Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Divers

Le groupe Topcon Positioning annonce la sortie du petit nouveau de sa gamme de récepteurs laser numériques compacts : le LS-100D. Le capteur affiche numériquement l'écart jusqu'au niveau de référence, ce qui facilite et accélère le contrôle de l'élévation ou de la verticalité pour n'importe quelle application.

Le groupe Topcon Positioning annonce la sortie du petit nouveau de sa gamme de récepteurs laser numériques compacts : le LS-100D. Le capteur affiche numériquement l'écart jusqu'au niveau de référence, ce qui facilite et accélère le contrôle de l'élévation ou de la verticalité pour n'importe quelle application.

La ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social a présenté une ordonnance relative au contrôle de l'application du droit du travail.

Quatre volumes recouverts d'un bois sombre structurent la maison C/Z. Depuis la partie haute de la parcelle, ils dirigent également les vues vers les éléments iconiques du paysage insulaire des Açores. "Esta casa pretende abrir-se sobre as variadas paisagens que do ponto mais alto do terreno se avistam. Partindo de um conjunto de volumes separados entre si, e seguindo a adaptação da arquitectura tradicional ao terreno, desenhou-se o espaço resultante entre os quatro volumes como espaço de estar, cujas paredes são a continuidade das fachadas exteriores e onde apenas o vidro faz a separação entre o exterior e o espaço interior da casa." SAMI-arquitectos La maison est placée sur la partie la plus haute du terrain. Le plan est organisé selon quatre parallélépipèdes dont chacun s'est vu attribuer une fonction et une organisation spatiale propre. Deux des ailes rectangulaires accueillent les chambres et les salles de bains, tandis que la troisième abrite un garage et la quatrième offre la cuisine et la salle à manger. Au centre une pièce de vie relie les volumes. Les jonctions entre les volumes sont entièrement transparentes et peuvent s'ouvrir totalement. Ouvertes, l'architecte les a fait disparaitre élégamment par un système de galandage trouvé dans les cloisons intérieures de chacun des quatre volumes. Photographies : Fernando Guerra | FG+SG Pour en savoir plus, visitez le site de SAMI-arquitectos  

Spie batignolles sud-est teste actuellement la mise en eau du bassin du futur centre aquatique de Venelles dans les Bouches-du-Rhône.

Smart ready ? C'est l'objectif des bâtiments connectés aux réseaux électriques, et de leurs occupants volontaires, engagés à titre expérimental dans une consommation plus flexible de l'électricité. Cette démarche passe par l'installation de systèmes de régulation automatique dans le bâtiment, reliés au système électrique et par l'action d'usagers qui modifient leur consommation à réception d'un signal extérieur. Les projets Smart Electric Lyon et CityOpt à Nice expérimentent cette gestion innovante de l'électricité. Expert en modélisation physique dans le domaine de la construction, le CSTB participe au déploiement et à l'évaluation de ces projets. Zoom sur leur application dans les logements. Projet Smart Electric Lyon : vers le bâtiment 2.0 Soutenu par l'ADEME et divers partenaires issus du monde académique et industriel, le projet Smart Electric Lyon piloté par EDF (2013-2016) expérimente des solutions tarifaires et techniques, aval compteur. Objectif : optimiser la consommation d'électricité à l'échelle de 2 500 foyers résidentiels volontaires. Ce projet met notamment en "uvre des actions d'effacement automatisées, dont le CSTB, partenaire du projet, contribue à évaluer l'impact. Exemple : la veille pour le lendemain, le fournisseur d'énergie programme une hausse du tarif de l'électricité aux heures de pointe. Un système d'information adresse ce signal au bâtiment à travers son compteur électrique communicant. Les systèmes de régulation énergétique smart ready ont alors plusieurs possibilités : surchauffer le bâtiment avant de le couper aux heures de pointe, abaisser temporairement la température de consigne ou couper totalement le chauffage. Le CSTB analyse les bénéfices d'une solution technique qui exploite automatiquement un signal tarifaire à l'échelle d'un bâtiment. Pour cela, il a conçu une méthode d'évaluation avec cinq critères : le volume d'énergie reporté, les émissions de CO2 évitées, l'évolution des appels de puissance électrique, le confort des usagers et leur gain économique. Le CSTB fonde son analyse sur une modélisation physique des situations et consolide son approche par des mesures ponctuelles. À ce jour, un constat clé : l'effacement a un impact significatif sur le report des puissances appelées. Il pourrait engendrer un bénéfice environnemental collectif en limitant les investissements dans les infrastructures électriques (production, transport, distribution). Cette perspective paraît d'autant plus intéressante que les solutions de pilotage de l'énergie sont adaptées au type de bâtiment et respectueuses du confort des occupants. Riche d'enseignements, l'expérimentation Smart Electric Lyon permet au CSTB de conforter son expertise en matière de systèmes énergétiques adaptés au bâtiment 2.0. Il la met au service des industriels fabricants (optimisation de l'intégration des solutions dans le bâtiment) et des acteurs du système électrique (étude du comportement électrique d'un ensemble de bâtiments connectés). CityOpt à Nice : pour une meilleure maîtrise des usages Soutenu par la Commission européenne, le projet CityOpt (2014-2016) associe la métropole Nice-Côte d'Azur, Vienne et Helsinki. Au sein de la métropole niçoise, il consiste à inviter 140 familles volontaires à diminuer ou décaler leurs usages électriques pendant les périodes de pics de consommation. L'expérimentation de ce "réseau social de l'énergie" a été lancée en novembre 2015 et durera six mois. Elle permettra d'analyser les conditions selon lesquelles les habitants acceptent de faire évoluer leurs comportements. Dans ce projet, le CSTB a développé l'application en ligne CityOpt, accessible sur tablette mobile par les familles. Celle-ci leur permet de recevoir les alertes sms et email du fournisseur d'énergie, la veille des pics. Elles sont alors invitées à agir par des gestes simples, comme reporter l'utilisation de leur sèche-linge après la période de pic. Le CSTB est en charge de l'évaluation et de la diffusion des résultats du projet. En savoir plus : L'offre Énergie-Environnement de l'Institut Carnot CSTB L'offre Numérique de l'Institut Carnot CSTB Mieux maîtriser la demande en électricité

Alternatives au collage sur sols souples, les nouvelles techniques de pose des revêtements de sol ont un avantage clé : nécessitant moins de préparation du support, elles peuvent réduire les délais des chantiers de rénovation. Mais quelle est leur efficacité ? Avec les industriels, le CSTB se penche depuis 2013 sur la question. Les résultats sont variables selon le type de bâtiments auxquels les revêtements sont destinés. L'évolution du collage des revêtements de sol souples, pour répondre aux critères de santé publique, a conduit les fabricants à s'orienter vers d'autres solutions. Celles-ci concernent les modes de pose : la pose semi-libre avec fixation périphérique par adhésif double-face ; la pose libre en lés ou en dalles avec liaison par assemblage rainure et languette ou par queues d'aronde ; voire le collage incorporé aux dalles et lames. Depuis 2013, le CSTB travaille avec les industriels à l'évaluation de l'aptitude à l'emploi de ces procédés, dans le cadre d'Avis Technique ou d'Appréciation Technique d'Expérimentation. Deux critères spécifiques ont fait l'objet d'études : la stabilité du revêtement selon les conditions d'hygrométrie et de température et leur comportement mécanique. Pour cela, le CSTB a soumis les produits à des tests dédiés de déformation, traction, poinçonnement sous charge. Les résultats des essais montrent l'importance pour les fabricants d'être précis dans le choix des domaines d'usage des produits, afin de garantir leur aptitude à l'emploi. Si, abstraction faite des gymnases, la pose libre ou semi-libre des revêtements minces en lés semble limitée au logement, ceux à assemblage mécanique peuvent convenir aux bureaux et petits commerces. Quant aux dalles armées plombantes, de 5 à 6 mm d'épaisseur, maintenues entre elles par queues d'aronde, elles peuvent aller dans certains locaux à fort trafic (halls d'aéroports, surfaces commerciales, etc.). En savoir plus : Le site Évaluation du CSTB

L'exposition chinoise sur les applications de stockage de l'énergie ouvrira ses portes à Shenzhen du 24 au 26 mai 2016. Il s'agit du premier salon de ce type en Chine.

Un premier jalon important a été atteint sur le chantier du réacteur nucléaire de nouvelle génération de Flamanville : les montages mécaniques du circuit primaire principal ont été achevés permettant l'assemblage de composants cruciaux. La prochaine étape devrait être franchie au début de 2017, avant le démarrage du réacteur, fin 2018. Précisions.

S'il fallait faire la preuve de la flexibilité du chariot rotatif Manitou MRT 2540 Privilege Plus, offrant 25 m de hauteur de travail sur 360 °, on ne pourrait pas trouver meilleure application que celle réalisée par le couvreur breton Denaire Peschard. L'action se déroule directement sur le remblai de la Baule, face à l'Atlantique, en rénovation d'un toit d'immeuble.

A Wassenaar aux Pays-Bas, l'agence Global Architects rénove une maison mitoyenne des années 1980 en y insérant un tout nouveau volume : une maison dans la maison, pour une résidence familiale spacieuse et lumineuse, aux hautes performances énergétiques. Les architectes ont su tirer parti de la belle hauteur que présente le bâtiment, en supprimant les niveaux existant au profit d'un nouveau volume suspendu au c"ur de la maison. Ses dimensions permettent à la vaste pièce à vivre du rez-de-chaussée de profiter de la lumière naturelle depuis les larges ouvertures du toit en pente. L'atrium ainsi créé s'éleve sur trois niveaux, répondant aux critères de la famille en terme d'espace et de luminosité. La cuisine prend place sous le volume blanc. Ouverte et traversante, son espace n'est délimité que par le béton qui habille le sol et contraste avec le parquet de l'atrium. Les meubles de cuisine ont été conçus sur mesure, en chêne et acier inoxydable. Montés sur roulettes, ils offrent aux occupants une relative modularité des espaces. "The modern design and the inventive use of space ensures an experience and level of comfort far surpassing the original living experience" Global Architects Un escalier de bois et de métal mène au nouveau volume, desservant deux étages où se répartissent trois chambres et deux salles de bains selon un plan en forme de L. Chaque espace communique avec l'atrium par le biais de nombreuses ouvertures ponctuant le volume et son mur attenant. L'ensemble s'habille d'un revêtement blanc, à l'exception du mur adjacent au volume, couvert d'un enduit béton. Le parquet du rez-de-chaussée a été conservé tandis qu'un sol en liège parcourt le premier étages. Au dernier étage, la charpente de bois reste visible et créé une ambiance chaleureuse pour la suite parentale. Le projet a été pensé pour maximiser l'utilisation d'énergie naturelle : chaque pièce a été conçue pour profiter d'un ensoleillement constant et d'une ventilation naturelle, grâce aux nombreuses fenêtres, puits de lumières et ouvertures internes. Au fil des saisons, l'atrium apporte ainsi chaleur ou fraicheur au reste de la maison. Des panneaux solaires ont été posés sur le toit. Combinés à des matériaux isolants de haute qualité, ils font de cette maison un exemple de faible consommation énergétique. Photographies : Mirko Merchirio Pour en savoir plus, consultez le site de Global Architects

Fusion for Energy (F4E), l'organisation européenne en charge de la contribution de l'Europe pour le projet ITER de Cadarache dans les Bouches-du-Rhône, a attribué 3 nouveaux contrats (140 M¤ au total) dont un confié à un groupement constitué de Spie batignolles et ADF.

2,5 M¤, c'est la somme que consacre Remorques Hubière dans l'extension de son usine du Nord de la France et la mise en service d'une nouvelle chaîne d'assemblage en série portant sa capacité de 2 500 à 3500 remorques par an.

Deux ans après son adoption, la loi Alur sur le logement verra "90%" de ses décrets d'application promulgués "d'ici la fin de l'été", s'est félicitée E. Cosse.

Dominant la vallée de l'Hérault, la Villa Tranquille imaginée par l'agence ARTELABO rend hommage à l'architecture provençale et à ses codes qu'elle réinvente et recompose de façon inattendue.  L'extérieur de la villa conjugue la tuile, symbole régional, à un revêtement blanc dont l'intensité est renforcée par l'absence d'ouverture. Aveugle sur trois de ses façades, la villa se tourne vers la vallée, dont elle profite d'une vue exceptionnelle. Ses habitants disposent ainsi d'une certaine intimité que l'environnement de la maison, coincée entre une remise vigneronne et le chemin d'accès d'une villa de construction récente, aurait pu compromettre. Le plan de la maison se base sur une trame géométrique régulière où se répartissent quatre volumes de 3m x 4m. Ces volumes à deux pentes de toiture évoquent la forme de petites maisons individuelles. Disposés en décalage les uns par rapport aux autres au sein d'un enclos rectangulaire, ils délimitent quatre cours intérieures. Le visiteur déambule dans la villa, de la rue vers la vallée, le long d'un axe centrale polarisé sur la vue panoramique du salon. De part et d'autres de cet axe se répartissent deux chambres avec salles de bains, la cuisine ouverte sur la salle à manger, le salon et une terrasse en prolongement de la villa. Chaque pièce communique avec au moins l'une des cours, dont le sol est semblable à celui de l'intérieur de la villa. Ses habitants s'affranchissent ainsi des frontières visuelles et physiques entre intérieur et extérieur, dans le respect de l'art de vivre méditerranéen, que divers éléments en fer forgé inspirés du "moucharabieh" viennent également souligner. Photographies : Marie-Caroline Lucat Pour en savoir plus, consultez le site d'ARTELABO architecture.

Polyrey se tourne résolument vers le digital grâce à un nouveau site Internet et une application eShop à la pointe de l'innovation.

A Saint-Herblain, l'agence d'architecture Mabire & Reich imagine un panier tressé, disimulant un atelier de transformation de légumes bio, dans le cadre d'une politique régionale visant à  promouvoir une filière courte entre production bio et restauration collective.     La légumerie se compose de 2 volumes constitués d'éléments modulaires (panneaux frigorifiques et algecos) abrités par une ample couverture. Le premier abrite la zone process et une bande de locaux techniques donnant sur la cour de service. Le second comprend les locaux d'accompagnement. L'espace situé entre ces 2 volumes constitue le couloir pédagogique. Il permet, par de larges baies vitrées, d'observer la vie de l'atelier, soumis à de strictes règles d'hygiène, sans y pénétrer. L'atelier s'habille d'une peau de bois tressé en résonance avec le site, le lycée Jules Rieffel de Saint-Herblain. Les architectes se sont inspirés du paysage pour inscrire ce projet dans un contexte champêtre.  Ils ont ainsi choisi la figure de la treille réalisée en losanges de douglas et en saule tressé, à l'image du panier d'osier, symbole traditionnel de la récolte légumière. Le treillis unifie les différents espaces que le bâtiment abrite et l'inscrit dans  le prolongement du "jardin en mouvement" du paysagiste Gilles Clément mis en application par les élèves du lycée. Le projet fait la part belle à la matière et en premier lieu au bois. L'épicéa, le douglas, l'osier, mais également les panneaux de contreplaqué utilisés pour l'agencement intérieur forment un ensemble coordonné, animé et chaleureux. La treille en losanges de douglas et l'osier tressé vibrent à des échelles de perception variées, maintenant l'éveil de la personne qui chemine vers l'atelier. Dans le respect de la notion de circuit court inhérente au projet, les architectes ont utilisé des bois locaux (douglas purgé d'aubier, saule-osier). De même, les calories dégagées pour réfrigérer la zone process sont utilisées pour le chauffage de l'eau chaude sanitaire. Les eaux sont traitées en cricuit fermé passant par une pompe à UV et réutilisées par l'atelier ou pour l'arrosage des cultures maraîchères qui jouxtent le site. Intitulé du projet: Atelier de transformation de légumes bio Lieu: Saint-Herblain (44) Maîtrise d'ouvrage: Conseil Régional des Pays de Loire Maîtrise d'"uvre: Mabire-Reich Architectes Surface: 425 m² Montant des travaux: 1 340 000 000¤ HT Calendrier: livraison Septembre 2015 Photographies : Guillaume Satre Pour en savoir plus, consultez le site de Mabire-Reich.      

A Saint-Herblain, l'agence d'architecture Mabire & Reich imagine un panier tressé, disimulant un atelier de transformation de légumes bio, dans le cadre d'une politique régionale visant à  promouvoir une filière courte entre production bio et restauration collective.     La légumerie se compose de 2 volumes constitués d'éléments modulaires (panneaux frigorifiques et algecos) abrités par une ample couverture. Le premier abrite la zone process et une bande de locaux techniques donnant sur la cour de service. Le second comprend les locaux d'accompagnement. L'espace situé entre ces 2 volumes constitue le couloir pédagogique. Il permet, par de larges baies vitrées, d'observer la vie de l'atelier, soumis à de strictes règles d'hygiène, sans y pénétrer. L'atelier s'habille d'une peau de bois tressé en résonance avec le site, le lycée Jules Rieffel de Saint-Herblain. Les architectes se sont inspirés du paysage pour inscrire ce projet dans un contexte champêtre.  Ils ont ainsi choisi la figure de la treille réalisée en losanges de douglas et en saule tressé, à l'image du panier d'osier, symbole traditionnel de la récolte légumière. Le treillis unifie les différents espaces que le bâtiment abrite et l'inscrit dans  le prolongement du "jardin en mouvement" du paysagiste Gilles Clément mis en application par les élèves du lycée. Le projet fait la part belle à la matière et en premier lieu au bois. L'épicéa, le douglas, l'osier, mais également les panneaux de contreplaqué utilisés pour l'agencement intérieur forment un ensemble coordonné, animé et chaleureux. La treille en losanges de douglas et l'osier tressé vibrent à des échelles de perception variées, maintenant l'éveil de la personne qui chemine vers l'atelier. Dans le respect de la notion de circuit court inhérente au projet, les architectes ont utilisé des bois locaux (douglas purgé d'aubier, saule-osier). De même, les calories dégagées pour réfrigérer la zone process sont utilisées pour le chauffage de l'eau chaude sanitaire. Les eaux sont traitées en cricuit fermé passant par une pompe à UV et réutilisées par l'atelier ou pour l'arrosage des cultures maraîchères qui jouxtent le site. Intitulé du projet: Atelier de transformation de légumes bio Lieu: Saint-Herblain (44) Maîtrise d'ouvrage: Conseil Régional des Pays de Loire Maîtrise d'"uvre: Mabire-Reich Architectes Surface: 425 m² Montant des travaux: 1 340 000 000¤ HT Calendrier: livraison Septembre 2015 Photographies : Guillaume Satre Pour en savoir plus, consultez le site de Mabire-Reich.      

Le conseil de surveillance de Spie batignolles vient de nommer Jean-Charles Robin à la tête du directoire du groupe. À ses côtés, Stéphane Monceaux et Patrick Zulian font leur entrée au directoire.

La Société des Ports du Détroit a choisi le groupement constitué de Bouygues Travaux Publics, Colas Nord-Picardie, Spie batignolles et Jan De Nul pour la conception et la réalisation des travaux d'extension du Port de Calais.

Les fédérations représentatives de la distribution professionnelle du bâtiment dénoncent la publication du décret d'application de l'article 93 de la loi de transition énergétique qui oblige les distributeurs à organiser la reprise des déchets du BTP sur leurs sites de vente ou à proximité.

Les distributeurs de matériaux de construction protestent contre l'obligation qui leur est faite de collecter les déchets du secteur, jugeant les modalités d'application irréalistes.

Au pied du plus vaste domaine skiable des Alpes, le centre aquatique Aquamotion Courchevel a ouvert ses portes. Le cabinet d'architectes allemand Auer - Weber et associés imagine une immense vague de béton et de verre, une ondulation architecturale lovée au coeur du décor grandiose des massifs alpins.  La station alpine de Courchevel se compose de différents plateaux aux altitudes différentes. L'Aquamotion se situe ainsi entre Courchevel 1650 et Courchevel 1850, entre une vaste vallée et de hauts sommets. Cette situation géographique insolite est à la source de chacun des choix pris par les architectes, guidés par la volonté d'intégrer parfaitement un bâtiment aussi important à un environnement naturel et sensible. La toiture épouse ainsi le terrain et prend la forme d'une immense vague, verte en été, blanche en hiver. Entièrement végétalisée, elle répond aux inquiétudes de la commune en matière d'énergie pour cet équipement de 15.000 m². Un système de chauffage au bois a par ailleurs été choisi pour l'ensemble des bâtiments et des bassins. "The building becomes a sculpture of spaces and light", Auer - Weber et associés Totalement ouvert sur son environnement, l'Aquamotion offre à ses visiteurs une vue imprenable sur le massif alpins grâce à d'importantes baies vitrées, complétées de larges ouvertures qui ponctuent la toiture de façon douce et harmonieuse. Ces vagues de verres et de bois font face au sud baigne l'ensemble du complexe d'une abondante lumière naturelle. Le complexe aquatique est accessible par un passage sous-terrain ou par une nef monumentale dont la voûte ajourée libère des morceaux de ciel et donne accès à deux parties distinctes, consacrées au divertissement d'une part et au bien-être d'autre part.   La première abrite un espace aquatique avec une série de bassins en intérieur comme en extérieur, complétés de tobogans, d'une "rivière sauvage", d'une fosse de plongé et d'un espace réservé aux plus petits. Le deuxième espace, l'Aquawellness, est consacré à la détente et au bien-être. On y retrouve un bassin intérieur/extérieur chauffé, cols-de-cygne, chaises longues immergées et Jacuzzi, auxquels s'ajoutent " silencium ", " solarium ", saunas, hammams ainsi qu'une grotte d'eau salée. Dissimulés dans l'architecture, les équipements restent discrets, les espaces de repos sont élégants et épurés, les formes sont rondes et le blanc omniprésent. Les architectes ont souhaité offrir aux usagers un univers apaisant, où tout n'est que lumière, transparence et fluidité. Cet ensemble aquatique se complète d'un simulateur de surf, d'un mur d'escalade, de divers lieux de restauration et de boutiques. Des passerelles piétonnes permettent en amont de traverser une petite rivière attenante et rellieront en contre-bas l'hôtel qui se dressera bientôt en face de ce complexe exceptionnel.

Spie batignolles annonce la reprise des activités fluides et tuyauteries industriels de Groupe MG, une société spécialisée dans les secteurs du pétrole et gaz, de l'énergie, de la chimie, et du nucléaire.