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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 3 ans et 92 jours

Mondial du Bâtiment 2022 : une mobilisation sans précédent pour répondre aux défis actuels et futurs du bâtiment

En phase avec toutes les grandes mutations du secteur, il s’affirme comme un événement incontournable pour tous les acteurs de la filière qui trouvent, au cœur des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, des sources précieuses d’information et de décryptage des tendances actuelles et futures. Grâce à une stratégie de transformation qui associe salons physiques et outils digitaux inédits, le Mondial du Bâtiment s’annonce déjà comme une édition exceptionnelle. Pour Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du Bâtiment : "Toute la filière s’est plus que jamais mobilisée pour que l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment soit une pleine réussite. Nous sommes très heureux de la confiance que les exposants nous accordent et de la présence de nombreux leaders dans tous les secteurs. A huit mois de l’ouverture des salons, nous sommes totalement engagés, avec tous nos partenaires et les exposants, pour apporter aux visiteurs toutes les réponses aux grands défis d’aujourd’hui et de demain auxquels ils sont confrontés. Nous avons hâte de tous nous retrouver à la Porte de Versailles au mois d’octobre. »La mobilisation de toutes les filières du bâtiment et de la construction Organisés par RX France, l’Afisb1 et Uniclima2 , le Mondial du Bâtiment et ses trois salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA sont le lieu de convergence physique de tous les acteurs du secteur. A huit mois de l’ouverture des salons, ce sont déjà 968 exposants (listes en pièce jointe) qui ont répondu présents pour accueillir les visiteurs et leur apporter des réponses concrètes à toutes leurs interrogations.Le salon BATIMAT, organisé au sein des pavillons 1, 4, 5 et 6, enregistre l’inscription de 711 exposants dont 37 % de nouveaux venus. 70 % de la surface d’exposition sont ainsi déjà vendus.Le salon IDÉOBAIN, organisé dans le pavillon 2, enregistre l’inscription de 81 exposants dont 42 % de nouveaux venus. 71 % de la surface d’exposition sont ainsi déjà vendus.Le salon INTERCLIMA, organisé dans le pavillon 3, enregistre l’inscription de 176 exposants dont 35 % de nouveaux venus. 82 % de la surface d’exposition sont ainsi déjà vendus. À noter que parmi ces exposants figurent 39 adhérents UNICLIMA.Le Mondial du Bâtiment se mobilise pour faire venir et accueillir les professionnelsPlus que jamais, le Mondial du Bâtiment met tout en œuvre pour permettre à l’ensemble des professionnels de participer à cet événement majeur pour la filière.Des services de transport pour les visiteursLes salons INTERCLIMA et BATIMAT organisent des voyages de groupe par train au départ de Marseille, Avignon, Aix en Provence, Bordeaux, Angoulême, Poitiers, Lyon, Strasbourg, Nantes, Rennes, Angers, Le Mans… 1 800 visiteurs pourront bénéficier de ce service. Par ailleurs, des bus sont affrétés depuis les régions (Tours, Blois, Bourges, Vierzon, Orléans, Le Mans, Chartres, Le Havre, Evreux, Dreux, Rouen, Beauvais, Auxerre, Montargis, Troyes, Sens, Reims, Epernay, Lille, Lens, Amiens, Compiègne, Caen) afin de transporter 3 200 visiteurs vers Paris.Des espaces conviviaux pour se retrouverLe Mondial du Bâtiment, ce sont aussi des moments d’échanges riches et de convivialité et des événements dans l’événement. Toute la filière se donne rendez-vous durant ces 4 jours et de nombreux institutionnels ont choisi de profiter de cette occasion unique pour organiser leurs événements à destination de leurs adhérents. Déjà plus de 15 rendez-vous sont programmés dans les deux espaces dédiés : L’Espace 2000 sur le Pavillon 1 et la Salle Océanie sur le Pavillon 4.Des anniversaires40 ans de l’AQC30 ans du Club de l’Amélioration de l’Habitat20 ans de l’AFPACDes réunions privéesFFB UMGCCPFFBDes colloques et des conférencesL’Ecole des Ponts : Programme du Mastère Spécialisée® (conférences traduites et hybrides) - Des sessions de conférences ouvertes à tous les professionnels avec 27 créneaux et 27 conférenciers internationaux Lundi 3 octobre : Architecture décarbonée et solidaireMardi 4 octobre : Politique environnementaleMercredi 5 octobre : Démonstrateurs et solutions bas carboneJeudi 6 octobre : Industrie de la constructionConférences organisées par OPQIBIGroupe Métallerie Syndicat SFECEDes remises de prixLe Prix National de la Construction BoisLe Trophées des bâtiments résilientsLancement des Green Solutions Awards par CONSTRUCTION 21Trophées de l’installateurTrophées de l’ingénierie performanteUne offre de restauration vertueuseLes exposants et les visiteurs ont à disposition plus de 40 espaces de restauration, à l’intérieur comme à l’extérieur des pavillons. Parmi ceux-ci, une offre de food trucks mais aussi des restaurants tels que Le Perchoir, Mama Paris West ou Pedzouille la Grange. L’ensemble de ces espaces travaillent par ailleurs, avec les équipes du Mondial du Bâtiment, sur des repas préparés sur site, avec des produits locaux. Il est aussi prévu de réduire au maximum l’utilisation des plastiques et PET et de valoriser les déchets issus de la restauration.Le Mondial du Bâtiment à l’internationalLe Mondial du Bâtiment est un événement international qui mobilise de nombreux exposants et visiteurs étrangers. Afin de toucher ces publics en amont des salons, une tournée internationale, Low Carbon Construction Tour sera lancée à partir du mois d’avril. Elle est principalement centrée sur un sujet phare pour le Mondial du Bâtiment, et plus largement pour le monde de la construction, et qui sera incarnée sur le Mondial du Bâtiment dans un espace « Low Carbon Construction » (Pavillon 1).Cette tournée se déroulera sur 5 mois et permettra aux équipes d’aller à la rencontre des organisations professionnelles, des grands donneurs d'ordres, des prescripteurs et des ministères en Espagne, en Italie, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Sénégal, au Maroc, en Allemagne, en Belgique, en Turquie et en Tunisie.Par ailleurs, un programme inédit d’invitation du Top100 des architectes et influenceurs du bas carbone en Europe et en Afrique complète ce dispositif.
Il y a 3 ans et 92 jours

Ralentissement du marché des CEE : le ministère "prend très au sérieux les alertes"

RÉACTION. Sollicité de toutes parts pour retoucher rapidement le niveau d'obligation pour la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE), le ministère de la Transition écologique a évoqué le sujet lors d'une conférence de presse, ce jeudi 17 février 2022.
Il y a 3 ans et 92 jours

Trophées des TP 2022 - Biodiversité

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Biodiversité" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 92 jours

Alphi dévoile son coffrage pour dalles HorizontAL

L’HorizontAL, le futur coffrage pour dalles signé Alphi. [©ACPresse] Pour l’industriel du coffrage Alphi, la Suisse constitue l’un de ses levers de croissance. D’autant plus que la frontière est très proche, située à moins de 70 km de son siège social, ce qui facilite les échanges. D’ailleurs, Alphi réalise déjà 15 % de son chiffre d’affaires dans ce pays. C’est donc pour aller plus loin qu’il développe depuis quelques mois déjà un nouvel outil coffrant, qui devrait arriver sur le marché dans les mois qui viennent. Son nom est déjà connu : l’HorizontAL. Lire aussi : Alphi : La maison du “prendre soin” Il s’agit d’un coffrage pour dalles inédit, dont la première particularité est d’être pré-équipé d’une peau coffrante. Alphi avait profité du salon Construction Days, organisé en septembre dernier, à Lyon, pour le dévoiler en avant-première. La seconde particularité de l’HorizontAL est d’intégrer une tête de décintrement. « Le produit est en phase de test, en particulier sur le chantier de l’opération To-Lyon, sous la conduite du groupe Vinci », détaille Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi. Destiné à remplacer le MaxiDalle L’élément centrale de l’HorizontAL est un panneau coffrant prêt à l’emploi de 150 cm x 100 cm, dont le poids est proche de 24 kg. Celui-ci est en mesure de reprendre une dalle de béton de 30 cm d’épaisseur. Et si l’entreprise veut aller au-delà et jusqu’à 50 cm, elle aura à sa disposition un panneau plus petit, de 100 cm x 75 cm. Destiné à une utilisation en bâtiment, l’HorizontAL pourra travailler jusqu’à une hauteur de 3,80 m. Et Alexandre Souvignet, de conclure : « Ce nouveau coffrage sera officiellement lancé à l’occasion du salon Batimat, tout début octobre prochain. A ce moment-là, nous aurons aussi un beau retour d’expérience… A terme, l’HorizontAl est destiné à remplacer le MaxiDalle. »
Il y a 3 ans et 93 jours

Appel à projets : 6ème édition d’Architendance – La Tuile Terre Cuite

Créé en 2012 par la Fédération Française des Tuiles et Briques en partenariat avec le Réseau des maisons de l’architecture, le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance récompense depuis dix ans des réalisations architecturales qui mettent en valeur l’usage de la tuile terre cuite devenue matériau d’architecture. Jusqu’au 30 juin 2022. Qui peut s’inscrire […] L’article Appel à projets : 6ème édition d’Architendance – La Tuile Terre Cuite est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 93 jours

Passe Vaccinal en entreprise : que dit la loi ?

Depuis le 24 janvier 2022, un passe vaccinal est désormais prévu pour l’accès aux activités pour lesquelles était demandé auparavant un passe sanitaire. Le passe vaccinal est par conséquent obligatoire pour les salariés et les personnes qui interviennent dans ces lieux, tels que les cafés, restaurants, ou les transports longue distance.Attention pour autant, le passe vaccinal n’est pas une obligation vaccinale en tant que telle car ce passe est limité dans le temps. Il ne faut donc pas confondre le passe vaccinal et l’obligation vaccinale qui elle, existe toujours pour certains professionnels de santé notamment. Un salarié est-il autorisé à s’absenter pour se faire vacciner ?La loi du 5 août 2021 prévoit toujours à son article 17 que les salariés bénéficient d’une autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19.Le Ministère du travail a précisé, dans son question-réponse que l’employeur peut demander au salarié de justifier son absence en lui présentant la confirmation de rendez-vous de vaccination en amont ou le justificatif de la réalisation de l’injection a posteriori. Ce dernier a aussi ajouté qu’aucune durée maximale pour cette autorisation d’absence n’était fixée mais que la durée de l’absence devait toutefois être raisonnable au regard du temps de déplacement nécessaire pour le salarié.Ces absences n’entraînent aucune diminution de la rémunération. Elles sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par les intéressés au titre de leur ancienneté, et ne peuvent donc pas donner lieu à récupération.Par ailleurs, une autorisation d’absence peut également être accordée au salarié qui accompagne le mineur ou le majeur protégé dont il a la charge aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19.Est-il possible de licencier un salarié qui refuse de présenter son passe vaccinal?La jurisprudence a déjà admis le licenciement d’un salarié qui avait été engagé en qualité d’employé des pompes funèbres et qui avait refusé de se faire vacciner contre l’hépatite B alors que la vaccination était obligatoire. Si on transpose la jurisprudence au cas du salarié qui ne présente pas son passe vaccinal, on pourrait penser qu’il est possible de licencier le salarié pour cause réelle et sérieuse. Cependant le passe vaccinal n’est pas une mesure qui a vocation à durer dans le temps et la loi a prévu une procédure spécifique de suspension du contrat de travail à mettre en place en priorité.En conséquence, si un employeur décide de licencier un salarié avant même d’avoir mis en place la suspension du contrat de travail ou s’il décide de licencier le salarié après une courte période de suspension du contrat, le salarié pourrait surement faire reconnaître le licenciement sans cause réelle et sérieuse en cas de contentieux. Une autre possibilité de licenciement pourrait être envisagée si la période de suspension du contrat de travail du salarié était amenée à durer dans le temps. En effet, la jurisprudence admet le licenciement pour absences prolongées ou répétées qui perturbent le bon fonctionnement de l’entreprise. Dans ce cas, l’employeur doit prouver à la fois la perturbation de l’entreprise et la nécessité de remplacement définitif du salarié.Cette procédure n’est pas non plus sans risque. Si l’employeur licencie trop tôt le salarié pour absences prolongées perturbant le fonctionnement de l’entreprise, les juges pourraient estimer que le licenciement était sans cause réelle et sérieuse. Le licenciement dans l’un ou l’autre des cas envisagés reste risqué pour l’employeur. Étant donné qu’il est lié à la santé du salarié, un juge pourrait même considérer le licenciement comme nul. Un salarié dont le contrat de travail est suspendu pour défaut de présentation du passe vaccinal peut-il reprendre le travail s’il présente un certificat de rétablissement ?Le résultat d’un test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19, datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois est un document qui vaut passe vaccinal.La procédure de suspension du contrat de travail du salarié qui ne présente pas de passe vaccinal a vocation à s’appliquer jusqu’à ce que le salarié présente à l’employeur un justificatif qui vaille passe vaccinal.Ainsi, un salarié dont le contrat de travail était suspendu car il n’a pas de schéma vaccinal complet mais qui attrape la Covid-19 et qui peut présenter un certificat de rétablissement à son employeur peut reprendre le travail pour la durée de validité de ce certificat.A l'issue de sa durée de validité, l’employeur devra à nouveau se rapprocher du salarié pour savoir s’il a un autre justificatif qui vaille passe vaccinal. Si ce n’est pas le cas, l’employeur devra à nouveau mettre en œuvre la procédure de suspension du contrat de travail.Attention, un décret à paraître va ramener la durée de validité du certificat de rétablissement à 4 mois au 15 février 2022 (au lieu de 6 mois à l’heure actuelle).Est-il possible de rompre un CDD ou un contrat de mission en l’absence de présentation du passe vaccinal?A l’instar du CDI, le CDD ou le contrat de mission d’un salarié temporaire peut être suspendu à défaut de présentation du passe vaccinal. Par contre, l’employeur ne peut pas le rompre pour le seul motif de la non présentation du passe vaccinal. A l’arrivée du terme du CDD ou du contrat de travail temporaire, l’indemnité de fin de contrat ou de fin de mission reste due au salarié à l’exclusion de la période de suspension. A quelle date prend fin le dispositif de présentation d’un passe vaccinal pour les salariés ?La présentation d’un passe vaccinal obligatoire pour l’accès à certains lieux définis à l’article 1 de la loi s’applique aux salariés à partir du 24 janvier 2022. Auparavant, la loi « vigilance sanitaire » du 10 novembre 2021 avait modifié la loi n° 2021- 689 du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de la crise sanitaire. En effet, l’article 2, 1°, a modifié l’article 1, II, A de la loi du 31 mai 2021 pour prévoir que le gouvernement pouvait mettre en œuvre le passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 au lieu du 15 novembre 2021 initialement. Ainsi, l’obligation de présentation d’un passe sanitaire pour l’accès à certains lieux a été prolongée jusqu’au 31 juillet 2022. Le passe vaccinal ayant remplacé le passe sanitaire à compter du 24 janvier 2022, la durée d’obligation de présentation du passe vaccinal court pour l’instant jusqu’au 31 juillet 2022.
Il y a 3 ans et 94 jours

Découvrir Iannis Xenakis, l'architecte musicien, entre ses traits

À NE PAS MANQUER. Qui était Iannis Xenakis ? Compositeur de musique contemporaine, mais aussi architecte, ingénieur et féru de mathématiques comme d'informatique, celui qui invitait à vivre "l'inouï", était à la fois un et multiple. L'exposition "Révolutions Xenakis" au Musée de la Musique, nous révèle l'homme Xenakis, entre ses traits.
Il y a 3 ans et 94 jours

Présidentielles 2022 : le syndicat des Énergies Renouvelables présente ses propositions pour la transition énergétique

L’urgence climatique impose en effet de mettre en place un véritable plan de bataille pour respecter la trajectoire fixée par l'accord de Paris. Les mesures transversales et sectorielles détaillées par le SER dans le second volet de son Livre Blanc 2022 permettraient ainsi de répondre à ces objectifs de décarbonation tout en pérennisant des industries créatrices d’emploi et d’économie durable dans les territoires.A l’heure de la révélation des programmes des candidats à la Présidentielle, le SER souhaite porter ses propositions auprès de l’ensemble des acteurs de la campagne et partager l’énergie d’un nouvel élan pour la France.Agir pour la transition énergétique à tous les échelonsL’Ademe et le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité français (RTE) l’ont désormais rappelé : pour garantir notre sécurité d’approvisionnement et permettre à la France d’atteindre la neutralité carbone en 2050, près de 75% de notre consommation d’énergie devra être satisfaite par des énergies renouvelables à cet horizon. Un projet qui nécessite d’agir aux niveaux international et européen mais aussi à l’échelle des territoires. En première ligne pour planifier et participer à la concertation autour des projets d’énergies renouvelables, ils en sont les acteurs majeurs mais aussi les premiers bénéficiaires d’un point de vue socio-économique. Pour Jean-Louis Bal, Président du SER : « Pour être au rendez-vous en 2050, la France doit dès à présent passer à la vitesse supérieure en matière de renouvelables. C’est aussi un enjeu de responsabilité et de crédibilité par rapport aux jeunes générations, qui attendent une mobilisation forte de toutes les parties-prenantes. Dans ce contexte, les candidats doivent se saisir des outils déjà existants et être en capacité d’en faire émerger de nouveaux pour accélérer et accompagner le formidable projet rassembleur qu’est la transition énergétique. »Les clés pour déployer nos énergies dans les filières renouvelablesAprès avoir livré une vision de ce que la France peut retirer du développement massif des renouvelables, le second volet du Livre blanc du SER présente une série de 10 mesures transversales et concrètes pour passer à l’action dans le cadre du quinquennat à venir : 01. Un « Fonds social pour le climat » pour accompagner les plus vulnérables et permettre une transition énergétique pour tous.02. Un « Parcours renouvelable » pour décrocher un emploi dans la transition énergétique.03. Une « étude d’impact climatique » sous l’autorité du Premier ministre pour une meilleure cohérence des politiques publiques.04. Une ambition énergétique cohérente avec celle de l’Union Européenne et assise sur une fiscalité allégée pour les énergies renouvelables.05. Un nouveau programme industriel « France Renouvelables » pour renforcer la souveraineté de la France dans les technologies stratégiques de la transition énergétique.06. Un pacte « Investir en confiance » pour renouveler les modes de financement des énergies renouvelables.07. Un programme national de sortie des énergies fossiles dans les secteurs encore dépendants.08. Un renforcement des ressources humaines et des capacités de pilotage de la politique de développement des énergies renouvelables pour respecter les objectifs fixés.09. Un programme national d’information sur les énergies renouvelables pour un débat éclairé et fondé sur des faits.10. Une France exemplaire en Europe et dans le monde pour se positionner comme une nation leader de la transition énergétique.En complément de ces propositions, près de 50 mesures sectorielles ont été élaborées afin de répondre aux enjeux des 12 filières du renouvelable français et ainsi générer des retombées environnementales et économiques significatives.Les biocarburants. Objectif : pérenniser les industries et les emplois liés à la production de biocarburants conventionnels et développer les emplois liés à la production de biocarburants avancés.Le bois-énergie individuel. Objectif : améliorer la qualité de l’air grâce au remplacement d’appareils anciens et polluants par des équipements labellisés, tout en participant à la stabilité du réseau électrique.Le bois-énergie collectif. Objectif : pérenniser et développer des emplois ancrés dans les territoires et souvent générés par des PME pour renforcer et structurer l’ensemble de la chaîne de valeur.L’éolien terrestre. Objectif : permettre à chacun de disposer des clés pour en comprendre les enjeux et participer au débat, accélérer les instructions des projets et faire bénéficier les communes d’implantation des retombées directes des parcs à travers la mise en place d’un nouveau fonds.L’éolien en mer. Objectif : lancer un exercice de planification maritime dès 2022 et conclure un Pacte de filière pour formaliser des engagements relatifs à sa pérennisation et demander un engagement de l’État sur le rehaussement des ambitions de développement, à moyen et long-terme.Les énergies marines renouvelables (EMR). Objectif : doter la France d’un objectif de développement pour tirer parti de ces ressources en métropole comme en Outre-mer.Les gaz renouvelables. Objectif : produire et injecter 12 TWh de biométhane dans les réseaux gaziers à horizon 2023 et créer près de 16 000 emplois directs et indirects d’ici la fin de la décennie.La géothermie. Objectif : doubler la production de chaleur par géothermie en dix ans, soit une économie de 1,1 million de tonnes équivalent pétrole.L’hydroélectricité. Objectif : optimiser la production des installations existantes et en développer de nouvelles.Le solaire photovoltaïque. Objectif : créer de nouvelles implantations industrielles innovantes pour positionner la France comme un véritable acteur du solaire, crédible en Europe et dans le monde.Le solaire thermique. Objectif : accélérer son développement pour diversifier les solutions de production de chaleur renouvelable, en particulier pour l’industrie et les réseaux de chaleur.La valorisation énergétique des déchets. Objectifs : tendre vers 100 % de valorisation des déchets en complément du recyclage.
Il y a 3 ans et 94 jours

Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges

Côté magazine Côté magazine Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges Le bilan de la Cop26 ? Tout dépend de qui l’on interroge. Pour l’activiste Greta Thunberg, la quinzaine écossaise s’est achevée sur un bla-bla-bla édulcoré, « ce qui est une vraie performance », commente-t-elle. Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, estime, lui, que ce sommet assure un meilleur avenir aux générations futures. La vérité est sûrement entre les deux. L’objectif officiel était de s’accorder sur les dernières règles d’application de l’accord de Paris, signé, lui, en 2015. Mission accomplie ! Les négociateurs savent maintenant comment interpréter les articles 6.2, 6.4 et 6.8 de l’accord conclu à l’issue de la Cop21. Il existe désormais un cadre pour l’échange de crédits carbone entre États, pour un marché international du carbone et pour la coopération climatique nord-sud. Les diplomates sont allés plus loin. Signé samedi 13 novembre, le pacte de Glasgow place la stabilisation du réchauffement à 1,5 °C au cœur des politiques climatiques nationales. Les parties à la convention climat (les États signataires) disposent désormais d’un délai d’un an pour mettre leur stratégie en cohérence avec cet objectif. Dit autrement, les gouvernements vont devoir expliquer à l’ONU comment ils comptent s’y prendre pour réduire de moitié en 10 ans les émissions de gaz à effet de serre (GES). Sans ce coup de décarbonation, il est inimaginable d’atteindre la neutralité carbone au milieu du siècle, l’un des buts de l’accord de Paris. De quels leviers disposons-nous ? La Cop en a actionné quelques-uns. États et entreprises ont promis de mettre un terme à la déforestation, de consacrer beaucoup d’argent à la décarbonation, de généraliser le véhicule électrique et de diminuer les consommations d’énergies fossiles. Nos appartements et nos maisons sont à l’origine de 11% des émissions de GES d’origine anthropique : 5 milliards de tonnes par an !  Valéry Laramée de Tannenberg rédacteur en chef , L’Usine à Ges L’Usine à GES est un site d’information français de l’agence Terragram consacré à la politique, à l’économie, au droit et aux technologies du climathttps://usineages.fr/   Autant de politiques à coordonner sur le plan international. Il en existe une autre, locale, créatrice d’emplois et de bien-être : la rénovation des logements. Le gisement est loin d’être ridicule. Nos appartements et nos maisons sont à l’origine de 11 % des émissions de GES d’origine anthropique : 5 milliards de tonnes par an ! À Glasgow, on a peu parlé de bâtiment. Gageons qu’avec la révision drastique des ambitions ordonnée par la Cop26, les gouvernements vont fortement miser sur un secteur sur lequel ils ont prise. Rendez-vous à Charm el-Cheikh, en novembre 2022, pour la Cop27. On y causera, à coup sûr, de transition climatique dans le bâtiment. Rubriques Rubriques Actualités Bâtiment digital Paroles d'experts Dossiers Produits Web TV Le magazine Cet article Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 94 jours

Trophées des TP 2022 - Sobriété et décarbonation des engins

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Mise en oeuvre des matériaux bas carbone" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 95 jours

En Savoie, un distributeur local d'électricité à la dérive

La Société des régies de l'Arc (Sorea), fondée en 2006, est détenue principalement par huit communes de la vallée de la Maurienne, aux côtés d'actionnaires comme la Compagnie nationale du Rhône et la Caisse des dépôts et consignations.L'entreprise fournit à quelque 15.000 clients de l'électricité achetée à EDF à prix préférentiel, à condition de la revendre aux tarifs réglementés.Ce cœur de métier est habituellement rentable, mais un "développement hasardeux" de l'activité selon la CRC, avec la création d'une dizaine de filiales dans le négoce de lampes à LED, la fabrication de tuiles photovoltaïques ou la fibre optique, s'est conclu par un fiasco entaché de malversations.La filiale idWatt se voulait par exemple un "petit Amazon du LED" : elle achète un entrepôt de 10.000 mètres carrés et, pour près de deux millions d'euros auprès d'un obscur intermédiaire chinois, un stock de marchandises "obsolète et resté invendu".Ces errements coûtent cher : en 2017, la dette de la Sorea, qui emploie alors une centaine de salariés, s'élève à 27 millions d'euros, avec une perte nette de 2,7 millions. Elle frise la cessation de paiement et le tribunal de commerce de Chambéry lance une procédure de sauvegarde pour assainir la situation.Pour le président de la CRC, Bernard Lejeune, l'ancienne direction "a joué avec de l'argent public", tout en s'enrichissant personnellement.Primes ou indemnités indues, utilisation abusive de cartes bancaires, vente d'une villa, factures d'hôpital ou de restaurants, achat d'un véhicule de luxe, détention "occulte" d'actions pour toucher des commissions... le montant des griefs atteint plusieurs centaines de milliers d'euros.Ce dossier est le fruit d'une collaboration étroite entre la CRC et le parquet d'Albertville, qui a été soulignée lors d'une conférence de presse commune vendredi. "Sans vous (les CRC, NDLR), les parquets de cette taille ne peuvent pas traiter ce type d'affaires", a salué la procureure, Anne Gaches, à l'attention des magistrats financiers.L'enquête judiciaire, ouverte pour détournement de bien public, blanchiment et abus de confiance, devrait aboutir d'ici quelques mois. La peine encourue est de 10 ans de prison et un million d'euros d'amende.Le rapport de la CRC charge particulièrement l'ancien directeur général de la Sorea, qui n'a pas encore été entendu par la justice.Dans sa réponse au rapport de la chambre des comptes, il renvoie à la responsabilité d'autres cadres, assurant n'avoir rien caché des difficultés et dénonçant des "manœuvres" d'actionnaires à son encontre.La CRC épingle aussi le contrôle "très insuffisant" exercé par le conseil d'administration.
Il y a 3 ans et 95 jours

Aux Bassins des Lumières de Bordeaux, une rêverie immersive au cœur de Venise

Jusqu'au 2 janvier 2023, l'exposition "Venise la Sérénissime", installée dans une ancienne base sous-marine de la Seconde guerre mondiale, invite le visiteur à déambuler le long de quatre immenses bassins parallèles de 110 mètres de long, 22 mètres de large et 12 mètres de hauteur sur lesquels sont projetés des centaines d'images sonorisées.Canaletto, Le Titien, Bellini, Le Tintoret ou Véronèse...: pendant une quarantaine de minutes, tableaux et gravures représentant la cité lacustre s'enchaînent aux sons de Verdi, Vivaldi ou de réinterprétations plus contemporaines."Il ne s'agit pas d'un catalogue sur l'une des villes les plus connues au monde mais d'une promenade entre intérieur et extérieur. On ouvre des portes, on découvre un plafond, un sol en marbre", explique Gianfranco Iannuzzi, directeur artistique, lui-même d'origine vénitienne."Ce qui m'a toujours fasciné pendant mon enfance, ce sont les canaux et les reflets de la ville dans l'eau. Ici, c'est l'endroit idéal pour récréer cette sensation. Le lieu valorise les images et leur donne un peu de magie", souligne ce précurseur dans la création d'installations d'art numérique, à l'origine de toutes les expositions immersives de l'organisme privé Culturespaces, qui gère le site.Par un subtil jeu de perspectives et d'images détourées, le visiteur navigue sur le Grand Canal, admire au plus près les mosaïques et l'orfèvrerie byzantines de la basilique Saint-Marc ou tournoie sous les lustres de Murano lors de bals masqués.Les chefs d'oeuvre de l'art italien du 12e au 17e siècle côtoient les visions chatoyantes d'autres peintres : Monet, Signac, Turner.Des photos de stars des années 50-60, Marcello Mastroianni, Sean Connery ou Sophia Loren, rappellent que Venise, c'est aussi la Mostra.L'exposition est suivie d'un programme immersif plus court (10 minutes) consacré au peintre espagnol Jaoquin Sorolla et ses "Promenades en bord de mer".Les Bassins des Lumières ont attiré 570.000 visiteurs l'an passé. Après Bordeaux, l'exposition rejoindra d'autres lieux de Culturespaces, à commencer par les "Carrières de lumières" aux Baux-de-Provence et "l'Atelier des Lumières" à Paris.
Il y a 3 ans et 95 jours

A l'Exposition universelle 2020, le pavillon Oman rend hommage à la culture de son pays

ARCHITECTURE. Batiactu s'est rendu à Dubaï, où la rédaction a visité le pavillon Oman. Le bâtiment multiplie l'utilisation de différents matériaux et met en lumière la flore du pays. Suite et fin de notre série sur les pavillons exceptionnels de l'Exposition universelle 2020.
Il y a 3 ans et 95 jours

Edycem BPE dévoile la nouvelle chape Kalkiss Premium

En témoigne le lancement de la version KALKISS® PREMIUM, sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1).Destinée aux espaces de grande surface, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant, elle est la première chape du marché français :à doubler la surface de fractionnement entre les joints,à bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface,tout en étant connectée SmartCEM®.Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie innovante qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Des avantages qui ne modifient pas la durée des travaux et qui respectent les délais de livraison.L’innovation au service de nouveaux marchés et du confort de l'usagerLa chape KALKISS® PREMIUM permet à l’architecte de concevoir librement et en toute sérénité des pièces spacieuses. Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Elle devient ainsi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Avec sa haute résistance à la compression, KALKISS® PREMIUM convient également aux locaux d’activités tertiaires type P4 où circulent de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d'entretien lourds. La mise en œuvre de la chape constitue pour les chapistes un véritable gain de temps. Fini l’application laborieuse du produit de surface et les allers-retours sur le chantier pour poncer !
Il y a 3 ans et 95 jours

Le sol, richesse commune à décrypter - Exposition au CAUE Rhône Métropole

Les sols sont témoins de notre histoire, porteurs d’écosystèmes au service de la planète, mais aussi souvent des produits d’investissement soumis à la spéculation. Conçue par l’agence ANMA et présentée au CAUE Rhône Métropole jusqu’au 20 mai 2022,  l’exposition « Terre Terrain […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 98 jours

Vélib' : la mairie de Paris n'exclut pas une reprise en régie après Smovengo

"A échéance du contrat en cours", soit fin 2032, "il faudra évidemment à mon sens étudier cette option", a répondu David Belliard à une question du chef du groupe communiste, Nicolas Bonnet-Oulaldj, qui a entraîné d'inhabituelles escarmouches entre ces deux alliés de la maire PS Anne Hidalgo.Eau de Paris, dont la Ville de Paris a repris la maîtrise en 2010, "est l'exemple même d'une reprise en régie qui n'apporte que du positif", a souligné M. Belliard, pour qui il faudra "étudier si Vélib' pourrait suivre ce même chemin".Une reprise en régie publique "prend des mois et parfois des années", a toutefois prévenu l'élu écologiste pour écarter toute rupture de contrat anticipée."On estime à dix-huit mois minimum l'interruption de service si nous décidions de passer en régie aujourd'hui, sans compter que casser un tel contrat ne serait pas anodin pour les finances du SAVM (Syndicat Autolib' Vélib' Métropole) et donc de notre ville", a-t-il ajouté.Si "la qualité du service que nous nous sommes fixés n'est pas encore au rendez-vous", a admis M. Belliard, "on ne peut pas dire que c'était mieux avant" Smovengo, qualifiée d'entreprise "low-cost" par M. Bonnet-Oulaldj.L'objectif de la Ville "est d'abord de faire fonctionner le Vélib', et de le faire bien fonctionner", a insisté M. Belliard en visant une "réelle amélioration de la qualité de service dans les prochains mois".Quatre ans après une passation cauchemardesque entre le consortium Smovengo et JCDecaux, l'opérateur historique, avec des stations en travaux ou fermées pendant des mois, le service est toujours décrié par de nombreux utilisateurs: vélos inutilisables ou défectueux, assistance électrique en panne, stations vides ou pleines...A tel point que les élus du SAVM ont exprimé fin janvier "leur préoccupation persistante" vis-à-vis du service.En réponse, le président de Smovengo Stéphane Volant a présenté une série d'investissements pour 2022, dont 4.000 nouveaux vélos électriques et un plan de 2,7 millions sur la maintenance et la régulation, avec l'embauche de 35 techniciens supplémentaires.
Il y a 3 ans et 98 jours

Meilleure qualité de l'air : des milliers de morts évités en IdF

Ainsi pour les particules fines PM2,5 (diamètre inférieur à 2,5 micromètres), "entre 2010 et 2019, le nombre annuel de décès attribuables à l'exposition prolongée est passé de 10.350 à 6.220 soit une baisse de 40%", selon cette "Évaluation quantitative des impacts sur la santé" réalisée par l'Observatoire régional de la santé (ORS) d'Ile-de-France, en collaboration avec Airparif, observatoire régional de la qualité de l'air.Pour l'exposition prolongée au dioxyde d'azote (NO2), produit principalement par les véhicules et les centrales thermiques ou le chauffage, le nombre de décès annuel "est passé de 4.520 à 3.680 soit une baisse de près de 19%".Pour réaliser ces évaluations -qui ne prennent pas en compte l'année 2020 et les fortes baisses de pollution liées aux confinements- l'ORS s'est basée sur un calcul du "risque attribuable", estimation statistique rapportant à l'ensemble des décès enregistrés ceux attribuables à la pollution atmosphérique.Les données de population de l'Insee ont ainsi été croisées avec des modélisations à partir des données d'Airparif, avec une résolution par carré de 50 mètres de côté.Ce qui met en évidence que les gains de mortalité concernent "tous les territoires y compris les territoires ruraux mais sont plus marquées dans la zone dense, à la fois plus polluée et plus peuplée". Le "bénéfice (est) particulièrement marqué à Paris", avec "un gain brut d'espérance de vie (de) près de 10 mois".La France est sous le coup de poursuites de l'Union européenne et a été également condamnée par le Conseil d'Etat à la demande d'ONG pour dépassement des seuils de pollution de l'air, notamment au NO2 en région parisienne, même si la qualité globale s'est améliorée au niveau régional.Selon l'étude, la "valeur médiane" de l'exposition (50% des mesures en dessous et 50% au dessus) de la population d'Ile-de-France aux PM2,5 en moyenne annuelle est passée de 17,3 microgramme/m3 à 11,7 μg/m3 depuis 2010 (l'UE fixe comme objectif 25 μg/m3) et de 32,2 à 26,1 μg/m3 pour le NO2 (40 μg/m3 maximum autorisé par l'UE).Les gains en termes de mortalité pourraient être encore plus importants si les nouvelles valeurs de référence adoptées en septembre 2021 par l'Organisation mondiale de la Santé (5 μg/m3 pour les PM2,5 et 10 μg/m3 pour le NO2) étaient atteintes, ajoutent les auteurs.Ils estiment que 6.200 décès annuels liés aux PM2,5 pourraient alors être évités dans la région et "de l'ordre de 2.350 décès" pour le NO2 (certaines causes de décès se cumulant, les deux chiffres ne s'additionneraient pas forcément).Au niveau national, la pollution de l'air est considérée comme responsable de 40.000 décès prématurés chaque année.
Il y a 3 ans et 98 jours

Sur un chantier-école du nucléaire, des stagiaires qui voient l'avenir en rose

A Dampierre-en-Burly (Loiret), l'entreprise Onet Technologies accueille des stagiaires qui s'entraînent aux bonnes pratiques dans un décor reproduisant fidèlement l'intérieur des centrales EDF. La plus proche, avec ses quatre réacteurs, n'est qu'à quelques kilomètres."L'intervention de cette après-midi, c'est la décontamination d'un chantier", explique la formatrice Emeline Loiseau, 33 ans, à un petit groupe de six jeunes hommes qui viennent perfectionner leurs connaissances en radioprotection.Déshabillage puis enfilage d'une tenue blanche complète selon un protocole strict, port d'un dosimètre pour mesurer l'exposition aux radiations: le petit groupe suit à la lettre les règles qui s'appliquent dans une vraie centrale.Les stagiaires pénètrent dans la "zone contrôlée" et, dans une salle où s'entrecroisent de multiples tuyauteries et vannes, s'attaquent au nettoyage d'un périmètre contaminé par une radioactivité imaginaire.Face à ce risque invisible, la formatrice rappelle ses stagiaires à l'ordre. "Tu as fait un débit de dose avant de ramasser ça?", demande-t-elle à l'un. "On ne mélange pas l'humide et le sec", dit-elle à un autre qui ne sait plus comment trier ses déchets."Une perspective d'avenir"Malgré cet environnement difficile, tous sont déjà convaincus des vertus du nucléaire."Il faut trouver une énergie qui est capable de fournir autant d'électricité", avance Kevin Henry, 25 ans, employé d'un sous-traitant d'EDF spécialisé dans les échafaudages et l'isolation thermique.Pour lui, le nucléaire c'est d'abord "énormément de recrutements tous les ans" et "une perspective d'avenir".Yassine Ghayou, 27 ans, abonde: "c'est pour ça que je me tourne vers le secteur nucléaire, pour moi il y a du travail à long terme, il y aura toujours besoin de cette source d'énergie".Après des missions en intérim dans d'autres secteurs, il vient suivre un stage sur les "savoirs communs du nucléaire" pour pouvoir travailler en centrale. "Je ne vois pas d'autre source fiable", insiste-t-il.Enzo Couteau, 25 ans, ne regrette pas non plus d'avoir quitté le secteur du bâtiment pour un métier "un peu plus cadré". Aujourd'hui, il s'occupe de travaux de renforcement de la sûreté des centrales françaises décidés après la catastrophe de Fukushima (2011).Que pense-t-il de la perspective de nouveaux EPR, annoncée par Emmanuel Macron en novembre? "Je me dis que j'ai peut-être fait le bon choix et qu'il y aura du travail jusqu'à ma retraite!""Candidatures spontanées"Mis en doute après Fukushima ou associé aux déboires du chantier de l'EPR de Flamanville (Manche), le nucléaire n'a pas toujours eu bonne presse dans le pays qui produit pourtant 70% de son électricité grâce à lui.Mais à quelques mois de la présidentielle, nombre de candidats y voient surtout un moyen de production stable et vertueux pour le climat. D'Eric Zemmour au communiste Fabien Roussel, ils promettent la même chose que le président Macron: de nouveaux EPR."C'est bien qu'on parle du nucléaire dans les débats politiques, parce que c'est ce qui fait que tous les jours quand on rentre chez nous on appuie sur un bouton", juge Emeline Loiseau. "Il faut que l'on sache si la personne pour qui on va voter est plutôt pour ou contre".Cette mise en lumière est aussi bien accueillie par une filière de 220.000 salariés, qui aura d'énormes besoins de recrutement et de formation si des nouveaux chantiers sont lancés.Ces nouveaux EPR, "c'est plus attirant pour nous en termes de communication et même pour les collaborateurs, de venir participer à cet essor du nucléaire", souligne Elodie Volle, la DRH de Onet Technologies."Je reçois plus de candidatures spontanées qu'avant" et "quand on se rend dans des forums de recrutement aujourd'hui, on a un peu plus d'étudiants qui se présentent à nous", se félicite-t-elle.
Il y a 3 ans et 98 jours

URW annonce un chiffre d'affaires 2021 en légère baisse à 1,72 milliards d'euros

La foncière, qui travaille à se désendetter, a réduit sa dette nette à 22,6 milliards, 1,65 milliard de moins qu'en 2020, en cédant des sites en Europe.Elle s'est délestée de 2,5 milliards d'actifs, sur un objectif de 4 milliards d'ici à la fin 2022."Nous maintenons un contrôle strict des investissements et des coûts, tout en continuant de développer de nouveaux actifs, en s'associant avec des partenaires, qui nous permettent d'optimiser notre allocation de capital et créent de nouvelles sources de revenus", a déclaré le président Jean-Marie Tritant dans un communiqué.Parmi ces investissements, celui de la controversée Tour Triangle à Paris. URW s'est associé avec l'assureur Axa afin de réduire les coûts de ce chantier estimé à 660 millions d'euros, ne gardant qu'une participation de 30%.Le bénéfice net récurrent du groupe, indicateur de référence dans l'immobilier, recule de 4,9% à 1,01 milliard d'euros. Soit un bénéfice par action de 6,91 euros, au-dessus de l'objectif 2021 fixé qui était de 6,75.Le taux de vacance, largement dégradé par les restrictions sanitaires en 2020 et au premier semestre 2021, s'établit à 7%, contre 8,3% en 2020.URW ne fait pas d'annonce sur la cession, prévue d'ici à 2023, de ses actifs aux Etats-Unis, produit de l'absorption en 2018 du groupe Westfield, qui n'a jamais convaincu."Nous progressons dans la mise en oeuvre de notre plan visant à réduire radicalement notre exposition financière aux Etats-Unis courant 2022/2023, comme annoncé", a indiqué Jean-Marie Tritant.L'acquisition de Westfield avait été au coeur d'un violent conflit entre actionnaires du groupe en 2020. Le milliardaire Xavier Niel, qui détient près d'un quart du capital, et l'ancien patron Léon Bressler, y avaient pris le pouvoir en contestant cette opération.
Il y a 3 ans et 98 jours

HeidelbergCement France, mécène d’Arts et Métiers

Arts et Métiers et HeidelbergCement France viennent de signer une convention de mécénat, pour une durée de trois ans, afin de nouer des liens durables entre les étudiants et les professionnels du secteur des matériaux de construction. Les partenaires vont approfondir leurs liens étroits et organiser des actions spécifiques dans trois Campus : Angers, Bordeaux-Talence et Châlons-en-Champagne. Les élèves d’Arts et Métiers pourront accéder rapidement à des postes à responsabilité chez HeidelbergCement France, qui prévoit un recrutement de 25 à 30 ingénieurs en 2022/2023 ainsi qu’une intégration réussie de jeunes talents dans ses rangs. Le 14 janvier dernier, l’industriel avait déjà donné rendez-vous aux étudiants du Campus de Châlons-en-Champagne pour un premier forum stages. Des visites de différents sites d’HeidelbergCement France sont également au programme.
Il y a 3 ans et 99 jours

Lancement du chantier controversé de la tour Triangle, un des projets-phares de Paris

La Tour Triangle, projet pharaonique chiffré à 660 millions d'euros, commence à sortir de terre dans le XVe arrondissement. Des silos de plusieurs mètres de haut y ont fait leur apparition sur le site des travaux.Une fois terminé, ce gratte-ciel de 180 mètres et 42 étages, dont la livraison est prévue au premier semestre 2026, doit devenir le troisième immeuble le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse."Ça participe de la philosophie de développement du groupe, qui est un opérateur des grandes villes", s'est félicité auprès de l'AFP le président d'URW, Jean-Marie Tritant. "Cette tour fait une couture urbaine entre Issy-les-Moulineaux et Paris, elle participe à l'évolution de la ville de demain".Le projet, lancé en 2008, a été validé en 2015 sous la mandature d'Anne Hidalgo malgré la vive opposition de ses alliés écologistes et d'élus de droite dont Philippe Goujon, le maire (LR) du XVe."Le quartier va être sinistré pendant plusieurs années", s'est-il indigné auprès de l'AFP, dénonçant déjà un "ballet ininterrompu de camions qui vont délivrer du béton, quatre grues géantes..."Le parquet de Paris a ouvert en juin une enquête préliminaire pour "favoritisme" autour de la concession sur laquelle doit être bâtie la tour.Prévue essentiellement pour des bureaux, qui occuperont les trois quarts de ses 91.000 mètres carrés de surface, elle abritera également un hôtel de 130 chambres, une crèche et des commerces, mais est conçue comme "réversible", c'est-à-dire facilement transformable en logements.Redresser la barreSigne de sa fragilité financière, le groupe a réduit à 30% sa participation au chantier en lançant une coentreprise avec l'assureur Axa pour réduire ses coûts.En 2021, la foncière, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon, a vu ses résultats s'éroder encore, largement à cause des restrictions anti-Covid en Europe pendant le premier semestre.Son chiffre d'affaires s'est établi à 1,72 milliard d'euros, soit moins qu'en 2020 (-3,7%, -1,6% à périmètre constant), tandis que son résultat net récurrent, indicateur de référence pour les foncières, a rétréci à 1,01 milliard (-4,9%).Mais le groupe a redressé la barre, avec un taux de vacance qui a nettement reculé au second semestre (à 7%, -1,3 point en un an), grâce aux réouvertures permises par la campagne de vaccination."C'est quand même une entreprise qui a subi un énorme +stress test+ en 2020 et 2021. On a fermé à plusieurs reprises les centres commerciaux, l'activité événementielle, et là, on voit une reprise", note Florent Laroche-Joubert, analyste chez Oddo BHF.L'activité événementielle du groupe, qui possède plusieurs parcs d'expositions dont celui de Villepinte (Seine-Saint-Denis), s'est relevée avec 32 millions d'euros de chiffre d'affaires, contre 6 en 2020.Bye bye USA ?Mais le groupe est toujours corseté par une dette de 22,6 milliards d'euros (contre 24,2 milliards fin 2020), produit de l'absorption en 2018 du groupe Westfield et de son large portefeuille aux Etats-Unis, jamais totalement digérée.Il n'engage ainsi plus de nouveaux investissements seul, et a promis de céder pour 4 milliards d'actifs en Europe d'ici à la fin de l'année.Il en est pour l'heure à 2,5 milliards, la dernière cession en date étant une part de 45% dans le centre commercial Carré Sénart, en région parisienne, reprise par les filiales assurances de la Société Générale et BNP Paribas."La deuxième partie de cet effort, c'est la réduction drastique de notre exposition au marché américain", explique à l'AFP Jean-Marie Tritant, qui avait pris la tête d'URW après une fronde d'actionnaires menée par Xavier Niel, premier actionnaire du groupe, et Léon Bressler, l'ancien patron, opposés à l'acquisition de Westfield."On aura engagé dans le courant de l'année 2022 la sortie de tout ou partie des Etats-Unis", a assuré Jean-Marie Tritant lors d'une conférence téléphonique.A la Bourse de Paris, vers 09h40, le titre URW prenait 5,79% à 70,48 euros dans un marché en légère hausse de 0,13%.
Il y a 3 ans et 99 jours

Top départ pour le chantier du premier immeuble d'habitation bois R+6, en Bretagne

Le premier immeuble d'habitation bois de 6 étages Dans le cadre de la dernière tranche opérationnelle de la ZAC Beauregard-Quincé, l'aménageur Territoires a lancé une consultation en 2018 pour la réalisation de logements en accession libre intégrant une démarche de développement de la filière locale de construction bois. L'appel à manifestation d'intérêt (AMI) « Construction Bois pour Tous » initié par Rennes Métropole, avec Fibois Bretagne (la filière bois en Bretagne), a retenu ATARAXIA Promotion pour le plus ambitieux des 11 programmes immobiliers. Premier immeuble d'habitation de cette hauteur en Bretagne, il se compose de 111 logements en accession à la propriété, 72 en collectif (R+6, soit 25m de haut) et 39 maisons individuelles. Tout en construction à ossature bois (poteaux, poutres, planchers, refends, façades) ils sont répartis sur trois îlots fonciers distincts, qui feront l'objet de trois copropriétés.Un engagement précurseur pour la construction bois en BretagneConscient que la construction est un élément qui pèse dans l'activité carbonée, la volonté d'ATARAXIA Promotion est d'être le plus éco responsable possible dans son rôle de promoteur et acteur de la ville. Avec la construction bois, de plus en plus plébiscitée par les citoyens et encouragée par Rennes Métropole, il s'agit de démontrer qu'une nouvelle voie est possible. Le projet impose de penser « bas carbone » et d'apporter des solutions pertinentes pour produire les logements de demain, à coûts maîtrisés. Avec Île Ô Bois, ATARAXIA Promotion souhaite ouvrir la voie au développement de la construction bois en Bretagne en se donnant les moyens d'être au rendez-vous de cette expérimentation. « Ce projet pionnier s'inscrit dans une vision urbaine ambitieuse et responsable de la Ville de Rennes, souligne Philippe Clément, chef de projet chez Territoires. Ce type de construction demande un engagement et un investissement humain, financier très fort. Tout est encore à construire avec la filière bois. L'idée est d'avancer collectivement dans une démarche de pédagogie et de reproductibilité. »L'écosystème, un réseau d'experts performantPour relever ce challenge, ATARAXIA Promotion s'est entourée de partenaires expérimentés dans la construction bois : architectes, constructeur, bureaux d'études spécialisés (bois, acoustique, environnement) et paysagiste, accompagnée par Fibois Bretagne, cette équipe pluridisciplinaire a consacré plus de 3 ans à la conception du projet dans une approche ouverte et transparente. Malgré les aléas et les contraintes dus au contexte sanitaire, l'ensemble des équipes a gardé le cap ! Une opération qui permet à ATARAXIA Promotion d'acquérir une grande connaissance sur ce type de construction, de plus en plus demandé par les collectivités, et d'avoir un temps d'avance pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux.« Nous cherchons à être audacieux et responsables, dans une démarche environnementale que l'on se doit d'adopter, explique Dominique Feuvrier, directeur agence Bretagne ATARAXIA Promotion. Notre société évolue très vite : alimentation, mobilités, qualité de l'habitat sont des enjeux majeurs… Il était important d'être pionnier en s'entourant de partenaires, qui comme nous s'engagent, dans une voie nouvelle avec des savoir-faire et des compétences complémentaires. »Un projet bas carbone qui répond aux enjeux de santé environnementaleÎle Ô Bois a été conçu comme un projet résolument bas carbone. En réponse aux problématiques climatiques, environnementales et de santé, et aux nouvelles normes réglementaires telles que la RE 2020 qui s'impose depuis janvier, ATARAXIA Promotion a mis au coeur de ses priorités les enjeux de transition énergétique et de qualité sanitaire, en faisant la part belle aux matériaux biosourcés. « C'est pour ATARAXIA Promotion une opportunité d'innover sur les modes de vie, sur l'habitat et sur les procédés constructifs pour diminuer l'impact environnemental de la construction » souligne Dominique Feuvrier.Le bois et tous les matériaux biosourcés répondent aux attentes d'un habitat sain : ils régulent naturellement la température et l'humidité intérieures des bâtiments, permettant ainsi de conserver une atmosphère saine, sans développement de moisissures, de bactéries ou de virus.Le bois, matériau-roiPour Île Ô Bois, l'ossature et la structure primaire de l'ensemble des constructions sont intégralement en bois. Matériau isolant, il émet peu de carbone pour sa transformation contrairement au béton et à l'acier. Le bois stocke le carbone absorbé durant la croissance de l'arbre : 1 m3 de bois séquestre 1 tonne équivalent CO2 alors que la fabrication de 1m3 de béton en émet 471 kg ! « Pour Île Ô Bois, on a utilisé le bois lamellé croisé (CLT) qui offre de nombreux avantages comme sa flexibilité, sa légèreté et son aspect naturel très esthétique. Il permet également une rapidité incomparable d'exécution en matière d'assemblage et de construction qui réduit le temps de chantier. Les panneaux sont découpés et préassemblés directement chez le constructeur, Belliard. C'est un chantier sec, plus propre, moins bruyant. » précisent les architectes Christine Tanguy et Patrick Liard, du cabinet Liard et Tanguy à Rennes.
Il y a 3 ans et 99 jours

Trophées des TP 2022 - Mise en oeuvre des matériaux bas carbone

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Sobirété et décabornation des engins" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 99 jours

Rendez-vous aux jardins début juin 2022

La prochaine édition des Rendez-vous aux jardins aura lieu du vendredi 3 juin au dimanche 5 juin 2022, sur le thème « Les jardins face au changement climatique ». Ce sera l’occasion de se pencher sur les effets du changement climatique, dans les parcs et jardins : modification de la palette végétale, changement des pratiques culturales, mutation du rythme des saisons, floraisons précoces, apparition de nouveaux parasites… et d’échanger avec les professionnels autour des actions mises en œuvre pour adapter les pratiques de jardinage à ces bouleversements, afin que les jardins demeurent des réserves de biodiversité pour le bien-être de l’homme et de l’ensemble du vivant. https://rendezvousauxjardins.culture.gouv.fr  
Il y a 3 ans et 99 jours

Cros & Leclercq, en conférence à la SFA ce soir

Les architectes Benjamin Cros et Rémy Leclercq seront en conférence, ce soir, 10 février 2022, à la Société française des architectes (SFA) à Paris. Lauréats du prix de la Première Œuvre en 2018 pour un restaurant scolaire à Pamiers (Ariège), la ville où ils ont grandi, Benjamin Cros et Rémy […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 100 jours

Argan profite de la bonne santé des entrepôts en 2021

Son résultat net bondit à 668 millions d'euros, soit 140% d'augmentation, une explosion peu représentative car essentiellement due à la revalorisation de ses actifs.Le résultat net récurrent, plus représentatif pour une foncière, est en hausse de 8% à 111,9 millions d'euros. Pour 2022, Argan se fixe un objectif de +5% à 117 millions.Le président du groupe Jean-Claude Le Lan s'est félicité en visio-conférence d'une année "exceptionnelle", qui lui permet d'augmenter son dividende par action à 2,60 euros, alors qu'il tablait initialement sur 2,30.Argan a ouvert l'été dernier, sur une ancienne base militaire près de Metz, un entrepôt géant de 185.000 mètres carrés qu'il loue à Amazon et lui rapporte 9 millions d'euros par an.Carrefour reste de loin son premier client, représentant 31% de ses revenus locatifs, devant FM Logistic (8%), Casino (7%), Geodis (6%), Amazon, Auchan et Décathlon (5% chacun).Son patrimoine, valorisé à 3,75 milliards d'euros contre 3 milliards fin 2020, couvre une surface de 3,27 millions de mètres carrés contre 2,99 millions fin 2020.Décrié pour l'impact écologique de son activité, très gourmande en surfaces et contribuant à l'artificialisation des sols, le groupe revendique désormais de développer des sites moins polluants dans leur fonctionnement, grâce à des panneaux photovoltaïques sur les toits et des pompes à chaleur pour le chauffage.
Il y a 3 ans et 100 jours

Au Palais idéal, dialogue entre la glaneuse et le facteur avec l'exposition Agnès Varda, Architextures et perspectives

Les architectes Benjamin Cros et Rémy Leclercq seront en conférence, ce soir, 10 février 2022, à la Société française des architectes (SFA) à Paris. Lauréats du prix de la Première Œuvre en 2018 pour un restaurant scolaire à Pamiers (Ariège), la ville où ils ont grandi, Benjamin Cros et Rémy […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 101 jours

Valérie Pécresse veut "une France de propriétaires" avec 500.000 constructions par an

"Il faudrait 500.000 constructions de logements par an au bas mot" car "si la tendance continue, nous nous dirigeons tout droit vers l'une des plus graves crises du logement depuis 1954", a-t-elle affirmé lors d'une conférence de presse à Champigny-sur-Marne.Accusant le président Emmanuel Macron d'avoir "fragilisé le secteur", elle a dénoncé son "mépris" vis-à-vis de la propriété privée. "Je veux bâtir une France de propriétaires, ne pas contrecarrer leur envie mais puissamment l'aider" et pour cela il faut "que le prêt à taux zéro soit généralisé à l'ensemble du territoire et notamment aux zones rurales", a-t-elle ajouté.Il faut aussi "libérer les contraintes", avec "un grand choc de simplification": abaissement général "de 10 à 5,5%" de la TVA sur la construction de logements sociaux, transformation de bureaux en logements..."Nous allons lever les entraves à la construction dans ces bourgs et villes" où les Français aspirent à habiter depuis la crise du Covid et pour cela "je ferai confiance aux maires", a-t-elle dit, qualifiant d'"absurdité dans un territoire rural" la règle "zéro artificialisation nette" des sols.Elle a aussi promis "une grande loi sur le droit des propriétaires" avec une "tolérance zéro pour les squatteurs", pouvant "être expulsés en 48 heures".Mme Pécresse veut également "aider les travailleurs exclus du prêt bancaire" en instituant "une caution solidaire" de l'Etat.Sur le logement social, elle a plaidé pour un "principe cardinal du respect" autorisant les bailleurs à "expulser les locataires condamnés pour trafic ou violence". Le logement social ne doit pas être "un droit à vie", a-t-elle ajouté, prônant un bail "de six ans renouvelable" des nouveaux entrants.Elle a aussi plaidé pour que les maires puissent attribuer 60% des logements sociaux de leur commune, afin que "ceux qui iront travailler aient un droit prioritaire" au logement.Appelant à "une politique de peuplement" avec une "vraie politique de mixité sociale", elle a répété son projet de limiter à 30% la proportion de logements très sociaux. Il faut "desserrer l'étau de la loi SRU" pour y intégrer "toutes les formes de logements intermédiaire" ainsi que "l'accession sociale à la propriété", selon elle.
Il y a 3 ans et 101 jours

Quel est le véritable impact environnemental des matériaux biosourcés?

Lors d'une conférence de presse, Bruno Peuportier, directeur de recherche à l'école des Mines et Henri Cuny ingénieur chargé d'études forestières à l'IGN ont partagé leurs études, notamment sur le bois.
Il y a 3 ans et 102 jours

2ème édition des Trophées Bâtiments Circulaires : c’est parti ! 

A4MT et Construction21 renouvellent les Trophées Bâtiments Circulaires pour une 2ème saison. Les maîtres d’œuvre et d’ouvrage sont invités à candidater jusqu’au 13 mai pour mettre en avant leurs projets intégrant des matériaux du réemploi. Le recours à ces matériaux, provenant de bâtiments déconstruits, a un impact très net sur l’empreinte carbone d’un bâtiment et sur la préservation des ressources. Si la pratique du réemploi est souvent perçue comme complexe, c’est d’abord en grande partie à cause du manque d’informations et de partage d’expérience entre les acteurs de la chaîne de l’immobilier. Les projets recensés seront partagés sur une plateforme dédiée, hébergée par Construction21. Ils seront géolocalisés et dûment détaillés (origine et réemployabilité des matériaux, gestion du stockage, impacts évités…), pour permettre d’enclencher un partage d’expérience inédit sur le réemploi des matériaux à l’issue du concours. Cette année, le concours s’ouvre au-delà des frontières nationales et d’autres pays francophones sont invités à inscrire leurs projets : Belgique, Suisse, Luxembourg et Canada. https://www.construction21.org/france/project/h/trophees-batiments-circulaires-2022.html  
Il y a 3 ans et 105 jours

Trophées de la construction 2022 : les candidatures sont ouvertes !

INSCRIPTIONS. Les candidatures aux Trophées de la construction 2022 sont ouvertes ! Les constructeurs ont jusqu'au 30 avril prochain pour déposer leur dossier.
Il y a 3 ans et 105 jours

Constantin Brodzki : Le “style CBR”, moderne et brutaliste

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Constantin Brodzki (1924-2021) devant l’immeuble CBR, en Belgique. [©Merlin Meurisse] Au début des années 1970, l’architecte polono-belge Constantin Brodzki (1924-2021) dessine et conçoit le siège social du cimentier, CBR, sis au 185 de la chaussée de la Hulpe, à Watermael-Boitsfort, en Belgique. « Je voulais exprimer la liberté du béton. Et la courbe m’apparut être idéale pour cela », indiquait l’architecte à l’époque. Constantin Brodzki est surtout connu pour avoir marqué Bruxelles de son “style CBR”, du nom de cette réalisation moderne emblématique. Avec ce bâtiment, il a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge, et même internationale. En effet, en 1980, le siège social de CBR a été inclus par le Museum of Modern Art (MoMa) de New York comme ouvrage de référence. Ceci, dans l’exposition “Transformation in Modern Architecture” (Transformations dans l’architecture moderne). 
Le catalogue le qualifie alors « d’étape significative dans le développement du Modernisme dans le monde ». Son parcours De père polonais et de mère belge, Constantin Brodzki s’est installé en Belgique peu avant la Seconde Guerre Mondiale. Jeune diplômé de l’Ecole nationale supérieure d’architecture et des arts de La Cambre, il s’inspire de son stage qu’il a effectué à New-York chez Harrison & Abramovitz pour la construction du siège social de l’ONU. Ainsi, il a conçu quelques perles architecturales modernistes, fonctionnalistes et brutalistes en Belgique. Et particulièrement, à Bruxelles et sa banlieue : les bâtiments Swift, le deuxième en association avec l’architecte Ricardo Bofill, ou l’immeuble Generali. Le siège social du cimentier, CBR. Ce bâtiment a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge. [©Merlin Meurisse]Vue de l’extérieur du CBR. [©Generali]Façade du CBR aux connotations très années 1970. [©Archive Alec Brodzki] Il admirait l’Américain Frank Lloyd Wright (1867-1959), l’un des fondateurs de l’architecture moderne. Mais aussi Ludwig Mies van der Rohe (1886-1959), maître du Bauhaus. « A la fin de sa carrière, étant rattrapé par la vague post-moderniste, ses références vont à Paul Bonatz (1877 – 1956), qui a construit le Kunstmuseum de Bâle, en Suisse ou la gare de Stuttgart, en Allemagne, dévoile Alexandre Brodzki, fils de Constantin et architecte lui aussi. Cet architecte allemand prônait une architecture un peu néoclassique, avec un mélange d’éléments modernistes et historiques. Par la suite, c’est devenu Philip Johnson (1906-2005), surtout pour l’architecture qu’il a pu faire à la fin de sa vie. Il est alors rentré dans une période “d’Heroic Fantasy”, comme la décrivait lui-même mon père. » La courbe apprivoise le béton Dans les années 1970, Constantin Brodzki a fait évoluer la réflexion sur le béton. C’est ce qu’il expliquait encore récemment lors d’un entretien avec la Fédération du béton belge : « On oublie trop vite que le béton n’est pas un matériau dur, il est d’abord liquide. En mettant l’accent sur cette fluidité, j’ai changé la façon, dont nous regardons le béton. A travers cette vision, j’ai fait comprendre que les éléments en béton ne doivent pas nécessairement avoir une forme droite ». Constantin Brodzki à l’intérieur du CBR, réalisation moderniste et brutaliste de cet architecte polono-belge. [©Archive Alec Brodzki]A l’origine siège du cimentier CBR, les locaux furent vendus et transformés plusieurs fois[. ©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki] Par ailleurs, Constantin Brodzki est très tôt fasciné par l’industrialisation. Lorsqu’il conçoit le siège social de CBR, il est à la recherche d’une méthodologie pour construire un bâtiment qui pourrait être préfabriqué sur une base industrielle. Pendant sept ans, il travaille avec le cimentier sur une technique permettant de réaliser des panneaux de béton préfabriqués aux formes fluides. L’ensemble de l’usine CBR (le site actuel de l’industriel du béton Ergon, à Lier) est mis à sa disposition pour la mise en place de son concept. Il réalise d’abord deux petits “bâtiments tests” en béton avant de commencer la grande structure. Et cela donnera le bâtiment que l’on connaît avec ses fenêtres arrondies, de type alvéoles. Une première à l’époque. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 105 jours

Fortera : « La vatérite peut devenir un substiut au clinker »

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Thierry Legrand, président de Fortera Europe. [©Fortera] Fortera s’implante en Europe. Mais qui est Fortera ? Fortera est une start-up californienne fondée en 2019. Elle a vocation à proposer une solution destinée à décarboner le secteur cimentier. L’idée n’est pas d’inventer quelque chose en rupture avec les technologies actuelles, mais d’offrir une réponse qui puisse s’appliquer à l’existant, tout en l’améliorant. Ainsi, Fortera reprend une technologie déjà utilisée entre 2007 et 2014, sous la marque Calera. Toutefois, à l’époque, cette solution ne correspondait pas aux attentes du marché de l’époque. Sans doute arrivait-elle trop tôt et voulait se substituer en totalité à ce qui était en place… En quoi consiste la technologie proposée par Fortera ? Tout d’abord, Fortera se positionne comme un acteur de la décarbonation de la construction. Ceci, en proposant un carbonate de calcium réactif, qu’on appelle RCC. Dans la nature, le carbonate de calcium existe sous trois formes cristallines : l’aragonite, la calcite et la vatérite, plus rare, car métastable1. Mais c’est cette forme qui nous intéresse. L’idée est donc de prendre du calcaire de type “calcite” pour le transformer en vatérite par un processus de précipitation. Pour ce faire, le calcaire est chauffé, opération qui donne naissance à de la chaux et du dioxyde de carbone. Ce dernier est récupéré et réintroduit dans un solvant particulier, dans lequel la chaux obtenue a été préalablement dissoute. Cette combinaison permet au dioxyde de carbone de se réminéraliser sous la forme de sphères très fines de vatérite. Ne reste plus qu’à déshydrater la solution pour rendre ce carbonate de calcium particulier réactif. Dans la nouvelle approche engagée par Fortera, le produit devient un additif potentiel pour des ciments de type CEM I. Le RCC peut donc être utilisé en mélange, comme substitut du clinker, dans les ciments binaires ou ternaires. Mais il peut aussi être employé seul, pour créer un ciment sans clinker, ce qui fait la force du produit. Suivant cette démarche, nous sommes en mesure de nous inscrire dans les habitudes de production des ciments, mais aussi de formulation et de mise en œuvre des bétons. Lire aussi : Thierry Legrand devient le président Europe de Fortera Cette technologie est-elle adaptable sur les fours de cimenteries traditionnelles ? Nous avons deux options possibles. Soit utiliser un four de cimenterie existant pour permettre la production du RCC. Soit faire appel à la technologie flash mise en œuvre pour la fabrication de métakaolin calciné. A l’heure actuelle, Fortera est en train de monter un processus pilote au sein de la cimenterie de Redding, appartenant au groupe Martin Marietta, en Californie. L’objectif sera d’y produire quelque 15 000 t/an de RCC. Côté matière première, nous utiliserons le même calcaire que celui de la cimenterie. Ce partenariat avec Martin Marietta, de type technique et commercial, ne comprend aucune clause d’exclusivité sur la technologie mise en place. Quel est, pour le moment, le timing du développement de Fortera ? L’unité pilote californienne doit être mise en route durant le premier semestre 2022. Toutefois, l’industrie cimentière doit prévoir de très importants investissements si elle veut être au rendez-vous de la décarbonation de 2030 à 2050… Au niveau européen, l’entité vient tout juste d’être créée et la structure est en cours de montage. Il est évident qu’une unité pilote devra rapidement être mise en place sur le continent… Qui se cache derrière Fortera ? Deux actionnaires principaux assurent le financement de Fortera. D’un côté, il y a Vinod Khosla, un homme issu du monde numérique, mais qui est très intéressé par tout ce qui touche aux technologies propres. Et, de l’autre, Temasek, un fonds souverain singapourien. Propos recueillis par Frédéric 1Se dit d’un système chimique, dont la vitesse de transformation est très faible et qui a l’apparence de la stabilité. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 106 jours

Trophées des TP 2022 - Organisation et logistique du chantier

Découvrez les nommés dans la catégorie Organisation et logistique du chantier pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 106 jours

BIM World 2022

BIM World est le rendez-vous incontournable des professionnels et des collectivités pour les usages du BIM et du numérique, au service des métiers et des ouvrages.
Il y a 3 ans et 106 jours

Edycem BPE lance une version Premium de sa chape Kalkiss

Edycem lance la chape Kalkiss Premium. [©Edycem BPE] Edycem BPE continue d’enrichir sa gamme de chapes ciment Kalkiss. Afin de proposer une offre complète couvrant les besoins du plus large spectre d’applications. C’est dans ce cadre que la marque a lancé la version Kalkiss Premium de sa chape principale. Elle est sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1). Et est destinée aux espaces de grandes surfaces, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant. Elle permet de doubler la surface de fractionnements entre les joints. Et de bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface, tout en étant connectée SmartCem. Lire aussi : Edycem dévoile ses bétons bas carbone Vitaliss Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Pour carrelages de grands formats Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages, tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Kalkiss Premium offre aussi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Lire aussi : Edycem poursuit le développement de son offre chapes Avec sa haute résistance à la compression, cette chape convient de plus aux locaux d’activités tertiaires type P4. Où circulent, de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d’entretien lourds.
Il y a 3 ans et 106 jours

Au Pavillon de l'Arsenal, l'Université populaire de Richard Scoffier, saison 2022

L'escalier, l'ascenseur, le tuyau et le rideau. Ces quatre "éléments de l'architecture" seront au cœur des cours publics, gratuits, donnés par l'architecte et enseignant Richard Scoffier, dans le cadre de l'Université populaire du Pavillon de l'Arsenal. Premier rendez-vous le 12 février 2022, autour de l'escalier. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 106 jours

Une édition pratique, qui marie élégance et diversité

Rendez-vous annuel des paysagistes et des particuliers, la version 2022 du catalogue Collections d'extérieurs Fabemi Terrasse & Jardin développe avec brio les richesses des collections de dallages, pavages et accessoires BRADSTONE et CARRÉ D'ARC. La mise en situation des gammes de matériaux aux textures, formes et coloris variés, sont autant de sources d'inspiration pour mettre en oeuvre des projets personnalisés, dans un esprit moderne.
Il y a 3 ans et 107 jours

Les Tours Nuages de Nanterre au cœur d'un vaste projet de rénovation

"La plus grosse opération de rénovation urbaine des Hauts-de-Seine", selon les mots de son préfet Laurent Hottiaux, vise trois quartiers de Nanterre dont le Parc Sud.En son sein se trouvent "Les Tours Nuages", soit dix-sept tours arrondies aux mosaïques colorées de tons pastels, symboles des grands projets construits pour les classes populaires de la banlieue parisienne.En 2008, elles ont reçu le label "Patrimoine du XXe siècle" du ministère de la Culture.Cet ensemble architectural remarquable pâtit toutefois de dégradations liées au temps, les mosaïques des tours se détachant et les bâtiments n'étant plus aux normes thermiques en vigueur.Le quartier souffre en outre d'un manque de mixité sociale, avec une part de logements sociaux très importante "qui va diminuer", a promis le préfet qui a rappelé que le taux de chômage chez les jeunes résidents pouvait atteindre 40%.L'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) finance en partie ce vaste chantier, à hauteur de 100 millions d'euros, un levier qui "va permettre 341 millions d'euros d'investissements, tous financeurs confondus, sur les quartiers", a répété le préfet Laurent Hottiaux lors de la signature mardi du second volet du projet, soit 81,6 millions d'euros.Ce plan "d'ampleur", qui a démarré en 2018 à Nanterre, prévoit la rénovation de milliers de logements, et l'accueil dans certaines tours de locaux d'activité avec des opérations de relogement des habitants, a souligné le maire de la Ville Patrick Jarry, lors d'une conférence de presse.Un tiers-lieu/médiathèque et une ferme urbaine sont également prévus.
Il y a 3 ans et 108 jours

ELEC CALC™ BIM : SIMPLIFIER LA CONCEPTION ÉLECTRIQUE BIM

Trace Software vient de lancer la dernière version d’elec calc BIM, logiciel permettant d’intégrer le dimensionnement électrique dans un processus collaboratif Open BIM avec l’échange d’informations au travers d’une maquette numérique. Les évolutions de cette nouvelle version sont principalement axées autour de la récupération de données depuis une maquette numérique Revit®. Beaucoup de professionnels utilisent Revit® pour la conception d’installations électriques. Le plugin Revit®, intégré à elec calc BIM pour répondre à ce besoin, permet de prendre en charge automatiquement la communication entre le moteur de calcul elec calc et la maquette Revit®. Avec cette version d’elec calc BIM, Trace Software est allé plus loin dans les développements afin de simplifier et d’augmenter la productivité de la conception d’installations électriques. LES NOUVELLES FONCTIONNALITES Récupération des circuits Revit® elec calc BIM permet de récupérer l’ensemble des circuits déclarés dans le navigateur du système électrique et de les affecter à leur tableau dans l’explorateur IFC. Grâce à cette fonctionnalité, il n’est plus nécessaire d’effectuer une double saisie des données. L’utilisateur gagne ainsi en temps de conception sur son projet et le risque d’erreur est considérablement réduit. A l’issue de l’étude, il est possible de synchroniser avec Revit® tous les circuits complétés dans elec calc BIM à partir du plugin. Création des circuits à partir des espaces Il est maintenant possible de générer les circuits à partir des espaces présents dans la maquette numérique. Une interface permet de configurer le nombre maximal de récepteurs par circuit. L’utilisateur sélectionne ensuite les espaces dans le viewer. La création est plus rapide car la sélection des composants est groupée. Tracé des fils dans Revit® Le plugin elec calc BIM permet maintenant de récupérer le détail des liaisons et de tracer automatiquement les fils avec les étiquettes pour compléter le schéma du plan d’exécution électrique directement dans Revit®. Création de coupes dans le viewer Le viewer permet de générer des coupes et de les mémoriser dans une vue spécifique. Ces coupes, qui peuvent être consultées à tout moment, permettent d’isoler des parties du bâtiment pour un meilleur repérage des locaux. De plus, les fonctionnalités du viewer ont été optimisées afin de faciliter la navigation. Optimisation du routage L’algorithme de routage a été enrichi afin de router les câbles en automatique dans la majorité des cas de figures, réduisant ainsi les créations manuelles. Les utilisateurs d’elec calc BIM sont automatiquement avertis depuis leur logiciel de la disponibilité de cette nouvelle version. Trace Software présentera les innovations du Logiciel elec calc BIM au salon BIM World Paris qui se tiendra les 5 et 6 avril Prochains à Paris Expo Porte de Versailles.  A propos de Trace Software International Depuis plus de 30 années Trace Software conçoit des applications pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires pour le bâtiment et l’industrie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins depuis le chargé d’affaires jusqu’à l’exploitation en passant par le dimensionnement des réseaux. Trace Software est également présent sur le marché de la maquette numérique avec une plateforme complète de conception d’installations électriques en Open BIM. Trace Software est distribué en Europe, Afrique, Amérique du Sud et en Asie via des distributeurs et des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine. www.trace-software.com/fr
Il y a 3 ans et 109 jours

Effy veut s'appuyer sur la rénovation globale pour atteindre le milliard d'euros

OBJECTIF. Le spécialiste en travaux de rénovation énergétique Effy vise le milliard d'euros de volume d'affaires en 2022. Son président, Frédéric Utzmann, a détaillé lors d'une conférence de presse les trois leviers que le groupe compte activer pour y parvenir.
Il y a 3 ans et 109 jours

Nouvelle cheville DuoSeal fischer : La nouvelle fixation étanche pour zone humide, sans silicone !

Lors de la fixation d’étagères de salle de bains ou de cuisine, d’armoires murales, de porte-serviettes, de cabines de douche, de miroirs, de porte-savon, de rideaux de douche… dans des zones humides, il est essentiel de veiller à l’étanchéité du trou de forage pour éviter les infiltrations d’eau, l’humidité ou les moisissures qui pourraient endommager les éléments de structures (mur, isolant…). Jusqu’à présent, pour assurer la bonne étanchéité des trous de perçage, le recours au silicone était nécessaire. Mais cette solution temporaire devait être souvent renouvelée et n’était pas conforme à la norme DIN 18534 qui réglemente l’étanchéité des sols et des murs dans les pièces intérieures. Pour fixer tous ces éléments de salle de bains et de cuisine, fischer, toujours à la pointe de l’innovation, lance dans la gamme DUOLINE une nouvelle cheville nylon avec fonction d’étanchéité, la DuoSeal. Cette cheville bimatière pour tous les matériaux de construction a la particularité de rendre complètement étanche le trou de perçage, sans produit d’étanchéité supplémentaire. Elle empêche ainsi la moisissure et l’humidité d’atteindre le matériau de construction tout en assurant simultanément une fixation sûre. En outre, l’étanchéité à l’eau de la DuoSeal a été prouvée sur la base de l’ETAG 022 et de la DIN 18534.   fischer DUOLINE : La gamme bimatière Haute qualité, les fixations de la gamme DUOLINE fischer sont parfaitement identifiables avec leurs couleurs rouges et grises. Les chevilles DuoPower, DuoTec, DuoBlade, DuoXpand et DuoSeal sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, assurent un ancrage optimal avec des performances nettement supérieures à celles des chevilles nylon traditionnelles en termes de valeur de charges et de sécurité.   Une fixation sûre et étanche La nouvelle fixation DuoSeal fischer est idéale pour les surfaces carrelées ou en faïence exposées à des projections d’eau très fréquentes ou à des accumulations d’eau temporaires comme la salle de bains, la cuisine, les toilettes… Universelle, cette cheville s’adapte à tous les matériaux : béton non fissuré, brique pleine, brique perforée, matériaux de construction en panneaux… La DuoSeal se compose d’une cheville avec un corps bimatière et d’une vis en acier inoxydable à empreinte TX, parfaite pour les zones humides. La géométrie spéciale du fût (0) de la vis est lisse afin d’assurer l’étanchéité du trou de forage. Quant à la cheville, son composant rouge en nylon (1) de haute qualité s’adapte automatiquement au support (s’expanse, se déploie, forme un nœud) qu’il soit plein, creux ou en plaque. La zone d’expansion grise (2) souple est pressée contre la paroi lors de la mise en place de la vis et obture complètement le trou de forage. Elle offre une sécurité supplémentaire. Les anneaux (3) sur le corps de la cheville compensent les irrégularités du forage, de sorte que la fonction d’étanchéité est garantie même si le trou n’est pas parfait. La collerette (4) empêche la cheville de passer au travers du trou de forage et garantit l’étanchéité de la fixation. Les ailettes (5) offrent quant à elles une fonction anti-rotation pour une mise en œuvre correcte. L’étanchéité entre la vis et la cheville, et la cheville et le matériau support, est parfaitement assuré et sans silicone supplémentaire. La DuoSeal évite l’apparition d’humidité et de moisissures derrière le carrelage. Une étanchéité à l’eau conforme aux normes européennes et allemandes L‘étanchéité à l‘eau de la DuoSeal fischer est attestée conformément aux normes ETAG 022 et DIN 18534 jusqu‘à la classe d‘exposition à l‘eau W3-I (surfaces très exposées à l’eau). La norme ETAG 022 atteste de l’étanchéité du produit aux éclaboussures d’eau chaude ou froide permanentes. Quant à la norme d’étanchéité DIN 18534, elle réglemente l’étanchéité des sols et des murs dans les pièces intérieures. Elle distingue 4 classes d’exposition à l’eau : W0-I (surfaces peu exposées à l’eau), W1-I (surfaces avec une exposition modérée à l’eau) , W2-I (surfaces fortement exposées à l’eau) , W3-I (surfaces très exposées à l’eau). Que ce soit à l’intérieur de la douche, autour du lavabo ou près de l’eau – la cheville DuoSeal est étanche en permanence.   Une fixation ultra simple La DuoSeal s’insère rapidement dans le trou de forage par simple enfoncement, sans aucun accessoire supplémentaire ni mastic ou silicone. Elle scelle le trou de perçage sur toute la surface et maintient la paroi arrière au sec. La DuoSeal est disponible en diamètre 6 x 38 mm et diamètre 8 x 48 mm, et fournie avec des vis inox A2. Prix de vente conseillé : A partir de 44 euros TTC boîte de 100 pièces Points de vente : GSB, Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 109 jours

Wirtgen Group innove sur World of Concrete de Las Vegas

Train de pose de béton Wirtgen, avec le nouvel alimentateur latéral WPS 102i au premier plan. [©Wirtgen Group] Las Vegas n’est pas seulement le rendez-vous des amateurs de casinos. Les amoureux du béton y tiennent aussi salon… Cette année, World of Concrete s’est tenu du 18 au 20 janvier, réunissant quelque 37 000 visiteurs professionnels et plus de 1 000 exposants. Un des grands moments du show fut la démonstration du train de pose de béton Wirtgen, dont le tout nouvel alimentateur latéral WPS 102i constituait le point d’orgue. Quand une chaussée est réalisée avec une armature posée au préalable, l’alimentation en béton doit se faire par le côté. C’est là qu’intervient le WPS 102i. Constituant la première machine du train de pose, il se déplace devant la machine à coffrage glissant et la machine de traitement de surface. Il répartit de manière homogène le béton sur toute la largeur de travail. L’épaisseur de pose maximale est de 500 mm pour des largeurs comprises entre 4 et 12 m. Le WPS 102i peut être commandé avec précision par palpage sur fil de guidage, via des applications 3D sans fil de guidage ou avec le Wirtgen Autopilot 2.0. L’Inset SP 94i en avant-première Autre première, la machine à coffrage glissant Inset SP 94i avec TeleMold. S’inscrivant dans la gamme des 10 m, elle se destine à la construction d’autoroutes et de zones aéroportuaires. Quant au système TeleMold, il permet de changer la largeur de travail (+/- 1 m de chaque côté) de manière rapide et flexible. Cette rapidité de modulation augmente sa disponibilité et sa durée d’utilisation de la machine. TeleMold est aussi disponible sur les machines à coffrage glissant SP 64i, SP 94i et SP 124i. Enfin, Wirtgen a dévoilé les nouvelles fonctionnalités de sa SP 15i. Destiné à la réalisation de bordures et autres glissières, cet équipement dispose désormais d’une extension de plate-forme de travail. Ceci offre aux utilisateurs une meilleure vue sur la zone de pose, sur l’alimentation en béton, sur la trémie et sur la chambre de compactage. Autre nouveauté, le “coffrage curb depressor” est doté d’un compartiment à réglage hydraulique. Il est utilisé pour abaisser le profil de bordures, par exemple au niveau des entrées. Cela réduit de manière significative les reprises manuelles.
Il y a 3 ans et 112 jours

Les Trophées du béton Ecoles dévoilent ses lauréats

Parmi les vainqueurs, Majoie Tsadok Kpoviessi remporte le premier prix dans la section projet de fin d’études. [©EFB] Les Trophées béton Ecoles dévoilent ses vainqueurs. Créé en 2012, ce concours vise à révéler, parrainer et offrir une visibilité aux talents des écoles d’architecture en France. Pour cette 10e édition, la compétition s’est déclinée en deux catégories. La première, appelée PFE (projet fin d’études), récompense les élèves qui ont su tirer profit des qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton. La seconde catégorie, dite “Studio”, cherche à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton, selon un modèle graphique libre (dessin, peinture…). Parmi les 117 postulants individuels ou collectifs, 12 projets ont donc été sélectionnés par un jury. Jury présidé par Alexandre Grutter, directeur du département architecture à l’Insa de Strasbourg. Ainsi, le 13 janvier dernier, les participants retenus ont présenté leur projet à la maison de l’architecture d’Ile-de-France. A l’issue de cet oral, 5 lauréats, dont 3 dans la catégorie PFE et deux dans la Studio, ont été choisis. Majoie Tsadok Kpoviessi remporte le premier prix dans la section projet de fin d’études. Il a imaginé ce que pourrait être le musée ethnographique d’histoire et d’art de Porto-Novo, la capitale du Bénin. Son projet reflète l’identité de la ville, en tenant compte des enjeux urbains, de sa population et de son climat. A l’image d’un “activateur culturel”. Ici, Majoie a choisi du béton latérite (terre de barre rouge présente au Bénin). Il a ainsi réussi à mêler le béton et les matériaux locaux disponibles sur place. Les 5 lauréats des Trophées du béton Ecoles Quentin Risaletto obtient la deuxième place du PFE avec son programme nommé “Spatiovores”. [©EFB] La deuxième place revient à Quentin Risaletto. Ce dernier a développé un programme nommé “Spatiovores” pour éviter les inondations sur les infrastructures du Grand Manchester, au Royaume-Uni. En effet, ce projet à visée énergétique est incarné ici par une culture de miscanthus, qui apporte une réponse résiliente face aux vulnérabilités du site. L’enjeu est qu’elle puisse être la dynamique d’un espace agricole productif et ouvert, ponctué par des édifices. Lire aussi : EFB : le béton entre les mains des futurs experts de la construction Enfin, Guillaume Porche se place en troisième position, grâce au projet d’historial sur la guerre de 1914-1918, à Vauquois (55). Pour son lieu de mémoire, Guillaume a fait le choix d’un béton de site réalisé à partir des déblais de gaize issus des excavations. Ceci, pour construire le bâtiment. Concassée, cette roche remplace les granulats et teint le béton en ocre grisé. Le projet de l’historial participe au processus mémoriel de Vauquois : l’histoire du lieu ne tombe ainsi pas dans l’oubli.En parallèle, Nicolas Nugue et le binôme Zaïd Chafaqi et Clément Perret se partagent la première marche de la catégorie “Studio”. Le premier s’est inspiré de la fabrique de rhum Bacardi de Félix Candela, à Mexico. Il a ainsi transformé la structure de base avec des éléments préfabriqués en Bfup. Et ce, pour créer un espace de rencontre, qui pourrait accueillir des activités. De leur côté, Zaïd Chafaqi et Clément Perret se sont penchés sur une réinterprétation de la première église en béton armé. Ils ont donc misé sur un béton brut de décoffrage pour remodeler l’Eglise du Raincy (93) des frères Perret. Enfin, le jury a décidé de donner une mention spéciale au projet de fin d’études de Loris Bied. Ce dernier a travaillé sur le centre social et culturel de la ville de Beausoleil, près de Monaco. Un bâtiment qui mêle économie de matière et de coût, respect de l’environnement dans lequel il se trouve et performance technique.