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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18290 résultats)
Il y a 4 ans et 340 jours

Accords et désaccords sur Notre-Dame de Paris

La flècheSymbole parmi les symboles, parce que sa chute fut l'image marquante de la soirée du 15 avril 2019, le devenir de la flèche de Notre-Dame a électrisé le débat pendant de longs mois. Au final, elle retrouvera la même forme, basée sur les plans de l'architecte Viollet-le-Duc."Cette flèche était complètement constitutive du paysage parisien, tous les spécialistes vous le disent et reconnaissent que c'est un chef d'oeuvre absolu", a argué le général Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la reconstruction de l'édifice, vendredi sur LCI, au lendemain de l'annonce du président Macron qu'il se ralliait à une reconstruction à l'identique.Certains comme l'architecte Jean-Michel Wilmotte ont toutefois déploré une occasion manquée de concevoir une flèche moderne, avec "un système d'éclairage exceptionnel", par exemple.La charpenteSurnommée "la forêt", la charpente de Notre-Dame, joyau de l'architecture médiévale qui a été dévorée par les flammes, sera finalement reconstruite en chêne et non en béton, comme la cathédrale de Reims, ou en métal comme le Parlement de Bretagne, deux options un temps avancées.Ce choix a fait débat au sein de la commission du patrimoine et d'architecture (CNPA) qui s'est réunie jeudi et a fini par choisir cette option, dans son avis suivi par le président Macron.Plusieurs questions ont été abordées: est-il judicieux de reconstruire la charpente en chêne, après un incendie qui a failli détruire totalement la cathédrale? Quelles mesures vont être prises pour éviter un nouveau drame ?Les défenseurs du bois, depuis le début, ont toujours fait valoir qu'une charpente à l'identique permettrait d'aller plus vite et de tenir les délais imposés par le président."Pour la charpente en chêne, nous avons demandé que le dessin soit étudié et précisé dans la future étude de diagnostic", a affirmé à l'AFP le sénateur Jean-Pierre Leleux à la tête de cette commission. Le résultat ne sera pas entièrement "à l'identique", a-t-il précisé: "on peut imaginer quelques changements avec des dispositifs incendie plus fiables".La couvertureQui dit reconstruction "dans le respect des matériaux d'origine", comme souhaitée par la CNPA, dit plomb pour la toiture de la cathédrale, ou "la couverture", constituée de 1.326 tables de 5 mm d'épaisseur pesant au total plus de 200 tonnes."Je m'attends à des combats assez difficiles" sur ce point, a admis le général Georgelin, alors que les risques de contamination liés aux particules de plomb qui s'étaient répandues dans l'atmosphère et au sol, après l'incendie du 15 avril, ont empoisonné le début des travaux, nécessitant des suspensions puis la mise en place de protocoles très stricts pour que les ouvriers reprennent le travail.Le calendrierDepuis l'incendie de la cathédrale, l'objectif du président Macron est le même: la rebâtir en cinq ans. "Nous rendrons la cathédrale au culte en 2024", a assuré le général Georgelin, mais "ça ne veut pas dire que tout sera terminé, peut-être que la flèche ne sera pas terminée".Après de multiples aléas, du plomb à la crise du coronavirus, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, devrait être achevé "au plus tard fin septembre". Il conditionne le démarrage des travaux de restauration à proprement parler. Une étude de diagnostic sera lancée dans les semaines qui viennent, pour "définir le programme précis de travaux permettant la réouverture au culte et à la visite", prévue en avril 2024. Rendu des travaux attendu cet automne.
Il y a 4 ans et 340 jours

Du nouveau dans la purification de l'air chez Brink

PURE INDUCT : pour une qualité d'air intérieur optimaleLa pollution de l'air est un problème de plus en plus fréquent auquel nous sommes tous confrontés. Cette pollution se présente sous plusieurs formes. Plus les particules sont fines, plus elles pénètrent profondément dans notre organisme. Avec le Pure induct, Brink propose une solution qui neutralise ces particules ultra-fines de l'air neuf et garantit une ventilation avec un air sain et propre.Le Pure induct est un module complémentaire pour une centrale de ventilation double flux qui se monte dans la gaine qui transporte l'air neuf vers le logement. Le Pure induct fonctionne selon le principe de l'ionisation (nouvelle génération ne produisant pas d'ozone). Pendant l'ionisation, toutes les particules présentes dans l'air sont chargées d'électricité statique. Le filtre intégré dans le Pure induct, spécialement conçu et chargé d'électricité statique attire et fixe ces particules indésirables. Ce principe garantit une épuration efficace de l'air neuf et une ventilation en air sain et pur du logement.AvantagesFiltre les particules poussièreuses les plus finesFonctionnement entièrement automatiquePlus efficace qu'un filtre HEPA
Il y a 4 ans et 340 jours

Face aux fraudes, les aides à l'ITE diminuent

Echaudé par les arnaques autour du coup de pouce chauffage, le Gouvernement vient de réagir brutalement.
Il y a 4 ans et 341 jours

EPR de Flamanville : EDF doit séparer maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'oeuvre

NUCLÉAIRE. Dans un rapport consacré à la filière des réacteurs européens à eau pressurisée (EPR), la Cour des comptes épingle les "dérives de coûts et de délais considérables" du projet de Flamanville, dans la Manche. Et recommande à EDF, Framatome et aux pouvoirs publics de revoir la conduite des chantiers et de mieux préparer les futures décisions en la matière.
Il y a 4 ans et 341 jours

L'Anah annonce une baisse immédiate des aides sur l'ITE pour stopper au plus vite les nombreuses fraudes

60.000 dossiers déposés et 100M€ de budget supplémentaireLancée en janvier 2020 pour financer les travaux de rénovation énergétique dans les logements, la nouvelle aide de l'État MaPrimeRénov' rencontre un véritable succès. Malgré le ralentissement induit par la crise sanitaire, plus de 60.000 dossiers ont été déposés depuis janvier auprès de l’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat (Anah), qui en a d’ores et déjà instruit plus de 45 000 depuis début avril. Les demandes d’aide concernent majoritairement des ménages très modestes qui souhaitent le plus souvent changer des équipements de chauffage (installation de pompes à chaleur ou de chauffage au bois notamment) ou isoler leur maison, et ainsi gagner en confort tout en réduisant leurs factures d’énergie.Afin d’accompagner cette forte dynamique de demandes, et avec le souci d’accélérer dans le même temps la reprise de l’activité du secteur du bâtiment, le Gouvernement a soutenu un amendement au projet de loi de finances rectificatif, adopté le 2 juillet dernier, augmentant de 100 M€ le budget alloué à MaPrimeRénov' pour l’année 2020. Cela permettra de soutenir environ 20.000 ménages modestes et très modestes supplémentaires dans leur démarche de travaux.Évolution des forfaits concernant les travaux d’isolation par l’extérieurParallèlement, concernant spécifiquement les devis et travaux d’isolation thermique par l'extérieur, l’Anah a observé une recrudescence de pratiques commerciales agressives et frauduleuses, ainsi qu’un début de dérive inflationniste (hausse injustifiée des devis). Aussi, pour stopper ce phénomène au plus vite et protéger les ménages, des contrôles exceptionnels ont été déclenchés.Il a également été décidé de procéder dès le 15 juillet à un ajustement des forfaits d’aide MaPrimeRénov' pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur. Ces forfaits seront portés à 60€/m² (resp. 75€/m²) pour les ménages modestes (resp. pour les ménages très modestes). De plus, la surface de murs isolés éligible à l’aide sera limitée à 100m², afin d’éviter les surfacturations. Les autres forfaits de MaPrimeRenov’ restent inchangés pour préserver la dynamique de travaux.Ce nouveau barème entrera en vigueur au 15 juillet. Les dossiers déposés avant cette date ne seront par conséquent pas concernés par ce changement. Compte-tenu des ajustements nécessaires des systèmes d’information, les nouveaux dossiers de demande de prime pour l'isolation thermique par l’extérieur pourront être déposés puis instruits à compter du 1er septembre prochain sur la plateforme MaPrimeRénov' (maprimerenov.gouv.fr). Dans cet intervalle (entre le 15 juillet et le 1er septembre), à titre dérogatoire, les ménages concernés par ce type de travaux pourront débuter leurs travaux avant le dépôt formel du dossier.Enfin, afin d’améliorer dès les prochains mois les pratiques commerciales et la qualité des travaux, une concertation spécifique sera conduite sur le sujet de l’isolation thermique par l'extérieur avec les acteurs de la filière.
Il y a 4 ans et 341 jours

BAIGNOIRES ÎLOT BLACK & WHITE AROUND, TONIC II ET DEA – LE DUO CHROMATIQUE CHIC ET SOBRE POUR PLUS DE LUMINOSITE ET DE CONTRASTE

Indéniablement à la mode, la baignoire îlot est la reine des salles de bains. Désolidarisée du mur, elle se prête à toutes les mises en scène. Implantée au centre d’une grande salle d’eau ou installée dans une suite parentale, la baignoire îlot rehausse le style d’une pièce. Fidèle au credo « less is more », l’alternance chromatique du blanc et du noir apporte luminosité et contraste, pour sublimer davantage la star des salles de bains. S’inscrivant dans cette tendance, les authentiques chefs-d’œuvre aux designs sculpturaux que sont les baignoires îlot d’IDEAL STANDARD se distinguent par leur beauté éclatante qui attire irrésistiblement le regard. Les modèles AROUND, TONIC II et DEA se font bicolores et se déclinent en noir et blanc. Grâce à cette alternance chromatique, elles allient perfection sur le plan fonctionnel et design nourri du passé pour transcender l’avenir. Ces 3 créations enrichissent ATELIER COLLECTIONS d’IDEAL STANDARD. 3 modèles haut de gamme pour un espace de détente intemporel et sophistiqué ATELIER COLLECTIONS d’IDEAL STANDARD s’enrichit de propositions chromatiques dans l’air du temps pour allier au mieux matériaux, couleurs et styles. En tout lieu, le design intemporel de ces baignoires procure une impression de bien-être. Côté matériau, le choix de l’acrylique est idéal pour bénéficier de ses propriétés thermiques qui conservent la chaleur de l’eau. Pour parachever ce design d’exception, l’harmonie du noir et blanc, chic, sobre et indémodable permet de travailler les lignes épurées grâce à des accents sobres et minimalistes. Les deux couleurs se répondent, créant un contraste saisissant. En effet, la fraîcheur du blanc éclatant apaise la force du noir. Ce duo chromatique s’accorde à toutes les ambiances, qu’elles soient contemporaines, classiques, industrielles ou encore arty dans le seul but de créer un espace de détente intemporel et sophistiqué. Véritable invitation à une intense relaxation, ces 3 baignoires îlot magnifiquement profilées sont disponibles en différentes formes, dimensions et finitions : • AROUND / baignoire sabot 180×85 cm / blanc brillant, blanc mat, blanc/noir mat • TONIC II / rectangulaire 180×80 cm / blanc brillant, blanc mat, blanc/noir mat • DEA / trapézoïdale 170×75, 180×80, 190×90 cm / blanc brillant, blanc mat, blanc/noir mat Pour un quotidien simplifié … A ce design résolument intemporel, s’ajoute un plus grand confort d’utilisation avec l’aide de l’ingénieux système de vidage IDEAL FLOW et du trop-plein dissimulé. La hauteur est réduite de 7 cm sans impact sur la capacité de la baignoire. Cela signifie également, moins d’effort à fournir pour entrer et sortir de l’eau. Côté entretien, un nettoyant liquide non-abrasif et de l’eau chaude suffisent pour que les baignoires retrouvent leur éclat. https://www.idealstandard.fr/accueil.html  
Il y a 4 ans et 341 jours

Du bois Kebony complète un luxueux éco-hôtel sur la côte de Cornouailles

De l'installation d'un Centre Énergétique sur place, qui alimente l'hôtel, le spa et les différents types de chambres, au revêtement de l'ensemble de l'hôtel en bois Kebony, l'un des leaders mondiaux des bois modifiés durables, le propriétaire de cet hôtel avant-gardiste s'assure que l'engagement en faveur d'un mode de vie écologique transparaisse dans tous les aspects de ce centre de vacances côtier.Le domaine familial, situé à St Ives, un lieu de villégiature très prisé, assure également l'entretien de sa plage, de la vie marine, et des vastes environs naturels plus sauvages, avec une promenade faite uniquement de plastique recyclé provenant des océans, une véritable première mondiale. Le Centre Énergétique fournit l'énergie de l'ensemble du site, tout en exploitant la chaleur créée par la production d'électricité pour chauffer une réserve constante d'eau chaude qui circule sur le site et dans les piscines, permettant d'économiser environ 70 tonnes de carbone par an.Les architectes, The Bazeley Partnership, ont pris soin de sélectionner des matériaux de construction innovants qui contribueraient positivement à l'empreinte écologique de l'hôtel. Ça a d'ailleurs été un facteur important dans le récent succès de l'hôtel aux AA Hospitality Awards 2019, lors desquels le projet a remporté le prix de « Meilleur Éco-Hôtel ». Le bois Kebony a été choisi pour le revêtement de l'ensemble de l'hôtel, en partie en raison de sa réputation mondiale en tant que leader de la production de bois durable, mais également pour son esthétique unique qui voit le bois se patiner délicatement et se fondre dans la beauté unique des environs.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire Kebony est un procédé respectueux de l'environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l'alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Ce processus n'améliore pas seulement significativement les propriétés physiques du bois, mais contribue également à l'apparence unique de celui-ci grâce à sa patine gris argent qui se développe au fil du temps.Le propriétaire du Carbis Bay Hotel, Stephen Baker, a commenté : « Nous sommes extrêmement fiers de cet hôtel et de son interaction avec le paysage environnant, qui a toujours été au centre de notre vision pour Carbis Bay. Nos installations écologiques sont de première qualité, et l'utilisation de matériaux durables tels que le bois Kebony témoignent de notre dévouement et de notre engagement envers l'environnement, maintenant et pour les années à venir. »Le Directeur International des Ventes Kebony, Adrian Pye, a ajouté : « L'hôtel Carbis Bay est un projet vraiment spécial, pionnier dans le domaine des hôtels de luxe au Royaume-Uni. Nous sommes incroyablement fiers d'avoir contribué à la construction de cet hôtel, qui établit un nouveau précédent pour les développements commerciaux respectueux de l'environnement. »* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 342 jours

Pourquoi entreprendre des travaux de ravalement de façade?

Le style de votre maison repose sur l’aspect de sa façade. C’est la raison pour laquelle il est primordial de la soigner. La façade occupe aussi un rôle essentiel sur le plan énergétique. Multiples sont les bonnes raisons d’entreprendre des travaux de ravalement de façade. D’ailleurs, ils apportent de nombreux avantages tant à la maison qu’à son propriétaire. Cet article vous informe à ce sujet. Rehausser la valeur de votre bien immobilier La réfection de la façade apportera une plus-value à votre bien immobilier, surtout si vous souhaitez vendre votre maison. Une habitation avec des murs tout neufs attire les acquéreurs. Il s’agit donc d’un investissement très profitable. Seulement, tâchez de bien choisir les matériaux pour décorer votre façade. Préférez ceux qui sont capables de faire face aux intempéries. Optimiser la performance énergétique Une fois endommagés, les murs provoquent d’énormes pertes d’énergie. Les travaux de ravalement de façade qui consistent à rétablir l’état de vos murs contribuent donc à la limitation de ces déperditions de chaleur. D’ailleurs, durant la réfection de la façade, vous pouvez demander à votre ravaleur de mettre en place un isolant pour optimiser la performance énergétique de votre maison. Ainsi, vos factures baisseront, car une bonne isolation réduit l’utilisation des chauffages. Éviter les dépenses supplémentaires Le ravalement de votre façade permet d’éviter les dépenses supplémentaires qui peuvent être onéreuses. Faisant partie des actions d’entretien, il contribue à la maximisation de la longévité de la structure. Il préserve également les murs des différents dommages, à condition d’être bien fait. Ainsi, il est important de faire appel aux services d’un ravaleur professionnel. Il saura matérialiser tous vos désirs. Lorsque vous refaites votre façade extérieure, choisissez des matériaux compacts, capables de résister aux variations climatiques. Baisser le taux d’humidité de votre habitation La façade rencontre souvent des problèmes d’humidité. Ceux-ci sont causés par la présence de l’eau dans le sol. Or, l’humidité provoque la dégradation des murs, son ramollissement, et l’apparition de mousses. Si elle n’est pas traitée à temps, votre mur risque de s’effondrer. Cependant, il est crucial de la détecter à temps afin d’intervenir au plus vite. Le recours à un ravaleur s’avère alors incontournable. Il vous proposera la solution adaptée pour remettre votre façade en bon état. D’ailleurs, les murs concernés par l’humidité doivent faire l’objet d’un traitement particulier. Embellir l’extérieur de la  maison Le ravalement de façade permet d’obtenir des murs extérieurs élégants. Afin d’y parvenir, il est vivement conseillé de changer les fenêtres et de peindre les portes. Vous pouvez également installer un revêtement qui donne illusion à des pierres naturelles en vous servant du stonepanel ou d’autres matières innovantes. Refaire la façade est un excellent moyen pour remettre à neuf l’état de vos mus extérieurs. En plus d’améliorer leur performance, le ravalement de façade contribue à l’amélioration de l’apparence de votre extérieur. Étant la partie la plus visible de votre bâtiment, la façade mérite d’être soignée. La personnalisation est envisageable. Pour ce faire, vous pouvez accéder à un large choix de matériaux, une palette de couleurs ainsi qu’une panoplie de formes. Toutefois, renseignez-vous sur les règles d’urbanisme de votre région afin de connaître les restrictions. L’idéal serait de demander directement auprès de votre ravaleur. Une façade originale permet de mettre votre maison en avant parmi les plusieurs autres bâtiments de votre quartier. Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur les travaux de ravalement de façade, veuillez-vous rendre sur ce blog https://www.blog-ravalement-peinture.fr/.
Il y a 4 ans et 342 jours

La startup MeilleureCopro et Cerqual Qualitel Certification lancent la 1ère calculette de charges de copropriété pour les logements neufs

Cet outil unique, pensé en étroite collaboration avec des promoteurs et plus d'une trentaine de prestataires de services (courtiers en assurance d'immeubles, fournisseurs d'énergie, ascensoristes, sociétés de nettoyage et d'entretien des espaces verts, etc.), est désormais accessible pour les promoteurs dans le cadre de la certification NF Habitat, pour les opérations situées en Ile-de-France, dans un premier temps.Une action concrète pour informer les promoteurs et leurs clients sur le coût de fonctionnement de la future résidence"Jusqu'à présent, les promoteurs n'avaient pas de moyen de connaître les charges futures, sauf à demander à un syndic partenaire qu'il réalise ce type d'estimation sur la base d'abaques ou de l'analyse de résidences similaires de proximité. L'estimation ainsi construite est extrêmement variable d'un programme à l'autre, en fonction des hypothèses prises par les syndics sur la qualité des prestations de service et sur les postes à y intégrer", explique Edouard-Jean Clouet, Président et cofondateur de MEILLEURECOPRO. De nombreux acquéreurs de logements neufs se sont trouvés en difficulté pour pouvoir faire face aux échéances de charges, car les estimations de charges ne prennent pas toujours en considération les spécificités de l'opération, telles que le tarif de l'eau de la ville, le coût du chauffage urbain de référence, des contrats de maintenance obligatoires comme celui de la toiture, etc.La calculette développée par les équipes de CERQUAL et de MEILLEURECOPRO pour la certification NF HABITAT apporte les innovations suivantes :des coûts basés sur des tarifs réels de prestataires : L'outil consulte la base des milliers de tarifs de prestataires négociés par MEILLEURECOPRO dans le cadre de son activité de courtier de services aux copropriétés.une constance dans les estimations de charges, d'un programme à l'autre : Les algorithmes de calcul sont adaptés à tout type d'opération, de petite comme de grande taille.un budget complet, reposant sur des niveaux de services très qualitatifs : L'évaluation prend en considération tous les postes constitutifs du futur budget de copropriété - eau, énergie, honoraires syndic, frais d'entretien et de maintenance, etc.-, et considère des prestations à même de répondre à l'exigence des futurs occupants : nettoyage pluri hebdomadaire des parties communes, compteurs en télérelève, dépannage des équipements 6 à 7J/7, assurance de charges impayées, protection des parties communes à la livraison, etc.Cet outil permet ainsi de conforter les promoteurs dans leur compréhension des charges à venir, et de rassurer les acquéreurs et leurs banques sur les charges futures auxquelles ils devront faire face.Selon Antoine Desbarrières, Président de CERQUAL Qualitel Certification, "cette calculette, qui répond à une demande de nos clients promoteurs et de leurs acquéreurs, nous permet d'objectiver le respect des exigences de la certification NF Habitat sur la maîtrise des charges de copropriétés neuves. C'est un préalable efficace pour sensibiliser le futur copropriétaire sur le sujet."Un outil reposant sur l'harmonisation des process de « pricing » des prestataires "Afin de créer un outil résolument innovant par son automatisation et par la fiabilité de ses estimations, nous avons très vite pris la voie de générer des chiffres reposant sur des tarifs réels de prestataires", précise Edouard-Jean Clouet."Pour se faire, nous avons conduit plusieurs dizaines d'ateliers de travail avec des prestataires pour comprendre leur façon de coter une prestation de service. Cet exercice, relativement simple sur des prestations d'assurance ou de fourniture d'énergie, s'avère nettement plus subtil dès que les prestations touchent l'intervention d'équipes sur la résidence. Chaque prestataire ayant une manière de coter différente, il a fallu définir avec eux le plus grand dénominateur commun pour écrire nos algorithmes, puis affiner l'exercice en introduisant des spécificités liées aux opérations ou aux prestataires" détaille François Massot, Directeur innovation et cofondateur chez MEILLEURECOPRO.Comment la calculatrice de charges de copropriété fonctionne-t-elle ? Dans les faits, le promoteur immobilier a la possibilité de se connecter via le portail client de CERQUAL Qualitel Certification à QUALICHARGES qui est une plateforme dédiée développée par MEILLEURECOPRO. Il suffit ensuite de renseigner des données d'opérations relatives au programme neuf, en se référant au permis de construire et à l'étude thermique.Dès le questionnaire complété, les données sont traitées par un algorithme qui interroge parallèlement les tarifs des prestataires et d'organismes institutionnels à disposition.Le budget généré est restitué au promoteur sous la forme d'une fiche programme, précisant le montant de charge au m²/an, ainsi que le détail des dépenses par poste de charges. Ce budget repose à ce stade sur une hypothèse de niveaux de services élevés. Ce niveau sera naturellement affiné et optimisé par les copropriétaires lors de leur première assemblée générale en fonction du choix qu'ils feront sur leurs prestataires de services.
Il y a 4 ans et 342 jours

Un nouveau guide pour la démarche HQE Aménagement

Ouvrage de référence, édité en 2010 par l'Alliance HQE-GBC, pour aider à la gestion des projets d'aménagements durables, le guide de la démarche HQE Aménagement fait peau neuve. Si les fondamentaux du management de projet demeurent, cette nouvelle version prend en compte à la fois les quatre engagements du Bâtiment Durable pour tous (qualité de vie, respect de l'environnement, performance économique, management responsable) et les nouveaux enjeux auxquels souhaitent répondre les aménageurs : économie circulaire, agriculture urbaine, résilience, numérique...Asseoir les fondamentauxFruit d'une nouvelle collaboration entre les différents partenaires[1] à l'origine du premier guide HQE Aménagement, l'édition réactualisée réaffirme les fondamentaux sur lesquels s'appuie la démarche : une approche structurante et opérationnelle reposant sur des exigences de qualité dont le couple "aménageur + collectivité" est au cœur.Méthode générique pouvant s'adapter à tous types d'opérations d'aménagement et être portée par tous types d'acteurs, publics ou privés, la démarche HQE Aménagement est "une démarche de gestion de projets" et en aucun cas un cadre rigide.Elle propose un langage commun, une structure de conduite d'opérations et une évaluation permanente, de la phase de lancement à celle du bilan. L'enjeu étant de parvenir à concilier tous les impératifs du développement durable.Elle est composée de deux éléments indissociables :Un système de management de l'opération (SMO) qui prévoit notamment l'organisation du pilotage, de la participation et de l'évaluation tout au long du projet ;Une approche thématique pour analyser le site et définir les objectifs du projet d'aménagement durable.Philippe VAN DE MAELE, Président de l'Alliance HQE-GBC souligne : « Dans le secteur de la construction et de l'aménagement, la performance n'est pas un hasard et les solutions sont multiples. C'est pourquoi, le management de projet est clé ! La démarche HQE Aménagement répond à cet objectif. Il s'agit d'un outil pratique qui aide les collectivités et aménageurs à définir des projets d'aménagement durable. Le management de projet permet une réelle approche contextuelle quels que soient l'opération, son périmètre, sa taille ou sa procédure, favorisant ainsi la prise en compte de ses spécificités pour un développement durable. »Intégrer les nouveaux enjeuxCette nouvelle édition du guide, paru en 2010, met en avant l'évolution du cadre thématique de la démarche HQE Aménagement pour l'harmoniser avec celui du bâtiment durable pour tous, conçu en 2015.Afin de dessiner un projet cohérent dans sa globalité, cette nouvelle approche multicritères se structure autour de 4 grands engagements (qualité de vie, respect de l'environnement, performance économique et management responsable), porteurs de 19 nouvelles thématiques. Elles permettent notamment de prendre en compte les préoccupations croissantes des aménageurs telles l'économie circulaire, la résilience, l'agriculture urbaine ou le numérique.Cette adaptation vise à aider les acteurs à coordonner et mutualiser leurs interventions aux différentes échelles d'action, du bâtiment au territoire en passant par les infrastructures et l'aménagement opérationnel. Une synergie nécessaire pour favoriser les transitions, écologique, sociétale et numérique du cadre de vie du bâti.La version renouvelée du guide HQE Aménagement et de son approche thématique a été coordonnée avec l'évolution et l'harmonisation des certifications HQE Aménagement™ et HQE Infrastructures™ portées par Certivéa pour mieux répondre aux enjeux des territoires durables.Miser sur la complémentarité des outilsQuelles soient de management, d'aide à la décision et à la conception ou de labellisation, différentes démarches d'aménagements durables co-existent aujourd'hui sur le marché. Chacune avec ses spécificités accompagne les maîtres d'ouvrage et leurs opérateurs dans la réalisation de quartiers durables.Agissant dans l'intérêt général, l'Alliance HQE-GBC profite de la nouvelle édition de son guide pour rappeler les complémentarités, sur un même projet et pour différentes finalités, des 3 outils à associer pour une ville durable : le label EcoQuartier du Ministère de la Cohésion des territoires, l'Approche environnementale de l'urbanisme de l'ADEME (AEU2) et la certification HQE Aménagement délivrée par Certivéa.Un nouveau guide didactique pour une meilleure transmission de l'informationAu fil des 48 pages du guide, l'Alliance HQE-GBC s'est attachée à produire un nouvel outil clair, synthétique, graphique et didactique.Au chapitre du SMO –Système de Management de l'Opération- et pour chacune des 6 phases d'un projet, le guide propose des conseils, une liste de livrables et des outils accompagnant les préconisations sur le déroulement, le pilotage, la participation et l'évaluation.Dans la seconde partie, dédiée à l'approche thématique de la démarche HQE Aménagement, le guide illustre par des exemples concrets les actions d'aménagements durables possibles.Philippe VAN DE MAELE, Président de l'Alliance HQE-GBC précise : « Au-delà de la publication de son cadre de référence pour l'aménagement opérationnel, l'Alliance HQE-GBC poursuit ses travaux et réflexions sur l'évaluation pour accompagner les acteurs dans le nécessaire passage, des logiques de moyens à celles des résultats en adéquation avec les attentes mais aussi les réalités du terrain. C'est notamment le cas avec les premières expériences de Test HQE Performance quartier et d'autres initiatives partenariales dans lesquelles elle souhaite s'inscrire. »Télécharger le guide : cliquez ici[1]Le guide HQE Aménagement est le fruit d'une collaboration multi-acteurs associant des représentant de l'ADEME, du CINOV, du CSTB, de la Fédération des EPL, de l'OGE, de l'UNAM, de l'UNSFA et de l'USH.
Il y a 4 ans et 343 jours

Covid-19 : SFCB écrit au nouveau gouvernement pour sauver la filière bois-énergie

Un appel constructif, nourri d’idées concrètes, permettant rapidement de favoriser les énergies renouvelables auprès des ménages sur le dernier semestre 2020. Un élan économique qui, selon le syndicat, s’avère aussi être une réponse évidente et concrète pour faire face à la crise écologique.Avant-crise, une croissance très encourageanteFévrier 2020. Ce marché se porte bien ! Il est alors en phase avec les objectifs de la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE) qui ambitionnait de passer de 6 à 9 millions d’usagers du bois-énergie d’ici à 2028.18.650 chaudières bois ont été vendues en France en 2019. Un chiffre qui porte à +54% la croissance globale avec +106% pour les chaudières à granulé à 14 190 unités. (Source Observ’ER) Le 1er trimestre 2020 promettait une bonne année avec déjà une estimation de +53% par rapport au 1er trimestre 2019.Un doute subsiste tout de même : y aura-t-il assez d’installateurs qualifiés RGE pour suivre le rythme de la demande ?« En 2019 et début 2020, nous avions les ingrédients a priori principaux pour poursuivre le développement du bois énergie : des commandes, des installateurs mobilisés et des aides publiques importantes. Pour autant, la balance restait déséquilibrée avec, malgré nos alertes, des installateurs certifiés Qualibois encore en sous-effectif.Cette qualification est essentielle pour installer les chaudières à bois : elle assure aux installateurs l’accès à ce marché en développement, et permet aux ménages de bénéficier des aides et d’une installation de qualité.Ce constat nous alarmait déjà en 2019 et c’est encore le cas aujourd’hui ! »- Thomas Perrissin, Vice-Président du SFCBAprès COVID-19 : quel impact sur la filière bois énergie ?« Comme partout en France, nous sommes inquiets ! » confie Eric Trendel, président du SFCB. « L’activité de toute la filière a été fortement réduite après le 16 mars, mais nous devons repartir de plus belle pour parvenir à concurrencer les énergies fossiles redevenues un concurrent sérieux au vu de leurs prix actuels. Il s’agit d’une prise de conscience collective à avoir sur nos modes de consommation, puisque nous pouvons affirmer que nous sommes une réponse écologique à la crise ».Pendant le confinement, les artisans ont dû se mettre en pause. Et ce malgré un carnet de commandes chargé au 16 mars.« Les commandes seront rapidement honorées dès la reprise, mais le très faible niveau de relation client durant 2 mois entiers va se faire sentir. De plus, nous pouvons craindre une baisse de pouvoir d’achat, ou pour le moins des craintes de la part des ménages, notamment les plus modestes, faisant mécaniquement baisser leurs investissements », s’inquiète Eric Trendel.Un impact évident à prévoir pour la fin d’année 2020 et le début 2021, que le SFCB entend pallier en demandant des mesures concrète au gouvernement.Consommer local et écologique, une fenêtre d’espoirAlors que l’économie nationale subit une crise inédite, la solution de soutien à la filière bois-énergie apparait comme une solution véritablement écologique de relance de l’économie du bâtiment. Une solution qui plus est attendue par les français, presque unanimement soucieux d’un monde « d’après » plus vertueux.Peu de sondages l’affirment aujourd’hui par simple manque de recul, mais l’institut Yougov parvient malgré tout à afficher déjà des chiffres encourageants :77%* de la population considèrent que cette crise sanitaire est l'occasion de mener une politique ambitieuse de transition écologique.A titre personnel, 68% des Français souhaitent adopter un comportement plus éco-responsable suite à cette épidémie.*Yougov.fr 2020Pourquoi le bois ?Un prix très compétitif : la facture de chauffage au bois est 2 fois inférieure à la moyenne.Une solution performante et non polluante : seules les cheminées à foyer ouvert et les anciens appareils sont responsables des 82% d’émissions de particules fines polluant nos agglomérations en hiver. Les chaudières biomasses sont conçues pour être aussi performantes qu’écologiques.Une ressource durable et renouvelable : Le bois est la 1ère énergie renouvelable de France avec 43% de la production totale et la France est le 2ème producteur européen d’énergie bois (source SDES). Pourtant seulement 50% de l’accroissement annuel de la forêt est exploité en France tous usages confondus. L’ADEME a montré qu’une sylviculture dynamique permet d’atteindre les objectifs bois énergie de la PPE en préservant nos forêts.Économique, disponible, local, durable, performant… Le bois est donc une solution indispensable pour entamer une véritable transition énergétique.Des propositions concrètes pour le gouvernementDans ce contexte de crise, nous souhaitons alerter l’Etat et proposer différentes idées, solutions et mesures fortes, immédiatement applicables.Surtout, ces mesures permettent de relancer l’économie de toute notre filière, sans le faire au détriment de l’essentiel aujourd’hui, l’avenir de notre environnement, avec un engagement fort pris en direction d’une vraie transition énergétique et d’une consommation plus vertueuse, durable et locale.Réintégrer immédiatement les 9èmes et 10èmes déciles dans les Crédits d’impôt à la transition énergétique (CITE) en 2020 et 2021, afin d’élargir la proportion des ménages ayant droit aux aides. Pourquoi ? Ces ménages les plus aisées tirent le marché, ils représentent environ 40% des investissements dans les énergies renouvelables et l’isolation ; ils sont donc indispensables à la reprise. Pourquoi cette distinction de revenus pour les appareils de chauffage alors que, pour l’achat d’un véhicule électrique, tout citoyen français quelques soient ses ressources, bénéficie d’un bonus écologique d’au moins 3000 € auquel peut s’ajouter une prime à la conversation d’au moins 2500 € ?Maintenir et simplifier les aides en place : le CITE pour les ménages intermédiaires, les Certificats d’économie d’énergie (CEE) et le coup de pouce, l’éco PTZ, Ma Prime Renov pour les foyers modestes et très modestes.Passer la TVA à 5,5% sur le combustible pour marquer la volonté de favoriser une énergie vertueuse.Reprendre une valorisation du carbone plus juste et efficace.Pourquoi cette valorisation du carbone n’est-elle pas efficace aujourd’hui ?Cette valorisation est une taxe environnementale sur le principe du pollueur-payeur pour limiter la production de gaz à effet de serre des énergies fossiles comme le gaz, le pétrole et leurs dérivés.Véritable instrument d’une politique énergétique et environnementale vertueuse, la valorisation du carbone devait atteindre 100€/tCO2 en 2023 ; un niveau déjà dépassé en Suède qui a ainsi éliminé les énergies fossiles dans le chauffage. La crise sociale a mis fin à cette trajectoire par un arrêt à 44,60€/tCO2. Si nous pouvons nous féliciter de l’existence de cette valorisation carbone, nous sommes encore bien loin des ambitions nous permettant de réduire massivement nos émissions de gaz à effet de serre. Bien loin des ambitions nous permettant d’envisager l’efficience énergétique pour un avenir plus respirable et plus vert d’ici à 2030…Il est donc capital de réclamer la reprise de la trajectoire initiale mais cette fois avec pédagogie, clarté sur son usage et surtout, compensation significative pour les plus faibles.
Il y a 4 ans et 343 jours

Castex promet de mettre toute son énergie pour faire avancer la LGV Montpellier-Perpignan

"Je mettrai toute mon énergie à le faire avancer à une vitesse supérieure à celle qui est la sienne jusqu'à présent", a déclaré sur BFMTV le Premier ministre, réélu avant sa nomination à la mairie de Prades, dans les PO."Un signal important du redémarrage vient d'être donné", s'est félicitée la présidente socialiste de la région Occitanie, Carole Delga."Après trois années perdues, malgré les engagements pris par Emmanuel Macron lorsqu'il était candidat, je considère que la parole de Jean Castex est le signal attendu par nos territoires en Occitanie", a-t-elle souligné dans un communiqué, rappelant s'être "engagée à ne rien lâcher sur ce dossier, comme sur celui de la LGV Bordeaux-Toulouse"."Je ne doute pas que l'engagement de Jean Castex sera le même pour la liaison toulousaine", a-t-elle affirmé, appelant à ce que les chantiers soient "'enfin" lancés. "C'est urgent pour le désenclavement de Toulouse et Perpignan, ainsi que pour redonner une dynamique à l'emploi dans notre région", a-t-elle insisté.Des élus de la région Languedoc-Roussillon militent avec ardeur depuis plusieurs années pour que la réalisation d'une ligne à grande vitesse (LGV) entre Montpellier et Perpignan ne soit pas abandonnée, tandis que Mme Delga se bat notamment auprès du maire LR de Toulouse, Jean-Luc Moudenc pour une LGV Bordeaux-Toulouse.Montpellier et Perpignan se trouvent notamment sur la ligne Paris-Barcelone, qui bénéficie d'une offre commune depuis six ans entre les compagnies française SNCF et espagnole Renfe.Le maire RN de Perpignan Louis Aliot avait demandé quelques minutes avant l'interview de M. Castex un engagement du Premier ministre sur le TGV à Perpignan."Ce que j'attends de lui, en tant que maire de Perpignan, c'est qu'il s'engage sur le désenclavement de notre ville, le TGV" sur "le tronçon Montpellier-Perpignan", avait-il dit sur la même chaîne.
Il y a 4 ans et 343 jours

Comment les organisations professionnelles de la filière bois ont-elles géré la crise sanitaire ?

Batijournal TV vous invite à découvrir une série d’interviews de 3 minutes : « Les entretiens Batijournal » présentées par Stéphane Miget avec le soutien de France Bois Forêt. Série d’interviews dans laquelle les représentants des organisations professionnelles membres de FBF expliquent comment leurs secteurs ont géré la crise sanitaire de la COVID 19 et les enseignements qu’ils en ont tiré. Série 1 : Comment les organisations professionnelles de la filière ont-elles géré la crise sanitaire ? Interview de Michel Druilhe, Président de France Bois Forêt « Les organisations professionnelles sont toujours plus proches des adhérents, à leur écoute et prêtes à mettre en place de mesures indispensables, notamment le décalage du paiement de la CVO à fin juillet 2020 afin de tenir compte des difficultés de trésorerie des entreprises. » Interview de Mathieu Fleury, Président du Comité Interprofessionnel du Bois-Énergie « L’ensemble des acteurs se sont bien organisés pour assurer la continuité de la livraison d’énergie aux différents utilisateurs, ce qui a nécessité des ajustements. Il y a eu une grande écoute, nous avons eu une réunion avec le ministère pour faire le point. » Interview de Gilles Bauchery, Président du Syndicat National des Pépiniéristes Forestiers « Nous avons décidé de continuer notre activité le mieux possible. Nos principaux problèmes pendant la crise concernaient les livraisons et les reports de chantiers. » Interview de Jean-Louis Camici : Président Le Commerce du Bois « Après un coup d’arrêt de nos activités, elles ont repris à partir d’avril et en mai au rythme de la reprise de nos clients. On a réussi à avoir un mode de fonctionnement efficace, tout en respectant la santé de nos salariés. Réouverture progressive selon les adhérents. » Interview de Richard Hébras, Président GIE – Semences forestières améliorées « Il était très important de maintenir nos activités pour ne pas « louper » le printemps. Notre devoir est d’assurer l’approvisionnement de la filière. Pour les inductions florales, on a pu faire preuve de souplesse et d’adaptation. » Interview Anne-Laure Soleilhavoup (CNPF Auvergne-Rhône-Alpes) « Le CNPF s’est organisé très rapidement pour protéger ses partenaires de travail, tout en maintenant ses activités. » Interview de Frédéric Naudet (UNEP) « Le métier de reboiseur est extrêmement saisonnier, donc il y avait une urgence à trouver des solutions rapidement. La deuxième quinzaine de mars, nous avons mis en place les mesures sanitaires, diminué le nombre de personnes par véhicule et fourni masques et gel aux personnels de terrain. » Interview de Thierry Touzet (IGN) « L’activité a totalement été stoppée pendant 8 semaines. Le travail de terrain a repris doucement à partir du 11 mai en fournissant des kits sanitaires personnels et en organisant les déplacements avec un agent par véhicule. Il y a eu plusieurs phases d’assouplissement et l’activité est désormais quasi-normale, tout en appliquant les mesures barrières. Par exemple, tout le matériel a été doublé pour les équipes en binômes. » Interview Christophe MATHIEU (FCBA) « Il a fallu prendre toutes les mesures nécessaires dès le 18 mars au soir. Le télétravail a été favorisé et le chômage partiel a aussi été instauré. Nous étions scrupuleux par rapport à la sécurité sanitaire, ce qui a permis de rouvrir les laboratoires assez vite. À ce jour, aucun cas de COVID-19 n’a été recensé parmi les collaborateurs. » Série 2 : Quels enseignements les organisations professionnelles de la filière ont-elles tirés de la crise sanitaire ? Interview de Michel Druilhe, Président de France Bois Forêt « Nous devons continuer à travailler pour préparer l’avenir. Le bois reste un atout pour la France, surtout en cette période. » Interview de Gilles Bauchery, Président du Syndicat National des Pépiniéristes Forestiers « Pendant la crise, on a surtout travaillé sur le transport du personnel. Nous allons également travailler sur un socle de personnel saisonnier. » Interview de Mathieu Fleury, Président du Comité Interprofessionnel du Bois-Énergie « La filière est bien organisée pour s’adapter à la crise. Nous avons fait des ajustements pour pouvoir travailler dans des conditions sanitaires correctes. » Interview de Richard Hébras, Président GIE – Semences forestières améliorées « Le principal, c’est de préserver la santé de tous nos travailleurs. On va sûrement maintenir l’usage des hangars comme réfectoires. » Interview de Jean-Louis Camici : Président Le Commerce du Bois « Nous allons réfléchir sur comment rendre nos industries beaucoup moins dépendantes de phénomènes extérieurs. Par ailleurs, l’état providence a pleinement joué son rôle, notamment avec le chômage partiel et les prêts octroyés aux entreprises. Cette crise montre que le matériau bois aura toute sa place dans cette nouvelle société où la protection de notre milieu est de plus en plus importante. » Interview d’Anne-Laure SOLEILHAVOUP (CNPF Auvergne-Rhône-Alpes) «Cette crise sanitaire confirme la capacité d’adaptation de nos équipes et de nos outils informatiques. Nous devons maintenir nos investissements pour rendre les outils informatiques accessibles sur le terrain et pour développer les formations en webinaire.» Interview de Frédéric NAUDET (UNEP) «Il a fallu trouver des solutions à des problèmes aussi simples que les déplacements, le logement ou la restauration des équipes.» Interview de Thierry Touzet (IGN) «L’arrêt complet de nos activités nous oblige à revoir nos dispositifs organisationnels et statistiques pour qu’ils soient plus agiles. Nous allons aussi voir comment mieux gérer les renforts, en améliorant la formation et les moyens de recrutement.» Interview de Christophe Mathieu (FCBA) « Nos enseignements reposent sur l’agilité des collaborateurs et la solidarité entre eux. Nous espérons que la relance de l’économie passera par la relocalisation en France de l’activité industrielle, y compris pour la filière forestière. Il faut que le citoyen comprenne que le bois est un atout dans une société décarbonée. Nous avons bien vu ses avantages pour les emballages et palettes. »
Il y a 4 ans et 346 jours

La Cour des comptes vigilante sur d'éventuels nouveaux EPR

La Cour a publié un rapport critique sur la filière EPR, qui fait notamment le constat des "dérives de coûts et de délais considérables" sur le chantier du réacteur de Flamanville (Manche), dont la mise en service n'interviendra que "mi-2023" au plus tôt.EDF table pour sa part sur un chargement du combustible nucléaire fin 2022, un calendrier qui avait été confirmé en mai par son PDG Jean-Bernard Lévy, malgré le ralentissement occasionné par le confinement à la suite de la pandémie de covid-19."Il faut selon EDF une période de tests et de montée en puissance de six à huit mois après chargement du combustible pour que le réacteur puisse être mis en service commercial", a souligné le premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, lors d'une conférence de presse.Au final, les coûts auront multipliés par 3,3 (à 12,4 milliards d'euros selon EDF) et les délais par au moins 3,5. Les magistrats estiment que s'ajouteraient pour 6,7 milliards de "coûts complémentaires" en plus de la construction à proprement parler, dont une bonne part de frais financiers.A l'étranger, les auteurs du rapport pointent du doigt des projets "peu rentables" même lorsqu'ils ont été menés à bien, comme les deux réacteurs chinois de Taishan qui fonctionnent et restent à ce jour les seuls EPR en fonctionnement dans le monde.Le chantier d'Olkiluoto 3 en Finlande, lancé dès 2005 par Areva, n'est pour sa part toujours pas achevé et a connu de nouveaux problèmes récemment. Quant aux deux réacteurs en construction à Hinkley Point au Royaume-Uni, leur financement "pèse considérablement" sur la situation financière d'EDF, déjà lourdement endetté, juge le rapport."Horizon 2050""Le retour d'expérience des chantiers menés et la planification du mix (bouquet, NDLR) énergétique à horizon 2050 sont nécessaires avant de décider de construire ou non de nouveaux réacteurs électronucléaires", a estimé Pierre Moscovici en évoquant l'avenir.En raison des retards de Flamanville, le gouvernement a déjà prévenu que la décision de construire ou non de nouveaux réacteurs en France serait renvoyée au prochain quinquennat.Avant cette décision, les magistrats suggèrent "un exercice de retour d'expérience complet sur tous les EPR construits ou en construction en France et à l'étranger".Ils demandent aussi "une analyse complète du mix électrique à l'horizon 2050" préalable à toute décision. La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), qui sert de feuille de route au gouvernement, a aujourd'hui pour horizon 2028 seulement.Or, la décision de construire ou non de nouveaux réacteurs engagera la France "jusqu'au XXIIe siècle", souligne la Cour des comptes. Les enjeux financiers sont énormes: construire trois paires de réacteurs EPR2 (la version améliorée sur laquelle travaille EDF) coûterait 46 milliards d'euros. C'est sur ce scénario de six nouveaux réacteurs que l'électricien travaille actuellement à la demande du gouvernement.Pour pouvoir pendre une décision, la Cour prône également de "calculer la rentabilité prévisionnelle du réacteur de Flamanville 3 et de l'EPR2". Pour ce dernier, censé être moins cher, les estimations de coût reposent encore sur des "données partielles" et "des hypothèses à préciser", s'inquiètent les magistrats.Ils alertent également sur la question du financement, qu'EDF ne pourra plus assurer seul à l'avenir et qui nécessitera donc une forme de soutien public.Les difficultés "ne doivent pas conduire à disqualifier cette technologie", mais "il faut constater des difficultés passées considérables qui peuvent orienter les choix futurs", a conclu Pierre Moscovici.
Il y a 4 ans et 346 jours

La Fédération des Services Énergie Environnement (FEDENE) fait 11 propositions pour une relance verte

Les 11 propositions de la FEDENEUn des leviers essentiels de cette relance sera le développement de projets d'énergie et d'économie circulaire dans un double objectif :redémarrer l'économie et les emplois d'une part,décarboner nos consommations énergétiques d'autre part.Les propositions de la FEDENE permettraient de lancer dans un délai très proche des projets destinés à la politique de relance. Elles reposent sur des démarches de promotion concertées et sur des initiatives commerciales dans les domaines de la chaleur renouvelable et de récupération et celui des économies d'énergie et de la rénovation énergétique. Portées par les acteurs de la filière, et appuyées par les décideurs publics, elles visent à faire émerger plus rapidement des projets, autoportants financièrement avec un soutien public adapté et optimisé.Réseaux de chaleur et de froid : des démarches concrètes portées par le Syndicat National du Chauffage Urbain et de la climatisation urbaine (SNCU)Fiche 1 : Stimuler le développement des systèmes vertueux en facilitant les raccordements et les extensions dans le périmètre concédé à travers notamment l'adaptation des dispositifs de soutien et la généralisation du merit orderFiche 2 : Investir dans les systèmes vertueux existants pour doper les livraisons de chaleur verteFiche 3 : Accélérer la création de nouveaux réseaux dans des villes de taille moyenne (plus de 10.000 habitants) en proposant une analyse systématique des potentiels débouchant sur des plans de déploiement, une approche pro-active de promotion et un « Pack Ingénierie global ».Fiche 4 : Investir pour développer des centres urbains durables à travers les réseaux de froid, notamment par la création de boucles froides à partir de grosses installation existantes et l'élargissement du Fonds Chaleur aux projets de froid renouvelable.Fiche 5 : Capter et mutualiser les sources d'énergies perdues, notamment la chaleur industrielle, pour alimenter de façon économique des réseaux et des plateformes industriellesRénovation énergétique des bâtiments : des démarches fortes pour favoriser la massification des opérations d'économies d'énergie, et des garanties réelles portées par le Syndicat National de l'Exploitation Climatique et de la maintenance (SNEC)Fiche 6 : Lancer une démarche « Réno –Copro » pour massifier les rénovations techniques sur la base de CPE adaptés aux copropriétés à chauffage collectif.Fiche 7 : Engager une action massive de rénovation énergétique garantie par un CPE pour atteindre les objectifs du décret tertiaire, notamment en renforçant le dispositif CEE et en proposant un modèle de contrat CPE simplifié.Fiche 8 : Lancer un plan national d'économies d'énergies rentable pour les collectivités en encourageant l'utilisation du dispositif d'intracting sécurisé par un CPE.Fiche 9 : Soutenir les secteurs tertiaires touchés par la crise sanitaire : Plan d'aide à la rénovation énergétique dans les secteurs marqués par la crise (santé, hôtellerie/restauration).Fiche 10 : Engager la décarbonation de l'industrie en encourageant la réduction des consommations énergétiques et l'utilisation de chaleur renouvelable et de récupération à travers notamment l'ouverture des sites soumis à EU-ETS de moins de 50 MWth aux opérations standards CEE et la création d'un Fonds de garantie.Facility Management : une démarche orientée service-client portée par le Syndicat Professionnel des Entreprises de Multiservice Immobilier et de facilities management (SYPEMI) :Fiche 11 : Promouvoir des services intégrés et orientés vers la performance pour contribuer à l'efficacité et la compétitivité des fonctions support pour le secteur public comme pour le secteur privé, à travers notamment la mise en place d'un Observatoire du Facilities Management.
Il y a 4 ans et 346 jours

Future Living Berlin, un vrai petit bout de Smart City

Visite de l’appartement Smart à la Smart City, dans une expérience grandeur nature à Berlin, avec production et autoconsommation d’énergie à l’échelle du quartier.
Il y a 4 ans et 346 jours

Notre-Dame de Paris sera finalement reconstruite à l'identique

Il a "acquis la conviction" qu'il faut restaurer la cathédrale à l'identique, a indiqué l'Élysée jeudi soir, après une réunion de la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), réunissant élus, experts et architectes du chantier."Le président a fait confiance aux experts et préapprouvé dans les grandes lignes le projet présenté par l'architecte en chef (Philippe Villeneuve), qui prévoit de reconstruire la flèche à l'identique", a précisé l'Élysée.Ce projet propose globalement une restauration de la cathédrale et de sa flèche de la façon la plus proche de son état juste avant l'incendie survenu dans la soirée du 15 avril 2019."Je suis heureux que les Français, les pèlerins et les visiteurs du monde entier puissent retrouver la cathédrale qu'ils aiment", a réagi jeudi soir le général Georgelin, nommé pour superviser le chantier, dans un communiqué."Aujourd'hui, une étape importante a été franchie, a-t-il fait valoir. Toutes les conditions sont à présent réunies pour nous permettre d'avancer avec confiance et détermination pour préparer activement les opérations de restauration".A la surprise générale, le chef de l'État avait évoqué, peu après l'incendie, la possibilité d'"un geste architectural contemporain" pour rebâtir la cathédrale, stimulant l'imagination de nombreux grands architectes. Certains avaient proposé une flèche en verre, la création sur le toit d'un parc-jardin bio ou une terrasse panoramique...Passe d'armesL'architecte Philippe Villeneuve a lui toujours plaidé la fidélité à l'ouvrage retouché dans le style gothique par Viollet-le-Duc au XIXe siècle, dont sont conservés tous les plans. Et d'arguer qu'une telle option permet de mieux tenir les délais d'une reconstruction en cinq ans, comme voulu par le président Macron.Un avis tranché qui a donné lieu à une passe d'armes insolite fin 2019 avec le général Georgelin: ce dernier avait demandé à l'architecte en chef de "fermer sa gueule", après sa prise de position contre une flèche contemporaine.Jeudi, M. Villeneuve a présenté un dossier 3.000 pages pour passer en revue les modalités qu'il préconise pour restaurer la charpente, le toit et la flèche de la cathédrale, sujets des plus épineux ayant provoqué une querelle entre anciens et modernes.Au terme de cette réunion qui a duré quatre heures, la CNPA a "approuvé à l'unanimité le parti de restauration proposé consistant à rétablir l'architecture de Viollet-le-Duc, en ce qui concerne la couverture et la flèche dans le respect des matériaux d'origine", a affirmé à l'AFP Jean-Pierre Leleux, sénateur à la tête de cette commission.Concernant la charpente, sur lequel il y a eu débat, une étude à venir précisera exactement les contours de sa reconstruction qui sera en bois.Avant de parvenir à cette décision, tous les scénarios ont été envisagés, affirme-t-il, y compris de laisser la cathédrale dans son état actuel.Structure éphémère"Le souci pour le président était de ne pas retarder le chantier ni de complexifier le dossier. Il fallait vite clarifier les choses", a expliqué de son côté l'Élysée."S'il avait fallu faire une flèche contemporaine, il fallait un concours spécifique, d'où un potentiel retard du chantier. Les consultations avec de grands architectes conduisaient à dire que ce pari de la flèche contemporaine était très compliqué et qu'un geste contemporain pouvait s'imaginer autrement", a fait valoir la présidence.L'Élysée souhaite ainsi un travail avec la Ville de Paris pour le réaménagement des abords du monument. "S'il y a un geste contemporain, il peut être là", selon la présidence, qui rappelle aussi le projet d'une structure éphémère, une "maison du chantier" qui pourrait être installée dans la cour de l'Hôtel-Dieu, près de la cathédrale.Repoussé en raison du confinement, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, sera achevé "au plus tard fin septembre", a assuré il y a une semaine le général Georgelin. Ce démontage conditionne la possibilité de démarrer la restauration proprement dite de Notre-Dame.Le président prévoit toujours une reconstruction en cinq ans avec une réouverture en 2024.
Il y a 4 ans et 346 jours

Décret décence : le projet de texte sous le feu des critiques

RÉGLEMENTATION. Un projet de décret définissant le seuil "d'indécence énergétique", à partir duquel il ne serait plus possible de louer un logement, a fait l'objet d'une consultation du Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique. Le texte a reçu un avis favorable, mais il fait toutefois l'objet de critiques.
Il y a 4 ans et 346 jours

Appel à manifestation d'intérêt - Terrains d'expérimentations pour instrumentation de logements et accompagnement des ménages volontaires

Photo : SMHLMProgramme CEE ECCO DOM Maîtrise des charges Énergétiques, de la Climatisation et du COnfort thermique en Outre-mer Le CSTB et l'USHOM (Union sociale pour l'habitat Outre-mer) sont co-porteurs du programme ECCO DOM, qui vise la maîtrise des charges Énergétiques, de la Climatisation et du COnfort thermique en Outre-Mer (ECCO DOM), particulièrement en logement social. Ce programme a été construit en réponse à l'appel à programmes, lancé en mai 2019, par le ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), dans le cadre du dispositif des Certificats d'économies d'énergie (CEE). Le programme ECCO DOM : Comprendre et accompagner la réduction des charges énergétiques et favoriser le confort thermique, par une approche personnalisée Le programme ECCO DOM vise notamment à : contribuer à la réduction globale des charges énergétiques des ménages et maîtres d'ouvrage, en s'appuyant sur une approche personnalisée des usages ; maîtriser l'installation de climatisations en Outre-mer, particulièrement en logement social ; maîtriser les risques notamment en termes de confort thermique, aujourd'hui ainsi que dans une perspective de changement climatique ; engager des changements de comportement sur le long terme ; encourager la diffusion des bonnes pratiques, auprès des ménages comme des personnels de proximité. La maîtrise des consommations énergétiques et des impacts sur l'environnement est évidemment au cœur du projet. Cet enjeu majeur est à intégrer dans un cadre plus large en lien avec les usages, les modes d'occupation, le confort thermique et la qualité sanitaire des logements. Les acteurs concernés Plus généralement, le programme ECCO DOM vise, en premier lieu, les ménages accueillis en logement social en Outre-mer. Il s'agit de les sensibiliser, former et accompagner à la maîtrise de leurs charges énergétiques, tout en contribuant à l'amélioration de leur confort. Au-delà des ménages, ce programme est construit pour et avec l'ensemble des acteurs du logement social, qui avec leurs personnels de proximité constituent les premiers relais d'accompagnement au quotidien pour les locataires. Les résultats attendus Développer, par la mesure, les connaissances sur les consommations énergétiques, les modes d'occupation et usages, les conditions de confort au sein du parc social ultramarin (déploiement du programme auprès de 200 ménages à qui un suivi instrumenté sera proposé, et 1 000 ménages auprès de qui les données de consommations énergétiques pourront être exploitées). Concevoir un dispositif de sensibilisation, de formation et d'accompagnement des ménages et des personnels de proximité, fondé sur une appréhension différenciée, personnalisée des usages, modes d'occupation, caractéristiques du logement et du ménage, notamment à partir du suivi des consommations énergétiques (au compteur) et d'informations complémentaires. Déployer le programme de sensibilisation, formation et accompagnement auprès de 34 000 ménages, et des usagers de bureaux aux sièges des bailleurs et des collectivités partenaires du programme. Le présent AMI cible le premier point soit le développement, par la mesure, des connaissances en logement social et l'accompagnement des ménages volontaires dans le cadre du programme instrumenté. Les conditions de l'AMI AMI : Terrains d'expérimentations pour instrumentation de logements et accompagnement des ménages volontaires – Juillet 2020 Le programme ECCO DOM est construit pour et avec les acteurs volontaires du logement social en Outre-mer. Aussi, cet Appel à Manifestation d'Intérêt (AMI) a précisément pour objectif d'identifier des bailleurs volontaires, désireux d'engager quelques résidences dans le projet et ainsi d'accompagner les ménages participants sur ces enjeux de maîtrise de l'énergie et du confort. Attentes Avec vous bailleurs, nous recherchons des terrains d'expérimentation (résidences, logements) et des ménages volontaires acceptant de s'engager dans un programme d'instrumentation, de suivi des consommations énergétiques et conditions de confort, et d'accompagnement aux écogestes du quotidien. Globalement à l'échelle des cinq DROM-COM : la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, La Réunion et Mayotte – nous recherchons en particulier : 200 ménages acceptant de s'engager dans un suivi instrumenté de leur logement sur près de 2 ans (incluant notamment des mesures de température intérieure et humidité dans les pièces principales, consommations électriques du logement et de quelques appareils électroménagers principaux, etc.) ; 25 ménages acceptant de s'engager dans un suivi avancé (associé, en complément des mesures précédentes, à des mesures acoustiques, d'éclairement et de CO2 dans les pièces principales, un suivi fin des ouvertures de fenêtres et consommations d'eau, principalement) ; 1 000 ménages donnant accès à leurs données de consommations énergétiques (en lien avec EDF SEI) afin de bénéficier d'un accompagnement personnalisé à la maîtrise des consommations énergétiques et du confort thermique. NB. La répartition des panels entre les territoires sera construite afin de refléter la répartition du parc social globalement entre les DROM-COM (approximativement). Bailleurs sociaux, ce programme est construit pour vous, afin de mieux appréhender les consommations énergétiques, les modes d'occupation et usage, les conditions de confort au sein du parc social. Il s'agit d'accompagner vos locataires dans la réduction de leurs charges énergétiques et des factures associées, et l'amélioration de leur confort. Pour déposer votre candidature Consulter le règlement complet de l'AMI > Règlement Compléter le formulaire > Formulaire de candidature Envoyer votre dossier complet à l'adresse suivante : ECCO_DOM_AMI@cstb.fr, avant le 31/08/2020.
Il y a 4 ans et 347 jours

Large consensus pour une reconstruction de la flèche de Notre-Dame à l'identique, selon Bachelot

Il apparaît "qu'un large consensus se dégage dans l'opinion publique et (chez) les décideurs - puisqu'à la fin, ce sera, je pense, le président de la République qui va trancher - pour la reconstruction à l'identique", a-t-elle déclaré sur France Inter, ajoutant "c'est toujours difficile de dire +à l'identique+ exactement, mais dans l'esprit de la flèche".Roselyne Bachelot a ajouté qu'elle irait jeudi après-midi "saluer la structure qui s'occupe de ce dossier, qui va rendre ses conclusions".La Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), qui réunit des élus, des experts et les architectes du chantier, doit évoquer jeudi les modalités de reconstruction de Notre-Dame, en partie ravagée par un incendie en avril 2019."Trois dossiers" sont à examiner: la charpente, le toit et la flèche, a rappelé la ministre de la Culture.La question d'une reconstruction à l'identique de la flèche, selon les plans détaillés laissés par l'architecte Viollet-le-Duc, ou à l'inverse en incluant un geste architectural contemporain, comme évoqué par l'exécutif peu de temps après l'incendie géant, fait débat depuis des mois.L'architecte en chef Philippe Villeneuve, meilleur connaisseur de la cathédrale, est nettement hostile à cette deuxième option, qui prendrait en outre bien plus de temps.Repoussé en raison du confinement, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, sera achevé "au plus tard fin septembre", a assuré il y a une semaine le général Jean-Louis Georgelin, président de l'Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale.Ce démontage conditionne la possibilité de démarrer la restauration proprement dite de Notre-Dame, que le président Macron souhaite voir reconstruite dans un délai de cinq ans.
Il y a 4 ans et 347 jours

Haute tension: dans les Hauts-de-France, premier «Equilibre» pour Eiffage

Jour de très haute tension à Flers-en-Escrebieux (Pas-de-Calais). C’est en effet en ce 8 juillet, qu’Eiffage Energie Système a installé le premier des 45 pylônes « Equilibre », créés spécialement pour RTE pour la réhabilitation de la ligne à 400 000 volts Avelin (Nord)-Gavrelle (Pas-de-Calais) entre Lille et Arras. Conçus suite à un concours d’architecture, ces mâts visent à limiter les divers impacts de la ligne sur le voisinage. Aperçu en image d’un chantier unique en son genre.
Il y a 4 ans et 347 jours

Les grands groupes européens du BTP sont-ils armés pour affronter la crise ?

En France, le confinement a été mis en place le 17 mars 2020 et tous les groupes ont communiqué sur l’arrêt d’une partie de leurs chantiers. L’activité a repris progressivement au cours du deuxième trimestre dans la plupart des pays au rythme des directives gouvernementales des pays où chaque groupe opère. Mazars s’est interrogé sur la capacité des majors européens du BTP à traverser la crise du Covid 19, à travers l’étude des performances, de la solidité financière et du positionnement (diversification géographique / sectorielle) des 17 grands groupes européen, pure players ou acteurs diversifiés autour des métiers de la construction, dont le chiffre d’affaires consolidé est supérieur à 5 Mds€, L’étude « Les majors européens du BTP sont-ils armés pour affronter la crise ? » compare les performances financières des majors européens du BTP sur 2019 et début 2020. Par rapport aux précédentes études, les axes de comparaison ont été complétés d’un focus sur l’endettement, la trésorerie et la liquidité des majors à fin 2019. Les groupes ressortent renforcés de l’année 2019 avec une belle croissance de +4,5% (dont +7,9% pour les majors français) et un taux de marge opérationnelle légèrement supérieur (+0,2 point pour atteindre 4,9%). L’internationalisation des majors s’est à nouveau accentuée en 2019 : la part de l’activité réalisée à l’étranger progresse de 2 points, pour représenter 56% de leur activité.Le carnet de commandes à fin 2019 est au plus haut historique, en hausse de 3,5% vs. fin 2018.La solidité financière s’est fortement améliorée sur 5 ans, avec une hausse de la trésorerie de 40% pour l’ensemble des groupes, atteignant ainsi 45 Mds€. En complément l’endettement net a reculé sur cette période de 38%, hors groupes ayant une activité de concession.L’activité des groupes ayant publié au 1er trimestre 2020 est encore faiblement marquée par l’impact du Covid 19 (+2,2% vs. 1er trimestre 2019), mais devrait être fortement impactée au 2nd trimestre 2020, à l’image de la dégradation des capitalisations boursières sur le 1er semestre 2020.Les publications du chiffre d’affaires des majors européens du BTP au 31 mars 2020 montrent seulement les premiers effets de la crise du Covid-19. Les groupes français présentent déjà un recul moyen de 2,7% de leur activité par rapport au premier trimestre 2019. Cette crise s’est également traduite par une forte dégradation des capitalisations boursières de l’ensemble des majors européens. Cette dégradation s’est cependant atténuée au fur et à mesure de la reprise des chantiers.2019, Une nouvelle année de croissance pour les majorsL’activité des majors s’inscrit en hausse pour la troisième année consécutive, à +4,5% par rapport à 2018. Les groupes français se distinguent, pour la seconde année consécutive, par une hausse de leur chiffre d’affaires (+ 7,9%) supérieure à la moyenne des groupes du Panel.En 2019, les majors ont poursuivi leur stratégie de croissance externe avec de nombreuses acquisitions sur les divers secteurs d’activité, notamment deux principales acquisitions sur la partie Concessions : l’acquisition en mai de 50,01% des parts de l’aéroport de Londres-Gatwick par Vinci et le rachat en décembre de 49,9% des parts de l’aéroport de Toulouse-Blagnac par le groupe Eiffage.Le taux de marge opérationnelle des groupes du Panel s’est maintenu par rapport à 2018 (+0,2 point hors Atlantia). Cette légère hausse est toutefois à nuancer. Avec la prise en compte d’Atlantia, le taux de marge opérationnelle des majors européens sur 2019 recule de 0,9 point par rapport à 2018. La dégradation de 18 points du taux de marge opérationnelle du major italien, notamment impacté par l’effondrement du Pont de Gênes, pénalise la moyenne du Panel.Développement à l’internationalDans la continuité des années précédentes, le poids de l’activité des majors réalisé à l’étranger poursuit sa montée en puissance. En 2019, 55,7% de leur chiffre d’affaires est réalisé hors marché domestique, soit +1,6 point par rapport à 2018, évolution principalement portée par le marché européen (hors domestique), dont la part progresse de +1,5 point.La hausse du poids de l’activité des majors en Europe hors domestique par rapport à 2018 est notamment portée par Atlantia (+20 pts, principalement en lien avec l’acquisition d’Abertis), NCC AB (+3,5 pts) et Acciona (+1,7 pt).La part du chiffre d’affaires des majors sur leur marché domestique représente 44,3% de l’activité des groupes en 2019. Ce recul de -1,6 point par rapport à 2018 est notamment impacté par Atlantia (-28 pts), NCC AB (-3,5 pts) et Vinci (-2,2 pts). Une troisième année de forte croissance pour les majorsL’accroissement du chiffre d’affaires de VolkerWessels de 12,1% par rapport à 2018 est lié à un effet volume sur l’ensemble des segments, notamment sur sa branche Infrastructure en Allemagne et son département Energy & Telecom Infrastructure au Pays-Bas, à l’exception de l’Amérique du Nord qui a subi des intempéries.Eiffage voit son activité croitre de +10,7% par rapport à 2018. Cette hausse est principalement en lien avec les bonnes performances de ses pôles « Construction » et « Infrastructures ». Le major français a bénéficié de la dynamique des projets du Grand Paris ainsi que de la livraison de nombreux chantiers, notamment dans le secteur des transports en commun en site propre.La croissance de l’activité de Vinci (10,4%) est liée à la croissance organique et à la croissance externe, notamment des branches Concessions (aéroport de Londres Gatwick) et Énergie.La croissance du chiffre d’affaires de Balfour Beatty (+10,3 % par rapport à 2018) s’explique par le développement de la partie infrastructures, ainsi que par sa politique de croissance externe avec l’acquisition en 2019 d’une vingtaine d’entreprises de tailles diverses. Une hausse continue du carnet de commandesEn 2019, les majors enregistrent pour la quatrième année consécutive une hausse de leur carnet de commandes pour les secteurs liés aux métiers de la construction, de +3,5 % en 2019, et ce malgré des niveaux déjà historiquement élevés (+3,1% en 2018 ; +2,7% en 2017 ; +5,9% en 2016).Des situations contrastées en termes d’endettement netSur ces cinq dernières années, les majors ont très fortement réduit leur endettement net (-38% en 5 ans), à l’exception des groupes ayant une activité de concession qui ont poursuivi leurs investissements (+58% en 5 ans).La hausse marquée de l’endettement net des groupes ayant une activité de concession porte sur les deux dernières années et sur deux majors : Altantia et Vinci. Ils contribuent fortement à l’endettement global du Panel (respectivement 44,1% et 26,0% de l’endettement net total chiffré à 83 Mds€).Cette forte progression est en lien avec l’acquisition d’Abertis, venue tripler l’endettement net d’Atlantia en 2018, et l’acquisition de l’aéroport de Londres Gatwick en 2019 pour Vinci.La trésorerie des groupes du Panel repart à la hausse en 2019, après une légère baisse liée à l’effet taux de change sur l’exercice 2018, pour atteindre 45 Mds€ en 2019, représentant une hausse de 40% en 5 ans.Analyse des disponibilités nettes par rapport à l’activité à fin 2019Ferrovial et Atlantia se démarquent respectivement avec des ratios disponibilités nettes / chiffre d’affaires de 78,2% et 44,7% en 2019, alors que le ratio moyen des groupes du Panel s’élève à 19,4%.Le ratio moyen des groupes français ressort à 14,9%, soit 4,5 points en-deçà de la moyenne des groupes du Panel.Endettement brut, trésorerie et lignes de crédit non tiréesSur les 17 groupes du Panel, 4 présentent un excédent net à fin d’année 2019 : Balfour Beatty (0,2 Md€), Royal BAM Group (0,6 Md€), VolkerWessels (0,6 Md€) et Strabag (1,1 Md€).Par ailleurs, 3 groupes se démarquent particulièrement avec un endettement net supérieur à celui des autres majors (Atlantia : -36,7 Mds€, Vinci : -21,7 Mds€ et Eiffage : -10,2 Mds€), notamment en lien avec des opérations de croissance externe dans le secteur des concessions. Pour la majorité des majors européens du BTP, l’analyse des agrégats financiers présentés ci-dessus fait ressortir une santé financière certaine des groupes à fin 2019, au regard notamment de leur niveau de liquidité et de la diminution de leur endettement net ces dernières années.Rentabilité des majors par secteurPour mener des comparaisons sectorielles compte tenu des informations disponibles, l’activité des majors européens du Panel est ventilée selon 6 secteurs d’activité, dont 5 sont liés aux métiers de la construction.L’impact de la crise COVID19La crise sanitaire liée à la Covid-19 vient néanmoins menacer ces bons résultats et les objectifs des majors pour les prochains mois, puisque la plupart des pays ont imposé un confinement, engendrant irrémédiablement un ralentissement de l’activité. Au cours du premier trimestre 2020, les majors européens ont généré une activité trimestrielle, supérieure à la moyenne de ces 5 dernières années de 9,6%, et en hausse de 2,2% par rapport au 1er trimestre 2019, malgré les premiers impacts de la crise du Covid-19.Bien que le premier trimestre 2020 ne traduit pas, pour l’ensemble des majors, l’impact de cette crise inédite, les groupes français présentent déjà un recul moyen de 2,7% de leur activité par rapport au premier trimestre 2019. Les majors français sont en effet impactés plus particulièrement sur les métiers du BTP (-6,3% par rapport au T1 2019), de la Route (-8,9%) et de l’Immobilier (-14,8%), suite aux mesures de confinement en France appliquées dès mi-mars 2020. « Les majors européens, pour leur grande majorité, affichent une année 2019 satisfaisante en termes d’activité et présentent une santé financière certaine à travers une forte baisse de leur endettement net et un niveau de liquidité élevé. La diversité géographique de leur activité, qui permet de compenser les impacts de la crise dans les différents pays, ainsi que la diversité des métiers, l’industrialisation de leurs méthodes de travail et leur niveau de digitalisation constituent de réels atouts pour permettre aux majors de traverser cette période. Le deuxième trimestre 2020 devrait néanmoins être plus impacté, mais devra être analysé au regard de mesures prises par les Etats pour soutenir les entreprises du secteur au travers de plans de relance dans le BTP ou la poursuite des grands travaux », conclut Olivier Thireau, Associé responsable Immobilier & BTP chez Mazars France.L’étude « Les majors européens du BTP sont-ils armés pour affronter la crise ? » est disponible sur ici.
Il y a 4 ans et 347 jours

Covid-19 : Nouvelle mise à jour du guide de préconisations de sécurité sanitaire de l'OPPBTP

A la suite de l'annonce des nouvelles règles sanitaires applicables à compter du 24 juin pour les entreprises et au lancement d'une nouvelle phase de déconfinement, les recommandations ont évolué pour permettre à tous les secteurs de reprendre progressivement leurs activités tout en protégeant la santé de leurs collaborateurs. Au terme de nombreux échanges avec les représentants de la profession et des pouvoirs publics, l'OPPBTP publie une nouvelle révision du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction, conforme aux préconisations des pouvoirs publics.L'OPPBTP rappelle toutefois que l'épidémie n'a pas disparu et qu'il convient de rester très vigilant. Les fondamentaux de la prévention contre les risques de contamination doivent donc être maintenus, et en particulier le lavage fréquent des mains, ne pas se toucher le visage, le respect chaque fois que possible d'une distance minimale de 1m, le port du masque quand cette dernière mesure ne peut être garantie.Les principales évolutions du guide comprennent notamment :Un ajustement des mesures relatives à la coactivité : afin de favoriser le respect d'une distance minimale de 1m, il est toujours recommandé de porter une attention particulière à la coactivité, et en fonction de l'analyse des risques, de la limiter le cas échéant ou de veiller à mettre en œuvre diverses mesures barrières, comme par exemple la séparation des zones de travail, l'organisation des circulations, le port du masque…La mise à jour des mesures relatives aux déplacements : suppression de toutes les autorisations de circulation et de déplacement, précisions sur l'usage partagé des véhicules et les situations où le port du masque est obligatoire.La suppression de l'obligation systématique de port de lunettes de protection ou d'un écran facial lors du port d'un masque de protection respiratoire. Cependant, dans trois situations, cette obligation demeure.Des préconisations relatives au risque de forte chaleur conjugué à la Covid-19, telles que privilégier les mesures de distance physique et limiter l'utilisation des masques, ménager des temps de repos réguliers et prévoir des boissons fraiches en quantité suffisante.Des précisions sur la mise en œuvre des règles de distance dans les locaux : suppression de la division par deux des capacités nominales des bases-vie, suppression de la jauge des 4m2. A défaut de pouvoir respecter la distance minimale, le port du masque est obligatoire.Des compléments concernant les sanitaires mobiles, afin d'en garantir le bon usage.La suppression de la recommandation de limiter les interventions chez les personnes à risque de forme grave de Covid-19 aux seules interventions indispensables et urgentes.Plusieurs nouveaux documents pratiques sont mis à disposition, en plus de la mise à jour de la boite à outils Covid-19 de l'OPPBTP. Il s'agit d'une affiche « Travailler par fortes chaleurs et se protéger de la Covid-19 sur les chantiers », et de trois fiches conseil portant sur le choix d'un masque adapté aux fortes chaleurs, la ventilation et la climatisation des locaux, et la désinfection des cartouches réutilisables de masque respiratoire. Cette dernière fiche a été réalisée en partenariat avec l'Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) et l'Institut Robert Sauvé en Santé au Travail (IRSST) du Québec.« Le guide de l'OPPBTP est devenu la référence incontournable des acteurs du Bâtiment et des Travaux Publics face à l'épidémie de Covid-19. Il était donc nécessaire de mettre à jour notre Guide afin de garder à disposition de tous un document unique, complet, agrémenté de nombreux outils pratiques très utilisés sur le terrain. Cette révision adapte au plus juste les préconisations sanitaires pour faciliter la reprise tout en assurant bien sûr des conditions de sécurité pour tous, conformes aux recommandations des pouvoirs publics. Par ailleurs, en ce début d'été, l'OPPBTP formule des recommandations relatives aux fortes chaleurs. »- Paul Duphil, Secrétaire Général de l'OPPBTPLa nouvelle version du guide est disponible sur le site internet de preventionbtp.fr.
Il y a 4 ans et 347 jours

À l'heure de la relance, quelle place pour le bois-énergie ?

RENOUVELABLES. Au moment où le Gouvernement réfléchit au futur plan de relance de l'économie française, les questions de transition écologique et de souveraineté énergétique font office de serpents de mer dans les débats. Le bois-énergie peut avoir un rôle à jouer dans ce contexte, mais sur quels atouts peut-il réellement se baser ? Éléments de réponses.
Il y a 4 ans et 347 jours

Benoît Hennaut succédera à Alain Marion à la Présidence du Directoire du Groupe Herige

Ingénieur nucléaire de formation et titulaire d'un diplôme de management de l'université de Louvain (Belgique), Benoît Hennaut, 59 ans, cumule de nombreuses expériences dans le domaine de la construction et du bâtiment.Il entame sa carrière en 1988 au sein du Groupe familial italien Ariston Thermo Group, spécialisé dans le thermo-sanitaire (chauffage, ventilation). Il y occupe différents postes de direction en Belgique, France et Italie avant d'entrer chez le Groupe Lafarge en 1992. Il prend ainsi la Présidence des activités de développement, d'innovation, de marketing et de performance de la division toiture, basée à Francfort en Allemagne. À partir de 2006, Benoît part en Asie pour prendre en charge la Direction des activités du sud-est asiatique puis la Présidence de l'ensemble de la zone Asie-Pacifique (dont la Chine et l'Inde). Il revient en France en 2010 pour se voir confier la Présidence de Lafarge France.En 2013, il rejoint un des leaders mondiaux de la plasturgie le Groupe Aliaxis (spécialisé dans la gestion de l'eau et de l'énergie) et prend la responsabilité européenne de la branche bâtiment, avant de présider l'ensemble des activités, y compris Bâtiment, Industrie et Infrastructure du Groupe Nicoll en France, au Benelux, au Maroc et en Grèce.Benoît Hennaut est également Président de la Fédération de la Plasturgie et des Composites depuis 2018, et membre du Comité stratégique de l'AIMCC une des grandes fédérations professionnelles de la construction.Daniel Robin, Président du Conseil de Surveillance a déclaré « Le Conseil de Surveillance et moi-même souhaitons saluer chaleureusement Alain Marion qui a œuvré tout au long de sa carrière au développement du Groupe ainsi qu'à des transformations structurantes pour faire progresser le Groupe. Après 33 années à nos côtés, il passera le relais à Benoît Hennaut, qui prendra son mandat mi-septembre. Sa grande expérience et sa connaissance du secteur ainsi que ses valeurs humaines seront des atouts précieux pour relever les défis futurs du Groupe. »
Il y a 4 ans et 347 jours

Le Groupe Lorillard nomme Virginie Fayemendy au poste de responsable HSE pour l’ensemble des sites de production

Le Groupe Lorillard fait sa révolution industrielle : elle s’effectue par une restructuration des domaines d’expertises techniques de l’industrie, par des investissements industriels ainsi que par des changements fondamentaux organisationnels et logistiques. Thierry Luce – PDG du Groupe – a soutenu, pendant toute l’année 2019, un plan intensif de recrutements. Plan intensif représentant plus de 60 recrutements dans le Groupe dont 9 avaient, pour objectif essentiel, de mieux structurer les équipes. Or, pour la partie sécurité et environnement, il était nécessaire de passer par un renforcement des équipes. UN PARCOURS PRÉDESTINÉ PAR UNE EXPÉRIENCE CONFIRMÉE Après des études de chimie puis un master en environnement et risques industriels à Bordeaux, Virginie Fayemendy intègre un stage de fin d’études dans une entreprise de fabrication de tringles à rideaux, appartenant au groupe américain Newell Rubbermaid. « Il y avait tout à faire dans la partie environnement et sécurité, et c’est ce qui me plaisait. Il s’agissait d’une installation classée eu égard aux produits utilisés -solvants, risques avec le travail du bois… J’aime ces challenges » confie-t-elle. Du stage au recrutement, il n’y avait qu’un pas franchi par Virginie, qui gère alors toutes les actions relatives à la partie environnement, sur 5 sites de production en France, pendant 8 ans. Une évolution en interne la conduit ensuite à prendre la direction industrielle des activités de 2 sites de production (140 personnes) pendant presque 10 ans. Puis, par un fournisseur intermédiaire, elle entend parler d’un poste chez Lorillard de Responsable HSE (Hygiène, Sécurité et Environnement) et postule. C’est donc sur une candidature spontanée que Virginie rencontre Thierry Luce qui, porteur d’une forte volonté et d’un mouvement de professionnalisation des questions de sécurité, a engagé une dynamique d’investissements et de recrutement conséquente. Virginie_Fayemendy_ DES MISSIONS LARGES POUR UN CHANGEMENT DE CULTURE À 45 ans, Virginie Fayemendy se retrouve donc en charge, pour la partie HSE, des 6 sites de production du Groupe Lorillard – Usines de Chartres (Lorillard), de Bourges (Centre 2F), de Montbrison (Plastibaie), de Decazeville (Molénat), de Parigné-L’Evèque (Bourneuf), et de St Martin de Seignanx (HP Fermetures & Menuiseries) – et également des activités de pose (agences de pose Lorenove, Lorillard Entreprise) lui permettant d’aller sur les chantiers, ce qu’elle aime particulièrement. Dès son arrivée, Virginie a réalisé un audit de l’organisation, des systèmes de gestion et de la performance des équipements mis en place sur l’ensemble des sites de production, avec pour mission l’amélioration environnementale des usines du Groupe ; pour ensuite orienter plus spécifiquement ses missions autour de deux axes : une sensibilisation aux accidents du travail et la mise en œuvre d’une démarche RSE -Responsabilité Sociétale des Entreprises. Concernant la sécurité, Virginie soutient un véritable changement des mentalités : « Il y a un virage à opérer pour changer de culture et systématiser, à tous les niveaux des postes, des gestes préventifs ainsi que le développement d’une acuité particulière face au danger. Cette sensibilisation par rapport aux accidents du travail ; pour lesquels on a déjà pu relever une diminution résultant des actions menées depuis 3 ans par Thierry Luce et ses équipes ; revient à modifier d’anciens automatismes en affirmant une culture sécurité ». Il ne s’agit donc pas seulement d’aborder les questions de sécurité au travail uniquement au cœur des usines et des ateliers, mais aussi sur les chantiers en intégrant le facteur obligatoire des EPI – Équipement de Protection Individuelle – ou encore, dans les bureaux. Concernant ce dernier environnement de travail, Virginie s’engage à poursuivre le développement d’actions déjà menées -notamment celle d’amélioration de l’ergonomie des appareils de travail- qui ont permis de réduire le nombre d’accidents de travail. Concernant sa seconde mission, Virginie Fayemendy développe une démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) depuis le mois de janvier 2020 et, plus spécifiquement, depuis la journée manager réunissant tous les services. Ce concept, visant à permettre aux entreprises de contribuer à l’amélioration de la société et à la protection de l’environnement, implique chaque responsable de secteur dans le message à transmettre et aussi chaque individu à son poste. Les 3 axes choisis par le groupe en 2020 sont les économies d’énergie, le traitement des déchets et l’amélioration du recyclage, et la mise en place du télétravail. Des actions en matière d’économie d’énergie ont déjà été menées au sein des ateliers avec le changement des néons par des LEDS, un bon comportement de chacun à son poste, l’installation de compresseurs régénérateurs d’énergie à l’intérieur des bâtiments, pour baisser les dépenses énergétiques. Existait, préalablement à son arrivée, le recyclage des chutes et menuiseries bois dans les chaudières biomasses, chauffant les 3 sites de production bois du Groupe -sur Chartres, les 2/3 du site sont chauffés grâce à cette chaudière. Une borne de recharge pour les véhicules électriques de l’entreprise a été installée courant février. Plusieurs points de recharges sont également envisagés pour le personnel et les visiteurs. La politique de traitement des déchets déjà mise en place va être accrue et valorisée par l’approfondissement d’un travail commun avec des partenaires fournisseurs (notamment en fenêtres PVC) ou une délégation à des prestataires de déchets valorisant mieux le traitement, comme ce fut le cas avec la recyclabilité des chutes de PVC confiée aux entreprises Paprec et Veka. Cette nouvelle dynamique de tri des déchets sera étendue à tout le Groupe ; ne devant pas seulement impliquer les ateliers mais aussi les chantiers et les bureaux, à chaque poste, et/ou par la mise en place de nouveaux points de collecte commun comme les machines à café. Le mouvement est lancé mais doit être amplifié. Passionnée par ses missions diversifiées, Virginie Fayemendy n’est pas effrayée par l’abondance de travail qui l’attend et reste confiante, quant au changement de culture et de mentalité qui s’opère avec des personnels réceptifs aux différents messages, participatifs et impliqués. La Covid a également participé à légitimer cette prise de fonction plus que jamais indispensable dans un climat d’incertitude qui demeure. Et Virginie de conclure qu’il s’agit « d’ une véritable valeur ajoutée en termes d’image pour l’entreprise, et d’amélioration des conditions de travail. Toutes ces réorganisations, réalisées ensemble, sont nécessaires pour mieux les accompagner, les soulager, les aider, et prendre soin d’eux ».
Il y a 4 ans et 347 jours

Les énergies marines renouvelables représentent désormais plus de 3.000 emplois en France

Ces emplois (équivalent temps plein) se retrouvent aux trois-quarts chez les prestataires et fournisseurs industriels, surtout dans l'éolien en mer posé. L'an dernier, 452 millions d'euros ont été investis, soit +70% par rapport à 2018, portés par les développeurs-exploitants.Pour l'Observatoire des énergies de la mer, qui publie ce bilan, ce boom tient notamment à l'entrée en construction du premier parc éolien au large des côtes françaises, face à Saint-Nazaire.La France conservant du retard dans l'édification de ses parcs, attribués pourtant pour certains depuis 2012, les entreprises réalisent encore une majorité de leur activité à l'export (69%).Mais "les résultats 2019 laissent présager une capacité de croissance importante" à venir, avec Saint-Nazaire et aussi Fécamp et Saint-Brieuc qui ont récemment obtenu leur décision finale d'investissement, pointe l'Observatoire, créé par le Cluster Maritime Français, en lien avec le Syndicat des énergies renouvelables, le Groupement des industries de construction navale (GICAN) et France Energie Eolienne.Toutes les façades en profitent, notamment les Pays de la Loire et la Normandie, avec l'installation de GE à Cherbourg et prochainement de Siemens Gamesa au Havre.Pour Christophe Clergeau, de l'Observatoire, "2020 a un vrai potentiel d'accélération malgré le contexte". Fin 2019, les intentions exprimées laissaient présager 1.000 emplois supplémentaires cette année."Nous sommes convaincus que cette filière est une bonne candidate à la reprise, qu'elle est résiliente, et tous les signaux de soutien seront bien perçus par les entreprises", a-t-il dit.Ces chiffres sont "une bonne nouvelle dans une année qui en a besoin", a dit Sophie Mourlon, directrice de l'Énergie à la Direction générale de l'énergie et du climat."C'est notre ambition que le marché domestique se développe", a-t-elle assuré, rappelant l'engagement gouvernemental de porter les appels d'offres à quelque 1 gigawatt annuel."Notre enjeu est aujourd'hui de tenir ce calendrier. La crise ne nous a pas aidés", a-t-elle souligné, promettant de poursuivre "certaines simplifications" administratives et d'"accompagner cette filière dans la relance".Les acteurs du secteur se partagent entre TPE/PME et grandes entreprises. Mais seules 12% sont des "pure players" des énergies marines, note l'enquête, qui relève qu'il s'agit en général pour elles d'une activité de diversification: 15% sont issues de la construction navale, 11% de l'environnement, 8% de l'énergie, du BTP et ou encore de l'aéronautique.
Il y a 4 ans et 347 jours

La qualité des panneaux PSE de Sto enrichie de nouvelles possibilités pour des chantiers plus rapides et propres

Pour répondre aux attentes de ses clients en quête de productivité et de développement durable, Sto enrichit aujourd’hui son offre d’ITE à base de PSE de nouvelles possibilités et de nouveaux services. – Plus besoin de filets de protection UV sur les échafaudages pour protéger le Sto-Panneau Top31 avant enduisage. Conformément à la note du Groupe Spécialisé n°7 annonçant la prochaine modification du cahier de prescriptions techniques (CPT 3035-V3), les panneaux isolants en polystyrène expansé graphité Sto-Panneau Top31 ne nécessitent plus la mise en oeuvre d’un bâchage de protection d’échafaudage spécifique ne laissant pas passer plus de 30% de l’énergie solaire. – Un collage rapide des panneaux PSE grâce à la nouvelle colle Sto-Turbofix Mini. Dernière nouveauté signée Sto, Sto-Turbofix Mini est une mousse polyuréthane expansive pensée pour faciliter et accélerer le collage du système d’ITE StoTherm Vario avec isolant thermique en polystyrène issu de la technologie InnoPearls de Sto. Ses avantages sont multiples : aucun temps de préparation, une bonne adhérence 2 heures seulement après la pose sur pratiquement tous les supports, un format compact, une utilisation polyvalente (elle convient également pour les petites surfaces, les encadrements et les réparations), pas de nettoyage quotidien des outils et machines. – Un service de récupération et de valorisation des chutes de PSE pour des chantiers plus propres et respectueux de l’environnement. En tant que leader du marché français pour l’ITE, Sto ambitionne de s’inscrire dans une dimension éco circulaire. La signature en 2020 d’une convention de recyclage avec un partenaire en est la première étape. Sto procède désormais à la reprise des chutes de chantiers émanant de ses produits isolants en PSE. Dès la vente de ses produits, ce service de collecte est proposé aux clients. Les chutes propres et triées par le client sont enlevées pour être acheminées vers le site de retraitement agréé le plus proche. Les chutes d’ITE sont ensuite revalorisées pour devenir de nouvelles matières premières pour la fabrication d’autres produits comme par exemple des dalles acoustiques ou des bétons allégés.
Il y a 4 ans et 347 jours

Le confort d'été dans les bâtiments et la ville au sommaire de CONTACT

Parce que la santé et le bien-être des usagers dans les bâtiments et la ville sont des enjeux majeurs, le CSTB traite le confort d'été dans CONTACT de juillet 2020 et présente des solutions pour atténuer l'impact et l'inconfort liés à l'ensoleillement et aux températures élevées en ville. Découvrez dans cette newsletter l'approche systémique et l'expertise pluridisciplinaire proposées par le CSTB autour du confort d'été, à l'échelle du bâtiment, du quartier et de la ville : Résilience des bâtiments face au stress thermique Confort d'été multi-échelle des espaces publics À lire également dans cette édition : les Témoignages de Serge Contat, directeur général de RIVP, et de Sébastien Nerva, directeur adjoint d'EpaMarne, qui partagent leur vision et retour d'expérience dans le cadre de leur collaboration avec le CSTB. Pour décrypter des sujets techniques, les deux Billets d'experts proposés dans ce numéro portent sur : la simulation du confort thermique et l'identification des Îlots de Chaleur Urbains (ICU) ; l'importance des gains thermiques générés par une isolation courante. Et, comme toujours au sommaire de CONTACT, les Références du CSTB sur le confort d'été, les Éditions-Formations pour monter en compétence, le Décodage pour mieux cerner la problématique, etc. En savoir plus : CONTACT n° 4 : Confort d'été à l'échelle du bâtiment et de la ville Abonnez-vous à CONTACT
Il y a 4 ans et 348 jours

Réduire immédiatement son budget énergie avec Zéro Wattheure

30 millions de compteurs, Linky, Gaspar, et autres, ont été déployés sur le territoire national en quelques années. 30 millions de « data loggers » pour mesurer la consommation d’énergie du bâtiment 24/7 et vous aider à réduire vos consommations. Vous payez ces « smart meters » chaque mois : quel bénéfice en tirez-vous  ? Zéro Wattheure exploite ces « big data » pour vous, les collecte, les met en forme et vous les restitue sous forme digeste pour agir, vite, efficacement. Pas de travaux : les compteurs ont été posés par votre distributeur pour chacun de vos bâtiments Pas d’investissement : vous remboursez cette infrastructure de réseau sur votre abonnement (le TURPE) Pas de délai : pour chaque action, une fiche économie vous est remise, avec un résultat chiffré Zéro Wattheure a développé une méthode qui a fait ses preuves dans de nombreux territoires pour rendre le patrimoine public plus performant, plus sobre, plus économe. Nous sommes à votre écoute pour vous la présenter. N’attendez pas pour nous contacter par courriel contact@zerowattheure.com ou par téléphone 0800 300 337 (appel et service gratuits) Et toutes nos actualités sur le site du Zéro Wattheure
Il y a 4 ans et 348 jours

Ikea va vendre des panneaux solaires en France

ENERGIE RENOUVELABLE. Le géant du meuble suédois, Ikea, s'est associé à un acteur des énergies renouvelables afin de proposer à ses clients français un service clé en main d'installation de panneaux solaires en toiture.
Il y a 4 ans et 348 jours

Rénovation énergétique des bâtiments publics : de l'aide pour les collectivités

Le gouvernement lance un programme de 100 millions d’euros sous forme de Certificats d'économie d'énergie pour soutenir les collectivités qui rénovent énergétiquement leurs bâtiments.
Il y a 4 ans et 348 jours

Energie: il ne faut pas sacrifier les budgets de recherche

Le monde aura besoin d'innovations technologiques et donc de budgets de recherche dans le secteur de l'énergie pour atteindre ses objectifs climatiques, souligne l'Agence internationale de l'énergie.
Il y a 4 ans et 348 jours

LGV Montpellier-Perpignan: Jean Castex redonne espoir à ses partisans

Le Premier ministre a assuré qu'il mettrait "toute (son) énergie" pour faire avancer plus rapidement le projet de ligne ferroviaire à grande vitesse entre Montpellier (Hérault) et Perpignan (Pyrénées-Orientales).
Il y a 4 ans et 348 jours

Flame et Fedene unies pour la transition énergétique dans les territoires

La Fédération des agences locales de l’énergie et du climat (Flame) et la Fédération des services énergie environnement (Fedene) s’associent afin d’œuvrer ensemble à l’atteinte des objectifs de la transition énergétique sur l’ensemble du territoire au niveau local et territorial.
Il y a 4 ans et 348 jours

Myral poursuit son développement et renforce son équipe prescription

Stéphane Cuzzaini : "Notre enjeu, proposer des choix pertinents tout en guidant vers nos solutions"Stéphane Cuzzaini, professionnel chevronné chargé du quart Sud-Est de la France croit fermement en la solution Myral. Fort d'une quinzaine d'années d'expérience dans le bâtiment, a su développer une véritable expertise technique dans le domaine de l'ITE. Quel parcours vous a mené jusqu’à Myral ?Stéphane Cuzzaini : Au départ j’ai fait mes armes au sein de l’entreprise Onduline, qui conçoit des panneaux de couverture et de bardage, essentiellement à destination du marché tertiaire (bâtiments industriels, agricoles). Cette première expérience, qui a duré 6 ans, m’a permis de développer mon expertise dans le marché de l’ITE, en visitant de nombreux bureaux d’études notamment.Les 8 années suivantes, j’ai travaillé pour Everlite Concept, société qui propose des bardages haut de gamme à l’aspect architectural marqué, dans un segment proche de celui de Myral. Durant cette période, j’ai participé à la rénovation énergétique de nombreux projets où l’apparence extérieure des bâtiments avait une grande importance : complexes sportifs, gymnases, écoles… Cela m’a permis d’effectuer un travail de prescription et de préconisation technique auprès des architectes souhaitant faire concorder leur vision avec des produits techniques. J’ai beaucoup apprécié ce travail de conseil et cette relation privilégiée que j’ai développée avec eux.Quelles compétences majeures comptez-vous apporter à Myral ?Stéphane Cuzzaini : D’abord, donc, ma capacité à accompagner la maîtrise d’œuvre sur les recommandations techniques. Mais aussi la relation avec les entreprises dans la mise en œuvre des produits. C’est une partie du travail que j’ai toujours réalisé. Chez Everlite, nous avions un bureau d’études, comme Myral, avec une personne qui pouvait se déplacer au cas-par-cas, pour autant, j’assistais moi-même beaucoup les poseurs. Je les accompagnais parfois en réunions de chantier quand il y avait des problématiques techniques, pour faire des démarrages de chantier, effectuer des diagnostics et apporter des conseils techniques… Pour moi, ce qui est important, c’est que la préconisation que j’apporte aux maîtres d’œuvre soit la plus pointue possible afin qu’elle puisse déboucher sur une réalisation pérenne et conforme à ce que j’ai proposé. L’assurance d’un rendu final de qualité, c’est participer à la renommée du produit et s’ouvrir à de nouvelles affaires.Qu’attendent les maîtres d’œuvre d’un prescripteur ?Stéphane Cuzzaini : Ils attendent des réponses à leurs différentes exigences et inspirations sans que l’on vienne remettre en cause leur vision. Après plusieurs années aux côtés des architectes, j’ai appris à faire preuve d’écoute et à m’adapter le plus fidèlement possible à leurs attentes, à « l’image architecturale » très particulière qu’ils ont de leur projet. Il faut être capable de la comprendre et de trouver des solutions adaptées à leurs désirs, et si ce n’est pas possible, trouver des alternatives efficaces qui ne trahissent pas leur signature. Leur proposer des choix qui fonctionnent tout en les guidant vers les solutions que l’on défend, c’est tout l’enjeu de notre métier !Comment avez-vous connu le groupe Myral ?Stéphane Cuzzaini : Je l’avais remarqué sur des salons professionnels. Ce qui m’avait plu c’était vraiment l’aspect visuel du produit et l’image architecturale qu’il proposait, avec de grands panneaux, une diversité d’aspects qui faisaient qu’on se demandait finalement ce que c’était ! Quand on voit l’effet aluminium brossé des panneaux « Alunatur » ou la surface parfaitement réfléchissante du « Poli Miroir », ça interpelle !Ensuite, j’ai croisé Myral sur des affaires. Pour l’anecdote, à l’époque où je travaillais pour une société concurrente, je m’étais occupé de la recommandation technique pour l’habillage des balcons des tours « Les Moulins » à Nice. Et il se trouve que Myral travaillait sur ce même projet. Nous étions en concurrence sur la partie habillage des façades en bardages ITE et c’est Myral qui a été retenu car j’étais presque deux fois plus cher ! En m’y intéressant, j’ai découvert une belle entreprise qui proposait des produits innovants.Justement, quel est le regard des clients et de la concurrence sur Myral et sa solution ?Stéphane Cuzzaini : Il y a un retour positif, aussi bien de la part des clients, que des installateurs, des maîtres d’ouvrage et des architectes… Les installateurs privilégient des produits simples et rapides à mettre en œuvre ; les maîtres d’œuvre et d’ouvrage, quant à eux, vont vouloir des produits performants, pas trop épais, esthétiques, mais aussi économiques d’un point de vue budgétaire… Dans tous ces cas de figure, la solution Myral répond parfaitement à leurs besoins spécifiques.Le groupe est aussi reconnu comme un acteur avec une expertise technique de qualité. Sa façon d’accompagner les entreprises en amont et en aval des chantiers, sa capacité d’écoute, son rôle de conseil et la forte réactivité de ses équipes en cas de problème sont bien perçues. Toutefois, la notoriété du produit est encore jeune et il y a un important travail de communication à faire…Selon votre regard, quelle est l’évolution du marché de l’ITE en France ?Stéphane Cuzzaini : Je dirais que l’on est au début du développement. Sur le marché du résidentiel qui couvre les copropriétés et les bailleurs sociaux, il y a des besoins très importants. On sent d’ailleurs maintenant une réelle volonté de lutter contre les « passoires énergétiques ». Le gouvernement a depuis peu enclenché une dynamique pour développer massivement l’isolation thermique des façades par le biais d’aides financières. Il faut dire que l’ITE est la solution idéale pour obtenir des bâtiments les moins énergivores possibles et donc réduire les dépenses énergétiques des habitants, tout en apportant un confort thermique en hiver comme en été ! En plus, on préserve la surface habitable, les chantiers sont rapides et peuvent se faire en site occupé.Et qu’en est-il des bâtiments publics et tertiaires ?Stéphane Cuzzaini : Il y a encore beaucoup à faire aussi. Aujourd’hui, sur ce marché, la plupart des bâtiments neufs sont isolés par l’extérieur… Au-delà des considérations budgétaires et des capacités thermiques, pour faire la différence, il faut être en mesure d’apporter une réponse architecturale assez forte… C’est là que les revêtements Myral entrent en jeu : pose verticale, horizontale, oblique, aspect plan, joint creux ou joint debout, un riche catalogue de finitions et de coloris… La solution Myral se décline à travers toute une gamme de rendus capable de répondre aux différentes attentes en matière d’esthétique. Je suis persuadé que sur ce plan-là en particulier, notre produit a de grandes qualités et est promis à un bel avenir.Quelle est le potentiel de votre région pour Myral ?Stéphane Cuzzaini : J’ai la chance de couvrir le quart Sud-Est de la France, notamment la région Auvergne-Rhône-Alpes qui est une belle région, très dynamique. On y trouve de gros projets et de gros acteurs du social, en particulier à Lyon… Mais je ne veux pas baser toute ma stratégie sur le social, car c’est ce que font tous nos concurrents. Je pense qu’il y a vraiment des opportunités intéressantes à saisir au niveau des marchés publics pour les écoles, les gymnases, les hôpitaux, les EHPAD… Il faut se diversifier et mener les deux de front : conserver notre position et notre part de marché sur le logement social, mais aussi aller sur le marché du tertiaire et des bâtiments publics, où l’image architecturale compte… Car je suis sincèrement convaincu qu’en terme d’esthétique, la solution Myral est capable d’apporter une vraie valeur ajoutée aux bâtiments.En outre, je vais avoir un important travail de prescription à mettre en place dans le Sud, car le recours à l’ITE y est encore peu développé pour les bâtiments résidentiels alors qu’elle permet de réduire massivement les besoins en climatisation d’un logement…Cela fait plus de deux mois que vous avez rejoint Myral. Comment avez-vous vécu votre arrivée ?Stéphane Cuzzaini : Même si elle a été perturbée par la situation sanitaire que nous subissons, je l’ai vécu de façon très positive ! Il y a vraiment un bel esprit d’équipe. J’ai pu l’observer lors d’une réunion en mars à Paris où tous les prescripteurs et les membres de l’équipe technique étaient rassemblés. Il y avait belle osmose et un esprit très participatif : les échanges entre nous ont été très féconds, que ce soit sur les supports de communication, les références chantiers… Ce qui nous a permis de déboucher collectivement sur des solutions et des améliorations. J’avais très peu d’appréhension en entrant chez Myral, mais j’ai tout de même été agréablement surpris par le professionnalisme et l’humanité de mes nouveaux collègues.Vous semblez confiant et enthousiaste de vous lancer dans cette aventure…Stéphane Cuzzaini : Je suis confiant oui, car je crois fort en notre solution d’ITE. Dans mon métier de chargé d’affaires, la réussite est vraiment liée au fait d’avoir un bon produit auquel on croit, une solution technique qui puisse répondre à toutes les réglementations aussi bien au niveau du feu, de la sismique, au niveau du type de support, que ce soit le bois, le béton… Mais aussi une solution qui entre dans des contraintes budgétaires, tout en ne lésinant pas sur la qualité des matériaux et des rendus. Le produit Myral coche toutes ces cases… Et les marchés à conquérir sont nombreux ! Alors même si la période actuelle a mis à l’arrêt le secteur, que la reprise sera progressive, et que cela nous impose de travailler différemment, je reste enthousiaste !Geoffrey Pointin : "Avec Myral j’ai tous les arguments pour répondre aux souhaits des architectes !"Geoffrey Pointin, fort de ses nombreuses années d'expérience dans le métier de la prescription d'ITE, passionné d'architecture et de design compte bien asseoir la présence de Myral dans une zone géographique jusque-là peu investie par le groupe : le quart Sud-Ouest de la France. Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre Myral ?Geoffrey Pointin : Je suis dans le métier de la prescription depuis près de 15 ans. Si mon parcours professionnel est essentiellement tourné vers l’univers des façades et de l’isolation thermique, ce n’était pas le cas au tout départ. En effet, lorsque j’ai débuté dans l’entreprise Carea, mon rôle était de gérer des centrales d’achats pour vendre des éléments sanitaires aux grandes surfaces et grossiste de bricolage. Je suis entré dans la prescription d’ITE en accompagnant une collègue de l’époque dont c’était le métier ! Lorsque nous nous rendions chez les maîtres d’ouvrage, elle parlait des façades et moi de la partie sanitaire… Au fur et à mesure, passer du temps à ses côtés m’a permis de découvrir le métier de la prescription, pour lequel je me suis peu à peu passionné ! J’ai alors demandé à changer de métier et à intégrer l’équipe prescription d’ITE, où j’ai fait mes armes durant plusieurs années au contact de nombreux maîtres d’œuvre et d’ouvrage, membres de bureaux d’étude et architectes. Pendant cette période, notamment entre 2005 et 2012, j’ai eu la chance d’être sur un secteur parisien très porteur. En effet, c’était la « grande époque » des programmes en R.U. (renouvellement urbain), dont ceux de Paris intra-muros qui étaient importants en termes de volume, mais aussi très intéressants d’un point de vue architectural, parce qu’il y avait des moyens financiers… C’est une période durant laquelle j’ai pu travailler sur de très beaux projets architecturaux !Justement, vous semblez avoir une sensibilité particulière pour l’architecture… D’où vous vient-elle et comment l’avez-vous développée ?Geoffrey Pointin : J’ai toujours adoré le design et l’architecture, et même l’art en général. Au-delà du cadre professionnel, ce sont de vraies passions dans ma vie. J’ai des amis qui travaillent dans le design avec qui je passe souvent du temps, je me rends à de nombreuses expositions et j’ai la chance de voyager régulièrement, de découvrir des architectures incroyables et des projets fous sur certaines parties du globe. Au fil du temps, j’ai développé un œil acéré pour l’architecture qui m’est très utile dans mon métier de prescripteur. Il me permet d’avoir une « vision » et de saisir avec davantage de précision ce que souhaitent les architectes avec qui je collabore. Cette capacité à me projeter, je dirais que c’est ce qui fait ma particularité.Comment parlez-vous à ces architectes et comment faites-vous en sorte de respecter leur signature architecturale ?Geoffrey Pointin : Les clés ce sont : le terrain, la connaissance des dossiers locaux, la préparation des rendez-vous, la rigueur technique et une certaine capacité à se projeter, à traduire les désirs de l’architecte en solutions techniquement viables et adaptées à son projet, tout en respectant un maximum sa signature architecturale sur le plan esthétique… C’est comme ça que je vois le métier de la prescription et la relation que j’entretiens avec mes clients. En outre, ma stratégie c’est d’être présent à chaque moment, de proposer un accompagnement sur-mesure, d’être dans le conseil, la préconisation… Sans pour autant « piquer son crayon » à l’architecte ! Je fais tout mon possible pour aider ces derniers à faire de leurs projets couchés sur le papier une réalité conforme à leurs attentes, mais quand les contraintes sont trop nombreuses, mon travail m’impose aussi de savoir leur dire non et leur proposer les meilleures alternatives.Comment avez-vous connu le groupe Myral et sa solution d’ITE ?Geoffrey Pointin : Il y a quelques années, je me suis installé sur Brive-la-Gaillarde afin de travailler sur la région Sud-Ouest, avant de revenir faire des allers-retours hebdomadaires sur Paris. Et dès 2016, dans la Capitale, c’est simple : Myral était sur toutes les lèvres ! Je me suis rendu compte que les architectes parlaient énormément de la solution M32, vantant notamment sa vitesse de mise en œuvre, le fait qu’elle entre beaucoup plus facilement dans les budgets des maîtres d’ouvrage car plus économique, l’efficacité de son pouvoir isolant mêlé à la minceur record de ses panneaux… Et autant dire que j’étais bien embêté ! La solution Myral alignait tous les bons arguments, tandis que moi, chez Carea, je me retrouvais à devoir vendre une solution aux caractéristiques similaires, certes, mais bien plus chère : 30 euros du m² de plus en moyenne par rapport à ce produit. Donc quand on est sur Paris et qu’on a des dossiers qui ont entre 5 000 et 6 000 m² de façades à revêtir, si on multiplie par 30, le calcul est vite fait !Qu’est-ce qui vous a conduit d’intégrer Myral ?Geoffrey Pointin : Après plusieurs années, en tant que chef des ventes à gérer de grands comptes, j’avais le sentiment d’avoir fait le tour. L’échange avec Sylvain Bonnot (PDG du groupe Myral) a fait pencher la balance. J’étais déjà convaincu du produit et nous avons évoqué un poste où je pouvais avoir l’assurance de bénéficier d’un budget et du soutien de la hiérarchie pour développer la prescription dans ma zone géographique et une grande liberté d’action. En plus, j’étais très rassuré du fait que le patron affiche une vision et un cap, qu’il sache clairement où il veut mener l’entreprise. Le pôle R&D de Myral fournit aussi un travail remarquable, notamment autour du risque incendie et des démarches environnementales, qui sont impératives à prendre en compte aujourd’hui. Globalement le groupe nourrit de très belles ambitions et va, selon moi, dans le bon sens.Du coup, quand vous êtes entré dans la société il y a un peu plus d’un mois, avez-vous été conforté dans ce choix ?Geoffrey Pointin : Oui pas de surprise : c’est 100 % conforme à l’image humaine et professionnelle que je m’en faisais. Ce que je trouve génial avec Myral, c’est que c’est un groupe français avec un site de production basé en France, à Is-sur-Tille en Côte-d’Or. Nos lignes de production sont assez high-techs, avec une réflexion de fabrication qui est assez pertinente… Nous n’avons vraiment pas à rougir de notre solution et de nos infrastructures : je sais d’ores-et-déjà que je pourrais faire visiter une belle usine à des maîtres d’ouvrage français et leur présenter un produit innovant. Sans plébisciter Myral outre-mesure, il n’y a pas beaucoup de sociétés capables de proposer cela. En outre, bien que ce soit une « petite » entreprise, le groupe est bien structuré. Ses équipes, notamment celle chargée de la prescription, sont solidement mises en place et font preuve d’un grand professionnalisme : j’ai eu l’occasion de m’en rendre compte en allant tourner avec Pierre Guerrero (chargé de prescription dans le Grand-Est et l’Île-de-France). Au-delà de la très bonne entente qui est née entre nous lors de ce déplacement, sa connaissance impressionnante du métier m’a aussi marqué. Bref, même si je n’avais pas d’appréhension particulière avant mon entrée chez Myral, tout ça est très rassurant.Quel est le potentiel de développement dans votre secteur géographique : le Sud-Ouest de la France ?Geoffrey Pointin : Il y a encore tout à faire ! Dans le Sud-Ouest comme partout en France, le parc de réhabilitation de logements est énorme, le marché est donc très porteur pour le prescripteur d’ITE que je suis. Chez Myral nous avons un très bon positionnement pour ce qui est de la rénovation : nous proposons des bardages parmi les moins chers du marché et les plus rapides à mettre en œuvre. Au niveau du prix fourniture et pose, nos revêtements de façades se rapprochent de l’enduit mince sur isolant, notamment du fait de l’absence d’ossature, mais évidemment avec une pérennité, un rendu esthétique et une image architecturale sans commune mesure !Et en ce qui concerne la construction dans le neuf ?Geoffrey Pointin : Le potentiel-marché est tout aussi important. Bordeaux et Toulouse, les deux principaux centres urbains de mon secteur géographique, sont des villes réputées en France pour être attractives et attirer beaucoup de nouveaux habitants, par conséquent, un grand nombre de bâtiments neufs vont y être bâtis… Et je sais que grâce à la solution Myral, j’aurai tous les arguments pour me positionner sur ces nouveaux projets.Enfin, il y a des secteurs sur lesquels le groupe est encore très peu positionné, comme celui des bâtiments tertiaires. Je compte bien développer notre présence sur cette typologie de chantier, au même titre que les bâtiments publics et les logements individuels/collectifs, car là-aussi, le champ de développement est très important.À vous entendre, vous semblez assez confiant et déterminé !Geoffrey Pointin : Le métier de la prescription est exigeant certes, mais aussi très passionnant car nous avons la chance de rencontrer des gens différents tous les jours, de participer à de beaux projets auprès d’architectes talentueux. Comme je l’ai déjà dit plus tôt, le marché de l’ITE a de beaux jours devant lui partout en France, notamment dans le Sud-Ouest. Étant le premier chargé de prescription Myral assigné à cette zone géographique, le « territoire » est donc tout entier à conquérir ! Les perspectives sont vraiment enthousiasmantes et je suis d’autant plus motivé que j’ai entre les mains un produit en lequel je crois. J’ai la certitude de posséder toute une panoplie de vrais arguments pour répondre aux besoins et aux exigences des architectes, sur les plans technique, esthétique, économique, avec en plus une production Made in France : un argument qui compte à l’heure où la reprise économique post-Covid19 viendra du soutien aux entreprises nationales. D’ailleurs, j’invite les acteurs de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre du Sud-Ouest à visiter notre usine !
Il y a 4 ans et 349 jours

Grand Paris Express : un contrat de ventilation, désenfumage et décompression tunnel pour Eiffage et Engie

Le contrat de 58 M€ remporté en groupement (50/50) par Eiffage Energie Systèmes (mandataire) et Engie Solutions porte sur la réalisation du système de ventilation, désenfumage et décompression des tunnels de l'ensemble de la ligne 16 (de la gare de Saint-Denis Pleyel à la gare de Noisy-Champs) et la partie Le Bourget RER-Triangle de Gonesse de la ligne 17.
Il y a 4 ans et 349 jours

Déchets du BTP : Néolithe fossilise le non-recyclable pour en faire des granulats

La Start-Up Néolithe, créée en Janvier 2019, développe un procédé de fossilisation des déchets non-recyclables qui produit des granulats minéraux pour le BTP en dépensant très peu d’énergie.
Il y a 4 ans et 349 jours

La filière solaire demande d'appliquer rapidement les propositions de la Convention climat

"Il est impératif dans le contexte de la relance de l'économie et de l'atteinte de nos objectifs de transition énergétique que ces mesures de bon sens issues de la Convention Citoyenne se concrétisent au plus vite", a déclaré dans ce communiqué Daniel Bour, Président d'Enerplan.Ce syndicat représente l'ensemble de l'offre solaire industrielle et commerciale en France, industriels, ensembliers, bureaux d'études, installateurs, architectes, énergéticiens...Il "soutient sans réserve la proposition d'une hausse du plafond du guichet tarifaire à 500 kW, permettant de connaître à l'avance le tarif de vente de l'électricité produite et consolidant la réalisation des projets".La Convention citoyenne pour le climat a également proposé un "guichet unique réunissant toutes les formalités techniques et administratives nécessaires à l'installation de projets de productions d'énergie renouvelable", ainsi que "l'accélération du développement de l'autoconsommation, prônant des bâtiments producteurs de leur propre consommation et permettant aisément le partage des électrons et de la chaleur".Seul bémol aux yeux d'Enerplan: "alors qu'est discuté en ce moment même une nouvelle loi de finances rectificative, les propositions permettant d'ouvrir le bénéfice du crédit d'impôt pour la transition énergétique à tous les ménages (sont) repoussées aux discussions budgétaires de l'automne"."Le temps est à l'action", a déclaré lundi Emmanuel Macron en endossant quasiment toutes les propositions des 150 membres de la Convention, qu'il a reçus à l'Elysée.
Il y a 4 ans et 349 jours

Un modèle pionnier d’économie d’énergie

Le plus grand site de production d’insectes au monde construit à Nesle se veut un modèle pionnier et visionnaire d’économie d’énergie. Un projet rendu possible sur le territoire des Hauts de France grâce au partenariat qui lie EDF et InnovaFeed, PME innovante et leader mondial de la production d’insectes. Objectif de cette collaboration : plus d’1 TWh Cumac économisé.
Il y a 4 ans et 349 jours

Autoconsommation électrique : enjeux et pistes de valorisation

Alors que les énergies renouvelables devront représenter au mois 35% du mix électrique en 2028, comment les pratiques d'autoconsommation électrique peuvent se déployer sur le territoire ? Comment les acteurs peuvent intégrer ces installations dans leurs valorisations immobilières ? Éléments de réponse avec cette étude de l’OID.
Il y a 4 ans et 349 jours

Le PoE (Power over Ethernet) sera-t-il l’avenir de la GTB ?

Le PoE transporte l’énergie et les données pour sur un seul et même réseau en TCP/IP.
Il y a 4 ans et 349 jours

3 start-up lauréates du projet Numériser l’existant

Bimeo, LevelS3D et WiseBIM sont les 3 start-up lauréates du challenge « Numériser l’existant », l’un des 9 projets du programme PROFEEL dédié à l’innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Elles bénéficieront d’un soutien financier et technique pour développer les nouvelles fonctionnalités de leurs applis et plateformes de numérisation 3D du bâti, compatibles avec le BIM. Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l’automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021. ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clics ARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d’Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n’importe quelle pièce. A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l’épaisseur des parois, l’ajout d’objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d’annoter la maquette avec des cotations. S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D complet LevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l’application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d’abonnement ou offres à l’acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d’un capteur de profondeur intégré (compatible sur l’Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu’en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : pré- positionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d’IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti. Plans2BIM de WiseBIM L’innovation unique qui transforme les plans 2D en 3D WiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n’importe quel plan architectural 2D, ainsi qu’éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d’intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 349 jours

600 000 emplois mobilisés dans la filière électrique pour contribuer à la relance économique

Dans un contexte où l’emploi est plus que jamais un enjeu dans le cadre de la relance économique, les fédérations et associations professionnelles de la filière électrique communiquent les premiers résultats de l’Engagement de Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC). Mené sous l’égide du Ministère du Travail avec le soutien du Ministère de la transition écologique et solidaire, et avec l’appui du cabinet PwC, ce contrat d’étude prospective au périmètre inédit a pour objectif d’appréhender de manière concrète les évolutions à venir des emplois et des compétences de la filière électrique. Au coeur des transitions énergétique et numérique, la filière électrique sera soumise à de fortes transformations d’ici 2030 : évolution du mix énergétique avec davantage de production renouvelable, développement du bâtiment durable et connecté, de la mobilité électrique et de la ville intelligente. Le respect des objectifs fixés dans le cadre de la PPE constitue un potentiel de création de plus de 200 000 emplois directs et indirects supplémentaires dans les territoires d’ici 2030, dont 80 000 consacrés à la rénovation énergétique des bâtiments et 60 000 dédiés aux énergies renouvelables (éolien, solaire photovoltaïque et hydroélectricité). 600 000 emplois qualifiés et pérennes maillent le territoire national dont 300 000 interviennent sur le système électrique (production, transport, distribution et fourniture d’électricité), 220 000 dans le bâtiment, 40 000 dans l’industrie et 40 000 dans les infrastructures de la ville et de la mobilité. La filière électrique compte 30 000 entreprises de toutes tailles, réparties sur l’ensemble de la chaîne de valeur, de l’entreprise unipersonnelle à la multinationale dont plus de 40% des PME-TPE, Ces transformations génèreront en outre d’importantes retombées économiques réparties sur l’ensemble du territoire ou d’effets induits sur l’ensemble de l’économie, qu’il s’agisse d’activités liées à la production et l’acheminement de l’électricité, à la conception et la fourniture d’équipements, aux chantiers du bâtiment et de travaux publics. La transition énergétique s’inscrit dans une dynamique de transformation des métiers et des compétences qui nécessitera un investissement commun pour adapter l’offre de formation professionnelle continue en associant les différentes branches professionnelles concernées. Sécuriser des parcours professionnels dans la durée impliquera également un travail sur les passerelles de mobilité professionnelle, entre métiers du secteur de l’énergie, au niveau national et régional.