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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18288 résultats)
Il y a 5 ans et 38 jours

Chauffage au bois, tous les critères de choix (partie 3)

Ce dernier volet de notre dossier « spécial chauffage au bois » vous présente tous les critères de choix (avantages, inconvénients, prix et aides financières) pour votre chauffage au bois. Mais avant, je vous propose de lister sur les sujets précédents : « Les biocombustibles pour votre chaudière biomasse » ; « Chauffage au bois […]
Il y a 5 ans et 39 jours

Planification urbaine bas carbone

Depuis novembre 2019, l’ADEME accompagne 16 collectivités territoriales lauréates de l’appel à manifestation d’intérêt « planification urbaine au service des stratégies bas carbone » pour expérimenter l’effet levier de l’urbanisme dans la mise en œuvre de la transition énergétique et écologique. Cet appel à projet vise à favoriser la prise en compte des enjeux de la transition énergétique et écologique dans les documents de planification (SCoT, PLUi et PLU). Pour accompagner les lauréats, l’ADEME a missionné le CEREMA pour une Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMO), mutualisée au niveau national. Parmi les 16 collectivités, en fonction de la nature et avancement du projets, 12 bénéficient d’un accompagnement personnalisé en ingénierie, les 4 autres de l’accompagnement collectif. http://www.experimentationsurbaines.ademe.fr
Il y a 5 ans et 39 jours

Planification urbaine bas carbone

Depuis novembre 2019, l’ADEME accompagne 16 collectivités territoriales lauréates de l’appel à manifestation d’intérêt « planification urbaine au service des stratégies bas carbone » pour expérimenter l’effet levier de l’urbanisme…Cet article Planification urbaine bas carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 39 jours

Covid-19 : Comment la filière du crédit immobilier s'organise-t-elle face à la crise ?

Bien que l'épidémie de COVID-19 et les mesures de confinement aient fortement freiné la demande de crédit immobilier, plus d'un français sur 6 a encore l'intention de s'engager dans un projet immobilier dans les 12 prochains mois[1], mais dans des conditions différentes et adaptées à la situation. La crise actuelle a en effet profondément changé le comportement des ménages ainsi que celui des banques et des courtiers. Comment la filière du crédit immobilier s'organise-t-elle pour répondre efficacement à ces mutations ? Quelles perspectives pour le marché du crédit immobilier, dans ce contexte de crise ?Accélérer les procédures d'emprunt grâce à la digitalisation des démarchesLa crise actuelle a engendré une réorganisation de tous les acteurs de la filière, aussi bien en interne que dans son rapport à l'emprunteur. Afin de répondre efficacement aux demandes en cours et à venir, la filière a en effet favorisé le recours à la digitalisation des démarches et au traitement à distance des dossiers de demande de prêt, pour simplifier et accélérer les procédures d'emprunt. Proposant, depuis plusieurs années, une approche full digital sur l'ensemble de ses agences en France, La Centrale de Financement est également le premier courtier français à avoir mis en place une plateforme dédiée à l'obtention d'un accord de principe [2]pour son emprunt immobilier, en seulement quelques minutes : https://www.lacentraledefinancement.fr/.Lorsqu'il y a plusieurs acquéreurs pour un même bien, obtenir un avis de faisabilité est probablement un facteur clé pour la réussite de son projet. Ce service en ligne en réduit significativement les délais d'obtention et permet aux futurs acquéreurs de faire la différence aussi bien auprès de l'agence immobilière que du vendeur.« Bien que les visites physiques des biens demeurent toujours le préalable indispensable à toute acquisition immobilière, la digitalisation des démarches d'emprunt répond à de nombreuses attentes des emprunteurs. Elle simplifie leur parcours et réduit les délais d'obtention d'un prêt. Ayant démontré toute son efficacité en cette période de crise, elle sera probablement, à l'avenir, non plus l'exception mais bien la norme ! » déclare Sylvain Lefevre, Président de la Centrale de Financement.Faciliter et sécuriser le parcours digital des futurs emprunteurs !Pour la Centrale de Financement, trois étapes essentielles restent néanmoins à franchir pour faciliter et sécuriser le parcours digital des futurs acquéreurs.Il faudrait, tout d'abord, encourager le recours aux visioconférences pour renforcer le lien et rester au plus près des attentes et besoins de l'emprunteur.Afin d'accélérer et de faciliter l'ensemble des démarches d'obtention d'un prêt, il conviendrait par ailleurs d'autoriser la signature à distance de l'ensemble des documents juridiques et contractuels nécessaires.Enfin, pour garantir la sécurité des données emprunteurs, lors de l'envoi des différents documents officiels auprès des différents organismes sollicités, il apparaît indispensable de créer des clouds sécurisés, dans le respect le plus strict des normes RGPD.Un marché du crédit immobilier réguléA la veille du 16 mars, le marché immobilier s'emballait encore, sans avoir véritablement de solutions pour le freiner et éviter la surchauffe. Malgré la crise, le marché reste dynamique mais n'est plus dans l'excès : il s'est régulé...« En 2019, le million de transactions avait été dépassé et pour un marché français c'était peut-être trop : le système, les prix des biens immobiliers, la production du crédit immobilier pour les banques s'envolaient, générant un risque important d'inflation. Avec la crise, si le marché redescendait à 800 000 voire 700 000 transactions sur l'année 2020, cela permettrait à l'ensemble de la filière de travailler dans de meilleures conditions et de réduire les délais d'attente pour les futurs emprunteurs. Nous retrouvons une sérénité nouvelle sur un marché jusqu'alors exacerbé, sans intervention du Haut Conseil de stabilité financière. Je reste donc très confiant pour l'avenir du secteur qui, grâce à la digitalisation et au rééquilibrage du marché, permet déjà de mieux accompagner les futurs acquéreurs ! » conclut Sylvain Lefevre.Mai 2020, un mois toujours favorable à l'empruntMalgré une hausse des taux généralement constatés, les conditions d'emprunt demeurent encore favorables sur le mois de Mai 2020.Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, pour un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 200 000 € sur 20 ans à 1,31 %, la mensualité s'élèvera à 947,8 euros avec un coût total de crédit de 27 472 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de mai 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées augmentent pour l'ensemble des durées habituelles de prêts avec 0.1% d'augmentation sur 7 ans et 0,11% sur 15 et 20 ans. Cette tendance haussière s'accentue pour les emprunts sur 10, 12 et 25 ans, avec 0.12% d'augmentation constatée.Durée de prêtTaux fixesd'avril 2020 Taux fixesde mai 2020EvolutionRemboursement mensuel pour 10 000€ empruntés7 ans / 84 mois0.67 %0.77 %+ 0,1 %122.32 €10 ans / 120 mois0.76 %0.88 %+ 0,12 %87.08 €12 ans /144 mois0.87 %0.99 %+ 0,12 %73.68 €15 ans / 180 mois1.00 %1.11 %+ 0,11 %60.33 €20 ans / 240 mois1.20 %1.31 %+ 0,11 %47.39 €25 ans / 300 mois1.47%1.59 %+ 0,12 %40.42 €Les meilleurs taux immobiliers de mai 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de Mai sont légèrement à la hausse par rapport à ceux du mois d'avril pour l'ensemble des durées d'emprunt, excepté sur 20 ans où un emprunteur bénéficiant d'un très bon dossier pourra solliciter un financement, avec un taux hors assurance, aussi avantageux que le mois précédent. Pour les autres durées de prêt, La Centrale de Financement constate une légère augmentation des taux les plus avantageux de 0,18% sur 7 ans, 0,1% sur 10 ans, 0,05% sur 12 ans, 0,08% sur 15 ans et 0,11% sur 25 ans. Durée de prêtTaux fixesd'avril 2020Taux fixes de mai 2020EvolutionRemboursement mensuel pour 10 000€ empruntés7 ans / 84 mois0,14 %0.32 %+ 0,18 %120.40 €10 ans / 120 mois0,36 %0.46 %+ 0,1 %85.28 €12 ans /144 mois0,49 %0.54 %+ 0,05 %71.73 €15 ans / 180 mois0,56 %0.64 %+ 0.08 %58.28 €20 ans / 240 mois0,77 %0.77 %=44.97 €25 ans / 300 mois0,97 %1.08 %+ 0,11 %38.05 €Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en avril 2020L'emprunteur type du mois d'avril 2020 Statistiques diversesTous dossiersprimo-accédantshors primo-accédantsÂge moyen38 ans32 ans39 ansRépartition H/F51.8% d'hommes50% d'hommes52.4% d'hommesRépartition H/F mono-empr.56.8% d'hommes54.2% d'hommes57.9% d'hommesRevenu annuel du ménage58 855 €39 742 €65 682 €Montant d'apport moyen31 509 €24 604 €33 953 €% d'apport moyen9,3 %7,8 %9,8 %Prêt principal moyen177 767 €170 705 €180 181 €Durée moyenne du prêt p.19 ans et 9 mois23 ans et 1 mois18 ans et 7 mois
Il y a 5 ans et 39 jours

Dolomites de Design Parquet : un parquet à l’aspect brut structuré pour une décoration au style industriel

Avec sa surface très structurée et son aspect brut, le nouveau parquet semi-massif en chêne DOLOMITES de DESIGN PARQUET, fabricant français, constitue un revêtement de choix pour offrir chaleur et naturel à tous les espaces privilégiant le style industriel. Doté d’une très bonne résistance aux passages intenses, DOLOMITES convient tout particulièrement aux secteurs résidentiel (pièces de vie) et tertiaire (commerces, restaurants, …). DOLOMITES, le charme du bois dans toutes ses expressions Dernier né de la Collection Loft Mountains de DESIGN PARQUET, DOLOMITES, dont le nom évoque la couleur claire de la célèbre chaîne montagneuse italienne, est un parquet semi-massif Loft Pro en chêne sur contreplaqué bouleau. Il bénéficie ainsi d’une grande stabilité et d’une résistance aux passages intenses grâce à sa structure multicouches en plis croisés. DOLOMITES offre le charme du naturel à tous les espaces privilégiant l’esprit industriel : lames à l’aspect fortement structuré, nœuds sans limite de nombre et de taille, aubier léger et variations de couleur. La finition incolore laisse apparaître l’aspect naturel du chêne pour un effet brut réussi qui se marie parfaitement à tous les éléments de la décoration de style « factory ». La teinte claire du parquet DOLOMITES et les grandes longueurs des lames (jusqu’à 2200 mm) permettant une pose à l’anglaise apportent luminosité et sensation de grandeur à la pièce. Esthétiques, les chanfreins à bords ronds participent à la mise en valeur de l’ensemble tout en facilitant la pose du parquet. Entretien aisé Après la pose du parquet semi-massif en chêne DOLOMITES, DESIGN PARQUET conseille d’appliquer deux couches de Rénovateur R+ (Design Parquet) afin d’assurer la protection des chants du parquet et de renouveler l’opération une à deux fois par an. L’entretien régulier s’effectue à l’aide d’un aspirateur, d’un balai ou d’un chiffon de laine. http://www.designparquet.fr
Il y a 5 ans et 39 jours

Décret Tertiaire : la méthode de calcul est connue, mais pas les valeurs plafonds

De nouvelles valeurs de consommation d’énergie – Créf, Crelat et Cabs – sont apparues avec le décret tertiaire en octobre 2019. Un arrêté du 10 avril 2020 détaille leur calcul.
Il y a 5 ans et 39 jours

Covid-19 : les clients publics pourraient payer une partie des mesures sanitaires sur les chantiers

"Nous pouvons envisager que les maîtres d'ouvrage publics participent à la prise en charge des surcoûts liés à l'acquisition de matériel de protection sanitaire, à la nouvelle organisation des chantiers, aux problèmes de déplacement et d'hébergement", a déclaré M. Le Maire.Les entreprises du bâtiment ont arrêté en masse leurs chantiers au début du confinement à la mi-mars. Ils rouvrent peu à peu sur la base, notamment, d'un guide sanitaire publié voici quelques semaines.Mais seulement un peu moins d'un tiers des chantiers ont repris pour l'heure, selon une estimation donnée la veille sur Europe 1 par Julien Denormandie, le ministre du Logement.Les fédérations du secteur mettent en avant le coût des mesures sanitaires et demandent soit une aide publique, soit un partage des frais avec leurs clients.Pour les contrats déjà signés, M. Le Maire se prononce pour "une négociation de bonne foi sur l'équilibre contractuel en tenant compte des surcoûts qui ne pouvaient être chiffrés dans l'offre initiale", souhaitant que l'État "donne l'exemple".Le ministre de l'Économie a, en revanche, rejeté une autre revendication du secteur: le maintien de plusieurs avantages fiscaux que le gouvernement était en train de supprimer ou de réduire.Le bâtiment souhaite notamment garder un taux préférentiel sur une taxe frappant l'usage du gazole non routier (GNR), carburant très utilisé par le secteur."La crise ne doit pas nous amener à faire machine arrière sur la réduction des aides fiscales nocives pour la planète", a estimé M. Le Maire. "Au contraire, nous devons maintenir et accélérer cette politique d'autant que le prix du pétrole est historiquement bas."
Il y a 5 ans et 39 jours

Deux toupies 100 % électriques signées Liebherr

Nouvelle toupie série ETM 100 % électrique signée Liebherr. [©Liebherr] Pour Liebherr, l’année 2019 a été celle des toupies électriques de la série ETM. Lancés à l’occasion de la Bauma, à Munich, ces équipements se caractérisent par l’entraînement électrique de la cuve. Ceci, sans aucune aide du moteur du porteur, qui peut être thermique (diesel ou gaz), hybride ou électrique. Dans sa version initiale, la série ETM profite de porteurs (ou tracteurs) à motorisation diesel.  Aujourd’hui, c’est en quelque sorte la phase II du projet ETM qui débarque sur le marché, suisse pour commencer. En effet, en partenariat avec Designwerk, Liebherr a développé ses premières toupies 100 % électriques. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? 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Il y a 5 ans et 39 jours

Engie veut accélèrer sa stratégie et se retirer de 25 pays d'ici 2021

Le géant de l'énergie Engie a annoncédes résultats en léger recul au premier trimestre, souffrant des premiers effets de la pandémie de Covid-19, et une accélération de sa stratégie
Il y a 5 ans et 39 jours

La RE 2020 entrera en vigueur à l’été 2021

Les textes de la RE2020 seront publiés fin 2020 ou début 2021 pour entrer en vigueur à l’été 2021. [©ACPresse] Si le gouvernement a diffusé plusieurs documents sur les méthodes de la RE 2020, il annonce un report de son entrée en vigueur. La nouvelle réglementation pourrait ainsi être publiée fin 2020 ou début 2021 pour prendre effet à l’été 2021. Pour le ministère de la Cohésion territoriale, ce report, conséquence directe de la crise sanitaire, est dû à la complexité d’organiser les concertations et consultations autour de la RE 2020. « Ce travail de concertation est indispensable pour fixer collectivement une ambition environnementale à la fois exigeante et soutenable dans un contexte de reprise, indique le ministère dans un communiqué de presse. Dans la continuité de l’expérimentation E+C– qui préfigure la réglementation depuis 2017, l’ensemble des acteurs devra aussi bénéficier d’une période de plusieurs mois pour poursuivre l’appropriation des règles, entre leur officialisation et leur entrée en vigueur. » Concernant les simulations lancées autour des indicateurs, comme le label Reconnu garant de l’environnement (RGE), le Diagnostic de performance énergétique (DPE) ou encore les niveaux de performances s’achèveront en mai. « A l’issu de ces simulations, les ministères de la Transition écologique et de la Ville et du Logement mettront leurs résultats à disposition de tous, ainsi que l’outil qui aura été utilisé pour les réaliser. » Cette étape permettra aussi de lancer les concertations et de poser les bases d’un label facultatif, permettant de « préfigurer les bâtiments exemplaires de demain ».
Il y a 5 ans et 39 jours

RE 2020 : nouveau calendrier

Le Gouvernement a réaffirmé son objectif de mener à bien le chantier de la nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs, dite « RE 2020 ». Les ambitions de la RE 2020, annoncées le 14 janvier 2020 par le Gouvernement, demeurent plus que jamais pertinentes, en particulier : lutter contre le changement climatique en réduisant les émissions de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie du bâtiment, y compris lors de sa construction, diminuer les consommations énergétiques, et mieux conserver de la fraîcheur dans les bâtiments lors des vagues de chaleur. La crise sanitaire nous appelle également à travailler à des mesures simples, à court terme, pour garantir la qualité de l’air intérieur des logements. Au total, il s’agit de modifier en profondeur la façon de concevoir et de construire les bâtiments de demain.La crise sanitaire a rendu l’organisation des concertations et consultations plus complexe. Or ce travail de concertation est indispensable pour fixer collectivement une ambition environnementale à la fois exigeante et soutenable dans un contexte de reprise. Dans la continuité de l’expérimentation E+C- qui préfigure la réglementation depuis 2017, l’ensemble des acteurs devra également bénéficier d’une période de plusieurs mois pour poursuivre l’appropriation des règles, entre leur officialisation et leur entrée en vigueur.Le calendrier d’élaboration et de mise en œuvre de la RE2020 est ajusté pour tenir compte de l’impact de la situation sanitaire : les concertations se poursuivront pendant l’été pour permettre à tous les acteurs concernés d’y prendre part ; la publication des textes réglementaires (décrets et arrêté) interviendra fin 2020 ou au plus tard au tout début de l’année 2021 ; enfin, la nouvelle réglementation entrera en vigueur à l’été 2021.A plus court terme, la phase de simulations lancée en janvier afin d’éclairer les choix des indicateurs et niveaux de performance pertinents pour la RE2020 s’achèvera courant mai. A l’issue de ces simulations, les ministères de la Transition écologique et solidaire et de la Ville et du Logement mettront leurs résultats à disposition de tous, ainsi que l’outil qui aura été utilisé pour les réaliser. La présentation des résultats lancera une nouvelle étape de concertation avant l’été 2020. Cette concertation permettra par ailleurs de poser les bases d’un label facultatif permettant de préfigurer les bâtiments exemplaires de demain. Photo : Chantier Ris Orangis Promiceapf
Il y a 5 ans et 40 jours

Le Covid-19 a stoppé net la dynamique du secteur du bricolage

MARCHÉ. Alors que le secteur du bricolage repartait à la hausse en 2019, il a été frappé de plein fouet par la pandémie de coronavirus au début de l'année 2020. La quasi-totalité des rayons a connu une embellie mais c'est le segment du confort thermique qui a tiré son épingle du jeu, tandis que les grandes surfaces de bricolage restent le premier circuit de distribution.
Il y a 5 ans et 40 jours

Le gouvernement reporte la nouvelle réglementation environnementale

Ces nouvelles règles, dites RE 2020 pour "réglementation environnementale 2020", devaient succéder cette année à l'actuelle "réglementation thermique 2012" (RT 2012), avec une publication prévue à l'automne.La nouvelle réglementation doit durcir les règles en vigueur, qui imposent déjà des plafonds aux bâtiments neufs en matière de consommation d'énergie.Elle imposera notamment de prendre non seulement en compte la consommation d'énergie du bâtiment pendant son utilisation, mais aussi ses émissions de carbone lors de sa construction et sa destruction éventuelle. Elle vise aussi à généraliser les bâtiments à "énergie positive", qui produisent plus qu'ils ne consomment."La crise sanitaire a rendu l'organisation des concertations et consultations plus complexe", a admis le gouvernement dans un communiqué. "En conséquence, le calendrier d'élaboration et de mise en oeuvre de la RE 2020 est ajusté.""La publication des textes réglementaires - décrets et arrêté - interviendra fin 2020 ou au plus tard au tout début de l'année 2021; enfin, la nouvelle réglementation entrera en vigueur à l'été 2021", a-t-il détaillé.En début d'année, des arbitrages ont été rendus par le gouvernement mais ils ont suscité la colère du secteur gazier, qui les juge trop favorables au chauffage électrique.
Il y a 5 ans et 40 jours

Faire repeindre sa maison, tout un projet !

Redonner un coup de neuf à son intérieur passe par le rafraîchissement des murs. Cette opération doit être réalisée avec attention et quoi de mieux que de la confier à un professionnel ? Réaliser un projet de peinture pour vos murs Si, en décrochant un tableau vous voyez apparaître un contraste sur le mur, il est temps de refaire la peinture. Les étapes de réalisation de cette opération (choix de la peinture, de la bonne couleur, etc.) nécessitent un certain savoir-faire. De ce fait, mieux vaut se faire aider par un spécialiste pour être sûr d’obtenir les meilleurs résultats. L’état des lieux de votre maison Repeindre toutes les pièces de votre maison ou seulement quelques-unes, un bon moyen de changer de décor et de redonner vie à votre intérieur. Bien qu’il n’existe pas, à proprement parler, de bon moment pour changer les couleurs de vos murs, tenez compte des signes qui indiquent que cette opération est nécessaire. En cas de fissures, de peinture écaillée, de murs jaunis ou de papier peint qui se décolle, vous devrez faire rénover la peinture de votre intérieur. Vous êtes dans une démarche de grande rénovation de logement ? Sachez que la peinture se fait à la fin du chantier, après que les fenêtres, l’électricité, la plomberie, etc., aient été rénovées. À qui confier vos travaux de peinture ? Bien que la peinture ne soit pas un travail compliqué, elle demande énormément d’attention et d’efforts pour être parfaitement réussie. Nous vous encourageons à confier cette tâche minutieuse à un professionnel pour obtenir un rendu de qualité dans chacune de vos pièces. Les enseignes spécialisées dans ce domaine proposent en général des travaux de peinture sur les boiseries, mais aussi sur les métaux. Contactez-en plusieurs et n’hésitez pas à demander un devis de peinture en ligne pour vous faire une idée du budget à prévoir pour repeindre l’intégralité ou certains des murs de votre logement. Assurez-vous que les documents fournis mentionnent les détails de la prestation ainsi que le prix au mètre carré. Quel type de peinture pour quelle pièce ? Le choix de la peinture pour repeindre vos murs tient compte des contraintes techniques. Ces dernières comprennent entre autres la pièce et le type de matériau à repeindre. Choisissez une peinture avec mention A+ Nous vous recommandons de demander à ce qu’une peinture affichant sur l’étiquette sanitaire la mention A+ soit utilisée. Les peintures contiennent des polluants : les COV, particulièrement nocifs pour les voies respiratoires. Les niveaux mentionnés sur l’étiquette sanitaire vont de C pour les émissions les plus élevées à A+ pour les plus faibles. Référez-vous également aux labels environnementaux reconnus, à l’instar de l’Écolabel Européen, de la NF Environnement, de l’Excell ou de l’Ange Bleu. À chaque pièce sa peinture La peinture glycéro ou à l’huile est résistante et durable. La peinture acrylique ou à l’eau, quant à elle, est plus facile à appliquer et sèche plus rapidement. Elle est en outre moins nocive pour l’environnement et les poumons. Dans une salle d’eau, il est recommandé de choisir une peinture appropriée pour les espaces humides. Pour habiller les murs d’une chambre d’enfant, mieux vaut opter pour une peinture résistant aux rayures et aux chocs. Par ailleurs, utilisez des peintures différentes pour les murs et les radiateurs, car une référence classique ne convient pas à cette source de chaleur. Rénovation peinture : quel budget et combien de temps prévoir ? L’on peut être tenté de faire soi-même ses travaux de peinture pour économiser. Toutefois, si vous souhaitez que les travaux soient parfaitement exécutés, confiez-les à une entreprise spécialisée. Rien ne vous empêche cependant de faire vos calculs prévisionnels. Comment déterminer le budget à prévoir pour repeindre ses murs ? Pour déterminer combien vous coûteront les travaux de peinture de votre intérieur, vous devez calculer la surface à couvrir. Incluez également le prix de la peinture ainsi que le coût de la main-d’œuvre. En fonction du nombre de couches que vous prévoyez, multipliez le résultat par deux ou trois. À noter que certains peintres professionnels facturent leurs services à l’heure. Ils se basent sur une estimation du temps nécessaire pour faire le travail. D’autres encore partent sur le nombre de mètres carrés à peindre. Si la maison est meublée, le devis prendra en compte la surface à peindre et le temps nécessaire pour protéger les meubles. Si le professionnel se base sur le nombre de mètres carrés à repeindre, il calculera la surface des murs et du plafond. Il fera par la suite la somme de l’ensemble des surfaces à retravailler, puis appliquera un tarif au mètre carré. Le devis fourni affichera un montant précis des travaux à entreprendre. Le calcul de la surface à peindre se fait en additionnant la surface totale des murs à celle des plafonds. Les boiseries à l’instar des plinthes et des portes sont en outre prises en compte pour établir un coût estimatif des travaux de peinture. Une idée du prix pour repeindre les murs de sa maison Pour peindre les murs, l’on compte en général un prix moyen au mètre carré de 20 à 30 euros hors taxes. Prévoyez 30 à 40 euros hors taxes pour les plafonds qui nécessitent davantage de travail. Sachez que le prix d’un travail de peinture au mètre carré varie en fonction de vos souhaits : recouvrement classique des murs ou peinture décorative. S’il faut retravailler le support avant de commencer à le repeindre, comptez 40 à 45 euros le mètre carré. Si vous voulez uniquement un rafraîchissement avec une seule couche de peinture, prévoyez un budget de 25 à 30 euros par mètre carré. À titre informatif, le coût d’un travail de peinture sur une façade se situe entre 30 et 100 euros par mètre carré en fonction de l’état du mur. Quant au temps nécessaire, toutes les étapes comprises, il est estimé entre 1 à 4 jours pour une pièce de 15 mètres carrés. Pour éviter les soucis de santé, mieux vaut quitter les lieux si toutes les pièces doivent être rénovées.
Il y a 5 ans et 40 jours

Bernard Laffaille : Précurseur de l’ingénierie-conseil

Bernard Lafaille est représentatif du passage de l’ingénieur, rival de l’architecte, à l’ingénieur-conseil, proche de l’architecte. [©Fonds Laffaille. SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] Rémois de naissance, Bernard Laffaille (1900-1955) a décroché son diplôme à l’Ecole centrale des arts et manufactures, en 1923. Jusqu’en 1932, il exerce comme ingénieur d’entreprise. Puis, directeur technique et co-gérant de la société “Construction de couvertures et charpentes en ciment”. Ceci, avant de lancer son activité d’ingénieur-conseil libéral. « Bernard Laffaille est représentatif du passage de l’ingénieur, rival de l’architecte, à l’ingénieur-conseil, proche de l’architecte. Ce dernier a désormais recours à l’ingénieur. Lafaille a ouvert la voie au rapprochement entre les deux corps de métier. Notre–Dame-de-Royan en est le parfait exemple. De ce que j’appelle le “Gothique moderne” ou l’incarnation parfaite de l’union entre l’architecte et l’ingénieur », résume Franck Delorme, historien de l’architecture et attaché de conservation à la Cité de l’architecture et du patrimoine de Paris. Le succès des “V Laffaille” Utilisé lors de la construction des rotondes de la SNCF, en Avignon et dans toute la France, le “V Laffaille” rend son inventeur célèbre. [©DR] En parallèle, Bernard Laffaille engage Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 40 jours

Emetteur d’Europe 1 : La cathédrale des ondes

A 317 m d’altitude, le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. [©Marco Kany] En 1954, la Sarre est toujours sous occupation française (même système économique). De fait, nombre de bâtiments sont réalisés par des architectes français. Afin de contourner la contrainte issue du système de radiodiffusion française de droit public, à l’extérieur des contours de la France naissent des radios dites “périphériques“ (Luxembourg, Monaco, Andorre et la Sarre pour Europe 1). Le projet de cet émetteur est imaginé par Jean-François Guédy (1908-1955), son premier grand projet, sorti fraîchement de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts. L’avant-projet de mars 1954 révèle une architecture futuriste dotée d’une tour d’émission massive. Si la toiture du hall, rappelant une feuille de palmier est portée par un système de raidisseurs disposé en éventail, la construction cependant n’était pas réalisable selon ce tracé de légèreté. Ainsi, les architectes Bernard Lafaille (1900-1955) et René Sarger (1917-1988) sont engagés pour revoir la copie. Flanquée de studios de télévision, de bureaux, de locaux sociaux et d’une tour-antenne, le grand hall de l’émetteur en forme de cœur et l’extraordinaire forme de toiture constituent ainsi le centre du complexe. Le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. Un “psychodrame technique”. De gauche à droite : Eugène Freyssinet prend les opérations en mains pour reconstruire la couverture. En renforçant les fondations, les ancrages périphériques, ainsi que les éléments porteurs, Eugène Freyssinet parvient à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille. La hall majestueux de l’émetteur Europe n° 1 à Feldberg. [©Marco Kany] Le choix architectural d’origine a conduit à une structure novatrice, constituée d’une coque béton à double courbure, de 5 cm d’épaisseur, bordée par une poutre ceinture en béton armé, elle-même appuyée sur les fins poteaux périphériques que l’on peut voir en façade. L’effet de voûte ne peut se mobiliser qu’en cas de blocage horizontal des ponts d’appuis (contreforts de nos cathédrales), contreforts inexistants dans le projet et supposés être remplacés par quelques tirants transversaux. L’effet de poussée des pseudo-voûtes de coque est d’ailleurs complété (et probablement dominé), par la poussée également transversale au bâtiment des arcs formant la poutre-ceinture, chargés par les effets de suspension de la coque en direction longitudinale. La combinaison en tension dans le sens de la longueur du bâtiment et en pseudo-compression dans le sens de la largeur est extrêmement difficile à évaluer dans les années 1950.  L’ouvrage ressemble au contour d’une goutte d’eau très aplatie ou d’une coquille Saint-Jacques. Eugène Freyssinet le comparait à un cœur. Les façades sont constituées de hautes vitres enserrées entre des poteaux très élancés, espacés d’environ 3 m environ et donc la hauteur va de 4,5 m vers la pointe de la goute à 9,5 m au milieu du bord opposé, en culminant à 16 m aux deux bords les plus éloignés. Les sommets des poteaux sont ainsi dans demi-plans, légèrement inclinés sur l’horizontale, formant un dièdre comme un livre ouvert, dont l’arête joint la pointe au milieu de la façade. Environ 3 000 m2 intérieurs sont couverts sans appuis intermédiaires par un voile mince en béton armé de 5 cm d’épaisseur, ayant une courbure concave vers le haut dans le sens perpendiculaire à l’axe de symétrie, et vers le bas dans le sens de cet axe. Ce voile, qui forme donc une voûte, est lié à une puissante ceinture supportée par les poteaux et donc chaque moitié, de part et d’autre de l’axe, forme dans un demi-plan une sorte d’arc prenant appui côté pointe sur un massif fixe. De l’autre sur une béquille articulée, est sous-tendu par trois puissants tirants rayonnants à partir de la pointe. La toiture suspendue en béton armé devait être sertie dans un cerclage périphérique, afin de pouvoir créer un espace libre de points porteurs. La poutre de rive devait être contenue par des tenseurs complémentaires, pour être appuyée sur trois points porteurs significatifs. Au début de l’été 1954, la construction est bien avancée. C’est alors que le directeur technique de l’entreprise chargée des travaux demande au bureau technique de lui indiquer la surélévation qu’il faut donner à chaque étai pour qu’après le décoffrage le voile, qui descend sous son propre poids, se trouve à sa cote théorique. Après plusieurs jours, il apprend que ces flèches atteignent par endroits au moins 70 cm, autant dire que l’opération de décoffrage lui paraît impossible. Au même moment, ce directeur technique dirige la construction d’un pont  franchissant la Sarre, en béton précontraint selon les procédés Freyssinet. L’idée lui vient de remplacer les armatures de béton armé, inertes, qui arment le voile et l’accrochent à la couronne, par des câbles Freyssinet traversant la couronne. Et en les tendant, de soutenir le poids du béton du voile, pour assurer le décoffrage, sans avoir à toucher aux étais. Soumis au bureau technique, ce projet est accepté. Une note technique justifiant les parties précontraintes de l’ouvrage doit être fournée…, mais elle ne le sera que partiellement (sans justification relative à la résistance de l’ouvrage). Le dossier de demande de permis de construire pour le projet fut déposé en avril 1954. Les notices de calcul jointes ultérieurement au dossier révèlent que la toiture s’affaisserait d’environ 70 cm à l’issue du décoffrage. Au vu de cette éventualité, on envisage de changer de principe constructif, en tentant d’intégrer dans le concept statique le système de béton précontraint mis au point par Eugène Freyssinet (1879-1962). Cette alliance de deux principes statiques différents échoua, et il se produisit au cours du processus de mise sous tension les 8 et 9 septembre 1954 une fissuration irréparable de la toiture.  Le “psychodrame” technique va alors débuter. Refuser de commencer les mises en retard aurait risqué de déclencher des pénalités de retard. Période de congés et précipitation de l’entreprise pour coller aux demandes d‘Europe 1 s’ajoutèrent. Et là, ultime erreur, les mises en tension commencèrent. Cela commença plutôt bien, mais le voile de béton se déchira sur toute la longueur du bâtiment. Dans le projet initial, les tirants étaient passifs. De ce fait, lors du décintrement du voile par la mise en précontrainte des câbles longitudinaux, le voile s’est déchiré parallèlement aux câbles. Et ce , en raison de la déformation de la ceinture sous l’effet de la précontrainte : les tirants non tendus ne pouvant s’y opposer, sans une déformation excessive pour le voile.Un seul recours : faire appel à des experts, qui déclinèrent, donc l’atout maître fut Eugène Freyssinet lui-même, que nul n’avait pensé déranger pendant ses vacances pour le consulter. L’homme comprend de suite ce qui s’est passé. « De toute évidence, les sollicitations imposées à la ceinture par la tension des câbles tendaient à la déformer, en l’élargissant transversalement, cette déformation devant être empêchée par l’action des tirants transversaux. […] Le directeur de l’opération crut pouvoir réussir à soulever sa voûte, en exagérant les tensions. Il accumula ainsi une énorme énergie potentielle dans les câbles et les bétons, en imposant des tractions plus fortes à sa voûte, dans une direction où elle n’était pourvue d’aucune armature efficace. »1.Pour faire simple : la mise en tension des câbles n’était pas la cause du sinistre. Elle l’avait néanmoins provoqué. Freyssinet, en renforçant les fondations, les ancrages périphériques ainsi que les porteurs, parvint à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille.  Eugène Freyssinet convainquit les experts de la pertinence de son diagnostic. Et il prit les opérations en mains pour reconstruire la couverture. Et ce, à 75 ans ! Il imposa des conditions particulièrement rigoureuses. Et il fit remercier tous les auteurs du projet de bâtiment. Les travaux se terminèrent à la fin de l’automne 1954. Une intervention lourde de rénovation a été programmée au début des années 1980, confiée à Freyssinet International. Les six gros tirants transversaux furent remplacés complètement par des tirants-butons. Les câbles de 12 fils de 5 mm longitudinaux de la coque furent changés par des paires de torons graissées de 15 mm plaqués sous la coque. L’isolation de la toiture reconstituée en face externe, sous la protection d’une nouvelle étanchéité. Grâce à son caractère unique, l’édifice a été classé monument protégé en 1999. Depuis août 2016 l’émetteur est la propriété de la Commune de Uberherrn. “Eugène Freyssinet. Une révolution dans l’art de construire”, 2004, Association Eugène Freyssinet, Presses de l’école nationale des Ponts et Chaussées. 2004. 1Revue “Travaux”, février 1956, n° 256, p. 49 à 58. “Résonnances : l’architecture française en Sarre après la seconde Guerre mondiale” du 11 au 13 octobre , conférence, visite de bâtiments dont l’émetteur.
Il y a 5 ans et 40 jours

La membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM célèbre ses 40 ans

Ces atouts, conjugués à l'expertise de plus d'un siècle dans la technologie du caoutchouc du Groupe Bridgestone/Firestone, ont permis à Firestone Building Products de fournir plus de 1,5 milliard de m² de membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM aux quatre coins de la planète. En France, l'industriel s'appuie sur ses distributeurs agréés, pour commercialiser RubberGard™ EPDM. Il offre également des services de proximité, aux maîtres d'œuvre et d'ouvrage ainsi qu'aux étancheurs, du lancement du projet à sa livraison : formation, calculs techniques, assistance sur site lors de l'installation et inspection une fois les travaux achevés.« Lorsque l'expert en pneus, Firestone, a décidé d'entrer dans l'industrie de la toiture plate en 1980, le marché, dominé à l'époque par les produits en asphalte, avait commencé à évoluer. Les membranes monocouches synthétiques ont émergé avec le désir de construire des bâtiments à haute performance et à des coûts d'installation plus compétitifs. Aujourd'hui, on considère que le rôle de la toiture d'un bâtiment va bien au-delà de la protection du contenu et de ses occupants. Elle doit être facile à installer, respectueuse de l'environnement et efficace du point de vue énergétique. Autant de critères auxquels répond la membrane RubberGard™ EPDM. Les 30 millions de m² installés chaque année dans le monde en témoignent. », explique Steven Forger, Directeur Firestone Building Products France et Europe du Sud.Zoom sur l'un des premiers chantiers françaisFirestone Building Products a installé l'une de ses premières membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM en France en 1998, sur une charpente en lamellé collé. Situé à Montauban, ce bâtiment industriel a été racheté en 2011 par Doumerc Pneus International. « Les 11 000 m² de membranes ont été mis en œuvre il y a 22 ans et à ce jour il n'y a aucun changement d'aspect en partie courante. L'étanchéité est quasi comme neuve malgré une tempête de grêle violente survenue en 2015. Alors que nous avons dû remplacer les 99 lanterneaux endommagés durant cet orage, les membranes, elles, sont restées intactes. Pas de poinçonnement ni de fuite ! Malgré les fortes chaleurs que nous connaissons dans le Sud-Ouest, notamment ces dernières années, les membranes restent souples sans s'abîmer ou se fissurer. Aujourd'hui, un étancheur agréé Firestone Building Products doit simplement reprendre quelques patches au niveau des angles des lanterneaux. De petits travaux de maintenance normaux après plus de deux décennies de mise en service. », explique son dirigeant Patrick Doumerc.Les atouts de RubberGard™ EPDMLa membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM a réussi le test EMMA (Equatorial Mounted Mirrors Ageing) qui l'a soumise à une exposition de 2 000 000 Langleys, soit en moyenne 20 ans sous les rayons du soleil équatorial. Les essais réalisés par le Süddeutsche Kunststoff Zentrum (SKZ), institut de recherche allemand, démontrent également que les membranes en EPDM conservent une élasticité jusqu'à 150% même après 50 ans d'utilisation grâce à leur composition exempte de plastifiant. Cette souplesse permet de faire face aux fluctuations importantes de température et aux éventuels mouvements des bâtiments. RubberGard™ EPDM fait preuve d'une haute résistance à l'ozone, aux UV, aux micro-organismes et aux conditions météorologiques extrêmes telles que la grêle. Chimiquement inerte, elle ne libère aucune substance toxique, ce qui en fait la solution idéale pour la récupération des eaux pluviales.Universelle, cette solution se pose à froid sans aucune flamme sur tous les types de bâtiments (commerciaux, industriels, tertiaires et résidentiels collectifs), et ce, quel que soit le climat, des températures inférieures à zéro de la Russie au soleil du désert d'Arabie Saoudite. Elle est compatible avec l'installation de toitures végétalisées extensives et photovoltaïques. Légère (1,35 kg/m²), elle peut être mise en œuvre sur une étanchéité existante. Ses grandes nappes (de 30,5 m de long, et entre 3,05m et 9,15m de largeur) permettent de réduire le nombre de joints, assurant une installation rapide, aisée et fiable par une entreprise agréée Firestone Building Products. Les modifications futures du toit, telles que l'ajout de puits de lumière ou l'intégration d'extensions du bâtiment, peuvent être effectuées facilement tout en conservant les performances globales du système de toiture.
Il y a 5 ans et 40 jours

SPIE innove et déploie l'intelligence artificielle pour répondre aux besoins de Thésée DataCenter

SPIE ICS est spécialisée dans les services liés aux infrastructures ICT1, depuis l'environnement utilisateurs jusqu'au data center. La filiale a été sélectionnée pour assurer la mise en œuvre technique de ce data center de colocation2 particulièrement novateur. SPIE ICS se voit ainsi confier les prestations de conseil et ingénierie avant intégration ainsi que l'installation des différents équipements techniques et de sûreté. Ce contrat ambitieux vient couronner une relation privilégiée initiée en 2016.« Nous sommes fiers de voir ce projet se concrétiser et d'en être l'un des principaux opérateurs. Nous avons très tôt fait confiance aux fondateurs de Thésée DataCenter dont l'audace et la compréhension des enjeux techniques ont été déterminantes », a déclaré Fabrice Raison, Directeur de Département chez SPIE ICS. « Nous en sommes d'autant plus heureux que nous partageons un ADN commun : la volonté d'allier innovations technologiques et efficacité énergétique ». Dès septembre 2020, plus de 40 collaborateurs de SPIE ICS seront mobilisés sur ce chantier préalablement modélisé en BIM3. La livraison du projet est prévue pour le 28 février 2021.Les équipes de SPIE ICS déploieront dans le cadre de cette mission l'ensemble de leurs compétences techniques en matière de data center. Elles s'attacheront tout particulièrement à mettre en œuvre des technologies de pointe permettant de garantir les objectifs de performance énergétique du projet. Il s'agira notamment d'atteindre une consommation électrique inférieure de 25% à celle des data centers de colocation les plus récents avec une empreinte carbone également réduite de 25%. « Au-delà de la solution de free-cooling4, nous avons eu recours à des techniques d'intelligence artificielle. La gestion et la régulation de la température en salle seront assurées par des capteurs dont les données seront analysées en temps réel par des algorithmes. 90% du temps, les salles informatiques seront ainsi refroidies sans aucune consommation d'énergie », indique Fabrice Raison.Autre expertise majeure apportée par SPIE ICS : la sécurisation du site avec une infrastructure de sûreté à 7 niveaux d'accès entre l'entrée sur le site et l'accès aux baies informatiques privatives et des points de passage obligés disposant des dernières technologies en termes de biométrie et de vidéosurveillance. Celles-ci seront couplées au dispositif de gestion technique du bâtiment ainsi qu'à un portail de services ouvert aux clients de Thésée DataCenter.1 Information and Communication Technology2 Un centre de colocation ou « hôtel porteur » est un type de centre de données où l'équipement, l'espace et la bande passante sont disponibles à la location pour les clients de détail.3 Le BIM ou Building Information Modeling est un processus intelligent basé sur un modèle 3D qui offre aux professionnels de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC) les informations et les outils nécessaires pour planifier, concevoir, construire et gérer plus efficacement des bâtiments et des infrastructures.4 Technique qui consiste à limiter l'usage de la climatisation en refroidissant un bâtiment grâce à l'air extérieur
Il y a 5 ans et 43 jours

PPE : Équilibre des Énergies invite à maintenir le cap sur la réduction des énergies fossiles

Pour Brice Lalonde, ancien ministre de l'Environnement, Président de l'association Équilibre des Énergies : « Il faut lancer un programme de renaissance de l'activité économique de la France, fondé sur l'électricité et sur les autres énergies décarbonées, pour lutter contre le dérèglement climatique, conforter l'indépendance nationale, assurer la santé publique et promouvoir la justice sociale ».Baisser la consommation des énergies fossiles et développer les énergies décarbonées Le décret de la PPE impose une réduction significative de la consommation des énergies fossiles les plus présentes en France : d'ici à 2028, la consommation du pétrole devra avoir chuté de 34% par rapport à 2012 et celle de gaz naturel de 22%. Les pouvoirs publics confirment ainsi leur volonté de construire une politique énergétique fondée sur l'efficacité énergétique et sur des formes d'énergies décarbonées, électricité et énergies thermiques renouvelables essentiellement.Équilibre des Énergies salue ces dispositions et invite les pouvoirs publics à résister aux appels à la procrastination de ceux qui ne s'y retrouvent pas. L'urgence sanitaire ne doit faire oublier l'urgence climatique.Intégrer la transition énergétique dans un programme de renaissance économiqueLe défi du Gouvernement est à présent de parvenir à intégrer ces mesures, conçues avant la crise du Covid-19, dans une stratégie globale de renaissance économique visant à reconstruire l'économie française sur des bases décarbonées. Le problème est celui de l'urgence : la crise du COVID-19 fait obligation de définir rapidement des priorités et de sélectionner les actions les plus efficaces sur le plan énergétique, économique, environnemental et sociétal. Sans négliger les autres formes d'énergies décarbonées, réseaux de chaleur décarbonés et solaire thermique notamment, Équilibre des Énergies constate que l'électricité « coche toutes les cases » exigées par une relance économique vertueuse.C'est aujourd'hui qu'il faut engager la deuxième révolution électrique, celle qui permettra de faire passer, dans les meilleurs délais possibles, de 25 à 50% la part de l'électricité dans la couverture des besoins finaux. C'est la meilleure façon pour la France de se recentrer sur ses propres ressources énergétiques, de reconstruire son activité industrielle, de faire face aux défis climatiques, économiques et sociétaux et d'apporter de l'emploi et du confort à nos concitoyens.Relancer la constructionL'adoption de la PPE doit être l'occasion de jeter les bases d'une relance massive de la construction. L'administration doit finaliser sans attendre les grands chantiers réglementaires engagés avant la crise : RE 2020, nouveau DPE, traitement des logements à consommation excessive, remplacement des chaudières à fioul, etc.Les solutions sont là : construction bas carbone, solutions électriques (pompes à chaleur notamment), énergies thermiques renouvelables… L'industrie française et les installateurs sont prêts à se mobiliser pour répondre aux besoins.Une ambition forte pour le véhicule électriqueLe rôle de la mobilité électrique se trouve renforcée par le décret du 23 avril qui prévoit, d'ici à 2028, 5,2 millions de véhicules électriques ou hybrides rechargeables en circulation en France et 100 000 points de recharge ouverts au public seront disponibles.Équilibre des Énergies s'en réjouit mais alerte les pouvoirs publics sur les difficultés pratiques qui subsistent, notamment quant au développement des infrastructures de recharge accessibles au public ou en copropriété. Le marché est encore très fragile et la demande a besoin d'être davantage soutenue pour permettre le déploiement de la mobilité électrique à grande échelle.Retrouver une vision industrielleComme après toutes les grandes crises, l'énergie et l'électricité en particulier joueront un rôle essentiel. Développer les usages de l'électricité, c'est donner du confort et du mieux-être aux citoyens mais c'est aussi permettre à l'industrie française de se moderniser et à tout un ensemble d'industriels français de retrouver le chemin de la croissance et de participer au redressement national.C'est avec cette vision qu'il faut maintenant aborder l'Acte II de la PPE.
Il y a 5 ans et 43 jours

Une maison semi-enterrée de 1985 dans une colline de Sheridan Usa

« Nous sommes en train de paver et de recouvrir ce pays à mort ». Ce sont les mots de l’architecte du Massachusetts Malcolm Wells qui, dans les années 1970, alors que le mouvement environnemental prenait de l’ampleur aux États-Unis, a renoncé au design contemporain en faveur de logements souterrains à faible consommation d’énergie. Ses plans prévoyaient […]
Il y a 5 ans et 44 jours

Energie: retour à la normale en septembre pour les activités moins prioritaires

Le gouvernement vise un retour à la normale en septembre pour les activités jugées moins prioritaires dans le secteur de l'énergie, selon la ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne.
Il y a 5 ans et 44 jours

Covid-19 : les fabricants de produits de construction proposent un plan tourné vers l'investissement durable et responsable

Nous savons d'ores et déjà que l'impact négatif de la situation actuelle entraînera une crise économique française et européenne importante, et qu'un grand nombre d'entreprises françaises se retrouveront dans des situations extrêmement périlleuses. Une reprise rapide de l'activité économique est donc aussi urgente qu'indispensable.Alors que les premières positions du Haut conseil au climat et la Convention Citoyenne appellent les pouvoirs publics à une relance tournée vers la transition énergétique et environnementale, le plan de reprise et de relance élaboré par l'AIMCC, en tant qu'animatrice du CSF IPC, se base sur une conviction forte : l'écologie et l'économie doivent converger, pour sortir au plus vite de la crise.La contribution de la Filière Industries pour la Construction animée par l'AIMCC insiste premièrement sur l'accélération de la reprise car elle sera une condition sine qua non de succès de la relance : plus la reprise sera lente, plus les capacités d'action seront obérées dans un contexte concurrentiel toujours aussi vif malgré la crise.Hervé de Maistre, Président du Comité Stratégique de Filière des Industries Pour la Construction, appelle de ses vœux un plan de relance rapide, massif, environnemental et social : « Nos propositions conjuguent trois priorités : soutenir les plus fragiles, redonner rapidement de l'activité aux entreprises françaises, accélérer la transformation environnementale. Pour réussir le Plan de Relance, il nous faut des décisions audacieuses, un état d'esprit collectif, une gouvernance efficace. Les industriels sont conscients de la gravité de la situation, prêts à assumer leurs responsabilités aux côtés des pouvoirs publics et de tous les acteurs de la construction ».Les propositions du CSF Industries pour la ConstructionLe CSF Industries pour la Construction a émis une série de propositions dans le cadre du plan de relance auprès du Conseil National de l'Industrie et parmi celles-ci des thèmes essentiels ont rapidement émergé :Une relance de la construction durable et résiliente par la mobilisation de l'épargne privéePour José Mickael Chenu, Directeur Marketing du groupe Vinci et Vice-Président d'EGF BTP : « La mobilisation de l'épargne privée est une voie possible de la relance rapide, notamment dans le logement neuf mais aussi par exemple pour le plan Campus Universités et autres ».La massification de la rénovation énergétique performante des maisons individuelles et quartiers pavillonnairesPour Eric Mestrallet, qui anime le pilote industriel en Ile de France en lien avec la Métropole du Grand Paris du projet Parcours Rénovation Énergétique Performante » (PREP) : « il est indispensable de créer une nouvelle dynamique en matière de rénovation énergétique des maisons individuelles, bien souvent assimilé à un angle mort des politiques publiques depuis une dizaine d'années. C'est un enjeu pour générer de la valeur ajoutée locale, valoriser le patrimoine des propriétaires occupants et apporter dans certains cas une réponse à la dégradation des quartiers pour éviter le sentiment de « relégation » de nos concitoyens. Le soutien de l'Association des Maires de France met en évidence l'attente maintenant déterminante des Maires, pour initier une dynamique qui a fait ses preuves sur l'habitat vertical et les centres-villes ».La promotion du « Made in France »Pour Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM et Didier Petetin, Directeur Général de Vicat, il est indispensable de « faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et la mieux-disance et ainsi promouvoir la création de la valeur ajoutée locale par nos industries et l'ensemble de nos partenaires au sein de la filière, synonyme de résilience et d'indépendance ».La prise en compte prioritaire des ménages démunis pour une rénovation BBC aidée et financée à 100%Pour Jacques Pestre, administrateur de la FNBM, pilote des actions relatives à la rénovation de l'habitat, « il faut penser aussi et surtout aux ménages les plus démunis qui sortiront de la crise encore plus fragilisés, et le projet -100% aidé et financé- sera réservé aux ménages des 3 premiers déciles ».Chèque « rénovation travaux » à destination de tous les ménages Pour Hugues Vérité, délégué permanent du CSF IPC et délégué général de l'AIMCC : « il faut relancer la machine rapidement et tenir compte des leçons de la dernière relance post crise 2008 en redémarrant encore plus vite. La création éventuelle d'une « monnaie verte » constituerait une des pistes les plus efficaces ».L'industrialisation des solutions de rénovation performante pour les Universités et les pools de bâtiments publicsPour Patrice Barbel, enseignant chercheur, conseiller patrimoine au sein de la Conférence des Présidents d'Universités, « il est possible en moins de 6 mois de lancer un programme ambitieux de rénovation globale à l'échelle de 10 universités inscrites dans leur territoire (représentant 500 000 m2) qui seront les étalons d'un déploiement généralisé (15 000 000 m2) sur 3 ans dans le cadre d'une industrialisation des solutions d'efficacité énergétique performantes et volontaristes, et de financements innovants de type « fonds d'amorçage » associé à des fonds de garantie. L'objectif cible sera de stabiliser un modèle économique soutenable et vertueux pour l'ensemble des acteurs des territoires (bilan carbone, mobilité, emplois, innovations formation recherche...) ».Le respect dans les relations commerciales, un gage de confiance réciproque essentiel pour une reprise accéléréePour Philippe Gruat, administrateur de l'AIMCC, référent PME-TPE-ETI au sein du Conseil National de l'Industrie pour la filière, « il faut que la loyauté dans les relations commerciales, notamment sur le respect des délais de paiement et des créances entre acteurs de la chaîne, soit la pierre angulaire d'une reprise et d'une relance fondées sur la confiance de toute la filière ».
Il y a 5 ans et 44 jours

La RE2020 repoussée à l'été 2021

REGLEMENTATION. Crise du covid obligé, les pouvoirs publics ont décidé de reporter plusieurs mesures emblématiques, dont la réglementation environnementale 2020. D'autres réformes pourraient être concernées, comme le diagnostic de performance énergétique ou le label Reconnu garant de l'environnement.
Il y a 5 ans et 44 jours

LafargeHolcim limite les conséquences du Covid-19

Jan Jenisch est le CEO de LafargeHolcim. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim affiche un recul de ses ventes de 3,3 % au premier trimestre de cette année. Un résultat impacté par la crise de Covid-19 qui secoue l’Europe, et, avant elle, la Chine. « Nous faisons face à une crise sanitaire sans précédent avec le Covid-19. Qui change la manièr, dont nous vivons et dont nous travaillons, de bien des façons, a expliqué Jan Jenisch, CEO du groupe LafargeHolcim. Garder nos employés en bonne santé et en sécurité est notre préoccupation n° 1. Mais les résultats du premier trimestre montrent combien nous sommes résilients en tant qu’acteurs économiques. Grâce au renforcement de nos bases économiques, nous sommes tout à fait aptes à traverser cette tempête. Je suis confiant dans le fait que LafargeHolcim émerge de cette pandémie comme un acteur important du retour à la normale de la construction ». Encore trop tôt… Dans le détail des résultats région par région, l’Europe a montré une activité solide. Notamment grâce aux performances de la Suisse et de l’Allemagne. Alors que les marchés britannique, espagnol et français étaient fortement impactés par la crise. En revanche, l’Amérique du Nord a obtenu d’excellents résultats. Avec une demande constante en ciment et en granulats. Le volume total a progressé de 12 %, par rapport à l’année précédente. C’est surtout grâce aux très importants travaux engagés le long du fleuve Mississippi. En Amériques centrale et latine, le Mexique a fait figure de locomotive. Alors que l’Argentine, le Brésil la Colombie et l’Equateur, ont été fortement impactés à la mi-mars. L’Afrique et le Moyen-Orient ont obtenu de bons résultats, malgré des confinements en Afrique du Sud et au Liban. Et c’est sans surprise que l’Asie, qui a subi le plus fort impact de la pandémie, avec un marché chinois quasiment à l’arrêt depuis début janvier… Les conséquences les plus fortes sur l’économie sont attendues pour le 2e trimestre de l’année par le groupe cimentier. Notamment en Europe. Mais les résultats d’avril ont été encourageants dans de nombreux pays, notamment en Chine. Cependant, il est encore trop tôt pour que LafargeHolcim annonce des objectifs révisés pour cette année 2020.
Il y a 5 ans et 44 jours

Hoffman Green Cement Technologies poursuit son développement

Unité de production Hoffmann Green Cement Technologie à Bournezeau, en Vendée. [©ACPresse] Spécialiste du ciment décarboné pour la construction, Hoffman Green Cement Technologies (HGCT) a présenté, le 24 avril dernier, les résultats de l’année 2019. « Nous avons clôturé 2019 sur une dynamique positive. Qui a été marquée par le franchissement d’étapes clefs de notre plan de développement, ont expliqué Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de la société. Tout d’abord, nos différents succès commerciaux ont confirmé la pertinence et l’attractivité de notre positionnement. Et de sa valeur ajoutée dans un marché qui doit s’engager et accélérer sa transition énergétique. Nous avons ainsi commercialisé nos premières 1 000 t de ciments décarbonés, soit un niveau en ligne avec nos objectifs. » Réussite de l’introduction en bourse Fort du succès du démarrage de la commercialisation de ses ciments décarbonés, Hoffmann Green Cement Technologies a généré un chiffre d’affaires de 600 000 €. L’Ebitda 2019 s’élève à – 1,8 M€, contre – 800 000 € en 2018. Ceci, compte tenu de la montée en charge industrielle et commerciale de la société. Ainsi que du renforcement des équipes permettant de soutenir le développement prévu. De leur côté, les charges opérationnelles liées aux achats de matières pour la réalisation d’essais progressent de 700 000 €. Et les charges de personnel de 400 000 €. Fin décembre 2019, HGCT comptait 16 collaborateurs, contre 7 à fin 2018. A la même époque, les capitaux propres de la société s’élevaient à 70,5 M€. A la suite de l’introduction en bourse réalisée en octobre 2019, qui a permis à l’industriel de lever près de 75 M€ pour financer son plan de développement. HGCT compte sur l’extension de son site de production H1, situé à Bournezeau, en Vendée, initié fin 2019. L’unité de production va permettre à l’industriel de disposer d’une superficie supplémentaire de 1 000 m2 destinés au stockage et à l’expédition de ses ciments. Sur le plan logistique, la ligne d’ensachage automatisée a été mise en service avec une capacité de 250 sacs/h. Le robot pour la mise en palette de ces sacs a, lui aussi, été installé. Et peut gérer jusqu’à 500 sacs/h. Un plan à 2024 inchangé Concernant les futurs sites de production H2 et H3, les démarches administratives ont été effectuées, en respectant le plan de développement. Ces sites seront situés en Vendée et en Ile-de-France. Mais leur déploiement est pour l’heure freiné en raison de la pandémie de Covid-19. Cette dernière  impacte en particulier l’étude des demandes de permis de construire pour H2. Malgré la crise sanitaire actuelle, le cimentier ne dispose pas d’informations assez précises à ce stade pour remettre en question les objectifs prévus pour 2024. A savoir, atteindre une capacité de production totale de 550 000 t/an de ciments décarbonés. Et générer un chiffre d’affaires d’environ 120 M€. Soit près de 3 % des parts de marché du ciment en France à cette date, avec une marge d’Ebitda d’environ 40 %…
Il y a 5 ans et 44 jours

Un nouveau site Internet pour Arcade

Le nouveau site Internet d’Arcade est en ligne… [©Arcade] Editeur français de logiciels destinés aux professionnels des matériaux de construction, Arcade a créé une nouvelle ligne de produits baptisée Massia. « Chez Arcade, nous souhaitons proposer des logiciels à l’interface fluide et agréable. Ceci, en tirant profit des dernières avancées technologiques », annonce l’éditeur.  Afin d’accompagner le déploiement de sa solution, basée sur cinq modules complémentaires, Arcade vient de remettre à plat son site Internet. « Cette vitrine est souvent le premier contact qu’ont nos clients avec notre entreprise. Il nous semblait donc important qu’elle reflète cette volonté et l’esprit de nos produits. »La refonte du site a ainsi été entamée il y a quelques mois. Aujourd’hui, la nouvelle interface vient d’être dévoilée…  La suite Massia y tient une place centrale. Les différents modules y sont détaillés : Massia Gestion, Massia Laboratoire, Massia Maintenance, Massia Performance et Massia QSE & Foncier. Sans oublier l’appli Massia Labo Mobilité…  Le nouveau site Arcade en profite pour rappeler les grandes dates de l’histoire de l’entreprise, débutée en 1993. Ni les services qu’il propose, tels les formations, l’assistance technique. Enfin, l’accès aux actualités et aux newsletters d’information complète la visite, qu’on peut entamer ici. 
Il y a 5 ans et 44 jours

Altarea a résisté au 1er trimestre et anticipe des perspectives post-coronavirus "élevées"

"Il est trop tôt pour évaluer les conséquences de cette crise sur nos résultats 2020, lesquels seront significativement impactés par le confinement d'une part et la reprise probablement lente d'autre part", indique dans un communiqué le président fondateur Alain Taravella. "Une reprise forte est néanmoins possible"."Les perspectives de nos marchés restent élevées, notamment en logement avec des attentes renforcées en matière de mixité urbaine, proximité, confort d'usage, modularité, sobriété énergétique", précise-t-il.Au premier trimestre, Altarea Cogedim a réalisé un chiffre d'affaires de 566,2 millions d'euros. Le recul est mesuré "malgré 15 jours de confinement", précise le promoteur.La branche Commerce, qui centralise notamment les revenus locatifs, a ainsi progressé (+10,6% à 61,6 millions d'euros), tout comme l'Immobilier d'entreprises (+15,4% à 117,8 millions d'euros), qui a pu s'appuyer sur la contribution en début d'années de grosses opérations réalisées au préalable.En revanche, le Logement (-11% à 368,9 millions d'euros) a connu un sérieux contrecoup et pâti de l'arrêt des chantiers imposés par le confinement.Altarea indique toutefois que sa situation avant la crise sanitaire était "saine" et assure que "la sortie de crise se précise" avec la réouverture de la majorité des centres commerciaux après le 11 mai et la reprise de 95% de ses chantiers à la mi-mai.Au 5 mai, le groupe bénéficie également de 2,67 milliards d'euros de liquidités.
Il y a 5 ans et 45 jours

Spie Batignolles : Disparition d’Olivier Cantrel

Olivier Cantrel, directeur général adjoint en charge du logement résidentiel de Spie Batignolles Immobilier, est décédé à l’âge de 48 ans. [©Spie Batignolles] « C’est avec une grande tristesse que nous avons appris la disparition brutale d’Olivier Cantrel. Il était le directeur général adjoint en charge du logement résidentiel de Spie Batignolles Immobilier. Il était âgé de 48 ans », peut-on lire dans un communiqué de presse. « Olivier était très estimé pour son talent professionnel, ses qualités humaines et son énergie sans faille. Il a contribué au développement de Spie Batignolles Immobilier sur le marché résidentiel commente François Maillard, président de Spie Batignolles Immobilier. Il faisait partie de ces personnalités de l’immobilier, qui ont à cœur d’innover dans des projets au service du mieux vivre ensemble et du bien-être des habitants. Nous présentons nos plus sincères condoléances à sa famille, ainsi qu’à ses proches »,  Olivier Cantrel avait rejoint Spie Batignolles en 2017. Ceci, après que le groupe ait acquis une participation majoritaire au sein de la société Kalelithos Grand Paris, dont il était le co-fondateur.
Il y a 5 ans et 45 jours

L'impact des aléas climatique et sanitaire sur la conception de bâtiments résilients

Le Plan Bâtiment Durable, l’Ademe, le CSTB et l’Observatoire de l’Immobilier Durable (OID) se préoccupent des bâtiments de demain, de manière différente.
Il y a 5 ans et 45 jours

L'hôtel 25hours Terminus Nord se dote d'une installation de génie climatique Daikin

Compte-tenu de la vétusté des précédents locaux, lesquels ne répondaient plus aux normes de sécurité les plus actuels notamment en termes de PMR, et des mauvaises performances énergétiques générées par des équipements obsolètes, le groupe 25hours a entrepris une opération de réhabilitation de grande envergure.Dans cette perspective, un volet important de ces travaux a concerné l'installation de VRV 3 tubes à récupération d'énergie pour fournir à la fois le chauffage et le rafraîchissement des chambres et espaces de vie de l'hôtel. L'installation a été confiée à l'entreprise Derichebourg.Installation de 25 VRV IV connectés à 262 unités intérieures Des solutions Daikin équipaient l'hôtel de l'enseigne initiale au moyen de solutions VRV d'une précédente génération. Celles-ci proposaient uniquement la fonction rafraîchissement, le chauffage étant assuré dans les chambres par des radiateurs à eau alimentés par une chaudière.Le nouveau propriétaire de l'hôtel s'est donc tourné vers les préconisations du bureau d'études et de Daikin, qui a ont su prendre en compte ses exigences, pour l'installation d'un système capable de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement, au design contemporain et discret et aux performances énergétiques significatives.Au terme de 26 mois de rénovation pour une opération menée en TCE (tout corps d'état), le groupe hôtelier parvient à créer un établissement refait à neuf et parfaitement isolé sur une surface totale de 10 800 m² offrant 236 chambres. Une phase importante de gros œuvre a été nécessaire pour créer notamment le grand patio de 5 m de hauteur dans l'entrée de l'immeuble, positionné exactement en face de l'entrée de la Gare du Nord.L'installation Daikin mise en œuvre pour l'équipement des chambres et des pièces de vie collective telles que l'espace bar, le restaurant et les salles de réunion a concerné la pose de :22 VRV IV 3 tubes REYQ-T : 3 de taille 10, 5 de taille 12 et 14 de taille 8.3 VRV IV RXYQ-T sans chauffage continu : 2 de taille 12 et 1 de taille 8237 gainables à faible pression,24 gainables à moyenne pression8 cassettes extraplates FXSQ239 boîtiers de sélection (permettant la simultanéité de chauffage et de rafraîchissement)Les groupes VRV sont positionnés en toiture, à l'abri des immeubles voisins.Un équipement qui s'intègre parfaitement dans le design cosmopolite de l'hôtel Sous l'influence du célèbre architecte et designer Axel Shoenert, le décor de l'hôtel Terminus Nord a trouvé son inspiration dans les cultures africaines et indiennes. Les lieux de vie aménagés façon melting-pot mêlent différents courants artistiques et font la part belle au vintage, au cinéma d'antan et à l'économie circulaire avec l'intégration d'objets créés sur la base de produits recyclés, tels que des porte-valises réalisés à l'aide d'anciens pneus. Le design des solutions Daikin et le travail de pose de la société Derichebourg ont permis la parfaite adéquation de l'équipement à l'environnement hôtelier si particulier.Quelle que soit la température extérieure, le confort intérieur est assuré dans toutes les pièces, malgré des superficies variables. Pour répondre aux besoins des clients venus de tous horizons, les VRV 3 tubes à récupération d'énergie permettent de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement.L'ensemble des unités intérieures équipant les chambres d'hôtel a été dissimulé en faux-plafonds, pour une discrétion totale du système de chauffage et climatisation, laissant uniquement apparaître une simple grille de soufflage.L'installation est régulée par le système I-Touch Manager. Celui-ci offre à la direction une gestion simple de la température ambiante de l'hôtel.Une réduction de la consommation notable : un premier constat plus que concluant 25 hours s'est fixé un programme d'économies d'énergie pour toutes ses références hôtelières, conduisant la direction technique à adopter un système Daikin. Au terme d'une pleine année d'exploitation du nouvel hôtel 25hours, le constat est sans appel : les économies d'énergie sont bien réelles. On note une nette réduction de la consommation de CPCU, laquelle a été divisée par 2, entre l'ancienne installation de chaudière et les pompes à chaleur, ainsi que d'électricité du fait de l'amélioration de l'isolation, et ce malgré le fonctionnement des PAC et l'augmentation du nombre de points lumineux.La direction technique prévoit de réaliser un bilan énergétique plus précis afin d'optimiser encore davantage ses consommations.
Il y a 5 ans et 45 jours

L’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT, UN ALLIÉ EFFICACE POUR LUTTER CONTRE LE COVID-19 DANS LES BATIMENTS PROFESSIONNELS

EAS SOLUTIONS, spécialiste français de l’éclairage LED intelligent, développe des solutions d’éclairage connectées à des systèmes de supervision qui fournissent de précieuses données aux professionnels pour lutter contre Covid-19 au sein de leur établissement. Positionnés en hauteur, les projecteurs LED connectés sont munis de capteurs, luxmètre et détecteurs de présence qui, en plus d’éclairer efficacement, collectent en permanence des données sur la fréquentation et l’activité du site. Ce système communiquant par le maillage radio des luminaires LED, constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Avec les systèmes de gestion Light Rules et SiteWorx de Digital Lumens (division du groupe Osram avec laquelle travaille EAS SOLUTIONS depuis 2011), ces données, sauvegardées dans le Cloud ou sur les serveurs de l’entreprise, sont analysées en temps réel et utilisées habituellement pour améliorer la productivité et l’efficacité énergétique du site avec des réductions jusqu’à 90% des coûts en énergie. En période de Covid-19, ces données fournissent de précieuses informations sur les zones de fréquentation et les taux d’occupation des sites, montrant heure par heure et secteur par secteur, les endroits les plus fréquentés qui nécessitent une vigilance accrue pour garantir le respect de la distanciation sociale et la décontamination des lieux. Les données transmises par les luminaires LED connectés contribuent à attribuer les ressources de nettoyage et de décontamination prioritairement au bon endroit. Actualisées en temps réel, elles permettent d’organiser au mieux les tournées des équipes avec une vision précise des points de rassemblements, des circuits empruntés et des manipulations de marchandises. Il est même possible avec SiteWorx, d’avoir une cinématique sur la journée qui constitue un bon indicateur pour planifier les actions du lendemain. Comme le montrent les schémas ci-dessous, les fonctionnalités « Area » des systèmes de gestion qui sont incluses dans les offres standard Lightrules et SiteWorx assurent l’enregistrement des données de fréquentation sous les luminaires LED connectés et constituent ainsi le suivi d’une cartographie d’occupation. Afin que les professionnels exploitent au mieux pendant la pandémie ces données de fréquentation et de taux d’occupation, transmises par les systèmes de gestion de l’éclairage LED connecté, EAS SOLUTIONS se mobilise auprès de ses clients pour leur fournir une aide à distance en visio ou sur site dans le respect des mesures barrière de protection. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 5 ans et 45 jours

Contre-exemple d’une maison « écologique », « économe en énergie » rénovée dans l’Ain

Une maison écologique, c’est quoi ? Est-ce l’association de matériaux écologiques ? Pour être écologiques, faut-il qu’ils soient dits “matériaux biosourcés” ? Est-ce une maison très performante thermiquement et, a priori, peu gourmande en ressources pour son chauffage ? Est-ce une maison sur laquelle peu de transformations ont été réalisées ? Est-ce une maison sur […]
Il y a 5 ans et 46 jours

Rénovation énergétique : et si la crise du Covid-19 relançait l'ambition ?

LOGEMENT. L'Initiative Rénovons !, soutenue par de nombreux acteurs publics et privés du logement, de l'environnement et de l'efficacité énergétique, a dévoilé les grandes lignes de ses scénarios visant à mettre les bouchées doubles par rapport au rythme de rénovation actuel. Les gains seraient non seulement financiers mais aussi sanitaires.
Il y a 5 ans et 46 jours

Les meilleures sources d’information dans le domaine du BTP et du bâtiment

Chaque jour qui passe, les entreprises font face à une concurrence de plus en plus féroce. C’est notamment le cas dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Si vous êtes le dirigeant d’une société œuvrant dans ce domaine, vous devez en permanence vous montrer performant et bien informé des évolutions de votre secteur d’activité. Dans ce cadre, il est utile de chercher des sources fiables qui vous permettent de recueillir un maximum d’informations de qualité. Nous vous présentons donc quelques sites que nous estimons fiables et qui constituent des sources de qualité. Il s’agit de Batirama, de Batiweb et de Batiactu. Les médias préférés des acteurs du BTP, Obat en tête ! Si vous gérez une entreprise dans le secteur du bâtiment et du BTP, vous avez certainement besoin de disposer d’outils et de matériels performants afin de mieux satisfaire vos clients. Oui, mais que choisir ? Il faut alors vous tourner vers des sources d’informations fiables pour faire les meilleurs choix, telles que le blog d’Obat, visible sur https://www.obat.fr/blog/, expert en conseils BTP. On y trouve notamment des articles sur le choix du meilleur logiciel de facturation et de devis, sur la valeur juridique d’un devis, etc. Vous cherchez des infos intéressantes sur l’affacturage ? Obat pourra vous renseigner ! Les débutants pourront également trouver des infos intéressantes pour se lancer dans le milieu du bâtiment. Faire connaître son entreprise en ligne est par exemple essentiel à ce jour pour percer dans le milieu du bâtiment. Ce blog BTP vous aiguillonnera pour trouver des informations sur la marche à suivre afin d’être visible sur internet. Des informations variées dans le domaine du BTP Bref, en plus de proposer un logiciel de devis et de facturation, le site Obat propose ainsi un blog aussi complet qu’intéressant, permettant aux artisans du BTP de trouver des réponses rapides à leurs interrogations. Les informations y sont aussi diverses que variées, allant du flocage d’un camion utilitaire pour professionnel à des questions juridiques, en passant par des infos sur la TVA des entreprises. Des informations sur la Fédération Française du Bâtiment vous seront également communiquées, afin que vous possédiez vraiment toutes les informations dont vous avez besoin avant de vous lancer dans le BTP, ou pour vous aider à solutionner des soucis durant l’exercice de vos travaux. Secteur du BTP : Batirama, un site web pour en apprendre davantage Batirama fait partie des sites web de référence pour s’informer sur le secteur BTP. Vous y trouverez de nombreuses informations utiles afin de défier la concurrence et améliorer votre entreprise. Produits et innovations Le site https://www.batirama.com/ présente, par exemple, le calendrier des manifestations susceptibles d’intéresser une entreprise du BTP. Vous pouvez encore y découvrir une rubrique présentant différents produits comme la protection des planches à rives, le plancher léger thermo-acoustique, le micro-béton pour revêtement de bassins ou encore le relais de contrôle de niveaux. Si vous êtes à la recherche de matériel de transport pour votre entreprise, vous pouvez découvrir dans une rubrique spécifique des articles qui traitent les différents véhicules adaptés pour votre métier. Batirama vous donne également la possibilité d’en apprendre davantage sur les indices et les index du bâtiment. Comme vous avez besoin d’être à l’affût des innovations et des nouveautés techniques dans votre secteur d’activité, vous pouvez y lire un article parlant, par exemple, du gant bionique. Celui-ci est conçu pour prévenir les troubles musculo-squelettiques des travailleurs et améliore leur endurance. Vous y trouverez d’autres publications comme celle qui vous donne de plus amples renseignements sur les outils pratiques censés aider les entreprises du secteur BTP à gérer les crises. Vous y trouverez également d’autres articles intéressants pour en savoir plus sur la plateforme d’entraide mise en place par l’OPPBTP, par exemple. Normes et techniques dans le secteur du bâtiment Dans le domaine du BTP plus que dans les autres secteurs d’activité, les normes ont une importance capitale. Grâce à Batirama, vous avez désormais la possibilité d’en savoir plus sur les normes à appliquer dans certains domaines. Par ailleurs, vous serez certainement intéressé de connaître ce qui change en matière de baux privés et commerciaux avec les mesures d’urgence. Ou encore, à propos de la responsabilité engagée quand la solidité de l’ouvrage que vous construisez est compromise. Il est également possible de recueillir des informations sur différentes techniques qui peuvent vous être utiles. Cela concerne, par exemple, les solutions pour isoler l’extérieur des logements et qui peuvent être utilisés sur les toitures, ou comment choisir les produits adaptés pour isoler les combles perdus. Batiweb, un site de référence pour se renseigner Nous vous invitons également à vous connecter sur le site de Batiweb si vous souhaitez obtenir des renseignements qui vous permettent d’avoir une longueur d’avance sur vos concurrents. Vous trouverez sur https://www.batiweb.com/ un grand nombre d’articles classés dans différentes catégories et qui sont susceptibles de vous intéresser. Actualités et produits Batiweb est un site intéressant qui vous informe sur toutes les actualités concernant le secteur BTP. Cela peut être la législation et la réglementation qui touchent votre métier, les événements du bâtiment, les nouveaux produits du BTP, la RT2012, l’éco-construction, le droit social, la vie des sociétés, les collectivités territoriales, etc. Il est également possible d’y découvrir des articles intéressants qui présentent les produits utilisés dans votre métier. Il peut s’agir d’électricité et de génie climatique, de construction industrialisée, de gros-œuvre, de matériel, d’aménagement extérieur, de second œuvre, de logiciel, d’éco-construction ou de menuiserie-fermeture. Architecture et divers Véritable mine d’informations pour les entreprises du BTP, Batiweb présente dans sa rubrique « Autres » les différentes formations, des dossiers spéciaux, des vidéos ainsi que diverses thématiques. Le portail de Batiweb propose encore une large palette d’articles axés sur de nombreux sujets. La rubrique « Architecture » présente également un certain intérêt pour les acteurs du bâtiment et des travaux publics, notamment les architectes. En effet, les différentes innovations dans ce domaine y sont affichées. Batiactu, le meilleur site pour s’informer sur votre secteur d’activité En tant que chef d’entreprise, vous devez rester informé en permanence sur votre secteur d’activité. Batiactu vous donne l’opportunité de le faire. Il est vrai que le site https://www.batiactu.com/ est agencé de manière à permettre aux internautes de découvrir facilement les renseignements dont ils ont besoin dans le domaine du BTP. Il présente 8 rubriques différentes afin de vous permettre de trouver l’article qui vous intéresse. Il s’agit de l’immobilier, de l’énergie, de BTP Chantiers, de négoce industriel, de stratégie, d’architecture conception, d’État et collectivités, et d’une Tribune d’experts. Vous pouvez également découvrir sur cette plateforme spécialisée des articles concernant le chiffrage, les marchés, la formation, l’emploi BTP, les événements du secteur, le réseau, etc. Il est encore possible de trouver sur Batiactu une liste de fabricants et de prestataires œuvrant dans le domaine du bâtiment. Pour mieux vous informer sur le secteur BTP, le blog Obat reste également un site web de référence. Il s’agit d’une source fiable qui s’adresse aux professionnels du bâtiment. Ces derniers peuvent donc y découvrir des articles pertinents qui les aident à mieux gérer leur entreprise et à se développer par la suite.
Il y a 5 ans et 46 jours

Passoires thermiques : le collectif Rénovons remet le couvert

135 milliards d’euros pour amener en 2040 les 6,7 millions de passoires thermiques aux normes des bâtiments à basse consommation : le collectif Rénovons a publié et commenté le 5 mai sa seconde étude sur la rénovation énergétique du logement, réalisée avec le cabinet conseil Siapartners.
Il y a 5 ans et 46 jours

Résultats de la 6e édition du Baromètre ARTI Santé

Comme chaque année depuis 2014, la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB), la Chambre Nationale de l'Artisanat des Travaux Publics et du Paysage (CNATP), et le pôle d'innovation IRIS-ST dévoilent les résultats de la nouvelle édition du baromètre ARTI Santé BTP, enquête nationale de référence sur les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale du BTP.Pour la première fois, l'étude révèle une diminution de leur rythme de travail. Ils étaient ainsi davantage en 2019 à prendre des congés au-delà de deux semaines par an et à réduire leur temps de travail hebdomadaire. Cependant, la part des dirigeants qui déclarent leur métier très exigeant physiquement mais aussi mentalement est en hausse avec respectivement +5 et +3 points par rapport à la précédente édition et la difficile déconnexion avec le travail s'accentue. Face au rythme soutenu de leur activité, les répondants sont toujours autant soumis à des problèmes de santé (stress, burn-out) et ont de plus en plus le sentiment d'être isolés (+4 points). La CAPEB, consciente de toutes ces données et difficultés, fait le bilan des 6 éditions passées du baromètre et propose un partenariat, alliant synergie et compétence, avec le réseau du Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP) qui s'avère d'autant plus nécessaire du fait de la crise sanitaire actuelle.Pour la première fois, une légère diminution du rythme de travail mais une activité davantage exigeante mentalement et physiquementL'étude menée auprès de 2053 répondants entre novembre et décembre 2019 révèle une baisse du rythme de travail des dirigeants d'entreprise artisanale du BTP et du paysage. En 6 ans, les congés des dirigeants sont en effet de plus longue durée. Ainsi, le nombre de dirigeants s'octroyant plus que deux semaines de congés est en augmentation. Ils sont également de moins en moins nombreux à travailler de 6 à 7 jours par semaine (54% en 2019 contre 59% en 2018). De plus, la proportion du nombre de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est également en baisse (21% en 2019 contre 26% un an auparavant).L'intensité du rythme de travail hebdomadaire des dirigeants varie en fonction de la taille de l'entreprise. Ainsi, les répondants employant 11 à 15 salariés sont plus susceptibles de travailler plus de 60 heures par semaine par rapport aux artisans travaillant seuls (38% contre 14%), quand bien même les employeurs ayant répondu déclarent prendre plus de congés. Un rythme soutenu pour l'ensemble des répondants qui s'explique en partie par la lourdeur des tâches administratives qui représentent pour près de la moitié des chefs d'entreprise 25% de leur temps de travail. Si le rythme de travail opère pour la première fois une légère baisse, il reste cependant très soutenu. Comme les années précédentes, les chefs d'entreprise artisanale peinent à trouver le bon équilibre entre vie familiale et vie professionnelle : 87% des répondants ont toujours le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privée et 75% d'entre eux considèrent qu'ils ne sont pas suffisamment disponibles pour leur entourage.En cause : le rythme soutenu mais également la difficulté pour ces dirigeants d'opérer une réelle coupure avec leur activité. Travailler pendant les jours de repos est une pratique en augmentation chez les chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage : ils sont ainsi 51% à consulter leurs mails tous les jours ou tous les deux jours pendant leurs congés. Pour 34% d'entre eux, il s'agit en effet de rester disponible auprès de leurs clients.Le nombre de chefs d'entreprise qui considèrent leur travail très exigeant ne cesse d'augmenter : +5 points (83% en 2019 – 78% en 2018) pour l'exigence physique et +3 points (91% en 2019 – 88% en 2018) pour l'exigence mentale. L'accroissement de l'exigence physique peut s'expliquer, au-delà du fait qu'il s'agisse de métiers manuels, de l'évolution de certains matériaux et équipements et les contraintes liées aux chantiers. Bien que ce soit l'exigence physique qui augmente le plus, l'exigence mentale reste toujours plus importante. Elle s'explique entre autres par le poids des responsabilités et de la multitude de tâches qui incombent aux chefs d'entreprise. Une situation qui n'est pas sans risque pour la santé mentale et physique de ces artisans.Une activité qui continue de peser sur la santé physique et mentale des chefs d'entrepriseDepuis six ans, les résultats du baromètre alertent sur l'état de stress des dirigeants des entreprises artisanales du BTP et du paysage. Si la proportion des répondants qui se déclarent stressés reste stable à 58%, son intensité quant à elle augmente.Le poids des démarches administratives, la charge de travail, les contraintes de délais et la nécessité de devoir être de plus en plus réactif sont notamment en cause. 84% des chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage déclarent ainsi travailler dans l'urgence. Cet état émotionnel influence fortement la qualité du sommeil et les expose à un risque accru d'épuisement professionnel voire de burn-out. Un syndrome qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Il est à craindre que cette situation déjà préoccupante se détériore considérablement cette année avec la gestion de la crise sanitaire à laquelle sont confrontés tous les chefs d'entreprise.Les chefs d'entreprise artisanale sont également 58% à affirmer se sentir très fatigués (contre 59% en 2018, 58% en 2017 et 56% en 2016) et 47% déclarent se réveiller au milieu de la nuit et avoir du mal à se rendormir. Ce manque de sommeil a des répercussions concrètes sur l'activité professionnelle pour 70% des répondants. 51% des répondants se disent ainsi davantage irritables (contre 32% en 2018) et 64% en manque d'énergie et en permanence fatigués.La lourde charge de travail ainsi que les troubles émotionnels dont les répondants sont victimes sont des facteurs qui favorisent le sentiment d'isolement des chefs d'entreprise. En effet, 40% des sondés éprouvent ce sentiment (+ 4 points par rapport à l'année dernière) et 46% souhaitent être davantage soutenus. Pour répondre à ce besoin, les réseaux professionnels arrivent pour la première fois en première position (64% des répondants), suivis par les institutions telles que les assurances et les banques.Malgré cette situation inquiétante, le baromètre met en avant un regain d'optimisme chez les répondants. 54% sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise (contre 40% en 2018) et 65% sont totalement épanouis dans leur métier. L'étude porte néanmoins un point d'attention sur les entreprises dont la pérennité est menacée. En effet, seulement 21% des dirigeants en difficultés financières se font aider et uniquement 26% savent vers qui se tourner dans une telle situation. Ces résultats attestent de l'importance de continuer à informer les chefs d'entreprise sur les structures existantes qui permettent de les aider en cas de difficultés.Un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle qui intéresse les chefs d'entrepriseDepuis plusieurs années, le baromètre fait le constat d'un faible suivi médical des chefs d'entreprise de l'artisanat du bâtiment. En 2019, seulement 45% consultent leur médecin régulièrement ou de temps en temps. Plus inquiétant encore, pour 48% des répondants, leur état de santé nécessiterait un arrêt de travail qu'ils n'ont pas pris. La première raison évoquée est le maintien à tout prix de l'activité de l'entreprise. Ce constat alarmant montre la nécessité de continuer à sensibiliser les artisans du bâtiment sur les risques liés à leur activité. De plus, l'étude révèle que 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle avec leur médecin généraliste ou un autre professionnel.« L'état de santé des chefs d'entreprise est une question cruciale dont nous suivons scrupuleusement l'évolution chaque année grâce à notre baromètre. Le secteur de l'artisanat du bâtiment est un secteur particulièrement exigeant en termes de délais,de contraintes de chantiers et de contraintes clients. Les chefs d'entreprise, motivés par la satisfaction client et le maintien de l'activité, se donnent généralement à 100% en fermant parfois les yeux sur leur fatigue ou sur des signes cliniques cachant des pathologies plus graves, pouvant représenter un risque pour leur santé physique ou mentale. Notre devoir est de tirer la sonnette d'alarme et de continuer à sensibiliser les dirigeants des entreprises sur les risques liés à leur activité, afin de les informer au mieux et de les accompgner. Je perçois cette année une réelle prise de conscience de ces chefs d'entreprise qui expriment le besoin d'être médicalement suivis en lien avec leur activité. C'est une demande que nous entendons et que nous défendrons pour qu'elle trouve rapidement son application ! » - Patrick Liébus, Président de la CAPEB« Si être chef d'entreprise c'est être libre et autonome, c'est aussi vivre une vie qui n'est pas de tout repos. Si la passion est la motivation de l'artisan, gérer les problèmes du quotidien, anticiper le moyen terme et se fixer des objectifs sur le long terme peuvent s'avérer très stressant. Durant longtemps, la conjointe, aux côtés du chefs d'entreprise, partageait souvent cette charge mentale et libérait l'artisan d'une partie de ce stress. Aujourd'hui, ce schéma traditionnel n'est plus forcément la norme et le chef d'entreprise a fréquemment le sentiment d'être seul, isolé devant toutes ses implications et cet environnement toujours plus administratif et procédurier. Il est important d'évoquer ce sentiment ordinaire chez les artisans, d'en parler et que le chef d'entreprise prenne conscience que sa santé physique et mentale est primordiale, qu'il doive en prendre grand soin. La crise sanitaire que nous traversons n'aura pas épargné notre stress d'entrepreneur entre nos responsabilités d'assurer la sécurité de nos salariés et la pression de faire vivre notre entreprise.»- Françoise Despret, Présidente de la Chambre nationale de l'artisanat, des travaux publics et paysagistes (CNATP)Un Bilan sur 6 ansDepuis 2014, le baromètre ARTISANTE BTP édité par la CAPEB et la CNATP en partenariat avec l'IRIS-ST étudie les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale. Cette évaluation annuelle de l'état de santé et de stress perçu par les artisans a permis à la CAPEB et à la CNATP de dégager les enjeux du secteur. Ils se proposent maintenant d'en déterminer les actions à mettre en place pour inverser les tendances inquiétantes.Les principales tendances observées au cours de ces 5 dernières années sont invariables voire se dégradent : un rythme de travail intense, une exigence mentale en constante augmentation, un stress présent et des cas d'épuisement professionnels recensés et en augmentation, un suivi médical quasi inexistant car non obligatoire, des difficultés économiques spécifiques aux très petites entreprises.Une synergie de compétences pour une politique préventiveLe Baromètre fait état depuis plusieurs années du lien qui existe entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise, c'est pourquoi une collaboration forte a été mise en place entre la CAPEB, la CNATP, l'IRIS-ST et le CIP pour venir en aide aux chefs d'entreprise devant faire face à des difficultés financières au sein de leur entreprise. Une collaboration basée sur le maillage des réseaux de chaque partie sur le territoire. Une action concrète en réponse à une problématique soulevée par le Baromètre.Le Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP National) met à la disposition des adhérents de la CAPEB et de la CNATP sa plate-forme d'accueil et d'écoute. Sur l'ensemble du territoire national, les CIP territoriaux sont en capacité de recevoir et d'orienter les chefs d'entreprise vers les dispositifs légaux, publics et privés leur permettant de résoudre tout ou partie de leurs difficultés économiques et financières.A leur disposition, un trio d'experts qui les reçoit individuellement, de manière confidentielle, anonyme et gratuite. Expert-comptable ou commissaire aux comptes, avocat, ancien juge du Tribunal de commerce et parfois un conseiller CCI et/ou CMA échangeront avec les chefs d'entreprise entre 30 et 60 minutes.« En cette période de crise sanitaire totalement exceptionnelle, je suis particulièrement inquiet pour tous les chefs d'entreprise artisanale et de TPE dans la mesure où depuis des années, nos études et baromètres nous enseignent qu'il existe un lien direct entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise. Je souhaite que nous sachions faire face collectivement pour aider et accompagner les chefs d'entreprise qui seraient en détresse. Ce partenariat, fondé sur le maillage de nos réseaux territoriaux respectifs, constitue une action concrète pour répondre à cette problématique et un des éléments de l'accompagnement que nous nous devons d'apporter aux entreprises. »- Patrick Liébus, Président de la CAPEBLes grandes évolutions a retenirLes points alarmants :Une activité de plus en plus exigeante : la part des dirigeants déclarent leur métier « très » exigeant physiquement et mentalement est en hausse : respectivement +4 et +9 points par rapport à 2018Un équilibre vie familiale et vie professionnelle difficile à trouver : 87% des répondants ont le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privéeRenforcement du sentiment d'isolement : 40% des artisans ont le sentiment d'être isolés : un chiffre en augmentation de + 4 points par rapport à 2018Les cas de burn-out en hausse : une maladie qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Les points positifs :Un rythme de travail en légère baisse : la proportion de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est de 21% en 2019 contre 26% en 2018Un regain d'optimisme : 54% des répondants sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise et 65% des artisans sont épanouis dans leur métier.Un suivi médical qui intéresse : 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical
Il y a 5 ans et 46 jours

Energie : Ilek en campagne télé pour sa notoriété

PUB. Le fournisseur d'énergie verte, Ilek, a décidé de lancer une campagne sur les chaînes de télé du groupe M6 afin de gagner en notoriété. Découvrez le spot.
Il y a 5 ans et 46 jours

SPIE réalise l'infrastructure électrotechnique de la nouvelle usine d'Harmonic Drive SE

L'acteur européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications a ainsi réalisé en 18 mois l'installation complète de l'ensemble des systèmes énergétiques et électriques, des dispositifs de protection incendie et des systèmes d'éclairage. SPIE a équipé l'usine sans interrompre l'activité grâce à des solutions provisoires, permettant d'assurer la continuité de la production.Des services complets dans le domaine du génie électriqueFace à la situation du marché et à l'augmentation des ventes, l'extension de ce site de production était devenue une nécessité pour Harmonic Drive SE. Pour des raisons de temps, l'entreprise a décidé de rénover un bâtiment existant. Thorsten Schunk, responsable de l'équipe génie électrique chez SPIE Pulte, l'unité chargée de la mise en œuvre et de l'exécution du projet, explique : « Les exigences techniques pour cet environnement de production étaient donc très strictes et devaient garantir la fabrication de précision des réducteurs et servomoteurs de notre client. »Sur les 6.000 m² environ de l'usine, SPIE a installé un nouveau système haute tension, un système d'alarme anti-intrusion et incendie, un système complet de rails d'alimentation électrique, un poste basse tension, de nouveaux transformateurs et un poste moyenne tension. Par ailleurs, l'installation de brise-soleil orientables était particulièrement importante pour éviter la pénétration de chaleur dans l'usine. Thorsten Schunk précise : « Lors de la fabrication de réducteurs et de servomoteurs, il faut éviter les variations de température pour prévenir les écarts de qualité. Les systèmes à lames et les brise-soleils automatiques que nous avons installés permettent de limiter le rayonnement solaire et viennent ainsi compléter le système de climatisation des locaux pour garantir une température optimale et constante dans l'atelier de production. »Une plus grande efficacité énergétiqueLe fournisseur de services multi-techniques a également installé un système d'éclairage LED économe en énergie dans l'atelier de production. « Aujourd'hui, la basse consommation fait partie des critères de qualité d'un système d'éclairage. L'utilisation de lampes LED a considérablement amélioré l'efficacité de l'éclairage. De fait, les lampes LED consomment cinq fois moins d'électricité que les systèmes d'éclairage classiques, pour une durée de vie nettement plus longue », souligne Thorsten Schunk. Des concepts d'éclairage complets comprenant différents groupes de commutateurs réglables et contrôlables indépendamment les uns des autres, et un usage intelligent de la lumière naturelle favorise une consommation d'énergie responsable.Hautes performances et collaboration fluideAutre défi pour le fournisseur de services multi-techniques : réaliser les travaux d'installation sans interrompre l'activité de production. Une planification et une gestion de projet rigoureuses ont été des facteurs décisifs dans la réussite des opérations. Pour permettre à Harmonic Drive SE de poursuivre sa production sans perturbation, SPIE a conçu des solutions provisoires complètes qui ont permis d'alimenter les différentes zones d'installation. « Grâce à une étroite collaboration avec les planificateurs et Harmonic Drive SE, SPIE a respecté le calendrier. La production a ainsi pu investir les nouveaux locaux à la date prévue », explique Björn Kempf, chef de projet chez Harmonic Drive SE. « La fluidité de notre collaboration avec SPIE, avec qui nous avions déjà travaillé sur un projet de modernisation des installations électriques de notre première usine, et son expertise technique ont contribué au succès de cette nouvelle collaboration. Nous sommes heureux de pouvoir compter sur SPIE comme un partenaire de confiance. »
Il y a 5 ans et 46 jours

Testo partage son expertise dans son nouveau webinar : « contrôle d’accès aux sites industriels et aux ERP, quels sont les bons outils de mesure de température pour garantir la sécurité de vos employés ? »

La crise du Covid-19 a métamorphosé l’organisation de toutes les entreprises françaises. Elles doivent dès aujourd’hui anticiper la sortie de confinement et préparer leur Plan de Reprise d’Activité tout en garantissant la sécurité de leurs salariés. Avec son nouveau webinar gratuit consacré à la présentation des outils de mesure de température des personnes, Testo, spécialiste des appareils de mesure, met son expertise technique au service de toutes les entreprises. L’objectif : les informer et les aider à mettre en place les solutions de mesure infrarouge les plus pertinentes pour contrôler les accès aux sites industriels et aux ERP et détecter les personnes fiévreuses. Webinar testo : 30 minutes d’informations et d’échanges en ligne Animé deux fois par semaine par Philippe Guérin, expert de la thermographie infrarouge Testo, le webinar gratuit dédié aux outils de mesure de température des personnes s’adresse aux responsables sécurité des entreprises de tous secteurs (industrie, agro-alimentaire, restauration, BTP, gestionnaires, …). S’appuyant sur une présentation extrêmement didactique, il aborde en 30 minutes : • Le principe du rayonnement infrarouge : tous les corps émettent un rayonnement, les outils de mesure tels que les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques analysent ces rayonnements. • Les différences de fonctionnement entre les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques : Le thermomètre infrarouge réceptionne le rayonnement du corps qu’il a en face de lui. Il focalise les ondes infrarouge qu’il perçoit et les oriente vers un capteur qui transforme cette énergie en signal électrique. Celui-ci est ensuite converti en valeur de température. La qualité d’un thermomètre infrarouge est liée à l’optique qui permet d’obtenir des indications de rapport de cible exprimant une moyenne de température sur une surface. Plus le rapport est élevé, plus la cible de mesure est petite. Plus on s’éloigne de la cible, plus la surface de mesure est grande et moins elle est précise. La mesure de température doit donc être effectuée au niveau du front de la personne, sans lunette, à une distance de 50 cm par un agent de sécurité muni d’équipements de protection. La caméra thermique est munie de capteurs qui réceptionnent les rayonnements du corps et les convertissent en valeur électrique et ensuite en valeur de température. Chaque pixel correspond à une moyenne de température mesurée. La résolution de l’image et donc la précision de la caméra dépendent du nombre de pixels. La mesure de la température s’effectue au creux de l’œil, surface où l’échange thermique est le plus intéressant à prendre en compte. Grâce à ces caractéristiques, la caméra thermique permet de faire des mesures plus précises, de contrôler simultanément un plus grand nombre de personnes, et à une plus grande distance que le thermomètre infrarouge. La détection d’une personne fiévreuse est donc plus facile à constater. Selon les modèles de caméras thermiques, comme par exemple la testo 890, une alarme est déclenchée automatiquement si la valeur de température détectée est supérieure à la consigne enregistrée. L’image peut être déportée sur un écran d’ordinateur ou une tablette afin de sécuriser encore plus l’agent de contrôle. • La présentation de ses différentes gammes de thermomètres infrarouge comme testo 830 et les caméras thermiques telles que testo 872 et testo 890 ayant la particularité de signaler les personnes fiévreuses par bip sonore. Le webinar se conclut par un tchat de questions/ réponses. Un module de formation en ligne pour en savoir plus En complément de ce webinar, Testo propose une formation en ligne pour tous les opérateurs et utilisateurs qui souhaitent approfondir leurs connaissances techniques sur ce sujet. D’une durée de 2 heures, il fait le point sur les techniques utilisées, détaille les consignes d’utilisation afin de ne pas commettre d’erreurs d’interprétation et met en avant les préconisations d’utilisation d’un thermomètre infrarouge et d’une caméra thermique destinés à la mesure de la température corporelle. A l’issue de la formation, un guide de bonne pratique est adressé à chaque participant. L’inscription à ce module se fait sur le site internet de testo : www.testo.fr Webinar et module de formation en ligne, testo reste au plus proche des entreprises pour les aider à assurer la sécurité de leurs salariés et réussir la reprise de leur activité avec des outils de mesure fiables et de qualité. http://www.testo.fr
Il y a 5 ans et 47 jours

Le SERCE propose trois mesures pour réussir la transition énergétique du parc tertiaire

Parmi les recommandations et mesures concrètes déclinées dans cette étude, le SERCE considère que trois leviers sont particulièrement pertinents pour atteindre les objectifs de transition énergétique et climatique portés par la PPE et la SNBC, notamment en lien avec l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments tertiaires.Ces leviers d'actions issus des retours d'expérience collectés auprès de ses adhérents depuis plusieurs années visent à permettre une déclinaison opérationnelle de la politique française à la hauteur de ses enjeux.1. Mesurer pour comprendre et maîtriser sa consommation énergétiqueL'étude recommande d'intégrer une obligation minimale d'équipement de suivi des consommations énergétiques qui offrira aux décideurs des outils fiables et pérennes de monitoring énergétique.Le SERCE estime que le sous-comptage des consommations énergétiques offre la possibilité d'auditer en continu les différents postes de consommation afin d'adopter une démarche d'efficacité énergétique personnalisée, agile et tangible.En associant un service d'Energy Management au matériel déployé, de nouveaux projets énergétiques verront le jour en lien avec le niveau de maturité du maître d'ouvrage sur le sujet : cartographie énergétique, qualification des actions de performance énergétique, plan d'actions…2. Proposer des démarches de rénovation énergétique assorties de garanties de performanceLa promotion du Contrat de Performance Énergétique (CPE) est plébiscitée par l'ensemble des acteurs de la filière électrique pour favoriser son recours, en particulier dans la mise en oeuvre du décret sur la rénovation des bâtiments tertiaires.En s'appuyant sur les solutions de comptage, les opérations d'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peuvent intégrer un engagement réel et mesurable dans la durée, sous la forme d'un CPE qui peut favoriser la limitation de l'investissement initial.D'après le retour d'expérience de l'OCPE, les CPE “Travaux sur les systèmes” permettent d'atteindre en moyenne 20% d'économie d'énergie (jusqu'à 45% selon les cas) pour des montants d'investissements inférieurs à 200 € HT/m².Le SERCE appelle à la généralisation de ce type d'approche qui peut allier des garanties de performance environnementales portant notamment sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.3. Accélérer la décentralisation du système électrique afin de pouvoir intégrer massivement les énergies renouvelables et gagner en efficacité.Si l'étude estime qu'il faut “Faciliter l'installation de solutions d'autoconsommation et de pilotage/stockage de l'énergie en levant les freins administratifs et réglementaires”, en annexe, la fiche thématique intitulée “Combiner production locale d'énergie et nouvelles mobilités” va plus loin en affirmant qu'il faut “réévaluer le seuil entre guichet et appel d'offres en cohérence avec les objectifs de la PPE afin de faciliter le déploiement de l'autoconsommation individuelle”.Très concrètement le SERCE demande l'augmentation du seuil de participation au guichet ouvert pour les installations photovoltaïques en autoconsommation en le passant de 100 à 500 kW, ce qui leur permettrait notamment de bénéficier d'un tarif d'achat pérenne sans passer par la procédure complexe des appels d'offres.En effet, les appels d'offres sont des procédures incertaines qui nécessitent d'avoir une année minimum de délai entre la phase de conception et celle de réalisation, ce qui est peu compatible avec les projets de rénovation énergétique réalisés par les entreprises du SERCE.
Il y a 5 ans et 47 jours

Décret tertiaire : l'arrêté "méthode" est paru

REGLEMENTATION. Un arrêté d'application complétant le décret sur les obligations d'économies d'énergie des bâtiments tertiaires vient de paraître au Journal officiel du 23 mai 2020. Il contient notamment des informations sur la manière de déterminer les niveaux des objectifs d'énergie finale à atteindre.
Il y a 5 ans et 47 jours

Wilo-Yonos Maxo puissance éprouvée, régulation et rendement élevé

Puissance et régulationLe circulateur à rotor noyé Wilo-Yonos MAXO est déjà disponible en tant que version simple et double avec un moteur d'une puissance P2=1300 watts. « Grâce à la technologie haut rendement intégrée, les systèmes de chauffage dans les immeubles et les bâtiments fonctionnels de grande taille fonctionnent en économisant jusqu'à 80% de courant de plus qu'avec une pompe non régulée » déclare à ce sujet le responsable de produits Wilo Michael Dieckmann.Wilo étoffe cette gamme circulateurs Wilo-Yonos MAXO avec deux nouvelles références en DN 32 : Wilo-Yonos MAXO 32/0,5-10 PN6/10 (code 2210113) et Wilo-Yonos MAXO 32/0,5-11 PN6/10 (code 2210114). Ces deux nouvelles références sont présentes dans le Wilo-Select 4 et le catalogue en ligne Wilo.« Wilo propose bien plus que des pompes »Wilo va encore plus loin : en plus de produits de haute performance et de haute qualité, le fournisseur de pompes et de systèmes de pompage propose également des services adaptés aux utilisateurs. « Notre assistance s'étend bien au-delà des conseils personnalisés par nos professionnels avant, pendant la planification et après l'installation », affirme Laurent Mennetrier, directeur de la Sesem Division Services Wilo France. « Dans plus de 60 pays, plus de 2.500 techniciens et partenaires Wilo se déplacent sur site et encadrent le service personnalisé à la clientèle. » Wilo accompagne ses clients lors de la mise en service des pompes, notamment par un contrôle de l'installation, une optimisation des réglages et un test de fonctionnement obligatoire. Les forfaits de maintenance personnalisés font également partie du service Wilo, tout comme la réparation sur site ou l'assistance mondiale avec plus de 90 % des pièces de rechange d'origine dans un délai de 24 heures. Wilo franchit également un cap supplémentaire en partageant son savoir-faire technique : « Nos formations sont assurées par des collaborateurs qualifiés et expérimentés et s'adaptent au plus près des besoins de nos clients », souligne Laurent. « Les formations peuvent être effectuées sur site et permettent ainsi non seulement l'échange avec nos partenaires mais aussi entre les participants eux-mêmes. »Performances maximales avec une technologie de pompe fiable« La Wilo-Yonos MAXO garantit également des économies significatives au niveau de la facture d'électricité annuelle, grâce à sa technique à haut rendement », déclare Dieckmann. Cela est rendu possible grâce à une régulation automatique qui adapte en permanence la puissance de la pompe à la demande de chaleur actuelle. « La Yonos MAXO peut ainsi être utilisée de manière extrêmement rentable. » Simultanément, elle est également en mesure de fournir des puissances maximales à tout moment et de manière fiable grâce à sa technique éprouvée et aux puissances du moteur spécifiques à l'application : « Dans ce segment, la Wilo-Yonos MAXO est ainsi également une pompe qui convient parfaitement pour le remplacement de pompes moins efficaces, techniquement dépassées, et moins performantes avec un réglage facile sur trois vitesses» selon Dieckmann.Installation facile grâce à une construction compacteParallèlement, en interaction avec les installations de chauffage, la Wilo-Yonos MAXO apporte de nombreux avantages : « Dès son installation, cette pompe standard se démarque par sa construction particulièrement compacte permettant un montage peu encombrant », explique Dieckmann. « Nous avons également adapté ce modèle au plus près aux besoins et exigences de nos clients. » Nous avons ainsi abouti à des caractéristiques qui rendent l'installation et le fonctionnement de la Yonos MAXO particulièrement confortables : La fiche Wilo amovible permet un branchement électrique rapide et confortable tandis que la commande de la pompe est facilitée grâce à la « technologie du bouton rouge » éprouvée. Le réglage de la hauteur manométrique de consigne à l'aide d'un bouton rotatif s'avère des plus conviviales pour un artisan spécialisé. « De cette manière, les consommateurs finals peuvent se fier à une adaptation individuelle et particulièrement efficace à leur propre installation de chauffage » explique Dieckmann. Pour ce qui est des types de régulation, les pompes Wilo proposent une pression différentielle constante pour les chauffages par le sol ainsi qu'une pression différentielle variable pour les chauffages à radiateurs. Equipement fonctionnel avec écran à LED« La lisibilité et l'efficacité ont été les maîtres mots, et ce également lors de la conception de l'écran à LED. La hauteur manométrique de consigne, les vitesses et les codes de défaut sont affichés à l'utilisateur, des caractéristiques de sécurité améliorent la fiabilité et la longévité de l'installation : le disjoncteur moteur intégré en série protège la pompe, de façon fiable, contre la surchauffe, la surintensité et le blocage » selon Dieckmann. « La disponibilité de l'installation est ainsi également garantie par une fonction de report de défauts centralisé. » Les coquilles d'isolation thermique disponibles en option (sur les pompes simples) minimisent les pertes de chaleur par le corps de la pompe et améliorent ainsi considérablement le rendement. « Nous nous sommes donné comme objectif de « proposer plus que des pompes » explique Dieckmann. « L'orientation sur les exigences de nos clients dans le cadre du développement et de la mise en œuvre est ainsi un élément central. »
Il y a 5 ans et 47 jours

Contrat de 100 millions d'euros pour Bouygues en Allemagne

Le groupe de BTP français Bouygues a obtenu un contrat de 100 millions d'euros pour la modernisation de la centrale de production d'énergie d'InfraLeuna sur le complexe chimique de Leuna en Allemagne.
Il y a 5 ans et 47 jours

Maison ultra-contemporaine avec des lignes épurées, de larges ouvertures et une prouesse technique

On découvre, derrière des murs de clôture en pierres dorées, une maison aux lignes élancées, aux volumes cubiques avec 2 étages superposés en porte-à-faux, et aux façades totalement vitrées. A l'intérieur, une décoration élégante et chaleureuse, une lumière éclatante, des volumes généreux où l'intérieur et l'extérieur se confondent grâce aux baies vitrées toute hauteur.Caractéristiques techniquesMaison ultra-contemporaine Surface habitable : environ 290 m² de surface habitable. 5 chambres, salle d'eau dans chaque chambre, dont une suite parentale au rez-de-chaussée avec salle de bain et dressing.Conception bioclimatique : forme compacte de la maison ; orientation plein sud, peu d'ouvertures et espaces tampons au nord ; pièces à vivre au sud ; baies vitrées toute hauteur sur toute la façade sud afin de capter au maximum la chaleur et la lumière naturelle (chaleur passive), débord de toiture calculé pour éviter la surchauffe en été et laisser pénétrer le soleil en hiver pour une chaleur passive.Structure : Béton + isolation intérieureToiture : Toiture terrasse entièrement végétaliséeMenuiseries : Aluminium, double vitrage 8 / 16 / 4 mm remplissage Argon, faible émissivité, rupteurs de ponts thermiquesChauffage : aérothermie (PAC) air/eau Daikin, chauffage au sol, production d'eau chaude sanitaire intégré système de chauffage principal de la maison.Ventilation : double flux