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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 2 ans et 343 jours

À la biennale de Versailles, des paysagistes invitent à ne faire plus qu'un avec le vivant

CULTURE. L'approche fondamentalement écologique des commissaires de cette exposition pousse le public à s'interroger sur la gestion humaine des sols. Les visiteurs sont même invités à participer à l'élaboration d'un jardin éphémère commun, défini dans une zone du potager du Roi, à Versailles.
Il y a 2 ans et 343 jours

Carrefour International du Bois, premier jour

Le saut de l’édition 2018 à 2022 n’a pas remis en cause le statut du salon nantais considéré par beaucoup comme premier salon du bois d’Europe.
Il y a 2 ans et 343 jours

Välinge Flooring présente ses lames XXL brossées en chêne select

Les finitions brossées bénéficient elles aussi de la technologie Woodura®, processus de densification du placage par injection de poudre de bois comme tout autre modèle de la gamme.Leurs particularités :Les nouvelles finitions brossées font appel à un vernis plus transparent et plus souple destiné à mieux épouser chaque aspérité, chaque relief de la lame. Cette nouvelle finition offre un toucher incomparable et un confort optimal même pieds nus. Le choix esthétique de la matière (Select, sans nœuds) très épuré répond à une tendance actuelle et apporte une modernité sans pareille dans l’univers traditionnel du parquet.A destination et usage exclusivement résidentiel, les lames XXL peuvent être utilisées dans toutes les pièces de la maison (hors salle de bain et pièces donnant directement sur l’extérieur). Les différents brevets associés à la fabrication de cette collection tels que 5G® Dry™ qui apporte une résistance à l’eau pendant 24 heures et autorise un accès dans la cuisine (idéal pour faire de beaux grands espaces salon/séjour/cuisine d’un seul tenant), ou encore Woodura® qui densifie la matière, améliorent grandement la résistance aux chocs, réduisent les rayures et suppriment le poinçonnement. Woodura® autorise également la pose sur de très grandes surfaces sans joints de fractionnement, 25 mètres linéaires dans chacune des directions soit 625m2. Idéal pour habiller des appartements contemporains type lofts. La collection XXL Select se décline en 7 finitions dont 2 nouvelles font leur apparition : Chêne Terra Brown, un brun subtil aux légers accents ambrés voire fumés; et Chêne Shadow Brown, un brun plus soutenu, plus couvrant destiné à apporter une touche de classicisme pour cette lame néanmoins résolument moderne.Ces sept finitions sont aussi déclinées dans le choix Nature, c’est-à-dire légèrement noueux. Un choix idéal pour ceux qui, selon leur environnement ou désir, souhaitent apporter une pointe de rusticité ou d’authenticité à leur intérieur.Et enfin, courant du trimestre prochain cette même gamme de finitions sera disponible également en version XL Select.Une optimisation de la matièreA l’heure où la matière se raréfie, où il est de plus en plus difficile d’obtenir de beaux bois pour fabriquer et fournir des parquets aux lames larges sans nœuds sur le marché; la technologie Woodura® apporte cette solution grâce à l’optimisation de la matière (placage tranché 0,6mm) et également la densification de cette dernière.Prix : de 79€ à 99€ TTC le m²Spécificités :La largeur de pose maximale est de 25 mètres linéaires dans chaque direction avant qu’une transition ne soit nécessaire.Infos techniques :Collection XXL : 2378 x 271 x 11,3mm, 7 finitions en choix Select, 7 finitions en choix Nature. Collection XL : 2200 x 206 x 11,3mm, 7 finitions en choix Select – à venir courant 2ème trimestre.Pose :Flottante ou collée en plein selon les besoins. Suivre les règles des DTU parquets en vigueur pour la mise en œuvre des produits Välinge Flooring.Entretien :Quotidien : Privilégier le nettoyage à sec, aspirateur ou balais anti-poussières. Régulier : toujours aspirer au préalable puis utiliser un produit d’entretien courant destiné aux parquets (nettoyant au PH Neutre).BFl-S1, E1REACTION AU FEU Standard EN 13 501Bfl-S1 (difficilement inflammable)Conductivité thermiqueCompatible chauffage au sol basse température 27° en surface maximum en pose flottante.L’ensemble des matières premières utilisées sont certifiées FSC. L’ensemble du cycle de production est basé sur le principe du recyclage de matière : tout peut être broyé à nouveau pour constituer la poudre de bois nécessaire à la technologie Woodura®.
Il y a 2 ans et 343 jours

Au Mondial du Bâtiment, des conférences en série

Batimat, Interclima et Ideobain accueilleront cette année un ambitieux programme de contenus autour des défis de la construction.
Il y a 2 ans et 344 jours

WICONA lance les Partenaires Spécialistes Sécurité Incendie

WICONA a lancé son nouveau programme « les Partenaires Spécialistes Sécurité Incendie WICONA ». Le concepteur-gammiste vise à asseoir l’expertise et le savoir-faire des fabricants-installateurs agréés de menuiseries auprès des architectes et professionnels dans leur projet de construction ou de rénovation. Ce programme ambitionne également de mieux faire connaître la performance des systèmes aluminium dans la protection incendie des bâtiments. Les Partenaires Spécialistes Sécurité Incendie WICONA préfigurent un nouveau concept de relation client basé sur la co-construction. Ce programme est une première. En sept ans, l’industriel a construit l’une des offres produits en matière de Protection Incendie parmi les plus larges du marché français.
Il y a 2 ans et 344 jours

Le salon Eurobois dévoile son programme

A la hauteur de cette offre et au plus près des tendances du marché et des besoins de la filière, Eurobois proposera un programme de contenus riches et variés.Il abordera les enjeux actuels de la filière tels que l'emploi, la formation, la montée en compétences, le numérique et l'innovation. Et mettra en valeur plus particulièrement les secteurs de la 1ère transformation, de la 2nde transformation et de l'agencement aussi bien sur les stands des entreprises que dans le cadre des nombreuses animations et conférences.Ce programme, alliant animations, démonstrations pratiques et sujets prospectifs, proposera des contenus spécifiques et adaptés aux besoins des visiteurs professionnels : agenceurs, architectes d’intérieur, charpentiers, ébénistes, menuisiers, collectivités, négoce, ou encore des scieurs. Ils auront la possibilité de s'informer sur les dernières actualités de la filière, de découvrir les innovations présentées par les entreprises exposantes, de participer à des démonstrations et mises en pratique sur de nombreuses animations et stands, et enfin d’accéder facilement aux offres d'emplois proposées et formations existantes.L’innovation au cœur du salonVéritable vitrine de toutes les nouveautés, produits, services et technologies, EUROBOIS place l’innovation au cœur du salon avec de nombreux dispositifs permettant aux visiteurs professionnels de découvrir les nouveautés de la filière.Les EUROBOIS AWARDSPlateforme de lancement de produits et services, le concours EUROBOIS AWARDS récompense le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts. Les 28 innovations des 22 entreprises en lices seront jugées par un jury de professionnels de la filière, ainsi que par un jury d’étudiants issus d’écoles spécialisées de la filière bois.Nouveauté, les professionnels auront l’occasion de découvrir les innovations des entreprises à travers un pitch de 5 minutes sur le Plateau TV, le mardi 14 juin matin, à partir de 10h. La remise des prix aura lieu le 15 juin à 16h30, également sur le Plateau TV.Découvrez la liste des innovations présentées aux Eurobois AwardsEspace Wood Innovations – stand : 6M44Organisé par le Pôle de Compétitivité Xylofutur, La Wood Tech et Canopée Challenge, l’espace Wood Innovations proposera tout au long du salon de découvrir, d'échanger, de construire autour des thématiques d'innovation.Plusieurs ateliers seront proposés durant les 4 jours :Présentation des lauréats du Canopée ChallengeLes possibilités de l'innovation technique en lien avec les enjeux de la filièreL’intérêt d’intégrer du design dans le processus d’innovationPrésentation du Plan d'Investissement d'Avenir (PIA) 4 - Région Auvergne-Rhône-AlpesLes start-up de La Wood TechAtelier "Digital" : Innovation et Digital - Une convergence inéluctablePrésentation de projets labellisésRencontre adhérents Xylofutur - Les ponts entre recherche académique et industrielAtelier "Levée de fonds" : Financement de l'innovation - Suivez le guideLes acteurs de la filière Forêt-BoisPDI Programme de Développement à l'International 2023 - Région Auvergne-Rhône-AlpesAtelier "Pitch" : Comment bien présenter son innovationDes réponses concrètes aux problématiques liées à l’emploi et la formationDans un contexte de forte croissance due aux nouvelles réglementations et au soutien des pouvoirs publics, la filière bois peine à recruter. Manque d’attractivité des métiers, nouveaux enjeux liés à l’arrivée du numérique et du 4.0… Les raisons sont multiples. Et même si la situation tend à s’améliorer, les efforts doivent être maintenus, c’est pourquoi EUROBOIS s’engage pour la filière et propose des réponses concrètes.Le Campus EUROBOIS, espace spécialement dédié à l’emploi et la formation sur le salon, permettra de faciliter les rencontres entre les centres de formation, les étudiants et les professionnels en recherche de formation d’une part et les recruteurs et les demandeurs d’emploi d’autre part.Il sera organisé autour de deux espaces, l’un dédié à la formation, l’autre à l’emploi.L’espace formation, rassemblera une quinzaine de centres de formation, dédiés à la filière bois, proposant des formations continues ou initiales. Ils seront présents durant tout le salon pour renseigner, conseiller et accompagner les étudiants et/ou les professionnels en recherche de formation, mais également présenter les cursus existants, les nouvelles formations diplômantes, ainsi que les modalités pour y accéder. Les organismes présents sur le salon sont : L’ENSTIB, ESB, Fibois, CEGEP, Formabois, Le lycée Claude Mercier, CFPF, Master Sciences du Bois, GRETA CFA, le lycée forestier Sauges, Reinach formations, le Centre des Services Scolaire du Pays-des-Bleuets, le lycée Roanne Chervé Noirétable, Les Compagnons du Devoir, L’institut des métiers de Clermont-Ferrand, et enfin l’Ecole Technique du Bois.Au sein de l’espace dédié à l’emploi, les visiteurs auront accès à de nombreuses offres à pourvoir dans le secteur, sur le Mur de l’Emploi. Pôle emploi, partenaire de l’évènement, animera les 14 et 15 juin deux « journées de l’emploi » durant lesquelles l’organisme fournira des renseignements pratiques aux visiteurs.Par ailleurs, les thématiques de l’emploi, de la formation et de la montée en compétences seront également abordées sur le Plateau Bati-Journal TV au travers d’émissions dédiées :Mercredi 15 juin09H30-10H15 Emploi & recrutement : les nouveaux outils15H00-15H45 La formation SmartisanPleins phares sur l’agencementCOHOME BELLEVILLE CLUB, l’histoire d’un coliving laboratoire de l’agencementOrganisé par les équipementiers de l'Ameublement Français, l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB propose aux visiteurs de découvrir de vraies inspirations pour l’agencement, des mises en situation de produits et de solutions disponibles pour leurs projets. Réalisé en collaboration avec l’agence Label Experience, COHOME BELLEVILLE CLUB met à profit les innovations du groupement pour créer un environnement accueillant, artistique et multi-fonctionnel.Sur l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB, une équipe de 11 marques représentera une large palette d’expertises, de services, ainsi que de produits complémentaires. Ces entreprises mettent à disposition des agenceurs et architectes d’intérieur un espace d’échange et de partage sur le stand des Equipementiers de l’Ameublement français.Véritable laboratoire de l’agencement, le stand des Equipementiers de l’Ameublement Français propose un projet de coliving appelé « COHOME BELLEVILLE CLUB ». L’espace collectif comprend un accueil, un atelier et une terrasse, un coin cuisine/restauration, une buanderie, une salle de jeux/cinéma, une pièce hybride, un espace coworking, une estrade…L’agencement présenté intègre les différentes innovations des équipementiers : Marche pied Space step et Aventos en cuisine de Blum Tablettes coulissantes en buanderie de Blum Prises plan de travail, lampe chauffe plat, prises suspendues de MSA FRANCE Rideaux d’armoire Rehau Parquet, cloisons amovibles et poignées de LMC Façades de cuisine en panneaux Pfleiderer Plan de travail en Corian Mobilier structurel en contreplaqué de Manufactures Février usiné sur des machines à bois Biesse Lit armoire Sedac Meral Coussins d’assise et rideau acoustiques de Sotexpro Meuble TV sur vérins élévateurs de Linak Conception 3D, réalisée avec la suite 2020 Design Sur cet espace sont également prévus une série d’ateliers et des moments d’échanges conviviaux.Thématiques traitées en ateliersPrésentation du projet COHOME BELLEVILLE CLUBQuelles sont les tendances revêtements, textures, couleurs, systèmes ?Comment gagner en productivité dans ma production d’agencement ?Quel agencement face au développement durable ?Quel parcours numérique idéal dans l’agencement ?Quelles solutions pour l’hybridation et la modularité dans les espaces de vie ?Parole aux agenceurs de la Région Rhône-Alpes : s’engager dans une entreprise d’agencement : les entreprises recrutent !Optimisation des petits espaces et ultra sur-mesure Émissions dédiées à l’agencement sur le Plateau TVUsages du sapin en construction et aménagementCO-HOME avec L’Ameublement FrançaisLa parole à la Chambre Française de l’agencement - RSEPro A avec la Chambre Française de l’agencementMoments d’échangesApéritif convivial entre équipementiers, agenceurs, distributeurs et architectes d’intérieur dans la cuisine grandeur nature du COHOME BELLEVILLE CLUBDéjeuner convivial : les équipementiers invitent le Club Chic sur l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB : agenceurs, distributeurs, architectes d’intérieur, industriels du meuble et designers.La construction bois mise en valeur à travers 2 animationsLes ateliers construction bois : conférences et retours d’expérience au programmeA l’occasion de ses 40 ans, l’Agence Qualité Construction proposera sur son stand un cycle de conférences dédié à la construction bois sur des retours d’expériences et points de vigilances.Les conférences porteront sur les sujets suivants : La Qualité de l’Air dans la constructionCatalogue Bois Construction : Assurez la performance et la qualité des constructions boisSimulateur bois et biosourcé, pilotez l’impact environnemental de votre constructionDéfauthèque, points de vigilance et REX sur les constructions boisRéversibilité des constructions, anticipez les évolutionsÉconomisez les ressources, réemployez ! Re.SourceLa préfabrication cela s’apprend !Panneaux acoustiques, les solutions boisL’atelier M.O.B : toutes les étapes en temps réel de la fabrication de panneaux, de la conception du projet 3D au départ sur chantier !Les visiteurs pourront s’immerger au sein d’un atelier de construction bois grandeur nature, au cœur du salon, mêlant techniques traditionnelles et numériques.Coordonnée par l’entreprise Mach Diffusion, pilotée par Charm’Ossature et en collaboration avec les entreprises exposantes du salon, l’animation permettra de découvrir en temps réel toutes les étapes de la reconstitution d’un atelier de fabrication, de la conception du projet 3D au départ sur chantier : conception, débit, assemblage, manutention, levage, transport et montage, ainsi que toutes les machines, équipements et outils nécessaires à la construction d’une maison !L'Atelier des Compagnons : valoriser les savoir-faire traditionnels et numériques au travers de la thématique de l’assemblageDes jeunes menuisiers en formation sur le Tour de France participeront à un atelier sur le salon organisé par les Compagnons du Devoir.Au travers de la thématique de l’assemblage, ils pourront interroger les évolutions qui transforment la pratique de leur métier.À l’aide de leurs scies, de leurs ciseaux et d’un bras robot, de jeunes professionnels pourront tailler dans le vif du sujet et tenter d’ébaucher des débuts de réponses en s’entraînant à réaliser des assemblages le temps du salon, en mêlant techniques et savoir-faire traditionnels et numériques.De multiples conférences, tables rondes et interviews sur le Plateau TVAnimé par Bati-Journal TV avec le soutien de France Bois Forêt, le Plateau TV accueillera durant 4 jours plus de 20 émissions autour des grandes thématiques d’actualités : l’agencement et le design, l’innovation, le 4.0, la robotique et l’automatisation, la formation et l’emploi, la construction bois, l’outillage et enfin la 1ère et 2ème transformation.Mardi 14 Juin10H00-12H00 Pitch Innovations Eurobois Awards12H30-13H30 Inauguration Eurobois 202214H00-14H45 La parole au Secimpac15H30-16H15 La parole à la Capeb16H45-17H30 Usages du sapin en construction et aménagementMercredi 15 Juin09H30-10H15 Emploi & recrutement : les nouveaux outils10H30-11H30 CO-HOME avec L’Ameublement Français12H00-12H45 La parole à la Chambre Française de l’agencement - RSE13H45-14H30 Pro A avec la Chambre Française de l’agencement15H00-16H00 Les scieries de service - Maurice Chalayer16H30-18H00 Remise des Trophées Eurobois AwardsJeudi 16 Juin09H30-10H15 Solutions bois en acoustique10H45-11H30 La parole à Plantons pour l’Avenir12H00-12H45 Valorisation innovante du chataigner15H00-15H45 La formation Smartisan16H15-17H00 La main et le numérique avec les Compagnons du DevoirVendredi 17 Juin09H30-10H15 Prévention sécurité au travail10H45-11H30 Parole au SNAFOT12H00-12H45 Les nouveaux outils de l’innovation avec Xylofutur13H45-14H30 Présentation de la plateforme du metier.org - Compagnons du DevoirPlantons pour l'avenir et Eurobois : ensemble pour les forêts françaisesCette année Plantons pour l’avenir et Eurobois ont choisi de s’associer pour créer un mouvement solidaire en faveur des forêts françaises.Créé en 2014 par les coopératives forestières, le Fonds de dotation Plantons pour l'avenir accompagne plus de 350 reboisements sur tout le territoire ainsi que des projets de sensibilisation et d’innovation en lien avec la filière forêt-bois.Plantons pour l’avenir sera présent sur un stand dédié ainsi que chez ses mécènes exposants, et présentera ses actions lors de petits déjeuner les mercredi 15 et jeudi 16 juin de 9h à 10h30 sur le club VIP ainsi que sur le Plateau TV Batijournal.Grâce aux mécènes ce sont 2,3 millions d'arbres plantés et 2 100 hectares reboisés, dans le cadre de la gestion durable et de l'adaptation de nos forêts au changement climatique.
Il y a 2 ans et 344 jours

Le pouvoir d'achat pourrait reculer de 0,8% cette année, selon l'OFCE

Avec une inflation estimée en moyenne à 4,9% sur l'année et une croissance économique ramenée à 2,4%, "cette contraction du pouvoir d'achat va peser sur la dynamique de reprise à travers la faible dynamique de la consommation des ménages", juge l'Observatoire français des conjonctures économiques qui a publié jeudi ses nouvelles prévisions économiques pour 2022.Selon l'OFCE, pour s'adapter à cette perte de pouvoir d'achat, les ménages vont surtout encore freiner leur consommation, qui a déjà reculé de 1,5% au premier trimestre, malgré la forte épargne accumulée par certains foyers durant la pandémie de Covid-19.Le taux d'épargne devrait encore atteindre 16,7% cette année."Les ménages continuent à épargner près de 2 points de plus qu'ils ne le faisaient par le passé (avant la pandémie, NDLR), or face à un choc très fort, l'épargne joue en général un rôle d'amortisseur", c'est-à-dire que les ménages continuent à consommer en puisant dans cette épargne plutôt que de réduire directement leur consommation, a souligné Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, lors d'une conférence de presse.Cela s'explique d'abord par le fait que ce sont surtout les ménages aisés qui épargnent depuis 2020 et ces derniers subissent moins intensément le choc d'inflation que les ménages modestes, qui n'ont d'autre choix que de limiter leurs dépenses.C'est aussi le signe d'une "prudence" des ménages face aux incertitudes géopolitiques, selon M. Plane.Au total, l'OFCE prévoit que la consommation augmentera de 2,5% en 2022 par rapport à l'an dernier.Ces prévisions tiennent compte des aides débloquées depuis la fin 2021 pour atténuer l'impact de l'inflation sur les ménages, et celles promises par Emmanuel Macron qui entreraient en vigueur après les élections législatives (hausse de 4% des retraites et prestations sociales, augmentation de la rémunération des agents publics estimée à 2% par l'OFCE), chèque alimentaire, prolongation du bouclier tarifaire et de la remise carburant). L'OFCE fait aussi l'hypothèse d'une augmentation de 3,6% des salaires cette année.L'ensemble de ces mesures permettraient de réduire sur 2022 de 2,1 points la hausse des prix, pour une dépense représentant 1,7 point de PIB, soit environ 40 milliards d'euros.En particulier, la revalorisation de 4% des prestations sociales "va permettre de limiter très fortement les pertes de pouvoir d'achat" pour les ménages qui les perçoivent, souligne M. Plane.Sur le front de l'emploi, l'OFCE table sur une poursuite de la croissance de l'emploi (+0,6%) cette année, avec 179.000 emplois créés, ce qui stabiliserait le taux de chômage à 7,3%.Conséquence de ces nouvelles dépenses et de cette croissance en berne: les finances publiques se redresseraient moins que prévu par le gouvernement cette année. L'OFCE table sur une réduction du déficit de 6,5% à 5,6% (contre 5% anticipé par le gouvernement) et une dette publique ramenée à 112,1% du PIB (après 112,5% l'an dernier).
Il y a 2 ans et 344 jours

Premiers Trophées de l’innovation du WinLab’

Palmarès des premiers Trophées de l’innovation du WinLab’, l’incubateur du CCCA-BTP, avec tous les lauréats (apprentis et formateurs). [©Vincent Bourdon / CCCA-BTP] Créé en 2017 par le CCCA-BTP pour relever le défi de la transformation du secteur de la construction, l’incubateur WinLab’ aide les organismes de formation à concevoir les formations aux métiers du BTP de demain. Véritable éclaireur de tendances, WinLab’ porte l’engagement du CCCA-BTP sur l’innovation et multiplie les passerelles entre formation et acteurs de la construction. En cinq ans, il a permis d’initier de nombreuses solutions portées par les organismes de formation aux métiers du BTP et entreprises formatrices d’apprentis. Première édition des Trophées de l’innovation Au mois de novembre dernier, le CCCA-BTP a lancé la première édition des Trophées de l’innovation, organisés dans le cadre du WinLab’. Six prix ont été remis et neuf lauréats (équipe ou individu), récompensés lors de la soirée dédiée à l’innovation dans le secteur du BTP, le 24 mai dernier, à Paris. Ce concours se consacre à la formation professionnelle par l’apprentissage dans les métiers du bâtiment et des travaux publics. Il était ouvert à l’ensemble des apprentis et des formateurs au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, ainsi qu’aux entreprises formatrices. Ceci, afin de mettre en lumière et de diffuser leurs expériences et leurs pratiques les plus abouties, développées en 2020 et 2021. Les projets devaient s’inscrire dans le cadre d’une initiative structurante, à même de transformer une organisation, un comportement ou un usage, par la mise en œuvre concrète d’une idée originale, utile et réplicable. Plus d’une centaine de projets ont été présentés, issus de toutes les régions françaises. Quelque 24 projets ont été présélectionnés, puis présentés au jury national qui a désigné les neuf lauréats finaux. Le Grand Prix du Jury : Projet lauréat “L@bConnect” Le Grand Prix du jury va au porteur du projet, Mikael Tassin (BTP CFA Centre-Val de Loire), qui a réuni une équipe de quatre formateurs : Sophie Grand, Florence Mousseau, Sandra Bisson, Emmanuel Romanet de BTP Centre-Val de Loire. Tous ont organisé le projet L@bConnect. Son objectif : transformer les Craf (centres de ressources et d’aide à la formation) en L@b, des tiers lieux dédiés à l’innovation numérique, technologique, technique et pédagogique. Le L@bConnect est un projet systémique, dans lequel le CFA, son environnement et ses partenaires extérieurs peuvent interagir, apprendre et inventer. Facilement reproductible, ce projet collaboratif et régional vise à mutualiser les connaissances et les expériences. Des équipements (imprimante 3D, tablette tactile interactive, mobilier modulable…) ont été acquis pour favoriser l’interconnexion entre tous les apprenants, formateurs et partenaires. Vecteur de transmission, L@bConnect place l’innovation pédagogique au cœur de son dispositif, notamment par l’intégration de parcours de formation multimodaux au plus proche des besoins des usages. Les autres lauréats sont… Catégorie “Le CFA de demain” : “Artisans & Artistes, le CFA fait son bouillon de culture” (Emilie Hébrard du BTP CFA Gard). Catégorie “Attractivité de mon CFA” : “Les rencontres de Julien” (Pascale Duhen du BTP CFA Auvergne-Rhône-Alpes). Catégorie “Evolution des métiers” : “Le QR-code, une nouvelle pratique de chantier” (Guillaume Mary du BTP CFA Ocquerre). Catégorie “Décloisonner pour innover” : “Les déchets bois : Une source d’économie et d’attractivité” (Jean-Louis Pouly du BTP CFA Aube). Prix Vision d’avenir : – Projet « Elles Go » avec Elvanie Kagwiza, apprentie en formation à l’Esitc Paris. – Projet « Box Office  » avec Camille Callens, apprentie en formation au CFA Compagnons du Devoir et du Tour de France Hauts-de-France. – Projet « Reconversion 2.0 » avec Pierre Thorel, apprenti en formation à BTP CFA Lille Métropole.– Projet « Du Bâtiment au terrain » avec Matthias Meurant, apprenti en formation à BTP CFA Arles.
Il y a 2 ans et 345 jours

BATIMAT, le salon de toutes les innovations

Le meilleur de l’InnovationAu delà du concours, les Awards de l’Innovation sont avant tout un dispositif qui permet de diffuser encore plus largement les innovations que les industriels lancent sur le marché, leur apportant ainsi plus de visibilité et de notoriété.Être candidat aux Awards de l’Innovation garantit en effet de bénéficier de plusieurs vecteurs de communication, et ce sur la durée, depuis le lancement des inscriptions et jusqu’après la tenue des salons.L’innovation est également le centre d’intérêt prioritaire des utilisateurs quel que soit leur métier ou leur profil (artisan, PME, majors…) et un véritable moteur pour les industriels de la construction.À chaque édition, les Awards de l’Innovation démontrent le dynamisme de la filière. En 2019, ce sont ainsi 140 innovations que les visiteurs des trois salons ont pu découvrir.Les Awards de l’Innovation 2022, un temps fort incontournable En 2022, l’organisation des Awards de l’Innovation change en intégrant un parcours d’inscription et de sélection digitalisé pour faciliter la saisie des données mais aussi les échanges.Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 10 mai 2022. Neufs catégories « métiers » ont été définies dans lesquelles les innovations pourront être inscrites :Gros Œuvre, Structure et Enveloppe,Hors site,Construction Tech,Menuiseries & façades,Matériel, Outillage, Véhicules et équipements,Génie Climatique,Salle de bains,Aménagement Intérieur et Extérieur,Formations et ServicesNouveauté 2022 : cinq thématiques d’usage ont été définies, dans lesquelles les solutions seront présentées. Elles illustrent les grands défis auxquels sont confrontés tous les acteurs de la filière :Construction 4.0L’environnementLe climatLes métiersUsager et habitantLes dossiers seront examinés par un jury d’experts métiers et un grand jury dès le mois de juin pour sélectionner les Nominés et les Lauréats des Awards de l’Innovation 2022. La remise officielle des prix des Awards de l’Innovation 2022 aura lieu le 3 octobre, en direct sur le salon.Du 3 au 6 octobre, les visiteurs auront la possibilité de découvrir la totalité des innovations candidates sur l’Espace Innovation du Pavillon 1 grâce à des sessions de pitchs thématiques quotidiennes, des écrans interactifs pour voter en direct pour leur innovation préférée.Un programme de visites guidées sera a également proposé pour découvrir les innovations 2022. Par ailleurs, le catalogue digital des innovations sera mis à disposition avant, pendant et après le salon sur un site internet dédié.Réserver son badge dès maintenant et consulter les infos pratiques sur www.batimat.com
Il y a 2 ans et 345 jours

Bati-Journal et son plateau TV seront à Eurobois 2022 !

À l’occasion du salon Eurobois, qui se tiendra à Eurexpo Lyon du 14 au 17 juin, les équipes de Bati-Journal seront présentes avec une nouvelle édition de son plateau TV. Cet événement est organisé par Wood Surfer et Eurobois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Ce plateau sera animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef des magazines Planète Bâtiment et 5façades). Plus de 20 émissions seront organisées autours des grandes thématiques de l’événement : agencement & design, innovation, formation & emploi, outillage, construction bois, 1ère et 2nd transformation. Découvrez le programme du plateau TV Bati-Journal :  Mardi 14 juin : 10h00 – Pitch innovation Eurobois Awards 12h30 –Inauguration Eurobois 14h30 – La parole à Eco-Mobilier avec Dominique Mignon (Présidente – Eco-Mobilier) 16h45 – Usages du sapin en construction et aménagement avec Anaïs Laffont (Responsable pôle Auvergne – Fibois AuRa), Cyrille Ducret (Dirigeant – Scierie Ducret) et Gaëlle Goutadier (Architecte – Agence MTA)   Mercredi 15 juin : 09h30 – Emploi : quelles solutions pour recruter ? avec Bénédicte Muller (Chargée de mission emploi/formation – Fibois AuRa), Christelle Veyriere (Conseillère – Pôle Emploi) et Stéphanie Langlet (Directrice RH – Groupe Bois du Dauphiné) 10h30 – CO-HOME avec Julie Millet (Responsable de marchés – L’Ameublement Français), Stéphane Veron (Dirigeant – MSA France), Carole Péridier (Directrice Générale Adjointe – Servitex), Yann Colfaux (Directeur national prescription – Pfleiderer) et Régis Blandin (Directeur ventes – 2020 Technologies) 11h30 – La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France – Cadwork) 12h00 – PRO-A : agenceurs et responsables avec Pascal There (Directeur – Grizard Agencement), Vincent Houot (Directeur – Houot Agencement) et Vincent Blécon (Responsable activité Agencement – Rousseau Agencement) 13h45 – Agenceurs PRO-A : acteurs et soutien de la formation à l’agencement avec Pierre Haesebrouck (Président – Groupe Hasap) 15h00 – Les scieries de service par Maurice Chalayer 16h00 – La parole au SECIMPAC avec Pierrick Auboiron (Président – SECIMPAC) 16h30 – Remise des Trophées Eurobois Awards   Jeudi 16 juin : 09h30 – Solutions bois en acoustique avec Benjamin Mermet (Prescripteur bois construction – Fibois AuRa) 10h45 – Renouveler nos forêts et promouvoir l’utilisation du bois pour lutter contre le changement climatique : une cause d’intérêt général ! avec Christian Lallia (Directeur de Finnso Bois et Mécène de Plantons pour l’Avenir), Jean-Philippe Bazot (Dirigeant de la scierie Bazot-Bongard, Président de Fibois Bourgogne Franche-Comté et administrateur de Plantons pour l’Avenir) et Tancrède Neveu (Directeur délégué de Plantons pour l’Avenir) 12h00 – Valorisation innovante du châtaignier avec Alain Feougier (Président des Communes Forestières de l’Ardèche) et Pierre Gay (Consultant – Ceribois) 14h30 –  La parole à BLUM avec Rachel Mugnier (Directrice générale de Blum France) 15h00 –  La formation SMARTISAN avec Diana Gonzalez (Présidente de ConstructeurvClub) et Ara Shahnazaryan (Fondateur de S.H. Conseil) 16h15 – La main et le numérique avec Mathieu Hugon (Responsable de l’Institut Européen de la Menuiserie, de l’Agencement et de l’Ébénisterie – Les Compagnons du Devoir) et Laurent Mazies (Directeur Général – Biesse France)   Vendredi 17 juin : 09h30 – Prévention sécurité au travail avec Frédéric Fayard (Ingénieur Conseil – Carsat), Chrystel Medina (Directrice des sites – Entreprise Minot) et Véronique Berraud (Responsable QSE & Amélioration – Entreprise Ossabois) 10h45 – La parole au SNAFOT avec Jérôme Henry (Président – SNAFOT) 12h00 – Les nouveaux outils de l’innovation avec Xylofutur avec Marc Vincent (Directeur de Xylofutur) 13h45 – Plateforme Dumetier.orgavec Mathieu Hugon (Responsable de l’Institut Européen de la Menuiserie, de l’Agencement et de l’Ébénisterie – Les Compagnons du Devoir) et Fabien Le Quellec (Coordinateur de projet – Les Compagnons du Devoir) Toutes les vidéos seront à retrouver dès le 14 juin sur bati-journal.com, woodsurfer.com et sur le site de franceboisforêt.fr > Obtenez votre entrée gratuite pour assister aux émissions et visiter le salon avec le code : PMSTP sur le site d’Eurobois. > Retrouvez le programme des animations d’Eurobois en intégralité.  
Il y a 2 ans et 345 jours

INTAIRIEUR, le label pour la Qualité de l’Air Intérieur s’étend aux bâtiments tertiaires

INTAIRIEUR® : Un nouveau référentiel à destination des bâtiments tertiairesD’abord réservé aux logements collectifs neufs et maisons individuelles neuves en bandes, INTAIRIEUR®, étendait en mai 2021, le champ de son référentiel aux maisons individuelles diffuses, permettant ainsi aux futurs acheteurs de connaître la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) du bien qu’ils acquièrent et aux acteurs de l’immobilier neuf de valoriser leur engagement en matière environnementale et de santé publique.En cette année 2022, l’outil évolue pour permettre de valoriser la QAI des bâtiments réservés aux activités du tertiaire. Destinés à recevoir du public (bureaux, établissements de petite enfance, enseignement, hôtellerie, centres médico-sociaux) ces immeubles sont soumis à des normes strictes en matières de sécurité et d’environnement.Avec le label INTAIRIEUR®, les constructeurs, promoteurs du secteur peuvent désormais offrir à l’acquéreur professionnel le gage supplémentaire d’une démarche responsable et de qualité innovante de leur construction.La QAI résulte d’un équilibre fragile entres différents facteurs, qu’il s’agisse du choix des matériaux, des équipements, du mobilier, des conditions d’aérations, des systèmes de ventilation…Afin de pouvoir afficher la labellisation INTAIRIEUR®, les promoteurs et constructeurs doivent tenir compte de l’ensemble de ces facteurs en s’inscrivant dans une véritable démarche vertueuse, et ce, dès la conception du projet jusqu’à sa livraison.Une exigence partagée par tous les acteurs impliquésParce qu’il répond parfaitement à une problématique incontournable de notre société, le label INTAIRIEUR® fédère unanimement les grands acteurs du bâtiment.Maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage privés et publics, entreprises du bâtiment, institutions et professionnels de santé publique œuvrent ensemble pour l’amélioration de la Qualité de l’Air Intérieur.Le label permet maintenant :aux maîtres d’ouvrage de valoriser leurs projets immobiliers et de se démarquer,aux AMO, d’accompagner leurs clients dans une démarche où la sécurité et le bien-être des occupants sont au cœur des préoccupations,aux institutionnels, collectivités et aménageurs de mettre en œuvre des actions concrètes pour lutter contre la pollution de l’air intérieur,aux architectes de se démarquer à travers des projets innovants et responsables,aux particuliers de choisir leur logement en exigeant un air intérieur de qualité pour leur famille,INTAIRIEUR®, un outils de référenceAvec presque 5 années d’existence, le label INTAIRIEUR® a su s’imposer comme une référence en matière de valorisation et de contrôle de QAI sur l’ensemble du territoire.Aujourd’hui de nombreux maîtres d’ouvrage ont obtenu la labellisation pour leurs projets (ou sont en cours d’obtention) : Bouygues Immobilier, CDC Habitat, Cogedim, Coop Immo, Covivio,, Coop Immo, Crédit Agricole Immobilier, Elgea Habitat, Franco Suisse, Green City Immobilier, Groupe Arcade, Groupe Duval, Habitalys, Icade Promotion, Immobilière 3F, Kermarrec Promotion, La Cité Jardins, Linkcity, Mairie de Courbevoie, Marignan, Nacarat, Nodi, Pitch Immo, Promeo, Promologis, Promomidi, Saint-Georges Promotion, Searim, Toulouse Métropole Habitat, Vinci Immobilier.En 2019 le label a obtenu une récompense à l’ESSEC Business School aux Trophées de la Transformation et de l’Innovation.La Qualité de l’Air Intérieur, une préoccupation de santé publiqueLes français passent en moyenne 90% de leur temps dans des espaces clos dont l’air est 5 à 10 fois plus pollué qu’à l’extérieur. La Covid et les confinements qui ont suivi n’ont guère inversé la tendance et ont pour effet une véritable prise de conscience des dangers liés à la qualité de l’air intérieur. Irritations, nausées, céphalées, pathologies respiratoires…Chaque année en France, cette pollution est responsable de près de 20 000 décès prématurés et on estime à 19 milliards d’euros son coût socio-économique (prise en charge des soins, perte de productivité...).L’ensemble de la population est concerné par le problème et plus que jamais, la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) est devenue un enjeu majeur de santé publique.Fruit d’une réflexion collective menée depuis plusieurs années entre pouvoirs publics, opérateurs privés et citoyens, le label INTAIRIEUR® permet au grand public de pouvoir choisir son logement en toute connaissance, avec la certitude que tout a été mis en oeuvre pour préserver la qualité de l’air intérieur de leur logement. Désormais, les usagers, gestionnaires et investisseurs pourront eux aussi choisir leurs locaux tout en tenant compte de ce paramètre.Le label INTAIRIEUR® propose un référentiel simple et fiable qui à l’image des autres certifications environnementales, permet de mettre en place un affichage clair et facilement reconnaissable par tous.
Il y a 2 ans et 345 jours

Blum sur Eurobois 2022 : Inspirer et concrétiser les idées des menuisiers et agenceurs

Avec ses charnières, coulissants et systèmes pour portes relevables de grande qualité, Blum veut concilier esthétisme, fonctionnalité et durabilité. L’entreprise va encore plus loin avec des idées de meubles pratiques qui améliorent la qualité de l’habitat et des services performants pour aider menuisiers et agenceurs dans leur travail quotidien, de la conception jusqu’au meuble fini. L’objectif : rendre possible les idées créatives de ses clients ! Aussi, Blum convie tous les professionnels à Eurobois pour partager ses expériences et inspirations, et découvrir son nouveau tiroir Merivobox, pour sa présentation officielle sur le marché français. Combinaison parfaite entre variété de design et facilité de mise en œuvre et de montage, Merivobox devrait à coup sûr susciter enthousiasme et créativité. Le tout dans une ambiance conviviale propice aux échanges et discussions. Le rendez-vous est donné ! Découvrez…  
Il y a 2 ans et 346 jours

Une réglementation "anti-Airbnb" suspendue au tribunal administratif au Pays basque

Le tribunal administratif, saisi début mai d'un référé-suspension formé par un collectif de plus de 50 requérants, propriétaires et sociétés de conciergerie, a estimé dans son ordonnance qu'il existait un "doute sérieux" sur la légalité de cette délibération, adoptée en mars et en vigueur depuis mercredi.Il juge que la mesure de compensation, qui oblige les propriétaires à produire, dans la même ville et avec une surface équivalente, un bien sur le marché locatif à l'année pour compenser un logement transformé en meublé touristique, "est susceptible de méconnaître le principe de proportionnalité".Dans les 24 communes basques classées en zone tendue, "la rareté voire l'inexistence de locaux éligibles à la compensation", ne permettent pas à l'obligation posée d'être satisfaite, écrivent les juges des référés.Les éléments produits par l'Agglomération Pays basque "ne permettent pas d'établir que la pénurie alléguée serait d'une telle ampleur qu'elle ferait obstacle à ce que de nombreuses personnes puissent se loger", ont également estimé les juges."C'est un immense soulagement pour eux car ils avaient retiré leurs annonces des plateformes depuis mercredi et il y avait un risque de licenciements économiques", a réagi Me Victor Steinberg, avocat du collectif requérant.Plus de 16.000 meublés touristiques sont recensés dans les 24 communes concernées, soit une augmentation de 130% entre 2016 et 2020 selon l'Agence d'urbanisme Atlantique et Pyrénées (Audap).En novembre, une manifestation pour le droit au logement avait rassemblé entre 6.500 et 8.000 personnes dans les rues de Bayonne.Après ce référé-suspension, moyen d'urgence fondé sur la forme de la délibération, une audience au fond, sur le contenu même de la mesure et sur sa légalité, aura lieu dans les prochains mois.De son côté, le président de la Communauté d'agglomération Pays basque et maire de Bayonne Jean-René Etchegaray a vivement réagi lors d'une conférence de presse, jugeant cette "décision cataclysmique" en faveur de "ces pauvres sociétés civiles immobilières qui ont explosé ces deux dernières années dans un but purement lucratif"."Notre collectivité ne comprend pas l'appréciation des juges de considérer que ces sociétés sont prises au dépourvu", a abondé Daniel Olçomendy, vice-président de l'intercommunalité basque."L'intérêt collectif a perdu face à l'intérêt privé, le sur-rendement gagné face au droit à se loger au Pays basque", a-t-il déploré.Les élus de l'agglomération ont annoncé qu'ils allaient "se pourvoir devant le Conseil d'Etat", pointant un "message très négatif envoyé à la population".Et de prévoir des "réactions à la hauteur de ce jugement".
Il y a 2 ans et 346 jours

Bilan du Carrefour International du Bois 2022 (16è édition)

L’interprofession Fibois Pays de la Loire, organisatrice de ce rendez-vous unique en Europe, a accueilli cette année 607 exposants (vs. 563 en 2018). Ces professionnels du bois venus de quelque 40 pays différents ont vu affluer 14 000 visiteurs, soit 20 % de plus que lors de la précédente édition. Avec un taux de fréquentation inédit et une forte progression du nombre de visiteurs étrangers, le Carrefour International du Bois a tenu toutes ses promesses et s’impose une fois de plus comme le temps fort incontournable de toute la filière bois. Le mot du Président Jean Piveteau“Cette édition 2022 est triplement exceptionnelle : le nombre d’exposants était déjà un record, que vient asseoir le taux de fréquentation en progression de plus de 20 % par rapport à la précédente édition; mais plus encore me stupéfait la montée en gamme des stands et de l’offre de produits. La filière bois s’est véritablement professionnalisée et n’a plus rien à voir à ce qu’elle était il y a 30 ans à la création du Carrefour International du Bois.”, confie Jean PIVETEAU, Président du Carrefour International du Bois.Le mot de Jean Bureau, Président de Fibois Pays de la Loire :Le bois, un matériau biosourcé porteur d’espoir et d’avenir“Cette édition est exceptionnelle par l’enthousiasme des exposants et des visiteurs, dont le plaisir de se retrouver après une si longue absence a été véritablement palpable durant ces 3 jours. Elle se clôture sous les meilleurs auspices : un marché du bois euphorique et de belles perspectives d’avenir pour le bois dans son aspect écologique”, atteste Jean Bureau, Président de Fibois Pays de la Loire. Le mot de Géraldine Cesbron, commissaire générale du Carrefour International du Bois : L’innovation et la montée en gamme des produits au coeur du Carrefour International du Bois 2022“Cela s’impose aux sens, c’est visuel, palpable, la qualité et la technicité actuelles des produits témoignent de la capacité qu’a la filière bois à répondre aux défis technologiques et écologiques de demain”, s’enthousiasme Géraldine CESBRON, commissaire générale du Carrefour International du Bois. Témoignages ExposantsMDP Finition, la PME nantaise qui participe pour la première foisPremière participation au Carrefour International du Bois pour cette PME 100 % locale (Haute Goulaine, 44), filiale dédiée au vernissage de bois du Groupe MDP et de la sous-traitance nautisme, agenceur et fabricant de panneaux. Détenteur de 2 chaînes de vernis de 1900 mm de largeur quasi uniques en Europe (seulement 2 machines en Europe), MDP Finition est venu en quête de nouveaux clients qui lui permettraient d’exploiter pleinement son bijou industriel qui ne l’est qu’à 40 % actuellement. “Nous sommes très satisfaits des rencontres que nous avons faites sur le salon, et nous entendons bien occuper un emplacement de choix sur la prochaine édition”, déclare Jacky Bourgeais, Responsable MDP Finition. Sierolam, 5ème édition pour l’industriel espagnol 5ème participation pour SieroLam, spécialiste de la première et deuxième transformation du bois, issu de ses propres forêts. Habitué de ce rendez-vous business unique en Europe, SieroLam participe avant tout pour fidéliser ses clients. “Cette édition a une saveur particulière pour nous, il nous tenait vraiment à coeur de recréer du lien avec nos clients, que nous avons presque tous réussi à voir en l’espace de 3 jours”, explique Alexandre Flambard, International Business Developement Manager.
Il y a 2 ans et 347 jours

Batimat crée l’espace Low Carbon Construction pour pour promouvoir les solutions émergentes de la décarbonation

Conçu en partenariat avec Construction 21, cet espace de 600 m2 permettra de découvrir toute la richesse de l’offre de ce marché en fort développement. Des conférences spécifiques, un parcours thématique ainsi que des démonstrations complèteront le dispositif d’exposition. Avant la présence inédite de ce thème sur le salon, qui se tiendra du 3 au 6 octobre, BATIMAT lance dès aujourd’hui une série d’outils d’information (podcasts, livres blancs…) disponibles sur Batiadvisor et Batiradio.Vitrine de l’innovation et des enjeux du secteur, BATIMAT entend valoriser toutes les solutions et produits proposés par les acteurs de la filière autour de la thématique de la décarbonation des ouvrages. Pour cela, un travail d’envergure a été engagé, en partenariat avec Construction 21, afin de co-construire des contenus pertinents disponibles avant et pendant le salon. Objectif : répondre aux véritables préoccupations exprimées par les artisans et prescripteurs, visiteurs du salon, en recherche d’informations précises sur les problématiques liées à l’environnement.Sur ce thème du "Low Carbon Construction", cinq thématiques ont été retenues : Matériaux de construction bio (et géo)sourcés, en rénovation et dans le neuf ; Matériaux de construction recyclés ; Biodiversité, du bâtiment à l’urbain ; Réemploi ; Construction frugale.Un univers décarboné au centre de BATIMATSitué en plein cœur du Pavillon 1, l’Espace Low Carbon Construction de BATIMAT mettra en lumière, sur plus de 600 m2, les solutions et matériaux pour la décarbonation des bâtiments.En totale cohérence avec la thématique, cet espace réconcilie événementiel et développement durable : politique zéro déchets, choix de bois d’origine française et transformé sur le territoire, de mobiliers éco-conçus, de moquettes 100 % recyclées, d’éclairage led... Sur cet espace, BATIMAT accueillera les exposants ainsi qu’un pôle dédié aux associations et organismes partenaires (ADIVET, BIOBUILD et GRAMITHERM, à date) autour d’un programme riche :Des démonstrations régulières pour informer les professionnels sur l’utilisation de ces produits ;Un programme d’ateliers sur l’Espace Low Carbon Construction avec les experts du secteur ;Un parcours thématique et des visites guidées quotidiennes pour découvrir les solutions des exposants.Plusieurs exposants sont déjà inscrits sur cet espace :Secteur BIOSOURCÉ, BIODIVIERSITÉ URBAINE ET VÉGÉTALISATION : ALEGINA ; PAREXGROUP ; PNR DES MARAIS DU COTENTIN ET DU BESSIN ; SIKA FRANCE SAS ; VERTIGE INTERNATIONALSecteur CONSTRUCTION DURABLE ET ÉCONOMIE CIRCULAIRE : A.R.Q.E ; CARMINE S.A. ; CYCLE UP ; LEADAX - THE NEW LEAD - LE NOUVEAU PLOMB ; PEG SAEn attendant BATIMATÀ partir d’aujourd’hui et jusqu’à l’ouverture du salon, en octobre 2022, BATIMAT proposera un panel d’actions et d’outils inédits pour mieux faire connaître l’ensemble des solutions disponibles pour la décarbonation des bâtiments. Des articles sont à découvrir sur Batiadvisor ainsi qu’une étude sur le bâtiment et le carbone et un guide sur les matériaux biosourcés. Des podcasts seront également à écouter sur Batiradio.Enrichis régulièrement, ces dispositifs d’échange permettront de profiter d’informations couvrant des thématiques telles que "Les matériaux de construction biosourcés en rénovation et dans le neuf" ; "Les matériaux de construction recyclés" ; "Biodiversité, du bâtiment à l’urbain" ou encore "Construction frugale".Dans ce cadre de la valorisation des solutions disponibles pour la décarbonation des bâtiments, le premier thème abordé concerne les matériaux biosourcés.Représentant aujourd’hui environ 10% du marché des isolants et reconnus pour leurs performances, ils répondent aux nouvelles attentes des particuliers, à l’évolution des normes et à l’urgence environnementale. Ce marché bénéficie par ailleurs d’un grand dynamisme et est porté par de nombreux acteurs très investis mais aussi très disparates. Les matériaux biosourcés sont aussi extrêmement diversifiés et ne cessent d’évoluer : bois, chanvre, paille, ouate de cellulose, terre crue, textiles recyclés, balles de céréales, miscanthus, liège, lin, chaume, herbe de prairie... il existe une infinité de produits. Ces matériaux représentent évidemment un atout de taille pour répondre aux enjeux environnementaux. Toutefois, les acteurs du biosourcé ont à faire face à plusieurs défis et notamment la capacité à tenir les engagements en termes de progression de volumes de production mais aussi savoir convaincre les prescripteurs d’utiliser ces matériaux alternatifs.Pour disposer d’une vision précise et exhaustive sur ces matériaux, BATIMAT propose le premier livre blanc sur le thème "Construire biosourcé". Il est dès à présent disponible à cette l’adresse.Des articles sont également à découvrir à cette adresse.Des podcasts sont également à écouter ici.Une tournée internationaleAvec l’ambition de faire venir le plus grand nombre de visiteurs internationaux à la recherche de solutions pour la construction bas carbone, le Mondial du Bâtiment a lancé le Low Carbon Construction Tour, une tournée dans 12 pays européens et africains, entre avril et juillet 2022.En parallèle, le Mondial du Bâtiment déploie une action spécifique pour faire venir le top 100 des cabinets d’architecture européens et africains spécialistes de la construction bas carbone. Un programme privilégié de plusieurs jours sera proposé pour leur permettre de participer au programme de conférences, rencontrer les grands décideurs, visiter des chantiers et des bâtiments exemplaires.
Il y a 2 ans et 348 jours

« Les rendez-vous manqués de l’architecture » chez King Kong

L’exposition « Les rendez-vous manqués de l’architecture », installée à la galerie de l’atelier King Kong à Bordeaux (Gironde), offre l’opportunité à des projets lauréats mais aux destins contrariés de retrouver une place dans l’histoire. Jusqu’au 30 août 2022. Cette nouvelle exposition de la galerie de l’atelier d’architecture King Kong est la première à se tenir dans […] L’article « Les rendez-vous manqués de l’architecture » chez King Kong est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 350 jours

Agir ! MVRDV et The Why Factory : le design pour un monde meilleur

 « L’architecture et l’urbanisme sont des appels à l’action ». Telle est la thèse centrale de la dernière exposition de MVRDV, Agir ! qui se tient à la galerie ArchiLib (Paris). Une exposition qui invite le visiteur à passer à l’action. Jusqu’au 26 juillet 2022. L’exposition Agir ! examine le travail de l’agence MVRDV (Pays-Bas) […] L’article Agir ! MVRDV et The Why Factory : le design pour un monde meilleur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 350 jours

Reims: avec Viliaprint, le hors site gagne du terrain

Lancé en 2018, le projet de construction de cinq maisons réalisées en partie grâce à l’impression 3D trouvera son aboutissement d’ici la fin du mois avec l’emménagement des locataires. Son inauguration a eu lieu le 2 juin à Reims (Marne).
Il y a 2 ans et 350 jours

Résultats d’une étude expérimentale sur le bracelet de détection du coup de chaleur

Réalisée dans le cadre de leur partenariat signé en juin 2021, cette étude a été menée sur 4 mois, dans des conditions réelles d’utilisation du bracelet par une population de 880 salariés du BTP. Les résultats obtenus démontrent la pertinence du bracelet intelligent comme dispositif d’assistance et d’aide pour prévenir les coups de chaleur, dans une démarche guidée par les principes généraux de prévention.Le coup de chaleur, un risque majeur sur les chantiersLes périodes caniculaires toujours plus intenses, fréquentes et prolongées, et les importantes variations climatiques impactent directement les métiers du bâtiment et des travaux publics dont de nombreuses activités sont réalisées en extérieur. Les professionnels du BTP sont ainsi de plus en plus exposés au risque de coup de chaleur, qui correspond à une élévation de la température du corps au-delà de 39° C. Cette hausse de la température interne est un signal très faible qui peut échapper à la vigilance du professionnel qui ne ressentira pas le besoin de solliciter une action de prévention. Or, le coup de chaleur doit être identifié et traité rapidement pour ne pas entraîner des lésions organiques sérieuses voire fatales. Conscients de son impact sur leur santé, les acteurs du BTP sont donc de plus en plus mobilisés sur cette problématique.La mise en œuvre d’un protocole d’expérimentation sur chantierDans ce contexte, l’OPPBTP, PRO BTP et Biodata bank ont conclu, en juin 2021, un partenariat afin d’identifier des solutions innovantes envisageables en réalisant un test national à grand échelle qui s’appuie sur la technologie développée par la start-up. Sa solution, la Heat Warning Watch CanariaTM, est un bracelet intelligent permettant d’estimer l’accumulation de chaleur dans le corps, sans connexion de communication requise. Facile à distribuer, hygiénique et imperméable, le bracelet a vocation à permettre d’alerter simplement l’utilisateur lorsque sa température corporelle augmente de façon dangereuse grâce à une alarme visuelle et sonore.Dans le cadre du protocole expérimental, le bracelet a ainsi été distribué à 880 salariés de 53 entreprises, sur 13 métiers différents, répartis sur 9 régions.Pendant le temps d’expérimentation, les responsables avaient pour missions de relever quotidiennement les températures météorologiques et de signaler le déclenchement d’un seuil d’alerte du Plan National Canicule. Quant aux porteurs des bracelets, ils devaient transmettre aux responsables toute information sur un déclenchement d’alarme et sur leur état au moment de l’alarme. Une procédure a également été mise en place pour accompagner le déclenchement de l’alarme et venir en aide au porteur du bracelet.Au terme de l’expérimentation, 555 bracelets ont pu être analysés (soit 75 % des bracelets distribués), et les informations recueillies (6 932 257 données) ont été évaluées :sur le plan quantitatif, grâce au croisement des données environnementales (géographie, environnement thermique météorologique, l’activité) et biométriques (âge, IMC, genre du porteur) ;sur le plan qualitatif, par le biais d’un questionnaire de retour d’expérience réalisé par l’OPPBTP et diffusé auprès des participants. Les 26 questions portaient sur la prise en main, l’appropriation du dispositif, la formation à son utilisation, les alarmes et leur fiabilité, le confort et l’esthétique, l’hygiène, la robustesse ainsi que l’intérêt du dispositif.Une première expérimentation concluanteA la lumière des résultats obtenus et des observations mentionnées, les partenaires ont pu constater la pertinence de la solution comme dispositif d’assistance et d’aide pour prévenir des coups de chaleur, dans une démarche guidée par les principes généraux de prévention. Cette version du bracelet apparaît comme étant bien adaptée aux spécificités des métiers du BTP couverts par le protocole, et conforme aux exigences réglementaires et aux directives européennes applicables en la matière. La durée de l’expérimentation a permis de s’assurer de la bonne résistance du dispositif et de son acceptabilité en conditions réelles. Les alarmes ont effectivement été perçues par les participants. Cependant des améliorations doivent être réalisées concernant les niveaux sonores et lumineux ainsi que le déclenchement d’alarmes intempestives. Par ailleurs, l’absence de connectivité et de collecte de données personnelles anonymes par le dispositif a également permis de rassurer les entreprises et les salariés quant au respect du RGPD.« Il s’agit d’une solution innovante et simple à mettre œuvre. Un très bon suivi a été mis en place, nous permettant d’expliquer le produit aux différents acteurs de l’entreprise ainsi qu’à nos clients, avec même une visite pour voir les conditions de travail des porteurs du bracelet ! La phase d’expérimentation a été une expérience enrichissante qui a été appréciée par nos salariés. » témoigne l’une des entreprises participantes.La commercialisation de cette version du bracelet est prévue dès mai 2022. Pour Mohamed Trabelsi, responsable du domaine EPI au sein de la Direction technique de l’OPPBTP : « Les visites sur le terrain menées dans le cadre de l’expérimentation pour assurer le suivi de la mise en œuvre du protocole ont également été l’occasion de sensibiliser les entreprises sur le risque lié aux fortes chaleurs et de leur présenter différentes solutions pour y remédier. Cette expérimentation a ainsi permis de mettre en exergue l’ensemble des solutions possibles organisationnelles, collectives et individuelles à disposition des entreprises du BTP pour se protéger de ce risque qui ne doit jamais être sous-estimé. » Pour David Antoine Malinas, responsable de la filiale française de « Biodata Bank » : « Mieux cerner la question du risque thermique sur les chantiers, c’est comprendre son impact sur la santé, sur notre système de protection sociale et sur l’organisation des entreprises. C’est aussi anticiper et prévenir les difficultés dans un contexte de dérèglement climatique. Cette étude confirme les risques de l’exposition au plein soleil sur les métiers d’extérieur. Les employeurs y sont sensibles. Le bracelet s’avère donc un excellent complément à l’hydratation, qui reste un pilier de la prévention santé. Son intégration au quotidien est simple et pragmatique, le bracelet permettant d'anticiper une action avant même que des signaux extérieurs visibles ne se manifestent. »Cette expérimentation concluante est le résultat d’un travail conjoint entre l’OPPBTP, la start-up BIODATA BANK et PRO BTP.Pour plus de détails concernant l’analyse des résultats de l’étude, consultez le rapport d’étude publié sur preventionbtp.fr.
Il y a 2 ans et 350 jours

Webinar – Du PIM au BIM : Comment ArcelorMittal Construction gère et crée des objets BIM depuis son PIM ?

ArcelorMittal Construction fournit et met à disposition ses produits au format BIM et les données techniques qui les composent, pour que les architectes et bureaux d’études les incluent dans une maquette numérique. Lors de ce webinar, venez découvrir comment ArcelorMittal Construction enrichit les informations produits, et publie ces informations dans ses objets BIM. Les objets BIM sont configurables et disponibles dans différents niveaux de détails (LOD) pour s’adapter à chaque besoin et chaque phase d’un projet. Découvrez les avantages du PIM dans la création et la gestion des objets BIM avec les produits d’ArcelorMittal Construction. Rendez-vous le 14 juin 2022 à 11h ! Inscrivez-vous sous ce lien.
Il y a 2 ans et 351 jours

AfterBIM#7 – Le BIM est-il obligatoire ou encouragé ? Un état des lieux du BIM dans le monde.

Au programme de cet AfterBIM, Zakariae Eljemli & Yousra Talha vous proposent un échange sur l’obligation ou l’encouragement du BIM dans le monde. L’adoption du BIM ne se fait pas à la même vitesse dans les différents coins de la Terre, avec le Royaume Uni, Singapour et les pays scandinaves qui semblent être les plus avancés. D’autres pays, en revanche, sont limités à l’établissement de directives pour encourager et accélérer le déploiement de cette méthodologie. Lors de cet échange, Zakariae et Yousra vous présenteront les résultats de leur étude réalisée à ce sujet, tout en mentionnant les différentes initiatives entreprises par les pouvoirs publics pour encourager/rendre obligatoire le BIM pour les marchés publics. Rendez-vous le jeudi 30 juin à 17h30 ! Inscrivez-vous par ici.
Il y a 2 ans et 350 jours

Technal lance la 2ème édition de son concours d'architecture international « WATA »

Pour cette deuxième édition, les architectes et clients TECHNAL des quatre coins de la planète peuvent candidater en ligne (www.registration.imaginewata.com) jusqu’au 31 mai prochain. En France, en Espagne et au Portugal, les projets représentant ces pays seront issus du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL des dernières éditions.Le concours WATA confirme une nouvelle fois la collaboration étroite qu’entretiennent TECHNAL et les prescripteurs. Il distinguera les ouvrages portant haut les couleurs de l’architecture et de la marque à travers neuf catégories :Prix HABITER - Logements IndividuelsPrix HABITER - Logements CollectifsPrix RÉHABILITER - RénovationsPrix RÉHABILITER - ExtensionsPrix ÉTUDIER - Culture et enseignementPrix TRAVAILLER - Tertiaires, bureaux, commerces, industries, établissements de santé…Prix GRATTE-CIELPrix DÉCOUVRIR - Loisirs, tourisme et divertissementPrix DURABILITÉDeux Prix Spéciaux seront également décernés : le Prix « NEXT TALENT » pour lequel les étudiants en architecture pourront voter en juillet et le Prix « IMAGINE WATA » attribué par les partenaires de l’évènement.Les coulisses du concours WATALe jury, qui se réunira le 22 juin prochain, se compose de sept architectes internationaux :son Président, Brian Kleiver, SOM (Skidmore, Owings & Merrill) (Émirats arabes Unis, Dubaï)Sylvie Bruyninckx, VIVA ARCHITECTURE (Belgique)Lucía Ferrater, OAB OFFICE OF ARCHITECTURE IN BARCELONA (Espagne)Vasco Leónidas, NLA Arquitetos (Portugal)Moheb Marcos, ECG (Engineering Consultants Group S.A) (Égypte)Afsar Mirza, GENSLER (Royaume-Uni)Patrick Miton, SOHO ATLAS IN FINE architecture et urbanisme (France)La remise des prix se déroulera en France, en octobre, à l’occasion de BATIMAT. Tous les lauréats seront invités à Paris. Ils visiteront le salon ainsi que les ouvrages parisiens les plus emblématiques. Pour promouvoir leur créativité architecturale sur la scène internationale, un livre d’architecture, présentant chaque projet primé, sera édité.
Il y a 2 ans et 351 jours

Fortes chaleurs : quelles précautions prendre au travail ?

Ainsi l’employeur doit Mettre en place une organisation adaptée pour limiter l’exposition des travailleurs aux fortes chaleurs (horaires décalés, pauses plus fréquentes…) et privilégier le télétravail lorsque cela est possible ;Mettre à la disposition des salariés de l’eau potable et fraîche ;S’assurer que le port des protections individuelles est compatible avec les fortes chaleurs ;Contrôler le bon renouvellement de l’air dans les locaux fermés, et surveiller la température des locaux ;Fournir aux salariés des moyens de protection contre les fortes chaleurs et/ou de rafraîchissement ;Faire remonter toute situation anormale au système d’inspection du travail.Concernant les travailleurs en extérieur, l’employeur doit aménager leur poste de façon à ce qu’ils soient protégés des fortes chaleurs dans la mesure du possible. Il doit également prévoir un local permettant l’accueil des travailleurs dans des conditions préservant leur sécurité et leur santé : à défaut d’un tel local, des aménagements horaires de chantier doivent être prévus. Enfin, doivent être mis à disposition de chaque travailleur au moins 3 litres d’eau par jour.En cas de déclenchement par Météo France de la vigilance rouge dans un département, l’employeur doit réévaluer quotidiennement les risques d’exposition pour chacun de ses salariés en fonction de l’évolution de la température et de la nature des travaux à effectuer. Si les précautions prises sont insuffisantes pour garantir la santé et la sécurité des travailleurs, l’activité doit être suspendue. Les entreprises peuvent alors recourir au dispositif d’activité partielle ou de récupération des heures perdues. Concernant le secteur du BTP, les employeurs peuvent bénéficier du dispositif « intempéries ».L’inspection du travail reste mobilisée pour vérifier que ces mesures de précaution sont bien appliquées, notamment dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Les services de santé au travail sont également en alerte pour aider les employeurs à prendre les mesures de prévention nécessaires.Pour plus d’information et télécharger les outils d’information sur la prévention des risques liés aux fortes chaleurs au travail, consultez le site du ministère du Travail.
Il y a 2 ans et 351 jours

Engie et Neoen confirment leur projet de parc photovoltaïque géant en Gironde

"Nous allons poursuivre le développement du projet Horizeo en y intégrant des évolutions et en prenant un certain nombre de nouveaux engagements", a annoncé le directeur du projet, Bruno Hernandez, lors d'une conférence de presse organisée après plusieurs mois d'échanges coordonnés par la Commission nationale du débat public (CNDP).Ce projet d'un coût initial d'un milliard d'euros prévoit notamment l'installation d'un parc solaire d'une puissance d'un gigawatt – qui générerait l'équivalent "d'un cinquième à un quart" de la production électrique d'un réacteur nucléaire - sur 1.000 hectares de surface boisée dans la commune de Saucats, à 20 km au sud de Bordeaux dans la forêt landaise.Selon la CNDP, sa dimension en ferait l'un des plus vastes projets photovoltaïques en Europe.Horizeo se heurte localement à un arc d'opposition hétéroclite – riverains, syndicats sylvicole, agricole et viticole, chasseurs et associations environnementales -, opposé à son gigantisme et craignant des répercussions sur la biodiversité ou l'augmentation des risques d'incendies et d'inondations."L'objectif, c'est toujours 1 gigawatt (de puissance) et, aujourd'hui, avec les hypothèses techniques, l'équivalent c'est environ 1.000 hectares. Ce sera affiné pendant une phase de travail, d'ingénierie et de concertation. Il n'est pas exclu que ce soit moins", a expliqué M. Hernandez, qui a également annoncé le lancement d'études sur le "risque inondation" et les "impacts potentiels sur le micro-climat et l'environnement".Autour du parc, la création de batteries de stockage d'électricité et d'une surface associant cultures agricoles et production d'électricité solaire sera maintenue, tandis que la construction d'un centre de données sera déplacé "hors du périmètre" et que celle d'une unité de production d'hydrogène vert est remise en question, ont détaillé les porteurs du projet.
Il y a 2 ans et 351 jours

Le programme de conférences Mondial du Bâtiment révélé

Sur les salons Batimat, Idéobain et Interclima, près de 1000 intervenants sont attendus sur 450 conférences et animations, du 3 au 6 octobre 2022. Zoom sur les programmes.
Il y a 2 ans et 351 jours

Jonk : Avec le temps, va, tout s’en va…

Silo en béton, en Belgique. [©Jonk] Jonk s’est d’abord penché sur l’urbex1 pour photographier, dans des lieux abandonnés, des graffitis hors du commun, inédits et aboutis, que l’on ne trouvait pas dans les rues. « Là, les artistes ne sont pas dérangés, ils prennent leur temps. » Et au-delà des graffitis, il s’est rendu compte qu’il aimait ses lieux pour ce qu’ils étaient. Le fait que Dame Nature reprenne toujours ses marques lorsque l’humain a déserté l’a interpelé. « Ma passion pour ces graffitis s’est mue en passion pour ces friches abandonnées que se réapproprient la nature, jusqu’à devenir mon activité professionnelle. » Un travail optimiste Le photographe mêle ainsi dans ses œuvres l’esthétique et la poésie des ruines à une réflexion plus large sur l’homme et la nature. « Quoique l’homme fasse, s’il ne la maîtrise plus, la végétation finit par tout phagocyter. Avec le temps, ce que l’humain a construit disparaît. Ce que j’aime par-dessus tout, c’est la dualité entre des constructions très brutes avec des murs en béton et la délicatesse d’une liane ou d’un lierre qui s’insinue partout, qui s’immisce, s’infiltre, inonde… C’est la reconquête du végétal. » Son travail se veut optimiste. L’artiste cherche « à faire prendre conscience au spectateur que nous ne sommes rien face à la nature. Qu’au lieu de poursuivre un processus de colonisation destructeur, nous devrions au contraire la respecter, lui permettre de s’épanouir pour que les bénéfices soient réciproques ». Alors que l’impact de la société sur son environnement n’a jamais été aussi fort, ces photographies cherchent aussi et surtout à éveiller les consciences. Jonk est un fondu d’urbex. Il parcourt le monde pour dénicher des lieux abandonnés où la nature reprend petit à petit, mais inexorablement, ses droits. [©Jonk]Usine, en Italie. [©Jonk]Ville fantôme, à Taïwan. [©Jonk]Réservoir, à Taïwan. [©Jonk]Construction inachevée, en Moldavie. [©Jonk]Théâtre, en Akbhazie. [©Jonk]Gymnase, en Akbhazie. [©Jonk] Jusqu’à l’enfouissement « Il est poétique, presque magique, de voir la nature reprendre ce qui a été sienne, réintégrer par des fenêtres cassées et des fissures les espaces construits, puis délaissés par l’homme, jusqu’à les engloutir totalement. » Pour faire simple, la nature est plus forte et, quoi qu’il advienne de l’homme, elle sera toujours là. « J’ai eu une conscience écologique dès mon plus jeune âge. Cela m’a rendu attentif à la nature qui m’entoure. Parfois, elle s’immisce dans des endroits inattendus et revient occuper des lieux, dont nous l’avions chassée. » Dans sa progression inexorable, elle commence par reprendre des éléments extérieurs comme une statue dans le parc d’un château français ou une camionnette, en Belgique. Ensuite, elle reprend l’extérieur d’une villa italienne avant d’infiltrer l’intérieur d’un château croate. Puis, elle pousse dans un théâtre cubain ou un palais polonais, avant d‘envahir un château monténégrin. Ensuite, avec plus de temps, elle emprisonne une villa taïwanaise de ses fortes racines. L’étape suivante ? L’écroulement, puis l’enfouissement. Ainsi, que restera-t-il de notre civilisation ? Dans l’exposition “Naturalia” qui se tient au 50 avenue Gambetta, 75020 Paris, sur les grilles du square Edouard Vaillant, retrouvez le long cheminement entre mémoire et oubli, ruines et végétation, modernité et antiquité. Muriel Carbonnet 1L’exploration urbaine, abrégée en urbex, est une pratique consistant à visiter des lieux construits et abandonnés par l’homme. Les expos de Jonk Grilles du square Edouard Vaillant Derrière la mairie du XXe arrondissement, Paris Expo solo en plein air Jusqu’au 26 juin L'impossible sauvage  Musée d'ethnographie de Neuchâtel (Suisse) Expo collective Du 18 juin au 25 février Exodes Villa Les Myrtes, Saint-Raphaël Expo collective Du 1er juillet au 30 septembre Château du Plessis-Macé Expo solo immersive Du 15 juillet au 6 novembre
Il y a 2 ans et 352 jours

Le métro de Paris gagne deux stations, à Aubervilliers

Le tunnel sous le centre d'Aubervilliers avait déjà été creusé pour le précédent prolongement de la ligne jusqu'à la station Front Populaire, aux limites de la ville, fin 2012, mais il restait à creuser les stations."Ces 2 km-là ont été particulièrement difficiles sur le plan géotechnique. Le métro a été construit dans une grande poche d'eau qui a causé beaucoup de soucis", a signalé la PDG de la RATP, Catherine Guillouard, lors d'une cérémonie d'inauguration.Ces difficultés, et la crise sanitaire, ont entraîné quatre ans et demi de retard par rapport au calendrier initial. Le coût a parallèlement bondi de 175 à 244 millions d'euros.Les nouvelles stations inaugurées mardi, Aimé Césaire et le terminus Mairie d'Aubervilliers, ont la même architecture minimaliste et fonctionnelle que les deux stations inaugurées en janvier sur la ligne 4 à Bagneux (Hauts-de-Seine), au sud de la capitale. Une connexion est prévue au terminus avec la future ligne 15 (circulaire) du métro du Grand-Paris, en 2030 si tout va bien, et à Front Populaire avec un prolongement en projet du tramway T8."Il va y avoir une valorisation incroyable de ce territoire", a lancé Valérie Pécresse, la présidente de la région Ile-de-France et d'Ile-de-France Mobilités (IDFM), l'autorité organisatrice des transports en région parisienne. "Parce que qui dit transports dit entreprises, qui dit entreprises dit emplois, qui dit emploi dit valorisations", a-t-elle ajouté."Vous allez vous retrouver là où tout va se créer, là où tout va bouger, là où tout va se faire", a-t-elle estimé. La population d'Aubervilliers a déjà augmenté de 15%, à 90.000 aujourd'hui, depuis l'ouverture de la station Front Populaire."Ça va être l'occasion de revitaliser complètement le centre-ville, de le rénover, de le redynamiser", a insisté l'élue (LR). IDFM et la RATP attendent 40.000 voyageurs supplémentaires par jour sur la ligne 12, qui en transporte actuellement 250.000."En si peu de temps, on n'aura jamais eu autant d'ouvertures de lignes", a noté de son côté le directeur général d'IDFM Laurent Probst, citant --outre le chantier du métro du Grand Paris-- les prolongements récents des lignes 14 et 4, et celui de la ligne 11 à l'est, encore en Seine-Saint-Denis, qui doit être mis en service à l'été 2023.
Il y a 2 ans et 352 jours

Les entreprises d’isolation appellent le gouvernement à relancer la filière pour protéger le pouvoir d’achat et l’emploi des Français

La rénovation énergétique est d’ailleurs l’un des axes stratégiques du gouvernement, qui a inscrit en 2019 « l’urgence écologique et climatique » dans le code de l’énergie avec la loi énergie-climat, et que la loi dite Climat et Résilience, votée en 2021, définit l’isolation des murs, l’isolation des planchers bas, et l’isolation de la toiture comme trois des six postes de travaux prioritaires pour atteindre une rénovation énergétique dite « performante ».Suite à la crise du Covid-19, le plan de relance décidé par le gouvernement a par ailleurs alloué une enveloppe de 6,7 milliards d’euros dédiée à la rénovation énergétique des bâtiments pour 2021-2022, prévoyant en parallèle la création de 55 000 emplois sur la même période.Pourtant, depuis septembre 2021, cet élan a été freiné voire inversé par la conjonction de la baisse du pouvoir d’achat due aux prix de l’énergie, de la baisse de certaines aides, de la très forte baisse des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) frappés par des mouvements spéculatifs, puis de l’inflation sur les matières premières et les produits.Les entreprises de travaux d’isolation en première ligneEn 2022, le nombre de nouveaux chantiers d’isolation est en baisse car les Français n’ont plus les moyens d’effectuer ces travaux. Sous l’effet de la baisse des CEE, le « reste à charge » a trop augmenté, et beaucoup trop vite, notamment pour les ménages modestes, mais pas qu’eux.En février dernier, l’ECIMA et les acteurs de l’isolation alertaient déjà sur la baisse historique de près de 50% des ventes de certains isolants, donc des chantiers d’isolation les utilisant.Aujourd’hui, la situation empire et ce sont les entreprises de travaux d’isolation et leurs salariés qui sont directement touchés, notamment pour les chantiers d’isolation de combles. La plupart des sociétés historiques sont en difficulté : l’ECIMA estime que 10% à 20% d’entre elles ont été contraintes au dépôt de bilan et que plus de 50% des effectifs ont dû être licenciés.Il s’agit d’une perte catastrophique pour la filière, qui peine à recruter et à former du personnel à la fois qualifié et prêt à accepter la pénibilité du métier. Alors que la mise en place du label Reconnu Garant de l’Environnement (RGE) misait sur une montée en compétences des entreprises de pose, nous assistons aujourd’hui à une fuite irréversible des compétences.Pendant ce temps, les Français qui vivent dans des logements mal isolés continuent de voir leur facture de chauffage exploser.Stabiliser le marché de l’isolation : un impératifLa filière sérieuse de l’isolation n’est pas d’une élasticité infinie. Les capacités des usines ont des limites et il faut des perspectives stables de marché pour les augmenter via des investissements de longue durée.D’autre part, les entreprises de pose doivent pouvoir stabiliser leurs effectifs pour avoir le bon niveau de compétences. Les à-coups trop importants à la baisse mènent à des pertes d’emploi et de compétences. Les à-coups trop importants à la hausse mènent à des importations massives et au travail dissimulé par les éco-délinquants, qui ont d’ailleurs déjà déserté le secteur de l’isolation pour se reconvertir dans les filières où les aides sont les plus importantes.Si nous voulons protéger les emplois durables et le pouvoir d’achat des Français, il est urgent de réagir et de relancer la filière de l’isolation dès maintenant. Le gouvernement doit plus que jamais travailler main dans la main avec les organisations professionnelles du secteur qui sont à même de proposer des solutions rapides et efficaces pour stabiliser et relancer la filière.Pour commencer à y travailler dès maintenant, le Syndicat des fabricants de ouate de cellulose ECIMA demande un entretien avec la nouvelle Ministre de la Transition Energétique puis la mise en place d’une commission de travail de 3 semaines débouchant sur un Plan de sauvegarde de la filière de l’isolation.L’isolation, une filière d’avenirFace aux impératifs de transition écologique et d’indépendance énergétique, il va sans dire que l’isolation des bâtiments est incontournable et le sera de plus en plus à l’avenir.Les isolants biosourcés tels que la ouate de cellulose, mais aussi la fibre de bois ou encore le chanvre, sont les isolants de l’avenir, en ce sens qu’ils répondent particulièrement aux objectifs fixés par la RE2020 en termes de réduction carbone et de confort d’été. En effet, ils offrent une meilleure masse volumique et une meilleure résistance à l’écoulement de l’air que les isolants traditionnels et ont la capacité de stocker du carbone, bénéficiant d’un bilan carbone négatif. Autant d’arguments en faveur d’une relance active et immédiate de la filière de l’isolation.L'ECIMA adresse une lettre à la Ministre de la Transition ÉnergétiquePar Charles KIRIÉ Président de l’ECIMA :"Madame La Ministre, Pour rappel l'ECIMA est l'Association Française des Fabricants de Ouate de Cellulose, isolant à base de papier recyclé utilisé essentiellement pour les combles perdus et représentant 50% des tonnages d'isolant biosourcé sur le marché français. Je vous prie de trouver en pièce jointe le courrier envoyé à votre prédécesseure qui est resté sans réponse. Celui-ci annonçait l'hécatombe qui a eu lieu dans les effectifs de personnels dûment formés des professionnels historiques de l'isolation de combles. On peut estimer, de par notre contact étroit avec les professionnels du secteur, que 10% à 20% des entreprises historiques ont déjà fait faillite et que, sur les entreprises restant en activité, 50% du personnel formé et qualifié RGE a été licencié et travaille désormais dans des métiers moins pénibles. Il reste donc seulement 40% des effectifs, ce qui ne sera pas suffisant pour répondre aux besoins réels en isolation de combles perdus dans un contexte de crise énergétique qui va nécessiter une massification et une accélération des travaux. Dans le contexte actuel on peut raisonnablement penser que si le marché, bloqué artificiellement par le cours du CEE historiquement bas, ne reprend pas en septembre, il ne subsistera en 2023 que 20% des effectifs de la profession. Vous sachant proche des entreprises et aguerrie à leurs problématiques et à leur fonctionnement, nous sollicitons de toute urgence une entrevue auprès de vos services. Afin que celle-ci soit le plus efficace possible, il serait essentiel que nous soyons accompagnés par le Syndicat National de l'Isolation qui représente les entreprises de pose d'isolants soufflés. Espérant que ce courrier retiendra votre attention, nous restons à votre entière disposition pour convenir d'une date de rendez-vous. Nous vous adressons, Madame La Ministre nos cordiales salutations et nos meilleurs vœux de succès dans votre nouvelle fonction."
Il y a 2 ans et 352 jours

Olympiades des métiers : la finale internationale de Shanghaï annulée

Wordskills, organisateur des Olympiades des métiers au niveau international, annonce l'annulation de l'édition 2022 à Shanghai, prévue pour octobre 2022.
Il y a 2 ans et 353 jours

Impasse des Lilas, MBL enquête sur le périurbain

Jusqu’au 28 août 2022, arc en rêve centre d’architecture à Bordeaux (Gironde) présente l’exposition « Impasse des Lilas », une carte blanche offerte à la jeune agence parisienne MBL architectes qui mène l’enquête dans un « impensé urbain » : le lotissement pavillonnaire. Visite. Lors de la présentation de l’installation le 19 mai 2022, Fabrizio Gallanti, nouveau directeur depuis 2021 […] L’article Impasse des Lilas, MBL enquête sur le périurbain est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 353 jours

L'Assemblée nationale, mode d'emploi

Quatre missionsVoter la loi, contrôler l'action du gouvernement, évaluer les politiques publiques, et aussi représenter sa circonscription: telles sont les fonctions des députés, élus au suffrage universel direct.Avec le Sénat, l'Assemblée nationale détient le pouvoir législatif. Les parlementaires peuvent déposer des propositions de lois et des amendements, et examinent les projets de lois du gouvernement. En cas de désaccord sur un texte avec la chambre haute, actuellement dominée par la droite, ce sont les députés qui ont le dernier mot.Ils contrôlent l'action du gouvernement au travers de questions orales ou écrites, de commissions d'enquête ou missions d'information. En outre, évaluer les politiques publiques consiste, pour la majorité comme pour l'opposition, à vérifier que les dépenses engagées atteignent bien les objectifs fixés – une mission que les parlementaires cherchent à développer.Sous la Ve République, l'Assemblée nationale dispose en théorie de plusieurs outils pour mettre en cause la responsabilité du gouvernement. Principale arme, la motion de censure doit, pour faire chuter le gouvernement, être votée à la majorité absolue, par au moins 289 suffrages.Depuis les débuts de la Ve République, une seule motion de censure a été adoptée, en 1962, contre le gouvernement de Georges Pompidou. Le général de Gaulle, président de la République, avait alors dissous l'Assemblée, et les législatives s'étaient soldées par une large victoire de ses partisans.À Paris, en circonscriptionRichard Ferrand, président de l'Assemblée depuis 2018, fait valoir que les députés se doivent en outre de "porter les préoccupations des Françaises et des Français de leurs territoires d'élection, et défendre les dossiers essentiels de leur territoire". En tant que représentant de la Nation toute entière, ils doivent cependant se déterminer par rapport à l'intérêt général.Les députés sont habituellement au Palais Bourbon chaque semaine du mardi au mercredi ou jeudi, pour les réunions de leur groupe politique, la séance hebdomadaire des questions au gouvernement et le travail législatif. Chacun siège dans une commission permanente, au nombre de huit (Finances, Lois, Développement durable, Affaires culturelles, Affaires étrangères, Affaires économiques, Affaires sociales, Défense), pour le travail préparatoire aux séances ainsi que des auditions.Les parlementaires passent le reste de la semaine en circonscription, "pour rendre des comptes, expliquer ce qu'on fait", rapporte Richard Ferrand (LREM). Rencontres dans les permanences parlementaires, réunions publiques, visites d'entreprises ou d'administrations, et rendez-vous avec les acteurs locaux sont au menu.Moyens et statutChaque député emploie un à cinq collaborateurs, qu'il rémunère grâce à une enveloppe mensuelle de 10.581 euros que lui attribue l'Assemblée. Les députés eux-mêmes, pour pouvoir se consacrer à leur fonction et ne plus exercer d'activité professionnelle autre, touchent une indemnité de 7.240 euros bruts mensuels (5.680 euros nets), soumise à l'impôt. Ils ne peuvent cumuler leur mandat avec une fonction exécutive locale (maire, adjoint, président de conseil départemental...) et le cumul des indemnités est plafonné.Les députés disposent aussi d'une avance pour leurs frais de mandat de 5.373 euros mensuels, et ces dépenses sont contrôlées depuis 2018. Ils doivent respecter un code de déontologie, ont interdiction d'user de leur qualité à des fins publicitaires, et encore déclarent leur patrimoine en début et fin de mandat à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) pour que celle-ci vérifie qu'il n'y ait pas d'enrichissement personnel.Enfin, ils bénéficient d'une immunité parlementaire, un principe qui remonte à la Révolution française et garantit notamment qu'un député ne saurait être inquiété pour les opinions exprimées dans le cadre de son mandat.
Il y a 2 ans et 353 jours

Une société proche de Toyota rachète Eurus (énergies renouvelables) pour 1,4 milliard d'euros

Toyota Tsusho va ainsi s'offrir les 40% du capital d'Eurus Energy Holdings qui n'étaient pas encore en sa possession et qui appartenaient jusqu'à présent à l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco), selon un communiqué.La transaction devrait être finalisée après juin, est-il précisé.Eurus est née dans les années 1980 sous un autre nom et faisait alors déjà partie de l'ancêtre de Toyota Tsusho. Tepco s'était introduit dans son capital à partir de 2002.Cette société développe plus d'une centaine de projets éoliens et photovoltaïques dans 15 pays, notamment aux Etats-Unis, en Europe et en Asie-Pacifique.Les grands groupes nippons intensifient leurs investissements et acquisitions dans les énergies renouvelables depuis quelques années, sur fond notamment de l'objectif du Japon formulé en 2020 d'atteindre la neutralité carbone à l'horizon 2050.L'an dernier, Toyota avait déclaré vouloir atteindre la neutralité carbone pour ses usines mondiales d'ici 2035, contre 2050 jusqu'à présent.Mais comme la plupart des grands constructeurs automobiles mondiaux, Toyota ne s'est pas engagé quelques mois plus tard lors de la conférence sur le climat COP26 à ne lancer que des véhicules zéro émission d'ici 2035.Le numéro un mondial de l'automobile veut désormais clairement accélérer dans le segment des véhicules électriques, mais il continue aussi de miser lourdement sur les véhicules à essence ou hybrides selon les zones géographiques, en invoquant les rythmes et les stratégies très variables en matière de transition énergétique dans le monde.
Il y a 2 ans et 354 jours

Le Donjon de Vez accueille des cabanes d’architectes

L’exposition estivale du donjon de Vez (Oise), en complicité avec le galeriste Philippe Gravier, invite des architectes, tels Odile Decq ou Kengo Kuma, à explorer la thématique de la cabane. Quand la folie des uns se confronte au refuge de l’âme d’un autre. Jusqu’au 30 octobre 2022. Nostalgie de l’enfance, refus de l’habitat classique, réflexion […] L’article Le Donjon de Vez accueille des cabanes d’architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 354 jours

En Nouvelle-Calédonie, un accord pour décarboner le nickel

L'ambition consiste en une inversion des proportions dans le mix énergétique du territoire : la part des énergies renouvelables, versus celle des sources carbonées, doit passer respectivement de 20/80% aujourd'hui à 70/30% à l'horizon 2030, selon l'accord.Cet accord-cadre pour une "évolution du paradigme énergétique de la métallurgie du nickel: décarbonation" constitue une avancée "historique", a indiqué Christopher Gygès, membre de l'exécutif calédonien chargé notamment de la transition énergétique, lors d'une conférence de presse.L'accord-cadre prévoit d'intégrer à terme la troisième usine de traitement du minerai de nickel implantée dans le Nord de la Nouvelle-Calédonie, Koniambo Nickel (KNS), quand la société le souhaitera. Des discussions sont en cours.Cette conversion du modèle énergétique dans cet archipel du Pacifique Sud est devenue primordiale pour "la restauration de la compétitivité de l'activité métallurgique" d'après le document, mais aussi au regard du changement climatique.La trajectoire repose sur trois piliers: la mise en production d'énergies renouvelables d'origine photovoltaïque à hauteur de 100 mégawatts-crête (puissance maximale) par an, "soit cinq fois plus que la moyenne annuelle calculée depuis 2016", la création de moyens de stockage tels qu'une station de transfert d'énergie par pompage (Step), et des batteries à grande capacité, ainsi que l'installation d'unités de production d'électricité à base de moteurs au gaz afin de stabiliser le réseau.La société centenaire SLN, filiale d'Eramet, ne produira plus la majorité de son énergie sur son site. Et l'électricité issue du barrage de Yaté, jusqu'alors très largement orientée vers le métallurgiste, rejoindra le réseau.Des analyses techniques doivent désormais s'enchaîner, avec notamment l'intervention de la Commission de régulation de l'énergie (CRE). Des financements restent également à préciser.
Il y a 2 ans et 354 jours

Mondial du bâtiment 2022 : Un programme de conférences inédit pour déterminer l'avenir du secteur

De nouveaux formats d’échanges font leur apparition afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : Préserver le climat et l’environnement, Bien vivre dans la ville en 2050, Transformer les méthodes, Valoriser les métiers. « Les hommes et les femmes du bâtiment sont à la tête d’un formidable défi, ils auront la responsabilité de permettre à la France de réussir ses transitions et notamment la décarbonation de l’acte de construire. Face à cette urgence et cette responsabilité immense, nous avons souhaité donner une dimension inédite au programme de conférences du Mondial du Bâtiment en associant tous les acteurs du bâtiment mais aussi des personnalités diverses et inspirantes venant d’autres univers. C’est en quelque sorte un « Davos » du bâtiment que nous préparons. Le programme des interventions de cette édition du Mondial du Bâtiment sera exceptionnel par son ampleur, la qualité et la diversité des intervenants, le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur en les mettant en perspective dans un contexte plus large : économique, politique, environnemental, sociétal et solidaire… » indique Guillaume Loizeaud, Directeur du MONDIAL DU BÂTIMENT.Le programme de conférence est porté notamment par 4 grands thèmes :Préserver l’environnement : L’urgence de la lutte contre le réchauffement de la planète nous est rappelée chaque jour. Les alertes des experts et la multiplication des épisodes climatiques extrêmes nous obligent à prendre nos responsabilités. Toute la chaîne de valeur du bâtiment doit se transformer pour freiner son impact sur l’environnement et préserver le vivant.Bien vivre dans la ville en 2050 : En 2050, 70% de la population mondiale vivra en ville. A quoi ressembleront les villes et nos modes de vie à cet horizon ? Penser la ville de 2050 c’est répondre aux nombreux défis auxquels les urbains sont déjà soumis.Valoriser les métiers : A l’ère digitale, tous les métiers de la construction et du bâtiment sont en profonde mutation. Les nouveaux outils de collaboration, la data et l’intelligence artificielle font émerger de nouvelles compétences, voire de nouveaux métiers.Transformer les méthodes : Assurer la transition écologique du secteur, réussir sa digitalisation, garantir son modèle économique et améliorer sa productivité : la filière du bâtiment est sous pression. Moderniser nos méthodes s’impose. Organisation du travail, outils de production, gestion des équipes, commercialisation et relation clients : tous les chantiers sont ouverts.BATIMAT : une nouvelle vision des enjeux du secteurSous la bannière de ces 4 thématiques, le salon BATIMAT ouvre ses portes à une grande diversité d’intervenants. Philosophes, neuroscientifiques, enseignants… et bien sûr acteurs du monde du bâtiment, décrypteront les enjeux de la filière et les solutions pour penser le bâtiment d’aujourd’hui et de demain.Les formats des conférences ont également été repensés pour proposer différentes expériences aux visiteurs, en adéquation avec leurs attentes. Ainsi, trois nouveaux formats de rendez-vous verront le jour, allant de prises de parole longues à des pitchs de quelques minutes :BATITALKS : Une immersion au coeur des sujets phares de la constructionNouveauté 2022, deux agoras prennent place au coeur des Pavillons 1 et 6, toutes deux équipées de cabines de traduction pour retransmettre les contenus en 2 langues différentes (français/anglais) et disponibles en replay après le salon.Elles accueilleront chacune, chaque jour, deux conférences rassemblant des experts d’horizons variés, pour aider à mieux comprendre les changements en cours dans le secteur du bâtiment et dans la société, inspirer et permettre d’inventer les solutions adaptées aux spécificités des métiers du bâtiment.4 sessions auront lieu chaque jour, de 11h00 à 12h30 et de 14h00 à 15h30 et mixeront 6 formats différents :Panel : des conversations entre expertsFireside Chat : des interviews exclusives d’acteurs du secteurKeynote : une prise de parole individuelle d’une personnalité inspiranteAsk me anything : une prise de parole nourrie par les questions de l’audienceTalks : 3 prises de parole de 5 minutes présentant une approche innovante autour d’un enjeu cléDébat : un échange de points de vue entre professionnelsAu total, ce sont plus de 90 intervenants d’horizons divers qui prendront la parole au cours de ces sessions. Parmi eux : Bernard Anselem, Médecin, Neuroscientifique, Auteur ; Rémy Babut, Ingénieur, Urbaniste, Chef de projet logement au Shift Project ; Anne Démians, Architecte ; Mark Farmer, Consultant, Auteur du rapport “The Farmer Review of the UK Construction Labour Model” ; Cynthia Fleury, Philosophe, Psychanalyste, Auteur ; Jean-Marc Jancovici, Ingénieur, Président de l’association The Shift Project ; Carlos Moreno, Enseignant, Spécialiste d’innovation urbaine ; Philippe Pelletier, Président du Plan Bâtiment Durable ; Jean-Paul Philippon, Secrétaire général de l’Académie d’architecture ; Navi Radjou, Conseiller en innovation et leadership ; Jean-Christophe Repon, Président Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) ; Yamina Saheb, Senior Energy Policy Analyst, Autrice principale du GIEC ; Carine Seiler, Haut-Commissaire aux compétences ; Olivier Salleron, Président Fédération française du bâtiment (FFB) ; François Taddei, Chercheur, Fondateur du Learning Planet Institute.EXPERTS’ CORNER : des décryptages par des experts sur des problématiques précisesLes Experts’ Corner proposeront plus de 150 colloques et conférences animés par environ 300 experts, avec des contenus pointus sur des solutions et des innovations.Les Experts’Corner pourront être suivis sur les AGORA 1 (pavillon 1) et 2 (pavillon 6) mais aussi sur l’Arena Principale (Pavillon 1), les Ateliers Hors-Site, Low Carbon Construction, Photovoltaïque, et sur l’Espace 2 000 (Pavillon 1).Le Mastère Spécialisée® immobilier et bâtiment durables (IBD), transitions énergétique et numérique de l’école des Ponts Paris Tech organisera sa semaine de conférences internationales sur Batimat (Espace 2000 Pavillon 1). Les conférences seront traduites et hybrides. Les sessions de conférences seront proposées de 9H à 18H30 et ouvertes à tous les professionnels avec 27 créneaux et 27 conférenciers internationaux.Lundi 3 octobre : Architecture décarbonée et solidaireMardi 4 octobre : Politique environnementaleMercredi 5 octobre : Démonstrateurs et solutions bas carbone Jeudi 6 octobre : Industrie de la constructionINNOVATION LAB : les innovations et technologies mises à l’honneurLes Innovation Lab ont vocation à proposer des présentations et des démonstrations d’innovations et de technologies, à retrouver chaque jour sur l’Arena Innovation Awards ainsi que sur l’Arena Start-up. Les visiteurs pourront ainsi assister à environ 200 pitchs de 10 à 12 minutes qui présenteront les innovations et les nouvelles technologies. Les premières start-up participantes : Adroneex, Batisimply, Pubotim, Supervan.Enfin, des démonstrations seront proposées par de nombreux exposants dans le Pavillon 4 dédié au secteur du Matériel de chantier et de l’Outillage (voir liste des participants en annexe).IDÉOBAIN : 15 conférences ciblées sur 3 thèmesAu sein du Forum Salle de Bains et Intérieurs à Vivre, 15 conférences sont d’ores et déjà programmées avec un tiers d’expertises techniques, un tiers de formation et un tiers destiné à l’architecture et à l’aménagement intérieur. Des interventions des partenaires sont aussi prévues tels que le Pôle action des architectes d’intérieur et le Club de l’amélioration de l’Habitat. Enfin, le palmarès des salles de bains remarquables sera mis à l’honneur avec un focus sur les salles de bains remarquables depuis 2017 et un book spécifique sera remis sur le salon. Les Innovations seront également présentées dans un format Pitch.INTERCLIMA : Une part importante aux expériences de terrain, à la formation et à l’évolution du mix énergétiqueLe salon INTERCLIMA a imaginé un programme de conférences co-construit avec les principales organisations professionnelles impliquées dans les sujets liés à la performance énergétique et au confort thermique. Toutes les grandes thématiques du secteur trouveront leurs illustrations sur le salon avec des prises de parole quotidiennes. Les grandes thématiques Interclima 2022 sont : la rénovation des bâtiments tertiaires, l'amélioration des logements individuels et collectifs, la qualité de l’air intérieur : une question de santé publique, la maitrise et productivité sur chantier, les enseignements de la RE2020 depuis son entrée en vigueur, les énergies renouvelables et la récupération de chaleur.Les conférences du Forum Interclima12 créneaux de conférences de 2 heures ont déjà été confirmés sur le Forum Interclima, avec 6 à 8 témoins par session. Ces sessions sont construites en partenariat avec les organisations professionnelles représentant des maîtres d’ouvrage, dont l’Union Sociale de l’Habitat (USH), l’Association des Ingénieurs Territoriaux de France (AITF) et le Pôle Habitat de la FFB, des maîtres d’oeuvre et les entreprises de maintenance et d’exploitation, avec le Synasav. Une session spéciale sur le sujet technique de l’évolution des chaudières gaz vers l’hydrogène et le gaz vert est également prévue.La qualité de l’air : un thème majeurUn espace est entièrement consacré à la qualité de l’air avec 56 créneaux de conférences et un atelier. Aux côtés d’Uniclima sera engagée l’ensemble de la filière professionnelle représentée par la nouvelle Association française de la ventilation.Forum QAICet espace est entièrement dédié à la qualité de l’air intérieur autour de conférences de 20 minutes qui se répartissent entre des prises de paroles d’exposants et des conférences menées par la filière professionnelle (Uniclima, Cetiat, Association Française de la ventilation, Agence Qualité Construction…). Les marques participantes à ce jour : Airzone, Aldes, Atlantic, Daikin, France Air, Hitachi, LG, Sauerman, VMI, Zehnder.Atelier QAICet espace animé par Uniclima en partenariat avec l’Association Française de la ventilation, propose trois « serious game » qui ont pour objectif de sensibiliser les différents acteurs (maîtres d’oeuvre, maîtres d’ouvrage, installateurs, exploitants-mainteneurs) à la qualité desinstallations de ventilation. L’Atelier sera co-animé par Uniclima, l’Association Française de la ventilation et plusieurs partenaires dont Cetiat, AQC…Ateliers Retour d’ExpérienceUn nouveau format de conférences prend place sur le salon en 2022. Une équipe projet comprenant au moins 3 personnes dont au moins un exposant replace une ou plusieurs solutions techniques dans le cadre d’un bâtiment neuf ou rénové, réalisé ou en projet. Il s’agit de donner la parole aux maîtres d’ouvrage, maîtres d’oeuvre, entreprises ainsi qu’aux industriels et démontrer les performances globales d’un bâtiment (confort, qualité d’air, énergie, environnement).Les matinées sont consacrées à la rénovation dans un contexte où le décret tertiaire entrera tout juste en application. Les après-midis sont consacrés à la construction neuve dans le contexte de la nouvelle RE2020 dont la partie bâtiment tertiaire sera sur le point d’entrer en vigueur.Les 28 conférences prévues dureront 45 minutes et s’enchaîneront toutes les heures. Un espace de convivialité est intégré à cet atelier pour permettre aux visiteurs de prolonger les discussions avec l’équipe projet. Les marques participantes à ce jour : Ariston, Atlantic, BWT, Daikin, Eurovent, Viessman, VMI, Zehnder…INTERCLIMA Job ConnectSur l’Espace Métiers et Recrutement, un programme rythmé sera proposé pour favoriser les rencontres et les échanges entre les étudiants, les professionnels débutants et confirmés, et les établissements et centres de formation.En matinée, des conférences des écoles et centres de formation destinées aux professionnels seront organisées pour échanger autour des évolutions majeures, comme par exemple l’ouverture du nouvel éco-campus de Vitry (94), la transformation des DUT génie thermique de deux ans en Bachelor de trois ans, ou encore le développement de l’alternance…L’après-midi, des job datings seront organisés entre des jeunes d’Île-de-France et les DRH des exposants d’INTERCLIMA, les représentants des organisations professionnelles et les visiteurs en cours de recrutement.
Il y a 2 ans et 354 jours

La maquette de la terre est ‘Elément Terre’

L’Institut Paris Région invite la matière terre à la Bap! de Versailles (Yvelines) jusqu’au 13 juillet 2022. Pour comprendre comment est constitué le socle naturel de la région, Cécile Diguet, commissaire d’exposition a choisi un support exceptionnel : une généreuse maquette vivante en terre à l’échelle 1/50 000e. Découverte en vidéo. Une maquette XXL en […] L’article La maquette de la terre est ‘Elément Terre’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 354 jours

Béton[s] le Magazine n° 100 explore le temps

L’aventure de Béton[s] le Magazine a commencé il y a 17 ans, en 2005, à l’occasion du salon Batimat. Le magazine fête aujourd’hui son 100e numéro. Mais il ne faut pas oublier les 25 numéros hors séries, presque 250 newsletters, le site internet et une communauté LinkedIn qui complètent le bimestriel. C’est une petite plongée dans le temps que l’on vous propose de faire à l’occasion du 100e numéro de Béton[s] le Magazine. L’évènement est d’importance et marque une étape symbolique de notre histoire. Pour fêter ce jubilé, nous vous avons concocté une édition particulière, qui revient sur cette aventure et celle du béton, dont nous avons accompagné les moments-clefs de développement récent. Pour fêter avec vous ce centième numéro, nous avons décidé d’ouvrir l’accès à notre liseuse et nous vous proposons de le découvrir en ligne, en version liseuse. Au-delà des pages consacrées à cet anniversaire, nous poursuivons notre voyage dans le monde de l’éco-construction en béton, avec la partie #2 du dossier consacré à ce sujet stratégique pour la filière. L’occasion aussi de (re)découvrir ce que proposent les bétonniers dans ce domaine particulier. Et une manière de s’interroger sur le futur. Le regard peut aussi se porter vers l’ailleurs, qui s’appelle Djibouti, cette fois-ci. C’est là que le cabinet d’architecture Richard + Schoeller achève la construction d’un centre de formation de dockers, avant d’entamer celle de l’Ecole française installée dans le pays. Ce n° 100 consacre aussi un large focus aux laboratoires béton (et ils sont nombreux) et un autre, aux coffrages et étaiements standards du marché. Enfin, Béton d’Antan revient sur la vie d’un grand capitaine d’industrie : Joseph Vicat, le fils même de l’inventeur du ciment artificiel, et surtout le fondateur du groupe cimentier éponyme. Retrouvez l’ensemble du dossier Evénement de Béton[s] le Magazine n° 100 : Comme le regard est le reflet de l’âme, le lecteur peut être considéré comme le reflet du magazine qu’il lit. A l’occasion de ce 100e numéro, nous avons proposé à plusieurs lecteurs de la première heure de prendre la parole. Un exercice amusant et parfois décalé… François Toutlemonde – Université Gustave Eiffel – « J’opte pour le Bfup »Denis Charon – CG de la Mayenne – « Le béton a encore de très beaux jours devant lui »Giovanni Lelli – Architecte – « Pier-Luigi Nervi a coulé les plus belles choses en béton »Alain et Jean-Louis Albizati – Albizzati Pères & Fils – « La construction en béton perdurera »Jean Ros – Soltec – « Le béton luminescent constitue un excellent moyen d’éclairer »Didier Bourqui – Losinger Marazzi – « Je dirais même un pilier centrifugé » A lire aussi : Une histoire de Béton[s] Shift Project : Réduire son empreinte carbone Il était une fois … le béton artistique Frédéric Gluzicki Directeur de la publication Feuilletez gratuitement en ligne le numéro 100 sur la liseuse acpresse.fr Retrouvez la lecture des articles en ligne du numéro 100 dans la boutique par le sommaire interactif
Il y a 2 ans et 354 jours

Le Campus Eurobois est de retour pour soutenir l’emploi et la formation dans la filière

Fort de son succès en 2020 le campus Eurobois fait son retour pour l‘édition 2022. Il permet de faciliter la rencontre entre les centres de formations, les étudiants et les professionnels. Situé à l‘espace formation, il rassemblera une quinzaine de centres de formation, dédiés à la filière bois proposant des formations en initiales ou continues. Avec pour partenaire Pôle emploi le salon animera 2 journées de l’emploi pour valoriser les métiers de la filière. Sur ce même atelier les visiteurs pourront également tester le simulateur « ACREOS-SCIE DE TETE », un simulateur de conduite de scie de tête permettra de tester en situation réelle les commandes spécifiques à l’aide de différents exercices de simulation.
Il y a 2 ans et 354 jours

Une histoire de Béton[s]

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine L’équipe actuelle de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Souvent l’évidence nous échappe. Aussi loin que notre mémoire nous permet de remonter, la France a toujours été qualifiée de pays moteur, en matière de ciment et de béton. Le ciment artificiel y est né. La lente maturation du béton armé s’est déroulée au cœur de nos territoires. Et que dire de l’inventeur de la précontrainte et de la vibration. Plus tard, notre pays a vu le véritable envol des BHP, des Bfup et autres Bap… Ainsi, bon gré mal gré, la France reste indissociable de l’histoire du béton1. Mais en ce début de XXIe siècle, aucune revue professionnelle n’était pleinement consacrée à ce matériau. Alors que le béton est omniprésent dans la construction. Alors que les entreprises majors du BTP sont françaises. Alors que la filière emploie des milliers de collaborateurs. Et plus étonnante encore était la réaction de certains professionnels du secteur : « Mais qu’est-ce qu’il y a à dire sur le béton ? » C’est à l’aulne de ces observations que naît Béton[s] le Magazine. L’histoire dans l’Histoire. Une véritable aventure en soi. On part d’une feuille blanche ou presque, car l’expertise béton est là. La connaissance de l’édition aussi. Mais est-ce suffisant ? Pour le savoir, il faut accepter de se confronter à la réalité. Rendez-vous en bétons inconnus Dès juillet 2005, les premières esquisses se mettent en place. Les idées prennent forme. Les rubriques s’organisent. Il faut parler des chantiers, des techniques, des nouveautés. Mettre en avant l’actualité des acteurs de la filière. Leur donner la parole aussi. Avec à l’esprit de répondre aux besoins des lecteurs. Et ne pas hésiter à les emmener toujours plus loin dans l’univers des bétons. Le fait de “savoir” n’interdit de “réviser” ou “d’apprendre” de nouvelles choses. Montrer par l’exemple. Comment bien appliquer une huile sur un coffrage. Comment réparer une fissure. Comment entretenir au quotidien une toupie. Il est même possible de franchir d’autres limites. En vulgarisant les informations à caractère scientifique. En expliquant, avec des mots choisis et accessibles au plus grand nombre, l’alcali-réaction des bétons ou les étapes de transformation de l’argile et du calcaire en ciment. Puis, il faut surprendre. Aller là où personne ne vous attend. Créer une sorte de rendez-vous en bétons inconnus (de certains). Fouler les tapis rouges des expositions. Rencontrer des artistes qui ont choisi le béton comme matière première de leurs œuvres. Ce matériau peut être beau, ailleurs que sur un chantier ! La “dernière chose”… Vient enfin le moment où il faut clore le débat. On peut le faire en disant juste « Merci de votre attention ». Ou d’une manière suscitant un regain d’intérêt. Steve Jobs, le fondateur de la firme Apple, était un maître à ce petit jeu. Son fameux « One more thing » (Une dernière chose) avait le don de mettre en émoi les fans de la marque. La “dernière chose” de Béton[s] le Magazine est sa dernière page. Celle que l’on regarde avant de fermer la revue. Elle se doit de laisser une bonne et forte impression. Et quoi de mieux que de “conter une histoire”. Celle des hommes et des femmes qui ont fait la grande histoire des bétons. Celle des constructions emblématiques ou méconnues… En 2009, à la demande des organisateurs d’Intermat, Frédéric Gluzicki, directeur de la publication Béton[s] le Magazine, assure la visite guidée du salon d’Ahmed Taoufik Hejira, à l’époque le ministre marocain de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement de l’espace. [©ACPresse]Le tout premier numéro de Béton[s] le Magazine, diffusé depuis le stand Chryso, sur Batimat. [©ACPresse]Mariola Gluzicki, directrice des Editions AvenirConstruction, qui publient Béton[s] le Magazine à l’occasion du 10e anniversaire de la revue, fêté en grande pompe. [©ACPresse]Quinze ans déjà pour Béton[s] le Magazine, célébré en comité restreint, en pleine pandémie du Covid, en octobre 2020… Mais autour d’un délicieux gâteau ! [©ACPresse] L’équipe des débuts peut être qualifiée de légère. Trois personnes – Frédéric Gluzicki à la rédaction, Mariola Gluzicki à l’organisation et Alexandre Legrand au commercial – et quelques collaborateurs extérieurs. Dont un maquettiste pour mettre en page écrits et photographies. A deux mois du lancement, les premières épreuves arrivent. Ça matche ! Le design proposé est en phase avec les attentes. Le graphisme des montages est élégant, dans l’air du temps. Mais le stress du bouclage monte. L’échéance de l’imprimeur approche : il reste encore tant à faire. Le rendez-vous de Batimat ne peut être décalé. Les soirées se prolongent, les yeux de plus en plus cernés, les nerfs parfois à vif. C’est une naissance et l’accouchement, sans être délicat, demande toute notre attention. L’heure des premiers abonnements On sonne à la porte. « Bonjour. Les Editions AvenirConstruction ? C’est pour une livraison. Des cartons de Béton[s] le Magazine. Signez ici. » Le moment est solennel, l’esprit centré sur les boîtes. Vite, des ciseaux, les rabats s’ouvrent. La première sensation est étrange : il est tout petit. On l’imaginait plus grand, ce magazine. Pourtant, il est au bon format. Un A4 comme il se doit. La prise en main et le toucher de la couverture sont agréables. Puis, on feuillette ses pages, une à une. On juge du résultat. Il est à la hauteur. Lundi 7 novembre 2005. Il est 9 h 00 du matin. Les stands sont parés. Les allées dégagées. La 25e édition du salon Batimat ouvre ses portes. Nous sommes là, fébriles, nos Béton[s] le Magazine sous le bras. Quel en sera l’accueil ? C’est le moment de vérité. Mais nous sommes confiants. Tout a été mis en œuvre pour proposer une édition au top. La suite, chacun la connaît, à son niveau. Dans les allées du salon, les réactions sont enthousiastes. Certains se posaient même la question de savoir si ce magazine existait depuis longtemps, étonnés de ne pas l’avoir vu ou lu auparavant. Des courriers et quelques fax – c’était encore très utilisé à l’époque ! – de “félicitations” et de “bonne continuation” ont suivi. Les premiers abonnements aussi, tout comme la confirmation des annonceurs de vouloir continuer à nous accompagner dans cette nouvelle aventure. L’inépuisable actualité des bétons Cela fait maintenant plus de dix-sept ans que Béton[s] le Magazine sort avec la régularité d’un métronome. C’est un minimum que d’arriver dans la boîte aux lettres de nos lecteurs tous les deux mois. C’est respecter l’engagement pris auprès des annonceurs quant à la bonne diffusion de leur message, en temps et en heure. Le professionnalisme implique un engagement total, justifié par un coût légitime. Voir arriver le premier numéro de Béton[s] le Magazine a été quelque chose d’extraordinaire. Le n° 4 a aussi été particulier, marquant notre première présence sur un salon – Intermat 2006 – avec un stand en propre ! Sur sa couverture, un gigantesque canon doré, encadré par deux grognards napoléoniens. Une image décalée, hors sujet, de prime abord. Sauf quand on apprend qu’il s’agit d’une centrale à béton ! Puis, le temps s’est comme emballé. De trois, nous sommes passés à presque dix personnes, toutes passionnées et engagées. Des centaines de reportages ont été publiés et des centaines d’interviews faites. Des centaines d’innovations présentées. Et le n° 100 a fini par arriver. Etrange sensation. Le franchissement d’un nouveau cap. Oui, nous le confirmons, il y a beaucoup à dire sur les bétons. Et les choses ne font que commencer ! 1Lire “Une histoire du ciment et du béton”, dans le hors-série n° 25 “Les bétons de A à Z” – 3e édition – 2021/2022. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 356 jours

Les coffrages soutiennent la construction

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Les coffrages et les étaiements sont à la base de la construction. Mais si leur simplicité de conception est l’une de leurs qualités premières, il n’en reste pas moins que chaque pièce fait preuve d’une grande technicité. Tour d’horizon des différentes solutions du marché. Dossier réalisé par Yann Butillon Altrad : Légèreté comme maître-mot L’Altralight bénéficie d’un poids allégé et d’un montage en sécurité. [©Altrad] Durant la période Covid, Altrad Coffrage & Etaiement a lancé l’Altralight, une tour d’étaiement légère en aluminium et acier. Un mix matériau breveté par la marque. Mais la mise sur le marché initiale a été quelque peu perturbée, crise sanitaire oblige. Aujourd’hui, la filiale du groupe Altrad souhaite lancer son innovation… « L’argument majeur de ce produit est le poids de ses cadres et sa facilité de montage, explique Pauline Roques Simondi, responsable communication et marketing. Les cadres pèsent 9 kg en 1,25 m, tout juste 10,30 kg en 1,60 m, et 12 kg en 2,10 m, soit environ 30 % de moins que des cadres acier présents sur le marché. Ces faibles poids constituent une demande des majors du BTP, qui veulent réduire en permanence la pénibilité de la mise en place sur chantiers. » L’Altralight permet de reprendre une charge de 5,5 t par pied, à une hauteur de 6,40 m utile. L’extrémité du cadre est protégée par des cloches de connexion et une bague d’appuis de vérin en acier. « Sur Batimat en particulier, nous prévoyons de faire porter les cadres et monter la tour, la légèreté parle d’elle-même. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 356 jours

Rhône : Demathieu Bard inaugure son nouveau siège social régional

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine C’est à Villeurbanne que Demathieu Bard vient d’installer son nouveau siège social régional. [©Jonathan Letoublon/Demathieu Bard] Le groupe Demathieu Bard vient d’inaugurer les locaux de son nouveau siège régional sur le Terrain des Sœurs, dans le quartier Buers/Croix-Luizet, à Villeurbanne. Le site avait été cédé à la Ville par une congrégation de religieuses en 1993. L’inauguration de ce nouveau bâtiment est importante pour le quartier, puisque l’entreprise qui s’y installe s’engage en faveur d’un développement économique durable. Demathieu Bard est ainsi signataire de la charte des 1000 en faveur de l’insertion économique sur le territoire de la métropole. L’entreprise possède dans son siège régional une salle qu’elle mettra à disposition d’associations du quartier. Quant à son rez-de-chaussée, il accueillera un laboratoire d’analyses biomédicales et peut-être un restaurant. Le bâtiment a été acquis par Foncière Inea en décembre 2019, auprès de Demathieu Bard Immobilier, dans le cadre d’une Vente en l’état futur d’achèvement. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Conçu par le cabinet d’architectes Z dans une architecture de béton élégante, contemporaine et fonctionnelle, l’ouvrage offre une surface locative de 5 000 m² et peut recevoir plus de 500 collaborateurs. Il a reçu le prix de l’immobilier d’entreprise lors de la cérémonie des Pyramides d’Argent 2021 de la région lyonnaise. Construit par les équipes Demathieu Bard Bâtiment Sud-Est, l’édifice intègre une forte dimension environnementale. A savoir, murs et planchers en béton bas carbone, toiture végétalisée, panneaux photovoltaïques, isolant naturel biosourcé en laine de coton et mise en œuvre de revêtements intérieurs sains et peu polluants. L’immeuble sera certifié Breeam “New Construction Very Good” et atteindra le niveau thermique RT 2012 – 40 %. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 357 jours

Plan d'investissement "massif" de La Compagnie nationale du Rhône (CNR) dans le photovoltaïque

La CNR va ainsi investir un milliard d'euros "d'ici 2030 pour multiplier par sept" sa capacité installée, qui devrait passer de 150 à 1.000 MWc (mégawatt crête), a expliqué Laurence Borie-Bancel, présidente du directoire, lors d'une conférence de presse. Soit la consommation annuelle d'une population de 550.000 habitantsDétenue par Engie (49,97% du capital), la Caisse des Dépôts (33,20%) et des collectivités locales (16,33%), ce concessionnaire chargé de l'aménagement et de la valorisation du Rhône depuis sa création en 1933 assure un quart de la production hydroélectrique du pays, avec 19 centrales.La CNR est aussi chargée de la navigation fluviale et de l'irrigation agricole dans le cadre de sa concession, récemment prolongée de 18 ans par le Parlement, jusqu'en 2041.En phase avec ses projets, une entreprise dédiée au développement photovoltaïque, Solarhona, a été créée, avec au démarrage une vingtaine de salariés, entre Lyon et Montpellier.Concrètement, deux tiers des capacités proviendraient de l'installation de panneaux sur des toitures ou sous la forme d'ombrières, et un tiers sur des terrains "dégradés, de petite taille, n'ayant pas d'utilité", a expliqué le président de Solarhona, Julien Marchal, également directeur des nouvelles énergies de CNR. Quelques "petits projets en solaire flottant sur des petits plans d'eau" sont aussi envisagés.Pour la CNR, tous ces projets répondent à la "rareté du foncier" et seront menés en collaboration avec les "territoires, qui pourront s'associer à leur gouvernance dans des +sociétés de projet+". Sont ainsi visés les 47 EPCI (établissement public de coopération intercommunale) de la vallée du Rhône, mais aussi des entreprises. Solarhona leur reversera une partie des revenus générés.Selon Mme Borie-Bancel, qui évoque un investissement "massif", "80 projets sont d'ores et déjà en développement". Ils devraient créer "600 emplois directs et indirects".Le plus avancé concerne le partenariat avec le logisticien Skipper, au Pouzin (Ardèche), où environ 20.000 m2 de toiture de la plate-forme logistique vont être "solarisés" début 2023."Notre seuil minimum est de 1.000 m2, nous ne visons pas les particuliers", précise M. Marchal, qui, outre les toitures d'entreprises, considère aussi celles des "bâtiments publics et de hangars agricoles" ou "des parkings".Pour les installations au sol, "les friches industrielles, les endroits de remblais ou les délaissés routiers" seraient appropriés. Sur ces surfaces, la CNR n'exclut pas d'installer des "panneaux verticaux bi-face", présentant l'avantage d'une double exposition, une technologie testée sur les berges du Rhône à Sablons (Isère).
Il y a 2 ans et 357 jours

Palmarès des premiers Trophées de l'Innovation du WinLab', l'incubateur du CCCA-BTP

Six trophées ont été officiellement remis et neuf lauréats (équipe ou individu) ont été récompensés lors de la soirée dédiée à l’innovation dans le secteur du BTP, organisée le 24 mai à Paris. Dédié à la formation professionnelle par l’apprentissage dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, ce concours, ouvert à l’ensemble des apprentis et des formateurs au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, ainsi qu’aux entreprises formatrices, vise à mettre en lumière et diffuser leurs expériences et leurs pratiques les plus innovantes, développées en 2020 et 2021.Les Trophées de l'Innovation du WinLab' répondent à un triple objectif : explorer les gisements d’innovation issus des organismes de formation aux métiers du BTP, qualifier des solutions locales duplicables à grande échelle, au niveau national et valoriser les expérimentations menées au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, pour accroître l’efficience des solutions et des parcours de formation proposés.Les projets devaient s’inscrire dans le cadre d’une initiative innovante structurante, à même de transformer une organisation, un comportement ou un usage, par la mise en œuvre concrète d’une idée originale, utile et réplicable. Plus d’une centaine de projets ont été présentés, issus de toutes les régions françaises. 24 projets ont été présélectionnés, puis présentés au jury national qui a désigné les neuf lauréats finaux.Le palmarès des trophées par catégorie Catégorie « Le CFA de demain »Projet lauréat : « Artisans & Artistes, le CFA fait son bouillon de culture » Porteur du projet : Émilie Hébrard (BTP CFA Gard)Ce projet a réuni une équipe composée d’Émilie Hébrard, formatrice à BTP CFA Gard, Nathan Ranc, Enzo Soulier et Romain Martin, apprentis en seconde année de CAP Monteur en installations sanitaires et Attoumane Charfène, apprenti en seconde année de CAP Électricien(ne). À contre-courant du tout numérique, ce projet ambitionne de rapprocher le monde artistique et celui du secteur du BTP, de faire entrer l’art dans les CFA. Artistes et artisans produisent de la même manière des œuvres uniques. Leur rapprochement offre une vision novatrice et collaborative de l’apprentissage dans le BTP, porteuse d’enseignements, d’échanges culturels et d’ouverture d’esprit. Résidence d’artistes, bibliothèque, ateliers d’expression sont à leur disposition au CFA, pour échanger et laisser libre court à la création. Le projet, très facilement duplicable dans d’autres CFA, offre aussi à tous les jeunes l’envie de se projeter dans les métiers du BTP. Catégorie « Attractivité de mon CFA »Projet lauréat : « Les rencontres de Julien » Porteur du projet : Pascale Duhen (BTP CFA Auvergne-Rhône-Alpes)Pascale Duhen, coordinatrice du développement régional, Margaux, alternante en communication, et Dimitri, chargé de communication à BTP CFA Auvergne-Rhône-Alpes, ont imaginé, pour promouvoir les métiers du BTP et l’apprentissage pour s’y former, un projet s’appuyant sur les réseaux sociaux, mode d’expression favori des jeunes pour leur donner envie de rejoindre le secteur. Après avoir listé les principaux messages qu’ils souhaitaient porter auprès d’eux (des métiers concrets et porteurs d’avenir, ouverts aux femmes et aux hommes, qui évoluent et qui perpétuent de vrais savoir-faire…), ils ont choisi de missionner l’influenceur Julien Geloën pour les délivrer. Onze vidéos ont été réalisées dans les onze établissements de formation de la région et sur des chantiers et concernent onze métiers. Le projet a bénéficié d’un financement dans le cadre de l’appel à projets « Attractivité des métiers » du conseil régional. Son bilan est très positif, avec 6 000 vues générées par chaque vidéo et 18 000 vues pour la vidéo publiée par l’influenceur. Catégorie « Évolution des métiers »Projet lauréat : « Le QR code, une nouvelle pratique de chantier » Porteur du projet : Guillaume Mary (BTP CFA Ocquerre)Guillaume Mary, responsable du CRAF (centres de ressources et d’aide à la formation) à BTP CFA Ocquerre, Hervé Lambert, formateur en construction de canalisations et travaux publics, Abdulla Akbar, formateur en dessin technique et leurs apprentis en 2e année de CAP Constructeur de réseaux de canalisations de travaux publics, ont conçu un projet permettant de remédier aux difficultés d’identification des vannes pour les entreprises de travaux publics. Pour repérer le plus rapidement possible une vanne, dans le cadre du suivi et de la traçabilité d’un chantier ou d’une situation d’urgence, ils ont élaboré un QR code des canalisations, qui intègre deux concepts : l'interdisciplinarité (entre l’atelier de dessin et le CRAF du CFA) et l'interopérabilité entre deux systèmes informatiques (logiciel AutoCAD et QR code). En scannant le QR code, l’ensemble du plan de réseaux s’affiche avec sa fiche technique et sa traçabilité. Reliant les techniques traditionnelles à celles du numérique, le projet a permis aux apprentis de se projeter vers le CFA et le chantier de demain et sera reproductible sur tous les types de réseaux de canalisations. Catégorie « Décloisonner pour innover »Projet lauréat : « Les déchets bois : une source d'économie et d'attractivité »Porteur du projet : Jean-Louis Pouly (BTP CFA Aube)Jean-Louis Pouly, formateur en menuiserie, et Éric Lefranc, directeur de BTP CFA Aube, ont imaginé un projet permettant de valoriser les déchets, en récupérant les copeaux et les morceaux de bois de l’atelier pour les transformer en bouchons de bois à fort pouvoir calorifique pour alimenter la chaudière à bois du CFA. Le broyeur, avec un filtre équipé d’un compacteur installé au CFA, permettra aussi aux entreprises de menuiserie et du BTP de la métropole Troyes-Champagne de venir broyer leurs déchets de bois (planches ou palettes), mais aussi à une entreprise de revalorisation des déchets située à cinq kilomètres, partenaire du projet, de venir brûler ses déchets ménagers. Pascal Landréat, maire de la commune de Pont-Sainte-Marie, et Georges Bell, président de la Chambre de métiers et de l’artisanat, sont impliqués dans ce projet, qui offre à la collectivité l’opportunité de résoudre leurs problématiques de gestion des déchets. Les quatre lauréats du Prix Vision d’avenirProjet « Elles Go »Elvanie KAGWIZA, apprentie (en formation à l’ESITC Paris)Elvanie KAGWIZA, étudiante en 3e année à l’ESITC Paris et apprentie ingénieur travaux chez Colas France, a créé « Elles GO », pour répondre à la thématique de l’inclusion par la mixité dans les métiers du BTP. Son projet vise à inciter les femmes à s’orienter dans les métiers du BTP, grâce à des dessins animés non stéréotypées, leur permettant de se familiariser avec le monde de la construction dès leur plus jeune âge. « Elles GO » s’adapte à toutes les femmes et à toutes les tranches d'âge, au travers d’une plateforme d'échanges et d’ateliers, animée par des femmes, proposant un programme d’accompagnement pour la recherche d’emploi et la réinsertion professionnelle. Projet « Box Office »Camille CALLENS, apprentie (en formation au CFA Compagnons du Devoir et du Tour de France Hauts-de-France)Camille Callens, apprentie ébéniste au CFA des Compagnons du Devoir et du Tour de France à Villeneuve-d’Ascq, épaulée par deux membres de l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage de Lille (ENSAPL) et par deux compagnons, respectivement menuisier et plâtrier, a conçu un projet pour répondre aux nouveaux enjeux d’économie des matériaux et des ressources. Réalisé dans le cadre du Défi de la réhabilitation, projet collaboratif des Compagnons du Devoir et de l’ENSAPL, le projet « Box Office » a permis de fabriquer un bureau d’architecte modulaire, ergonomique, esthétique et confortable pour le futur usager. Dès sa phase de conception, des économies de matières premières ont été réalisées, en limitant les matériaux neufs, en intégrant le recyclage et en réutilisant des chutes de bois. Le projet a permis de partager les connaissances de chaque métier sans cloisonner les compétences.Projet « Reconversion 2.0 »Pierre THOREL, apprenti (en formation à BTP CFA Lille Métropole)Pierre Thorel, 22 ans, apprenti en formation à BTP CFA de Lille Métropole, est un ancien étudiant infirmier qui s’est reconverti dans le secteur du bâtiment. Les réseaux sociaux, son terrain d’expression de prédilection, l’ont fait connaître sur Instagram sous le nom de « L’Apprenti 2.0 ». Il a créé le projet « Reconversion 2.0 » pour partager à travers ses stories son quotidien en CFA et en entreprise, donner des conseils, valoriser les métiers du BTP auprès des 2 700 jeunes et leur famille qui le suivent sur les réseaux, pour leur donner envie de rejoindre un secteur attractif et novateur qui le passionne.Projet « Du Bâtiment au terrain »Matthias MEURANT, apprenti (en formation à BTP CFA Arles)Matthias Meurant, 25 ans, est apprenti à BTP CFA Arles depuis trois ans. Après un BEP Froid, il est en formation en CAP d’électricien et envisage un BP Monteur installations de génie climatique et sanitaire. Rugbyman au club RC Saint-Gillois, il a souhaité relier ces deux passions et partager les valeurs communes d’équipe, d’entraide et de cohésion du BTP et du rugby, en réalisant le projet « Du bâtiment au terrain ». BTP CFA Arles, devenu le sponsor maillot du club, bénéficie ainsi d’une belle visibilité, avec son logo apposé sur les panneaux du stade pendant les matchs, ainsi que sur les maillots des joueurs. Ce partenariat gagnant a permis d’attirer de nouveaux talents vers les métiers du BTP, qui se sont inscrits au CFA, mais aussi à des entreprises de recruter des apprentis. Le Grand Prix du Jury Projet lauréat : « L@bConnect » Porteur du projet : Mikael Tassin (BTP CFA Centre-Val de Loire)L’équipe des cinq formateurs Sophie Grand, Florence Mousseau, Sandra Bisson, Emmanuel Romanet et leur capitaine Mikaël Tassin des BTP CFA Indre, Indre-et-Loire, Eure-et-Loir, Loir-et-Cher et Loiret de BTP Centre-Val de Loire ont organisé le projet L@bConnect. Son objectif : transformer les CRAF (centres de ressources et d’aide à la formation) en L@b, des tiers lieux dédiés à l’innovation numérique, technologique, technique et pédagogique. Le L@bConnect est un projet systémique, dans lequel le CFA, son environnement et ses partenaires extérieurs peuvent interagir, apprendre et inventer. Facilement reproductible, ce projet collaboratif et régional vise à mutualiser les connaissances et les expériences. Des équipements (imprimante 3D, tablette tactile interactive, mobilier modulable…) ont été acquis pour favoriser l’interconnexion entre tous les apprenants, formateurs et partenaires. Vecteur de transmission, L@bConnect place l’innovation pédagogique au cœur de son dispositif, notamment par l'intégration de parcours de formation multimodaux au plus proche des besoins des usages. Les récompenses des lauréats Avec l’ambition de symboliser les enjeux de l’économie circulaire et de l’urgence climatique, WinLab’ a confié à l’association Sauvage Méditerranée la mission de créer des trophées originaux, pour récompenser les lauréats du concours. Entièrement fabriqués en France, ils ont été réalisés artisanalement à partir de centaines de fragments de plastiques ramassés en mer Méditerranée, mais aussi sur les plages et les côtes méditerranéennes.Plusieurs récompenses ont également été remises aux lauréats et aux finalistes des Trophées de l’innovation du WinLab’ des quatre catégories.Les lauréats du Grand prix du jury et des trophées Vision d’avenir bénéficieront d’une « Learning expedition » (voyage d’étude) du WinLab’, à Montréal, du 5 au 9 juillet 2022. Créé en 2017 par le CCCA-BTP pour relever le défi de la transformation du secteur de la construction et de ses nouveaux usages, l’incubateur WinLab’ aide les organismes de formation aux métiers du BTP à concevoir les formations aux métiers du BTP de demain. Il fédère une communauté de start-up et de partenaires pour anticiper et imaginer les métiers et services associés adaptées aux nouveaux enjeux de la filière.Véritable éclaireur de tendances, WinLab’ porte l’engagement du CCCA-BTP sur l’innovation et multiplie les passerelles entre formation et acteurs de la construction. En cinq ans, il a permis d’initier de nombreuses solutions portées par les organismes de formation aux métiers du BTP et entreprises formatrices d’apprentis.WinLab’ identifie les signaux faibles, les pratiques émergentes et les solutions innovantes. À travers les événements auxquels il participe et aux travaux de recherche qu’il mène chaque année, il contribue à créer des synergies et des applications opérationnelles au sein de l’écosystème du bâtiment et des travaux publics, mais aussi avec d’autres secteurs d’activité. Dans sa stratégie d’innovation, le CCCA-BTP, à travers les appels à projets qu’il organise, offre aux organismes de formation aux métiers du BTP, entreprises et start-up un terrain d’expérimentation privilégié sur quatre thématiques : le développement de l’apprentissage, la transition écologique et le développement durable, la transition numérique et le développement des compétences.
Il y a 2 ans et 355 jours

Comment se sentir bien chez soi ? 6 astuces

Une maison doit être un lieu calme et paisible où l’on vient se ressourcer et se reposer après une longue journée de travail. Afin d’améliorer le niveau de vie, il est primordial d’aménager l’habitation afin qu’elle reflète le cocon dont on a besoin. Pour ce faire, plusieurs possibilités d’aménagement et de décoration existent. Découvrez ici 6 astuces pour vous sentir bien chez vous. Épurer la décoration Votre maison doit être un havre de paix. Elle ne doit pas être surchargée de bibelots ou d’objets en tout genre. La décoration doit être épurée afin d’apporter de la sérénité. Vous pouvez utiliser des matières réconfortantes et des couleurs douces pour créer une bonne ambiance. Certaines pièces comme la chambre à coucher se doivent d’être dans un style minimaliste et chaleureux. Elles pourront ainsi vous procurer le réconfort recherché. Il est possible de trouver tout pour votre maison dans des magasins ou sur des sites spécialisés. Ainsi, vous pouvez avoir tous vos accessoires de décoration au même endroit. Avoir une ambiance lumineuse pour chaque pièce Pour se sentir bien chez soi, l’éclairage est très important. Un bon éclairage agit sur le bien-être du corps et de l’esprit. Il faut alors donner une ambiance lumineuse pour chaque pièce. En journée, il est conseillé d’utiliser au maximum la lumière naturelle. Pour faciliter son utilisation, vous pouvez placer des rideaux fins, des stores ou des paravents qui laissent passer les éclats du soleil. Pour la soirée, il est recommandé de choisir un éclairage adapté à chaque pièce. La cuisine doit disposer de lampes au plafond pour assurer un éclairage maximal. La salle de bain et le salon doivent disposer de plusieurs lampes assurant à la fois un bon éclairage, mais aussi une certaine intimité. Aussi, il est possible avec l’éclairage de mettre en exergue un détail architectural ou élément décoratif. Adopter un purificateur d’air La qualité de l’air qu’on respire est primordiale pour notre bien-être. En intérieur, il est encore plus important de veiller sur l’air qu’on respire. Il faut alors purifier l’air des impuretés, des résidus de produits chimiques et de la poussière. Pour ce faire, il y a quelques habitudes à adopter. Il faut éviter l’utilisation des produits corrosifs et chimiques et adopter les produits plus naturels et écologiques. Il faut également aérer les pièces de la maison chaque matin pendant 10 à 15 minutes. Toutefois, il est également possible d’installer un purificateur d’air et un diffuseur d’huiles essentielles. Ces éléments aident à avoir une bonne odeur et une ambiance zen dans toute la maison. Optimiser l’espace Pour se sentir bien chez soi et profiter du calme, le sentiment d’espace est essentiel. Il est important de ne pas se sentir à l’étroit, quelle que soit la superficie du logement. Optimiser l’espace permet de gagner de la place. C’est une manière de disposer les objets pour que chaque chose soit à sa place tout en ayant un sentiment de grandeur. Pour y arriver, certaines réalisations doivent être faites. Il faut notamment adapter la taille des meubles à celle de vos pièces. Ensuite, il est mieux d’opter pour des placards modulaires ou des caisses en bois comme lieux de rangement. L’utilisation de meubles convertibles ou multifonctions est également conseillée pour optimiser au mieux son espace.