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Il y a 4 ans et 156 jours

Pour la 4ème année consécutive, DuPont Sustainable Solutions reconnue comme une des meilleures marques de conseil en HSE

Genève – Suisse – 15 décembre 2020 – DuPont Sustainable Solutions (DSS) est classé pour la quatrième année consécutive au 1er rang des marques de conseil HSE (Environnement, Santé & Sécurité), selon une étude publiée en décembre par le cabinet de recherche et de conseil indépendant Verdantix. L’enquête menée auprès de plus de 300 managers HSE répartis dans 31 pays a permis à DSS d’obtenir le meilleur score en matière de préférence et de notoriété parmi toutes les entreprises de conseil en HSE. « DuPont Sustainable Solutions est sincèrement fier d’avoir été reconnu par les responsables HSE du monde entier comme le meilleur cabinet de conseil pour la quatrième année consécutive », a déclaré Davide Vassallo, Directeur Général de DuPont Sustainable Solutions. «Nos experts consultants s’efforcent d’accompagner chacun de nos clients pour protéger les personnes, améliorer les opérations et renforcer les compétences de leurs salariés. Au nom de tout le personnel de DSS, nous les remercions pour leur confiance en nos compétences, comme en témoigne l’enquête Verdantix 2020 ». Selon l’enquête « Global Corporate Survey 2020 de Verdantix : reconnaissance des marques des fournisseurs de services HSE », 79% des répondants classent DSS au 1er rang dans la catégorie préférence de marque et 25 % comme le cabinet de conseil « leader du marché ». 54% des participants estiment que les compétences de DSS sont « fortes » en tant que fournisseur de services HSE. Ce résultat dépasse largement la performance atteinte par DSS dans l’enquête menée l’an dernier par Verdantix. En 2019, 48% des interrogés avait classé DSS au 1er rang pour la préférence de marque et comme le consultant HSE leader du marché ou le plus performant. Cette année, la forte présence de DSS dans la région Asie-Pacifique, où la moitié des répondants considéraient l’entreprise comme « acteur majeur du marché », ainsi que sa gamme élargie de services comme SafetyTech.ai, une plateforme numérique permettant le déploiement de technologies de sécurité innovantes, ont contribué à améliorer la perception de la marque, selon Verdantix. De plus, 93% des personnes interrogées cette année ont déclaré connaître les compétences de DSS en tant que consultant HSE, ce qui lui confère la plus grande notoriété de marque sur ce marché. « Lorsque DSS est devenu un cabinet de conseil indépendant en 2019, nous nous sommes concentrés sur la mise sur le marché rapide de solutions innovantes. Cela a permis à DSS de réagir vite à la pandémie COVID et développer des services comme SafetyTech.ai qui peuvent aider les organisations à améliorer leurs capacités de gestion HSE et à atteindre l’excellence opérationnelle, ce qui est essentiel dans cet environnement commercial difficile. Nous pensons que cette orientation renouvelée a contribué à la reconnaissance accrue de DSS pour la préférence de marque en 2020 », a déclaré Davide Vassallo. L’étude Verdantix a été réalisée par 301 managers HSE ayant des responsabilités directes dans le domaine des stratégies et initiatives HSE d’entreprises situées dans 31 pays d’Asie-Pacifique, d’Europe, des Etats du Golfe et d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Amérique du Nord. Les trois quart des participants (74%) travaillent dans des entreprises ayant un chiffre d’affaires supérieur à 1 milliard de dollars et viennent de 25 secteurs différents. Environ 40 % des responsables HSE interrogés sont issus d’industries où les risques HSE sont élevés à très élevés (secteurs des produits chimiques, de l’exploitation minière, des métaux, du pétrole et du gaz). 43 % des participants proviennent d’industries où les risques HSE sont moyens (secteurs des biens de consommation, de l’équipement industriel et de l’automobile). http://bit.ly/about-dss
Il y a 4 ans et 156 jours

Action Logement va revoir son gigantesque plan d'aide

Le géant Action Logement, que le gouvernement compte réformer d'ici au printemps, va revoir le vaste plan d'aide aux salariés qu'il avait lancé en 2019.
Il y a 4 ans et 156 jours

Archéologie du bâti sur l’une des plus anciennes églises alsaciennes

L’église abbatiale Saint-Trophime à Eschau, dans les environs de Strasbourg, compte parmi les plus anciens édifices religieux encore conservés en Alsace. Attestée dès 778, cette église est reconstruite à la fin du Xe siècle et bénéficie aujourd’hui d’un programme de rénovation porté par la Commune d’Eschau avec le soutien notamment de la Fondation du Patrimoine. Dans le cadre de ces travaux et sur prescription de l’Etat, une intervention archéologique sur les façades extérieures et les toitures de l’édifice, est réalisée par une équipe de l’Inrap. Cette opération qui vise à retracer l’histoire architecturale de l’édifice durera une trentaine de jours au total. Elle se déroulera en trois phases, en décembre 2020, au printemps et durant l’été 2021, suivant l’avancement des travaux. L’intervention archéologique en cours à Eschau suit la méthodologie propre aux études de bâti. Le décrépissage de l’édifice et la présence d’un échafaudage permettent d’accéder au plus près des maçonneries et d’en comprendre les agencements. Grâce à la photogrammétrie, une méthode d’enregistrement numérique, un relevé photographique redressé de l’ensemble des façades mises à nu peut être réalisé. Ces relevés servent ensuite de base graphique sur lesquelles sont replacées les observations et les descriptions minutieuses réalisées sur les maçonneries. Ces observations visent à détecter les différentes phases d’évolution du bâtiment et, au sein de chacune de ces phases, d’en décrire les caractéristiques constructives (types de matériaux employés, modes de mise en œuvre…) et stylistiques. La datation de ces différentes phases résulte du croisement entre ces caractéristiques, les données historiques et les éventuelles analyses complémentaires comme la dendrochronologie. Le décrépissage a révélé la présence d’éléments en bois ancrés dans les murs : des boulins, correspondants aux reliquats des échafaudages ayant servi à la construction de l’édifice, mais également les châssis de deux fenêtres. Les prélèvements dendrochronologiques réalisés sur ces éléments devraient permettre de dater avec précision les phases incluant ces bois. L’étude archéologique en cours a d’ores et déjà permis d’identifier au moins cinq phases principales dans l’évolution de l’édifice et notamment d’appréhender la phase de construction attribuable à l’an Mil. Celle-ci se caractérise par une maçonnerie réalisée en petit moellons de matériaux hétérogènes (calcaire, grès, basalte…) qui réemploie ponctuellement des terres cuites architecturales d’époque gallo-romaine. Les chaînages d’angle sont réalisés avec des blocs de grès rose taillés, finement décorés ; ils sont caractéristiques du début du XIe siècle. Plusieurs fenêtres régulièrement disposées et ultérieurement murées ont également été identifiées. Les relevés photogrammétriques permettront de proposer une restitution de l’état d’origine des façades et de la distribution des ouvertures. Deux importantes phases de remaniement du bâtiment sont attribuables au XIIe siècle et à l’époque gothique (reconstruction de la façade ouest de la nef aux XIIIe-XIVe siècles). Des modifications plus ponctuelles ont également eu lieu à l’époque moderne (XVIe- XVIIIe siècles). En 2021, la poursuite de l’étude concernera le chœur, les deux bras du transept et les bas-côtés de l’Abbatiale et permettra de finaliser cette étude d’archéologie du bâti. Aménagement : Commune d’Eschau Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Grand-Est) Recherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Boris Dottori, Inrap Photo : Boris Dottori, Inrap
Il y a 4 ans et 156 jours

Le trésor de la cathédrale d’Orléans est visible dans un nouvel écrin

Exposé dans deux vitrines mises en place dans la sacristie en 1939, le trésor de la cathédrale d’Orléans n’était plus visible du public depuis plusieurs décennies. Il bénéficie depuis 2020 d’un nouvel aménagement dans l’une des chapelles du déambulatoire, dédiée à saint Michel, qui est désormais vouée à sa présentation permanente. Une grande vitrine habillée de bois de chêne a été créée, offrant une bonne vue d’ensemble des objets et reprenant le volume du confessionnal néo-gothique en vis-à-vis duquel elle est implantée. Conçue dans le strict respect des normes de sécurité et de conservation préventive avec contrôle et régulation de l’hygrométrie intérieure, la vitrine bénéficie d’un éclairage soigné, mettant en valeur les pièces d’orfèvrerie exposées. La sécurité de la chapelle, placée, comme la vitrine, sous alarme électronique, a été renforcée par la pose, à l’extérieur, d’une grille de défense sur chacune des baies et, à l’entrée, d’une grille haute monumentale ; celle-ci intègre, en la renforçant, la clôture du XIXe siècle, ce qui a pour effet de maintenir, en partie basse, la continuité de niveau et de décor avec les clôtures des autres chapelles. Maîtrise d’ouvrage : Drac Centre-Val de Loire Maîtrise d’œuvre : Régis Martin (ACMH) Réalisation de la vitrine : Ateliers de la Chapelle  
Il y a 4 ans et 157 jours

L’Assemblée nationale préserve la TVA à taux réduit

L’Assemblée nationale a adopté définitivement un amendement supprimant la disposition redéfinissant le périmètre de la TVA à taux réduit dans le cadre du Projet de loi de Finances pour 2021. Les Sénateurs avaient adopté un amendement redéfinissant le périmètre de la TVA à taux réduit (celui de l’ECO-PTZ) du fait de la suppression du CITE au 1er janvier 2021. L’amendement inspiré par le gouvernement a été présenté sans aucune concertation avec les organisations professionnelles. La CAPEB avait réagi et proposé aux députés, un amendement supprimant la disposition adoptée au Sénat, car non seulement il restreignait le champ du taux réduit mais, en plus, il rendait incertain une éventuelle mise en éco-conditionnabilité de cette TVA à 5,5 %, ce qui aurait été évidemment inacceptable pour la CAPEB. Plus de 130 députés ont co-signé l’amendement proposé par la CAPEB rappelant la nécessité de supprimer cette disposition critique pour la filière. À l’Assemblée nationale, en séance publique, ce 15 décembre, le Rapporteur Général, conformément au vote de la Commission des Finances a donc fait adopter un amendement supprimant définitivement l’article contesté par la CAPEB. Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB déclare : “C’est une victoire pour notre réseau territorial qui s’est particulièrement mobilisé auprès des parlementaires pour faire entendre la voix des artisans du bâtiment. Je m’en félicite et je salue aussi la sagesse de la représentation nationale et du gouvernement, qui ont compris toute l’importance de ne pas toucher au périmètre de cette mesure. En cette période économique difficile où le maintien de l’activité est une préoccupation majeure des chefs d’entreprise, le rétablissement de la TVA réduite pour les travaux de rénovation énergétique est un signal encourageant adressé au secteur artisanal. Autre signal concluant le « feuilleton législatif » : on ne remet pas en cause la TVA sans concertation préalable avec les acteurs de la filière.”
Il y a 4 ans et 157 jours

Des pistes cyclables à Levallois-Perret, "point de rupture" avec l'ère Balkany

Ces quatre pistes pour vélo ont été "légitimées" par une consultation citoyenne et constituent "un point de rupture" avec l'ère Balkany, affirme-t-on dans l'entourage de la maire LR Agnès Pottier-Dumas, élue aux dernières municipales. "Pour l'ancien maire, les consultations, le vélo, c'était quelque chose de gauche (...) mais nous notre volonté c'est d'associer les habitants", indique-t-on de même source."On n'est pas des +vélo addict+, mais il y a beaucoup de gens qui passent par ces pistes, et il y a une vraie volonté de partager l'espace public", ajoute-t-on.La consultation citoyenne, qui a recueilli quelque 2.700 réponses pour une ville de plus de 60.000 habitants, posait la question du maintien de sept pistes provisoires mises en place lors du déconfinement en mai.Quatre d'entre elles vont être conservées et devraient être fonctionnelles, après travaux, au printemps prochain, tandis que deux seront supprimées d'ici la fin de l'année. La dernière fait encore encore l'objet de réflexions."Ca n'a qu'une seule utilité: emmerder le monde, et particulièrement les automobilistes", a fustigé Patrick Balkany, contacté par l'AFP."Maintenant, si on veut faire à Levallois la même politique qu'à Paris, eh bien, il y aura deux clans: d'un côté, des bobos écolos, et de l'autre, la population habituée à venir travailler", a-t-il poursuivi.En plus de trois décennies de mandature, lui n'a laissé construire qu'une "seule piste cyclable", a-t-il rappelé.L'ancien maire a aussi critiqué la méthode de la consultation que la nouvelle mairie veut privilégier."J'ai toujours considéré que quand on était élu c'était pour décider, si on est élus pour être obligés de demander à chaque fois, de consulter toute la population pour prendre une décision, alors ce n'est pas la peine de se présenter, c'est qu'on n'a pas la vocation pour être maire et pas le talent", a-t-il taclé.Agnès Pottier-Dumas, 35 ans, a été la directrice de cabinet de M. Balkany, avant d'être désavouée par l'homme fort de Levallois-Perret lors de sa campagne pour les municipales.Patrick Balkany et son épouse Isabelle Balkany, première adjointe, ont été démis de leurs mandats respectifs en mars 2020, après avoir été condamnés en appel à trois ans de prison ferme et dix ans d'inéligibilité pour fraude fiscale.
Il y a 4 ans et 157 jours

Gamme de contrôle d’accès électronique ENIQ de DOM-Metalux : Une nouvelle finition antibactérienne au service d’une protection sanitaire renforcée

Actionnées à plusieurs reprises dans une journée par de nombreux usagers, en particulier dans les Etablissements Recevant du Public, les poignées de porte sont un vecteur important de transmission des bactéries. Près de 80% des maladies courantes se transmettant par le toucher, trouver des solutions efficaces pour limiter le risque de propagation des microbes constitue une priorité d’autant plus essentielle dans le contexte sanitaire actuel. Fidèle à sa volonté d’assurer la protection des biens et des personnes, DOM-Metalux met aujourd’hui son expertise au service de ce véritable enjeu de santé publique et propose une nouvelle finition antibactérienne disponible sur les produits de sa gamme de contrôle d’accès électronique ENIQ. Un revêtement antibactérien au service d’un risque sanitaire maîtrisé La gamme de solutions de contrôle d’accès électronique ENIQ de DOM-Metalux répond aux besoins de sécurisation de sites très fréquentés tels que les immeubles de bureaux, les établissements scolaires, les hôpitaux ou encore les centres commerciaux. Autant d’établissements qui, en période épidémique, se trouvent confrontés à des problématiques d’hygiène. Pour les aider à concilier sécurité et protection sanitaire renforcée, le cylindre électronique ENIQ Pro et la béquille GUARD peuvent désormais bénéficier, en option, d’une finition antibactérienne SANPURE®. Innovant et invisible, ce film antimicrobien repose sur la nanotechnologie avec comme principal composant actif des ions d’argent. Reconnu scientifiquement pour ses propriétés naturelles permettant de lutter contre les moisissures, les bactéries, les virus et les champignons, l’argent peut éliminer, en deux heures, jusqu’à 99,9% de micro-organismes nuisibles. Une protection constante A l’effet antibactérien vérifié, le revêtement SANPURE®, choisi par DOM-Metalux pour équiper ses solutions, agit en continu. Contrairement aux protocoles de désinfection effectués ponctuellement dans une journée, il neutralise de façon permanente et sûre la prolifération des bactéries et germes dangereux, en libérant lentement et constamment des ions d’argent. S’inscrivant en parfait complément du nettoyage des surfaces parfois insuffisant pour lutter efficacement contre les risques d’infection, ENIQ Pro et ENIQ GUARD de DOM-Metalux dotés du traitement SANPURE® contribuent, pendant tout le cycle de vie des produits, à interrompre les chaînes de transmission des virus. ENIQ PRO et ENIQ GUARD avec finition SANPURE®, quand sécurité rime avec santé Afin de garantir une sécurité sans compromis quelles que soient les configurations, l’écosystème de sécurité ENIQ de DOM-Metalux se compose d’une large gamme de solutions connectées de contrôle d’accès parmi lesquelles, les produits électroniques proposés avec la nouvelle finition antibactérienne SANPURE® : les béquilles GUARD réversibles et conçues pour s’adapter à une grande variété de portes. Disponibles dans quatre styles différents pour s’intégrer harmonieusement à tous les environnements, elles se déclinent en version Compact avec rosace, Slimline ou Wideline (avec ou sans entrée de cylindre), le cylindre électronique universel ENIQ PRO qui, grâce à un embrayage magnétique breveté révolutionnaire, garantit une protection optimale contre toute tentative d’intrusion. Avec 12 variantes au choix (double cylindre à bouton, demi-cylindre, cylindre à deux têtes électroniques…), il s’adapte à toutes les exigences et toutes les configurations pour assurer un haut niveau de sécurité. En proposant une finition antibactérienne pour ses solutions de contrôle d’accès ENIQ qui allient fiabilité et simplicité d’utilisation, DOM-Métalux répond non seulement aux exigences de sécurité les plus élevées mais aussi aux contraintes d’hygiène liées aux nouvelles règles sanitaires. https://www.dom-security.com/fr/fr
Il y a 4 ans et 157 jours

Impacté par la crise sanitaire, le bâtiment s'attend à une année 2021 morose

L'an prochain, l'activité du bâtiment devrait bondir de 11,3%, selon la Fédération française du bâtiment (FFB).Mais cette hausse ne suffira pas à rattraper une chute de 15% cette année, marquée par la crise sanitaire et plusieurs épisodes de confinement."Nous allons assister à un repli sur l'emploi (avec) 50.000 postes qui seraient en danger" l'an prochain, a averti le président de la FFB, Olivier Salleron, lors d'une conférence de presse.Pour l'heure, la fédération fait état de 10.000 emplois en moins cette année, essentiellement à cause d'une chute dans l'intérim.Le bâtiment a peu souffert du reconfinement en fin d'année, car ses chantiers ont pu continuer. Mais au printemps, lors du premier confinement, la plupart avaient été arrêtés plusieurs semaines, le temps d'instaurer des mesures sanitaires.Malgré la reprise des chantiers, le rattrapage ne sera pas total, selon la fédération, qui craint surtout une déprime durable de la construction de logements.Dans ce secteur, "le rebond n'arrivera absolument pas (...) à rattraper les années 2018-2019", a prévenu M. Salleron. "C'est une catastrophe qui s'annonce", juge-t-il, annonçant "une crise historique du marché en 2021" et, en conséquence, un manque de logements en France.Plusieurs facteurs expliquent ce déclin, en premier lieu une baisse marquée des permis octroyés par les élus locaux depuis plus d'un an.Parallèlement, la FFB évoque la restriction depuis 2019 par les autorités financières des conditions d'emprunt immobilier, ainsi que l'annonce récente de nouvelles normes sur la construction neuve, dite "RE 2020"."La combinaison (de ces éléments) va entraîner des surcoûts", a estimé M. Salleron.Le bâtiment a pourtant remporté une victoire récente avec la prolongation de plusieurs aides à l'achat d'un logement, dont le prêt à taux zéro (PTZ). Il devrait aussi bénéficier des mesures récentes prises en faveur de la rénovation énergétique, dont le gouvernement a fait un grand axe du plan de relance annoncé à la rentrée."Le gouvernement a mis le paquet" dans la rénovation énergétique, a admis M. Salleron. Mais même si les activités de rénovation devraient retrouver leur niveau d'avant-crise, la FFB estime que cela ne suffira pas à porter tout le secteur.
Il y a 4 ans et 157 jours

Ouvrages d'art : le Gouvernement propose un soutien en ingénierie aux petites communes

SÉCURITE DES PONTS. L'Etat mobilise une enveloppe de 40 millions d'euros dans le cadre du plan de relance afin que ces collectivités locales apprennent à mieux connaître les ouvrages dont elles ont la charge.
Il y a 4 ans et 157 jours

Floraison de foncières dans les cœurs de ville

Cinq ans c’est trop court. Caroline Cayeux a ouvert les troisièmes « Rencontres cœur de ville », ce 15 décembre, en émettant le souhait d’une prolongation, jusqu’en 2026, du programme phare de l’Agence nationale pour la cohésion des territoires (ANCT) dont elle assume la présidence. L’adhésion unanime des villes moyennes réunies par la Banque des territoires plaide en ce sens. La ministre de la Cohésion des territoires Jacqueline Gourault souscrit à l’idée d’une continuité républicaine d’Action cœur de ville, après 2022.
Il y a 4 ans et 157 jours

"Il faut prolonger Action coeur de ville au-delà de 2022" (C. Cayeux, Villes de France)

VILLES MOYENNES. La présidente de l'Agence nationale de cohésion des territoires, également présidente de Villes de France, qui regroupe les élus des villes moyennes, demande à l'Etat de prolonger le plan Action coeur de ville "sur tout le mandat" municipal qui vient de s'ouvrir. La ministre de la Cohésion des territoires, Jacqueline Gourault, n'a pas fermé la porte à cette possibilité.
Il y a 4 ans et 157 jours

Logement, pub, 5G: Macron revient sur trois dossiers chauds de la Convention citoyenne pour le climat

Logement"On n'a pas fini les travaux," a assuré le président, tout en livrant plusieurs pistes.La convention prône la rénovation énergétique obligatoire des bâtiments d'ici à 2040, avec un système progressif de prêts et subventions. Mais d'après les premiers arbitrages connus, le gouvernement veut supprimer les passoires thermiques en 2028 et bloquer les loyers pour les bailleurs. "Ne sous-estimez pas le fait que c'est une mesure révolutionnaire," a lancé M. Macron."Jusqu'où on va dans l'obligation de la contrainte?", a interrogé M. Macron, estimant que "rendre la rénovation obligatoire, ça veut dire qu'on fait porter la contrainte sur chaque ménage", notamment lors de la vente d'un logement.Il s'est par contre dit favorable au système de "guichet unique" (aide, subventions, travaux...), proposé par la CCC."Je souhaite qu'on puisse le faire dès le début de l'année prochaine (...) qu'on puisse se donner 3 mois" pour "essayer de bâtir cette solution", a-t-il dit.PublicitéLa CCC propose d'interdire la publicité pour certains produits particulièrement polluants, et mettre en place l'information des consommateurs basée sur un "carbone-score" des produits.Le gouvernement a pour l'instant arbitré en faveur de la seule interdiction de la publicité directe pour les énergies fossiles, dont M. Macron a reconnu qu'elle n'aurait qu'un "impact très faible".Il a souhaité "qu'on regarde l'impact concret" d'une éventuelle interdiction de la pub sur les produits frappés d'un malus écologique. Mais il a surtout souligné qu'une interdiction causerait, selon annonceurs et diffuseurs, "un énorme problème économique", notamment pour la presse et la télévision.Il a souligné qu'au moment de la création de la loi Evin, souvent citée en exemple par les défenseurs d'une telle mesure, "il n'y avait pas internet". "Le paradoxe, c'est qu'on risque d'interdire la publicité (...) sur des acteurs qui contribuent à financer la création en France et qui font de l'emploi en France, mais on ne saura pas les interdire chez les acteurs qui ne payent déjà pas d'impôt en France", a-t-il dit, citant les plateformes en ligne.Il s'est par contre clairement prononcé pour "mettre dans la loi l'obligation d'avoir un score-carbone" évaluant les produits et "mettre nos concitoyens en situation de choisir les produits et de pouvoir les comparer" grâce par exemple à une application grand-public, comme il en existe pour l'alimentaire.5GLa convention préconisait un moratoire sur son déploiement en l'attente notamment d'études sur son impact sanitaire et environnemental. Emmanuel Macron avait fait monter la tension en taxant ironiquement cette proposition de "modèle Amish"."Ne considérez pas que ce soit mon joker du tout", a-t-il lancé à la représentante de la CCC qui l'interrogeait à ce sujet, blaguant sur le fait qu'elle ait "pensé très fort aux Amish et à votre serviteur" en posant sa question.Il s'est dit "favorable à ce qu'on fasse ce suivi", mais s'est fermement prononcé pour cette innovation sur laquelle "on a déjà commencé à prendre du retard". "Vous ne faites pas de réindustrialisation par le numérique, vous ne faites pas d'internet des objets si vous n'avez pas de 5 G," a-t-il martelé.Il a par contre souhaité "regarder les impacts en terme de renouvellement permanent des matériels et là vous avez raison, ces objets là sont très polluants"."Ce n'est pas simplement lié à la 5G", a-t-il souligné en souhaitant que soit "évalué le coût environnemental" de ces usages et en s'engageant à ce "qu'on n'essaie de contraindre le système pour réduire la part d'émissions de ce mode de consommation"
Il y a 4 ans et 157 jours

FFB : 2021 sera entre chien et loup

L’année 2021 sera celle de grands bouleversements, normatifs et réglementaires. La construction devra s’y adapter… Le bâtiment ne pouvait échapper à la crise. Toutefois, l’année 2020 se solde sur un score moins mauvais que prévu. Certes, l’activité des entreprises du secteur affiche – 15 % en volume. Mais les deux tiers de ce recul correspondent à l’arrêt durant le premier confinement, compensé dans une large part par les mesures de soutien immédiat. C’est ce qui explique que les entreprises de bâtiment soient toujours là et que l’emploi tienne : la baisse se trouve limitée à 0,8 %, soit 10 000 postes de moins, sur un an. Plus en détail, on relève une dégringolade en construction neuve : – 22 % dans le logement et – 23 % dans le non résidentiel. C’est la conséquence de l’arrêt des chantiers pendant le confinement et de la difficile reprise de l’instruction des permis et de la commande publique. Ainsi, côté logement, l’année 2020 affiche un repli de 8 % des mises en chantier et une chute de 15 % des autorisations. Côté non résidentiel, ces deux indicateurs s’effondrent de 15 % et de 18 %. Quant à l’amélioration-entretien, elle limite la casse, à – 9 %. Une année 2021 en demi-teinte Dans ce contexte, les perspectives 2021 s’annoncent en demi-teinte. La Fédération française du bâtiment (FFB) prévoit une hausse globale d’activité de 11 % en volume. Cette bonne nouvelle correspond en réalité à un simple rebond. Et ce ressaut ne permet pas de compenser l’effondrement de 2020. Ainsi, rapportée à l’activité de 2019, la prévision 2021 ressort en recul de 5,6 %… Certes, les prolongations du PTZ et du Pinel, bienvenues, mais sans “coup de pouce” ne peuvent s’assimiler à des mesures de relance. D’autant que les recommandations relatives aux conditions d’octroi du crédit pèsent sur les primo-accédants. Quant au non résidentiel, l’habituel attentisme des donneurs d’ordres privés en temps de crise risque de se trouver complété par un nouveau repli de la commande publique.  En résumé, les mises en chantier s’afficheraient en baisses respectives de 12,6 % en logement et de 6 % en non résidentiel. Ceci, pour tendre vers 328 000 unités et 22,2 Mm² sortis de terre. Quant aux permis, ils fléchiraient encore d’environ 9 % en logement et 3 % dans le non résidentiel. Seul, le segment de l’amélioration-entretien ressortirait en hausse de près de 10 % en 2021, solde de deux mouvements contraires (chute 2020 et rebond en 2021).  Un renchérissement de la construction de 4 à 8 % En 2021, les mises en chantier s’afficheraient en baisse de 12,6 % en logement. [©ACPresse] Pour ne rien arranger, l’année 2021 sera celle de grands bouleversements, avec l’entrée en vigueur de nouvelles normes et règles s’appliquant à la construction. Telles que la gestion des déchets sur chantier (passant de cinq à sept flux à trier). Ou la généralisation des douches sans ressaut (sans marche), les études de sol préalables et mesures parasismiques. Ou encore le pré-équipement des places de parking en bornes de recharge électrique et le doublement des espaces de stationnement des vélos. Autant de contraintes qui vont obliger à revoir certains projets, en retarder d’autres et à renchérir la construction. Sans compter l’arrivée de la RE 2020. D’une manière globale, le gouvernement, optimiste, chiffre le surcoût construction associé à environ 4 %. La profession, pessimiste, l’estime à plus du double ! Ce sera donc entre 4 et 8 % en plus… « La légitimité de chacune de ces avancées n’est pas contestable,concède Olivier Salleron, président de la FFB. En revanche, leur accumulation en si peu de temps et l’absence de toute mesure de compensation se transformeront en nouveau choc pour la construction neuve, faute de pouvoir faire supporter ces surcoûts à tous nos donneurs d’ordres potentiels. » Enfin, l’expérience passée montre que sortir d’une crise du secteur prend trois ou quatre ans. La FFB propose trois mesures de relance pour le logement. Tout d’abord, la mise en place d’un crédit d’impôt transitoire à la primo-accession dans le neuf. Ensuite, un complément au crédit d’impôt pour accompagner l’arrivée de la RE 2020. Et comme troisième mesure, elle souhaite voir majorer le Pinel pour les logements “labellisés RE 2020”. Ces propositions seront-elles suivies d’effets ? Réponse dans les mois qui viennent. 
Il y a 4 ans et 157 jours

Face à "une chute historique d'activité", le Bâtiment propose des mesures à "effet rapide"

CONJONCTURE. Les chiffres du secteur de la construction ne sont assurément pas bons en cette fin d'année 2020, qui a évidemment été marquée par la crise sanitaire et économique du coronavirus. Si tous les marchés sont en recul, la production affiche pourtant une certaine résilience, et les pertes d'emplois se limitent à l'intérim.
Il y a 4 ans et 157 jours

Le plan de relance doit être plus compatible avec la neutralité carbone

Les experts du HCC, scientifiques, ingénieurs ou économistes, se sont penchés sur le plan de 100 milliards d'euros sur deux ans dévoilé en septembre, pour voir dans quelle mesure il est compatible avec les engagements de la France de réduire ses émissions de gaz à effet de serre pour atteindre la neutralité carbone en 2050.Le HCC a étudié les 97 mesures, les classant entre celles "favorables, défavorables, ambigües ou qui s'inscrivent dans la continuité des émissions actuelles, trop élevées, de la France", selon ce rapport indépendant.Le gouvernement a fait de la transition écologique un des piliers de ce plan, avec 30 milliards d'euros consacrés au verdissement de l'économie.Le HCC a comptabilisé 28 milliards d'euros "favorables à l'atténuation des émissions de gaz à effet de serre", un montant proche de celui du gouvernement. "C'est un montant très important, la France fait partie des pays les mieux dotés" en ce sens, a relevé la climatologue Corinne Le Quéré, présidente du HCC, lors d'une conférence de presse en ligne.En revanche, "les deux tiers du plan soutiennent l'activité économique dans la continuité des pratiques actuelles. Elles pourraient avoir un effet significatif à la hausse sur les émissions de gaz à effet de serre par rapport à la trajectoire de réduction de la France, et font courir le risque d'un verrouillage dans des activités fortement émettrices à long terme", avertit le rapport.Les experts estiment aussi qu'il faut soutenir davantage des transformations structurelles à plus long terme pour que la France remplisse les objectifs fixés par l'accord de Paris de limiter le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C, voire à 1,5°C.
Il y a 4 ans et 157 jours

Réseau Lorenove, 3 nouvelles concessions ouvrent leurs portes

Le travail de l’équipe de Gérard Coron-Dall’o qui intervient sur l’animation commerciale, l’animation technique et le développement du réseau, porte ses fruits. Ce troisième trimestre manifeste l’ouverture de 3 nouvelles concessions dans le nord de l’Aveyron, dans la Loire et les Pyrénées Atlantiques. Visiblement le confinement n’a pas altéré la volonté de développement et de croissance des entrepreneurs français. Xavier Ryncarz, Alexandre Verdier et Michaël Ramah en sont le parfait exemple ! Ces trois chefs d’entreprises viennent de rejoindre le réseau Lorenove et d’ouvrir respectivement leurs concessions « LORENOVE MOLENAT AUBIN », « LORENOVE ROANNE » et « LORENOVE PAU ».   TROIS NOUVELLES CONCESSIONS POUR UNE MÊME VALEUR AJOUTÉE Compte tenu de la stratégie de développement du réseau qui vise à privilégier la qualité du partenariat à la quantité, LORENOVE capitalise sur les atouts et l’expérience que possèdent les entrepreneurs afin de fonder les bases solides de leur réussite. Ainsi Xavier RYNCARZ, Responsable de l’Agence « LORENOVE MOLÉNAT AUBIN » est un ancien salarié de l’entreprise MOLÉNAT, rachetée en 2015 par le Groupe LORILLARD. Intérimaire, puis successivement opérateur d’atelier, assistant de responsable de production, assistant en administration des ventes et responsable SAV, Xavier RYNCARZ a fondé et fait évoluer sa carrière chez MOLÉNAT, depuis 22 ans. Xavier RYNCARZ, Responsable de l’agence «LORENOVE MOLÉNAT AUBIN» Implantée historiquement depuis 1922 à DECAZEVILLE en AVEYRON, l’entreprise MOLÉNAT s’est spécialisée en 1965 dans la fabrication de menuiseries à destination des professionnels, mais n’a jamais commercialisé ses produits auprès des particuliers. Poussé par l’envie d’évoluer vers de nouveaux challenges, fort de son expérience au sein du Groupe LORILLARD et à l’appui du réseau LORENOVE, Xavier RYNCARZ fonde l’agence « LORENOVE MOLÉNAT ». Doté d’un showroom de 75 m², le magasin est implanté sur le site de MOLÉNAT, idéalement placé en bordure de nationale, et a ouvert ses portes mi-septembre. Xavier RYNCARZ qui démarre seul pour le moment, sera vite épaulé par une équipe de pose qui est en cours de développement. Sa zone commerciale s’étend de VILLEFRANCHE DE ROUERGUE, RODEZ (AVEYRON) à FIGEAC (LOT) en passant par MAURS (CANTAL).   De son côté Alexandre VERDIER, Dirigeant de la concession « LORENOVE ROANNE » a commencé sa carrière chez PLASTIBAIE en 2007 qui fut rachetée en 2009 par le Groupe LORILLARD. Après 7 ans passés au sein de PLASTIBAIE, cet ancien Responsable de Production a besoin de se réorienter vers de nouveaux horizons tout en valorisant son expérience acquise. Il rachète alors en 2014 les FERMETURES DU BRIONNAIS (71) spécialisées dans la vente de menuiseries BtoB, BtoC et auprès des architectes. En 2017 et 2018 il crée et rachète respectivement l’entreprise ALUSTAR (42) et Les Etablissements PUTANIER (42). A la tête d’un effectif de 30 salariés, Alexandre VERDIER souhaite accroître son activité BtoC et déployer sa commercialisation vers une clientèle haut de gamme. Devenir concessionnaire LORENOVE est pour lui un tremplin propice pour prendre de nouvelles parts de marché. Le magasin et le showroom de 160 m² de « LORENOVE ROANNE » ont ouvert fin octobre. Alexandre VERDIER, Dirigeant de la concession «LORENOVE ROANNE» Située dans la Zone Industrielle, la concession est accueillie au sein des 1000 m² des Etablissements PUTANIER abritant désormais les activités de vitrerie et miroiterie, la fourniture et la pose de menuiseries ainsi que le showroom. Sa zone commerciale s’étend de ROANNE (LOIRE) aux départements limitrophes du sud de la SAONE-ET-LOIRE, ainsi qu’au sud-est de l’ALLIER et l’est du PUY-DE-DOME. 10 salariés, 2 équipes de pose sont d’ores et déjà opérationnels. Un métreur/poseur ainsi qu’une technico-commerciale viendront renforcer la concession.   A Pau, Michaël RAMAH, dirigeant de la concession « LORENOVE PAU » vient de rejoindre le réseau. Ce Palois d’origine qui fait un retour aux sources pour raisons personnelles, suite à 15 ans d’expatriation, a choisi de repartir de zéro. En effet après 8 ans passés au sein d’un réseau de storistes, du côté d’Anger, Michaël RAMAH choisit de revendre sa société pour se tourner vers une offre de menuiseries plus étendue. Lorenove n’ayant pas d’entité sur la région Paloise et souhaitant se développer sur le secteur, c’est une opportunité commune qui s’est offerte à la marque et cet entrepreneur, pour déployer une future enseigne Fenêtres Lorenove. Michaël RAMAH, Dirigeant de la concession «LORENOVE PAU» Michaël connaît parfaitement le fonctionnement et les atouts des réseaux de concessionnaires mais le marché de la rénovation des menuiseries lui est inédit. A l’appui de formations techniques et commerciales dispensées par le Groupe Lorillard et du soutien de son animateur réseau, Michaël est opérationnel. Il s’est entouré d’une équipe de 2 poseurs, d’une assistante commerciale et d’un commercial et a doté son magasin d’un showroom de 150 m². Un second commercial devrait rejoindre l’équipe dans quelques mois. Situé en accès d’une zone commerciale passante, LORENOVE PAU ouvrira ses portes début janvier pour accueillir la clientèle du bassin Béarnais. Le choix de Xavier RYNCARZ, d’Alexandre VERDIER et de Michaël RAMAH de rejoindre le réseau LORENOVE, se fonde sur la notoriété de l’enseigne et l’engagement fort du Groupe LORILLARD à leurs côtés. Rejoindre LORENOVE c’est rejoindre un réseau soudé et jouir de son rayonnement tout en bénéficiant d’une exclusivité territoriale. « Intégrer LORENOVE c’est avoir la force d’un réseau derrière soit, pouvoir proposer un panel de produit de qualité et très étoffé avec des menuiseries mais également des volets roulants, battants, des portails. Je démarre seul mon activité sur ma région mais j’ai derrière moi tout un réseau et un Groupe solide pour m’épauler ». « Je souhaite développer mes activités vers un marché plus haut de gamme et pour cela j’ai besoin d’une force commerciale nationale, d’outils de communication performants et de garanties concurrentielles comme par exemple la garantie 20 ans sur les menuiseries PVC qui est un argument fort quant à la fiabilité des produits proposés. » « J’ai choisi de me rallier au réseau Lorenove principalement pour l’étendue des gammes, la renommée du réseau, la qualité des produits ainsi que les idées et valeurs humaines que la marque véhicule, qui m’ont toujours séduites. Leur nouveau concept d’accompagnement pour les entrepreneurs, m’a aussi conquis car sur mon secteur l’enseigne n’était pas du tout présente ainsi, je pars de zéro, sans entreprise de menuiserie, sans base de clients et il y a tout à faire », témoignent Xavier RYNCARZ, Alexandre VERDIER et Michaël RAMAH. De notoriété croissante, le réseau national de concessionnaires Fenêtres LORENOVE se fortifie. L’enseigne met un point d’honneur à véhiculer ses valeurs de marque : qualité, savoir-faire, rigueur, intégrité et services. Ainsi la stratégie de développement exige une sélection rigoureuse des candidats et implique un accompagnement attentif. L’intégration de ces 3 nouvelles concessions vient confirmer le bon déroulement du déploiement territorial du réseau. Et, dans la continuité de ce développement consciencieux, une autre concession devrait ouvrir ses portes d’ici fin janvier 2021 au Mans.
Il y a 4 ans et 157 jours

Collectif studiolada : Espace Marie et Mathias

À Ancy-Dorno (57), le collectif d’architectes studiolada a construit une halle et aménagé un parc touristique de loisirs. Affirmant son approche responsable de l’architecture, il signe un projet, dans un style sobre et fonctionnel, qui vante l’usage de matériaux locaux. À la demande de la Marie d’Ancy-Dornot, le collectif Studiolada a conçu une architecture aérienne et épurée, où cohabitent plusieurs infrastructures. Sous la halle de l’Espace Mathias et Marie, un espace sportif (volley, basket, hand, skateboard, bicross), un espace culturel (événements, spectacles à et un espace commercial (marchés divers). Le projet, sobre et fonctionnel, mise sur la flexibilité et la modularité, et s’adapte ainsi à la diversité des événements que l’équipement accueillera.Monumentale, la halle de 836 mètres carrés est composée de 9 travées de 4 mètres reposant sur 20 massifs en béton. Le sol est une grande dalle de béton lisse adapté à la pluridisciplinarité du lieu. La structure primaire est en douglas lamellé collé, tandis que le bardage et le voligeage ont été réalisés avec du pin noir issu des forêts communales. Les façades, quant à elles, sont rythmées par des fines plaques de polycarbonate transparent de la couverture et des bâches amovibles dessinées sur mesure. La grande halle, pouvant accueillir jusqu’à 500 personnes assises, est aussi dotée de châssis de désenfumage et d’éclairages supplémentaires, afin de rendre l’édifice modulable et le transformer en fonction des besoins de la commune. Pour en savoir plus, visitez le site du collectif Studiolada.Visuels : © Olivier MathiotteLa rédaction
Il y a 4 ans et 157 jours

Action logement : le Sénat s'oppose au prélèvement d'un milliard d'euros

Le Sénat, dominé par l'opposition de droite, a supprimé dans un large consensus le prélèvement d'un milliard d'euros dans les caisses d'Action Logement (ex-1% logement) prévu pour 2021.
Il y a 4 ans et 157 jours

Le projet de rénovation du musée Dobrée de Nantes réévalué à 43 millions d'euros

"Je pense que je suis le 4e président du département à porter ce projet. Je voudrais être le président qui transmettra un magnifique projet de musée", a déclaré Philippe Grosvalet, président PS du département au cours d'une conférence de presse.Le conseil départemental, qui avait déjà alloué 28 millions d'euros au projet, doit se prononcer lundi sur une nouvelle "autorisation de programme" portant le coût total des dépenses à 43 millions d'euros."Quant l'info a été donnée, j'ai sauté au plafond", a reconnu M. Grosvalet, qui a souligné que les prix avaient "considérablement augmenté dans la dépense publique"."Ce dossier cumule toutes les difficultés", a-t-il ajouté, évoquant notamment les risques de recours en justice.Un précédent projet porté par l'architecte Dominique Perrault avait été retoqué par la cour administrative d'appel de Nantes en 2014.Le musée, fermé depuis janvier 2011, devrait rouvrir fin 2023 si les travaux aboutissent dans les délais impartis. Les premiers travaux préparatoires (désamiantage, fouilles archéologiques...) ont commencé dès 2019. Des recours contre ces travaux et contre le permis de construire sont encore en cours.L'inflation du coût des travaux "traduit toute la complexité de cette opération sur un patrimoine non classé monument historique mais dont toutes les entreprises en reprennent les contraintes en termes de mode opératoire, d'aléas techniques et de risques financiers", explique le conseil départemental dans un dossier de presse.Regroupant 135.000 oeuvres couvrant 5.000 siècles et cinq continents, le futur musée "offrira un espace permanent d'exposition de plus de 2.000 m³" et "un espace d'expositions temporaires d'environ 400 m³" dans le manoir de la Touche, datant du XVe siècle, selon un dossier de presse. Situé dans le centre-ville de Nantes, le musée comptera des jardins, une librairie-boutique et un café.Le nouveau projet scientifique et culturel propose "d'embrasser" l'éclectisme de ses collections "et d'en faire un élément à part entière de l'identité spécifique du musée", selon la même source.En avril 2018, le reliquaire en or d'Anne de Bretagne, ancienne reine de France, avait été dérobé à l'intérieur du musée Dobrée, avant d'être retrouvé quelques jours plus tard.
Il y a 4 ans et 157 jours

Réduire sa facture de chauffage, c’est possible avec les poêles à combustible liquide Qlima

Le chauffage occupe une part importante dans le budget des foyers. Les familles font donc très attention à leur consommation d’énergie en hiver, préférant s’équiper d’appareils efficaces et économes. Tels les poêles à combustible liquide Qlima qui allègent significativement les dépenses. Économiques à l’achat comme à l’usage, les poêles à combustible liquide Qlima, leader européen sur ce marché, constituent la réponse idéale pour les particuliers attentifs à leur facture énergétique et à leur confort. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre jusqu’à 35 % par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh*. Installés en 30 secondes, ils chauffent la pièce en 5 minutes ! Les poêles à combustible liquide Qlima sont le moyen le plus rapide pour chauffer un intérieur. En quelques minutes, la puissance de chauffe, associée à un ventilateur performant (sur modèles Lasers), procure une chaleur confortable qui se diffuse rapidement dans toute la pièce. Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima sont totalement sécurisés. Ils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Qlima propose deux catégories de poêles à combustible liquide : – Les poêles électroniques Laser, dont le nouveau modèle SRE 4033 C, d’une esthétique design, efficace et économe, ou le SRE 9046 C-2, un appareil puissant pour grandes surfaces. – Les poêles à mèche, comme le R 8128S C, à haut rendement, équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo ». * Coûts kW/h moyens constatés   Nouveau poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima Un confort en or ! Efficace, sûr, rapide et très économe, le poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima s’intègre dans tous les intérieurs pour apporter une chaleur douce. Solution de chauffage design, il apporte les degrés nécessaires au bien-être dans des pièces jusqu’à 52 m2 pour 15 à 43 cts/h* seulement. Disponible en couleur or, ce modèle associe un brûleur haut de gamme à des fonctions programmables qui empêchent le gaspillage. Le brûleur à bec bunsen du SRE 4033 C Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remarquables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Pilotable depuis un large écran de contrôle LCD, le SRE 4033 C Qlima dispose d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, afin de maintenir la température programmée sans variation de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et l’appareil s’autorégule en fonction de la chaleur choisie, réduisant ainsi la consommation de combustible de 8 %. La fonction hors gel (en réglant l’appareil sur 5 °C) empêche le froid hivernal de dégrader la maison. Pour un chauffage en toute sécurité, le poêle électronique Laser Qlima est équipé d’un détecteur de CO2 qui contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima La puissance en action pour grandes surfaces Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 76 m2) pour 17 à 60 cts/h*. La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Équipé d’un brûleur high-tech, le SRE 9046 C-2 Qlima adapte en permanence sa puissance (entre 1 280 et 4 650 W) : c’est la régulation électronique. La puissance produite varie ainsi de 100 W en 100 W afin de correspondre précisément à la température programmée. Il en résulte un grand confort d’utilisation, mais aussi une réelle économie d’énergie. En activant le mode Save du SRE 9046 C-2 Qlima, la régulation électronique est doublée d’une fonction marche/arrêt automatique qui optimise la régulation. Par exemple, si la température de la pièce dépasse de 3 °C la température programmée, l’appareil s’éteint. Dans le cas contraire, il se remet en fonctionnement. Avec une régulation définie au plus juste, le confort est amélioré et la facture énergétique abaissée. De plus, pour empêcher le froid de faire des dégâts dans la maison, il est possible de programmer le mode Save sur 5 °C (fonction hors gel). Pour encore plus de confort, le SRE 9046 C-2 Qlima est équipé d’un grand réservoir de 9 litres, assurant jusqu’à 67 heures d’autonomie, et d’un système de temporisation de la ventilation, pendant l’allumage et l’extinction, qui évite la diffusion des odeurs de combustion. Ce modèle performant est également doté de dispositifs de sécurité infaillibles : parois froides, détecteur de CO2, système anti-renversement… * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle à mèche R 8128S C Qlima Un rendement proche de 100 % Autonome et à haut rendement, le poêle à combustible liquide R 8128S C Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo » qui permet d’optimiser les performances de l’appareil. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et le dégagement des odeurs considérablement limité. Le système « Turbo » apporte une grande puissance de chauffe et un confort d’utilisation hors pair : la chaleur est diffusée uniformément dans la pièce par convection (70 %) et par rayonnement (30 %). Capable de chauffer jusqu’à 42 m2 de surface, le poêle à mèche R 8128S C Qlima affiche une autonomie de 17 h 50, pour une puissance de chauffe de 2 850 W. Cet appareil mobile, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, mais aussi dans les garages, ateliers, vérandas… Ultra performant, le R 8128S C Qlima est aussi un as de la sécurité, car doté des équipements suivants : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2 et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement. • Un système de sécurité qui éteint l’appareil dès le retrait du réservoir.   Poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima     Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 300 W Volume pièce : de 21 à 52 m2 Autonomie : de 14,5 à 40 h Consommation : de 0,124 à 0,344 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 329 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 280 à 4 650 W Volume pièce : de 30 à 76 m2 Autonomie : de 18 à 67 h Consommation : de 0,134 à 0,485 l/h Capacité du réservoir : 9 l Dimensions : L 466 x P 349 x H 445 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 549 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle à mèche R 8128S C Qlima     Type de brûleur : à double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17 h 50 Consommation : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 470 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 4 ans et 157 jours

Déjeuner des ouvriers du BTP : l'Etat ouvre les salles polyvalentes

La ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les Collectivités Territoriales, Jacqueline Gourault, et le ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises, Alain Griset, ont annoncé le 15 décembre que les communes ou les collectivités territoriales pouvaient désormais mettre à disposition des salariés des entreprises du BTP des salles polyvalentes pour effectuer leur pause déjeuner.
Il y a 4 ans et 157 jours

France Relance : 4214 projets de rénovation énergétique des bâtiments publics de l’État

Jean Castex, Premier ministre, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et Olivier Dussopt, ministre délégué́ chargé des Comptes publics ont annoncé la sélection de 4214 projets pour 2,7 milliards d’euros en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments de l’État, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la vie étudiante, dans le cadre de France Relance. Les dossiers concernent un champ large de bâti : bâtiments de bureaux des services de l’État (ministères, préfectures), des bâtiments accueillant du public (commissariats, gendarmeries, centres des finances publiques…), des bâtiments d’enseignement supérieur et de recherche (universités, grandes écoles, laboratoires, organismes de recherche…), des bâtiments des CROUS (logement et restauration) ou encore des casernes, des locaux techniques. Autant de projets devant permettre d’améliorer la qualité d’accueil et de réception des usagers, comme les conditions de travail des agents de la fonction publique. Le Gouvernement a en premier lieu privilégié l’efficacité écologique et économique de la relance. Les projets ont ainsi été retenus au regard de deux critères essentiels : leur performance énergétique et la capacité à être mis rapidement en œuvre. Tous les projets retenus, mais tout particulièrement 4 108 projets de moins de 5 millions d’euros, vont favoriser les artisans, les TPE et PME partout en France, dans tous les territoires. Par ailleurs, l’investissement devrait permettre la création de 20 000 emplois sur 2021-2023. Cet investissement va également permettre de renforcer les compétences de la filière de la rénovation énergétique. Les services de l’État et les établissements publics vont devoir très rapidement mettre en œuvre les chantiers de rénovation, pour une notification au plus tard des marchés fin 2021 et avec une date limite de livraison des chantiers en 2023. Pour accélérer la relance, l’État a pris des mesures de simplification : le relèvement temporaire du seuil de la commande publique à 100 000 euros de travaux dans la loi ASAP ou la facilitation de la réalisation de marchés de conception-réalisation dans le PLF pour 2021.
Il y a 4 ans et 157 jours

Le programme Somfy air récompensé

Dans le cadre de la Convention Nationale du Pôle Habitat de la Fédération Française du Bâtiment, Somfy, leader mondial de l’automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment et Avenir Tradition, leader régional de la construction de Maisons individuelles en Provence-Alpes-Côte d’Azur et Languedoc-Roussillon, ont présenté la première maison équipée avec le programme Somfy air au Challenge Pôle Habitat FFB. Cette maison de 180 m² est pourvue de 2 grandes baies coulissantes CAIB, motorisées avec Sliding air io. La position « air » permet d’aérer en toute sérénité 2 fois par jour, comme le recommande l’OMS : la baie s’ouvre de quelques centimètres et se bloque par mesure de sécurité. Elle peut également se refermer automatiquement pour éviter tout oubli avant de partir. Compatible avec la box domotique TaHoma, cette baie coulissante automatisée s’intègre parfaitement dans l’écosystème des équipements connectés de la maison. Somfy air a obtenu en octobre 2020 le label « SOLAR IMPULSE EFFICIENT SOLUTION », qui récompense 1000 solutions efficaces et rentables qui améliorent la qualité de vie tout en respectant l’environnement. Il vient d’être récompensé lors du Challenge Pôle Habitat FFB dans la catégorie industrielle récompensant les approches les plus innovantes face aux grands enjeux du logement et de l’habitat. Sliding Air io est disponible auprès des fabricants qui l’ont intégrée à leurs baies coulissantes : CAIB, Kline, prochainement Meo et d’autres fabricants suivront en 2021. La baie coulissante automatisée et connectée, créée en partenariat avec le groupe Liébot, a été récompensée aux Awards Innovation du Mondial du Bâtiment 2019.
Il y a 4 ans et 158 jours

Avec l'arrivée de la ligne 14 à Saint-Ouen, le Grand Paris Express devient réalité

TRANSPORTS. Le prolongement de la ligne 14 du métro parisien vers Mairie de Saint-Ouen a été inauguré ce 14 décembre 2020. Une première mise en service dans le cadre du Grand Paris Express auquel a assisté le Premier ministre Jean Castex.
Il y a 4 ans et 158 jours

Résultats de la 8ème édition du Prix Femmes Architecte

Pour le Prix 2020, l'ARVHA reçoit également le soutien de BNP PARIBAS Real Estate, Ciments Calcia, Unibail Rodamco, et COGEDIM ainsi que de Batiactu, de TEMA et du journal de l'architecte.Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s'inspirer des modèles féminins existants, et d'encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.En 2019 le jury a attribué quatre prix et deux mentions spéciales:Prix Femme Architecte : Dominique JAKOB - JAKOB +MAC FARLANEPrix Œuvre originale : Fabienne BULLEMention spéciale œuvre originale : Marie France CHATENETPrix Jeune Femme Architecte : Marie PERIN Tica architectes et urbanistesPrix international : Francine HOUBENMention spéciale : Elisa VALEROEn 2019, La compétition a été ouverte du 1er juin au 30 septembre. Le jury s'est réuni le 31 Octobre 2019 pour désigner les lauréates de chaque prix. La cérémonie a été introduite par Claudia MATTOGNO architecte et professeur à la Sapienza et Présidente du Jury. Le prix Femme Architecte a été remis par Denis DESSUS président du conseil national de l'ordre des architectes. Le prix Œuvre Originale par Véronique DESCHARRIERES et la mention spéciale de l'œuvre originale par Katia DOMSCHKY membre du CEA Task force « Women in Architecture » , le prix Jeune Femme Architecte par Sandra Di Giorgio le prix international remis par Sophie BERTHELIER et la mention spéciale par Catherine BARBIER-AZAN et par Beatrice MOUTON.En 2020, 465 candidatures ont été examinées et ont présenté 1500 projets.En 2020, quatre prix ont décerné et une mention pour: Femme architecte primée pour ses projets réalisés – 3 à 5 ouvrages construits,Une œuvre originale réalisée par une femme architecte, et une mention spécialeJeune Femme architecte de moins de 40 ans primée pour ses projets – 3 à 5 projets réalisés ou nonPrix International 3 à 5 ouvrages construitsLa cérémonie de remise du prix s'est déroulé en visio-conférence le 9 décembre 2020 devant plus de 1500 personnes. En 2020, La compétition a été ouverte du 1er juin au 30 septembre. Le jury s'est réuni le 30 Octobre 2020 pour désigner les lauréates de chaque prix sous la présidence de Catherine GUYOT secrétaire générale de l'ARVHA et présidente de Women in Architecture France et de Spela HUKAR vice-présidente du jury et représentant de la chambre des architectes de Slovénie. La cérémonie a été conclue par Denis DESSUS président du Conseil National de l'Ordre des Architectes.Le jury était composé de représentants du Ministère de la Culture Madame (Agnès SAAL), de l'Ordre des Architectes National (Elizabeth GOSSART ) de Béatrice AUXENT présidente d'ARCHITECTUELLES , des lauréates du Prix 2019, Dominique JAKOB, Marie PERIN, Fabienne BULLE Sophie BERTHELIER de Spela kUHAR Vice-présidente du jury, représentante de la chambre des architectes des Slovénie, de Bettina DREIR FIALA représentante de la chambre des architectes D'Autriche et leader du projet « YesWePlan ! » pour l'égalité Hommes Femmes dans le secteur de l'architecture, de Iris WEX représentante de la chambre des architectes d'Allemagne et membre du CEA, Catherine PAPILLON directrice de communication BNP PARIBAS REAL ESTATE, et de Catherine GUYOT directrice de l'ARVHA, Présidente de Women in Architecture.Pour l'année 2020, les résultats sont les suivants:Jeune Femme ArchitectePour la catégorie Jeune Femme Architecte, le prix est attribué à OH ! SOM architectesStéphanie Franceschi, Marie Fade, Caroline Mangin.Le prix Œuvre OriginaleLe prix Œuvre Originale est attribué à Cathrin TREBELJAHR pour son projet « Réhabilitation et extension de l'ancienne préfecture de Versoix »La mention spéciale est donnée à Sophie DENISSOF agence CASTRO DENISSOF son projet « habiter le ciel » et pour son parcours professionnel.Prix International : deux prix ex æquoLe prix est attribué à Anna HERINGER pour son œuvre (Allemagne) et à Benedetta TAGLIABUE (Ex æquo) pour son œuvre (Espagne).Femme ArchitecteLe Prix Femme Architecte est décerné à Florence LIPSKY Agence LIPSKY ROLLET° pour son œuvre.L'ARVHA remercie l'ensemble des participants, lauréates ou non lauréates, les membres du jury pour leur investissement pour ce prix ainsi que Denis DESSUS président du conseil national de l'ordre des architectes, Agnès SAAL Ministère de la Culture, Elizabeth GOSSART du CNOA, Spela KUHAR vice-présidente du jury et représentante de la chambre des architectes de Slovénie , de Bettina DREIR FIALA représentante de la chambre des architectes D'Autriche et leader du projet « YesWePlan! » pour l'égalité Hommes Femmes dans le secteur de l'architecture, d'Iris WEX représentante de la chambre des architectes d'Allemagne et membre du CEA et Catherine PAPILLON directrice de communication BNP PARIBAS REAL ESTATE, Béatrice AUXENT présidente d'Architecturelles Hauts-de-France et tous les membres du jury pour leur contribution, qui ont examiné 1500 œuvres présentées par 465 dossiers de femmes architectes sur le site web www.femmes-archi.org
Il y a 4 ans et 158 jours

Bercy renforce le soutien au crédit inter-entreprises pour le premier semestre 2021

ASSURANCE-CRÉDIT. En raison de la crise sanitaire qui s'éternise, le Gouvernement a annoncé ce 14 décembre 2020 vouloir renforcer et prolonger les dispositifs de soutien au crédit entre entreprises pour les 6 premiers mois de l'année 2021. Un nouvel accord a été conclu en ce sens avec les principaux acteurs de l'assurance-crédit en France.
Il y a 4 ans et 158 jours

Assurance chômage : les concertations reprendront "début janvier", annonce Borne

Sur l'assurance chômage, "on a eu beaucoup d'échanges avec les partenaires sociaux. Entre-temps, on a eu une décision du Conseil d'État (fin novembre, ndlr) qui a annulé des dispositions sur le bonus-malus (...) et considéré que le dispositif issu de la réforme de 2019 sur le calcul du salaire journalier de référence (SJR) soulevait des questions d'égalité de traitement", a rappelé la ministre lors d'une visioconférence avec l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis)."Compte tenu de tout ça et du fait qu'on veut évidemment tirer pleinement les conséquences de la décision du Conseil d'État, on reviendra vers les partenaires sociaux plutôt début janvier", a-t-elle ajouté, alors qu'une réunion devait initialement se tenir en décembre.Du fait de la crise économique, le gouvernement a suspendu l'application de la réforme, décidée par décret en juillet 2019, jusqu'au 1er avril 2021.Interrogée pour savoir pourquoi le gouvernement n'avait pas choisi de redonner la main aux partenaires sociaux sur ce dossier, elle a répondu: "je ne suis pas très sûre qu'ils en aient envie". Elle a également estimé qu'il y avait "un chemin" concernant les modalités de calcul de l'allocation pour répondre à la difficulté mise en avant par le Conseil d'État sur le SJR.Sur le sujet du télétravail, Mme Borne a par ailleurs indiqué qu'il faudrait confirmer la possibilité d'un assouplissement en janvier "en fonction des indicateurs sanitaires", ce qui sera fait "dans la semaine".La ministre avait dit vouloir proposer de revenir à "au moins un jour par semaine" sur site, alors que la règle actuelle veut que 100% des tâches télétravaillables soient télétravaillées. Et ce avant de laisser la main aux partenaires sociaux qui viennent de conclure un accord interprofessionnel, qui, a-t-elle précisé devant l'Ajis, ne nécessite "pas de transcription législative".La ministre a encore indiqué qu'elle discuterait vendredi avec les partenaires sociaux des travailleurs des plateformes "avec l'objectif d'aboutir au cours de l'année 2021: d'abord sur la question de la représentation" de ces travailleurs "et dans un deuxième temps sur la protection sociale", le récent rapport Frouin étant une des "briques" versées à la concertation.La question des travailleurs de la "deuxième ligne" face au Covid-19 sera aussi abordée vendredi, la mission qui planche sur ce sujet devant faire, selon Mme Borne, une "restitution" sur l'identification des métiers concernés et présenter "les critères" proposés pour apprécier la qualité de ces emplois.
Il y a 4 ans et 158 jours

L'État lance une vaste rénovation thermique de 4.000 bâtiments publics

Ces "4.200 opérations réparties sur l'ensemble du territoire" représentent "un effort massif", a souligné le Premier ministre Jean Castex à Matignon.Ce programme était prévu dans le cadre du plan de relance d'une centaine de milliards d'euros du gouvernement, annoncé à la fin de l'été, dans le but de sortir durablement l'économie de la crise du coronavirus.L’État prévoit de consacrer quatre milliards d'euros à rénover ses bâtiments, mais le programme annoncé lundi ne représente que 2,7 milliards.Il ne vise en effet que les bâtiments qui dépendent directement de l’État et non ceux appartenant aux collectivités locales - comme les écoles -, qui font l'objet d'une autre enveloppe d'1,3 milliard d'euros.En ce qui le concerne, l’État compte faire rénover un peu plus de 4.000 bâtiments, dont une large part d'universités et d'établissements de recherche, à qui échoit la moitié de l'enveloppe, aux côtés de commissariats, de préfectures ou de casernes.Le gouvernement et les préfets ont eu l'embarras du choix car les candidatures ont représenté au total trois fois plus que l'enveloppe prévue, à plus de dix milliards d'euros de travaux potentiels, un "très grand succès" dixit Matignon.Le gouvernement promet d'aller très vite, l'ensemble des projets retenus devant être officialisés l'an prochain pour être achevés d'ici à la fin 2023."Il s'agit d'être efficace, de créer des emplois au moment où la crise est la plus forte", a martelé M. Castex.Cette rapidité vise non seulement à relancer l'activité du bâtiment - il table sur la création de 20.000 emplois - mais aussi à pousser le secteur à accroître ses compétences en matière de rénovation énergétique."Dans les 4.200 projets, 95% sont des projets de moins de 5 millions d'euros et iront donc vers des PME et des TPE", a relevé le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.Malgré des délais contraints, le gouvernement se défend de toute précipitation, assurant n'avoir retenu que des projets réalistes.Le but "n'est pas tant d'avoir bouclé le projet le plus rapidement possible (...) que de ne plus perdre de temps" pour les lancer, ajoute-t-on à Bercy.
Il y a 4 ans et 158 jours

Rénovation de l'immobilier de l'Etat : 4.200 projets vont être lancés en 2021

RELANCE. Le Gouvernement a sélectionné, parmi 6.000 projets, ceux qui vont bénéficier des 2,7 milliards d'euros du plan de relance consacrés à l'immobilier public de l'Etat. La moitié des fonds sont fléchés vers des bâtiments à l'usage de la jeunesse ou de l'enseignement supérieur.
Il y a 4 ans et 158 jours

La convalescence s'annonce encore longue pour l'économie française

Après le premier confinement, les économistes et le gouvernement ont été surpris par une reprise plus forte que prévu de l'économie. Mais la deuxième vague de l'automne et le danger d'une troisième ont refroidi les espoirs. Et cela malgré la perspective d'un déploiement prochain des vaccins.Le gouvernement a dû revoir à la baisse sa prévision de croissance pour 2021 à +6%. Une performance atteignable "s'il n'y a pas de troisième confinement et si on a une reprise économique relativement régulière à partir du 1er trimestre", prévient Patrick Artus, économiste en chef de Natixis.Sinon, "tout sera différent: ça voudra dire qu'il faudra attendre 2024 pour retrouver le niveau de PIB d'avant la crise, le chômage va monter beaucoup plus haut, les faillites d'entreprises aussi", ajoute-t-il.Au-delà des chiffres, la réalité s'annonce plus contrastée. La crise devrait consolider certaines activités, comme le commerce en ligne, les métiers de la santé et du soin, et la transition écologique, un axe clé du plan de relance.A l'inverse, tout un pan de l'économie - le tourisme, la restauration, les activités culturelles et de loisirs - reste en sursis."Il y a de nombreux points d'interrogation" sur l'avenir de ces secteurs, souligne Patrick Artus. "Est-ce qu'on retourne autant qu'avant dans les restaurants? Est-ce qu'on reprend autant qu'avant l'avion? Est-ce que le tourisme de masse du week-end recommence? Personne n'en sait rien".Pour l'instant, les entreprises résistent, sous perfusion de plus de 470 milliards d'aides publiques, dont la majorité en garanties de prêts. Et, grâce au recours massif au chômage partiel, elles ont encore peu licencié, supprimant surtout les emplois en CDD ou en intérim.Mais le pire est à venir, même sans troisième vague."Les faillites vont arriver courant 2021 et elles pourraient causer 200.000 destructions d'emplois", avance Bruno Ducoudré, économiste de l'OFCE.Le taux de chômage devrait ainsi déjà flamber à 9,7% cette année, selon l'Insee. Et l'an prochain, "la montée sera progressive", avance Bruno Ducoudré, l'OFCE tablant sur 10,6% à la fin de l'année.Pour limiter cette hausse, le gouvernement mise notamment sur son plan "un jeune, une solution", dont il perçoit de "premiers signaux positifs", au niveau du recours à la prime à l'embauche, de la progression des contrats d'apprentissage et des parcours d'accompagnement pour les plus éloignés de l'emploi.Une garantie de ressources de 900 euros par mois a également été décidée jusque février pour 400.000 travailleurs précaires, qui alternent emploi et chômage.Cela risque cependant de ne pas suffire à combler tous les "trous dans la raquette" et à empêcher le basculement d'un certain nombre de personnes dans la pauvreté.Les départements constatent déjà une hausse des bénéficiaires du RSA - estimée à 8,5% sur un an fin septembre - et les associations d'aide alimentaires ont déjà enregistré entre 10 et 25% de nouveaux inscrits pour leur campagne cet hiver.Relance et réformesFace à ces risques, le "quoi qu'il en coûte" promis par Emmanuel Macron reste d'actualité, avec 20 milliards d'euros de dépenses d'urgence rajoutées in extremis dans le projet de budget pour 2021."Il n'est pas temps de lever les mesures de soutien à l'économie", a plaidé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, même si les aides - et en particulier le fonds de solidarité dédié aux petites entreprises - seront désormais ciblées sur les secteurs les plus touchés par la crise.Pour ceux qui vont mieux, l'exécutif compte sur le plan de relance de 100 milliards d'euros sur deux ans pour prendre le relais en 2021 et doper la reprise.Mais la plupart des économistes s'interrogent sur son efficacité à court terme, alors qu'il est surtout axé sur un soutien à l'investissement dans des secteurs d'avenir et sur la baisse des impôts de production pour les entreprises.C'est dans ce climat d'incertitudes, à un peu plus d'un an de la prochaine élection présidentielle, que l'exécutif veut reprendre ses projets de réformes de l'assurance-chômage et des retraites, malgré les dissonances en son sein sur la méthode et le calendrier.Il est question du respect des promesses présidentielles, mais l'enjeu est aussi financier, avec une dette qui a explosé à 120% du PIB cette année et qui va encore grimper l'an prochain, et l'oeil de Bruxelles qui pourrait se faire moins conciliant à mesure que la crise s'éloigne.
Il y a 4 ans et 158 jours

Bâtiments neufs: Engie critique les normes envisagées, EDF répond

Le président du géant gazier Engie a vivement critiqué l'intention du gouvernement d'exclure le gaz des bâtiments neufs, jugeant le tout-électrique "inefficace" ce que conteste EDF.
Il y a 4 ans et 158 jours

Jean-François Tinard prend les rênes du Collège SNPB Paca

Jean-François Tinard, nouveau président du Collège SNPB Provence-Alpes-Côte d’Azur. [©SNBP] Jean-François Tinard (Cemex) a été porté à la présidence du Collège Syndicat national du pompage du béton (SNBP) de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il succède à Pascal Juyaux (Maxi Pompage). Jean-François Tinard souhaite poursuivre les engagements en cours de son prédécesseur. Il s’agira de continuer à promouvoir le pompage de béton sur la sécurité. Mais aussi de maintenir l’effort porté sur la mise en avant des arguments du BPE. Ceci, pour répondre aux enjeux environnementaux. Et sur la productivité, trois points-clefs essentiels au métier. Jean-François Tinard cumule 36 années d’expérience dans le béton prêt à l’emploi (BPE). Il a occupé différents postes au sein de Bétons Pacifique (groupe Audemard), pendant 10 ans. Puis, chez Cemex Bétons Sud Est durant 26 ans. Depuis février 2019, il est à la direction de Cemex Matériaux pour l’agence Provence.
Il y a 4 ans et 158 jours

Logement social: E. Wargon veut durcir les sanctions pour les communes récalcitrantes

E. Wargon veut durcir les sanctions pour les communes ne respectant pas les règles concernant le logement social, en substituant le préfet au maire dans l'attribution des permis de construire.
Il y a 4 ans et 158 jours

Le chômage partiel pourrait encore coûter 10 milliards d'euros à l’État en 2021, selon l'OFCE

Pour 2021, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) prévoit un rebond du produit intérieur brut (PIB) de 7,1%, après une récession de 9,5% cette année.Mais, si ce rebond peut paraître "spectaculaire, il masque cependant des pertes d'activités encore importantes fin 2021", prévient l'OFCE. Ainsi, au dernier trimestre de 2021, le PIB sera toujours 1,4% en dessous de son niveau d'avant crise, et ce malgré le plan de relance prévu par le gouvernement. Mais ce sera bien plus dans les secteurs qui resteront contraints du fait du maintien de règles sanitaires, comme la restauration, les activités culturelles ou les commerces.Ainsi, de nombreuses entreprises continueront de mobiliser le chômage partiel pour réduire leurs coûts tout en évitant de licencier leurs salariés.En volume, cela représenterait encore environ 900 millions d'heures d'activité partielle l'an prochain, pour "un montant d'indemnisation de 10 milliards d'euros pris en charge par l'Etat et l'Unédic", anticipe l'OFCE, après un total de près de 2.700 heures cette année et près de 30 milliards d'euros mobilisés.La ministre du Travail Elisabeth Borne a d'ailleurs annoncé le maintien jusqu'à fin janvier des conditions actuelles d'indemnisation du chômage partiel. En particulier une prise en charge à 100% par l'Etat pour les secteurs les plus touchés par la crise. A ce stade, le gouvernement a budgété 6,5 milliards d'euros pour le chômage partiel l'an prochain. Ce dispositif, le plus coûteux pour les finances publiques depuis le début de la crise, a permis d'éviter une flambée encore plus grande du chômage cette année. En 2020, l'emploi salarié se serait contracté de 790.000 emplois par rapport au dernier trimestre de 2019, selon l'OFCE, qui estime qu'on atteindra 793.000 suppressions d'emplois fin 2021, toujours par rapport au niveau d'avant-crise. En particulier, les faillites d'entreprises, contenues jusqu'ici par le soutien public, pourraient entrainer la destruction de 180.000 emplois l'an prochain. Ces suppressions d'emploi seraient plus nombreuses dans l'industrie où les gains de productivité à en tirer sont les plus importants. Au total, fin 2021, le taux de chômage s'élèverait à 10,6%, après 9,5% fin 2020. Par ailleurs, l'OFCE souligne que l'Etat a considérablement augmenté sa prise en charge des effets de la crise au dernier trimestre, surtout en faveur des entreprises avec le renforcement du fonds de solidarité. Sur la période, les pouvoirs publics au sens large ont pris à leur compte 85% des pertes de revenu causées par la crise, les ménages et les entreprises se partageant le reste à parts égales. Lors des trois premiers trimestres, la part du choc absorbé par l'Etat a été de 56%, contre 41% par les entreprises et 3% par les ménages, estime l'OFCE.
Il y a 4 ans et 158 jours

Le chômage partiel pourrait encore coûter 10 millards d'euros à l’État en 2021, selon l'OFCE

Pour 2021, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) prévoit un rebond du produit intérieur brut (PIB) de 7,1%, après une récession de 9,5% cette année.Mais, si ce rebond peut paraître "spectaculaire, il masque cependant des pertes d'activités encore importantes fin 2021", prévient l'OFCE. Ainsi, au dernier trimestre de 2021, le PIB sera toujours 1,4% en dessous de son niveau d'avant crise, et ce malgré le plan de relance prévu par le gouvernement. Mais ce sera bien plus dans les secteurs qui resteront contraints du fait du maintien de règles sanitaires, comme la restauration, les activités culturelles ou les commerces.Ainsi, de nombreuses entreprises continueront de mobiliser le chômage partiel pour réduire leurs coûts tout en évitant de licencier leurs salariés.En volume, cela représenterait encore environ 900 millions d'heures d'activité partielle l'an prochain, pour "un montant d'indemnisation de 10 milliards d'euros pris en charge par l'Etat et l'Unédic", anticipe l'OFCE, après un total de près de 2.700 heures cette année et près de 30 milliards d'euros mobilisés.La ministre du Travail Elisabeth Borne a d'ailleurs annoncé le maintien jusqu'à fin janvier des conditions actuelles d'indemnisation du chômage partiel. En particulier une prise en charge à 100% par l'Etat pour les secteurs les plus touchés par la crise. A ce stade, le gouvernement a budgété 6,5 milliards d'euros pour le chômage partiel l'an prochain. Ce dispositif, le plus coûteux pour les finances publiques depuis le début de la crise, a permis d'éviter une flambée encore plus grande du chômage cette année. En 2020, l'emploi salarié se serait contracté de 790.000 emplois par rapport au dernier trimestre de 2019, selon l'OFCE, qui estime qu'on atteindra 793.000 suppressions d'emplois fin 2021, toujours par rapport au niveau d'avant-crise. En particulier, les faillites d'entreprises, contenues jusqu'ici par le soutien public, pourraient entrainer la destruction de 180.000 emplois l'an prochain. Ces suppressions d'emploi seraient plus nombreuses dans l'industrie où les gains de productivité à en tirer sont les plus importants. Au total, fin 2021, le taux de chômage s'élèverait à 10,6%, après 9,5% fin 2020. Par ailleurs, l'OFCE souligne que l'Etat a considérablement augmenté sa prise en charge des effets de la crise au dernier trimestre, surtout en faveur des entreprises avec le renforcement du fonds de solidarité. Sur la période, les pouvoirs publics au sens large ont pris à leur compte 85% des pertes de revenu causées par la crise, les ménages et les entreprises se partageant le reste à parts égales. Lors des trois premiers trimestres, la part du choc absorbé par l'Etat a été de 56%, contre 41% par les entreprises et 3% par les ménages, estime l'OFCE.
Il y a 4 ans et 158 jours

Logement social: un plaidoyer du gouvernement pour plus de mixité

Emmanuelle Wargon et une cinquantaine de parlementaires plaident en faveur d'une révision des obligations des collectivités territoriales en matière de logement social et pour une plus grande mixité.
Il y a 4 ans et 158 jours

Le prolongement à Saint-Ouen de la ligne 14 du métro parisien ouvre lundi

Après une courte cérémonie, ce tronçon de 5,8 km entre Saint-Lazare et Mairie de Saint-Ouen sera mis en service à 16H00, selon Ile-de-France Mobilités et la RATP. La ligne 14, qu'on appelle encore parfois "Meteor", est la dernière née du réseau métropolitain. Inaugurée par Jacques Chirac en octobre 1998 entre Madeleine et Bibliothèque François-Mitterrand, elle a été prolongée au nord à Saint-Lazare en décembre 2003 et au sud à Olympiades en juin 2007, et faisait jusqu'à présent 8,6 km de long.La présidente du conseil régional et d'Ile-de-France Mobilités Valérie Pécresse vante "l'une des lignes les plus modernes du monde", la seule du réseau parisien accessible aux handicapés, aussi.L'idée de prolonger cette ligne de métro automatique jusqu'à Saint-Ouen remonte à 2007: elle est alors apparue comme la solution la plus satisfaisante pour soulager le nord de la ligne 13, dont les deux branches ploient sous la charge. Avec la promesse de la délester du quart de son trafic. Le prolongement de la ligne 14 doit aussi mieux desservir des secteurs en plein développement avec le nouveau quartier des Batignolles, le Tribunal de Paris ou encore les nombreux bureaux qui sortent de terre à Saint-Ouen.Ouvert avec trois ans de retard, le nouveau tronçon comporte quatre stations assez monumentales, celle de Porte de Clichy, desservant le Tribunal, n'ouvrira toutefois qu'en janvier, ainsi qu'un dépôt construit pour accueillir des rames dernier cri plus longues, achetées à Alstom. Au-delà, les travaux battent leur plein pour de nouveaux prolongements tant au nord, jusqu'à Saint-Denis Pleyel (Seine-Saint-Denis), qu'au sud, jusqu'à l'aéroport d'Orly (Essonne), juste à temps pour les jeux Olympiques en 2024. Avec au passage le changement du système d'automatisation, toujours fourni par le groupe allemand Siemens.La ligne fera alors 27 km de long, et devrait transporter 1 million de voyageurs par jour, contre 550.000 avant la pandémie.La Société du Grand Paris (SGP) a couvert 59% des 1,4 milliard d'euros du dépensés pour le prolongement jusqu'à Saint-Ouen, Paris 21% et la région Ile-de-France 14%.Ile-de-France Mobilités finance de son côté le matériel roulant (620 millions pour le moment) et couvre le déficit d'exploitation.
Il y a 4 ans et 158 jours

Des maires de la Côte d'Azur dénoncent des pénalités arbitraires pour non-respect des quotas de logements sociaux

"Nous dénonçons une injustice, un arbitraire car nos communes se retrouvent carencées au titre de la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbains)", a déploré David Lisnard, maire LR de Cannes au cours d'une conférence de presse avec ses voisins du Cannet, Mandelieu-La Napoule et Villeneuve-Loubet.Chacune de ces quatre communes se voit contrainte, en application de la loi SRU, de verser, selon les cas, des pénalités comprises entre 1 et 1,8 million d'euros par an, et ce chaque année pendant trois ans.Depuis 2000, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains impose aux communes de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France) de disposer d'ici à 2025 de 20% de logements sociaux, un taux relevé à 25% en 2014, excepté pour certaines communes qui justifient d'une situation locale particulière.Le taux de logement social à Cannes est de 17%, mais "raisonner en valeur absolue en niant le fait que nous avons eu des inondations et que nous ne voulons pas bétonner est totalement arbitraire", selon M. Lisnard, alors que la ville est pénalisée pour ne pas avoir atteint les objectifs fixés.Le maire qui reproche à l'Etat de "déjuger les représentants locaux qui tiennent compte de la réalité du territoire" a indiqué vouloir "attaquer au tribunal administratif" cet arrêté de carence "inique"."Du jour au lendemain, des territoires déjà urbanisés de manière très dense comme la Côte d'Azur se retrouvent avec l'obligation de produire des milliers de logements, et si on ne le fait pas, on est sanctionné", a dénoncé Sébastien Leroy, maire LR de Mandelieu-La Napoule.Il a décidé lui aussi de contester en justice les pénalités imposées à sa commune."Aujourd'hui, un responsable gouvernemental a donné l'ordre à ses services, huit semaines après les intempéries de la Vésubie, un an après les intempéries de 2019 et cinq ans après celles de 2015, d'ignorer ouvertement un message d'alerte de ses propres services sur le risque inondation (...) afin de pouvoir appliquer la doctrine politique de l'Etat", a martelé M. Leroy.Lionnel Luca, maire LR de Villeneuve-Loubet, a annoncé vouloir faire un recours gracieux auprès du préfet avant d'engager d'autres actions, dénonçant "une course à l'échalote" qui conduit à la "bétonnisation".
Il y a 4 ans et 158 jours

TVA réduite : rien n’est fait !

La FFB et la Capeb suivent de près l’amendement au projet de loi de finances 2021 qui apporte des modifications majeures au taux réduit de TVA appliqué aux travaux de rénovation énergétique voté au Sénat. Adopté avec l’accord du gouvernement, ce nouvel article pourrait conduire à exclure d’emblée toute une série d’équipements bénéficiant de cette TVA : suppression des fenêtres sauf changement du simple vitrage, suppression des volets isolants et portes d’entrée, notamment. Cette modification imposerait une obligation nouvelle de qualification à tous les artisans qui souhaitent faire bénéficier de ce taux réduit de TVA à leurs clients. Il existe aujourd’hui 65 000 entreprises qualifiées RGE sur les 320 000 entreprises de bâtiment que compte le pays. Cette modification pourrait donc interdire, dès le 1er juillet prochain, à plus de 250 000 artisans de pratiquer la TVA à taux réduit. Le 11 décembre, la CAPEB a proposé aux députés de la commission de finances, un amendement de suppression argumentant les raisons pour lesquelles la restriction du périmètre de la TVA réduite adoptée au Sénat était inopportune. Plus de 70 parlementaires, tous groupes confondus, ont cosigné ce projet d’amendement qui a amené le Rapporteur Général, a considéré : « qu’il n’était pas raisonnable, à ce stade, de faire cette modification (de la TVA), avec, de façon évidente, un manque de concertation avec le secteur ». Dans ces conditions, Laurent SAINT-MARTIN a proposé à la commission des finances de ne pas voter l’article, ce qui revient, a-t-il poursuivi, « à une satisfaction collective ». Ainsi l’article contesté, introduit par le sénat, a été supprimé par la commission des finances de l’Assemblée nationale. Les députés devront en séance publique, ce lundi après-midi, confirmer ce vote de la commission.
Il y a 4 ans et 158 jours

Appel national pour le patrimoine de la Vallée de la Roya et de la Vésubie

La tempête Alex a dévasté le patrimoine des communes de la Vallée de la Roya, de la Vésubie et du Haut-Pays. La Fondation du patrimoine lance un appel national à la générosité publique pour venir en aide à ces communes et entreprendre les travaux jugés les plus urgents. Les dons recueillis permettront d’alimenter un fonds de soutien qui sera reversé aux communes les plus touchées. Le démarrage rapide des travaux, au-delà du message d’espoir porté vers toute une population, représente un enjeu économique majeur. Il permettra de donner du travail aux artisans locaux, aux métiers d’art, et aux entreprises spécialisées dans la restauration du patrimoine. La capacité d’attractivité touristique de ce territoire représente d’autre part une de ses ressources essentielles. Il est urgent de rouvrir dès que possible les portes de ce patrimoine aux visiteurs. L’attribution des fonds recueillis se fera en étroite concertation avec la Drac, le Département des Alpes-Maritimes, la Métropole Nice-Côte d’Azur, et les intercommunalités des Alpes-Maritimes. Le patrimoine historique, dont le patrimoine religieux, a apparemment résisté, aucun monument n’a été emporté. Mais les 500 mm de pluie ont gravement endommagé les toitures d’édifices déjà vulnérables par le poids des siècles. L’eau est entrée à l’intérieur des édifices, et a entrainé des dommages annonciateurs d’une prochaine et rapide dégradation (fissures, décroutages, affaissements, etc.). Il s’agit pour une grande partie d’un patrimoine remarquable par ses caractéristiques et sa rareté : de style « baroque ligure », on ne le trouve que dans cette partie de la France. Les dons peuvent se faire soit en ligne sur www.fondation-patrimoine.org/73006, soit par chèque à l’ordre de « Fondation du Patrimoine – Tempête Alex & Vallées niçoises » à l’adresse suivante : Fondation du patrimoine, CCI Nice Côte d’Azur – 20 Boulevard Carabacel, CS 11259, 06005 Nice Cedex 01. Photo : Eglise Saint-Michel-de-Gast de Roquebilliere © UDAP 06  
Il y a 4 ans et 160 jours

Dans un immeuble de marchands de sommeil à Paris, la souffrance à tous les étages

Depuis 2012, ce bâtiment de la rue de Meaux fait l'objet d'un arrêté de péril et de dix arrêtés d'insalubrité.Depuis cette semaine, il est aussi au cœur du procès de deux marchands de sommeil présumés, Frédéric A. et Alix B., et des trois entreprises propriétaires de la majeure partie de l'immeuble. Tous sont poursuivis pour y avoir loué, malgré leur état déplorable, une vingtaine d'appartements jusqu'en 2017 et d'avoir menacé leurs locataires.Une dizaine d'anciens occupants et de copropriétaires, la fondation Abbé Pierre et la Ville de Paris se sont portés parties civiles.La famille de Katarzyna, dont la fille a développé des "problèmes respiratoires" à cause de l'humidité, a depuis quitté le studio dans lequel ils vivaient à quatre. Mais d'autres ont dû rester, et de nouveaux locataires sont venus occuper les appartement libérés.Dans l'immeuble à la façade fissurée, aujourd'hui encore, les habitants dépeignent des conditions de vie "honteuses". Sur les murs des couloirs, des champignons côtoient les traces de moisissures.Hafed Chekkai, 42 ans, vit au troisième étage. Cet Algérien partage avec sa femme et ses deux jeunes enfants une pièce humide de 16m2 dotée d'un unique lit double, facturée 750 euros. Alors que l'eau courante de son évier a été coupée, Hafed doit maintenant "aller remplir un seau pour faire la vaisselle". Le locataire a arrêté de payer son loyer quand il a eu connaissance de l'arrêté de péril, ainsi que la loi l'y autorise.Mais certains de ses voisins, comme Anya (prénom modifié) ont continué de payer pendant plusieurs années. "Nous n'avons pas de papiers, vu notre situation, nous avons eu peur qu'on nous mette dehors ou nous dénonce" explique-t-elle à l'AFP.Dans son studio de 17m2, qu'elle occupe avec son mari et ses deux enfants, la jeune maman lave régulièrement les murs à l'eau de Javel, "pour éviter que les moisissures reviennent". Si elle dit "avoir l'habitude", elle confie ne pas se sentir "à l'aise", surtout pour ses enfants. "Avec l'humidité, ils toussent. Mon fils, je vois bien qu'il n'a pas envie de rester ici"."Tout à refaire""Les personnes précaires savent que si elles quittent leur appartement, ce sera très compliqué d'en retrouver un, elles sont habituées à ne rien demander", observe Sarah Coupechoux, chargée de mission à la fondation Abbé Pierre, qui a suivi la situation des habitants de la rue de Meaux jusqu'en 2017.Hafed Chekkai et Anya disent tous deux avoir été menacés par Frédéric A. "Il m'insultait, me traitait de terroriste", raconte Hafed. "J'avais peur de rester seule dans mon appartement", ajoute Anya.Au dernier étage de l'immeuble, Virginie Baudelaire et son mari ne sont pas locataires mais se considèrent eux aussi "victimes" et se sont constitués partie civile dans le procès en cours.Depuis 2007, ils sont propriétaires d'un appartement qui se détériore de jour en jour. "Tout est à refaire, la toiture, la façade." Mais les entreprises mises en cause dans la procédure judiciaire possèdent les trois quarts de l'immeuble et, affirment-ils, "bloquent les travaux nécessaires".Le couple, qui voit les fissures et les infiltrations se multiplier, dit "ne jamais se sentir en sécurité"."Cet immeuble, c'est vraiment l'exemple de ce qu'on ne veut pas voir à Paris", assure Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris en charge du logement. Si le procès n'aboutit pas à une confiscation des biens, la mairie envisage d'engager une procédure d'expropriation.Les conseils d'Alix B. et de Frédéric A. nient toute menace envers des locataires, et font valoir que leurs client ne sont plus impliqués dans la gestion actuelle de l'immeuble.Contactée par l'AFP, l'avocate des entreprises propriétaires des appartements n'a pas donné suite.Le réquisitoire du parquet contre les deux prévenus et les entreprises mises en cause est attendu le 16 décembre.
Il y a 4 ans et 161 jours

Le gouvernement annonce plus de 20 milliards d'euros de soutien d'urgence en 2021 face à la crise sanitaire

"Il n'est pas temps de lever les mesures de soutien à l'économie", a indiqué le ministre lors d'une conférence de presse téléphonique, et cette "aide massive", qui sera intégrée au projet de Budget pour 2021 en cours d'examen au Parlement, sera réorientée "sur les secteurs les plus impactés", a-t-il ajouté.Le Premier ministre Jean Castex a annoncé jeudi que le déconfinement serait moins rapide que prévu, ce qui va encore accroître l'impact de l'épidémie de Covid-19 sur de nombreuses entreprises, en particulier dans les activités de loisirs, la restauration ou l'évènementiel.Et quand les secteurs fermés rouvriront, ce sera au prix de conditions sanitaires strictes, qui risquent de limiter leur activité.Le "pilier" de cette nouvelle phase de soutien d'urgence, sera le fonds de solidarité dont les conditions d'attribution ont été renforcées en décembre, a détaillé Bruno Le Maire.Le gouvernement prévoit d'y consacrer 7 milliards d'euros en 2021, en le maintenant "au moins jusqu'à fin juin".Il mobilise aussi 11 milliards d'euros pour la prise en charge du chômage partiel, à la fois dans le cadre du dispositif existant, qui sera maintenu au moins jusqu'à fin janvier, et pour l'activité partielle de longue durée.Le gouvernement prévoit aussi 1 milliard d'euros d'exonérations de charges pour les entreprises.A cela s'ajoute des aides pour les stations de ski, les jeunes, l'aide alimentaire ou encore les aéroports.Sur ces 20 milliards, 8,5 milliards seront financés via des reports de crédits non dépensés cette année pour le chômage partiel, le fonds de solidarité et les exonérations de charges.Malgré tout, avec une prévision de croissance que le gouvernement maintient à 6% pour l'an prochain, le déficit et la dette vont finalement être plus élevés que ce qu'il anticipait jusqu'ici.Le déficit devrait atteindre 8,5% du PIB (contre 6,7% prévu initialement), après 11,3% attendu cette année.La dette va continuer à flamber l'an prochain, alors que le gouvernement espérait amorcer sa décrue grâce à la reprise. Il l'attend à 122,4% du PIB (contre 116,2% prévu jusqu'ici), après 119,8% cette année.Le détail des 20 milliards d'euros de soutien d'urgence mobilisés en 2021A côté du plan de relance, le gouvernement va encore consacrer plus de 20 milliards d'euros l'an prochain en soutien d'urgence pour les entreprises et les ménages. Voici le détail des mesures prévues.Activité partielleLe gouvernement prévoit de consacrer encore 11 milliards d'euros au financement du chômage partiel, contre 6,5 milliards d'euros budgétés jusqu'ici dans le projet de loi de finances pour 2021.Ce montant inclut à la fois le dispositif de chômage partiel existant actuellement et prolongé au moins jusqu'à fin janvier, tel qu'annoncé par la ministre du Travail Elisabeth Borne, et le nouveau dispositif d'activité partielle de longue durée (APLD) créé pour accompagner les entreprises dans la durée.En 2020, le gouvernement devrait avoir dépensé 29 milliards d'euros, sur les 34 milliards budgétés.Fonds de solidaritéLe gouvernement prévoit 7 milliards d'euros de dépenses pour soutenir les entreprises qui resteront fermées ou dont l'activité sera très fortement réduite par le maintien des contraintes sanitaires. Ce montant se décompose en 5 milliards d'euros de nouveaux crédits, le reste venant de reports de moyens non utilisés en 2020.Les nouvelles conditions d'attribution du fonds de solidarité, mises en place en décembre, seront maintenues "au moins jusqu'à fin juin 2021", a indiqué le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, sauf si la situation économique et sanitaire évolue considérablement d'ici là.De nouveaux secteurs, exclus jusqu'ici, vont y avoir droit, comme certains prestataires d'évènementiels (organisateurs de mariage, commerces de vêtements de cérémonies), les producteurs de lapins et de pintades ou encore les producteurs d'escargots, très pénalisés par la fermeture des restaurants.En 2020, 17 milliards auront été dépensés, sur les plus de 19,5 milliards d'euros budgétés.Exonérations de chargesUn milliard d'euros supplémentaires sont dédiés à des exonérations de charges qui bénéficient aux entreprises les plus touchées par la crise.En 2020, les entreprises ont bénéficié de 7 milliards d'exonérations de charge, quand le gouvernement en avaient prévu environ 8 milliards.Jeunes200 millions d'euros sont mobilisés pour financer les annonces de nouvelles aides aux jeunes faites par le président de la République la semaine dernière, en particulier via le dispositif de Garantie jeunes ou le renforcement du système de bourses.Aide alimentairele gouvernement va soutenir à hauteur de 120 millions d'euros les associations qui distribuent de l'aide alimentaire, et qui font face à une forte augmentation des sollicitations des ménages depuis le début de la crise.Stations de skiLes stations de ski seront aidées à hauteur de 400 millions d'euros, notamment pour couvrir les pertes d'exploitation des remontées mécaniques, fermées au moins jusqu'à la fin de l'année.Congés payésL'Etat va prendre en charge le coût de dix jours de congés payés pour les entreprises les plus touchées par la crise, comme l'hôtellerie, la restauration, l'évènementiel, les discothèques ou les salles de sport. La mesure coûtera plusieurs centaines de millions d'euros.AéroportsEn difficulté face à la baisse du trafic aérien, les aéroports bénéficieront d'une aide de 250 millions d'euros.La PosteL'effondrement du courrier a fait fondre les revenus de l'entreprise, que le gouvernement a décidé d'aider pour un montant qui sera précisé prochainement.
Il y a 4 ans et 161 jours

TVA réduite en rénovation : les députés refusent, en commission, la version du Sénat

LOI DE FINANCES. La commission des finances de l'Assemblée a rétablit la règle actuelle relative au taux de TVA réduit pour les travaux de rénovation. Sa modification, par un amendement au Sénat, avait provoqué une vive opposition du secteur.
Il y a 4 ans et 161 jours

Baromètre Domexpo 2020 : quelles sont les énergies de chauffage les plus utilisées en maison neuve ?

Mené en partenariat avec Caron Marketing, le Baromètre Domexpo 2020 confirmera-t-il la prédominance de la PAC - Pompe à chaleur, observée l'année dernière ? Quels sont les autres moyens de chauffage plébiscités par les nouveaux propriétaires ? Quelles sont les tendances émergentes ? Etc. Résultats avec Domexpo...Faire construire sa maison soulève de nombreuses questions, et ce, avant même que le projet ne se concrétise réellement : comment trouver un terrain ? Comment financer au meilleur taux ? Quelles sont les aides auxquelles un particulier a droit ? Etc. Visiter un village Domexpo, avec ou sans rendez-vous, et rencontrer un ou plusieurs professionnels, apportera ainsi les premières réponses.Ensuite, une fois son constructeur sélectionné, ce sera lui qui aidera, conseillera et guidera les particuliers tout au long du projet : choix des menuiseries, du type de toiture, des matériaux de construction, du type d'énergie de chauffage...C'est sur ce dernier point que Domexpo a choisi de consacrer son dernier Baromètre de la maison neuve, mené en partenariat avec Caron Marketing, qui souligne notamment que :La PAC - Pompe à chaleur, qu'elle soit utilisée seule ou en complément d'un autre type d'énergie, reste le moyen de chauffage le plus plébiscité en France et en Île-de-France, avec respectivement 66% et 64% des maisons individuelles neuves qui en sont équipées. Une part en augmentation en comparaison du dernier Baromètre Domexpo où la PAC représentait 55% sur le territoire national et 51% pour la région francilienne.Le gaz conserve sa seconde position, à la fois en France et en Île-de-France.« Installée dans presque 2 maisons neuves sur 3, la pompe à chaleur est prépondérante sur le marché de la maison neuve, mais ce sont désormais les solutions hybrides qui se développent le plus. Cette solution présente de nombreux avantages : elle est notamment moins chère en consommation immédiate, plus respectueuse de l'environnement et ne nécessite qu'un seul abonnement électrique...Le gaz, quant à lui, comme l'année dernière, arrive en seconde position des énergies de chauffage les plus utilisées. Avec l'entrée en vigueur de la RE2020, le 100% gaz pourrait être amené à disparaitre des logements neufs.Si cette disposition se confirmait, cela aurait un impact non négligeable sur les budgets des ménages accédants les plus modestes car dans les régions climatiques du Nord de la France, la solution gaz reste à l'usage plus intéressante que l'électricité.Domexpo va donc dans les prochaines semaines rester vigilante pour pouvoir conseiller au mieux tous les candidats à la construction. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de DomexpoSource : Recensement 2020 des constructeurs de maisons individuelles de Caron Marketing