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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18290 résultats)
Il y a 5 ans et 15 jours

Pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc, Ailes Marines choisit Prysmian comme fournisseur des câbles sous-marins inter-éoliennes

Ce contrat d’un montant de 80 millions d’euros renforce la position du Groupe Prysmian comme acteur majeur de la transition énergétique en France Ailes Marines, en charge du développement, de la construction, de l’installation et de l’exploitation du parc éolien en mer de la Baie de Saint-Brieuc, vient de signer avec le Groupe Prysmian, leader mondial dans l’industrie des systèmes de câbles de puissance et de télécommunication, un contrat de 80 millions d’euros pour fournir les câbles inter-éoliennes du parc de Saint-Brieuc. Prysmian fournira une offre complète clé en main comprenant la conception, la fourniture, l’installation ainsi que de l’ensemble des tests pour la mise en service des 90 km de câbles tripolaires sous-marins  de 66 kV haute tension à courant alternatif (HVAC) avec une isolation XLPE. Les phases des câbles (âmes et isolation) seront fabriquées dans les usines du groupe Prysmian situées à Montereau-Fault-Yonne et à Gron (France), puis l’assemblage final des câbles tripolaires sera effectué à Nordenham (Allemagne). La livraison et la mise en service sont prévues pour fin 2022. « Ce contrat confirme une fois de plus notre avance technologique, que nous mettons au service de la transition énergétique en France, ainsi que notre capacité à fournir à nos clients des solutions performantes fabriquées localement » affirme Laurent Tardif, PDG Europe du Sud au sein du Groupe Prysmian. « Ce contrat marque un jalon important pour Prysmian, cela prouve que notre ambition de devenir un fournisseur d’une solution clé en main, couvrant l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, est crédible et durable à long terme. Notre système de câbles inter-éoliennes de 66 kV permet de transporter deux fois plus d’énergie par rapport à des câbles de 33 kV » a ajouté Olivier Angoulevant, Directeur de la division Énergie Éolienne Offshore. Ce contrat renforce aussi la longue et fructueuse collaboration entre le Groupe Prysmian et Iberdrola Renovables, actionnaire unique de la société de projet Ailes Marines. Iberdrola Renovables a déjà confié à Prysmian plusieurs projets ces dernières années, comme le parc éolien offshore de Wikinger en mer Baltique, ainsi que le parc éolien offshore de Vineyard, situé dans l’état du Massachusetts, aux Etats-Unis. Selon Javier Garcia Perez, Président d’Ailes Marines et Directeur Offshore International d’Iberdrola : « Le contrat avec Prysmian concernant les câbles inter-éoliennes pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc est une nouvelle étape importante qui prouve une fois de plus qu’Ailes Marines est déterminée à investir dans la relance “verte” de l’économie et de l’industrie en France tout en contribuant à l’objectif d’atteindre zéro émission nette grâce aux énergies renouvelables » Le parc éolien en mar de Saint-Brieuc  Le parc éolien en mer de Saint-Brieuc se situera dans la Baie de Saint-Brieuc en Bretagne, à 16,3 kilomètres au large des côtes françaises. Une fois terminé, le parc éolien, d’une capacité totale de 496 MW, produira 1 820 GWh par an, l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 835 000 habitants. Les travaux d’installation dureront plusieurs mois et se poursuivront jusqu’en 2022. Le parc éolien sera totalement opérationnel en 2023.
Il y a 5 ans et 15 jours

Energie : les collectivités concédantes et les régies changent de braquet

Pour accélérer la transition énergétique des bâtiments des collectivités, les collectivités concédantes et les régies changent de braquet. Leur programme Actee 2 mobilisera 100 millions d’euros dans le cadre des certificats d’économie d’énergie, au lieu de 12,5 pour Actee 1, en voie d’achèvement.
Il y a 5 ans et 15 jours

Des VRV à condensation à eau pour climatiser les nouveaux locaux de Multiburo à Montparnasse

Une installation peu courante : des VRV à eauC'est dans le cadre d'un vaste projet de transformation du quartier de la gare Montparnasse que la SNCF Gares et Connexion a proposé la location de nouveaux espaces commerciaux en lieu et place de ses anciens bureaux.Multiburo, spécialiste de la location de salles de réunions et d'espaces de coworking, s'est installé dans la plus grande surface commerciale de la gare Montparnasse. Sur 1 600 m², des 19.000 m² de superficie totale de la galerie commerçante, Multiburo propose :11 salles de réunion35 bureaux locatifsune zone de coworking pouvant accueillir jusqu'à 30 personnes.Il s'agit de la 27e surface Multiburo ouverte en France, et la 3e en gare parisienne.Dans son cahier des charges concernant l'installation de confort climatique au sein de ses locaux, équipement prégnant au vu de son activité de loueurs d'espaces conviviaux, Multiburo avait pour exigences :Confort acoustique essentiel pour offrir un service de location de bureaux calmesConfort thermique individualisé avec thermostat déportéL'ensemble de la zone commerciale de la Gare Montparnasse est connecté sur boucle d'eau, donc de fait, imposée aux commerçants preneurs. Les installations extérieures sont interdites par manque de place, et en raison du caractère patrimonial de la bâtisse qui est classée.La recommandation d'Erwan Mener, EMD Conseil (AMO) intervenant pour Multiburo, a porté sur l'installation d'un VRV à condensation eau Daikin raccordé sur boucle d'eau, une installation peu courante et différente de celle privilégiée par les autres commerçants de la gare préférant un système PAC classique sur boucle d'eau.Bien que ne l'ayant jamais préconisé jusqu'à présent, Erwan Mener a été séduit par une installation similaire visitée à Séville, avec des avantages pluriels comparativement à un système plus classique, notamment celui d'afficher un excellent ratio confort / récupération d'énergie.Le VRV à condensation eau Daikin allie performance et économie d'énergie grâce à la pluralité de nombreuses technologies telles que l'Inverter. De plus, les groupes des VRV eau ne nécessitent qu'un réseau hydraulique direct et court, alors qu'un groupe traditionnel aurait demandé d'opérer un raccordement derrière chaque terminal intérieur. L'installation VRV s'avère plus simple à réaliser, avec moins de contraintes, et moins coûteuse en termes de mise en œuvre pour la maîtrise d'ouvrage.L'installateur, Spie Industrie Tertiaire, a donc procédé à la mise en place de 5 VRV à eau 3 tubes RWEYQ10T9Y1B dont les groupes, très compacts, sont contenus dans un local technique.Chacun reste maître de son confort thermiquePour que ses clients puissent travailler dans l'ambiance qui leur convient le mieux, Multiburo a souhaité qu'ils puissent choisir eux-mêmes la température de leur espace de travail.L'air est distribué dans les différentes pièces grâce à 59 unités cassettes (600 x 600) réparties sur l'ensemble de la zone. Ces cassettes permettent une diffusion de l'air individualisée, pour un confort optimal et adapté à chacun des clients.42 télécommandes MADOKA ont été installées, apportant une touche design aux espaces de travail. Très instinctives, elles sont laissées à la disposition des clients qui peuvent réguler la température selon leurs besoins.Un niveau sonore extrêmement réduitDésireux d'offrir à ses clients une ambiance de travail calme et propice à la concentration, Multiburo s'est tourné vers la marque Daikin pour installer des solutions très silencieuses. La technologie à détente directe du système VRV mis en place assure un niveau sonore beaucoup plus faible qu'un système de PAC air/eau.La solution VRV à eau de Daikin est donc apparue comme la solution idéale, au vu de ses performances acoustiques, pour un espace de coworking.Daikin et Multiburo n'en sont pas à leur première collaboration : les espaces de la Gare de Lyon et de Saint Lazare ont également été équipés de solution Daikin.
Il y a 5 ans et 16 jours

Cléa : nouvel espace numérique de la maison, au service de la relation et de l'accompagnement client

Tout au long du projet, CLÉA facilite et renforce la qualité de la relation entre le professionnel (constructeur, promoteur, architecte, maître d'œuvre, entreprise…) et ses clients, en permettant notamment à ces derniers de mieux suivre l'évolution du chantier et de s'approprier leur maison.Le principe : un espace numérique dédié à la maison, de sa conception à sa livraison, tout au long de son cycle de vie Contrat, suivi du chantier, réception, prise en main... : tout au long d'un projet de maison individuelle, la qualité de la relation client est fondamentale. Mais il n'est pas toujours simple de répondre rapidement à toutes les questions des propriétaires, les intégrer pleinement dans le projet, quelle qu'en soit l'étape, ou leur permettre d'accéder facilement et quand ils le souhaitent aux documents et informations-clés.C'est dans cet esprit que QUALITEL Espace Numérique du Logement a conçu et développé CLÉA, solution numérique dédiée à la maison.Objectif : faciliter le quotidien des acteurs de la construction, qu'ils soient constructeurs, promoteurs, architectes, maître d'œuvre, entreprises, etc., avec un outil pratique et interactif.Du côté des professionnels : quotidien facilité, relation client renforcéeSpécifiquement adaptée aux enjeux de la relation client dans le domaine de la maison individuelle en construction, CLÉA intègre 3 fonctionnalités essentielles pour permettre aux professionnels d'apporter à leurs clients un service à forte valeur ajoutée :Un espace sécurisé* pour centraliser, stocker et partager avec les clients toutes les informations et documents de la maison : proposition commerciale, plans, contrat et notice descriptive, etc.Un outil interactif permettant de fluidifier la communication avec les clients : suivi et avancement du chantier, envoi de photos, invitations aux visites, etc.Un guide d'entretien personnalisé pour chaque maison.Au-delà du renforcement de l'accompagnement client, c'est aussi sur la simplicité d'utilisation que les équipes de QUALITEL ont particulièrement travaillé pour faire de CLÉA un outil facilitateur au quotidien. En quelques clics, les professionnels peuvent notamment :Créer, avec le moins de saisie possible, l'espace dédié au projet ;Renseigner automatiquement les informations principales du projet et du site, en téléchargeant simplement l'étude thermique au format XML et en indiquant l'adresse de la maison ;Créer des modèles types de maisons, duplicables / adaptables à d'autres projets ;Personnaliser facilement la liste des équipements, à partir d'une bibliothèque régulièrement mise à jour en fonction des évolutions techniques, des informations, notices et conseils rédigés par les experts QUALITEL.Du côté des propriétaires : un service en plus, avant, pendant et après le chantier Avec CLÉA, via un accès dédié, protégé par un code personnel, les particuliers peuvent :Suivre plus facilement l'avancée de leur projet ;Accéder à l'ensemble des données, qu'elles soient relatives au contrat, aux caractéristiques techniques, aux équipements... ;Bénéficier de conseils et de contenus variés autour de la maison : écogestes, qualité de l'air intérieur, ventilation... ;Etc.Ce service d'accompagnement perdure par ailleurs au-delà de la livraison avec des rappels automatiques pour l'entretien des équipements, ainsi qu'un outil de suivi des consommations d'énergie conforme à l'article 23 de la RT 2012, disponible en option d'ici la fin 2020.Mieux informés, les propriétaires peuvent pleinement s'impliquer dans leur projet et s'approprier facilement le fonctionnement de leur maison et ainsi, assurer la pérennité de leur bien.*L'ensemble des informations stockées sont hébergées sur des serveurs en France et sont protégées dans le respect de la réglementation RGPD.CLÉA en brefDe quoi s'agit-il ? Un espace numérique dédié à la maison, pensé pour faciliter et renforcer la qualité de la relation client.Pour qui ?Pour tous les professionnels de la construction, en maison individuelle : constructeurs, promoteurs, maîtres d'œuvre, architectes, etc.Quand et comment y accéder ?Dès le 18 mai 2020, sur smartphones, tablettes et ordinateurs via clea.qualitel.orgCombien ça coûte ?40€ HT / maison25€ HT / maison pour les professionnels engagés dans la certification NF HabitatProchaines étapes ? Dans les tous prochains mois, CLEA sera disponible pour les acteurs du logement collectif. A l'automne 2020, une version 100% grand public sera également déployée permettant de créer l'espace de son logement actuel.
Il y a 5 ans et 16 jours

Depuis le début de la crise sanitaire, le CSTB poursuit et adapte son activité de formation au service des professionnels

Le CSTB, comme toutes les entreprises, organismes de recherche et centres de formation, est directement impacté par la crise sanitaire majeure que nous traversons. Dans ce contexte exceptionnel, notre priorité est de prévenir le risque pour toutes les personnes que nous côtoyons et avec lesquelles nous travaillons, nos clients et partenaires, parmi lesquels une centaine de formateurs et près de 2 000 professionnels formés chaque année, nos fournisseurs et prestataires. Depuis le début de la crise sanitaire, l'activité de formation du CSTB au service des professionnels a été poursuivie et adaptée : une sélection des formations en présentiel a été aménagée sous forme de classes virtuelles, complétant ainsi l'offre de formation e-learning. Ces formations à distance se poursuivront dans les mois à venir, y compris quand les formations en présentiel reprendront. Le MOOC E+C- a été à nouveau mis à disposition des professionnels, pour les aider à mieux comprendre les enjeux de l'expérimentation et les exigences des niveaux Carbone et Énergie, en lien avec la future réglementation RE2020. Fin juin nous proposerons à nouveau des formations en présentiel. Les premières formations programmées au début de l'été privilégieront les thématiques de la qualité de vie au travail, ainsi que l'analyse du cycle de vie. Un protocole sanitaire spécifique permettant de garantir la sécurité sanitaire des formateurs et des stagiaires sera prochainement disponible sur notre site Internet. Les équipes Formations du CSTB restent à votre écoute pour programmer avec vous les formations qui répondront le mieux à vos besoins, en Inter-entreprises comme en Intra-entreprise ou sur-mesure. > Pour nous contacter
Il y a 5 ans et 16 jours

"La rénovation énergétique, excellent candidat pour le plan de relance" E.Wargon

ENTRETIEN EXCLUSIF. Rénovation énergétique, label RGE, coups de pouce CEE, diagnostic de performance énergétique, réglementation environnementale, relance... La secrétaire d'État à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, a reçu Batiactu au ministère pour effectuer un tour d'horizon de l'actualité.
Il y a 5 ans et 16 jours

Riou Glass invente le premier verre sanitaire auto-désinfectant pour faire barrière au Coronavirus

Même pendant la période de confinement, le verrier RIOU Glass n’a jamais cessé d’innover. Pour faire face à la crise sanitaire du COVID-19, et la nécessité de protéger les populations, l’ETI normande annonce avoir mis au point le premier verre auto-désinfectant.Chauffé à intervalle régulier, à une température de 70°C, ce vitrage, qui ne présente aucun risque de brûlure pour l’homme, a la particularité de s’auto-désinfecter. Il permet ainsi de faire barrière à la propagation du COVID-19.« Des études scientifiques montrent que le COVID-19 perd de son potentiel infectieux quand il est soumis à une température de 65°C pendant 5 à 10 minutes. Une technique qui est utilisée dans des CHU pour désinfecter le matériel médical » explique Christine Riou, Vice-Présidente de RIOU Glass.Une technologie déjà éprouvéePour concevoir ce nouveau verre sanitaire, l’ETI RIOU Glass s’est appuyée sur une technologie déjà éprouvée, celle de son autre innovation : le vitrage chauffant par rayonnement CalorGlass®.Grâce à une fine couche de microparticules métalliques déposée à l’intérieur du vitrage, la paroi reliée à une alimentation électrique monte progressivement en température jusqu’à 70°C dans le cadre de son application sanitaire (20 à 45°C pour une fonction chauffage). Le tout étant totalement invisible à l’œil nu et automatisable.« Les produits d’hier ne seront plus ceux d’aujourd’hui. Pour protéger la population des virus ou bactéries, les architectes et designers devront nécessairement intégrer dans leurs créations cette notion de protection sanitaire. Imaginez le nombre de personnes que des surfaces vitrées auto-désinfectantes pourraient protéger à l’avenir. Les applications et perspectives sont nombreuses : dans les hôpitaux, hôtels, restaurants, bureaux, transports publics (aéroports, gares, trains, métros, bus…), magasins… » poursuit Christine Riou.HygiaGlass® : une gamme complète d’écrans de protection sanitaireCette nouvelle utilisation du verre est d’ores et déjà applicable dans la nouvelle gamme d’écrans de protection sanitaire lancée par RIOU Glass. Destinée à protéger les personnes travaillant en contact direct avec le public (accueils, guichets ou caisses des commerces, entreprises, administrations, cabinets médicaux, établissements de santé…), la gamme HygiaGlass® offre, en plus de solutions verrières sur-mesure, 3 modèles standardisés en verre extra-clair trempé de sécurité, faciles à poser et amovibles : SOLO LUNA, des écrans de protection design tout en verre, SOLO PURA, avec supports métalliques, et TRIO, équipés de protections d’angle vitrées.RIOU Glass propose également sur ses solutions de protection parfaitement transparentes, qu’elles soient standardisées ou sur-mesure, plusieurs options de personnalisation possibles (encoches passe-documents, parloirs, coins arrondis). Ces écrans vitrés peuvent aussi être marqués (logos, textes, images…) ou encore opacifiés pour offrir plus d’intimité entre deux espaces.« Le verre est un matériau noble, qualitatif, recyclable à l’infini. Il offre de nombreux avantages par rapport au plexiglas que ce soit en termes d’esthétique, d’hygiène, de facilité d’entretien ou de durabilité dans le temps. Des écrans qui de surcroît participent à la reprise de notre économie car de production 100% française » conclut la Vice-Présidente.
Il y a 5 ans et 17 jours

Concession de 30 ans à Voltalia pour une centrale photovoltaïque

Le Ministère de l'Infrastructure et de l'Énergie albanais avait attribué mercredi à Voltalia un contrat de concession de 30 ans, suite à un appel d'offre lancé en janvier mais retardé à deux reprises en raison de l'épidémie du coronavirus et de l'interdiction des déplacements qui s'en est suivie, a indiqué le président de la Chambre de commerce, Julien Roche."Avec une capacité de 140 mégawatts, le projet de Karavasta représente pour Voltalia la deuxième plus importante centrale photovoltaïque au monde", selon lui.Les autorités albanaises de l'Énergie ont annoncé que Voltalia va investir 100 millions d'euros à Karavasta, qui bénificie en moyenne de 2.700 heures de soleil par ans.Sur les 140 mégawatts, la moitié sera vendue à 24,89 euros le mégawattheure via un contrat de vente d'énergie de 15 ans conclu avec l'État albanais, a-t-il précisé.Le reste de l'énergie sera vendu selon les termes d'un autre contrat à long terme négocié sur le marché.Voltalia est présent en Albanie depuis 2018 à travers des contrats de construction clés en main pour des clients tiers portant sur trois centrales photovoltaïques (7,5 mégawatts) situées à 10 kilomètres de la future centrale de Karavasta.L'Albanie continue à diversifier ses énergies renouvelables en se tournant essentiellement vers le solaire et l'éolien, selon les autorités albanaises.
Il y a 5 ans et 17 jours

Lancement du chantier du parc éolien de Fécamp

EDF Renouvelables, Enbridge et wdp ont annoncé le début du chantier du parc éolien en mer de Fécamp. D’une capacité de 500 MW, le parc éolien en mer de Fécamp sera composé de 71 éoliennes localisées entre 13 et 22 km au large des côtes. Sa mise en service est prévue à l’horizon 2023.
Il y a 5 ans et 17 jours

LG Solar distribue des cerisiers à ses clients dans le cadre de son Plan Climat - Neutralité Carbone 2030

La protection de l'environnement et la réduction des activités à forte production d'énergie sont en tête des priorités des entreprises pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique. La division solaire de LG Electronics bénéficie déjà d'une très bonne réputation dans toute l'Europe en matière de durabilité, et cherche constamment à prendre de nouvelles mesures pour renforcer son engagement. LG Solar a notamment décidé de donner à ses clients de jeunes cerisiers à planter ou installer au sein de leurs locaux. Cette action concrète fait partie d'un ensemble de mesures prises par le groupe afin d‘atteindre la neutralité carbone dans toutes ses activités opérationnelles d'ici 2030.Un pas de plus vers la neutralité en CO²Depuis des années, LG Solar produit des modules solaires de haute qualité ainsi que des systèmes de stockage d'énergie, contribuant ainsi de manière décisive au redressement de la situation énergétique. Néanmoins, LG Electronics souhaite continuellement renforcer son engagement et a ainsi élaboré un ensemble de mesures pour lesquelles LG Solar s'est également engagée. Sous la devise « Pour un présent meilleur et un meilleur futur », LG a défini trois grands objectifs que l'entreprise vise à atteindre d'ici 2030 :la mise en œuvre de la neutralité en CO² dans toutes les activités d'exploitation,des programmes de bénévolat réguliers pour les employés dans tous les pays,un taux de recyclage de 95% pour les déchets dans les installations de production.Mais ces mesures demandent du temps avant de pouvoir être pleinement effectives. Alors, en attendant, LG Solar a réfléchi à des actions à plus court terme, comme la campagne « Cherry Trees », qui consiste à faire don de jeunes arbres à ses clients. Les cerisiers, particulièrement reconnus pour leur efficacité à absorber beaucoup de CO², sont adaptés à tous les jardins et peuvent être plantés sur n'importe quelle surface. À première vue, ce n'est qu‘un petit pas, mais cela aide chaque client à participer à la lutte contre le réchauffement climatique à son échelle.« Chez LG, nous travaillons continuellement la durabilité de nos produits afin de contribuer à un monde meilleur. Au cours des prochaines années, nous allons développer des produits plus intelligents qui fonctionnent encore plus efficacement, et en réseau, et qui sont également fabriqués dans des conditions optimisées. Mais nous voulons aussi regarder au-delà de nos propres horizons et sensibiliser davantage les acheteurs à la protection du climat avec des campagnes telles que Cherry Trees. » Explique Michael Harre, Vice President EU Solar Group chez LG Electronics.
Il y a 5 ans et 17 jours

Les artisans du BTP veulent croire à la relance économique du secteur

Fort de son positionnement privilégié avec plus de 2.200 artisans partenaires, PrimesEnergie.fr dévoile les principaux enseignements de son enquête de terrain inédite réalisée à la sortie du confinement.Principaux enseignementsEn dépit de la crainte d'un « trou d'air » post-confinement...Si 91% des artisans estiment avoir pris les mesures sanitaires nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des salariés, plus d'un patron sur deux craint d'envoyer ses collaborateurs travailler sur les chantiers. Le coronavirus représente une menace latente sous laquelle il est difficile d'être serein : très partagés, seule la moitié estime que les conditions sont réunies pour que le secteur du BTP poursuive son activité.Alors que 54% des répondants déclarent avoir conservé une activité relativement normale durant la période de confinement, une part significative d'artisans a été contrainte de cesser toute activité (23%) quand d'autres ont pu limiter la casse en recourant au chômage partiel (23%). Moins touchés que dans les secteurs de la restauration, du tourisme ou de l'événementiel, les professionnels du bâtiment s'interrogent sur la capacité du gouvernement à soutenir durablement le secteur (59%).Alors que les particuliers représentent 2/3 de leur activité, le maintien des aides comme le dispositif des certificats d'économie d'énergie ou la TVA à 5,5 % sur certains travaux est pour eux un enjeu majeur. Ainsi, alors que les résultats de l'étude OpinionWay révélaient notamment que près de 7 Français sur 10 s'inquiètent de la capacité de l'État à maintenir les aides à la rénovation énergétique, 63% des artisans du BTP s'inquiètent quant à eux de la capacité des particuliers à financer leurs travaux.Au-delà de la problématique du financement, 46% des professionnels craignent de voir baisser la motivation des Français à réaliser des travaux. Enseignements de nature à les rassurer : 59% des Français se déclarent inquiets de la disponibilité des artisans pour continuer et terminer les travaux de rénovation et 41% craignent de ne pas pouvoir concrétiser leurs projets en la matière.... Le moral des artisans du BTP résiste à la crise.Alors que le marché du bâtiment est l'un des premiers secteurs d'activité économique du pays, les artisans du bâtiment se montrent globalement optimistes sur les perspectives économiques d'une façon générale et le marché du bâtiment en particulier (52%). Indicateur révélateur de leur état d'esprit positif : près de 7 sur 10 témoignent également leur confiance dans la capacité de leur entreprise à surmonter la crise et à maintenir les emplois.Malgré les difficultés occasionnées par la crise actuelle, 26% des artisans interrogés estiment avoir retrouvé leur niveau habituel d'activité à la rentrée et 35% pensent avoir repris ¾ de leur activité.« Cette enquête terrain transmet une vision particulièrement encourageante de la perception des professionnels du bâtiment. Elle permet de relever l'évolution du paysage général et démontre que la transition écologique est synonyme de relance économique vertueuse autant pour les particuliers que les professionnels. L'étude que nous avons réalisée avec OpinionWay démontre avec force que les Français ne veulent plus choisir entre l'économie et l'environnement et que les aides à la rénovation énergétiques et les certificats d'économie d'énergie en particulier seront une des pierres angulaires de la reprise » - Nicolas Moulin, Président de PrimesEnergie.fr.Note méthodologique : enquête réalisée en mai 2020 auprès de 370 artisans du bâtiment.
Il y a 5 ans et 17 jours

Détecter les incendies (et la fièvre) le plus tôt possible

HIK Vision a mis au point des caméras permettant la détection précoce d’incendie en extérieur. La société vient de voir 15 de ses systèmes de détection de chaleur par caméra thermique certifiés par le CNPP.
Il y a 5 ans et 18 jours

La Cour des comptes inquiète des prêts accordés à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie

"Le risque pour l'État de ne pas être remboursé de certains de ses prêts n'est pas négligeable et la situation des entreprises aidées est loin d'être redressée", a-t-elle souligné dans son référé consacré à "vingt ans de soutien financier de l'État à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie"."Compte tenu du départ annoncé par Vale de son site calédonien", la Cour des comptes recommande à l'État de "s'assurer du remboursement du prêt accordé en 2016", rappelant qu'il s'élevait à 200 millions d'euros et qu'il avait été accordé à Vale Canada "pour surmonter les difficultés de trésorerie" de Vale Nouvelle-Calédonie.Le groupe brésilien envisageait alors la "mise sous cocon" de son site d'extraction de nickel si l'État français ne soutenait pas sa filiale calédonienne.Malgré ce soutien, Vale a annoncé l'année dernière son retrait de Nouvelle-Calédonie, mais s'est "jusqu'à présent acquitté des intérêts dus. Il convient de s'assurer du remboursement de ce prêt, qui doit, au plus tard, intervenir de façon échelonnée entre 2021 à 2026", souligne-t-elle.Dans ce même référé, la Cour juge aussi sévèrement un "prêt risqué" accordé en 2011 par l'Agence française de développement (AFD), d'un montant initial de 170 millions d'euros, à la société minière du Sud Pacifique (SMSP).Malgré une restructuration l'an dernier qui a maintenu l'encours du prêt à 56 millions, "le risque de non remboursement du prêt de l'AFD demeure, comme en témoigne le provisionnement élevé de la créance par l'AFD", constate le référé.La Cour revient également sur le projet de construction d'une nouvelle centrale électrique, dite "centrale pays", qui dispose d'une garantie de l'État de 320 millions d'euros. "Compte tenu de l'exposition importante de la puissance publique, la Cour recommande de clarifier les conditions du fonctionnement futur et du financement de la centrale avant d'octroyer la garantie de l'État", souligne-t-elle.Elle demande aussi au ministère des Comptes publics de supprimer l'actuel dispositif de défiscalisation en faveur des investissements productifs, jugé "coûteux et complexe", et de le remplacer par des mécanismes de soutien accordés par les collectivités de Nouvelle-Calédonie et, le cas échéant pour les projets les plus importants, par des aides financières de l'État ou de Bpifrance.
Il y a 5 ans et 18 jours

Après les bus Macron, une navette nommée Désir

En France on n’a pas de pétrole mais des énarques rarement capables, par formation, d’avoir une idée originale. Aussi le grand sauvetage du jour d’après ressemble à ce jour à un grand sauve-qui-peut : il faut sauver l’industrie automobile française, il faut sauver l’industrie aéronautique française, il faut sauver l’industrie de l’armement française, il faut […] L’article Après les bus Macron, une navette nommée Désir est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 18 jours

Les collectivités concédantes et régies présentent leurs propositions de relance

RESEAUX. Pour apporter sa pierre à l'édifice de la relance post-Covid, la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) dévoile une quinzaine de propositions pour les secteurs de l'énergie, du cycle de l'eau, du numérique et de l'éclairage public.
Il y a 5 ans et 18 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE BAKU, UN PLAFONNIER ENCASTRÉ LED À FAIBLE LUMINANCE POUR UN ÉCLAIRAGE SUR-MESURE TRЀS ÉCONOME EN ÉNERGIE

EAS SOLUTIONS, spécialiste français de l’éclairage LED professionnel, présente BAKU un encastré LED conçu pour un éclairage sur-mesure, sans éblouissement et très économe en énergie. Le plafonnier encastré LED BAKU offre un éclairage performant à faible luminance (UGR< 19) pour un meilleur confort visuel. Son efficacité lumineuse est de 103 lm/W avec un flux lumineux de 3100 lm en 4000K (blanc neutre). Disponible en plusieurs puissances (20W et 30W) et températures de couleur (blanc chaud et blanc neutre), il possède un corps en polycarbonate et un réflecteur en métal poli avec Darklight. Son angle de faisceau est de 55° et sa durée de vie de 50 000 heures. Il fonctionne à des températures allant de -10° à +40° en on/off ou sur variateur, protocole DALI inclus et est garanti 5 ans. Equipé en option de luxmètre et de détecteur de présence, le plafonnier BAKU permet d’obtenir un éclairage LED à la carte très économe en énergie qui autorise dans un même espace différents niveaux d’éclairement. Il adapte ainsi la puissance du flux lumineux en fonction de la luminosité extérieure, du taux d’occupation des lieux et des besoins des utilisateurs, prenant en compte aussi bien la proximité d’une source de lumière naturelle que les préférences en éclairage de chacun. Compatible avec le système intelligent de gestion Digital Lumens (division du groupe Osram), le plafonnier LED BAKU peut-être également connecté. Il communique alors via le maillage radio des luminaires et constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Contrôlé le plus souvent par zone d’activité, l’éclairage passe ainsi automatiquement du niveau d’éclairement le plus bas en l’absence d’occupation au niveau d’éclairement maximum en pleine activité. En plus d’apporter un grand confort visuel aux utilisateurs, cette installation tertiaire intelligente réduit considérablement la consommation d’énergie, mesurable en temps réel. Le luminaire LED BAKU ainsi connecté économise 90 % d’énergie sur l’éclairage. Il est particulièrement adapté à l’éclairage des bureaux, espaces communs, locaux commerciaux, zones de transit des gares et aéroports … A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 5 ans et 19 jours

Nouveaux "coups de pouce" pour les chaufferies en habitat collectif et du tertiaire

Le dispositif des CEE a &eacute;t&eacute; am&eacute;nag&eacute; : un nouveau &laquo;&nbsp;Coup de Pouce&nbsp;&raquo; chaufferie fioul est apparu pour l&#39;habitat collectif ainsi qu&rsquo;un nouveau &laquo;&nbsp;Coup de Pouce Chauffage des B&acirc;timents Tertiaires&nbsp;&raquo;.
Il y a 5 ans et 19 jours

Nucléaire : Hinkley Point C franchit une nouvelle étape

EDF a annoncé le 1er juin que la pose de la dalle qui accueillera le deuxième réacteur EPR de la centrale britannique était achevée. Un ouvrage réalisé dans les délais impartis malgré la pandémie.
Il y a 5 ans et 19 jours

Tout savoir sur le ciment bas carbone

Le ciment est un produit pulvérulent obtenu à partir de la cuisson du calcaire et de l’argile. Mélangée avec de l’eau, cette poudre permet d’agglomérer des sables et des granulats pour donner du mortier. En fonction de l&rsquo;utilisation du ciment, l’incorporation de nombreux autres éléments permet de constituer des véritables roches artificielles, dont le béton. La fabrication du ciment Les étapes suivantes sont nécessaires pour la fabrication du ciment. La première consiste à extraire les matières premières et les homogénéiser. Ensuite, il va falloir les sécher et les broyer. La cuisson constitue l’avant-dernière étape et le refroidissement marque la fin du processus. La cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire sont les deux importantes tâches de la production. Des combustibles fossiles ou de substitution sont utilisés pour la cuisson à 1450°C du clinker. Environ 40% des émissions de gaz à effet de serre sont imputées à cette étape, et les 60%  restants, à la décarbonatation du calcaire. Il est à rappeler que le béton est caractérisé par sa résistance mécanique, surtout à la pression, ainsi que sa très grande adaptabilité. Il est généralement composé d’eau, de ciment, de gravier et/ou d’adjuvants. Malgré sa faible masse, seulement 11,74 % par rapport à celle du béton, le ciment contient plus de 98% du carbone émis. Ciment et réchauffement climatique Actuellement, le monde fait face au réchauffement climatique, qui est dû principalement aux émissions de gaz à effet de serre. Il est prouvé que l’utilisation excessive du ciment dans la construction a un impact non négligeable dans la production de ces gaz. En effet, le monde produit chaque année 4 gigatonnes de ciment. Des études ont révélé que 10% des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale proviennent du secteur de la construction, dont 52%  sont produites par le ciment. Le ciment bas carbone c’est quoi ?  La diminution des émissions de gaz à effet de serre dans la fabrication du ciment permet d’obtenir du ciment « bas carbone ». Le lien suivant permet d’obtenir de plus amples informations sur le béton bas carbone de Ciments Hoffmann Green. L’obtention du ciment bas carbone est basée sur la cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire. Pour la cuisson du clinker, la valorisation énergétique des déchets non recyclables et leur utilisation en tant que combustible de substitution permettent une réduction notable des émissions de gaz à effet de serre. Le meilleur moyen de les réduire est de diminuer la quantité du calcaire à décarbonater, par  utilisation des matériaux de substitution de cet élément. Ce sont notamment les cendres volantes émanant des centrales thermiques et des laitiers de haut fourneau.
Il y a 5 ans et 20 jours

Les cellules solaires semi-transparentes une aubaine pour le bâtiment

Des scientifiques australiens affirment que des cellules solaires semi-transparentes pouvant être incorporées dans des fenêtres en verre pourraient transformer l&#8217;architecture, l&#8217;urbanisme et la production d&#8217;électricité. Les chercheurs dirigés par le professeur Jacek Jasieniak du Centre d&#8217;excellence ARC en sciences de l&#8217;Exciton et de l&#8216;Université Monash ont fait une percée avec la prochaine génération de cellules [&#8230;]
Il y a 5 ans et 22 jours

2e édition du Baromètre Covid-19 Ingénierie : une reprise à la peine malgré le déconfinement

Un trou d'air qui se double d'une accentuation des difficultés de trésorerie : la 2e édition du baromètre Covid-19 réalisée par Syntec-Ingénierie auprès de ses membres révèle qu'1 entreprise sur 2 est désormais confrontée à des délais de paiement plus importants.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Les appels d'offres publics et privés repartent à la hausse un peu partout en France. Néanmoins, l'investissement est très loin d'avoir retrouvé un niveau d'avant-crise. De nombreux points de blocages subsistent, notamment au niveau local où les décisions restent conditionnées à la tenue du 2nd tour des élections municipales. Cela crée un trou d'air et impacte durement les entreprises d'ingénierie qui sont à l'avant-poste de la relance de l'activité économique. » Un ralentissement économique qui se poursuit malgré le déconfinementL'ingénierie accompagne maîtres d'ouvrages et industriels dans la conception et réalisation de leurs projets industriels et de construction (aéronautique, automobile, environnement, construction, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.).Alors que le confinement a pris fin le 11 mai et que l'investissement repart légèrement à la hausse, les entreprises d'ingénierie sont toujours plus nombreuses à enregistrer une baisse de leur prise de commandes par rapport à l'année dernière : 86% des répondants contre 70% il y a deux semaines. Logiquement, elles sont également plus nombreuses (95%, vs. 90%) à anticiper une baisse de leur activité au second semestre 2020. Enfin, elles sont 36% (vs. 28% précédemment), à estimer que le redémarrage économique n'aura pas lieu avant au moins un an. La trésorerie des entreprises mise à malCe phénomène de trou d'air pèse sur la trésorerie des ingénieristes. Ceux-ci sont pris dans un double mouvement contradictoire : d'une part la diminution de la part de leurs collaborateurs en activité partielle (de 30% la semaine du 27 avril à 19% celle du 12 mai) ; et d'autre part, l'apparition de nouvelles difficultés financières. Dorénavant, plus d'une entreprise sur 2 est confrontée à un allongement des délais de paiement (en 2 semaines : + 15 jours en moyenne pour 30% d'entre elles).Elles doivent également prendre à leur charge les frais des mesures de sécurité sanitaire qui permettent le retour au bureau de leurs collaborateurs qui sont de moins en moins nombreux à télétravailler (de 54% à 45%). Adaptation des postes, fourniture de kits sanitaires, désinfection des locaux… les entreprises devront en moyenne débourser 800 euros par salarié en 2020 et pour 78% d'entre elles, ces frais seront à leur charge uniquement.Focus télétravail : du working office au meeting office ?Les entreprises d'ingénierie, qui ont fait preuve de responsabilité, ont massivement eu recours au télétravail dès le début de la crise. Si plus d'1 entreprise sur 2 pense que cette nouvelle modalité de travail peut faire gagner en performance, elles sont 60% à estimer que le télétravail en période de confinement a engendré une perte de productivité. A cela s'ajoutent des difficultés liées à l'isolement, au manque de communication entre collaborateurs et au management quotidien.Un constat en demi-teinte qui s'accompagne néanmoins de bénéfices, avec en top 3 : la fin du temps de trajet domicile-travail, un meilleur équilibre vie professionnelle/personnelle et une meilleure concentration.« La crise liée au Covid-19 a changé la donne concernant le télétravail. S'il est clair qu'il sera amené à se généraliser, il conviendra de trouver un nouveau point d'équilibre. Le passage brutal du tout bureau au 100% télétravail ne s'est pas fait sans heurt – absence de préparation, situations personnelles complexes, etc. -. Les semaines à venir seront déterminantes pour inventer les nouvelles modalités du travail de demain et opérer une transition sereine du working office au meeting office. »- Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 11 mai. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 5 ans et 22 jours

Une subvention de la région IDF à un projet photovoltaique porté par Total fait débat

Le projet prévoit "d'installer sur une résidence étudiante de 487 places sur le campus de l'École Polytechnique une installation expérimentale de production photovoltaïque en autoconsommation collective. La centrale photovoltaïque de 200 KWc est associée à un système de stockage de l'énergie", précise l'exposé des motifs de la délibération, présentée en commission permanente du conseil régional, réunie en visioconférence mardi.La subvention était initialement accordée directement à Total, mais l'exécutif régional a finalement produit un amendement afin que la subvention soit accordée à l'École Polytechnique."C'est le fond du projet qui compte", a argumenté le vice-président du conseil régional, Jean-Philippe Dugoin Clément. "Ce projet est vertueux sur le plan écologique car il permet une expérimentation de stockage d'énergie et d'autoconsommation collective de l'énergie solaire. C'est un projet pour l'École Polytechnique, pas pour Total qui est concepteur de l'outil. Je demande qu'on ne fasse pas de faux procès à ce projet", a-t-il dit.Mais pour Céline Malaisé, du Front de gauche, cette subvention s'apparente à "une opération de greenwashing". "Tout semble ici fait pour préserver discrètement les intérêts de Total, d'autant que cette multinationale a signé ces derniers mois un partenariat avec la direction de Polytechnique pour l'installation d'un centre de recherche de ce géant pétrolier en plein cœur du campus de l'École", dénoncé par des associations d'élèves."Non seulement la région envisage de verser plus de 130.000 euros à Total, mais elle cherche à le dissimuler honteusement par un amendement de dernière minute", a dénoncé Ghislaine Senée, présidente du groupe Alternative Écologiste et Sociale, pour qui "l'action publique a vocation à faire œuvre de transformation écologique et sociale, pas à soutenir le greenwashing des sociétés les plus polluantes du CAC 40"."Comment les Franciliens pourraient-ils comprendre que Valérie Pécresse propose de verser 132.000 euros à Total et dans le même temps, 50.000 euros seulement à la banque alimentaire ?", a déploré François Kalfon, au nom du groupe socialiste, écologiste progressiste, soulignant que la Région Occitanie a "débloqué 1,2 million d'euros d'aide d'urgence pour la précarité alimentaire".La Région IDF a accordé dans cette délibération plus de 12.317.000 euros pour des projets environnementaux et énergétiques, allant de projets géothermiques à des projets photovoltaïques sur le toit d'écoles. Elle a adopté en juillet 2018 une stratégie énergie-climat visant à "doubler la production d'énergies renouvelables sur le territoire d'ici 2030".
Il y a 5 ans et 22 jours

FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building

L’agence FAAB Architektura (Adam Białobrzeski, Adam Figurski, Maria Messina), fondée à Varsovie (Pologne) en 2003, propose pour l’Arabie Saoudite une tour de 53 étages et 220 m de haut, intitulée Vertical Oasis Building, censée prendre soin d’elle-même et de son environnement. Intelligence artificielle&#160;? Communiqué. Capter l&#8217;électricité du soleil, réduire la demande énergétique du bâtiment, créer [&#8230;] L’article FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 22 jours

Le parc photovoltaïque français installé a atteint 10,1 GW à la fin mars

SOLAIRE. La puissance du parc photovoltaïque français a atteint 10,1 GW à la fin mars 2020, selon les statistiques du ministère de la Transition écologique. Quelque 182 MW de capacités supplémentaires ont été installés durant le premier trimestre, essentiellement dans le Sud de l'Hexagone.
Il y a 5 ans et 22 jours

Cheville nylon pour tige filetée RODFORCE fischer

Economique et ultra-simple à installer &nbsp; La cheville nylon RODFORCE fischer est une véritable alternative économique et fiable aux solutions existantes pour fixer les tiges filetées dans tous les matériaux de construction pleins. Grâce à sa géométrie innovante, cette cheville assure un ancrage rapide, facile et parfaitement sûr de la tige filetée, sans outil spécifique, et en quelques coups de marteaux seulement. Elle offre, sans conteste, un gain de temps lors de la pose et réduit l&rsquo;effort. Les tiges filetées sont utilisées dans de nombreuses applications : pose de conduites, installation d&rsquo;appareils sanitaires et de chauffage, fixation de colliers, de consoles, de rails de montage&#8230; Avec la cheville RODFORCE, fischer apporte une solution économique, ergonomique et fiable pour une installation simple et rapide de toutes les tiges filetées métriques standard. La cheville garantit une transmission de charge élevée entre la fixation et le matériau de construction. Pour un montage facile et rapide La cheville pour tige filetée RODFORCE assure un ancrage rapide, facile et parfaitement sûr dans les matériaux de construction pleins. Grâce à un corps court de 35 mm, elle ne nécessite qu&rsquo;une faible profondeur d&rsquo;ancrage évitant ainsi de heurter les barres d&rsquo;armature présentes dans le matériau. Elle peut être utilisée en toute sécurité dans le béton armé, les briques pleines et les briques silico-calcaires. L&rsquo;intérieur cranté de la cheville permet de maintenir solidement tous les filetages métriques standard, évitant ainsi à l&rsquo;utilisateur de stocker un large assortiment de tiges filtetées. La cheville RODFORCE s&rsquo;installe facilement en quelques coups de marteau et peut se mettre en œuvre de deux façons : &#8211; soit en la mettant en place directement avec la tige filetée, &#8211; soit en insérant d&rsquo;abord la cheville dans le forage et ensuite la tige filetée. Sous l&rsquo;effet de la frappe, la cheville s&rsquo;expanse dans quatre directions en raison de sa géométrie interne conique. Les crans à l&rsquo;intérieur de la cheville permettent de verrouiller fermement les tiges filetées, et garantissent un ancrage parfaitement sûr. Par ailleurs, grâce à la collerette visible, les utilisateurs peuvent vérifier si la cheville est correctement positionnée dans le matériau. Cette collerette sert de repère visuel et assure le bon ancrage ainsi qu&rsquo;une plus grande sécurité. Enfin, l&rsquo;extrémité fermée de la cheville est utilisée comme point d&rsquo;arrêt ce qui permet d&rsquo;obtenir une profondeur d&rsquo;ancrage homogène de plusieurs points de fixation. La pointe de la cheville comprend également un point de rupture permettant d&rsquo;enfoncer la tige filetée plus profondément pour un ajustement et un réglage en hauteur. Il sera ainsi possible, par exemple, de poser des tuyaux, tous au même niveau. Insérez la tige filetée dans la cheville &#8211; Insérez l&rsquo;ensemble dans le forage &#8211; Quelques coups de marteau : c&rsquo;est prêt !
Il y a 5 ans et 22 jours

Blocs isolants bas carbone Fabemi

Une réponse au label E+C- et à la RE 2020 Lancé en novembre 2016, le label Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone E+C- a pour objectif de produire des bâtiments à énergie positive et à faible empreinte carbone. Il s’agit d’anticiper, avec tous les acteurs de la construction (maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, entreprises), la Réglementation Environnementale (RE) 2020 dans la construction neuve. Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie. Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100 % naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020. L’objectif étant également de combiner  béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m2 de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi. &nbsp; Construire E+C- avec du béton bas carbone Les trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle. De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100 % recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ». Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire. &nbsp; Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR Fabemi Deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100 % minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction. &nbsp; • Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m2.K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+4 • Fabrication française &nbsp; • Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m2.K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+3 • Fabrication française &nbsp; • Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2. Les + • Mode de pose mortier / maçonner • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française &nbsp; Bloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO Fabemi Le bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française
Il y a 5 ans et 23 jours

Dossier : 5 maisons qui nous donnent des envies de vacances

Comme les beaux jours arrivent et sentent bon l’été, la rédaction de Muuuz vous dévoile ses maisons de vacances préférées pour rêver de voyages à venir.&nbsp; Le ranch Cuadra San Cristóbal de Luis Barragán, MexiqueDevenu internationalement célèbre, le ranch Cuadra San Cristóbal est connu pour ses murs rose fuchsia, sa volumétrie géométrique audacieuse et sa grande pièce d’eau turquoise. Construit à la fin des années 1960 pour la famille Egerstrom, ce ranch graphique ouvert sur la nature continue de fasciner. . On the Rocks de David Tajchman, FranceInspiré par l'aérodynamisme de la voiture du propriétaire ainsi que par le site balnéaire sur lequel son dernier projet prend place, l'architecte français David Tajchman imagine une résidence toute en courbe dominant la mer Méditerranée. Une réalisation spectaculaire qui s'inscrit dans un environnement complexe. . Ca l’Amo de Marià Castelló, EspagneLa maison de vacances Ca l’Amo, conçue par le studio Marià Castelló, trône dans une clairière idyllique de la campagne d’Ibiza. La résidence se compose de cinq volumes rectangulaires similaires, mais distincts. Les trois premières entités abritent les espaces de vie réservés à la famille et la quatrième est un logement indépendant voué à accueillir des invités, tandis que la cinquième fait office de terrasse ombragée. Entre les habitations et la terrasse se trouve une piscine, où la vue sur les montagnes et forêts alentour est à couper le souffle. . Villa Casa Vara de Caprini & Pellerin architectes, France Faire honneur à la culture méditerranéenne dans une conception contemporaine ? Pari accepté pour l'agence française Caprini & Pellerin – duo cannois composé de Kevin Caprini et Jerry Pellerin –, qui signe une villa solaire sur la Côte d'Azur, inspiré à la fois par l'architecture vernaculaire et les ouvrages californiens. Résultat ? Un édifice aussi luxueux que rustique au sein duquel on passerait bien quelques vacances. . Es Bec d’Aguila d’Atelier du Pont, EspagneInstallé sur l'île de Minorque, aux Baléares, un couple entreprend le pari fou de réhabiliter une finca typique de la région en une maison d'hôte de charme. Pour réaliser ce projet, Benedicta et son époux font appel au cabinet parisien Atelier du Pont qui imagine une demeure contemporaine aux accents méditerranéens répondant au doux nom d'Es Bec d'Aguila.La Rédaction
Il y a 5 ans et 23 jours

Plainte en Slovénie concernant une centrale livrée par Alstom

Un acte d&#39;accusation portant sur des abus de pouvoir et du blanchiment d&#39;argent concernant une centrale &agrave; charbon r&eacute;alis&eacute;e par le g&eacute;ant fran&ccedil;ais Alstom a &eacute;t&eacute; d&eacute;pos&eacute; en Slov&eacute;nie.
Il y a 5 ans et 24 jours

Le point sur les aides financières à la rénovation des logements

Le Cr&eacute;dit d&#39;imp&ocirc;t &agrave; la transition &eacute;nerg&eacute;tique a v&eacute;cu, les op&eacute;rations &agrave; 1&euro; ont disparu, alors vive MaPrimeRenov&rsquo;&nbsp;! Les&nbsp;aides financi&egrave;res &agrave; la r&eacute;novation des logements ne sont pas simples &agrave; suivre. Petit r&eacute;capitulatif.
Il y a 5 ans et 24 jours

La plus grosse éolienne de mer du monde voit le jour

Siemens Gamesa lance une &eacute;olienne offshore de 14 MW avec un rotor de 222 m&nbsp;: c&rsquo;est la plus puissante &eacute;olienne du monde &agrave; ce jour
Il y a 5 ans et 24 jours

Sol et solaire : un couple franco-allemand fécond

La compétitivité de l’énergie photovoltaïque passe par les centrales au sol. Cette leçon se dégage de la conférence donnée le 27 mai par l’Office franco-allemand pour la transition énergétique (Ofate), avec 250 participants. Malgré ses progrès technologiques, la filière reste handicapée par sa gourmandise foncière.
Il y a 5 ans et 24 jours

Energie : Teksial change de logo et confirme son positionnement

IDENTITE VISUELLE. Filiale du groupe Engie, Teksial, acteur de la transition énergétique, fait évoluer son logo de manière à renforcer son statut d'acteur d'économie d'énergie.
Il y a 5 ans et 24 jours

La Fedene formule ses propositions de relance post-Covid

TRANSITION. A l'heure où la machine économique se remet doucement en route, des acteurs privés du bâtiment et des services énergétiques font part de leurs contributions pour les plans de relance post-coronavirus. Rénovation énergétique, gestion des installations, réseaux de chaleur et de froid... autant de propositions "portées" par la filière mais qui ont besoin d'un soutien accru des pouvoirs publics.
Il y a 5 ans et 25 jours

Une pompe alimentée par l'énergie solaire pour l'approvisionnement en eau des régions éloignées

Vers les grandes tendances d'avenirLa demande en eau augmente dans le monde entier et le changement climatique impacte principalement les réserves d'eau douce. Pour faire face à la croissance démographique continue, l'urbanisation galopante, les besoins croissants de l'agriculture et l'augmentation de la pollution de l'eau nécessitent des solutions rapides et fiables. Dans de nombreux pays, les sécheresses et les pénuries d'eau font souffrir les populations touchées et constituent une menace pour l'agriculture.« L'eau souterraine est une importante source d'approvisionnement en eau. Elle peut être pompée dans des puits à l'aide de pompes immergées », déclare Roman Zielinski, chef de produits chez Wilo. « Toutefois, dans les zones éloignées, une alimentation électrique stable est habituellement rare car il n'y a souvent pas de réseau électrique ou alors très instable. Nous avons adapté une méthode alternative nous permettant de produire l'énergie localement de manière fiable et de l'utiliser pour l'approvisionnement en eau. ». La Wilo-Actun OPTI-MS est une pompe alimentée en électricité à partir de l'énergie solaire, gratuitement et facilement accessible sans nécessité d'infrastructures telles que des câbles électriques ou de routes pour le transport de combustibles.L'approvisionnement en eau autonome dans les régions éloignéesLa Wilo-Actun OPTI-MS est conçue pour être utilisée en combinaison avec des installations photovoltaïques afin de former un système d'approvisionnement en eau autonome. Elle convient pour l'irrigation agricole et l'élevage. Le convertisseur de fréquence intégré rend possible à la fois l'utilisation de l'énergie solaire et le raccordement à une alimentation secteur en courant alternatif. Cette dernière peut être considérée comme une « solution de secours » lorsqu'il n'y a pas d'énergie solaire mais que l'eau doit continuer à être pompée pendant une durée limitée en cas de besoin exceptionnel. L'Actun OPTI-MS garantit un débit d'eau optimal grâce à ses rendements moteur et hydraulique élevés et à un algorithme MPPT (Maximum Power Point Tracking) dynamique : « La quantité d'énergie que le panneau solaire peut fournir dépend du soleil - le potentiel de performance respectif dépend de l'emplacement, de l'heure et de la météo », explique Roman Zielinski. « Le microprocesseur intégré calcule le rapport optimal entre le courant électrique et la tension en utilisant l'algorithme MPPT, afin de demander la plus grande quantité d'énergie. Le résultat obtenu offre une vitesse plus élevée et donc une plus grande quantité d'eau pompée. »Fonctionnement de la pompe par commande à distanceLe système de pompe requis, y compris la configuration du panneau solaire, peut être déterminé à l'aide d'un logiciel de configuration en ligne sophistiqué. Le logiciel peut fournir des prévisions précises concernant le débit d'eau moyen attendu en fonction des informations relatives à l'emplacement, la durée de fonctionnement et l'installation. Cela permet d'éviter le surdimensionnement et de réduire les coûts associés. L'Actun OPTI-MS peut être surveillée et commandée à distance par une application. « Ainsi, le fonctionnement de la pompe peut même être contrôlé sur de grandes distances à l'aide d'un smartphone. Si, par exemple, je décide que mon champ de céréales ne doit pas être irrigué aujourd'hui, je n'ai pas besoin de me rendre à la station de pompage pour modifier les réglages », déclare le chef de produit. « Si quelque chose change dans l'état de fonctionnement de la pompe, un message est envoyé sur le smartphone de l'opérateur afin que les contre-mesures correspondantes puissent être déclenchées. »L'utilisation de matériaux de grande qualité garantit une longue durée de vie de la pompe immergée. Tous les composants essentiels, tels que le carter moteur, les roues et les aubes directrices des pompes sont entièrement fabriqués en acier inoxydable. Le moteur encapsulé et le convertisseur de fréquence scellé avec de la résine soulignent le fait que Wilo a également mis l'accent sur la durabilité lors de la conception. Les fonctions de protection intégrées à la pompe lui évitent tous dommages dus au fonctionnement à sec, aux températures excessives et aux variations irrégulières des paramètres électriques. Le convertisseur de fréquence intégré étant déjà parfaitement adapté au système, aucun paramétrage complexe n'est nécessaire. L'installation électrique se limite donc au raccordement de la pompe et du système solaire.
Il y a 5 ans et 25 jours

Bois vs pellets : quel est le meilleur combustible pour le chauffage au bois

Si je vous demandais de citer deux énergies renouvelables utilisant la biomasse, il y a fort à parier que vos choix se porteraient sur le bois-bûche et le pellet. Effectivement, tous deux constituent un excellent moyen de chauffage et de production d’eau chaude. Le bois-énergie est la principale alternative aux énergies fossiles polluantes. Mais du [&#8230;]
Il y a 5 ans et 25 jours

Le salon Artibat est reporté aux 13, 14 et 15 octobre 2021

Alors que le salon ARTIBAT était quasiment complet au mois de mars (+ de 800 exposants pour 40 000 visiteurs attendus), l'élan et l'énergie déployés par tous pour que cette édition soit exceptionnelle, ont été freinés net par la pandémie mondiale actuelle.Cette décision de report d'une année a été motivée avant tout par les retours des exposants inquiets de la tenue du salon dans un contexte économique compliqué et par les dispositions sanitaires qui devraient très certainement continuer à s'appliquer au mois d'octobre. Conditions sanitaires indispensables et nécessaires mais qui semblent trop contraignantes pour envisager sereinement un Salon ARTIBAT, basé sur l'échange, la proximité et la convivialité. Une recette qui a fait ses preuves depuis 32 ans déjà.Valérie Sfartz, Directrice du Salon ARTIBAT, précise : « Cette décision nous a semblé indispensable à prendre compte-tenu du contexte d'incertitude face à la reprise économique de l'ensemble de notre secteur d'activité comme aux conditions sanitaires à mettre en œuvre pour garantir la sécurité de tous. Nous avons également acté ce report dès à présent afin de permettre aux différents acteurs du salon (exposants et prestataires) de reporter leurs investissements pour la prochaine édition d'ARTIBAT.» Et de conclure : « Nous remercions tous nos exposants, nos partenaires presse, nos prestataires, les institutionnels et le Parc des Expositions de Rennes pour leur compréhension et leur soutien dans ce report. Nous aurons le plaisir de nous retrouver les 13, 14 et 15 octobre 2021 à Rennes, dans de meilleures circonstances, pour recharger les carnets de commande et vivre le salon ARTIBAT comme ce moment privilégié attendu de rencontres, de business et d'échanges. D'ici là, prenez bien soin de vous et bonne reprise à tous.»
Il y a 5 ans et 25 jours

Pour des bâtiments à propulsion nucléaire

Dans le monde d’après dont il est désormais question, l’énergie sera forcément douce, quasi gratuite, silencieuse et sans rejet de CO² ou autres gaz néfastes pour la planète. Le temps est-il venu pour les architectes de concevoir des mini-réacteurs dans la cave&#160;? Ou rien ne vaut-il mieux qu’une bonne centrale nucléaire, «&#160;trois blocs de béton [&#8230;] L’article Pour des bâtiments à propulsion nucléaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 25 jours

Des pêcheurs manifestent en baie de Saint-Brieuc contre un projet de parc éolien

"Ça s'est passé dans le calme, comme on l'avait demandé", a déclaré à l'AFP Alain Coudray, président du comité des pêches des Côtes d'Armor, qui estime qu'il y avait entre 50 et 70 bateaux sur zone.La préfecture maritime de l'Atlantique a pour sa part comptabilisé 60 navires "au plus fort" et appelé "au calme et au respect de l'ordre public en mer".Deux navires de la marine nationale ainsi qu'un patrouilleur et une vedette de la gendarmerie avaient été dépêchés sur place.Des bateaux de pêche sont entrés dans la zone interdite par arrêté préfectoral mais il n'y a pas eu de verbalisation, selon la préfecture maritime.Les pêcheurs manifestaient contre le lancement d'une campagne de sondages géophysiques et de détections pyrotechniques menés par le Réseau de Transport d'électricité (RTE) en vue de la construction du parc éolien en mer de Saint-Brieuc."Ils sont venus faire ces études sans aucune concertation de la profession.Quand ils feront une concertation, après, on verra", a lancé M. Coudray."Nous restons ouverts au dialogue avec les pêcheurs", a souligné RTE auprès de l'AFP. "Nous entendons leurs préoccupations et nous avons tout mis en oeuvre pour y répondre", a-t-on ajouté de même source.Une réunion s'est ensuite tenue avec des représentants de l’État, des pêcheurs et les porteurs du projet de parc éolien.Le parc éolien en mer de Saint-Brieuc doit être érigé à 16,3 kilomètres au large des côtes bretonnes. D'une capacité totale de 496 MW, avec 62 éoliennes, il est censé produire 1.820 GWh par an, l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 835.000 habitants, selon son promoteur, Ailes Marines, filiale de l'espagnol Iberdrola.Le parc éolien doit être opérationnel en 2023.
Il y a 5 ans et 25 jours

Services énergétiques : 11 propositions pour une relance responsable

Tandis que le gouvernement prépare un plan de relance, la FEDENE, qui regroupe les principales sociétés de services énergétiques, opérateurs de la transition énergétique et climatique, et qui milite de longue date en faveur d’une démarche de croissance verte, se mobilise pour développer des projets qui concrétiseront cette relance. A ce titre, elle rassemble dans le document joint 11 propositions autour des réseaux de chaleur et de froid, de la rénovation énergétique des bâtiments et du Facility Management.
Il y a 5 ans et 25 jours

Climatisation : les nouveaux fluides HFO nuisent à l’environnement

Les fluides HFO utilis&eacute;s en climatisation en remplacement des CFC, HFC et HCFC se d&eacute;composent dans l&rsquo;environnement en acides perfluorocarboxyliques dangereux pour la sant&eacute; humaine.
Il y a 5 ans et 26 jours

Covid-19 : sur l’usage de la ventilation et de la climatisation

Compte tenu de la situation actuelle et des interrogations concernant l’usage de la ventilation et de la climatisation dans le contexte de la pandémie Covid-19, Uniclima, l’Afpac et le Snefcca ont travaillé conjointement à la rédaction d’une foire aux questions (FAQ) afin d’informer sur les préconisations à respecter.
Il y a 5 ans et 26 jours

Décret tertiaire, arrêté du 10 avril 2020 – Quelles sont les modalités d’application relatives aux actions de réduction des consommations d’énergie ?

Suite à la publication du décret tertiaire en juillet 2019, tous les bâtiments à usage tertiaire (bureaux professionnels, commerces, établissement d&rsquo;enseignement, établissement de santé, locaux sportifs, locaux culturels, entrepôts, etc) d’une superficie supérieure ou égale à 1 000 m² ont maintenant l’obligation de réduire leur consommation d’énergie finale. Le 10 avril 2020, un nouvel arrêté est paru précisant : Les conditions de modulation des objectifs en fonction du secteur d’activité, Les modalités d’ajustement de la consommation d’énergie finale en fonction des variations climatiques, du volume d’activité, … Les éléments à fournir (pièces justificatives) et le contenu du dossier technique à transmettre sur la plateforme OPERAT, Les dispositions relatives à la plateforme OPERAT, au recueil et au suivi des données de consommation d’énergie. I- Rappel sur le décret tertiaire a. Les objectifs de réduction des consommations d’énergie Les bâtiments à usage tertiaire d’une superficie d’un minimum de 1 000 m² auront pour obligation de réduire la consommation de leur(s) bâtiment(s) de -40 % d’ici 2030, -50 % d’ici 2040 et -60 % d’ici 2050 en fonction de l’année de référence choisie par l’assujetti. L’année de référence doit correspondre à une année pleine d’exploitation antérieure à 2010. Cette année sera en générale l’année pour laquelle la consommation aura été la plus élevée. b. Les dates à retenir Différentes dates sont déjà fixées par le décret tertiaire. Première transmission des données de consommation en septembre 2021 sur la plateforme OPERAT. Premier audit de vérification d’atteinte de l’objectif de -40 % en décembre 2031. Second audit concernant l’objectif de -50 % en décembre 2041. Troisième audit concernant l’objectif de -60 % en décembre 2051. c. Les sanctions encourues En cas de non-transmission des données, un dispositif de Name & Shame sera mis en place pour dénoncer les personnes n’ayant pas respectées l’obligation de transmission. En cas de non-atteinte des objectifs, une mise en demeure sera effectuée et les obligés risqueront 1 500 € à 7 500 € d’amende. II- Décryptage de l’arrêté du 10 avril 2020 suite au décret tertiaire a. Modulation des objectifs en fonction des catégories d’activité Le niveau de consommation sera exprimé en valeur absolue par catégorie d’activité recensée et pour l’ensemble de ses usages énergétiques. À savoir, que le niveau de consommation d’énergie finale fixé en valeur absolue, exprimé en kWh/an/m² d’énergie est noté Cabs. Le niveau d’énergie finale noté Cabs est constitué de deux composantes : Cabs = CVC+USE CVC, qui correspond à la consommation énergétique relative à l’ambiance thermique et à la ventilation des locaux, définie pour chaque catégorie d’activité en fonction de la zone climatique et de l’altitude, USE, qui correspond à la consommation énergétique relative aux usages spécifiques énergétiques propres à l’activité.  b. Modalités d’ajustement de la consommation d’énergie finale Ajustement des données de consommation d’énergie finale en fonction des variations climatiques. Les données climatiques prises en compte sont celles de la station Météo France la plus proche du site concerné. Cet ajustement est effectué sur la base de Degré Jour Unifié de la station météo de référence. La plateforme OPERAT affecte automatiquement la station météo de référence du département dans lequel le bâtiment se situe. L’assujetti doit renseigner sur la plateforme de suivi les valeurs des indicateurs d’intensité d’usage relatives aux activités du site. Ensuite, une modulation automatique est effectuée par la plateforme en fonction du volume d’activité. c. Contenu à fournir pour le dossier technique Ce dossier technique permet de justifier les modulations des objectifs. Il devra couvrir tous les usages énergétiques des bâtiments (chauffage, refroidissement, ventilation, éclairage, eau chaude sanitaire et tous les autres usages spécifiques à l’activité). Le dossier technique permet à l’assujetti d’identifier la situation de référence du bâtiment ou parc de bâtiments, d’identifier les contraintes techniques, architecturales ou patrimoniales, d’élaborer un programme d’actions pour l’atteinte des objectifs de réduction des consommations et de moduler éventuellement le plan d’actions. Le dossier technique doit donc être composé : D’une étude énergétique sur les actions d’amélioration de la performance énergétique et environnementale du bâtiment réalisée par un prestataire ou personnel justifiant de compétences en énergétique du bâtiment, D’une étude énergétique portant sur les actions visant à réduire les consommations des équipements liés aux usages spécifiques, D’une identification des actions portant sur l’adaptation des locaux à usage économe et sur la sensibilisation des occupants, Et d’un programme d’actions permettant d’atteindre les objectifs de réduction des consommations d’énergie finale. d. Dispositions relatives à la plateforme de recueil et de suivi La plateforme OPERAT, de transmission des données a été mise en place par l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Chaque porteur de projet, assujetti est donc responsable de fournir les informations à l’ADEME pour chaque bâtiment(s) ou partie de bâtiments. Cette plateforme permettra aux assujettis de déclarer leur patrimoine, de renseigner l’année de référence choisie, de renseigner ses consommations d’énergie finale annuelle, de modifier ses indicateurs d’intensité d’usage, d’intégrer son plan d’actions, d’accéder aux statistiques relatives à son patrimoine, de saisir des paramètres pour appliquer une correction… III- Les solutions pour répondre au décret tertiaire Afin d’anticiper le décret tertiaire et de préparer la première transmission des données en septembre 2021, vous pouvez d’ores et déjà agir : Définissez qui sera le porteur de projet entre le bailleur et le locataire, Faites-vous aidez par un Energy Manager pour choisir votre année de référence sur laquelle l’ADEME se basera pour vérifier l’atteinte des objectifs, Faites appel à un Energy Manager pour réaliser l’audit énergétique de votre bâtiment ou parc de bâtiments, cela permettra d’avoir une analyse détaillée et d’établir votre plan d’actions, Déployez un système de management de l’énergie selon la norme ISO 50001 qui répond aux enjeux de réduction des consommations d’énergie et qui vous permettra d’identifier les gisements d’économie d’énergie. Envoyez vos données de consommation automatiquement sur la plateforme OPERAT via un système de management de l’énergie. Contactez notre équipe pour échanger avec une Energy Manager et mettre en place un système de suivi des consommations.
Il y a 5 ans et 26 jours

BDR Thermea Group devient pionnier de la production d'hydrogène vert avec un centre R&amp;D en Italie

Bassano del Grappa, lieu d'autoproduction d'hydrogène vert Bassano del Grappa, en Italie, est le site de la plus grande usine de production de BDR Thermea. Depuis 2018, le groupe produit sa propre électricité à Bassano del Grappa grâce à 6 000 m² de panneaux solaires sur le toit de son usine. Cette électricité alimente déjà la production d'environ 4 000 chaudières par jour, évitant ainsi le rejet de plus de 400 tonnes de CO² par an.Aujourd'hui, un équipement d'électrolyse a été installé à Bassano en Italie. Il transforme l'électricité de ses panneaux photovoltaïques en hydrogène. Cet hydrogène sera utilisé pour tester et piloter le développement de prototypes de mélange 100% hydrogène et hydrogène/gaz naturel dans le centre de R&D dédié à la technologie des chaudières à hydrogène pour tout le groupe.« Permettre la transition énergétique mondiale est la force motrice de BDR Thermea Group. L'autoproduction d'hydrogène vert de Bassano en est un autre exemple concret. Nous avons créé une chaîne énergétique durable complète : nous produisons de l'électricité solaire, nous l'utilisons pour transformer l'eau en hydrogène par électrolyse, puis nous utilisons cet hydrogène pour alimenter nos nouvelles innovations dans nos chaudières d'essai à hydrogène », déclare Peter Snel, directeur technique de BDR Thermea Group.BDR Thermea Group à la pointe de la technologie des chaudières à hydrogène L'intérêt pour l'hydrogène dans les appareils de chauffage domestique est en forte croissance dans l'UE, où 40% de la consommation d'énergie primaire est utilisée pour le confort thermique et l'eau chaude sanitaire. L'hydrogène peut être stocké pendant de plus longues périodes pour pallier les fluctuations saisonnières.Depuis juin 2019, BDR Thermea Group pilote la première application réelle de sa chaudière à hydrogène à haut rendement et à 100%, conçue et développée à Bassano del Grappa en Italie ainsi qu'à Rozenburg aux Pays-Bas. En novembre dernier, le groupe est devenu la première entreprise en Europe à recevoir la certification pour l'utilisation d'un mélange d'hydrogène dans les chaudières domestiques aux Pays-Bas. De plus, la société participe au programme britannique Hy4Heat et explore activement des projets pilotes sur l'hydrogène partout en Europe.« Chez BDR Thermea Group, nous aidons à décarboner le chauffage et à permettre la transition vers des énergies durables. C'est pourquoi nous investissons considérablement dans des solutions telles que les chaudières à hydrogène et les pompes à chaleur », explique Bertrand Schmitt, PDG de BDR Thermea Group.
Il y a 5 ans et 26 jours

De nouvelles serres en toiture déployées en Europe

Serre en toiture, Université Autonome de Barcelone, Espagne. Photos&nbsp;: CSTBCombien d'énergie, d'eau et d'émissions CO2 peuvent-elles être économisées grâce aux serres en toiture&nbsp;? Les avantages de ces dispositifs sont analysés par onze partenaires européens de cinq pays, dont le CSTB pour la France, dans le cadre du projet GROOF (programme Interreg North-West Europe). À l'issue d'une phase d'étude de la situation actuelle, le consortium s'est engagé dans la réalisation de quatre serres en toiture et dans l'accompagnement de dix projets en Europe. Ceux-ci vont permettre d'identifier les bonnes pratiques en matière d'agriculture urbaine sur les toits, et de contribuer au développement des techniques en faveur de l'adaptation des villes au changement climatique. Atouts des installations Deux ans de travaux (2017-2019) ont permis de dresser un bilan des serres sur le toit, actuellement installées en milieu urbain à l'échelle Nord-Ouest européenne. Ce bilan s'appuie sur une étude du contexte et sur l'analyse de serres en toiture existantes, sur l'ensemble de leur cycle de vie. Le bilan a quantifié les avantages des serres installées en toitures, selon quatre axes&nbsp;: technique (construction et bâtiment), énergétique et environnemental, botanique (gamme de plantes) et économique. Il met en avant leurs atouts&nbsp;: l'utilisation de l'eau de pluie pour irriguer les cultures&nbsp;; la réduction des émissions de CO2 dans la construction et l'exploitation du bâti, et dans la distribution de la production de la serre&nbsp;; l'utilisation d'une part de la déperdition thermique de toiture pour chauffer la serre&nbsp;; l'augmentation de la valeur patrimoniale du bâtiment. Bien évidemment très variable selon les situations, ce bilan met en évidence des impacts potentiels en matière d'économie d'énergie et de diminution des émissions de CO2, impacts qu'il s'agit de confronter à la réalité. Projets pilotes Le consortium d'experts scientifiques et techniques de GROOF s'attache désormais à démontrer l'intérêt d'installer des serres sur les toits, au travers de projets pilotes. Pour cela, il pilote de A à Z la construction et le pilotage de quatre serres en toiture, au Luxembourg (Bettembourg), en Belgique (Liège, province de Liège), en Allemagne (Bürstadt, Land de Hesse) et en France (Saint-Denis, Île-de-France). À ce jour, les permis de construire ont été validés. Quand les serres seront construites et en service, des mesures seront menées pendant un an. La mise en place des serres pilotes devrait permettre une économie de 300 tonnes de CO2/an d'ici à septembre 2021 (fin du projet GROOF) et de 2 millions de tonnes dix ans après. En outre, le consortium accompagne les porteurs de dix projets de serres sur le toit (conception et réalisation) dans cinq pays. La sélection des projets, dans le cadre d'un appel à candidature européen, a été mené en septembre 2019 avec le jury de GROOF dont le CSTB a fait partie. Cinq de ces projets, menés en France, sont désormais coachés par le CSTB&nbsp;: Toits vivants à Arcueil&nbsp;; Jardins perchés à Tours&nbsp;; Yncrea&nbsp;- Le Palais Rameaux à Lille&nbsp;; Culinea Hortus à Paris&nbsp;; Symbiose à Nantes. Retours d'expérience Les retours d'expérience, liés à la réalisation de serres pilotes, permettent d'identifier les solutions les plus pérennes et pertinentes et d'éviter les écueils sur les plans&nbsp;: technique&nbsp;: structure porteuse, appareillage pour optimiser énergie, systèmes de culture, etc.&nbsp;; réglementaire&nbsp;: hauteur du bâtiment (PLU), éclairage nocturne, sécurité des personnes (accueil du public), risques sanitaires, etc.&nbsp;; économique (modèle d'affaire). Au travers de ces expérimentations, les experts évaluent également l'intérêt mais aussi les problèmes potentiels de chaque solution selon l'usage de la serre&nbsp;: serre productive pour circuit court&nbsp;; serre expérimentale pour développer une gamme végétale ou pour tester un dispositif d'économie des flux (eau, énergie)&nbsp;; serre communautaire pour créer du lien ou pour former aux pratiques agricoles urbaines. Guide pratique Les partenaires européens du projet GROOF sont actuellement engagés dans la rédaction d'un guide de bonnes pratiques&nbsp;; sa publication est prévue fin 2020. Destiné à l'ensemble des acteurs de la ville, de la construction et de l'agriculture, ce guide leur fournira une aide concrète pour réduire la consommation d'énergie et les émissions de CO2 issues du bâtiment, grâce aux serres sur les toits. Il les accompagnera pour cela dans le choix de solutions pérennes et adaptées. Concrètement, ce guide comportera par exemple des recommandations concernant les solutions techniques privilégiées, le choix des gammes végétales, les règles du marché à respecter, et les modèles d'affaires pertinents. En savoir plus&nbsp;: GROOF (2017-2021)&nbsp;: projet R&D européen pour la construction de serres sur les toits Site du projet GROOF (Greenhouses to Reduce CO2 on Roofs) Tous les projets de serres en toiture (rubrique Coaching)