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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Divers

(5841 résultats)
Il y a 3 ans et 156 jours

Bostik complète sa gamme One Flooring Range de deux nouveaux produits

Après le lancement d’une colle inédite sur le marché, la STIX A600, Bostik complète sa gamme de deux nouveaux produits :Le mastic de fixation MSP 108 RENOFIXIdéal pour tous collages exigeants, le MSP 108 Renofix offre un tack initial puissant à la verticale qui permet un maintien immédiat, sans étayage (effet ventouse). Résistant aux intempéries et aux UV, le MSP 108 Renofix bénéficie d’une excellente adhérence, y compris sur les supports humides. Polyvalent, il est adapté à tous types d’applications de collage en rénovation, travaux d’agencement et décoration et compatible avec un vaste panel de matériaux : de la brique au béton en passant par le fer, l’acier, l’aluminium, le zinc, les matières synthétiques, le bois, l’aggloméré, le liège, la céramique et le PVC. Fabriqué en France, sans solvant ni isocyanate, ce produit est certifié A+. Gage d’une emprunte carbone réduite.L’enduit de dressage renforcé SL C740 FIBER MAXILe SL C740 Fibermaxi est un enduit de ragréage autolissant fibré forte épaisseur. Armé par une forte densité de fibres synthétiques spécifiques, l’application peut se faire manuellement ou à la pompe. Idéal pour les professionnels grâce à une excellente finition de surface sans remontées de fibres, le SL C740 Fibermaxi permet un gain de temps non négligeable grâce à un temps de ponçage réduit. Compatible avec tous types de planchers chauffants, réversibles et PRE (Plancher Rayonnant Électrique), il est également applicable en extérieur si celui-ci est recouvert de carrelage. Aussi, le SL C740 Fibermaxi est classé P4 à partir de 3 et jusqu’à 40 mm, en fonction de la nature des supports. Il permet une ouverture à la marche en 3h. Classé A+ en matière d’émissions en polluants volatils, cet enduit est, à l’image de la gamme One Flooring Range, un produit non polluant.
Il y a 3 ans et 156 jours

Bostik complète sa gamme One Flooring Range avec deux nouveaux produits

Après le lancement d’une colle inédite sur le marché, la STIX A600, Bostik complète sa gamme de deux nouveaux produits :Le mastic de fixation MSP 108 RENOFIXIdéal pour tous collages exigeants, le MSP 108 Renofix offre un tack initial puissant à la verticale qui permet un maintien immédiat, sans étayage (effet ventouse). Résistant aux intempéries et aux UV, le MSP 108 Renofix bénéficie d’une excellente adhérence, y compris sur les supports humides. Polyvalent, il est adapté à tous types d’applications de collage en rénovation, travaux d’agencement et décoration et compatible avec un vaste panel de matériaux : de la brique au béton en passant par le fer, l’acier, l’aluminium, le zinc, les matières synthétiques, le bois, l’aggloméré, le liège, la céramique et le PVC. Fabriqué en France, sans solvant ni isocyanate, ce produit est certifié A+. Gage d’une emprunte carbone réduite.L’enduit de dressage renforcé SL C740 FIBER MAXILe SL C740 Fibermaxi est un enduit de ragréage autolissant fibré forte épaisseur. Armé par une forte densité de fibres synthétiques spécifiques, l’application peut se faire manuellement ou à la pompe. Idéal pour les professionnels grâce à une excellente finition de surface sans remontées de fibres, le SL C740 Fibermaxi permet un gain de temps non négligeable grâce à un temps de ponçage réduit. Compatible avec tous types de planchers chauffants, réversibles et PRE (Plancher Rayonnant Électrique), il est également applicable en extérieur si celui-ci est recouvert de carrelage. Aussi, le SL C740 Fibermaxi est classé P4 à partir de 3 et jusqu’à 40 mm, en fonction de la nature des supports. Il permet une ouverture à la marche en 3h. Classé A+ en matière d’émissions en polluants volatils, cet enduit est, à l’image de la gamme One Flooring Range, un produit non polluant.
Il y a 3 ans et 157 jours

La RSE au cœur des entreprises : entre déclarations d’intentions et réel engagement

Alors que la tenue de la COP26 pointe l’urgence de formuler, pour une majorité de pays, des engagements collectifs et durables, les entreprises doivent également montrer davantage d’implication, grâce à l’intégration de la RSE notamment. Et même si son impact positif sur l’activité est aujourd’hui démontré, toutes les directions n’ont pas encore de réelles stratégies pour l’inscrire durablement à leur fonctionnement et peinent à concrétiser leurs intentions en la matière.Sa pertinence ? Un débat qui n’a plus lieu d’êtreIl devient difficile voire impossible d’ignorer la RSE pour les entreprises. Plébiscitée par les collaborateurs, ceux-ci seraient prêts, pour 70% d’entre eux, à s’impliquer davantage dans une politique RSE selon le baromètre « entreprise responsable » d’Ekodev, réalisé en 2020. Une tendance que l’on retrouve également chez les consommateurs qui sont aujourd’hui plus soucieux des valeurs et engagements portés par les marques.Les entreprises qui ont pris ce sujet au sérieux peuvent en témoigner, la RSE n’est pas un frein à leurs activités, bien au contraire. Dans le cadre d’une étude menée par Forrester Research en août 2021 et évaluant les différentes approches des entreprises en matière de RSE, près de 69% des décideurs interrogés ayant engagé des initiatives en ce sens ont en effet constaté une hausse de leur chiffre d’affaires. Parmi les priorités des politiques RSE, le développement durable arrive en tête (33%) suivi de près par les priorités sociales et éthiques. Au-delà des retombées positives sur l’activité, les entreprises peuvent aussi bénéficier de la popularité de ces thèmes pour améliorer leur image de marque auprès de leurs équipes comme de leurs partenaires et clients.La difficulté des Achats à prendre le virage RSEBien que les entreprises semblent accorder une grande importance à ces enjeux, beaucoup ne disposent pas encore de stratégie bien définie et notamment vis-à-vis de la performance RSE des fournisseurs et de leur chaîne d’approvisionnement. Dans les faits, plus de la moitié (58%) des directions Achats européennes n’insèrent jamais, ou rarement, des pratiques de travail responsables dans leurs contrats ou leurs accords selon une étude réalisée en 2021 par Coleman Parkes Research auprès de 300 fournisseurs situés en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Suisse. Cette incapacité à évaluer efficacement les initiatives RSE des fournisseurs privent les directions Achats de données utiles à l’évolution des politiques RSE mais également à la résilience de l’entreprise en cas de mouvements brutaux sur le marché.En conséquence, près de 4 décideurs sur 10 considèrent que leur entreprise est réellement efficiente pour atteindre ses objectifs prioritaires en matière de RSE révèle l’étude de Forrester Research. Un constat qui n’est pas forcément dû à un manque de ressources, de compétences ou même de technologies. L’un des principaux points de blocage vient de la difficulté à mettre en place des processus de collaboration efficaces avec les fournisseurs. Dans ce contexte, les Achats ne peuvent avancer dans le bon sens et déployer une stratégie RSE pérenne sans un sponsoring fort de la direction générale.Des bonnes intentions à leur application, le défi des entreprisesSi chaque entreprise suit son propre rythme en matière d’intégration des politiques RSE, il est aussi judicieux de cibler dès maintenant les éléments à améliorer pour favoriser l’acceptation et la faisabilité de ce type de stratégie. Et cela commence par donner aux fournisseurs les moyens de concrétiser leurs initiatives RSE. En leur fixant des exigences, les achats doivent aussi leur accorder davantage de flexibilité pour y répondre efficacement. C’est en procédant de cette manière qu’il est possible d’améliorer la collaboration entre les acteurs de la chaîne d’approvisionnement. Les entreprises auraient tout intérêt à poursuivre en ce sens en digitalisant ces processus de collaboration qui, à long terme, offriront une plus grande visibilité de la chaîne logistique permettant aux achats d’améliorer la planification, l’exécution des engagements et d’autres postes stratégiques.On le comprend, la direction générale, en lien avec les achats, ne pourra se passer d’une collaboration digitale efficace avec les fournisseurs. Il y a urgence à améliorer cette relation si on veut inclure davantage d’objectifs RSE au sein des achats. Le processus de digitalisation sera autant utile aux enjeux business que pour maintenir un certain niveau d’engagement chez les fournisseurs. Une meilleure communication sera profitable à la transition progressive de la filière logistique vers des pratiques plus éthiques. Et en ce sens, il faudra faire preuve de fermeté envers les fournisseurs qui ne prendraient pas cette direction. Pourquoi ne pas établir alors un niveau d’engagement minimum lors de la sélection de ces derniers ? Ceux ayant adopté cette posture ont déjà fait un choix fort, celui de privilégier un environnement de travail éthique et responsable sur le long terme.Tribune de David Khuat-Duy, Fondateur et PDG d'Ivalua (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 157 jours

Solaire hybride : Dualsun triple sa capacité de production

Née en 2014, Dualsun vient d’investir 850 k€ pour porter sa capacité de production à 30 000 panneaux par an. La start-up pousse les murs, recrute et prépare une nouvelle levée de fonds alors qu’elle vient de vivre sa première année de rentabilité. Disponible en distribution, l’offre est boostée par une application aussi précieuse aux yeux du fabricant que son capteur hybride.
Il y a 3 ans et 162 jours

Feu vert des députés à une pérennisation du dispositif SRU, avec des ajustements

Ce sujet a fait l'objet de plusieurs heures de débats dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi dit "3DS", vaste assemblage de mesures visant à améliorer les relations entre l'Etat et les collectivités, déjà examiné par le Sénat.Pilier des efforts publics de mixité sociale, la loi SRU (pour solidarité et renouvellement urbains) de décembre 2000 fait aussi l'objet de multiples récriminations par les communes qui ne peuvent ou ne veulent en réaliser les objectifs, au risque de sanctions financières.L'objectif est de "concilier le besoin de logement, continuer l'effort de mixité sociale et prendre en compte les contraintes des communes", a estimé Olivier Becht (groupe Agir, allié de la majorité).Le texte pérennise, au-delà de son échéance de 2025, le taux légal de logement social - 20 ou 25% selon les territoires, selon le niveau de tension locative.Des "objectifs de rattrapage" sont prévus pour les communes accusant du retard, avec des modalités d'adaptation pour celles rencontrant des "difficultés objectives".Certains ajustements sont prévus pour adapter les critères d'exemption, par exemple pour mieux tenir compte du manque d'attractivité de certaines communes, ou pour tenir compte d'une faible demande en logement social.Le texte prévoit aussi, pour prendre en considération les difficultés de certaines communes, qu'elles puissent passer avec l'Etat et l'intercommunalité un "contrat de mixité sociale". Ces contrats "répondent aux besoins de différenciation et de territorialisation exposé par de nombreuses communes", a fait valoir la ministre du Logement Emmanuelle Wargon.Le projet de loi prévoit aussi de renforcer les sanctions financières pour les communes ne répondant pas aux critères fixés par la loi.Au 1er janvier 2019, sur 2.091 communes concernées par la loi SRU, 767 avaient atteint l'objectif, 1.100 étaient déficitaires et 224 exemptées.L'ancienne ministre du Logement Sylvia Pinel (groupe Libertés et Territoires) a appuyé le projet mesuré soumis aux députés, en soulignant qu'il ne fallait toucher au dispositif SRU qu'avec "vigilance et parcimonie".Thibault Bazin (LR) a toutefois souligné que cette loi "n'a pas produit que des effets heureux", et mis en exergue le problème par endroits de "la création de quartiers à 100% de logement social, ce qui ne crée pas de la mixité".En toute fin de séance, peu avant minuit, le communiste Stéphane Peu a réussi à faire adopter un amendement interdisant la vente de logements sociaux dans les villes ne se conformant pas aux objectifs de la loi SRU, afin de ne pas diminuer le nombre de ces logements.Mme Wargon et le rapporteur LREM Mickaël Nogal, défavorables à cet amendement, ont fait valoir qu'il pourrait empêcher, dans ces communes, la vente de logements sociaux à des locataires désireux d'accéder à la propriété.
Il y a 3 ans et 162 jours

Un écran de sous-toiture qui assure la longévité des toitures métalliques

Le Multivap® Métal+ est, à ce jour, l’unique membrane d’interposition pour couverture métallique du marché sous Avis Technique. C’est un écran de sous-toiture Hautement Perméable à la Vapeur d’eau qui assure la longévité des toitures métalliques. Il permet la libre circulation de l’air sous la couverture et limite les risques de corrosion en sous-face. Il réduit la nuisance sonore de la de 50% (rapport d’essai officiel du CSTB), que les combles soient aménagés ou perdus. Ses deux bandes adhésives assurent une étanchéité à l’eau et au vent parfaite des recouvrements de lés. Il est compatible avec l’ensemble des couvertures métalliques à joint debout du marché en zinc, aluminium, acier prélaqué, … (conforme au DTU concerné ou à un Document Technique d’Application favorable pour l’emploi en couverture).
Il y a 3 ans et 162 jours

SoPump : Cap sur l’Europe

Abdellah Ait Said, Hatim Rih et Morad Houmir sont les trois fondateurs de SoPump. [©SoPump] Imaginée par Abdellah Ait Said, Hatim Rih et Morad Houmir, tous trois issus du secteur du BPE, la start-up SoPump a vu le jour pour dépoussiérer le monde du pompage. Tout a commencé dans l’incubateur de l’IMT Mines d’Alès et l’Innovosud de Béziers avec près de deux ans de R&D. Et l’histoire se poursuit depuis octobre 2021 au sein de l’accélérateur Village by CA Languedoc. Avec son logiciel en SaaS, SoPump permet au secteur de franchir le pas de la transition digitale, en proposant plusieurs services. Lire aussi : SoPump veut digitaliser le pompage du béton Réservation de prestations, géolocalisation d’interlocuteurs, simplification administrative, bons de commande dématérialisés, suivi en temps réel, alerte “retard”… SoPump offre une solution fiable pour répondre de manière efficace à la demande, mais aussi pour faciliter le travail des entreprises spécialisées. Selon les chiffres de la start-up, il y aurait chaque jour 1 500 opérations de pompage et 17 000 à l’échelle européenne. Un dernier chiffre important pour l’entreprise, car avec plus de 100 000 chantiers à son actif dans l’Hexagone, elle compte bien se développer à l’international, avec l’Europe en ligne de mire. Dans cette démarche, SoPump a déjà commencé à s’implanter en Belgique, avec plusieurs contrats conclus, notamment avec la société de pompage CLS. 17 000 opérations/jour de pompage à l’échelle européenne « Avant de travailler avec SoPump, nous utilisions un ERP généraliste pas assez adapté à notre métier, explique Kevin Roggemans, responsable opérationnel chez CLS. Rien n’était pensé pour nos process assez spécifiques. Nous avons donc arrêté la collaboration et perdu 10 000 €. […] Désormais, toute l’information est centralisée sur SoPump et le chauffeur-pompiste a accès à l’application où toutes les indications du chantier sont déjà renseignées. Il n’a plus qu’à compléter sa partie et chaque étape clef de son intervention. Nous savons où il en est en temps réel. Nous pouvons ajouter 5 pompes de plus à notre flotte, sans réengager du personnel. Et donc, augmenter le chiffre d’affaires sans accroître les coûts fixes. » Un dernier argument non négligeable dans une période où le monde de la construction connaît des difficultés pour embaucher. Le logiciel de SoPump permet d’optimiser les opérations de pompage du béton. [©SoPump] « Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre et de flambée des coûts de carburant, SoPump permet d’optimiser les interventions et de pérenniser l’activité de ces entreprises, remarque Morad Houmir, président co-fondateur de la start-up. Avec 15 ans d’expériences du secteur, nous savions que le pompage du béton nécessitait un logiciel idoine. » Afin de bénéficier d’un revenu récurrent, SoPump facture de manière mensuelle ses clients. Une stabilité financière qui permet aussi de séduire les investisseurs… Car pour financer sa croissance et développer son activité commerciale, la start-up prévoit une levée de fonds au premier semestre 2022. Ainsi, ses effectifs devraient tripler d’ici la fin de l’année prochaine, permettant d’accompagner au mieux le déploiement des solutions en France et en Europe. Mais aussi, le lancement de nouvelles fonctionnalités et services. SoPump a d’ailleurs déjà signé un projet pilote dans la logistique du béton. A suivre…
Il y a 3 ans et 162 jours

Périn & Cie développe une nouvelle clôture en Bfup

Nouvelle clôture en Bfup signée Périn & Cie. [©ACPresse] « Chez Périn & Cie, nous croyons beaucoup au Bfup », annonce Dominica Lizarazu, directrice générale du groupe. Et de joindre le geste à la parole : « A l’occasion d’Artibat, nous avons mis sur le marché une offre inédite de panneaux de clôture dans la ligne Easy’Clos ». Une gamme à 100 % développée en interne, y compris et surtout, en ce qui concerne la mise au point du Bfup.  Grâce à ce matériau, Périn & Cie est en mesure de proposer des clôtures amincies, donc plus légères : 38 kg pour un élément de 1,92 m x 0,45 m et 2 cm d’épaisseur. Pour l’heure, la première livrée ne concerne que des plaques de clôture et des soubassements. Le béton est teinté dans la masse, coloris anthracite ou brun uniquement disponibles en standard. Mais c’est un début. « Les éléments sont peints en plus d’être teintés, pour une plus grande profondeur de la couleur et une importante durabilité », reprend Dominica Lizarazu. Le Bfup intègre aussi des fibres polypropylène et il est matricé pour une esthétique maximale. Les décors s’appellent Iller (rappelant le bambou), Jamaica (en forme de vagues entrelacées) ou encore Dalarna (structure abstraite à la texture de flamme). La suite ? Sans doute des seuils de porte et des appuis de fenêtre. L’industriel y travaille. Et, pourquoi pas des éléments d’habillage de façade auto-portants, dans le futur. Après tout, le Bfup autorise une telle application… 
Il y a 3 ans et 163 jours

Le bâtiment espère retrouver en 2022 son niveau d'activité d'avant-crise

Pour la FFB le contexte est incertain en raison des multiples inconnues crées par la pandémie de Covid-19 mais quelques hypothèses fortes permettent d'espérer un quasi retour à la normale pour 2022. Ainsi, un sursaut de 4,3% de l'activité est attendu pour 2022 mais la Fédération Française du Bâtiment prévoit malgré tout une baisse de 0,9% par rapport à 2019.La FFB s'attend également à une progression inégale selon les secteurs, avec par exemple le logement neuf qui devrait connaître une augmentation de 7,3% dans la mesure où les permis de construire délivrés et les ventes "ont progressé de 15% entre 2019 et 2021", lui faisant même dépasser son niveau d'avant-crise.À l'inverse, le secteur du bâtiment risque de voir baisser le nombre d'autorisations décernées de 9,1% dans le logement individuel et de 6,7% dans le collectif.Pour expliquer cette baisse, la FFB met en avant le surcoût important de nombreuses matières premières telles que les matières plastiques et leurs dérivés, certains produits métalliques mais aussi le béton, pouvant afficher jusqu'à 15% d'augmentation. En cause, la hausse du prix de l'énergie augmentant par extension le prix de production et de transport des matériaux.La fédération s'inquiète aussi de l'application au 1er janvier 2022 de la RE2020 (réglementation environnementale des bâtiments neufs) qui va engendrer des surcoûts de 5 à 10% du prix de la construction dans l'individuel.Concernant le logement collectif, la FFB met en avant la difficulté d'obtention des permis de construire dans les zones denses de la part des mairies mais également les résultats des mises en ventes et ventes d'appartements en 2021 en net recul par rapport à la même période en 2019.L'une des gagnantes serait en revanche la filière Amélioration-Rénovation qui, grâce à MaPrimeRénov', devrait atteindre les +2,7%.Enfin, pour assurer la reprise du bâtiment, la FFB demande au gouvernement :le versement immédiat des créances de carry-back,de régler la panne du neuf en zone tendue notamment avec des propositions Rebsamen,la majoration du Pinel à partir de 2023 pour les logements qui respecteraient les critères extra réglementaires promus par la ministre en charge du logement,une aide pour compenser les effets négatifs de la RE2020 et de l'objectif ZAN (Zéro Artificialisation Nette).Le secteur estime malgré tout pouvoir continuer à créer de l'emploi en 2022 avec 25.000 nouveaux postes.
Il y a 3 ans et 164 jours

VitrA : Liquid

Voilà plusieurs années maintenant que VitrA s’associe avec des designers de renommée mondiale pour concevoir des salles bains modernes et distinctives. De sa dernière collaboration avec le créateur britannique Tom Dixon est née Liquid qui promet encore une nouvelle expérience…
Il y a 3 ans et 164 jours

Sanijura : Reflet Moon+

Fly me to the moon. En forme de demi-cercle, et avec ses dimensions exceptionnelles, l’un des derniers nés de la collection de miroirs de Sanijura nous envoie sur la lune. Une nouvelle prouesse de la marque qui signe ici un objet qui confère aux grandes salles de bains une perspective peu explorée jusqu’alors…
Il y a 3 ans et 165 jours

Une première promotion pour l’Académie du bois et de la mixité des matériaux

La toute première promotion de l’Académie du bois et de la mixité des matériaux. [©Bouygues Bâtiment France Europe] A l’occasion du Forum Bois Construction, en juillet dernier, Bouygues Bâtiment France Europe et le Centre Gustave Eiffel devenaient l’un des lauréats de l’appel à projets Booster Bois-Biosourcés. Les deux entités ont été sélectionnées pour la création d’une Académie du bois et de la mixité des matériaux. Quelques mois après cette distinction, ils lancent la toute première promotion. En association au lycée Gustave Eiffel de Massy (91), Humando1 et l’institut technologique Bois FCBA. Lire aussi :RE 2020 : La FFB lance la web-série “Réunion de chantier”Dossier : Le bâtiment se prépare à la RE 2020 Depuis que le gouvernement a dévoilé les premières lignes de la RE 2020, le bois et les matériaux biosourcés ont reçu un grand coup de projecteur. Avec la publication des différents textes d’application, les acteurs du secteur ont, pour beaucoup, brandi les bienfaits du “bon matériau, au bon endroit”. En somme : place à la mixité des matériaux. S’il est encore tôt pour dire qu’en pratique, la phrase rentrera dans les adages du bâtiment, l’Académie du bois et de la mixité des matériaux veut accompagner ce changement de paradigme. Accompagner la mixité des matériaux « Le recours au bois et aux matériaux biosourcés implique une véritable rupture dans notre façon de concevoir et de construire des bâtiments, explique Fabrice Denis, directeur de “construire autrement” de Bouygues Bâtiment France Europe. Les utiliser, c’est nécessairement favoriser l’émergence de nouveaux métiers et de nouvelles compétences, d’ores et déjà, en tension. L’académie, que nous sommes fiers de porter avec nos partenaires, est le fruit d’une démarche transversale et collective au service de l’ensemble de la filière. Mais, au-delà d’apporter une réponse crédible aux enjeux de raréfaction et de transformation des compétences, elle est aussi un vecteur de modernisation et d’attractivité pour tout un secteur. » Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation La formation a pour objectif de développer une offre allant de l’infra-bac au bac +5. Et d’assurer la montée en compétence des compagnons vers de nouveaux modes constructifs impliquant le bois. Mais aussi les matériaux biosourcés (chanvre, paille, terre crue…), le béton et l’acier. Former à la polyvalence et aux nouveaux métiers Le but est aussi de booster l’attractivité de ces nouveaux métiers et d’inciter à plus d’inclusion. Que ce soit à travers l’insertion et la féminisation. L’académie propose ainsi trois niveaux de formations en alternance. La filière “monteur en structure bois et mixité des matériaux” (niveau III), un bac pro “technicien constructeur bois” (niveau IV). Et enfin, un BTS “système constructif bois et habitat” (niveau V). Ce dernier devrait être complété, à terme, par une licence professionnelle. Dans ce cadre, la toute première session de “monteur en structure bois et mixité des matériaux” a débuté ce mois de décembre 2021. Et ce, au lycée professionnel Gustave Eiffel de Massy, avec 14 alternants. De plus, une plate-forme pédagogique unique a été créée au sein de l’établissement pour proposer sur un même site, les phases de formation et d’expérimentation. 1Spécialiste de l’insertion.
Il y a 3 ans et 165 jours

La Fédération Cinov appelle le gouvernement à reporter la mise en place de son projet d'audit réglementaire

Alors que cette disposition s’appliquera à compter du 1er janvier 2022 en ce qui concerne les passoires thermiques (F et G), la Fédération Cinov prend note de la volonté des pouvoirs publics de créer un « audit réglementaire », réalisable par les diagnostiqueurs, en complément des audits énergétiques préexistants, réalisés auparavant par les seuls bureaux d’études. Elle alerte cependant sur les nombreux risques que cette nouvelle prestation comporte, au premier rang desquels la dévalorisation des compétences des bureaux d’études et des architectes.Un projet qui discrédite les compétences des bureaux d’études…Pour rappel, à l’heure actuelle, la phase préalable à la rénovation des logements est orchestrée par deux corps professionnels bien distincts. D’une part, les diagnostiqueurs chargés de classer chaque bien selon son degré de consommation énergétique (classé de A à G) en établissant le diagnostic de performance énergétique (DPE). D’autre part, les bureaux d’études et architectes chargés de réaliser les audits énergétiques estimant le coût réel des travaux pour les logements énergivores détectés.Avec son projet d’« audit règlementaire », l’Etat entend accélérer l’éradication des passoires thermiques en décloisonnant les deux systèmes : à l’avenir, les diagnostiqueurs – qui s’occupaient auparavant exclusivement des DPE – pourront procéder à l’équivalent des audits énergétiques. Or, cette décision n’est pas sans risques, en premier lieu pour les bureaux d’études, architectes et ingénieurs thermiciens, qui sont actuellement les seuls professionnels autorisés à délivrer ces documents.Cette décision suscite l’incompréhension des bureaux d’études et architectes, qui considèrent que les qualifications liées aux audits énergétiques – OPQIBI et QUALIBAT notamment – ont prouvé leur valeur ces dernières années. Ainsi, le projet d’« audit réglementaire » concurrence et dévalorise indéniablement les outils préexistants, pourtant synonymes de savoir-faire et d’expertises spécifiques. Par ailleurs, le coût plus attractif qui sera sans doute proposé aux ménages par les diagnostiqueurs pour cette nouvelle prestation participera de fait à déprécier les expertises en place.… et qui s’opère au détriment des ménages.Outre la dévalorisation des compétences des bureaux d’études et architectes, Cinov regrette que cette nouvelle qualification repose sur un référentiel peu qualitatif dont les contours soulèvent de nombreuses interrogations, créent une confusion pour les vendeurs et acquéreurs et engendrent un risque de sinistralité très important.Si l’audit règlementaire proposé se veut par la sémantique équivalent à l’audit énergétique actuellement en place, il n’en reste pas moins foncièrement différent. Là où l’audit énergétique repose sur des référentiels précis établis par l’ADEME en concertation avec les différents acteurs de la profession, l’audit réglementaire serait quant à lui basé sur les seules données récoltées lors du DPE – une méthode moins précise en ce qui concerne l’identification et la valorisation des pistes d’économies d’énergie.Par ailleurs, ce nouvel audit réglementaire ne serait pas utilisable par les ménages pour l’obtention de MaPrimeRénov’ ou des Certificats d’Economie d’Energie dans le cadre de la rénovation globale, leviers pourtant essentiels à la rénovation massive. Les futurs acquéreurs se verront donc contraints de réaliser un nouvel audit incitatif afin de pouvoir bénéficier des aides à la rénovation, cette fois réalisé par les architectes et thermiciens qualifiés. Un double coût, au détriment desdits ménages étant donné qu’il est fort probable que des différences apparaîtront tant sur les préconisations de l’audit que sur les estimations financières des travaux.Frédéric Lafage, Président de la Fédération Cinov, met d’ailleurs en garde : «Dans la mesure où cet audit réglementaire sera opposable, nous nous interrogeons sur les modalités de prise en charge des écarts financiers entre celui-ci et l’audit énergétique, le risque étant que la différence soit endossée à terme par les collectivités.»Cinov appelle au report du projetA la veille de la mise en place effective de cette loi, la Fédération Cinov réitère son engagement en faveur d’une rénovation massive du parc résidentiel et concède que l’objectif annoncé de 100 000 audits par an reste difficile à atteindre en l’état. Néanmoins, l’audit énergétique actuel constitue un maillon essentiel du processus de rénovation des bâtiments, dont la qualité, la fiabilité et la clarté sont essentiels pour atteindre l’objectif susmentionné.Par ailleurs, Cinov alerte le gouvernement face à l’impossibilité de former convenablement un nombre d’opérateurs suffisants d’ici le 1er janvier 2022 – sauf à dégrader fortement la qualité des audits qui auront inévitablement une valeur et une légitimité moindres.Pour Frédéric Lafage, Président de la Fédération Cinov : « Nous regrettons aujourd’hui que cette concertation aboutisse à un nouveau dispositif qui dégrade la qualité de la prestation d’audit. Elle crée une inégalité entre les professions et les qualifications des auditeurs et trouble le message auprès des propriétaires, au détriment de l’objectif initial de massification des opérations de rénovation. »Face à ce constat, la Fédération Cinov appelle a minima le gouvernement à renommer cette nouvelle prestation dans le but d’éviter toute confusion entre les deux types d’audits. Elle l’enjoint également à reporter ce projet afin de satisfaire l’ensemble des parties prenantes. En effet, le calendrier de mise en application semble pour l’heure trop ambitieux dans la mesure où les solutions logicielles ne sont pas achevées et qu’à ce jour les référentiels de qualification ne sont pas suffisamment aboutis.
Il y a 3 ans et 165 jours

Racines, bâtiments et paysages dans la Grèce « contemporaine »

L’architecture grecque n’est presque jamais présentée en juxtaposition avec son environnement immédiat. Il est vrai que l’architecture contemporaine est généralement photographiée et publiée isolément ; les bâtiments sont capturés seuls et souvent leurs environnements sont intentionnellement exclus du cadre photographique. Chronique-Photos d’Erieta Attali. Cette représentation n’est pas seulement liée au fait que l’architecture contemporaine a […] L’article Racines, bâtiments et paysages dans la Grèce « contemporaine » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 166 jours

Pourquoi faire appel à une entreprise de peinture?

Les travaux de peinture de maison ne sont pas des tâches aisées. Ils requièrent des techniques bien définies et des connaissances profondes de certains supports. L’accrochage de la peinture exige de la compétence dans ce domaine et la qualité de la finition dépend grandement de l’expérience du peintre. Peindre constitue alors un travail pointilleux qui exige des techniques particulières. Faudra-t-il solliciter l’aide d’une entreprise spécialisée dans ce domaine ? Pourquoi engager une entreprise de peinture pour votre maison? La maison se diffère des mobiliers. La surface à peindre est large et le moindre défaut sur la peinture devient très visible. Pour un travail fluide et de qualité irréprochable, mieux vaut confier la peinture de votre maison à une entreprise compétente dans ce domaine. La peinture sur une grande surface nécessite des techniques d’application précises et une préparation au préalable du support. L’entreprise de peinture peut alors garantir une finition de très bonne qualité grâce à ses compétences. L’entreprise de peinture comme sur ce site : https://www.entreprise-peinture-82.fr/  possède tous les équipements pour donner un résultat uniforme. Les outils performants et professionnels ne s’arrêtent pas sur un simple pinceau, mais s’étendent à des rouleaux et de différentes tailles de pinceau. L’entreprise dispose également des échelles, des échafaudages ou des escabeaux pour les zones hautes. Elle possède tous les équipements de protections du peintre et procède à la protection de son environnement de travail : barricade du chantier, protection du sol et des mobiliers pour éviter les tâches, etc. Vous bénéficiez également des conseils et propositions pour vos choix de couleurs avec une entreprise de peinture. Elle vous donnera une palette de déclinaison de couleur pour mieux commander la composition de peinture qui s’accordera à votre maison. Elle peut vous conseiller également sur les peintures qui s’accordent à votre style : rustique, scandinave, industriel, etc. Quels critères privilégier pour trouver une bonne entreprise de peinture? Demandez des recommandations ou avis auprès des autres personnes : amis, proches, voisins ou internautes pour trouver une entreprise à qui vous pouvez confier les travaux. Présélectionnez d’abord celles qui vous convainquent le plus par leur statut et leurs anciennes réalisations. Demandez ensuite aux professionnels de visiter tour à tour le chantier avant d’envoyer leurs offres de soumissions. Posez-leur les questions techniques sur la préparation de votre mur avant la peinture : remplissage, ponçage, traitement de porosité, etc. Demandez également les techniques de peinture qu’ils suivront pendant les travaux, ainsi que les systèmes mis en place pour la gestion de la sécurité. Déterminez clairement votre attente. Définissez dès le départ l’étendue de votre projet et le rendu du résultat voulu. La couleur se décline sous une multitude de nuances, pour que l’entreprise comprenne nettement votre demande, montrez-lui une photo qui décrit votre demande plutôt que de dire vaguement la couleur. À la fin, vous pouvez déduire rapidement l’entreprise qui semble être le plus compétent dans le domaine. Prenez en considération ses années d’expérience, car l’expérience enrichit grandement le savoir-faire et l’agilité des peintres dans leur opération. Comparez les devis après pour choisir ce qui semble le plus convaincant en rapport de qualité/prix.
Il y a 3 ans et 166 jours

Les lauréats des Paysalia Innovations Awards 2021

Retrouvez les trois lauréats, ainsi que le coup de cœur des étudiants ci-dessous.Palmarès 2021 des Paysalia Innovations Awards1er prixPlatform Garden et son application JARDI'ALERTEn un seul endroit et dans une seule application téléchargeable gratuitement, vous retrouvez tous les outils qui vous accompagneront dans votre métier : La veille et la vigilance sanitaire, l’information sur vos produits et catalogues consultables en format digital, les news et infos de la filière !2ème prixAmarande et son géotextile dépolluant AMTERAMTER est un géotextile dépolluant de structure tri-couches de géotextiles techniques pour retenir et biodégrader naturellement les hydrocarbures. Solution écologique pour éliminer naturellement les hydrocarbures des eaux de ruissellement permettant une infiltration d’eau propre.3ème prixHUSQVARNA et son robot de tonte CEORA™Nouvel élément de la gamme de solutions et produits Husqvarna, CEORA™ est une nouvelle solution autonome révolutionnaire pour les grands espaces verts, jusqu'à 75 000m². Il utilise la technologie EPOS™ afin de créer des barrières virtuelles pour une utilisation simple et sereine.
Il y a 3 ans et 166 jours

Sereine Systèmes : une application innovante pour évaluer la performance des systèmes énergétiques à la réception des travaux

Les opérateurs d’audit mais aussi les installateurs ou les concepteurs pourront y accéder gratuitement via leur tablette, leur ordinateur ou leur smartphone et procéder à leurs évaluations en seulement deux demi-journées. Innovante et intuitive, elle est actuellement testée en conditions réelles pour améliorer sa pertinence technique et son ergonomie. Pour finaliser cette campagne l’équipe projet lance un appel aux maîtres d’ouvrage. Ils peuvent proposer leur(s) maison(s) et bénéficier ainsi d’une évaluation gratuite.Une évaluation en 2 temps grâce à une application mobilePour évaluer la performance énergétique des systèmes d’un bâtiment, l’équipe SEREINE a conçu une application mobile couvrant les principaux équipements de chauffage, eau chaude sanitaire, ventilation, rafraîchissement et éclairage. Contrairement à l’enveloppe, dont la performance peut être mesurée, il s’agit d’une évaluation qualitative qui consiste à vérifier que les bonnes pratiques de conception, de mise en œuvre et de réglage ont été respectées, à travers près de 200 vérifications sur 60 systèmes différents.Répartie sur deux demi-journées, cette évaluation se déroule en 2 étapes. Un audit documentaire au cours duquel l’opérateur recueille les documents, précise la configuration et vérifie des éléments de conception, à partir des informations disponibles. Et un audit sur site, avec ou sans occupants, durant lequel l’opérateur met à jour la configuration à partir de ce qu’il constate sur place, puis vérifie la bonne installation et le réglage des équipements. Cette étape passe par des constats visuels et des mesures. Une fois l’évaluation terminée, l’application génère automatiquement un rapport qui comprend une synthèse visuelle et les résultats détaillés, avec les éléments relevés, les éventuels défauts, ainsi que des recommandations de correction.Une application innovante et intuitive, à télécharger dès fin 2021Disponible dès la fin de l’année, l’application SEREINE Systèmes a été conçue pour être la plus intuitive possible et faciliter la vie des opérateurs. Pour ce faire, l’équipe projet s’est projetée dans un maximum d’utilisations possible, afin de concevoir un outil flexible qui s’adapte aux différents modes opératoires des auditeurs. Ainsi, l’application est utilisable sur tablette, comme sur smartphone ou ordinateur et peut fonctionner hors ligne. Les vérifications peuvent être réalisées dans n’importe quel ordre. L’opérateur dispose d’une aide intégrée sous forme de textes et d’illustrations pour chaque vérification. Il peut s’interrompre quand il veut et revenir en arrière ; l’application lui indique en permanence où il en est et ce qu’il lui reste à faire. Le rapport est généré automatiquement.Pour Jean-Jacques Grain, opérateur d’audit chez C.réf Bâti-Contrôle : "Maître d’œuvre depuis 30 ans, j’attends un outil comme SEREINE Systèmes depuis longtemps. Cette application, à la fois exhaustive et ciblée, que j’ai eu la chance d’utiliser, vous guide de bout en bout pour procéder aux évaluations à votre rythme et dans l’ordre que vous souhaitez. Il est impossible de passer à côté de quoi que ce soit. A l’heure où les DPE vont devenir opposables, elle va vite devenir indispensable à toute la filière. Pour la 1ère fois, elle inscrit la profession dans une obligation de résultats.»Une solution éprouvée sur le terrainPour mettre au point l’application SEREINE Systèmes, améliorer sa pertinence technique et ajuster son ergonomie, l’équipe projet l’a confrontée au terrain. Avec des tests internes mais aussi des expérimentations sur site. Des opérateurs de mesure, sélectionnés et formés, l’ont utilisée et ont formalisé des retours d’expérience. Ils seront les premiers ambassadeurs de son déploiement. Ces tests se poursuivent jusqu’à fin 2021. Les maîtres d’ouvrages qui souhaitent y participer peuvent candidater en contactant : sereine@qualiteconstruction.com.De multiples usages possiblesLes premiers utilisateurs de SEREINE Systèmes sont bien entendu les opérateurs d’audits qui évaluent la performance énergétique du bâtiment au moment de la réception des travaux. Mais l’application s’adresse aussi aux concepteurs, artisans installateurs ou metteurs au point qui peuvent en l’utiliser en autocontrôle. Enfin, la solution SEREINE Systèmes déploiera également une plateforme de données ouvertes afin de collecter les résultats anonymisés des audits, pour aider les professionnels du bâtiment et de l’énergie en faisant progresser la connaissance en matière de configurations rencontrées, de qualité et de sinistralité.Plus d'informations sur SEREINE et le programme Profeel sur le site web : programmeprofeel.fr
Il y a 3 ans et 169 jours

Travailler de manière visible en toute sécurité avec les vêtements haute visibilité de MEWA

L'automne est arrivé et apporte des jours plus maussades et plus sombres. Il est indispensable pour ceux qui travaillent à l'extérieur, de jour comme de nuit, de s'équiper de vêtements haute visibilité. Le prestataire de services textiles MEWA en propose toute une collection, conforme à la norme ISO 20471. Les différentes gammes de qualité offrent de nombreuses possibilités d'assemblage et s'adaptent aux souhaits, ainsi qu'aux besoins de leurs porteurs. Les vêtements haute visibilité de MEWA sont le bon choix en toute saison et par tous les temps !
Il y a 3 ans et 169 jours

Nouvelle application mobile JOUPLAST

Acteur majeur sur le marché des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de la société française TMP CONVERT, propose une nouvelle application de conception de terrasse simple et intuitive. Après avoir guidé l'utilisateur dans la définition de son projet, l'application gratuite JOUPLAST® pour Smartphones iOs, tablettes ou PC, fournit une liste complète de matériaux (dalles, lames bois ou composite, lambourdes, vis…) et de produits JOUPLAST® (plots, cales, fixations invisibles, support d'habillage…) nécessaires à sa réalisation. De plus, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose renseignent l'utilisateur avec un maximum de réalisme.
Il y a 3 ans et 170 jours

Conjoncture et activité de la construction métallique française en 2021

La progression de l’activité est largement soutenue par la croissance des commandes issues du secteur privé pour la réalisation de bâtiments industriels, agroalimentaires, commerciaux, logistiques et de distributions. Les constructeurs métalliques réalisent 61,1 % du marché de la construction de bâtiments industriels. Précisons que, depuis quelques années, du fait de l’évolution du e-commerce, la construction métallique répond en effet à une forte demande de constructions d’entrepôts logistiques. Si la solution métallique n’est pas toujours retenue pour la réalisation des très grands entrepôts, notons qu’elle s’avère très compétitive pour les entrepôts de 2.000 à 5.000 m2.Côté commande publique (plus rare), celle-ci soutient aussi la tendance sectorielle, grâce notamment aux lignes 16 et 17 du Grand Paris, aux installations des Jeux Olympiques Paris 2024, ainsi qu’aux nombreuses gares réalisées en constructions métalliques. Cependant, pour Roger Briand, « Force est de constater qu’aujourd’hui, si le volume d’activité est présent, les marges sont impactées par les augmentations de prix de l’acier ». En effet, avec cette augmentation, les marchés conclus ont été impactés par une perte de marge. Pour les marchés publics, les interventions du SCMF auprès du ministère de l’industrie ont ainsi permis la publication d’une circulaire de recommandations de bienveillance des acheteurs publics à l’égard des réclamations des entreprises. Certaines entreprises ont obtenu des actualisations de prix et des suppressions de pénalités de retard. « Pour les marchés privés, nous avons fait valoir auprès de nos clients l’existence de l’article 1195 du code civil relatif à la clause de l’imprévision. Dans quelques cas, cela a permis d’ouvrir la discussion avec les maîtres d’ouvrage et d’obtenir de petites compensations » explique Roger Briand avant de conclure « En ce qui concerne l’évolution des prix, nous sommes tous dans l’expectative et dans l’attente d’une baisse. »Rappelons que les entreprises de construction métallique sont, pour l’essentiel, des PME, des ETI à structures familiales et qu’elles investissent de manière régulière et conséquente dans leurs outils de production afin de maintenir leur compétitivité. Et Roger Briand de mentionner : « Les constructeurs métalliques envisagent l’avenir avec sérénité pour les six premiers mois de 2022 et ce grâce à des carnets de commandes bien remplis et des consultations nombreuses en cette fin d’année. Il reste à espérer que les prix des matières premières se stabilisent, pour permettre la reconstitution des marges des entreprises. »Conjoncture et activité des constructeurs métalliquesLa productionAprès une année 2020 fortement impactée par la pandémie, la production annuelle 2021 devrait atteindre les 780.000 tonnes, soit une croissance d’un peu plus de 8 % (marché intérieur) par rapport à 2020. « Une croissance qui va permettre d'atteindre les niveaux d'avant crise » (+ 2 % vs 2019), selon Roger Briand.Rappelons que, lorsque ce taux atteint 80 %, les industriels investissent dans leur outil de travail et construisent de nouveaux bâtiments afin d’augmenter leur capacité de production. L’activité de la profession se veut ainsi étroitement liée à ce taux d’utilisation des capacités de productions françaises. Pour Roger Briand : « Ce taux, qui avoisine 80 %, confirme la bonne situation des carnets de commandes ».Prises de position et préoccupations du SCMFRE2020 :Cette nouvelle réglementation environnementale indispensable et nécessaire pour diminuer l’émission des gaz à effet de serre dans l’acte de construire est soutenue par la profession.À ce titre, Roger Briand déclare : « Nous sommes en accord avec la nécessité d’améliorer nos bilans carbone mais nous nous heurtons à un parti pris non justifié en faveur du matériau bois. L’analyse de cycle de vie dynamique, l’ACV Dynamique retenue par le ministère de la transition écologique pour déterminer le bilan carbone du bois apporte à ce matériau un avantage inéquitable et inexplicable scientifiquement. En fin de vie par combustion ou enfouissement, le matériau bois ne conservera pas le CO2 qu’il a emmagasiné contrairement aux hypothèses de l’ACV dynamique. Le SCMF accompagné par le CTICM est intervenu à de nombreuses reprises pour dénoncer près des instances gouvernementales (DHUP, Ministère de la transition écologique) cette situation inexplicable scientifiquement. Lors de la publication de l’arrêté RE 2020 le 4 août dernier, nous avons constaté que l’ACV statique et l’ACV dynamique étaient présentés avec la même importance dans les textes.Nous en avions déduit bien logiquement que les deux méthodes de calcul reconnues dans l’arrêté étaient utilisables pour déterminer le bilan carbone de chaque matériau. L’ACV Dynamique pour avantager les matériaux biosourcés. L’ACV Statique éventuellement pour les autres matériaux. En fait, il semblerait que ce ne sera pas le cas. Seuls les règlements français vont imposer l’ACV dynamique pour tous les matériaux alors que les autres pays européens vont utiliser l’ACV Statique. L’ACV dynamique atténuera les émissions de fin de vie du bois… (par la magie, des émissions de CO2 vont disparaître), plus exactement ces émissions vont être reléguées aux générations futures (dans 50 ans). La prise en compte de ces réductions d’émission du bois va avoir pour conséquence la réduction de production de matériau recyclé.Un autre point nous interpelle : l’introduction du module D, le Module de la déconstruction enfin retenu, module qui valorise l’effet du recyclage en termes d’évitement de matière produite, mais il est raboté de 43 % par l’usage exclusif de l’ACV dynamique. Il s’agit d’une double peine pour notre filière. Ce parti pris réduit d’autant les vertus de recyclage en termes d’émission, alors que notre filière est très investie dans cette démarche et souhaite les amplifier. Le gouvernement a-t-il compris qu’en rendant exclusif l’ACV dynamique, il freine les solutions de recyclage auxquelles la filière est très attachée car elle dispose du matériau le plus circulaire de tous. Par ailleurs, nous avons bien noté dans la RE 2020 que lors de sa seconde vie un produit issu du réemploi est considéré sans impact carbone. L’éco-conception de nos structures acier vont nous permettre de développer le recyclage et surtout le réemploi de l’acier dans une seconde vie pour la réalisation de bâtiments mixtes acier, bois, béton à bilan bas carbone, en utilisant le bon matériau au bon endroit. Les ingénieurs de nos bureaux d’études et du CTICM sont déjà à l’œuvre pour définir les constructions de demain. »« REP Bâtiment » :Si l’objectif de la REP est de favoriser le recyclage et d’éviter les dépôts sauvages de déchets de démolition du bâtiment, la profession des constructeurs métalliques s’étonne là-encore par la voix de son président. Roger Briand précise en effet : « Nous pouvons d’ores et déjà affirmer fort et clair que si les constructions étaient toutes métalliques, cette REP n’aurait jamais vu le jour car nous recyclons déjà notre matériau l’acier à plus de 90 % ». Et d’interroger : « Pourquoi sommes-nous assujettis à cette éco-contribution qui va nous conduire à financer en partie les structures et dispositifs pour traiter les autres matériaux » ?Rappelons que l’un des atouts de l’acier réside dans le fait que la filière de recyclage est déjà organisée. Dès 1856, les sidérurgistes ont mis sur le marché des aciers fabriqués à partir du recyclage des aciers utilisés, grâce à la mise au point du procédé du convertisseur Martin-Siemens. Ce recyclage à l’infini de l’acier permet de diminuer le recours au minerai de fer et de protéger les réserves en ressources naturelles. Et Roger Briand de préciser : « Ce recyclage est une donnée culturelle de la filière acier particulièrement bien rodée après plus d’un siècle d’existence. La récupération des chutes d’acier provenant de nos usinages et des aciers des décharges se fait par l’intermédiaire des ferrailleurs. D’ailleurs, il existe depuis plus d’un siècle un marché et un cours de la ferraille (actuellement de 300 € /T) très suivi par les constructeurs. Nous ne pouvons pas croire que notre profession, exemplaire en matière de recyclage, en supportera les coûts ! »En effet, les métaux sont les matériaux les plus recyclés au monde. Selon Arcelor Mital, plus de 650 MT d’acier sont recyclés chaque année. Pour la Word Steel également, l’acier constitue le matériau d’excellence, puisqu’une étude gratifie déjà l’acier du taux de 85 % de recyclabilité lors d’une déconstruction/destruction de bâtiment industriel (contre 20 % pour le béton et 13 % pour le bois). Précision faite que les qualités magnétiques de l’acier facilitent sa récupération surtout les aciers du béton, beaucoup plus difficiles à récupérer. Toutefois, malgré la situation, la profession a fait le choix d’être actrice dans un éco-organisme en cours de création (Valobat, animé par Saint-Gobain) pour témoigner des atouts de matériau acier. Et Roger Briand d’indiquer : « Nos seuls objectifs d’amélioration concernent la traçabilité des aciers récupérés sur les chantiers suite à une démolition. Notre profession a décidé de se déclarer « metteur sur le marché » car nous sommes des producteurs en fabricant dans nos ateliers les pièces de la structure que nous assemblons sur les chantiers comme l’assemblage pièce par pièce d’un mécano géant. Ce choix est aussi une manière de participer à la gouvernance de l’éco-organisme et de mieux défendre notre singularité. » Et de conclure : « Un point de vigilance pour nous concerne la fabrication étrangère qui devra être soumise, comme la fabrication française, à l’éco contribution pour nous éviter une concurrence déloyale. Nous veillerons aussi sur le fait que les montants de cette éco-contribution soient visibles sur les facturations pour en permettre une vérification ou éviter des surfacturations en cascade ».Le recrutement :Autre sujet d’importance pour le SCMF et les professionnels de la construction métallique, le recrutement. La profession se heurte en effet depuis des années à des difficultés sur l’ensemble des postes de la filière. Pour Roger Briand : « Pas assez connu et reconnu, notre métier souffre d’une image dégradée qui n’attire pas suffisamment l’intérêt des chercheurs d’emplois et des jeunes étudiants. Notre image doit devenir celle de la réalité pour attirer plus encore les jeunes vers nos métiers. »Si le SCMF va reprendre et intensifier ses actions auprès des collèges et lycées, il est conscient qu’il doit faire preuve de pédagogie pour former ses futurs ingénieurs, techniciens supérieurs, opérateurs sur machines à commande numérique, conducteurs de travaux…En effet, trop souvent encore, les métiers de la construction métallique sont associés à ceux de la sidérurgie, ce qui est bien loin de la réalité. Aujourd’hui, les ateliers des constructeurs disposent de lignes de fabrication automatisées résolument très performantes, ainsi que des sites industriels orientés vers la numérisation et la robotisation, comparables à celles des unités de montage d’automobiles ou des ateliers de mécanique. Et le SCMF tient à le faire savoir notamment au travers de l’APK (association pour le développement des formations de la construction métallique) qui tient un rôle majeur pour la formation et le recrutement des professionnels de la construction métallique.Construction métallique et gares : mise en lumière de 3 référencesLa gare de Rennes :Pierre Raymond, Directeur général GAGNE-Groupe BRIANDPour accueillir un flux de voyageurs toujours plus nombreux (30 millions prévus d’ici 2040), SNCF Gares & Connexions a lancé entre 2015 et 2019 une vaste opération de restructuration de la Gare de Rennes. Ce projet prend notamment en compte l’accueil de la ligne à grande vitesse Bretagne-Pays de la Loire avec l’adaptation des ouvrages liés à l’augmentation des flux des voyageurs grande ligne et en correspondance mais aussi la mise en place d’une intermodalité globale entre les différents modes de transports : le train, les lignes de métro, les flux automobiles et piétons, les modes doux et les transports de bus urbains et interurbains.Il aura fallu presque dix ans, dont la moitié d’études, pour achever la métamorphose de la gare de Rennes. Ainsi, les architectes se sont inspirés de l’emblématique forêt de Brocéliande pour récréer une nappe de brume au-dessus d’un bois jonché d’arbres. Cette transformation s’inscrit dans un projet urbain de paysage construit reliant le nord et le sud de la gare, enjambant les voies ferrées.Une toiture en ETFE fournit un apport de lumière naturelle important sur l’ensemble des niveaux avec, à la clé, une ambiance lumineuse assurant une transition entre les espaces souterrains et la gare haute.La société Gagne a réalisé la charpente métallique, la couverture, les façades, ainsi que les structures de passerelles. Cela représente la mise en œuvre d’une ossature métallique de près de 1 000 tonnes, l’installation de 2 000 m2 de façades vitrées et de 300 m2 de toiture ETFE.Maître d’ouvrage : SNCF Gares & ConnexionsMaîtrise d’œuvre et conception : SNCF G&C et ArepArchitectes : J-M. Duthilleul, E. Tricaud, F. Bonnefille, R. RicoteBureau d’études structures : MaP3Constructeur métallique : GagneAménagement des gares de Pont de Rungis et Maison BlancheJulien FRACCAROLI (FAYAT METAL Grands Projets)Réfléchies dans une logique d’optimisation de l’espace, ces deux gares combinent une architecture métallique, de grandes portées et même des voûtes pour celle de Pont de Rungis. Leur réalisation requiert toute l’expertise technique de FAYAT METAL GRANDS PROJETS à travers les 6 500 heures prévues sur les études d’exécution mais également pour répondre aux exigences BIM du projet. L’ambition architecturale sur la gare de Pont de Rungis se décline par la mise en œuvre d’arches en PRS de 35 mètres de portée sur lesquelles viennent se reposer les poutres treillis de 25 mètres supportant la toiture. Les 500 tonnes de charpente métallique seront pourvues de traitement anticorrosion galvanisé et de peinture intumescente afin de répondre aux critères de tenue au feu de l’ouvrage.Le faux-plafond architecturé et vouté de cette gare représente une surface de 2 000 m2 où toute l’expertise en verre et métal de l’entreprise ACML – Division Fayat Metal – s’est démontrée. Les 3 000 m2 d’habillage intérieurs en inox, les façades en murs rideaux et les 3 000 m2 de couverture en Riverclack viennent compléter les prestations confiées à FMGP comme entreprise générale du métal. Le défi est de taille : le montage du clos-couvert est prévu au printemps 2022 avec en ligne de mire l’ouverture de ce tronçon pour les jeux olympiques de Paris de 2024.Maître d’Ouvrage : Société du Grand Paris (SGP)Maître d’Ouvrage Délégué : RATPMaîtrise d’œuvre : ELIOS groupement Setec et SystraArchitecte Gare de Maison Blanche : Groupe 6Architecte Gare de Pont de Rungis : Valode & PistreEntreprise générale : Razel BecCharpente métallique, façades, plafond voûté, couverture : Fayat Metal Grands Projets, ACML.Gare de Corbeil-EssonnesGuillaume ALBAN (Société Legrand)Entreprise familiale fondée en 1956 par René LEGRAND et son épouse, LEGRAND se développe rapidement dans le domaine du génie civil ferroviaire, de la signalisation et de la serrurerie. Elle participe ainsi à de nombreux travaux d’aménagements pour la SNCF (construction et levage de pylônes, éclairage, pose de câbles, électrification, …) et choisit de diversifier sa clientèle (PTT, devenu France Télécom, dès 1970, EDF depuis 1992, opérateurs de télécommunications à la fin des années 1990) comme ses activités (Département Construction Métallique en 1981, Bureau d’Etudes de piquetage en 1990, pose de fibres optiques dès 1992, ingénierie de réseaux de télécommunication depuis 2000). La société LEGRAND est d’ailleurs associée directement au développement des grandes infrastructures ferroviaires qui ont marqué la fin du XXe siècle et le début du XXIe : rénovation et modernisation du réseau ferroviaire (électrification, signalisation, …), construction des lignes nouvelles TGV (en France depuis la LGV Paris Lyon jusqu’aux LGV Est et Tours-Bordeaux, mais aussi en Angleterre), construction et aménagement des gares (couvertures métalliques, passerelles piétonnes, vidéosurveillance, éclairage, …). Elle est ainsi devenue pour RFF et la SNCF le leader incontesté de la pose d’artères câbles ferroviaires, un acteur majeur en signalisation ferroviaire et construction métallique. L’innovation dans de nombreux domaines a toujours été une préoccupation majeure de l’entreprise LEGRAND : informatisation en 1973, création de machines de pose mécanisée de câbles en 1978, conception et dépôt de brevets de chambres de tirage préfabriquées en 1985, robotisation de la production en métallerie en 1991, création d’une structure spatiale pour des nappes métalliques de grande portée en 2001… En 1996, la société LEGRAND a franchi une nouvelle étape de son développement lorsque les principaux cadres se sont réunis pour en assurer la pérennité, préférant ainsi conserver leur indépendance au lieu de voir leur outil de travail se fondre au sein de l’anonymat d’un groupe.L’ouvrage réalisé à la Gare de Corbeil-Essonnes est une passerelle métallique droite en plan et de profil en long horizontal, d’une longueur totale de 49,79 mètres composée en 4 travées (9,18 m, 13,27 m, 12,83 m, 14,51 m). Chacun des 5 appuis (P0, P1, P2, P3 et P4) est constitué d’un escalier et de poteaux, et comprend une tour d’ascenseur. L’accès à la passerelle s’opère depuis les quais et la gare routière Emile Zola par les 5 escaliers et 5 ascenseurs. Le tablier de la passerelle (largeur utile de 3 mètres) est une structure continue à section constante, avec caisson métallique à intrados courbe de hauteur maximale 0,80 m et de largeur 3,60 m. Il repose sur deux appareils d’appui sur chaque appui, disposés au droit des âmes intérieures du caisson, avec un point fixe sur l’appui P2 réalisé à l’aide de deux appareils d’appui fixes permettant le blocage longitudinal de l’ouvrage.Notons que le tablier repose sur deux appareils d’appui libres sur les autres appuis de la structure, permettant un déplacement dans le sens longitudinal et que les structures métalliques des tours d’ascenseurs sont indépendantes de la structure porteuse de la passerelle. Précisons aussi que les tours d’ascenseurs et les poteaux de la structure porteuse du tablier prennent appui sur une fondation commune qui prend la forme d’une semelle fondée sur neuf micropieux et que les pieds d’escaliers reposent également sur une semelle fondée sur quatre micropieux. Sur le tablier et les paliers d’ascenseurs, la hauteur des protections caténaires et anti-vandalisme est de 2,50 m.Mentionnons que ces protections sont composées d’une partie supérieure en maille tissée inox, et d’une partie inférieure en tôle inox martelé sur tablier et en maille tissée inox sur paliers d’ascenseurs. La pente transversale unique à 1.5 % du platelage supérieur assure, quant à elle, l’écoulement des eaux vers la rive côté ascenseurs, dans un caniveau fil d’eau. Les eaux, récoltées par des avaloirs, sont ensuite évacuées par gravitation dans des conduites logées le long des poteaux structurels et raccordées au réseau d’assainissement des quais.Les marches d’escalier et les paliers (d’escaliers et d’ascenseurs) sont exécutés en béton, avec des bandes antidérapantes sur les nez de marches et les bandes podotactiles incrustées en haut de chaque volée de marches. Si les marches présentent un recouvrement de 5 cm, notons que les premières et dernières de chaque volée sont pourvues d’une contremarche. Le montant hors taxe des travaux s’élève à environ 5,6 M€ (génie civil + passerelle métallique). Concernant la passerelle métallique seule, elle a nécessité un peu plus de 1 500 heures d’étude (dimensionnement et dessin), 1 200 heures d’encadrement travaux et, enfin, 12 000 heures de fabrication atelier. Gestion de flux de circulation oblige, la pose s’est opérée lors de deux week-end « coup de poing », sous consignation caténaire avec un délai d’exécution de 22 mois à compter de la date T0 fixée par l’ordre de service.Maître d’ouvrage (MOA) :SNCF Réseau - Direction Régionale Île-de-France - Plateau commun SDAMaître d’ouvrage Mandaté (MOAD) : SYSTRA - Pôle des Mandats deMaîtrise d’ouvrage Maître d’œuvre général (MOEG) : Groupement EGIS Rail / Strates OAMandataire du groupement : Razel Bec /Lang TPCo-traitant/Constructeur métallique : Legrand S.A.
Il y a 3 ans et 170 jours

Sourcéa La nouvelle peinture biosourcée signée Onip

Une peinture éco-conçueSourcéa est une peinture pour la protection et la décoration des murs et plafonds intérieurs, formulée à base de résine alkyde en émulsion biosourcée à 97%.Labellisée Ecolabel, Sourcéa est la première peinture du marché affichant sa conformité à la norme NF/EN 16640 et son taux de plus de 54% de carbone biosourcé. Formulée sans polluants volatils, sans métaux lourds, sans nanomatériaux ni agents toxiques, Sourcéa bénéficie d’un taux de COV < 1g/L, contribuant ainsi à la qualité de l’air intérieur.Une peinture polyvalente et performante2 en 1, la peinture Sourcéa peut s’utiliser à la fois en couche d’impression et en couche de finition. Son aspect mat-velouté et sa finition pommelée fine très tendance la rendent idéale pour la décoration des murs et des plafonds dans toutes les pièces à vivre.Adaptée aux chantiers neufs comme aux travaux de rénovation, Sourcéa offre un accrochage parfait en impression et une excellente couvrance, qui garantissent une opacité optimale en 2 couches.Une peinture conçue pour faciliter le travail des peintresLa nouvelle peinture biosourcée Sourcéa d’Onip offre un confort d’application optimal sans projection ni reprise à la brosse acrylique, au rouleau ou à l’airless, ainsi qu’un bon temps ouvert. Son rendement élevé (12 m²/L) et son séchage rapide (2h au toucher) permettent aux peintres de gagner du temps sur les chantiers.Une personnalisation à la carteConditionnée en pots de peinture blanche de 1L, 3L et 10L, Sourcéa peut être teintée dans plus de 1200 coloris grâce au système de mise à la teinte COLOR’ONIP.Caractéristiques techniquesAspect : mat veloutéRendement : 12 m²/L par coucheConditionnement : 1L, 3L et 10LPrix public HT conseillé :Sourcéa 1L : 21,82 € HTSourcéa 3L : 59,70 € HTSourcéa 10L : 167 € HTDistribution : réseau ONIP
Il y a 3 ans et 170 jours

Alphi : La maison du “prendre soin”

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. De gauche à droite, Alexandre et Philippe Souvignet, respectivement Pdg et directeur général d’Alphi. [©ACPresse] “Prendre soin”. Pour Alexandre Souvignet, Pdg de la société Alphi, ces deux mots constituent une véritable philosophie d’entreprise. Ils en sont même à l’origine.&nbsp;«&nbsp;Quand mon père, Edmond, a fondé Alphi, en 1995, il avait une idée très précise en tête. Il voulait créer des outils qui protègent les compagnons sur les chantiers.&nbsp;» C’est-à-dire des coffrages pour dalles, dont le poids reste acceptable, sans pénibilité dans leur mise en œuvre, qui ne provoquent pas de TMS sur le long terme&#8230; Mais aussi des coffrages fabriqués en France, avec une matière première française. Si Pechiney, le champion national de l’aluminium, a disparu depuis cette époque, la doctrine n’a pas bougé. Le “prendre soin” &#8211; ou “Care Management”, en anglais &#8211; continue à guider Alphi dans ses choix comme dans ses décisions stratégiques.&nbsp; Inauguré mi-octobre dernier, le tout nouveau siège de l’entreprise en est une parfaite illustration.&nbsp;«&nbsp;Nous commencions à être quelque peu à l’étroit dans nos anciens bureaux,reprend Alexandre Souvignet.&nbsp;Nous avions besoin de locaux plus spacieux, très identifiables, en adéquation avec notre développement et nos ambitions.&nbsp;»Le cahier des charges a été défini sur cette base.&nbsp;S’y est ajoutée une volonté d’être en phase avec son temps, d’où une réalisation HQE.&nbsp; Comment bien vivre ensemble&nbsp;? Si la conception avançait bon train, un petit grain de sable faisait grincer les rouages.«&nbsp;Quelque chose me gênait, manquait à ce projet&#8230;&nbsp;»Une réalisation, aussi belle soit-elle, ne peut pas être une fin en soi.&nbsp;«&nbsp;Nous nous sommes posé une question simple&nbsp;: comment &#8211; bien &#8211; vivre ensemble dans ce bâtiment&nbsp;?&nbsp;»&nbsp;Alphi existe par et pour ses clients. Mais aussi à travers ses collaborateurs.&nbsp;«&nbsp;Nous avons alors associé l’ensemble du personnel à ce projet. Ceux qui travailleront au siège comme ceux basés sur nos autres sites.&nbsp;»Des visites ont été organisées au sein d’entreprises innovantes, pour voir comme y est appliquée la notion du “vivre ensemble”. Les collaborateurs ont beaucoup échangé, imaginé des choses, donné leurs avis, leurs idées&#8230;&nbsp; Lire aussi : Alphi inaugure son futur Pour Alphi, le résultat &#8211; son nouveau siège &#8211; est opérationnel depuis quelques mois, implanté sur la commune de Méry, juste à côté d’Aix-les-Bains, en Savoie.&nbsp;«&nbsp;La localisation du nouveau siège de l’entreprise est très proche de l’ancienne adresse, insiste Alexandre Souvignet.&nbsp;Il était important que nos collaborateurs ne perdent pas en confort et en habitudes d’accès.&nbsp;»Le “prendre soin”, toujours, qui permet de garder intact la motivation de chacun.&nbsp;Une coach est même présente dans les locaux, à mi-temps. Elle aide les collaborateurs à exprimer leur potentiel, à développer leur talent. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Adresse*Code postal*Ville*Pays*Code promoJe m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"12":{"price":false,"value":false},"13":{"price":false,"value":false},"14":{"price":false,"value":false},"15":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"12":[],"13":[],"14":[],"15":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 3 ans et 170 jours

Juridique : L’intégration de matériaux recyclés dans la construction

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Le recyclage est l’opération par laquelle la matière première d’un déchet est utilisée pour fabriquer un nouvel objet.[©ACPresse] Le secteur du BTP génère 230 Mt/an de déchets. Dans le bâtiment, plus de 90 % de ces déchets proviennent de la déconstruction et de la réhabilitation. Les enjeux de leur réutilisation sont l’économie de ressources limitées, le gain en compétitivité et la préservation de l’environnement. A ce titre, le tri des déchets à la source, avec valorisation et traçabilité, semble la solution la plus crédible. Un objectif de réutilisation ou recyclage de 70 % a d’ailleurs été fixé par le gouvernement.&nbsp; I &#8211; Traitement des déchets La loi anti-gaspillage et relative à l’économie circulaire (Agec) du 10 février 2020 a précisé le&nbsp;“principe de responsabilité élargie du producteur (Rep1)”, selon lequel tout producteur de déchets devient contraint, non plus simplement à gérer les déchets produits. Mais aussi à participer à l’éco-conception des produits, à favoriser l&rsquo;allongement de leur durée de vie, et à contribuer au traitement et au recyclage de ses déchets. Ceci, notamment par la mise en place collective, par les producteurs,&nbsp;“d’éco-organismes agréés auxquels ils transfèrent leur obligation et versent en contrepartie une contribution financière”. Il est ainsi fait obligation au fabricant d’un produit qui génère des déchets de financer sa fin de vie. La loi Agec soumettra les produits et matériaux de construction à ce principe de Rep au plus tard le 1er janvier 2023. Un décret en Conseil d’Etat va venir en définir les modalités d&rsquo;application, ainsi que les conditions minimales du maillage des points de reprise. II &#8211; Réutilisation des déchets Le réemploi est l’utilisation à nouveau d’un bien pour un usage identique à son usage initial (châssis, coffrages, vitrages par exemple). La&nbsp;réutilisation permet à un déchet d’être utilisé à nouveau pour un usage différent (réutilisation de poutres en bois pour du mobilier ou des cloisons). Le&nbsp;recyclage, lui, est l’opération par laquelle la matière première d’un déchet est utilisée pour fabriquer un nouvel objet (granulats recyclés réintroduits dans du béton, laitiers sidérurgiques incorporés dans du ciment…). Si un tri des produits de construction est effectué par un opérateur habilité, ceux destinés au&nbsp;réemploi ne prennent pas le statut de déchet2. Ils échappent ainsi naturellement à toute obligation au titre de la Rep ou d’une simple valorisation et traçabilité des déchets.&nbsp; La mise en œuvre des obligations d’utilisation de matériaux&nbsp;réutilisés&nbsp;ourecyclés relève, pour l’instant, de la compétence des conseils régionaux, afin de tenir compte des spécificités de chaque territoire. Néanmoins, la pratique inclut de façon presque systématique la stipulation de ces obligations d’utilisation de matériaux&nbsp;réutilisés ou&nbsp;recyclés dans les appels d’offres de lots dédiés. Tout comme leur intégration dès le projet architectural, le&nbsp;sourcing de fournisseurs locaux, la conclusion de contrats de cession entre maîtres d’ouvrage producteurs et maîtres d’ouvrage utilisateurs, et la désignation d’un bureau de contrôle.&nbsp; Par ailleurs, les pouvoirs publics font preuve d’une volonté générale d’aide au développement de ces pratiques, telle par exemple une tolérance de 10 % de hauteur supplémentaire des bâtiments par rapport au plan local d’urbanisme (PLU) en cas d’utilisation de matériaux recyclés. Attention cependant, réemploi et réutilisation supposent une expertise technique (du matériau comme du procédé constructif associé), afin d’apporter une nouvelle garantie sans surprime d’assurance, d’une part. Et afin de respecter les normes techniques applicables3, d’autre part. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats [1]Code de l&rsquo;environnement, art. L.541-10.2id., art. L.541-4-4.&nbsp;3Notamment NF EN 206/CN et NF EN 15804/CN. Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 170 jours

Côtes-d’Armor : Perin & Cie bascule chez Marcotte

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La centrale à béton de l’usine Perin & Cie de Saint-Maudez est la première à avoir basculé vers la solution Marcotte. [©ACPresse] Hasard du calendrier, le groupe Perin & Cie a profité des périodes de confinement pour commencer le basculement de ses centrales à béton vers un nouvel automatisme de pilotage. « Nous avons fait le choix de la solution proposée par le Canadien Marcotte », indique Dominica Lizarazu, directrice générale du groupe industriel breton. La première unité à avoir adopté le système n’est autre que l’usine de Saint-Maudez,&nbsp; (dont l’ouverture est intervenue en 2019). Suivie par celle de Vern-sur-Seiche. « Nous avons profité de l’arrêt pour refaire le stockage à granulats de la centrale à béton, mission confiée à Fameto. » Noyelle-Pontivy est le site suivant sur la liste. Au total, Perin a programmé cette migration au niveau de ces six unités de production, avec la fin 2022 comme date butoir. « Nous avons bénéficié d’une aide de la région dans le cadre du Plan France Relance, sur le volet “numérisation” », reprend Dominica Lizarazu.&nbsp; Lire aussi les autres actualités en région Avec le système Marcotte, le groupe Perin estime entrer dans une nouvelle dimension, en termes de modernité, de fiabilité et de précision. « Au moment du choix, l’ensemble des collaborateurs ont beaucoup apprécié l’ergonomie globale de l’application. » Les fonctions intelligentes du système Marcotte permettent d’ajuster la quantité requise de chaque constituant de lot, en temps réel, pendant l’exécution du lot. Tout en préservant les ratios clefs et le rendement volumétrique. Une de ses particularités du système est aussi d’offrir une très grosse sécurité quant à un redémarrage du système de pilotage de la centrale à béton. Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 171 jours

Sto accompagne les artisans pour gagner en productivité

Au travers d'une campagne à destination des artisans, au slogan accrocheur « L'avenir appartient à ceux qui se lèvent Sto », le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, livre une palette d'astuces pour gagner en productivité.Des astuces pour soutenir l'activité intense d'un secteur de relance prioritairePorté par le gouvernement au travers du dispositif d'aides MaPrimeRénov' et les objectifs climatiques à atteindre, le secteur de la rénovation énergétique en maison individuelle est en pleine effervescence. Les ménages doivent également faire face à l'augmentation des prix d'énergie. Conséquence : les professionnels de l'isolation de façade par l'extérieur sont actuellement très sollicités et donc volontiers preneurs de pistes pour « faire mieux, plus vite » ; en tant que fabricant leader de l'ITE, c'est le rôle de Sto que de leur simplifier la tâche.Déployée en plusieurs volets « Je me lève Sto pour… », la campagne a démarré en septembre et durera jusqu'à la fin de l'année 2021. Les bons produits, les bons outils, les bonnes pratiques sont au cœur de la campagne. Preuve que Sto pense à tout, dans le moindre détail ! Seront ainsi à l'honneur :la création d'un appui de fenêtre parfait (tablette + appui)la réalisation d'un encadrement parfaitla réalisation d'un chaînage d'anglela réalisation d'un arrêt d'enduit parfait aux jonctions menuiseriesla réalisation d'un bandeau filantla réalisation d'un départ parfait (profil à clipser)des coupes parfaitesune interview de Benoist Catroux, formateur – animateur chez StoChaque astuce se présente sous la forme d'une checklist téléchargeable en PDF, comprenant les produits nécessaires, les bons outils et les étapes de pose, accompagnée d'une vidéo d'application.L'ensemble des astuces seront dévoilées au fur et à mesure via une communication omnicanale sur : le site internet www.sto-facade.fr, les réseaux sociaux de l'entreprise (chaîne YouTube, LinkedIn, Instagram). Des e-newsletters sont également envoyées aux clients et prospects de Sto.Par ces astuces, ces courtes vidéos, ces « listes pré-formatées » pour ne rien oublier, Sto répond aux attentes formulées par les artisans poseurs d'ITE en maison individuelle, avec toujours cette particularité propre à l'entreprise de vente directe exclusive.Focus sur les premiers produits dévoilésL'appui de fenêtre StoDeco Frame F Type AF offre une solution deux en un, tablette et appui, afin d'apporter du relief et de la protection à votre façade, en rénovation comme en neuf, quelle que soit la configuration de la fenêtre. Ce matériau minéral est un réel atout pour le confort de l'habitat avec une efficacité éprouvée contre les intempéries.L'encadrement de fenêtre StoDeco Frame Type N apporte du relief à la façade. Polyvalents, ces modèles de profils de volumétrie simple type planche s'utilisent également en partie courante pour réaliser un chaînage d'angle. Ils sont facilement ajustables directement sur le chantier à l'aide d'une scie avec lame spéciale.Le profil d´arrêt menuiserie Sto-Profil Pro avec compribande et fibre de verre intégrés permet de réaliser des raccordements étanches et durables (dormants de fenêtres et de portes, rails de volets roulants) des systèmes d'isolation de façades.
Il y a 3 ans et 171 jours

SOLUTION GARAGE : IP SOL ET PE SOL Cecil Professionnel – La haute protection des sols en béton, ciment

Lorsqu’il reste brut, le sol d’un garage ou d’un sous-sol, qu’il soit en béton ou en ciment, peut s’effriter et produire de la poussière. Il a besoin d’une finition pour le protéger de l’usure, des frottements liés au trafic, des taches&#8230; Applicable sur tous les types de béton et de ciment, le système impression IP SOL et finition PE SOL de Cecil Professionnel apporte aux surfaces une protection optimale à l’abrasion et aux passages répétés des voitures mais également aux taches. Conçues et fabriquées en France, l’IP SOL et la PE SOL sont des produits de haute qualité. Leur efficacité, notamment leur résistance aux frottements, a été prouvée par un test normalisé de résistance à l’abrasion. Ce test permet de mesurer la résistance à l’usure du film de peinture (perte de masse de l’échantillon peint, perte de brillance, craquelage…) et confirme une résistance à l’abrasion supérieure à 4000 cycles. L’impression IP SOL et la finition PE SOL s’utilisent sur tous les types de sols en intérieur comme en extérieur sous abri : garages, sous-sols, balcons abrités, ateliers, et sur tous types de supports : ciment, béton, planchers bois, briques&#8230; &nbsp; IMPRESSION &#8211; Fixateur de sol IP SOL Consolide les fonds friables Le primaire IP SOL Cecil Professionnel renforce et durcit en profondeur les sols farinants, friables, peu cohésifs (ciment, béton…). Sa formule assure une excellente pénétration dans les supports et régularise la porosité. L&rsquo;IP SOL optimise ainsi l’adhérence de la peinture PE SOL, augmente sa résistance et sa durabilité. En phase aqueuse, elle offre un grand confort d’application : séchage rapide et sans odeur gênante. Teinte : incolore – Conditionnement : 0,5 L – 2,5 L &#8211; Prix de vente conseillé 2,5 L : 56,92 euros HT Points de vente : Négoces en matériaux &nbsp; FINITION &#8211; Peinture PE SOL Haute résistance au trafic, aux taches et à l’abrasion La peinture PE SOL Cecil Professionnel est spécifiquement formulée pour former un film très dur et très résistant sur tout type de sol. Grâce à la technologie Polyuréthane, elle résiste aux conditions extrêmes des garages et des sous-sols : passages répétés des voitures, taches d’huile et de graisse, échauffement important des pneus lors des démarrages… Cette peinture d’aspect brillant bénéficie d’un rendu lisse et est très résistante aux rayures, aux chocs et aux poinçonnements d’outils. A noter : Il est conseillé d’attendre environ 3 mois avant de peindre un sol neuf. Teinte : blanc, sable, gris clair, gris foncé, rouge brique – Conditionnement : 0,5 L – 2,5 L Prix de vente conseillé 2,5 L : 79,57 euros HT &#8211; Points de vente : Négoces en matériaux &nbsp; NETTOYANT NET SOL : Elimine la laitance NET SOL Cecil Professionnel est un nettoyant spécifique qui sert préalablement à décrasser les sols, à éliminer la laitance des ciments et les efflorescences, et à augmenter la porosité pour faciliter l’accroche de la peinture. Conditionnement : 1 L &#8211; Prix de vente conseillé : 14,69 euros HT Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 171 jours

BOSCH PROFESSIONAL – Nouvelles perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo : Les premiers outils dotés du système électronique de détection d’angle

Une progression de travail ultra rapide Bosch lance sur le marché les premières perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil BITURBO : la GSR 18V-150 C Professional et la GSB 18V-150 C Professional. Leur moteur haute performance sans charbon combiné à la batterie ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), offre un rendement très élevé. Avec un couple maximal de 150 Nm et jusqu’à 2 200 tours par minute, les deux outils garantissent une progression de travail rapide dans de multiples matériaux, notamment le bois, le métal et la maçonnerie. Dans les applications de vissage doux, leur couple est de 84 Nm, soit 15 % de plus que le meilleur modèle du marché. Puissantes, avec la batterie ProCore18V de 8,0 Ah, ils peuvent ainsi visser jusqu’à 12 vis mesurant 12 x 400 mm dans du bois tendre, une performance inégalée jusqu’à présent. &nbsp; La fonction « Electronic Angle Detection » (EAD), une première sur le marché La GSR 18V-150 C Professional et la GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch sont parfaitement adaptées à la construction de maisons bois, de toits, de charpentes et toutes les applications nécessitant de grands diamètres de vissage et de perçage. Grâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique&#8230; Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée  les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant. L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Pour activer la fonction EAD, l’utilisateur choisit une valeur d’inclinaison puis place l’outil sur la pente jusqu’à ce que la valeur soit enregistrée. Une LED intégrée à l’arrière de l’outil s’allume en vert dès que l’angle réglé est atteint. Si l’angle est plus bas ou plus élevé de plus de ±3 degrés, la LED s’allume en jaune afin d’ajuster en conséquence. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précis. &nbsp; Une protection élevée de l’utilisateur Pour une utilisation plus sûre, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch se caractérisent également par une protection élevée de l’utilisateur grâce au KickBack Control. Si l’outil se coince ou tourne brusquement sur son axe de perçage, le capteur intégré coupe le moteur en une fraction de seconde. Elle évite les risques de blessures. Si le KickBack Control n’est pas nécessaire pour certaines applications, par exemple lors du perçage avec une scie cloche, les utisateurs peuvent activer et désactiver la fonction selon leurs travaux de vissage ou de perçage. &nbsp; Des outils robustes et ergonomiques D’une grande fiabilité et d’une grande robustesse, les  les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO sont dotées d’un mandrin métallique et d’un mécanisme d’engrenage tout en métal, ce qui accroît la longévité des machines. Leur design compact et ergonomique leur confère une bonne prise en main. Une poignée supplémentaire garantit aux artisans de toujours avoir leur outil sous contrôle. Elle peut être verrouillée dans 36 positions pour une flexibilité maximale. Les perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Elles sont compatibles avec les anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage. &nbsp; Prix de vente conseillés : GSR 18V-150 C en L-Boxx : à partir de 309 € H.T (version solo) GSB 18V-150 C en L-Boxx : à partir de 309 € H.T (version solo) Points de vente : Négoces en matériaux, Fournitures industrielles
Il y a 3 ans et 171 jours

Les facteurs indispensables pour réussir la préparation de votre enduit de façade

Concrètement, des travaux de ravalement de façade doivent être planifiés au préalable compte tenu des nombreuses étapes à respecter. A savoir : le diagnostic, le traitement, l’isolation et la finition qui nécessitent à chaque fois la maîtrise de techniques spécifiques dans ce domaine. Il s’agit entre autres de la pose d’enduit constitué par un mortier, afin d’uniformiser votre revêtement et rénover votre devanture selon le design de votre rêve. De plus, il a pour finalité d’assurer la protection de votre support de façon durable contre les agressions extérieures et les intempéries. Raison pour laquelle il est préférable de faire appel à une entreprise de ravalement pour prendre en charge les opérations et garantir leur qualité. Choisir le type d’enduit idéal Dans la pratique, vous avez la possibilité d’opter pour une solution monocouche ou un procédé en multicouche qui comprend trois étapes distinctes. A commencer par l’application du gobetis qui correspond à la couche d’accrochage, essentielle pour assurer l’adhérence de la seconde couche au revêtement. Par la suite, vous pouvez entreprendre la pose d’un sous-enduit, afin de réussir à aplanir la surface de votre devanture, avant d’appliquer l’enduit de finition. Ce dernier vous permet de choisir l’aspect esthétique final de vos murs, selon le rendu souhaité et de la couleur du crépi recherchée. Cependant, il est important de considérer des éléments majeurs au préalable, car ils peuvent impacter sur le bon déroulement de votre projet. Il s’agit notamment du budget de l’ensemble de vos travaux extérieurs en vous basant sur le prix au m — de l’enduit de façade sélectionné. Ce devis se fera en fonction de différents critères, tels que : La nature du bâti (pierre, bardage en bois, brique…), Le type de matériaux utilisés, L’état des murs à rénover. Prendre en compte les éléments préalables Pour mener à bien ce type de chantier, vous devez effectivement prévoir différentes étapes, telles que : L’estimation de la surface des murs à couvrir, Le niveau de difficulté de mise en œuvre de l’enduit, selon le procédé choisi : projection mécanique ou avec technique manuelle, la préparation du chantier, la pose de l’échafaudage, le choix des produits et des matériaux requis pour le traitement, les travaux d’isolation thermique nécessaires, l’application de la protection du revêtement (façade,, mur, bardage…), les touches de finition indispensables. De la même manière, il essentiel de choisir au préalable le rendu final de l’apparence que vous souhaitez obtenir : projeté ou lissé, taloché, effet gratté, ribbé… Pareillement, vous aurez à sélectionner la couleur et les teintes adaptées à votre design pour parfaire l’aspect esthétique de votre devanture. D’autres facteurs à l’instar du type de votre bâtiment sont également pris en compte, car la particularité des interventions dépendra de cet élément. Ainsi, c’est utile de connaître si l’opération se fera sur une façade de maison individuelle, sur un mur de logement en copropriété ou celui d’un immeuble. Bref, la réalisation des travaux de ravalement de façade exige un minimum de préparation, principalement si vous aspirez à obtenir une belle finition. Ce qui implique l’importance de faire appel à une entreprise de ravalement  notamment pour vous aider à choisir le meilleur enduit de façade.
Il y a 3 ans et 172 jours

La FFB demande au ministre du budget une mesure fiscale exceptionnelle

Face à une hausse ininterrompue du coût des matériaux depuis près d’un an, la FFB plaide pour une mesure exceptionnelle de soutien à la trésorerie des entreprises : le remboursement immédiat de toute créance de « carry-back » constatée, a minima, jusqu’à la fin du premier trimestre 2022. Ce dispositif revient à imputer le déficit de l’année en cours sur le bénéfice de l’année précédente, qui a donné lieu au paiement de l’impôt sur les sociétés. La FFB demande que le « trop payé » au trésor public, découlant de cette imputation, soit reversé aux entreprises en difficulté. Pour les finances de l’Etat, l’opération est neutre puisqu’il s’agit d’un lissage de l’impôt dû sur plusieurs années. Le président de la FFB, Olivier Salleron, l&rsquo;a proposé au ministre du Budget, Olivier Dussopt, lors d’un rendez-vous, à Bercy, le mardi 30 novembre 2021. La dernière lecture du projet de loi de finances à l’Assemblée Nationale est l’ultime occasion pour apporter une réponse concrète aux entreprises confrontées à cette situation. Olivier Salleron a également demandé de prolonger d’une année le crédit d’impôt en faveur de la rénovation énergétique des locaux tertiaires des TPE/PME. Voté en 2021, ce dispositif n’a pu bénéficier pleinement aux entreprises, compte tenu d’une publication tardive des décrets d’application. Or, il s’agit d’une mesure positive tant pour l’activité que pour la préservation de l’environnement. Source : FFB &nbsp;
Il y a 3 ans et 172 jours

Reçue par le ministre du Budget, la FFB demande une mesure fiscale exceptionnelle

Ce dispositif revient à imputer le déficit de l’année en cours sur le bénéfice de l’année précédente, qui a donné lieu au paiement de l’impôt sur les sociétés. La FFB demande que le « trop payé » au trésor public, découlant de cette imputation, soit reversé aux entreprises en difficulté. Pour les finances de l’Etat, l’opération est neutre puisqu’il s’agit d’un lissage de l’impôt dû sur plusieurs années.C’est cette proposition qu’a exposé le président de la FFB au ministre du Budget lors d’un rendez-vous, à Bercy, ce matin. La dernière lecture du projet de loi de finances à l’Assemblée Nationale est l’ultime occasion pour apporter une réponse concrète aux entreprises confrontées à cette situation.Olivier Salleron a également demandé au ministre Olivier Dussopt de prolonger d’une année le crédit d’impôt en faveur de la rénovation énergétique des locaux tertiaires des TPE/PME. Voté en 2021, ce dispositif n’a pu bénéficier pleinement aux entreprises, compte tenu d’une publication tardive des décrets d’application. Or, il s’agit d’une mesure positive tant pour l’activité que pour la préservation de l’environnement.Olivier Salleron, président de la FFB, alerte : « Cette crise des matériaux peut saper tout le travail de relance mené depuis des mois et menacer l’emploi dans le secteur. Or, pour éviter ce gâchis, il n’y a pas trente-six solutions à court terme. Le remboursement immédiat de la créance de carry-back est le seul moyen direct pour parer à cette situation. Il faut sortir du discours de compassion à l’égard des entreprises et prendre cette mesure concrète dans la loi de finances !».
Il y a 3 ans et 172 jours

L’héroïne et l’architecte. Joséphine Baker et Le Corbusier

L’un a été naturalisé français en 1930, l’autre en 1937 ;  l’un est architecte, l’autre a commandé une maison à Adolf Loos ; l’une a été résistante, l’autre pas, l’une est au Panthéon, l’autre pas encore. Elle le faisait pleurer d’émotion en chantant « Baby » et il la trouvait « gaie et simple ». Joséphine Baker et Le Corbusier se sont rencontrés en 1929 entre São Paulo et Paris sur le paquebot Giulo Cesare et se sont visiblement beaucoup amusés. Ils se déguisèrent...
Il y a 3 ans et 173 jours

Les loyers de 35% des annonces de location de logements à Paris dépassent le plafond légal

Ce "premier baromètre sur l'application de l'encadrement des loyers" s'appuie sur l'analyse de 15.000 annonces, recensées entre août 2020 et août 2021.Il apparaît qu'entre ces deux dates "35% des logements dépassaient les plafonds de loyer légalement fixés". Ce taux est "stable au cours de la période étudiée" et correspondant à d'autres estimations de professionnels du secteur.L'étude précise qu'une annonce qui dépasse les plafonds autorisés "n'est pas forcément dans l'illégalité", du fait d'une possible différence avec le bail effectivement signé, ou des caractéristiques particulières du logement.Les annonces au dessus des plafonds "proposent un loyer moyen hors charges de 1.229 EUR par mois, qui inclut un dépassement moyen des plafonds de loyer de 196 EUR par mois", soit une "ponction annuelle de près de 2.400 EUR par an pour les locataires qui les subissent"."Les dépassements les plus importants sont constatés dans les arrondissements les plus riches (1er, 7e, 9e, 16e), alors que les dépassements moins élevés sont le fait des 14e, 19e et 20e arrondissements", ajoute le document.L'encadrement des loyers interdit aux propriétaires de demander aux locataires un montant supérieur à une somme donnée, celle-ci variant selon les quartiers en fonction de l'état du marché. Il s'applique dans des zones de plus de 50.000 habitants "où il existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements".Prévu par la loi Elan de 2018, le plafonnement des loyers ne concernait jusqu'au 1er juin que Paris et Lille. Il a été étendu à cette date à neuf villes de Seine-Saint-Denis en banlieue parisienne, et début septembre aux métropoles de Bordeaux, Montpellier et Lyon.
Il y a 3 ans et 177 jours

Nouvelle application mobile Jouplast® pour réaliser son projet de terrasse en quelques clics

Après avoir guidé l’utilisateur dans la définition de son projet, l’application gratuite JOUPLAST® pour Smartphones iOs, tablettes ou PC, fournit une liste complète de matériaux (dalles, lames bois ou composite, lambourdes, vis…) et de produits JOUPLAST® (plots, cales, fixations invisibles, support d’habillage…) nécessaires à sa réalisation. De plus, un dessin 2D, un dessin 3D et un dessin de pose renseignent l’utilisateur avec un maximum de réalisme.Facile à utiliser et très ergonomique, la nouvelle application JOUPLAST® permet de mieux appréhender la conception de sa terrasse et de concevoir en quelques clics un projet abouti.Un outil complet toujours à dispositionNomade et accessible partout, l'application JOUPLAST® est destinée aux particuliers comme aux artisans et aux distributeurs. Elle permet à ces derniers d'avoir constamment sous la main un outil performant d'aide à la vente. L'application mobile JOUPLAST® simplifie l'estimation des produits nécessaires à la réalisation de la terrasse, et facilite la prise de décision finale. Avec cette application, une multitude de fonctions sont à la disposition de l'utilisateur. Celui-ci peut choisir la forme, la taille et l'emplacement de sa terrasse, les matériaux (dalles, lames bois ou composite), configurer une pente, intégrer des éléments (jardinières, piscines…), faire des interruptions – pour contourner un poteau par exemple – définir le type et le sens de pose, ajouter un support d'habillage latéral, sauvegarder son projet…Les étapes pour définir son ouvrageLa configuration du projet de terrasse tient compte de plusieurs paramètres : type de sol (plan régulier ou irrégulier), forme de base (carrée, rectangulaire, en L…), avec la possibilité d'additionner plusieurs espaces de terrasse de formes différentes, pente et hauteur, présence d'une piscine, de jardinières, de poteaux… L'utilisateur peut également intégrer une maison, pour un rendu encore plus réaliste.Vient ensuite le choix du revêtement – dalles, lames, lames composites – et des dimensions. Le type de pose – droite ou décalée – et le sens de pose sont alors déterminés.L’intérêt de l’application JOUPLAST® réside également dans le fait que, pour une terrasse en dalles, l’utilisateur a la possibilité de définir le point de calepinage en cliquant sur le schéma. Ainsi, il peut modifier avec précision la position du point de calepinage et obtenir un projet idéal qui limite les coupes de dalles. De plus, le calculateur adapte en temps réel le dessin et la liste de course.Les dernières étapes consistent à définir les dimensions des lambourdes, dans le cas d’une terrasse en lames, les finitions et l’habillage latéral. À l’issue de toutes ces opérations, apparaissent une liste de courses, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose avec indication de la position des plots. Le projet ainsi défini peut alors être téléchargé, sauvegardé ou partagé via un code.À noter que, pour chaque phase du projet, des alertes sont prévues si les dimensions fournies ne sont pas correctes.Pendant les étapes de la configuration, l’utilisateur de l’application JOUPLAST® peut également avoir accès à des vidéos, par exemple sur le système de fixation des plots JOUPLAST® 100 % invisible pour lames de terrasse en bois.
Il y a 3 ans et 177 jours

Nouvelle application mobile JOUPLAST pour réaliser son projet de terrasse en quelques clics !

Acteur majeur sur le marché des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de la société française TMP CONVERT, propose une nouvelle application de conception de terrasse simple et intuitive. Après avoir guidé l’utilisateur dans la définition de son projet, l’application gratuite JOUPLAST® pour Smartphones iOs, tablettes ou PC, fournit une liste complète de matériaux (dalles, lames bois ou composite, lambourdes, vis…) et de produits JOUPLAST® (plots, cales, fixations invisibles, support d’habillage…) nécessaires à sa réalisation. De plus, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose renseignent l’utilisateur avec un maximum de réalisme. Facile à utiliser et très ergonomique, la nouvelle application JOUPLAST® permet de mieux appréhender la conception de sa terrasse et de concevoir en quelques clics un projet abouti. &nbsp; Un outil complet toujours à disposition Nomade et accessible partout, l’application JOUPLAST® est destinée aux particuliers comme aux artisans et aux distributeurs. Elle permet à ces derniers d’avoir constamment sous la main un outil performant d’aide à la vente. L’application mobile JOUPLAST® simplifie l’estimation des produits nécessaires à la réalisation de la terrasse, et facilite la prise de décision finale. Avec cette application, une multitude de fonctions sont à la disposition de l’utilisateur. Celui-ci peut choisir la forme, la taille et l’emplacement de sa terrasse, les matériaux (dalles, lames bois ou composite), configurer une pente, intégrer des éléments (jardinières, piscines…), faire des interruptions – pour contourner un poteau par exemple – définir le type et le sens de pose, ajouter un support d’habillage latéral, sauvegarder son projet… Les étapes pour définir son ouvrage La configuration du projet de terrasse tient compte de plusieurs paramètres : type de sol (plan régulier ou irrégulier), forme de base (carrée, rectangulaire, en L…), avec la possibilité d’additionner plusieurs espaces de terrasse de formes différentes, pente et hauteur, présence d’une piscine, de jardinières, de poteaux… L’utilisateur peut également intégrer une maison, pour un rendu encore plus réaliste. Vient ensuite le choix du revêtement – dalles, lames, lames composites – et des dimensions. Le type de pose – droite ou décalée – et le sens de pose sont alors déterminés. L’intérêt de l’application JOUPLAST® réside également dans le fait que, pour une terrasse en dalles, l’utilisateur a la possibilité de définir le point de calepinage en cliquant sur le schéma. Ainsi, il peut modifier avec précision la position du point de calepinage et obtenir un projet idéal qui limite les coupes de dalles. De plus, le calculateur adapte en temps réel le dessin et la liste de course. Les dernières étapes consistent à définir les dimensions des lambourdes, dans le cas d’une terrasse en lames, les finitions et l’habillage latéral. À l’issue de toutes ces opérations, apparaissent une liste de courses, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose avec indication de la position des plots. Le projet ainsi défini peut alors être téléchargé, sauvegardé ou partagé via un code. À noter que, pour chaque phase du projet, des alertes sont prévues si les dimensions fournies ne sont pas correctes. Pendant les étapes de la configuration, l’utilisateur de l’application JOUPLAST® peut également avoir accès à des vidéos, par exemple sur le système de fixation des plots JOUPLAST® 100 % invisible pour lames de terrasse en bois.
Il y a 3 ans et 178 jours

Elisabeth Borne va rencontrer les partenaires sociaux jeudi matin pour un point sur la situation épidémique

"L'idée est que chacun puisse se positionner sur l'évolution de la situation épidémique et qu'on ait un même appel à la responsabilité sur l'application du protocole en entreprise, le port du masque obligatoire, le respect des gestes barrières, etc", a-ton indiqué.Cette réunion aura lieu de 9H30 à 11H, avant la conférence de presse du ministre de la Santé Olivier Véran, et entraîne le report d'une autre réunion prévue avec les partenaires sociaux sur le thème de "la sortie de crise"."Aucune modification du protocole n'est sur la table", a-t-on ajouté, en réponse à une question sur les règles du télétravail.Depuis septembre, le protocole, document de référence pour assurer la santé et la sécurité des salariés et la poursuite de l'activité économique face au Covid-19, ne prévoit plus un nombre de jour minimal de télétravail. Il prévoit que "les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours" au télétravail.Aménagé à plusieurs reprises, le protocole avait notamment imposé pendant plusieurs mois le télétravail comme une règle à compter d'octobre 2020. Il avait été "porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance".
Il y a 3 ans et 178 jours

Decorus, la solution 100% naturelle de Biocinov pour éradiquer les dépôts verts sur les toitures et terrasses

Dédiée aux solutions naturelles pour les professionnels, l’entreprise Biocinov s’est penchée sur cette problématique et ajoute à sa gamme la solution DECORUS pour les bâtiments professionnels ainsi que les habitations.DECORUS permet de traiter de manière choc et durable les surfaces dures pour éliminer les dépôts verts ainsi que les algues. À base d’acide nonanoïque, substance active d’origine végétale, la formule agit par contact, entraînant le dessèchement de la végétation ciblée. Les premiers effets sont visibles en quelques heures et la protection longue durée contre les algues est d’environ 6 mois.Côté supports, il est adapté à la plupart des matériaux de construction : asphalte, acier, zinc, aluminium, bois extérieur, plastique, ciment, brique, béton. Pour le zinc, l’aluminium, l’inox, l’acier et le verre, une fine couche blanche peut persister après l’application mais elle disparaîtra avec les pluies successives. Pour le cuivre, l’application va accélérer son oxydation.S’utilise au pulvérisateur, dilué à de l’eauJusqu’à 556 m² de surface traitée avec 1LÉconomique et utilisable toute l’année (sauf en période de gel)Compter 2 applications par an
Il y a 3 ans et 178 jours

Atex pour mousse minérale

Lafarge France a annoncé l’obtention de l’ATEX pour Airium Combles, sa mousse d&rsquo;isolation bas carbone,  éligible aux différents dispositifs d&rsquo;aides proposés par l&rsquo;État. Airium poursuit son développement avec une nouvelle application qui répond aux attentes du marché pour un produit haut de gamme d&rsquo;isolation de combles, destiné aux maisons individuelles, aux logements collectifs et aux ERP. Solution 100% minérale, la mousse ne dégage aucun COV. Avec une durée de vie équivalente à celle d’un béton, la mousse minérale isolante ne se tasse pas dans le temps et résiste aux rongeurs, ellee crée une couche d’isolation rigide qui ne bouge pas même dans un comble ouvert. Sonempreinte carbone est 50% inférieur à celle de la laine de roche soufflée.
Il y a 3 ans et 179 jours

Créazur France dévoile Rosinox, un meuble de salle de bain innovant, tout en inox

Le travail sur la conception de ce meuble a permis d’obtenir un design très élégant et une finition parfaitement bluffante, tout en bénéficiant des avantages de l’inox. Des meubles conçus pour durer Les meubles de salles de bains sont traditionnellement fabriqués en MDF (Medium Density First) ou aggloméré de bois. Ces matériaux robustes restent pourtant sensibles à l’humidité et peuvent se détériorer au contact de l’eau. L’inox est un matériau reconnu depuis longtemps pour son caractère inoxydable. Répandu dans les cuisines grâce à ses qualités de durabilité et sa facilité d’entretien, le meuble en inox n'existait pourtant pas encore dans la salle de bain, une pièce hautement sensible à l’humidité et aux projections d’eau. L’inox étant aussi facilement transportable, ce meuble de salle de bain est 50% plus léger que son équivalent en MDF. Cet atout permet de ne mobiliser qu’un seul poseur au lieu de deux, de lutter contre la pénibilité mais aussi de gagner en productivité. Pour cette raison, CREAZUR FRANCE a développé une gamme de meubles de salles de bain tout en inox, sur un marché dépourvu de toute offre destinée aux particuliers. Les meubles ROSINOX sont disponibles en plusieurs dimensions (60, 70, 80, 120 et 140 cm), pour simple ou double vasque et déclinés en trois coloris : blanc mat, gris clair mat et bois pour des ambiances résolument modernes, design, ou nature !Plus d'information sur la gamme de meubles ROSINOX et achat en ligne.
Il y a 3 ans et 180 jours

Chargeurs connaît une reprise inégale au 3e trimestre, les masques s'effondrent, les films s'envolent

De juillet à septembre, Chargeurs a réalisé un chiffre d'affaires de 172,9 millions d'euros, en hausse de 1,9%, selon un communiqué du groupe publié il y a quelques jours.Les ventes de films destinés à protéger vitres, plaques d'inox, ameublement ou électroménager ont fait un bond de 28% à 86 millions d'euros, qui reflète "le boom du bâtiment partout dans le monde".Le chiffre d'affaires textile s'est aussi envolé, avec la réouverture des commerces et la fin de l'écoulement des stocks.Chargeurs est l'un des deux leaders mondiaux des textiles techniques et de l'entoilage (renforcement technique des tissus qui donne sa structure aux vêtements pour les cols de chemise ou vêtements de sports par exemple), avec l'Allemand Freudenberg.Le chiffre d'affaires de la division "technologies de la mode" a ainsi progressé de 19% à 39 millions d'euros. Celui de "la division "matériaux de luxe" (laine haut de gamme notamment) de 125% à 22 millions d'euros.En revanche, la division "solutions de santé" a vu son chiffre d'affaires plonger de 76% à 11 millions d'euros avec les chutes de vente de masques, textiles ou chirurgicaux.Le groupe maintient néanmoins ses capacités de production pour "être en mesure de fournir des masques en cas de demande ou de nouvelle épidémie", a commenté un responsable auprès de l'AFP.Pendant la pandémie, Chargeurs a ouvert des lignes de masques textiles dans le nord et en Alsace en faisant pivoter ses outils industriels de production liés à la mode et au textile.Il a aussi investi, avec l'aide de subventions publiques, dans la production de "meltblown", le matériau filtrant des masques chirurgicaux, et dont le pays manquait l'an dernier au moment du début de l'épidémie.Les ventes de la division "solutions muséales", centrée sur l'aménagement intérieur et la scénographie des expositions et musées, ont progressé de 7,6% à 14 millions d'euros."Nous avons un carnet de commandes épais, mais les facturations ont pris du retard en raison de l'empêchement de certains chantiers dû aux restrictions de voyages ou de travail sur les sites", a dit un responsable.Chargeurs a notamment remporté un projet de musée en plein air sur plusieurs hectares en Arabie Saoudite, et le réaménagement d'une aile du musée de l'air et de l'espace de Washington aux Etats-Unis.Dans ce domaine, le groupe a annoncé son intention d'acquérir "100% du britannique Event Communications", spécialiste de design et planification de projets muséaux.Au total, le groupe prévoit un chiffre d'affaires "supérieur à 700 millions d'euros" pour 2021.A la Bourse de Paris, le titre progressait de 3,42% mercredi en fin de matinée, à 27,8 euros.
Il y a 3 ans et 183 jours

YouTube : le terrain de jeu des artisans influenceurs

Les artisans s’emparent de l’outil numérique et prodiguent leurs conseils sur la toile, à destination des particuliers amateurs et des professionnels du secteur. Ceux qui ont su fédérer un large public accèdent au statut implicite d’« influenceurs du bâtiment ». Chaque prise de parole de la part de ces leaders d’opinion est une manne potentielle pour les marques et fabricants susceptibles d’être cités, de manière spontanée ou dans le cadre d’un partenariat rémunéré. Retour sur les principes du marketing d'influence sur YouTube et leur mise en application par 7 personnalités du BTP qui cartonnent sur la plateforme. Les codes du marketing d’influence sur YouTube Les internautes ont vu émerger toutes sortes de profils et de contenus depuis la création de YouTube en 2005. La plateforme d'hébergement vidéo, rachetée par Google en 2006 moyennant quelque 1,65 milliards de dollars en actions, fait dans un premier temps remonter les contenus en fonction du nombre de vues, avant de recourir à des algorithmes plus poussés. Dès 2012, le temps de visionnage et la durée de session des utilisateurs sont pris en compte et, 4 ans plus tard, le machin learning et le deep learning entrent en scène pour mieux répondre aux attentes des internautes. Et l’enjeu est de taille, en 2020, le second réseau social le plus populaire au monde affiche chaque mois plus de 2 milliards d'utilisateurs connectés, dont 46 millions en France. Toutes les minutes, environ 500 heures de vidéos sont mises en ligne. Se détacher du lot à tout prix Pour émerger de cet océan de contenus, les youtubeurs à succès se plient aux codes de la visibilité sur YouTube : des vidéos courtes : 5 à 10 minutes ; une présentation face caméra, où l'auteur s’adresse directement à son public ; un titre accrocheur, voire aguicheur ; une miniature toute aussi percutante. Un contenu visible et qualitatif crée de l'engagement (des likes, des commentaires, des partages, des abonnements à la chaîne…). Le youtubeur peut ainsi gonfler sensiblement son nombre de followers abonnés et prétendre au titre d’influenceur. Jouer de son influence sur YouTube YouTube, comme la plupart des réseaux sociaux, est un espace promotionnel efficace. Les marques produisent leurs propres contenus, mais passent également par les influenceurs. Et plus la chaîne compte de followers, plus le message du youtubeur prend de la valeur. Selon les observations de l’Agence Omnicore, la vidéo d’un influenceur suivi par 500 à 5 000 personnes vaut en moyenne 315 dollars, celle d’un youtubeur totalisant plus 500 000 followers atteint en moyenne 3 857 dollars. Les vidéastes les plus regardés et les plus suivis gravitent essentiellement autour des thématiques humour, modes et beauté, histoire et sciences… Des univers bien éloignés du BTP où l’influenceur du bâtiment aurait pu faire figure d'ovni, mais il n’en est rien. Les influenceurs du bâtiment sur YouTube Alors que les contenus courts et percutants sont légion sur YouTube, l’influenceur du BTP se distingue par sa capacité à convertir sur des contenus longs et peu édités. Son auditoire attend une immersion dans le réel au plus proche de la réalité du terrain. Ce sont par exemple les chantiers de construction suivis de A à Z, la réparation d’un produit spécifique ou son remplacement par un équipement de telle ou telle marque. Les vidéos tutos s'autorisent ainsi le luxe de dépasser les 30, voire les 45 minutes. Des temps record sur YouTube pour des contenus affichant une forte audience. Si le youtubeur du BTP peut s'accorder quelques libertés, il n’en reste pas moins soumis aux règles impitoyables des algorithmes. S’en écarter, c’est prendre le risque de sombrer dans les confins dans la plateforme d'hébergement. Alors qui sont ces personnalités du BTP qui tiennent le cap ? Fiches d'identités de 7 personnalités qui cartonnent Dans des styles différents et opérant sur des sections distinctes du bâtiment, ces grandes figures du BTP ont en commun un discours accessible et un ton léger sur des sujets très recherchés au sein de leur communauté. Leurs chemins se croisent parfois aux hasards heureux de la tendance et de la rencontre des compétences. Les vidéos consacrées aux WC suspendus en sont un bon exemple, et figurent dans la liste des contenus les plus regardés chez nombre de youtubeurs du BTP, qu’ils soient carreleurs, plombiers, ou plaquistes. Un placement rémunéré ? Pas nécessairement… Cette récurrence qui s’applique à bien d’autres produits et travaux est davantage une conséquence naturelle des rouages du référencement. 1. DJ. Plomberie Profession : artisan plombier Nombre d’abonnés : 145 000 Cumul des vues : 19,8 millions depuis 2018 Contenu le plus vu : « Comment décoller du PVC » - 960 000 vues Exemples de contenus à succès : WC suspendu Détartrer canalisation E.C. Pose nouvelle chaudière de A à Z Installation d'un panneau solaire révolutionnaire " SUNPAD " Sa communauté le suit pour son expertise, mais aussi pour ses anecdotes, parfois croustillantes, sur le métier de plombier. En bon pédagogue, David Juanes use avec modération du jargon professionnel sans pour autant lésiner sur les détails techniques, rassemblant ainsi une audience composée de pros et d’amateurs. Les produits phares du métier sont nommés avec ou sans placement de produit. Il s’est naturellement plié à l’exercice du tuto sur l'installation d’un WC suspendu citant deux marques concurrentes sur un pied d'égalité. 2. Docteur Peinture Profession : peintre applicateur de revêtements Nombre d’abonnés : 146 000 Cumul des vues : 24,8 millions depuis fin 2013 Contenu le plus vu : « Comment peindre un mur blanc comme un pro » - 1 400 000 vues Exemples de contenus à succès : Enduire un mur pour débutant  Paint runner pro, j’ai testé le vrai de chez M6 boutique  Comment poser un parquet flottant/stratifié comme un pro Cet été, après 4 ans d’activités sur YouTube, Stéphane, alias Docteur Peinture, lance sa première vidéo sponsorisée, en partenariat avec une marque de colle. Un moyen pour ce peintre professionnel de bénéficier d’une rémunération complémentaire en mettant en avant des produits qu’il utilise sur ses chantiers. Ses vidéos au ton ludique, pleines d'astuces et de conseils pratiques, visent avant tout les particuliers bricoleurs. 3. Karo Tuto le carreleur Profession : artisan carreleur Nombre d’abonnés : 48 000 abonnés Cumul des vues : 9 millions depuis 2016 Contenu le plus vu : « une crédence de cuisine en carreaux de métro !!! » - 640 000 vues Exemples de contenus à succès : Réparer un mur après avoir enlevé le carrelage  Carrelage 60*60 rectifié sur carrelage existant (sol de cuisine)  Comment faire l’étanchéité d’une douche à l’italienne  Carreler un WC suspendu. Gilles Ruiz multiplie les effets spéciaux pour dynamiser ses contenus très denses en informations, avec le détail des matériaux utilisés, des outils et techniques mobilisés, sans oublier les prix ! L’occasion de mettre en avant différents produits qu’ils soient sponsorisés ou non avec, en description, de nombreux liens vers des sites d’achats en ligne. Sa vidéo sur les WC suspendus était surtout un moyen de se positionner sur un thème très recherché et d'accroître sa visibilité pour s’attarder sur des produits davantage en lien avec son cœur de métier. 4. Make In France Profession : artisan indépendant Nombre d’abonnés : 111 000 abonnées Cumul des vues : 17,9 millions depuis 2018 Contenu le plus vu : « Comment rénover une salle de bain » - 940 000 vues Exemples de contenus à succès : Astuce pour poser du placo au plafond facilement sans Lève Plaque ! Un plafond ultra léger et imputrescible ! Pourquoi se casser le dos avec du placo ? Douche 100 % étanche et prête à carreler Pose WC supendu sur bati autoportant ! Tuto de A à Z Si Cédric Caudal livre ses tuyaux face caméra dans plusieurs de ses vidéos, il sait aussi s’effacer au profit de time-lapses de chantiers non commentés. Accélérés au montage, ces contenus oscillent le plus souvent entre 20 et 40 minutes. En parallèle, il propose des formats extra courts mettant en scène un produit particulier : quelques poignées de secondes, sans discours, où la fonctionnalité de l’outil parle d'elle-même. Sa vidéo sur le thème récurrent des WC suspendus a enregistré plus de 200 000 vues. Un carton pour la chaîne, réalisé en dehors d’un placement de produit rémunéré.             5. LJVS Profession : artisan spécialisé dans la salle de bain clé en main Nombre d’abonnés : 285 000 Cumul des vues : 53,5 millions depuis 2015 Contenu le plus vu : « Ma technique bandes à joint INRATABLE de A à Z » - 1 600 000 vues Exemples de contenu à succès : Placo hydrofuge et étanchéité - Ne faites pas n'importe quoi ! Plomberie multicouche dans une maison neuve avec REHAU Remplacer un WC standard par un Suspendu Tout savoir sur la chape liquide ! Laurent Jaquet donne son avis sans filtre. Il fait partie de ces professionnels qui vous plongent en immersion sur le chantier, avec des vidéos peu éditées et un discours sans retouches. Les systèmes à plots pour la pose de plancher chauffant ? Pas son truc, mais chacun est libre d'apprécier. Et pour les WC suspendus ? Dans une vidéo qui remonte déjà à plus de 4 ans, l’artisan nous livre ses bons conseils pour anticiper la démocratisation des modèles aux fonctionnalités les plus avancées. 6. Taka Yaka Profession : jointeur-plaquiste Nombre d’abonnés : 171 000 Cumul des vues : 64,9 millions depuis 2010 Contenu le plus vu : « COLLER une bande à joint PLACO " PARFAIT de A à Z " » - 2 200 000 vues Exemples de contenus à succès : La bande grillagée autocollante joint placo, NON ! Faire faux plafond placo sous plancher bois, la pose des suspentes plates, le réglage Comment habiller un WC suspendu avec du placo ! Tes gaines électriques devant ou derrière ta laine ? Derrière leur écran, les internautes pourraient bien être les apprentis de Pascal Blache. L'artisan breton anime ses vidéos avec entrain et simplifie le discours sans faire de raccourci. Vous n’avez pas compris la méthode de calcul de la puissance de chauffage ? Qu’à cela ne tienne, Taka Yaka vous partage son écran d’ordinateur et vous montre le chemin vers un bon simulateur en ligne ! Pour les pros, le jointeur-plaquiste teste de nouveaux produits, partage ses impressions, et confie ses coups de cœur.  Dans l'incontournable tuto sur les WC suspendus, l’artisan a pris l’angle de l’habillage placo de l'équipement. Toujours par souci de positionnement et sans objectif de placement. 7. Papy Claude Profession : artisan de l’éco-construction Nombre d’abonnés : 17 000 Cumul des vues : 2,3 millions depuis 2015 Contenu le plus vu : « Isolants : leurs qualités et leurs limites » - 720 000 vues Exemples de contenus à succès : Faut-il enlever le vieil isolant en combles avant d'en poser un nouveau Le déphasage thermique, c'est quoi ? Selon quels critères choisir un isolant ? Pourquoi il ne faut pas tout miser sur l'isolation Claude Lefrançois, alias Papy Claude, rend la rénovation écologique accessible aux amateurs comme aux professionnels évoluant dans des filières connexes. En grand passionné, l’éco-artisan s’autorise régulièrement des contenus qui dépassent la demi-heure, et frôle parfois les 2 heures. L’occasion de mettre différents acteurs expérimentés autour de la table digitale pour traiter des grands sujets de la rénovation et de la construction écologique. En fin stratège, il réalise de très nombreux formats courts qui caracolent en tête de ses contenus les plus vus. À l’image d'un bâtiment basse consommation, la chaîne de Papy Claude évolue en relative autonomie, nourrie par un noyau dur de followers faisant circuler les contenus auprès de leurs réseaux respectifs.
Il y a 3 ans et 184 jours

L’État annonce un report du lancement de la filière REP de recyclage des matériaux "au plus tard" à début 2023

Le secteur du bâtiment, qui produit 42 millions de tonnes de déchets par an, soit autant que les déchets générés par les ménages, va disposer de sa propre filière de recyclage.Concrètement, des éco-organismes seront chargés de la collecte, du tri et de la revalorisation des déchets générés par le secteur dans le cadre de la loi AGEC relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire. Cette loi prévoyait une mise en oeuvre de cette filière au 1er janvier 2022.L'année 2022 sera finalement consacrée à la mise en place de la filière responsabilité élargie des producteurs (REP) "pour que les éco-organismes agréés puissent établir les conventionnements avec les collectivités et acteurs privés de la gestion des déchets de construction", a expliqué le ministère.Les soutiens financiers, qui lanceront réellement cette nouvelle filière, seront enclenchés "au plus tard le 1er janvier 2023", est-il précisé dans le communiqué.Le gouvernement publiera "d'ici la fin de l'année le décret fixant les règles et principes de cette nouvelle filière"."On estime que ce n'était pas possible de le faire plus tôt", a expliqué à l'AFP un porte-parole de la Fédération Française du Bâtiment.Les cahiers des charges des éco-organismes n'étant pas encore établis, impossible pour les acteurs du secteur d'adapter les leurs, alors que les commandes sont déjà prévues pour une partie de l'année à venir.Le ministère a lancé mercredi une concertation sur le projet de cahier des charges des éco-organismes. Le lancement de la REP sera "progressif dans son déploiement", indique le ministère."Même en janvier 2023, les financements ne seront pas à leur paroxysme, la filière se mettra en application sur plusieurs années", estime la FFB.
Il y a 3 ans et 184 jours

La Rep reportée d’un an

L’entrée en service de la Rep est reportée d’un an. [©ACPresse] “L’année 2022 sera ainsi mise à profit pour que les éco-organismes agréés puissent établir les conventionnements avec les collectivités et acteurs privés de la gestion des déchets de construction. Ceci, afin de pouvoir enclencher, au plus tard le 1erjanvier 2023, les soutiens financiers.” C’est ainsi que le ministère de la Transition écologique conclut le communiqué de presse annonçant, sans le dire, le report de l’entrée en application de la responsabilité élargie des producteurs (Rep). Le secteur du bâtiment dispose donc d’une année supplémentaire pour organiser la filière de collecte et de valorisation des déchets générés par la construction. Pour mémoire, ceux-ci représentent un poids total annuel de quelque 42 Mt. Soit l’équivalent de la quantité de déchets produits par les ménages français sur un an&#8230;  Un an pour établir les conventions C’est la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 qui établit les bases de la lutte contre le gaspillage et de l&rsquo;économie circulaire. Elle a prévu, en particulier, la mise en place d’une nouvelle filière à responsabilité élargie des producteurs (Rep) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment. Cette nouvelle filière permettra de renforcer le maillage des points de collecte sur tout le territoire. Et ils seront accessibles aux artisans comme aux entreprises du bâtiment. Mais aussi aux particuliers. Le but final est de développer le réemploi, la réutilisation et le recyclage de ces déchets. L’organisation de cette filière apportera &#8211; il faut l&rsquo;espérer &#8211; une solution concrète à la problématique des dépôts sauvages de déchets du bâtiment. En effet, la reprise des déchets doit être gratuite, car financée par les éco-organismes. En se basant sur ce nouveau calendrier, l’année 2022 sera celle de l’établissement des conventions entre les éco-organismes agréés et les acteurs de la gestion des déchets de construction.&nbsp; Plus de temps pour intégrer les modalités Dans ce cadre, le gouvernement publiera d’ici la fin de l’année le décret fixant les règles et principes de cette nouvelle filière. En parallèle, le ministère de la Transition écologique lance, dès aujourd’hui, la concertation sur le projet de cahier des charges des éco-organismes. Afin que ceux-ci puissent être agréés dès le début de l’année 2022.&nbsp; Le report de l’entrée en application de la Rep s’explique largement par un contexte marqué par la crise sanitaire. Et aussi par la situation de tension sur les approvisionnements de certaines matières premières. Il était devenu indispensable pour toutes les parties prenantes de disposer de plus de temps pour intégrer les modalités de mise en œuvre de cette nouvelle filière. Et prévoir une progressivité dans le déploiement.
Il y a 3 ans et 185 jours

Strasbourg retrouve ses bains municipaux historiques rénovés

Les bains municipaux de Strasbourg, vaste ensemble Art nouveau en partie class&eacute; aux Monuments historiques, ont rouvert au public le 8 novembre, apr&egrave;s trois ans de travaux.
Il y a 3 ans et 185 jours

Les trophées de la chaux 2021

Les Trophées de la Chaux organisés tous les deux ans par Ciments Calcia et Socli ont été décernés sur le Salon International du Patrimoine Culturel. Ouvert aux entreprises et artisans à travers un de leurs chantiers réalisé entre le 1er janvier 2019 et le 15 février 2021, dans les domaines de la restauration ou de l&rsquo;éco-construction et effectué avec au moins un produit de la gamme chaux Socli ou Ciments Calcia, les Trophées de la chaux 2021 ont reçu une vingtaine de candidatures et retenu 10 dossiers. A l&rsquo;issue d&rsquo;un grand oral final, le jury a récompensé les auteurs de 3 chantiers d&rsquo;exception, s&rsquo;appuyant sur la mise en œuvre de solutions originales, l&#8217;emploi de méthodes innovantes et la prise en compte des conditions sécuritaires ou techniques de réalisation des travaux. Le premier prix a été attribué à Eric Constant, gérant de Terre et Matières, pour la restauration extérieure de la chapelle Sainte-Sigolène à Parisot (81). Si cet édifice du XIIème siècle avait déjà connu une phase de rénovation en 2017, il s&rsquo;agissait ici de restaurer la tranche finale, à savoir le clocher, le porche ainsi que les murs nord et sud. A cette occasion, l&rsquo;entreprise Terre et Matières a révélé tout son savoir-faire en décroutant les murs, sur une hauteur de 16 m, pour les mettre à nu (à l&rsquo;origine, briques foraines recouvertes d&rsquo;un enduit) avant de réaliser un rejointoiement exemplaire à la chaux blanche NHL 2 RENOCHAUX de Ciments Calcia, associée à du sable roux local. Cette même chaux a été utilisée pour la couche de finition du clocher qui avait auparavant bénéficié de l&rsquo;application, en deux passes, d&rsquo;une chaux grise NHL 3,5 CHAUX SOCLI. Second prix : Entreprise Paramelle. Déjà primé lors des Trophées de la chaux 2019, le jeune entrepreneur de 30 ans Fabien Paramelle confirme sa dextérité en restaurant à Figéac (46), au sein d&rsquo;un secteur sauvegardé, un immeuble qui abritait une ancienne boulangerie avec fournil. Cette restauration s&rsquo;est avérée des plus techniques car le bâtiment, composé de deux étages en colombage, présentait une structure en mauvais état : il a fallu, en effet, la renforcer et lier le colombage mécaniquement, car celui-ci n&rsquo;était pas relié dans les angles. Belle surprise en phase de décroutage de la façade : deux ogives moyenâgeuses en partie basse ont fait surface, ce qui a induit une modification des plans afin de les restituer (remise en état des linteaux démolis et greffe de pierres sur les ogives). Fabien Paramelle a notamment réalisé une projection à la machine avec du liant traditionnel à la chaux CHAULYS BLANCHE HL2 de Socli sur une surface de 280 m², intérieur et extérieur confondus. Soulignons aussi la dépose de tout le sol en ciment remplacé par un béton de chaux réalisé avec la CHAUX RABOT NHL 5 de Socli, également utilisée pour la pose du dallage en pierre scellé, favorisant la respirabilité du support. Troisième prix : Entreprise Solé et fils. Claude Solé a concouru aux Trophées de la chaux 2021 avec une rénovation d&rsquo;envergure, en cœur de ville : celle du bâtiment dit Château de Pollestres (66), réhabilité en centre culturel. Plusieurs étapes du projet ont été louées par le jury : la démolition/reconstruction d&rsquo;une partie de la bâtisse en ossature béton/métal ; le traitement des façades avec application d&rsquo;enduit à base de CHAULYS, finition à pierre vue et coloration naturelle au sable jaune ; la reprise des appuis de fenêtre par taille de cayroux in site ; le rehaussement de la corniche&#8230; Soulignons également l&rsquo;implication environnementale de l&rsquo;entreprise qui, en début d&rsquo;opération, a pris soin de créer une ouverture dans un mur de clôture existant pour pouvoir effectuer le tri sélectif à l&rsquo;aide de bennes à déchets. 7 autres finalistes à saluer BTMS Construction pour la rénovation d’une habitation de village à Olargues (34) Reconstruction d&rsquo;un bâtiment en ruine, dans le respect de la tradition locale, avec les matériaux du site (pierres calcaires, lauzes, ardoises&#8230;) et création d&rsquo;une extension : l&rsquo;ensemble des maçonneries en pierres et les éléments de couverture ont été mis en œuvre à la chaux naturelle, la finition réalisée aux mortiers de chaux et sable local, conformément aux autres bâtis du hameau qui se trouve au cœur d&rsquo;un parc naturel. Quant à l&rsquo;enduit intérieur isolant chaux-chanvre projeté, avec finition taloché fin, il protège l&rsquo;habitat et garantit un intérieur sain. FINS pour la restauration d’une bâtisse du 7ème siècle à Lectoure (32) Création d&rsquo;ouvertures avec réutilisation des pierres du chantier, application d&rsquo;enduits extérieurs et intérieurs, mise en place de béton de chaux, extension, réhabilitation d&rsquo;un puits, transformation du poulailler en garage ont constitué autant d&rsquo;étapes pour la réfection de ce bâtiment à l&rsquo;abandon. JAM pour la restauration de la grotte de fraîcheur du château de Bonrepos-Riquet (31) Au cœur du parc d&rsquo;un château classé monument historique, cette grotte artificielle a bénéficié d&rsquo;un terrassement pour sa mise à nue, d&rsquo;une réalisation de structure béton de protection, d&rsquo;une dépose et reconstruction de la voûte avec reconstitution de la façade d&rsquo;entrée. LATARCHE pour la restauration d&rsquo;une grange foraine pyrénéenne à Artalens-Souin (65) Depuis la loi montagne en 1985, les bâtiments agricoles inutilisés peuvent être restaurés en tant que résidences secondaires, leur rénovation devant répondre à un cahier des charges strict. C&rsquo;est le cas de cette grange foraine, partie intégrante du patrimoine des Hautes-Pyrénées, qui a été l&rsquo;objet de travaux de démolition des façades et pignons, reconstruction des murs en moellons de réemploi hourdés au mortier chaux et réalisation de joints creux. Philippe GOLCBERG pour la restauration extérieure d’un bâtiment art nouveau néogothique à Montpellier (34) Les modénatures en pierres calcaires de Castries ont été reprises et un faux appareil traditionnel de briques 5X11X22 a été engravé à frais et peint à fresque en deux patines sur un enduit taloché fin. La reconstitution des appuis de fenêtres, du soubassement et des joints complète l&rsquo;intervention. PINTO pour la restauration intérieure du château de Toulonjac (12) Inscrit au titre des monuments historiques en 1993 et classé en 1995, l&rsquo;édifice a été restauré de l&rsquo;intérieur avec, entre autres, la réalisation d’une correction thermique sur murs périphériques par application d’un enduit chaux-chanvre, la reprise des plafonds avec enduits à la chaux, la réalisation de chapes au sol à la chaux avec pose de tomettes de récupération à la barbotine&#8230; RYBICKI FAÇADES pour la restauration et Rénovation du château de Pouille à Gaillac (81) Cette réalisation a conjugué rénovation gros œuvre (maçonnerie générale), restauration des briquettes et finition avec enduits à la chaux naturelle. Le jury se composait de 5 membres : Marion Lecanu, Directrice de l&rsquo;ECMH à Paris, José Granados, Délégué départemental, représentant de la Fondation du Patrimoine de l&rsquo;Hérault et architecte, Romain Lelièvre, Architecte des Bâtiments de France à l’UDAP 11 , Christophe Possémé, Président de l’UMGO et Bernard Lechevalier, Rédacteur en chef et Directeur de la publication d’Atrium Patrimoine.