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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

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Il y a 5 ans et 51 jours

Un nouveau responsable division chauffage pour Daikin France

Découvrez le parcours de Cyril Boiron qui prend les rênes de la division chauffage de Daikin France.
Il y a 5 ans et 51 jours

Covid-19 : cas concrets de reprise avec des chantiers de rénovation énergétique

Hellio s'engage aux côtés de ses entreprises partenaires en réalisant un tour de France pour les accompagner sur le terrain et leur apporter son soutien logistique avec la fourniture de matériel.Parmi elles, LMD Calorifuge et K&S RENOV HABITAT ont ainsi pu réaliser il y a quelques jours le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas pour l'ensemble d'une copropriété à Boissy-Saint-Léger (94).« Afin d'anticiper la reprise du secteur qui s'annonce très importante, Hellio soutient l'activité sécurisée de nos artisans qui ont le matériel et qui peuvent travailler en toute sécurité », souligne Christophe Février, président et fondateur d'Hellio. « Rappelons que la reprise des chantiers d'économies d'énergie est une priorité pour le ministère de la Transition écologique et solidaire ».Dans le Val d'Oise, LMD Calorifuge, société créée en 2011 spécialisée en travaux de calorifuge et d'isolation de points singuliers, et KS RENOV Habitat, créée en 2014 spécialisée en isolation des planchers bas, ont décidé de poursuivre leur activité en adaptant leurs habitudes de travail. Ces entreprises sont partenaires d'Hellio depuis 5 ans, spécialiste des économies d'énergie de l'habitat qui accompagne les ménages dans leurs projets de rénovation énergétique, du conseil à la réalisation, en passant par leur financement.Continuité des chantiers dans le respect des consignes sécuritairesPour ces deux entreprises qui emploient chacune une dizaine de salariés, la continuité de leur activité était une nécessité :« Le Covid-19 aujourd'hui, cela représente 90% de baisse d'activité pour nos structures. Depuis la mi-mars nous n'avons fait que 3 chantiers, comparé aux 20 chantiers que nous aurions faits habituellement sur cette période », témoigne Mickaël Schmidt, gérant de LMD Calorifuge et KS RENOV HABITAT.Et sur le terrain, lors des interventions, plusieurs précautions sont prises pour assurer la sécurité des collaborateurs et des clients, dans le respect des gestes barrières et des consignes sanitaires transmises par l'OPPBTP.« Nos travaux se déroulant dans les parties communes des bâtiments, nous veillons à désinfecter toutes les poignées de porte qui ont été touchées. Nous demandons à nos collaborateurs de respecter absolument la distance de sécurité d'un mètre cinquante. Nous nous assurons également qu'ils se déplacent de manière individuelle, c'est-à-dire que lorsque deux opérateurs doivent se rendre sur un même chantier, ils doivent venir chacun avec leur camion pour ne pas être confinés dans le même véhicule », précise Mickaël Schmidt.Le principal frein vient du côté des copropriétaires qu'il faut réussir à convaincre afin de pouvoir réaliser les travaux :« Nous menons en amont un grand travail pédagogique afin de leur expliquer qu'il n'y aura pas de coexistence entre eux et nos salariés. Une fois que ces chantiers sont terminés, les membres du conseil syndical et les copropriétaires sont très contents de la réalisation des travaux qui ont pu se dérouler durant ce temps-là. »Soutien et évaluation de la situation des entreprises partenaires par HellioAfin de soutenir l'activité de ses entreprises partenaires et de veiller à leur sécurité, Hellio a entrepris un tour de France des chantiers qui ont repris.L'objectif : évaluer les freins de l'activité, soutenir les professionnels partenaires et les accompagner dans la reprise par une série de mesures de terrain : numéro vert dédié, lettre d'information hebdomadaire sur l'actualité fiscale et comptable du secteur, réorganisation des carnets de commande, fourniture de matériel sanitaire (gel hydro alcoolique, blouses et masques) et de travail (fourniture d'isolant, mise à disposition de véhicules de courtoisie, etc.).« En tant qu'entrepreneur, cela me tient à coeur d'être sur le terrain pour soutenir et évaluer la situation de nos entreprises et artisans partenaires. Hellio accompagne des centaines d'entreprises de travaux qui se lèvent tous les matins pour rénover l'habitat Français. Aujourd'hui, je suis là pour les soutenir dans la reprise des travaux en toute sécurité. Nous sommes prêts pour la reprise des chantiers et de mes équipes », insiste Christophe Février.Ce soutien et cet accompagnement du spécialiste des économies d'énergie sont appréciés par l'entreprise, comme en témoigne Mickaël Schmidt :« Hellio nous soutient durant cette période difficile en travaillant avec nous sur le contact au niveau des syndics pour rassurer les clients sur le fait que les travaux peuvent se réaliser en toute sécurité, pour les occupants et pour nos collaborateurs. Hellio nous simplifie également les dossiers administratifs pour la partie prise en charge des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) ».La rénovation énergétique, moteur de la continuité et de la reprise économiqueDe par la nature des travaux, la plupart des chantiers de rénovation énergétique se prête plus facilement au redémarrage. L'absence de co-activité, l'inoccupation de certains chantiers (en cours de construction ou autres : résidences secondaires, déménagements, etc.) ou encore la configuration des maisons qui permet d'accéder aux combles sans passer par l'espace habitable ou encore la faible fréquentation des parties communes dans les immeubles sont autant de facteurs favorables à une reprise en toute sécurité.« Nous pouvons continuer jusqu'à présent à travailler sur ce type d'intervention car les travaux se déroulent essentiellement dans les chaufferies, les parkings, les locaux de caves, des endroits finalement peu fréquentés par les habitants. Nous arrivons tôt le matin et partons tard donc la possibilité de croiser d'autres personnes est infime », explique Mickaël Schmidt.Les équipes d'Hellio indiquent que les appels des particuliers pour s'informer sur les programmes d'économie d'énergies sont particulièrement nombreux en ce moment. Preuve que la rénovation énergétique reste au coeur des préoccupations des Français.Et pour cause ! La poursuite des travaux de rénovation énergétique est la clé pour faire baisser les factures d'énergie des ménages en hausse pendant le confinement, mais aussi toute l'année !Les travaux réalisés il y a quelques jours sur cette copropriété concernaient le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas. Ces trois opérations vont permettre aux copropriétaires d'économiser plus de 10 % sur la facture énergétique de la chaufferie.Laurent Michel, directeur général de l'énergie et du climat, l'a d'ailleurs confirmé dans sa lettre mensuelle sur les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), diffusée le 22 mars 2020 : dès la fin de crise, les CEE « doivent être un moteur de la relance ».
Il y a 5 ans et 51 jours

Covid-19 : Le Sénat mise sur la transition énergétique comme levier du plan de relance d'après-crise

Cette audition s'inscrit dans le cadre des travaux de suivi, conduits par Daniel Gremillet, Roland Courteau et Daniel Dubois, de l'impact de cette crise sur le secteur de l'énergie.Après avoir entendu une cinquantaine d'acteurs de terrain depuis le début du mois d'avril (grands énergéticiens, fédérations professionnelles de l'électricité, du gaz et du pétrole, représentants de la rénovation énergétique, des énergies renouvelables – EnR – et des biocarburants, Commission de régulation de l'énergie, Médiateur de l'Énergie, Agence internationale de l'énergie) et relayé leurs difficultés auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, les sénateurs ont jugé indispensable d'engager une réflexion prospective sur le devenir de notre transition énergétique.Aussi ont-ils échangé hier sur le rôle de la transition énergétique dans la stratégie de sortie de crise : pour les sénateurs, l'accompagnement de la rénovation énergétique, le soutien aux projets d'EnR, la lutte contre la précarité énergétique sont autant de leviers mobilisables pour relancer l'activité économique tout en atteignant nos objectifs énergétiques et climatiques.Les sénateurs ont rappelé leur vive inquiétude quant au cap poursuivi dans ces domaines par le Gouvernement, regrettant la difficile application de la loi « Énergie-Climat », pourtant adoptée dans un esprit de consensus par le Sénat en septembre dernier.Pour Daniel Gremillet, « six mois après l'adoption de cette loi, dont j'étais le rapporteur pour notre commission, tout reste à faire : une ordonnance a été adoptée, une dizaine de mesures règlementaires prises, un rapport publié. La programmation pluriannuelle de l'énergie et la stratégie nationale bas-carbone viennent tout juste d'entrer en vigueur. Il faudra attendre l'été pour que le Gouvernement prenne l'ordonnance sur les centrales à charbon … davantage encore pour celle sur l'hydrogène. C'est trop peu et trop lent ».Les sénateurs ont regretté la faiblesse des moyens budgétaires et fiscaux mis par le Gouvernement en regard de nos objectifs énergétiques et climatiques, plaidant pour leur revalorisation significative à l'occasion des prochains textes financiers.Pour Roland Courteau, « il devient urgent de se pencher sur les difficultés rencontrées par nos énergéticiens en termes de trésorerie et d'investissement, de soutenir le secteur de la rénovation énergétique, en corrigeant les effets de bord de la dernière réforme du crédit d'impôt pour la transition énergétique et en améliorant les aides aux particuliers et aux entreprises, d'accompagner les ménages en situation de précarité énergétique, en revalorisant le chèque énergie. Lors du dernier collectif budgétaire, le Sénat a adopté, à notre initiative, plusieurs amendements pour soutenir les filières très sinistrées des biocarburants : il est regrettable que le Gouvernement ne les ait pas conservés in fine ».Enfin, les sénateurs ont relevé que la transition énergétique ne peut réussir sans indépendance énergétique, insistant sur la nécessité de garantir notre sécurité d'approvisionnement mais aussi notre souveraineté industrielle, dans un secteur aussi stratégique que celui de l'énergie.Pour Daniel Dubois, « l'atteinte de la neutralité carbone d'ici à 2050 nécessite un soutien réaffirmé à la filière nucléaire, qui continuera de produire la moitié de notre mix en 2035, et doit donc demeurer compétitive et attractive. À cet égard, la chute des prix de l'électricité, les difficultés de la régulation et les reports d'investissements observés dans cette filière ne constituent pas une bonne nouvelle pour le climat. Une relocalisation des EnR est également nécessaire : nous attendons beaucoup de l'application du critère du bilan carbone dans les futurs appels d'offres – apport sénatorial majeur à la loi “Énergie-Climat” – qui permettra à nos industriels français et européens de lutter contre le dumping environnemental ».Les sénateurs poursuivront leurs travaux de suivi tout au long de la crise et formuleront des préconisations concrètes pour inscrire la transition énergétique au cœur du plan de relance.
Il y a 5 ans et 51 jours

La nouvelle gamme TZ de Panasonic se connecte avec le futur

Une taille ultra compacte pour des utilisations spécifiques La nouvelle gamme TZ est toujours plus compacte. Avec seulement 779 mm de largeur l'unité intérieure peut facilement être installée au-dessus d'une porte, ce qui en fait la solution idéale pour les espaces limités dans les logements. Cette largeur est disponible pour les systèmes d'une puissance de 2 à 5 kW.Un contrôle intelligent avancé Panasonic a été l'un des premiers fabricants à intégrer le Wi-Fi dans l'ensemble de ses unités murales compatibles en multi-split, et la nouvelle unité TZ ne fait pas exception. Une fois connectée à Internet, elle peut être commandée de n'importe où et à n'importe quel moment au moyen de l'application Comfort Cloud de Panasonic. C'est la solution idéale pour contrôler la climatisation à distance.De plus, grâce à Comfort Cloud de Panasonic, les unités intérieures peuvent être connectées aux principaux assistants vocaux du marché pour une commande simple et pratique. Ainsi, les propriétaires qui ont l'habitude de contrôler leur éclairage et leur audio à la voix peuvent définir des préférences pour leurs climatiseurs muraux TZ afin de créer l'environnement souhaité.Des améliorations concrètes pour l'utilisateur final Le système de chauffage et de climatisation a été pensé pour simplifier la vie de l'installateur, et amélioré pour l'utilisateur final. Panasonic a installé un filtre qui capture les particules fines dangereuses (PM2,5) qui se trouvent en suspension dans l'air – y compris la poussière, les polluants dangereux, les pollens, la saleté, la fumée et les gouttelettes liquides. Le filtre capture et réduit les particules, ce qui permet de maintenir la qualité de l'air de la pièce.Panasonic propose aussi une solution extrêmement silencieuse. Le bruit du fonctionnement de l'unité intérieure du climatiseur Inverter a encore été réduit. L'Inverter fait varier en permanence la puissance de sortie pour permettre un contrôle plus précis de la température en n'émettant pas plus de 20 dB(A)[1] - de quoi passer une nuit paisible dans un confort optimal.L'unité murale TZ est dotée du système Aerowings de Panasonic : deux lames indépendantes concentrent le flux d'air pour rafraichir une pièce le plus rapidement possible et permettent de distribuer l'air frais de manière homogène dans l'ensemble de la pièce pour un confort maximum. Les doubles lames Aerowing permettent de mieux contrôler la direction du flux d'air pour éviter qu'aucune zone ne subisse un courant d'air glacé permanent.NOUVELLE télécommande sans fil Grâce à un accès rapide aux fonctionnalités clés et à un couvercle coulissant révélant d'autres options, la télécommande Sky rétro-éclairée offre un contrôle facile et intuitif. Les utilisateurs apprécieront le design innovant de la télécommande élégante et profilée qui est dotée d'un écran plus large et d'une interface plus conviviale, facilitant l'accès à la plupart des fonctions courantes.Ergonomique, la télécommande apporte de nombreux avantages supplémentaires au système de climatisation. Le nouvel écran rétro-éclairé, permet d'effectuer les réglages même dans l'obscurité.Un produit repensé pour une installation et une maintenance faciles Les nombreuses innovations apportées à la gamme TZ ont permis de réduire considérablement le temps d'installation. Le climatiseur TZ est si léger et compact qu'une seule personne suffit pour l'installer. L'unité est également dotée d'une plaque de fixation renforcée qui offre davantage de stabilité et de solidité pour réaliser une installation simple et soignée. Elle offre enfin une vue et un accès pratiques au tuyau d'évacuation et aux inserts de câblage et 13 mm supplémentaires ont été dégagés pour la tuyauterie afin que les installateurs puissent désormais vérifier que les tubes et isolations sont solidement et soigneusement fixés.Conçue spécifiquement pour les installateurs, l'unité dispose d'une grille frontale facile à enlever pour un accès direct à l'intérieur. Les composants internes ont également été restructurés pour faciliter la maintenance, et l'électronique et les câbles sont désormais implantés sur un seul côté de l'unité.Nouvelle gamme de modèles TZ : Unités intérieures pour single split et multi split : CS-TZ20/25/35/42/50/60/71WKEW Unités intérieures pour multi split uniquement : CU-MTZ16WKE Unités extérieures pour single split : CU-TZ20/25/35/42/50/60/71WKE[1] Modèles 2,5 et 3,5 kW : en mode silencieux alors que l'appareil fonctionne en mode refroidissement avec une faible vitesse de ventilateur.
Il y a 5 ans et 51 jours

Les solutions de ventilation Ubbink choisies pour la construction d'une maison neuve à Sennecey-lès-Dijon

Les solutions et le savoir-faire Ubbink permettent ainsi d'assurer une parfaite ventilation de la maison, avec un minimum de pertes de charge, et de récupérer l'énergie nécessaire au fonctionnement du chauffe-eau thermodynamique.Une réflexion en amont pour une construction optimaleSitué à Sennecey-lès-Dijon (21), le chantier consiste à construire un pavillon contemporain au sein d'un lotissement. Cette réalisation s'inscrit parfaitement dans la démarche du constructeur ESYOM, précurseur dans la construction de maisons à basse consommation énergétique et dont le mot d'ordre est de trouver les solutions d'innovation pour des maisons plus abordables, plus confortables et plus sécuritaires. Dans ce cadre, ESYOM a proposé l'installation d'un chauffe-eau thermodynamique sur air extrait. Ce type d'installation permet de récupérer les calories issues de la ventilation pour assurer le fonctionnement du chauffe-eau et réaliser ainsi des économies importantes. Par ailleurs, l'installation devait répondre à plusieurs exigences : facilité de mise en œuvre, maîtrise de la qualité de la pose, performance et pérennité.Des systèmes performants alliant qualité d'air optimale et confortAinsi, ESYOM s'est tourné vers Ubbink et les produits des gammes AERFOAM et AIR EXCELLENT. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes Ubbink apportent une réponse appropriée (conduits semi-rigides ne s'écrasant pas; intérieur des conduits double peau et lisse, limitant les pertes thermiques, les pertes de charge et les nuisances acoustiques ; système démontable pour une facilité d'entretien ; éléments se clipsant entre eux pour une connexion parfaitement étanche...).Ainsi, pour le réseau de ventilation allant du chauffe-eau thermodynamique au mur pour l'extraction de l'air : c'est la gamme de conduits et coudes de ventilation AERFOAM qui a été choisie. En effet, celle-ci est largement plébiscitée par les professionnels pour son installation facile et pratique. Les éléments AERFOAM sont en Polyéthylène Expansé (EPE), matériau léger, aux propriétés techniques performantes et se fixent à l'aide de colliers de fixation robustes et se connectent avec des raccords garantissant l'étanchéité entre les éléments du système. Depuis début 2019, la gamme AERFOAM affiche une empreinte carbone nulle grâce à l'utilisation de ressources organiques dans son processus de fabrication. Elle contribue ainsi à la réduction des émissions de CO².Pour le réseau de distribution d'air du chauffe-eau thermodynamique, c'est le réseau circulaire composé de la gamme AIR EXCELLENT qui a été sélectionné. Celui-ci permet en effet de maîtriser une ventilation performante tout en améliorant la qualité de l'air. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes disposent de conduits-semi rigides pour contourner le risque d'écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Facile à installer, la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et se pose sans outil.« Pour toutes nos maisons chauffées au gaz depuis 3 ans, le choix d'un réseau semi-rigide s'est imposé comme une évidence. En effet, celui-ci permet une ventilation performante et, ainsi, une amélioration de la qualité d'air intérieur. En comparaison à un réseau souple, qui aura tendance à s'encrasser et à favoriser la condensation et donc à entraîner des pertes de charge, les produits Ubbink permettent de parer à ces problématiques et donc de répondre à toutes nos attentes », indique Gilles Moyse, promoteur du chantier. La pose du réseau n'a nécessité qu'une journée. La fin du chantier est prévue pour mai 2020.Fiche identité chantierProjet : Résidence Sennecey-lès-Dijon / Maisons ESYOMLivraison travaux : Mai 2020Promoteur : Gilles Moyse - ESYOM
Il y a 5 ans et 51 jours

AIMCC : Sept leviers pour la relance économique

L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. [©Technologie photo créé par rawpixel.com – fr.freepik.com] L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. Pour formuler ce plan, l’AIMCC (animatrice du CSF IPC) s’est appuyée sur une conviction forte. Ainsi, l’écologie et l’économie doivent converger pour sortir au plus vite de la crise. « Nos propositions conjuguent 3 priorités, explique Hervé de Maistre, président du CSF IPC. Soutenir les plus fragiles, redonner rapidement de l’activité aux entreprises françaises et accélérer la transformation environnementale. Pour réussir le plan de relance, il nous faut des décisions audacieuses, un état d’esprit collectif et une gouvernance efficace. Les industriels sont conscients de la gravité de la situation. Prêts à assumer leurs responsabilités aux côtés des pouvoirs publics et de tous les acteurs de la construction. » En dehors des 7 mesures qu’ils proposent, l’accélération de la reprise est une condition importante pour l’AIMCC et le CSF IPC. « Plus la reprise sera lente, plus les capacités d’actions seront exposées à un risque. Ceci, dans un contexte concurrentiel toujours aussi vif malgré la crise. » 1 – Une relance de la construction durable et résiliente par la mobilisation de l’épargne privée. Pour José Mickael Chenu, directeur marketing du groupe Vinci et vice-président d’EGF BTP. « La mobilisation de l’épargne privée est une voie possible de la relance rapide. Notamment dans le logement neuf, mais aussi, par exemple, pour le plan Campus Universités et autres… » 2 – La massification de la rénovation énergétique performante des maisons individuelles et des quartiers pavillonnaires. « Il est indispensable de créer une nouvelle dynamique en matière de rénovation énergétique des maisons individuelles, explique Eric Mestrallet qui anime le pilote industriel en Ile-de-France en lien avec la Métropole du Grand Paris du projet “Parcours rénovation énergétique performante”. Elle est bien souvent assimilée à un angle mort des politiques publiques depuis une dizaine d’années. De plus, c’est un enjeu pour générer de la valeur ajoutée locale, pour valoriser le patrimoine des propriétaires occupants et pour apporter, dans certains cas, une réponse à la dégradation des quartiers. Et ainsi, éviter le sentiment de “relégation” de nos concitoyens. » 3 – La promotion du Made in France. « Il est indispensable de faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et la “mieux-disance”, commentent Nicolas Vuillier, président de l’Unicem, et Didier Petetin, directeur général de Vicat. Et ainsi, promouvoir la création de la valeur ajoutée locale par nos industries et l’ensemble de nos partenaires au sein de la filière, synonyme de résilience et d’indépendance. » 4 – La prise en compte prioritaire des ménages démunis pour une rénovation BBC aidée et financée à 100 %. « Il faut penser aussi et surtout aux ménages les plus démunis, indique Jacques Pestre, administrateur de la FNBM qui pilote les actions relatives à la rénovation de l’habitat. Ils sortiront de la crise, encore plus fragilisés et le projet : “100 % aidé et financé” sera réservé aux ménages des 3 premiers déciles. » 5 – Chèque “rénovation travaux” à destination de tous les ménages. « Il faut relancer la machine rapidement et tenir compte des leçons de la dernière relance post-crise 2008. Explique Hugues Vérité, délégué permanent du CSF IPC et délégué général de l’AIMCC. Et ce, en redémarrant encore plus vite. La création éventuelle d’une “monnaie verte” constituerait une des pistes les plus efficaces. » 6 – L’industrialisation des solutions de rénovation performante pour les universités et les pools de bâtiments publics. « Ainsi, il est possible en moins de 6 mois de lancer un programme ambitieux de rénovation globale à l’échelle de 10 universités inscrites dans leur territoire 1. Déclare Patrice Barbel, enseignant-chercheur et conseiller patrimoine au sein de la Conférence des présidents d’universités. Ce sont elles qui seront les étalons d’un déploiement généralisé – 15 000 000 m2 – sur 3 ans dans le cadre d’une industrialisation des solutions d’efficacité énergétique performantes et volontaristes. Mais aussi, de financements innovants de types “fonds d’amorçage” associés à des fonds de garantie. L’objectif cible sera de stabiliser un modèle économique soutenable et vertueux pour l’ensemble des acteurs des territoires : bilan carbone, mobilité, emplois, innovations, formations, recherche… » 7 – Le respect dans les relations commerciales, un gage de confiance réciproque essentiel pour une reprise accélérée. « Il faut de la loyauté dans les relations commerciales, conclut Philippe Gruat, administrateur de l’AIMCC et référent PME-TPE-ETI au sein du Conseil national de l’industrie pour la filière. Notamment sur le respect des délais de paiement et des créances entre acteurs de la chaîne, soit la pierre angulaire d’une reprise et d’une relance fondées sur la confiance de toute la filière. »
Il y a 5 ans et 51 jours

Rémi Bouchié, nouveau directeur du CSTB’Lab

Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab. [©CSTB] Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab, accélérateur d’entreprises innovantes dans le domaine de la construction et de l’aménagement. Ses missions ? Rémi Bouchié poursuivra le développement stratégique du CSTB’Lab. Il pilotera la sélection de nouvelles entreprises innovantes, travaillant sur les thématiques émergentes de la construction. L’objectif 2020 pour l’accélérateur est d’accueillir une douzaine de nouvelles start-up. De plus, Rémi Bouchié accompagnera les actions engagées pour renforcer les synergies entre les start-up et le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment). Et leurs échanges avec les acteurs de la construction. Des travaux de recherche pourront, par exemple, être engagés par le CSTB, dans le cadre d’une collaboration avec une start-up de l’éco-système CSTB’Lab. Ceci, dans la mesure où les thématiques seraient cohérentes avec sa programmation scientifique. Le parcours de Rémi Bouchié Ce nouveau modèle de coopération constituera un levier de création de valeur pour le secteur du bâtiment. « L’accompagnement transversal proposé aux start-up par le CSTB’Lab les aide à développer leurs solutions et à rencontrer leur marché. Mais et surtout, leur dynamisme et leurs idées sont de formidables atouts pour le CSTB, souligne Rémi Bouchié. Et ce, pour faire progresser l’innovation et les connaissances. Développer avec ces jeunes pousses des coopérations structurantes contribuera à renforcer les synergies entre la recherche et l’innovation technologique. Et sera bénéfique pour l’ensemble de la filière. Je suis heureux d’accompagner cette évolution, en rejoignant le CSTB’Lab qui apporte des réponses concrètes aux besoins et enjeux du bâtiment et de la ville de demain. »  Diplômé en génie énergétique et environnement (GEN), option génie des systèmes thermiques, Rémi Bouchié, 36 ans, rejoint la direction “Enveloppe, Isolation et Sols” du CSTB en 2006. Depuis 2017, il y dirige une équipe d’experts en transferts hygrothermiques des composants d’enveloppe des ouvrages. 
Il y a 5 ans et 51 jours

Radiateurs électriques Acova Zenia : un design révolutionnaire pour une nouvelle vision du sèche-serviettes

Dernier né de la collection Signature rassemblant les appareils de la marque aux designs les plus contemporains, originaux et aux fonctionnalités innovantes, le radiateur sèche-serviettes électrique Acova Zenia allie gain de place et discrétion. Conçu sous la forme d’un « meuble sèche-serviettes chauffant » avec 3 configurations d’installation, il sèche les serviettes dissimulées dans leur rangement et offre une chaleur douce et réactive dans la salle de bains par un double système de chauffage. Un concept inédit « trois-en-un » Grâce à sa conception révolutionnaire, Acova Zenia est bien plus qu’un sèche-serviettes. Au design épuré et moderne, Acova Zenia est un meuble chauffant : deux barres porte-serviettes sur la surface intérieure de la porte permettent de dissimuler les serviettes et de les maintenir à bonne température tout en chauffant la salle de bains. Solution trois-en-un élégante, il remplit alors 3 fonctions : rangement, chauffage et porte-serviettes. Un double système de chauffe pour une chaleur douce et réactive Ingénieux, Acova Zenia intègre un double système de chauffage : . un soufflant (1000 Watts) totalement intégré et invisible pour le chauffage de la salle de bains, . et une porte chauffante en verre de sécurité (225 W) à rayonnement infrarouge , qui peut s’ouvrir à droite ou à gauche suivant le modèle choisi. Pour un confort de chauffe absolu, le soufflant peut être allumé selon les besoins et assure une montée en température de plusieurs degrés en quelques minutes. Chaleur douce et réactive sont ainsi obtenues dans la pièce avec Acova Zenia. Trois configurations d’installation Caméléon, le meuble sèche-serviettes électrique Acova Zenia, aux dimensions compactes (H 100 x L 45 cm), offre 3 configurations d’installation : . en applique sur un mur, . encastré dans une cloison sur un châssis pour allier discrétion et gain de place, . intégré dans le meuble de salle de bains de la collection Sana de Burgbad (colonne de 1,76 m ou mi-colonne de 1,02 m de haut). Disponible en blanc et en noir, Acova Zenia se marie harmonieusement avec le meuble Sana de Burgbad, proposé dans plus de 70 finitions. Pratique : le pilotage au doigt et à l’œil Le réglage du chauffage et du séchage s’effectue via une interface de commande tactile intégrée sur la façade avant de la porte ou via l’application mobile Acova Connect (Bluetooth). 4 modes sont disponibles au choix : . confort : chauffage de la surface frontale, . Boost : chauffage en marche forcée grâce au soufflant, . préchauffage : seul le soufflant fonctionne pour bénéficier de serviettes agréablement préchauffées en quelques minutes à la sortie du bain ou de la douche, . séchage rapide et hygiénique des serviettes à l’aide du soufflant. http://www.acova.fr
Il y a 5 ans et 52 jours

Covid-19 : Élisabeth Borne salue les efforts de la filière nucléaire

Le comité stratégique de la filière nucléaire s'est réuni autour d'Élisabeth Borne pour présenter les mesures mises en œuvre pour répondre aux problématiques rencontrées par les acteurs de la filière - exploitants, donneurs d'ordre, sous-traitants - en cette période de crise sanitaire. Il s'agissait de s'assurer de la mobilisation de l'ensemble des métiers du nucléaire nécessaires à la continuité de l'approvisionnement électrique et de la bonne application des mesures de protection sanitaire des salariés.La filière a présenté les mesures spécifiques mises en œuvre qui permettent d'assurer l'approvisionnement en énergie du pays, et notamment l'adoption saluée d'une charte de bonnes pratiques en période de crise sanitaire, traduisant les engagements pris par les grands donneurs d'ordre vis-à-vis de leurs salariés et des sous-traitants.La ministre a insisté à cette occasion sur l'importance d'une bonne coordination des arrêts de réacteurs nucléaires dans les semaines et mois à venir pour travaux de maintenance et rechargement en combustible, afin de maximiser la disponibilité du parc de production pendant l'hiver. La filière devra s'assurer de la mobilisation de chaque acteur pour relancer ces chantiers dans les meilleurs délais pour tenir cet objectif.Enfin, la filière a présenté ses propositions en vue de retrouver rapidement une croissance durable au sein des entreprises du secteur, composé majoritairement de petites et moyennes entreprises. Plusieurs de ces mesures font déjà l'objet de travaux avec l'Etat, dans le cadre notamment de la Programmation Pluriannuelle de l'énergie, publiée le 23 avril 2020, ou du Plan National de Gestion des Matières et Déchets Dangereux.
Il y a 5 ans et 52 jours

Dalkia et la Fib, nouveaux adhérents à France Industrie

La Fib et Dalkia viennent de rejoindre l’organisation professionnelle France Industrie, portant à 67 le nombre de ses membres actifs. France Industrie] France Industrie se renforce avec l’adhésion de deux nouveaux membres. D’une part, Dalkia, la filiale “valorisation des énergies renouvelables et des économies d’énergie” d’EDF. De l’autre, la Fédération de l’industrie du béton (Fib). Assurant la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton, la Fib assure la représentation de ce secteur industriel. Ceci, auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Ses adhérents sont des TPE, des PME et des PMI, réparties sur l’ensemble de la France selon un maillage territorial très dense. Ce sont des entreprises industrielles du béton locales, créatrices de richesse et d’emplois directs. Et surtout non délocalisables. Le rôle de chacun des protagonistes France Industrie est l’organisation professionnelle représentative du secteur industriel sur le territoire national. Elle rassemble 23 fédérations sectorielles et les présidents de 44 grandes entreprises privées et publiques. Ces dernières intervenant dans tous les secteurs industriels. Avec l’appui de ses adhérents, l’organisation s’attache à promouvoir l’image des métiers industriels auprès des jeunes. Ainsi qu’à engager des actions sur les enjeux prioritaires communs à toute l’industrie. Désormais, France Industrie compte 67 membres actifs. « Je tiens à saluer l’arrivée de ces deux nouveaux adhérents au sein de France Industrie. Plus que jamais en cette période critique pour l’économie française, l’expertise de Dalkia et la représentativité de la Fédération de l’industrie du béton vont contribuer à relever tous ensemble les défis de l’industrie de demain », a déclaré Philippe Varin, président de France Industrie.  Et Bertrand Bedel, président de la Fib, de conclure : « En cette période difficile pour notre secteur et notre industrie, la Fib aura à cœur d’appuyer France Industrie. Ceci, pour valoriser le rôle fondamental des industriels du béton et promouvoir l’image de leurs métiers auprès des jeunes. Dans ce cadre, elle s’engagera pleinement à ses côtés pour mener des actions à forts enjeux d’avenir. Et ce, tant le monde d’après devra concilier dynamique économique et attractivité des territoires, innovation et numérique. Ainsi qu’économie circulaire et excellence environnementale ».
Il y a 5 ans et 52 jours

Comment bien entretenir sa toupie au quotidien ?

Une toupie véhicule toujours l’image du producteur du béton. C’est pourquoi elle doit être propre et en parfait état. [©ACPresse] 1 – Pourquoi une toupie doit-elle être dans un parfait état ? Une toupie est un véhicule industriel destiné au transport du béton, une matière première d’une densité de 2,4 t/m3, soit une cargaison de 18 t pour un volume de 7,5 m3… Le poids total en charge d’un tel véhicule atteint donc les 32 t sur la route. Il est donc essentiel qu’il soit parfaitement sûr. Son bon état en est la garantie première. Une toupie véhicule en même temps l’image de l’entreprise de production de béton prêt à l’emploi à laquelle elle est rattachée. C’est elle que le client voit en premier quand elle arrive sur le chantier avec sa cargaison. Le parfait état de ce véhicule est donc le gage de la qualité du matériau qu’il contient. Et, de facto, du producteur de BPE.  2 – Quels sont les vérifications et les entretiens que doit effectuer le chauffeur d’une toupie avant de prendre son service ?  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule et de ses organes de sécurité. [©ACPresse] Le chauffeur de la toupie a l’obligation professionnelle de faire un check-up complet de son véhicule avant de commencer sa tournée.  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule. Cela va de l’état des pneumatiques à la propreté des organes de sécurité, comme les rétroviseurs, la caméra de recul ou le panonceau “Interdiction de doubler par la droite”. La propreté générale du véhicule est confirmée en même temps.  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule et de ses organes de sécurité. [©ACPresse] Vient ensuite le test des organes de sécurité : plaques minéralogiques, caméra de recul, feux flash de recul ou encore de l’avertisseur de recul sonore. Si besoin, le chauffeur peut se faire aider par le centralier pour confirmer le bon fonctionnement de tel ou tel organe. Le bon fonctionnement et la propreté de l’éclairage général (feux avant et arrière, clignotants…) sont aussi contrôlés durant cette étape.  Le plein de la bombonne à eau est fait à l’issue de ces vérifications et, surtout, la cuve de la toupie est mise en mode “vidange” pour s’assurer qu’elle est bien vide et sèche (il peut pleuvoir durant la nuit…). Enfin, il ne faut pas oublier un coup d’œil sur le niveau de carburant. 3 – Une fois le béton livré sur site, y a-t-il des opérations à réaliser immédiatement ? La situation idéale est quand le chantier dispose d’une aire de lavage équipée d’un big bag. Dans ce contexte, le chauffeur peut réaliser un nettoyage rapide de sa toupie et vidanger les résidus de béton frais encore présents dans la cuve.  Mais le cas le plus courant est l’absence, sur chantier, de ces dispositifs. A ce moment-là, la seule chose possible est de vider, dans la cuve, l’essentiel de la bombonne d’eau pour délayer les résidus de béton. Cela permet de pré-rincer la cuve, qui sera vidangée, puis lavée dès le retour à la centrale.  En revanche et quelle que soit la situation, le chauffeur a l’obligation de nettoyer la goulotte avant de quitter le chantier, histoire de ne pas perdre de résidus de béton sur le chemin du retour… Les toupies les plus récentes disposent de goulotte anti-pertes, ce qui n’interdit pas de veiller à leur propreté. 4 – Que doit faire le chauffeur lorsqu’il est de retour à la centrale ?  Le lavage de la cuve est absolument obligatoire dès lors qu’un béton spécial a été transporté. [©ACPresse] Laver la cuve constitue l’étape indispensable. Cela pallie les risques de pollution entre deux types de bétons différents (celui qui a été transporté et celui qui le sera à la tournée suivante). En même temps, cette action réduit le volume des dépôts de béton durci, qui finissent toujours par s’accumuler un peu dans la cuve.  Le lavage de la cuve est absolument obligatoire dès lors qu’un béton spécial a été transporté. Par spécial, le transporteur entend béton peu hydraté, béton à projeter, par exemple.  Lors de son passage à la centrale, le chauffeur ne doit surtout pas oublier de refaire le plein de sa bombonne d’eau. De même que vérifier la propreté de la toupie dans son ensemble  Le cas échéant, le chauffeur peut profiter de son temps d’attente pour parfaire la propreté de sa toupie, car cette dernière représente le producteur de BPE tout le temps 5 – Quelles sont les opérations d’entretien complémentaires à réaliser en fin de service ?  La toupie doit rejoindre son stationnement en parfait état et être prête pour le service. [©ACPresse] A vrai dire, les opérations de fin de service sont les mêmes que durant le service : propreté de la toupie, propreté de la cuve, plein d’eau. La laitance du béton s’élimine très bien, quand elle est fraîche et beaucoup moins bien une fois sèche…  La toupie doit rejoindre sa place de stationnement pour la nuit en parfait état et être prête pour le service du lendemain (ce qui ne supprimera pas les étapes de contrôle d’avant service). 6 – Quels sont les risques si l’entretien courant est mal effectué ? Trois risques majeurs peuvent être identifiés : surcharge de la toupie, dégradation de l’image véhiculée et, enfin, capacité financière à la baisse au moment de la revente.  Un poids lourd en surcharge constitue un danger sur la route, car ses dispositifs de sécurité (système de freinage en particulier) sont sur-sollicités. Le moteur est aussi mis à contribution au-delà de ses limites. La surcharge potentielle est due aux résidus de béton, qui sont pris au fond de la cuve au fil des tournées. Aussi, la rigueur du nettoyage opérée par le chauffeur est essentielle pour limiter ces dépôts. Pour sa part, le locatier JMS pèse chacune de ses toupies une fois tous les trois mois pour vérifier qu’il n’y a pas de dérive au niveau de leur poids à vide. Si la présence de béton durci est constatée dans la cuve, une opération de déplombage est organisée.  Cette intervention trimestrielle est aussi le moment choisi pour réaliser une vérification complète de l’état de la toupie, pour effectuer les graissages complémentaires… Sujet réalisé en collaboration technique avec Raphaël Guiller, responsable exploitation et logistique de Bétons Solutions Mobiles et Jean-Marc Ségué, directeur de JMS Services
Il y a 5 ans et 52 jours

Cythelia Energy révolutionne le monde du solaire avec la France entière en 3D

Un cadastre solaire complet et ultra-précisPrécis à 25 cm, ce modèle 3D permet de déterminer le potentiel solaire de chaque m² de toutes les toitures et parkings de France, en calculant automatiquement les orientations et inclinaisons des toitures et l'impact des ombrages du relief et de l'environnement proche (bâtiments et végétation). 10 000 milliards de points peuvent ainsi être localisés sur le territoire français. Une performance unique !Calculer au m² près le potentiel solaire du pays entier : des révolutions dans les usagesRévolution des cadastres solairesLes cadastres solaires, qui connaissent un réel engouement en France parmi les collectivités locales, sont pré-calculés et disponibles sur la France entière. Ils peuvent être mis à disposition de la population en un clic grâce à la solution archelios MAP Collectivité.Les cadastres solaires deviennent ainsi accessibles pour les petites communes comme pour les grandes métropoles, sans attendre de longs mois pour obtenir les premiers résultats.Révolution des études de patrimoinesIl est aujourd'hui relativement long et fastidieux d'étudier le potentiel solaire du patrimoine foncier et bâti d'entreprises ou de collectivités. La solution archelios™ MAP Patrimoine permet d'utiliser les données de potentiel solaire par m² sur la France entière pour étudier automatiquement et très précisément le potentiel de chaque bâtiment et parking, sur un parc allant de quelques dizaines à plusieurs milliers de sites.Révolution des études prospectives de territoireIl devient possible grâce à la solution archelios™ MAP Prospection de déterminer quel est le potentiel solaire de toute commune ou communauté de communes française et quelles sont précisément les toitures et parkings les plus adaptées pour les besoins de chaque acteur : collectivités, centrales citoyennes, développeurs de projets photovoltaïques.Révolution des études de prévision de productionPour un projet sur bâtiment ou parking devant faire l'objet d'une étude précise du potentiel (étude de productible) grâce à un logiciel métier, il est généralement fastidieux de prendre en compte les ombres portées par les arbres et les bâtiments environnants. Une visite sur site est souvent nécessaire, avec un relevé des hauteurs des obstacles.Grâce aux données 3D disponibles sur la France entière, le module 3D Map du logiciel archelios™ PRO permet d'importer l'environnement du site étudié en quelques secondes, faisant gagner un temps précieux aux installateurs et bureaux d'études, tout en gagnant en précision.Révolution du monitoring des installations photovoltaïquesIl n'est pas rare que l'environnement proche d'une installation photovoltaïque (colline, arbres, bâtiments, édicule d'ascenseur) génèrent de fausses alarmes de monitoring. En effet, le logiciel de monitoring ne « sait » pas que la sous-production d'une partie de l'installation n'est pas due à une défaillance, mais seulement à une ombre portée.Le logiciel de monitoring photovoltaïque archelios™ O&M prend en compte parfaitement ces ombrages. Il calcule la production attendue de manière précise grâce à un modèle 3D de l'installation, intégrant l'environnement proche de la centrale (arbres, bâtiments…).
Il y a 5 ans et 52 jours

HIRSCH Isolation lance Cellomur® Ultra ECA, le 1er isolant PSE à Empreinte Carbone Améliorée

HIRSCH Isolation lance le 1er isolant PSE à Empreinte Carbone Améliorée, réalisé à partir de ressources renouvelables : déchets organiques d’origine européenne ! L’isolant Cellomur® Ultra ECA* est le premier polystyrène expansé issu de la biomasse en France. L’isolant Cellomur® Ultra ECA est réalisé à partir de déchets organiques de 2ème génération, c’est-à-dire non consommables, issus de l’industrie alimentaire et forestière européenne. Le composant ainsi obtenu est parfaitement sain et garantit les mêmes qualités isolantes qu’un PSE classique. Le procédé de transformation en panneaux est similaire au cycle de production classique et ne génère aucune surconsommation d’énergie. Cellomur® Ultra ECA bénéficie ainsi d’une empreinte carbone à très faible impact, – 60 % par rapport à un PSE classique, pour les mêmes caractéristiques techniques. Cellomur® Ultra ECA couvre les mêmes domaines d’application que le PSE classique (maisons individuelles, logements collectifs, etc.). Il répond aux exigences de la RT 2012, au label E+C- et aux futures exigences de la RE 2020.
Il y a 5 ans et 52 jours

Travaux d'économies d'énergies: appel en faveur d'un fonds d'urgence

L'Union française de l'électricité et les fédérations du bâtiment et de l'énergie ont appelé le gouvernement à créer un fonds d'urgence en faveur des travaux d'économies d'énergie.
Il y a 5 ans et 52 jours

À Grenoble, GSE achève la construction d'un ensemble de bureaux à haute performance environnementale

C'est au cœur de la Zone d'Aménagement Concerté « ZAC » de la Presqu'île de Grenoble, face au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), que GSE a construit le nouveau siège social de la société XENOCS. Celle-ci est reconnue comme étant le leader mondial sur le marché des équipements de laboratoire pour la caractérisation des matériaux à l'échelle nanométrique au travers de la technique de diffusion des rayons X.Un bâtiment de 5 5000 m² à l'architecture contemporaineDessiné par le cabinet Aotu architecture, ce projet met en évidence l'esthétique architecturale et la qualité des matériaux utilisés, notamment pour la façade, élément essentiel de l'harmonie du bâtiment.Développé pour Xenocs par GSE, ce bâtiment de 5 500 m² réparti sur 4 étages accueille le siège social du groupe, des ateliers de production, un show-room et des salles propres. Chaque étage bénéficie de larges terrasses et de toitures végétalisées. Le dernier étage accueille des salles de réunion partagées avec d'autres locataires.Le site, qui a été terminé fin 2019, propose des espaces propices au bien-être, au travail collaboratif, à l'innovation et à la créativité grâce à des bureaux ouverts, modernes, aérés et de nombreux open spaces.GSE a été extrêmement attentif aux détails de finitions des façades pour atteindre le niveau élevé de qualité de réalisation attendue par Frédéric Bossan et Peter Hoghoj, dirigeants de XENOCS. Et le résultat est au rendez-vous puisque la seule différence entre le dessin de concours d'architecte et les photos de la réalisation, ce sont … les montagnes de l'arrière-plan.… à haute technicité…Du fait de la spécificité et des besoins techniques de l'entreprise XENOCS, GSE a réalisé des ateliers, des bureaux et des salles à empoussièrement contrôlé.… et aux performances environnementales élevéesLe bâtiment est équipé d'une pompe à chaleur réversible à eau, limitant ainsi son impact environnemental.« Avec son aspect innovant, ses quatre étages superposés à la façon d'un escalier, l'esthétique architecturale de ce bâtiment est un élément essentiel du projet et a été un point déterminant dans le choix des dirigeants de la société XENOCS. Nous avons su travailler, avec le cabinet d'architecte AOTU et l'assistant maître d'ouvrage DESTIM , en synergie afin d'être en mesure de livrer un projet au plus proche des attentes et des valeurs du client. Nous sommes particulièrement fiers de construire un site aussi qualitatif, en termes de qualité architecturale, qualité environnementale et qualité fonctionnelle des aménagements » déclare Roland Paul, CEO de GSE.Grenoble Presqu'île : une charte environnementale ambitieuseAprès avoir été terrain militaire, puis de recherche nucléaire, puis de recherche sur les nano et micro technologies, la Presqu'île scientifique de Grenoble va devenir un nouveau quartier d'habitation, de bureaux et de commerce. Ce vaste projet de nouveau quartier est aménagé par la société d'économie mixte InnoVia, pour le compte de la Ville de Grenoble. Au confluent du Drac et de l'Isère, sur 265 hectares, la ZAC Presqu'île allie qualité de vie, performance économique, dynamisme universitaire et scientifique.Une charte environnementale ambitieuse s'applique également à toutes les nouvelles constructions, et à laquelle ce projet a dû répondre afin de réglementer les consommations énergétiques des bâtiments. L'objectif consiste à situer les dépenses énergétiques de 30 % en dessous de la Réglementation thermique 2012.La zone accueille d'ores et déjà le nouveau siège social du Crédit Agricole Sud Rhône-Alpes ainsi que les nouveaux bureaux de Schneider Electric.
Il y a 5 ans et 52 jours

«Double peine» sur le territoire de Fessenheim

Pour la communauté de communes Pays Rhin-Brisach, les conséquences du Covid-19 s’ajoutent aux pertes fiscales qui s’annoncent avec la fermeture de la centrale nucléaire. Son président Gérard Hug essaie préserver au mieux les capacités financières.
Il y a 5 ans et 53 jours

Le CCCA-BTP va financer des projets innovants des organismes de formation

Le CCCA-BTP continue d'agir et de contribuer à l'effort national pour soutenir et développer la formation professionnelle dans les métiers du BTP, en organisant en 2020 onze appels à projets qui visent à financer des expérimentations et innovations portés par des organismes de formation. Huit des appels à projets programmés ont été lancés, malgré le contexte de la crise liée au coronavirus, et trois autres le seront d'ici au mois de juin.Le CCCA-BTP, financeur de projets innovants Avec cet important programme d'appels à projets, le CCCA-BTP consacre un budget prévisionnel de 30 M€ pour soutenir les expérimentations et innovations portés par des organismes de formation aux métiers du BTP et en assurer leur déploiement. Dans le cadre des orientations définies par le conseil d'administration, ce budget prévisionnel pourra être adapté, afin de répondre à la nécessité d'un plan de relance pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP à l'occasion de la prochaine rentrée.Ces appels à projets répondent aussi à l'évolution des dispositifs et des modalités de financement du CCCA-BTP, au regard des missions qui lui sont confiées par la loi et pour mettre en œuvre la politique de formation professionnelle initiale, en particulier l'apprentissage, définie par les partenaires sociaux des secteurs du bâtiment et des travaux publics dans leurs accords de branche.Dans cette période de confinement et de ralentissement économique et social, qui impacte aussi la formation professionnelle, le CCCA-BTP reste mobilisé pour accompagner au mieux l'ensemble des organismes de formation dans la continuité de leurs activités. Dans le cadre de sa nouvelle offre de services, il a été décidé de lancer dès maintenant les appels à projets déjà programmés.Ce programme permettra aux équipes pédagogiques des CFA et organismes de formation de se mobiliser sur des projets d'expérimentation et d'innovation, sans attendre la sortie de la crise. Les projets sélectionnés pourront ainsi bénéficier des financements accordés par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Les porteurs de projets pourront faire aussi appel à des co-financements privés ou publics : FSE (Fonds social européen), PIA (Programme d'investissements d'avenir), PIC (Plan investissement compétences), et/ou à des partenariats, en vue d'optimiser les financements et les déploiements des projets sélectionnés.En 2019, le CCCA-BTP avait organisé ses premiers appels à projets pour un budget global de 2M€. Une dizaine de porteurs de projets a ainsi été accompagnée, avec le financement de projets leur permettant d'expérimenter des projets novateurs sur leur territoire, notamment en termes de recrutement de jeunes et d'intégration du numérique dans la formation.Le mot de Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP « En cette période troublée où solidarité et responsabilité s'imposent, avec une réforme de l'apprentissage désormais pleinement opérationnelle, le CCCA-BTP concrétise, avec ce programme d'appels à projets, une nouvelle approche d'offres de services au profit de tous les organismes de formation du BTP. Plus que jamais, nous nous devions nous mobiliser pour les accompagner dans le maintien, la continuité et le développement de leurs activités. Ce programme démontre aussi une nouvelle fois notre capacité à continuer d'agir et à contribuer, sur notre champ d'action, à l'effort national et au profit du développement de la formation professionnelle à nos métiers. C'est aussi tout simplement notre rôle et ce qu'attendent de nous les organismes de formation du BTP.Notre conseil d'administration s'est donné les moyens de ses ambitions, avec un programme doté d'un budget conséquent pour soutenir et accompagner les expérimentations et innovations, mais qui devra être revu pour accompagner les apprentis et les entreprises à la reprise de l'activité dans notre secteur, tout particulièrement pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP d'ici au mois de septembre. Il s'inscrit également dans la dynamique que nous avons initiée au cours des années précédentes pour explorer, expérimenter et accélérer des projets innovants, notamment en termes de pédagogie de l'alternance. Avec ce programme d'appels à projets, notre ambition est claire : valoriser l'excellence de la formation professionnelle aux métiers de la construction de demain, au profit des jeunes et des entreprises de notre secteur du BTP. »Les thématiques du programme d'appels à projets du premier semestre 2020 Les appels à projets du programme 2020* concernent notamment : la mise en œuvre des transitions (énergétique, numérique…) ; l'accroissement de l'acquisition des compétences des apprentis et la valorisation de l'excellence ;l'enseignement du français comme langue étrangère pour les publics dont la langue maternelle est étrangère ;la valorisation et l'acquisition des compétences socio-professionnelles ; l'adéquation emploi/compétences sur les métiers en tension ; l'accompagnement à la mobilité internationale des apprenants ;l'accompagnement à la préparation des apprentis aux concours nationaux et internationaux ;l'ouverture socio-culturelle des jeunes en formation ;la création de contenus pédagogiques en distanciel et les méthodes, outils et usages des réalités virtuelles et augmentées. * Programme complet des onze appels à projets en annexe.Un programme ouvert à toutes les compétences du BTP, de l'orientation et de la formationLes appels à projets organisés par le CCCA-BTP sont prioritairement destinés à tout organisme de formation aux métiers du BTP dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, ou en lien avec les acteurs du BTP, et qui peuvent notamment faire valoir des compétences en termes d'apprentissage.Critères et processus de sélection des projets Un groupe technique paritaire de sélection des projets, composé de membres du conseil d'administration du CCCA-BTP, est constituée pour s'assurer, notamment, de la pertinence de la proposition et du public bénéficiaire du projet proposé, de la qualité des partenariats territoriaux mis en place par le porteur de projet, ou encore de la démarche d'expérimentation proposée. Les critères de sélection sont répartis en nombre de points sur 100 : qualité, performance et caractère d'innovation du projet (35 points) ;expertise et expérience de la formation professionnelle, du suivi socioéducatif ou socioprofessionnel et connaissance du secteur du BTP (20 points) ;calendrier et retroplanning de la conception, réalisation et exploitation du projet et équipe pressentie (15 points) ;perspectives de démultiplication, d'essaimage et de valeur ajoutée du projet et de ses livrables (20 points) ;budget prévisionnel et éléments permettant de sécuriser le déploiement du projet (10 points). En fonction des éléments apportés par les candidats, les budgets alloués par projet et porteur de projet sont déterminés par un Groupe technique paritaire ad hoc et votés définitivement par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Règlements de consultation et informations pratiquesL'ensemble des informations (règlements de consultation, dossiers de réponse, etc.) relatives aux appels à projets sont disponibles sur le site Internet du CCCA-BTP, rubrique « Appels à projets ».Afin d'organiser et suivre les différents appels à projets, le CCCA-BTP a mis en place une cellule dédiée, auxquels les porteurs de projets peuvent s'adresser pour toute demande d'information : cellule.aap@ccca-btp.fr.
Il y a 5 ans et 53 jours

Confinement : comment les collectivités ont organisé leurs réseaux de chaleur

ÉNERGIE. Dans une enquête menée auprès de ses adhérents et partenaires, la Fédération nationale des collectivités territoriales concédantes et régies (FNCCR) s'est penchée sur la continuité du service public des réseaux urbains de chaleur et de froid pendant le confinement. Si les installations ont globalement continué à fonctionner, des inquiétudes se font jour.
Il y a 5 ans et 53 jours

Programmation Pluriannuelle de l’Energie : respecter le calendrier malgré la crise

Suite à la publication, tant attendue, de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) par le gouvernement, le SER alerte sur l’importance du respect indispensable du calendrier malgré la période que nous traversons. Tout retard fragiliserait encore davantage les entreprises du secteur, développeurs et industriels, en particulier les ETI et les PME, et nous éloignerait des objectifs que la France s’est fixé de parvenir à 33% d’énergies renouvelables dans son mix énergétique en 2030 et d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour tenir ce calendrier, au moment du redémarrage, il sera nécessaire d’accélérer les procédures administratives permettant de mettre en service les projets déjà en développement et la planification des appels d’offres afin de compenser les retards dus à la crise. Le SER appelle à ce qu’une réflexion s’ouvre sur les mesures d’accompagnement qui seront nécessaires afin d’atteindre les objectifs définis. Photo : Edilians
Il y a 5 ans et 53 jours

Programmation Pluriannuelle de l’Energie : respecter le calendrier malgré la crise

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Il y a 5 ans et 53 jours

Un film photovoltaïque qui prend toutes les formes

ARMOR vient de franchir une étape décisive dans la production de son film photovoltaïque organique souple ASCA. L’industriel annonce début avril avoir produit des modules photovoltaïques free-form, grâce à la combinaison pour la première fois de ses expertises complémentaires en France et en Allemagne. Cette prouesse permet à ARMOR d’envisager de nouvelles applications pour son film photovoltaïque. Grâce à la technologie free-form, le film peut désormais prendre les formes dont la seule limite est l’imaginaire : sur-mesure et originales, ou avec des « design » spécifiques permettant d’accompagner les choix de haute valeur ajoutée des designers et des architectes. En outre, ARMOR bénéficie d’une capacité industrielle de production d’un million de m2 par an qui désormais inclut la production de modules free-form.
Il y a 5 ans et 53 jours

Normes environnementales : le CINOV s’oppose à tout moratoire

Pour le CINOV, Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique, la crise actuelle doit être un véritable accélérateur de transitions énergétique, écologique et numérique. Pour la relance, toutes les mesures d’un plan de soutien massif aux entreprises doivent être totalement compatibles avec ces conversions en prenant en compte en particulier, des critères comme la transition bas-carbone, la régénération de la biodiversité et la définition d’un nouveau pacte social. Il est probable que certains acteurs vont demander à différer voire à supprimer l’application et l’évolution de réglementations de protections environnementale, sanitaire, sociale et juridique. Le CINOV pense qu’il est au contraire urgent de poursuivre ces évolutions au moment où l’opinion publique aspire à un changement de modèle de société. La crise actuelle montre que nous faisons les frais d’un manque d’anticipation d’un évènement prétendument « imprévisible » (malgré les signaux forts). La crise environnementale et climatique est, quant à elle, bien plus prévisible ; reculer les mesures de lutte et les mesures d’adaptation serait encore plus grave. Le plan doit être assorti de critères d’éco-conditionnalité, comme le suggère le Haut Conseil pour le Climat dans sa note d’avril 2020. Il s’agit ainsi d’intégrer des objectifs de performances énergétique, climatique, écologique, sociale et de relocalisation pour chaque euro investi en s’inspirant largement du Green deal européen.
Il y a 5 ans et 53 jours

Normes environnementales : le CINOV s’oppose à tout moratoire

Pour le CINOV, Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique, la crise actuelle doit être un véritable accélérateur de transitions énergétique,…Cet article Normes environnementales : le CINOV s’oppose à tout moratoire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 53 jours

Sécurité sanitaire : le SERCE publie 9 fiches Prévention par activités

Dans le contexte d’épidémie du COVID- 19, pour accompagner la reprise d’activité de la profession, la Commission « Prévention & Sécurité » du SERCE (Syndicat des entreprises de la transition énergétique et numérique) s’est mobilisée pour adapter la mise en œuvre des mesures de précaution aux spécificités des métiers des entreprises de la transition énergétique et numérique. Les fiches ont été élaborées selon un découpage des activités de la profession en 8 familles couvrant la quasi-totalité des activités des entreprises adhérentes : Bureaux ; Réseaux HTB ; Réseaux HTA-BT, Éclairage public, Canalisations souterraines ; Télécoms ; Industrie ; Tertiaire ; Maintenance et Facilities Management – Industrie ; Maintenance et Facilities Management – Tertiaire et une fiche est également consacrée au Référent Covid-19. https://www.serce.fr/1-/78-dossiers-thematiques/97-prevention-securite.aspx#cont4770
Il y a 5 ans et 53 jours

Bouygues décroche un contrat de 100 millions d'euros en Allemagne

Ce contrat sera honoré par sa filiale allemande Kraftanlagen.La modernisation de la centrale existante d'InfraLeuna, près de Leipzig (est) permettra de fournir une centrale à cycle combiné (gaz et vapeur) avec un rendement énergétique et une flexibilité améliorés.Le contrat comprend, outre la construction d'une nouvelle centrale à cycle combiné, le raccordement de la turbine à combustion existante sur la nouvelle chaudière de récupération.
Il y a 5 ans et 53 jours

Dalkia et la Fédération de l'industrie du béton rejoignent France Industrie

La filiale d'EDF spécialisée dans les énergies renouvelables et la FIB, rejoignent l'organisation représentative de la filière industrielle française et ses 23 fédérations sectorielles.
Il y a 5 ans et 53 jours

Airwell dévoile son nouveau catalogue

Airwell a toujours eu à cœur de répondre avec exigence à l'attente de ses clients. Aujourd'hui, la marque donne une nouvelle dimension à son offre, en adéquation avec la problématique environnementale. Un engagement incontournable pour Airwell, en tant que marque leader de génie climatique, qui a une réelle volonté de proposer des solutions économiques, favorables à l'environnement et avec le moins de contraintes possibles pour ses clients.Le crédo qu'Airwell défend dans ce catalogue : « La nature pour source d'inspiration » évoque les nouveaux concepts basés sur le résidentiel et le tertiaire, deux segments de clientèles aux attentes similaires en termes d'efficacité énergétique, de bien-être et de maitrise des dépenses. Ce catalogue a pour ambition d'associer le bien-être ressenti en pleine nature à celui des locaux chauffés et climatisés par Airwell.La grande nouveauté à découvrir se trouve au sein de la gamme résidentielle, avec l'apparition d'un onglet dédié au tout nouveau concept d'Airwell « ma maison hybride ».Cette toute nouvelle offre répond à la globalité des besoins du client particulier: fourniture des produits de chauffage, ventilation et climatisation, panneaux photovoltaïques pour l'autoconsommation. Ces solutions sont intégralement guidées par la Box Airwell “AirHome”, fonctionnant en protocole ouvert afin de maitriser les objets connectés de la maison.La gamme tertiaire a également évoluée avec la solution de leasing énergétique. Solution permettant au client de bénéficier d'un équipement dernière génération à faible consommation énergétique, intégrant l'installation, la maintenance préventive et une facilité de paiement mensuel. Par ailleurs, le catalogue présente l'intégralité des nouvelles gammes de produits, au design repensé et dotée de nouvelles fonctionnalités.Airwell propose une offre globale, permettant de rentrer dans le cercle vertueux de l'énergie, pour trouver la solution qui satisfera les besoins les plus exigeants.
Il y a 5 ans et 54 jours

L’IoT avec cartes SIM : à la découverte du réseau LTE-M

Pour les usages intensifs, Matooma propose une offre IoT fondée sur le réseau LTE-M d’Orange. Ses avantages : une faible consommation d'énergie et une forte efficacité dans les bâtiments.
Il y a 5 ans et 54 jours

La transition énergétique est-elle la "réponse décisive" aux crises sociales ?

CLIMAT. Les appels, de plus en plus nombreux, à accélérer drastiquement la transition écologique et énergétique pour l'après-coronavirus doivent être entendus et appliqués, selon l'Agence internationale des énergies renouvelables. L'organisation a rendu ses conclusions sur les trajectoires à adopter pour une transition réussie à l'horizon 2050, qui combinerait relance économique, résilience écologique et bien-être des populations.
Il y a 5 ans et 54 jours

Comment réaliser un mur en blocs béton isolants ?

Les blocs Cogetherm sont utilisés pour la construction de pavillons, comme pour des petits collectifs. [©Cogetherm] 1 – Qu’est-ce qui caractérise un bloc isolant ?  En 20 cm x 24 cm x 4 cm, le bloc Cogetherm pèse 17 kg. [©Cogetherm] Un bloc isolant a la même fonction qu’un bloc béton classique. Il permet de constituer une structure. Ceci, grâce à l’empilement de blocs, séparés par une couche de mortier. Deux familles de blocs se distinguent. D’abord, un procédé technique, qui consiste à ajouter un isolant à l’intérieur du bloc. Puis, une seconde famille, dans laquelle les matériaux utilisés pour la conception du bloc sont eux-mêmes isolants. C’est le cas du bloc monomur isolant Cogebloc de Cogetherm, fabriqué à base de pierre ponce.  Ce choix de matériaux permet un poids plus faible des blocs (17 kg pour le Cogetherm de 20 cm d’épaisseur 20 cm x 24 cm x 4 cm, 9 soit 8 unités au m²). Et surtout, d’excellentes performances thermiques (R= 1,65 m2.K/W pour le Cogetherm 20 MA). D’autant plus que les blocs à base de pierre ponce Cogetherm sont hydrophobes et ne présentent donc aucune remonté par capillarité. Chaque bloc a sa propre géométrie. D’une manière générale, les blocs sont conçus pour freiner le plus possible les flux thermiques, en rendant la circulation la plus longue possible.   2 – Quelle technique de mise en œuvre est utilisée ? La grille de mise en œuvre permet de former les joints horizontaux. [©Cogetherm] En général, les blocs isolants rectifiés sont mis en œuvre via une pose collée. Après avoir coulé des fondations d’une planéité parfaite, le maçon pose les rangées de blocs, en les collant. Et ce, à l’aide d’un rouleau proposé par la marque du bloc. Les joints  horizontaux ainsi réalisés atteignent au maximum 12 mm d’épaisseur. Les blocs s’emboîtant les uns aux autres, aucun joint vertical n’est réalisé. Un simple encollage est réalisé sur les blocs lisses. Titulaire de deux Avis techniques pour la pose de ses blocs, Cogetherm a abandonné la pose collée pour revenir à la pose maçonnée au mortier isolant de pierre ponce. La tolérance est donc un peu plus large quant à la planéité des fondations. Les petits écarts pouvant être rattrapés avec la couche de mortier de jointement. Pour la pose, Cogetherm propose une grille, qui permet de laisser des vides de lames d’air horizontales. Le maçon pose son gabarit, remplit les interstices de mortier, relève le gabarit et pose le bloc dessus. Les joints verticaux sont ensuite remplis, à l’aide du même mortier, mais dont le mélange présente une consistance plus fluide. Cette technique permet de réaliser l’étanchéité à l’air lors de la phase de maçonnerie, sans l’ajout de produits étancheurs. Tout en supprimant les ponts phoniques et thermiques, conforme à la Réglementation thermique en vigueur, ainsi que la Réglementation thermique 2020.  3 – Comment traiter les points singuliers ?  La pose maçonnée a été choisie pour monter les murs de Cogebloc. [©Cogetherm] Pour tout type de systèmes de construction, les points singuliers sont très souvent la cause d’apparition de points thermiques. La liaison mur/plancher étant l’un des cas les plus critiques. Outre les gammes de blocs permettant de traiter la plupart des cas avec des blocs de la même nature que les blocs “classiques”. Cogetherm propose une solution originale. Celle-ci tient de la composition de son mortier. Là où les mortiers-colles traditionnels sont issus de développements chimiques, le mortier provient du même matériau que les blocs Cogetherm, c’est-à-dire de la pierre ponce. Ceci permet une homogénéité des matériaux. De cette dernière découle une absence de ponts thermiques, les points singuliers étant comblés par le mortier de pierre ponce. La continuité des matériaux, naturellement isolants, fait alors son œuvre, pas de risque de fissuration des enduits, plus de spectres. 4 – Quels sont les outils nécessaires à la pose ?  Le taux d’absorption des blocs est quasi-nulle. [©Cogetherm] Comme bon nombre de systèmes constructifs, les marques de blocs isolants ont développé une gamme complète d’outillages correspondant à leurs blocs. Au premier rang desquels figure le mortier ou la colle pour les blocs. Quand ils ne sont pas produits sous la marque du bloc, ils sont développés avec un industriel spécialiste. Dans la plupart des cas, ils sont distribués en sac prêt à l’emploi. Cogetherm propose aussi une solution big bag, le sable de pierre ponce devant être ensuite mélangé au liant pour obtenir le mortier nécessaire.  Les blocs isolants permettent de construire et d’améliorer l’isolation des édifices. [©Cogetherm] Quant aux pelles, truelles, grilles et autres gabarits, ils permettent de répartir le mortier ou la colle, selon le schéma pré-établi par les industriels. Si ces outils ne sont pas tous nécessaires, ils facilitent grandement la mise en œuvre.  Enfin pour la découpe, si une scie sabre ou alligator peut suffire, une scie sur table est conseillée. Là encore, de nombreux industriels proposent des scies de marque, dont ils sont les distributeurs. Sujet réalisé en collaboration avec Eric Agostini, directeur de Cogetherm Un bloc thermique et acoustique Les blocs Cogebloc de Cogetherm sont composés à 92 % de pierre ponce et de 8 % de clinker pur. A partir de cette formulation est produit un ensemble complet de blocs, permettant d’envisager la construction de pavillons et de collectifs en R+4. La composition identique des blocs et du mortier permet une homogénéité des murs parfaite, ne nécessitant pas de complément d’isolation. Cogetherm présente une résistance thermique R, allant de = 1,04 W/m2.K à 3,80 W/m2.K, suivant la taille des produits. Le procédé Cogetherm garantit l’absence de ponts thermiques et un taux d’absorption quasi nulle (0,03 kg/m3). Les blocs Cogetherm ne présente donc aucune remontée par capillarité. C’est un isolant thermique définitif, avec une climatisation naturelle grâce à son auto-régulation (frais l’été et chaud, l’hiver). Il est constitué de rangées d’alvéoles d’air. Grâce au remplissage des joints verticaux, il réduit la transmission des bruits intérieurs et extérieurs d’un bâtiment, avec un indice d’affaiblissement acoustique pondéré Rw de 46 dB. - La gamme Cotherm possède une Fdes certifiée par l’Afnor. - 7 usines font partie du groupement Cogetherm - www.cogetherm.com
Il y a 5 ans et 54 jours

UPM ProFi: Pionnier de l’économie circulaire

Depuis 2007, UPM ProFi est un pionnier dans la fourniture d’une seconde vie de haute qualité et durable à des matériaux qui seraient autrement mis en décharge ou incinérés. UPM ProFi Piazza One contient le pourcentage le plus élevé de matériaux recyclés de tous les principaux fournisseurs européens. En tant que solution européenne réellement locale, UPM ProFi utilise des déchets provenant d’Europe et a une faible empreinte carbone, tant pour les produits que pour le transport. Tous les produits UPM ProFi sont fabriqués à partir de matériaux recyclés (entre 50 % et 90 %), une solution qui contribue à réduire la mise en décharge et l’incinération des déchets. Les chutes peuvent être jetées avec les déchets ménagers ordinaires ou recyclées en énergie. Les matériaux composites sont eux aussi recyclables. Tous les déchets produits par nos usines sont recyclés. Malheureusement, il n’existe pas de service paneuropéen permettant de collecter les chutes et les matériaux issus de vieilles terrasses pour les recycler dans nos usines. Mais cela ne saurait tarder… Toutes les fibres des matières premières UPM ProFi sont certifiées PEFC Regardez cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=lZ0sLX8gZd4&feature=youtu.be  
Il y a 5 ans et 54 jours

PAC : du tertiaire au logement, France énergie boucle la boucle

Après avoir équipé de nombreux immeubles de bureaux avec sa technologie de la pompe à chaleur sur boucle d’eau, l’entreprise mayennaise permet désormais aux logements collectifs de se chauffer grâce à l’économie circulaire.
Il y a 5 ans et 54 jours

Le prix du pétrole s’effondre et compromet l'avenir du solaire thermique

Lundi 20 avril en milieu d’après-midi, le prix du pétrole a atteint des valeurs négatives. Ce n’est pas favorable au développement du solaire thermique en Europe.
Il y a 5 ans et 57 jours

Covid-19 : le confinement a fait chuter la consommation d'électricité française

ÉNERGIE. La crise sanitaire causée par la pandémie de coronavirus a eu des effets indéniables mais aussi inattendus sur la consommation d'électricité française : celle-ci a diminué "de manière spectaculaire" d'après RTE, qui note au passage que cette situation n'a que peu affecté les émissions de CO2 du secteur électrique mais que les renouvelables, en revanche, ont creusé leur sillon.
Il y a 5 ans et 57 jours

Schneider Electric annonce des ventes en repli au 1er trimestre mais reste confiant dans son modèle

Le chiffre d'affaires du spécialiste des équipements pour l'énergie et des automatismes industriels se monte sur ces trois premiers mois à 5,8 milliards d'euros, en baisse organique de 6,4% et à -7,6% en croissance publiée.Sur l'Asie-Pacifique (environ un quart de l'activité du groupe), les ventes sont en repli de 19,1%.Au deuxième trimestre, Schneider, qui avait connu en 2019 une année record, prévoit "un impact significatif" au vu des mesures de confinement instaurées dans le monde, tout en se disant "confiant quant à son profil de croissance".Le groupe, très présent en Europe et en Amérique du nord, "souhaite à ce stade s'abstenir de toute hypothèse quant à la forme et au calendrier de la reprise au second semestre 2020 ou au-delà".Mais "nous entrons dans cette crise avec des fondamentaux solides", a déclaré le PDG Jean-Pascal Tricoire, dans un communiqué, citant l'"approche multi-locale" de l'entreprise, l'essor de ses "services digitaux qui permettent de réaliser des opérations à distance" et "la solidité de la situation de trésorerie"."Nous sommes face à l'inconnu", a commenté jeudi le directeur général des finances Emmanuel Babeau, lors d'un point téléphonique avec la presse."Nous savons qu'avril sera impacté significativement dans de nombreuses géographies, en Europe et aux États-Unis. La Chine est en voie de récupération mais nous ne savons pas, pour le reste, ce que sera le rythme et la magnitude du rebond. Nous avons de nombreux scénarios sur la table, il est trop tôt pour dire lequel s'imposera", a-t-il dit, alors que Schneider a suspendu fin mars ses prévisions annuelles.Par exemple, la chute d'activité sur les marchés du bâtiment varie selon les pays: des projets de construction reprendront à la mise en place de mesures de sécurité, tandis que plusieurs gouvernements ont décidé la suspension de projets non essentiels."Dans ces temps incertains, nous avons une boussole, qui commence par la sécurité de nos personnels, puis la continuité de nos services, essentielle quand il s'agit d'hôpitaux, d'industries alimentaires, de centres de données... Et puis nous travaillons sur nos coûts", a énuméré M. Babeau.Le groupe affiche un montant de liquidités (incluant trésorerie et équivalents et lignes de crédits accordées) d'environ 9 milliards d'euros, "suffisantes pour lui permettre de mener à bien ses activités et rembourser ses dettes, tout en versant le dividende et en finançant les acquisitions déjà annoncées", note le communiqué.Au sortir de la crise, Schneider Electric "devrait être en mesure de tirer profit de l'essor des mégatendances portées par des initiatives gouvernementales" (tout électrique, tout digital, énergies renouvelables), estime le groupe. Il compte aussi sur "la montée en puissance des investissements" sur certains de ses principaux marchés (centres de données, infrastructures, bâtiments intelligents).
Il y a 5 ans et 57 jours

Blocs, parements et chaperons Bradstone - Carré D'arc animent l'ambiance

Marques du Groupe Fabemi, BRADSTONE et CARRÉ D'ARC mettent à leur disposition un riche assortiment de modèles dans la ligne Béton Design.Les blocs Hadrien et Schistone BRADSTONE permettent de monter des séparations sur mesure, en parfaite harmonie avec l'environnement, les parements CARRÉ D'ARC animent un lieu, y compris à l'intérieur. Et, pour couvrir murs et piliers, les nouveaux chaperons de mur et chapeaux de pilier CARRÉ D'ARC ajoutent leur touche élégante à l'ouvrage.Apporter du rythme, jouer avec les matières, insérer de l'inattendu dans un décor… tout cela est possible avec les créations Béton Design issues du savoir-faire BRADSTONE et CARRÉ D'ARC. Une belle palette de textures et de coloris pour structurer l'espace avec goût.Blocs Hadrien BRADSTONE : un relief de pierre tailléeFaciles à poser, les blocs Hadrien BRADSTONE imitent parfaitement la pierre taillée à la main. Ils peuvent servir à construire un mur de séparation entre deux jardins, un muret courant le long d'une allée bordée de massifs, ou encore des jardinières. Leur tracé irrégulier accroche la lumière et apporte une ambiance chaleureuse.Les éléments Hadrien sont proposés en nuance Gironde. Ceux de forme incurvée permettent de réaliser des ouvrages en demi-cercle. Il existe également des blocs linteau droit, about, angle droit et angle gauche, sans oublier le bloc de chaînage et le couronnement.Les solutions apportées par les blocs Hadrien BRADSTONE se déclinent en muret, délimitation d'allée, coin terrasse et haut mur de séparation mitoyen. Ce dernier est décoré en son milieu d'une lame d'eau s'écoulant dans un bassin. Chaque structure est habillée de couronnements Hadrien BRADSTONE.Blocs Hadrien BRADSTONEBlocs : 60 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceBloc chaînage : 45 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceBloc linteau droit : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc linteau about : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBlocs linteau angle droite ou gauche : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc courbe : 53 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceCouronnement : 48,5 x 19,5 x 4 cm Prix public indicatif : 14 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBloc Schistone BRADSTONE : charme celteLe bloc Schistone BRADSTONE présente un feuilletage qui rappelle les murets en roche schisteuse ponctuant les paysages de la Bretagne traditionnelle. Cet aspect pierre sèche est parfaitement rendu et convient à des ambiances authentiques ou régionales.Le bloc Schistone BRADSTONE pourra également mettre en valeur un décor contemporain. Cette belle lame d'eau semble percer le mur, telle une source jaillissante. Les blocs Schistone BRADSTONE ont cédé le passage sous la pression de l'eau, c'est du moins l'astucieuse mise en scène du paysagiste, inspiré par la rusticité armoricaine du matériau.Bloc Schistone BRADSTONEBloc : 58,5 x 14 x 10 cm (15 blocs au m² - longueur utile 47,5 cm) Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Eygalières CARRÉ D'ARC : temps jadis au goût du jourDécoratif à l'extérieur comme à l'intérieur, le parement de mur Eygalière CARRÉ D'ARC a l'apparence des revêtements anciens aux pierres jointées. Il comprend deux types de modules de dimensions variables ainsi que des angles droits multiformats.Le parement de mur Eygalière est proposé en nuance Aquitaine et Luberon.Ces murs revêtus de parements Eygalières CARRÉ D'ARC teinte Aquitaine structurent l'espace par de douces lignes courbes délimitées par des piliers aux justes proportions.Parement Eygalières CARRÉ D'ARCDimension parement plat ép. 1,5 cm : 2 types de modules de dimensions variables Prix public indicatif : 56 euros TTC le m²Dimensions angles droits ép. 1,5 cm : multiformats 3 grands + 3 petits Prix public indicatif : 72 euros TTC le mlColoris : Aquitaine et LuberonMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Vaugelas CARRÉ D'ARC : esprit moderneInspiré de la pierre de schiste, le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC se distingue par sa simplicité et le relief graphique qui convient aussi bien dans un espace partagé avec la nature que pour habiller le mur d'une pièce. Il est proposé en trois modules plats de tailles différentes et un angle droit. Le choix du coloris - Aquitaine, Ardèche ou Basalte - déterminera l'ambiance finale de la réalisation.Les terrasses du jardin, délimitées par des murets revêtus de parements Vaugelas CARRÉ D'ARC nuance Basalte, offrent des plages de gazon reposantes, décoratives, entre ombre et lumière.Le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC donne un relief agréable et chaleureux à ce mur de salle de bains moderne aux lignes épurées. Sa teinte Aquitaine s'harmonise avec le plancher d'un élégant coloris châtaigne.Parement Vaugelas CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 3 modules différents 50 x 10 x 1,5 cm30 x 10 x 1,5 cm20 x 10 x 1,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 20/10 x 10 x 1,5 cmPrix public indicatif : 89 euros TTC le mlColoris : Aquitaine, Ardèche et BasalteMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Avallon CARRÉ D'ARC : allure nordiqueLa régularité singulière des briques de construction évoque immanquablement les maisons du Nord. Le parement plat Avallon CARRÉ D'ARC revisite la briquette avec succès, pour habiller les murs intérieurs ou extérieurs. Les teintes, blanc uniforme, doré et feu avec nuances de rouge, apporteront l'effet surprise désiré.Le gris et le blanc sont faits pour aller ensemble. Démonstration avec le parement de mur Avallon CARRÉ D'ARC de cette chambre à coucher, dont la blanche fraîcheur facilite un réveil en douceur.Parement Avallon CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 24 x 5,5 x 2,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 12 x 24,5 x 5,5 cm – ép. 2,5 cm Prix public indicatif : 77 euros TTC le mlColoris : Blanc, Doré et FeuMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxLa ligne Béton Design CARRÉ D'ARC ajoute cette année à sa riche gamme de produits un choix de chaperons de mur et de chapeaux de pilier, composés de ciment blanc et d'agrégats clairs, proposés en deux modèles, deux formats et trois couleurs. Des accessoires indispensables pour protéger un ouvrage et lui donner une belle finition.Chaperons de mur CARRÉ D'ARC : élégance au sommetProposés en trois teintes lumineuses, Beige, Blanc et Gris, les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC assurent une couverture solide et protègent de l'humidité. Les deux modèles, plat ou à deux pentes, sont dotés de « gouttes d'eau », c'est-à-dire 2 rainures parallèles sciées dans la masse et courant sur toute la longueur afin de gérer l'écoulement de l'eau de pluie.Les chaperons plats portent également en surface une légère arête centrale de 1 mm, qui sert à évacuer l'eau de pluie.Les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC sont proposés en 2 dimensions (50 x 30 cm et 100 x 30 cm) et 2 épaisseurs distinctes (4 cm pour les plats et 5,7 cm pour les 2 pentes).Le chaperon de mur 2 pentes CARRÉ D'ARC fait serpenter sa luminosité sur un beau mur ocre rouge. Son rôle à la fois couvrant et décoratif éclate au grand jour.Chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARCChaperon de mur plat : 50 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 15,50 euros TTC la pièceChaperon de mur plat : 100 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 50 x 30 x 5,7 cm Prix public indicatif : 16 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 100 x 30 cm x 5,7 cm Prix public indicatif : 31 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxChapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARC : finition indispensableTout pilier encadrant un mur de clôture porte son chapeau. Les modèles de chapeaux Lisses CARRÉ D'ARC suivent le même procédé de fabrication que les chaperons afin de créer une couverture harmonieuse et uniforme.Deux modèles sont proposés en deux formats au choix : le plat, carrés de 40 cm ou 50 cm de côté, sur 4,5 cm d'épaisseur, et le pointe de diamant de mêmes dimensions, sur 7,7 cm d'épaisseur. Les trois coloris - Beige, Blanc et Gris - peuvent être assortis aux chaperons.Plat ou en pointe de diamant, le chapeau de pilier Lisse CARRÉ D'ARC protège tout en s'inscrivant dans un cadre esthétique lumineux.Chapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARCChapeau de pilier plat : 40 x 40 x 4,5 cm Prix public indicatif : 23 euros TTC la pièceChapeau de pilier plat : 50 x 50 x 4,5 cm Prix public indicatif : 29 euros TTC la pièceChapeau de pilier pointe diamant : 40 x 40 x 7 cm Prix public indicatif : 24 euros TTC la pièce Chapeau de pilier pointe diamant : 50 x 50 x 7,7 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBlocs pilier à enduire CARRÉ D'ARC : Superposables, ils portent bien le chapeauLe bloc pilier en béton CARRÉ D'ARC, creux et de section carrée, est disponible en cinq dimensions : 20, 26, 35, 40 et 50 cm de côté, pour une hauteur commune de 25 cm. Faciles et rapides à poser, ils peuvent être habillés d'un enduit de façade, de parements de mur ou de bardages.Un chapeau de pilier Lisse plat CARRÉ D'ARC ton Blanc coiffe ce pilier ton Béton gris à enduire. Le mur, à enduire également, est couvert d'un chaperon deux pentes ton Blanc CARRÉ D'ARC.Blocs pilier CARRÉ D'ARCDimensions : 5 modules différents 20 x 20 x 25 cm Prix public indicatif : 4,50 euros TTC la pièce26 x 26 x 25 cm Prix public indicatif : 5 euros TTC la pièce35 x 35 x 25 cm Prix public indicatif : 6 euros TTC la pièce40 x 40 x 25 cm Prix public indicatif : 15 euros TTC la pièce50 x 50 x 25 cm Prix public indicatif : 25 euros TTC la pièceColoris : Béton grisMatériau : Béton DécoratifPoints de vente : Négoces en matériaux
Il y a 5 ans et 57 jours

La filière bois pense à la relance

Pendant cette épidémie, les entreprises de la filière bois se sont mobilisées pour assurer des productions essentielles : emballages en bois et carton pour l’agro-alimentaire, produits papetiers d’hygiène, celluloses de spécialité pour le secteur médicament, cercueils, combustibles bois pour la production d’énergie… Pour relancer l’activité économique, la filière bois veut proposer des solutions durables : un renforcement des capacités productives partant des ressources nationales décarbonées, dont le bois est le premier matériau. Remettre en route la chaîne productive du bâtiment et du logement est une urgence nationale absolue. Pour la seule filière bois, 50% de la valeur ajoutée et des emplois dépendent du marché final de la construction. L’Etat doit renforcer la mise en responsabilité directe des maîtres d’ouvrages publics et privés, et des grands donneurs d’ordre, dans la production rapide des ordres de service de réouverture des chantiers du bâtiment ; préciser les obligations de moyens leur incombant. L’organisation générale de la continuité d’activité économique sur les mois d’été pour l’industrie, le bâtiment et les services associés, doit être réalisée. A ce sujet, l’Etat doit lever toutes les interdictions visant les arrêts de chantier durant la période estivale, notamment dans les zones touristiques. La filière propose, en outre, diverses actions sectorielles. Source : note du CSF Bois
Il y a 5 ans et 57 jours

Covid-19 et poussières de bois : concurrence d’usage des masques

Le Comité Interprofessionnel du Bois-Energie (CIBE) a publié une note technique de clarification sur le port du masque pour la protection contre le Covid-19 et les poussières de bois. Elle rappelle les bonnes pratiques pour la protection des salariés et des sous-traitants exposés aux poussières de bois sur les installations bois-énergie où l’exploitant est garant de la sécurité sanitaire des salariés et des sous-traitants au titre du code du travail. Elle souligne une concurrence d’usage pour l’utilisation des masques FFP2 entre consignes sanitaires et guide de plan de continuité d’activité (PCA) des entreprises de la filière bois et ameublement. Télécharger la note
Il y a 5 ans et 58 jours

Participez à l'action de prospective collective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », portée par l'ADEME et le CSTB

Image : AdobeStockLes bâtiments sont un élément essentiel de notre cadre de vie, mais se renouvellent lentement. Dans une période de grandes mutations – changement climatique, développement du numérique, évolution des modes de vie et du travail, vieillissement de la population, mutations des territoires, etc. –, l'adaptation du parc de bâtiments au contexte et aux besoins de demain est un défi important pour les acteurs de la construction et de la rénovation, pour les acteurs de l'immobilier, comme pour l'ensemble des usagers. L'ADEME et le CSTB ont lancé, début 2020, la démarche de prospective collective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain » pour identifier les différents scénarios possibles pour l'évolution du patrimoine immobilier de la France. Méthode La première étape consiste à identifier les facteurs clé qui influenceront l'évolution du patrimoine immobilier. La seconde étape consistera à déterminer comment chacun de ces facteurs peut influencer les futurs possibles. La troisième étape consistera à élaborer différents scénarios globaux d'évolution. Aujourd'hui, l'ADEME et le CSTB présentent la liste des facteurs clés identifiés par le comité de prospective qu'ils ont mis en place. Le rapport de présentation des facteurs clés identifiés est mis aujourd'hui à la disposition des acteurs de la filière. Il est proposé à tous les acteurs de la construction de participer à la démarche en répondant à une enquête en ligne jusqu'au 24 mai 2020. Pour rester informé sur cette démarche : inscrivez-vous ici.
Il y a 5 ans et 58 jours

La France adopte finalement sa feuille de route énergétique

La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) pour 2019-2028 "est adoptée", selon un décret paru au Journal officiel.Son adoption était initialement attendue fin 2018, mais ce texte aux multiples implications aura pris beaucoup de retard.Un second décret, visant l'adoption de la stratégie nationale bas-carbone (SNBC), a également été publié jeudi. Celle-ci fixe comme objectif la neutralité carbone de la France à l'horizon 2050."Nous publions aujourd'hui des textes écologiques structurants, qui impliquent la décarbonation de tous les secteurs d'activités et qui incarnent notre volonté intacte de poursuivre la transition écologique de notre pays", a souligné Elisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique et solidaire, dans un communiqué.Les arbitrages dans le secteur de l'énergie avaient été esquissés dès la fin 2018 par le président Emmanuel Macron et le projet de PPE avait ensuite connu plusieurs versions avant d'être soumis à consultation en début d'année.Sur le nucléaire, le gouvernement confirme l'objectif de fermer 14 réacteurs d'ici 2035, dont les deux de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin) qui doivent s'arrêter cette année. Le premier a déjà été arrêté en février, le second doit l'être le 30 juin.La France cherche ainsi à réduire sa dépendance au nucléaire en ramenant sa part dans sa production d'électricité à 50% en 2035, contre plus de 70% aujourd'hui.Sur le fond, la PPE publiée jeudi reprend pour l'essentiel le texte qui avait déjà été rendu public et mis en consultation. Il ne diverge que sur quelques mesures techniques portant sur les réseaux de chaleur (avec une sortie accélérée du charbon) et le photovoltaïque, selon le ministère de la Transition écologique et solidaire."Nous nous réjouissons de la publication de la PPE, qui donne, dans ce moment particulier de notre histoire, de la visibilité à nos différentes filières et confirme l'engagement de la France dans la transition énergétique", a salué Jean-Louis Bal, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER)."Mais, nous devrons tous être très attentifs aux moyens mis en oeuvre pour atteindre, dans les délais, les objectifs fixés", a-t-il ajouté, dans un communiqué.Des ONG de défense de l'environnement ont en revanche critiqué le texte, estimant qu'il manquait d'ambition."Le gouvernement s'est refusé à intégrer les mesures complémentaires nécessaires à l'atteinte des objectifs climatiques - pourtant insuffisants - et de baisse de la consommation d'énergie de la France", ont jugé dans un communiqué commun plusieurs associations (Réseau Action Climat, Amis de la Terre, Greenpeace, France Nature Environnement...)."Il acte ainsi l'écart entre les discours et les actes et se prive de leviers clés pour une reprise économique compatible avec l'Accord de Paris", ont-elles estimé.
Il y a 5 ans et 58 jours

Energie et bas-carbone : les décrets de la PPE et de la SNBC ont été publiés

RÉGLEMENTATION. Les décrets relatifs à la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) et à la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) sont parus au Journal officiel de ce 23 avril 2020. Ces deux textes majeurs, attendus de longue date par le secteur, pourraient bien jouer un rôle encore plus important que prévu pour la sortie de crise économique.
Il y a 5 ans et 58 jours

Un premier trimestre 2020 en recul pour Schneider Electric

RÉSULTATS. Le spécialiste de la gestion de l'énergie, Schneider Electric, a annoncé un recul de son activité au premier trimestre 2020, et envisage des répercussions plus fortes de la crise du covid-19 pour la suite. Détails.
Il y a 5 ans et 58 jours

Covid-19 : continuité des processus de qualification et aménagements exceptionnel

L'occasion de rappeler pourquoi la qualification est un atout pour les entreprises, et le restera lors de la reprise de l'activité, et comment Qualifelec accompagne et continuera d'accompagner le développement de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. Continuité et fiabilité du processus de qualificationDurant le confinement, les équipes de Qualifelec se sont organisées pour être opérationnelles, en télétravail, et restent joignables au 01 53 06 65 20, du lundi au vendredi de 9h30 à 12h, et par mail (contact@qualifelec.fr). Tous les dossiers de qualification (initiaux, renouvellements, modifications et annuels) reçus par Qualifelec avant le 17 mars sont en cours de traitement. Les comités de qualification poursuivent également leur travail à distance, et cela, toujours dans un strict respect de la collégialité. Qualifelec peut, ainsi, continuer à étudier l'intégralité des dossiers reçus, en garantissant l'objectivité et l'équité des décisions prises par ses comités.Pour rappel, les comités de qualification sont constitués de qualificateurs issus des trois collèges composant les instances de Qualifelec. Le vote des représentants des organisations professionnelles de la filière (collège A) a le même poids que celui des représentants des clients et prescripteurs d'entreprises qualifiées (collège B) et celui des Institutionnels (collège C). Ce sont donc l'ensemble des acteurs du marché qui décident de l'attribution des qualifications aux entreprises. Cette organisation collégiale garantit la force et la fiabilité de la qualification Qualifelec.Aménagements exceptionnelsToutes les entreprises qui le peuvent sont donc invitées à compléter et renvoyer leur dossier ou les pièces manquantes de leur dossier, soit par mail, soit, pour les dossiers "annuels", en passant par leur espace client, en respectant l'échéance de leur cycle de qualification. Pour les entreprises qui n'auraient pas cette possibilité ou qui rencontrent des difficultés dans leurs démarches, Qualifelec adapte ses règles : un nouveau certificat de qualification sera automatiquement transmis (peu avant la date d'échéance). Sa date de validité pourra être prolongée jusqu'au 30 juin, voire jusqu'au 30 septembre 2020 en fonction des cas. La prolongation des dates de validité des certificats est un aménagement exceptionnel qui permettra à toutes les entreprises de rester qualifiées lors de la reprise de l'activité.Les audits programmés, ou à réaliser, sont logiquement reportés. Les entreprises concernées seront tenues informées des nouvelles dates d'audit, lorsqu'il sera possible de les reprogrammer. Leurs qualifications ne seront pas suspendues.Enfin, si cela s'avère nécessaire, les équipes de Qualifelec feront tout leur possible pour porter une attention particulière aux spécificités des "cas particuliers". Une garantie de qualité pour accompagner "la relance"Depuis sa naissance en 1955, Qualifelec est déterminé à agir pour l'amélioration continue de la filière électrique et énergétique. Nous apportons aux clients la meilleure garantie de satisfaction, de sécurité et de performance des installations. Dans la période qui s'annonce, cette mission s'avère d'autant plus nécessaire.En 2019, le gouvernement a témoigné de sa volonté d'accélérer les travaux de rénovation énergétique via des dispositifs financiers fortement incitatifs. Les pompes à chaleur ont ainsi fait l'objet d'une aide renforcée. Dans ce contexte, Qualifelec a un rôle à jouer pour lutter contre les travaux de mauvaise qualité et la fraude. L'année dernière, notre organisme de qualification a mené différentes actions dans ce sens : signature de la charte de qualité de l'AFPAC (Association française pour la pompe à chaleur), lutte contre le démarchage abusif de certaines plateformes téléphoniques, partenariat avec EDF pour favoriser des travaux de rénovation énergétique de qualité, etc.).Par ailleurs, Qualifelec s'engage à ce que ses entreprises qualifiées proposent systématiquement des contrats de maintenance des installations de Pompe à Chaleur à leurs clients. C'est le seul organisme de qualification à avoir créé un indice Maintenance dans sa qualification relative aux pompes à chaleur.A la reprise de l'activité, Qualifelec poursuivra sa mission pour protéger le consommateur en lui garantissant des travaux de rénovation énergétique de qualité, et ce, avec le souci de la performance dans la durée.En 2019, un travail de concertation avec les acteurs du marché nous a conduit à créer la mention Colonnes Montantes, désormais prescrite par Enedis (suite à une disposition de la loi Elan qui prévoit le transfert au réseau public de distribution d'électricité de l'ensemble des colonnes montantes, au plus tard le 23 novembre 2020). Au-delà de l'adaptation aux évolutions réglementaires, Qualifelec sait aussi accompagner les entreprises vers de nouveaux marchés, comme celui de la mobilité électrique (avec la mention Infrastructures de Recharge de Véhicules Electriques).A la reprise de l'activité, Qualifelec continuera de répondre aux enjeux liés aux nouveaux modèles de production et de consommation de l'électricité, à la transition énergétique, à l'intégration des technologies du numérique (pilotage des énergies, smart city, smart building...), en accompagnant la montée en compétence des professionnels sur des marchés à fort potentiel de développement, tout en maintenant l'exigence de qualité.« D'une ampleur inédite, la crise que nous traversons sera suivie d'une reprise de l'activité que nous espérons la plus dynamique possible, et ce, le plus rapidement possible. Qualifelec a été créé après-guerre, en pleine période de reconstruction du pays. Pour cette nouvelle période de relance, les professionnels du génie électrique et énergétique et leurs partie-prenantes doivent pouvoir s'appuyer sur une garantie fiable de qualité, de performance et de sécurité. Qualifelec accompagnera l'évolution de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. » - Yves Jalageas, Président de Qualifelec
Il y a 5 ans et 58 jours

Covid-19 : Le Groupe Enr'Cert plaide pour le maintien du Green Deal

Cette décision serait un non-sens sur le plan sanitaire, économique et environnemental. Santé et climat étant étroitement liés, le Green Deal doit rester au premier plan. Il est l'une des solutions à la sortie de crise.L'Union Européenne doit profiter de cette occasion unique pour établir une barrière carbone aux frontières de l'Europe, qui rendra tangible le coût environnemental de nos consommations.Ce changement de doctrine doit s'accompagner d'un soutien clair aux relocalisations et aux circuits courts. L'efficacité énergétique est l'un des meilleurs outils pour ce faire : elle rendra notre société plus économe, moins sensible aux fluctuations des prix de l'énergie et donc plus résiliente.L'efficacité énergétique est également un levier puissant pour nos entreprises qui, affaiblies par la crise actuelle, y verront un moyen de réduire leurs coûts tout en diminuant leur empreinte environnementale.Pour les ménages, c'est un gain de pouvoir d'achat qui pourra être réinvesti utilement au sein d'une économie davantage tournée vers le long-terme.La rénovation énergétique est également créatrice d'emplois non-délocalisables, impliquant des compétences et des niveaux de qualifications variés, et qui seront l'un des ingrédients de la relance.“La crise sanitaire doit être un catalyseur et non un frein en matière d'efficacité énergétique.” déclare Gaëtan THORAVAL, directeur général d'Enr'Cert.