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Il y a 3 ans et 207 jours

Chronique du Geek – Les applications d’octobre 2021 – N° Spécial Réalité Augmentée

En ce mois d’octobre, le Geek propose une édition spéciale Réalité Augmentée avec cinq applications mobiles qui permettent soit de découvrir cet univers soit d’approfondir le sujet et d’appliquer à l’architecture ces technologies passionnantes.  Pour l’architecture ARki Éditeur : Darf Design LTD Captures d’écrans Description La réalité augmentée appliquée à l’architecture ARki est l’application mobile […] L’article Chronique du Geek – Les applications d’octobre 2021 – N° Spécial Réalité Augmentée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 207 jours

Les syndicats perdent une manche importante sur la réforme de l'assurance chômage devant le Conseil d'Etat

Le juge des référés estime que "la tendance générale du marché de l'emploi ne constitue plus un obstacle à la mise en place de la réforme", contrairement à ce qu'il avait décidé en juin lorsque le gouvernement voulait faire commencer au 1er juillet ces nouvelles règles de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation chômage.Les syndicats gardent néanmoins un dernier espoir, même s'il est mince une fois la réforme devenue opérationnelle, leurs recours "au fond" devant encore être jugés dans les prochaines semaines.Sans remettre en cause le principe de la réforme, le Conseil d'État avait avancé en juin des "incertitudes sur la situation économique" pour suspendre l'application de ces nouvelles règles pénalisant l'indemnisation des demandeurs d'emploi alternant périodes de travail et d'inactivité.Mais le gouvernement avait publié fin septembre un nouveau décret identique, décalant simplement sa date d'entrée au 1er octobre, suscitant la colère des syndicats qui estimaient cela illégal avant le jugement sur le fond.Dans sa décision vendredi, le juge observe "que la situation du marché de l'emploi et de l'activité économique s'est sensiblement améliorée au cours des derniers mois, et que cette situation ne fait donc plus obstacle à ce que la réforme puisse atteindre l'objectif poursuivi de réduction du recours aux contrats courts", reprenant l'argumentaire gouvernemental."C'est une réforme importante qui va encourager le travail au moment où notre économie repart très fort et où les entreprises ont des besoins de recrutement massifs", a commenté aussitôt la ministre du Travail, Élisabeth Borne."Le combat continue""Le Conseil change d'avis (sous la pression du gouvernement ?). Les allocations vont baisser en novembre. Le combat continue pour faire annuler cette réforme!", a réagi sur Twitter le négociateur de la CGT Denis Gravouil, d'autres organisations comme l'Unsa ou Solidaires assurant aussi vouloir poursuivre la bataille.Selon l'exécutif, il s'agit à travers ces nouvelles règles d'inciter les demandeurs d'emploi à accepter des contrats plus longs, d'autant plus que les employeurs seront également incités à en proposer par la mise en place d'un "bonus-malus" sur les cotisations chômage dans sept secteurs fortement consommateurs de contrats courts.La réforme "va également permettre de lutter contre le recours excessif aux contrats courts", assure Mme Borne.Les syndicats n'y croient pas du tout. "Une large majorité des emplois créés aujourd'hui sont des contrats de moins d'un mois", a réagi Yves Veyrier (FO), toujours "déterminé à obtenir l'abandon de la réforme".Lors de l'audience, les syndicats avaient principalement pointé le décalage entre l'entrée en vigueur du nouveau mode de calcul le 1er octobre et celle du bonus-malus qui ne sera appliqué sur les cotisations qu'en septembre 2022 et pour une durée très limitée, les règles d'assurance chômage devant être renégociées d'ici novembre 2022.Mais le juge a estimé cet argument "insuffisant", le ministère du Travail ayant rétorqué que "la période d'observation" des entreprises pour calculer cette modulation a démarré le 1er juillet 2021.Selon une évaluation de l'Unédic en avril, jusqu'à 1,15 million des personnes ouvrant des droits dans l'année suivant l'entrée en vigueur de la réforme toucheraient une allocation mensuelle plus faible (de 17% en moyenne), avec dans le même temps une "durée théorique d'indemnisation" allongée (14 mois en moyenne contre 11 avant la réforme). Le ministère du Travail conteste ce chiffrage qui, selon lui, ne tient pas compte de l'amélioration de la conjoncture ni "des effets de comportement" espérés de la réforme.Le reste de la réforme contestée, à savoir le durcissement des règles sur la dégressivité des allocations et sur la durée d'affiliation nécessaire pour ouvrir ou recharger un droit, n'avait pas été remis en cause par le Conseil d'Etat, et devrait entrer en vigueur le 1er décembre.
Il y a 3 ans et 208 jours

La méthode du « nouveau DPE » est améliorée

Les propositions d’améliorations construites sur les retours d’anomalies communiqués dès le 22 juillet au ministère par la FIDI grâce à la mobilisation de ses adhérents, propositions largement relayées et appuyées par l’UNIS, ont été adoptées, pour l’essentiel.Le 4 octobre, madame la Ministre du logement Emmanuelle Wargon a annoncé un nouvel arrêté correctif, publié le 14 octobre pour une entrée en vigueur le lendemain.La FIDI et l’UNIS se félicitent que leurs forces conjuguées, leur attitude commune de pragmatisme, leur option conjointe de présentation de la réalité aux autorités sans polémique mais sans complaisance « politique », et leur exigence partagée de dialogue constructif, mais exigeant avec les pouvoirs publics et toutes les parties prenantes, aient été entenduesLa FIDI et l’UNIS poursuivront leur étroite collaboration en filière pour faire des propositions aux pouvoirs publics très rapidement, notamment :Les documents à fournir : listes spécifiques et moins « fourre-tout » pour les transactions, les locations, les mandats, …La création d’une prestation « d’état des lieux » de la performance énergétique d’un immeuble permettant d’aider les gestionnaires de biens immobiliers à fournir des informations actuellement impossibles à trouver sur le bâtiment pour les biens anciens/jusqu’à l’application généralisée des RT (années 1980).Et autres questions de méthode ou de communication qui impliquent la filière de l’immobilier, du diagnostic à la transaction ou location.Pour Danielle Dubrac, la présidente de l’Unis : « Les biens de nos clients ne doivent pas être dévalorisés ; raison pour laquelle nous poursuivons notre travail commun avec la FIDI auprès du gouvernement. ».Stéphane Prouzeau, vice-président de la FIDI, indique pour sa part : « Les travaux de rénovation énergétique doivent être pris en compte par l’acquéreur ou le bailleur quand ils « imaginent » le bien en tant que lieu de vie. Un DPE fiable est le premier outil ».Lionel Janot, Président de la FIDI, conclut enfin : « Le DPE est un élément essentiel de la loi climat qui implique des conséquences lourdes mais nécessaire pour l’avenir, c’est pourquoi la collaboration entre l’UNIS et la FIDI est indispensable pour bien accompagner les propriétaires .»
Il y a 3 ans et 208 jours

Le béton : matériau d’avenir au service de la construction

Le béton, matériau d’avenir au service de la construction. [©Techni Prefa] Pourquoi le béton n’a pas une bonne image L’utilisation massive, intensive du béton lors des cinq dernières décennies a pu générer un désenchantement vis-à-vis de ce matériau. En effet, l’employer de façon quasi-systématique dans les aménagements urbains (ronds-points, troittoirs…), privés (terrasses, mobilier de jardin…) ou de vouloir en faire le matériau de prédilection pour la construction, y compris pour les éléments non porteurs, a pu conduire à une utilisation abusive du béton, aujourd’hui décriée. En cause, la vision d’espaces totalement entourés de béton, alors que depuis de nombreuses années déjà il existe des solutions alternatives éprouvées, mettant en œuvre des matériaux plus adaptés sur les plans esthétique et écologique. « Le bois, matériau de construction écologique » : une fausse bonne idée L’engouement contemporain pour les matériaux à base de bois semble à l’inverse nous faire oublier l’importance de sa source : l’arbre. Le bois est souvent traité, collé, usiné, transporté (et parfois sur des milliers de kilomètres) pour être utilisé, quand bien même l’environnement lui serait défavorable. Mais utiliser le bois de façon intensive et non adaptée, c’est oublier l’importance de l’arbre et de nos forêts, qui, dans certains pays, sont exploités de manière de plus en plus sinistre. Or la forêt est une ressource indispensable qui abrite plus de la moitié de la biodiversité terrestre et assure la subsistance de 2 Md de personnes à travers le monde. Source majeure d’oxygène, d’eau, actrice de la dépollution et de la lutte contre le réchauffement climatique, la forêt doit être préservée. Comme pour le béton (et les autres matériaux comme l’acier et le PVC), il s’agit de bien de réfléchir à l’usage du bois, pour s’en servir en bonne quantité et là où il le faut. Vers la construction composée Face aux enjeux économiques et écologiques du XXIe siècle, il est urgent d’utiliser les matériaux de façon complémentaire en fonction de leurs spécificités propres, en faisant preuve de bon sens. Ainsi seulement, nous participerons à protéger chaque ressource sans que l’une ne soit favorisée au détriment de l’autre. « Chez Techni Prefa, explique Richard Poupart, directeur général, nous pensons que le béton armé est le matériau le plus économiquement adapté pour la structure des bâtiments et qu’il est l’un des meilleurs pour ses qualités de résistance aux chocs, au feu, à l’eau, aux agressions chimiques. Il est aussi un très bon isolant acoustique lors de son utilisation dite de « loi de masse ». Mais d’autres matériaux peuvent être employés autour de la structure d’une construction ! il faut donc savoir utiliser « le bon béton » là où il le faut, et en quantité optimisée. » Le béton, engagé dans une démarche environnementale Les producteurs de ciment se sont engagés à baisser le bilan carbone des bétons à hauteur de 30 % d’ici à 2030 avec un objectif de « zéro empreinte carbone » en 2050. Pour cela, de nombreux chantiers d’envergure pour la modernisation ou la reconstruction des usines voient actuellement le jour. À l’instar des cimentiers qui se sont engagés dans cette démarche volontariste, nous ne pouvons pas nous satisfaire d’en récolter les fruits, en nous félicitant d’utiliser des ciments bas carbone. A notre niveau, il nous faut réfléchir à la place qu’occupe notre métier dans la filière et proposer des solutions que nous devons nous imposer, en termes de développement durable et de lutte contre le réchauffement climatique. Un objectif de « zéro empreinte carbone » en 2050 « Nous pensons aussi qu’il est de notre responsabilité de faire évoluer l’utilisation du béton armé, en optimisant les calculs, la conception des modules et leurs assemblages, afin de permettre une industrialisation de la fabrication, ajoute Richard Poupart. Il ne faut pas omettre dans la démarche environnementale tout ce qui a trait à la mise en œuvre du matériau. Nous sommes soucieux de la réutilisation des moules, de la réduction des déchets et de tout composant servant à la fabrication des éléments. » Cette démarche sera longue, car elle demande de convaincre toute la filière de la construction d’un projet, de sa conception jusqu’à sa livraison, dans une logique de standardisation ou semi-standardisation de la fabrication. À terme, la production de modules de construction hors-site devrait bénéficier à l’ensemble de la profession, sous réserve d’une prise de conscience de chaque acteur dans son rôle pour des chantiers optimisés et conséquemment plus responsables. EN SAVOIR PLUS SUR TECHNI PREFA Fort de notre vision globale du secteur de la construction et de notre maîtrise totale de la fabrication hors-site, nous concevons et fabriquons en usine des éléments de structure béton pour fournir nos clients dans les secteurs du bâtiment, des TP et du génie civil. Nous imaginons des solutions techniques innovantes et investissons très largement dans la modernisation de notre outil industriel. Techni Prefa est également engagé dans une démarche de recherche et développement, que ce soit sur le plan de nos méthodes de travail (planification, pilotage, augmentation de la qualité des processus et des produits) pour utiliser de manière optimale les moyens de production et limiter les gaspillages des outils, tant sur le plan constructif (optimisation et rationalisation des profilés, études d’assemblage, outils de calculs performants…) que sur le plan de l’impact environnemental (gestion des déchets et de l’empreinte carbone…). En mettant l’accent sur l’industrialisation de notre organisation, ainsi que sur l’hygiène, la sécurité et le bien-être au travail, nous favorisons un environnement stimulant pour la montée en compétence des collaborateurs, tout en diminuant les facteurs de pénibilité. En intégrant nos partenaires dans une collaboration gagnant-gagnant et en accentuant nos efforts visant à réduire notre impact environnemental, nous entendons devenir le spécialiste de l’industrialisation de bâtiment le plus à même de répondre aux exigences du marché et de ses évolutions. TECHNI PREFA – Rue du Champ de l’Ormeau – 79 100 Thouars Tél. : 05 49 66 27 82 – beton-prefabrique.fr
Il y a 3 ans et 208 jours

France Rénov’, un service public unique pour la rénovation de l’habitat

France Rénov’, le service public de la rénovation de l’habitat, sera dès le 1er janvier 2022 le point d’entrée unique pour tous les parcours de travaux : il donnera aux…Cet article France Rénov’, un service public unique pour la rénovation de l’habitat est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 211 jours

Haguenau : réouverture du centre aquatique Nautiland

Le centre aquatique Nautiland de Haguenau vient de faire peau neuve. Il sera de nouveau ouvert au public à partir du 23 octobre prochain.
Il y a 3 ans et 211 jours

Les enseignes de meubles et de bricolage se lancent dans la seconde main

TENDANCE. La tendance est pour l'instant surtout répandue dans l'électronique et l'habillement, mais désormais la seconde main s'empare aussi du secteur de l'ameublement et du bricolage. Ikea, Leroy Merlin, Bricorama... ils s'y mettent tous. Tour d'horizon.
Il y a 3 ans et 212 jours

Vicat fait pousser des micro-algues à Montalieu-Vercieu

Le démonstrateur est installé dans la cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu (38). [©Vicat] Le cimentier français Vicat s’est associé à AlgoSource Technologies, TotalEnergies et l’Université de Nantes. Ceci, pour accélérer le développement de la production de micro-algues à partir de CO2 et de chaleur fatale. Dans le cadre du projet de recherche industrielle “CimentAlgue”. Le démonstrateur est installé dans la cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu (38). Ce procédé innovant permet la valorisation d’effluents industriels en matières premières essentielles au développement de ces organismes. Et ainsi participer à la réduction des émissions de CO2 dans l’atmosphère. Zoom sur la valorisation de la spiruline La micro-algue en culture est l’Arthrospira platensis (plus communément appelée spiruline). Ce système permet de maîtriser tous les paramètres de la culture (lumière, température, CO2, nutriments) pour une croissance optimale. [©Vicat] Pour mémoire, rappelons que les micro-algues consomment 5 à 10 fois plus de CO2 au m² que les plantes terrestres. Préalablement validé à plus petite échelle par des essais au sein de la plate-forme AlgoSolis de l’université de Nantes et du CNRS, le démonstrateur CimentAlgue de 800 m² installé dans la cimenterie permet : d’atteindre les objectifs de culture de micro-algues à une échelle représentative (capacité d’environ 1 t de micro-algues sèches/an) ; d’optimiser les paramètres de culture maîtrisée des micro-algues ; de mesurer finement le bilan CO2 de la symbiose industrielle ; de définir les règles de dimensionnement d’autres installations pouvant être appliquées à d’autres sites/industries ; de réaliser des “essais grandeur nature” sur différents types de cultures de micro-algues et démontrer la viabilité industrielle et économique de leur culture ; de tester la compatibilité de ce procédé de récupération des fumées avec une application dans le domaine des biocarburants (du point du vue technique et règlementaire). Biocraburants dans la ligne de mire [©AlgoSource Technologie] Les différentes souches de micro-algues testées, comme la spiruline notamment, permettront de développer des produits vers des marchés adaptés à l’échelle industrielle des cimenteries. Les lipides, protéines ou sucres qui seront extraits pourront être utilisés en ingrédients alimentaires pour les animaux, comme biostimulants végétaux. Ou pour réaliser des matériaux biosourcés… Des souches oléagineuses à fort potentiel de croissance seront aussi testées dans le but de produire des biocarburants de 3e génération. Sur place, la culture de la spiruline a commencé cet été, avec un objectif de 1t/an pour les deux ans à venir, afin de recueillir des données en volume et qualité. Et valider le projet. Vicat prévoit aussi de cultiver une deuxième souche, une nannochloropsis, micro-algue lipidique pouvant servir de base à des biocarburants. Plus globalement pour réduire ses émissions de CO2, Vicat table en premier lieu sur le remplacement à 100 % des combustibles fossiles dans ses fours par des combustibles alternatifs d’ici à 2025. Lire aussi : Vicat s’équipe pour décarboner son usine de Montalieu-Vercieu
Il y a 3 ans et 212 jours

Unilin Group présente une innovation mondiale avec le recyclage de panneaux MDF et HDF

Jusqu'à présent, il était techniquement impossible de recycler, une fois en fin de vie, les 100 millions de m3 de panneaux MDF et HDF qui sont produits chaque année à travers le monde. Unilin Group, dont le siège est basé en Flandre, a aujourd'hui mis au point une technologie innovante unique permettant de recycler les fibres de bois de ces panneaux et de les réutiliser pour la production de panneaux de fibres de qualité à l'échelle industrielle. Le chaînon manquant d'une histoire durableLes panneaux de fibres MDF (panneau de fibres à densité moyenne) et HDF (panneau de fibres à haute densité) sont couramment utilisés dans l'industrie de l'ameublement, l'aménagement intérieur et pour la production de sols stratifiés. Unilin Panels, la division d'Unilin Group chargée de la fabrication des panneaux, se lance dans l'utilisation du bois dit « de réemploi » pour sa production. Il s'agit de bois qui n'est plus utilisable ou de déchets de bois, destinés à l'incinération. De cette manière, Unilin Group évite l'abattage d'arbres pour sa production et donne une nouvelle vie aux chutes de bois par le biais d'une autre application. Aujourd'hui, le groupe va donc encore plus loin.Véronique Hoflack, présidente d'Unilin Panels, qui est elle-même à l'origine de la nouvelle technologie de recyclage, explique : « De par l'utilisation de colle comme liant pour les fibres de bois, il n'existait pas encore de méthode réalisable sur le plan industriel pour recycler les fibres des déchets de panneaux une fois en fin de vie. La majeure partie était donc brûlée après utilisation (en moyenne 14 à 20 ans). Nous sommes aujourd'hui parvenus à développer un procédé innovant afin de recycler ces fibres de bois et de les réutiliser pour produire de nouveaux panneaux. Pensez par exemple à nos panneaux décoratifs Evola ou aux sols stratifiés de Quick-Step. Nous doublons ainsi la durée de vie des fibres de bois ! Une durée de vie allongée qui permet, dans l'intervalle, à de nouveaux arbres de pousser et de stocker à leur tour du CO2. Il s'agit donc d'un grand pas en avant vers la circularité. »L'économie circulaire et la durabilité comme ADN Le développement de cette technologie révolutionnaire s'inscrit parfaitement dans la stratégie de durabilité d'Unilin Group. Dans ce contexte, l'entreprise s'engage à contribuer à l'objectif de l'Accord de Paris sur le climat visant à limiter le réchauffement climatique à 1,5 C. Unilin Group voit son sens de l'innovation comme une condition importante pour concrétiser ces objectifs ambitieux. Dans les deux ans à venir, elle prévoit d'investir encore 160 millions d'euros en Belgique, dans la recherche et le développement, entre autres. Bernard Thiers, CEO d'Unilin Group : « L'économie circulaire et la durabilité sont parties intégrantes de l'ADN d'Unilin Group. Nous avons débuté nos activités en 1960 en tant que fabricant de panneaux agglomérés en lin et nous avons trouvé une solution pour les déchets issus de l'industrie locale du lin. Nous voyions à l'époque les défis liés au réemploi des matériaux comme une opportunité. Et c'est encore le cas aujourd'hui. Notre nouvelle technologie nous permet désormais de boucler complètement la boucle pour nos panneaux MDF et HDF (la base du stratifié Quick-Step). Ce développement est dans la droite lignée de notre stratégie relative aux matières premières durables, dans le cadre de laquelle nous n'utilisons que du bois de réemploi ou recyclé et allongeons au maximum la durée de vie de ce matériau. »Au cours d'une première phase, Unilin Group emploiera la technique pour le recyclage de matériau utilisé en interne sur le site de production de Bazeilles, où l'entreprise investit depuis des années déjà dans une technologie de pointe pour la production de panneaux MDF et HDF. Au cours d'une phase ultérieure, la capacité de recyclage sera augmentée afin de pouvoir également recycler des panneaux de fibres et des sols stratifiés d'autres acteurs de la filière. Cette technologie, qui a entre-temps été brevetée, est véritablement une exclusivité mondiale. D'ici 2030, au moins 25% du mix de matières premières d'Unilin Group devraient être remplacés par des fibres recyclées. De cette manière, 380 000 tonnes de CO2 resteront chaque année stockées dans les fibres de bois qui se verront offrir une nouvelle vie au moyen de cette technologie.
Il y a 3 ans et 214 jours

Wonder Partner's lance une solution de réalité augmentée dédiée aux professionnels du bâtiment et de l'aménagement

Fenêtres, portes, volets, escaliers, … sans application, en un clic, le vendeur fait apparaître le produit choisi en taille réelle dans l'intérieur de son client pour l'aider à se projeter. Une offre inédite dans un secteur encore peu digitalisé.Depuis ses débuts en 2018, Wonder Partner's imagine développe des concepts et expériences de marques grâce à la réalité augmentée. En pleine expansion, la start-up nantaise connaît une croissance fulgurante et est déjà présente sur 3 continents. Témoin des mutations qui se sont opérées dans le monde du retail face à la crise sanitaire, la start-up lance en juin dernier une solution de réalité augmentée pour aider les e-commerçants à faire face à la fermeture des magasins. Jusqu'à présent réservée aux mastodontes, cette solution inédite, “Augmented shop”, permet à TOUS les retailers, de la PME aux grands groupes, de proposer des expériences de réalité augmentée sur leur site e-commerce. En quelques clics, le client peut visualiser chez lui le meuble qu'on convoite avant d'acheter en ligne ou encore essayer virtuellement la paire de baskets qui lui fait de l'œil. Dès le lancement, la solution remporte un franc succès. La start-up signe avec Carrefour, la MACIF, Renault ou encore une célèbre maison de Haute-Couture, et bien d'autres. Sollicitée par des acteurs du BTP, la start-up a travaillé sur une déclinaison adaptée aux contraintes du secteur. « Le BTP est un secteur très dynamique qui est en demande d'innovation et de technologie mais il n'y a, pour le moment, que peu d'offres. Suite au lancement de cette solution, nous avons pu observer une forte demande de la part de plusieurs acteurs de l'aménagement, intéressés par le potentiel d'un outil permettant à leurs clients de se projeter facilement. Pour beaucoup de gens, c'est difficile de se rendre compte de la place que prendra un escalier, des mesures d'un radiateur, ou de la couleur des volets quand on regarde un catalogue. La, en 1 clic, le commercial peut projeter directement l'escalier, la fenêtre ou la porte dans l'intérieur du client qui voit le résultat tel qu'il sera définitivement. C'est un véritable outil d'aide à la vente pour les commerciaux et un service supplémentaire pour leurs clients qui peuvent les aider à se projeter et prendre leur décision » précise Alexis Thomas, directeur général et co-fondateur de Wonder Partner's. Les solutions Wonder Partners sont clés en main et s'adressent à tous les professionnels du bâtiment et de l'ameublement, Pas besoin de compétences techniques spécifiques. L'outil est très simple d'utilisation et s'adresse à toutes les gammes de produits (fenêtres, portes, escaliers …). Comment ça marche ?Concrètement, l'entreprise importe en quelques clics ses produits sur une plateforme dédiée. Via une interface, le commercial chez le particulier n'a plus qu'à sélectionner le produit que son client a choisi. Il scanne l'emplacement de la maison ou le produit sera à terme installé. Le produit apparaît en taille réelle à l'endroit choisi. Le commercial peut changer la couleur, les finitions, les dimensions en quelques clics. Le client peut ainsi avoir une idée très concrète du projet, aide à la décision finale. Pour prolonger et partager l'expérience, le client reçoit un lien web par sms ou email pour visualiser sans application son choix, directement depuis son smartphone. « Les possibilités sont infinies, on peut imaginer facilement s'étendre à d'autres univers autour de la maison : paysagistes, décorateurs … c'est un outil simple et ludique qui peut apporter un petit plus à de nombreuses professions ! » précise Patrick Gluck, Président de la start-up. A peine lancé, Wonder Partner's a déjà des commandes. Premières livraisons prévues avant la fin de l'année.
Il y a 3 ans et 214 jours

Louineau dévoile ses nouveaux systèmes d'habillage et de fixation

Il développe des produits inédits sous certifications et améliore constamment ses solutions éprouvées afin d'anticiper les réglementations, de s'adapter aux normes, aux nouveaux procédés de constructions, aux enjeux environnementaux… La facilité de mise en oeuvre et la durabilité de ses systèmes performants sont également au coeur de chaque conception.Les nouveautés présentées au salon EQUIPBAIE illustrent cette philosophie, qui anime les équipes LOUINEAU, du département R&D au bureau d'études, en passant par la production, le commerce, le marketing… :L'Encadrement de baie monobloc exclusif PRECWOOD 1400, seule solution certifiée dédiée à l'étanchéité (1 400 Pa) des constructions bois,L'Encadrement de baie rapporté en kit PRECHABKIT, système d'habillage rapide à mettre en oeuvre adapté aux maisons à ossatures bois,Les Pattes à Bords Tombés (BT) pour renforcer les cornières filantes (CFIL BT) et précadres (PRECFIX BT),Le Manchon Monobloc en 200 mm de hauteur (MCHM200) intégré à l'offre standard, fixation pour murs-rideaux qui optimise la pose et simplifie le quotidien des façadiers.Solution pour l'étanchéité en constructions bois : encadrement de baie monobloc exclusif PRECWOOD 1400Le PRECWOOD 1400 est un encadrement de baie qui assure la continuité du plan d'étanchéité entre le pare-pluie et la menuiserie grâce à sa conception monobloc et à ses soudures continues dans les angles. Inédit sur le marché de la construction en ossature bois, il est certifié CTB Composants et Systèmes Bois par FCBA (catégorie Assemblages & Connexions - N° d'identification 211). Ce centre technique industriel a réalisé des tests à la pluie battante sur un banc d'essai AEV, qui a validé une résistance à 1 400 Pa. Une performance requise pour les constructions bois (COB) dont les Immeubles de Grande Hauteur (IGH) jusqu'à 60 m.Une lame d'air autour de la structure bois garantit une ventilation optimale, limitant ainsi les risques de condensation. Préfabriqué et livré prêt à poser, le PRECWOOD 1400 facilite la mise en oeuvre. Environ 30 minutes suffiront, à deux personnes, entre le déballage du précadre et la pose en applique sans retour de pare-pluie qui n'est plus nécessaire.En acier galvanisé, le PRECWOOD 1400 offre une liberté de conception tant en termes de dimensions que de thermolaquages. Il permet l'intégration de volets-roulants, brise-soleil, garde-corps ou seuils PMR dans le cadre d'une porte-fenêtre ou d'un coulissant. Il est disponible en deux finitions, avec ou sans recouvrement, et peut être doté d'un système antivibratoire. Il convient à toutes les façades (enduit, zinc, bois, brique…).Solution pour l'étanchéité des maisons à ossatures bois : nouvel encadrement de baie rapporté en kit PRECHABKITLes maisons à ossature bois (MOB) ont le vent en poupe ces dernières années ! LOUINEAU a conçu et standardisé un nouvel Encadrement de baie rapporté en kit (PRECHABKIT) qui permet de préserver une lame d'air entre le précadre et le pare-pluie. Cette solution d'habillage est conforme aux préconisations des DTU 31.2 et 31.4. Livrée en kit, elle optimise le temps de mise en oeuvre et simplifie la réalisation de l'encadrement de baie :l'assemblage est facilité par le repérage de chaque élément,la pose en applique extérieure est rapide et ne nécessite aucune découpe.L'Encadrement de baie rapporté en kit (PRECHABKIT) est fabriqué en acier galvanisé prélaqué (10/10ème). Il peut être thermolaqué à la demande pour des couleurs spécifiques et intégrer un antivibratoire afin de limiter les bruits d'impact de la pluie sur la bavette. Ses fixations sont dissimulées permettant d'obtenir un tableau épuré pour une harmonie visuelle.Solutions pour renforcer les cornières filantes et précadres : nouvelles Pattes à Bords Tombés (BT)En fonction du poids de la menuiserie, le professionnel qui réalise la pose d'une cornière filante ou d'un précadre aura besoin de renforts afin de garantir la reprise des efforts. En complément de la Patte à Gousset (PG), le département R&D LOUINEAU a imaginé un deuxième type de renfort présenté en avant-première à EQUIPBAIE : les nouvelles Pattes à Bords Tombés (BT).Intégrées aux solutions LOUINEAU, ces Pattes BT permettent de proposer en standard :Une Cornière filante renforts BT (CFIL BT)Elle assure linéarité et reprise de charges. Sa conception en forme de « C » rend aisée la mise en oeuvre. L'artisan n'est pas gêné par l'isolant et il peut ensuite installer facilement la membrane. Elle s'adapte à toutes les longueurs et à tous les types d'isolation.Un Précadre de fixation renforts BT (PRECFIX BT)Conçu avec quatre cornières filantes mécano-soudées entre elles, ce précadre monobloc PRECFIX BT facilite la mise en oeuvre des menuiseries. Les renforts, sur trois ou quatre côtés, sont mis en place en partie basse ou sur l'ensemble du support selon le poids de la menuiserie.Le [+] LOUINEAU : L'ajout de renforts n'est pas systématique ! LOUINEAU accompagne les entreprises via son logiciel de chiffrage en ligne Mes Devis. Une fois les paramètres de la pièce et le poids de la menuiserie renseignés, l'outil indique si la solution supportera ou non la charge. Dans le second cas, il faudra donc ajouter des renforts.Solution pour murs-rideaux : MCHM200, Manchon Monobloc en 200 mm de hauteurLe Manchon Monobloc en 200 mm de hauteur (MCHM200), intégré à l'offre standard LOUINEAU, est pensé pour simplifier la pose des murs-rideaux. Il possède deux atouts majeurs pour les façadiers et entreprises de pose :le trou oblong est décalé au-dessus de la traverse, afin de faciliter le passage de la vis,un point de fixation supplémentaire garantit la reprise de poids, en complément des reprises au vent et au sismique. Le professionnel aura désormais le choix d'une reprise de poids sur la pièce ou sur le gros oeuvre selon les cas de montage.Le MCHM200, de forme oméga (double), est fixé en partie haute et/ou basse des épines dans le cadre d'une pose en tableau. Intégré dans le profil aluminium, il est totalement invisible. Il s'adapte au standard de chaque mur-rideau du marché.Le [+] réglementationLOUINEAU est le seul industriel à posséder un protocole d'essais de justification des pièces d'ancrage de façades légères validé par le CSTB sous la forme d'une ETPM, n°18/0057. Ce référentiel valide les résistances admissibles aux actions du poids, du vent et des effets sismiques ainsi que la méthode de justification associée. Valide jusqu'au 30 novembre 2023, l'ETPM est complémentaire aux Eurocodes et au DTU 33.1 relatif à la pose des éléments en façade.
Il y a 3 ans et 215 jours

Une application pour réussir le dimensionnement des Pac en maison

OUTIL. Le programme Profeel met à disposition des professionnels une application permettant de faciliter le dimensionnent des pompes à chaleur (Pac) en habitat individuel.
Il y a 3 ans et 215 jours

Les chaudières étanches à granulés, nouveau champ d'application de la gamme Dualis EI de Cheminées Poujoulat

La gamme de conduits concentriques étanches DUALIS EI, qui étend désormais son champ d’application aux chaudières étanches à granulés de bois (ou pellets), en est une illustration parfaite. DUALIS EI, un conduit concentrique polyvalentLa gamme DUALIS EI n’est pas une inconnue puisqu’elle équipait déjà les chaudières gaz à condensation et les chaudières fioul étanches depuis de nombreuses années. La technologie utilisée est celle du conduit concentrique, un conduit « deux en un » permettant de gérer un flux d’air sortant (évacuation de la fumée) et une arrivée d’air comburant pour un fonctionnement 100 % étanche. En 2019, quelques aménagements permettent à la gamme d’étendre son terrain de jeu jusqu’aux chaudières à granulés de bois, renforçant ainsi sa polyvalence. Voici les adaptations apportées : uniformisation des joints de fumée pour permettre l’évacuation des fumées jusqu’à 250° ;création d’un quatrième diamètre 150/200 dédié aux chaudières à granulés de bois de 30/40 KW ; conception de pièces spécifiques pour faciliter le raccordement aux appareils. DUALIS EI devient ainsi le partenaire privilégié des chaudières étanches à granulés de bois standard sans condensation ou basse température et des appareils à condensation. Plusieurs configurations possibles, et toujours la personnalisation disponible DUALIS EI s’installe facilement par un système d’emboîtement simple et parfaitement étanche. En neuf comme en rénovation, il permet de réaliser des installations avec terminaux verticaux ou horizontaux depuis la buse de l’appareil jusqu’à l’extérieur du bâtiment. Notez que dans le cadre d’une rénovation, un remplacement de chaudière à fioul par exemple, DUALIS EI peut également s’adapter à un conduit de cheminée traditionnel maçonné. Dans ce cas, un kit d’adaptation sur tubage flexible pour raccordement DUALIS EI est nécessaire. Côté personnalisation, DUALIS EI n’est pas en reste : Le terminal vertical propose 8 couleurs au total (dont noir et brique disponibles en stock). Le terminal horizontal propose une finition standard inox, il est aussi disponible dans la couleur RAL de son choix sur demande. Idéal pour faciliter l’intégration du terminal dans son environnement. En réponse à la directive Éco-conception En s’ouvrant ainsi au marché des chaudières à granulés de bois étanches, DUALIS EI apporte une nouvelle réponse au remplacement de chaudières peu performantes (chaudières basse température) ne répondant pas à la directive Éco-conception, par des équipements à très hautes performances énergétiques. Sous avis technique (DTA : 14.2/12-1821_V2) et marqué CE, DUALIS EI a été développé avec l’appui du laboratoire CÉRIC, agréé COFRAC. Le système a fait l’objet d’une série d’essais fonctionnels pour valider toute la connectique en fonction des différentes marques de chaudières étanches sous avis technique proposées sur le marché.Les + Cheminées Poujoulat Solution pour chaudières étanches à granulés de bois (pellets) standards ou à condensation sous avis technique en plus des appareils à gaz et fioul Permet le remplacement de chaudières peu performantes ne répondant pas à la directive Éco-conception 4 diamètres disponibles : Ø 80/125, Ø 100/150, Ø 130/200, Ø 150/200 Nombreuses configurations possibles (dont terminal vertical ou horizontal)Mise en œuvre simple, installation en neuf ou rénovationCouleur personnalisable Informations produit, préconisations DUALIS EI par marque… Rendez-vous sur poujoulat.fr
Il y a 3 ans et 218 jours

Les émissions de polluants atmosphériques en baisse en France depuis le début des années 2000

Élaboré par le Commissariat général au développement durable (CGDD), avec la participation de la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC), du Laboratoire central de surveillance de la qualité de l’air (LCSQA) et des Associations agréées pour la surveillance de la qualité de l’air (AASQA), ce bilan confirme des progrès significatifs en termes de réduction des polluants atmosphériques sur la période 2000-2020, à l’échelle nationale et locale. Le bilan note également que les dépassements des seuils règlementaires de qualité de l'air pour la protection de la santé affectent moins de zones. Cette réduction des émissions de polluants fait suite à la mise en œuvre de plans d’actions en matière de qualité de l’air, notamment dans les secteurs de l’industrie, des transports, du chauffage résidentiel, et de l’agriculture.Les mesures prises en 2020 pour lutter contre la pandémie de Covid-19, notamment les limitations des déplacements et de l’activité économique, ont également conduit à une forte baisse complémentaire des émissions des secteurs des transports et de l’industrie. 2 300 décès ont ainsi été évités grâce à cette baisse des niveaux de polluants présents dans l’air ambiant, selon une enquête de Santé publique France, s’appuyant sur le lien inévitable entre exposition aux polluants atmosphériques et effets néfastes sur la santé. Des actions en matière de qualité de l'air dans les secteurs les plus polluantsLes transports, notamment le trafic routier, représentent la première source d'émissions d'oxyde d'azote. En application de la loi d'orientation des mobilités (LOM) de 2019, plusieurs collectivités se sont dotées de zones à faibles émissions mobilités (ZFE-m) : la ville de Paris, les métropoles du Grand Paris, de Lyon et de Grenoble, et plus récemment la métropole de Rouen et la ville de Reims. D’ici 2025, la loi Climat et résilience prévoit la mise en place de ZFE-m dans les agglomérations de plus de 150 000 habitants. Le dispositif ZFE-m s'appuie sur la vignette Crit’Air, qui est obligatoire pour circuler dans les zones à faibles émissions mobilité. À date, 20 millions de vignettes ont été délivrées. Pour accompagner les usagers dans leur transition, l’État a également mis en place des aides à l'acquisition de véhicules peu polluants (le bonus écologique et la prime à la conversion, les aides pour la recharge des véhicules électriques) et a renforcé les soutiens au déploiement de l’usage du vélo.Par ailleurs, l'État a sorti en juillet dernier un plan pour réduire de moitié d’ici 2030 les polluants atmosphériques induits par le chauffage au bois, première source d'émissions de particules fines en France. Les usagers sont accompagnés dans le remplacement de leurs appareils avec les dispositifs MaPrimeRénov' (aide pour les travaux de chauffage) et le fonds Air Bois, qui vise à augmenter de 3% par an le renouvellement des appareils de domestiques de chauffage au bois. Plusieurs actions sont en préparation au sujet de la qualité du combustible utilisé, essentiel pour limiter les émissions de polluants.
Il y a 3 ans et 219 jours

Quatrième phase des travaux de restauration de la flèche de la cathédrale de Rouen

Alors que les trois premières étapes du chantier se sont achevées, l’échafaudage qui culminait jusqu’à présent à 85 mètres pourra atteindre 102 mètres de hauteur.La phase numéro 4 du chantier est lancéeCe chantier est un véritable challenge pour les équipes présentes sur place et qui s’attèlent au plus haut monument historique classé de France.Dans le cadre de cette nouvelle étape, l’ascenseur, donnant accès à l’échafaudage et mis en service jusqu’à aujourd’hui à 65 mètres, permettra désormais de monter à 85 mètres. Il est également prévu de déposer l’échafaudage de la phase 3 pour faire le montage simultané de la phase 4, en passant ainsi de 85 mètres à 102 mètres. Par ailleurs, comme à l’extérieur, l’échafaudage sera également implanté à l’intérieur à 85 mètres.Comme prévu depuis le début des travaux, l’échafaudage a été recouvert d’une bâche thermoformée dans l’objectif de protéger les plombages et permettre de travailler en toute sécurité pendant les intempéries. Une vraie prouesse technique, cet habillage devient nécessaire surtout à une telle altitude et dans une région comme la Normandie.Retour sur ce chantier d'envergure et sur les solutions techniques et sur-mesure de Tubesca-ComabiMonument emblématique du patrimoine français, la Cathédrale de Rouen fait l'objet de travaux de restauration depuis 2015 sur l'initiative de la DRAC de Haute-Normandie. Depuis 2016, les travaux se concentrent sur la flèche de l'édifice dans l'objectif de rénover les deux matériaux qui la composent : l'acier Corten® et la fonte. Pour rappel en 2016, TUBESCA-COMABI et Lanfry, entreprise de pierre de taille, ont répondu en groupement conjoint et solidaire et ont été retenues, pour la conception et l'installation d'un échafaudage de pied suspendu, en raison de leur expertise technique des monuments historiques et des chantiers hors norme.Pour la restauration de ce site atypique, à l'architecture complexe et asymétrique, la solution d'échafaudage retenue par TUBESCA-COMABI est le multidirectionnel M368 (en 8 positions). Il s'agit d'un produit 100% standard qui permet de répondre aux contraintes des formes géométriques et architecturales du bâtiment. Cependant, la solution d'assemblage sur-mesure fait toute la spécificité, la technicité et la particularité de ce chantier.Focus sur le multidirectionnel M368 de la flèche de la cathédrale de Rouen :échafaudage sur-mesure culminant à 152 mètres de haut (toutes phases cumulées).conçu pour supporter 500kg/m2 avec une charge mobile d’1,5 tonnes ; une résistance de 600kg/m2 sur les planchers.Pour en savoir plus : cliquez ici
Il y a 3 ans et 220 jours

Industrialiser la rénovation énergétique, pourquoi ? Comment ?

Dans cette interview, Olivier Villeneuve (Directeur marketing et développement du groupe Hors-Site) et Matthieu Garcia (Dirigeant Emenda) nous expliquent ce qu’est la massification de la rénovation énergétique et comment la…Cet article Industrialiser la rénovation énergétique, pourquoi ? Comment ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 221 jours

Le système de bâti-support Prevista répond aux exigences des installateurs jusque dans les moindres détails

Dans les projets d'extension de salles de bains, les systèmes de bâti-supports présentent des avantages décisifs. Ils rendent possible de nouvelles installations ou des rénovations sans devoir effectuer de fastidieuses modifications. Grâce à une multitude de détails bien pensés, le système de bâti-support Prevista de Viega, développé conjointement avec des artisans, facilite encore davantage les travaux sur le chantier.
Il y a 3 ans et 221 jours

Coeur du parc éolien en mer de Saint-Brieuc, la sous-station prend forme en Belgique

EN IMAGES. Bien que toujours contesté, la construction du parc éolien offshore de Saint-Brieuc avance. Elément central de la future ferme, la sous-station est actuellement en cours d'assemblage à Hoboken, près d'Anvers en Belgique. A la manoeuvre, les équipes de Smulders, filiale d'Eiffage, et d'Equans, entité d'Engie. Reportage au coeur de la plateforme.
Il y a 3 ans et 222 jours

Le Rustol dans tous ses états

Même si son aspect peut paraître déco, la rouille n’en reste pas moins un fléau qui détruit tout ce qu’elle attaque si on ne la maîtrise pas rapidement. Elle fait son travail de sape, lentement mais sûrement et sans action le support peut même disparaître.Professionnels, industriels, particuliers sont tous concernés. Il suffit d’agir pour prévenir ou corriger une fois l’attaque constatée et surtout ne jamais laisser la rouille s’installer ! Structures métalliques, meubles et objets en métal ferreux et même l’ossature d’une structure bois ou béton comportant des clous, sont la cible de la rouille. En cas d’attaque, ils risquent de se détériorer rapidement ou de voir des coulures disgracieuses altérer le support. Il faut agir en prévention et en protection.Pourquoi la rouille apparaît à coup sûr sur le métal ferreux non protégé ?La rouille est une réaction d’oxydation qui apparaît sur du métal ferreux lorsque celui-ci est en contact avec de l’air ou de l’humidité : le fer s’oxyde et devient de la rouille. Le processus s’accélère en présence d’eau ou d’humidité. Une fois la formation de rouille démarrée, elle n’arrête pas de se propager. Pour arrêter le phénomène, il faut l’éliminer et protéger l’ensemble de la structure concernée. En amont, il est possible de prévenir son apparition en protégeant les parties métalliques du support.Agir - prévenir, protéger ou rénover les ouvrages en métal ferreux : Quelles options avec quelle action ?Détruire, transformer, neutraliser, explications pour chaque action :Les destructeurs de rouille détruisent la rouille en mettant le métal à nu pour le débarrasser entièrement de la rouille formée. Il faut ensuite appliquer une protection sur l’ouvrage afin que le métal ne soit pas de nouveau attaqué.À savoir : l’étape nettoyage des particules du destructeur, avant l’application d’une protection, amène de fait de l’humidité risquant ainsi de renouer avec le cycle de formation de rouille.Les transformateurs de rouille transforment l’oxyde de fer en un autre oxyde de fer plus stable qui va mieux résister à l’oxydation. Néanmoins, cette transformation ne garantit pas l’exclusion d’un nouveau repiquage car des points de rouille restent toujours dans le support et pourront permettre à la rouille de redémarrer. Par ailleurs, le film laissé par le transformateur peut se décoller facilement obligeant à une nouvelle application.Neutraliser : le principe consiste à stopper la rouille à l’intérieur du support en l’imprégnant pour bloquer le process et stabiliser l’ensemble. Dans ce cas l’ouvrage est protégé dans la durée contre toute reprise.Chez Durieu, l’antirouille légendaire RUSTOL travaille en neutralisateur : il imprègne le support, se diffuse et neutralise toutes les particules de rouille.Il était une fois le Rustol…Le RUSTOL naît en France en 1956 d’une collaboration entre Durieu et une société américaine. À l’origine le RUSTOL est formulé pour l’automobile et notamment les garages où il apporte enfin la solution pour protéger les bas de caisse et toutes les parties délicates des automobiles et des cycles. Il entre ensuite dans l’industrie (bâtiment, marine, automobile…) et les magasins de bricolage.Aujourd’hui, toujours à la pointe de la technologie et fruit d’une expertise jamais égalée, le RUSTOL affiche les qualités essentielles attendues d’un antirouille : une protection longue durée, un produit tout en un qui stabilise et une utilisation à la portée de tous…RUSTOL le secret : aucune action chimique, à base d’huiles végétales naturelles et sans aucun pigment toxique, son arme tient en son pouvoir d’imprégnation. Ni destructeur ni transformateur, il travaille de l’intérieur pour aller neutraliser la rouille partout où elle se trouve et l’empêcher de repartir.Rustol en 3 mots : imprégner, neutraliser, durerIMPRÉGNER : grâce à son formidable pouvoir d’imprégnation et d’auto étalement, le RUSTOL s’infiltre partout dans le support et traque les particules de rouille.NEUTRALISER : dès qu’il est en présence de particules de rouille, RUSTOL les enrobe et fait corps avec elles pour former en séchant un film protecteur ultra-souple et isolant. La rouille est neutralisée et stoppée de l’intérieur. Le support devient imperméable à l’air et l’humidité.DURER : la protection est totale et durable : une fois dans le support, le RUSTOL continue à se propager après l’application grâce à son pouvoir d’imprégnation et reste actif jusqu’à ce que toutes les particules de rouille soient encapsulées.À savoir : sur des structures bois contenant des clous oxydables, il suffit d’une passe de RUSTOL pour prévenir d’une attaque de rouille sur les clous.Malin : additionné aux peintures, le RUSTOL les rend antirouilles, leur donne une meilleure adhérence tout en permettant aussi de retarder le temps de prise.Et pour décorer : le Rustol-DécoÀ base de RUSTOL, le RUSTOL-DÉCO bénéficie de ses qualités exceptionnelles d’imprégnation et s’applique directement sur la rouille ou sur toute surface oxydée (une fois cette dernière nettoyée et débarrassée de tous résidus de rouille instables). De même il vient protéger les supports neufs pour prévenir la rouille en garantissant un maximum d’adhérence et une protection à toute épreuve contre la corrosion.Comme avec le RUSTOL qui neutralise toutes les particules de rouille de l’intérieur, le RUSTOL-DÉCO imprègne le support à coeur pour isoler les particules de rouille du reste du support qui est ainsi protégé durablement contre toute attaque ou reprise de rouille, en même temps qu’il le décore avec ses 10 teintes essentielles.Pour plus d'info, consultez la page Rustol sur Batinfo ou le site Rustol.
Il y a 3 ans et 225 jours

Edilteco® France sera présent au salon Artibat, dans le Pôle Gros Œuvre

Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s'inscrit dans une démarche d'économie circulaire et responsable.EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production.Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves.Politerm® R permet d'isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l'amélioration de l'affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol.LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l'adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3 mm).La densité du mélange - 1200 kg/m3 - est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures.Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d'une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques.Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l'utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu'à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1).Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d'une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l'applicateur c'est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l'assurance d'une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d'usages multiples.Pour la façade, les gammes « best-seller » ECAP® et EDIL-Therm® PSE dans une version sans fixatif seront exposées.Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles.Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l'utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage.Conçue dans les règles de l'art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l'ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d'excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps.Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d'un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai.Elles permettent d'atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l'attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes.DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Brevetée, cette solution bénéficie aujourd'hui d'un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d'isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé.Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles.Artibat est depuis 31 ans le salon de référence pour les professionnels du bâtiment. Partenaire des artisans et des majors du BTP, EDILTECO® suit une politique d'innovation basée sur des objectifs apportant gain de performances aux produits, tout en augmentant la simplicité et la rapidité d'application.Ces trois journées de rencontres et d'échanges seront donc l'opportunité pour EDILTECO® de révéler le potentiel et les compétences de ses solutions et innovations.
Il y a 3 ans et 226 jours

Ogeu-les-Bains : amélioration et sécurisation de la voirie dans le quartier des Fontaines

À Ogeu-les-Bains, des travaux de sécurisation de la voirie ont été réalisés dans le quartier des Fontaines.
Il y a 3 ans et 226 jours

La filière gaz dans le bâtiment attaque la RE2020 devant le Conseil d'État

Ce texte, qui rentrera en application le 1er janvier 2022, concernera de façon progressive les logements individuels, les logements collectifs et les bâtiments du secteur tertiaire.Devant le constat que les dispositions de la RE2020 conduisent à exclure progressivement le recours au gaz des constructions nouvelles à compter du 1er janvier 2022 sans distinction entre gaz naturel et gaz renouvelable, Coénove a déposé une requête devant le Conseil d'État le 29 septembre 2021 visant l'annulation du silence de la RE2020 sur le biométhane et demande un complément pour intégrer le gaz renouvelable dans le texte. Pour Bernard Aulagne, Président de Coénove, « l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles résultant de la RE2020 est contestable sur plusieurs aspects » :Elle méconnaît les dispositions légales et de droit européen qui imposent de favoriser le recours à toutes les énergies renouvelables dans les constructions nouvelles, sans discriminer entre les sources d'énergies renouvelables. Or, le biométhane constitue la seule énergie renouvelable qui est exclue des constructions nouvelles par la RE2020 ;Elle entre en contradiction avec les objectifs poursuivis par la RE2020 de lutte contre le changement climatique et de recours aux énergies renouvelables, le biométhane contribuant significativement à ces deux objectifs. A l'inverse, l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles est de nature à augmenter le recours au gaz naturel pour produire l'électricité nécessaire pour répondre au besoin de chauffage en hiver Elle freine considérablement le développement d'une filière de production d'une énergie renouvelable à part entière, au même titre que les énergies renouvelables électriques, avec les mêmes avantages et bénéfices pour l'environnement et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et qui présente de plus l'intérêt de ne pas être intermittente ;Elle prive la France d'une énergie souveraine produite localement : circuits courts et production locale, disponible sur l'ensemble du territoire, participe à l'indépendance énergétique et favorise l'accès de produits d'origine asiatique sur le marché français ;Enfin, elle porte atteinte à la liberté d'entreprendre des acteurs de la filière en leur fermant de manière définitive et irréversible, pour leur activité gaz, le secteur de la construction nouvelle, alors même qu'ils ont investi et sont en mesure de proposer des solutions énergétiquement performantes recourant au biométhane.L'objectif poursuivi par l'association à travers ce recours est en cohérence avec les convictions qu'elle a défendues tout au long du processus de concertation, à savoir promouvoir la performance énergétique et environnementale des bâtiments grâce à un mix énergétique équilibré favorisant le recours aux énergies renouvelables. Et Bernard Aulagne de souligner : « Nous sommes particulièrement attachés à l'atteinte des objectifs ambitieux que la France s'est fixée pour la réussite de la transition énergétique. Notre démarche n'a rien de conflictuel et vise simplement à réparer une injustice à l'égard d'une énergie renouvelable, le biométhane, qui a toute sa place dans le mix énergétique. »
Il y a 3 ans et 226 jours

Coénove saisit le Conseil d'État sur la RE2020 pour redonner au gaz vert sa place dans la construction neuve

Ce texte, qui rentrera en application le 1er janvier 2022, concernera de façon progressive les logements individuels, les logements collectifs et les bâtiments du secteur tertiaire.Devant le constat que les dispositions de la RE2020 conduisent à exclure progressivement le recours au gaz des constructions nouvelles à compter du 1er janvier 2022 sans distinction entre gaz naturel et gaz renouvelable, Coénove a déposé une requête devant le Conseil d'État le 29 septembre 2021 visant l'annulation du silence de la RE2020 sur le biométhane et demande un complément pour intégrer le gaz renouvelable dans le texte. Pour Bernard Aulagne, Président de Coénove, « l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles résultant de la RE2020 est contestable sur plusieurs aspects » :Elle méconnaît les dispositions légales et de droit européen qui imposent de favoriser le recours à toutes les énergies renouvelables dans les constructions nouvelles, sans discriminer entre les sources d'énergies renouvelables. Or, le biométhane constitue la seule énergie renouvelable qui est exclue des constructions nouvelles par la RE2020 ;Elle entre en contradiction avec les objectifs poursuivis par la RE2020 de lutte contre le changement climatique et de recours aux énergies renouvelables, le biométhane contribuant significativement à ces deux objectifs. A l'inverse, l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles est de nature à augmenter le recours au gaz naturel pour produire l'électricité nécessaire pour répondre au besoin de chauffage en hiver Elle freine considérablement le développement d'une filière de production d'une énergie renouvelable à part entière, au même titre que les énergies renouvelables électriques, avec les mêmes avantages et bénéfices pour l'environnement et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et qui présente de plus l'intérêt de ne pas être intermittente ;Elle prive la France d'une énergie souveraine produite localement : circuits courts et production locale, disponible sur l'ensemble du territoire, participe à l'indépendance énergétique et favorise l'accès de produits d'origine asiatique sur le marché français ;Enfin, elle porte atteinte à la liberté d'entreprendre des acteurs de la filière en leur fermant de manière définitive et irréversible, pour leur activité gaz, le secteur de la construction nouvelle, alors même qu'ils ont investi et sont en mesure de proposer des solutions énergétiquement performantes recourant au biométhane.L'objectif poursuivi par l'association à travers ce recours est en cohérence avec les convictions qu'elle a défendues tout au long du processus de concertation, à savoir promouvoir la performance énergétique et environnementale des bâtiments grâce à un mix énergétique équilibré favorisant le recours aux énergies renouvelables. Et Bernard Aulagne de souligner : « Nous sommes particulièrement attachés à l'atteinte des objectifs ambitieux que la France s'est fixée pour la réussite de la transition énergétique. Notre démarche n'a rien de conflictuel et vise simplement à réparer une injustice à l'égard d'une énergie renouvelable, le biométhane, qui a toute sa place dans le mix énergétique. »
Il y a 3 ans et 226 jours

Première mondiale : le béton ultra bas carbone sur le Grand Paris Express

Les premiers voussoirs en béton Exégy Ultra Bas Carbone de Vinci pour le lot 1 de la ligne 18 du Grand Paris Express. [©Vinci] Au fur et à mesure que la construction des différentes lignes de métro du Grand Paris Express avance, chaque chantier peut devenir un champ d’expérimentation. Ainsi, après les&nbsp;voussoirs en béton fibré métallique, sur la ligne 16 &#8211; lots 1 et 2, voici qu’arrive le béton ultra bas carbone. Cette fois-ci, c’est le lot 1 de la ligne 18 qui est concerné par cette première mondiale, annoncée par la Société du Grand Paris et Vinci Construction, mandataire des travaux. Ceci, dans la cadre d’un test à l’échelle 1. Le pilote a pour objet de confirmer la formulation d’un béton à très faible impact environnemental. Mais aussi de vérifier sa capacité de coulage en moules dans un cadre de cadencement industriel. Puis, de contrôler le comportement du produit fini dans sa phase de stockage et d’exploitation.&nbsp; Une réduction de 70 % de l’empreinte carbone Pour cette opération, Vinci Construction a fait le choix de la&nbsp;solution Exégy, sur laquelle il travaille depuis plusieurs années déjà. L’Exégy Ultra Bas carbone (UBC) est formulé sur la base du liant alcali-activé Ecocem Ultra. Ce béton permet une réduction significative de l’impact carbone, de l’ordre de 70 % par rapport à un béton traditionnel. Et de 50 % en comparaison à un béton dit “très bas carbone”. Soit un impact de 90 kg CO2/m3&nbsp;pour l’ExégyUBC, versus 170 kg CO2/m3&nbsp;pour le “très bas carbone” et 330 kg CO2/m3&nbsp;pour le traditionnel. L’ExégyUBC fait l’objet d’un brevet conjoint détenu par Ecocem et Vinci Construction.&nbsp; Une phase de test a eu lieu chez CDB, filiale préfabrication de Vinci Construction, afin d’élaborer la formulation spécifique aux voussoirs. Aujourd’hui, l’opération entre dans sa phase d’industrialisation chez Stradal, sous-traitant industriel du béton retenu par Vinci Construction pour assurer la préfabrication des voussoirs. Elle va permettre de réaliser 5 anneaux complets, soit un équivalent de 40 voussoirs, aux dimensions du projet. Les premiers exemplaires, à l’échelle 1, serviront aux essais de la qualification du produit&nbsp;: résistance au feu ISO, épreuves de charges.&nbsp; Rentrer en conformité avec la norme NF EN 206/CN La mise en œuvre de voussoirs préfabriqués définitifs en béton ultra bas carbone dans une section de tunnel de métro en service sera une première mondiale. Mais surtout, l’opportunité de procéder à une étude de référence de l’application d&rsquo;un matériau nouveau, plus respectueux de l’environnement dans les tunnels. Lancée dès 2019, une Evaluation technique européenne (ETE) est d’ailleurs en cours d&rsquo;instruction. Elle doit permettre de faire agréer l’Ecocem Ultra, afin d’autoriser les formules de bétons intégrant ce liant alternatif de rentrer en conformité avec la norme NF EN 206/CN.&nbsp;« Nous sommes très fiers de pouvoir permettre à nos partenaires de tester de nouvelles solutions sur nos chantiers, qui pourront profiter à l’ensemble de la filière du BTP par la suite,&nbsp;conclut Bernard Cathelain, membre du directoire de la&nbsp;Société du Grand Paris.&nbsp;Depuis le début du projet, nous encourageons toutes les initiatives qui permettent, entre autres, de réduire l&rsquo;impact carbone de nos chantiers. Nous serons donc très attentifs aux résultats de l’expérimentation. »
Il y a 3 ans et 227 jours

ArmaProtect® : le nouveau système de protection passive contre l'incendie d'Armacell

Que ce soit pour les planchers et parois rigides, les parois souples, les tuyaux en plastique ou métalliques avec ou sans isolants, ou encore les tuyaux composites, ArmaProtect apporte aux prescripteurs et aux installateurs des solutions pour presque toutes les configurations de tuyauteries du bâtiment.Composée de bandes intumescentes, de colliers, de panneaux en fibre minérale enduits, de mastics et de mortiers, la nouvelle gamme ArmaProtect est le complément idéal d'ArmaFlex® Protect : solution de sécurité passive contre l'incendie d'Armacell qui allie dans un même produit une grande résistance au feu, le contrôle de la condensation et l'isolation thermique.Hakan Nayır, chef de produit chez Armacell EMEA, explique : « Les tuyaux, les conduites et les câbles électriques traversent les compartimentages coupe-feu et forment un chemin le long duquel les flammes et la fumée peuvent se propager. Avec ArmaProtect, notre nouvelle gamme de protection passive contre l'incendie, les tuyaux et les câbles traversant des parois et planchers coupe-feu peuvent être isolés de manière fiable et rapide. Selon le type de traversée technique, les clients peuvent se servir de notre toute dernière innovation comme solution autonome ou au sein d'un système. »En évitant la propagation du feu, ArmaProtect et ArmaFlex Protect améliorent la sécurité dans les constructions, allongent le temps dont disposent les usagers du bâtiment pour en sortir en cas d'incendie et donnent un délai supplémentaire aux équipes d'urgence pour faire leur travail. En outre, ils garantissent que les traversées des parois et des planchers passent avec succès les inspections conformément aux codes de construction locaux.Tous les produits ont été testés et classés conformément aux exigences strictes des essais correspondant aux normes de classification et aux documents d'évaluation européen (DEE) afin d'obtenir leurs évaluations techniques européennes (ETA), lesquelles fournissent les informations détaillées sur leurs performances. Les ETA fournissent l'ensemble des données d'installation des produits selon la configuration du projet.Ceci permet aux prescripteurs et aux installateurs de proposer et de mettre en œuvre des produits homologués de construction non couverts par une norme européenne harmonisée, et ce partout en Europe.Armacell fournit des informations complètes sur les performances et l'installation de ses produits de protection passive contre l'incendie pour garantir une spécification et une application conformes à l'ETA.Pour plus d’informations sur les produits, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 228 jours

Ouverture d'une collecte de dons pour la restauration du mobilier Pierre Paulin du Palais d'Iéna

Chef d'œuvre architectural construit par l'architecte Auguste Perret en 1937 à l'occasion de l'exposition universelle, le Palais d'Iéna abrite le CESE depuis plus de soixante ans.Afin de le réhabiliter et de préserver son patrimoine architectural et mobilier, le CESE s'est doté le 10 décembre dernier d'un outil innovant avec la création du Fonds de dotation Co-construire. Ce fonds a pour objet la réalisation et le financement d'actions d'intérêt général à caractère culturel et scientifique visant la restauration, la préservation et la modernisation du Palais d'Iéna et de son mobilier. Aujourd'hui, le travail doit se poursuivre avec la rénovation des espaces intérieurs et notamment de la salle hypostyle qui a subi les outrages du temps.Pour meubler cette salle, le Palais d'Iéna a bénéficié dans les années 80 d'une importante commande publique du Ministère de la Culture à Pierre Paulin dont le travail s'harmonise avec la vision de l'architecte Auguste Perret. Ces œuvres, qui font partie des collections du Mobilier national, sont aujourd'hui considérées comme des pièces majeures du design du XXe siècle. Elles ont été conçues en concertation avec le Mobilier national et son Atelier de Recherche et de Création (ARC). Soutien des métiers d'art et de la création depuis le XVIIème siècle, le Mobilier national a pour mission première l'ameublement des palais de la République, qui constituent une vitrine de prestige pour valoriser la richesse de ses collections et l'excellence des savoir-faire des métiers d'art français.Ce mobilier a aujourd'hui besoin d'une restauration d'ampleur qui sera conduite sous le contrôle du Mobilier national : les éléments clés d'une série de 8 salons s'intégrant dans la salle hypostyle, soit 64 fauteuils, 32 lampadaires et 8 tapis retrouveront leur état d'origine.C'est pourquoi le CESE, d'abord avec le soutien de la Fondation du patrimoine et ensuite en partenariat avec le Mobilier national, annonce l'ouverture d'une collecte de dons en ligne en vue de la restauration du mobilier Paulin, auquel chaque citoyen qui le souhaite pourra participer au financement de la restauration grâce à des dons déductibles fiscalement : https://www.fondation-patrimoine.org/77811Jean Grosset, Président du Fonds Co-Construire, déclare « Devenir mécène du fonds Co-Construire dans le cadre juridique légal du mécénat, c'est participer à la restauration du mobilier signé par le designer Pierre Paulin pour le Palais d'Iéna. C'est aussi soutenir l'action d'une assemblée représentative de l'ensemble des Français favorisant dialogues et compromis. »Hervé Lemoine, Directeur du Mobilier national, déclare : « Je me réjouis que cet ensemble de mobilier ayant subi les outrages du temps puisse, aujourd'hui, bénéficier d'une vaste opération de restauration et de rénovation, en lien constant avec l'expertise des ateliers et manufactures du Mobilier national. »
Il y a 3 ans et 228 jours

Produit de démoussage pour toiture : lequel choisir?

Le démoussage du toit fait partie des travaux d’entretien de la maison que nous devons réaliser chaque année. Il consiste à éliminer les champignons parasitaires et les résidus qui se sont accumulés sur sa surface avec le temps. Pour ce faire, on peut recourir à différentes techniques. À côté du nettoyage à haute pression de la toiture, on peut également envisager l’utilisation de produit de démoussage spécifique. Mais lequel choisir ? Nous répondons à cette question dans l’article. Pourquoi recourir au produit de démoussage pour toiture ? Les mousses et les lichens présents sur la toiture de notre maison n’affectent pas seulement son esthétique. Ces éléments sont à l’origine des rétentions d’eau sur sa surface et, de ce fait, des infiltrations. Pour éviter la dégradation prématurée de cette structure, il est donc essentiel de les éliminer. Pour cela, nombreux sont ceux qui choisissent d’utiliser un produit de démoussage que l’on connait généralement sous l’appellation « produit anti-mousse ». Son usage reste facultatif. Malgré cela, il importe de souligner les avantages qu’il offre. En effet, le nettoyage est facilité par le produit anti-mousse, car il rend plus aisé le décrochage des saletés sur les tuiles. De plus, il freine la prolifération et l’apparition des végétaux parasites. La propreté de la toiture sera donc préservée plus longtemps. Quel type de produit de démoussage pour toiture choisir ? Au moment de choisir votre produit anti-mousse, n’hésitez pas à requérir les conseils d’une entreprise de demoussage de toiture. En effet, votre choix sera conditionné par quelques paramètres. En l’occurrence, il s’agit de la composition du produit, de son mode d’emploi et des particularités du revêtement de votre toit. En effet, tous les anti-mousses disponibles sur le marché ne sont pas forcément adaptés au type de matériaux de couverture que vous avez. En outre, il est à noter que ces produits s’utilisent différemment. Dans tous les cas, l’opération est à la portée de tous. Elle requiert néanmoins l’usage de quelques outils, à savoir un nettoyeur à haute pression et un racloir. Dans tous les cas, privilégiez le produit de démoussage qui vous parait le plus facile à utiliser. Toutefois, rappelez-vous que certains produits peuvent nuire à votre santé et à votre toiture. Avant d’appréhender la moindre chose, munissez-vous des protections adéquates et suivez à la lettre les prescriptions de la notice du produit. Quels sont les paramètres à considérer dans le choix son produit de démoussage pour toiture ? Outre les particularités de votre toit, certains paramètres vous permettront de fixer votre choix. En l’occurrence, il s’agit de : Du coût de l’anti-mousse Le facteur prix est un facteur déterminant. Néanmoins, il ne témoigne pas de l’efficacité du produit. C’est pourquoi nous vous conseillons d’acheter un anti-mousse dans les limites de votre budget. De la composition du produit Certains anti-mousses sont composés d’agents chimiques très agressifs. Ces derniers peuvent même entrainer la décoloration et la dégradation de vos tuiles. Ainsi, vous devez vous assurer que le produit que vous vous apprêtez à utiliser n’altèrera pas votre toiture. Du mode d’utilisation du produit Il faut lire attentivement la notice du produit pour savoir comment l’appliquer sur votre toit. Dans tous les cas, sachez qu’il est plus judicieux de laisser sa manipulation aux soins d’un professionnel. Des avis des utilisateurs Avant l’achat d’un produit de démoussage spécifique, faites un tour sur la toile pour voir sa notation. En consultant l’avis des autres internautes, vous aurez une idée sur le prix de l’anti-mousse en question, sa méthode d’application sur le toit et son efficacité.
Il y a 3 ans et 228 jours

Le paysage comme incarnation du changement

L&#8217;architecture a toujours été considérée comme une entité fixe par opposition à l&#8217;apparence toujours changeante de la nature. La photographie a consciencieusement suivi ce concept d&#8217;immobilité en essayant de fixer la présence « éternelle » de l&#8217;architecture comme une icône mémorable. Chronique-Photos d’Erieta Attali. En termes historiques donc, l&#8217;Architecture et le Paysage coexistaient dans le [&#8230;] L’article Le paysage comme incarnation du changement est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 229 jours

LIMINA, Photographs by Erieta Attali

A Munich, LIMINA est une exposition de photographies d&#8217;Erieta Attali, photographe bien connue des lecteurs de Chroniques. Au Schnitzer& Studio. Jusqu’au 18 novembre 2021. Erieta Attali (née en 1966 à Tel Aviv) s&#8217;est pendant trois décennies consacrée à la réciprocité entre architecture et paysage. Par son travail de pionnière, elle a forgé une nouvelle voie [&#8230;] L’article LIMINA, Photographs by Erieta Attali est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 233 jours

Bardage en peuplier THT à la finition noir intense

Dans la lignée de la tendance actuelle du bois brulé, Ducerf Groupe innove et lance son nouveau bardage « BARD 106 finition CARBON ». Durable et écologique grâce à son procédé de fabrication, il combine une technique de traitement THT avec l’application d’une finition Noir Intense. Ce processus permet de faire ressortir le veinage et l’aspect brut de sciage du bois, révélant des reflets entre le noir profond et l’ébène selon l’orientation du soleil. Il se positionne en véritable alternative aux bois d’importation sur le marché. Le peuplier utilisé dans leurs usines de Bourgogne-Franche Comté, provient essentiellement de cette même région. Il est éco certifié PEFC et Bois de France. Tout le processus d’approvisionnement et de fabrication reste régional. Pour faciliter son installation, DUCERF Groupe a imaginé un profil à emboitement jointif, spécialement développé pour ce produit, qui permet une plus grande rapidité de pose et un rendu homogène et moderne sur l’ensemble de la façade. &nbsp; Photo : « Lodges In Move » &#8211; SAS COME &nbsp;
Il y a 3 ans et 233 jours

La réforme du 1er octobre de l'Assurance chômage publiée au Journal officiel

Ces nouvelles règles controversées devaient entrer en vigueur au 1er juillet mais le Conseil d'État les avait suspendues en juin, arguant des "incertitudes sur la situation économique".La juridiction avait été saisie en référé par les syndicats dont les recours doivent encore être examinés sur le fond.Mais, sans attendre, le gouvernement publie ce nouveau décret, inchangé sur le fond, en mettant en avant "le vif rebond de l'emploi depuis mai"."La situation économique est bonne et pourtant nous sommes face à un paradoxe: des entreprises qui n'arrivent pas à recruter et des chômeurs qui ne trouvent pas d'emploi. C'est donc le bon moment pour faire cette réforme. La nouvelle formule s'appliquera à partir de vendredi à tous les nouveaux inscrits à Pôle Emploi", insiste-t-on au ministère du travail.La CGT, FO, la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC ont déjà fait savoir qu'ils allaient attaquer le nouveau texte.Les syndicats estiment que le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation, va pénaliser les demandeurs d'emploi alternant chômage et activité, "les permittents".Selon une évaluation en avril de l'Unédic, jusque 1,15 million des personnes ouvrant des droits dans l'année suivant l'entrée en vigueur de la réforme toucheraient une allocation mensuelle plus faible (de 17% en moyenne), avec dans le même temps une "durée théorique d'indemnisation" allongée (14 mois en moyenne contre 11 avant la réforme).Le ministère du Travail conteste ce chiffrage en soulignant qu'il ne tient pas compte de l'amélioration de la conjoncture depuis ni "des effets de comportement" espérés de la réforme.Décidée en juillet 2019, la réforme avait été suspendue à l'aune de la crise du Covid-19, puis amendée.Le reste de la réforme, à savoir le durcissement des règles sur la dégressivité des allocations et sur la durée d'affiliation nécessaire pour ouvrir ou recharger un droit, devrait lui entrer en vigueur au 1er décembre.Celles-ci sont en effet liées à des conditions d'amélioration du marché de l'emploi qui devraient être remplies à cette date.Les conditions d'éligibilité passeront alors de 4 à 6 mois. Et la dégressivité de 30% pour les allocataires de moins de 57 ans ayant perdu une rémunération supérieure à 4.500 euros brut mensuel s'appliquera au 7e mois d'indemnisation et non plus au 9e mois.La période d'observation du comportement des entreprises pour le "bonus-malus" sur la cotisation chômage dans sept secteurs grands consommateurs de contrats courts a elle commencé le 1er juillet, pour une application sur les cotisations en septembre 2022.
Il y a 3 ans et 233 jours

Suspension DPE : point de vue de Denis Mora, président du groupe AC Environnement

Une annonce brutale du Gouvernement en contradiction avec sa volonté au début de l’été de déployer coûte que coûte le nouveau DPE dès le 1er juillet dernier alors que pour la majorité des professionnels du diagnostic immobilier, les logiciels de calcul n’étaient pas fiables. AC Environnement était d’ailleurs favorable au report sine die de l’application de la loi au 1er juillet, estimant qu’il fallait plus de temps à la filière et surtout aux développeurs de logiciels pour mettre en place la nouvelle méthode de calcul.La décision de ce début d’automne prise par le Gouvernement pénalise ouvertement les vendeurs de logements d’avant 1975, à commencer par tous ceux qui ont mené des transactions depuis le 1er juillet. Qu’en sera-t-il de leur vente ? Verront-ils les acquéreurs la contester si le DPE ne correspond pas à la réalité des performances énergétiques du logement ?Elle démontre sa méconnaissance du métier de diagnostiqueur et de la profession qui se trouve elle aussi pénalisée. En effet, les conséquences sont colossales sur les plans juridiques (recrudescence de litiges potentiels), financières (pertes de chiffres d’affaires et de rentabilité) et économiques d’un arrêt de la production de DPE pour les biens d’avant 1975.Une fois encore, les diagnostiqueurs se retrouvent entre le marteau (le Ministère de la Transition Ecologique) et l’enclume (les clients), alors même qu’ils subissent depuis plusieurs semaines les approximations de la réforme du DPE 2021… Au cours des derniers mois, les diagnostiqueurs, les entreprises et leurs collaborateurs ont investi un temps considérable en formation, en adaptation de leur système de calcul des DPE et ont mené leurs missions de manière très professionnelle, respectant scrupuleusement toutes les directives qui leur ont été imposées, pour satisfaire au mieux leurs clients.Sur la forme, AC Environnement déplore le manque de communication et d’écoute. La profession a été prise au dépourvu et mise devant le fait accompli par cette annonce en catimini en fin de semaine, sans concertation avec les diagnostiqueurs. Or, tous les professionnels le savent : nous ne pouvons pas arrêter du jour au lendemain la production de nos rapports sous peine de mettre en difficulté nos clients, nos hommes et notre réputation. Quant à nos partenaires notaires, comment pourraient-ils suivre cette recommandation alors que cette décision n’a pas force de loi ? Nous partageons pleinement leur analyse et leur posture.Dans ce contexte, AC Environnent décide de poursuivre la production de ses DPE et proposera à ses clients une réactualisation gratuite le cas échéant.La méthode 3CL, et plus particulièrement le moteur de calcul DPE fourni par le gouvernement aux éditeurs de logiciel depuis le 1er juillet dernier, a subi de très nombreuses modifications, changeant en profondeur les résultats pour certains cas. A chaque évolution, AC environnement a su maintenir la continuité et la fiabilité du calcul malgré les évolutions. AC environnement a même actualisé les DPE réalisés antérieurement à la date du 1er juillet 2021, au prix d’efforts douloureux pour nos équipes. Chez AC environnement, nous sommes donc capables de continuer à produire des DPE, même sur les biens d’avant 1975 et de garantir au client que son DPE pourra être réactualisé gratuitement, sans déplacement, en cas d’évolution de méthode à venir (sous réserve que l’évolution de la méthode ne contienne pas de nouvelles valeurs non relevées lors de notre intervention initiale). Nous allons intégrer au plus vite dans nos rapports une phrase de réserve indiquant que, du fait de la position du Ministère de la Transition Ecologique dans son communiqué de presse, notre DPE perd son caractère opposable et n’a qu’une valeur informative. Son utilisation dans le cadre d’une vente ou d’une mise en location est de la seule responsabilité du propriétaire et/ou du notaire. Nous ajouterons aussi que nous nous tenons à disposition du client pour modifier son DPE en cas d’évolution de la méthode 3CL. Nous avons conscience que la question du DPE est une source de tensions et d’incertitudes pour l’ensemble des professionnels du diagnostic immobilier. AC Environnement et la filière du diagnostic en entier, sont déterminés à sortir rapidement de cette période instable pour tous les professionnels : diagnostiqueurs, agents immobiliers, notaires… et exploitants du bâtiment.Tribune de Denis Mora, Président du groupe AC Environnement (Linkedin)
Il y a 3 ans et 233 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE 2020

Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuellesPartenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse.Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 :Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maisonAvec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée.Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11.Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape.«Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple», explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique.Maîtrise du bilan carboneNécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée.Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein.Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage.Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients.Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes.Prise en compte du confort d’étéRector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau.Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020.Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation.Pour en savoir consultez la page Rector sur Batinfo ou le site internet.
Il y a 3 ans et 233 jours

Obligation vaccinale : le guide de l'OPPBTP remis à jour

Le chef entreprise voit son r&ocirc;le renforc&eacute; dans l&rsquo;application des mesures pr&eacute;vues dans le plan de pr&eacute;vention, notamment en ce qui concerne l&rsquo;obligation vaccinale.
Il y a 3 ans et 233 jours

Faire fabriquer une porte sur mesure

La réalisation des menuiseries sur mesure coute généralement plus chère. C’est le cas de la fabrication d’une porte en sur-mesure. C’est une opération qui requiert un savoir-faire particulier et donc, l’intervention d’un professionnel. Celui-ci s’occupera de la prise des mesures exactes de la porte, fera sa confection et prendra en main son installation. Mais il est aussi possible de faire ces opérations soi-même à condition d’être un bon bricoleur. Voici plus de détails. Tout sur la porte en sur mesure Pour diverses raisons, une personne pourra un jour avoir besoin d’une porte sur mesure. Cela pourra être lors des travaux de rénovation de la maison, l’achat de nouveaux meubles qui ne peuvent pas entrer dans l’ancienne porte, et bien d’autres changements. Concernant les équipements nécessaires pour concevoir une porte sur mesure, il faut plusieurs outils. Pour un travail bien précis, il est important d’avoir un mètre, un niveau, une équerre et un crayon. Pour assurer l’assemblage de toutes les pièces qui vont constituer la porte sur mesure, il faut un marteau, un tournevis et une perceuse. Et pour faire la découpe de tous les éléments de la porte, une égoïne, des ciseaux à bois et une scie feront l’affaire. Les différentes étapes pour créer la porte sur mesure La conception d’une porte sur mesure passe par plusieurs étapes qui sont toutes indispensables. Aucune d’entre elles ne peut donc être zappée. La première étape consiste à prendre tous les mesurages nécessaires. C’est l’étape cruciale de la conception. En cas d’erreur, la porte ne sera pas adaptée à son emplacement et les retouches seront difficiles. La seconde étape est la création de la structure de la porte. Pour ce faire, il faut se baser sur les mesures prises et créer le support à l’aide de contreplaqué ou de bois. Des tasseaux doivent ensuite y être encollés. Ensuite, il est nécessaire de clouer les renforts comme des pièces d’angle. À l’emplacement de la future serrure, il faut aussi mettre un autre tasseau. La dernière étape est la mise en place du contreplaqué ou de la deuxième planche de bois. C’est seulement quand c’est fait qu’il est possible de créer les emplacements pour les gonds, la poignée, la serrure, etc. Pour les réaliser, il est nécessaire d’utiliser la perceuse ou les ciseaux à bois. Il est enfin possible d’appliquer les finitions sur la nouvelle porte sur mesure. La finition La finition précède l’installation de la porte et de sa poignée. Même si la porte ne sera pas teintée mais gardée brute, il est toujours nécessaire d’y appliquer du vernis pour protéger l’essence de bois. Pour une porte sur mesure teintée, l’idéal est d’opter pour un coloris qui s’adapte avec la pièce et tous les éléments de décoration qui s’y trouve. Pour éviter les erreurs, il est plus rationnel de faire des essais sur des chutes de bois avant de l’appliquer sur la porte. Certes, ces étapes semblent être faciles. Cependant, elles requièrent toutes beaucoup de précision. L’idéal est donc de faire appel à un professionnel comme l’entreprise Beral pour avoir des résultats satisfaisants. Elle peut s’occuper de cette mission sans souci.
Il y a 3 ans et 233 jours

Parution guide pratique développement durable CSTB "Poêles et inserts à granulés"

Le guide « Poêles et inserts à granulés » permet d'orienter le choix du type d'appareil et d'installation en fonction des usages attendus tout en garantissant un bon fonctionnement. Il décrit les étapes essentielles à connaître pour réaliser des installations respectant les normes et les règles essentielles de sécurité selon les NF DTU et les Avis Techniques.Le guide insiste sur les outils et les règles fondamentales :dimensionnement thermique et aéraulique de l'installation en application de la norme EN 13384-1 et du NF DTU 24.1 ;choix des matériaux et caractéristiques (résistance à la température, résistance aux condensats, étanchéité, distance aux matériaux combustibles) selon le NF DTU 24.1 ;conditions de raccordement en air frais et sur le conduit de fumée.Ce guide apporte également un éclairage sur le combustible (spécifications, normes de référence et stockage) ainsi que sur les bonnes pratiques de conduite des appareils et d'entretien par l'utilisateur et les professionnels.Auteur(s)Guide entièrement rédigé par Olivier Grelier, consultant en installation de chauffage au bois domestique et en normalisation et Olivier Pichot, expert et formateur auprès des installateurs et industriels du chauffage au bois. Tous deux ont participé aux travaux de normalisation pour les appareils et les conduits de fumée.Sommaire▪ Conception de l'installation ▪ Définition et choix du générateur ▪ Alimentation en air frais ▪ Définition et choix du conduit de fumée ▪ Dimensionnement du système ▪ Combustible ▪ Mise en œuvre ▪ Entretien-maintenance ▪ Qualité de l'air ▪ Annexes ▪ Glossaire ▪ Réglementation, normes et autres documents de référence ▪ IndexCollection Guide Pratique développement durablePublic viséS'adresse à tous les professionnels du chauffage et de la cheminée : maître d'ouvrage, architecte, BET, bureau de contrôle, entreprise, installateur, etc. Il peut également orienter les choix des particuliers dans un projet de construction ou de rénovation.Points fortsDécrit les étapes essentielles d'installation et les règles de sécurité garantissant leur bon fonctionnement. Apporte également un éclairage sur le combustible ainsi que sur les bonnes pratiques de conduite des appareils et d'entretien par l'utilisateur et les professionnels.Pas de réelle concurrence : un seul autre titre dédié aux bricoleurs existe sur le sujet. Nos auteurs sont des experts ayant participé aux travaux de normalisation et s'adressent aussi bien aux professionnels qu'aux particuliers.Ouvrage très complet qui apporte toutes les préconisations nécessaires et qui s'appuie sur le NF DTU 24.1 et sur les Avis Techniques.Caractéristiques :NouveautéÉdition : 1reISBN : 978-2-86891-720-1Format : 16 x 24 cmNbre pages : 100 (provisoire)Prix : 23 €Reliure / Couleur : Broché, QuadriParution : Septembre 2021
Il y a 3 ans et 233 jours

Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons

KEMICA COATINGS conçoit et fabrique des résines de haute performance, bio sourcées et non toxiques pour l’homme et l’environnement. Sans solvant, sans odeur, sans bisphénol A, les substances nocives ont été supprimées au profit de ressources naturelles et renouvelables. La résine SOUPLETHANE 5 ATE est un revêtement classé A+*, destinée à répondre aux exigences règlementaires appliquées aux toitures et balcons. Applicable à froid, elle s’utilise en neuf et en réhabilitation sur tous types de support : béton, acier, bois, bitume, asphalte, résines en place. SOUPLETHANE 5 ATE assure une étanchéité continue, sans joint, sur les toitures-terrasses, balcons, loggias, coursives et gradins à usage privatif ou public. UNE RÉSINE CERTIFIÉE Les certifications du CSTB assurent la qualité technique de la résine SOUPLETHANE 5 ATE pour traiter à la fois l’étanchéité et l’anticorrosion des toitures et terrasses, lui attribuant ainsi des valeurs de sécurité et de durabilité : en tant que système d’étanchéité liquide confirmé avec le D.T.A. N° 5.2/18-2615_V1 destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, avec extension aux DROM, en tant que système d’étanchéité liquide auto-protégée confirmé avec l’Avis Technique N°12/15-1704, en tant que revêtement de sol testé selon les normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839, en tant que revêtement non inflammable avec son classement européen de tenue au feu Bfl – s1, en tant que revêtement biosourcé avec son agrément environnemental HQE*. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE ET UN ENTRETIEN SIMPLISSIMES SOUPLETHANE 5 ATE est une résine polyurée-uréthane à deux composants (polyol et isocyanate) sans solvant et sans odeur. Ces composants sont des élastomères destinés à générer des membranes et joints élastomériques à très hautes résistances mécaniques, thermiques et chimiques. Son application est possible à des conditions climatiques extrêmes (température de –10°C à 50°C, humidité relative HR < 90%). Appliquée sur tous supports en neuf et en rénovation : béton, bois, isolants, métal, asphalte, membrane bitumineuse, PVC, elle va pallier les problèmes d‘étanchéité en résistant à la fissuration, aux écarts de température et aux agressions chimiques de l’atmosphère. Exempte de retrait, elle garantit l’étanchéité après polymérisation de la résine et ponte toutes les fissurations (tenue à la fissuration de 3 mm). SOUPLETHANE 5 ATE peut être appliquée aussi bien en étanchéité accessible (balcons, terrasses) qu’en étanchéité non accessible (terrasses sur toits, terrasses-parkings). Comme pour toute mise en œuvre d’étanchéité, une préparation des surfaces sera indispensable après dépose de l’ancienne membrane d’étanchéité avec la pose d’un primaire mono-composant sans solvant PU AQUEUX sur béton sec ou humide qui assure une adhérence au béton supérieure à 3,8 MPa – 150 g/m². L’application se fait manuellement au rouleau après mélange des 2 composants de la résine: 3/1 en volume : épaisseur du système : 1,2 à 1,5 mm Facile d’entretien et de réparation, la surface revêtue de SOUPLETHANE 5 ATE peut être de plus rendue antidérapante par projection de silice fine sur le film liquide, apportant un facteur supplémentaire de sécurité pour toute intervention humaine ultérieure. Elle est également directement applicable sur les résines de sol existantes (époxy, polyuréthane). Des finitions sont préconisées d’une part pour traiter l’anti-dérapance et d’autre part pour garantir la stabilité aux UV. &nbsp; &nbsp; La terrasse peut être praticable 24 heures après l’application. L’aspect lisse, neutre mais surtout antiadhérent du revêtement SOUPLETHANE 5 ATE facilite son entretien. Et, la facilité d’entretien n’amoindrit pas sa durabilité qui peut ainsi dépasser une trentaine d’années, tout en conservant ses performances. &nbsp; CERTIFICATIONS DTA pour l’étanchéité liquide de toitures « SOUPLETHANE 5 ATE ». Formulé pour la France et les DROM, et destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, le SOUPLETHANE 5 ATE se pose sur béton, métal et bois (CSTB). Avis Technique 1215/1704 – V1 du CSTB. Classé A+ : Etiquetage réglementaire des émissions de COV et conformité au protocole AgBB (2012) – rapport CSTB. Tests revêtement de sol selon normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839. Tests réaction au feu : SOUPLETHANE 5 : Bfl – s1. Partager la publication « Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons. »
Il y a 3 ans et 234 jours

REP PMCB : Valdelia a organisé un colloque avec les professionnels du bâtiment pour lancer sa campagne d'adhésion

Réunissant les metteurs sur le marché et l'ensemble des parties prenantes du bâtiment, cet événement a permis aux équipes de Valdelia de faire le point sur la filière du traitement des déchets de produits et matériaux de construction du bâtiment avec les experts du secteur, et de lancer sa campagne d'adhésion en attendant la publication prochaine d'un décret officiel.Créé en 2012 sous l'impulsion de metteurs sur le marché de l'ameublement, Valdelia est un éco-organisme agréé par le ministère de la Transition écologique depuis 2013 qui organise la filière de collecte et de recyclage des déchets d'éléments d'ameublement (DEA) professionnels. Dans le prolongement naturel de ses activités reconnues, Valdelia postule pour l'agrément de la responsabilité élargie du producteur(REP) pour les « déchets de chantiers » (produits, matériaux de la construction et du bâtiment) créée par la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage pour économie circulaire.Cette nouvelle REP chargée de collecter, recycler et valoriser les déchets de chantiers entrera en vigueur le 1er janvier 2022 avec la désignation d'un ou plusieurs éco-organismes. Le décret sur les modalités d'attribution de l'agrément étant toujours en attente, Valdelia avait à coeur de tenir son rôle d'acteur du recyclage partenaire des pouvoirs publics en éclairant lors de son colloque les TPE et ETI du bâtiment, de la construction et des matériaux (bois, béton, sols…), les élus locaux, la société civile sur les conditions de mise en oeuvre opérationnelle de cette nouvelle filière de recyclage.Arnaud Humbert-Droz, Président exécutif de Valdelia, a insisté sur la philosophie du système de la REP et l'approche de Valdelia vis-à-vis des metteurs sur le marché, mettant l'accent sur la liberté de choix qui doit être laissée aux producteurs pour remplir leurs obligations de façon responsable.« Le principe directeur de notre action auprès des metteurs sur le marché est de proposer une démarche avant tout coopérative car Valdelia a toujours été dans la co-construction avec ses partenaires. Chez Valdelia, nous sommes des spécialistes du déchet et nous mettons notre expertise reconnue au service des professionnels du bâtiment pour faire de la REP PMCB une opportunité business et non une contrainte réglementaire. »Valdelia lance ainsi sa campagne d'adhésion pour les entreprises des produits et matériaux de chantier et de la construction en vue d'être agréé pour cette nouvelle REP. Opérateur historique des déchets d'ameublement, Valdelia qui en prend déjà en charge en mélange avec des déchets d'ameublement se tient prêt à opérer les déchets de chantiers dès début janvier 2022.« La mise en place de la REP PMCB, c'est déjà demain ! C'est pourquoi toutes nos équipes se tiennent prêtes à accompagner dès maintenant les professionnels du bâtiment afin de leur faciliter la vie en anticipant au mieux cette période de transition », a précisé Arnaud Humbert-Droz.
Il y a 3 ans et 234 jours

Avec son nouveau bloc-baie Chrono One, Soprofen repousse les limites de la performance

Produit de référence en logement neuf individuel et collectif, le bloc-baie représente 44 % des volets roulants installés en France. Marqué par l’évolution constante des normes, parmi lesquelles la future RE 2020, ce marché de la construction voit les exigences de performances des bâtiments renforcées. Concepteur gammiste depuis 1984 et titulaire du 1er avis technique sur le bloc-baie, Soprofen conçoit en permanence des solutions inédites qui répondent aux directives réglementaires. Aujourd’hui, l’expert du volet roulant innove une nouvelle fois et présente Chrono One, un coffre intégré qui concentre tous les avantages attendus par les menuisiers. Plus de performances pour encore plus de confort Plaçant le client au cœur de sa stratégie d’innovation, Soprofen a consulté une vingtaine de menuisiers industriels référents dans toute la France pour recueillir leurs attentes quant à la conception d’un nouveau bloc-baie. Résultat de 3 ans de Recherche & Développement, le Chrono One additionne ainsi tous les avantages en termes de performance, fiabilité, simplicité et rapport qualité-prix. De quoi répondre aux exigences des chantiers de construction neuve et de rénovation ! Dans une volonté de proposer une solution aux performances exceptionnelles, Soprofen a équipé le Chrono One d’une sous-face en nid d’abeilles obtenue grâce à une technologie exclusive brevetée. Complétée par l’ajout d’isolants en polystyrène situés dans les joues et le coffre ainsi que par un joint sur la première lame, le Chrono One offre ainsi une excellente isolation thermique (jusqu’à Uc < 0,7 W/m2K selon calcul interne) et phonique (jusqu’à 57 dB Dne Atr). Un important travail a également été réalisé au niveau de : • la perméabilité à l’air afin d’atteindre une certification classe 4* par l’intégration de joints co-extrudés au niveau de la trappe et d’un joint mousse sur la périphérie de la joue, • l’étanchéité entre le coffre et la menuiserie par l’ajout d’un joint d’étanchéité au niveau du profilé alvéolé et d’un profil de finition doté d’un joint côté intérieur et d’un double face sur l’adaptateur. Bénéficiant de l’innovation Goodnight qui offre une occultation optimale, le nouveau bloc-baie de Soprofen est en plus réalisable dans de grandes dimensions. En effet, la mise en place de crochets pare-tempête permet d’aller jusqu’à 3 mètres ou 3,50 mètres en un seul tablier, selon les lames (ALU de 37 ou 50 mm), quelle que soit la taille du coffre (200 ou 230 mm). Plus facile à installer pour un véritable gain de temps Le nouveau bloc-baie Chrono One réunit tous les ingrédients pour offrir jusqu’à 40% de gain de temps à l’assemblage du volet en atelier, grâce à : • une étanchéité facilitée par la présence de joints réduisant l’utilisation du silicone, • un adaptateur en aluminium rigide pré-percé vissé dans le dormant qui facilite la fixation, • deux modes de montage possibles (sur dormant monobloc ou avec tapées rapportées) pour s’adapter à toutes les configurations (ITI neuf, rénovation, ITE, ossature bois, brique isolante), • une large gamme de coulisses ALU et PVC, avec plaquette d’étanchéité en partie basse, faciles et rapides à positionner grâce à un support d’indexation au niveau de la tulipe, • des brides de fixation latérales surmoulées dans la joue qui réduisent les opérations au niveau du coffre et du dormant et permettent d’avoir une surface parfaitement plane, Autant d’éléments qui permettent une rapidité de montage du coffre sur la fenêtre en moins de 8 minutes top chrono ! Ainsi qu’une grande simplicité de mise en œuvre sur le chantier grâce à : • des embouts de trappe fixes, pensés pour les poses en tunnel sous dalle, qui laissent accessible la trappe de visite après enduisage, • une possibilité de croquage du coffre pour s’adapter à toutes les poses. Une grande robustesse pour une fiabilité à toute épreuve En complément, au niveau de la liaison mécanique entre le coffre et la menuiserie, le Chrono One dispose d’un adaptateur en aluminium, de renforts d’inertie complémentaires à la traverse haute et, en option, de brides de reprise au linteau pour faciliter la fixation du coffre sur les grandes largeurs. Autant d’éléments qui, en plus d’une excellente inertie, assurent à l’ensemble une plus grande rigidité, stabilité et durabilité. Un bloc-baie éco-conçu et esthétique « Made in France » Fabriqué en France en PVC recyclé (à hauteur de 60 %), le Chrono One joue la carte de la discrétion d’un point de vue esthétique. Avec sa trappe de visite au design rectiligne et sa large palette de finitions plaxées, dont près de 50 sous Avis Technique, il s’intègre harmonieusement dans tous les intérieurs. Pour répondre aux demandes les plus courantes, le nouveau bloc-baie de Soprofen est également disponible, en option, avec un thermolaquage       « bord de mer » du coffre, des coulisses, de la lame finale et de la face extérieure en aluminium du tablier. Spécialement développé pour les régions les plus exposées, il assure ainsi une haute résistance anti-corrosion à l’ensemble qui bénéficie alors de 5 ans de garantie pour les habitations situées de 0 à 10 km du bord de mer et jusqu’à 7 ans au-delà de 10 km**. Avec Chrono One, Soprofen propose aux professionnels le meilleur du bloc-baie en alliant hautes performances, facilité de montage, adaptabilité et esthétique. Le fabricant prend ainsi une longueur d’avance qui devrait lui permettre d’être fidèle à son ambition : rester le leader français de la fermeture. *essai interne, certification en cours **selon les conditions précisées dans le carnet d’assistance et de garanties Soprofen
Il y a 3 ans et 234 jours

Nouvelle étude sur "Les Français et le risque climat" réalisée par OpinionWay pour le groupe Stelliant

Ces événements figurent ainsi sur le podium de l'évaluation des risques à horizon 2024 avec les cyber-attaques et les crises financières.[1] Pour toutes ces raisons, le groupe Stelliant, acteur majeur de la gestion des risques et des sinistres, a souhaité réaliser, en partenariat avec OpinionWay, une étude2 sur « Les Français et le risque climat ». Les résultats de cette étude ont été révélés à l'occasion d'une conférence de presse à Paris, à la lumière des éléments de contexte et d'analyse de Didier Richert, Directeur Risques des Particuliers chez Stelliant."L’augmentation du nombre d’événements climatiques, en fréquence et en intensité, dans un contexte d’évolution de la réglementation du régime d’indemnisation des CATNAT obligent tous les acteurs de l’écosystème assurantiel à s’adapter et à anticiper pour encore mieux accompagner les entreprises et les particuliers touchés par ces événements" indique Didier Richert, directeur des risques pour les particuliers et un des spécialistes de la gestion des risques climatiques chez Stelliant. Les événements climatiques extrêmes au cœur des préoccupations des Français Près de 9 Français sur 10 expriment leurs inquiétudes au sujet des aléas climatiques extrêmes. Les inondations sont leur principale préoccupation (49%), suivies de la sécheresse (39%), des feux de forêt (38%) et des tempêtes (33%). Le gel n’est une source d’inquiétude que pour 3% des personnes interrogées. "Cette perception est justifiée et confirmée par la réalité des dossiers CATNAT que nous prenons en charge chez Stelliant. Le nombre de communes reconnues en état de CATNAT sécheresse a triplé ces trois dernières années et cette tendance va perdurer, voire s’accentuer au regard du dérèglement climatique. Les inondations risquent également d’augmenter, comme en témoignent certains phénomènes récents et indédits : en France, Allemagne et Belgique cet été".Les experts du monde de l'assurance observent en effet une augmentation de la fréquence et de l'intensité des événements climatiques en France. L'augmentation de la population et de sa densité sur certaines zones touchées entraine également une augmentation du nombre de personnes impactées et de fait, une hausse du montant des enjeux financiers.Si le contexte sanitaire actuel explique la préoccupation de près de 42% des personnes interrogées pour des pandémies animales ou végétales, il convient de rappeler que près de 75% d’agents pathogènes des maladies infectieuses humaines sont d’origine animale. Entre 1940 et 2020, 160 nouvelles maladies virales ont été découvertes, souvent issues des contacts entre l'homme et l'animal : paludisme, virus de la dengue et du chikungunya, Ébola, H1N1, Covid-19 et d’autres à venir…[2]Un Français sur 5 se dit préoccupé par le risque sismique. Les séismes sont aujourd'hui assez peu médiatisés en France métropolitaine car, si les réseaux sismologiques enregistrent une activité sismique quotidienne, la plupart du temps, ces événements sont trop faibles pour pouvoir être ressentis par la population. Le dernier événement de ce type ayant entraîné des dommages très importants est le séisme du Teil en novembre 2019. D'une magnitude de 5,2 sur l'échelle de Richter, cette secousse a causé à Teil, lieu de son épicentre, et alentours, l'effondrement de plus d'une centaine d'immeubles et des dégâts matériels considérables."Bien que s’agissant d’une zone à faible densité de population, nous avons chez Stelliant traité plus de 2500 dossiers ! La Caisse Centrale de Réassurance (CCR) évalue dans les scénarios extrêmes que le coût d’un tremblement de terre à Nice pourrait engendrer des coûts de l’ordre de 10 à 13 milliards d’euros, sans évoquer les pertes humaines qui seraient dramatiques" confirme Didier Richert.Dans la base de données SisFrance [3], le séisme de Lambesc en 1909 reste le séisme le plus meurtrier survenu en France métropolitaine. D'une magnitude de 6,2 sur l'échelle de Richter, son bilan s'élevait à 46 morts, 250 blessés et près de 1500 logements détruits ou endommagés. "Si un tel événement se reproduisait aujourd'hui au même endroit, la forte urbanisation de la zone concernée conduirait sans nul doute vers un bilan beaucoup plus lourd, de l'ordre de plusieurs milliers de morts et de plusieurs milliards d'euros de dommages" ajoute Didier Richert.Plus de la moitié des personnes interrogées (59%) expriment leur sentiment de vivre dans une zone à risques. Parmi ces risques, les événements climatiques (sécheresse, tempête, inondations, gel et feux de forêts) arrivent en tête et 24% des Français affirment vivre dans une zone menacée de sécheresse. La sécheresse est particulièrement perçue comme une menace par les habitants du sud-est et du bassin méditerranéen, où la manifestation la plus visible du phénomène est l'augmentation de la fréquence et de la violence des feux de forêt. La cartographie du risque sécheresse en France publiée chaque année avant l'été donne une réalité toute autre, avec près de 80% du territoire classé en risque "très probable" ou "probable" de sécheresse.[4] "On observe aujourd’hui une extension des zones géographiques concernées par la sécheresse à de nombreux départements n'étant plus uniquement situés dans la partie Sud du territoire. En 2020, les communes qui ont fait l’objet d’une reconnaissance d’état de CATNAT sécheresse sont d'ailleurs situés majoritairement en région parisienne et dans le centre est. Le nombre de communes reconnues est plus important chaque année, et la moyenne de moins de 1000 communes reconnues par an est comprise entre 3 et 4000 sur ces trois dernières années" précise Didier Richert. La sensibilité au sujet de la sécheresse est également liée à la forte médiatisation du sujet, notamment lorsqu'une zone est reconnue en état de catastrophe naturelle par le biais d'un arrêté, comme c'est le cas actuellement dans un grand nombre de communes du nord de la France. C'est toute l'importance du rôle de l'expert, véritable enquêteur, qui va rechercher les causes possibles des dommages apparents, depuis l'âge du bâtiment, la méthode et les matériaux de construction ou de fondation, jusqu'aux typologies de sols et de sous-sols, constructions et activités voisines...Tous les bâtis travaillent et comportent des microfissures, les matériaux vieillissent, la capacité de portance des sols évolue au gré des périodes de gel et de dégel. Souvent la sécheresse est un révélateur et non la cause des fissurations. Les catastrophes naturelles : enjeux d'actualité et d'avenir pour les Français77% des personnes interrogées estiment que ce risque de catastrophe naturelle est en hausse ces dernières années. L'augmentation du nombre de catastrophes naturelles ainsi que l'ampleur de ces dernières est, en effet, une réalité. Si les phénomènes de sécheresses sont une des manifestations les plus visibles du réchauffement climatique, ainsi que le risque d'incendie qui se fait plus présent dans les zones touchées, les tempêtes[5] et les inondations sont également des conséquences de ce dérèglement global, en lien direct avec le réchauffement des océans et le bouleversement des courants maritimes qui régulent le climat. Les inondations récentes en Allemagne et en Belgique, ont en moins de 48 heures causé la mort de plus de 200 personnes et la destruction de plusieurs milliers d'habitations et d'infrastructures. L'Allemagne a annoncé consacrer 30 milliards d'Euros à la réparation des dommages causés. Il n'y avait pas eu d'orages aussi violents depuis 150 ans."Nous nous attendons chez Stelliant à une forte augmentation de cette typologie de sinistres. C'est pour cela que nous renforçons nos compétences grâce à des formations ciblées et que nous améliorons en permanence la performance de notre cellule EGA (Evénements de Grande Ampleur). Un système d'astreintes est en place au sein du Groupe. Plus de 40 experts peuvent être ainsi mobilisés dans un laps de temps très court, et ce, sans perturber le fonctionnement de l’entreprise" explique Didier Richert.En France, les inondations récentes dans les vallées de la Vésubie et de la Roya en octobre 2020 sont également une dramatique manifestation du réchauffement climatique. Des précipitations inédites y ont causé la crue centennale de plusieurs cours d'eau et des inondations dévastatrices et des dégâts considérables. Les experts de Stelliant mobilisés rapidement afin de trouver des solutions pour les victimes de cet événement historique ont dû faire preuve d'une grande agilité dans des conditions d'accès difficiles des zones touchées. « Plusieurs de nos experts ont dû parcourir des heures de marche pour rejoindre le lieu devenu inacessible en voiture et dormir dans un camp de base improvisé pour effectuer les reconnaissances de terrain car tous les bâtiments étaient détruits » complète Didier Richert.Parmi les Français estimant vivre dans une zone à risque de catastrophe naturelle, 89% ont le sentiment que cette menace pourrait s’accroître à l’avenir. Plus précisément, 14% anticipent que les risques de catastrophes naturelles pourraient augmenter d’ici un an dans leur zone d’habitation, 42% qu’ils pourraient augmenter d’ici 2 à 5 ans et 33% qu’ils risquent de s’accroître à plus long terme. 29% des Français déclarant vivre dans une zone actuellement préservée des risques de catastrophe naturelle pensent que cela pourrait changer à plus ou moins long terme. Un quart des personnes interrogées ont d'ailleurs déjà envisagé de déménager pour éviter d'être confronté aux risques de catastrophes naturelles. Parmi ces personnes, 40% ont déjà subi un sinistre de ce type. Prévention et réparation : insatisfaction ou méconnaissance ? L'inquiétude liée aux catastrophes naturelles n’est pas infondée puisque près d’un Français sur deux (46%) déclare avoir déjà subi au moins un sinistre lié à de tels évènements. La majorité d'entre eux évoque des sinistres liés aux événements climatiques : les tempêtes pour 26%, la sécheresse pour 20%, le gel pour 18% et les inondations pour 16% d'entre eux. A la suite d’une catastrophe naturelle : 74% des Français estiment que les pouvoirs publics ne sont pas à la hauteur pour proposer rapidement des solutions d’urgence aux victimes et 81% sont insatisfaits des actions prises pour réparer et indemniser efficacement les dégâts causés. Après avoir tablé début mai sur une inflation de 173% des primes liées au dispositif CATNAT à horizon 2050, la Caisse Centrale de Réassurance (CCR) a annoncé lors son bilan annuel que les catastrophes naturelles en France en 2020 ont coûté entre 1,35 et 1,65 milliards d'euros aux assureurs, appelant à cette occasion à un renforcement des moyens de prévention. En cas de sinistre, les Français attendraient principalement de leur assureur une prise en charge des travaux (70%), un relogement temporaire (58%) et une indemnisation des frais de nettoyage, déblayage ou désinfection des lieux sinistrés (49%). Dans une moindre mesure, ils comptent aussi sur une prise en charge de leur loyer ou du remboursement de leur prêt (32%), sur le prêt d’un véhicule (12%) et sur l’indemnisation d’autres frais liés au sinistre : déplacement du mobilier (12%), honoraires d’architecte ou de contrôle technique (11%), denrées alimentaires perdues (11%). "Les assureurs prennent en charge les travaux pour réparer les dégâts occasionnés. Cependant, la réglementation actuelle ne leur permet pas de prendre en charge certains frais comme la perte d'usage d'un bien et de relogement. Une modification du régime des catastrophes naturelles est en cours et permettrait de corriger certains manques. Il est important de retenir qu’au-delà de l’indemnisation, les Français attendent des services (nettoyage, déblayage etc.). Chez Stelliant, nous avons développé des services complémentaires à l’expertise (décontamination, assèchement, réparation en nature…) pour répondre encore mieux aux attentes des assureurs et de leurs clients," commente Didier Richert.Même si les Français sont conscients des risques que peuvent représenter les évènements climatiques extrêmes, leurs logements sont rarement équipés en conséquence. Ainsi, seulement 40% des Français estiment que leur logement est équipé pour résister au gel. La prévention est pourtant un élément non négligeable dans la gestion du risque de catastrophe naturelle, et selon les risques, si elle a une facette "collective" corrélée à l'action des pouvoirs publics (plans de prévention communaux des inondations par exemple), dans certains cas des mesures de bon sens, comme par exemple la vidange des radiateurs d'un logement inoccupé pendant l'hiver pour se prémunir de risques liés au gel. Le risque incendie, afférent au risque sécheresse est également en augmentation et l'évolution de la nature des feux, alimentés par une végétation et une terre plus sèche, est à l'origine d' incendies qui rendent parfois caduques les mesures de prévention en vigueur. Si le premier réflexe des Français serait de se tourner vers leur assurance en cas de sinistre, seules 24% des personnes interrogées estiment être suffisamment assurées contre les risques climatiques. 24% considèrent que leur couverture actuelle est insuffisante et 52% avouent ne pas savoir si leur assurance couvre ces risques. "L'insatisfaction peut avoir plusieurs explications. Certains assurés peuvent par exemple ne pas avoir été éligibles à la garantie sécheresse, ou bien leur relogement peut ne pas avoir été pris en charge du fait de la règlementation en vigueur actuellement. S’il est compréhensible qu’un assuré présuppose la prise en charge des fissures apparues sur un bien situé sur une commune reconnue par un arrêté CNS, l’examen de nos données montre que 60 à 70% des déclarations concernant ce phénomène ne sont pas imputables à la sécheresse mais au vieillissement du bâti" indique Didier Richert.Pour se protéger des risques liés à des catastrophes naturelles, 26% des Français seraient prêts à payer leur assurance habitation plus cher et accepteraient en moyenne une augmentation de 11% pour couvrir ces risques, tandis que 72% rejettent cette option. " Il est aujourd'hui difficile d’imaginer que le coût de la part CATNAT des primes des polices d’assurance n’augmentera pas alors que la fréquence, l’intensité des événements climatiques sont, elles, en pleine expansion. L’éventuelle modification du régime qui semble aller vers une couverture plus large des garanties, donc un coût plus important pour les compagnies d’assurance, ne manquera pas d’alimenter l’inflation des primes. La prime CATNAT découle également du régime d’indemnisation et son montant annuel est situé entre une vingtaine d’euros pour un particulier et une centaine d'euros pour une entreprise. En 2019, pour la cinquième année consécutive, le résultat du compte technique de la branche catastrophes naturelles de l’assurance est négatif. Cela n'est pas exorbitant à la lumière des sommes potentiellement engagées lorsqu’un sinistre se produit", précise Didier Richert.Dans son dernier rapport paru le 9 août dernier, le GIEC prévoit dans tous ses scénarii le dépassement du seuil de 1,5 °C dans les dix ou vingt prochaines années. Ce réchauffement entraînera indubitablement une augmentation de la fréquence des aléas climatiques, des zones épargnées pourraient également désormais être touchées par des phénomènes extrêmes. L’impact sera lourd pour la collectivité, mais aussi pour les assureurs : d’ici à 2050, le coût des sinistres liés aux aléas climatiques pourrait être multiplié par un facteur de deux à cinq, a estimé l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution. Les évènements climatiques extrêmes comme les inondations et la sécheresse comptent parmi les catastrophes naturelles les plus redoutées par les Français. Plus d’une personne interrogée sur deux s’estime potentiellement menacée par ces évènements sur son lieu d’habitation. Les Français sont nombreux à partager le sentiment que le risque d’être confronté à une catastrophe naturelle augmente ces dernières années en France. Ils ont également à l’esprit que les zones aujourd’hui plutôt préservées pourraient être touchées à l’avenir. L'étude révèle également que les Français manquent d’information sur les aides existantes en cas de sinistre sur leur logement et sont nombreux à ignorer comment faire face à ces risques.« C’est une certitude, il existe un besoin d’information, en amont et en dehors de la survenance de ces événements qui permette à l’assuré de savoir ce qu’il est possible de faire par nature de risque. C’est la raison laquelle, lors d’une catastrophe naturelle, l’engagement des experts, tant technique que pédagogique, est total. Plus peut-être que sur d’autres sinistres, l’expert a un rôle profondément humain pour accompagner l’assuré, le rassurer et mettre en place des solutions adaptées pour un retour rapide à une situation normalisée et à plus de sérénité » conclut Didier Richert.[1] Source : Cartographie des risques émergents pour la profession de l'assurance et de la réassurance - FFA 2 Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview). Les interviews ont été réalisées du 18 au 19 août 2021.[2] Source : Arnaud Fontanet, responsable de l'unité d'épidémiologie des maladies émergentes à l'Institut Pasteur[3] Base de données informatique harmonisée tenue à jour par un consortium intégrant le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières), EDF (Électricité de France) et l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire).[4] https://www.ecologie.gouv.fr/face-au-risque-secheresse-nouveaux-outils-preparer-lete[5] Les dommages causés par les tempêtes ne relèvent pas de la garantie Catastrophe Naturelle mais de la garantie tempête : Aux termes de la loi initiée en juillet 1982, sont considérés comme effets des catastrophes naturelles « les dommages matériels directs non assurables ayant eu pour cause déterminante l'intensité anormale d'un agent naturel lorsque les mesures habituelles à prendre pour prévenir ces dommages n'ont pu empêcher leur survenance ou n'ont pu être prises » (Article L. 125-1 alinéa 3 du Code des assurances).Notons que les dommages causés par le vent ont été définitivement écartés du champ d’application du régime des catastrophes naturelles par la loi du 25 juin 1990. En effet, cette loi a permis la généralisation de la garantie tempête en rendant obligatoire la couverture des dommages résultants des effets du vent dû aux tempêtes, ouragans et cyclones pour toute personne détentrice d’un contrat d’assurance garantissant les dommages d’incendie.
Il y a 3 ans et 235 jours

Salle de bains : Wedi tombe dans l'escarcelle du groupe Ardex

ACQUISITION. Ardex, spécialisé dans les matériaux chimiques spéciaux, a pris une participation majoritaire dans Wedi, fabricant de solutions complètes pour salles de bains haut de gamme.
Il y a 3 ans et 235 jours

Ideal Standard : sa nouvelle collection TIPO-Z dévoilée au Together World Tour à Londres

Le Together World Tour, la série d’événements digitaux d’Ideal Standard créée spécifiquement pour la communauté internationale de l’architecture et du design, s’est arrêtée à Londres le 23 septembre dernier pour le troisième des six événements qui se déroulent à travers le monde. Fusion innovante de contenus numériques, le Together World Tour vise à inspirer les participants en plongeant dans la culture du design de six villes uniques. Après le succès des deux premiers événements à Milan et à Berlin, qui ont permis à la marque de lancer les nouvelles gammes Linda-X et Extra, issues du concept Atelier Collections, l’événement londonien a été l’occasion de présenter Tipo-Z, la pièce phare d’Atelier Collections. Toutes ces collections sont influencées par le riche héritage de design de la marque et sont le résultat du partenariat avec le studio de design italien Palomba Serafini Associati (PS+A) et son co-fondateur Roberto Palomba, qui est également Chief Design Officer d’Ideal Standard. Londres, étape du Together World Tour d’Ideal Standard Le dernier film de la série a mis à l’honneur la créativité imparable de Londres et son influence sur la communauté du design, ainsi que le développement de Tipo-Z. De la célèbre artiste Soheila Sokhanvari au designer de textile et de mode Darren Cross, l’événement immersif a présenté certains des artistes les plus célèbres de Londres, ainsi que l’exploration de ses moments les plus inspirants au fil des ans. Le Together Word Tour à Londres a été le premier de la série à être présenté pour la première fois lors d’un événement physique, « l’exposition Design London », ainsi qu’à être diffusé en direct du microsite Together World Tour. Lors de cette exposition, Ideal Standard a organisé plusieurs sessions uniques et créatives basées sur les thèmes clés explorés dans le film, ainsi que des forums avec Soheila Sokhanvari et Darren Cross. Les participants ont également pu découvrir la première exposition au Royaume-Uni des gammes Atelier Collections sur le stand d’Ideal Standard. Commentant l’événement, Jan Peter Tewes, co-PDG d’Ideal Standard Inter- national, a déclaré : «Pendant des siècles, la riche diversité de Londres lui a permis de dominer le monde dans les domaines du design, de l’art, de la musique et plus encore. Le mélange de ses quartiers et de ses cultures contribue à créer l’énergie pour laquelle Londres est connue, et c’est quelque chose que nous avons creusé un peu plus. C’était formidable d’être rejoint par la communauté internationale du design, ainsi que par ceux qui assistaient à Design London physiquement, pour découvrir comment cette attitude londonienne si particulière a contribué au lancement de Tipo-Z.» Tipo-Z, une icône phare d’Atelier Collections Tipo-Z est la pièce maîtresse des gammes Atelier Collections. C’est une version moderne du lavabo intemporel Zeta de Gio Ponti, créé par l’architecte et designer italien en 1954. Aborder le design comme un concept intemporel est une notion clé au cœur d’Atelier Collections et de Tipo-Z, qui exploite le passé, le présent et le futur pour s’inspirer. Le lavabo phare Tipo-Z d’Atelier Collections s’inspire du lavabo Zeta d’origine ainsi que du design et de la diversité culturelle de villes comme Londres pour créer un lavabo unique, statuesque au caractère distinct. Utilisant une technologie de pointe, Tipo-Z a été coulé comme une seule pièce, sans espace entre le lavabo et le pied, créant une forme complète et singulière qui n’aurait pas été techniquement réalisable en 1954. Grâce à ces avancées technologiques, Ideal Standard a utilisé de nouveaux matériaux et méthodes pour créer un lavabo durable, léger et ultra-mince. Roberto Palomba, co-fondateur de PS+A et directeur du design chez Ideal Standard, a déclaré : «Tipo-Z est une évolution naturelle du lavabo Zeta original de Gio Ponti, s’inspirant de la vie moderne, de la diversité et de différentes cultures, et du riche héritage de design d’Ideal Standard pour créer une pièce unique pour la salle de bain actuelle.» «Tipo-Z a été sculpté dans une silhouette architecturale et monolithique, exprimant l’élégance et lui permettant de devenir l’étoile brillante de la salle de bain. Nous croyons en la conception de pièces qui repoussent les limites de ce qui nous a précédés et remettent en question ce que nous savons sur la conception de salles de bains. En capturant les éléments élégants et emblématiques que Zeta a exprimés, nous avons réinventé sa forme et utilisé de nouvelles technologies et de nouveaux matériaux pour créer un lavabo unique et léger.» Le prochain événement du Together World Tour aura lieu à Paris le 21 octobre 2021, suivi par Dubaï et Shanghai. Pour vous inscrire aux futurs événements, revoir les précédents et accéder à du contenu supplémentaire exclusif, visitez http://www.togetherworldtour.com https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 235 jours

Nouvelle peinture biosourcée élaborée avec la nature

En aspect mat ou velours, la gamme BIOALKYD offre un bel aspect décoratif, tendance et durable, tout en étant plus respectueuse de l’environnement. BIOALKYD participe à la réduction de l’empreinte environnementale et à la réduction des gaz à effet de serre.Quand la nature devient peintureBIOALKYD a été conçue selon les principes de la « chimie verte », afin de réduire au maximum son impact environnemental. Elle est composée à 97% d’une résine biosourcée issue d’huile végétale et de la valorisation des résidus agroalimentaires .L’approvisionnement en matières premières se fait au plus proche des unités de fabrication.Le saviez-vous ?Les produits biosourcés sont des produits non alimentaires obtenus à partir de matières premières renouvelables issues de la biomasse (végétaux par exemple).Ils contribuent à réduire notre dépendance aux ressources fossiles.La technologie au service de l'environnementA l’application, le séchage rapide permet un recouvrement de la première couche dans la même journée. Sa faible odeur et son application facile en font une peinture agréable à travailler.Son excellent pouvoir courant permet de travailler tous types de chantiers de rénovation. Sa belle finition, son entretien facile et ses couleurs durables offrent une belle perspective de durée de vie.BIOALKYDLabel écologique de l’Union Européenne, établi en 1992, l’écolabel est administré par le CUELE (Comité de l’Union Européenne pour le Label Écologique). En plus des exigences environnementales, l’Écolabel implique le respect de normes de qualité optimales. Ce sont des organismes indépendants qui analysent les produits Écolabel.Les COV (Composés Organiques Volatils) sont des substances naturelles ou de synthèse qui s'évaporent dans l'air. Cette pollution invisible peut avoir un effet néfaste sur la santé, surtout pour les personnes sensibles et fragiles. Bioalkyd a obtenu le meilleur classement A+ car il présente de très faibles émissions dans l'air intérieur : moins de 1 g/L, préservant ainsi la santé de l'applicateur et de l'occupant. Disponible en finition mate et velours. Blanc et plus de 500 teintes pastel.Prix public TTC conseillé à partir de : 16,30 € le litreNouvelle palette de couleurs "conscience nature"Les peintures BIOALKYD offrent une belle esthétique et un vaste choix de couleur. La palette « Conscience Nature » issue de la collection Infiniment Zolpan 4, a été spécialement conçue pour Bioalkyd, inspirée des dernières tendances de l’univers de la décoration.Éthique et responsable, cette palette végétale et aquatique séduit avec son charme simple et ses couleurs lumineuses parfaitement équilibrées. Les 9 teintes s’associent entre elles pour créer des ambiances bien-être. Les teintes mentholées réveilleront un mobilier simple et authentique en lui apportant une touche de modernité rafraîchissante. Les couleurs plus sourdes s’accorderont parfaitement avec les matières naturelles comme le bois et les textiles.
Il y a 3 ans et 236 jours

Béton[s] le Magazine n° 96 se focalise sur le bas carbone

Il n’est pas une journée où une référence au changement climatique, aux émissions de gaz à effet de serre, ne soit faite. Que ce soit dans les médias ou sur les réseaux sociaux. Dans ce contexte, le béton &#8211; trop souvent confondu avec le ciment &#8211; est régulièrement pointé du doigt. C’est pourquoi, à quelques semaines de l’entrée en application de la RE 2020, il était intéressant de détailler ce que la filière béton dans son ensemble fait en matière de baisse de son empreinte carbone. Ceci, à travers un dossier “En couverture” de 11 p. Retrouvez le n° 96 dans la boutique acpresse.fr. Le bilan CO2 en tête, chacun pourra se rendre à Orly, découvrir la construction de la station terminus des lignes 14 et future 18 du métro parisien, réalisée dans le cadre du Grand Paris Express. A moins de se rendre du côté de Lille pour voir quels choix techniques a faits le groupe Lesaffre pour l’érection de son nouveau campus international. Vous pouvez acheter le n°96 au format PDF sur la boutique acpresse.fr La rubrique “En région” rend visite, elle, aux régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire. Mais sans faire l’impasse sur les autres territoires. La Bretagne attend aussi l’ouverture du salon Artibat, à Rennes. Béton[s] le Magazine en dévoile déjà les premières nouveautés. Puis, s’attarde sur les boîtes d’attente, ces dispositifs constructifs qui ne sont pas si basiques qu’on pourrait le croire&#8230; Au niveau du “Laboratoire de la Matière”, Paul Acker s’intéresse aux pathologies des bétons fluides. Et de dévoiler comment contrer le risque de ségrégation. Enfin, la lecture de Béton[s] le Magazine n° 96 ne serait pas complète sans la (re)découverte de Raymond Camus, un précurseur de la préfabrication lourde dans les années 1940. Frédéric Gluzicki Directeur de la publication