Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Divers

(5843 résultats)
Il y a 7 ans et 2 jours

Pierre & Maurice : Hall d'accueil de Pierre & Vacances

Le célèbre site de location touristique Pierre & Vacances a fait appel à l'agence française de design Pierre & Maurice pour égayer le hall d'entrée reliant les trois parties de son siège social, construit en 2001. Un aménagement coloré et décalé qui offre à ses usagers un espace de détente situé entre terre et mer. Il flotte comme un air de villégiature dans cette nouvelle zone d'accueil des salariés Pierre & Vacances. Sur le thème du voyage, l'équipe d'architectes et designers Pierre & Maurice a rénové 440 mètres carrés du rez-de-chaussée des locaux parisiens de l'entreprise, afin d'offrir un cadre de travail et de repos répondant à de multiples usages, pouvant satisfaire une part la plus large possible des collaborateurs. Un coup de téléphone, une conférence sur le pouce ou simplement une micro-sieste entre deux réunions, cet unique espace, aveugle sur trois côtés, a été subdivisé par les deux comparses en deux parties possédant chacune un univers propre : terre et océan, au sein desquels voguent au gré des envies trois banquettes mobiles montées sur roulettes et réalisées sur-mesure. Parailleurs, un peu partout sont disposés des haut-parleurs, prises audio, accès internet, prises de rechargement et vidéoprojecteurs, permettant de répondre à tous les besoins. Côté mer, une atmosphère bleue permet de se prélasser dans une ambiance aquatique, accentuée par des textes en néon blanc lumineux et des ondulations en vinyle réalisées sur les murs et les gradins. Côté terre, la zone est éclairée zénithalement grâce à des dalles vitrées préexistantes. Elle se compose de tables rondes accompagnées de chaises colorées et de plantes, et d'un comptoir mobile en bois, appelé pop-up store : un meuble en chêne massif fabriqué par l'agence en vue de la tenue d'événements organisés par l'entreprise. Il sert à la fois de stand pour les commerçants et d'éventuelle cabine d'essayage lors de ventes de vêtements organisées ponctuellement. en parallèle, cette aire de co-working met à disposition table de ping-pong, baby-foot et un comptoir pouvant être déplacés selon le bon vouloir des joueurs. Autant de tonalités estivales pour une ambiance récréative assurée ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Pierre & Maurice Photographies : © Pierre & Maurice
Il y a 7 ans et 2 jours

Les trente sites d'Inventons la Métropole du Grand Paris 2 dévoilés

Trente sites, représentant 21villes, ont été retenus dans le cadre de la seconde édition de l'appel à projets urbains innovants organisé par la Métropole du Grand Paris. Les équipes lauréates seront désignées dans tout juste un an.
Il y a 7 ans et 4 jours

Événement : Global Award for Sustainable Architecture 2018

Le 14 mai dernier s'est tenue la cérémonie de remise de prix des Global Award for Sustainable Architecture 2018, à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris (16e). Cette douzième édition récompense cinq agences pour leur contribution à une conception plus équitable et plus durable à travers leurs projets. Créés par l'architecte et chercheuse Jana Revedin en 2006, les Global Awards ont pour vocation de faire émerger mais surtout fédérer des architectes du monde entier autour d'une éthique environnementale. Le jury, composé d'architectes, historiens et directeurs culturels, a récompensé cette année, les agences Bangkok Project Studio (Thaïlande), Nina Maritz Architecture (Namibie), Marta Maccaglia (Pérou), Anne Lacaton & Jean-Philippe Vassal et Frédéric Druot (France), ainsi que Raumlabor (Allemagne), pour leur pratique sociale de la discipline, ou " l'architecture comme agent d'émancipation des citoyens ". L'occasion d'observer de plus près les enjeux du civic empowerment (que l'on traduit par le néologisme pouvoir-faire civique) actuel et les réponses apportées par ces cinq lauréats. Bonnserm Premthada (Thaïlande)Venu tout droit de Thaïlande, Boonserm Premthada est né et a grandi dans un bidonville de Bangkok. Attaché à ses racines et soucieux des conditions de vie des plus défavorisés, il conçoit des projets à vocation sociale tels que Brick Sound pour le Kantana Institute (2011), une école de cinéma et d'animation de premier cycle où il relie les cinq bâtiments existants par des couloirs dont les murs ondulants montent jusqu'à 8 mètres de hauteur. Ces espaces de liaison sont construits en brique crue de terre compressée, matériau local façonné à la main, à Ayutthaya, un des rares villages à appliquer et transmettre cette technique ancestrale menacée. À cette dimension humaine et environnementale s'ajoutent les propriétés acoustiques du matériau, ici exploitées par le concepteur : mal-entendant, Boonserm Premthada s'interroge sur la profondeur des espaces et leur capacité à créer différentes tonalités selon la taille et la forme des pièces.Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Bangkok Project Studio  Raumlabor (Allemagne)Ce collectif basé à Berlin (Allemagne), est né en 1999 d'un intérêt commun pour les lieux d'interactions sociales fondés sur la notion de " processus " à l'échelle urbaine. Pour chaque projet sont ainsi formées des équipes sur-mesure, composées d'experts, chercheurs et citoyens, afin de créer une sorte de troisième type d'espace, situé entre la sphère privée et la sphère publique. C'est donc sur la base d'installations appelées " Asif " (comprendre as if, " comme si " en anglais ), des " prototypes urbains " temporaires, que l'agence souhaite ouvrir le débat. C'est le cas avec Saale Onsen, un bain public disposé sur le fleuve Saale, en Allemagne, en 2017, dans le but d'expérimenter de nouvelles pratiques citadines. Itinérante, la Küchenmonument est quant à elle une cuisine mobile ayant voyagé dans diverses grandes villes d'Europe telles que Liverpool (Royaume-Uni), Venise (Italie), Varsovie (Pologne) ou encore Berlin (Allemagne). Son enveloppe gonflable offre un espace hors du temps aux différents usages, allant de la salle de conférence au dortoir en passant par le hammam.Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Raumlabor Marta Maccaglian (Pérou)Le travail de Marta Maccaglia est celui de toute une vie, une vie dédiée à l'accès à l'apprentissage pour les populations les plus pauvres. Segmentation de la société, délaissement des bidonvilles, manque d'eau et d'électricité courantes, territoires parfois inaccessibles... c'est avec les contraintes et les ressources qu'elle trouve sur place que l'architecte italienne crée des espaces communautaires polyvalents. Main dans la main, autochtones et bénévoles participent ainsi à l'édification d'écoles, de cantines ou d'internats : " L'assistanat n'est jamais la solution ", explique Marta Maccaglia, convaincue que la réponse se trouve dans l'implication des populations locales. Dans la jungle péruvienne, un pavillon de plain-pied multifonctionnel " cantine, école et espace communautaire ", en ossature bois de 124 mètres carrés prend ainsi place. Par l'utilisation de panneaux mobiles, faisant office de tables à l'horizontale et de persiennes ou de cloisons à la verticle, la salle peut héberger différentes fonctions : travail, restauration, auditorium ou simplement lieu de rassemblement. Grâce à sa créativité, Marta Maccaglia réussit ce pari fou de faire " beaucoup avec peu de moyens ", un challenge quotidien qui a permis à six nouvelles écoles de voir le jour au Pérou.Pour en savoir plus, visitez le site de (son association ?) Nina Maritz (Namibie)Pour Nina Maritz, qui a grandi en Namibie sous le régime de l'Apartheid, a vécu le racisme et les inégalités sociales, il est important de remettre l'humain au centre des préoccupations, environnement notamment. De cette manière, elle fonde ses projets sur des gestes durables et prend soin que son intervention impacte au minimum le paysage, quitte à ce que ses structures ne soient pas " photogéniques ". Elle explique que " le processus devient l'esthétique et vice-versa ", fonctionnant comme une dialectique dont l'architecte est le médiateur. Dans la ville de Gobabis Oshakati (Namibie), elle érige un ensemble de trois bibliothèques nommé Regional Study & Resource Centres, en mesquite, une essence de bois massivement présente sur le lieu mais difficile à travailler. Une utilisation qui permet par ailleurs de créer de l'emploi dans la région. De ces expériences, au plus proche des Namibiens, elle tire des directives environnementales qu'elle enseigne en milieu universitaire. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Nina Maritz Architects Anne Lacaton, Jean-Philippe Vassal et Frédéric Druot (France)L'approche de l'agence Lacaton & Vassal, en collaboration avec Frédéric Druot, est en quelque sorte le pendant négatif de la stratégie urbaine menée par le baron Haussmann durant le XIXe siècle à Paris, visant à raser et reconstruire de larges morceaux entiers de la capitale. " Détruire un logement c'est démolir des vies ", assène Jean-Philippe Vassal, à propos de la politique de déconstruction actuelle parfois menée à Paris. Ces rénovateurs de l'extrême se sont donc engagés dans un travail de repérage de bâtiments d'habitat qu'il est possible de transformer sans passer par la case démolition. Ils s'appliquent à tirer le meilleur des capacités des grands ensembles français, afin de garantir confort et économie aux occupants. À Paris, leur projet phare de La Tour Bois-le-Prêtre (17e), réalisé en 2011, est un immeuble des années 1960 dont les façades ont été réisolées et complétées par des jardins d'hiver-balcon. Une rénovation écologique et sociale puisqu'elle permet d'étendre les surfaces de vie des locataires, qui n'ont pas eu besoin de déménager durant les travaux, mais aussi de diminuer de 60 % les factures de chauffage. La reconstruction plutôt que la destruction : une démarche qu'ils défendent avec force et espèrent bien généraliser. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Lacaton & Vassal Photographies : D.R.
Il y a 7 ans et 4 jours

Événement : Global Award for Sustainable Architecture 2018

Le 14 mai dernier s'est tenue la cérémonie de remise de prix des Global Award for Sustainable Architecture 2018, à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris (16e). Durant cette douzième édition de l'événement, cinq agences ont été récompensées pour leur implication dans une construction plus équitable et plus durable. Créés par l'architecte et chercheuse Jana Revedin en 2006, les Global Awards ont pour vocation de faire émerger mais surtout fédérer des architectes du monde entier autour d'une éthique environnementale. Le jury, composé d'architectes, historiens et directeurs culturels, a récompensé cette année, les agences Bangkok Project Studio (Thaïlande), Nina Maritz Architecture (Namibie), Marta Maccaglia (Pérou), Anne Lacaton & Jean-Philippe Vassal et Frédéric Druot (France), ainsi que Raumlabor (Allemagne), pour leur pratique sociale de la discipline, ou " l'architecture comme agent d'émancipation des citoyens ". L'occasion d'observer de plus près les enjeux du civic empowerment (que l'on traduit par le néologisme pouvoir-faire civique) actuel et les réponses apportées par ces cinq lauréats. Bonnserm Premthada (Thaïlande)Venu tout droit de Thaïlande, Boonserm Premthada est né et a grandi dans un bidonville de Bangkok. Attaché à ses racines et soucieux des conditions de vie des plus défavorisés, il conçoit des projets à vocation sociale tels que Brick Sound pour le Kantana Institute (2011), une école de cinéma et d'animation de premier cycle où il relie les cinq bâtiments existants par des couloirs dont les murs ondulants montent jusqu'à 8 mètres de hauteur. Ces espaces de liaison sont construits en brique crue de terre compressée, matériau local façonné à la main, à Ayutthaya, un des rares villages à appliquer et transmettre cette technique ancestrale menacée. À cette dimension humaine et environnementale s'ajoutent les propriétés acoustiques du matériau, ici exploitées par le concepteur : mal-entendant, Boonserm Premthada s'interroge sur la profondeur des espaces et leur capacité à créer différentes tonalités selon la taille et la forme des pièces. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Bangkok Project Studio  Raumlabor (Allemagne)Ce collectif basé à Berlin (Allemagne), est né en 1999 d'un intérêt commun pour les lieux d'interactions sociales fondés sur la notion de " processus " à l'échelle urbaine. Pour chaque projet sont ainsi formées des équipes sur-mesure, composées d'experts, chercheurs et citoyens, afin de créer une sorte de troisième type d'espace, situé entre la sphère privée et la sphère publique. C'est donc sur la base d'installations appelées " Asif " (comprendre as if, " comme si " en anglais ), des " prototypes urbains " temporaires, que l'agence souhaite ouvrir le débat. C'est le cas avec Saale Onsen, un bain public disposé sur le fleuve Saale, en Allemagne, en 2017, dans le but d'expérimenter de nouvelles pratiques citadines. Itinérante, la Küchenmonument est quant à elle une cuisine mobile ayant voyagé dans diverses grandes villes d'Europe telles que Liverpool (Royaume-Uni), Venise (Italie), Varsovie (Pologne) ou encore Berlin (Allemagne). Son enveloppe gonflable offre un espace hors du temps aux différents usages, allant de la salle de conférence au dortoir en passant par le hammam. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Raumlabor Marta Maccaglian (Pérou)Le travail de Marta Maccaglia est celui de toute une vie, une vie dédiée à l'accès à l'apprentissage pour les populations les plus pauvres. Segmentation de la société, délaissement des bidonvilles, manque d'eau et d'électricité courantes, territoires parfois inaccessibles... c'est avec les contraintes et les ressources qu'elle trouve sur place que l'architecte italienne crée des espaces communautaires polyvalents. Main dans la main, autochtones et bénévoles participent ainsi à l'édification d'écoles, de cantines ou d'internats : " L'assistanat n'est jamais la solution ", explique Marta Maccaglia, convaincue que la réponse se trouve dans l'implication des populations locales. Dans la jungle péruvienne, un pavillon de plain-pied multifonctionnel " cantine, école et espace communautaire ", en ossature bois de 124 mètres carrés prend ainsi place. Par l'utilisation de panneaux mobiles, faisant office de tables à l'horizontale et de persiennes ou de cloisons à la verticle, la salle peut héberger différentes fonctions : travail, restauration, auditorium ou simplement lieu de rassemblement. Grâce à sa créativité, Marta Maccaglia et son association Semillas réussit ce pari fou de faire " beaucoup avec peu de moyens ", un challenge quotidien qui a permis à six nouvelles écoles de voir le jour au Pérou. Pour en savoir plus, visitez le site de l'association Semillas Nina Maritz (Namibie)Pour Nina Maritz, qui a grandi en Namibie sous le régime de l'Apartheid, a vécu le racisme et les inégalités sociales, il est important de remettre l'humain au centre des préoccupations, environnement notamment. De cette manière, elle fonde ses projets sur des gestes durables et prend soin que son intervention impacte au minimum le paysage, quitte à ce que ses structures ne soient pas " photogéniques ". Elle explique que " le processus devient l'esthétique et vice-versa ", fonctionnant comme une dialectique dont l'architecte est le médiateur. Dans la ville de Gobabis Oshakati (Namibie), elle érige un ensemble de trois bibliothèques nommé Regional Study & Resource Centres, en mesquite, une essence de bois massivement présente sur le lieu mais difficile à travailler. Une utilisation qui permet par ailleurs de créer de l'emploi dans la région. De ces expériences, au plus proche des Namibiens, elle tire des directives environnementales qu'elle enseigne en milieu universitaire. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Nina Maritz Architects Anne Lacaton, Jean-Philippe Vassal et Frédéric Druot (France)L'approche de l'agence Lacaton & Vassal, en collaboration avec Frédéric Druot, est en quelque sorte le pendant négatif de la stratégie urbaine menée par le baron Haussmann durant le XIXe siècle à Paris, visant à raser et reconstruire de larges morceaux entiers de la capitale. " Détruire un logement c'est démolir des vies ", assène Jean-Philippe Vassal, à propos de la politique de déconstruction actuelle parfois menée à Paris. Ces rénovateurs de l'extrême se sont donc engagés dans un travail de repérage de bâtiments d'habitat qu'il est possible de transformer sans passer par la case démolition. Ils s'appliquent à tirer le meilleur des capacités des grands ensembles français, afin de garantir confort et économie aux occupants. À Paris, leur projet phare de La Tour Bois-le-Prêtre (17e), réalisé en 2011, est un immeuble des années 1960 dont les façades ont été réisolées et complétées par des jardins d'hiver-balcon. Une rénovation écologique et sociale puisqu'elle permet d'étendre les surfaces de vie des locataires, qui n'ont pas eu besoin de déménager durant les travaux, mais aussi de diminuer de 60 % les factures de chauffage. La reconstruction plutôt que la destruction : une démarche qu'ils défendent avec force et espèrent bien généraliser. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Lacaton & Vassal Photographies : D.R.
Il y a 7 ans et 4 jours

Événement : Triennale de Bruges

Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, Bruges (Belgique) n'existe pourtant pas que par son passé ! Preuve en est, la nouvelle édition de sa Triennale, ressuscitée " puisque le projet datant des années 1960 avait été avorté en 1974 ", qui présente un grand nombre d'"uvres d'art contemporaines plus spectaculaires les unes que les autres répondant toutes au thème énigmatique de " Liquid City ". " Liquid City ", quèsaco ? Il s'agit d'un détournement du concept de " société liquide " pensé par le sociologue et philosophe Zygmunt Bauman dans les années 2000, qui fait référence à la fluctuation et au mouvement perpétuel de la société moderne. Un clin d'"il que la Venise du Nord s'approprie et mêle à l'omniprésence de l'eau qui la caractérise. Une matière première propice à la réflexion et qui a guidé les travaux des artistes et architectes invités à y exposer jusqu'à mi-septembre. Quelles soient subaquatique ou en surface, les interventions in situ oscillent entre propositions architecturales concrètes, qui se veulent solidaires et écologiques, et ouvrages temporaires ayant pour but premier d'égailler la ville et d'intéresser les visiteurs à la construction, tout en donnant un nouveau souffle à l'une des capitales patrimoniales européennes. L'occasion notamment de découvrir l'Acheron I de Renato Nicolodi, une structure en bois recouverte de ciment, flottant littéralement sur l'un deux canaux. Une représentation de l'entrée des enfers, royaume d'Hadès dans la mythologie grec, qui doit son nom à une rivière du nord-est de la Grèce dont le nom signifie " rivière de la tristesse ". Une réalisation conceptuelle aussi fascinante autant par la prouesse technique dont elle fait preuve que par son sens fantasque. Plus gai, le pavillon Selgascano imaginé par l'agence espagnole éponyme : une structure organique aux parois translucides rouges projetant des rais de lumière colorée sur le cours d'eau sur lequel elle prend partiellement place. L'occasion de méditer les pieds dans l'eau, tout en voyant la vie en rose. Mais un événement d'une telle envergure est également une tribune, une opportunité de dénoncer les travers de la société, de partager son opinion avec le plus grand nombre. Une notion bien intégrée par les New Yorkais de Studiokca qui transforment un bassin du centre-ville, proche de la statue de Jan Van Eyck, en petit bout d'océan où émerge une baleine bleue d'une douzaine de mètres de haut. À défaut d'avoir pu placer un réel cétacé en plein c"ur de la Belgique, pas moins de 5 tonnes de déchets plastiques tirés de la Grand Bleu ont permis de reconstituer le mammifère surgissant de l'eau. Une sculpture aussi impressionnante qu'engagée qui, espérons-le, sensibilisera un peu plus les esprits sur la pollution des océans. Une manifestation qui permet non seulement de découvrir les "uvres de Wesley Meuris, John Powers ou encore Monir Shahroudy mais surtout de découvrir Bruges sous un nouvel angle, celui d'une ville contemporaine et ancrée dans l'actualité. Une triennale vivante et passionnante qui promet de réchauffer l'été de la capitale de Flandre-Occidentale. Pour en savoir plus, visitez le site de la Triennale de Bruges Photographies :1) à 5) Iwan Baan6) à 9) DR
Il y a 7 ans et 9 jours

RPGD : la FFB demande une dérogation pour les TPE-PME

Avec une entrée en vigueur prévue le 25 mai 2018 et un champ d'application étendue à l'ensemble des entreprises, le Règlement Général sur la Protection des Données ne cesse de faire parler de lui ces dernières semaines. En cause, une loi complexe entrainant un grand nombre d'obligations pour les entreprises. Des efforts que ne peuvent fournir les plus petites structures, par manque de ressources. C'est pourquoi Jacques Chanut, président de la Fédération Française du Bâtiment, s'est exprimé dans le magazine " Bâtiment actualités " de la FFB en faveur d'une dérogation à la RPGD pour les TPE et PME. RGPD : quelles obligations pour les entreprises ? La RPGD a pour but d'instaurer une plus grande transparence concernant l'utilisation des données personnelles recueillies par les entreprises : en responsabilisant les acteurs, en redonnant aux citoyens le contrôle de leurs données et en crédibilisant cette régularisation par un système de pénalités. L'intention est ainsi tout à fait louable, mais son application dans les faits est source de nombreuses obligations pour les entreprises. Une charge de travail que ne peuvent assumer les plus petites entreprises, celles qui ne possèdent ni service juridique, ni service informatique. Résumé des obligations imposées par la RPGD : - Nommer un DPO (Délégué à la protection des données personnelles). - Recenser et cartographier tous les fichiers contenant des données personnelles et tenir un registre numérique. - Identifier les activités de l'entreprise qui nécessitent la collecte et le traitement des données personnelles (cela implique autant des activités commerciales telles que la récupération d'adresses email pour de l'envoi de newsletter que des activités de ressources humaines : recrutement, paie, formation, etc.). - S'assurer de la pertinence des données conservées. - Déclarer toute personne et tout prestataire étant en contact avec les données possédées par l'entreprise. - Modifier ses CGU/CGV ainsi que ses formulaires de contacts et d'inscription en indiquant clairement la demande de consentement et l'usage qu'il sera fait des données récoltées. - Mettre en place un service afin que toute personne puisse consulter/modifier/supprimer ses données. Une dérogation ou simplification drastique des obligations Face à cet imposant bloc d'obligations, la FFB appelle donc les pouvoirs publics à instaurer une " dérogation pour les TPE/PME du bâtiment ou du moins une simplification drastique de leurs obligations " car, comme le dit Jacques Chanut : " Les artisans et entrepreneurs de la construction ne sont pas les géants du Web ! ". Reste à savoir si les autorités compétentes entendront cet appel.
Il y a 7 ans et 9 jours

RGPD : la FFB demande une dérogation pour les TPE-PME

Avec une entrée en vigueur prévue le 25 mai 2018 et un champ d'application étendue à l'ensemble des entreprises, le Règlement Général sur la Protection des Données ne cesse de faire parler de lui ces dernières semaines. En cause, une loi complexe entrainant un grand nombre d'obligations pour les entreprises. Des efforts que ne peuvent fournir les plus petites structures, par manque de ressources. C'est pourquoi Jacques Chanut, président de la Fédération Française du Bâtiment, s'est exprimé dans le magazine " Bâtiment actualités " de la FFB en faveur d'une dérogation à la RGPD pour les TPE et PME. RGPD : quelles obligations pour les entreprises ? La RGPD a pour but d'instaurer une plus grande transparence concernant l'utilisation des données personnelles recueillies par les entreprises : en responsabilisant les acteurs, en redonnant aux citoyens le contrôle de leurs données et en crédibilisant cette régularisation par un système de pénalités. L'intention est ainsi tout à fait louable, mais son application dans les faits est source de nombreuses obligations pour les entreprises. Une charge de travail que ne peuvent assumer les plus petites entreprises, celles qui ne possèdent ni service juridique, ni service informatique.   Résumé des obligations imposées par la RGPD : - Nommer un DPO (Délégué à la protection des données personnelles). - Recenser et cartographier tous les fichiers contenant des données personnelles et tenir un registre numérique. - Identifier les activités de l'entreprise qui nécessitent la collecte et le traitement des données personnelles (cela implique autant des activités commerciales telles que la récupération d'adresses email pour de l'envoi de newsletter que des activités de ressources humaines : recrutement, paie, formation, etc.). - S'assurer de la pertinence des données conservées. - Déclarer toute personne et tout prestataire étant en contact avec les données possédées par l'entreprise. - Modifier ses CGU/CGV ainsi que ses formulaires de contacts et d'inscription en indiquant clairement la demande de consentement et l'usage qu'il sera fait des données récoltées. - Mettre en place un service afin que toute personne puisse consulter/modifier/supprimer ses données. Une dérogation ou simplification drastique des obligations Face à cet imposant bloc d'obligations, la FFB appelle donc les pouvoirs publics à instaurer une " dérogation pour les TPE/PME du bâtiment ou du moins une simplification drastique de leurs obligations " car, comme le dit Jacques Chanut : " Les artisans et entrepreneurs de la construction ne sont pas les géants du Web ! ". Reste à savoir si les autorités compétentes entendront cet appel.
Il y a 7 ans et 9 jours

RGPD : la FFB demande une dérogation pour les TPE-PME

Avec une entrée en vigueur prévue le 25 mai 2018 et un champ d'application étendue à l'ensemble des entreprises, le Règlement Général sur la Protection des Données ne cesse de faire parler de lui ces dernières semaines. En cause, une loi complexe entrainant un grand nombre d'obligations pour les entreprises. Des efforts que ne peuvent fournir les plus petites structures, par manque de ressources. C'est pourquoi Jacques Chanut, président de la Fédération Française du Bâtiment, s'est exprimé dans le magazine " Bâtiment actualités " de la FFB en faveur d'une dérogation à la RGPD pour les TPE et PME. RGPD : quelles obligations pour les entreprises ? La RGPD a pour but d'instaurer une plus grande transparence concernant l'utilisation des données personnelles recueillies par les entreprises : en responsabilisant les acteurs, en redonnant aux citoyens le contrôle de leurs données et en crédibilisant cette régularisation par un système de pénalités. L'intention est ainsi tout à fait louable, mais son application dans les faits est source de nombreuses obligations pour les entreprises. Une charge de travail que ne peuvent assumer les plus petites entreprises, celles qui ne possèdent ni service juridique, ni service informatique.   Résumé des obligations imposées par la RGPD : - Nommer un DPO (Délégué à la protection des données personnelles). - Recenser et cartographier tous les fichiers contenant des données personnelles et tenir un registre numérique. - Identifier les activités de l'entreprise qui nécessitent la collecte et le traitement des données personnelles (cela implique autant des activités commerciales telles que la récupération d'adresses email pour de l'envoi de newsletter que des activités de ressources humaines : recrutement, paie, formation, etc.). - S'assurer de la pertinence des données conservées. - Déclarer toute personne et tout prestataire étant en contact avec les données possédées par l'entreprise. - Modifier ses CGU/CGV ainsi que ses formulaires de contacts et d'inscription en indiquant clairement la demande de consentement et l'usage qu'il sera fait des données récoltées. - Mettre en place un service afin que toute personne puisse consulter/modifier/supprimer ses données. Une dérogation ou simplification drastique des obligations Face à cet imposant bloc d'obligations, la FFB appelle donc les pouvoirs publics à instaurer une " dérogation pour les TPE/PME du bâtiment ou du moins une simplification drastique de leurs obligations " car, comme le dit Jacques Chanut : " Les artisans et entrepreneurs de la construction ne sont pas les géants du Web ! ". Reste à savoir si les autorités compétentes entendront cet appel.
Il y a 7 ans et 9 jours

Événement : Construction

Le Musée des arts décoratifs et du design (MADD) de Bordeaux (33) expose une quarantaine de pièces du célèbre designer français Martin Szekely jusqu'au 16 septembre. L'opportunité de s'imprégner de son approche conceptuelle à travers le prisme de la construction. Après une exposition en 2011 au Centre national d'art et de culture Georges Pompidou, voilà un tout autre décor offert aux "uvres épurées de Martin Szekely. Ancienne propriété d'un parlementaire, l'hôtel particulier de Lalande datant du XVIIIe siècle est racheté en 1880 par la ville de Bordeaux pour y placer les services de police. À l'arrière le jardin est rasé au profit d'une prison à matelots de plus de 800 mètres carrés. D'abord réservée à l'hébergement du conservateur Paul Courteault en 1924, la demeure se transforme en 1955 en l'institution culturelle que l'on connaît aujourd'hui, faisant de l'ancien centre de rétention la réserve de ses collections, transformé ensuite une aile d'exposition à part entière. " Avec ses grandes portes, ses judas, c'est un lieu parfait pour le design, qui se différencie de l'art par sa fonction, et qui est né comme lui au XIXe siècle. " Constance Rubini, directrice du MADD de Bordeaux Rénové en 1979, cet ancien lieu pénitencier se compose de deux cours centrales couvertes, éclairées zénithalement et entourées de quinze geôles qui ont conservé leurs lourdes portes en bois et pour certaines les graffitis d'anciens prisonniers. C'est dans ce cadre atypique que sont présentés thématiquement et chronologiquement les meubles et objets de Martin Szekely réalisés dès sa sortie des écoles d'arts appliqués Boulle et Estienne, soit de 1981 à aujourd'hui. Ici, pas de panneau descriptif, le visiteur déambule de cellule en cellule pour découvrir une pièce de l'artiste. Une mise en valeur renforcée par un traitement mural unifié en béton et par un accompagnement sonore du compositeur américain Morton Feldman (1926-1987), retenu par la directrice du musée pour ses tonalités douces et discrètes, idéales pour conduire le promeneur dans une observation sensorielle et méditative. L'artiste français à l'origine du fameux Verre Perrier (1995), expérimente de nombreux matériaux, jusqu'au dépouillement, surfant avec leur état limite. La table GlassGlass de 2009, une plaque de verre fixée à des pieds de verre et d'acier, met en avant la double caractéristique de la matière vitrée qui peut à la fois être traversée par la lumière ou au contraire la réfléchir. De la même façon, l'étagère Opus (2016) en pierres taillées, en apparence simple, cache en réalité un assemblage complexe par mortier en aluminium rigide. Cette complexité technique mêlant le savoir-faire artisanal de la stéréotomie et de la haute technologie est le fondement du travail de l'artiste, où la construction se substitue à l'esthétique. Martin Szekely affirme d'ailleurs que l'objet " se dessine de lui-même ". Une réflexion concrétisée avec l'Armoire (1997) rectangulaire grise à l'extérieur et orange vif à l'intérieur dont la forme résulte du pliage d'une feuille de stratifié d'aluminium et de plastique, à la manière d'un origami. Autre exemple tout aussi significatif de cette volonté de faire disparaître le tracé au profit de l'usage, l'étagère orthonormée Heroic Shelves (2009) capable de supporter de lourdes charges et une importante hauteur, grâce à l'extrême finesse de panneaux en aluminium anodisé en nid d'abeille et de ses croix d'assemblage, développés par la marque Euro-Shelter. Une singularité qui réside dans la vision même de Szekely du métier de designer : artisan, bien plus qu'un artiste. Exposition " Construction ", au MADD de Bordeaux (33), jusqu'au 16 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site du MADD de Bordeaux Photographies : Fabrice Gousset1 et 6) Étagère Construction (2015), édition MSZ, collection particulière2 et 13) Table GlassGlass (2009), édition Galerie kreo, Musée national d'art moderne/Centre de création industrielle, Inc. AM 2010-1-159 et AM 2010-1-159 (2)3 et 5) Étagère Opus (2016), édition MSZ, collection particulière4) Rangement Unit Shelf (2011), collection "Units", édition Galerie kreo, collection particulière 7) L'Armoire (1997), édition Galerie kreo, collection particulière8) Table MAP-TEX #3 (2013), collection "MAP"9) Table MAP-TEX #3 (2013), collection "MAP"des plats (1999-2000), deux pièces de la collection "des plats", édition Galerie kreo, Centre international de Recherche sur le Verre et les Arts plastiques CIRVA, inv. SZEK2006-2 (15 et 17)Étagère T5 (2005), collection "des étagères", édition Galerie kreo, collection particulière10) Rangement The Drawers and I (2017), édition MSZ, collection particulière11) Bout de canapé Bing Square (2007), édition Contrats Gallery / Galerie kreo, collection particulière12) Contenant Moon Wood (2016), neuf pièces de la collection "Moon Wood", édition MSZ, collection particulière14) Collier Reine de Sabat (1996), Hermès, Cnap, Centre national des arts plastiques, Inv. FNAC 9963515) Portrait de Martin Szekely  
Il y a 7 ans et 10 jours

PRO URBA : Collection design de mobilier urbain

Éditeur, distributeur et installateur de jeux, d'équipements sportifs, de sols et de mobilier urbain, Pro Urba est un aménageur global d'espaces personnalisés. Pour l'édition 2018 de Materials & Light, le fabricant de mobilier City Design est mis à l'honneur Précurseur de tendances depuis 40 ans, Pro Urba est un acteur essentiel du marché du jeu et du mobilier urbain, ayant largement participé à son évolution en apportant des idées, des produits et des innovations disruptives. Vecteurs de lien social, les espaces urbains sont des lieux essentiels dans la ville d'aujourd'hui, au même titre que les espaces sportifs ou les aires de jeux. Grâce à sa large gamme de mobiliers, Pro Urba aide à aménager des espaces de vie et de partage, adaptés au lieu et à chaque contexte : profiter du soleil, surveiller ses enfants, se retrouver entre amis ou pique-niquer ensemble...Pour répondre plus spécifiquement aux attentes de ses clients et prescripteurs, Pro Urba est doté d'un bureau d'études interne, exercé à proposer une réflexion globale à partir d'une simple idée ou d'un fil conducteur : ce pôle " design & création " aide à la conception de l'univers souhaité et fournit, pour sa réalisation, des rendus détaillés et personnalisés : CAO, DAO et conception 3D.En outre, des équipes fiables et expérimentées, présentes sur toute la France, assurent un service de proximité efficace. À travers ce maillage, Pro Urba diffuse son savoir-faire et son expertise technique, garantissant qualité, sécurité et réactivité. Toujours à l'affût des tendances, Pro Urba aime se réinventer en permanence. Ses gammes de produits sont sélectionnées selon des critères de pertinence et d'originalité pour permettre de créer des lieux uniques et attractifs. Adaptés à leur environnement et à l'évolution des modes de vie, ces produits innovants et qualitatifs, sont respectueux des préoccupations écologiques.Les sols de sécurité amortissants sont également des produits essentiels dans le cadre d'un aménagement global. Ils sont même, désormais, devenus des éléments de jeux autant que des éléments de sécurité indispensables. De toutes les couleurs, en relief ou à motifs, en gazon synthétique pour une meilleure intégration paysagère composés de copeaux de bois naturel pour un aspect champêtre, interactifs, animés de sons ou de flux lumineux... Pro Urba propose des solutions techniques multiples et esthétiques, pour que ce support allie récréatif, décoratif et sécurité. Chaque partenaire est ainsi choisi selon des critères d'originalité, ainsi que sur ses spécificités et son savoir-faire. Cette année, Pro Urba a choisi de présenter le fabricant de mobilier City Design.Ce fabricant italien est une marque historique dans le secteur du mobilier urbain. Le design exclusif de ses produits est inspiré par la nécessité d'allier exigences techniques et concordance avec l'environnement urbain. Les lignes de bancs et banquettes, tables, corbeilles, supports pour vélos, jardinières, fontaines.... sont destinées aux espaces publics et privés, collectivités et particuliers, pour des espaces couverts ou découverts. Des créations " spéciales ", sur-mesure, peuvent également être réalisées pour des projets de mobiliers urbains spécifiques où technicité et design sont indissociables. À PROPOS DE PRO URBAPro Urba maîtrise les marchés des jeux, équipements sportifs, sols et du mobilier urbain. Tous ses partenaires bois sont certifiés FSC et PEFC. La plupart des partenaires utilisant de l'inox sont certifiés ISO 14001, 9001 et 26000. D'un point de vue sécurité, tous les équipements sont conformes aux normes EN1176 (équipements d'aires de jeux), EN1177 (sols d'aires de jeux) et 99 610 (mobilier urbain). Pour assurer une qualité d'installation optimale, ses équipes sont constituées de techniciens qualifiés et régulièrement formés. Grâce à son rapprochement en 2011 avec la société Divers Cité, Pro Urba a étoffé sa gamme de produits et propose un service de proximité partout en France pour réaliser des aménagements uniques, de qualité et pérennes. Pour en savoir plus, visitez le site de Pro Urba Photographies/Illustrations :01-02) " Flow ", structure en acier galvanisé peint, assise en lattes de bois exotique. Existe en deux modèles. Design : Tilman Latz © AlexisToureau03) " Division ", poubelle à la structure en tôle d'acier galvanisé et thermolaqué avec récipient et option cendrier. L. 328 x l. 328 x H. 938 mm. Design : Mattia Li Pomi04) " Fola ", banc en tôle d'acier galvanisé et thermolaqué et assise en lattes de bois exotique ou mélèze, fixées sur une structure en acier. L. 1750 x l. 474 x H. 776 mm. Design : Massimo Tasca05) " Sein ", borne avec éclairage avec bande à LED en option. L. 405 x l. 404 x H. 436. Design : A. Tasca + Mattia Li Pomi06) " Duo ", collection de jardinières en tôle d'acier thermolaqué ou acier corten ou acier inoxydable, modulaire, avec pieds réglables. Design: Massimo Tasca
Il y a 7 ans et 10 jours

Cosentino : Silestone et Dekton

Le groupe Cosentino est un acteur incontournable du secteur de la décoration d'intérieur grâce à Silestone et Dekton. Composé de 94% de quartz naturel, Silestone est une surface parfaite pour les plans de travail cuisine et salle de bains et pour le revêtement de sol et mural. Dekton est un mélange sophistiqué et innovant composé de verre, de porcelaine et de quartz qui ouvre de nombreuses possibilités pour les architectes et designers. Silestone EternalSilestone® innove une fois de plus en lançant la collection baptisée " Eternal ", en hommage aux marbres les plus exotiques. La collection Eternal correspond au retour du marbre dans l'univers de la décoration et de l'architecture intérieure. Grâce au travail du département de R&D de Cosentino, Silestone® Eternal offre une apparence naturelle extraordinaire où les différentes veines jouent un rôle indispensable dans le résultat final. Cosentino, grâce à sa capacité d'innovation, parvient à ce que le dessin des veines pénètre et soit visible depuis la surface jusque dans l'épaisseur de la matière, y compris dans les zones de coupe et de chants. De plus, le design de ces lignes se répète dans chaque série pour rester fidèle au dessin originel. La collection Eternal est la première collection de Silestone® fabriquée avec la technologie N-Boost lancée sur le marché. N-Boost est une innovation brevetée par Cosentino qui modifie la surface du matériau au niveau moléculaire et améliore ainsi encore plus les excellentes prestations techniques et esthétiques de Silestone®. Silestone® Eternal, une collection unique qui convertit chaque espace en un lieu intemporel. Dekton IndustrialDekton®, la surface ultra-compacte novatrice de Cosentino pour l'architecture et le design, présente la collection " Industrial ", composée de quatre couleurs innovantes (Trilium, Radium, Nilium et Orix), qui s'inscrivent dans une démarche écologique responsable (80 % de matériaux recyclés). Ces coloris puisent leur inspiration dans l'univers industriel et confèrent à tout projet architectural et décoratif une force et une personnalité indéniables. Pour Daniel Germani, créateur de la collection : " La série " Industrial " de Dekton® a été créée pour faire réfléchir à la beauté des métaux et du ciment à chacune de leurs étapes. C'est un hommage aux imperfections incroyablement belles des processus d'oxydation et de dégradation développés par certains matériaux. La technologie incomparable de Dekton® nous a donné les outils nécessaires pour explorer et concevoir cette collection, et le résultat est une série de couleurs qui font ressortir la richesse et la profondeur d'un processus naturel et organique ". Avec des textures dures et des courbes cassées, la collection Industrial de Dekton® devient l'option parfaite pour son application dans les grands projets commerciaux et architecturaux en raison de son esthétique impressionnante ainsi que de ses prestations qui caractérisent le produit Dekton® : résistance aux rayons ultra-violets, aux taches ou aux chocs thermiques, et fabrication en dalles de grand format (jusqu'à 144 x 320 cm) et d'épaisseurs différentes (8, 12 et 20 mm). À PROPOS DE COSENTINOEntreprise familiale espagnole présente mondialement, le Groupe Cosentino produit et distribue des surfaces innovantes de haute valeur pour l'univers de l'architecture et du design. Avec l'implication de ses clients et partenaires, cette entreprise leader imagine et anticipe des solutions de design qui apportent valeur et inspiration dans la vie des usagers. Cet objectif est rendu possible grâce aux marques pionnières et leaders sur leurs segments respectifs, telles que Silestone®, Dekton® et Sensa by Cosentino® " des surfaces à la technologie avancée qui permettent de créer des lieux et des designs uniques pour le foyer et les espaces publics. Pour en savoir plus, visitez le site de Silestone et Dekton Contact commercial :cosentinofrance@cosentino.com Photographies :01) Sol en Dekton, Coloris Nilium / Façade en Dekton, Coloris Radium et Nilium02) Dekton, plan de travail en coloris Radium03) Dekton Living room, sol et plan de travail en coloris Nilium04) Dekton, sol en coloris Nilium / Ilôt en coloris Orix / Façade en coloris Zenith05) Dekton, coloris Trilium (Espace Spa, Rafael Nadal Academy by Movistar, Manacor, Majorque)06) Silestone Kitchen, plan de travail Silestone, coloris Eternal Calacatta Gold07) Silestone Kitchen, plan de travail Silestone, coloris Eternal Charcoal Soapstone08) Silestone Kitchen, plan de travail Silestone, coloris Eternal Marquina09) Silestone Kitchen, plan de travail Silestone, coloris Eternal Statuario
Il y a 7 ans et 10 jours

BTP : Spie batignolles poursuit ses emplettes régionales

Le groupe vient de racheter la PME rhônalpine de travaux publics PL Favier et ses quatre sociétés. Elles rejoignent Malet, la branche routière de Spie batignolles.
Il y a 7 ans et 11 jours

La certification bois CTB évolue

MARQUE. Créée il y a 65 ans par le Centre Technique du Bois (devenu FCBA depuis), la marque CTB fait peau neuve, afin de devenir plus forte, lisible et attractive. Elle couvre tout l'univers du bois et de l'ameublement et se positionne comme une certification de référence.
Il y a 7 ans et 11 jours

Les modalités du régime d'urbanisme dérogatoire pour les JO de 2024 sont soumises à consultation

Un projet de décret fixant les durées d'implantation maximales des installations temporaires pour les Jeux olympiques et paralympiques, ainsi que les conditions d'application du "permis à double état", est livré à l'avis du public jusqu'au 5 juin 2018.
Il y a 7 ans et 11 jours

L'action de groupe contre Foncia jugée irrecevable

JUSTICE. Le tribunal de grande instance de Nanterre a jugé irrecevable l'action de groupe intentée par l'association UFC-Que Choisir contre le gestionnaire de biens immobiliers Foncia. La justice estime que cette action ne rentre pas dans le champ d'application du code de la consommation.
Il y a 7 ans et 11 jours

L'action de groupe portée par l'UFC-Que Choisir contre Foncia jugée irrecevable

La toute première action de groupe intentée en France par l'association UFC-Que Choisir à l'encontre de l'administrateur de biens immobiliers Foncia a été déclarée irrecevable lundi, "faute de rentrer dans le champ d'application (...) du code de la consommation" a estimé le tribunal de grande instance de Nanterre.
Il y a 7 ans et 11 jours

Hydrao, le pommeau de douche intelligent (et frenchie) à l'assaut de la smart city [vidéo]

Ce pommeau connecté change de couleur en fonction de l'eau consommée et qui informe sur la consommation, via une application smartphone.
Il y a 7 ans et 11 jours

Événement : Together! La nouvelle architecture communautaire

" Together! La nouvelle architecture communautaire ", acte 2. Après le Vitra Museum de Weil am Rhein (Allemagne), c'est au tour du CID, Centre d'innovation et de design du Grand-Hornu (Belgique), d'accueillir cette exposition montée par les architectes et historiens Ilka et Andreas Ruby et l'agence d'architecture allemande EM2N. Une expérience immersive dans le logement communautaire d'hier et d'aujourd'hui à découvrir jusqu'au 1er juillet 2018. Cette année, c'est donc à la Belgique d'accueillir l'exposition " Together! ". Un titre évocateur, que nous ne ferons pas l'affront de traduire ici. Une analyse du vivre ensemble résumée par un nom, suivi d'un point d'exclamation qui pourrait faire croire à une injonction alors qu'il indique au contraire l'évidence : allons ensemble citoyen ! Une épopée en quatre actes livrée dans l'imposante halle du CID, réservée au stockage du foin durant le XIXe siècle, au sein de l'ancien complexe minier du Grand-Hornu. L'ensemble est classé patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2012 et est aujourd'hui reconverti en lieu d'art et de culture. Un endroit qui fait sens, puisqu'il a par ailleurs été édifié au même moment que la cité ouvrière voisine composée de 450 maisons en bande avec jardin, répondant aux idéaux de vie communautaire de son propriétaire : Henri De Gorge, un industriel paternaliste et philanthrope. Dans un premier temps, les commissaires proposent de revenir sur l'histoire de ces utopies pas si utopiques à travers le monde, du XIXe à la fin du XXe siècle : du phalanstère de Guise (02) érigé par Charles Fourier pour Jean-Baptiste Godin " créateur des poêles du même nom ", au squat suisse de Wohlgroth à Zurich (Suisse) ayant été occupé par une centaine de personnes dans les années 1990. Trente exemples présentés sous forme de panneaux explicatifs courts ou de vidéos et accompagnés de bulles de BD suspendues donnant quelques clés de compréhension pour le visiteur, permettent de mieux cerner les tenants et aboutissants de telles opérations ; indiquant par exemple qu'" Après la Seconde Guerre mondiale, le modèle [du logement] évolue. Son but est d'intégrer les fonctions urbaines à l'habitat ". Des modèles qui se sont " en grande partie soldés par des échecs, face aux individualismes ", explique Marie Pok, directrice du CID. Puis, 21 maquettes d'une cité imaginaire, réalisées par l'agence EM2N et disposées à hauteur d'yeux, laissent imaginer ce que serait une ville dont tous les rez-de-chaussée des bâtiments seraient publics.Des modèles réduits qui introduisent la troisième séquence de l'événement, où une reproduction d'habitat partagé à l'échelle 1:1 a été montée. Imaginée par l'architecte Lionel Jadot et la société Cohabs proposant ce type d'opérations sur le territoire belge, elle constitue un exemple à taille réelle de l'application concrète et contemporaine de principes de vie en communauté, où chacun des quatre habitants accepte de diminuer sa surface de plancher personnelle au profit d'une autre : collective cette fois. " L'offre immobilière a peu changé sur le marché (...). Elle correspond à d'anciens modes de vie. Nous avons besoin d'alternatives. C'est ce que montre l'exposition : la faisabilité d'une alternative. " Lionel Jadot, architecte Et si le visiteur n'est pas convaincu, il ne lui reste plus qu'à consulter les études de cas réalisées partout dans le monde, montrées à la fin de l'événement, tels que le projet R50 construit en 2013 à Berlin (Allemagne), où les résidents ont conçu main dans la main avec les architectes Ifau et Jesko Fezer + HEIDE & VON BECKERATH leur appartement et ont décidé conjointement de réserver un hall en double-hauteur aux activités de la communauté. À découvrir également, l'ensemble Sargfabrik, installé dans la capitale autrichienne ; un projet lancé dans les années 1980 par une bande de copains et qui a abouti en 1996 à la réalisation d'un immeuble-village semi-public composé de 75 unités de 45 mètres carrés, avec de multiples espaces partagés comme une toiture plantée, un restaurant ou une piscine ouverte 24/24h " un service auquel la plupart des locataires n'aurait pas pu prétendre seuls. À Séoul (Corée du Sud), l'opération Songpa de l'agence américano-coréenne Ssd rassemble depuis 2014 sous une enveloppe métallique à clairevoie, 16 micro-logements modulaires de 12 mètres carrés chacun pouvant être réunis. De petits espaces de vie individuels compensés par des surfaces interstitielles librement appropriables, auxquelles se mêlent une galerie d'art, un café et un magasin de jouets. " En étant inventifs, les gens trouvent des solutions pour répondre aux manquements du marché ", résume, sourire aux lèvres, Andreas Ruby. Nous laisserons ainsi le mot de la fin au commissaire : " si on regarde l'histoire, c'est notre modèle qui est inhabituel " ! " Together! La nouvelle architecture communautaire ", jusqu'au 1er juillet 2018 au CID, Grand-Hornu (Belgique) Pour en savoir plus, visitez le site du CID Photographies :01) Maquette d'une ville collective, Together! © Hannes Henz Architekturfotograf02-10) Together! au CID © Tim van de Velde11) Familistère de Guise, 1890 © Collection Familistère de Guise12) R50, Ifau et Jesko Fezer + HEIDE & VON BECKERATH © Andrew Alberts13) Sargfabrik, Vienne (Autriche), 1992-1996, BKK-3 © stadt Wien-ma-18-r-Christanell14-15) Sargfabrik, Vienne (Autriche), 1992-1996, BKK-3 © Hertha Hurnaus16) Micro-logements Songpa, Séoul (Corée du Sud), 2014, Jinhee-Park/Ssd
Il y a 7 ans et 12 jours

SYselect, l'application pour bien choisir ses fenêtres SYbaie

SYbaie, la marque 100% menuiserie du Groupe Millet Industrie lance SYselect, une application pour bien choisir ses fenêtres, portes-fenêtres et baies coulissantes en fonction des différents bénéfices attendus par le client final.
Il y a 7 ans et 15 jours

Mateo Arquitectura : Architecture Degree Zero

L'architecte espagnol Josep Lluís Mateo est fasciné par l'habitat en milieu hostile, ou comment sur un site inspirant un sentiment d'insécurité l'Homme édifie un refuge ? Une interrogation qui a poussé le fondateur de Mateo Arquitectura à mener une étude prospective questionnant les rapports entre construction et paysage, à travers trois exemples frappants : l'île, le désert et la montagne. Au-delà de l'édification, l'architecture est une application concrète du rapport de réciprocité existant entre un lieu et la vie qui l'habite. Un lien indestructible que Josep Lluís Mateo pousse à son paroxysme dans des endroits lointains, peu propices à l'accueil de populations. Ici, pas de projet concret, mais de la méditation, des questionnements sans réponse. " Dans un paysage où rien n'existe officiellement (...), absolument tout devient pensable et peut donc se produire. " Reyner Banham, auteur et critique Agissant comme un chercheur, Mateo se penche sur trois types d'environnements, à commencer par l'île, soit un espace fini, clos, qui soulève d'importantes problématiques. Cerné par l'eau, tantôt rocheux, tantôt fait de sable, ce site si particulier limite donc nécessairement le champ des possibles. L'homme (en tant que constructeur) doit alors s'y installer respectueusement, en développant un langage vernaculaire propre. Le désert, lui, se situe à l'opposé de cet espace insulaire clos puisqu'il est justement caractérisé par des étendues incommensurables et son immensité. Ainsi, établir un lien entre le désert et la construction relève ici de l'exercice acrobatique puisqu'il s'agit de produire un objet à partir d'un élément infini. Pourtant, de tout temps, les tribus peuplant ces surfaces de sable ont su adapter leur habitat à un environnement hostile avec pour premier soucis celui de leur protection. De bouts de bois et de simples morceaux de tissus sont nés des abris, ensuite améliorés par de l'argile, des roches, soit les ressources disponibles in situ.  Enfin, l'étude de Josep Lluís Mateo se termine par une analyse de la montagne, un lieu à part. Chargés de significations, les sommets sont les derniers points séparant la terre du ciel, et dans bien des cultures cette culminance sont le symboles de contacts directs avec des divinités. Bien qu'inhospitalière de prime abord, l'altitude ils ont pourtant vu défiler de nombreux peuples, nomades ou sédentaires " les berbères en Afrique du Nord, les sherpas au Népal, ou encore les Yao en Chine. Des groupes qui ont su s'adapter à l'irrégularité topographique et s'y façonner un foyer. De quoi porter un regard plus aiguisé sur la discipline, trop souvent associée à un mode de vie citadin. Pour en savoir plus, visitez le site de Mateo Arquitectura Photographies :1) DR2) Pizzo Tambo, Graubunden3) Khor Al Adaid, Qatar © Krunoslav Ivanisin4) Tindaya, Fuerteventura, 1985, Eduardo Chillida
Il y a 7 ans et 22 jours

Le Polystyrène Expansé (PSE), un matériau unique pour de multiples applications !

Le PSE entre dans de multiples applications d'isolation du bâtiment. Focus sur l'éventail des possibilités :  
Il y a 7 ans et 22 jours

Laudescher ou le rêve d'un menuisier devenu industriel

L’assemblage mi-bois, une technique vieille comme le monde, peut mener loin. Le menuisier Marcel Laudescher, créateur de l’entreprise en 1965, et ses enfants en ont fait le ressort d’un développement industriel réussi.
Il y a 7 ans et 22 jours

L'extrusion plastique au service du bâtiment

Les profilés plastiques et en particulier PVC ont investi le secteur du bâtiment et de la construction grâce à un large éventail d'applications et d'excellentes performances écologiques, énergétiques et sanitaires qui ont encouragé l'innovation. Les évolutions de la technologie d'extrusion en ont fait un matériau de choix pour répondre aux exigences de durabilité requises par ce secteur très normé.
Il y a 7 ans et 23 jours

L'indemnisation des frais financiers inhérents à l'annulation ou à la résiliation d'un contrat de concession

Le Conseil d'Etat rappelle, dans une décision du 9 mars, que les frais financiers engagés par le titulaire d'un contrat de concession frappé d'une annulation, d'une résolution ou d'une résiliation peuvent être indemnisés au titre des "dépenses utiles". Et clarifie au passage les modalités d'application dans le temps des dispositions en la matière de l'ordonnance concessions.
Il y a 7 ans et 24 jours

Le Polystyrène Expansé (PSE), un matériau à fort potentiel !

Utilisé dans de nombreuses applications, le PSE a tous les atouts pour répondre aux exigences de performance des bâtiments. 
Il y a 7 ans et 26 jours

Getraline passe au carnet d'entretien numérique

Spécialisée dans le suivi des contrats de maintenance, la société Getraline lance ce printemps " Dahlia Connect ", une application mobile dédiée à l'enregistrement des opérations d'entretien. Ce logiciel, développé par l'entreprise It Link, s'interface avec une plate-forme d'information des clients.  
Il y a 7 ans et 26 jours

Loïc Taulemesse nommé directeur général délégué de Malet

Agé de 52 ans, l'ancien directeur de la région Atlantique de la filiale de Spie batignolles spécialisée dans les travaux routiers succèdera dans les prochains mois à Thierry Le Friant actuel directeur général de Malet et de Valérian.
Il y a 7 ans et 26 jours

Spie Batignolles livre un bâtiment d'enseignement pour l'ESCOM de Compiegne (60)

Ce nouvel établissement de 3.500 m² de surface plancher a été réalisé par l'entreprise générale Spie batignolles nord, associée à deux co-traitants : Entreprise Demousselle (lot électricité) et Engie Cofely (lot CVC et plomberie).
Il y a 7 ans et 29 jours

Une tenue-exosquelette pour soulager les manutentionnaires des négoces

TECHNOLOGIE. Dans les entrepôts de Lowe's à Christianburg (Virginie), les employés expérimentent un exosquelette souple qui les aide dans la manipulation répétitive d'objets pesants. Les prototypes ont été conçus avec le concours de l'institut Virginia Tech, qui entend trouver d'autres applications à cette invention.
Il y a 7 ans et 31 jours

RGPD : une panoplie d'outils pour se mettre en conformité

Guides, outils, documents types... Tout est bon pour préparer les acteurs à la date fatidique du 25 mai, à laquelle le règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD) entrera en application.
Il y a 7 ans et 31 jours

Robots, drones... la hi-tech s'est donné rendez-vous à Intermat

SALON. La haute technologie est partout sur les chantiers désormais, dans les engins de chantier ou dans les outils que l'on voit le long des allées d'Intermat. Les capteurs sont déployés sur toutes les solutions proposées pour générer du data, l'or numérique de la construction. Tour d'horizon d'applications variées destinées à accroître simultanément productivité et sécurité.
Il y a 7 ans et 32 jours

Ilka & Andreas Ruby : Infrastructure Space

Le Larousse définit l'infrastructure comme étant un " ensemble des ouvrages constituant la fondation et l'implantation sur le sol d'une construction ou d'un ensemble d'installations ". Ce positionnement ne serait-il pas finalement réducteur ? À travers son ouvrage Infrastructure Space, le duo d'architectes Ilka et Andreas Ruby questionne la place et le rôle de ce qui est bien plus qu'un mot. Depuis son origine, une infrastructure est considérée comme un outil, une aide, un support. Pourtant, les auteurs de l'ouvrage Infrastructure Space se sont rapidement rendu compte que la réflexion sur son rôle-même n'avait peut-être pas été suffisamment poussée et élargie à des sujets lourds de sens comme l'urbanisme, l'économie, la politique ou l'esthétique. " L'infrastructure est-elle la plomberie et le câblage de l'environnement humain, ou est-ce le véritable élément vital des espaces que nous habitons ? " Ilka et Andreas Ruby, architectes, historiens et éditeurs Ainsi, sous l'impulsion d'Ilka et Andreas Ruby et de leur maison d'édition Ruby Press, architectes, ingénieurs, théoriciens urbains et politiciens discutent cette notion à travers 25 essais répartis en trois chapitres : " L'infrastructure comme une chose " ; " L'infrastructure comme un réseau " et " L'infrastructure comme agencement ". Chacune de ces parties est dotée d'un atlas visuel où sont répertoriées des photographies renvoyant au thème, valorisant et illustrant les idées des intervenants. L'occasion de découvrir les écrits d'acteurs majeurs et leur point de vue sur la question de l'infrastructure. L'architecte et professeure à l'université de Princeton, Keller Easterling, expose dans son texte Split Screen sa vision d'un monde semblable à un écran partagé tout en examinant les moyens de produire de l'espace de manière responsable et ce, même dans des endroits du globe politiquement fragiles. L'ouvrage propose également des discussions croisées, si bien que nous pouvons par exemple retrouver les architectes émérites Rahul Mehrota et Felipe Vera débattre du concept de ville éphémère en suivant le modèle de Kumbh Mela à Allahabd (Inde). De quoi redécouvrir ce que l'on a pris l'habitude de dissimuler avec soin et de méditer à notre tour sur ces nouvelles interrogations soulevées.  Une belle initiative qui met en lumière une des faces cachées de l'architecture. Infrastructure Space, Ilka & Andreas Ruby Visual Atlas par Something Fantastic, Berlin, Ruby Press, 2017, anglais, 421 pages, 17,5 x 23,5 mm Pour en savoir plus, visitez le site de Ruby Press Photographies : Ruby Press
Il y a 7 ans et 32 jours

Metrostudio : Huizhou Sinic City

La route principale d'Huizhou (Chine) est désormais agrémentée d'un projet paysagiste aussi précis que raffiné. Imaginé par l'agence italienne Metrostudio, le parc d'Huizhou Sinic City est une ode aux mathématiques chinoises : rigoureux, millimétré et fascinant. Sur une parcelle de 14 865 mètres carrés, les concepteurs réalisent un espace extérieur terminant une composition spatiale initiée par un bâtiment conçu par Yu Feng en 2010, le Marketing Center. L'extérieur y est pensé en trois actes : un d'entrée " précédant et conduisant à la construction ", un central " au niveau de l'édifice ", et un arrière " menant à une zone de jeu ", tous reliés par des pas japonais minimalistes, rendant ainsi l'ensemble cohérent et ininterrompu. " La composition globale est contemporaine et sobre, ses lignes gracieuses. " Metrostudio Inspiré de l'univers marin, le parc est pensé comme une île. Une vision notamment matérialisée par la présence d'un miroir d'eau uniquement agrémenté d'un arbre, à la manière de la plateforme aquatique danoise CPH-Ø1, signée Fokstrot. Cet élément principal de la conception est cerné de parcours géométriques et linéaires, structurant la totalité du décor paysager. L'ensemble guide le visiteur à travers différents endroits phares du parc : le Marketing Center, le Cafe Lugo ou encore le terrain d'activité coloré. Des interventions minimalistes certes, mais qui ne manquent pas de dynamiser Huizhou Sinic City tout en rappelant la structure contemporaine du bâtiment que ce jardin sublime. Un aménagement valorisant les édifices déjà installés ainsi que la ville tout entière. Pour en savoir plus, visitez le site de Metrostudio Photographies : DR  
Il y a 7 ans et 32 jours

Metrostudio : Huizhou Sinic City

La route principale d'Huizhou (Chine) est désormais agrémentée d'un projet paysagiste aussi précis que raffiné. Imaginé par l'agence italienne Metrostudio, le parc d'Huizhou Sinic City est une ode aux mathématiques chinoises : rigoureux, millimétré et fascinant. Sur une parcelle de 14 865 mètres carrés, les concepteurs réalisent un espace extérieur terminant une composition spatiale initiée par un bâtiment conçu par Yu Feng en 2010, le Marketing Center. L'extérieur y est pensé en trois actes : un d'entrée " précédant et conduisant à la construction ", un central " au niveau de l'édifice ", et un arrière " menant à une zone de jeu ", tous reliés par des pas japonais minimalistes, rendant ainsi l'ensemble cohérent et ininterrompu. " La composition globale est contemporaine et sobre, ses lignes gracieuses. " Metrostudio Inspiré de l'univers marin, le parc est pensé comme une île. Une vision notamment matérialisée par la présence d'un miroir d'eau uniquement agrémenté d'un arbre, à la manière de la plateforme aquatique danoise CPH-Ø1, signée Fokstrot. Cet élément principal de la conception est cerné de parcours géométriques et linéaires, structurant la totalité du décor paysager. L'ensemble guide le visiteur à travers différents endroits phares du parc : le Marketing Center, le Cafe Lugo ou encore le terrain d'activité coloré. Des interventions minimalistes certes, mais qui ne manquent pas de dynamiser Huizhou Sinic City tout en rappelant la structure contemporaine du bâtiment que ce jardin sublime. Un aménagement valorisant les édifices déjà installés ainsi que la ville tout entière. Pour en savoir plus, visitez le site de Metrostudio Photographies : DR  
Il y a 7 ans et 33 jours

Le fléau des décharges sauvages en région parisienne

Des montagnes de déchets en bord de route, près de la Seine ou en pleine forêt: les dépôts sauvages par des particuliers et surtout par des entreprises sont une maladie récurrente en Ile-de-France, accentuée par la difficile application des sanctions.
Il y a 7 ans et 37 jours

Événement : Soirée Design Cream à Materials & Light

Design Cream ? Quèsaco ? Un événement présentant le travail de la crème de la crème des designers et des architectes, pardi ! Et qui dit casting prestigieux, dit format de choix. Le jeudi 26 mars, à 19h, les dix créateurs réunis à l'occasion du salon Materials & Light nous feront ainsi découvrir de manière atypique leurs créations, inspirations et projets en 20 images, projetées à 20 secondes d'intervalle. Les soirées Design Cream, créées par le touche-à-tout Benjamin Girard de l'agence Design Project, visent à offrir une scène à la crème de la crème des créateurs afin qu'ils présentent leurs projets à un large public, dans un format spécifique, rythmé et concis, et dans une ambiance décontractée. De quoi assurer un succès planétaire à ces rassemblements ! Tout tient dans le format, nommé Pecha Kucha : les invités disposent de 20 diapositives, montrées durant 20 secondes chacune, et qui défilent automatiquement ; soit 6 minutes et 40 secondes pour chacun d'eux. Pas de bla-bla : les différents intervenants exposent ici l'essence même de leurs réalisations. Cette Design Cream exceptionnelle sera également l'occasion de créer des rencontres et confronter les idées, durant le cocktail qui aura lieu après la présentation, en clôture du salon Materials & Light organisé au Carreau du Temple à Paris (3e) par le magazine d'a en partenariat avec Muuuz : deux jours d'expositions, de workshops et de rencontres sur le thème des matériaux de l'architecture et du design. Pour tous les intéressés, s'inscrire ici. Venez nombreux ! . Margaux KellerAprès cinq ans d'études en design à l'école ENSAAMA Olivier de Serres puis à l'école Boulle, elle obtient en 2010 un diplôme de design et d'architecture intérieure avec les félicitations du jury pour le projet "Design (sans) vergogne". Elle se forme par la suite sur les bancs de l'agence Philippe Starck, aux côtés d' Eugeni Quitllet. En 2011, elle est sélectionnée pour faire partie de l'équipe de design de la Fabrica, centre de recherche en communication du groupe Benetton. En 2012, Margaux Keller retourne dans sa ville d'origine et de coeur, Marseille, pour fonder sa propre agence de design global. Elle y développe des partenariats très variés : Yves Saint Laurent Beauté, Roche Bobois, Cartier, Made.com, La Redoute Intérieurs, Habitat, SIA Home Fashion, CFOC concept store, Vista Alegre, KparK, La Monnaie de Paris, etc. .   Samuel AccoceberryDiplômé de l'Ecole Nationale Supérieure d'Art de Nancy et de l'école Raymond Loewy en Esthétique industrielle. Samuel a collaboré pendant 10 ans pour de prestigieuses agences de design en France et en Italie, tel que : Arik Levy, Antonio Citterio, et Rodolpho Dordoni. En 2010, il lance son propre studio et travaille avec différentes sociétés en tant que designer et directeur artistique. Il a été honoré en 2013 par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris pour l'ensemble de ses créations ainsi que pour son travail. Il a reçu également différents prix internationaux, dont 3 Red Dot Design Awards et un German Design Award ; et été exposé au Musée d'Art Moderne et au Musée des Arts Décoratifs de Paris, au Musée de la Céramique de Vallauris, à la Triennale Design Museum de Milan et au Design Museum de Holon. .   Elise FouinDans son cabinet curieux, Elise Fouin est toujours prête à faire des démonstrations concrètes. Comment a-t-elle pétri toutes ses sources d'inspiration pour cristalliser un travail si singulier ? Elle vient de la région Franche-Comté où elle a grandit dans un ancien monastère. Elle se forme à l'Ecole Boulle à Paris, d'abord à l'orfèvrerie, puis elle passe de la fabrication à la conception, en se tournant vers le design de mobilier. Une formation double, comme une balance, pour trouver son point d'équilibre. Pour son diplôme en 2003, elle fait encore un pas de côté, s'aventure avec succès vers la mise en "uvre du papier, en designer qui se donne la liberté de l'artiste. Car c'est avec ses mains d'abord que cette designer apprivoise la matière. Friande d'imprévus, à l'écoute du comportement des matériaux, elle parie sur une mise en forme inattendue. Les usines sont un de ses terrains de jeu favoris, où elle traque chutes et rebuts.  .   Desormeaux/Carrette StudioLe Studio Désormeaux/Carrette est un studio de design créé par Nathanaël Désormeaux et Damien Carrette en janvier 2014. Studio de design industriel, sa vocation est de créer des objets reproductibles en série. Le studio accompagne aujourd'hui des clients allant de la startup aux grandes marques des secteurs de l'ameublement et de l'objet de grande consommation. La passion des matériaux et une sensibilité pour la narration de l'objet sont les fondements de leur démarche créative. La déconstruction est au centre de la méthodologie. C'est en décomposant et en repensant de manière holistique l'objet qu'ils en dégagent le c"ur technique. Leur travail consiste alors à sublimer la technicité pour ne pas seulement l'intégrer mais la transcender afin qu'elle devienne c"ur esthétique de l'objet. .   Charlotte JuillardCharlotte Juillard est une jeune designer et directrice artistique française. Après des études d'architecture d'intérieur à l'Ecole Camondo à Paris (14e), ainsi qu'un échange d'un an et demi en Italie à la Fabrica (centre de recherche et de Communication du groupe Benetton - Treviso) elle décide de monter en 2014 son propre studio de création allant du design d'objet à la scénographie. Elle croit au retour à la valeur du travail manuel où la gestuelle de l'artisan devient le centre d'un projet. Ses pièces s'inscrivent dans une volonté de pérennité où textures et formes, douceur et féminité s'allient au profit d'une même ambition, offrir une évidence à l'objet. Cherchant à mettre l'échange au centre de ses recherches, elle crée un espace de réflexion ouvert qui lui permet d'aborder les projets avec une ambition et une poétique nouvelle. Elle travaille actuellement pour de nombreux clients tels que Molteni, ligne Roset, Monoprix ou encore Christian Lacroix. .   Didier VersavelArchitecte d'intérieur, designer et graphiste, Didier Versavel fait partie de cette nouvelle génération de French talents " touche à tout ". Issu de l'Ecole Boulle, il intègre ensuite une agence reconnue dans le design mobilier. Là, il apprend que le designer doit être polyvalent pour s'impliquer autant sur la création de produits que sur leur communication. En 2006, il crée son propre studio et déploie son talent tous azimuts. Ses nombreuses collaborations l'emmènent à s'exprimer, par exemple, dans le domaine du design de mobilier manufacturé avec Désio ou les 3 Suisses ; dans le secteur de l'objet industriel avec des créations de portes surprenantes pour Drakkar ; ou encore en architecture intérieure avec le Groupe ACCOR qui lui commande des concepts d'espaces hotelliers. Il entretient des partenariats fructueux aussi bien avec la grande distribution, des éditeurs, qu'avec des artisans d'art comme les Compagnons du Devoir. .   Antoine PhelouzatAntoine Phelouzat est un designer cosmopolite, il grandit à Los Angeles et se forme au design en Angleterre. À Londres il collabore avec Tom Dixon et Michael Young, à Paris il collabore avec Arik Levy et Noé Duchaufour-Lawrence. Aujourd'hui il vit et travaille à Paris, il est naturellement tourné vers l'international et entretient des collaborations de longue date avec l'Inde et l'Amérique du Nord. Son savoir-faire s'exprime à toutes les échelles, du petit objet artisanal de galerie à l'architecture commerciale aéroportuaire, en passant par le produit de grande série. C'est cette amplitude d'action que lui offre une approche globale du design qu'il affectionne particulièrement. Les matières, processus de fabrications et le bon sens sont autant d'ingrédients qu'il utilise et détourne mais toujours en essayant de surprendre, d'interpeller l'utilisateur, d'échanger avec lui, ses travaux nous apparaissent alors familiers et surprenant. .   Yoonseux ArchitectesL'agence est dirigée par les architectes franco-coréens Kyunglan Yoon et Philippe Seux. L'association de deux cultures occupe une place déterminante dans la définition des projets, notamment au travers de la relation des espaces intérieurs et extérieurs, de la captation de lumière, de la dimension sensible et tactile des différents espaces, des matériaux. Comme un appareil de tactilité, le corps est entièrement sollicité dans une expérience sensorielle avec les différents états de surface de matière et de lumière. La recherche et l'activité de l'agence se développe à l'occasion de concours nationaux et internationaux dont de très grands projets tels que le Satellite 3 de l'Aéroport Charles de Gaulle, la Mairie de Nice. Sous l'impulsion de ces projets, l'approche architecturale de l'agence se synthétise autour des thèmes de la structure et de la lumière. Kyunglan Yoon et Philippe Seux accordent une grande importance au système constructif, à la compacité du bâti, aux matières brutes, mais encore et surtout à l'expérimentation sensorielle de la lumière. .   Jules LevasseurJules Levasseur est designer plasticien, diplômé de l'ESAD de Reims en 2013, actuellement en résidence aux Ateliers de Paris. Il démarre son activité indépendante en poursuivant son projet de diplôme, alors en collaboration avec la Tuilerie Royer et la Métallerie Barras. Ainsi, il rencontre l'industriel GEWISS en 2013 qui lui permet de démarrer une collaboration de longue durée. Ses rencontres avec les artisans Renaud Marin et Agir Céramique lui offrent l'opportunité de s'initier à la tapisserie et à la Céramique. Lauréat du Grand Prix de la Création de la ville de Paris en 2014, il obtient une place au sein de la Chaire IDIS, nouvelle structure de recherche de l'ESAD de Reims, dans laquelle il réalisera son projet Folie Végétale, Prix de l'Innovation à Jardins, Jardin en 2016. Sa collaboration avec l'entreprise PETRUS en 2015, primée par le RADO STAR PRIZE la même année, démontre bien son implication auprès des métiers de l'artisanat ouvrier, à travers lesquels la démarche design trouve un sens particulièrement contemporain. En 2017 il fonde le Studio Marin-Levasseur en s'associant avec Renaud Marin.  .   Leonard KadidAujourd'hui designer à temps plein, Léonard Kadid se destinait pourtant à une carrière d'architecte. En effet, ses différentes expériences professionnelles et sa sensibilité particulière aux détails le poussent rapidement vers la création de mobilier. Zoom sur une jeune pousse du design prometteuse.À à peine trente ans, et après avoir fait ses armes dans des agences de renom, telles que Dominique Perrault Architecture ou Herzog & de Meuron, Léonard Kadid, diplômé l'École Polytechnique de Lausanne (Suisse) et de l'École d'Architecture de la Ville et des Territoires de Marne-la-Vallée, compte déjà de beaux projets à son actif. C'est dans ces studios qu'il s'initie à la pratique du design, à laquelle il a décidé de se consacrer intégralement en début d'année. En résultent des ouvrages raffinés, aux formes proches de l'abstraction, dont la grande sobriété s'adapte à tous les intérieurs. . Soirée Design Cream, Materials & Light, au Carreau du Temple à Paris (3e), le 26 avril à 19h Pour en savoir plus, visitez le site de Materials & Light et de l'agence Design Project Photographies : DR
Il y a 7 ans et 38 jours

Recensement économique de l'achat public : Bercy en remet une couche

Depuis le début de l'année, le recensement des contrats de la commande publique se fait obligatoirement via une application web. Les retardataires doivent ainsi sans tarder procéder à la création de leur compte sur cette dernière.  
Il y a 7 ans et 39 jours

Ikea va ouvrir son premier magasin dans le centre de Paris

En annonçant mardi l'ouverture à l'été 2019 d'un magasin dans le centre de Paris, le géant suédois de l'ameublement Ikea s'adapte au particularisme du marché parisien, avant éventuellement, en cas de succès, de déployer ce format dans d'autres capitales.
Il y a 7 ans et 39 jours

Notaires : Consultation lancée pour la révision de la carte d'installation

En application de la loi Macron, une révision de la carte d'installation des notaires est prévue deux ans après son adoption. L'Autorité de la concurrence a donc lancé une consultation publique, en vue de préparer un nouvel avis pour préparer cette nouvelle carte.
Il y a 7 ans et 40 jours

MATERIOPRO : la marketplace de matériaux invendus entre professionnels (et particuliers)

Parce que les matériaux invendus représentent 40 millions de tonnes de déchets par an et un montant moyen annuel oscillant entre 4080 et plus de 20 000 euros selon la taille des entreprises, MATERIOPRO se présente comme la solution anti-gaspillage. En effet, cette place de marché permet aux professionnels du Bâtiment de revendre leurs lots de matériaux neufs non utilisés à d'autres professionnels ainsi qu'aux particuliers. Améliorer la rentabilité des entreprises et donner une seconde vie aux invendus Le marché des invendus pour les entreprises du bâtiment est évalué à 1,24 milliards d'euros par an, soit 1% de la valeur des achats des entreprises. Jusqu'à maintenant, la seule solution pour les entreprises face aux invendus était de les amener à la décharge pour recyclage ou destruction, un gaspillage couteux. C'est de ce constat qu'est né MATERIOPRO. La plateforme numérique permet ainsi aux entreprises de limiter leurs pertes en revendant à moitié prix les matériaux neufs non utilisés à d'autres professionnels, puis aux particuliers dans un second temps (une plateforme dédiée à la vente aux particuliers verra le jour en septembre). Comment ça marche ? Pour revendre leurs produits sur MATERIOPRO, les professionnels devront s'acquitter d'un abonnement de 192 euros par an ou 20 euros par mois + une commission de 5% prélevée sur chaque vente. Tous les matériaux utilisés dans le bâtiment, sauf les marques distributeurs et outillage, peuvent être revendus sur MATERIOPRO. Le vendeur rentre ses produits dans la marketplace, en indiquant le prix public et le montant de sa remise pour déterminer le prix de vente. Pour les acheteurs souhaitant négocier, il est possible d'effectuer une contre-offre (dans la limite de -20% maximum par rapport à l'offre du vendeur). Afin que le processus reste simple et que les échanges ne s'enlisent pas dans d'interminables négociations, une seule contre-offre est possible par transaction. Si les professionnels peuvent à la fois vendre et acheter sur la plateforme, les particuliers ne pourront, eux, que se positionner en tant qu'acheteur. Le paiement se fait en ligne, de façon totalement sécurisée, via Stripe. Une application à venir MATERIOPRO lancera le 15 mai prochain une application smartphones et tablettes qui permettra aux vendeurs de mettre en ligne leurs produits quand et où ils le souhaitent en 3 minutes. La géolocalisation pourra être utilisée afin de filtrer les vendeurs par zone géographique.   Visiter le site de MATERIOPRO.COM.
Il y a 7 ans et 43 jours

Le SNBPE organise le premier concours " Bâtiment Durable E+C- 2018

Le Syndicat National du Béton Prêt à l'Emploi (SNBPE), en partenariat avec le Centre d'information sur le ciment et ses applications (Cimbéton) lance le premier concours " Bâtiment Durable E+C- 2018 ", s'adressant à ses adhérents.
Il y a 7 ans et 43 jours

Fokstrot : CPH-Ø1

Loin des imposantes îles artificielles créées aux Émirats Arabes Unis, l'îlot conçu par l'agence danoise Fokstrot pour le port de Copenhague est déconcertant de simplicité : un minuscule pentagone en bois uniquement orné d'un tilleul. Une réalisation épurée et énigmatique, et pourtant pleine de sens ! Il peut s'en passer des choses sur une surface de 20 mètres carrés perdue au milieu de la mer Baltique ! Réalisé à la main, cet assemblage de planches de bois pensé comme un espace public aquatique, est voué à accueillir aussi bien les kayakistes épuisés que des baigneurs en quête d'un endroit tranquille pour prendre le soleil ou pour plonger. La plateforme CPH- Ø1 est également prévue pour abriter de petits événements. On pourra ainsi notamment y retrouver ce mois-ci une conférence sur l'avenir des villes portuaires. " CPH-Ø1 a été développé pour introduire la vie et l'activité dans le port de Copenhague, et pour y ramener une partie de la fantaisie qui a été perdue dans son évolution. " Marshall Blecher et Magnus Maarbjerg, architecte et designer chez Fokstrot La plateforme est la première d'une future série de neuf îles, avec chacune des fonctions propres : un sauna, une scène musicale, un café à voile, une ferme aquatique ou encore un plongeoir seront mis à la disposition des estivants de la capitale danoise. Ces différentes infrastructures pourront être connectées entre elles à l'occasion de manifestations ou de festivals. Une initiative visant à développer le front de mer de Copenhague, en perpétuelle évolution. Pour en savoir plus, visitez le site de Fokstrot Photographies : Christian Emdal
Il y a 7 ans et 44 jours

Forum Bois Construction 2018 " Le bois au service de l'usager

Intervenant :  – Xavier BOUANCHAUD – architecte DPLG – Forma6 Xavier Bouanchaud : " Forma6 est un démarrage de la mise en scénographie de projets urbains et architecturaux sur la ville de Nantes. Le bois est un matériau naturel. La nature reprend ses droits même en site urbain. Nous sommes attentifs à ces espaces boisés. A travers … Cet article Forum Bois Construction 2018 " Le bois au service de l'usager est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 7 ans et 44 jours

SFA fête 60 ans d'innovation

Créée en 1958, SFA (Société Française d'Assainissement) révolutionnait dès 1960 le secteur de l'aménagement sanitaire avec l'apport d'une solution permettant d'installer facilement WC, salles de bains et cuisines partout dans la maison, sans engendrer de gros travaux : le Sanibroyeur®.