Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Divers

Inspirée par le schéma structurant la morphologie des plantes, la chaise Ray se tient sur cinq pieds évoquant un système racinaire et développe son assise et son dossier à la manière d'un végétal naissant. La chaise a été imaginée par la designer russe Lera Moiseeva. "That give life to the stable and firm seat." Lera Moiseeva La chaise se compose d'un assemblage élégant et minimaliste de tubes en acier recouverts d'une peinture verte. Sa silhouette lui offre une forte personnalité, franche et délicate. Ses cinq pieds lui offrent une grande stabilité, de profil son dossier semble se courber et chercher la lumière comme le ferait un bourgeon au printemps. Il se développe depuis l'assise qui simule un sol horizontal, une transition entre monde aérien et monde souterrain. Lera Moiseeva est originaire de Tarusa en Russie, au sud de Moscou. Elle a obtenu son diplôme en sociologie à Moscou, après quoi elle a étudié le design et la conception de produits à Madrid. Ayant grandi dans une famille d'ingénieurs astronomes elle a toujours été fascinée par les images du cosmos. Son esthétique semble teintée par les images de l'industrie spatiale. Dimensions : 45x74x50 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Lera Moiseeva  

El Moro est une véritable institution au Mexique. Fondé en 1935, cet établissement a bâti sa réputation grâce à ses chocolats chauds et churros servis dans une atmosphère authentique. Figure iconique de la capitale mexicaine, l'entreprise s'est offert une cure de jouvence, orchestrée par l'agence Cadena Asociados.     Le projet n'a pu se développer que dans le respect des valeurs familiales et historiques de la marque, chères à sa clientèle. Ainsi, la nouvelle identité graphique est entièrement inspirée  du motif emblématique qui ornait les murs de l'établissement d'origine. Les architectes en ont proposé une version simplifiée dans ses formes et ses couleurs, pour en conserver l'essence tout l'inscrivant dans une indéniable modernité. Le studio a ainsi déployé sur les murs une fresque minimaliste et modulable, grâce aux systèmes des carreaux. Ces mêmes motifs, inspirés de l'art traditionnel mexicain, se retrouvent en différents endroits, des éléments de communication au tablier du chef. Le revêtement du sol, identique à celui des murs, agrandit l'espace en supprimant les angles. Le client se trouve plongé dans un défilé de motifs, se répétant à l'infini. L'ameublement est harmonisé en un hommage à l'âge d'or de Mexico, dominé par l'Art Déco : pureté des formes, stylisation et répétition des motifs, formes géométriques et couleurs vives. Les tables et les chaises sont en bois clair, les formes sont simples, mariant les angles vifs aux  arrondis. Des rocking-chairs d'un blanc immaculés résument à eux-seuls l'originalité des lieux, alliant la tradition à la modernité.  Photographies : Moritz Bernoully Pour en savoirplus consultez le site de Cadena Asociados.  

Gueule de Bois est jeune entreprise française créée le 1er janvier 2015. Ludovic Austry et Emmanuel Berson sont animés par le désir de donner une nouvelle vision de l'ameublement artisanal français et de promouvoir un matériau : le bois. Ils imaginent le module Idéal, alliance étonnante entre tradition et modernité.     "Notre bon vieux bois français est plus solide et plus sexy que les capricieux plastiques et agglomérés !" Gueule de Bois Ludovic et Emmanuel se sont rencontrés à l'école élémentaire, où ils gravaient leurs initiales sur des pupitres en merisier mal adaptés. Ludovic est aujourd'hui sorti des Beaux-Arts designer-architecte, Emmanuel est diplômé d'une école de commerce. Associés, l'un dessine les meubles et l'autre développe l'entreprise. La production est assurée par une petite menuiserie traditionnelle près de Nantes, sans outils à commande numérique, à partir de bois issu des forêts françaises. Gueule de Bois entend produire une collection par an, composée de 10 meubles recevant chacun le nom d'un cépage, unique et particulier.  La première collection comporte les meubles de rangement " idéal ", des blocs avec étagère incluse, en panneaux plaqués Erable ou Chêne. Les modules de rangement Idéal laissent libre cours à l'imagination de son utilisateur. Table basse, table d'appoint, commode ou bibliothèque, la découpe originale permet de les associer de façon symétrique ou asymétrique, seul ou en binôme. Ces asymétries nous offrent différentes perceptions du meuble, chaque point de vue offre une nouvelle perspective. Sous ses airs carrés et solides, l'étagère Idéal conserve une ligne moderne et épurée, où chaque détail se place au service de la simplicité. Les meubles Gueule de Bois s'inscrivent dans une logique de modularité de l'espace, à l'épreuve des goûts, des tendances et du temps. Dimensions :  750x450x500mm Pour en savoir plus consultez le site de Gueule de Bois.      

À l'issue d'un concours de conception-construction, le groupe NGE, spécialisé dans la construction des grandes infrastructures et des projets urbains, s'est vu confier la rénovation du pont Eiffel sur la Dordogne à Cubzac.

Trouver un appartement dans le centre de Shanghaï devient très difficile ; en acquérir un spacieux et abordable à la fois semble impossible. L'agence MoreDesign Office relève ce défis en élaborant un logement de 50m² où se mêlent ouverture et intimité.     Les architectes y sont parvenus en réorganisant des espaces publiques aux espaces privés, distribués autour d'une paroi centrale, colonne vertébrale du logement. Si les espaces sont maintenus délibérément ouverts, l'intimité est garantie en contrôlant les points de vis-à-vis. Ainsi, La chambre est séparée du salon par une paroi pliable en verre poli, permettant à la lumière de se diffuser. On retrouve un procédé semblable pour la salle de bain. Les architectes ont également joué sur les niveaux des différents espaces de l'appartement. La chambre est accessible depuis le salon par trois marches, qui lui confèrent une atmosphère intime et en créant un espace de stockage supplémentaire. A un niveau inférieur au reste de l'appartement, la pièce de vie voit sa hauteur sous plafond agrandie. Côté chambre, la paroi centrale est rembourrée avec du tissu dans un souci acoustique. L'autre côté est entièrement habillé d'un miroir. A la fois fonctionnelle et esthétique, il élargit la perspective et participe à la luminosité. Les murs et les sols de l'appartement sont habillés d'un ton clair et uniforme, repris par certaine pièces du mobilier créé sur mesure. L'ameublement est quant à lui à la fois fonctionnel et épuré. Le bois clair se mêle à un métal sombre structurant l'espace. Intitulé du projet: Folded Apartment Lieu: Shanghaï, Chine Maîtrise d'ouvrage: privée Maîtrise d'"uvre: MoreDesignOffice Surface: 50 m² Montant des travaux: non communiqué Calendrier: 2014   Pour en savoir plus, consultez le site de MoreDesignOffice.      

Le studio d'architecture Loft Szczecin a réalisé l'intérieur d'une maison centenaire ayant récemment connu d'importants travaux d'extension et de modernisation.     Les trois niveaux de la bâtisse ont été reliés par un escalier en bois de chêne conçu pour l'occasion, dont la rambarde est composée  de pièces de bois posées verticalement à un intervalle régulier. L'ensemble ajouré projette sur les murs blancs un jeu d'ombres et de lumières particulièrement graphique, amplifié par le choix minimaliste de marches suspendues. Parallèlement à cet escalier, un foyer a été édifié. Les briques apparentes ont été habillées d'un enduit blanc, que l'on retrouve ponctuellement dans la maison. Cette option intervient comme un témoin du caractère ancien de la bâtisse, tout en lui conférant un aspect industriel, renforcé par quelques poutres métalliques recouvertes d'un enduit gris, rythmant la pièce principale en délimitant les espaces. La plupart des meubles, en bois de chêne, ont été conçus et construits par Loft Szczecin : table à manger, bureau, table basse, buffet, armoires de cuisine, armoires de toilette). Les meubles de cuisine ont été créés à partir de contreplaqué stratifié contrastant avec le comptoir de granit noir. Des articles vintage achetés aux enchères et restaurés par Loft Szczecin viennent compléter l'ameublement, dont chaises de production danoise conçues par Niels Moller, le fauteuil de production tchèque des années 60 conçus par Magda Sepova et quelques petits mobiliers issus de l'univers médical du début du 20ème siècle.  Intitulé du projet: Loft Szczecin : Habitation à Gumie?ce Lieu: Szczecin, Pologne Maîtrise d'ouvrage: Privée Maîtrise d'"uvre: Loft Szczecin Surface: 64 m² Montant des travaux: non communiqué Calendrier: livraison  2015 Photographies : Karolina B?k  Pour en savoir plus visitez le site de Loft Szczecin.  

Les nouveaux compacteurs SD75B, SD115B et SD135B de Volvo CE intègrent une technologie avancée pour affronter en toute sérénité les chantiers et applications difficiles.

A l'initiative du Sageret (annuaire du BTP), plus de 250 000 entreprises et 30 000 prescripteurs ont été sollicités durant trois semaines en janvier pour évaluer les nouveautés des industriels. 

Fragment reconstitué du paysage malouin, l'immeuble des Terrasses du Rocher développe une typologie riche et complexe, offrant à tous ses résidents une grande diversité d'habitat. Plus qu'un bâtiment, c'est un village entre boulevard et jardin de dunes qui s'est construit sur les ruines d'une ancienne imprimerie. Un projet conçu par l'atelier Loyer pour le groupe Giboire, qui met le zinc à l'honneur (VMZINC). Depuis une trentaine d'année, les centres urbains perdent leurs industries. La fermeture, où, dans le meilleur des cas, le transfert des usines vers des zones suburbaines, libère de grandes emprises foncières qui deviennent souvent l'objet d'opérations d'aménagement d'envergure. A Saint-Malo, les terrains de l'imprimerie Billon, fermée définitivement en 2009 après 81 années d'activité, ont été réaffectés à la construction d'un ensemble de logements. Bénéficiant de sa proximité avec le centre historique, à moins de deux cents mètres à vol d'oiseau, et d'une position restant centrale au regard de l'agglomération, le site se prêtait particulièrement bien à la réalisation d'appartements en accession. La municipalité a supervisé cette opération, réalisée par un opérateur privé, le groupe Giboire, maître de l'ensembledu foncier. Soucieuse de diversité architecturale, elle a imposé au promoteur l'organisation d'un concours entre deux équipes d'architectes, consultation dont l'atelier Loyer est sorti lauréat. Le projet de l'agence rennaise adopte une typologieinédite, que l'on peut qualifier d'hybride. Côté sud, le long d'un boulevard en cours d'aménagement, l'immeuble à l'aspect d'un R+4 monolithique etlongiligne. La façade nord, par contre, est une étrange colline faite d'un enchevêtrement de petites maisons rappelant l'architecture locale. Le nom de l'opération, les terrasses du Rocher, reflète cette proposition atypique. Une construction complexe mais en règle : La volumétrie est conforme au PLU, explique l'architecte. Le règlement autorisait à monter jusqu'à trois niveaux plus un étage d'attique sur le boulevard. L'immeuble atypique obéit donc bien à la réglementation urbaine en vigueur, l'examen du plan confirmant une nouvelle fois qu'une grande rigueur est à l'origine de cette composition pittoresque. Une trame de murs de refend en béton espacés de six mètres forme lastructure porteuse du bâtiment et règle le plan des appartements. Côté boulevard, de grands appartements de 3 ou 4 pièces avec terrasse linéaire. Côté nord,où un jardin inspiré des dunes a été aménagé, on retrouve les maisonnettes et leurs terrasses, qui sont en fait des appartements de deux pièces. Du zinc pour "accrocher le ciel" "Au final, le bâtiment compte bien plus de béton que de zinc", constate Philippe Loyer. Pourtant, depuis la rue, les surfaces métalliques semblent faire jeu égal avec les murs d'enduit blanc. C'est, comme bien souvent, la convergence de critères multiples qui a conduit l'architecte au choix du zinc, dans un contexte ou l'ardoise règne. Le projet initial prévoyait une façade entièrement recouverte de différents types de zinc prépatinés. L'architecte désirait jouer sur les différences de teintes, mais à la demande du maire, il dut réduire la part métallique de l'enveloppe, puis revint finalement à une seule teinte de zinc gris clair, le QUARTZ-ZINC. Pas de regret de la part de Philippe Loyer. "J'aurai pu utiliser un zinc anthracite, plus proche de l'ardoise, mais je trouve que la teinte grise accroche beaucoup mieux le ciel de Bretagne. Par beau temps, le zinc offre du contraste, et les jours de grisaille, les toitures semblent se fondre dans l'horizon". Le zinc n'habille plus l'ensemble de la façade, mais reste bien visible, en partie sans doute à cause d'une disposition du PLU, qui oblige l'utilisation de toiture en pente sur 70 % de la couverture. Il recouvre entièrement les " maisons sur le toit " occupant le niveau d'attique, et les " cabines " de la façade nord. Tantôt c'est le chéneau qui vient sur la façade, tantôt un pignon : ce jeu qui anime la volumétrie du bâtiment fait écho à la diversité des maisons malouines, qui adoptent indifféremment ces deux options. La variation facilite l'intégration de cet ensemble moderne dans un contexte plutôt traditionnel. L'architecte compare volontiers la façade nord à une sorte de prélèvement du paysage environnant. L'enchevêtrement des toitures et des terrasses était un autre élément plaidant en faveur de l'emploi du zinc " dans ces typologies complexes, les eaux pluviales doivent être parfaitement gérées. Pas question de déverser les trop-pleins d'eau sur la terrasse du voisin du dessous ! L'eau est conduite jusqu'au sol par un réseau continu de chéneaux et de gouttières, entièrement réalisé en zinc ", observe P. Loyer, non sans rendre hommage à l'entreprise de couverture QUEMARD, qui a constamment fait des suggestions pour résoudre les nombreux cas particuliers inhérents à la typologie complexe du projet. Philippe Loyer a engagé la seconde phase de l'opération, sur la parcelle attenante. La logique de diversité se poursuit. Ici des maisons seront fondées sur un bunker désaffecté. Depuis leurs fenêtres, les nouveaux arrivants contempleront peut-être les terrasses du rocher avec un brin d'envie, en pensant à ces résidents passant des vacances sans fin dans leurs drôles de cabanes de plages. Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignClub Awards 2016 dans la catégorie Logement / Collectif Pour en savoir plus, visitez le site de l'Atelier Loyer et de VMZINC.      

Le calendrier des travaux du plan de relance autoroutier pourrait prendre du retard, en raison d'un "allongement des procédures" lié à l'application de la loi Macron, selon Vinci.

Mercredi 3 février 2016, Anne Hidalgo, maire de Paris, dévoilait la liste des vingt-deux lauréats de "Réinventer Paris", appel à projets urbains innovants lancé fin 2014 : une première mondiale pour imaginer et construire la ville de demain. Pour l'occasion, le Pavillon de l'Arsenal expose l'ensemble des projets soumis au jury. Vingt-trois sites appartenant à la Ville et actuellement désaffectés ont été proposés, avec pour seule contrainte le respect des règles du plan local d'urbanisme. Ces terrains nus, friches polluées, hôtels particuliers classés, bureau à rénover, gare, bain-douches et autres transformateur électrique, ont donné lieu à plusieurs centaines de projets. Les équipes candidates rassemblent des professionnels venus d'horizons divers : architectes, paysagistes, urbanistes, acteurs de l'immobilier ou ingénieurs, côtoient agriculteurs, chefs cuisinier, anthropologues, artistes, philosophes, créateurs de mode, industriels ou riverains. De même, le jury intègre quelques personnalité étrangère au sérail de l'architecture, comme le mathématicien Cédric Villani, l'anthropologue Michèle Baussant ou le microbiologiste Dickson Despommier. La diversité souhaitée par le concours transparait sur les propositions : habitat participatif, co-construction, réemploi de matériaux, béton nettoyant, dépolluant, végétal ou photovoltaïque, biofaçades, briques de papier, dalles actives, fermes urbaines, espaces de co-fooding, co-working ou co-living, incubateurs, campings urbains... La préoccupation environnementale reste tout de même omniprésente, tout comme la volonté politique de la municipalité de poursuivre l'effort de constructions de logements accessibles à tous : les 22 projets retenus prévoient ainsi la création de 1341 nouveaux logements, dont plus de 50% logements sociaux. Le projet de Sou Fujimoto, porté par le groupe Ogic et la Compagnie de Phalsbourg, a été particulièrement plébiscité. L'architecte japonais imagine une immense structure chevauchant le périphérique, porte Maillot. Intitulé "Mille arbres", cet immeuble de logements reliera Paris à Neuilly par le biais d'un pont-parc, sur lequel mille arbres seront plantés. L'inauguration du bâtiment est prévue en 2022. Jusqu'au 8 mai 2016, le Pavillon de l'Arsenal présente l'ensemble des créations soumises au jury. Imaginée par l'agence Peaks architectes, la scénographie développe un système ouvert et évolutif sur les 900m² du pavillon, au travers de maquettes, perspectives, animations 3D, films, interviews et témoignages. Pour accompagner cette exposition, le Pavillon de l'Arsenal développe avec la start-up My Blue Wall, un mur interactif qui permet à plusieurs visiteurs de naviguer simultanément dans tous les projets. Un ouvrage réunissant l'ensemble des propositions sera également édité et disponible en librairie dès le 15 février. Enfin, un programme de conférences et de rencontres débutera très prochainement, réunissant les équipes lauréates et les acteurs de l'innovation, pour permettre à tous de mieux comprendre et découvrir le Paris de demain. Illustrations : Pavillon de l'Arsenal Réinventer Paris au Pavillon de l'Arsenal, 21 boulevard Morlan, 75004 Paris, jusqu'au 8 mai 2016, du mardi au samedi de 10h30 à 18h30 et le dimanche de 11h00 à 19h00, entrée libre.   Pour en savoir plus, visitez le site de Réinventer Paris et celui du Pavillon de l'Arsenal.    

Volvo CE lance la nouvelle pelle sur pneus EW60E, une machine offrant de grandes performances et assurant un vrai confort dans un éventail d'applications exigeantes.

Imaginée par Thomas Merlin, la série Aronde rend hommage à l'ébénisterie traditionnelle et à cet assemblage du même nom. Un plateau en bois brut se pose sur quatre pieds, composé du même chêne, à section rectangle. Une diagonale divise le plateau et le petit coté se pare d'un aplat de couleur élégant. La collection est édité à Anjou par Drugeot Labo. Dimensions : H.39cm x L.120cm x P.70cm / H.39cm x L.100cm x P.75cm / H.49cm x L.75cm x P.50cm Pour en savoir plus, visitez le site de Thomas Merlin  et de l'éditeur Drugeot Labo  

Spie batignolles immobilier et la Société Européenne d'Hôtellerie (SEH), avec l'appui de la Caisse des Dépôts, ont donné le coup d'envoi à la réalisation d'un hôtel trois étoiles Qualys Hotel à Paris Porte de Montmartre.

La nouvelle génération de groupes mobiles à mâchoires Jawmax tient ses promesses. Le Jawmax 1006 Maxi répond en particulier aux applications de recyclage exigeantes. Les temps d'arrêt dus à des blocages de pièces en acier, à la casse de plaques de compression, appartiennent au passé.

Depuis quelques années, les villes et notamment les centres-villes sont en pleine mutation. Les espaces urbains et plus particulièrement, la voirie et ses rues piétonnes et voies de transit commerçantes, changent de visage, et le béton y contribue largement. Ce matériau ouvre un large champ de possibilités dans le choix des revêtements, ce qui explique sans doute son succès !

Le site Liebherr Mining situé à Colmar (Haut-Rhin) a ouvert ses portes en juillet 2010 avec comme mission d'assembler des pelles hydrauliques destinées à l'industrie minière et maritime. Ce secteur présentant de nouvelles contraintes et de nouveaux impératifs, Liebherr a acté la construction de ce centre de développement et d'assemblage, doublé de services R&D et SAV.

Les 27 et 28 janvier prochains à Rennes, Bonna Sabla présentera deux nouvelles innovations au Carrefour de l'Eau : Volte'o, solution pour les branchements multi-réseaux et Urbanet, l'application de pilotage des armoires de commandes.

A l'occasion du programme d'Aides à la création VIA, la galerie VIA expose 14 prototypes autour des thèmes de du mobilier, de l'aménagement et des luminaires. Cette année l'exposition offre également une carte blanche au designer Gilles Belley : Rooms offre de nouvelles propositions d'aménagement en créant des espaces à l'intérieur d'autres espaces, le mobilier devient et offre de nouveaux lieux sous l'angle de la modularité et du mariage des fonctions. "Area, circonscrit, Wall fragmente et Block condense" Trois dispositifs sont mis en place par le designer : Area, Wall et Block. Chacun proposent une nouvelle modalité de programmation de l'espace: "Area, circonscrit, Wall fragmente et Block condense".Ils se placent librement dans l'habitat et installent de nouvelles formes de vies directement en lien avec les usages contemporains. Les limites de l'espace, des espaces, ne se figent plus. Les pièces abritent sans renfermer et de nouvelles porosités naissent. Chacun des dispositifs a été pensé dans une perspective d'industrialisation. Leurs dessins s'appuient structurellement sur une logique d'assemblage de panneaux propre à la grande majorité de la production de mobilier contemporain, facilitant également leurs mises en "uvre. Galerie VIA du 15 janvier au 4 mars 2016 - 120, avenue Ledru-Rollin 75011 - Paris Pour en savoir plus, visitez le site du VIA  

À l'Assemblée nationale, la mission d'information commune sur l'application de la loi de transition énergétique a désigné son bureau et ses rapporteurs.

Pour le compte du CROUS et de la Ville de Paris, l'agence VIB Architecture livre, dans le 20e arrondissement, un ensemble de 87 logements étudiants, de 2 logements de fonction et d'une crèche de 66 berceaux. Situé au 117 rue de Ménilmontant cette parcelle, tout en longueur, est occupée en son centre par un bâtiment à pans de bois devant être conservé. Coupant ainsi la parcelle en deux parties, une côté rue et une à l'intérieur de l'îlot. Fort de ce constat et des contraintes urbaines l'agence place la crèche en fond d'îlot dans un souci de privacité alors que les logements étudiants occupent le site en équerre le fermant côté rue. Deux jardins viennent compléter le projet. Le premier, commun à l'ensemble des activités, donne accès à la crèche alors que le deux deuxième, privatif, fait office de cour pour les enfants. Afin de répondre à l'image variée du "village de Belleville" les quatre bâtiments abordent des esthétiques variées ; angles arrondis et habillage en aluminium anodisé pour les logements donnant sur rue, volumétrique cubique et façades blanches pour les logements longeant la parcelle dans l'axe nord-sud, pans de bois pour le bâtiment scindant la parcelle en deux tout en liant paradoxalement les deux programmes, alors que la crèche arbore le même revêtement en aluminium anodisé, tout en développant une géométrie parallélépipédique.Cette variété se retrouve dans les espaces intérieurs aux couleurs et aux habillages variés. La forme cyclique et la courbe viennent agrémenter les différents lieux de vies comme pour y apporter douceur et calme. Toutes les fonctions (cuisines, salles de bains, toilettes...) sont regroupées dans des unités fonctionnelles réduites à leur minimum venant dessiner et réorganiser les espaces intérieurs. Maitre d'ouvrage : PARIS-HABITAT pour le compte du CROUS (logements) et de la VILLE DE PARIS (crèche)Maitre d'"uvre : VIB Architecture Franck VIALET et Bettina BALLUSDate de livraison : Juin 2015 Localisation : Paris 20e117 rue de MénilmontantProgramme : Construction et réhabilitation dansnla rue de Ménilmontant d'un ensemble de 87 logements étudiants, de 2 logements de fonction et d'une crèche de 66 berceaux.Certifications : THPE - H&E - RT 2005 Plan Climat de la Ville de ParisSurfaces : 2 340 m2 (logements) 1 071 m2 (crèche)Coût : 7.3 M¤ HTEntreprises : BET TCE Igrec Ingénierie Paysagiste Paysarchitectures Photographies : Cyrille Lallement Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignClub Awards 2016 dans la catégorie Programme Mixte Pour en savoir plus, visitez le site de VIB Architecture  

  A Lingolsheim, à la périphérie de Strasbourg, l'agence d'architecture Urbane Kultur révèle la coupole de la piscine Tournesol qui date des années 1970 en implantant une extension en forme de "boomerang", enveloppant le tournesol sans le déformer. Modèle de piscine de type industriel, la piscine Tournesol fut la réponse de l'architecte Bernard Schoeller au programme "1 000 piscines" lancé en 1969. Celle de Lingolsheim fait partie des 183 équipements de ce type construits jusqu'en 1980. Le projet de réhabilitation redonne à la piscine ses qualités d'origine, conçue comme un objet rationnel, offrant une belle qualité d'espace et s'ouvrant sur l'extérieur. Les extensions réalisées successivement depuis plusieurs années ont été démolies pour révéler le volume de la coupole. Les vestiaires sont déplacés de sorte à libérer l'espace du Tournesol pour les trois bassins inox. L'extension accueille le hall, les vestiaires, les bureaux et des locaux techniques. Un patio paysager prend place entre le bâtiment ancien et l'extension, permettant d'ouvrir l'enveloppe sur un espace extérieur de qualité tout en préservant l'intimité du bassin. L'intérieur blanc immaculé participe à mettre en valeur la ligne de la coupole, et donne une sensation de propreté et de clarté de l'espace. Intitulé du projet: Réhabilitation et extension de la piscine Tournesol de Lingolsheim Lieu: Strasbourg Maîtrise d'ouvrage: Communauté Urbaine de Strasbourg Maîtrise d'"uvre: Urbane Kulture Surface: 1790 m2 Montant des travaux: 4,8 M¤ HT Calendrier: livraison Octobre 2014 Photographies: Jean-Baptiste Dorner Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignClub Awards 2016 dans la catégorie Sport / Piscines, centres aquatiques Pour en savoir plus, visitez le site de Urbane Kultur

Accompagner les architectes et étudiants en architecture dans l'adoption d'une démarche BIM, lorsqu'ils répondent à des projets de construction et d'aménagement : c'est l'objectif du Concours BIM 2016. Proposée et conçue par les architectes de Polantis avec la ville de Bobigny, cette initiative est parrainée par le CSTB. Elle se distingue des concours d'architecture traditionnels par l'utilisation de la maquette numérique au format ouvert IFC et d'une base de données Informations, qui garantissent la bonne application de la méthode BIM. La modernité de la proposition architecturale mais aussi la qualité de la démarche BIM des candidats sont les critères gagnants du Concours BIM 2016. Cette initiative est notamment soutenue par le PTNB (Plan Transition Numérique dans le Bâtiment) et le CSTB, engagés dans l'accompagnement des professionnels d'aujourd'hui et de demain qui utilisent le numérique au service d'un projet de construction et d'aménagement. Pour aider les candidats à vérifier la pertinence de leur maquette numérique, les candidats sont invités à utiliser le logiciel eveBIM conçu par le CSTB et librement accessible par téléchargement sur le site Batipedia.com. Une version de ce logiciel a été spécialement développée par le CSTB et mise à disposition du jury du Concours BIM 2016 pour analyser, commenter et noter les dossiers présélectionnés. Le jury récompensera les trois projets lauréats par une prime de respectivement 10 000 ¤, 5 000 ¤ et 2 500 ¤. Les 20 finalistes de ce concours recevront l'ouvrage BIM et maquette numérique paru aux Éditions Eyrolles - CSTB. Concours BIM 2016 : présenter la maquette numérique d'un programme de pépinière d'entreprises. Ce programme se situe ─ virtuellement ─ sur le territoire de la ville de Bobigny, près du canal de l'Ourcq (Seine-Saint-Denis). Inscription avant le 5 mars 2016 Envoi de la proposition avant le 15 mars 2016 Soirée de remise des prix du concours le 7 avril 2016 à Paris Le site officiel du Concours BIM 2016

  Pour le restaurant des Bains, RDAI imagine un intérieur contemporain évocateur de l'histoire atypique de cet espace balnéaire devenu un lieu incontournable des nuits festives parisiennes. Les architectes et décorateurs ont regroupés leurs compétences autour d'un programme de 350m2 composé d'un espace de réception, d'un bar, d'un patio, d'une salle à manger et du Réservoir, tour de 15m de haut, ancienne réserve d'eau des bains Guerbois, et qui accueille dorénavant une salle à manger privée pour douze personnes. L'identité balnéaire est rappelée par la façade d'époque, le carrelage et le Réservoir, ainsi que par les interventions contemporaines telles que le plafond inspiré d'une goutte d'eau géante, une prouesse technique qui fait échos à la géométrie du dôme. Les sols de la brasserie chic sont constitués de plus d'un million de petit carreaux de grès cérame, fabriqués sur mesure et posés à la main selon un procédé d'une grande complexité. Ce sol restaure à l'identique le carrelage original au niveau du restaurant puis le motif du damier se floutent comme si l'eau en avait dilué les contours. La laque rouge brillante qui couvre sols et poteaux renvoie au monde du spectacle et de la nuit, évoquant la seconde époque de l'histoire du lieu. Intitulé du projet: Les Bains Lieu: Paris Maîtrise d'ouvrage: Société Les Bains, Jean-Pierre Marois Maîtrise d'"uvre: RDAI Surface: 350 m2 Montant des travaux: non communiqué Calendrier: livraison Mars 2015 Photographies: Guillaume Grasset et Paul Raeside Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignClub Awards 2016 dans la catégorie Intérieur / Restaurants Pour en savoir plus, visitez le site de RDAI