglementaires afin de bénéficier des aides en vigueur, notamment celles liées à la rénovation énergétique.
Il y a 3 ans et 109 jours

Sarking anti-dérapant

Il y a 3 ans et 109 jours

Delta Light lance sa nouvelle gamme d'outils d'éclairage Entero

Et si un seul luminaire pouvait s'adapter à toutes les situations ? S'il existait un éclairage unique pour tout type de projet : intérieur ou extérieur, dans un plafond haut ou bas, pour un éclairage rasant, général ou ciblé, pour un éclairage fonctionnel ou pour créer une lumière d'ambiance ?C'est l'objectif que s'est lancé l'équipe R&D de Delta Light.Bienvenue à ENTERODe cette idée naît Entero, un ensemble d'outils conçus pour permettre aux architectes et aux concepteurs de créer des projets d'éclairage intégrés et diversifiés. En n'utilisant qu'une seule gamme de luminaires, il est maintenant possible d'équiper l'ensemble d'un projet et d'obtenir ainsi une continuité de style dans tous les espaces.La base est constituée de trois unités d'éclairage dont chacune est composée d'une LED de haute qualité et d'un bloc optique hybride. Les LEDs diffusent une couleur uniforme, et l'optique hybride assure une lumière confortable dont les faisceaux parfaitement tracés facilitent son intégration dans le projet.Unique mais multipleMalgré sa conception uniforme, la clé de la gamme ENTERO, c'est sa variété. Ce modèle offre une série d'options en format rond ou carré, une puissance réglable, tout comme le choix d'angle de faisceau. ENTERO se présente sous forme de luminaires modulables, avec ou sans bordure, adaptés aussi à l'intérieur, qu'à l'extérieur ou dans les endroits humides. Pour plus de flexibilité et de diversité dans les projets, des options telles que Soft Dim, Tunable White, et wall Wash complètent la famille ENTERO.Un effet lèche-mur parfaitement travailléEn plus de ses quatre angles de faisceau symétriques, ENTERO offre également des optiques avec effet lèche-mur pour un éclairage uniforme des surfaces verticales. Les designers exploitent l'optique brevetée Bartenbach pour obtenir une surface éclairée parfaitement uniforme à partir d'un luminaire encastré dans le plafond. En accord avec la philosophie d'ENTERO, la version Wall wash est également disponible en différentes formes, tailles et options d'installation, parfaite pour tout projet d'éclairage.Un résultat équilibréPour Peter Ameloot, directeur général de Delta Light : "Lorsque nous avons vu pour la première fois la fiche de projet d'ENTERO, il était clair qu'il s'agirait d'un travail d'équilibre. Une liste d'indispensables et d'options supplémentaires, associés à des mots-clés tels que prix abordable, design uniforme, technique et attractif. Un défi, mais un défi passionnant. Lorsque nous voyons le résultat, nous pouvons clairement affirmer qu'ENTERO a trouvé son équilibre, à la fois comme produit et comme famille. Le produit individuel combine un arrière-plan techniquement parfait avec un design épuré à l'avant, tandis que les produits en tant que famille présentent un design uniforme dans différentes tailles, différents types d'application, et différents aspects techniques de la lumière. Un résultat équilibré."
Il y a 3 ans et 110 jours

Le marché de l’immobilier logistique s’envole en 2021

Avec une hausse significative de 34% par rapport à l’année 2020 et de 12% par rapport à l’année 2019, le secteur connaît une évolution très favorable. Point à date sur ce marché en pleine expansion malgré la crise sanitaire et qui, selon les régions, affiche des résultats bien au-delà des prévisions initiales. Quelques faits marquants : Plus de 3.700.000 m² transactés (bâtiments ICPE de plus de 10.000m²), soit une augmentation de la demande placée de 34 % par rapport à 2020 et 12 % par rapport à 2019La région des Hauts-de-France représente à elle-seule 28 % du marché globalLes opérations de plus de 50.000 m² sont de retour et représentent 28 % du marchéLes opérations de construction (clé en main) représentent environ 45 % du marché global Les prestataires logistiques sont les acteurs majeurs du marché (50% des transactions)La raréfaction des terrains dédiés à la logistique s’accélère : on observe une pénurie de terrains de plus de 5 hectares libres sur les principaux pôles logistiques de l’hexagone. Les prix ont donc été multipliés par 3 sur certains secteursLes coûts de construction et les loyers progressentLes taux de capitalisation prime sont de l’ordre de 3,5%.Chiffres clefs et tendances Sur l’année 2021, EOL comptabilise 3,7 millions m² de surfaces placées (dont 1.271.000 m² sur le dernier trimestre) pour 143 transactions. Des chiffres en forte hausse par rapport à 2020 (2.785.000 m² et 107 transactions), mais également par rapport à l’année 2019 (3.377.000 m² et 112 transactions).Les 4 marchés de la dorsale (Lille, Paris, Lyon et Marseille) représentent 70 % de la demande placée, ce résultat est principalement lié à la performance exceptionnelle des Hauts-de-France et à la bonne performance de l’Ile-de-France. Le manque d’offre disponible et l’absence de développement limitent les performances de Lyon et Marseille. Malgré le peu de fonciers disponibles et l’absence de projets de développement à court terme, l’Ile-de-France affiche une performance satisfaisante avec plus de 800.000 m² placés (+ 45 % par rapport à 2019), essentiellement sur des immeubles existants (61 % des transactions). Le marché en régionsLa région des Hauts-de-France : La région des Hauts-de-France bat encore un record inédit avec 1.070.000 m2 de surfaces placées (soit 1/3 du marché français).Pour Laurent Sabatucci, directeur associé, fondateur EOL : « Près de 3500 emplois au cours de l’année 2021 ont été créés et la logistique a généré un investissement privé de plus 500 millions d’euros. La région Hauts-de-France a mené une stratégie « logistique friendly » et a séduit de grands acteurs, rappelons-nous des opérations de Seb et La Redoute qui ont marquées l’année 2021. »Le marché en Rhône-Alpes (Lyon) : 400.000 m² transactés en 2021. 3ème région de France en termes de demande placée loin derrière les Hauts-de-France et l’Ile-de-France, Lyon souffre du manque de développement et d’un stock d’offres disponibles très faible. Très forte tension sur l’offre avec un taux de vacance historiquement bas (3%). Les quelques opérations lancées en blanc et les terrains disponibles pour des clés en main ont été commercialisés. Peu de développements à venir et peu de solutions de report sur des marchés périphériques.Le marché dans les Bouches-du-Rhône (Marseille) : 288.000 m² placés. 5ème région de France en termes de demande placée. Une baisse continue du taux de vacance (4%). Des loyers en hausse. A la différence du marché lyonnais, le marché marseillais propose quelques solutions de développement notamment à proximité du port de Fos.Le marché en Centre-Val-de-Loire (Orléans) :Avec plus de 300.000 m² conclus en 2021, cette région confirme sa position de pôle majeur et occupe la 4ième place des régions en termes de demande placée derrière les Hauts-de-France, Paris et Lyon.Le nombre d’opérations lancées en blanc et en cours de développement garantissent une certaine fluidité du marché.Le taux de vacance est stable.Les loyers sont en hausse modérée. Le marché en Nouvelle-Aquitaine (Bordeaux) : 70.000 m² transactésPeu de transactions et très peu d’offres disponibles dans un marché sous tension.Les opérations lancées en blanc ont été commercialisées. Le marché en Occitanie (Toulouse) : Un marché qui reste atone (85.000 m²) compte tenu du manque d’offres disponibles.Un taux de vacance toujours faible.EOL acteur de référence du secteur en France et à l’internationalEn France, au global, EOL a conclu 570.000 m² de projets logistiques sur des bâtiments existants ou des développements, notamment une opération emblématique de plus de 110.000 m² pour le compte de La Redoute à Cambrai (59).En Europe, après avoir accompagné Carrefour pour un projet industriel et logistique à proximité de Bruxelles, EOL vient de signer un terrain de plus de 20 Ha en Pologne pour y développer un projet de plus de 80.000 m2pour l’un de ses clients français.EOL poursuit l’accélération de la décarbonation des entrepôts EOL a initiée dès 2016 une stratégie de décarbonation des entrepôts ce qui lui permet aujourd’hui d’accompagner les acteurs majeurs du marché dans une démarche unique et innovante. L’application du décret tertiaire oblige les exploitants des entrepôts à diminuer de 40% les consommations d'énergie, EOL apporte une approche globale et un savoir-faire technique dans le choix des sites logistiques.
Il y a 3 ans et 110 jours

Isover a réalisé l’isolation thermique et acoustique du “Wonder of the Seas”, le plus grand paquebot du monde

Un chantier hors norme pour un paquebot hors normeConnu à Chantiers de l’Atlantique en tant que “C34”, son numéro de coque, ce mastodonte de 362 mètres de long pour 64 mètres de large affiche selon son armateur, la compagnie américaine Royal Caribbean International (RCI), des chiffres impressionnants et démesurés :D’un coût de plus d’un milliard d’euros, le Wonder of the Seas, dont l’assemblage a débuté en octobre 2019, a été mis à l’eau pour les essais en mer en septembre 2020. Les premières croisières à bord sont prévues au printemps 2022.Un panel de solutions ISOVER pour répondre à l’ensemble des postes d’isolation du navireParticulièrement drastiques, les normes de sécurité incendie à bord sont un enjeu essentiel dans la construction navale. La gamme de produits U SeaProtect®, fabriqué à base de la laine de roche légère ULTIMATE®, a fourni la réponse optimale avec une nouvelle génération de laine minérale haute performance qui combine tous les avantages en termes de feu, d’isolation thermique et acoustique, avec des économies de poids substantielles. 2/3 de l’isolation, soit 50 000 m² ont été réalisés avec U SeaProtect® pour assurer le confort thermique et la sécurité des passagersPour ce chantier d’envergure, le produit U SeaProtect® a été retenu pour ses excellents résultats sur tous les aspects : sa performance thermique qui garantit une forte augmentation de l’efficacité énergétique tout en réduisant significativement les coûts d’exploitation et les émissions de CO₂. De plus, U SeaProtect® est une solution au poids exceptionnellement léger : - 25 % versus un isolant classique en laine minérale. Aussi, le produit est conditionné avec un emballage comprimé et hautement rationalisé, permettant de réaliser des économies logistiques et facilité l’installation sur le chantier.U SeaProtect® répond également aux normes les plus exigeantes concernant la protection incendie, allant du plus haut niveau de réaction au feu à d’excellentes qualités de résistance au feu.100 000 m² de panneaux d’isolation PI Marine pour de hautes performances thermiques et anti-condensationFace aux enjeux thermiques et de condensation, ISOVER a proposé la gamme PI MARINE en laine de verre. Exclusive sur le marché, elle a été incontournable pour isoler thermiquement et assurer un rôle d’anti-condensation.3 produits ont été posés sur différents postes dans le navire :PI662, un panneau en laine de verre face alu qui a été utilisé pour isoler la coque et assurer l’anti-condensation sur bordée.PI682 a permis d’isoler une grande partie du réseau des conduits de ventilation.PI695, un écran coupe-tirage a été installé entre les cabines, aux plafonds et sur les ponts. Leur rôle coupe-feu permettant d’empêcher la propagation des fumées toxiques en cas d’incendie.Un navire moins lourd qui consomme moins de carburantDans la quête de navires plus gros et plus rapides, le poids des matériaux et la réduction de poids en général n’ont jamais joué un rôle aussi important qu’aujourd’hui. Avec sa gamme marine la plus légère du monde, ISOVER a permis une économie de poids de - 25 % sur l'isolation, pour un résultat identique en termes de performances, participant ainsi à la réduction de l’impact environnemental du plus gros paquebot du monde, dont la consommation en carburant a été réduite.
Il y a 3 ans et 113 jours

Syntesis® Areo : Bloc porte de placard invisible

Il offre une flexibilité maximale grâce à de nombreuses configurations, ouvertures et dimensions, même sur mesure. La porte battante assure une continuité parfaite entre la porte et le mur et est conçue pour un usage pratique au quotidien grâce à une ouverture coulissante confortable et totalement invisible. Tout a été conçu pour fournir un produit fonctionnel, mais en même temps un élément d'ameublement.
Il y a 3 ans et 113 jours

La piscine du Clermontois à Fitz-James sera remise à neuf en juin prochain

Le centre aquatique du Clermontois à Fitz-James se prépare pour une remise en beauté afin de proposer un meilleur accueil au public.
Il y a 3 ans et 114 jours

Bulldozair - La FNTP à la rencontre de solutions innovantes pour ses adhérents

L'application permet à ses utilisateurs d'effectuer et collecter l'ensemble des contrôles chantier (visites, OPR, contrôles sécurité, visite environnement, contrôles qualité), et de piloter leur traitement de façon ergonomique et organisée.BULLDOZAIR permet également la collaboration entre vos équipes ainsi qu'avec vos partenaires externes (Sous-traitants, Maîtrise d'œuvre, Maîtrise d'ouvrage...)
Il y a 3 ans et 115 jours

Le SNEP confie sa marque « QualiPVC fenêtre » à l’UFME

Adapté à toutes les tailles d’entreprises et plus particulièrement aux petites structures, le process d’obtention de cette marque est rapide et simple, au coût adapté et maîtrisé.La mise en place de cette démarche qualité peut être appréciée comme une première étape vers la certification NF Fenêtre. Idéale pour une entreprise qui n’a pas la ressource nécessaire pour gérer différents marquages. QualiPVC fenêtre permet ainsi aux titulaires, avec une seule marque, un seul logo, de mettre en avant la qualité de leur fabrication et son origine française, au-delà du classique et généralisé « made in France ».Une marque qualité accessible à tous...La procédure est simple. Le fabricant retire son dossier auprès de l’UFME ou de son coach gammiste QualiPVC fenêtre. Une fois complété, il le renvoie vers l’instructeur indépendant SOCOTEC qui procède à un audit du système qualité de la production sur site. Le rapport est ensuite transmis auprès du comité de marque qui délivre le droit d’usage de la marque pour une durée de deux ans renouvelables.Les entreprises bénéficiaires en tirent de multiples avantages, avec en premier lieu la reconnaissance de leur savoir-faire. Leurs produits attestent d’une valeur ajoutée pour répondre aux appels d’offres et faciliter l’accès aux dispositifs financiers et aides gouvernementales mis à disposition des foyers. Les candidats fabricants disposent de l’accompagnement personnalisé d’un coach gammiste fabricant de profilés PVC et de l’appui d’une communication nationale valorisant la fenêtre PVC et la marque QualiPVC fenêtre....aux exigences élevées : un repère pour les consommateursQualiPVC fenêtre vise à apporter la preuve de la bonne application du Contrôle de Production en Usine (CPU) de la norme harmonisée NF EN 14351-1. Le règlement définit une organisation rigoureuse et documentée, s’appuyant sur des moyens adaptés pour obtenir, de manière fiable et reproductible, un produit de qualité aux performances revendiquées. Elle permet ainsi aux entreprises de justifier de la conformité aux exigences générales et spécifiques du NF DTU 36.5 P1-2 CGM de leur fabrication de fenêtre en profilés PVC. La démarche qualité et sa conformité au règlement d’usage sont contrôlées au cours des deux ans de validité du droit d’usage de la marque par des audits de suivi dont le nombre et la fréquence sont adaptés selon les volumes de production de menuiseries.
Il y a 3 ans et 115 jours

Edilteco France renouvèle l'avis technique des mortiers de remplissage Politerm 200 et 300

Le Groupe spécialisé n° 13 « Procédés pour la mise en œuvre des revêtements » de la Commission du CTSB a formulé un nouvel Avis Technique N° 13/16 – 1320_V1 pour les formules Politerm 200 et Politerm 300. Composées de ciment et d’agrégats en billes de PSE expansé, traitées, les formules Politerm 200 et Politerm 300 permettent la réalisation de remplissages allégés en construction neuve ou en rénovation pour des bâtiments courants.Cette version annule et remplace le précédent Avis Technique 13/16-1320 et intègre également une modification avec l’ajout d’un nouveau site de production des billes de polystyrène.En effet, depuis le mois de juin 2021, l’usine Edilteco France du Pontet (84) accueille une ligne de production et d’enrobage pour l’agrégat Politerm.Cette nouvelle ligne permet d’accroître la fabrication du procédé et de répondre à une demande croissante mais également d’amoindrir le bilan carbone de l’entreprise en produisant au plus près des clients et ainsi réduire les coûts de transport et les émissions de GES.Un agrégat de PSE pour un allègement des structuresL’agrégat léger Politerm, bille de polystyrène vierge expansé, à granulométrie contrôlée, enrobée de l’adjuvant breveté E.I.A, (conçu et développé dans les laboratoires d’Edilteco) permet d’alléger les structures grâce à un gain de poids.Ce gain est obtenu par la réduction d’agrégats traditionnels, au profit de l’adjonction de Politerm, qui permet d’atteindre des cœfficients de conductivité thermique à partir de 0,066 W/mK (Politerm 200) et 0,082 W/mK (Politerm 300). Les formules Politerm 200 et Politerm 300, sont donc des mortiers légers dont les masses volumiques, variant 200 kg/m3 et 300 kg/m3, s’avèrent inférieures à celle du béton traditionnel. Les gains de poids volumiques respectifs de 90 % et 88 % offrent un allègement considérable des structures. Et cet allègement qui ne se fait pas au détriment de la robustesse, est permis par un process de fabrication de qualité contrôlée. Les agrégats Politerm sont des billes de polystyrène à cellules fermées, fabriquées par la société Edilteco France et enrobées de l’adjuvant E.I.A. Ils ne proviennent en aucun cas de broyage de panneaux ou de matières recyclées. L’expansion des grains de polystyrène est obtenue par traitement à la vapeur d’eau. Les billes sont alors hydrophobes, imputrescibles et insensibles aux réactions alcalines. Elles sont stockées dans un silo pendant minimum 24 heures, ce qui assure leur stabilisation, avant d’être enrobées par l’adjuvant E.I.A. Ce traitement permet d’éviter toute ségrégation entre billes et liants hydrauliques et garantit l’homogénéité du mélange. Un procédé décliné et éprouvéCe procédé d’agrégat isolant est donc idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques.Il permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existant, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Il s’adapte aussi bien aux travaux neufs qu’aux travaux de rénovation.Mise en œuvre simplifiée et rapideLes remplissages allégés Politerm 200 et Politerm 300 sont destinés à réaliser une couche de remplissage non armée servant à niveler le support en une forme qui recevra une couche supérieure.Ce procédé rattrape donc irrégularités, déformations, changements brusques de niveaux, et permet de noyer les canalisations de plomberie, tuyauteries, câbles, fourreaux, gaines électriques etc.Le Politerm 200 s’emploie donc aussi bien pour des opérations de remplissage pour une remise à niveau des pentes, que de ravoirage, ravoirage isolant et d’isolation thermique.De même, le Politerm 300 s’emploie pour du ravoirage, de l’isolation thermique, de l’isolation acoustique aux bruits de chocs et pour une remise à niveau de plancher.Parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur, les mortiers légers Politerm 200 et Politerm 300 se mettent en œuvre facilement.Lors des mises à niveau et de la confection de supports de revêtement, l’application est simplifiée et rendue plus efficace par sa consistance mousseuse.Dès lors, l’obtention d’un nouvel A.T. des formulations Politerm 200 et Politerm 300, confirme le caractère exclusif et technique d’allègement des structures sans déperdition thermique et avec une amélioration de l’isolation acoustique ; ainsi que l’engagement d’Edilteco France dans une démarche de contrôle qualité certifiée répondant aux exigences de chantiers multiples.
Il y a 3 ans et 115 jours

Pour son 60e anniversaire, Sateco s’offre un nouveau logo

« En 2022, François Guilleteau, le Pdg, a souhaité travailler à relooker notre image institutionnelle. Afin qu’elle colle davantage à ce que Sateco est devenu », indique Nadia Quesada, responsable marketing et communication. [©Sateco] En 60 ans, les outils Sateco se sont réinventés pour plus d’ergonomie et de sécurité. Ainsi pour cet anniversaire, l’industriel s’offre un relooking avec un changement de logo et une nouvelle application SatecoTuto. Il s’agit du premier outil digital gratuit de formation et d’information. Ceci, pour l’utilisation des équipements de coffrages et de sécurité de la marque. « Ceci, pour accompagner notre évolution et nos actions sur le marché français. Mais aussi pour nous permettre de déployer nos projets à l’international », peut-on lire dans le communiqué de presse. D’autre part, Sateco s’est offert un changement d’identité visuelle avec un nouveau logo. « En 2022, François Guilleteau, notre Pdg, a souhaité travailler à relooker notre image institutionnelle, afin qu’elle colle davantage à ce que Sateco est devenu : un groupe avec 2 usines en France et une implantation sur le territoire en position de leader. Mais aussi un développement à l’international mis en œuvre depuis le rachat de la filiale HK Services. Et enfin, en 2022 de nouveaux axes de développement », indique Nadia Quesada, responsable marketing et communication de la marque. Un tout nouveau logo pour Sateco Lancement de la nouvelle application SatecoTuto. [©Sateco] Ce logo est un engagement pour le futur. Le carré et le monde sont inscrits en son sein, associés à la police de caractère historique, connu et reconnu par tous les utilisateurs du BTP. « Il fallait réinterpréter l’image de Sateco avec des valeurs modernes. C’est pourquoi, compte tenu des marges de progression de l’entreprise, il était logique de le faire évoluer avec un look plus contemporain, explique Nadia Quesada. Le logo doit être à l’image de l’entreprise tournée vers l’innovation et le futur. » Le nouveau design figure l’univers de la construction, avec la banche – rectangle rouge – en son centre. Mais on peut aussi laisser une libre interprétation avec certains éléments du logo. Le rond sur l’extrémité peut représenter un arbre (RSE) ou un homme : l’humain étant au cœur des préoccupations de l’industriel. « Le logo en flat design, dans le monde digital d’aujourd’hui est très facile à manipuler et à utiliser sur le web. Mais aussi en termes de signalétique sur nos produits. » Le logo historique datait de 1960 et avait déjà subi quelques modifications en 2006, « afin de donner une nouvelle dynamique à notre image, notamment pour l’activité coffrage », reprend Nadia Quesada. Puis, en 2010, la charte graphique avait été complétée par l’apparition de carrés de couleur qui schématisaient l’évolution des activités, avec l’innovation et le service. En 2012, nouvelle mouture du logo institutionnelle.