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Il y a 4 ans et 138 jours

Le Groupe Lorillard assoit sa position de leader sur le marché de la menuiserie bois avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin

Expert de la menuiserie industrielle sur-mesure, le Groupe Lorillard, présidé par Monsieur Thierry LUCE, vient d’acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin à Glatigny (50). Cette acquisition concède au Groupe Lorillard de nouvelles parts de marché et vise à renforcer sa position de leader dans la menuiserie bois, avec l’offre bois la plus large et la plus complète du marché. Elle permet également au Groupe d’intégrer des produits bois et aluminium spécifiques. De gauche à droite : Pierre Lorillard Directeur Général délégué au commerce, Madame et Monsieur Le Roy Dirigeants de la Menuiserie Meslin et Thierry Luce Président du Groupe Lorillard   DES VALEURS PARTAGÉES Créée en 1961, la société Menuiserie Meslin est spécialisée dans la fabrication de menuiseries bois personnalisées et sur mesures. Entreprise familiale, dirigée par Monsieur et Madame Le Roy, elle rassemble 48 salariés et réalise un chiffre d’affaires de 7,5 millions d’euros (2020). S’adressant exclusivement aux artisans, la commercialisation en B to B n’implique que la fourniture de menuiseries. Ainsi l’entreprise, qui n’a pas encore de commerciaux, réalise 80 % de son chiffre d’affaires sur Paris et la région parisienne, à la faveur de sa notoriété, de ses produits atypiques (portes cochères, menuiseries cintrées en plan et en élévation pour bâtiment haussmanniens, etc.) et de son savoir-faire spécifique dans la menuiserie bois. Forte d’une activité saine et croissante, la Menuiserie Meslin a cependant besoin de s’adosser à un groupe afin de bénéficier d’une structure puissante pour développer son savoir-faire sur l’ensemble du territoire et faire croître la commercialisation de ses menuiseries. Au regard de l’histoire, du caractère familial et de la forte implantation régionale de l’entreprise, la société susceptible de les racheter se devait de partager les mêmes valeurs. C’est le Groupe Lorillard qui a donc été choisi par les dirigeants pour acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin. Initialement ce rachat aurait dû se faire au mois de juillet dernier mais la crise sanitaire actuelle a bloqué l’avancement de l’acquisition. Et ce n’est qu’en novembre que le protocole d’accord fut signé. Site de production et siège social de la Menuiserie Meslin à Glatigny (50).   ENRICHIR LES ACQUIS C’est toute son expérience industrielle et commerciale que le Groupe Lorillard va mettre à la disposition de la Menuiserie Meslin. Le Groupe a défini un plan industriel avec des investissements à court, moyen et plus long terme, afin d’augmenter les capacités de production, d’améliorer la performance de l’entreprise et d’accroître son chiffre d’affaires. Ainsi, une campagne de recrutement va être menée pour intégrer du personnel de chiffrage et renforcer le Bureau d’Etudes, ainsi que des opérateurs et menuisiers dans les ateliers. Des évolutions et des investissements vont également être menés pour l’outil de production. La société Menuiserie Meslin conçoit des menuiseries bois (80 % de l’activité), des menuiseries aluminium (20% de l’activité) et produit quelques menuiseries PVC. La production PVC va être rapatriée à Chartres afin de laisser plus de place pour l’agrandissement de la production aluminium qui représente 1,5 M€ du chiffre d’affaires actuel de la société Menuiserie Meslin. Ainsi, plusieurs équipements aluminium du Groupe vont être transférés chez Meslin afin de renforcer la production de produits aluminium spécifiques. Une plus-value pour le Groupe qui ne proposait pas encore ce type de produits : portes repliables, portes basculantes, verrières, coulissants d’angle réalisés à partir de la gamme Technal, partenaire historique de la Menuiserie Meslin. Parallèlement, l’outil de production bois va bénéficier de nouvelles machines visant à améliorer la performance d’usinage ainsi que d’une nouvelle cabine de laquage pour la garantie 10 ans des finitions bois, courant 2021. L’objectif est clair : densifier l’activité B to B avec la vente aux artisans, en augmentant la production bois de près de 30% et l’ambition de porter le chiffre d’affaires à 8,5 M€ en 2021 et 12 M€ à 3 ans. Atelier bois de Glatigny (50) de la Menuiserie Meslin   CHRONIQUE D’UNE CROISSANCE ANNONCÉE Comme l’évoquait Thierry Luce début 2020 « Il est aujourd’hui nécessaire de continuer à investir pour résister à une pression concurrentielle nationale et internationale toujours plus importante » ; l’objectif du Groupe Lorillard est d’acquérir une taille critique qui se situe entre 200 et 250 M€ de chiffre d’affaires. L’acquisition de la Menuiserie Meslin porte le chiffre d’affaires du Groupe à près de 190 M€ à fin 2020, rapprochant le Groupe de l’objectif critique souhaité. Autres ambitions du N°1 sur le bois en France : renforcer sa position de leader sur ce marché par l’élargissement de son offre et porter la capacité de production bois du Groupe à plus de 25 % d’ici 2022. Avec la société Menuiserie Meslin, le Groupe Lorillard se dote d’une 4ème usine de production bois (avec son site chartrain, Molénat à Decazeville et Bourneuf à Parigné-L’Evêque), mais acquiert également des produits inédits au sein du Groupe et une complémentarité commerciale avec les marques Molénat et Bourneuf. En effet, Lorillard dispose désormais d’une commercialisation multicanale (BtoB, BtoC, chantier) ; Molénat distribue spécifiquement aux négoces, et Bourneuf se consacre à la fourniture et la pose de chantier haut de gamme ; quant à Meslin, elle vient renforcer le mode de fourniture directe aux artisans.   Aujourd’hui, le Groupe Lorillard figure parmi les plus grands fabricants de menuiseries industrielles en France avec ses 7 sites de production répartis à travers le pays : Chartres (28), Saint-Doulchard (18), Pralong (42), Parigné-l’Evêque (72), Decazeville (12), Saint-Martin-de-Seignanx (40) et Glatigny (50) dont 4 ateliers bois, 4 ateliers PVC, 3 ateliers aluminium et 1 atelier pour les volets roulants. Et, l’acquisition de ce 7ème site de production oeuvre pour une stratégie de maillage du territoire, avec l’objectif de minimiser les coûts de transports en produisant toujours au plus près des clients et des chantiers. In fine, avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe.
Il y a 4 ans et 138 jours

Une cinquantaine de mal-logés à Grenoble réclament à la ville un "logement décent"

Les occupants ont investi le 9 décembre un bâtiment promis à la réhabilitation du quartier de l'Abbaye, situé à l'est de la ville, pour réclamer des relogements "dignes et stables".Après avoir obtenu de la mairie qu'il n'y ait pas d'expulsion immédiate, ils ont refusé d'être redirigés vers les places vacantes du dispositif d'hébergement hivernal, jugeant cette proposition "dégradante"."On ne squatte pas pour le plaisir, mais pour obtenir des solutions décentes. Ils préfèrent se mettre à la rue plutôt que d'intégrer le dispositif hivernal, par lequel certains sont déjà passés", souligne Raphaël Beth, militant du collectif Droit au logement (DAL).Ce dernier accuse la municipalité d'avoir sciemment fait couper l'électricité, l'eau et le chauffage collectif du bâtiment pour "punir" les associations et les occupants "car elle estime qu'on est de mauvaise foi sur le relogement", ajoute le militant.Il déplore "l'écart" entre "l'ambition présidentielle très marquée à gauche" du maire écologiste Éric Piolle et son "manque d'efforts sur le terrain".De son côté, la municipalité regrette que "seule une délégation du DAL 38" se soit présentée vendredi devant les travailleurs sociaux lorsque ceux-ci se sont rendus sur place pour "procéder au diagnostic social des ménages et faire le point sur l'ensemble de leurs dossiers".Elle rappelle que les coupures qui devaient être effectuées "avant la fin de l'année" et la cession du bâtiment à son nouveau gestionnaire "interviendront", dans la mesure où la ville n'a "aucune visibilité sur la réalité des situations".La mairie alerte également "sur l'importance de libérer rapidement les lieux, 100% des coûts liés à cette occupation pesant sur le bailleur social" qui gère le bâtiment, "alors que, dans le même temps, des places sont disponibles dans les hébergements d'urgence mis en place par l'État".
Il y a 4 ans et 138 jours

Borne annonce la prolongation des aides en faveur de l'emploi des jeunes

"La situation sanitaire va rester difficile dans les prochaines semaines et va nous conduire à prolonger (...) la prime de 4.000 euros (par an) pour l'embauche, en CDD de plus de trois mois ou en CDI d'un jeune de moins de 26 ans et les 5.000 ou 8.000 euros d'aides pour un contrat d'apprentissage ou de professionnalisation", assure la ministre."Les chiffres montrent que notre plan porte ses fruits", estime-t-elle à propos d'une batterie de mesures lancée en juillet alors que la crise sanitaire liée à l'épidémie de Covid-19 a très durement touché l'emploi des jeunes.Elle cite 1.052 million de jeunes "recrutés en CDD d'au moins trois mois ou en CDI", entre août et fin novembre, soit "presqu'autant qu'en 2019". "Plus de 220.000 primes ont déjà été distribuées", ajoute Mme Borne, rappelant le succès inédit de l'apprentissage avec 440. 000 contrats signés en 2020, contre 353.000 en 2019.Interrogée par ailleurs sur l'assoupissement du télétravail qu'elle avait déjà évoqué, la ministre a confirmé qu'elle souhaitait revenir à une règle d'"au moins une journée par semaine" de présence dans l'entreprise."Nos études montrent que plus de six salariés sur dix en télétravail à 100% depuis novembre souhaitent revenir dans l'entreprise au moins une journée par semaine", explique Élisabeth Borne, assurant que "plus de la moitié disent souffrir d'isolement".Elle promet d'évoquer cette question lundi lors d'une rencontre avec les partenaires sociaux pour adapter à nouveau "le protocole sanitaire à partir du 7 janvier"."Il s'agira de continuer à recourir fortement au télétravail pour lutter contre l'épidémie tout en permettant à ceux qui en expriment le besoin de revenir une journée par semaine en entreprise", conclut-elle.
Il y a 4 ans et 138 jours

La collecte nette pour le Livret A rebondit à 2,4 milliards d'euros en novembre

Ce faisant, le Livret A a ainsi fait nettement mieux qu'au mois de novembre 2019, durant lequel il avait moissonné 610 millions d'euros. En octobre 2020, il a par ailleurs essuyé une collecte nette négative (retraits moins dépôts) de 940 millions d'euros."Avec la proximité des fêtes, les paiements des impôts locaux et l'absence de primes, novembre est traditionnellement un mauvais mois pour le Livret A", mais "pour 2020, le deuxième confinement, avec une renonciation forcée à la consommation, explique la forte collecte nette", souligne dans une note Philippe Crevel, directeur général du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa réglementation.Avec ces 2,4 milliards, le Livret A enregistre ainsi une collecte nette cumulée depuis le début de l'année d'un peu plus de 27 milliards d'euros, contre environ 14 milliards recensés durant la même période en 2019, précise la Caisse des dépôts, laquelle gère ce placement conjointement avec les établissements bancaires.Considéré comme un placement refuge, le Livret A, qui garantit pourtant un taux d'intérêt historiquement faible de 0,5% par an, connaît en 2020 un succès historique dans le contexte d'incertitudes économiques et sanitaires liées au Covid-19, contrastant notamment avec une forte décollecte sur les contrats d'assurance vie.Les tendances sont globalement les mêmes si l'on prend en compte le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), qui a réalisé une collecte nette de 910 millions d'euros en novembre, contre un mois de collecte nette nulle en novembre 2019. En octobre 2020, le LDDS a par ailleurs connu une décollecte de 80 millions d'euros.À eux deux, le Livret A et le LDDS ont ainsi collecté plus de trois milliards d'euros en net en novembre, et plus de 35 milliards depuis le début de l'année.Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.À fin novembre, 446 milliards d'euros au total étaient placés sur les deux produits."En mettant sciemment leur argent sur leurs livrets d'épargne, les ménages flèchent et sécurisent une partie de leurs revenus à la différence de ceux laissés sur les comptes courants. Il y a une volonté manifeste à se constituer une réserve pour faire face à la survenue de problèmes d'emploi ou de revenus", pointe M. Crevel."Dans le contexte anormal de 2020, les ménages ne veulent pas s'engager sur le long terme et privilégient donc des produits liquides. Cette priorité pénalise le premier produit d'épargne français, l'assurance vie", ajoute cet analyste.
Il y a 4 ans et 138 jours

Emploi des jeunes : le Gouvernement prolonge les aides à l'embauche

APPRENTISSAGE. Au vu du contexte sanitaire et économique délétère qui perdure, la ministre du Travail Élisabeth Borne a annoncé que les aides gouvernementales à l'embauche des jeunes, qui devaient initialement s'arrêter au 31 janvier 2021, sont repoussées, vraisemblablement de plusieurs mois. De leur côté, les entreprises appellent à la mobilisation.
Il y a 4 ans et 138 jours

Grand prix Architendance 2020 : réinventer l'utilisation de la tuile terre cuite

Tous les deux ans, le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance - ouvert à tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France - récompense les projets qui utilisent la tuile terre cuite dans des réalisations de moins de 4 ans.Palmarès 2020Prix maison individuelle Grand Prix du juryMaison diamant, Rennes (35)MNM ArchitectesMaître d'ouvrage : particulierPrix logement collectifRésidence Terre-Sud, Bègles (33)Taillandiers Architectes AssociésMaître d'ouvrage : Vinci constructionPrix équipement/tertiairePôle social et culturel Gonzague Saint Bris, Cabourg (14)Lemoal Lemoal ArchitectesMaître d'ouvrage : Ville de CabourgPrix habitat intermédiaire7 maisons à patio, Esnandes (17)Architecte : FMAUMaître d'ouvrage : Office Public de l'Habitat de l'Agglomération de La RochellePrix des architectes sur FacebookGrange de vacances, Allan (26)@samueldelmas architectesMaître d'ouvrage : particulierPrix du public sur InstagramHalle de marché, Courbevoie (92)@Croixmariebourdon architectes associésMaître d'ouvrage : Ville de Courbevoie7 prix décernés par le jury, les architectes et le public67 agences étaient inscrites pour cette 5e édition du Grand prix d'architecture La Tuile Terre Cuite Architendance.12 finalistes ont été retenus par le jury présidé par Anne-Sophie Kehr, Présidente du Réseau des maisons de l'architecture.Le jury* a décerné 5 prix :Prix de la catégorie maison individuellePrix de la catégorie logement collectifPrix de la catégorie équipement/tertiairePrix de la catégorie habitat intermédiaire, catégorie créée par le jury cette année.Et un Grand Prix du Jury décerné à l'unanimité.Les 12 réalisations finalistes ont ensuite été proposées au vote des réseaux sociaux pour décerner 2 prix :Prix des architectes & étudiants en école d'architecture sur Facebook qui a réuni près de 3 000 votesPrix du Public sur Instagram qui a réuni un peu plus de 6 400 votesTrois critères sont pris en compte :Mise en valeur de la tuile terre cuite et originalité dans le traitement du toit/façade, innovation dans la mise en œuvre, esthétique contemporaine…Démarche et créativité architecturale : pertinence du projet, réponse aux enjeux de la construction durableQualité et performances du projet : technique, environnementale…« Les fabricants de tuile sont très attachés à ce concours car il est un lieu déchanges avec les architectes dont le regard et les attentes sont des sources surprenantes, décalées, et toujours intéressantes de réflexion de recherche et d'innovation »Jean-Baptiste Fayet, Président du Groupement des tuiliers de la FFTB
Il y a 4 ans et 138 jours

Les 7 éléments clés de l’aménagement d’une place

Ce qui ressort le plus dans l’aménagement d’une place, c’est que sa conception n’est qu’une petite fraction de ce qui entre dans sa composition. Pour qu’elle soit un succès, une place doit tenir compte d’une foule de facteurs qui vont au-delà de ses dimensions physiques.   Une image et une identité Historiquement, les places se trouvaient au centre des villes, et elles ont traditionnellement contribué à façonner leur identité. Parfois, une fontaine était utilisée pour donner à la place une image forte : pensez à la majestueuse fontaine de Trevi à Rome ! L’image de nombreuses places était étroitement liée aux grands édifices civiques situés à proximité, tels que les cathédrales, les hôtels de ville ou les bibliothèques. Aujourd’hui, créer une place qui devient le lieu le plus significatif d’une ville – qui donne une identité à des communautés entières – est un énorme défi.   Un lieu attractif Toute grande place est entourée de « lieux de rencontre ». Il peut s’agir de cafés en plein air, de fontaines ou de sculptures. Ces attractions n’ont pas besoin d’être grandes pour faire de la place un succès. En fait, certaines des meilleures places civiques disposent de nombreuses petites attractions telles qu’un chariot de vendeurs ou une aire de jeux qui, une fois réunies, attirent les gens tout au long de la journée.   Des commodités Une place doit être dotée d’équipements qui la rendent confortable pour les gens. Un banc ou une poubelle qui sont placés au bon endroit peuvent faire une grande différence dans la façon dont les gens choisissent d’utiliser un lieu. L’éclairage peut renforcer l’identité d’une place tout en mettant en valeur des activités, des entrées ou des chemins spécifiques. L’art public peut être un excellent moyen d’attirer les enfants de tous âges. Qu’il soit temporaire ou permanent, un bon aménagement contribuera à établir un cadre convivial pour l’interaction sociale.   Une conception flexible L’utilisation d’une place change au cours de la journée, de la semaine et de l’année. Pour répondre à ces fluctuations naturelles, il faut faire preuve de souplesse. Au lieu d’une scène permanente, par exemple, une scène rétractable ou temporaire pourrait être utilisée. De même, il est important de disposer sur place d’un espace de rangement pour les chaises, tables, parasols et jeux mobiles afin de pouvoir les utiliser à tout moment lors des événements.   Une stratégie saisonnière Une place prospère ne peut pas s’épanouir avec une seule stratégie de conception ou de gestion. Les patinoires, les cafés en plein air, les marchés, les expositions d’horticulture, l’art et la sculpture permettent d’adapter l’utilisation de l’espace d’une saison à l’autre.   Les accès Pour réussir, une place doit être facile d’accès. Les meilleures places sont toujours facilement accessibles à pied : Les rues avoisinantes sont étroites, les passages pour piétons sont bien marqués, les feux sont réglés pour les piétons et non pour les véhicules, la circulation est lente et les arrêts de transport en commun sont situés à proximité. Une place entourée de voies de circulation rapide sera coupée des piétons et privée de son élément le plus essentiel : les gens. Par ailleurs, les accès doivent être en bon état. Vous devez d’abord vous assurer que votre pavage est de qualité. Les rues pavées donnant accès à votre place doivent également être entretenues et nettoyées régulièrement pour que la circulation des passants soit agréable.   Une bonne gestion Les meilleurs endroits sont ceux où les gens reviennent sans cesse. La seule façon d’y parvenir est de mettre en place un plan de gestion qui comprenne et favorise les moyens de maintenir la place sûre et animée. Par exemple, un bon gestionnaire prend en compte les utilisateurs existants et potentiels et adapte les événements aux deux types de personnes. Il se familiarise tellement avec les habitudes d’utilisation du parc que les poubelles sont vidées au bon moment et que les stands de rafraîchissement sont ouverts au moment où les gens en ont le plus besoin. Le bon gestionnaire crée un sentiment de confort et de sécurité sur la place en l’entretenant de manière à ce que les gens se sentent assurés que quelqu’un est aux commandes.
Il y a 4 ans et 138 jours

Résultats de la 17ème édition des Pyramides d'Or de la FPI

Entièrement rénovées en 2016, sous l'impulsion d'Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI, les Pyramides sont centrées sur les sujets essentiels de la Fédération : innovation, qualité, performances techniques, esthétique, responsabilité dans la conduite des opérations, relation-client et émergence de nouveaux talents. Cette année le concours était présidé par Jean-Louis Borloo, ancien Ministre d'Etat. La cérémonie nationale de remise de prix de la 17ème édition du concours s'est tenue le 16 décembre 2020, en Web Live TV et a été ouverte par Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au Logement.« En se portant candidat au concours le plus exigeant du secteur, les promoteurs immobiliers adhérents de la FPI ont témoigné de leur engagement à mettre leurs méthodes et programmes en cohérence avec les transformations sociétales, numériques et environnementales, les mutations des usages et les attentes de leurs clients. Face à un contexte exceptionnel, nous avons tout fait pour maintenir ce concours, dans les régions et au niveau national, envers et contre tout...Nous avons pu nous appuyer sur nos partenaires fidèles, sponsors de chacun des prix, nos chambres régionales et nos adhérents. »Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI FranceLa Pyramide d'Or - Grand prix national - parrainé par SOCFIMLe lauréat est : « Asnières SO HO » de COGEDIM et COFFIM à AsnièresArchitecte : Yann FranconiePrix de l'immobilier d'entreprise - parrainé par SMABTPLe lauréat est : « MA.AT » de DEMATHIEU-BARD à ArcachonArchitecte : Laurent Portejoie – atelier d'architecture King Kong FivePrix de l'innovation industrielle - parrainé par le Groupement des Industriels de la Prescription (GIP)Le lauréat est : « Brazza – Les volumes capables » de EDEN PROMOTION à BordeauxArchitecte : Michel Hardoin- Atelier 6 ArchitecturePrix de la mixité urbaine - parrainé par Chevreuse CourtageLe lauréat est : « L'Etoffe » de NACARAT et NODI à Villeneuve d'AscqArchitecte : De Alzua ArchitectesPrix de la conduite responsable des opérations - parrainé par ApaveLe lauréat est : « Novadiem » de BOUYGUES IMMOBILIER à ToulouseArchitecte : Cobe ArchitecturePrix du bâtiment bas-carbone – parrainé par EDFLe lauréat est : « Origine » du Groupe CISN à Saint-NazaireArchitecte : Asa GimbertPrix des premières réalisations - parrainé par les Banques PopulairesLe lauréat est : « L'Eveil » de NEOPROMOTION à Castelnau-le-LezArchitecte : IPC Laurent BesnierPrix du grand public - parrainé par GRDFElection du lauréat en direct lors de l'émission en Web Live TV. Les participants de la cérémonie de remise de prix ont voté, en direct, parmi les 3 programmes suivants, sélectionnés par le jury national des Pyramides d'Or : « Paris Kyoto Babylone » de BOUYGUES IMMOBILIER, à Aix-les-Bains, architecte Chambre et Vibert « Le Bird » de KIC au Touquet, maître d'œuvre Projex Ingénierie « Lucinia », LE CREDIT AGRICOLE IMMOBILIER à Couëron, maître d'œuvre : Huca Architectes.Le lauréat est : « Le Bird » de KIC au Touquet,Maître d'œuvre : Projex IngénieriePrix BIM & Data – parrainé par SOCOTECLe lauréat est : « Les Terrasses de Jade » de LP Promotion à ToulouseArchitecte : Taillandier architectes Associés
Il y a 4 ans et 138 jours

A Avignon, un Opéra sous confluence signé DE-SO

Opéra Confluence est un théâtre hors les murs éphémère et durable de 1.520 m² SP et 950 places assises. Pour la Communauté d’agglomération Grand Avignon (Vaucluse), pour un coût de 1,8 M€ HT (hors équipements scénographiques récupérés), l’agence DE-SO architectes urbanistes a réalisé cet ouvrage réutilisable en moins d’un an. Communiqué. Le défi lancé par […] L’article A Avignon, un Opéra sous confluence signé DE-SO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 139 jours

Le Haut conseil pour le climat préconise un plan de relance compatible avec la neutralité carbone

Le gouvernement doit "renforcer la compatibilité du plan de relance avec l'objectif de neutralité carbone", recommande le Haut conseil pour le climat (HCC)/
Il y a 4 ans et 139 jours

Les perspectives du logement neuf en France s'améliorent légèrement en novembre

Entre septembre et novembre, 112.400 nouveaux logements ont été autorisés en France, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement.Certes, c'est une baisse (-3,9%) par rapport à un an plus tôt. Mais elle s'est nettement ralentie en un mois, ce qui témoigne donc d'une amélioration de la tendance en novembre.Les permis, qui donnent une idée de la tendance à venir pour le logement neuf, "ont pour la première fois légèrement dépassé le niveau moyen des trois mois précédant le premier confinement", remarque le ministère.Frappée par le strict confinement décrété au printemps par les autorités contre la propagation du nouveau coronavirus, la construction de logements s'était effondrée durant la période couvrant en gros le deuxième trimestre.Dans les mairies, l'examen des permis avait très largement été gelé, alors que les élus locaux tendaient déjà à nettement réduire leur nombre avant même la crise sanitaire. Sur le terrain, de nombreux chantiers s'étaient interrompus pendant des semaines.Le reconfinement en novembre n'a finalement pas été aussi néfaste à l'obtention de permis. En revanche, les mises en chantiers, qui témoignent du niveau réel de la construction, se sont ralenties. A 113.200 logements commencés entre septembre et novembre, elles reculent de 1,9% par rapport à un an plus tôt.
Il y a 4 ans et 139 jours

2021 : la transition entre CITE et MaPrimeRénov’ continue

La loi de finances pour 2021 a été publiée au Journal officiel du 30 décembre 2020. Parmi ses 271 articles, certains concernent l’amélioration énergétique des bâtiments, la transformation du CITE vers MaPrimeRénov’. Transformation du Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) (LF 2021 : art. 53 / CGI : art. 200 quater) Dans la continuité de la loi de finances pour 2020 qui a organisé une refonte du Crédit d’impôt pour la transition énergétique, des dispositions transitoires sont prévues jusqu’à l’extinction du CITE et son remplacement par MaPrimeRénov’. Les contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2018 et dont les travaux sont payés en 2020 peuvent bénéficier du CITE dans les conditions applicables avant 2020. Ces dispositions transitoires s’appliquant déjà aux contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2019 et dont les travaux sont payés en 2020. Le texte comporte également des mesures transitoires permettant le bénéfice du CITE dans sa version en vigueur en 2020, pour les dépenses payées en 2021 pour lesquelles le contribuable peut justifier de l’acceptation d’un devis et du paiement d’un acompte en 2019 ou en 2020. Dans ces deux cas, le contribuable ne peut pas cumuler, pour les mêmes dépenses, le CITE et MaPrimeRénov’. MaPrimeRénov’ : ajustement du dispositif (LF 2021 : art. 241 / Loi du 28.11.19 de finances pour 2020) Dans le cadre du plan de relance, le Gouvernement avait annoncé l’ouverture de MaPrimeRénov’ aux propriétaires-occupants aux revenus supérieurs, aux propriétaires-bailleurs et aux syndicats de copropriétaire. Les conditions de cet élargissement seront précisées par décret début janvier 2021. À noter que le régime MaPrimeRénov’ Copropriétés a quant à lui été défini par la délibération n° 2020-54 du Conseil d’administration de l’Anah du 2 décembre 2020 et publiée au bulletin officiel du 19 décembre 2020. Concernant les propriétaires aux revenus supérieurs, il est prévu qu’ils ne soient éligibles à la prime que pour certaines catégories de travaux et de dépenses financées, avec un barème différent des autres catégories de ménages. Aussi, l’article 15 de la loi de finances pour 2020 est modifié pour préciser que, jusqu’au 31 décembre 2022, par dérogation, la prime peut être distribuée sans conditions de ressources, selon la nature des travaux et les dépenses financées. Le plan de relance prévoit également que les ménages nouvellement éligibles à MaPrimeRénov’ à partir du 1er janvier 2021 puissent débuter leurs travaux dès le 1er octobre 2020. L’article 15 de la loi de finances pour 2020 est ainsi complété de manière à ce que l’attribution de la prime soit rétroactive au 1er octobre 2020. Cette rétroactivité est exprimée de la façon suivante : « entre le 1er janvier et le 31 décembre 2021, le bénéficiaire peut déposer une demande de prime après avoir commencé ses travaux ou prestations, sous réserve que ceux-ci soient justifiés par un devis réalisé entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, qu’ils aient été commencés au cours de cette même période, et que le bénéficiaire ne soit pas éligible à la prime (dans sa version antérieure) à la date de démarrage des travaux ou prestations ». Par ailleurs, pour éviter des cumuls entre MaPrimeRénov’ et le CITE pour les propriétaires occupants, entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, une disposition est prévue pour autoriser l’Anah à transmettre systématiquement à l’administration fiscale les informations dont elle dispose sur les bénéficiaires de MaPrimeRénov’. Dans la réalisation de cette communication, l’Anah ne peut pas se voir opposer l’obligation au secret professionnel. Enfin, un seuil en dessous duquel MaPrimeRénov’ ne sera pas versée car le montant serait trop faible au regard des coûts d’instruction, est instauré. Parallèlement, il est prévu la création d’un second seuil en deçà duquel l’Anah peut renoncer à recouvrer les sommes indûment perçues. Le montant de ces deux seuils sera précisé par arrêté conjoint des ministres chargés du Logement, de l’Énergie et du Budget.   Source : Anil  
Il y a 4 ans et 139 jours

Réglementation environnementale : le béton bas carbone bientôt obligatoire ?

Les professionnels du béton souhaitent un dialogue constructif concernant les arbitrages de la future réglementation environnementale 2020 (RE 2020). Ils mettent en avant les atouts de ce matériau pour réduire l’empreinte carbone dans le secteur du bâtiment. Le béton bas carbone pourrait devenir, à terme, une obligation. Une perspective qui ne satisfait pas tous les acteurs industriels. Les professionnels du béton souhaitent un dialogue éclairé Depuis les ultimes arbitrages relatifs à la future RE 2020, qui devrait entrer en vigueur à partir de l’été prochain, les discussions sont assez houleuses. Les débats ont vite opposé deux catégories d’industriels. La division est assez marquée entre les représentants de l’électricité et des matériaux biosourcés (comme le bois) d’une part et le secteur du gaz et des matériaux tels que le béton et l’acier d’autre part. Les représentants de la filière du béton considèrent qu’un « dialogue documenté » est nécessaire sur les différents enjeux de la réglementation environnementale 2020, et souligne que ce matériau contribuera fortement à la baisse de l’empreinte carbone dans le domaine de la construction. Il est vrai que différents paramètres peuvent faire varier les émissions, c’est le cas des matériaux, mais aussi des moyens de transport utilisés. Sur un chantier, le ciment est transporté par les véhicules poids-lourds. Ils se doivent d’être parfaitement entretenus. La batterie poids-lourds par exemple doit être parfaitement opérationnelle, tout comme les autres équipements du camion. Quoi qu’il en soit jusqu’à présent la question de définition d’un béton bas carbone reste épineuse. Qu’est-ce qu’un béton bas carbone ? Il n’y a pas de définition précise d’un béton considéré comme bas carbone. Toutefois, le poids carbone moyen du béton est d’à peu près 210 kgCO2e/m3 et la norme européenne indique un palier pour un ciment vert qui se situe à 174 kgCO2e/m3 de béton. Les professionnels du secteur ont travaillé pour se mettre d’accord sur ce que pourrait être une définition d’un béton bas carbone. À horizon 2030, un béton conforme aux exigences environnementales pourrait afficher une intensité carbone à hauteur de 135 kgCO2e/m3. D’ici 2050, de nouveaux matériaux devront être conçus pour parvenir à une neutralité carbone. Quels sont les ciments alternatifs ? Différents ciments constituent déjà de belles alternatives et correspondent à ces nouvelles normes comme ceux à base de métakaolins ou ceux qui emploient la géopolymérisation. Cette dernière technique permet de limiter la consommation d’énergie au cours de la production et les émissions de CO2. Ce ciment est très résistant et peut fixer des métaux lourds. Au sujet des ciments à base de métakaolins, une nouvelle norme devrait être fixée dès l’année prochaine pour augmenter le seuil de substitution de ciment. D’ailleurs, la société du Grand Paris a démarré plusieurs chantiers en intégrant les études réalisées avec le métakaolin. Le conseil supérieur de la construction appelle à une co-construction des normes De son côté, le Conseil supérieur de la construction souhaite des ajustements notables et appelle de ses vœux une co-construction des normes sur l’ensemble des règlementations à venir. En effet, la RE 2020 envisagée par le gouvernement, inquiète une part des professionnels qui redoutent une baisse des constructions neuves dès 2021.
Il y a 4 ans et 141 jours

Trump ordonne que les futurs bâtiments fédéraux soient "beaux"

Le décret présidentiel qui vise à promouvoir "une magnifique architecture fédérale citoyenne" spécifie que le style "classique" et les autres styles architecturaux "traditionnels" devront être "privilégiés plutôt que déconseillés" dans la construction de nouveaux bâtiments fédéraux.C'est notamment le style des plus célèbres monuments de la capitale américaine comme la Maison Blanche, le Capitole où siège le Congrès ou encore le Lincoln Memorial.Le gouvernement américain a "en grande partie arrêté de bâtir de beaux bâtiments" assure le décret, critiquant "le mélange disparate" de constructions publiques observable à Washington notamment celles édifiées après 1950.Dans sa première version, le texte prévoyait d'interdire la construction de bâtiments dans un autre style architectural que le style gréco-romain, provoquant un tollé chez certaines associations d'architectes. Bien que plus flexible, l'initiative a été vivement critiquée par l'association d'architectes de l'American Institute, qui s'est dite "consternée"."Les habitants devraient avoir le droit et le devoir de décider eux-mêmes du style d'architecture qui correspond le mieux à leurs besoins", a indiqué le directeur de l'organisation, Robert Ivy, dans un communiqué.Donald Trump, qui était promoteur immobilier avant de devenir président des Etats-Unis, s'est paradoxalement fait connaître par sa construction de bâtiments modernes faits de verre, d'acier et de moult moulures dorées.
Il y a 4 ans et 141 jours

Monchy-Saint-Éloi : extension du centre-bourg en vue

De nouveaux quartiers sont envisagés au niveau du domaine du château de Monchy-Saint-Éloi selon les projets de la municipalité.
Il y a 4 ans et 141 jours

Covid-19 : décès de l'architecte suisse Luigi Snozzi à 88 ans

Selon la télévision public RSI, M. Snozzi est mort la veille dans une maison de retraite de Minusio, dans la région italophone du Tessin.L'architecte a principalement travaillé dans sa région natale, avec des constructions caractéristiques basées sur le béton apparent."Toute intervention implique destruction. Il faut détruire consciencieusement, avec de la joie", déclarait-il souvent.Il faisait partie des figures éminentes de de l'école d'architecture au Tessin, aux côtés de ses confrères Mario Botta et Livio Vacchini, et défendait l'idée d'une architecture rationnelle.Ses principales créations de maisons, parmi lesquels les demeures Snider et Cavalli, à Verscio, sont les plus connues, ainsi que des projets de développement urbain, à l'image de celui réalisé dans le couvent de Monte Carasso.Luigi Snozzi a représenté l'Italie lors de la Biennale d'architecture de Venise en 1996 et remporté le prestigieux prix Meret Oppenheim en 2018, qui récompense les meilleurs artistes suisses.Il était également professeur à l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne.
Il y a 4 ans et 142 jours

Trois CFA sur quatre ont augmenté leur nombre d'apprentis en 2020

Cette hausse, plus forte chez ceux relevant du supérieur, est attribuée à la fois à la réforme de l'apprentissage de 2018, qui a libéralisé l'ouverture de centres, mais aussi au plan de relance de l'apprentissage décidé cet été avec le versement d'une prime aux employeurs (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 euros pour un majeur).Cette hausse est cohérente avec les indications du gouvernement qui a fait état de plus de 420.000 contrats d'apprentissage signés cette année, contre 368.000 l'année dernière.Par ailleurs, alors que le financement a été réformé, 46% des CFA estiment qu'ils seront à l'équilibre cette année, 22% en excédent budgétaire et 19% en déficit.Le financement des CFA repose depuis cette année sur une prise en charge de chaque contrat d'apprentissage: à chaque fois qu'un jeune en signe un, le centre perçoit une somme - appelée "coût contrat" - censée couvrir ses frais pédagogiques, selon un barème national par diplôme établi par France Compétences.Par ailleurs, 85% des CFA répondants ont fait évoluer leurs modalités pédagogiques à la rentrée 2020, principalement par la mise en place de formation en distanciel. Et plus de la moitié (54%) ont ouvert de nouvelles sections de formations, dont un quart de niveau Bac+2.Cette enquête a été réalisée en octobre auprès de 600 des 1.330 CFA enregistrés par l'Education nationale.
Il y a 4 ans et 142 jours

Le conseil municipal de Rouen vote symboliquement contre le contournement autoroutier de la ville

"Il serait irresponsable de continuer à soutenir des projets issus du +monde d'avant+ tel que le contournement Est de Rouen", peut-on lire dans cette motion du groupe EELV-Générations approuvée à 46 voix pour, dont celles du maire PS Nicolas Mayer-Rossignol, et de son groupe au conseil municipal. Seulement neuf voix se sont prononcées contre, celles de l'opposition, a précisé le service de presse de la ville. Personne ne s'est abstenue.Ce vote est symbolique car ce n'est pas la ville qui doit participer au financement de ce projet si il se concrétise mais la métropole de Rouen.Celle-ci s'était engagée avant les élections municipales de 2020 à le financer à hauteur de 66 millions d'euros, sur un total de 886 millions d'euros.Mais Nicolas Mayer-Rossignol s'est prononcé contre ce projet durant la campagne des municipales, alors qu'il était "pour" lorsqu'il présidait l'ex-région Haute-Normandie. Lundi il a confirmé à la presse pour la première fois depuis son élection comme maire et président de la métropole qu'il n'avait "pas changé d'avis" depuis les municipales.Le préfet a demandé par courrier aux collectivités de "solliciter la confirmation par délibération avant fin février de leur engagement financier". Le principal financeur du projet, l'État, a fait savoir qu'il n'imposerait pas le projet contre la volonté locale.Lancé il y a plus de 40 ans ce projet prévoit la construction de 41,5 km d'autoroute reliant l'A28 et l'A13. Il permettrait de désengorger Rouen en "détournant les milliers de camions" qui "n'ont d'autres solutions que de traverser le centre-ville de Rouen", selon une campagne de publicité de la Chambre de commerce et d'industrie de la métropole.Ses opposants soulignent qu'il entraînerait notamment la production de 50.000 tonnes de CO2 par an, soit la production de 50 jours de CO2 d'une zone de 700.000 habitants, et qu'"il existe une alternative moins coûteuse" et "plus soutenable": le contournement Ouest.La région Normandie (centriste) a de son côté confirmé à l'AFP qu'elle maintenait son financement à hauteur de 157 millions. Et le président LREM de la Seine-maritime s'est dit "à titre personnel" favorable au maintien du financement départemental, dans un communiqué.
Il y a 4 ans et 142 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2020

10 - Le Gouvernement valide les préconisations sanitaires proposées par les entreprises du BTP pour la reprise des chantiersLe Gouvernement et les organisations professionnelles des entreprises du BTP s’étaient engagés le 21 mars dernier à réunir les conditions d’une poursuite de l’activité du bâtiment et des travaux publics en sécurité pour les salariés. Cet engagement se concrétise par un guide de bonnes pratiques destinées aux entreprises du BTP diffusé depuis le 2 avril.Lire l'article9 - Le catalogue Collections d'extérieurs 2020 Bradstone et Carré d'Arc vient de paraîtrePaysagistes et particuliers accueillent toujours avec la même curiosité créatrice le catalogue annuel Collections d’extérieurs édité par Fabemi, richement fourni en dallages, pavages et accessoires des marques BRADSTONE et CARRÉ D’ARC. Sans oublier les produits de finition IDÉAL JARDIN qui déclinent leurs qualités et fonctions en fin d’ouvrage, suivis du Cahier technique dédié à la pose et à l’entretien.Lire l'article8 - Mise à jour des préconisations de sécurité sanitaire concernant le port de masques sur les chantiersLe Ministère du Travail vient d'informer l'OPPBTP de l'avis suivant de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) sur les conditions d'utilisation des masques alternatifs.Lire l'article7 - Coronavirus : Le bâtiment et le gouvernement proches d'un accord pour les chantiersLe ton se calmait vendredi entre le gouvernement et le secteur du bâtiment, après plusieurs jours de désaccord sur la nécessité ou non d'interrompre les chantiers face à la crise du coronavirus, les deux parties se disant proches d'un accord.Lire l'article6 - Coronavirus : Le BTP et le gouvernement trouvent un accord pour la poursuite des chantiersLe gouvernement et les professionnels du bâtiment et travaux publics ont annoncé samedi avoir trouvé un terrain d'entente afin de maintenir l'activité de la plupart des chantiers malgré l'épidémie de coronavirus.Lire l'article5 - Quelles sont les attentes des Français en matière de logement et d'aménagement intérieur ?L'Association QUALITEL publie la quatrième édition de son Baromètre annuel consacré à la Qualité du logement, en partenariat avec Ipsos. Cette étude de grande ampleur – 2600 personnes interrogées – mesure les attentes des Français en matière de logement et d'aménagement intérieur.Lire l'article4 - Les professionnels sidérés par les nouvelles règles d'urbanisme qui menacent la construction de logementPlusieurs ordonnances prises en application de la loi sur les mesures d'urgence liées à la crise du Coronavirus, adoptée le 22 mars dernier, viennent d'être publiées. La LCA-FFB alerte sur certaines d'entre elles qui menacent de porter un coup d'arrêt brutal à la filière bâtiment pour les six prochains mois.Lire l'article3 - Covid-19 : Les PME alertent sur les refus de chômage partiel malgré les promesses du gouvernementLa Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a alerté mercredi sur l'augmentation des cas de refus de chômage partiel, malgré l'élargissement de ce dispositif par le gouvernement pour préserver l'emploi face à la crise actuelle induite par le coronavirus.Lire l'article2 - Le secteur du bâtiment s'insurge contre la décision du gouvernement de poursuivre les chantiersFace à la crise du coronavirus, le conflit s'aggrave depuis plusieurs jours entre le secteur du bâtiment et le gouvernement: les professionnels veulent arrêter leurs chantiers, mais les autorités insistent pour maintenir une activité économique jugée essentielle.Lire l'article1 - En quoi le nouveau Diagnostic de Performance Énergétique est-il inédit ?Auparavant un diagnostic destiné à informer sur la performance énergétique du bien, voire à encourager le potentiel acquéreur à réaliser des travaux de rénovation énergétique, le Diagnostic de Performance Énergétique (D.P.E.) deviendra le 1er juillet 2021 l'outil de référence dans la lutte contre les logements les plus énergivores et les plus polluants. Qu’est-ce qui va changer et quel sera l’impact sur le secteur de l’immobilier ?Lire l'article
Il y a 4 ans et 143 jours

Construction du poste de sécurité de l'hôpital de Montreuil (93) : un cube de bois habillé de verre rouge

Le prolongement vers l'est de la ligne 11 de métro parisien constitue un atout pour le Centre Hospitalier Intercommunal André Grégoire de Montreuil (93) qui se verra desservi par une nouvelle station, juste devant l'établissement. Mais, parmi les contreparties, avant le lancement des travaux du métro mi-2016, l'hôpital a dû notamment déplacer son poste de sécurité incendie et anti-malveillance situé dans l'emprise du chantier et en construire un nouveau.Lauréate du concours d'architecture lancé au cours du premier trimestre 2014, l'agence SCP Truelle Architectes est rompue aux projets de construction et de rénovation dans le secteur médico-social dont elle a fait sa spécialité : l'essentiel de son activité porte sur le logement social, les établissements hospitaliers, les maisons de retraite…Construire en filière sèche« Pour ce petit bâtiment d'environ 150 m2 nous avons choisi la forme simple d'un cube, décrit Elisa Bellec, architecte associée de l'agence Truelle. Ce qui a guidé nos réflexions, outre de répondre du mieux possible aux attentes de l'hôpital, a été de penser un bâtiment d'accès bien visible, repérable de loin, identifiant clairement l'entrée de l'hôpital. Ce cube est prolongé par un portique qui vient se raccorder à un bâtiment existant. » La nouvelle construction se rend encore plus visible en se teintant de rouge.Dès la phase du concours, l'option de construire en filière sèche est privilégiée afin de réduire la durée d'intervention sur le site ainsi que les nuisances de chantier. Le choix se porte sur une ossature bois à faible empreinte carbone en panneaux de bois lamellé croisé (CLT cross laminated timber). Cette structure préfabriquée de deux niveaux sera posée sur les fondations en béton par l'entreprise Paris Charpente en seulement trois jours, à l'aide d'une grue mobile.La façade sera revêtue d'un matériau brillant, robuste et de qualité. Dès la conception, Elisa Bellec s'adresse à Sto, dont elle apprécie le système de façade StoVentec Glass. Ce bardage ventilé à fixations invisibles est constitué de panneaux de verre émaillé de 6 mm d'épaisseur collés sur une plaque en mortier de granulats composé de verre recyclé. Les panneaux sont mis en œuvre par emboîtement de rails agrafes en aluminium sur un réseau de rails horizontaux en aluminium.Pour animer la forme simple du bâtiment, l'architecte choisit dans la gamme de couleurs proposée par Sto trois teintes de rouges (RAL 3016, 3020, 3013) et un orange (RAL 2000) pour le portique. Les panneaux de tailles et de couleurs différentes sont répartis de façon aléatoire sur la façade. Au total, ce sont 227 panneaux tous différents qui seront livrés par Sto.Une première sur ossature boisLe titulaire du lot Bardage est Socateb, une entreprise expérimentée qui connaît bien les produits Sto. Une chance pour cette première mise en œuvre de StoVentec Glass sur un support en bois. En effet, l'Avis Technique du système n'admettait alors que des supports en maçonnerie ou en béton banché.« Pour adapter la mise en œuvre du StoVentec Glass sur une structure bois CLT, nous avons échangé avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), le bureau de contrôle et le service technique de Sto », explique Antoine Monnot, responsable du département bardage-vêture de Socateb.La technique mise au point sur ce chantier est désormais intégrée dans l'Avis Technique du système.A partir d'un échafaudage tubulaire autostable, qui ne présente aucune fixation sur la structure bois, est d'abord mis en place un pare-pluie qui enveloppe tout le bâtiment. Il évite la migration de l'humidité dans le bois. Des chevrons de 188 mm x 75 mm sont ensuite fixés verticalement avec un entraxe de 60 cm à l'aide de vis traversantes.« Ces dimensions imposantes sont nécessaires pour respecter une lame d'air de 2 cm », justifie Antoine Monnot.En effet, des panneaux de laine de verre de 16 cm d'épaisseur sont glissés entre ces montants et maintenus à l'aide de griffes Dentifix (Etanco), évitant ainsi de perforer le pare-pluie. La face avant des chevrons est protégée par une bande EPDM.Les rails en aluminium supports du parement peuvent alors être vissés sur la structure verticale en chevrons, selon l'entraxe défini par Sto en fonction des spécificités du chantier. Il reste enfin à agrafer les 227 panneaux de verre émaillé en respectant scrupuleusement le calepinage et en réservant des joints ouverts de 8 mm entre panneaux. Après le réglage de l'horizontalité du rail support, chaque panneau est ajusté par des vis de réglage et est bloqué à l'aide de goupilles.« Le plus compliqué a été le réglage des panneaux dans le plan, car les montants en bois fixés directement sur l'ossature en OSB ne laissent aucune marge, observe Antoine Monnot. Nous avons dû parfois raboter ou caler pour assurer un alignement parfait. »Les encadrements des fenêtres sont habillés de tôle d'aluminium laquée rouge ou orange, comme les couvertines des acrotères.Les 295 m2 de façade ont été réalisés en un mois par trois compagnons de l'entreprise Socateb.Après quatre ans, les occupants du poste de sécurité se disent très satisfaits du confort thermique de leur nouveau lieu de travail. Le couple construction bois – bardage StoVentec Glass se montre efficace.
Il y a 4 ans et 143 jours

Le calcaire, ennemi des canalisations

On dit qu’une eau est dure lorsque sa concentration en calcaire est importante. S’il n’est pas dangereux pour la santé, le calcaire peut causer des dégâts au niveau des canalisations. Avec le temps, la présence de calcaire peut fortement endommager la tuyauterie et les canalisations. Comment limiter les dégâts ? Eau pure, eau dure : le rôle de l’adoucisseur d’eau Une eau dure est la conséquence d’un taux de calcaire élevé. Son titre hydrotimétrique (TH), qui sert à mesurer la quantité de magnésium et de calcium, est supérieur à 150 milligrammes. La concentration en calcaire dans l’eau diffère d’une région à une autre. Elle est plutôt élevée du côté des Alpes et dans le Nord. Ainsi, renseignez vous sur la dureté de l’eau dans la zone d’habitation de vos clients afin de leur proposer l’adoucisseur la plus adapté à leur utilisation. Avant de vous installer dans une région en tant qu’artisan, renseignez-vous sur la dureté de l’eau du robinet. Vous pourrez ainsi prendre vos dispositions et éventuellement installer un adoucisseur d’eau chez vos clients en suivant ce lien afin d’obtenir une eau pure à votre domicile. Une eau dure n’est pas dangereuse pour la santé, mais est inconfortable au quotidien. Le calcium et le magnésium sont des éléments que nous pouvons retrouver dans les aliments que nous consommons habituellement. Elle permet de prévenir notamment les maladies cardiovasculaires. Le seul souci qu’on pourra constater est qu’elle a tendance à assécher la peau. Mais c’est au niveau des canalisations que le calcaire pose le plus de problèmes. Le calcaire : quelles conséquences sur les canalisations ? L’eau calcaire est à l’origine des dépôts calcaires aussi appelés tartre. Ceux-ci se forment lorsque l’eau chauffe ou s’évapore. Plus ils s’accumulent, plus les canalisations s’obstruent. Le débit de l’eau s’en verra alors réduit ou l’eau aura du mal à sortir des tuyaux. Le tartre a des conséquences négatives sur les machines puisqu’il va augmenter leur consommation en énergie. Sur le long terme, il peut réduire leur durée de vie et les endommager. Un chauffe-eau entartré, par exemple, mettra plus de temps à chauffer l’eau. Il va sans dire que la facture d’énergie risque d’être plutôt salée. Pour la machine à laver, en raison des dysfonctionnements causés par le tartre, vous utiliserez davantage de poudre à lessiver. Le calcaire diminue en effet l’action des produits d’entretien, ce qui conduit à augmenter la dose nécessaire. Enfin, l’utilisation d’une eau dure au quotidien est néfaste pour l’environnement. D’abord parce que les résidus des produits utilisés pour le détartrage se retrouvent dans les eaux usées. Ensuite, les appareils électroniques endommagés par le tartre qui finissent dans les déchetteries ne cessent d’augmenter. Un adoucisseur d’eau pour éviter les dépôts de calcaire Pour éviter d’engager de grosses dépenses, il faut diminuer au maximum la formation de tartre dans les canalisations. Pour ce faire, il faut contrôler la dureté de l’eau. Le meilleur moyen d’y parvenir est d’avoir recours à un adoucisseur d’eau. Comme son nom l’indique, ce dispositif réduit le TH de l’eau, donc la rend plus douce. Sa concentration en calcaire sera ainsi amoindrie et les dépôts seront moins importants. Pour limiter les dégâts, adoptez également les bons gestes. L’entretien régulier des canalisations est conseillé. L’utilisation de produits chimiques très corrosifs est le moyen le plus rapide et le plus efficace. Ceux-ci ne sont toutefois pas éco-responsables. Vous pourrez toujours vous diriger vers des produits plus naturels et respectueux de l’environnement. On pourra citer à ce titre le vinaigre blanc, le bicarbonate de soude ou encore le jus de citron.
Il y a 4 ans et 144 jours

Le groupe Isoweck s’inscrit pleinement dans l’efficacité énergétique et vise 300M€ de chiffre d’affaires d'ici 5 ans

Cette nouvelle stratégie, qui sera opérationnelle dans les prochains mois, placera le groupe Isoweck comme un interlocuteur incontournable lors des projets de rénovation énergétique.Avec un chiffre d’affaires de 90 millions d’euros réalisé sur l’exercice écoulé, le groupe national Isoweck, aux racines territoriales fortes en Nouvelle-Aquitaine, affiche de grandes ambitions et vise un chiffre d’affaires de 300 millions d’euros d’ici 5 ans. Fort de ses 40 ans d’expérience, il sait aujourd’hui appréhender les enjeux de l’efficacité et de la transition énergétique et ambitionne désormais de devenir un acteur important de la rénovation globale. C’est pourquoi il s’oriente vers des projets globaux dans l’optique d’accompagner de bout en bout les acteurs professionnels (bailleurs sociaux, collectivités locales, établissements de santé, collectivités de copropriété…), dans la réduction significative de consommation d’énergie au sein de leurs locaux.Une Stratégie ancrée dans la rénovation énergétiqueFondamentalement engagé dans la transition écologique, le groupe Isoweck cherche sans cesse à améliorer la performance énergétique des bâtiments. Dans le cadre de l’évolution de sa stratégie en profondeur, il prévoit notamment de proposer l’ensemble des prestations nécessaires à la rénovation énergétique de structures dans leur globalité, afin de réduire toute surconsommation d’énergies. Le groupe Isoweck, également fabricant de laine de coton biosourcée, proposera prioritairement à ses clients d’utiliser des produits biosourcés respectueux de l’environnement.Dans les prochains mois, son plan de développement sera totalement opérationnel, comme en témoigne Christophe Weck, Président du groupe Isoweck : « La mise en œuvre de ces projets débutera en 2021. Nous privilégierons un accompagnement haut de gamme de nos clients professionnels et particuliers afin que ceux-ci puissent réaliser l’ensemble de leurs projets de rénovation de leurs bâtiments en toute confiance avec un minimum d’efforts de leur part. »Le groupe Isoweck recrute pour accompagner ses projets ambitieuxMalgré une année économiquement difficile en raison de la crise sanitaire, les douze derniers mois ont néanmoins été rythmés par plusieurs campagnes d’embauches au sein du groupe en vue d’accompagner ses projets et répondre aux besoins grandissant en termes de rénovation énergétique, tout en soutenant le plan de relance économique de la France. Depuis mai dernier, 34 collaborateurs ont rejoint les équipes à des postes de commercial, assistant en administration des ventes, en passant par les services supports, passant à 240 le nombre de salariés total. Le groupe Isoweck maintient d’ailleurs son objectif d’accueillir 20% d’employés supplémentaires d’ici fin 2021. Les offres seront prochainement mises en ligne sur le site de Régions Job.Les valeurs familiales d’Isoweck sont toujours bel et bien ancrées dans son développement : « Nous plaçons l’humain au cœur de nos préoccupations et apportons une attention toute particulière à chaque nouveau collaborateur afin d’assurer sa réussite et son épanouissement tout au long de son parcours chez Isoweck. De plus, il nous semble important, en cette période trouble liée à la crise sanitaire, de répondre présents avec nos moyens, via des emplois pérennes et non délocalisables. C’est ainsi que nous concevons le rôle social de l’entreprise. » indique Christophe Weck, Président du groupe.Un Groupe au cœur des solutions d'économies d'énergiesLe groupe propose des solutions globales permettant d’améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments et des habitations. Celles-ci s’étendent de la fabrication d’isolant biosourcé jusqu’à la valorisation de Certificats d’Economies d’Energies (CEE), en passant par la réalisation de travaux d’économies d’énergies pour les professionnels et les particuliers. Le groupe s’ancre donc pleinement dans le volet écologique du plan de relance de la France, dont l’objectif est d’amplifier l’efficacité des aides à la rénovation énergétique et également de renforcer les mesures de soutien à la rénovation globale. Le groupe Isoweck a donc de belles perspectives d’avenir !
Il y a 4 ans et 144 jours

Qu’est-ce que l’éclairage de sécurité ?

Pour l’aménagement d’un espace professionnel ou d’un établissement de grande envergure (ERP et ERT), ouvert à tout public, il y a des normes et des règlementations à respecter. Elles concernent notamment la mise en place des escaliers de secours, des systèmes de protection anti feu, mais également l’éclairage de sécurité. Mais qu’est-ce réellement que l’éclairage de sécurité ? Quelle est son importance ? Des balises pour montrer le chemin Sans faire de chichi, on peut dire que l’éclairage de sécurité consiste à mettre en place des balises lumineuses afin de montrer les chemins d’évacuation. Dans la vie de tous les jours, ce sont les signalisations au sol, les indications en hauteur pour indiquer les escaliers ou les portes de secours, etc. Ce peut être également les balises lumineuses qui indiquent les déviations ou les aménagements de l’immeuble en question. L’installation de ces systèmes fait partie des normes de construction et d’aménagement des bâtiments tout publics (ERP et ERT). Et bien évidemment, la mise en place n’est pas ouverte à l’amateurisme. Il y a en effet différents réglages à faire, variant selon le modèle d’éclairage de sécurité que vous avez choisi. Une question de sécurité et de confort des usagers Comme son nom l’indique, les éclairages de sécurité servent à assurer la sécurité des usagers en permettant l’évacuation. Mais ils permettent aussi de faciliter l’utilisation des bâtiments. Ils servent généralement pour l’évacuation des personnes en cas de danger. Mais bien évidemment, ils sont toujours allumés. Il est évident que les éclairages de sécurité ont connu quelques modifications au cours des dernières années. Notamment, désormais, les grandes marques qui proposent ce genre d’équipement utilisent uniquement du LED. C’est moins énergivore, donc plus modique à l’utilisation et plus écologique. Mais c’est tout aussi efficace. Les différents types d’éclairage de sécurité L’éclairage de sécurité peut se décliner en plusieurs types et fonctions, suivant l’aménagement et les dimensions des locaux. Mais le plus courant en termes de sécurité reste l’éclairage d’évacuation. Ce sont notamment les panneaux et signalisations LED qui indiquent les sorties de secours. Ils peuvent se trouver en hauteur, ou être directement fixés au sol (uniquement dans les parkings souterrains). En tous cas, il doit y en avoir à chaque changement de direction et tous les 15 m maximum. Selon les normes en vigueur, un équipement de 45 lumens est de rigueur afin d’en garantir la visibilité. Des éclairages de sécurité même pour les immeubles résidentiels La règlementation impose l’installation d’un éclairage de sécurité dans certains types de bâtiments résidentiels. Il n’en demeure pas moins que leur utilité est évidente. Aussi, les entreprises spécialisées dans ce domaine proposent depuis quelques années des blocs de signalisation pour les immeubles d’habitations. Ce peut être pour souligner la présence d’escalier, voire d’un système d’évacuation en cas de problème.
Il y a 4 ans et 144 jours

Les réseaux de chaleur et de froid sont 2 fois plus verts qu'il y a 10 ans, mais les défis restent nombreux

2009 – 2019 : une filière métamorphosée avec deux fois plus d'énergies renouvelables et de récupérationL'édition 2020 (données 2019) de l'enquête[1] révèle que la part de chaleur verte, à travers les énergies renouvelables et de récupération (EnR&R), a doublé dans le mix énergétique des réseaux de chaleur, passant de 31% en 2009 à 59,4% en 2019 grâce au verdissement des réseaux existants et à la création de nouveaux réseaux vertueux.Cet important verdissement des livraisons de chaleur et de froid a eu pour effet d'améliorer considérablement l'empreinte carbone des réseaux avec une diminution de 44% pendant cette période. Aujourd'hui, le contenu moyen en CO2 des réseaux s'élève seulement à 0,107 kg /kWh.Un réel soutien du Fonds Chaleur de l'ADEMECette évolution s'explique notamment grâce au soutien du Fonds Chaleur de l'ADEME, qui, en 11 ans, a investi près de 900 M€ pour soutenir la création, le verdissement et l'extension de plus de 1000 réseaux de chaleur et de froid. Cet outil, devenu incontournable pour accélérer le lancement de projets décarbonés, a ainsi rendu possible la production de plus de 31 TWh d'EnR&R.Pour Fabrice Boissier, « Près de 40% des aides du Fonds Chaleur sont attribuées aux réseaux, hors installations de production, et l'ADEME a accru ces dernières années son soutien à la filière. L'un des enjeux majeurs est de poursuivre la dynamique de verdissement des réseaux. Depuis cette année, les réseaux aidés par le Fonds chaleur doivent - sauf exception - atteindre un taux minimum de 65% d'EnR&R ».Les réseaux de chaleur vertueux maintiennent leur compétitivité, mais l'équilibre reste fragile dans le contexte du coût historiquement bas des énergies fossilesLe prix de vente moyen de la chaleur distribuée par réseau s'établit à 74,6 €HT/MWh en 2019 et reste donc stable par rapport à l'année 2018 (+1,2%). Grâce à la TVA à taux réduit, les réseaux vertueux sont compétitifs par rapport aux réseaux qui ne sont pas encore alimentés à plus de 50% par des énergies renouvelables et de récupération (EnR&R).En considérant le coût de chauffage global annuel d'un logement moyen (facture énergétique + coût de maintenance + amortissement des investissements), les réseaux de chaleur restent compétitifs par rapport aux solutions de chauffage électrique et au gaz en 2019. Chauffer un logement moyen alimenté par un réseau de chaleur avec un taux d'EnR&R supérieur à 50% coûte 1.238 € par an. En comparaison, le coût annuel global de chauffage pour logement similaire alimenté en gaz collectif est de 1.443 € et celui d'un logement alimenté par une pompe à chaleur individuelle s'établit à 2.028 €.2020-2030 : l'atteinte des objectifs reste soumise aux conditions économiques et réglementairesMalgré les très bons résultats affichés par la filière en 2019, le rythme actuel de développement des réseaux de chaleur est deux fois inférieur à celui qui serait nécessaire pour atteindre l'objectif fixé pour 2030, à savoir la multiplication par cinq des quantités de chaleur livrée depuis 2012. Cela revient à tripler les livraisons de chaleur renouvelable dans les dix prochaines années.Toute la filière s'est mobilisée en 2019 dans le cadre du groupe de travail ministériel et porte aujourd'hui un certain nombre de mesures visant à poursuivre le déploiement des réseaux vertueux dans les territoires. C'est notamment le sens de l'action co-pilotée par AMORCE, le Cerema et l'ADEME auprès des villes de plus de 10.000 habitants ne bénéficiant pas encore des avantages d'un réseau de chaleur, qui donne déjà des premiers résultats.Pour Nicolas GARNIER, Délégué général d'AMORCE « Nous proposons aussi la mise en œuvre d'un plan « Facteur 5 » dans les métropoles et les communautés urbaines où les réseaux de chaleur renouvelable peuvent encore se développer. AMORCE avait salué l'augmentation de l'enveloppe du Fonds Chaleur et de l'évolution des règles de soutien dans le cadre du groupe de travail ministériel qui se révèlent indispensables compte tenu de la conjoncture économique actuelle et de la baisse des prix du gaz. Il est en effet indispensable que l'ensemble des voyants restent au vert pour répondre aux objectifs fixés pour 2030. Mais il faut surtout que la chaleur renouvelable et les réseaux de chaleur soient bien intégrés dans les arbitrages qui seront pris dans le cadre de réformes en cours, au risque de se faire au détriment des territoires mobilisés pour développer une solution chauffage plus économique, plus locale et plus respectueuse de l'environnement ».Pour Aurélie LEHERICY, Présidente du SNCU « Étant donné la multiplication des technologies disponibles au cours des 10 dernières années (biomasse, géothermie, etc.), toute la filière, avec l'ensemble des collectivités, entend accélérer dans la transition vers une chaleur toujours plus renouvelable. Cet objectif passera probablement par le développement des réseaux de chaleur existants dans les grandes villes mais aussi, enjeu clé de la décennie, par la multiplication de nouveaux réseaux vertueux dans les villes de plus de 10 000 habitants. A ce jour, plus de la moitié d'entre elles ne sont toujours pas équipées ! Ces ambitions se réaliseront sous certaines conditions : le budget et les conditions d'attribution d'aides du Fonds Chaleur devront suivre les ambitions de la filière ; la chaleur renouvelable devra rester compétitive par rapport aux énergies fossiles ; le cadre législatif et réglementaire devra également rester stable et cohérent ; sans oublier le fait que la réalisation d'une trajectoire carbone se devra d'être socialement juste. Tous les acteurs de la filière sont déterminés pour avancer et accompagner les collectivités dans le déploiement de la technologie la plus ajustée aux besoins de leurs territoires. ».Réseaux de froid urbains : atteindre 3 TWh à horizon 2028La décennie 2020 sera celle du nécessaire développement des réseaux de froid. Selon les objectifs fixés par la PPE 2028, leur livraison de froid doit atteindre 3 TWh au terme des 8 prochaines années. En effet, alors que les épisodes de canicule vont devenir fréquents dans un contexte de vieillissement de la population, les collectivités urbaines vont devoir proposer des solutions efficaces et durables dans un espace limité et extrêmement contraint en milieu urbain afin de parer les phénomènes d'îlots de chaleur. Il ne s'agit plus d'un sujet de confort pour les occupants mais d'un enjeu sanitaire pour les populations.Selon la Présidente du SNCU « Afin d'atteindre les objectifs de la PPE, il est important de définir au niveau européen ce que l'on entend par froid renouvelable. Cette définition commune permettra d'enclencher le basculement collectif vers les réseaux de froid, une solution technique encore trop discrète. Parallèlement à l'appui européen et au nécessaire cadre réglementaire stable et non discriminant par rapport aux solutions autonomes, le soutien du Fonds Chaleur est primordial. Alors que les réseaux de froid sont présents dans son périmètre depuis 2018, seule la moitié des projets ont en effet reçu une aide de sa part. La filière est prête à accélérer, elle n'attend que les conditions favorables pour cela ! ».Les chiffres clés 2019 vs 2009Réseaux de chaleur 2009 – 2019798 réseaux enquêtés (418 en 2009) +90%5 964 km de longueur desservie (3 321 km en 2009) +80%25,6 TWh de chaleur livrée (23,4 TWh en 2009) +10%40 993 bâtiments raccordés (24 061 en 2009) +70%2,37 millions d'équivalents logements raccordés (2,04M en 2009) +22%59,4 % d'EnR&R dans le mix énergétique (31% en 2009) +91%0,107 kg /kWh de contenu en CO2 (0,190 en 2009) -44%Prix de vente moyen de la chaleur renouvelable et de récupération livrée par les réseaux : 74,6 €HT/MWh (60,2 €HT/MGh en 2009) +24%Réseaux de froid 2009 - 201924 réseaux (14 en 2009) +71%0,96 TWh de froid livré (0,93 TWh en 2009) +3%239 km de longueur desservie (131 km en 2009) +82%1 339 bâtiments raccordés (870 en 2009) +53%[1] L'enquête annuelle sur les réseaux de chaleur et de froid est une enquête statistique réalisée chaque année par le Syndicat national du chauffage urbain et de la climatisation urbaine (SNCU) avec le concours de l'association AMORCE, pour le compte du Service de la donnée et des études statistiques (SDES) du ministère de la Transition écologique. Cette année, l'enquête propose un parallèle entre les données 2009 et 2019, correspondant au dixième anniversaire du Fonds Chaleur géré par l'ADEME
Il y a 4 ans et 144 jours

Delta Dore crée le pole Smart IoT Solutions, une nouvelle étape dans l’interopérabilité au profit de la smart home

Fort d’un savoir-faire reconnu et de l’écosystème le plus large pour le pilotage des équipements de la maison, Delta Dore passe à la vitesse supérieure. Le groupe structure l’ensemble de ses activités IoT et Smart Home en créant l’entité Smart IoT Solutions. A destination de tous les professionnels de l’habitat, ce nouveau pôle est composé de trois piliers : « Your IoT », « Your services » et « Your interface ». L’objectif ? Accompagner les industriels à chaque étape de la transformation digitale de leurs offres de produits & services pour les logements, de la création, à l’exploitation, en passant par la conception. Delta Dore entend ainsi conforter son expertise et être moteur dans les prochaines grandes étapes de l’écosystème IoT.Avec 38 milliards d’objets connectés à internet dans le monde en 2020 (+ 285% par rapport à 2015 – source : IDC), l’univers IoT fait partie du quotidien, et particulièrement pour la maison qui ne cesse d’évoluer au fil des années. A titre d’exemple, les appareils d’équipement de la maison représentent à eux seuls 57 % des ventes d’objets connectésen 2020.Cette multitude d’équipements et d’écosystèmes soulève un point : comment garantir uneexpérience simple et intuitive autour de la smart home ?Une question qui impacte autant les industriels (concevoir des équipements pilotables à distance) que les utilisateurs finaux (interagir de manière fluide sur une interface unique donnant accès à un grand nombre de solutions).« L'avenir de la maison intelligente nécessitera l'interopérabilité et la collaboration de nombreux écosystèmes, et plus largement une unification de l'expérience utilisateur. Notre ambition est de concevoir des solutions améliorant le confort de chacun, sécurisant l’habitat et participant à la transition énergétique. Nous entendons renforcer nos collaborations avec nos clients et partenaires technologiques. Nous voulons accompagner nos clients industriels dans l’évolution de leurs offres, par exemple en les aidant sur des aspects tels que la connectivité. Cela implique également l’interopérabilité de nos offres avec celles d’autres acteurs du marché, y compris de nosconcurrents » explique Stéphane Lemerle, Directeur du pôle Smart IoT Solutions.Delta Dore, le partenaire de choix dans la transformation digitale de l’habitatAvec une expertise de 50 ans dans la fabrication de solutions et dans la conception de produits en marque blanche, Delta Dore a su s’imposer sur le segment de la smart home avec près de 250 000 box domotique Tydom vendues.2020 : un nouvel ancrage dans l’Internet des objets et la transformation digitale de l’habitatLes attentes des clients et partenaires, l’évolution des usages, combinées à la force de l’écosystème smart home Delta Dore le plus large du marché, a naturellement amené la marque à structurer son expertise avec la création du pôle Smart IoT Solutions.L’équipe est composée de divers profils : ingénieur, architecte IoT, UX designer, chef de projets dédiés, développeur travaillant en mode agile. Sa mission est d’accompagner dans la transformation digitale de leurs offres les gestionnaires immobiliers, les fournisseurs de services d'énergie, les fabricants d'équipements, les constructeurs de maisons, les sociétés de maintenance, les agrégateurs d'énergie, les fournisseurs de services…Smart IoT Solutions : une activité pensée pour chaque étape de la Smart Home« Smart IoT Solutions se met au service de nos clients, leur apportant une expertise et des solutions qui leur permettent d’accélérer tout en conservant l’entière propriété de leurs données et la primauté de leurs contacts clients. Smart IoT Solutions aide à créer de la valeur, pas à en prendre », développe Stéphane Lemerle.Le groupe applique une stratégie claire et sur-mesure au service des professionnels avec comme objectif principal : créer de la valeur auprès de leurs clients.Au travers de trois offres complémentaires, Delta Dore propose ainsi un accompagnement unique sur le marché, allant de la conception de devices, à la proposition de nouveaux services et jusqu’à la création des interfaces.Your IoT : des solutions pour entrer ou évoluer dans le monde de l’IoT, via la création ou laréutilisation de devices, et connecter et piloter facilement ses équipements (connecteurs,box domotiques et digitalisées, modules, logiciels...) via une plateforme IoTYour services : une offre de services accessible via la plateforme IoT de Delta Dore pourapporter une valeur ajoutée aux fonctions à destination des utilisateurs.Your Interface : réalisation d’interfaces et applications smartphones sur-mesure pour unemeilleure expérience client (possibilité de pilotage via des assistants vocaux, large gammede télécommandes et switches connectés...)> ELM LEBLANC : offrir de nouveau services grâce à l’intégration de protocole radioLe système Optibox permet aux bailleurs sociaux et entreprises de maintenance de piloter et superviser, à distance, un parc de chaudières. Il permet aussi de proposer aux utilisateurs finaux, de nouveaux services comme le suivi des consommations.« Notre projet était un challenge technique qui a été relevé grâce à l’expertise radio des équipes Delta Dore et à leur savoir-faire industriel. Nos clients sont satisfaits du service innovant que nous leur apportons. ». Marc Trela, Directeur marketing produits.> SWAO : des fenêtres connectées alliant confort et sécuritéL’objectif était de développer un capteur pour permettre aux clients de connaître l’état(ouvert/fermé/en aération) de leur fenêtre afin de sécuriser leur habitat et réaliser des économies d’énergies.Un capteur qui peut aussi être couplé au système d’alarme pour faire une protection périmétrique et à la gestion du chauffage pour le couper en cas d’ouverture des fenêtres.« Le capteur I-SECURE® s’inscrit dans une démarche « origine France », Delta Dore était donc le partenaire idéal avec ses experts et sa production basée en Bretagne. Notre projet continue d’évoluer grâce aux retours terrain et à l'interactivité avec les équipes qui nous accompagnent au long cours. » Nicolas Robin, Directeur technique fenêtres.> WELL’COM : volets, portes de garage et stores connectés avec l’écosystème TydomLes volets, portes de garage, stores extérieurs ou intérieurs équipés de moteurs Well’com peuvent être pilotés à distance, réagir en fonction d’un scenario prédéfini ou même être contrôlés à la voix. Grâce à une compatibilité totale avec la Smart Home Delta Dore, Well’com permet ainsi aux utilisateurs de sécuriser leur maison, gagner en confort et contribuer à une meilleure performance thermique de leur habitat en hiver comme en été.« Conscients des enjeux qui s’ouvrent pour une maison plus confortable, plus sûre et plus performante, nous avons développé des produits permettant de bénéficier de tous les avantages qu’offre la Smart Home en intégrant nos produits dans l’application Tydom et en nous appuyant sur l’expertise globale de Delta Dore. » Pascal Ischoffen, Responsable de projets Well’com.> ARISTON THERMO s’intègre au logement connecté by Delta DorePour répondre au marché en pleine expansion du logement connecté, le groupe a souhaitérendre les solutions Ariston et Chaffoteaux compatibles avec l’écosystème Delta Dore.« Grâce au développement d'une passerelle nos clients peuvent piloter nos chaudières et pompes à chaleur depuis une interface Delta Dore. Le mode de fonctionnement local permet la régulation modulante et multizone du générateur depuis un boitier d’ambiance Delta Dore ainsi que le relevé de consommations RT2012. En mode connecté, il est également possible de gérer son confort thermique à distance depuis l’Application Smartphone Tydom. » Benjamin d'Erceville, Chef de produit connectivité.La prochaine étape ?Début 2021, Delta Dore ouvre son portail développeurs, un nouveau pas vers l’ouverture avec la mise à disposition des API facilitant ainsi l’intégration des équipements et des services de la Smart Home.
Il y a 4 ans et 144 jours

La Métropole du Grand Paris intègre la gouvernance de l'EPTB Seine Grands Lacs et engage des travaux pour prévenir les inondations

Cette modification statutaire est le fruit de plusieurs années de travail partenarial entre Seine Grands Lacs et la Métropole du Grand Paris, mais aussi avec l'ensemble des membres historiques. Elle est également le résultat des évolutions institutionnelles et de l'exercice des compétences et missions en matière de prévention des inondations par les intercommunalités comme spécifiquement la Métropole du Grand Paris.Dans ce cadre, 9 conseiller(e)s métropolitain(e)s ont été désigné(e)s pour siéger au sein de la gouvernance de l'EPTB. La Ville de Paris aura 6 représentants, les Départements des Hauts-de-Seine, de Seine Saint-Denis et du Val-de-Marne en auront respectivement 3, 4 et 4. Les communautés d'agglomération de Meaux, de Troyes-Champagne Métropole et de Saint-Dizier, et la Région Grand Est siégeront également à l'EPTB.« Le syndicat EPTB Seine Grands Lacs accueille la Métropole du Grand Paris au sein de sa gouvernance. Acteur important de la politique de l'eau à l'échelle du périmètre métropolitain, la MGP va pouvoir mieux inter agir avec l'ensemble des autres territoires du bassin versant de la Seine. C'est une gouvernance équilibrée qui fera la pertinence de l'action renforcée du syndicat. Nous ne pouvons que nous réjouir de cette arrivée porteuse d'espoir », souligne Frédéric MOLOSSI, Président de l'EPTB Seine Grands Lacs« Après ces 4 ans de négociations, je remercie le Président Frédéric MOLOSSI pour son engagement et sa persévérance. Je me réjouis de cette adhésion qui témoigne du fait que la Métropole est un acteur majeur de la prévention des inondations, tant dans les syndicats de nos rivières locales qu'à l'échelle du bassin versant de la Seine et de la Marne. Nous allons pouvoir œuvrer, avec la Ville de Paris et les 3 Départements de petite couronne, au sein de Seine Grands Lacs et avec l'État, à la réalisation d'un projet majeur, attendu et utile pour les habitants », indique Patrick OLLIER, Président de la Métropole du Grand ParisLe casier pilote de la Bassée : un projet majeur qui devient réalitéLe vote intervenu le 1e décembre 2020 permet également de sécuriser le financement des travaux d'un projet majeur pour améliorer la protection du territoire des crues débordantes de la Seine, réduire les dommages prévisibles et valoriser un écosystème unique porté depuis de nombreuses années par Seine Grands Lacs dans le secteur de la Bassée (Seine-et-Marne).En cas de crue de la Seine, le casier pilote permettra de stocker par pompage 10 millions de m3 d'eau lors du passage du pic de crue et de réduire les hauteurs d'eau en aval. En accompagnement de la création de cet espace endigué et en concertation avec les acteurs locaux, les habitats typiques de la vallée alluviale de la Bassée seront reconstitués. À ce titre, plus de 12% du budget total de l'opération sont dédiés à l'amélioration de la biodiversité de ce territoire.Ce projet déclaré d'utilité publique, sera financé à hauteur de 48M€ par l'État au titre du Fonds de Prévention des Risques Naturels Majeurs, la Métropole du Grand Paris pour 31M€ eu total et l'EPTB (22M€). Les travaux seront réalisés entre 2021 et 2024.Le projet global pourrait prévoir d'endiguer au total 9 espaces répartis sur 2 300 hectares dans la vallée de la Bassée, afin de pouvoir stocker 55 millions de m3 d'eau en cas de crue majeure. L'engagement de cette réalisation dépendra du succès de l'opération de site pilote.Une nouvelle page de l'histoire de l'EPTB Seine Grands LacsL'Établissement public territorial de bassin (EPTB) Seine Grands Lacs est un syndicat mixte ouvert dont le périmètre d'intervention est délimité au Nord par celui de l'EPTB Oise-Aisne, à l'Est et au Sud, par les limites du district Seine-Normandie, et à l'aval par les limites du SAGE Mauldre et de l'unité hydrographique de la Seine Mantoise. Il a pour objet, en tant qu'Établissement public territorial de bassin, à l'intérieur de son périmètre d'intervention, de faciliter la prévention des inondations, la gestion équilibrée et durable de la ressource en eau, ainsi que la préservation, la gestion et la restauration de la biodiversité des écosystèmes aquatiques et des zones humides. Il permettra donc à la Métropole du Grand Paris de participer, en complément son action sur le territoire métropolitain, aux actions sur les bassins amont de la Seine et la Marne, et contribuer ainsi à la solidarité aval/amont et milieu urbain/milieu rural en matière d'inondation. Avec cette adhésion, la métropole contribuera notamment à la gestion des quatre grands lacs réservoirs qui permettent de stocker près de 800 millions de m3 d'eau d'octobre à juin.
Il y a 4 ans et 145 jours

Une proposition de loi sur la santé au travail déposée à l'Assemblée

Le texte, dont l'AFP a obtenu copie, reprend les dispositions de l'ANI conclu le 10 novembre par les partenaires sociaux sur la santé au travail. Il s'agit d'une "première transposition d'un ANI dans un texte d'initiative parlementaire", a souligné auprès de l'AFP Mme Parmentier-Lecocq, coautrice de la proposition avec la députée LREM Carole Grandjean.Ce texte, qui entend développer "les politiques préventives de santé publique dans le milieu professionnel", réaffirme la possibilité de "campagnes vaccinales", notamment "contre le Sars-Cov-2", a précisé Mme Parmentier-Lecocq, en soulignant que cette mesure "qui existait déjà pour la grippe" est envisagée avec "le maintien indiscutable du volontariat du salarié".Outre la collaboration avec les généralistes, actée dans l'ANI pour lutter contre la pénurie de médecins du travail, le texte propose l'accès au dossier médical en santé au travail (DMST) aux médecins du travail et professionnels de santé en charge du diagnostic et du soin, avec le consentement du salarié.Il propose également l'intégration des médecins du travail dans les dispositifs de coordination de santé au travail, et leur accès élargi aux outils de la télémédecine, selon Mme Parmentier-Lecocq.Il prévoit aussi "l'exploitation scientifique des données médicales anonymisées du DMST".Est reprise l'"offre socle" des services de santé au travail (SST), qui deviennent des services de prévention et de santé au travail (SPST), leur "meilleure lisibilité et homogénéité". Ils sont axés sur trois missions: la prévention, le suivi médical et la prévention de la désinsertion professionnelle, c'est-à-dire le maintien en emploi des salariés ayant été touchés par des problèmes de santé.Cette proposition de loi sera soumise prochainement au Conseil d'Etat, pour "un examen à l'Assemblée nationale en février prochain et au Sénat en avril", selon Mme Parmentier-Lecocq.Elle "permet de transposer les dispositions d'ordre législatif" de l'ANI trouvé le 10 décembre "au terme d'un travail approfondi de plusieurs mois", s'est félicité dans un communiqué Laurent Pietraszewski, secrétaire d'Etat chargé de la Santé au travail.
Il y a 4 ans et 145 jours

Rente solaire : le Conseil Constitutionnel donne raison au gouvernement

L’article 225 de la loi finance qui prévoit la réduction du tarif d’achat de l’électricité photovoltaïques pour les contrats conclus entre 2006 et 2010, a été validé par le Conseil Constitutionnel par décision du 28 décembre 2020. Il a retoqué tous les arguments des parlementaires qui contestaient la révision des contrats des gros producteurs d’énergie solaire avec l’Etat. La réduction des tarifs diminuera le montant de la compensation due par l’État au titre des charges de service public de l’énergie dès 2021, soit environ 400 millions d’euros selon le gouvernement. Pour les sages, l’article 225, qui affecte directement les dépenses budgétaires de l’année à venir, a sa place dans une loi de finances. Ils rappellent, en outre, qu’il est loisible au législateur d’apporter à la liberté contractuelle, qui découle de l’article 4 de la Déclaration de 1789, des limitations liées à des exigences constitutionnelles ou justifiées par l’intérêt général, à la condition qu’il n’en résulte pas d’atteintes disproportionnées au regard de l’objectif poursuivi. La baisse importante et rapide des coûts de production des installations photovoltaïques au sol ou sur grande toiture, qui avait été mal anticipée lors de la fixation des conditions tarifaires, a eu pour conséquence une augmentation considérable du profit généré par certaines installations de production d’électricité bénéficiant de ces contrats. En adoptant les dispositions contestées, le législateur a entendu remédier à la situation de déséquilibre contractuel entre les producteurs et les distributeurs d’électricité et ainsi mettre un terme aux effets d’aubaine dont bénéficiaient certains producteurs, au détriment du bon usage des deniers publics et des intérêts financiers de l’État, qui supporte les surcoûts incombant aux distributeurs. Ce faisant, le législateur a poursuivi un objectif d’intérêt général. Si la réduction tarifaire affecte un élément essentiel des contrats conclus en application des arrêtés précités, le législateur a veillé à ce qu’elle préserve en tout état de cause la rentabilité des installations. En effet, cette réduction devra aboutir à ce que le prix d’achat corresponde à une rémunération raisonnable des capitaux immobilisés, compte tenu des risques inhérents à leur exploitation. À cet égard, la réduction du tarif tient compte de l’arrêté tarifaire au titre duquel le contrat est conclu, des caractéristiques techniques de l’installation, de sa localisation, de sa date de mise en service et de ses conditions de fonctionnement. D’autre part, si les nouveaux tarifs résultant de l’application des dispositions contestées sont de nature à compromettre la viabilité économique du producteur, il est prévu que, sur demande motivée du producteur et sous certaines conditions, les ministres chargés de l’énergie et du budget fixent au cas par cas, sur proposition de la Commission de régulation de l’énergie, un niveau de tarif ou une date de prise d’effet de ce tarif différents ou allongent la durée du contrat d’achat. Dès lors, compte tenu du motif d’intérêt général poursuivi et des garanties légales qui précèdent, l’atteinte portée par les dispositions contestées au droit au maintien des conventions légalement conclues n’est pas disproportionnée. En ce qui concerne le grief tiré de la méconnaissance du principe d’égalité devant la loi, selon l’article 6 de la Déclaration de 1789, la loi « doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ». Le principe d’égalité ne s’oppose ni à ce que le législateur règle de façon différente des situations différentes, ni à ce qu’il déroge à l’égalité pour des raisons d’intérêt général, pourvu que, dans l’un et l’autre cas, la différence de traitement qui en résulte soit en rapport direct avec l’objet de la loi qui l’établit. Les dispositions contestées instituent une différence de traitement entre les installations d’une puissance supérieure à 250 kilowatts, auxquelles s’applique la réduction tarifaire, et celles dont la puissance est inférieure ou égale à ce seuil, qui n’y sont pas soumises. Le législateur a entendu mettre un terme aux effets d’aubaine excessifs résultant de l’application des tarifs prévus par les arrêtés adoptés entre 2006 et 2010. Or, le législateur a pu considérer que les producteurs dont les installations ont une puissance supérieure à ce seuil ont bénéficié d’une rentabilité significativement supérieure à celle des autres producteurs du fait des économies d’échelle réalisées et des prix d’acquisition des matériels qu’ils ont pu négocier. Dès lors, ils sont placés, au regard de l’objet de la loi, dans une situation différente des autres producteurs. Par ailleurs, la différence de traitement contestée est en rapport direct avec l’objet de la loi. Il résulte de tout ce qui précède que l’article 225, qui ne méconnaît pas non plus la garantie des droits, le principe d’égalité devant les charges publiques ou l’objectif de valeur constitutionnelle d’intelligibilité de la loi, ni aucune autre exigence constitutionnelle, doit être déclaré conforme à la Constitution.
Il y a 4 ans et 145 jours

Paris lance des initiatives contre le réchauffement climatique

"Nous sommes convaincus que c'est par l'action très concrète, à l'échelle locale qu'on fait bouger et qu'on trouve des solutions pour réduire l'élévation de la température", a plaidé vendredi la maire PS de Paris Anne Hidalgo, au cours d'un forum sur le climat à Paris.Il faut porter de "nouvelles propositions" pour "la préservation de notre planète" et répondre ainsi à "l'espoir de la jeunesse", a poursuivi l'édile en clôture du forum, convaincue que "c'est un nouvel élan qu'il faut donner à l'Accord de Paris".Ainsi, la Ville de Paris va lancer son GIEC, "une instance scientifique qui va regrouper experts en sciences sociales et chercheurs indépendants, de très haut niveau. Jean Jouzel [climatologue français et proche d'Anne Hidalgo] participera à sa création et à la définition de sa composition", a annoncé à l'AFP l'adjoint EELV chargé du Plan Climat, Dan Lert, évoquant un "GIEC Paris" inspiré, à l'échelle de la capitale, du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat mis en place à l'initiative de l'ONU.Cette instance, qui pourra être saisie "par les élus, les associations, les citoyens", "permettra d'éclairer les décisions de la Ville de Paris", a précisé M. Lert."Quels sont les quartiers de la capitale qui sont les plus impactés par le réchauffement climatique?", "quelles sont les rues à végétaliser en priorité?", "quels sont les quartiers où on doit accélérer la transition parce qu'il n'y a pas assez d'espaces verts, qu'il y a des noeuds routiers?", sont autant de questions auxquelles le GIEC devra répondre."A Paris, entre 2004 et 2018, nos émissions de gaz à effet de serre ont baissé de 25%. Désormais, notre défi, c'est l'accélération des politiques de transition écologique. On doit réussir en dix ans ce qu'on a fait en quinze ans", rappelle Dan Lert.Autre nouveauté: sur le modèle de La Rochelle, Paris va créer son "opérateur de compensation carbone". Concrètement, "je suis Parisien et demain je dois prendre l'avion. Je pourrai grâce à cet opérateur de la Ville compenser les émissions causées par mon voyage en finançant des projets bas-carbone à Paris ou dans le bassin parisien", suggère un cadre de la mairie.Des volets aux fenêtresCes annonces surviennent à la veille du cinquième anniversaire de l'Accord de Paris, dans lequel les pays s'engageaient à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C, si possible 1,5°C.Or "la France a un retard net sur sa trajectoire: en 2019, la température moyenne du globe est déjà à +1°C et à Paris, elle est à +2,2 par rapport à 1880. Il faut accélérer!", insiste l'élu.Ainsi, l'Hôtel de Ville a décidé de mettre en place une nouvelle "stratégie d'adaptation" face aux événements climatiques extrêmes, comme les vagues de chaleur, en assurant une "végétalisation" de la ville, "la réouverture d'un tronçon de la Bièvre (un ruisseau enterré il y a plus d'un siècle) au cours du mandat", en multipliant "les parcours ombragés" dans les rues, en mettant "en place une centaine de fontaines à boire dès l'an prochain" ou encore en proposant un plan pour poser des volets aux fenêtres des logements.En outre, "nous allons lancer un plan solaire avec installation de panneaux sur nos bâtiments publics (écoles, collèges, équipement sportifs et stades)", ajoute Dan Lert.Annoncée il y a plusieurs mois, l'Académie du climat (lieu de formation, de rencontres entre les associations, d'ateliers...) ouvrira ses portes "en septembre dans la mairie du IVe arrondissement et accueillera des jeunes de 9 à 25 ans", a indiqué l'adjoint à l'Education Patrick Bloche.
Il y a 4 ans et 145 jours

Calendrier des projets de transports publics en Ile-de-France

Voici les dates de mise en service actuellement envisagées pour les projets de RER, métro, tramways et bus en site propre TZen en Ile-de-France."Plus on s'éloigne de 2023, plus la date est indicative", indique-t-on chez Ile-de-France Mobilités, où l'on rappelle que les travaux ont subi plusieurs mois de retards lors du premier confinement.Le calendrier est parallèlement en cours de révision pour le métro du Grand Paris (lignes 15 à 18).14 décembre 2020M14: Saint-Lazare - Mairie de Saint-OuenAvril 2021T9: Porte de Choisy - OrlyFin 2021M4: Mairie de Montrouge - BagneuxAvril 2022M12: Front Populaire - Mairie d'AubervilliersMi-2022 (sans doute plus tard)T13: Saint-Cyr - Saint-Germain-en-LayeFin 2022RER E: Haussmann Saint-Lazare - Nanterre-La Folie2023T3b: Porte d'Asnières - Porte MaillotT10: Croix de Berny - Clamart Jardin-ParisienT12: Massy - EvryM11: Mairie des Lilas - Rosny Bois-PerrierTZen 4: Viry-Châtillon - Corbeil-Essonnes2024M14: Mairie de Saint-Ouen - Saint-Denis PleyelM14: Olympiades - Aéroport d'OrlyRER E: Nanterre-La Folie - Mantes-la-JolieTZen 3: Porte de Pantin - GarganCâble A (téléphérique): Créteil - Villeneuve-Saint-Georges2025T1: Noisy-le-Sec - MontreuilTZen 5: Bibliothèque François-Mitterrand - Choisy-le-Roi2026T1: Montreuil - Val-de-FontenayT1: Quatre-Routes - ColombesEnsuiteT1: Colombes - RueilT7: Athis-Mons - JuvisyT8: Saint-Denis - Rosa ParksT10: Achèvement au nord (le tracé n'est pas défini)T11: Sartrouville - Epinay-sur-Seine et Le Bourget - Noisy-le-SecT12: Massy - VersaillesT13: Saint-Germain-en-Laye - AchèresM1: Château de Vincennes - Val-de-FontenayTZen 2: Sénart - MelunLa Société du Grand Paris estime parallèlement que la crise sanitaire a entraîné "entre trois et huit mois de retard suivant les lignes" pour le Grand Paris Express en construction autour de la capitale.Elle dit s'attacher à "limiter les retards" et annoncera des dates "réalistes" de mise en service "quand la crise sanitaire sera derrière nous", a priori au printemps.Les premiers tronçons des lignes 16 et 17 de Saint-Denis Pleyel au Bourget, annoncés à temps pour les Jeux olympiques de 2024, auraient ainsi pour l'instant entre trois et huit mois de retard, de même que le tronçon suivant de la 16 entre Le Bourget et Clichy-Montfermeil.Idem pour la ligne 15 au sud de Paris, de Pont de Sèvres à Noisy-Champs, prévue avant la pandémie pour l'été 2025.La 18 entre Orly, Massy-Palaiseau et Saclay aurait de trois à cinq mois de retard par rapport à une ouverture prévue de 2026/27.Le dernier tronçon de la 16 entre Clichy-Montfermeil et Noisy-Champs, prévu pour 2028, aurait également entre trois et cinq mois de retard, tandis que celui de la 17 entre Le Bourget et le triangle de Gonesse, suspendu par une décision judiciaire, est pour l'instant annoncé pour 2028.Le reste des 200 kilomètres du métro du Grand Paris est envisagé à l'horizon 2030.
Il y a 4 ans et 145 jours

Le Groupe Poujoulat poursuit ses investissements industriels dans la production de bois de chauffage

Installée sur une friche industrielle (une ancienne filature) à Demangevelle en Haute-Saône, l'usine Bois-Factory 70 produit du bois de chauffage haute performance (écorcé, calibré et séché). Certifiées NF biocombustibles solides, ces produits permettent aux utilisateurs de bois énergie de disposer d'un combustible adapté aux appareils modernes et performants (labellisés Flamme Verte) et répondent ainsi aux enjeux de la qualité de l'air. Le site, d'une surface de dix hectares, est implanté au cœur d'un massif forestier peuplé d'essences feuillues parfaitement adaptées aux exigences de la combustion. La première tranche d'investissements représente 20 millions d'euros (génie civil, machines-outils, chaudière biomasse et premier séchoir). Une seconde tranche d'investissement, de 6 millions d'euros, s'engagera à compter du début de l'année 2021 pour permettre la montée en charge de l'usine. Cette seconde tranche a bénéficié d'une aide du plan de relance au titre du « Fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires » porté par la Préfecture de département et la Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté. Le site a, par ailleurs, été soutenu par le fonds chaleur de l'ADEME dès 2015 pour ses investissements permettant d'alimenter le process de séchage. A moyen terme, l'unité de production de Haute-Saône fournira 150 000 stères de bois certifiés, 20 000 m3 de bois d'allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées, permettant de doubler la capacité de production du groupe. L'usine comptera une quarantaine de salariés et participera à la dynamisation de la filière forêt-bois de la région avec près de 150 emplois indirects.« Nous nous inscrivons, avec cet outil, dans le sillon tracé par la Programmation pluriannuelle de l'énergie, à savoir : développer le bois énergie domestique moderne et performant. Pour ce faire, le groupe propose des biocombustibles de toute nature ayant les performances requises pour que cohabitent chauffage au bois et amélioration de la qualité de l'air. Avec le déploiement des appareils modernes labellisés Flamme Verte « 7 étoiles », nos produits répondent aux exigences d'une excellente hygiène de combustion. Notre offre de bois de chauffage certifié est d'ores et déjà un succès, la croissance est au rendez-vous. » Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du Groupe
Il y a 4 ans et 145 jours

L’État va débloquer des crédits pour moderniser la ligne ferroviaire Paris-Toulouse

L'État va concrètement consacrer 257 millions d'euros, sur un total de 385 millions, le solde devant être apporté par les collectivités locales, pour des travaux de modernisation qui permettront "de gagner 22 minutes de temps de trajet, afin de mettre Limoges à 2 heures 49 de Paris en 2025", selon le ministère.Cette enveloppe s'ajoute aux 2,2 milliards d'euros qui "ont déjà été sanctuarisés afin de régénérer la ligne et réaliser de premières améliorations", a-t-il noté dans un communiqué.Il s'agit notamment de régénérer les voies d'ici 2025 (1,6 milliard), d'acheter de nouveaux trains au groupe espagnol CAF (450 millions) et d'améliorer la fiabilité et la sécurité de la ligne (140 millions)."Malgré la crise et le contexte sanitaire, le planning des travaux est tenu et les nouvelles rames seront bien disponibles dès 2023", a assuré le ministère.Un plan de modernisation similaire a été lancé pour la ligne reliant Paris à Clermont-Ferrand.
Il y a 4 ans et 146 jours

Un fonds de 300M d’euros pour le recyclage des friches

La reconquête des friches constitue un enjeu majeur d’aménagement durable des territoires pour répondre aux objectifs croisés de maîtrise de l’étalement urbain, de revitalisation urbaine et, par conséquent, de limitation de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers. Dans le cadre du plan de relance, le Gouvernement déploie un fonds de 300M d’euros pour le financement des opérations de recyclage des friches. 40M d’euros seront consacrés à la reconversion des friches polluées issues d’anciens sites industriels ICPE ou sites miniers dans le cadre d’un appel à projets national lancé par l’ADEME le 6 novembre 2020. 1M d’euros seront consacré au développement d’outils de connaissance du foncier par le Cerema afin d’appuyer les collectivités et opérateurs dans l’inventaire des friches, mais également dans la mise en oeuvre opérationnelle des projets. 259M d’euros, entièrement territorialisés, seront consacrés au recyclage foncier pour des projets d’aménagement urbain, de revitalisation des coeurs de ville et de périphérie urbaine, et pour des projets de requalification à vocation productive.
Il y a 4 ans et 146 jours

Rockcomble Evolution et Rockcommerce remportent deux prix des Trophées du Négoce

Lors de la 13ème édition des Trophées du Négoce qui s’est déroulée le 15 décembre à Paris, Rockcomble Evolution a été lauréat de la catégorie Performance thermique. Cette distinction récompense la politique d’innovation de ROCKWOOL et sa solution d’isolation en laine de roche pour faciliter l’isolation des combles aménagés, augmenter le confort de pose et améliorer les performances thermiques et acoustiques. Rockcommerce, a quant à lui été primé dans la catégorie « Services aux négoces/clients ». Lancé en juin dernier, ce service digital sur mesure permet de faciliter la gestion de l’ensemble des services proposés par ROCKWOOL à ses clients.Organisé par Le Moniteur Events, ce concours récompense les meilleures initiatives et innovations de la distribution dans le secteur du bâtiment. Matthieu BIENS, directeur marketing et développement produit de ROCKWOOL,déclare : « Ces deux trophées sont très importants à nos yeux. C’est la reconnaissance de notre transformation digitale avec Rockcommerce et de notre démarche d’innovation continue avec Rockcomble Evolution. Ce sont 2 piliers essentiels de notre stratégie qui sont récompensés ici. »Rockcomble Evolution est commercialisé depuis le mois de juillet 2019. Dans la lignée de Rockplus Premium, ce produit « premium » permet un gain de temps pendant l’installation et un gain de place intérieure une fois installé. C’est une innovation 100 % laine de roche avec un système breveté monocouche et une suspente RC EVO ; un seul panneau pour bénéficier du crédit d’impôt R=6 (m². K/W).Les caractéristiques à retenir de Rockcomble Evolution sont les suivantes :Rapide à installerDoux au toucher et facile à poserAssure un grand confort thermique été et hiver (λ33)Et un confort acoustiquePour Matthieu Biens, « Rockcomble Evolution, c’est toute notre démarche d’innovation continue en 1 système. On trouve dans ce produit aussi bien les bénéfices de nos derniers investissements technologiques à Saint Eloy les Mines avec une laine plus douce et avec de meilleures performances thermiques, que l’approche client avec un système innovant breveté et développé avec notre partenaire SPP PAI pour les suspentes. Le résultat : un gain de temps lors de la pose pour les artisans et pour le particulier une isolation sans compromis – sécurité incendie, confort d’été, acoustique, durabilité et recyclabilité. » Ce produit avait déjà gagné le prix du « produit innovant » au concours Sageret 2020.Rockcommerce, accessible via ordinateur, tablette ou smartphone, est avant tout une plateforme simple et intuitive permettant d’harmoniser et d’optimiser la réalisation des démarches, le tout de manière autonome. Développée et conçue spécialement pour simplifier le quotidien des clients et des commerciaux de ROCKWOOL, la plateforme digitale offre une toute nouvelle expérience en matière d’approvisionnement.En quelques clics, il est désormais possible de consulter l’ensemble des fiches produits, de passer une commande de manière simplifiée, 7 jours sur 7 et 24h sur 24, d’effectuer un tracking en temps réel sur ses livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver ses factures. La plateforme propose également de trier les commandes par critères, les modifier ou même les annuler. Elle est accessible sur shop.rockwool.com« Nos métiers, les besoins de nos clients et nos interactions sont voués à évoluer et nous devrons utiliser tous les outils digitaux à notre disposition pour que nos clients bénéficient d’un service exemplaire et à la pointe de la technologie. C’est ce que nous avons voulu avec Rockcommerce : un service multi plateforme, smartphone, tablette ou ordinateur avec une multitude de services dont la prise de commande mais aussi le suivi des commandes et la géolocalisation. », explique Matthieu Biens.
Il y a 4 ans et 148 jours

Plan de relance : 3 M€ pour la rénovation énergétique de 28 bâtiments publics dans le Vaucluse

Le département du Vaucluse a bénéficié de 3 M€ pour des travaux de rénovation énergétique de 28 bâtiments.
Il y a 4 ans et 148 jours

Les défenseurs de la Butte Rouge à Châtenay-Malabry dénoncent sa "destruction programmée"

Construite à partir des années 30 dans un style minimaliste Bauhaus pour loger les ouvriers de Paris, la Butte Rouge, dans les Hauts-de-Seine, fait l'objet d'un vaste plan de réhabilitation contesté depuis dix ans par les urbanistes."Aujourd'hui, il y a un passage à l'acte. Une modification du PLU (plan local d'urbanisme) vient d'être soumise à l'enquête publique, sans concertation préalable avec la population" a dénoncé l'association Châtenay Patrimoine Environnement."Nous demandons à la ministre de la Culture que la Butte Rouge soit classée comme site patrimonial remarquable", a déclaré à l'AFP Julien Lacaze, président de l'association Sites et Monuments, selon lequel cette décision est attendue d'urgence. Selon les défenseurs de ce site emblématique de l'habitat ouvrier, seulement 15 % de la Butte Rouge (17 bâtiments sur 233) sera préservé à terme si le projet de réhabilitation promu par le maire Carl Segaud (LR) est entériné début janvier par l'Établissement public territorial.Dans une volonté de densification, certaines maisons seront détruites, d'autres surélevées, agrandies à l'arrière, reliées aux maisons voisines, des bâtiments et parkings seront construits, "rompant l'équilibre actuel entre habitat et parc arboré qui fait le charme du site", a expliqué Julien Lacaze.L'ancien maire LR de Châtenay, Georges Siffredi (LR), devenu président du Conseil général des Hauts-de-Seine, avait lancé ce projet afin d'édifier "une cité-jardin du 21e siècle". Selon M. Siffredi et son successeur Carl Segaud, les normes des années 30 ne correspondent plus à celles d'aujourd'hui, des appartements sont trop exigus pour loger les familles nombreuses. Et le quartier, actuellement réservé à 100% de logements sociaux où vivent 10.000 personnes, doit s'ouvrir au secteur privé.Selon l'association Châtenay Patrimoine Environnement, la Butte Rouge va devenir "un quartier de promotion immobilière classique". Il est urgent, pour stopper le projet, que la proposition de classement de la Butte Rouge comme "site patrimonial remarquable" soit acceptée par Roselyne Bachelot, souligne-t-elle.
Il y a 4 ans et 149 jours

Enedis et le GIMELEC signent une convention de partenariat

Tous deux mobilisés sur les enjeux des mutations du système électrique, la numérisation des métiers de l’électricité et des réseaux, la nécessité d’une transition vers l’éco-conception et les stratégies bas-carbone, Enedis et le GIMELEC se réunissent autour d’intérêts communs visant à accélérer la transition écologique et faire rayonner davantage la filière électrique française.Une convention ambitieuse pour anticiper au mieux les défis industrielsSignée pour 3 ans, la convention qui unit Enedis et le GIMELEC est centrée sur 4 engagements réciproques. L’accord vise à favoriser les projets et collaborations entre le GIMELEC et Enedis dans différents domaines techniques touchant à la sécurité, l’éco-conception et à la résilience des réseaux, la flexibilité des systèmes électriques ou encore tous les sujets qui progressivement inscrivent les réseaux de distribution dans la quatrième révolution industrielle. Les deux parties s’engagent également à s’informer mutuellement des évolutions et opportunités qu’ouvre la transition écologique en vue de susciter et d’accompagner les transformations industrielles majeures de la filière au service des clients. Cette convention permettra au GIMELEC de mieux faire connaitre à ses membres qui sont des fournisseurs d’Enedis les engagements de l’entreprise en matière d’achats responsables et de démarche RSE, engagements en lien avec le label Relation Fournisseurs et Achats Responsables qui reconnait à Enedis sa capacité d’écoute et d’accompagnement des entreprises partenaires et son engagement pour l’environnement.Une volonté commune d’agir en faveur des enjeux de la filièreEnedis et le GIMELEC s’engagent également à aborder ensemble les questions de développement à moyen et long terme de la filière électrique française. Enedis ambitionne d’ici 2035 d’investir 69 milliards d’euros pour accompagner la transition écologique dans les territoires et entend s’appuyer sur les entreprises partenaires qui œuvrent à ses côtés pour mener à bien les transformations nécessaires. Les grands enjeux des réseaux électriques que sont l’intégration de toujours plusd’énergies renouvelables au réseau, le développement de la mobilité électrique et le développement de l’autoconsommation individuelle et collective requièrent l’engagement de l’ensemble des acteurs de la filière.Marianne Laigneau, Présidente du Directoire d’Enedis, a déclaré : « La signature de cette convention avec le GIMELEC, notre partenaire, marque une étape importante, de surcroît dans une année qui nous a vu traverser une crise sanitaire inédite, dans laquelle la mobilisation de nos partenaires a été essentielle à la poursuite de nos activités. Je tiens à remercier les entreprises réunies au sein du GIMELEC avec lesquelles les équipes Enedis travaillent au quotidien. La convention que nous signons aujourd’hui s’inscrit dans la droite ligne de notre Projet Industriel et Humain qui vise à apporter un service public du 21e siècle à tous les Français en vue d’accompagner la transition écologique dans nos territoires ».Christel Heydemann, Présidente du GIMELEC, a déclaré : « La collaboration avec ENEDIS est une priorité pour la filière électro numérique. Nous nous réjouissons donc de la signature de cette convention, en continuité de la qualité de notre relation historique, encore renforcée durant la crise sanitaire. La prise en compte par Enedis des enjeux de la filière a été déterminante pour assurer à nos entreprises de pouvoir traverser cette période difficile en limitant les dommages. Ce partenariat est important pour préparer collectivement la transition énergétique et écologique, en tirant le meilleur parti de nos nouvelles technologies et des principes d’économie circulaire. »
Il y a 4 ans et 149 jours

Les intercommunalités de France exposent leurs attentes et priorités au Premier ministre

Tout en saluant les orientations fixées par le Premier ministre pour préparer les futurs contrats de relance et de transition écologique (CRTE) avec les intercommunalités de France, les représentants de l'AdCF ont fait état de ses premières remontées de terrain et de la demande de souplesse exprimée par les élus locaux au sujet des calendriers prévus pour fixer les périmètres de contractualisation puis procéder à la signature des contrats proprement dits (prévue à l'été 2021).Sébastien Martin a rappelé l'importance qu'accorde l'AdCF aux projets de territoires portés par les intercommunalités et qui doivent donner une dimension pluriannuelle mais aussi transversale à la nouvelle contractualisation territoriale.« Il faut partir des réalités de terrain, dans une démarche ascendante, et cesser de mettre en concurrence les territoires par des appels à projets pléthoriques et conçus en silos » a expliqué Sébastien Martin.L'AdCF souhaite que l'engagement rapide du plan de relance ne se traduise pas par une excessive précipitation ou une qualité dégradée des projets. Des propositions ont été faites au Premier ministre pour continuer d'améliorer les cadres et méthodes de travail entre l'Etat et les collectivités.Les représentants des intercommunalités de France ont exprimé leur engagement pour une reprise forte de la commande publique en 2021, après une très mauvaise année 2020.Ils ont évoqué à ce sujet le besoin de visibilité budgétaire qu'expriment les exécutifs locaux.À ce titre, Sébastien Miossec a fait part au Premier ministre de la satisfaction de l'AdCF d'avoir été entendue au sujet du maintien de la « clause de sauvegarde des finances locales » en 2021 ; disposition votée par le Parlement le 15 décembre.A été également rappelée la demande spécifique de compensation exprimée, pour l'année écoulée, par les autorités organisatrices des mobilités (AOM). Un courrier co-signé par plusieurs dizaines de président(e)s d'intercommunalités sera remis prochainement à Jean Castex à ce sujet, attirant son attention sur la nécessaire équité de traitement entre les différentes AOM et entre l'Ile-de-France et les autres régions.Au sujet du projet de loi "4D", Virginie Carolo a fait état au Premier ministre des principales attentes de l'association à la veille de ce chantier :Une stabilité des périmètres institutionnels et des grands blocs de compétences entre niveaux de collectivités,Un renforcement des pouvoirs réglementaires des collectivités dans leurs domaines respectifs de compétences,Une amélioration des cadres de travail entre l'Etat et les collectivités tant au niveau national que dans les régions et départementsUne plus forte territorialisation des politiques publiques pour les adapter à la réalité des bassins de vie, notamment en matière d'habitat, d'environnement et d'urbanisme.
Il y a 4 ans et 150 jours

Les huîtres intéressent les travaux publics

Le conseil départemental de Gironde expérimente une nouvelle composition de coulis sur un chantier de comblement de deux carrières souterraines sur la commune de Prignac-et-Marcamps, dans le nord du département. Un broyat de coquilles d’huîtres provenant du bassin d’Arcachon remplace 30 % de sable dans le mortier classique.
Il y a 4 ans et 150 jours

La mairie écologiste de Lyon veut tenir l'objectif des 25% de logements sociaux d'ici à 2026

Au cours d'un point presse en préambule à un nouveau conseil municipal, Grégory Doucet (EELV) a rappelé que Lyon "était encore un peu loin" du quart de logements sociaux prévus par loi Duflot.Selon la municipalité, Lyon dispose aujourd'hui de 21,5% de logements sociaux contre 17,72% en 2001. Un chiffre en progression, qui a permis à Grégory Doucet de "reconnaître" l'action de la majorité précédente menée par l'ancien baron socialiste rallié au macronisme, Gérard Collomb.Élu en juillet, M. Doucet envisage la construction de 9.350 logements sur la mandature pour atteindre les objectifs définis par la loi, "soit environ 2.000 par an", avec "une volonté de rééquilibrage entre les arrondissements et l'objectif d'une mixité sociale dans les quartiers".Les moyens alloués par la ville de Lyon à cette volonté bâtisseuse seront déclinés dans le cadre d'une future présentation pluriannuelle des investissements, mais "ce sera plus" que les 25,5 millions d'euros dédiés au sujet par la mandature précédente."Deux tiers des foyers lyonnais pourraient accéder à un logement social", souligne Grégory Doucet.Le prix moyen du mètre carré dans la capitale des Gaules a franchi pour la première fois les 5.600 euros début 2020.Face à cette flambée des prix, la ville compte par ailleurs adhérer à l'organisme de foncier solidaire de la Métropole de Lyon pour réduire le coût d'accès à la propriété, un moyen de soulager les acquéreurs face au prix du foncier qui constitue une part très importante du coût d'achat.Depuis 2000, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain (SRU) impose aux communes de plus de 3.500 habitants de disposer d'au moins 20% de logements sociaux. Une part passée à 25% en 2013 avec la loi Duflot, du nom de l'ancienne ministre du Logement écologiste.
Il y a 4 ans et 150 jours

L'État apporte son soutien à un projet d'offre de réseaux 5G privés

L'État a décidé de soutenir le projet de l'IRT en assurant un financement de 30 millions sur sept ans dans le cadre des investissements d'avenir, ont annoncé mardi les ministères de l'Industrie et de la Recherche dans un communiqué commun.Ce soutien doit permettre de créer "jusqu'à 90 emplois, dont 80 à 90% seront localisés de manière pérenne à Lannion", un bassin d'emplois touché de plein fouet par le plan social de l'équipementier télécoms finlandais Nokia.Il s'agit, pour le gouvernement, de renforcer un "écosystème doté de fortes compétences sur les réseaux télécoms, la 5G et la cybersécurité".L'idée de l'IRT, qui dispose déjà d'une antenne à Lannion d'une quinzaine de personnes, est de bénéficier des compétences de salariés de Nokia visés par le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE).Un premier versement est prévu début 2021 et des recrutements sont attendus dès le premier trimestre, ont précisé les ministères.Le groupe Nokia avait annoncé le 22 juin un plan social prévoyant 1.233 suppressions de postes dont 402 à Lannion (Côtes-d'Armor, 20.000 habitants).Après une très forte mobilisation des salariés et des élus bretons notamment, il avait réduit ce chiffre à 986, fin octobre, passé depuis à 980, avec "près de 250 postes préservés" essentiellement dans le développement de la 5G (162 à Lannion et 85 à Nozay dans l'Essonne).Nokia a également annoncé la création de 112 nouveaux postes au sein d'un futur centre de cybersécurité.
Il y a 4 ans et 150 jours

Le béton, une nouvelle perspective pour l'impression 3D

Pour "imprimer" un mur, un long bras articulé diffuse une mince coulée de béton selon un parcours déterminé en appliquant une couche sur la précédente. En quelques heures, un mur est érigé, ouvrant de nouvelles perspectives aux métiers de la construction."L'intérêt de l'impression 3D, c'est comment aller plus loin que l'utilisation courante du béton" et "chercher des formes qu'on ne pourrait pas faire de façon traditionnelle, ou qui demanderaient beaucoup plus de temps", explique Alain Guillen, directeur général Développement et Applications de XTreeE.Cette start-up basée à Rungis a lancé dans son atelier la fabrication d'une trentaine de murs, destinés à la construction en 2021 de cinq maisons à Reims, dans le cadre du projet Viliaprint, porté par le bailleur social Plurial Novilia.L'entreprise vient d'obtenir une Appréciation technique d'expérimentation (Atex) pour la construction en impression 3D béton, délivrée par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).Une phase industrielle"Aujourd'hui pour la première fois en France, on a une construction en impression 3D béton qui est validée par les autorités publiques", souligne M. Guillen. "Grâce à cet avis technique, on va pouvoir passer maintenant à une phase vraiment industrielle".Pour le responsable de la maîtrise d'ouvrage chez Plurial Novilia, Jérôme Florentin, "c'est certainement le début d'une longue histoire". "On commence à avoir beaucoup de concurrents", observe-t-il, en mentionnant les Pays-Bas, la Chine, les Etats-Unis, la Russie.Ce type de construction "va avoir tendance à se développer, pas de façon fulgurante dans les prochains mois, mais sur des constructions mixtes" avec "des murs imprimés associés à des modes constructifs classiques", estime-t-il.De son côté, le fabricant de machines Constructions-3D, basé à Valenciennes, vient de réaliser son premier bâtiment en impression 3D béton pour son futur siège.Antoine Motte, fondateur et dirigeant de Constructions-3D, est confiant sur les perspectives de cette technologie, citant une étude du cabinet SmarTech en 2018, qui prévoit pour 2027 un chiffre d'affaires mondial de 20 milliards de dollars pour l'impression 3D dans la construction, dont 4 milliards pour les fabricants de matériels."Un quart de l'humanité est mal logée aujourd'hui, et donc si on peut, par la technologie, apporter une machine qui va construire une maison par jour (...) on se dit qu'avec un million de machines, on peut déjà juguler la croissance du mal logement, et deux millions de machines résoudront le problème", fait valoir Antoine Motte.Améliorer "l'imprimabilité"Mais il reste encore des étapes à franchir, reconnaît le patron de Constructions-3D. "Ces machines pourront apporter des solutions quand on aura réussi à imprimer des 'encres' locales, réalisées à partir de l'argile", explique-t-il.Reste ensuite à former les futurs travailleurs du bâtiment à cette nouvelle technologie."Demain, pour faire fonctionner ces machines, l'opérateur idéal est quelqu'un qui aura un peu de compétences en numérique, qui connaîtra les contraintes d'un chantier de bâtiment et qui sera un petit peu mécanicien", décrit Didier Malbranque, co-fondateur de Constructions-3D.La start-up valenciennoise a mis au point une petite machine, plutôt destinée à la formation, qui est installée dans une douzaine de lycées professionnels ou écoles du bâtiment des Hauts-de-France.Cette nouvelle technologie intéresse au premier chef les groupes cimentiers, qui fournissent la matière première."On est encore en phase de recherche, mais on évolue vers les premiers chantiers, les premières réalisations", assure Olivier Martinage, ingénieur R&D du groupe Vicat, partenaire de XTreeE dans le projet Viliaprint.La recherche porte notamment sur "l'imprimabilité" du béton pour "améliorer les performances, les vitesses d'impression, le rendu esthétique", explique-t-il."C'est une technologie en devenir", confirme Yves Baroulier, directeur Grands Projets de LafargeHolcim. "L'impression 3D va nous permettre (...) une plus grande sobriété: moins de matériau et bas carbone".LafargeHolcim collabore avec XtreeE sur la construction en impression 3D d'ici 2023 d'une passerelle de 40 mètres sur le site des futurs Jeux olympiques de Paris 2024 en Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 150 jours

RE2020 : les professionnels réclament un changement de méthode pour ne pas aggraver la chute de la construction neuve

La nouvelle réglementation environnementale sur la construction neuve s'inscrit dans cette exigence et la filière de la construction, fortement impliquée dès les prémices avec l'expérimentation E+C- et moteur de l'innovation dans le secteur, reste clairement attachée à ces objectifs. Tout comme elle reste attachée à la production d'une offre de bâtiments abordables et accessibles à tous, adaptée aux besoins des territoires et aux usages des occupants.L'USH, la FPI, le Pôle Habitat FFB, la FFB, la CAPEB, l'UNSFA, la Fédération CINOV et l'AIMCC s'inquiètent cependant des impacts du projet de la nouvelle réglementation environnementale (RE2020) proposé par le gouvernement. Elles estiment que ce projet fait courir un risque d'aggravation de la chute de la construction neuve dès 2021 et que des ajustements importants doivent être apportés pour garantir une trajectoire soutenable vers la neutralité carbone à l'horizon 2050.Les projets de texte, déjà notifiés auprès de la Commission européenne, ont été présentés jeudi 17 décembre au Conseil Supérieur de la Construction et de l'Efficacité Énergétique (CSCEE), qui a aussi découvert à cette occasion l'étude d'impact associée.Pour les signataires, si l'ambition d'accélérer la réduction des émissions de gaz à effet de serre fait consensus, la méthode retenue unilatéralement suscite de nombreuses interrogations et inquiétudes.Il en est de même s'agissant de la méthode de calcul du confort d'été qui n'a jamais été testée et du fort renforcement des seuils de calcul conventionnel de besoin bioclimatique et de consommation énergétique.Les signataires estiment que les documents présentés par le gouvernement n'apportent pas les éléments d'objectivation nécessaires à l'évaluation de la soutenabilité des performances annoncées, notamment sur le volet de la maîtrise des coûts et des impacts sur les filières constructives et industrielles. D'autant plus qu'une réelle présentation de l'impact économique et social global tant à la mise en œuvre qu'au cours de la durée de vie du bâtiment et de ses équipements fait toujours défaut.Pour l'ensemble des acteurs, la réforme proposée induit une évolution majeure dans les pratiques et les compétences, tant en conception que dans la mise en œuvre et l'exploitation des bâtiments. À défaut d'ajustements importants, elle risque de provoquer une rupture majeure et critique pour l'offre de bâtiments, l'activité et les emplois du secteur.Pour les signataires, il est nécessaire de partager une trajectoire et un calendrier de mise en œuvre progressif et adapté, qui intègrent maturité des solutions disponibles, soutenabilité économique et temporalité des projets, qui permettent à la filière de stimuler les innovations pour répondre à coûts maîtrisés aux objectifs poursuivis, et qui garantissent in fine aux occupants confort, bien-être et économies.Pour les signataires, l'esprit de co-construction qui a prévalu depuis l'origine de la réforme doit se poursuivre. Une RE 2020 équilibrée, soutenable et maîtrisée permettra d'impulser et d'accompagner le changement attendu, que nous voulons positif pour le secteur de la construction.
Il y a 4 ans et 150 jours

Le gouvernement signe une charte de reboisement pour une forêt française "plus résiliente"

"Le premier des défis c'est évidemment le changement climatique qui bouleverse beaucoup d'écosystèmes forestiers", a déclaré lors d'un point presse le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie, en visioconférence avec l'ensemble des acteurs de la filière.Le volet agricole du plan de relance prévoit 200 millions d'euros pour la forêt, dont 150 millions d'euros pour reboiser des forêts parfois gravement touchées par la sécheresse et des attaques d'insectes sur les arbres, comme les scolytes. Ces coléoptères creusent des trous dans les arbres fragilisés par la sécheresse.Pour favoriser la résilience des forêts face au réchauffement, Philippe Gourmain, expert forestier et intervenant lors de cette conférence, a notamment prôné une "dilution des risques", par le biais notamment de la "diversification des essences, des provenances, produire des provenances davantage du sud de la France et de l'Europe, et la diversification des traitements".Le ministre a été interpellé vers la fin de la conférence par Sylvain Angerand, de l'association Canopée, qui a dénoncé un plan de relance de la forêt "basé sur énormément de coupes rases suivies de plantations essentiellement en monoculture".Pour l'ONG, qui a dénoncé une opération d'"enfumage", "ce plan n'est pas un plan d'adaptation de la forêt aux changements climatiques mais aux besoins de l'industrie"."Pour moi une forêt se protège et une forêt se cultive", a répondu le ministre, qui a estimé que la forêt "est un espace de protection au titre de son bénéfice environnemental, c'est un espace sociétal et c'est un espace aussi de culture".Il a rappelé que la forêt progresse de 0,7 à 1% en superficie par an, et "a doublé depuis le XIXe siècle", tout en dénonçant le fait que la France "importe du bois pour faire de la construction bois" : "je récuse le fait qu'une forêt qui ne soit pas cultivée aurait un meilleur bénéfice environnemental", a-t-il conclu.