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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 3 ans et 77 jours

SALON DE l’IMMOBILIER NEUF : 9 conférences gratuites ouvertes au grand public les 1er, 2 et 3 avril 2022 Porte de Versailles

Les Français sont plus nombreux à acheter du neuf en raison de ses nombreux avantages. Lumineux, écologique, économique, connecté, très bien isolé, sans travaux à prévoir, il répond à de nombreuses aspirations. Le salon de l’Immobilier Neuf prévu les 1er,2 et 3 avril 2022 Porte de Versailles s’inscrit comme un rendez-vous national incontournable qui présente des […]
Il y a 3 ans et 77 jours

Comparer et moderniser les pompes en quelques clics, c’est maintenant possible avec Wilo.

Wilo lance un nouveau guide de remplacement numérique. L’outil en ligne facilite plus que jamais la comparaison et la recherche de la pompe la plus adaptée pour les installations de ses clients. Au rendez-vous : haut rendement et économies d’énergie ! EFFICACE ET INTUITIF  Plus d’informations, des données harmonisées, une expérience utilisateur améliorée : Wilo relance son guide […]
Il y a 3 ans et 77 jours

Alkern a choisi Engie Green pour la conception de projets solaires

Environ 150 000 m2 de panneaux solaires seront installés par Engie sur les sites de production d’Alkern. [©Engie] Le spécialiste des produits préfabriqués en béton, Alkern a choisi Engie Green pour concevoir des centrales solaires en ombrières. Ces dernières serviront d’abris pour les zones de stockage dans une sélection des sites de production français d’Alkern. Ainsi, environ 150 000 m2 de surfaces au sol seront valorisés en installations d’énergie renouvelable. La production électrique est d’ailleurs estimée à 35 000 MWh/an, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’une ville de 15 000 habitants. Ce projet n’est pas le premier engagé par Engie Green. En effet, le groupe a déjà à son actif la valorisation en centrales solaires de plus de 180 ha de sites industriels et logistiques, de parkings d’aéroport ou de parcs d’exposition. La démarche RSE d’Alkern En ce qui concerne Alkern, le groupe affirme sa volonté de contribuer à un aménagement du territoire plus respectueux de l’environnement. Le projet s’inscrit donc dans sa démarche RSE et complète ainsi une stratégie tournée vers le développement de produits éco-conçus. Lire aussi : Alkern : Entre performance et durabilité Le groupe s’oriente aussi vers des solutions bas carbone pour le bâtiment et de perméabilisation des voiries. La mise en service des installations solaires est prévue pour l’année 2024.
Il y a 3 ans et 77 jours

Agrafeuse avec deux types de projectiles simultanément

ALSAFIX propose l’agrafeuse SCAPS qui utilise deux types de projectiles en même temps : les agrafes H et les capsules polymères (CAPS). Elle est spécialement conçue pour l’agrafage de films et d’écrans sous toiture. Les capsules augmentent la surface de contact avec le film et permettent d’éviter la déchirure. Son poids de 1,8 kg lui donne une légèreté pour améliorer la précision.
Il y a 3 ans et 78 jours

La croissance française sera "immanquablement affectée" par la guerre en Ukraine annonce Macron

"J'ai demandé au Premier ministre d'élaborer dans les prochains jours un plan de résilience économique et social" pour répondre aux difficultés qui découlent du conflit, a déclaré le président de la République lors d'une allocution télévisée."Notre croissance, aujourd'hui au plus haut, sera immanquablement affectée par le renchérissement du prix du pétrole, du gaz, des matières premières et cela aura des conséquences sur notre pouvoir d'achat demain. Le prix du plein d'essence, le montant de la facture de chauffage, le coût de certains produits, risquent de s'alourdir encore", a-t-il averti.En 2021, la France avait connu une croissance de 7% du PIB, après une chute de 8% en 2020 durant la pandémie.Le président a cité deux secteurs économiques qui "souffrent" et "vont souffrir" particulièrement, l'agriculture et l'industrie. "Soit parce qu'ils dépendent des importations de matières premières venues de Russie ou d'Ukraine, soit parce qu'ils exportent vers ces pays", a-t-il expliqué.Alors que l'ensemble des 19 filières industrielles françaises ont été reçues dans l'après-midi par la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher pour faire le point sur les difficultés particulières des différents secteurs, le président a promis de "protéger" et "épauler" les secteurs économiques les plus exposés, "en recherchant de nouveaux fournisseurs, ou de nouveaux débouchés commerciaux"."C'est à cette fin que je me suis entretenu avec des homologues américains, européens, moyen-orientaux", a-t-il précisé."Nous apporterons des réponses adaptées face aux perturbations des flux commerciaux et à l'augmentation des prix", a-t-il promis.Sur le plan budgétaire, le président a indiqué que la France allait amplifier l'investissement dans sa défense "décidé dès 2017" et "poursuivra sa stratégie d'indépendance et d'investissements dans son économie, sa recherche, son innovation, déjà renforcés à la lumière de la pandémie", a-t-il indiqué.Evoquant, comme il l'a fait le jour de l'inauguration du salon de l'agriculture, le thème de la souveraineté, M. Macron a estimé que le pays devait "accepter de payer le prix de la paix, de la liberté, de la démocratie" en "investissant davantage pour moins dépendre des autres continents".Concernant l'énergie, il a indiqué qu'il "défendrait une stratégie d'indépendance énergétique européenne". "Nous ne pouvons plus dépendre des autres et notamment du gaz russe pour nous déplacer, nous chauffer, faire fonctionner nos usines", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 78 jours

Un partenariat Sika / StockPro contre le gaspillage

StockPro, start-up qui a conçu et développe une solution B to B d’aide au réemploi de matériaux neufs de construction. Née d’une rencontre en novembre 2019, Sika et la startup ont décidé d’un partenariat pour lutter contre le gaspillage, pour une construction plus responsable. En décembre 2020, Sika a souscrit à l’abonnement de la solution StockPro d’import automatique, de cleaning de data et mise en vente. Les premiers produits de réemploi Sika ont été publiés sur la plateforme www.stock-pro.fr. La solution proposée par la start-up permet notamment de modifier le prix de vente en fonction des seuils de DLU franchis. Ainsi, ces produits certes neufs, mais ne pouvant plus être vendus via le réseau de distributeurs professionnels et malheureusement destinés à être éliminés, bénéficient d’une nouvelle exposition. A l’issue des premiers mois de test en 2021, 55 commandes ont été honorées, près de 40 % des matériaux Sika mis en vente sur la plateforme StockPro ont trouvé preneur et ont pu bénéficier d’une seconde vie, évitant ainsi leur destruction. En octobre 2021, Sika a décidé de mettre en place un pictogramme « Anti-Gaspi », pour accentuer son engagement en faveur du réemploi et opérer une distinction franche et assumée avec d’autres opérations de promotion. Le groupe a décidé de poursuivre son partenariat.
Il y a 3 ans et 78 jours

Un partenariat Sika / StockPro contre le gaspillage

StockPro, start-up qui a conçu et développe une solution B to B d’aide au réemploi de matériaux neufs de construction. Née d’une rencontre en novembre 2019, Sika et la startup ont décidé d’un partenariat pour lutter contre le gaspillage, pour une construction plus responsable. En décembre 2020, Sika a souscrit à l’abonnement de la solution StockPro d’import automatique, de cleaning de data et mise en vente. Les premiers produits de réemploi Sika ont été publiés sur la plateforme www.stock-pro.fr. La solution proposée par la start-up permet notamment de modifier le prix de vente en fonction des seuils de DLU franchis. Ainsi, ces produits certes neufs, mais ne pouvant plus être vendus via le réseau de distributeurs professionnels et malheureusement destinés à être éliminés, bénéficient d’une nouvelle exposition. A l’issue des premiers mois de test en 2021, 55 commandes ont été honorées, près de 40 % des matériaux Sika mis en vente sur la plateforme StockPro ont trouvé preneur et ont pu bénéficier d’une seconde vie, évitant ainsi leur destruction. En octobre 2021, Sika a décidé de mettre en place un pictogramme « Anti-Gaspi », pour accentuer son engagement en faveur du réemploi et opérer une distinction franche et assumée avec d’autres opérations de promotion. Le groupe a décidé de poursuivre son partenariat. Cet article Un partenariat Sika / StockPro contre le gaspillage est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 78 jours

Bellastock 2022 : Thierry Paquot et Christine Leconte invités de la deuxième conférence du cycle « S’outiller sans souiller »

Le traditionnel cycle de conférences Bellastock a débuté mardi 1er mars 2022. Intitulé « S’outiller sans souiller », il aborde cette année les notions d’outils, de savoir-faire, de lieux et de ressources. Rendez-vous le mardi 8 mars à l’ENSA Paris Belleville pour son deuxième épisode […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 79 jours

Le prix "Madame Artisanat" 2022 remis à une paysagiste

CONCOURS. À 36 ans, Alexandra Beauffreton remporte le prix Madame Artisanat des trophées organisés par le réseau des chambres de métiers et de l'artisanat. Par ce prix, elle espère susciter de nouvelles vocations et encourager des femmes à se lancer dans le secteur du paysagisme.
Il y a 3 ans et 79 jours

Essonne : pose de la première pierre du projet d’extension du centre commercial Évry 2

La livraison de l’extension du centre commercial Évry 2 est prévue pour le printemps 2023, avec une inauguration attendue pour l’été de la même année.
Il y a 3 ans et 79 jours

Les jeux de toiture de Daniel Buren à Dijon

Le traditionnel cycle de conférences Bellastock a débuté mardi 1er mars 2022. Intitulé « S’outiller sans souiller », il aborde cette année les notions d’outils, de savoir-faire, de lieux et de ressources. Rendez-vous le mardi 8 mars à l’ENSA Paris Belleville pour son deuxième épisode […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 79 jours

Un nouveau campus pour Sciences-Po Paris

Le traditionnel cycle de conférences Bellastock a débuté mardi 1er mars 2022. Intitulé « S’outiller sans souiller », il aborde cette année les notions d’outils, de savoir-faire, de lieux et de ressources. Rendez-vous le mardi 8 mars à l’ENSA Paris Belleville pour son deuxième épisode […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 80 jours

Transformer le bâti pour "ne pas faire de ghettos de vieux"

Francis Rambert est le commissaire de ce focus sur des projets pensés pour maintenir les anciens au cœur de la ville ou du village.Question : En 2060, plus de 17% de la population en France aura plus de 75 ans, contre 9,5% actuellement selon l'Ined. Comment répondre au défi du vieillissement de la population et de la gérontocroissance ?Réponse : Chez les plus de 80 ans, 83% sont autonomes, et dans les 17% restants, seuls la moitié sont dans des Ehpad. Avec cette exposition, nous défendons la thèse qu'il est possible de rester chez soi le plus tard possible dans un bon logement, quelle que soit sa taille.La question du bien vieillir ensemble pose celle de l'insertion des anciens dans la ville. Comment ne pas faire de ghettos de vieux ? Il s'agit de réfléchir autrement la question du logement.Les architectes savent justement élaborer des projets de vie avec un espace qui soit le plus vivable possible et soit autre chose qu'un couloir qui distribue des chambres.A Barcelone, à 300 mètres de la cathédrale gothique, il existe une résidence pour personnes âgées conçue dans le cadre de la transformation d'un marché, un projet qui illustre la détermination d'une ville à dire : nos personnes âgées méritent encore plus d'attention".Q- L'urbanisme des grands ensembles en France permet-il cette adaptation au 4e âge ?R- Dans les Trente Glorieuses, il fallait rééquiper la France, il y avait une demande de logements énorme et donc on a construit très vite. L'entretien de ces grands ensemble peut poser question, de même l'espace public parfois un peu oublié ou mal traité. Mais certains ensembles marchent très bien, comme le prouve la réhabilitation du quartier du Grand Parc à Bordeaux. Une structure a été bâtie en plus devant le bâtiment existant, ce qui a agrandi les logements. Il y reste des personnes âgées déjà présentes au moment de la construction dans les années 60. Il n'est pas besoin de mettre ces personnes dehors au motif que leurs logements sont soit-disant devenus obsolètes. Le fait de ne pas démolir fait que vous pouvez hériter d'une situation que vous améliorez. On peut reconquérir dans un paysage bâti un espace pour créer des conditions sociales du vivre ensemble. Le patrimoine existant est transformable, ce qui a également été le cas par exemple de la Grande poste à Strasbourg (réhabilitée notamment en bureaux et résidence pour seniors).Q- Le logement collectif est-il la solution ?R- Certains ne veulent pas vivre seuls ou n'ont plus envie de vivre dans des grands appartements. L'architecture doit s'adapter à cela. A Maisons-Alfort, la ville a décidé d'implanter un équipement pour les anciens au cœur de la ville, au milieu d'un parc lui-même entouré d'un urbanisme des années 60, fait de tours et de barres. Dans le bâtiment, les parties communes sont dilatées pour que les couloirs deviennent des lieux où vous avez envie de vous asseoir et discuter avec les voisins.Il est possible aussi d'adapter des sites parfois très urbanisés. Ainsi dans le XVe arrondissement, à Paris, dans une ancienne friche industrielle avec des tas de logements autour, trois programmes différents s'articulent : une résidence sociale pour des femmes battues, un équipement pour la petite enfance et un Ehpad. Chacun vit dans des temporalités différentes mais ils peuvent se rencontrer. Cela fait aussi vivre le quartier. La mixité est de mélanger les générations à toutes les échelles, comme à Nancy où, dans un petit bourg, un bâtiment existant et délaissé a été transformé en trois appartements pour des personnes âgées et deux pour des familles plus jeunes. La mixité générationnelle et le dialogue sont donc tout à fait possibles.
Il y a 3 ans et 80 jours

L’AfterBIM#4 : Les métiers du BIM, ce joyeux bazar!

Retour d’expérience – Les métiers du BIM, ce joyeux bazar! Au programme de ce quatrième AfterBIM, Tristan Mayeur vous propose un échange sur les métiers du BIM et ce que veulent dire ou ne pas dire les BIM « Quelque chose ».BIM Manager, Référent BIM, BIM coordinateur, BIM Modeleur… Nombreux sont les intitulés des chargés du BIM, mais la définition du métier varie souvent! Tristan vous fera un retour d’expérience sur le sujet, tout en vous partageant son point de vue en tant qu’enseignant. Il vous en dira ensuite plus sur son métier, notamment avec la présentation d’un projet de lycée géré en BIM management par EPIGRAM. On vous donne rendez-vous le jeudi 31 Mars à 17h30 ! Inscrivez-vous à l’événement ici. Rejoignez le groupe Linkedin de L’AfterBIM ici. 
Il y a 3 ans et 80 jours

Un immeuble mixte à la matérialité brute et soignée par Gilles Perraudin, à Caluire-et-Cuire

Le traditionnel cycle de conférences Bellastock a débuté mardi 1er mars 2022. Intitulé « S’outiller sans souiller », il aborde cette année les notions d’outils, de savoir-faire, de lieux et de ressources. Rendez-vous le mardi 8 mars à l’ENSA Paris Belleville pour son deuxième épisode […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 81 jours

Saint-Gobain annonce des résultats record en 2021 grâce à l'isolation des logements

Le groupe français a annoncé un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros en 2021, en hausse de 15,8% par rapport à celui de 2020.Son résultat net a quintuplé à 2,5 milliards d'euros contre 456 millions en 2020, et 1,4 milliard en 2019.Le résultat net courant s'inscrit à un "record historique" de 2,8 milliard d'euros. Et, "pour la première fois", le groupe a atteint "une marge à deux chiffres" (+10,2%), a indiqué son directeur-général Benoit Bazin au cours d'une conférence téléphonique.Le groupe a vécu une "très belle année 2021", a résumé M. Bazin qui a pris les rênes du groupe mi-2021, succédant à Pierre-André de Chalendar.Il attribue les résultats notamment à son modèle d'organisation local. Celui-ci lui permet de réagir au plus près des demandes de ses clients, et notamment de régler les problèmes d'approvisionnement qui se sont multipliés en 2021 avec la crise logistique qui a suivi les confinements, mis à profit par beaucoup de gens pour rénover leur intérieur ou isoler leur logement."35 millions de bâtiments à rénover en Europe""Il y a 35 millions de bâtiments à rénover et isoler en Europe d'ici 2030" pour faciliter la transition énergétique, a souligné M. Bazin, qui compte pour 2022 sur l'ouverture du marché de la rénovation des bâtiments publics en France, et sur l'ouverture de mesures de soutien dans la rénovation énergétique en Allemagne.En France, l'an passé, le groupe a tiré parti du dispositif de soutien aux ménages MaPrimeRenov' qui représente quelque 2 milliards d'euros distribués pour plus de 800.000 dossiers.Il a aussi bénéficié de "trois à cinq millions d'euros" de subventions distribuées dans le cadre du plan de relance pour investir sur des projets de décarbonation liés notamment à l'achat de fours électriques, a indiqué M.Bazin.Deuxième explication évoquée par le dirigeant pour expliquer les bons résultats : une "allocation rigoureuse et disciplinée du capital".En clair, le groupe s'est délesté l'an passé d'actifs jugés "sous performants" ou pas suffisamment dans ses priorités stratégiques, comme la chaine française d'ameublement Lapeyre, alors qu'il a investi dans des acquisitions jugées "rentables", notamment dans le secteur de la chimie de la construction.Enfin, Saint Gobain s'est aussi félicité de "fortes avancées" sur les aspects sociaux et environnementaux. En particulier il s'est dit "en ligne" avec son objectif de réduire de 33% ses émissions de gaz à effet de serre (scope 1 et 2) d'ici 2030, validé par l'organisme Science-Based target (SBT).Alors que les déchetteries sauvages liées aux déchets du bâtiment continuent de se multiplier en France, le groupe affirme avoir baissé de 24% le volume de ses déchets non valorisés depuis 2017.Il a aussi souligné que les investissements en Norvège visant à faire de son usine de Fredikstad la première usine du monde de plaques de plâtre neutre en carbone "ont bien progressé".Les actionnaires sont récompensés : le conseil d'administration de jeudi a décidé du versement d'un dividende de 1,63 euro par action, en hausse de 23% par rapport à celui de 2020, ce qui représente 30% du résultat net courant.Le groupe allouera aussi "au moins" 400 millions d'euros en rachat de ses propres actions en 2022 pour continuer à réduire le nombre de ses titres en circulation. Le prix d'achat sera relevé de 80 à 100 euros par action.
Il y a 3 ans et 81 jours

Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, en conférence à l'École de Chaillot

Les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prestigieux prix Pritzker en 2021, donneront une conférence le lundi 7 mars 2022 à l'invitation de École de Chaillot, à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris. Troisième et quatrième français à être distingués par le prix […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 81 jours

Université populaire à l’arsenal et sur la toile

Le rendez-vous immanquable d’université populaire que Richard Scoffier a débuté au Pavillon de l’Arsenal reprend vie. Est invité tout public voulant comprendre les fondamentaux de l’architecture, à écouter une démonstration presque hypnotique, dont seul Richard Scoffier détient le secret. Entre architecture, philosophie, spectacle, et enseignement, laissez-vous emporter par des paroles aussi captivantes qu’instructives. La dernière nouveauté, c’est l’enregistrement sous forme...
Il y a 3 ans et 82 jours

Les cercles du lac, au Canada, par WAW Architectes

Au sein du Parc Omega, au Québec, WAW Architectes est lauréat en août 2021 d’un concours international avec un programme touristique proposant la création de la réception, d’un hôtel, un centre de conférence et d’un centre de loisir & spa. Le coût – 27,5 M€HT – permet ici la quadrature des cercles du lac. Communiqué. […] L’article Les cercles du lac, au Canada, par WAW Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 84 jours

"La Rep peut être une opportunité de business", DG, Tout Faire

INTERVIEW. Groupement indépendant d'entrepreneurs de négoce, Tout Faire, a réuni fin janvier à Toulouse ses adhérents et plus de 200 fournisseurs lors de son salon annuel. L'occasion de dévoiler son nouveau logo, concept magasin, et d'afficher clairement ses ambitions pour les années à venir. Charles Gaël Chaloyard, son directeur général, nous en dit plus.
Il y a 3 ans et 84 jours

Muuto choisit Himacs pour ses flagships européens

Ancré dans la tradition du design scandinave et caractérisé par une esthétique durable, une fonctionnalité et un savoir-faire, Muuto est un grand nom du marché européen du mobilier contemporain. Dans ses trois showrooms de Paris, Stockholm et Copenhague, Muuto présente le meilleur des designs créatifs et avant-gardistes. HIMACS a été choisi pour les blocs de présentation et la signalétique en raison de ses propriétés hygiéniques et modulables.Après le flagship de Stockholm et le showroom de Copenhague, le site de Paris présente la collection de Muuto, qui offre de nouvelles perspectives sur le design scandinave en matière de mobilier, d'éclairage et d'accessoires. L'espace de 235 m² offre une expérience commerciale moderne, avec HIMACS de LX Hausys, dans sa version Sapphire de la collection Lucent et l'iconique Alpine White pour les blocs d'exposition modulaires, ainsi que la signalétique intérieure et extérieure.
Il y a 3 ans et 84 jours

Les sculptures en carton ciselé d'Eva Jospin, au musée de la Chasse et de la Nature à Paris

Les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prestigieux prix Pritzker en 2021, donneront une conférence le lundi 7 mars 2022 à l'invitation de École de Chaillot, à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris. Troisième et quatrième français à être distingués par le prix […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 84 jours

Rairies Montrieux fête 110 ans de savoir-terre au service d'une marque tournée vers l'avenir

Ce procédé a fait la renommée de RAIRIES MONTRIEUX qui conserve son savoir-faire ancestral malgré l’industrialisation du processus.RAIRIES MONTRIEUX produit aujourd’hui des briques, des carreaux et des plaquettes de parement en terre cuite naturelle ou émaillées pour les sols, murs intérieurs, façades extérieures et aménagement des jardins.Feu sacré et esprit de familleLa région environnante des Rairies, située à la limite du Maine-et-Loire (49) et de la Sarthe (72), dispose d’une argile dite rouge qui a fait sa renommée quant à la transformation de l’argile en terre cuite. Du XVIIe au XVIIIe siècle, la réputation du village est bien établie, mais c’est à partir de 1864 que la reconnaissance du savoir-faire des villageois des Rairies s’établie fortement.En dehors de l’argile, une briqueterie a besoin de deux éléments indispensables : un puit, un four. La halle de fabrication et la grange étant des constructions facultatives. La grange (ou le séchoir) est une construction en bois dont la charpente présente quatre pans bas couverts de tuiles dont la forme et la disposition assurent une bonne circulation de l’air sans laisser pénétrer la pluie. A ce jour, Rairies Montrieux exploite cette grange en lieu d’exposition.Assurer la transition entre procédé ancestral et industrialisationUne fois l’argile étirée, après trois semaines de séchage, les matériaux (briques, carreaux, plaquettes, etc.) sont méthodiquement disposés dans le four qui leur donne cette teinte spécifique. Après préchauffage du four, la cuisson dure environ trente-six heures sans discontinuer (la température du four oscillant entre 800°C et 1 200°C selon la météo). Une semaine s’écoule entre le début du remplissage du four et la fin du cycle de cuisson. Si la technique de fabrication des produits en terre cuite demeure inchangée, certains procédés se sont industrialisés depuis 1910 (date de création de RAIRIES MONTRIEUX par Ernest et Victor Montrieux) ; période où la demande de produits en terre cuite devient plus forte. On remplace alors l’homme par des machines puis la généralisation de l’électricité complète l’industrialisation de la production. Malgré cela, le processus de fabrication n’a pas fondamentalement changé. La cuisson se fait toujours en partie au four à bois, rien ne pouvant remplacer l’intervention humaine pour maîtriser parfaitement tous les paramètres.Pérenniser l'entrepriseIssu de la septième génération d’une famille de briquetiers, Rémy Montrieux prend la direction de la société en 1972. Il commence alors à moderniser les outils de production et oriente les produits de la marque vers les architectes en proposant des solutions de façades. Le pari s’avère aujourd’hui gagnant, l’entreprise étant présente sur tout le territoire et voit ses ventes à l’export progresser. Grâce à sa clientèle composée de 90% de professionnels ainsi qu’à sa renommée, RAIRIES MONTRIEUX participe à près de 300 chantiers par an dont de prestigieuses réalisations comme le conservatoire de Nantes, le Cité du cinéma à Paris, les Hexagones à Londres, le siège de l’Immobilière Podelhia à Angers...Une marque de reconnaissance, une reconnaissance de la marqueEn 2006, RAIRIES MONTRIEUX obtient le label “Entreprise du Patrimoine Vivant”. Véritable marque de reconnaissance octroyée par l’État, cette labellisation créée en 2005 lui offre une place de choix dans le peloton des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence. Délivré sous l’autorité du ministère de l’Économie et des Finances après une instruction rigoureuse, ce label a pour objectif de récompenser des petites et moyennes entreprises emblématiques de l’excellence française industrielle ou artisanale. Ses critères permettent de souligner nettement la haute valeur ajoutée d’une fabrication “made in France”. Ce label couronne ainsi le savoir-faire de RAIRIES MONTRIEUX valorisant une tradition, renommé et ancien, reposant sur la maîtrise de techniques ancestrales et lié aux origines d’un territoire.En 2020, RAIRIES MONTRIEUX reçoit également le label ”Produit en Anjou”, dont la vocation est de mettre en valeur et de faire connaître les nombreux savoir-faire du Maine-et-Loire. Dans un contexte de mondialisation des échanges, ce label est un signe de reconnaissance destiné à promouvoir les produits et services élaborés en Maine-et-Loire, en conjuguant énergie et transparence. L’obtention de cette marque territoriale repose sur deux critères cumulatifs : plus de 50 % de la valeur ajoutée du produit doit être acquis sur le territoire du Maine-et-Loire et les éléments constitutifs du produit doivent être issus ou élaborés dans le département.Un laboratoire R&D au service du sur-mesureLe laboratoire R&D et le bureau d’étude de RAIRIES MONTRIEUX sont à même de répondre à de nombreuses problématiques en apportant des solutions techniques inhérentes à chaque projet.Créateur de nouvelles tendances, RAIRIES MONTRIEUX peut s’appuyer sur un laboratoire de recherches où la compétence des employés performe au quotidien afin de garantir des réalisations de qualité irréprochable. Cette expertise autorise entre autres la création de nouvelles couleurs et une réponse sur mesure en coloris sur la base de teintes RAL. RAIRIES MONTRIEUX s’est ainsi positionné comme l’un des acteurs majeurs de l’émaillage couleur, pour des produits de caractère.La préoccupation de l'environnementProtection des ressources : de l’extraction des carrières au recyclage de la matière finale, la terre cuite s’inscrit dans le projet du développement durable et de la norme Haute Qualité Environnementale (H.Q.E.). L’entreprise s’engage dans la maîtrise des matières premières et la remise en état des sites d’extraction en fin d’exploitation.Économie d’énergie : grâce à la limitation des ressources énergétiques et des rejets dans l’atmosphère, le recours au bois pour la cuisson pour les tomettes et le séchage naturel permettent de réduire la consommation d’énergie fossile.Recyclage des eaux : le site de production intègre une station de traitement et de recyclage des eaux usées pour avoir une politique zéro déchet et être une entreprise respectueuse de l’environnement.Déchets écologiques : classés inertes (décret 2002), les déchets de terre cuite sont garantis non dangereux pour la santé humaine et pour l’environnement.
Il y a 3 ans et 85 jours

Trophées des TP 2022 : Eiffage remporte le Grand Prix

Témoigner de la force de l’innovation mise au service de la transition écologique tel était l’objectif de l'édition 2022 des Trophées des TP. Un événement qui vient de couronner le projet d’autoroute bas Carbone porté par le groupe de BTP.
Il y a 3 ans et 85 jours

2022 : Année Internationale du verre, une double cérémonie d'ouverture à l'ONU à Genève et au Palais du Luxembourg à Paris

Les interventions de 30 experts ont permis de mettre en lumière les dernières réflexions sur la manière dont le verre peut contribuer au développement de sociétés plus justes et durables, ainsi que les dernières avancées scientifiques et techniques.En France, le 11 février 2022, la Fédération des Industries du Verre et la Fédération du Cristal et du Verre ont organisé la conférence d'ouverture « Le verre pour un quotidien durable », au Palais du Luxembourg sous le parrainage de Catherine Dumas, Sénatrice de Paris et Présidente du Groupe Métiers d'Art.En introduction, la présentation de l'atelier Barrois a permis de mettre en avant le potentiel créatif et d'innovation du verre.« Le verre pour un quotidien durable » Deux tables rondes ont été ensuite organisées. La première dédiée au changement climatique a mis en avant les engagements et les actions concrètes de l'industrie verrière avec le témoignage de trois entreprises. Cette table ronde a démontré que la décarbonation est la priorité dans l'agenda de l'industrie verrière.La seconde a été consacrée à la diversité des usages du verre au travers de plusieurs témoignages d'utilisateurs (design, architecture, univers du luxe). Elle a ainsi présenté le formidable potentiel du verre dans le domaine de la création de formes et de produits, dans celui de l'habitat durable avec l'accès à la lumière renforcé et des performances thermiques améliorées. Et enfin dans le domaine du luxe, l'accent a été mis sur la contribution du verre aux succès des grandes marques françaises au niveau mondial. Pour Jacques Bordat, président de la Fédération des Industries du Verre : « le verre, omniprésent dans notre vie au quotidien, s'inscrit parfaitement dans une logique d'un monde durable. La transition de l'industrie verrière vers un monde décarboné est en marche. » Pour Jérôme de Lavergnolle, président de la Fédération du Cristal et du Verre : « la fierté de toute une profession de participer à cette formidable aventure grâce un matériau durable aux multiples usages et à la mise en œuvre de savoir-faire d'exception ». De très nombreux événements seront organisés tout au long de l'année 2022 afin de mieux faire connaître le verre, mettre en avant l'excellence et la diversité de ses métiers et savoir-faire et informer les jeunes générations des perspectives que l'industrie du verre peut leur offrir.Le site anneduverre2022 montrera les actions menées par la communauté verrière sur l'ensemble du territoire notamment à travers les routes du verre, initiative visant à faire connaître les sites verriers en France au plus grand nombre.
Il y a 3 ans et 85 jours

L'immobilier ancien de plus en plus cher, porté par les maisons

De quoi confirmer l'envie de vert et d'espace qui a surgi chez les Français après les confinements de 2020. En 2021, le prix des maisons en France a grimpé de 9%, alors que celui des appartements n'a augmenté "que" de 4,6%."2021 était une année exceptionnelle, ça se confirme", a déclaré en conférence de presse Thierry Delesalle, président de la commission Immobilier des Notaires du Grand Paris.Le nombre de ventes a atteint un niveau record depuis 2000, avec 1.178.000 transactions sur l'année 2021.En glissement annuel sur 12 mois, le record absolu a été atteint au troisième trimestre 2021, avec 1.212.000 transactions sur toute la France, une période qui prenait en compte les derniers mois de 2020, quand beaucoup de ventes consécutives à la sortie des confinements ont été conclues.David Ambrosiano, président du Conseil supérieur du notariat, voit dans cette tendance "un rattrapage post confinement dans les premiers mois et un effet d'anticipation pour 2022". Il s'attend à un volume de transactions qui "pourrait se stabiliser en 2022 à un niveau toujours élevé".Paris, "ouf, on souffle!"Une exception à cette hausse généralisée des prix : Paris. La capitale est le seul territoire où les prix ont baissé en 2021, de 1,6%. Ils restent néanmoins à des niveaux stratosphériques, avec un prix moyen au mètre carré de 10.550 euros."C'est +ouf, on souffle!+", a commenté Me Delesalle.Et plus on s'éloigne de Paris, plus les prix des appartements augmentent. +2,3% pour la petite couronne, +3,8% pour la grande couronne, +8% en métropole hors Île-de-France."Le Covid a marqué les esprits, parce qu'en étant confinés dans des appartements sans terrasse, sans balcon, sans pouvoir sortir, je pense que les gens ont pris conscience du fait que Paris ne fait pas tout", affirme à l'AFP Guillaume Martinaud, président du réseau d'agences Orpi. La capitale n'en est pas pour autant devenue un repoussoir : le nombre de ventes augmente, sans que cela se traduise pour l'instant sur les prix, a relevé Me Delesalle."Paris est en train de retrouver une vraie compétitivité, surtout par rapport aux autres capitales à l'étranger, qui augmentent beaucoup", a-t-il affirmé.Car là où le logement flambe dans plusieurs pays (Australie, Turquie, Europe du Nord...), en France, la hausse des prix, quoique sensible, est "égale à l'inflation" sur les derniers trimestres de l'année, note Me Delesalle.Une donnée clé, alors que la question du pouvoir d'achat est de plus en plus prégnante dans le débat public, et que le logement est le premier poste de dépenses des ménages en France."Il y a toujours autant d'envie de déménager, d'avoir de l'espace, mais les gens font tout de même attention au pouvoir d'achat", affirme Guillaume Martinaud du réseau Orpi.Ainsi, en 2022, si les carburants continuent de coûter très cher, cela pourrait avoir un impact sur l'attractivité des campagnes et "toutes les zones où vous avez besoin de voitures pour vous déplacer".
Il y a 3 ans et 85 jours

Quelles (r)évolutions pour le négoce à horizon 2030 ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Transitions numériques et énergétiques, attentes client... Comment le négoce effectue sa mue ? C'est à cette question que Bigmat, Sonepar et l'Observatoire des métiers du négoce et des matériaux de construction répondront le jeudi 10 mars de 9h30 à 11h à l'occasion d'une visio-conférence organisée par Batiactu.
Il y a 3 ans et 85 jours

Exposition : Faites “Le Grand Tour” à la Maison de l’architecture Ile-de-France

L’œuvre du Docteur Paper sur les architectures des villes du monde sont à retrouver à la Maison de l’architecture Ile-de-France, jusqu’au 15 avril. [©Alban Lecuyer] Jusqu’au 15 avril prochain, la Maison de l’architecture Ile-de-France (Paris Xe) présente l’exposition “Le Grand Tour”. A travers une sélection des œuvres de l’illustrateur nantais Jérôme Baillet, allias Docteur Paper, l’évènement porte un regard patrimonial sur la série de dessins “Travel With Me”, dont l’artiste célèbre les 10 ans cette année. Un tour de l’architecture de 24 villes du monde capturées au cours de ses voyages, que l’exposition accompagne du récit qui a façonné l’évolution de ces villes. Discussions et ateliers rythment l’exposition d’une durée de deux mois. En son cœur, le visiteur découvre un vaste module, en pliage papier, permettant de passer de la 2e à la 3e dimension. Une ville recomposée et fantasmée… Des espaces sont aussi laissés libres et seront complétés par les créations d’enfants réalisées pendant des ateliers animés par “Les P’tits archis”, fondés par Aude de Kerangué pour initier les jeunes à l’architecture et à la ville. Une invitation aux voyages A l’origine de l’exposition, une réflexion : “Et si les œuvres de Docteur Paper devenaient le support d’une histoire patrimoniale et architecturale des villes qu’il représente ?” Par un travail complexe sur les perspectives et les juxtapositions, l’illustrateur révèle les différentes strates historiques des villes qu’il visite. De la bourgade à la métropole, de l’art roman au style international : quels sont les grands objets architecturaux qui composent nos villes ? Comment l’histoire nous les a-t-elle légués ? Que retient-on de nos voyages ? Qu’est-ce qui fonde l’imaginaire d’une ville ? Autant de questions qui peuvent trouver un début de réponse dans les créations de Docteur Paper. [©Alban Lecuyer][©Alban Lecuyer][©Alban Lecuyer] Un panel d’architectures Infatigable voyageur, l’illustrateur dessine au feutre, d’un trait précis, les items des villes qu’il découvre. Architecture, trame urbaine, véhicules, ouvrages d’art ou encore enseignes publicitaires marquent la mémoire de ses pérégrinations. Et participent à livrer une vision patrimoniale de la ville. Au-delà de l’œuvre, c’est un instantané qu’il nous fait découvrir, une histoire qu’il nous raconte. Des gratte-ciels iconiques de New York au dôme géodésique de la Biosphère, à Montréal. Mais aussi, des rues étroites du vieux Paris à la célèbre “Chaussure de ski” de l’architecte Christian de Portzamparc, à Lille. En passant par le calme des bords de la Garonne, à Bordeaux à la vie trépidante du centre d’Osaka… Plus qu’une invitation aux voyages, les dessins en noir et blanc et le sens du détail de l’artiste plaident pour une pédagogie architecturale. Jusqu’au 15 avril 2022 Exposition à la Maison de l’architecture Ile-de-France, 148 rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris
Il y a 3 ans et 85 jours

Dubaï lance son "Musée du Futur"

Le Musée du Futur, un nouveau centre mondial pour la pensée, les technologies et l'innovation du futur, sera lancé aujourd'hui aux Émirats. Le Musée, situé dans la ville de Dubaï, est une exposition permanente de visions inspirantes pour l'avenir de l'humanité et un centre mondial d'inspiration, d'innovation et de développement de solutions aux défis et aux opportunités du développement humain.Surnommé "le plus beau bâtiment du monde" et conçu par la Dubai Future Foundation, le Musée bouleverse le concept traditionnel de musée, qui consiste en une exposition statique d'objets historiques. Ce Musée sert d’expérimentation pour les nouveaux concepts, idées, visions et innovations qui transformeront nos vies, amélioreront la société et profiteront au monde entier. Il reflète l'évolution rapide de l'environnement intellectuel dans des domaines tels que : la science, l'intelligence artificielle, l'exploration spatiale, l'adaptation au climat, la vie urbaine et la mobilité. Par ailleurs, il intégrera les nouvelles idées, les derniers résultats de la recherche et les capacités émergentes dans ces domaines.Le Musée du Futur est un "musée vivant", qui “s'adapte et se métamorphose en permanence, car son environnement même entraîne des changements continus et itératifs dans ses expositions et ses attractions", a déclaré Mohammed Al Gergawi, ministre des Affaires du Cabinet des Émirats arabes unis et Président de la Dubai Future Foundation. "Le Musée rassemble des futuristes, des penseurs, des innovateurs et le public dans une expérimentation d'idées qui définissent le monde du futur et façonnent la façon dont nous interagissons avec notre monde à venir."Le Musée du Futur contribuera à créer un mouvement intellectuel mondial profond et étendu, dédié à l'exploration et à la prévision des changements futurs dans les domaines de l'innovation, de la science, du développement économique et culturel au service de l'humanité.En tant que centre mondial pour le développement de la pensée futuriste, il mettra en relation des penseurs, des spécialistes et des experts du monde entier en accueillant des forums, des recherches et des sessions de connaissances tout au long de l'année. Il diffusera également des connaissances et des recherches et mettra en lumière les changements technologiques les plus importants, les nouvelles découvertes scientifiques et les tendances émergentes.Pour S.E. Mohammed Al Gergawi : “C'est le plus beau bâtiment du monde. Il est beau en raison de sa conception, il est beau en raison de son message et il est beau en raison de son objectif. Nous pensons que les 50 prochaines années seront marquées par autant de nouveaux défis et de nouvelles opportunités, par autant de changements que les 500 dernières années, et même plus. C'est le centre mondial où le monde peut partager des visions pour ce changement à venir."Pour Khalfan Belhoul, PDG de la Dubai Future Foundation : "que le Musée est un centre nous permettant de définir notre avenir humain. L’ensemble de la structure représente l’humanité et se dresse sur une colline verte, caractérisant la Terre, et l’espace en son cœur signifie un avenir encore à découvrir. C’est la porte d’entrée de notre monde futur."Conçu par l'architecte Shaun Killa de Killa Design, le bâtiment a été pensé comme une icône architecturale et culturelle, et constitue un exploit remarquable de conception et d'ingénierie assistées par ordinateur. Sa conception paramétrique, créée par un processus de conception algorithmique qui prend en charge des géométries complexes, et l'utilisation innovante du Building Information Modelling (Bim), une technologie de conception basée sur des modèles tridimensionnels, ont donné naissance à une structure toroïdale de 77 mètres de haut et mise en œuvre sans utiliser une seule colonne.La façade du Musée s'étend sur une superficie de 17 600 mètres carrés. Réalisée en acier inoxydable, composée de 1 024 pièces d'art fabriquées à l'aide de robots capables de créer les formes les plus exigeantes, la façade a été construite sur une période de 18 mois et comprend un assemblage complexe de panneaux de matériaux composites à quatre couches nécessitant chacune plus de 16 étapes de traitement. Elle est éclairée par 14 000 mètres de lignes lumineuses, traçant une calligraphie arabe représentant trois citations sur l'avenir de Son Altesse Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Vice-Président et Premier ministre des EAU et dirigeant de Dubaï. Les 1 024 panneaux ont été choisis pour représenter un kilobyte, soit 1 024 caractères.Les trois citations inscrites sur le bâtiment en calligraphie arabe sont les suivantes :"Nous ne vivrons peut-être pas pendant des centaines d'années, mais les produits de notre créativité peuvent laisser un héritage longtemps après notre disparition" ;"L'avenir appartient à ceux qui peuvent l'imaginer, le concevoir et l'exécuter. Ce n'est pas quelque chose que l'on attend, mais que l'on crée" ;"L'innovation n'est pas un luxe intellectuel. Elle est le secret de l'évolution et du rajeunissement des nations et des peuples".Le Musée du Futur est alimenté par 4 000 mégawattheures par an d'énergie solaire générée par un parc solaire dédié et répond aux plus hautes normes mondiales de durabilité.Le cœur du Musée est son hall polyvalent, qui peut accueillir plus de 1 000 personnes, ainsi qu'une salle spéciale pour les conférences et les ateliers interactifs, qui peut accueillir plus de 345 personnes. Le Musée comprend également des laboratoires d'innovation pour la santé, l'éducation, les villes intelligentes, l'énergie et les transports, une exposition permanente des innovations futures et des laboratoires pour générer et tester des idées, notamment dans les domaines de développement liés aux défis de la société.Le Musée intègre également une plateforme permettant de présenter et de tester les innovations de certains des leaders et entrepreneurs mondiaux en matière de technologie et d'innovation, un lieu de partenariat avec de grandes universités et des instituts de recherche internationaux, des cours de recherche avancée sur les dernières découvertes en sciences humaines ainsi que des ateliers spécialisés.Expositions expérientielles pour les visiteurs publicsLe Musée contient une série d'expositions expérimentales que le grand public peut visiter et s'inspirer des différents aspects de la pensée du futur. Réparties sur cinq niveaux du bâtiment de sept étages, elles comprennent, de haut en bas, OSS Hope, The Heal Institute, Al Waha, Tomorrow Today et Future Hereos.OSS Hope est une présentation de la maison de l'humanité dans l'espace, où les visiteurs pourront jouer leur propre histoire, rejoindre leur communauté et découvrir ce que pourrait être la vie à bord d'une immense station spatiale en 2071.The Heal Institute présente une expérience de forêt tropicale luxuriante, une recréation numérique d'une partie réelle de la forêt amazonienne à Leticia, en Colombie, décrivant l'écosystème avec un réalisme inégalé. Le simulateur de l'écosystème de la forêt tropicale aide les visiteurs à mieux comprendre la nature et leur responsabilité à son égard alors que nous sommes confrontés à des changements environnementaux.Al Waha est l'occasion pour les visiteurs de s'explorer dans un monde qui simule leurs sens, en s'embarquant pour un voyage privé dans un environnement centré sur la santé et le bien-être, détaché de la technologie, leur permettant de méditer, de se reconnecter avec eux-mêmes et de rétablir leur équilibre naturel.Tomorrow Today explore les manières contrastées dont la technologie peut façonner l'avenir et les réponses variées qu'elle peut apporter aux défis auxquels la planète et la société sont confrontées. Plus de 50 expositions présentent des prototypes et des produits actuels dans cinq domaines, dont la gestion des déchets, l'environnement, la sécurité alimentaire, l'agriculture et l'irrigation, et l'urbanisme.En bas des niveaux d'exposition publique, Future Heroes est un espace de jeu conçu pour les enfants de moins de 10 ans, qui encourage les jeunes esprits à faire de nouvelles découvertes sur eux-mêmes et sur le monde qui les entoure.
Il y a 3 ans et 85 jours

Klépierre envisage un retour à la normale en 2023

"L'année 2022 est parfaitement au milieu de ce retour à la normale. On va montrer que non seulement on a passé la crise, mais que le retour à une activité normalisée va se faire facilement, pour moitié en 2022 et pour moitié en 2023", a déclaré Jean-Marc Jestin lors d'une conférence téléphonique.La foncière, qui gère une centaine de centres commerciaux en Europe, notamment en France et Italie, ses premiers marchés, va distribuer un dividende de 1,70 euro par action, contre 1 euro en 2020.Son chiffre d'affaires s'est établi à 1,07 milliard d'euros, en baisse de 5,3% par rapport à 2020. Ses revenus locatifs nets, eux, ont progressé, de 3,9% à 879,5 millions, mais restent loin des niveaux de 2019, avant la pandémie, quand ils étaient de 1,11 milliard.Les restrictions sanitaires ont pesé davantage sur le groupe en 2021 qu'en 2020, indique-t-il, avec en moyenne 2 mois et demi de fermeture contre 2 mois l'année précédente.La valeur de ses actifs a diminué de 5,2% à 20,71 milliards d'euros, Klépierre s'étant délesté de sites pour réduire sa dette, de 8,01 milliards au 31 décembre.Le groupe va continuer de céder des centres commerciaux pour se recentrer sur les grandes métropoles européennes, a détaillé Jean-Marc Jestin. Au cours du second semestre, le taux de vacance s'est établi à 5,3%, un peu plus que le taux de 3% considéré comme "normal" hors crise sanitaire.
Il y a 3 ans et 85 jours

Mondial du bâtiment2022 une mobilisation sans précèdent pour porter toutes les réponses aux défis actuels et futur bâtiment

 Événement international de référence des secteurs du bâtiment, de la construction et de l’architecture, le Mondial du Bâtiment ouvrira ses portes à Paris Expo Porte de Versailles du 3 au 6 octobre 2022. En phase avec toutes les grandes mutations du secteur, il s’affirme comme un évènement incontournable pour tous les acteurs de la filière qui […]
Il y a 3 ans et 85 jours

Les inscriptions pour le concours Architendance sont ouvertes

L’appel à projets pour la 6ème édition est ouvert jusqu’au 30 juin 2022.Qui peut s’inscrire ? Tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France, inscrits à l’Ordre. Inscriptions sur le site dédié.Quels types de projets ?Ouvrages de moins de 4 ans ou en cours d’achèvement au 30 juin 2022Constructions neuves, opérations de réhabilitation, extension ou rénovation4 catégories : logement individuel, logement collectif, habitat Intermédiaire, équipement & bâtiment tertiaire Critères d’appréciation par le juryMise en valeur de la tuile terre cuite et originalité dans le traitement du toit et/ou de la façade Qualité du projet architectural Pertinence du programme et intégration dans le contexte. Jury et prix Le jury, présidé par Anne-Sophie Kehr, Présidente du rma (réseau des maisons de l’architecture), est constitué par des architectes lauréats des éditions précédentes, d’enseignants en Ecole d’architecture et de journalistes spécialisés. Outre les lauréats de chaque catégorie désignés par le jury, un Prix du public sera attribué par un vote sur Instagram. AgendaClôture des inscriptions : 30 juin 2022 Jury : 15 septembre 2022 Remise des prix : 21 octobre 2022 lors de la Biennale du réseau des maisons de l’architecture. La Tuile Terre Cuite Architendance 2012-2022 : le concours fête ses 10 ansEn 10 ans, la tuile est devenue matériau d’architecture Pour Jean-Baptiste Fayet, Président du Groupement des Tuiliers de la Fédération Française des Tuiles et Briques : «Le Grand Prix la Tuile Terre Cuite Architendance a été créé en 2012 à l’initiative de la Fédération Française des Tuiles et Briques, soutenue par le Réseau des maisons de l’architecture. Son ambition est de donner tous les deux ans de la visibilité à des réalisations architecturales contemporaines exemplaires mettant en œuvre de la tuile terre cuite en toiture ou en façade. En cinq éditions, ce sont près de 400 agences qui ont proposé des réalisations. »Pour Anne-Sophie Kehr, Présidente du Jury depuis 2018 et Présidente du Réseau des maisons de l’architecture : « Depuis l’origine, les réalisations primées par le jury partagent à travers le temps des valeurs communes : elles s’inscrivent dans une quête d’innovation, sont porteuses de valeurs d’usage nobles, en dialogue avec leur environnement et leur histoire. » «Pour les fabricants de tuiles, le Concours est un moment d’échanges précieux avec les architectes dont le regard et les attentes sont des sources de réflexion, de recherche et d’innovation » ajoute Jean-Baptiste Fayet.Un concours pour mettre avant la diversité d’usage et la modernité de la Tuile Terre Cuite « Le temps d’une décennie, de nouveaux usages se sont développés : davantage de faibles pentes, passage du toit vers la façade, formes complexes… La palette de teintes est désormais très large, depuis des coloris naturels et nuancés jusqu’à des rendus des blancs ou noirs en mat ou brillant, émaillés et vernissés, sans compter les créations sur mesure… » note Jean-Baptiste Fayet qui poursuit : « La modernité de la terre cuite, c’est aussi de répondre aux enjeux durables qui s’imposent aux bâtisseurs : elle est pérenne dans le temps, fabriquée avec une matière première naturelle, géo-sourcée, renouvelable, recyclable ». 10 ans et 5 palmarès qui reflètent l’évolution de nos façons de vivre Les palmarès reflètent également les évolutions de nos façons de vivre chez soi et ensemble, avec notre famille, nos voisins, nos liens avec le paysage, avec l’environnement, avec le présent et le passé. « Les projets récompensés sont tous créateurs d’une nouvelle harmonie et de lien avec leur environnement, gage d’intégration dans un site. Au fil des années, c’est moins le geste architectural fort qui séduit le jury que des projets qui affirment quelque chose de très symbolique rappelant que la fonction primaire de l’architecture, c’est de nous abriter » conclut Anne-Sophie Kehr.
Il y a 3 ans et 86 jours

La verrière de l’Hôtel de la Marine, signée Bottineau et Dutton, brille de mille feux

La verrière de l’Hôtel de la Marine, Paris (VIIIe), crée par les architectes Christophe Bottineau et Hugh Dutton pour le Centre des monuments nationaux maître d’ouvrage, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2021 dans la Catégorie « Innover ». Brillante innovation ! La verrière est située à l’Hôtel de la Marine, Place de la Concorde […] L’article La verrière de l’Hôtel de la Marine, signée Bottineau et Dutton, brille de mille feux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 86 jours

Couverture de la Domus PC 2 à Bibracte par Paul Andreu et T/E/S/S

La couverture des fouilles archéologiques de Bibracte (Saône-et-Loire), destinée à protéger la maison Domus PC 2 et conçue par Paul Andreu et l’atelier T/E/S/S, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2021 dans la Catégorie « Architecture & Ingénierie ». Ou des lests en lieu de fondations… L’architecte Paul Andreu et l’atelier d’ingénierie T/E/S/S ont […] L’article Couverture de la Domus PC 2 à Bibracte par Paul Andreu et T/E/S/S est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 87 jours

Rockwool remporte le trophée de la Relation Commerciale France Matériaux

Chaque année France Matériaux, groupement de négoces en matériaux indépendants, adresse à ses 147 adhérents un formulaire pour évaluer leurs fournisseurs sur trois critères essentiels : relation commerciale, dynamique de l'offre et qualité de service. Véritable reconnaissance par les paires, les fournisseurs les mieux notés sont alors récompensés par le Trophée France Matériaux. Parmi les Lauréats 2022, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, s’est vu attribuer le Trophée de la Relation Commerciale. En 2020 ROCKWOOL avait déjà reçu une récompense aux Trophées du Négoce dans la catégorie « Service aux négoces » pour sa plateforme intuitive Rockcommerce, une plateforme digitale sur mesure permettant aux clients ROCKWOOL d’harmoniser et d’optimiser la réalisation de l’ensemble des démarches, le tout de manière autonome : consulter l’ensemble des fiches produits, passer une commande de manière simplifiée, effectuer un tracking en temps réel sur les livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver les factures.« Nous remercions tous les adhérents de France Matériaux qui à travers ce prix viennent souligner le travail des équipes du service commercial de ROCKWOOL. En effet, ce sont eux qui forment cette dynamique commerciale positive et centrée sur la satisfaction du client. Aujourd’hui c’est l’ensemble de ces efforts pour accompagner et conseiller nos clients qui est récompensé par le Trophée France Matériaux.» commente Sébastien Flament, Directeur Régional Sud Est de ROCKWOOL
Il y a 3 ans et 87 jours

Le Mondial du Bâtiment revient Porte de Versailles à Paris du 3 au 6 octobre

Batimat, Interclima et Idéobain, les trois salons du Mondial du Bâtiment, feront le plein Porte de Versailles avec l’arrivée de nouveaux exposants et un programme très étoffé de conférences et d’ateliers.
Il y a 3 ans et 87 jours

2e édition des Trophées Bâtiments Résilients : mettez en avant vos projets !

Après une première édition réussie, la Mission Risques Naturels, l’Agence Qualité Construction et Construction21 relancent leur concours. Celui-ci vise à promouvoir la construction résiliente en valorisant des bâtiments exemplaires conçus pour s’adapter à un ou plusieurs aléas naturels et climatiques. Pour amplifier leur action, les organisateurs ont créé un nouveau prix, étendu la zone géographique concernée, intégré de nouveaux partenaires… Comme en 2020, tous les types de risques auxquels les projets peuvent s’adapter (mono-aléa ou multi-aléa) sont acceptés : sécheresse géotechnique (aussi nommée retrait-gonflement des argiles), séismes, tornades, submersions, grêles, mouvements de terrains, avalanches, feux de forêts… Pour cette édition, on note une forte attente du jury concernant des projets intégrant à la fois le volet « atténuation » et le volet « adaptation » face au changement climatique. Rejoignez l’aventure : les candidatures sont ouvertes jusqu’au 6 mai https://www.construction21.org/france/project/h/trophees-batiments-resilients.html Cet article 2e édition des Trophées Bâtiments Résilients : mettez en avant vos projets ! est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 87 jours

La poussière de silice dans tous ses états…

Le “Guide des actions de prévention pour les poussières de silice chez les maçons-finisseurs” [©OPPBTP] Le “Guide des actions de prévention pour les poussières de silice chez les maçons-finisseurs” a été rédigé par des membres du service de Santé au travail du BTP, des représentants d’entreprises et de partenaires institutionnels. Avant la rédaction de ce guide, une étude d’évaluation, a été réalisée à l’occasion des 35e journées nationales “Santé au travail dans le BTP”, en 2019. Résultant de cette analyse, le guide répond aux différentes problématiques soulevées, en termes de prévention et de sécurité. Ce document constitue une aide aux encadrants pour sensibiliser les maçons-finisseurs. Qu’est-ce que la poussière de silice ? On appelle silice la forme naturelle du dioxyde de silicium (SiO2). La silice entre dans la composition de nombreux minéraux et se trouve en abondance à l’état naturel dans les roches et les minéraux. A l’état libre, la silice existe sous deux formes : cristalline : quartz, cristobalite, tridymite…amorphe : terre diatomée (naturelle), gel de silice (artificiel), silice colloïdale (artificielle)… La forme cristalline est présente dans de nombreuses roches, telles que le granit, le sable… Ainsi, elle se retrouve dans les produits dérivés comme les bétons, les mortiers… Elle est essentiellement absorbée par voie respiratoire. Les particules de silice cristalline contenues dans les poussières inhalées se déposent dans la trachée, les bronches et les poumons. A forte dose, la poussière respirée peut provoquer des maladies respiratoires, comme des bronchites chroniques, une insuffisance respiratoire, voire un cancer, ou d’une tuberculose. Une étude en amont… L’étude d’évaluation des expositions aux poussières de silice cristalline chez les maçons-finisseurs réalisée, en 2019, a permis d’estimer les risques. Et cela afin, d’optimiser les moyens de prévention et de protection des travailleurs. Les résultats révèlent que 55 % des poussières de silice cristalline sont constituées uniquement de quartz. Pour 7 %, les poussières sont composées de quartz et de cristobalite. On constate aussi que 63 % des employés ne bénéficient d’aucune protection collective. Cependant, 88 % des salariés portent un appareil de protection respiratoire individuel. Preuve de la prise de conscience sur la problématique des poussières. Les maçons-finisseurs effectuent toutes les reprises sur les ouvrages existants, après bétonnage. Ils effectuent, entre autres, les premiers travaux de finition après gros œuvre, ainsi que les finitions les plus abouties. … Un guide en aval Dans les métiers du BTP, l’exposition à la silice concerne surtout les chantiers de rénovation ou de démolition. Les poussières de silice cristalline sont émises lors d’opérations courantes comme la découpe, le percement ou le décapage, sur des matériaux aussi répandus que le béton, les pierres siliceuses ou les céramiques. Il est possible d’anticiper ce risque, en adoptant des moyens de prévention adaptés aux chantiers : utiliser des dispositifs de brumisation, installer des systèmes d’aspiration sur vos outils, porter des EPI… Après évaluation des risques, le guide préconise des actions de prévention pour différentes situations de travail. Les mesures sont adaptées en fonction des chantiers et de la faisabilité technique. Pour une dizaine de situations, le guide dévoile des mesures d’ordres techniques, organisationnelles et humaines. Par ailleurs, il rappelle que le port d’EPI et l’utilisation de matériels permettent de limiter les risques. Le document met enfin en avant les obligations pour les travailleurs et pour les entreprises. Le dossier complet est à retrouver par ici 
Il y a 3 ans et 88 jours

Rénover les copropriétés

Côté magazine Côté magazine Rénover les copropriétés C’est un enjeu d’utilité publique. En rénovant les copropriétés, on répond à toutes les problématiques du moment : réduction des gaz à effet de serre, amélioration du confort, réduction de la facture énergétique, valorisation du patrimoine… Essentiel pour que le projet réussisse : les travaux doivent être parfaitement préparés et compris, que ce soit sur le plan financier ou technique. Sur ce point, les systèmes et équipements choisis devront répondre aux exigences légitimes des copropriétaires : économie, fiabilité, confort. Dossier réalisé par Stéphane Miget Photo : Marteau Apporter une réponse globale La réussite des travaux d’amélioration énergétique d’une copropriété repose sur une proposition globale, résultant d’une étude poussée sur l’ensemble des postes. Objectif : économie d’énergie, confort d’usage et requalification du patrimoine rénové… Sans parler d’une réponse aux enjeux climatiques. Le chantier de la rénovation énergétique des logements est colossal. Rien que pour les copropriétés, cela représente 8 millions de logements, dont les trois quarts ont été construits alors qu’il n’existait pas encore de réglementation thermique. Peu ou pas isolés, beaucoup de ces bâtiments sont aujourd’hui de véritables passoires thermiques. Une situation source d’inconfort et de dévalorisation du patrimoine, qui entraîne inévitablement une augmentation des charges. Et compte tenu de l’augmentation du coût de l’énergie, la situation pour de nombreuses copropriétés va devenir intenable. Or, s’ils sont bien menés, les travaux peuvent réduire fortement les consommations d’énergie – jusqu’à 45 %, a-t-on pu entendre lors du dernier Salon de la copropriété en novembre 2021 – et faire bondir, par la même occasion, la valeur du patrimoine ainsi rénové.  Aujourd’hui, tout est en place pour que les copropriétaires se lancent enfin dans des travaux de rénovation de grande ampleur, la carotte et le bâton. Côté « bâton », à partir de 2025, sera obligatoire la rénovation énergétique des logements dont le diagnostic énergétique est classé G (F en 2028). Faute de quoi, ils ne pourront plus être loués. À noter : 15 % des logements collectifs ont une étiquette énergie F ou G. Côté « carotte », des aides et des accompagnements sur mesure existent pour faciliter le passage à l’acte et peuvent concerner directement la copropriété, et plus uniquement chaque copropriétaire. De même, dans le projet de loi de finances 2022, le Gouvernement prévoit une augmentation de 2 milliards d’euros d’aides à la rénovation énergétique des bâtiments. Absence de stratégie Pourtant, force est de constater que les copropriétaires sont difficiles à mobiliser. L’important dispositif fiscal, juridique et réglementaire, mis en place depuis quelques années par les autorités publiques, n’a pas permis d’accroître significativement le nombre de rénovations globales et d’atteindre les objectifs annuels qui permettraient de porter l’ensemble du parc de logements français au standard BBC. Compte tenu de son mode d’organisation, la copropriété constitue une cible encore plus difficile à mobiliser pour des travaux d’efficacité énergétique. Chaque étape clé du projet (audit, mission de maîtrise d’œuvre, lancement des travaux) est sanctionnée par un vote en assemblée générale. Trop souvent encore, il n’y a pas de stratégie, la programmation est peu construite. Par exemple cela peut commencer par un simple devis pour une fuite en couverture. Puis on s’aperçoit, après visite de l’entreprise, que la toiture est tellement abîmée qu’il faut tout enlever. Alors l’entreprise propose une nouvelle étanchéité doublée d’un complexe isolant pour améliorer les performances énergétiques de l’enveloppe du bâtiment. Mais cela n’est pas suffisant pour être performant. Le mieux pour l’enveloppe serait de proposer une solution, couverture et façade. Outre le fait que cela sera plus efficace sur le plan thermique, notamment dans la gestion des ponts thermiques au niveau des liaisons acrotères et façades, cela permettra également d’optimiser le phasage des travaux, qui sont, la plupart du temps, réalisés en site occupé. Bâtir le projet Bref, on l’aura compris, la première étape, avant même de parler travaux, consiste à bâtir avec les copropriétaires le projet de rénovation. L’objectif est de faire émerger un consensus en répondant à toutes les interrogations. Il s’agit d’entrer dans une stratégie de participation dans la conduite de projet, voire de coconception avec de l’analyse, de l’accompagnement, de l’expertise. Et ce, afin de donner aux copropriétaires une vision de qualité et les amener en assemblée générale à retenir un programme qui fera consensus. Cette étape est indispensable pour que les travaux soient ensuite parfaitement préparés et compris, que ce soit sur le plan financier ou technique. Concrètement, après le diagnostic technique global du bâtiment (DTG), il faut élaborer le projet avec, de préférence, un interlocuteur unique. Le processus repose sur une étude de faisabilité globale d’ingénierie technique et financière. Complétée par une étude thermique et énergétique, elle permet de dessiner un panorama complet de la copropriété, afin de définir la direction à prendre et le programme, ainsi que l’objectif à atteindre. Une chose est sûre, l’augmentation du coût de l’énergie joue en faveur de la rénovation énergétique et accélère le retour sur investissement des travaux.  La seconde étape consiste à recourir à des systèmes et équipements de qualité qui sauront répondre aux exigences légitimes des maîtres d’ouvrage et occupants : économie, fiabilité et confort. Avec une constante : que les travaux soient réalisés par étape ou de façon globale, il est recommandé de traiter en priorité l’enveloppe. L’objectif est d’abord de réduire les besoins par une bonne conception des parois (traitement des ponts thermiques, étanchéité à l’air, gestion des apports solaires…). Ensuite, la réflexion portera sur le choix d’équipements techniques adaptés pour répondre aux nouveaux besoins.  Sans étude thermique et énergétique, sans audit architectural, sans ingénierie financière et donc sans aide, il n’y a pas de déclenchement de travaux d’amélioration énergétique dans une copropriété. Photo : Plurial Novilia « Réaliser des travaux permettant un gain énergétique d’au moins 35 %. » Tanguy Dupont Directeur des solutions Hellio, L'Habitat Collectif Photo : Hellio   « Les travaux de rénovation énergétique dans les copropriétés sont très hétéroclites. Ils se résument souvent à des travaux isolés ou à des rénovations “geste par geste”, tels le calorifugeage, l’isolation des planchers ou des combles. Certes utiles, ces travaux restent insuffisants compte tenu des déperditions énergétiques importantes générées par le parc résidentiel. Pour aller plus loin, nous nous sommes donné comme objectif d’accompagner les copropriétés, notamment celles de plus de quinze ans, pour réaliser des travaux permettant un gain énergétique d’au moins 35 % : c’est le seuil de déclenchement des principales aides et des bonus comme les bonus “sortie de passoire énergétique” et “bâtiment basse consommation”. Ces copropriétés ont souvent des besoins déjà existants, comme une chaudière collective à rénover, des murs extérieurs qui nécessitent un ravalement, des fuites sur la toiture. Ce sont souvent les déclencheurs d’une rénovation énergétique plus globale. L’atteinte des 35 % n’est pas donnée à toutes les résidences et il est généralement nécessaire d’avoir au moins l’isolation thermique par l’extérieur et de la VMC ou la rénovation de la chaufferie collective, en plus d’autres travaux moins importants. »  Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 88 jours

Coop Strasbourg : la programmation au service de la sobriété

Côté magazine Côté magazine Coop Strasbourg : la programmation au service de la sobriété C’est en 2015 que l’architecte Alexandre Chemetoff a été missionné pour la réhabilitation du site de la friche industrielle de la Coop à Strasbourg. Neuf hectares dépoussiérés avec comme maître mot le réemploi poussé à l’extrême. Car si les usages ont bien changé, les bâtiments, eux, sont restés. Par Lucien Brenet L’histoire a débuté au début du siècle dernier, en 1902, date de naissance de la coopérative commerciale d’Alsace (Coop) à Strasbourg. L’objectif de ce grand ensemble, imaginé par des ouvriers, était de regrouper une multitude d’acteurs en un seul et même lieu afin d’acheter ensemble des produits alimentaires et de les distribuer au prix le plus juste. Forte de son succès, l’initiative n’a cessé de se développer. À son apogée, elle comptera plus de 100 000 sociétaires et 500 supermarchés coopératifs dans le Bas-Rhin. Une expansion qui s’est traduite physiquement, par la construction de nombreux bâtiments. Mais toutes les histoires ont une fin, et la Coop d’Alsace finira par être liquidée en 2015. Mais cette fin n’était pas un point final, car une question restait en suspens. Que faire de tous ces bâtiments, très anciens pour la plupart, et qui se dégradaient à grande vitesse ? « Nous avions sur le site des bâtiments de 1902, 1930, 1950, 1960 et des années 1970. Cette diversité devait être préservée », raconte Karim Tounounti, directeur opérationnel chez le maître d’ouvrage SPL Deux-Rives Strasbourg. Le projet Coop Culture était né.     Photo : Pierre Frigeni pour la SPL Deux-Rives Sur le site de l’ancienne Coop d’Alsace,  pas moins de 45 000 m2 de bâtiments ont été réhabilités. Photo : A-Chemetoff-et-associés S’appuyer sur l’existant Le programme de sauvetage a été présenté au congrès Bâtiment durable qui s’est tenu en octobre dernier. Et pour cause : sur le site de la Coop, il n’était pas question de détruire pour reconstruire. Cap était mis sur le réemploi. Pour préserver au maximum ce patrimoine immatériel strasbourgeois, il a été décidé de réemployer non pas les matériaux, mais bien les bâtiments. Pour ce faire, la SPL choisit pour maître d’œuvre l’architecte urbaniste paysagiste Alexandre Chemetoff en 2015. Dans la réhabilitation de cette friche industrielle, sobriété était le maître mot, et la sauvegarde des bâtiments a été lancée pour un coût de moins de 1 000 €/m2. Coût total de l’opération ? Un peu plus de 23 millions d’euros. « L’économie vient de la démarche programmatique et de l’intelligence situationnelle. C’est cette programmation qui nous a permis de rester sobres en travaux », assure Karim Tounounti. Sur le site, il restait à désenfumer et désamianter les bâtiments, avant de les mettre aux normes actuelles, de les isoler et de les adapter à leurs futurs usages. Cette photo présente le bâtiment de l’Union sociale avant réfection. Photo : A-Chemetoff-et-associes Réaffectation plutôt que destruction En effet, à la base, le programme était défini comme une opération publique de bâtiment culturel. « Mais nous avons convenu [avec la ville de Strasbourg] d’établir une programmation adaptable et de lancer les travaux tout en finalisant la programmation. » Une réaffectation avec pour ambition de faire de ce quartier un centre névralgique, et de conserver cet esprit de coopération et de proximité qui y a régné pendant plus d’un siècle. « Nous avons aussi défendu l’importance d’en faire un quartier de vie et que soient donc intégrés au programme entre 400 et 500 logements poussés par des promoteurs immobiliers. » Certains logements s’organisent et s’organiseront autour de places et de jardins partagés, principalement autour de l’ancien siège de l’administration de la Coop et de la maison des syndicats. Les premiers habitants, eux, arriveront l’année prochaine. Le quartier, situé entre un port industriel et des infrastructures ferroviaires, « fait figure de parc, où les équipements et les espaces publics sont mis à disposition de tous », développe Karim Tounounti. Pour ce qui est des équipements justement, les anciens bâtiments accueillent des ateliers d’artistes, une salle d’exposition dans la salle hypostyle et une brasserie dans la salle d’embouteillage de la cave à vin, une maison du projet, les réserves des musées de la ville de Strasbourg, des espaces de coworking… Circulez, il n’y a rien à voir Un lieu de vie décontracté (plutôt qu’apaisé), où les voitures sont acceptées, mais ne sont plus les bienvenues. L’ensemble de la voirie est réservé à la rencontre, aux piétons et aux cycles. Et si la circulation automobile n’est pas interdite à proprement parler, le quartier ne compte aucune place de stationnement en surface. Le stationnement se polarise aux abords du quartier, dans un parking public mutualisé. Le quartier est accessible par le réseau métropolitain de pistes cyclables, le tramway D StarCoop-Petit Rhin ou la gare régionale de Kehl-am-Rhein. L’espace public reste globalement très minéral, car, pour ce qui est de planter de nouveaux arbres, les contraintes sont nombreuses en raison de parcelles déjà largement occupées par le bâti. Pour autant, le quartier renferme un réseau de petites places publiques et de jardins partagés qui structurent la vie de quartier permettant l’installation de tables communes, de barbecues, voire d’aires de jeux. En mars 2023, un nouveau parc urbain de 5,6 hectares verra le jour à proximité du quartier. Agrémenté d’une grande noue de collecte des eaux pluviales et d’équipements sportifs, il fera office de bol d’air frais, dans un quartier déjà bien rafraîchi. Les anciens ateliers de la Coop ont été rénovés et accueillent désormais des artistes. Photo : Alex Flores Pour éviter d’importants coûts d’exploitation, ce bâtiment de 12 000 m2 destiné à recevoir du public a été divisé en sept espaces indépendants les uns des autres. Photo : Pierre Frigen Ce bâtiment autrefois destiné à la logistique a été entièrement rénové pour accueillir les réserves muséales de la ville de Strasbourg. Photo : Pierre Frigeni 1 / La Virgule, l’atelier des coopérateurs À l’époque, ce site accueillait l’ensemble des bâtiments liés à la maintenance, et tout ce qui servait au bon fonctionnement de la Coop (garage, menuiserie, etc.). « La programmation a saisi l’occasion de relocaliser certains artistes dans ces bâtiments à des tarifs très avantageux. » C’était tout trouvé. Cette multitude de petits ateliers s’est transformée en pépinière d’artistes. Le petit œuvre a consisté en une mise en conformité des lieux, en des travaux d’isolation et d’électricité. 2 / L’Union sociale Bâtiment central du quartier, cet ensemble logistique de 8 200 m2 répartis sur cinq niveaux accueille désormais la réserve muséale de Strasbourg. « À l’origine, les réserves de Strasbourg étaient réparties en différents sites, et étaient donc très éclatées. Ce qui entraînait des difficultés dans l’organisation des cycles et des rotations des expositions. » Le bâtiment de l’Union sociale, en plus de centraliser l’ensemble grâce à ses grandes surfaces, répond aussi à un besoin d’inertie thermique, essentielle pour la conservation des œuvres. À l’origine, la ville de Strasbourg souhaitait que ces réserves soient accessibles aux visiteurs, ce qui aurait impliqué une mise aux normes coûteuse. « Nous avons trouvé un compromis en transformant les portes de quais d’origine en baies vitrées sécurisées. En notre qualité d’aménageur, nous avons rendu visible l’intérieur du bâtiment depuis l’espace public sans que le bâtiment ne soit accessible au public pour autant », détaille Karim Tounounti. 3/ La cave à vin C’est un peu le cœur du quartier. Ce bâtiment de 12 000 m2, destiné à accueillir du public, risquait d’entraîner d’importants coûts d’exploitation. La parade ? Elle est toute simple. Alexandre Chemetoff a simplement divisé le bâtiment en sept espaces indépendants les uns des autres. L’ensemble renferme désormais une cave à vin donc, mais aussi une salle d’exposition, des bureaux, une halle alimentaire, d’anciennes cuves à vin, comme un ultime témoignage des usages d’antan…   Fiche technique • Maître d’ouvrage : SPL Deux-Rives Strasbourg • Maître d’œuvre : Alexandre Chemetoff & Associés • 1 000 habitants • 50 000 m2 d’activités socioculturelles et économiques • 45 000 m2 de bâtiments réhabilités Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 88 jours

Trophées des TP 2022 - Eclaireurs

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Eclaireurs" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 88 jours

Kebony Clear habille une maison avant-gardiste pleinement intégrée dans l’Alentejo et signée Gonçalo Bonniz

Avec un design avant-gardiste et des lignes très épurées, la maison s’intègre parfaitement au paysage de l’Alentejo, à la morphologie du terrain et à son environnement ; un objectif atteint grâce à l’utilisation de matériaux s’harmonisant avec les couleurs locales, dans une combinaison idéale de béton et de bois Kebony Clear. Le bois durable Kebony Clear fait partie intégrante de la maison FdP, située dans l’Alto Alentejo – une région reculée du Portugal – signée par l’architecte portugais Gonçalo Bonniz. Avec un design avant-gardiste et des lignes très épurées, la maison s’intègre parfaitement au paysage de l’Alentejo, à la morphologie du terrain et à son environnement ; un objectif atteint grâce à l’utilisation de matériaux s’harmonisant avec les couleurs locales, dans une combinaison idéale de béton et de bois Kebony Clear. « L’une de nos motivations principales était d’ériger une maison qui dominerait le paysage. Ce projet est fortement inspiré par le lieu, avec pour lignes directrices la morphologie du terrain, l’orientation solaire, la vue, les couleurs ainsi que la préservation des arbres, laquelle a contribué à sculpter la maison et à favoriser son intégration », explique Gonçalo Bonniz. Cette intégration chromatique « a été un facteur important de la dissimulation de la maison dans ce paysage rural, une connexion réussie grâce à la présence d’ardoises multicolores, grises et brunes, de béton avec pigments gris et de bois Kebony Clear », poursuit l’architecte.Le bois Kebony Clear a été appliqué sur la façade sans traitement de surface. Il présente une teinte brun foncé qui deviendra gris argenté au fil du temps et de l’exposition aux éléments, ce qui lui permettra de se fondre avec le béton armé utilisé dans la construction du bâtiment. Ce mariage des couleurs n’était que l’une des nombreuses raisons ayant motivé le choix d’un bois Kebony pour l’extérieur de cette maison particulière. Il convient également de souligner sa durabilité et sa stabilité, particulièrement importantes dans une région au climat rigoureux, ainsi que son vieillissement contrôlé et la non-nécessité d’opérations d’entretien.Le bois Kebony Clear est également très présent dans l’intérieur de la maison FdP. En plus de son application sur la façade extérieure et la terrasse, ce bois a également été choisi pour une grande partie du mobilier de la maison, y compris l’espace cuisine, ainsi que pour les armoires et les espaces de circulation, avec des portes de plus de trois mètres de haut. Tous les travaux de construction de Kebony Clear ont été réalisés par Matriz – Sociedade de Construções, Lda. Ce bois est facile à manipuler, très résistant, et sa douceur au toucher permet une finition de qualité supérieure, sans ajout de produit. « Cette application polyvalente du bois Kebony sur les façades, les terrasses et les meubles reflète la résistance et la stabilité de ce matériau, mais aussi son esthétique attrayante et ses qualités durables. La maison FdP est d’ores et déjà une référence majeure dans le portfolio Kebony », commente l’ingénieur du bois Mário Neves, représentant de Kebony au Portugal. Kebony, qui intègre la gamme Clear, est un bois durable et de haute qualité, qui bénéficie d’une certification FSC. Il se distingue par son aspect attrayant, sa dureté, sa stabilité et sa résistance, ainsi que par sa facilité d’entretien. Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical.
Il y a 3 ans et 88 jours

Les travaux publics se préparent à célébrer l’innovation à visée écologique

Placés sous le signe de la transition écologique des infrastructures, les Trophées des TP 2022 seront remis le 24 février, à l'occasion d’une journée exceptionnelle organisée à Paris dans le Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 91 jours

Lancement des inscriptions au Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance

Créé en 2012 par la Fédération Française des Tuiles et Briques en partenariat avec le Réseau des maisons de l’architecture, le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance récompense depuis 10 ans des réalisations architecturales qui mettent en valeur l’usage de la tuile terre cuite devenue matériau d’architecture. L’appel à projets pour la 6ème édition est ouvert jusqu’au 30 juin 2022. Il concerne tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France, inscrits à l’Ordre. En 10 ans les 5 palmarès reflètent l’évolution de nos façons de vivre chez soi et ensemble, avec notre famille, nos voisins, nos liens avec le paysage, avec l’environnement, avec le présent et le passé.   https://architendance.wiin.io/fr/