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Le 5 avril dernier, 130 personnes ont participé à la rencontre "La qualité de nos infrastructures est décisive pour notre avenir. Parlons-en vraiment !" organisée par la FRTP Rhône-Alpes et la section TP de la Fédération départementale BTP 42 à Saint-Etienne.

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de Snøhetta et à l'agence bordelaise Duncan Lewis Scape Architecture. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de Snøhetta et à l'agence bordelaise Duncan Lewis Scape Architecture. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 

Ils ont été 8 000 visiteurs à venir découvrir le pavillon mobile Expo 2017 à Paris qui présentait les temps forts de la future exposition d'Astana (Kazakhstan) dédiée à "l'énergie du futur".

Le fabricant de matériel informatique Advantech a mis en avant sa branche ferroviaire sur le salon Sifer 2017. Depuis 5 ans le constructeur s'impose sur le marché de l'électronique embarqué avec des produits constamment mis à jour. Tony Milne, responsable du marché européen, nous présente les derniers boitiers pour ordinateurs embarqués.

Railtex, le salon leader de la technologie des matériels et des services ferroviaires au Royaume-Uni, se déroulera au Centre national des expositions de Birmingham du 9 au 11 mai. C'est la treizième édition de cet évènement marquant du secteur.

A l'occasion du salon Sifer en mars dernier, BTP Rail a organisé une table ronde faisant intervenir François Meyer, directeur territorial SNCF Réseau des Hauts de France, Jean-Pierre Audoux, président de la FIF, Jean Bernadet, président de TSO et Franck Guelmi, directeur des agences grands travaux ETF.

Perçue depuis de nombreuses années comme une alternative crédible à la voie classique ballastée, la technique de voies sur dalles béton a longtemps été freinée dans son essor par l'absence de process simple et économique de mise en "uvre. Le concept inédit de voies sur dalles standards " Rail CLIP " développé par Antoine Marot pourrait changer la donne en répondant à la fois à la problématique des courbes de transition et à l'évacuation d'urgence.

Pour 2017, la célèbre marque espagnole de meubles Kettal offre un nouveau visage à son showroom barcelonais, dont la conception a été confiée au studio Urquiola. Un réaménagement intérieur radical en profond accord avec l'image de la marque mêlant créativité et innovation. L'architecte Patricia Urquiola s'est penchée sur la nouvelle boutique Kettal qui, par son design et son agencement sublime ce grand nom du mobilier design. Le premier élément qui saute aux yeux du visiteur est la tripartition de l'espace réalisée par le biais de cloisons à clairevoie blanche et rouge, en référence à l'architecture en métal et brique du lieu. Ces éléments créent ainsi deux zones d'exposition des produits et un espace central en double-hauteur réinterprétant le fameux patio à l'espagnole. Le studio Urquiola s'approprie à merveille l'identité de la marque d'ameublement et transpose dans ce showroom le mode de vie ibérique : entre couleurs vives, fraîcheur méditerranéenne et " symbole du vivre dehors ". Photographie : Salva López Pour en savoir plus, visitez le site de Kettal et de Patricia Urquiola

Pour 2017, la célèbre marque espagnole de meubles Kettal offre un nouveau visage à son showroom barcelonais, dont la conception a été confiée au Studio Urquiola. Un réaménagement intérieur radical en profond accord avec l'image de la marque mêlant créativité et innovation. L'architecte et designer Patricia Urquiola s'est donc penchée sur la nouvelle boutique Kettal qui, par son design et son agencement sublime ce grand nom du mobilier. Le premier élément qui saute aux yeux du visiteur est la tripartition de l'espace réalisée par le biais de cloisons à clairevoie blanches et rouges, en référence à l'architecture en métal et brique du lieu. Ces éléments créent ainsi deux zones d'exposition des produits et un espace central en double-hauteur réinterprétant le fameux patio à l'espagnole. Le Studio Urquiola s'approprie à merveille l'identité de la marque d'ameublement et transpose dans ce showroom le mode de vie ibérique : entre couleurs vives, fraîcheur méditerranéenne et " symbole du vivre dehors ". Photographie : Salva López Pour en savoir plus, visitez le site de Kettal et de Patricia Urquiola

Le constructeur de nacelles Genie sera exposant sur le salon APEX (Amsterdam du 2 au 4 mai 2017). L'occasion de retrouver la toute dernière génération de nacelles, les SAV Genie et les accessoires Genie Lift Guard.

Bell Equipement a accordé à la société Teramat, basée à Heyrieux en banlieu lyonnaise, la concession officielle pour la distribution des tombereaux articulés Bell en Savoie (73), Haute-Savoie (74) et l'intégralité du département de l'Isère (38).

Dans le cadre de mois de la photo-OFF et de l'inauguration de ses nouveaux locaux, le Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement des Hauts-de-Seine (CAUE92), ouvre ses portes avec une exposition, L'ombre de l'angle, mêlant photographie et architecture, deux domaines qui peuvent se sublimer mutuellement. Nanterre : un lieu d'aménagement aux aspects de fourmilière, où se développe à vitesse grand V logements, bureaux ou autres infrastructures. Ce territoire en mutation est alors un cadre parfait pour le CAUE du département qui a pour volonté de démocratiser la culture dans cette zone du Grand Paris, souvent délaissée par les collectivités. Pour le premier événement organisé dans le nouveau bâtiment, le CAUE a fait appel à 17 photographes de renom qui ont élaboré une sélection de visuels autour du thème de l'architecture donc. Une soixantaine de clichés exceptionnels de Sergio Grazia, Hélène Binet ou encore Laurent Kronental, met en lumière des édifices mondiaux atypiques comme le musée gallo-romain de Lyon (69), la Tate Modern Switch House à Londres (Royaume-Uni) ou le Viaduc et les Arcades du lac de Montigny-le-Bretonneux (78).Ce rassemblement d'artistes permet aussi de parcourir des problématiques diverses et variées traitant de la complexité des deux domaines, le bâti et la prise de vues, mais aussi sur l'incidence de l'un sur l'autre. Au final, c'est la notion même de commande qui est questionnée, ainsi que les relations entre artiste et créateur ; avec les libertés prises par l'un pour faire valoir son art face à celui de l'autre. C'est dans un cadre culturel trop rare et peu soutenu que cette exposition inaugure le nouveau CAUE de Nanterre, espérant y faire converger le plus de personnes possibles, d'horizons différents, avec l'espoir secret d'insuffler plus de réflexions et d'engouement aux jeunes. Photographies : 1) Jacques, 82 ans, Le Viaduc et les Arcades du Lac, Montigny-le-Bretonneux, 2015_Souvenir d'un futur © Laurent Kronental 2) Memorial 2 © Filip Dujardin 3) Musee?e gallo-romain. Bernard Zeh rfuss architecte, Lyon © Michel Denance? 4) Po?le culturel. O-S architectes. St-Germain-Le?s-Arpajon, 2015 © Cyrille Weiner 5) Lieu de vie. Muoto, Plateau de Saclay, 2016 © Maxime Delvaux 6) Po?le danse et musique. Joly&Loiret, Versailles, 2016 © Schnepp Renou 7) Pont sur le Basento. Sergio Musmeci et Zenai de Zanini, Potenza. 2016 © He?le?ne Binet 8) Tate Modern Switch House, Night View from Holland St. Herzog & de Meuron architectes, 2016 © NAARO 9) Maison du port. Zaha Hadid architectes, Anvers, 2016 © Boegly+Grazia 2016 Pour en savoir plus, visitez le site du CAUE92

Dans le cadre du mois de la photo-OFF et de l'inauguration de ses nouveaux locaux, le Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement des Hauts-de-Seine (CAUE92), ouvre ses portes avec une exposition, " L'ombre de l'angle ", mêlant photographie et architecture, deux domaines qui peuvent se sublimer mutuellement. Nanterre : un lieu d'aménagement aux aspects de fourmilière, où se développe à vitesse grand V logements, bureaux ou autres infrastructures. Ce territoire en mutation est donc un cadre parfait pour le CAUE du département qui a pour volonté de démocratiser la culture dans cette zone du Grand Paris, souvent délaissée par les collectivités. Pour le premier événement organisé dans son nouveau bâtiment, le CAUE a fait appel à 17 photographes de renom qui ont élaboré une sélection de visuels autour du thème de l'architecture donc. Une soixantaine de clichés exceptionnels de Sergio Grazia, Hélène Binet ou encore Laurent Kronental, met en lumière des édifices mondiaux atypiques comme le musée gallo-romain de Lyon (69), la Tate Modern de Londres (Royaume-Uni) ou le Viaduc et les Arcades du lac de Montigny-le-Bretonneux (78).Ce rassemblement d'artistes permet également d'aborder des problématiques diverses et variées traitant de la complexité des deux domaines, le bâti et la prise de vues, mais aussi l'incidence de l'un sur l'autre. Au final, c'est la notion même de commande qui est questionnée, ainsi que la relation entre artiste et créateur ; avec les libertés prises par l'un pour faire valoir son art face à celui de l'autre. C'est dans un cadre culturel trop rare et peu soutenu que cette exposition inaugure le nouveau CAUE de Nanterre, espérant y faire converger le plus de personnes possible, d'horizons différents, avec l'espoir secret d'insuffler plus de réflexion et d'engouement pour les arts. L'exposition L'ombre de l'angle du Caue92 se tiendra du 7 avril au 29 avril 2017 au Caeu92  - 279, terrasse de l'Université , Nanterre  (92) (France)  Photographies : 1) Jacques, 82 ans, Le Viaduc et les Arcades du Lac, Montigny-le-Bretonneux, 2015_Souvenir d'un futur © Laurent Kronental 2) Memorial 2 © Filip Dujardin 3) Musee?e gallo-romain. Bernard Zeh rfuss architecte, Lyon © Michel Denance? 4) Po?le culturel. O-S architectes. St-Germain-Le?s-Arpajon, 2015 © Cyrille Weiner 5) Lieu de vie. Muoto, Plateau de Saclay, 2016 © Maxime Delvaux 6) Po?le danse et musique. Joly&Loiret, Versailles, 2016 © Schnepp Renou 7) Pont sur le Basento. Sergio Musmeci et Zenai de Zanini, Potenza. 2016 © He?le?ne Binet 8) Tate Modern Switch House, Night View from Holland St. Herzog & de Meuron architectes, 2016 © NAARO 9) Maison du port. Zaha Hadid architectes, Anvers, 2016 © Boegly+Grazia 2016 Pour en savoir plus, visitez le site du CAUE92 Entrée libre du mercredi au samedi de 12 h à 18 hjusqu'à 22 h les soirs de débat et apéro-DJ.

L'Université de Malte MCAST (Malta College of Arts Science & Technology) a choisi un banc d'essai de compteurs d'eau de Sensus pour assister la formation et la recherche des ingénieurs du département de son institut de sciences appliquées, en vue de promouvoir l'apprentissage de la métrologie de pointe comme élément moteur de la préservation de la ressource en eau.

Au salon ISH, la ventilation double flux règne sans partage, avec une multiplication des solutions décentralisées en logement, comme en tertiaire.

À l'occasion du Salone del Mobile 2017, le showroom Jill Sanders présentait l'exposition " Nendo : Invisbles outlines " réunissant les seize dernières créations de l'agence japonaise du même nom. Parmi elles, Jellyfish vase, une installation tant aquatique que poétique où des vases translucides extra-fins en silicone dansent au rythme d'un flot nonchalant. Immersion dans l'univers nendo, aka Oki Sato. En 2016, Nendo avait déjà enchanté le Salone del Mobile avec une "uvre originale et décalée inspirée de bandes dessinées, positionnées dans un typique cloître milanais avec fresques et colonnades ; jouant avec les époques et les contrastes, non sans espièglerie. Cette année, l'agence de design japonaise revient avec " Nendo : Invisibles outlines ", cette fois présentée en intérieur, dans le showroom de la créatrice Jill Sanders avec qui elle collabore pour la création de vêtements. Dans le bâtiment de trois étages situé à deux pas du château de Milan, le studio nendo livre donc seize installations reprenant le thème des contours, des lignes, des pleins et des vides. Derrière ces "uvres semblant défier la pesanteur transparaît l'idée que grâce aux contours l'invisible peut être palpable.Au détour d'un passage étroit de l'espace d'exposition entièrement revêtu de blanc, Oki Sato et son équipe révèlent Jellyfish vase, un assemblage de six fleurs et de 30 vases en silicone de dimensions différentes dans un aquarium de 1,8 mètre de longueur rempli d'eau disposé à hauteur d'"il et entouré d'une bande de miroirs, flouant un peu plus les limites entre intérieur et extérieur, aérien et aquatique. Ces délicats objets y ondulent subtilement en rythme décalé : pas suffisamment pour faire des vagues mais assez pour emporter le visiteur dans un spectacle hypnotique et sensible. Nous sommes ici à la frontière entre art et en design. L'installation Jellyfish vase, ou " vase méduse " en français, reprend le terme de vase, sans pour autant en avoir totalement la fonction puisque l'eau est ici omniprésente, jusqu'à la couleur bleu dégradé de ces réceptacles. Leur malléabilité entre en résonnance avec le mot nendo, qui signifie " pâte à modeler " en japonais. Un terme subtilement choisi par Oki Sato pour son adaptabilité et le changement de forme auquel il renvoie. Le studio aime ainsi à jouer avec les échelles et les effets, et le sens même des objets : le contenant devient contenu, et le contenu contenant. Finalement nendo est un peu l'une de ces structures : polymorphe et insaisissable en même temps. " Giving people a small " ! " moment. There are so many small " ! " moments hidden in our everyday. But we don't recognize them. and even when we do recognize them,we tend to unconsciously reset our minds and forget what we've seen. But we believe these small " ! " moments are what make our days so interesting, so rich. (...) That's nendo's job ", studio nendo. Photographies : Akihiro Yoshida Pour en savoir plus, visitez le site de nendo

À l'occasion du Salone del Mobile 2017, le showroom Jill Sanders présentait l'exposition " Nendo : Invisbles outlines " réunissant les seize dernières créations de l'agence japonaise du même nom. Parmi elles, Jellyfish vase, une installation tant aquatique que poétique où des vases translucides extra-fins en silicone dansent au rythme d'un flot nonchalant. Immersion dans l'univers nendo, aka Oki Sato. En 2016, Nendo avait déjà enchanté le Salone del Mobile avec une "uvre originale et décalée inspirée de bandes dessinées, positionnées dans un typique cloître milanais avec fresques et colonnades ; jouant avec les époques et les contrastes, non sans espièglerie. Cette année, l'agence de design japonaise revient avec " Nendo : Invisibles outlines ", cette fois présentée en intérieur, dans le showroom de la créatrice Jill Sanders avec qui elle collabore pour la création de vêtements. Dans le bâtiment de trois étages situé à deux pas du château de Milan, le studio nendo livre donc seize installations reprenant le thème des contours, des lignes, des pleins et des vides. Derrière ces "uvres semblant défier la pesanteur transparaît l'idée que grâce aux contours l'invisible peut être palpable.Au détour d'un passage étroit de l'espace d'exposition entièrement revêtu de blanc, Oki Sato et son équipe révèlent Jellyfish vase, un assemblage de six fleurs et de 30 vases en silicone de dimensions différentes dans un aquarium de 1,8 mètre de longueur rempli d'eau disposé à hauteur d'"il et entouré d'une bande de miroirs, flouant un peu plus les limites entre intérieur et extérieur, aérien et aquatique. Ces délicats objets y ondulent subtilement en rythme décalé : pas suffisamment pour faire des vagues mais assez pour emporter le visiteur dans un spectacle hypnotique et sensible. Nous sommes ici à la frontière entre art et en design. L'installation Jellyfish vase, ou " vase méduse " en français, reprend le terme de vase, sans pour autant en avoir totalement la fonction puisque l'eau est ici omniprésente, jusqu'à la couleur bleu dégradé de ces réceptacles. Leur malléabilité entre en résonnance avec le mot nendo, qui signifie " pâte à modeler " en japonais. Un terme subtilement choisi par Oki Sato pour son adaptabilité et le changement de forme auquel il renvoie. Le studio aime ainsi à jouer avec les échelles et les effets, et le sens même des objets : le contenant devient contenu, et le contenu contenant. Finalement nendo est un peu l'une de ces structures : polymorphe et insaisissable en même temps. " Giving people a small " ! " moment. There are so many small " ! " moments hidden in our everyday. But we don't recognize them. and even when we do recognize them,we tend to unconsciously reset our minds and forget what we've seen. But we believe these small " ! " moments are what make our days so interesting, so rich. (...) That's nendo's job ", studio nendo. Photographies : Akihiro Yoshida Pour en savoir plus, visitez le site de nendo

MAN Truck & Bus rejoint l'initiative pour la mise en place d'une interface de rechargement (Charging Interface Initiative - CharIN). L'objectif de l'association est d'établir le Combined Charging System (CCS) comme standard pour le rechargement de tous les véhicules électriques à batteries.

Volvo Trucks France participera à la 14è édition de Solutrans, le salon international des solutions de transport routier et urbain, qui se tiendra du 21 au 25 novembre 2017 à Lyon Eurexpo.

Renault Trucks participera à la 14è édition du salon Solutrans, salon international des solutions de transport routier et urbain, qui se tiendra à Lyon-Eurexpo du 21 au 25 novembre prochain. Le constructeur exposera notamment, sur un stand de 700 m², ses véhicules construction.

Lors du salon Bois Energie qui s'est déroulé du 30 mars au 2 avril 2017 au parc des expositions de Limoges, la chaudière mixte EcoHK 250-330 kW a reçu le premier Prix Bois Energie d'or.

La majorité LR au département des Alpes-Maritimes a fait voter la clause Molière imposant l'usage du français sur les chantiers publics.

Quelle actualité pour le Grand Paris en ce printemps 2017 ? Les derniers concours d'architecture pour les futures gares du métro automatique ? Les premiers résultats des consultations qui réinventeront la Métropole ou la Seine ? Les inaugurations très attendues de quelques équipements phare ? Un autre événement a attiré notre attention : la publication, en janvier dernier, du nouveau roman d'Aurélien Bellanger. Envisagée dans sa dimension métropolitaine, la capitale régénérerait-elle aussi sa matrice fictionnelle ? Nous avons posé la question à plusieurs écrivains contemporains, auxquels nous avons demandé de commenter la charge d'imaginaire et la portée symbolique de quelques-uns des projets qui font aujourd'hui l'actualité architecturale du Grand Paris. S'il est un outil de conception essentiel au service de l'architecte, c'est bien celui de la fiction. Pour déterminer quel sera l'espace dans lequel pourront se déployer au mieux les usages auxquels le projet est destiné, et comment il s'intégrera dans un lieu donné, l'architecte n'a d'autres moyens que d'imaginer le scénario qui s'y déroulera. C'est ce pouvoir d'offrir des images propres à susciter le désir d'un monde à venir qu'ont bien perçu certains politiques, et c'est pourquoi ils n'hésitent pas à se servir de leur architecte pour faire voter les budgets. Mais contrairement aux romanciers ou aux scénaristes qui, sans avoir de comptes à rendre, peuvent nous envoyer sur Mars, l'architecte affronte tôt ou tard l'épreuve du réel. Si la fiction qui a déterminé son projet est trop différente de la vie qui s'y déroule finalement, le décalage peut être cruel, quelles que soient la beauté du béton et la subtilité des détails. Mais cette liberté des écrivains range-t-elle pour autant leurs histoires au rayon des futilités ? Oui, si nous les lisons en prenant leurs fictions au pied de la lettre, comme des programmes qu'il faudrait appliquer. Non, si l'on veut bien croire que l'art poétique nous fait voir, au-delà de l'immédiateté des choses, ce que l'on ne sait pas voir seuls. Non, si l'on parvient à se saisir de la puissance de détournement de perspective qu'autorise la narration romanesque. Le passionnant roman d'Aurélien Bellanger, Le Grand Paris, nous éclaire par exemple beaucoup sur les mécanismes des transformations métropolitaines à partir de données complètement fantaisistes (et assumées comme telles). Par quel subterfuge autre que la littérature pourrait-on parfois apprendre davantage dans un tel livre que dans un séminaire scientifique sur le Grand Paris ? Pour essayer de comprendre ce paradoxe, nous sommes allés interroger Aurélien Bellanger, Serge Lehman et Thomas Clerc, trois écrivains pour lesquels le territoire francilien est bien plus qu'un décor. Emmanuel Caille

L'édition 2017 de Sifer, le salon international du ferroviaire en France, qui se tient tous les deux ans depuis 1999 à Lille, a rassemblé, entre le 21 et le 23 mars dernier, 4 900 visiteurs.

Sur le salon SIFER 2017, Mecalac a dévoilé la nouvelle mouture de sa pelle RR 8 MCR équipée de la dernière innovation maison, l'attache rapide Connect qui offre un gain de poids non négligeable de près de 300 kg.