Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

(41599 résultats)
Il y a 5 ans et 110 jours

Le CSEEE a élu son nouveau président

CARNET. Xavier Rosa est le nouveau président de la Chambre syndicale des entreprises d'équipement électrique de Paris et sa région. Il a été élu le conseil d'administration de l'organisation pour un mandat de trois ans.
Il y a 5 ans et 110 jours

Expérimentation Effinergie Patrimoine

Soucieux de valoriser les opérations associant réhabilitation énergétique et préservation des bâtiments à caractère patrimonial, le Collectif Effinergie a collaboré avec des experts des deux volets ciblés, afin d’élaborer un…Cet article Expérimentation Effinergie Patrimoine est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 110 jours

Bouygues Construction lance TopSite, un label RSE pour ses chantiers

Après une « phase pilote » d’un peu plus d’un an, Bouygues construction a officiellement lancé le 29 janvier, à Vitry-sur-Seine, sur le chantier T2A du Grand Paris express, son nouveau label baptisé TopSite. Intégrant tous les « grands sujets » en matière de RSE, le but est d’imposer à tous ses grands chantiers à travers le monde des standards en termes de qualité et d’innovation, et de parvenir à décliner concrètement sa politique sur le terrain.
Il y a 5 ans et 110 jours

RE2020 et électricité : 13 organisations en appellent au Premier ministre

LETTRE OUVERTE. Treize organisations ont pris la plume pour signer une lettre ouverte au Premier ministre au sujet des arbitrages favorisant l'électricité dans la future réglementation environnementale 2020.
Il y a 5 ans et 111 jours

Aurélie Cousi devient la nouvelle directrice de l'architecture au ministère

CARNET. A partir du 1er février 2020, Aurélie Cousi succédera à Agnès Vince et Corinne Langlois au poste de directrice, adjointe au directeur général des patrimoines, chargée de l'architecture au ministère de la Culture. Elle a été nommée par le président de la République, sur proposition de Franck Riester.
Il y a 5 ans et 111 jours

Retraites : l'arrêt des incinérateurs franciliens, "catastrophe" écologique ?

SOCIAL. En grève pour leur régime de retraite, les salariés des trois incinérateurs de la région Île-de-France ont voté ce 28 janvier 2020 la reconduction de l'arrêt de ces trois sites industriels traitant habituellement 6.000 tonnes de déchets par jour. Le gestionnaire parle d'une "catastrophe environnementale", dans la mesure où les déchets non-brûlés sont enfouis.
Il y a 5 ans et 111 jours

Le Bâtiment demande l'interdiction du démarchage téléphonique

Les principales fédérations du bâtiment demandent au gouvernement d'interdire le démarchage téléphonique en matière de rénovation énergétique, accusant certaines plateformes d'induire en erreur les particuliers.
Il y a 5 ans et 111 jours

Le Parlement ignore les propositions de la CAPEB sur la gestion des déchets du bâtiment

Alors que le projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage et à l’Économie Circulaire sera définitivement adopté par le Parlement le jeudi 30 janvier, la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) déplore que ses propositions relatives à la gestion des déchets du bâtiment n’aient pas été entendues.
Il y a 5 ans et 111 jours

Les panneaux trilatteCONFORT d'Unilin Insulation transforment un entrepôt en maison individuelle

Développés par UNILIN Insulation, leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, les panneaux trilatteCONFORT, caissons chevronnés pré-usinés de grande longueur, se sont distingués sur un chantier de rénovation situé en plein cœur de Montreuil, en région parisienne. Retour sur un système qui affiche de belles performances thermiques et acoustiques.
Il y a 5 ans et 111 jours

VIPros : le programme de fidélité dédié aux professionnels du bâtiment devient multi-canal avec une palette de services élargie !

Lancé en 2017, le programme de fidélité VIPros, dédié aux artisans et regroupant des marques référentes et complémentaires dans l’univers du bâtiment, évolue pour offrir encore plus de services à ses adhérents et à ses membres. Cette démarche collective a été initiée dans l’objectif de favoriser les liens directs entre les industriels et les professionnels du bâtiment, en partenariat avec les distributeurs ; de quoi créer de véritables synergies entre les différents acteurs du marché. Pour les artisans, le programme VIPros est un formidable outil d’accompagnement au quotidien avec des informations en temps réel sur la valeur ajoutée des produits et les innovations des marques partenaires,mais aussi les cadeaux et les services proposés en échange de leur implication et de leur fidélité.Pour les marques partenaires, ce concept permet de mutualiser les moyens pour accroîtrel’impact de leur action auprès de leurs clients utilisateurs. Pour les distributeurs, VIPros encourage le trafic et leur permet d’accroître leur chiffre d’affaire. Deux ans après le lancement de ce concept unique et multi-marques, le pari est réussi. Pour dynamiser le programme sur le terrain, fédérer de nouveaux industriels, recruter de nouveaux membres artisans, développer davantage de proximité, de rencontres et d’échanges entre les différents interlocuteurs, valoriser les innovations et les services des industriels sur les points de vente et sur la toile, VIPros élargit sa palette d’outils et de services dédiés avec une offre véritablement multi-canal.   VIPros AUJOURD’HUI Ce sont 20 industriels, soit 28 marques partenaires, présents dans des secteurs complémentaires tels que le sanitairechauffage, l’électricité, la quincaillerie, l’outillage et la fourniture industrielle, et plus de 3000 artisans tout corps de métier confondu qui ont adhéré au programme de fidélité VIPros. Plus de 250 distributeurs ont pu bénéficier de chiffre d’affaire additionnel, généré par les avantages fidélité VIPros. Entré dans une nouvelle dynamique, VIPros accueille aujourd’hui de nouveaux adhérents, les sociétés Assa Abloy et Gerflor. Ils rejoignent ainsi Bessey, Bosch, Brennenstuhl, Dolex, Fein, Gölz, Greenlee, Kärcher, Erko, Kinedo, Klauke, Lacme, Leborgne, Mantion, Map Industrie, Mermier, Reisser, Roth, Sam, SER, Sia Abrasives, Theodore, Valentin, Watermatic et Wedi.   UNE OFFRE DE SERVIVES COMPLÈTE ET MULTI-CANAL www.vipros.fr Une plateforme digitale qui fait peau neuve Gratuite et ouverte à tout public, la plateforme VIPros permet aux artisans d’accéder à l’ensemble des services du programme de fidélité via le portail en ligne www.vipros.fr, depuis un Smartphone, une tablette ou un ordinateur. Arborant une nouvelle charte graphique, plus dynamique, une nouvelle baseline « Avantage aux pros ! » et une homepage plus didactique, ce portail a été entièrement revisité pour être plus facile de navigation et en parfaite adéquation avec l’univers du bâtiment. Outre, la bibliothèque de fiches techniques et de vidéos de mise en oeuvre, le SAV, les offres promotionnelles des marques partenaires… la plateforme propose désormais : – Un formulaire d’inscription intuitif, pour que les artisans gagnent du temps lors de leur adhésion sur la plateforme. En entrant le nom de l’entreprise, le système remplit automatiquement le siret et les champs de l’identité de l’entreprise. – Une liste de courses dans le compte des artisans, pour faciliter leurs achats. – Un nouvel Espace cadeaux dans lequel l’artisan peut convertir ses VIPoints cumulés au sein d’un seul et même compte (des points fidélité acquis lors d’achat de produits de marques partenaires) en carte cadeau, à valoir dans plus de 600 enseignes, ou commander directement ses billets pour de prochains spectacles, des cadeaux à vocation professionnelle (coffrets de chantier, bouteilles isothermes, lunch box…) et/ou de nouveaux services pour développer leur activité professionnelle (création de site internet, logiciel, signalétique…). Le VIPoint devient ainsi une monnaie d’échange dans le système VIPros.   De nouveaux services pour les artisans Les membres artisans peuvent également utiliser leurs VIPoints pour bénéficier des nouveaux services proposés par VIPros. Formation RGE Le programme VIPros permet aux artisans d’accéder aux formations RGE dans le cadre de leur activité. Bosch Car Service VIPros travaille en partenariat avec le réseau de garages Bosch Car Service pour permettre aux artisans de faciliter l’entretien de leur véhicule de société et de bénéficier d’offres et services personnalisés pour leur entreprise. Droit pour moi En partenariat avec VIPros, cette plateforme de professionnels du droit et de la réglementation répond à toutes les questions juridiques que peuvent se poser les professionnels du bâtiment, et les accompagne en leur proposant de nombreux services (création de contenu, production d’articles…).   Nouveaux logiciels professionnels VIPros s’est associé à des starts-up pour étoffer le programme avec des logiciels destinés à simplifier le quotidien des professionnels. Ainsi : – l’Appli-devis va faciliter les devis des artisans, – Sfereno, logiciel RGE, va simplifier l’évaluation énergétique d’un bâtiment lors de travaux de rénovation, – Batibuzz est l’application pour des chantiers connectés permettant aux artisans de photographier, de partager et de classer en dehors de leur photothèque personnelle leurs réalisations.   De nouveaux services et outils pour les marques Une interface Print Pour mutualiser les coûts de production des outils de communication et de promotion, les marques peuvent accéder au nouveau service print de VIPros. Une interface Print 3MA facilite la création de PLV, affiches, signalétiques, packaging… Démos Tour, l’animation terrain Événement itinérant en extérieur, le Démos Tour est un concept créé par VIPros pour que les marques partenaires puissent rencontrer les utilisateurs et les équipes de vente des distributeurs. Cet espace d’échange, de découverte, de démonstration et de formation, mis en place chez les revendeurs, permet aux industriels de présenter leurs nouveautés mais aussi leurs différentes gammes de produits. Initié cette année, cet évènement multi-marques d’univers complémentaires a réuni pour cette 1ère édition près de 1000 visiteurs lors des 4 dernières étapes. Le Démos Tours permet également aux marques partenaires de mutualiser les coûts de l’organisation d’une tournée de démonstration, des supports, des outils de communication… Pour 2020, le dispositif et la logistique seront améliorés et le nombre d’étapes amplifiées. Des containers pliables, plus faciles à transporter et plus rapides à installer, permettront d’accueillir plusieurs marques, dont un espace VIPros. Le marquage et l’aménagement seront également optimisés pour assurer une meilleure visibilité aux marques et aux produits.   Un nouveau Dashboard Véritable mine d’informations, le nouveau dahsboard VIPros permet aux industriels de consulter en temps réel toutes les données liées au programme fidélité. Sous forme de tableaux et de graphiques, ce rapport mensuel permet de visualiser rapidement le nombre d’artisans référencés sur la plateforme, leur typologie (âge, corps de métier…), leur localisation géographique, les produits achetés et générateurs de VIPoints, le temps passé sur le portail…   De nouveaux outils de communication Emission VIPros TV L’émission VIPros TV est l’un des nouveaux outils digitaux du programme. Relayée sur les réseaux sociaux VIPros (chaîne YouTube, Facebook, Linkedin) et le webmag VIPRosmag, ce support technique, sous format vidéo, permet aux marques partenaires de délivrer des informations et des conseils d’utilisation sur leurs produits. Cette émission aborde également l’actualité VIPros et les sujets réglementaires et de droit avec l’expertise de Droit pour moi dans la « Minute juridique ». VIProsmag, le nouveau webmag des pros du bâtiment Cette nouvelle plateforme éditoriale permet aux artisans de se tenir informés des dernières tendances, des réglementations récentes, des actualités chantiers, des innovations produits… dans l’univers du bâtiment. En outre, ils peuvent profiter de conseils avisés sur l’utilisation de leur produit acheté chez une marque partenaire. Une présence sur les réseaux sociaux Pour multiplier les moyens de communication, le programme VIPros investit les réseaux sociaux – Linkedin, Twitter, Facebook et YouTube – afin de relayer vers un large public professionnel tous les événèments du collectif VIPros, les actualités du monde du bâtiment et les nouvelles réglementations.   LA PAROLE à Hugues LECOMTE Directeur général de VIPros  » L’objectif à la base de VIPros, c’est de créer un lien fort entre marques et artisans pour permettre justement à ces derniers d’acheter les produits les mieux adaptés à leurs besoins auprès de leurs distributeurs habituels. Cette relation qui se crée entre industriels et “Pros” n’est pas une relation commerciale et unilatérale : son objectif, est au contraire de donner la possibilité aux marques de mieux comprendre les besoins des utilisateurs pour mieux y répondre. De leur côté les artisans peuvent gagner en compétence et en performance, grâce au support technique et aux services proposés par les marques. Il y a 3 ans, nous avons partagé cette vision avec quelques partenaires qui ont cru en ce projet au point d’en financer l’étude et le développement, pour aboutir à une première version de la plateforme VIPros. Aujourd’hui, nous avons largement passé le cap de la période d’amorçage : nous savons que stratégiquement la démarche est bonne, les artisans participent et ont des attentes. Les marques ont compris de leur côté qu’elles sont plus fortes en “meute”, ce qui ne les empêche pas de garder leur indépendance et des services spécifiques pour leurs meilleurs clients. Nous sommes sur la bonne voie pour faire de VIPros une référence pour tous les acteurs du secteurs, grâce à la proposition de services et de contenus de qualité. Pour 2020, nous avons prévu deux grands chantiers. Le premier, c’est une réflexion commune sur les services proposés, suite aux retours et aux utilisations constatées aujourd’hui sur la plateforme. Le deuxième, c’est une évolution de l’espace cadeaux, avec un véritable développement de la partie “cadeaux pros” : nous voulons créer un écosystème avec des partenaires en capacité d’apporter des services et des contributions intéressants pour les artisans d’un point de vue professionnel. Par la suite, nous allons oeuvrer pour simplifier, accélérer et, à terme, automatiser l’accès aux VIPoints. Pour finir, sur le long terme, nous aimerions décliner le concept VIPros à d’autres secteurs d’activité que le bâtiment, pour d’autres catégories professionnelles. »
Il y a 5 ans et 111 jours

Boîtier KeyGarage ABUS – Un mini coffre-fort pour clés et badges

Fini les clés égarées ou qu’on oublie de confier aux enfants, aux collègues, à l’aide à domicile, aux vacanciers locataires… le boîtier sécurisé KeyGarage ABUS détient la solution en offrant une gestion simplifiée et plus sûre au quotidien des clés et badges d’entrée. Un simple code numérique à 4 chiffres, délivré aux personnes autorisées, sert de sésame : le boîtier s’ouvre, rendant clés et badges accessibles. D’une grande durabilité et d’une remarquable fiabilité, les produits ABUS embrassent trois domaines d’activité : la sécurité chez soi, la sécurité en déplacement et la sécurité des bâtiments, publics ou privés. Le système KeyGarageTM ABUS, proposé en 6 versions dont 3 nouveaux modèles LED, est l’exemple même d’une solution sûre pour les particuliers et les entreprises. Il consiste en un solide boîtier en métal pour remiser clés et cartes, protégé par un code connu exclusivement des personnes autorisées. Sécurité oblige, les méthodes traditionnelles – clés sous le pot de fleurs, dans la boîte aux lettres, chez le voisin – perdent du terrain. Avec les KeyGarageTM ABUS, les clés ne peuvent plus tomber entre les mains d’intrus potentiels. Et, avec les 3 nouveaux modèles LED, qui s’allument pendant environ 30 secondes, composer la combinaison dans la pénombre est un jeu d’enfant. Un protecteur bien protégé Le KeyGarage ABUS a été conçu pour garantir un excellent niveau de sécurité tout en étant parfaitement adapté à une utilisation en extérieur. Le boîtier métallique robuste et son solide clapet en zinc coulé sous pression protègent le contenant de tout accès non autorisé. Un clapet de protection préserve le mécanisme des intempéries. KeyGarage ABUS : un marché en forte progression Parce qu’il facilite la vie des propriétaires et des utilisateurs dans divers domaines, le système KeyGarage ABUS connaît une ascension rapide, notamment sur les marchés de la location saisonnière et de l’aide à domicile. USAGE À DOMICILE • En cas de remise de clés de locations saisonnières • En cas de difficulté à se déplacer (personnes à mobilité réduite) • En cas de visiteurs réguliers ou ponctuels (auprès de personnes âgées) USAGE PROFESSIONNEL • En cas d’absence du responsable • En cas d’utilisateurs multiples (chantiers, locaux communs) • En cas d’usage en libre-service (clubs de sport)   Boîtier KeyGarageTM ABUS Pour que les clés soient accessibles à plusieurs personnes, il suffit de communiquer le code numérique du KeyGarage ABUS au groupe autorisé. Lorsque ce groupe de personnes change, le code peut être modifié rapidement et en toute facilité. Le propriétaire dispose de 10 000 codages possibles (combinaison à 4 chiffres). Le système ABUS représente ainsi la solution idéale pour les loueurs de voitures, les propriétaires de maisons de vacance, le personnel du secteur des soins délivrés à domicile ou encore pour permettre l’accès à des prestataires en l’absence de l’occupant (peintre, plombier…). Une gamme complète adaptée à chaque cas Le système KeyGarage ABUS est disponible en 6 versions différentes. Les modèles 787, 787 LED, 787 BIG et 787 BIG LED sont destinés à un montage mural en intérieur ou en zone extérieure abritée, et les 797 et 797 LED sont dotés d’une anse qui permet de les fixer, comme un cadenas, à une poignée de porte, une balustrade… • KeyGarage 787 Capacité : 20 clés ou 14 cartes Prix public indicatif : 53,25 euros TTC • KeyGarage 787 LED Capacité : 20 clés ou 14 cartes Prix public indicatif : 62,50 euros TTC • KeyGarage 787 BIG Capacité : 50 clés ou 30 cartes Prix public indicatif : 58,30 euros TTC • KeyGarage 787 BIG LED Capacité : 50 clés ou 30 cartes Prix public indicatif : 68,85 euros TTC • KeyGarage 797 Capacité : 20 clés ou 14 cartes Prix public indicatif : 57,90 euros TTC • KeyGarage 797 LED Capacité : 20 clés ou 14 cartes Prix public indicatif : 65,55 euros TTC Points de vente : GSB
Il y a 5 ans et 111 jours

Total cède à la Banque des Territoires 50% d'un ensemble solaire et éolien

Le géant pétrolier Total a annoncé la cession pour 150 millions d'euros à la Banque des territoires, du groupe Caisse des dépôts, de la moitié d'un portefeuille d'actifs solaires et éoliens en France de sa filiale Total Quadran.
Il y a 5 ans et 111 jours

Un site du haut moyen âge et une occupation mésolithique à Pontarlier

À Pontarlier dans le Doubs, l’Inrap a mis au jour une occupation mésolithique (9600 à 5500 ans avant notre ère) et un site du haut Moyen Âge (Ve-XIe siècle) entièrement conservé, une découverte majeure pour la compréhension de la dynamique de l’habitat rural médiéval. Un vaste habitat rural du premier moyen-âge Les premiers éléments de datation indiquent une fondation de l’ensemble au cours de l’époque mérovingienne (Ve-VIIIe siècle). Plusieurs habitations se déploient sur environ 8 hectares pendant une période relativement courte (moins de 200 ans environ). Les vestiges sont principalement des trous de poteau, témoins d’anciens édifices domestiques et agricoles, mais aussi de petits bâtiments excavés, pouvant être des annexes de l’habitat ou des structures de stockage. Mesurant entre 200 et 300 m2, les bâtiments sur poteaux sont imposants et suivent des plans jusqu’alors peu documentés. Les comparaisons les plus pertinentes se situent en Suisse alémanique et en Allemagne (Forêt Noire, Bavière). L’activité économique principale du site semble être l’élevage : en témoigne une vaste zone de boucherie identifiée en contre-bas du site auprès d’une source aménagée. Sur les traces des chasseurs-cueilleurs du mésolithique À Pontarlier, cette période est représentée par du matériel en silex (outillage et déchets de taille) abandonné par les Mésolithiques. L’essentiel de ces restes témoigne d’activités de taille qui relèvent de la fabrication d’armatures microlithiques (petits éléments retouchés, de forme géométrique, fixés sur les hampes de flèches en pointe et en barbelure). Ces armatures sont des marqueurs culturels, c’est-à-dire que leur type va varier selon les périodes et les cultures. Ainsi, les restes retrouvés permettent de dire que le site est occupé durant toute la durée du Mésolithique entre 9600 et 6000 avant notre ère. Dans cet intervalle, plusieurs phases se distinguent. Si le site est fréquenté de façon discrète au début de la période, l’occupation semble s’intensifier pendant la seconde moitié du Premier Mésolithique, entre 8500 et 7400 avant notre ère. Deux datations obtenues sur coquilles de noisette carbonisées confirment ces observations avec une première située entre 8353 et 8278 et une seconde entre 7498 et 7323 avant notre ère. Les types d’armatures dominants sont alors les triangles scalènes et les pointes de Sauveterre. Ces éléments, qui traduisent des influences culturelles méridionales (culture du Sauveterrien), se rencontrent également à la même période sur les gisements situés en bordure du Jura (à Ruffey-sur-Seille ou à Dammartin-Marpain, par exemple). Pour la fabrication de ces armatures, les tailleurs semblent privilégier l’utilisation de silex locaux présents dans un rayon de 10 km autour de Pontarlier, ainsi que des matériaux plus lointains provenant notamment du plateau lémanique. Les chasseurs du second mésolithique A ces groupes sauveterriens vont succéder les chasseurs du Second Mésolithique, qui occupent le site entre 7500 et 6000 avant notre ère. Ces groupent modifient leurs techniques de taille et adoptent une méthode de débitage des lamelles par percussion indirecte (qui s’oppose à la percussion directe utilisée durant la phase précédente). Les lamelles sont transformées en armatures caractéristiques de forme trapézoïdale. Une partie de ces lamelles vont également être aménagées de plusieurs encoches, destinées notamment à la régularisation des hampes de flèche (lamelles dites « Montbani »). Ces changements techniques semblent s’accompagner d’une modification dans les stratégies d’approvisionnement avec une utilisation majoritaire de silex provenant de la bordure du premier plateau jurassien, les affleurements les plus proches se trouvant dans la vallée de la Loue. Globalement, la nature des vestiges évoque une multitude d’occupations courtes qui se succèdent au même endroit sur un intervalle de temps relativement long. Ce type d’occupation peut en partie s’expliquer par la position stratégique du site, à la fois situé au débouché du décrochement de Pontarlier (axe de passage majeur qui permet de traverser le massif du Jura d’ouest en est) et en bordure de la vaste zone humide de la Chaux d’Arlier qui pouvait constituer un secteur de chasse privilégié. Le passage au Néolithique et au mode de de vie d’agriculteur-éleveur semble marquer l’abandon du site. Source et photo : InrapAménagement : Communauté de communes du Grand PontarlierPrescription et contrôle scientifique : Service régional de l’Archéologie, Drac Franche-ComtéRecherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Michel Gazenbeek, InrapResponsable du secteur mésolithique : Jean-Baptiste Lajoux, Inrap
Il y a 5 ans et 111 jours

Déclaration d’ouverture des monuments historiques

Pour bénéficier des avantages fiscaux liés à l’ouverture au public de son monument, le propriétaire d’un monument historique ouvert au public est tenu de déclarer au plus tard le 29 février 2020. Le formulaire de déclaration des conditions d’ouverture pour l’année 2020 est disponible sur le site de la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE) de chaque région. Pour que l’immeuble soit considéré comme ouvert au public, il doit satisfaire les conditions fixées par l’arrêté du 27/02/2008, à savoir être ouvert à la visite : Soit 50 jours par an, dont 25 jours non ouvrables, au cours des mois d’avril à septembre inclusSoit 40 jours pendant les mois de juillet, août et septembre. https://www.entreprises.gouv.fr/tourisme/ouverture-au-public-des-monuments-historiques
Il y a 5 ans et 111 jours

Refonte et d’extension du musée d’art et d’histoire du Judaïsme

Ouvert en 1998, à l’initiative conjointe du ministère de la Culture, de la Ville de Paris et des institutions du Judaïsme, le musée d’art et d’histoire de Judaïsme (mahJ) a pris une place importante dans le paysage des institutions muséales françaises. La qualité de sa collection, sa politique d’expositions temporaires, une offre de médiation très large, une riche programmation dans son auditorium permettent au public de découvrir l’universalité des productions artistiques et culturelles issues du judaïsme. « Musée de France » installé dans l’hôtel de Saint-Aignan, conçu par Pierre Le Muet (1591-1669), chef-d’œuvre d’architecture du XVIIe siècle mis à disposition par la Ville de Paris, le mahJ est aujourd’hui présidé par Mme Dominique Schnapper, sociologue, membre honoraire du Conseil constitutionnel, et dirigé par Paul Salmona. Après deux décennies ayant permis d’accueillir plus de deux millions de visiteurs, le mahJ s’est engagé, avec le soutien du ministère de la Culture et de la Ville de Paris, dans une ambitieuse redéfinition de son parcours muséographique fondée sur un nouveau projet scientifique et culturel approuvé en 2016. Ce projet permettra de renforcer les points forts de cette institution originale dévolue au judaïsme comme fait de civilisation et ainsi de montrer l’ancrage très ancien des juifs en France, remontant à l’Antiquité dans certaines régions ; de faire connaître le processus républicain d’émancipation et d’intégration des juifs dans la nation ; de mettre en valeur l’originalité du franco-judaïsme depuis le XIXe siècle ; d’accorder une place accrue au judaïsme du bassin méditerranéen, en particulier maghrébin et levantin ; d’évoquer l’arrivée massive des juifs d’Afrique du Nord dans les années 1960 ; et de rendre compte de la vitalité du judaïsme dans la France d’aujourd’hui. Il permettra de magnifier une collection unique en Europe par sa richesse et son caractère international (France, Italie, Europe centrale et orientale, Maghreb, Levant…) et parmi les plus belles au monde ; de présenter une remarquable collection contemporaine dans un cadre mieux adapté ; et de rendre les œuvres plus accessibles grâce aux technologies les plus récentes. Il s’accompagnera d’une extension des espaces de l’hôtel de Saint-Aignan visant à augmenter les surfaces dévolues à la collection permanente et aux expositions temporaires, ainsi que celles des réserves muséales. Ce projet est à l’étude par la Ville de Paris, propriétaire de cet édifice classé au titre des Monuments Historiques et situé dans le secteur sauvegardé du Marais, afin de déterminer les contours de cette opération qui sera financée par les pouvoirs publics ainsi que par des soutiens privés et devrait être achevée à horizon 2026. Photo : Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
Il y a 5 ans et 111 jours

Onze nouvelles Maisons des Illustres

Le ministère de la Culture a créé le label Maisons des Illustres en 2011. La neuvième campagne de labellisation a eu lieu en novembre 2019. Le label est attribué aux maisons qui conservent et transmettent la mémoire de femmes et d’hommes qui les ont habitées et se sont illustrés dans l’histoire politique, sociale et culturelle de la France, dans le respect des valeurs de la République française. Elles font le lien entre histoire locale et histoire nationale, saisie de l’intime et grand récit, héritages transmis et création artistique. Ces maisons ouvrent leurs portes aux visiteurs au moins quarante jours par an, présentent un programme culturel adapté à tous les publics, et certaines sont accessibles aux personnes en situation de handicap. Le label participe ainsi au projet d’éducation artistique et culturelle et de démocratisation culturelle par un patrimoine de proximité au cœur des territoires. Il s’inscrit aussi dans les réseaux gérés par le ministère de la Culture : Musées de France, Villes et Pays d’art et d’histoire, Jardins remarquables, Patrimoine européen, Architecture contemporaine remarquable. 11 nouvelles maisons ont été labellisées en 2019 : La Maison de Marie Noël, à Auxerre (89, Yonne), Bourgogne-Franche-Comté ;Le Musée des émaux et de la mosaïque, ancienne demeure de Jean-Félix Bapterosses, à Briare (45, Loiret), Centre-Val de Loire ;La Maison Verlaine, à Metz (57, Moselle), Grand Est ;Le Château d’Edouard Salin, à Laneuville-devant-Nancy (54, Meurthe et Moselle), Grand Est ;Musée Yves-Saint-Laurent, à Paris (75, Paris), Île-de-France ;Musée Jean-Jacques Henner – Guillaume Dubufe, à Paris, (75, Paris), Île-de-France ;Atelier Chana Orloff, à Paris (75, Paris), Île-de-France ;Maison Jeanne d’Albret, à Orthez (64, Pyrénées-Atlantiques), Nouvelle Aquitaine ;Villa Antonine, à Béziers (34, Hérault), Occitanie ;Hôtel Fayet, à Béziers (34, Hérault), Occitanie ;Villa « Les Lauriers Roses » – musée Jean Aicard-Paulin Bertrand, à La Garde (83, Var), Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le réseau compte désormais 245 lieux labellisés. Pour l’année 2018, on estime les entrées à 3,3 millions pour 162 sites ouverts à la visite.
Il y a 5 ans et 111 jours

Aurélie Cousi : directrice de l’architecture

Sur proposition de Franck Riester, ministre de la Culture, le Président de la République a nommé en Conseil des Ministres Aurélie Cousi directrice, adjointe au directeur général des patrimoines, chargée de l’architecture à compter du 1er février 2020. Polytechnicienne, ingénieure en chef des ponts, des eaux et des forêts, Aurélie Cousi exerce depuis 15 ans au sein de l’Etat, ses établissements publics et les collectivités dans les domaines de l’aménagement, l’urbanisme et la construction publique, où elle a pu observer et porter les mutations sociétales sur les enjeux environnementaux et sociaux et la fabrication de la Ville. Elle a été cheffe de la mission immobilière auprès du Préfet de région à la direction régionale et interdépartementale de l’écologie et de l’aménagement d’Ile-de-France de 2007 à 2009, créée pour mobiliser le foncier Etat en faveur du logement en développant des projets urbains sur des délaissés routiers, avant d’être nommée en 2010 directrice adjointe en charge de la stratégie opérationnelle à la direction de l’immobilier de l’établissement public Paris-Saclay, en charge du pilotage des projets de construction des grandes écoles et universités. En 2013, Aurélie Cousi est nommée conseillère en charge de l’urbanisme au cabinet du maire de Paris, où elle a notamment accompagné, à compter de 2014, le lancement de l’appel à projets innovant « Réinventer Paris ». De 2015 à 2017, elle exerce les fonctions de cheffe du service de l’aménagement à la direction de l’urbanisme de la Maire de Paris. Depuis juillet 2017, elle était directrice générale adjointe en charge de l’aménagement au sein de Grand Paris Aménagement. Aurélie Cousi succède à Agnès Vince, architecte-urbaniste générale de l’Etat, dont le Ministre salue l’action menée depuis 2014 à la tête du service de l’architecture, ainsi que celle de Corinne Langlois, architecte et urbaniste en chef de l’Etat, sous-directrice de l’architecture, de la qualité de la construction et du cadre de vie, qui en a assuré l’intérim depuis novembre 2019. Parmi les missions qui lui seront confiées, Aurélie Cousi aura notamment la charge de piloter la politique publique de l’architecture, en veillant à soutenir et à valoriser la qualité et l’innovation architecturales, avec une attention particulière aux enjeux de transition écologique et de développement durable. Les conditions d’exercice de la profession d’architecte et le développement de la filière économique de l’architecture seront au cœur de sa mission. Elle sera aussi pleinement impliquée dans l’accompagnement du réseau des 20 écoles nationales supérieures d’architecture et de leurs 19 800 étudiants. Elle se verra enfin confier par le directeur général des patrimoines des missions transversales spécifiques relatives à l’architecture et aux patrimoines.
Il y a 5 ans et 112 jours

Le CSTB au Carrefour des gestions locales de l'eau les 29 et 30 janvier au parc des expositions de Rennes

Cet événement national de référence est destiné à l'ensemble des professionnels des secteurs public et privé et est entièrement consacré aux problématiques liées à l'eau : économie, technique, social, environnement ou politique… Ainsi, les équipes des directions Climatologie-Aérodynamique-Pollution-Epuration (CAPE) et Hydraulique et Sanitaire (HES) du CSTB vous donnent rendez-vous stand 318-320, hall 4, pour échanger sur l'expertise pluridisciplinaire du CSTB en matière de gestion durable de l'eau : gestion des eaux pluviales, réseaux d'assainissement, eau et énergie, eaux récréatives, épuration des eaux usées, performances hydrauliques des robinetteries sanitaires, performances mécaniques sur tubes… Découvrez PULSE©, qui permet de qualifier la qualité perçue d'un produit ou d'une ambiance de manière fine, objective et reproductible PULSE© renforce ainsi l'impact sensoriel des projets pour mieux les adapter aux différents publics. Echangez également avec les experts sur les marques de certification du CSTB « QB 08 », dédiée aux canalisations de distribution ou d'évacuation des eaux, « QB 09 », qui porte sur l'assainissement et « QB 10 », qui certifie les flexibles de raccordement. Par ailleurs, un atelier-focus est programmé le 29 janvier à 16h30 en salle Aral, sur le thème : « La marque QB au service des techniques courantes et de la pérennité des ouvrages ». Le CSTB caractérise et optimise les dispositifs pour préserver la santé et la sécurité des personnes, la qualité de l'environnement, la stabilité et la pérennité des ouvrages, grâce à des moyens d'essais uniques en Europe. En savoir plus : Programme et informations L'offre « gestion dura ble de l'eau » du CSTB
Il y a 5 ans et 112 jours

Aurélie Cousi nouvelle directrice chargée de l’architecture

Aurélie Cousi vient d’être nommée directrice, adjointe au directeur général des patrimoines, chargée de l’architecture. Elle succède ainsi à Agnès Vince et à Corinne Langlois –qui a assuré l’intérim au ministère de la Culture depuis novembre 2019. Polytechnicienne et ingénieure en chef des ponts, des eaux et des forêts, Aurélie Cousi était auparavant directrice générale adjointe en charge de l’aménagement au sein de Grand Paris Aménagement. Une prise de fonction qui...
Il y a 5 ans et 112 jours

L'inauguration du nouveau siège de la Région IDF reporté pour un dysfonctionnement technique

L'inauguration du nouveau siège de la région Île-de-France, initialement prévu mardi, a été reportée à une date non-déterminée après un avis défavorable de la commission de sécurité sur une partie du bâtiment pouvant accueillir du public, a annoncé lundi la région.
Il y a 5 ans et 112 jours

Delair : L’analyse des bâtiments prend son envol

Les drones Delair analysant un site de production Cemex. [©Delair] Parmi les douze start-up retenues dans le cadre de l’incubateur LH Accelerator, de LafargeHolcim, figure Delair. Start-up par définition, l’entreprise n’en est pas moins une structure déjà importante. Elle emploie plus de 150 collaborateurs et possède des antennes à Toulouse, en France, à Los Angeles, aux Etats-Unis et à Singapour… Delair est aujourd’hui le n° 1 européen d’un marché en pleine explosion. « Au départ, nous concevions et fabriquions des drones pour l’industrie, explique Benjamin Hugonet, directeur commercial pour la zone d’Europe, du Moyen-Orient et de l’Afrique. En 2019,avec le lancement du logiciel de Delair.AI, nous sommes devenus les spécialistes de la capture et du traitement de données pour l’industrie. » Le jumeau numérique du chantier Dans le détail, Delair propose à ses clients des drones à la vente, mais aussi le service accompagnant leur utilisation. Ainsi, les drones captent des données, en survolant les sites de construction. Et le logiciel Delair.AI en fait l’analyse. « Le vol du drone permet la création d’une maquette numérique. L’évolution du chantier est ensuite analysée avec chaque vol. Cela permet de connaître en direct chaque étape franchie, facilitant la gestion des plannings. A terme, cela prendra en compte aussi les commandes et la logistique. » Présente sur des marchés aussi divers que les mines, l’énergie ou la défense, la solution Delair.AI permet aussi la maintenance des bâtiments. « Le jumeau numérique du chantier ou du bâtiment, qui évolue avec chaque vol de drone, permet de créer des alertes, en fonction des besoins des clients. Notamment pour signaler les maintenances à faire sur une construction. Chaque demande de clients est aussi, l’occasion pour, nous de développer une nouvelle solution, afin de répondre à leurs besoins », conclut Benjamin Hugonet.  Yann Butillon
Il y a 5 ans et 112 jours

La région Île-de-France reporte l'inauguration de son nouveau siège

SÉCURITÉ. Initialement prévue ce mardi 28 janvier 2020, l'inauguration du nouveau siège de la région Île-de-France a dû être reportée à cause d'un dysfonctionnement technique dans la partie accueillant du public.
Il y a 5 ans et 112 jours

La construction de logements baisse encore en 2019, mais moins qu'en 2018

La construction de logements neufs s'est repliée en France l'année dernière, comme en 2018 mais dans une moindre mesure, selon des statistiques publiées mardi dans lesquelles le gouvernement veut voir au dernier trimestre 2019 "une reprise" à consolider.
Il y a 5 ans et 112 jours

La moitié des opérations prévues par le plan public d'aide aux copropriétés sont entamées

Environ la moitié des rénovations prévues par un plan public d'aide aux copropriétés, qui prévoit 2,5 milliards d'euros d'aides publiques sur dix ans, ont commencé, a annoncé le gouvernement, un an après son lancement.
Il y a 5 ans et 112 jours

"Pentagone français" : le procès de deux hommes débute à Paris

JUSTICE. Le procès d'un ancien militaire et d'un homme d'affaires, jugés pour corruption et favoritisme dans l'attribution du marché du "Balardgone", le Pentagone à la française, vient de s'ouvrir à Paris ce 27 janvier 2020. L'enquête sur le nouveau ministère de la Défense a débuté en 2010, après un signalement anonyme.
Il y a 5 ans et 112 jours

Label Cit’ergie 2019 – Ville de Bordeaux et Métropole de Bordeaux

À l’occasion des 21ème Assises européennes de la transition énergétique à Bordeaux, l’ADEME a remis le 30 janvier 2020, le label Cit'ergie à la ville de Bordeaux et la Métropole de Bordeaux saluant leur politique générale en matière d'énergie et de climat.
Il y a 5 ans et 112 jours

Chiffres de la construction : le millésime 2019 est moins bon que celui de 2018

CONJONCTURE. Le ministère de la Cohésion des territoires a publié les chiffres de la construction de logements et de locaux pour l'année 2019 : 449.400 habitations ont été autorisées l'année dernière, en recul de 2,3% par rapport à 2018, et 410.300 ont été mises en chantier, soit une baisse de 1%. Les surfaces professionnelles se portent en revanche particulièrement bien. Les promoteurs immobiliers ont réagi à ces statistiques.
Il y a 5 ans et 112 jours

PACA: efforts insuffisants pour le logement social et sanctions à venir

Les efforts pour le logement social "ne sont pas encore suffisants" en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, a regretté le préfet, Pierre Dartout, qui appliquera la loi prévoyant des sanctions.
Il y a 5 ans et 112 jours

Deux hommes jugés depuis lundi sur l'attribution du marché du "Pentagone français"

Y a-t-il eu de la corruption et du favoritisme en coulisses de l'attribution du marché du "Pentagone à la française"? Deux hommes, un ancien militaire et un homme d'affaires, sont jugés depuis lundi à Paris, quatre ans après l'inauguration du nouveau ministère de la Défense.
Il y a 5 ans et 112 jours

Le démarchage téléphonique pour la rénovation énergétique bientôt interdit

En 2019, plus de 1 000 établissements de tous les secteurs d’activité, pratiquant le démarchage téléphonique, ont été contrôlés par la DGCCRF, conduisant à la sanction de 77 démarcheurs, pour un montant total d’amende de 2,3 M€, soit un montant triplé par rapport à l’année 2018. Dans le monde du bâtiment, une entreprise commercialisant des équipements connectés pour la maison, a notamment été sanctionnée d’une amende de 87 600 €, une entreprise spécialisée dans les travaux de rénovation énergétique, a elle été sanctionnée d’une amende de 74 943 €. Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, a indiqué qu’une proposition de loi visant à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les appels frauduleux, portée par Christophe Naegelen, sera examinée en seconde lecture le 30 janvier 2020 à l’Assemblée nationale. Elle devrait permettre des avancées concrètes pour mieux protéger les consommateurs et faciliter le travail d’enquête des agents de la DGCCRF. Dans un contexte où les plaintes ont augmenté de 20% entre 2018 et 2019, l’interdiction complète du démarchage téléphonique dans le domaine de la rénovation énergétique sera un signal fort. Cette mesure, travaillée par le Gouvernement en lien avec des parlementaires, les professionnels et les associations de consommateurs, renforcera la protection des consommateurs, qui doivent pouvoir continuer à investir en toute confiance dans la rénovation énergétique de leur logement, avec le soutien des aides publiques. Elle s’inscrit dans le cadre du plan de lutte contre la fraude à la rénovation thermique lancé en novembre dernier avec les ministres Julien Denormandie et Emmanuelle Wargon.
Il y a 5 ans et 112 jours

Programmation pluriannuelle de l’Energie : de la visibilité, mais le développement de certaines filières est compromis

Le Gouvernement a présenté, ce 20 janvier, un projet révisé de Programmation pluriannuelle de l’Energie (PPE), qui est soumis à la consultation publique jusqu’au 19 février prochain. Véritable feuille de…Cet article Programmation pluriannuelle de l’Energie : de la visibilité, mais le développement de certaines filières est compromis est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 112 jours

Programmation pluriannuelle de l’Energie : de la visibilité, mais le développement de certaines filières est compromis

Le Gouvernement a présenté, ce 20 janvier, un projet révisé de Programmation pluriannuelle de l’Energie (PPE), qui est soumis à la consultation publique jusqu’au 19 février prochain. Véritable feuille de route énergétique de la France pour les dix prochaines années, ce texte va permettre d’accélérer le déploiement des énergies renouvelables mais devra être accompagné de nouvelles mesures. Parmi les points positifs, le texte trace des perspectives ambitieuses de développement de la chaleur renouvelable, ce qui marque l’importance de ce secteur dans la stratégie de décarbonation de notre mix énergétique. Dans un contexte de gel de l’évolution de la trajectoire de la taxe carbone, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) se félicite de la stabilisation du Fonds Chaleur à 350 M€ à partir de 2022 si aucune évolution de la fiscalité carbone n’intervient d’ici là. De la même manière, la PPE confirme que les biocarburants de première génération resteront un levier essentiel de décarbonation du secteur des transports. La PPE permettra aussi aux filières électriques de poursuivre leur dynamique de développement, avec des rythmes de 1 850 MW par an pour l’éolien terrestre et de près de 3 000 MW par an pour le solaire photovoltaïque. La contribution de l’hydroélectricité restera, quant à elle, essentielle, avec des marges de progression plus limitées mais réelles et clairement identifiées. Pour la filière du gaz renouvelable, la version révisée de la PPE est une déception. Le SER regrette que le projet révisé maintienne un objectif de 6 TWh de biogaz injecté en 2023, ce qui représente un recul par rapport à la PPE actuellement en vigueur. En l’état, la PPE est donc décorrélée de la dynamique observée sur le terrain, où les projets se développent rapidement. En parallèle, la trajectoire de baisse des coûts pour les projets qui seront développés à travers les appels d’offres reste trop brutale et risque de compromette le développement des projets futurs. La PPE représente par ailleurs une véritable occasion manquée pour deux filières désormais condamnées par l’absence de perspectives de développement. « Avec la non-poursuite des projets de cogénération bois, la France se prive à la fois d’un moyen efficace de lutte contre le changement climatique et d’un levier important pour structurer l’amont de la filière forestière. Et avec l’absence de soutien à la géothermie électrique disparaît également la possibilité de développer une filière de production locale de lithium, et cela au moment précis où la France souhaite jouer un rôle de premier plan dans le développement d’un outil industriel pour les batteries » regrette Jean-Louis Bal, président du SER. Source : SER
Il y a 5 ans et 113 jours

Moscou : un projet d'autoroute perturbé par des déchets radioactifs

INFRASTRUCTURES. Le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, a reconnu officiellement ce 24 janvier 2020 la présence de déchets radioactifs datant de l'ère soviétique à proximité du tracé d'une nouvelle autoroute. Celle-ci doit s'inscrire dans le projet de grand périphérique reliant plusieurs banlieues moscovites.
Il y a 5 ans et 113 jours

Un rapport préconise d'encourager l'immigration professionnelle en France

La politique migratoire de la France, historiquement dominée par l'immigration familiale, doit davantage mettre l'accent sur l'immigration professionnelle, notamment de salariés très qualifiés, estime un rapport parlementaire.
Il y a 5 ans et 113 jours

Le gouvernement veut interdire le démarchage téléphonique en rénovation énergétique

Bientôt la fin de ces appels irritants? Le gouvernement veut interdire le démarchage téléphonique en matière de rénovation énergétique, a annoncé lundi la secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie, Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 5 ans et 113 jours

Panneaux solaires en Belgique : la situation en 2020

La question qui se pose actuellement est la suivante, est-ce que les panneaux solaires sont toujours des solutions qui sont intéressantes en Belgique ? Cela est dû au fait, que les Belges sont toujours en train de chercher des options, qui leur permet de réduire leur facture énergétique. Pour cela, les autorités ont pris une décision, qui inciterait les consommateurs à réfléchir sur la possibilité d’investir leur argent dans des solutions qui pourraient leur permettre d’économiser un peu plus en matière d’énergie. C’est pour cette raison, qu’il serait judicieux de se questionner quant à l’avantage d’opter pour des panneaux solaires. En bref, en 2020, les solutions photovoltaïques restent une option vraiment intéressante pour les populations de Belgique. Pour plus d’informations, vous pouvez en savoir plus sur ce site. Les avantages d’utiliser un panneau solaire : C’est une solution qui est abordable La qualité de ce type d’énergie est assurée Les personnes qui ont déjà vécu pendant 10 ans dans le pays profitent d’une réduction de la TVA Ce panneau vous permettra de réduire votre facture Un panneau solaire dispose d’une durée de vie de 25 ans Vous n’aurez pas besoin de l’entretenir régulièrement Il peut très bien être installé dans une maison neuve ou rénovée Quels sont les subsides appliqués en 2020 ? La pose d’un panneau solaire, s’avère être une solution vraiment intéressante pour chaque famille. En effet, cet équipement vous permettra considérablement de payer mois sur votre facture.  Voici la situation par région dans le pays de Belgique. Situation dans la Région flamande En 2019, les crédits énergie sont juste disponibles pour les groupes cibles prioritaires ainsi que les personnes morales. Cependant, à partir de 2020, la Maison de l’énergie accordera un crédit d’énergie aux groupes cibles prioritaires uniquement. Donc, si vous êtes concerné par cette condition, vous aurez l’occasion d’emprunter 15 000 euros pour 0 % de taux. Situation dans la région Wallonie Sachez que si l’on compare le temps de retour sur investissement des panneaux solaires dans la région de la Flandre ainsi que dans celle de Wallonie, c’est la même chose. Le gouvernement wallon avait souhaité ajourner le tarif prosumer jusqu’en 2025, cependant, le régulateur du marché d’électricité ainsi que du gaz et la CWaPE n’a pas accepté cela. Ce qui veut dire que le tarif prosumer, sera appliqué à partir du 1er janvier 2020. Par ailleurs, la CWaPE et le ministre Henry, ont tenu un accord, comme quoi l’envoi des tarifs des index des personnes concernées par le coût prosumer sera bloqué durant 4 mois. Cela veut dire, que les clients ne recevront pas de décompte de clôture par les fournisseurs d’énergie pendant ce laps de temps. Situation dans la Bruxelles-Capitale Dans le Bruxelles, si une personne arrive à produire de l’électricité verte à l’aide d’un panneau solaire, ou encore tout autre moyen de source d’énergie renouvelable, elle recevra un certificat vert. Cependant, il est nécessaire de préciser que tous les gestionnaires de réseau sont obligés de respecter un quota annuel. Sachez que si vous habitez dans la Région de Bruxelles-Capitale, vous aurez l’occasion de connaître votre quota jusqu’en 2025, ce qui fait que vous profitez de ce type de subsides durant quelques années. En plus, il est possible d’obtenir un prêt vert bruxellois qui vous permettra d’installer un panneau solaire, si vous habitez dans cette région. Par ailleurs, attendez-vous à ce qu’il y ait de nouveaux rebondissements, car plusieurs questions n’ont pas encore été répondus par les responsables. Si vous voulez en savoir un peu plus, vous pouvez très bien faire quelques recherches concernant le sujet en question.
Il y a 5 ans et 113 jours

Municipales à Paris : Griveaux et Villani s'affrontent sur l'avenir des gares du Nord et de l'Est

Engagés dans une lutte fratricide pour la mairie de Paris, Benjamin Griveaux, candidat officiel de LREM, et Cédric Villani, entré en dissidence, s'affrontent désormais aussi sur le terrain du ferroviaire, avec des projets différents pour l'avenir de deux grandes gares parisiennes.
Il y a 5 ans et 113 jours

Le gouvernement valide l'encadrement des loyers à Lille

LOGEMENT. Ce samedi 25 janvier 2020, le gouvernement a signé le décret permettant la mise en place de l'encadrement des loyers sur le territoire lillois. Désormais le préfet doit fixer des tarifs de référence avant la mise en place du dispositif, prévue dans les prochaines semaines.
Il y a 5 ans et 113 jours

La mairie de Marseille retarde la publication de son audit sur l'état des écoles

Les résultats exhaustifs de l'audit sur les écoles de Marseille, commandé en septembre par la mairie, ne seront sans doute pas dévoilés avant les prochaines élections municipales : une synthèse sera publiée "au printemps prochain", a annoncé la municipalité.
Il y a 5 ans et 113 jours

Nouvel aéroport : le Pérou s'engage à respecter le Machu Picchu

Le gouvernement péruvien a assuré qu'il prendrait toutes les précautions pour que le nouvel aéroport de Cusco (sud), dont les travaux débuteront en juin, ne mette pas en péril le Machu Picchu et d'autres sites archéologiques incas.
Il y a 5 ans et 113 jours

Démarchage abusif en rénovation : Bercy dévoile son plan d'attaque

ANNONCES. Le Gouvernement souhaite radicalement monter en puissance en matière de lutte contre le démarchage abusif pour les travaux de rénovation énergétique. Il vient d'annoncer plusieurs axes de travail qui devraient se traduire dans la loi et dans les faits dans les mois à venir.
Il y a 5 ans et 113 jours

Habitat insalubre à Marseille: les collectifs interpellent le gouvernement

Des associations ont interpellé le ministre du Logement, pour résoudre la "crise humanitaire" que vit Marseille, depuis l'effondrement de deux immeubles en 2018.
Il y a 5 ans et 116 jours

Des syndicalistes en garde à vue pour des coupures d'électricité sauvages, la CGT proteste

Deux syndicalistes CGT de Dordogne ont passé mercredi plusieurs heures en garde à vue, soupçonnés d'avoir procédé à des coupures sauvages d'électricité contre la réforme des retraites, de quoi "jeter de l'huile sur le feu", a dénoncé leur leader Philippe Martinez, tandis que le gouvernement appelait au contraire à des sanctions.
Il y a 5 ans et 116 jours

L'immobilier de luxe français gagne encore en dynamisme, y compris hors de Paris

L'immobilier de luxe français, témoin de l'attrait économique et politique du pays, poursuit son essor après déjà plusieurs bonnes années sur fond jugé favorable de Brexit et de présidence d'Emmanuel Macron, sa dynamique s'étendant désormais hors de Paris.