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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

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Il y a 5 ans et 103 jours

Construire autrement : le design global avec le bois

Actuellement sur le plateau Bati-Journal TV à Eurobois 2020, nous allons nous poser la question, avec nos invités, du design global avec le bois et de la façon de construire autrement. Invités : Philippe Jarniat – Responsable de marchés L’Ameublement Français Christophe Chenu – Gérant de Blum Solène Jacques – Architecte d’intérieur I-Cosa
Il y a 5 ans et 103 jours

Partenariat entre Stradal et Hydro International

De gauche à droite : Christian Jacob, directeur marketing Stradal, et Phil Collins, directeur commercial Europe Hydro International lors de la signature du partenariat, fin janvier dernier. [©Stradal] A l’occasion du Carrefour des gestions locales de l’eau, Stradal et Hydro International ont signé une convention de partenariat exclusif. L’objectif est d’apporter au marché français First Defense, la première solution brevetée de traitement des eaux pluviales par décantation hydrodynamique intégrée à une enveloppe béton haute résistance. Stradal devenant le représentant officiel en France de la solution développée par Hydro International. First Defense pour dépolluer les eaux fluviales En effet, First Defense permet de dépolluer les eaux pluviales et d’en améliorer la qualité. Une première phase d’expérimentation en 2019 a été menée pour valider la fabrication des éléments circulaires en béton selon les dimensions (diamètres de 1,20 m et 2 m). Les chantiers réalisés ont permis de mesurer l’efficience de la technologie embarquée dans le produit fini en béton. Mais aussi de vérifier les différentes possibilités de raccordements. Et in fine, de peaufiner et de finaliser l’offre technologique globale.  Hydro International va ainsi pouvoir s’appuyer sur le savoir-faire de Stradal pour pré-fabriquer les enveloppes en béton. Et sur son maillage commercial et industriel pour développer cette technologie sur tout le territoire. Cette nouvelle solution va permettre à Stradal d’élargir son offre. Ainsi que de la mixer à d’autres solutions en béton préfabriqué que l’industriel développe en faveur de la gestion durable et de la collecte des eaux de ruissellement. Comme les caniveaux hydrauliques et les regards de visite. Par effet vortex First Defense s’appuie sur le principe de la séparation par effet vortex. Ceci, en combinant la décantation gravitaire et les effets de la force centrifuge pour séparer et capter les matières en suspension et leurs polluants associés (métaux lourds, hydrocarbures). Cet équipement est composé d’une chambre circulaire préfabriquée en béton dans laquelle un mouvement de rotation est exercé par le simple fait de l‘introduction tangentielle de l’effluent. Le temps de séjour augmente et l’action de séparation des polluants est ainsi renforcée. Le First Defense offre un stockage des liquides légers, un bypass intégré et une accessibilité aisée pour un entretien par simple curage aspiration. Sa conception compacte, son encombrement réduit, sa mise œuvre rapide en font un produit économique. 
Il y a 5 ans et 103 jours

Picard Serrures fête ses 300 ans à l’Elysée et reçoit la 1ère certification A2P@ pour sa serrure connectée Ermétis® Tapkey®

Entreprise française spécialiste de la haute sécurité, Picard Serrures célèbre ses 300 ans d’existence en 2020. En cette année anniversaire, l’entreprise vient d’incarner le savoir-faire français à La Grande Exposition du Fabriqué en France qui s’est tenue au Palais de l’Elysée, et de recevoir la 1ère certification européenne A2P@ pour sa serrure connectée Ermétis® Tapkey®. Présence 3, la serrure haute sécurité s’expose dans les salons de l’Elysée Basée à Feuquières-en-Vimeu en Picardie, fief historique de la serrurerie, Picard Serrures a fait partie des 101 entreprises choisies par le jury présidé par Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’état auprès du Ministre de l’Economie, pour représenter le savoir-faire français lors de La Grande Exposition du Fabriqué en France au Palais de l’Elysée. Premier fabricant sur le marché des portes blindées à avoir obtenu le label Origine France Garantie, Picard Serrures, retenu parmi 1750 candidats en provenance de métropole et d’outre-mer, représentait le département de la Somme. Après l’inauguration officielle par le Président de la République Emmanuel Macron, dix mille visiteurs ont pu découvrir durant le week-end du 18 janvier la Présence 3, une serrure multipoints haute sécurité certifiée A2P*** qui était mise à l’honneur dans le jardin d’hiver du palais présidentiel sur un stand intitulé « Au quotidien ». Après l’Elysée, la serrure Présence 3 de Picard Serrures rejoint Bercy pour être exposée dès à présent au sein du Ministère de l’Economie et des Finances dans le cadre de la dixième semaine de l’industrie qui se tiendra du 30 mars au 5 avril prochain. Ermétis® Tapkey®, 1ère serrure connectée A2P@ certifiée en Europe Organisme reconnu par les professionnels de la sécurité et de l’assurance, le CNPP Cert. vient de délivrer le premier certificat A2P@ à Picard Serrures pour sa serrure connectée Ermétis® Tapkey®. Elle devient ainsi la 1ère serrure connectée certifiée A2P@1* en Europe. Ce passeport de confiance attribué par le Centre National de la Prévention et de Protection couvre l’ensemble de la solution de protection contre le cambriolage dont les performances validées concernent : la résistance mécanique à l’effraction de la serrure carénée multipoints Ermétis®, associée à la robustesse aux attaques numériques du cylindre mécatronique TapKey® et de son application mobile dédiée, dont le cryptage complexe de la communication entre les deux supports empêchent tout piratage. L’année de son 300ème anniversaire, ces distinctions sont une reconnaissance du savoir-faire industriel de Picard Serrures, une entreprise française qui continue d’écrire son histoire tout en restant profondément attachée à ses valeurs.
Il y a 5 ans et 103 jours

Espace libre : Rampe à Creil

Comment relier un quartier isolé au centre ville ? C’est la question que les acteurs de la ville de Creil (60) ont posé aux équipes de l’agence Espace Libre, paysagistes et urbanistes, qui proposent une solution d’aménagement mettant spectaculairement le paysage en scène. Retour sur un projet à la fois discret et remarquable. « L’originalité de cette opération tient à une maitrise d’ouvrage déterminée qui a décidé de relier un quartier isolé du centre-ville par l’inscription d’une rampe urbaine au travers d’un coteau boisé ». C’est en ces mots que Maxime Saïsse, paysagiste fondateur de l’atelier, décrit le projet de la Rampe à Creil. La ville de Creil est caractérisée par un contexte urbain d’après-guerre. Alors que le centre-ville continue de vivre, un quartier dense s’est développé sur les hauteurs de la commune, délaissant la colline boisée scindant les deux parties de la municipalité. Une rupture nette que seul un escalier monumental permettait alors de contrer. La mission d’Espace Libre résidait donc en la création d’un parcours plus doux reliant les différents quartiers de Creil, en tenant compte cette fois-ci des normes handicap. La réflexion s’est axée autour de la restauration écologique du parc, et des études approfondies du site, de ses potentialités et du sol ont été réalisées dans le but de limiter l’impact environnemental de la construction.Il s’agit ici de bâtir pour valoriser la nature. Les maîtres d’œuvre misent donc sur une implantation discrète, faisant des contraintes du terrain une force. Pour rattraper un littoral plat, indispensable à l’usage de personnes à mobilité réduite, une passerelle placée en bas du chemin débute le parcours qui s’élève à la cime des arbres et traverse un parc anglais. Un belvédère en haut du pont à la structure en acier et au cadre en chêne et mélèze offre alors un point de vue d’exception sur l’Oise et le reste de la ville. Il s’agit de la première étape d’un parcours de 1,2 kilomètres de long qui en comprend cinq autres : les clairières Laversine, le belvédère du carrefour, le carrefour, la place du randonneur et la rampe. La nuit, des illuminations élégantes et subtiles subliment le chemin et ajoutent une touche de magie à la balade. Un projet à la sobriété poétique. Pour en savoir plus, visitez le site d'Espace Libre Photographies : Julien Falsimagne Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 103 jours

A6A x Atelier Archipel : Les Patios

En collaboration avec Atelier Archipel, l’agence A6A – Atelier 6 Architecture – construit une Maison de Santé, baptisé Les Patios. Installée à Jarnac (16), le centre médical regroupe plusieurs cabinets de médecins généralistes et spécialistes dans un édifice à la volumétrie simple et à l’esthétique épurée. Isolé de l’espace public, la Maison de santé Les Patios est bordée par une sur-largeur de trottoir formant un parvis et un grand jardin arboré surélevé. Le centre de santé est fermé sur lui-même, protecteur et confidentiel. Repère identifiable, avec sa volumétrie simple et son architecture horizontale, à l’entrée de la zone tertiaire de la commune, l’établissement devient un équipement structurant de la ville de Jarnac. Choisi à la fois pour son apparence brute, sa durabilité et la facilité de son entretien, le béton blanc des façades est adoucit par des bardages et des persiennes en bois noir. Le tout s’inscrit ainsi dans le paysage local ponctué de carrières de calcaire et de chais noircis. Répartis sur un seul niveau, les différents volumes de la Maison de Santé s’organisent autour du jardin extérieur et d’une galerie intérieure, qui donne accès aux quatre pôles médicaux et aux espaces partagés. Baignée de lumière naturelle grâce à de larges baies vitrées, la galerie donne également sur l’espace vert et les patios extérieurs.Les Patios réunit au sein d’un même centre des cabinets de médecins généralistes, dentistes, ostéopathes, psychologues, psychiatres, sages-femmes, Orthophonistes, Podologues, Infirmiers. De quoi faciliter la vie des Jarnacais ! Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier 6 Architecture Photographies : Agnès Clotis Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 103 jours

Chauffage des bâtiments neufs: des associations dénoncent une "manipulation"

Treize associations, issues notamment du secteur gazier ou des énergies renouvelables, ont critiqué les arbitrages du gouvernement favorables à l'électricité pour le chauffage des bâtiments neufs.
Il y a 5 ans et 103 jours

Bilan et perspectives pour le marché de la construction par l’AIMCC

Contrairement aux prédictions établies fin 2018 et après 3 années de croissance, l’année 2019 n’a pas été si catastrophique pour le marché de la construction. [©Anhydritec] L’AIMCC1 a présenté les résultats de la 4e édition de “Tendances Conjoncture”. Menée entre décembre 2019 et janvier 2020, l’enquête s’est appuyée sur le retour de 80 organisations professionnelles et membres de l’association. Elle a permis de dresser un bilan de l’année passée et de revenir sur des problématiques clefs en cours et à venir. Contrairement aux prédictions établies fin 2018 et après 3 années de croissance, l’année 2019 n’a pas été si catastrophique. L’association parle même d’un « atterrissage maîtrisé ». En effet, l’activité du bâtiment devrait connaître une progression de 1,2 %. C’est moins que 2018 (+ 2,3 %), mais plus que les prévisions des professionnels du secteur. Si le nombre de mises en chantier de logements a subi une légère baisse (410 000 contre 417 000), le non-résidentiel atteint + 6,9 %. L’entretien/rénovation enregistre un petit + 0,2 %. Un marché pénalisé par un mauvais 1er trimestre 2019. De leur côté, les travaux publics sont portés par les investissements des collectivités locales avec un + 10 % de croissance. Un dynamisme qui s’explique par l’approche des élections municipales et par des chantiers d’envergure, à l’image de ceux du Grand Paris. En revanche, ces projets, essentiellement métropolitains, creusent les disparités entre les territoires urbains et ruraux. Du côté des industriels, 47 % enregistrent une croissance significative (supérieure à 4 % en volume), 1 % et 3 % progressent de façon plus limitée et 8 % se sont stabilisés. Le camembert restant (entre 44 % et 42 %) est sur une phase de recul. + 1,2 % de croissance contre 2,3 % en 2018 Des différences sont observables au niveau des segments d’activités : 93 % des industriels du gros œuvre ont vu leur activité s’envoler, contre 72 % pour ceux du second œuvre. Pour l’équipement, ils sont 86 % à bénéficier d’une légère croissance. Pour 2020, les professionnels du secteur sont mitigés. Les indicateurs économiques laissent entrevoir un ralentissement et une relative stagnation de l’activité. Le FMI a d’ailleurs revu à la baisse, en octobre dernier, ses prévisions de croissance mondiale pour 2020. Les avancées réglementaires et autres mesures des Pouvoirs publics auront aussi leur rôle à jouer. A l’image de la future RE 2020, les concrétisations de la loi Essoc ou encore le projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage pour une économie circulaire. Selon les estimations de la FFB, le secteur ne devrait pas dépasser 1 % de croissance (+ 0,8 %). Du fait de la baisse des mises en chantier de logements neufs, des faibles progressions du non-résidentiel et du secteur de l’entretien/rénovation. De son côté, la FNTP prévoit une année plutôt stable, malgré la baisse de la commande publique prévue durant cette année électorale. L’année 2020 sera aussi marquée par plusieurs enjeux pour le secteur du bâtiment et les travaux publics. La lutte contre les passoires énergétiques reste toujours une perspective porteuse. 2020 : Entre enjeux environnementaux et sociétaux Le marché de la rénovation est vaste et le gouvernement semble vouloir s’investir dans la massification de la rénovation énergétique. Notamment avec la mise en place de mesures favorables : aides, lutte contre la fraude… L’AIMCC estime que « compte tenu de la masse de travaux à générer, les industriels ont un rôle essentiel à jouer, en termes de formation, de pénétration de l’innovation. Et d’intégration des offres les plus performantes et de gains de productivité. » D’autres perspectives vont occuper les professionnels du secteur. L’environnement et l’économie circulaire, le Plan Energie Climat, la décarbonatation, la transition numérique, la révolution 3D. Ou encore, la formation et le développement des compétences qui est un axe stratégique. L’AIMCC vient d’ailleurs de signer un accord EDEC1 avec le ministère de l’Emploi, la CFE CGC Sidérurgie et le soutien de la Capeb. Cependant, l’association précise que la filière construction ne pourra bénéficier d’une reprise durable et d’un retour à la compétitivité des entreprises que sous certaines conditions. Comme le retour des marges pour les sociétés, un soutien à l’investissement productif et à l’économie circulaire pour maintenir la modernisation du parc industriel. Mais aussi, une stabilité réglementaire, juridique et fiscale, en France et en Europe. Et enfin, la mise en place de partenariats dans le secteur de la formation professionnelle comme réponse à la pénurie de main-d’œuvre qualifiée. 1Association française des industries des matériaux et produits de construction2Engagement développement emploi compétences.
Il y a 5 ans et 103 jours

Le gouvernement assouplit le code de la construction

Le gouvernement a assoupli le code de la construction, en permettant aux constructeurs de contourner des règles contraignantes à condition de prouver que leurs futurs bâtiments respectent des objectifs plus généraux.
Il y a 5 ans et 104 jours

Forte hausse de l'apprentissage en 2019, Pénicaud et les régions s'en disputent le succès

Le nombre de jeunes entrés en apprentissage a progressé de 16% en 2019, hausse la plus forte jamais enregistrée. Si le gouvernement y a vu mardi l'effet de sa réforme qui a libéralisé le secteur, les régions dénoncent "les mensonges de Madame Pénicaud" et assurent être à l'origine de ces bons résultats.
Il y a 5 ans et 104 jours

L’apprentissage connaît une bonne dynamique dans les travaux publics

Le 4 février, le ministère du Travail a communiqué les chiffres 2019 de l’apprentissage en France, évoquant une croissance à deux chiffres du nombre d’apprentis l’an passé. C’est aussi le cas dans les travaux publics, qui a connu une hausse de 13% des demandes d’inscriptions.
Il y a 5 ans et 104 jours

Taillandier Architectes Associés : Villa T

Réhabiliter un logement historique typiquement toulousain en une demeure contemporaine ? Pari tenu pour les équipes de Taillandier Architectes Associés qui signent un projet de rénovation étonnant dans le quartier de Montplaisir de la Ville rose (31), où façade classique, béton et bois cohabitent en harmonie. Situé dans une zone de protection des monuments historiques, la Villa T est le fruit d’une réhabilitation d’un logement typique de la région de Toulouse : corniche, rosasses, toiture à deux pentes parallèles à la rue et façade en brique composent en effet le décor de la maison d’origine. Difficile donc de se projeter dans un logement contemporain ! Et pourtant, les architectes, qui ont pris le parti de conserver cette façade sur rue extrêmement travaillée, réussissent le tour de force de transformer cette maison de ville jusqu’alors vétuste en une résidence ancrée dans le XXIème siècle. Côté façades, deux identités communiquent. Quand celle sur rue est en partie conservée et nettoyée des éléments parasites du temps, le traitement accordé à celle donnant sur le jardin est résolument plus contemporain, où le béton fabriqué est percé de grandes baies vitrée laissant pénétrer la lumière naturelle dans les espaces de vie. La maison est pensée comme l’union de deux duplex superposés : le « duplex vie » et le « duplex nuit ». Les pièces de jour occupent en effet deux niveaux faisant le lien avec celui de la rue et celui du jardin, tandis que la partie nuit est répartie sur les deux étages supérieurs. Les espaces de vie se composent d’une cuisine ouverte sur la double hauteur surplombée d’une large pièce réunissant le salon et la salle à manger, tandis que le « duplex nuit » accueille deux chambres d'enfant au premier niveau et une suite parentale au dernier étage. Là aussi, c’est un véritable dialogue qui s’établit entre la contemporanéité du béton et la chaleur du bois. « Le contraste entre le béton lasuré et le chêne clair, met en relief la dualité de la maison, bâti historique/construction contemporaine, espace intimes/ espace muséal, espaces vie et réception/ espaces nuit et intimes. » signifient d’ailleurs les architectes. Pour ce projet, les maîtres d’œuvre se sont inspirés de grands classiques architecturaux. On retrouve ainsi une bibliothèque s’enroulant autour de l’escalier – à la trémie évidée de 15 centimètres sur la hauteur des quatre niveaux –, clin d’œil évident au savoir de l’antique Babylone ainsi qu’une rampe reliant la rue au rez-de-jardin faisant écho à celle du Guggenheim de New-York. Le rapport entre espace de vie et scénographie muséale est également une caractéristique de la réalisation. Quand le garde corps de l’escalier devient cimaise pour les peintures de Raymond Espinasse, le dépouillement des matériaux renvoie à l’univers du white cube, au sein duquel les propriétaires exposent leur mobilier de designers. Un projet qui cache son lot de surprises. Pour en savoir plus, visitez le site de Taillandier Architectes et Associés Photographies : Luc Boegly Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 104 jours

Julien Denormandie annonce son plan pour une "ville durable"

Cent fermes urbaines, des bâtiments publics exemplaires, un accompagnement des élus locaux sur les questions techniques: alors que l'écologie s'est imposée comme un thème central des municipales, le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, annonce mercredi un plan d'action pour un aménagement des territoires plus durable.
Il y a 5 ans et 104 jours

L'Etat impose au moins 50% de matériaux biosourcés aux EPA

ÉCOLOGIE. A l'approche des élections municipales, le ministre de la Ville, Julien Denormandie, a dévoilé ce mercredi 5 février 2020 un programme d'actions à mener pour une ville durable. Parmi elles, le membre du gouvernement impose aux établissements publics d'aménagement (EPA) de construire des bâtiments avec au moins 50% de bois ou de matériaux biosourcés.
Il y a 5 ans et 104 jours

Mise en œuvre du décret tertiaire : 4 vidéos pour tout comprendre à la nouvelle réglementation

En matière de performance énergétique des bâtiments, la réglementation évolue. Le décret encadrant la rénovation énergétique du parc immobilier tertiaire, public et privé est entré en vigueur le 1er octobre dernier. C’est un signal fort, attendu par toute la profession depuis près de 10 ans !
Il y a 5 ans et 104 jours

Où trouver les Zones de présomption de prescription archéologique ?

Sur l’ensemble du territoire national, le Code du patrimoine prévoit que certaines catégories de travaux et d’aménagements font l’objet d’une transmission systématique et obligatoire au préfet de région afin qu’il apprécie les risques d’atteinte au patrimoine archéologique et qu’il émette, le cas échéant, des prescriptions de diagnostic ou de fouille. Les catégories de travaux concernés sont : les zones d’aménagement concerté (ZAC) et les lotissements affectant une superficie supérieure à 3 ha, les aménagements soumis à étude d’impact, certains travaux d’affouillement soumis à déclaration préalable et les travaux sur immeubles classés au titre des Monuments Historiques (livre V, article R. 523-4). Créés par la loi du 1er août 2003 relative à l’archéologie préventive, les zones de présomption de prescription archéologique (ZPPA) se substituent aux zones de saisine instituées par la loi de 2001 qui elles-mêmes succédaient aux périmètres de protection archéologique pris dans le cadre du décret 86-192. L’Atlas des patrimoines recense des zones de présomption de prescription archéologique et des zones de sensibilité archéologique. http://atlas.patrimoines.culture.fr/
Il y a 5 ans et 104 jours

Un atelier de faïencerie du xviiie siècle exhumé à Rouen

Une équipe de l’Inrap intervient depuis fin septembre 2019 sur la rive gauche de la Seine à Rouen, à l’emplacement de l’ancien CFA Lanfry, dans le cadre d’un projet immobilier porté par le groupe Edouard Denis. Cette fouille permet d’étudier les vestiges d’une manufacture de faïence du XVIIIe siècle et de la filature qui lui a succédé au XIXe siècle. Dans les archives, peu d’indications sont fournies sur la faïencerie, en dehors de l’existence de deux fours, que les archéologues ont refait sortir de terre. Plutôt bien conservés, ces deux fours forment un ensemble solidaire, comprenant des parties souterraines – chambre de chauffe et alandier/foyer, ainsi que des pièces dites de service. Deux d’entre elles s’organisent autour des foyers et servent à leur entretien. Elles communiquent par des escaliers avec d’autres salles situées à l’arrière, destinées à la préparation des fournées. L’usure des revêtements de sol révèle le cheminement des ouvriers. Le bâtiment des fours dans sa totalité est estimé à 15 mètres de longueur sur 8,80 mètres de largeur ; de manière inattendue, les fours eux-mêmes sont aménagés directement au contact de la rue Saint-Julien. Diverses zones d’activité se dessinent à proximité des fours. Au nord, une vingtaine de fosses regorgent de matériel d’enfournement brisé, de morceaux de fours détériorés et de fragments de vaisselle, de vases, de fontaines murales, de jardinières et de bénitiers à différents stades de leur élaboration, certains portant déjà les décors peints. Au nord-ouest, une rangée de bacs, maçonnés ou simplement creusés dans le sable du sous-sol, sont enduits d’un revêtement blanc. Après leur abandon, ils sont comblés par des rebuts de fabrication. Au sud, les vestiges d’une maçonnerie circulaire indiquent l’emplacement probable d’un moulin à broyer les émaux. Sur le même alignement, un long bâtiment de plus de 20 mètres de longueur sur 6 mètres de largeur est divisé en quatre pièces ; l’une d’entre elles au moins livre un dépôt d’argile. Des bacs à argile ont été également retrouvés autour de ce bâtiment. Enfin à l’ouest, à la limite du jardin de la faïencerie, les archéologues ont identifié plusieurs fosses circulaires contenant des résidus argileux. Après la cessation d’activité du dernier faïencier en 1796, une filature est construite. Cet établissement est constitué d’un très grand atelier de près de 40 mètres sur 15 mètres, divisé en deux nefs par une ligne de piliers. S’y accolent des structures imposantes en calcaire destinées à servir de socle à de lourdes machines. Un bâtiment de plus petit gabarit est prolongé par une cave profonde et une autre plus modeste qui a servi de soute à charbon. Photo : La salle de préparation des fournées en cours de fouille, au premier plan la chambre de chauffe et l’alandier du four nord Paola Calderoni, Inrap Aménagement : Groupe Edouard Denis Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Normandie) Recherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Paola Caledroni, Inrap
Il y a 5 ans et 105 jours

Jusqu'à 4 ans de prison requis pour l'attribution du marché du "Pentagone français"

Une peine de 4 années d'emprisonnement et de 200.000 euros d'amende a été requise lundi contre le principal prévenu dans le procès de l'attribution du marché du "Balardgone", le ministère de la Défense inauguré à Paris en 2015.
Il y a 5 ans et 105 jours

Une croissance exceptionnelle de l'apprentissage en 2019

FORMATION. Ce mardi 4 février 2020, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a réuni tous les acteurs de l'apprentissage en France afin de dévoiler et célébrer les excellents chiffres de l'année 2019. En effet, moins d'un an et demi après la mise en place de la réforme, le nombre d'apprentis a augmenté de +16 %.
Il y a 5 ans et 105 jours

Le bois et le patrimoine

Invités : Philippe JARNIAT – Responsable de marchés L’Ameublement Français Jérôme CARRAZ – Responsable de l’institut de la charpente et construction bois Les Compagnons du Devoir Sébastien FLEURY – Conducteur de Travaux SAGA Agencement
Il y a 5 ans et 105 jours

Michel Licausi, nouveau président de l'Union française du levage

Jusqu'alors délégué régional de l'UFL, il succède à Alexandre-Jacques Vernazza, P-DG de la société Mediaco.
Il y a 5 ans et 105 jours

Forêts tranquilles, urbaines ou centraux parcs

Les élections municipales sont un moment fort de la vie politique française, celui où les destins se forgent, puisque, paraît-il, à entendre les édiles, il n’est de fonction politique plus belle que celle issue de ce scrutin éminemment local. Plus […] L’article Forêts tranquilles, urbaines ou centraux parcs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 105 jours

Le code du travail se numérise en questions-réponses pour être lisible

Contrat de travail, salaire, congés, élections professionnelles... Le ministère du Travail a lancé "le code du travail numérique" (code.travail.gouv.fr) qui vise à répondre aux questions que se posent salariés comme employeurs sans devoir plonger dans les 3.600 pages du pavé rouge.
Il y a 5 ans et 105 jours

La construction de logements baisse un peu en France en 2019

La construction de logements neufs s'est repliée  l'année dernière mais dans une moindre mesure, selon le gouvernement qui veut voir au dernier trimestre 2019 "une reprise" à consolider.
Il y a 5 ans et 105 jours

Les énergies renouvelables, de plus en plus compétitives

A l’occasion des Assises de la Transition Energétique, l’ADEME a publié une mise à jour de son étude 2017 sur les « Coût des énergies renouvelables en France ». L’éolien terrestre et les centrales au sol photovoltaïques sont aujourd’hui des moyens de production d’électricité compétitifs vis-à-vis des moyens conventionnels : pour les installations mises en service entre 2018 et 2020, les coûts de production pour l’éolien terrestre seront compris entre 50 et 71 €/MWh et 45 et 81 €/MWh pour les centrales au sol photovoltaïques, alors que les coûts de production d’une nouvelle centrale à gaz à cycle combiné sont compris entre 50 et 66 €/MWh. Ainsi, sur la période 2015-2020, les coûts de production de ces deux technologies devraient baisser respectivement de 18 et 40%. Ces résultats confirment ceux de la publication de la Commission de Régulation de l’Energie de février 2019, qui constate, par exemple, que 30% des projets de centrales au sol de grande taille ont un coût moyen de 48€/MWh. Chez les particuliers, les solutions bois énergie offrent des coûts de revient moins élevés et donc globalement plus compétitifs que leurs concurrents conventionnels : entre 62 et 129 €/MWh contre une fourchette de 129 à161 €/MWh pour le fioul et de 99 à 115 €/MWh pour le gaz. Les pompes à chaleur géothermiques se rapprochent de la solution gaz avec des coûts de production entre 81 et 126 €/MWh. Le même constat est observé pour les pompes à chaleur air/eau dont les coûts de production sont respectivement compris entre 87 et 143 €/MWh. Néanmoins, le développement des solutions EnR chez le particulier nécessite le maintien des aides publiques. En effet, même les solutions les plus compétitives (bois énergie et géothermie), peinent à se développer à cause de barrières freinant le passage à l’action (le coût de l’investissement initial est particulièrement élevé). Dans le collectif, hors subvention, les solutions EnR ayant le plus fort potentiel de développement (biomasse, solaire thermique ou géothermie de surface) sont plus coûteuses que les solutions gaz : la biomasse (51-96 €/MWh), le solaire thermique sur toiture (64-165 €/MWh) et la géothermie de surface (88–140 €/MWh) ont un coût supérieur à ceux d’une chaudière gaz (51-85 €/MWh). La géothermie profonde (15 -55 €/MWh) et la récupération de chaleur sur UIOM (15-29€/MWh) ont, elles, des coûts de production très compétitifs, mais leur potentiel de développement est plus limité et elles nécessitent le développement d’un réseau de chaleur pour être exploitées; leurs coûts de production ne sont donc pas directement comparables à ceux d’une chaudière gaz en pied d’immeuble.
Il y a 5 ans et 105 jours

Attribution du marché du "Pentagone français": un procès s'ouvre à Paris

Le procès de deux hommes, jugés pour corruption et favoritisme dans l'attribution du marché du "Pentagone à la française", le ministère de la Défense, a démarré à Paris.
Il y a 5 ans et 105 jours

DDL Architectes : Collège Auguste Brizeux

Le conseil départemental du Morbihan (56) a confié à DDL Architectes la reconstruction du collège Auguste Brizeux en centre-ville de Lorient. Installé en bord de mer, sur le même site que son prédécesseur récemment démoli, le nouvel établissement offre aux élèves un édifice de qualité. L’agence DDL Architectes basée à Lorient a relevé le défi de reconstruire le collège de la commune bretonne, malgré les contraintes évidentes de sa situation géographique et de son contexte urbain. Localisé face port de plaisance de Lorient, le site se caractérise par une très mauvaise qualité de portance du sol. L’équipe de DDL Architectes a donc surélevé le bâtiment, construit des fondations profondes et réalisé une géothermie sur pieux, afin d’éviter tout risque de submersion en cas de fortes intempéries.Erigé sur une parcelle carrée, le collège avoisine des rues, un mail piéton végétalisé et une salle de sport. Au regard de cet emplacement et du cahier des charges, l’agence a également opté pour l’inscription de l’édifice dans le maillage orthogonal du centre-ville et la restauration de l’îlot éducatif historique. Bien que le nouvel établissement se fonde harmonieusement dans la ville, il sépare l’équipement éducatif de l’espace public. Clos sur eux-mêmes, les différents modules du complexe s’organisent en effet selon un plan en U, autour d’une cour intérieure, abritée des vents marins et souvent ensoleillée. Le bâtiment principal, au Nord, comprend un atrium longitudinal doté d’un dispositif bioclimatique, qui garantit un confort thermique en été comme en hiver tout en réduisant l’impact environnemental du complexe. Résolument contemporain, le collège est aussi esthétique que fonctionnel. Pérenne et décorative, la brique blanche, utilisée pour les façades, l’enseigne, la clôture et le moucharabieh, crée l’unité du complexe tout en le mettant à distance du centre-ville. Aujourd’hui, le collège peut accueillir jusqu’à 600 élèves et se constitue de différents pôles scolaires à la décoration minimaliste : un accueil, des espaces dédiés à la vie scolaire et à l’administration, un centre de documentation et d’information, un service de restauration, ainsi que des salles de classes spécifiques dotées de l’équipement nécessaire à l’étude des sciences, de la technologie, de la musique et des arts plastiques. Véritable sanctuaire de l’apprentissage, le collège Auguste Brizeux offre un cadre de travail idéal aux élèves bretons ! Pour en savoir plus, visitez le site de DDL Architectes Photographies : Florence Vesval Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 105 jours

L'inauguration du nouveau siège de la Région Ile-de-France reporté

L'inauguration du nouveau siège de la région Île-de-France a été reportée à une date non-déterminée après un avis défavorable de la commission de sécurité sur une partie du bâtiment.
Il y a 5 ans et 106 jours

Hidalgo souhaite des "rues végétales", Griveaux propose un apport aux ménages

MUNICIPALES. Deux candidats à la mairie de Paris ont énoncé leurs propositions en matière de logement et d'urbanisme : le candidat officiel de La République en Marche, Benjamin Griveaux, promet un apport allant jusqu'à 100.000 euros pour aider les ménages à acheter, tandis que l'édile socialiste sortante Anne Hidalgo veut créer une centaine de "mini-forêts urbaines" et des "dizaines de rues végétales".
Il y a 5 ans et 106 jours

Mini forêts urbaines, rues végétales, aide à l'achat d'un logement... les propositions pour Paris

Le candidat LREM à la mairie de Paris, Benjamin Griveaux, souhaite que la mairie de Paris verse jusqu'à 100.000 euros d'apport aux ménages, pour qu'ils puissent acheter leur résidence principale dans la capitale, où les prix battent des records. Anne Hidalgo, de son côté, détaille ses propositions pour introduire davantage de nature dans Paris, dans un entretien au Journal du Dimanche.
Il y a 5 ans et 106 jours

Feu vert à la réorganisation immobilière du CHRU de Nancy

Le comité interministériel en charge de la modernisation de l’offre de soins hospitaliers a approuvé, le 28 janvier dernier, le projet immobilier du CHRU de Nancy. Le programme de 515 millions d’euros d’investissement vise à concentrer les plateaux techniques sur le site de Brabois, à l’ouest de l’agglomération.
Il y a 5 ans et 106 jours

Un nouveau baromètre national de la location immobilière

L'Agence Immobilière Blue dévoile son premier baromètre national de la location immobilière. Des données nouvelles sur les disparités régionales en fonction de l'attractivité des biens, des loyers, des délais de mise en relation entre propriétaires et locataires ainsi que des seuils de solvabilité. Une analyse qui montre des différences importantes entre région.
Il y a 5 ans et 106 jours

Denormandie affirme que 110.000 logements sociaux ont été agréés en 2019

LOGEMENT. Le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, s'est vu remettre le 31 janvier 2020 le 25e rapport de la Fondation Abbé Pierre, et a indiqué à cette occasion que 109.088 logements sociaux avaient été agréés en 2019, dont près de 34.000 dits très sociaux.
Il y a 5 ans et 106 jours

SOLUTION DE REUTILISATION DES EAUX USEES TRAITEES (REUSE)

IRRIGO EVOLUTION : SOLUTION DE REUTILISATION DES EAUX USEES TRAITEES (REUSE) La réutilisation des eaux usées par irrigation souterraine sous pression Innovation présentée au Village Innovation du Carrefour des Gestions Locales de l’Eau 2020 IRRIGO Evolution au CGLE 2020 – STOC Environnement Dans un contexte de réchauffement climatique et d’Economie circulaire, la réutilisation des usées traitées devient un enjeu. En conclusion des Assises de l’eau, le ministre de la transition écologique avait évoqué (juillet 2019), un objectif règlementaire de réutilisation des eaux usées dans les bâtiments neufs.  La France est très en retard, avec un taux de réutilisation des eaux usées de moins de 1%, contre 9% en Italie et 13% en Espagne, mais les tensions croissantes, liées aux sécheresses estivales successives, pourraient conduire le gouvernement à légiférer. La solution d’irrigation souterraine, IRRIGO Evolution, permet de réutiliser les eaux usées après traitement, en conformité avec la règlementation française, et d’améliorer l’infiltration de ces eaux traitées, quel que soit le coefficient de perméabilité. Réutilisation des eaux usées traitées pour l’irrigation souterraine Solution d’infiltration pour les sols peu perméables* (perméabilités de 01mm/h à 500 mm/h) Economie d’eau/économie circulaire (Reuse) Irrigation possible en cas d’arrêté de restriction d’eau * L’évolution de l’arrêté du 7 septembre 2009, complété et validé au 7 mars 2012 et entré en vigueur le 1er juillet 2012, prévoit l’Intégration de l’irrigation comme mode d’exutoire possible et envisageable. LA GAMME IRRIGO-PUITS EVOLUTION Réutilisation des eaux épurées pour l’irrigation souterraine des végétaux d’ornement – Solution particulièrement adaptée aux sols à perméabilité très faible – Réutilisation de l’eau en toute sécurité IRRIGO-PUITS Evolution est un kit d’irrigation sous pression avec pompe immergée, qui se positionne en aval d’un système d’assainissement agréé (microstation, filtre compact, phytoépuration…). IRRIGO Evolution est le système d’irrigation souterraine sous pression, qui s’installe dans les dispositifs STOC Environnement ne nécessitant pas de poste externe. IRRIPUITS Evolution est un poste spécifique d’irrigation, qui se pose après tout système de traitement agréé (de STOC Environnement ou d’autres fabricants). Système modulaire s’adaptant à toutes les contraintes topographiques, le kit d’irrigation utilise le sol et le système racinaire des plantes pour évacuer les eaux traitées via une ou plusieurs canalisations percées. Sa mise en place est simple et rapide (pas de gros terrassement). Cette solution permet une réutilisation de l’eau par irrigation forcée au pied de végétaux.  Réutiliser l’eau usée traitée pour économiser l’eau et préserver les milieux sensibles Recycler l’eau usée, c’est réduire voire supprimer un rejet au milieu naturel. Utiliser cette ressource complémentaire, c’est aussi alléger la pression sur la ressource en eau, en particulier sur les territoires qui connaissent des périodes de fortes sécheresses. PROBLEMATIQUE REPONSE IRRIGO-PUITS EVOLUTION Sensible à l’Environnement Réchauffement climatique Interdiction d’arrosage (87 départements en restriction d’eau en septembre 2019) Solution de réutilisation des eaux en sortie de tous les dispositifs d’ANC : Filtres compacts, microstations, filières traditionnelles (FTE, …), par irrigation souterraine des végétaux.     Economie circulaire   Loi NOTRe Cette solution permet de réutiliser les eaux et génère une économie d’eau très significative. Economie potentielle de : 120 m3 / habitation ANC / an 600 millions de m3 / an en France     Diminution du risque sanitaire IRRIGO Evolution est un système d’irrigation souterraine qui : restitue l’eau par le sol (évitant tout rejet au fossé, cours d’eau, …), évite tout risque sanitaire (contact avec l’homme ou les animaux).      Solution d’infiltration   IRRIGO Evolution peut s ’implanter dans tous les types de sol. Il constitue une solution très intéressante en cas de sol peu perméable : Fracturation du sol par les racines, Récupération d’une partie des effluents par les végétaux en période de croissance. AVANTAGES de la SOLUTION IRRIGO-PUITS Evolution  Infiltration par le sol Irrigation souterraine des végétaux (endémiques) Réutilisation de l’eau en toute sécurité Solution adaptée aux sols à perméabilité très faible Mise en place simple et rapide : Système enfouit à fable profondeur Terrassement réduit (notice à disposition) Amélioration de la pression en bout de linéaire Optimisation de la longueur des tuyaux d’irrigation Pas d’obligation de poste de relevage externe Economie circulaire/économie d’eau Sécurisée par alarmes sonore / visuelle  La mise en place est simple et rapide (pas de gros terrassement). Cette solution permet une réutilisation de l’eau par irrigation forcée au pied de végétaux. L’ensemble des éléments d’IRRIGO-PUITS Evolution doit être posé conformément aux abaques préconisés par STOC Environnement.   A télécharger :  Fiche produit IRRIGO Evolution
Il y a 5 ans et 106 jours

Cités millénaires. A Washington, voyage virtuel de Palmyre à Mossoul

Créée par l’IMA en collaboration avec la société ICONEM et en partenariat avec l’UNESCO, après un premier grand succès en 2018-2019 à Paris, l’exposition «Cités millénaires. Voyage virtuel de Palmyre à Mossoul» est présentée au public américain à Washington, sous […] L’article Cités millénaires. A Washington, voyage virtuel de Palmyre à Mossoul est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 106 jours

Plan d'aide aux copropriétés: la moitié des opérations entamées

Environ la moitié des rénovations prévues par un plan public d'aide aux copropriétés, qui prévoit 2,5 milliards d'euros d'aides publiques sur dix ans, ont commencé.
Il y a 5 ans et 106 jours

Rénovation énergétique: le démarchage téléphonique sera interdit

Bientôt la fin de ces appels irritants ? Le gouvernement veut interdire le démarchage téléphonique en matière de rénovation énergétique, a annoncé la secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie.
Il y a 5 ans et 106 jours

JCDecaux annonce un chiffre d'affaires en hausse de 9,6%, mais rencontre toujours des difficultés en Chine

Le géant français de l'affichage publicitaire JCDecaux a enregistré en 2019 un chiffre d'affaires de 3,5 milliards d'euros, en progression de 9,6%, mais présente toujours des difficultés dans la région Asie-Pacifique, selon ses chiffres publiés jeudi.
Il y a 5 ans et 108 jours

A El Pedregal au Mexique, l’éboulis est matériau de construction

A San Miguel de Allende, ville mexicaine classée depuis 2008 au patrimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO, le propriétaire du vignoble El Pedregal a fait appel à l’architecte Sergio Portillo pour en transformer l’image tout en le gardant pareil, ou […] L’article A El Pedregal au Mexique, l’éboulis est matériau de construction est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 109 jours

Pour 2020, Denormandie vise "au-dessus de 400.000 logements"

LOGEMENT. Le ministre du Logement Julien Denormandie a indiqué ce 31 janvier 2020 que le Gouvernement tablait sur la construction d'au moins 400.000 logements cette année, un niveau qui resterait supérieur à la moyenne des cinq dernières années d'après l'exécutif.
Il y a 5 ans et 109 jours

Incendie de Grenfell : certaines personnes risqueraient la prison à vie

JUSTICE. Des mails dévoilés lors de l'enquête publique sur l'incendie de la tour Grenfell montrent que plusieurs acteurs de la conception et de la réalisation étaient conscients des défauts de la façade en matière de résistance incendie.
Il y a 5 ans et 109 jours

Projet mixte dans le comté de Kaihua, UAD mélange les genres

En Chine, tout à fait à l’est de la province du Zhejiang (capitale Hangzhou), le comté de Kaihua se trouve dans une région montagneuse presque en totalité recouverte de forêts. En centre-ville, le projet d’UAD (Architectural Design & Research Institute […] L’article Projet mixte dans le comté de Kaihua, UAD mélange les genres est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 110 jours

Allemagne : la ville de Berlin adopte le plafonnement des loyers

IMMOBILIER. Le parlement de la ville de Berlin a adopté ce 30 janvier 2020 un dispositif de gel et de plafonnement des loyers qui s'applique dès cette année et ce, pour une durée de cinq ans. Une décision qui est cependant menacée par des recours juridiques.
Il y a 5 ans et 110 jours

Le projet de loi économie circulaire adopté : la construction reste mobilisée contre la REP

Les conclusions de la commission mixte paritaire sur le projet de loi anti-gaspillage, dont l’article 7 crée des filières pollueurs-payeurs dans des secteurs comme le bâtiment, ont été examinées jeudi 30 janvier 2020 au Sénat en séance publique. Et le projet de loi a été adopté dans la foulée. Les professionnels de la construction, qui estiment ne pas avoir pu proposer un schéma alternatif à une filière REP (responsabilité élargie du producteur) misent maintenant sur ses décrets d’application pour influer, notamment, sur les modalités de gestion des différents matériaux de construction concernés.
Il y a 5 ans et 110 jours

RE 2020 : 13 acteurs de la filière adressent une lettre ouverte au Premier Ministre

13 acteurs de la filière ont cosignés une lettre ouverte adressée à Monsieur le Premier Ministre, Edouard Philippe, faisant suite aux arbitrages rendus dernièrement par le gouvernement concernant le coefficient de conversion et le contenu CO² de l'électricité.