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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

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Il y a 3 ans et 254 jours

NOUVEAUTÉ FIBERDECK : BARDAGE WEO®60 Un bardage en bois composite coextrudé à faux claire-voie contemporain et durable

Si le bardage offre un rendu esthétique aux façades, il améliore également l’efficacité énergétique du bâtiment et renforce son confort thermique. Incité par les dernières réglementations thermiques, acoustiques et au feu ainsi que les avancées technologiques, le bardage en bois composite connaît un bel engouement en France. Son aspect moderne, sa pérennité, sa stabilité et son faible entretien en font un habillage de façades porteur et tendance, que recherchent les prescripteurs, les architectes, les maîtres d’œuvre… Fiberdeck a développé de nouvelles lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie : WEO®60. Idéales pour une isolation par l’extérieur (ITE) de maison individuelle, de collectif ou ERP le bardage WEO®60 est durablement esthétique grâce à la technologie exclusive de coextrusion. Il bénéficie d’une résistance exceptionnelle aux UV, pendant 20 ans, et il est très facile à mettre en œuvre.   FIBERDECK : Un bois composite aux performances inégalées Fabricant et concepteur d’aménagements extérieurs en bois composite coextrudés, Fiberdeck sélectionne d’excellentes matières premières et maîtrise les meilleures technologies pour que ses produits bénéficient d’un haut niveau de qualité et de performances exceptionnelles. D’une durée de 20 ans sans aucune décoloration visible à l’œil, les lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie garantissent des ouvrages perennes. Des matériaux haute qualité pour un ouvrage durable Le bardage WEO®60 Fiberdeck est parfaitement adapté à tout type de complexe d’ITE, en construction neuve, en réhabilitation de l’ancien, en extension, et à tout type d’isolant. Une garantie de 20 ans anti-décoloration et un entretien limité ! Le bardage en bois composite WEO®60 a la particularité d’être étanche à l’eau, très résistant aux UV et aux agressions extérieures, qui fragilisent bien souvent les bardages traditionnels en bois. Grâce à la technologie de coextrusion, un film en polyéthylène qui enrobe la surface du profil, les lames du bardage sont insensibles aux taches, aux intempéries et à la décoloration, et ce pendant 20 ans ! Elles sont impustrescibles et ne risquent aucune reprise d’humidité. De plus, leur entretien est considérablement réduit. Un comportement au feu semblable au bois D’une grande longévité, le bardage composite WEO®60 profite du même comportement au feu en termes de réaction et de résistance au feu (classe D s1d0) que le bardage bois grâce à sa composition – fibre de bois et polymère (PEHD) – qui intégre un adjuvant ignifuge. Un profil alvéolaire à faux claire-voie tendance et stable Avec un profil unique, un décor à faux claire-voie composé de petites ondes fines et régulières, le bardage WEO®60 offre un relief marqué et rythmé à la façade. Esthétique et contemporaine, la forme trapézoïdale et prononcée des ondes, assure un bon écoulement de l’eau de pluie et imite parfaitement l’aspect claire-voie des bardages bois. Posées verticalement, les lames accentuent l’impression de hauteur, ou de profondeur lorsqu’elles sont fixées horizontalement. Par ailleurs, le profil WEO®60 est stabilisé grâce à sa sous-face. La structure est équipée d’ergots au dos des lames, qui permettent une fine circulation d’air entre le support et le revêtement. En pose verticale, cela permet de ne poser les lames que sur une simple ossature bois ou métal (hors avis technique, voir DTU). La technologie du bois composite coextrudé Le procédé de coextrusion consiste à appliquer un film de polyéthylène très fin haute densité (PEHD) en fusion directement sur le bois composite. Ce film étanche protège le bois de toute reprise d’humidité, stabilise le matériau et réduit la dilatation. Un aspect bois ultra-réaliste Le bardage composite WEO®60 Fiberdeck constitue une véritable alternative écologique au bardage en bois tropicaux. Il combine les performances de durabilité de la coextrusion avec l’aspect naturel et chaleureux du bois. Constituées de 50 % de fibres de bois, des sciures de l’industrie du bois, et 50 % de polyéthylène recyclé, les lames sont fabriquées à partir de 95 % de matériaux recyclés et sont 100 % recyclables. Sans produit toxique, sans colle ni métal lourd, elles offrent un environnement sain. Esthétiques, les lames de bardage WEO® imitent parfaitement l’aspect naturel du matériau bois, tant par le toucher chaleureux que les couleurs intenses aux teintes multichromatiques aléatoires. Le résultat est très réaliste. Aucune lame n’est identique, le décor est unique ! Décliné en 4 coloris – Cedar, Teak, Ipé, Dark grey – le bardage WEO®60 peut répondre à tous les projets architecturaux. Enfin, pour que la façade soit parfaitement uniforme, les fixations du bardage sont invisibles. La vis vient se dissimiler directement dans des languettes prévues à cet effet, afin d’avoir le rendu le plus épuré possible. Un bardage facile à mette en œuvre Les lames WEO®60 se fixent très facilement sur l’ossature bois ou métal avec seulement 1 vis inox à tête colorée par point de fixation. Elles s’emboîtent rapidement et peuvent être ajustées entre-elles à l’aide d’un jeu réglable. Ce système simple et rapide permet non seulement de les ajuster en réglant la profondeur d’emboîtement mais aussi de procéder à une fixation très discrète des lames. De plus, elles sont démontables et remontables pour simplifier les opérations de maintenance. Enfin, le profil trapézoïdal permet une pose horizontale ou verticale. Lame Bardage WEO® 60 – Profil faux claire-voie Dimensions : Épaisseur 33 x Largeur utile 140 mm x Longueur 3600 mm Recouvrement : 0.5 m² Poids d’une lame : 7,5 kg Fixation sur liteaux d’entraxe 60 cm : par vis inox SR2 teintées au coloris des lames Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 254 jours

Bruno Solo dans la peau d’un chauffeur poids lourds

Bruno Solo devant les poids lourds Iveco, testé pour évaluer les caractéristiques des véhicules [©Iveco] En 2020, Iveco avait fait appel à Bruno Solo, acteur et journaliste français, pour s’immerger dans le monde du transport routier au volant du S-Way. Cette année, le constructeur de véhicules industriels et le comédien réitèrent l’expérience, mais cette fois-ci, dans l’univers de la construction. Avec notamment le dernier-né de la gamme, le T-Way. Lire aussi : Sophie Doré : Les pieds dans le béton Bruno Solo a aussi pu essayer le X-Way et le Daily, le fourgon utilitaire pour les chantiers. En compagnie de Jean-Luc Erhard, démonstrateur de la marque depuis 42 ans, ils ont analysé ensemble les caractéristiques des véhicules de la gamme concernée. Que ce soit au niveau de la modularité, la maniabilité ou encore la résistance.  Iveco met en lumière les conducteurs de poids lourds A travers cette campagne, Iveco a voulu mettre à l’honneur le métier de conducteur de poids lourds. « Notre objectif est de montrer une autre image de ces hommes et ces femmes qui ont un rôle indispensable dans notre quotidien, explique Elena Dubuc, directrice brand marketing chez Iveco. Nous avons voulu valoriser l’univers des chantiers, peu connu du grand public. Nous avons donc fait appel à Bruno Solo. Pendant 48 h 00, il a vécu la vie d’un conducteur de poids lourds, au volant de son véhicule Iveco ». Un film d’une quinzaine de minutes est visible sur YouTube pour suivre son parcours avec Jean-Luc Erhard. Cette vidéo a d’ailleurs reçu sept prix, dont cinq en or, avec notamment le Grand Prix Stratégie de la communication d’entreprise et le Grand Prix Stratégie du brand content.
Il y a 3 ans et 255 jours

EFB : le béton entre les mains des futurs experts de la construction

Sara Al Haj Sleiman, vainqueur du prix RSE et Christian Marcelo Martín, lauréat de la catégorie innovation technologique [©EFB] La fondation Ecole française du béton (EFB) souhaite valoriser et soutenir toutes les démarches améliorant la connaissance et l’utilisation du béton. A l’occasion du 13e Symposium international de doctorat, un congrès de spécialistes, deux prix EFB ont été décernés sur deux catégories : la “RSE” et l’“innovation technologique”. L’EFB et la RSE : un enjeu majeur Ainsi, Sara Al Haj Sleiman a remporté le prix dans la catégorie “RSE”. Elle est diplômée en ingénieriegénie civil de l’Université libanaise et de l’Ecole centrale de Nantes en 2018. Dans le cadre de sa dernière année de doctorat, elle a travaillé sur une thèse intitulée “Convention industrielle de formation par la recherche” (Cifre) associant l’Atilh à l’Ecole centrale de Nantes. Dans cette thèse, elle développe un nouveau protocole d’évaluation de la résistance du béton à l’écaillage par le gel/dégel. Lire aussi : L’EFB et ESTP lancent le parcours de formation “ACV Digital Learning” Ainsi, cette idée a permis d’optimiser les essais en laboratoire des industriels du béton. Sara Al Haj Sleiman s’est basée sur une démarche déjà existante. « Dans cette thèse, nous avons montré le manque de fiabilité des protocoles actuels, explique l’intéressée. Ceci nous a conduits à proposer une nouvelle évaluation de la résistance du béton à l’écaillage. En imposant un cycle de gel/dégel plus pertinent. Le choix s’est basé sur les conditions climatiques réelles auxquelles le béton est le plus souvent exposé. » L’innovation technologique à l’honneur La catégorie de l’innovation technologique a aussi trouvé son vainqueur autour d’une technique de stockage de CO2. Son nom : Christian Marcelo Martín, ingénieur génie civil. Diplômé de l’université de Buenos Aires, il a fait son doctorat en partenariat avec l’Ecole des Ponts ParisTech. En effet, il a présenté son travail sur les interactions entre les micro-billes de verre creuses et le ciment dans des coulis destinés aux puits de conservation. Lire aussi : Baume Innovation Award 2022 : participez-y ! Christian Marcelo Martín a élaboré cette démarche pour répondre aux enjeux environnementaux. « Dans un contexte de crise climatique, la capture et le stockage de dioxyde de carbone sont nécessaires. Et imposent des solutions pour garantir qu’il ne s’échappe pas. J’ai donc pu développer mon travail de recherche complet sur l’influence globale des micro-sphères de verres creuses dans les ciments utilisés pour la réalisation des puits de stockage de CO2. »
Il y a 3 ans et 255 jours

Bientôt une nouvelle résidence étudiante écologique à Fontainebleau

La nouvelle résidence étudiante de Fontainebleau se voudra conforme au label E + C.
Il y a 3 ans et 255 jours

Saint-Mandé : un nouvel ensemble de logements sociaux a été inauguré

Une habitation à loyer modéré de 120 logements a été inaugurée à Saint-Mandé le 8 octobre dernier.
Il y a 3 ans et 255 jours

Toulouse : Emmaüs redonne vie au château oublié de Ginestous

Le château oublié de Ginestous fait partie des cinq projets particuliers récompensés par la Fondation du patrimoine. Acheté par Emmaüs, il est en cours de restauration.
Il y a 3 ans et 255 jours

Dossier détails : escaliers scénographiques

    On descend un escalier, on le monte, on s'y croise, on s'y arrête peut-être. Alors que les grands halls deviennent atriums, les escaliers se métamorphosent en plateformes d'échanges. Prolongement de l'espace public au cœur d'un immeuble de logements ou interface dynamique entre l'accueil, les espaces collectifs et les plateaux […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 255 jours

KKR rachète l'observatoire Edge à New York pour plus de 500 millions de dollars

Inauguré en 2020, Edge est une terrasse géante ouverte au public et située à 335 mètres de haut, soit plus haut que la pointe de l'antenne de la Tour Eiffel (324 m).Elle fait partie d'un immeuble de 395 m de haut, situé dans le nouveau quartier d'Hudson Yards, construit au-dessus de voies ferrées, dans l'ouest de Manhattan.Selon le site Traded, KKR a acquis 75% des parts de l'observatoire, dont une partie du plancher est en verre et à travers lequel les visiteurs peuvent voir le bas de la tour.Le siège de KKR, qui a réalisé l'acquisition via ses fonds d'investissement, se trouve au 30 Hudson Yards, bâtiment qui abrite Edge.Après la destruction du World Trade Center, New York n'a de nouveau compté, durant près de 15 ans, que deux points d'observation très élevés, à savoir l'Empire State Building et le 30 Rockefeller Plaza (initialement RCA Building), chacun datant des années 1930.Mais depuis 2015, ont successivement ouvert l'observatoire du One World Trade Center, immeuble construit sur le site du World Trade Center, Edge en 2020, puis le "Summit One Vanderbilt", qui sera accessible au public à partir de jeudi, dans le nouveau bâtiment adjacent à la garde de Grand Central.
Il y a 3 ans et 255 jours

Lafarge France a obtenu une ATEx pour Airium Combles

La mousse minérale Airium affiche un λ = 0,037W/m.K. [©Lafarge France] Lafarge France a obtenu une ATEx pour Airium Combles, une solution d’isolation performante et bas carbone, destinée à la rénovation des combles. L’industriel conforte ainsi son positionnement sur le marché de l’isolation des combles perdus avec une solution certifiée. Grâce à l’offre Airium Combles, il s’engage dans la rénovation thermique des bâtiments. Ceci, pour réduire la consommation énergétique des ménages. S’inscrivant pleinement dans le plan de rénovation thermique du parc de logements en France. Airium Combles est éligible aux différents dispositifs d’aides proposés par l’Etat, tels que CEE et MaPrimeRénov’. Disposant d’une durée de vie équivalente à celle d’un béton, la mousse minérale Airium offre une grande durabilité (pas de tassement, résiste aux éléments, aux rongeurs…). Tout en affichant un λ = 0,037W/m.K. « Lafarge France vise ainsi en 2022, sur le secteur de la rénovation, la réalisation d’un volume de chantiers équivalent à 1 000 maisons individuelles. En s’appuyant sur un réseau d’au moins une vingtaine d’entreprises de mise en œuvre réparties sur tout le territoire national », peut-on lire dans le communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 255 jours

Eldotravo.fr devient Eldo et accélère son déploiement européen

La start-up mène ce projet depuis plus d'un an et a mobilisé l'intégralité de ses équipes, 55 collaborateurs, pour offrir le meilleur à ses partenaires et utilisateurs. Les deux frères co-fondateurs, Hugo et Jean-Bernard Melet, ont dit au revoir à leur ancien nom, trop long et trop “français” et opté pour Eldo : duplicable et interprétable à l'international, qui met mieux en avant l'offre SaaS de la start-up.Un rebranding pour préparer une expansion européenne et asseoir sa position d'éditeur de logiciel pour les pros et les marques du BTPAvec plus de 100.000 avis et photos de particuliers sur son site, Eldo a réussi à devenir leader des avis clients du BTP avec l'obtention, en mars 2021, de sa certification AFNOR pour ses processus de collecte, modération et restitution d'avis.Un gage de qualité et de confiance, notamment pour les particuliers qui sont 88% à se fier aux avis clients en ligne lorsqu'ils recherchent des pros pour leurs travaux. Avec sa certification et son nouveau site internet, modernisé et repensé pour répondre aux besoins des visiteurs particuliers, Eldo améliore l'expérience utilisateur et renforce sa position de tiers de confiance du BTP.« Le Covid a changé la donne, avec le confinement, le BTP a connu une explosion historique de la demande de travaux : nous avons constaté une augmentation de 100% des demandes sur notre site et via les 1500 fiches Google my Business qui sont gérées via notre solution SaaS. Sur le 1er semestre 2021, il y a eu plus de 9 millions de recherches de professionnels supplémentaires.” explique Jean-Bernard Melet, CEO d'Eldo. “50% des consommateurs se disent insatisfaits du parcours client. Les professionnels ne doivent plus uniquement satisfaire sur la qualité des travaux, mais aussi être hyper réactif et qualitatif sur l'expérience client. »300 marques et 20.000 professionnels en Europe d'ici 2025Aujourd'hui, Eldo collabore avec plus de 50 industriels et marques, nationales et internationales du secteur, telles que SOMFY, Schneider Electric, Ariston ou encore Treppenmeister.Déjà présente en Belgique et Suisse avec son partenaire Murprotec, Eldo ambitionne d'ici 2022 de conquérir l'Europe et s'ouvrir ensuite à ses voisins espagnols et allemands.Le rebranding d'Eldo permet à la start-up d'élargir son offre, au-delà du site d'avis, et d'étendre sa plateforme marketing SaaS aux installateurs et marques d'Europe. Les travaux de rénovation résidentiels représentent un marché de 560B d'euros en Europe : soit plus de 5000 marques et 3,4 millions d'entreprises.Eldo, spécialiste de l'accompagnement digital des professionnels et marques du secteur de l'amélioration de l'habitatDepuis sa création en 2016, Eldo accompagne 2.500 pros et 50 marques du secteur à se digitaliser pour croître et assurer la meilleure expérience au client final. Eldo propose une suite applicative marketing, développée avec et pour eux, permettant de gérer simplement leurs principaux besoins du quotidien et leur faire gagner du temps :Réputation en ligne : collecte, gestion et diffusion d'avis clientsVisibilité locale Google : solution de référencement local et rayonnement de la marqueGestion intelligente des leads : centralisation des contacts, pilotage marketing et commercialAssistant digital commercial : envois automatiques de sms et rappels, conseils personnalisés« Je ne pensais pas que le partenariat prendrait si vite et si fort. Eldo était une toute petite boite, c'est aujourd'hui notre meilleur partenariat communication et d'aide à la vente.» Témoigne Pascale Anselme, Responsable marketing communication chez Profils Systèmes, filiale du groupe Corialis, un des acteurs majeurs de la menuiserie aluminium en France.Les outils digitaux constituent des ressources uniques pour développer des relations solides et garantir des réalisations qui durent. La maison est au centre de tout : le projet de vie des particuliers, l'accompagnement de ces derniers par les professionnels ainsi que les matériaux derrière ces projets, apportés par les industriels. Eldo s'attache à créer une solution pensée pour apporter de la valeur aux 3 parties indissociables : redonner force et considération aux professionnels, rassurer le particulier et faire rayonner les marques pour construire et rénover l'habitat de manière durable.
Il y a 3 ans et 255 jours

Terre crue et arbres vivants pour cette simplissime maison équatorienne

L’agence Al Borde architects basé à Quito, a réalisé une maison-jardin comme une célébration de son contexte naturel. Située à Conocoto, en équateur, l’équipe de conception a cherché à raccourcir la frontière entre la nature et l’espace construit. Ce concept prend forme à travers sa conception et sa matérialité en terre crue. Les pièces sont dispersés […]
Il y a 3 ans et 255 jours

Veiller sur le Grand Paris depuis la structure perchée de Benjamin Tovo

    On descend un escalier, on le monte, on s'y croise, on s'y arrête peut-être. Alors que les grands halls deviennent atriums, les escaliers se métamorphosent en plateformes d'échanges. Prolongement de l'espace public au cœur d'un immeuble de logements ou interface dynamique entre l'accueil, les espaces collectifs et les plateaux […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 255 jours

A Noisy-le-Sec, réhabiliter les friches mais pour faire quoi?

Bientôt, d'anciens bâtiments inoccupés de la SNCF vont être rasés pour construire 77 logements privés, une place et prolonger une rue. Les travaux sont en partie financés par une subvention de 975.000 euros allouée par l'Etat via le "fonds friches".Ce fonds a été déployé dans le cadre du plan de relance économique du gouvernement. L'enveloppe, de 300 millions d'euros à l'origine, a été pérennisée début septembre et dotée de 350 millions supplémentaires.Anciennes stations services, locaux inoccupés, usines désaffectées... L'ambition est de donner une seconde vie aux friches industrielles et commerciales disséminées aux quatre coins de l'Hexagone, dont le nombre est toujours inconnu mais qui se comptent par milliers.A Noisy-le-Sec, cette manne est une bouffée d'air bienvenue. "Dans le domaine de l'aménagement, on court après toutes les subventions", soupire Olivier Sarrabeyrouse, maire communiste de la ville.Une aide néanmoins limitée, estime Laurent Chateau, chargé de mission à l'Ademe, l'agence de la transition écologique qui coordonne une partie des appels à projets. Mais il concède la difficulté de déterminer quel montant déployer et où."Des friches, il y en a partout, et il s'en crée malheureusement tous les jours", poursuit M. Chateau.Or reconvertir une friche induit parfois des coûts vertigineux, notamment pour des sites très pollués qu'il faut décontaminer.Pour tenter d'équilibrer les comptes, les élus penchent alors souvent pour la construction de logements privés, plus rentable. A Noisy, c'est ce qui soutient financièrement la transformation des abords du canal de l'Ourcq.Avec parfois à la clef des projets étonnants: 450 logements étudiants devaient ainsi voir le jour à 15 mètres de l'autoroute A86. Un projet stoppé par la nouvelle municipalité. "A la place, on veut un lieu d'activité, de loisirs, de culture. Mais ça ne fait pas rentrer d'argent dans les caisses", soupire M. Sarrabeyrouse.Densification intérieure, étalement extérieurEt pourtant, le besoin de logements est considérable dans des secteurs en tension comme la région parisienne. Pour concilier construction et écologie, l'Etat mise sur la densification du bâti, un objectif énoncé dans la loi Climat et Résilience qui prévoit "zéro artificialisation nette" de sols d'ici à 2050.Dans cette optique, le "fonds friches" permet de donner une seconde vie à des terrains ou des bâtiments inutilisés, souvent au coeur des villes."Jusqu'à présent, on étendait sur les territoires agricoles. Maintenant, il faut s'intéresser à ce qu'il y a au sein de la ville", explique M. Chateau.Guillaume Faburel, urbaniste et enseignant à SciencesPo Lyon, nuance pourtant: "Le processus de métropolisation que nous connaissons, c'est-à-dire le grossissement des grandes villes, est simultanément une densification intérieure et un étalement extérieur."Paradoxal? Non. "Parce que la ville devient trop dense, des populations fortunées choisissent aussi d'aller habiter en périphérie pour avoir plus d'espace", explique M. Faburel.Parallèlement, les populations les plus précaires doivent souvent quitter les quartiers réhabilités car les promoteurs répercutent sur le prix des logements les coûts parfois élevés engendrés par les travaux et l'acquisition des terrains.Dans la commune historiquement ouvrière et cheminote de Noisy, c'est donc toute une partie de la population qui risque de devoir déménager si la réhabilitation des friches fait bondir les loyers.Car ce ne sont pas les 975.000 euros reçus du fonds friches qui vont changer la donne dans la construction à Noisy, "l'une des trois communes de l'Est parisien les plus pauvres", souligne le maire de Noisy. L'élu regrette que cet argent "ne serve pas à construire du logement social", mais plutôt à développer le parc privé.Pour Guillaume Faburel, la solution de l'équation réside dans la mise en place d'une "politique de plafonnement des loyers" et de construction de logements sociaux "pour répondre aux besoins".Et ce, afin que les nouveaux éco-quartiers gagnés sur les anciennes friches ne soient pas réservés aux plus aisés.
Il y a 3 ans et 255 jours

Des élus de gauche alertent sur la "catastrophe" du logement en Ile-de-France

Dans les villes les plus populaires de l'Ile-de-France, "un maire ne peut plus sortir de la mairie sans rencontrer des dizaines de personnes qui s'adressent à lui" pour demander une accélération de sa demande de logement, relève Patrick Jarry, le maire (DVG) de Nanterre, président de la commission logement de la Métropole du grand Paris.Fin 2020, 743.000 personnes étaient demandeurs d'un logement social en Ile-de-France, selon le comité régional de l'habitat cité par ces élus, alors que chaque année, environ 70.000 logements sont attribués, 60.000 en 2020."Si on reste comme ça, la crise va s'aggraver", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse organisée à Malakoff, commune communiste des Haut-de-Seine, pour annoncer cette prise de position de 95 élus d'Ile-de-France, dont 17 maires.Ils appellent à manifester le 10 novembre à 18H00 devant le ministère du Logement, pour que "les rues de Paris entendent le cri de ces familles qui attendent un logement social ou ceux qui veulent accéder à la propriété", a lancé le maire de Nanterre.La maire (PCF) de Malakoff Jacqueline Belhomme veut défendre, face à la gentrification, "le droit de vivre aux portes de Paris sans se couper un bras, voir deux."Selon les élus, en 2010, 400.000 personnes demandaient un logement social, et le chiffre pourrait monter jusqu'à un million si "on ne bouge pas dans le comportement politique", poursuit Michel Leprêtre, président de l'intercommunalité Grand Orly Seine Bièvre, dans le Val-de-Marne."Nous voulons que cette question devienne l'une des premières du débat pour l'élection présidentielle", a ajouté M. Leprêtre, qui propose à l'ensemble des élus de la région à rejoindre leur appel.Au passage, M. Jarry a critiqué le gouvernement "arrivé au pouvoir sans politique de logement" et qui a "asséché les fonds propres des bailleurs sociaux".Ces élus proposent d'inclure des logements sociaux dans des immeubles privés, car "personne ne veut qu'on reconstruise de grands ensembles dans un coin et des quartiers plus résidentiels dans un autre", a souligné le maire de Nanterre, selon qui "l'avenir des métropoles, c'est le mélange".Ces élus appellent aussi à limiter la spéculation foncière par la limitation des ventes de terrains aux enchères et à réaménager les bureaux vacants en logements "pour construire sans aller utiliser de nouvelles terres agricoles."
Il y a 3 ans et 255 jours

Pour les acteurs du Bâtiment, il faut adapter territorialement les politiques du logement

PRÉSIDENTIELLE. La FFB a organisé, le 21 octobre, un sommet de la construction spécial présidentielle, au cours duquel la fédération a dévoilé ses propositions. Les politiques invités à en débattre ont pu exprimer leurs opinions, divergentes, sur les actions les plus urgentes à mettre en oeuvre en matière de politique du logement.
Il y a 3 ans et 255 jours

Saint-Gobain se renforce sur le marché de la chimie de construction au Mexique

ACQUISITION. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, va acquérir Impact, un expert du marché de la chimie de la construction basé au Mexique.
Il y a 3 ans et 255 jours

isolation et préservation du patrimoine : les solutions actis

Comment entreprendre des travaux d’isolation de toiture sans modifier l’aspect extérieur du bâti ancien tout en garantissant une parfaite étanchéité? La conservation du patrimoine (immeubles haussmanniens, châteaux, manoirs, …) et sa rénovation énergétique sont des enjeux majeurs pour les maîtres d’œuvres. A l’occasion du Salon du Patrimoine, ACTIS, fabricant français d’isolants réflecteurs depuis 40 ans, présente ses solutions d’isolation, tant appréciées des Compagnons du Devoir couvreurs pour leurs performances thermiques et esthétiques. TRISO-TOITURE, UNE ISOLATION QUI PRÉSERVE L’ARCHITECTURE DU BÂTIMENT En rénovation, le choix de l’isolation est avant tout motivé par la performance énergétique du bâtiment et le confort thermique des occupants. Cependant, l’isolation occupe un volume non négligeable se soldant souvent par un compromis sur l’espace habitable ou l’architecture du bâtiment. Grâce à la souplesse de ses composants permettant d’utiliser judicieusement l’espace entre chevrons, Triso-Toiture, bénéficiant de la technologie alvéolaire brevetée d’Actis, se pose en crémaillère, sans rehausse importante de la toiture et sans modification de l’aspect du bâti. Solution haute performance 3 en 1, Triso-Toiture assure une isolation très efficace contre le froid en hiver grâce à une résistance thermique très élevée (R>6,20 m2.K/W), mais aussi contre la chaleur, en été, grâce aux films réflecteurs renvoyant jusqu’à 95% des rayonnements infrarouges. Elle garantit également l’isolation phonique ainsi que l’étanchéité à l’eau et à l’air selon les normes NF EN 1928 méthode A et NF EN 12114. Se présentant sous forme de pack, Triso-Toiture se compose de deux isolants complémentaires : • un isolant réflecteur avec pare-vapeur intégré : Triso Hybrid’ • un isolant réflecteur perspirant avec écran HPV intégré : Boost’R Hybrid’ Les deux composants sont mis en œuvre de manière à former une enveloppe isolante et étanche. Triso-Toiture d’Actis est insensible à l’humidité et sa légèreté lui assure une forte résistance au tassement, ce qui permet de maintenir ses caractéristiques mécaniques et ses performances thermiques dans le temps. Léger et peu encombrant, Triso-Toiture est rapide et facile à mettre en œuvre. (https://bit.ly/Actis_TrisoToiture) BOOST’R HYBRID’, ISOLANT DE SOUS-TOITURE HPV Préconisé en rénovation pour réaliser l’étanchéité de la toiture en complément d’une isolation existante, Boost’R Hybrid’ d’Actis est un isolant réflecteur alvéolaire souple perspirant de sous-toiture qui intègre un écran HPV de dernière génération. A la fois isolant et pare-pluie perméable à la vapeur d’eau (Sd
Il y a 3 ans et 255 jours

A six mois de la présidentielle, la FFB dégaine ses propositions

Très politique, le Sommet de la construction, organisé ce jeudi 21 octobre par la Fédération française du bâtiment (FFB), a permis aux professionnels d'exposer leurs idées. Face à eux, des parlementaires de tous bords et cinq candidats à l'élection présidentielle...
Il y a 3 ans et 255 jours

La FFB présente « France, terre de bâtisseurs », ses propositions en vue du prochain quinquennat

10 propositions destinées aux candidats à l'élection présidentielleFaire du logement une grande cause nationale.Les professionnels du bâtiment :plaident pour un encouragement à la densification et pour un appui à l’accession à la propriété via un prêt à taux zéro élargi et redimensionné ;proposent au futur chef de l’Etat la mise en place d’un statut universel et pérenne du bailleur privé.Assumer la transition énergétique et valoriser l’innovation.Les professionnels du bâtiment :proposent la mise en place d’un crédit d’impôt sur les remboursements d’emprunt, pour tenir compte des surcoûts de construction liés à la « RE2020 » ;demandent de relocaliser la fabrication de matériaux d’équipements de construction ;appellent à remettre rapidement sur pied un plan massif de financement en faveur du logement « vert ».Simplifier la vie des entrepreneurs…et leur faire confiance.Les professionnels du bâtiment :veulent redonner une réalité au principe élémentaire : « à chaque norme créée, une norme supprimée » et retrouver un ministère consacré à cet objectif de simplification ;demandent l’expérimentation d’un « permis déclaratif » : il s’agirait d’un dispositif allégé dans les zones où il existe déjà une opération d’aménagement.Promouvoir l’emploi durable et lutter contre la fraude.Les professionnels du bâtiment :militent pour une plus grande adéquation entre les attentes des entreprises et les formations proposées par l’Éducation nationale ;proposent au futur chef de l’État d’envisager un dispositif de départ anticipé en retraite, qui repose sur une évaluation médicale personnalisée et un financement mutualisé ;appellent de leurs vœux la limitation de la sous-traitance en cascade.Lors du Sommet de la construction, de nombreux acteurs du débat public, de toutes les sensibilités politiques, sont venus échanger sur ces propositions et apporter un éclairage sur les projets politiques en cours. La parole a été donnée aux candidats à l’élection présidentielle afin que, dès à présent, les attentes du bâtiment trouvent le plus large écho possible dans cette campagne électorale.
Il y a 3 ans et 255 jours

Lancement d'une campagne de communication sur les métiers du bâtiment et de la rénovation

EMPLOI. Pour tenter de contrer les difficultés de recrutement dans le bâtiment, pouvoirs publics et professionnels du secteur lancent une campagne de communication autour des métiers de la construction, et plus particulièrement autour de ceux liés à la rénovation énergétique.
Il y a 3 ans et 255 jours

Goran Ostojic, nouveau directeur du développement de Wizzcad

Goran Ostojic est le nouveau directeur du développement de Wizzcad. [©Wizzcad] Goran Ostojic rejoint Wizzcad à la direction du développement. Cette nomination illustre la stratégie du spécialiste du conseil des acteurs de l’immobilier et de la construction dans leur transformation digitale à renforcer ses équipes. Ceci, pour accélérer son engagement auprès des acteurs du BTP. Mais aussi de tous les acteurs qui franchissent le cap du numérique. Le recrutement de talents se poursuivra sur les prochains mois, dans toutes les lignes métiers. Goran Ostojic aura pour mission d’accélérer la trajectoire de croissance de l’entreprise vers la scale-up1. « C’est l’âge d’or du numérique en France et dans le monde entier d’ailleurs, alors ceux qui savent que je n’aime pas m’arrêter sur ce que je sais ne sont pas du tout surpris de mon choix pour Wizzcad ! Leur plate-forme technologique est la plus avancée d’Europe en matière de BIM et leur solution digitale utilisée par bon nombre d’acteurs différents m’a séduit dès le départ. Elle dispose en outre d’un track2 record sans égal dans ce domaine d’avenir. L’entreprise est moderne et le bonheur au travail s’y ressent dès l’intégration. Je me réjouis donc de rejoindre cette équipe dynamique où il fait bon travailler et innover ensemble pour un monde de demain plus efficient ! », déclare Goran Ostojic. Son parcours Goran Ostojic dispose d’une solide expérience de plus de 20 ans dans le management, la stratégie, le commerce, le marketing et les technologies du numérique. Après des études de commerce, d’audit et de gestion d’entreprise, puis de management, il a débuté sa carrière chez Ecus, un fabricant français de solutions de protection électrique data center. Il décide ensuite de s’orienter vers un marché en pleine croissance et rejoint le premier fournisseur d’accès Internet, c’était alors les débuts du digital en France en 1998. Il est séduit quelques années plus tard par un éditeur de logiciels Alpi France, grâce auquel, en tant que membre du directoire, il oriente la stratégie vers l’automatisation des documents et le processus BIM. Depuis ce jour, sa perception de la modélisation des données du bâtiment et son souhait d’aller vers les solutions digitales n’a cessé de grandir. « Les seules limites que je vois à la digitalisation sont celles de notre vision », conclut Goran Ostojic. 1La scale-up est une start-up passée à l’étape numéro 2. D’où le mot anglais “Scale”, qui signifie “échelle” en français. De la start-up à la scale-up, le changement d’échelle se manifeste à tous les niveaux, car l’entreprise adopte volontairement une stratégie de croissance. A ce stade, l’offre et le business model sont validés. L’objectif d’une scale-up est donc d’être capable de changer d’échelle pour faire croître son business et son chiffre d’affaires de façon significative. 2Le track record désigne l’historique de vie d’une entreprise ou d’un fonds de placement.
Il y a 3 ans et 256 jours

Onfly dévoile sa nouvelle intégration, qui facilite la collaboration entre CAD et BIM

Onfly dévoile sa nouvelle intégration, qui facilite la collaboration entre CAD et BIM !   Après Rhino, c’est désormais au tour d’AutoCAD de s’ajouter à la liste des plugins d’Onfly. Ce nouveau connecteur permet au logiciel Saas de passer d’une gestion de données BIM à une gestion simplifiée, et cela pour l’ensemble des métiers de la construction. Découvrez dans notre communiqué de presse en quoi ce plugin s’imbrique dans la stratégie de continuité digitale d’Onfly.
Il y a 3 ans et 256 jours

Bilan de la campagne nationale SOLIHA sur le Logement d'abord

Une mobilisation du réseau SOLIHA avec l’organisation de plus de 80 actions locales Un programme d’actions et d’évènements a permis de présenter les actions conduites par le Mouvement SOLIHA, notamment à destination des élus et des propriétaires bailleurs solidaires : visites de pensions de famille SOLIHA, présentation des Agences immobilières sociales, inauguration de logements d’insertion, tables rondes sur le Logement d’abord, etc. Un webinaire pour sensibiliser les propriétaires bailleurs aux avantages de la location solidaireSOLIHA a organisé le webinaire « Propriétaire d’un logement ? Alliez rentabilité et solidarité avec SOLIHA ». Destiné aux propriétaires bailleurs, ce webinaire avait pour objectif de présenter en détail les conditions et avantages de la location solidaire. Plusieurs spécialistes SOLIHA – juriste, responsable d’Agence immobilière sociale, experte nationale de la gestion locative- sont intervenus pour présenter les avantages des dispositifs d’intermédiation locative et répondre aux questions des propriétaires bailleurs. Ce webinaire a réuni plus de 80 participants.Une rencontre nationale a Marseille pour dresser un bilan-perspective sur la politique du logement d’abordLa Fédération SOLIHA et SOLIHA Provence ont organisé une rencontre nationale sur le Logement d’abord le 14 octobre, associant plus de 340 personnes à Marseille (190 en présentiel et plus de 150 en distanciel). Après une ouverture par Patrick Amico, Adjoint au maire de Marseille en charge de la politique du logement et de la lutte contre l’habitat indigne, qui représentait le Maire de Marseille et Philippe Olivero, Président de SOLIHA Provence, deux tables rondes ont été organisées. La première « La politique du Logement d’abord, quel bilan ? » a réuni Sylvain Mathieu, Délégué interministériel à l’hébergement et à l’accès au logement, Valérie Mancret-Taylor, Directrice générale de l’Anah, Marie-Françoise Lavieville, Vice-Présidente de la Fédération SOLIHA et Michel Pelenc, Directeur général de la Fédération SOLIHA. La seconde, « La politique du Logement d’abord sur la métropole Aix-Marseille-Provence et la ville de Marseille, quelles perspectives ? » a donné la parole à David Ytier, Vice-président de la Métropole Aix Marseille Provence délégué au Logement, à l’Habitat, à la Lutte contre l’habitat indigne, Patrick Amico, Adjoint au maire de Marseille en charge de la politique du logement et de la lutte contre l’habitat indigne, Nathalie Daussy, Directrice de la DDETS des Bouches-du-Rhône, Pascal Gallard, Directeur de l’ARHLM PACA Corse et Jean-Jacques Haffreingue, Directeur général de SOLIHA Provence.En clôture, Hélène Pélissard, Présidente de la Fédération SOLIHA a interpellé les pouvoirs publics pour plus de sécurité dans la programmation et plus de simplification des dispositifs. Et dans une vidéo, Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, s’est adressée aux participants. La Ministre a appelé à « travailler collectivement pour créer plus de logements sociaux, plus de logement accompagné, favoriser une meilleure mobilisation du parc privé, accélérer la fluidité de l’accès de l’hébergement vers le logement. ». Une plaquette SOLIHA sur le logement d’abordLa Fédération SOLIHA a réalisé une plaquette pour présenter les missions que le Mouvement SOLIHA conduit dans le cadre du Logement d’abord. Elle donne notamment la parole aux bénéficiaires de projets, de salariés SOLIHA et d’élus.Cinq operations mises en valeur a marseille dans le cadre de la rencontre nationale SOLIHA le 14/10/21150 personnes ont participé aux visites organisées par SOLIHA Provence à Marseille associant partenaires et bénéficiaires des projets.La Caserne Bugeaud : l’accompagnement et relogement des ménagés évacués suite à des arrêtés de péril à Marseille. Le foyer d’accueil de mineurs non accompagnés.« Un chez soi d’abord », présentation du dispositif et des modalités de prise en charge pérenne des personnes « Un lieu de répit », lieu alternatif à la psychiatrie. La pension de famille de l’ADRIM.
Il y a 3 ans et 256 jours

Seine-et-Marne : une nouvelle structure d’accompagnement vers la sortie est en construction près de Meaux

Seine-et-Marne : une nouvelle structure d’accompagnement vers la sortie est en construction près de Meaux
Il y a 3 ans et 256 jours

Retours d’expériences sur l'isolation en sous-face des planchers bas en rénovation

Il présente 12 enseignements majeurs issus de constats observés sur le terrain et de l’analyse d’experts dans le domaine. Ce rapport est mis à la disposition de toutes les parties prenantes des opérations de rénovation.Les planchers bas, parois horizontales dont seules les faces supérieures donnent sur un local chauffé, peuvent représenter des déperditions thermiques importantes et une source d’inconfort pour les occupants. Les isoler est une action fréquemment envisagée lors d’une rénovation énergétique, d’autant plus lorsqu’ils donnent sur des caves, des parkings ou des espaces ouverts facilement accessibles.Les 12 principaux enseignements tirésLes 12 enseignements détaillés dans ce rapport démontrent l’importance du choix de la solution d’isolation en fonction de la configuration du bâtiment. Les planchers bas, parois horizontales dont seules les faces supérieures donnent sur un local chauffé, peuvent représenter des déperditions thermiques importantes et une source d’inconfort pour les occupants.Ces enseignements nous renseignent également sur la façon d’effectuer un diagnostic précis de l’existant avant toute intervention d’isolation en sous-face d’un plancher bas. Ce diagnostic est nécessaire afin de repérer et traiter en amont des travaux d’isolation tout problème d’humidité avéré, de s’assurer du bon état structurel du plancher à isoler et d’être en mesure de choisir un isolant adapté aux conditions hygrothermiques du volume non chauffé.Enseignement 1 : Soigner la jonction entre panneaux isolants.Enseignement 2 : Limiter le pont thermique à la liaison plancher bas – murs extérieurs lorsque ceux-ci sont isolés par l’extérieur.Enseignement 3 : Isoler les poutres en contact avec le plancher à isoler.Enseignement 4 : Traiter le pont thermique au niveau des murs de refend.Enseignement 5 : Isoler l’accès entre les volumes chauffés et non chauffés.Enseignement 6 : Garantir une continuité de l’isolation sur toute la surface de la dalle tout en conservant l’accès aux locaux.Enseignement 7 : Libérer au maximum le support avant toute intervention.Enseignement 8 : Garantir un accès aux organes de manoeuvre des réseaux piégés par l’isolation.Enseignement 9 : Soigner l’isolation autour des pénétrations des réseaux.Enseignement 10 : Conserver les capacités de migration de vapeur d’eau à travers la paroi.Enseignement 11 : Maintenir une bonne ventilation.Enseignement 12 : Prendre toutes les dispositions nécessaires au regard du risque incendie.Pour télécharger le rapport, cliquez ici
Il y a 3 ans et 256 jours

Ris-Orangis : un lotissement de 12 maisons a été inauguré

À Ris-Orangis, un lotissement de 12 maisons a été inauguré par Wagram Résidences, une entreprise spécialisée dans l’immobilier neuf.
Il y a 3 ans et 256 jours

À Saint-Denis, André Lurçat restauré

Étudier, redorer, réhabiliter le patrimoine habité du XXe siècle… Voilà près d’une vingtaine d’années que l’agence ...More about Cet article À Saint-Denis, André Lurçat restauré est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 256 jours

Vinci Construction UK construira la future résidence étudiante Passivhaus de Bristol

Le contrat d'un montant de 77 millions de livres sterling (91 millions d’euros) porte sur la construction de 26 000 m2, permettant d’accueillir 900 lits.
Il y a 3 ans et 256 jours

Trophée béton : Charles-Henri Tachon et Ingrid Taillandier en conférence à la maison de l'architecture Île-de-France

À l’occasion du lancement de l’édition 2022 du Trophée béton Pro aura lieu jeudi 21 octobre à la Maison de l’architecture Île-de-France une conférence spéciale intitulée « L’architecture béton en héritage ». Les architectes Charles-Henri Tachon, Ingrid Taillandier, Philippe Prost, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 256 jours

La justice rejette le recours des dix associations opposées à l'urbanisation du Triangle de Gonesse

"Les effets cumulés des deux projets ont été appréciés avec un degré de précision suffisant, y compris s'agissant de la préservation des espaces de friches, de la pollution lumineuse et de la consommation de terres agricoles", a estimé la cour administrative d'appel de Paris dans un arrêt consulté par l'AFP.Dix associations et collectifs locaux opposés à l'urbanisation de ces terres agricoles au nord de Paris avaient saisi la justice pour demander l'annulation d'un arrêté inter-préfectoral délivré en 2019, jugeant "insuffisante" l'étude d'impact qu'il valide.Cet arrêté, en déclarant le projet d'utilité publique, permet de faire des travaux qui impliquent "la destruction ou la perturbation" de certains spécimens protégés et de leurs milieux naturels, en principe interdites par le code de l'environnement.Les arguments des opposants avaient été suivis en première instance par le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis).Dans son arrêt, la cour a pour sa part considéré que la procédure n'était entachée d'aucun vice et que des mesures "de suivi" et de "compensation" étaient prévues dans l'étude d'impact.En mai, après de longues spéculations sur l'avenir du Triangle, Jean Castex avait annoncé sur place aux élus qu'une gare de métro et des bâtiments pousseraient sur cette enclave verte de 700 hectares survolée par les avions, dont 280 sont potentiellement urbanisables.Des travaux préparatoires sont en cours sur le site.La ligne 17 doit relier Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) à l'aéroport de Roissy en 2030, en passant par le Triangle de Gonesse, où elle devait desservir le méga-complexe immobilier et de loisirs Europacity, enterré par Emmanuel Macron il y a près de deux ans.De nombreux élus locaux appellent cette gare de leurs voeux pour mieux raccorder le territoire à Roissy, gros pourvoyeur d'emplois pour la partie est, et précaire, de ce département d'environ 1,2 million d'habitants.Mais aux yeux de ses détracteurs, ce projet "en plein champ" est un non-sens écologique, synonyme de bétonisation d'espaces agricoles dans une zone fortement soumise à l'étalement urbain.
Il y a 3 ans et 256 jours

La question des énergies renouvelables et de la fin du nucléaire, s'invite dans le débat présidentiel

Le réseau d'experts, pionnier dans la réalisation de ce genre d'exercice prospectif, avance son nouveau scénario à horizon 2050 quelques jours avant que le gestionnaire du réseau électrique à haute tension RTE présente les siens, très attendus par les pouvoirs publics.NégaWatt constate d'abord que l'on pourrait réduire nettement les besoins énergétiques en rénovant efficacement les bâtiments : en passant de 30.000 à 800.000 rénovations thermiques globales par an d'ici 2030, avec des travaux globaux et pas par morceaux.L'électrification des voitures, complétée par de l'hybride biogaz (pour limiter le recours au lithium), le report modal, ainsi qu'une redevance pour les transports routiers permettant de financer le ferroviaire ("l'idée n'étant pas de moins partir en vacances") forment l'autre levier d'action sur la demande pour sortir des fossiles, sources du réchauffement.In fine, la consommation d'énergie se trouve divisée par deux en 2050 par rapport à aujourd'hui.L'approvisionnement, lui, repose sur les éoliennes dont il faudra doubler le nombre, à 18.500, quand l'Allemagne en compte déjà 30.000. "Ce n'est pas une invasion comme certains veulent le faire croire", commente Marc Jedliczka, un porte-parole.Mais aussi le photovoltaïque, en doublant la croissance annuelle actuelle. Le scénario table aussi sur une forte hausse du biogaz agricole.Corollaire : nul besoin de construire de réacteurs nucléaires, ni même de démarrer l'EPR de Flamanville, qualifié d'"échec industriel majeur".Et "en fermant les anciens réacteurs entre leur 40e et 50e année, le système électrique peut se passer de l'atome tout en assurant la sécurité d'approvisionnement via le stockage et le pilotage des flexibilités électriques" générées par les renouvelables, a calculé l'association."Loin du renoncement ou de l'illusion de solutions faciles", ces propositions s'ancrent dans "un réalisme opérationnel", dit le porte-parole de négaWatt, Yves Marignac.Selon l'association, la neutralité carbone du pays pourrait être atteinte dès 2047, avec des puits de carbone permis par l'agroécologie et "zéro artificialisation nette"."Une feuille de route""À rebours des injonctions à produire et consommer toujours davantage, au mépris des limites planétaires", le scénario, qui se veut "une feuille de route pour le quinquennat" à venir, prône aussi une relance industrielle "vertueuse" combinant filières d'avenir (éolien offshore, batteries, électrolyseurs...) et optimisation des ressources (recyclage, matières biosourcées, écoconception...).Cette publication quinquennale, prenant aussi en compte les besoins en minerais et les émissions de nos importations, intervient en plein débat sur l'avenir énergétique de la France, qui s'est engagée à la neutralité carbone en 2050. Comment y parvenir ?À la demande du gouvernement, RTE a travaillé plus de deux ans à imaginer la production électrique de demain, mais aussi la demande, qui pourrait être soutenue avec l'essor du véhicule électrique et de l'hydrogène.Plusieurs scénarios devraient ainsi être présentés lundi, pointant tous le nécessaire essor des renouvelables : des hypothèses allant du 100% jusqu'au renouvelable-nucléaire à 50-50.L'atome produit aujourd'hui plus de 70% du courant en France, un record mondial. Le gouvernement a choisi de le ramener à 50% d'ici 2035 pour diversifier son bouquet, mais la suite fait l'objet de rugueux débats, ravivés dans le contexte électoral.L'État devait se prononcer sur la poursuite du programme de construction d'EPR au plus tard en 2023, lorsque Flamanville aura normalement démarré.Dans l'immédiat, le président Emmanuel Macron a déjà acté du soutien à la fabrication de prototypes de "petits réacteurs" SMR, via le plan d'investissement "France 2030"."Le futur électrique de la France est-il une affaire déjà conclue?", s'est inquiété mercredi le Réseau action climat. "L'étude de RTE et les autres scénarios récents doivent permettre un débat démocratique", réclame la fédération d'ONG, pour qui l'option de nouveaux réacteurs sera "trop lente pour agir sur le climat dans la décennie".Les écologistes, avec Yannick Jadot et Matthieu Orphelin, doivent aussi tenir un point presse, accusant Emmanuel Macron de sortir "l'artillerie lourde pour tenter de démontrer que le lancement d'un nouveau programme d'EPR s'impose d'urgence".
Il y a 3 ans et 256 jours

Cession de Cromology : DuluxGroup sur les rangs

Le fonds d'investissement Wendel, actuel propriétaire de Cromology, a reçu une offre de l'acteur nippo-australien.
Il y a 3 ans et 256 jours

La taxe foncière a bondi en une décennie, alerte l'UNPI

IMMOBILIER. Les augmentations varient fortement d'une commune française à l'autre.
Il y a 3 ans et 256 jours

Création de poste et accélération sur le marché de la maison individuelle pour Sto France

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, bardage ventilé – Sto a décidé de créer un poste de coordinateur national maison individuelle. C'est Julien Velar qui en prend les rênes.
Il y a 3 ans et 256 jours

À Nice, la forêt méditerranéenne recouvre des bâtiments du quartier du Ray

REPORTAGE. Un ensemble d'immeubles et de commerces à la végétation luxuriante participe à la requalification du quartier du Ray, au nord de Nice. Le maître d'ouvrage, Vinci Immobilier, se targue d'avoir livré le "plus grand projet immobilier à façades végétalisées d'Europe".
Il y a 3 ans et 256 jours

Atlantic acquiert Thermic Energy

ACQUISITION. Le groupe Atlantic annonce avoir acquis 70% du capital de Thermic Energy, fabricant allemand de ballons de stockage primaire et de ballons d'eau chaude sanitaire.
Il y a 3 ans et 256 jours

Les Assises de la forêt s'ouvrent dans un contexte tendu pour le matériau bois

FILIÈRE BOIS. Plusieurs ministres viennent de lancer les Assises de la forêt et du bois avec la volonté d'apporter des "réponses concrètes" à la filière sylvestre, à un moment où les pressions sont fortes : de la nouvelle réglementation pour la construction au changement climatique en passant par les énormes exportations de grumes vers la Chine, les professionnels du bois sont attendus au tournant.
Il y a 3 ans et 256 jours

Nouveau baromètre France Num sur l'évolution du numérique dans les TPE/PME depuis 2020

Confié au Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC), ce Baromètre s'inscrit dans la continuité de l'étude BCG-EY réalisée en 2020 et permet ainsi de mesurer le chemin parcouru par les TPE/PME, notamment depuis la crise sanitaire, et d'identifier les freins et les leviers pour accélérer leur transformation numérique. Les principaux enseignements du BaromètreLes chefs d'entreprise renforcent leur intérêt pour le numérique.78% des dirigeants sondés considèrent que le numérique représente un bénéfice réel pour leur entreprise contre 68% en 2020.Les TPE/PME utilisent de plus en plus d'outils numériques.66% des TPE/PME interrogées ont désormais un site internet, hors réseaux sociaux contre 37% en 2020. 43% d'entre elles disposent d'une plateforme de partage de documents entre collaborateurs contre 17% en 2020.33% de ces entreprises disposent d'outils de collaboration professionnelle contre 21% en 2020. Ces tendances positives ne concernent pas tous les secteurs d'activité.Les entreprises de l'hébergement et de la restauration arrivent ainsi en tête des entreprises les plus visibles sur l'internet, 50% de ces entreprises vendent en ligne et 93% ont un site internet ou sont présentes sur des réseaux sociaux. A l'inverse, les entreprises du secteur du bâtiment et de la logistique sont peu équipées en outils de visibilité et se tournent plutôt vers les outils de gestion de stock ou de facturation.Certains dirigeants de TPE/PME ont encore des réticences face au numérique et de nouvelles préoccupations émergent.18% des entreprises sondées n'ont encore aucune solution de visibilité en ligne et 13% ne prévoient pas d'en acquérir dans les 12 mois. Les raisons sont à chercher principalement dans la non-pertinence par rapport au secteur d'activité, la demande d'efforts continus de mise à jour des informations ou dans la peur de se faire pirater des données.A cette occasion, Alain Griset a déclaré A Le numérique doit être un outil au service de nos TPE et de nos PME pour leur permettre de conquérir de nouveaux marchés, d'améliorer leur relations clients, de simplifier la gestion quotidienne de leur activité… en un mot : d'être plus compétitives. Ce baromètre prouve que notre action porte ses fruits et que nous devons, en lien avec France Num et ses partenaires, accentuer nos efforts pour accompagner les chefs d'entreprises désireux d'entamer leur numérisation B.Les enseignements de ce Baromètre confirment une progression de la numérisation des TPE/PME qui résulte de l'impact de la crise sanitaire et des mesures prises par le Gouvernement notamment dans le cadre du Plan de relance (diagnostics numériques, chèque France Num,…). Cependant, le Baromètre révèle le besoin de poursuivre cette transformation au numérique des TPE/PME pour les former aux bénéfices concrets du numérique dans leur quotidien et dans le développement de leur activité tout en renforçant leur sensibilisation à des sujets comme la cybersécurité.Pour consulter les résultats complets de la première édition du baromètre France Num, cliquez ici
Il y a 3 ans et 256 jours

Le projet de R&D « Quartier Energie Carbone » livre une méthode opérationnelle accessible à tous

Soutenu financièrement par l'ADEME et piloté par un consortium fédérant le CSTB, Efficacity, Elioth, l'Alliance HQE-GBC, Effinergie, Certivéa, l'Association BBCA et Atlantech, avec la participation au Comité de Pilotage du Ministère de la Transition Ecologique, il livre aujourd'hui une méthode opérationnelle accessible à tous, la méthode Quartier Energie Carbone, permettant d'évaluer par une approche en Analyse de Cycle de Vie (ACV) les impacts énergie et carbone d'un projet d'aménagement ou de rénovation urbaine.Au-delà de cette évaluation, la méthode est une véritable aide à la décision permettant d'améliorer le projet en identifiant les meilleurs leviers à mobiliser et en quantifiant leur impact carbone potentiel.Enfin, cette méthode est un outil de dialogue entre les différents acteurs de l'aménagement : elle offre aux collectivités, aux aménageurs et à leurs partenaires la possibilité de fixer des objectifs à la fois ambitieux et réalistes, d'objectiver les choix et de déterminer si leurs projets s'inscrivent en cohérence avec la trajectoire des Accords de Paris.La méthode quartier énergie carbone : un outil de performance et de dialogueDans sa phase de développement et de validation, la méthode Quartier Energie Carbone s'est appuyée sur une première implémentation dans un logiciel, UrbanPrint, codéveloppé par le CSTB et Efficacity. Cette phase de validation, menée sur 8 projets pilotes représentant une grande diversité de type d'opérations d'aménagement, a démontré le caractère opérationnel de la méthode.La plus-value de la méthode est double :La quantification rigoureuse, par une approche en ACV reconnue internationalement, des performances énergie et carbone d'un projet urbain, et la comparaison à un projet de référence permettant de déterminer les « score énergie » et « score carbone » du projet ;la prise en compte de tous les contributeurs et usages présents à l'échelle du quartier (bâtiments, systèmes énergétiques, eau, déchets, espaces extérieurs, mobilités…).La méthode se révèle être un outil efficace d'aide à la décision et de dialogue entre acteurs décideurs :en phase amont des projets, par l'identification des leviers d'actions ayant le plus d'impact carbone,en phase plus avancée, dans une optique d'évaluation des performances du projet avec un jeu de données plus précis.Mobilité, produits de construction et énergie = trois principaux contributeurs dans les émissions carbones :Sur les 8 opérations pilotes, les évaluations réalisées ont permis de dresser un premier constat : la Mobilité, les Produits de construction (bâtiments) et l'Energie (systèmes énergétiques) sont, dans l'ordre, les 3 plus importants contributeurs dans les émissions carbone totales des quartiers neufs aujourd'hui.1. La mobilitéLe secteur des transports est responsable d'une part importante des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) (29% des émissions de GES - AEE - Agence Européenne pour l'Environnement - 2018). La conception urbaine, les aménités, l'offre de transports collectifs et la promotion des modes de déplacement doux contribuent fortement à la réduction des émissions de carbone liées aux déplacements.2. Les produits de constructionLe choix des produits de construction a un impact sur l'empreinte finale du quartier Le réemploi, la réutilisation et le recyclage offrent des pistes pour réduire les émissions de carbone nécessaires à la construction de nos lieux de vie.3. L'énergieLe carbone est fortement présent dans les consommations énergétiques notamment celle liées au chauffage et à la production d'eau chaude sanitaire. La création de solutions mutualisées ou en réseaux est un axe majeur de diminution de l'empreinte carbone, en réduisant les besoins de production et en favorisant la pénétration des énergies renouvelables et de récupération. Elles apportent en outre une efficacité énergétique et une évolutivité que la production individuelle ne peut atteindre.Accroitre l’expérience pour ouvrir les perspectivesForte des premiers retours d'expérience, la méthode, testée grandeur nature, présente des atouts et un fort potentiel.Tout en permettant d'avancer sur la compréhension des leviers de l'aménagement bas carbone à l'échelle des quartiers et d'en mesurer l'efficacité, elle donne des clefs opérationnelles aux collectivités, aménageurs, promoteurs, etc. pour faire des choix en parfaite cohérence avec le défi climatique. Elle leur permet en effet d'arbitrer en tenant compte non seulement des contraintes de financement et des besoins du territoire auquel le projet répond (logements, services, emplois, inclusion, etc.) mais également des impacts énergie et carbone du projet.En s'appliquant à l'avenir à un plus grand nombre d'opérations d'aménagement de typologies différentes, elle participera, à terme, à l'élaboration de valeurs de référence au niveau des quartiers et à l'enrichissement des leviers d'action.
Il y a 3 ans et 257 jours

En 25 ans, 35.000 édifices sauvés par la Fondation du patrimoine

"D'un budget de 40 millions d'euros il y a cinq ans, nous sommes passés à 70 millions en 2020 et espérons atteindre les 80 millions en 2021, même si c'est insuffisant au regard de la tâche à accomplir", dit-il."Notre équivalent en Angleterre, le +National Trust+ (national trust for places of historic interest or natural beauty,ndlr) a un budget de 300 millions d'euros", relève-t-il.M. Poitrinal se réjouit néanmoins de voir "l'important essor pris par la fondation depuis cinq ans", grâce notamment,dit-il, à la Mission Patrimoine pour la sauvegarde du patrimoine en péril, confiée à l'animateur Stéphane Bern, et à la souscription pour Notre-Dame.Une enquête d'impact réalisée par le cabinet Pluricité, à l'occasion des 25 ans de la fondation, fait état de "retombées économiques liées au tourisme culturel" en général de "15 milliards d'euros ", représentant directement ou indirectement "500.000 emplois" en France.Si "l'Etat s'occupe bien de ses grands palais nationaux", c'est la fondation qui reçoit "les appels au secours des petites communes, des associations ou des particuliers, soucieux de sauver leur patrimoine local" et qui concentrent "80% de l'activité de la fondation" à travers ses moyens que sont notamment le mécénat et la collecte de dons, selon M. Poitrinal.L'enquête d'impact révèle qu'"un quart des bâtiments" historiques français sont "en mauvais état" alors que 46.000 sites étaient classés "monuments historiques" en 2020 et "40 autres inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco".86% des Français se disent "attachés à ce patrimoine" et 31% ont déjà fait un don pour sa conservation, tandis que 74% visitent des sites patrimoniaux chaque année, souligne la même enquête.Chapelles, petits théâtres, musées, ponts, phares, lavoirs, locomotives ...: avec un réseau de 800 bénévoles, la fondation, vient notamment en aide à nombre de villages et communes de moins de 2.500 habitants. Sa plateforme de "crowdfunding" collecte actuellement des dons sur internet pour plus de 2.700 projets de restauration.
Il y a 3 ans et 257 jours

1 € apporté par la Fondation du patrimoine génère 21,17 € de retombées économiques

1 € apporté par la Fondation du patrimoine génère 21,17 € de retombées économiques selon une étude sur « l’empreinte économique » de son activité en faveur du patrimoine non protégé. L’activité économique générée par la Fondation lors de l’année 2019 est estimée à 1 157 774 763 € dont 321 187 307 € de retombées économiques directes, et dont un peu plus de la moitié du montant se transforme en retombées induites : salaires versés par les entreprises réalisant les travaux et la Fondation du patrimoine qui sont réinjectés dans l’économie par la consommation des salariés, revenus générés par l’exploitation des sites et les dépenses des visiteurs consécutives aux travaux réalisés, salaires versés par les acteurs économiques, issues de l’exploitation et des retombées touristiques et qui sont, à leur tour, réintroduits dans l’économie. L’étude montre également que la Fondation du patrimoine a contribué, en 2019, à créer ou préserver 15 370 emplois en équivalent temps plein (ETP): 5120 emplois ETP au sein des entreprises réalisant les travaux et de la Fondation, 2037 emplois ETP indirects (fournisseurs, sous-traitants et prestataires des entreprises de travaux) et 8213 emplois ETP induits.
Il y a 3 ans et 257 jours

Reconstruction de l’Ermitage de la petite abbaye

Cette réalisation a reçu en 2020 le 1er prix de la « Catégorie patrimoine de proximité » du concours Forêt, bois et patrimoine, co-organisé par la fondation France bois forêt pour notre patrimoine et le magazine Atrium, patrimoine et restauration.  Atrium est parti à la rencontre de Véronique AVIAT, propriétaire de l’ermitage.  Ce bâtiment du 16ème / 17ème siècle a été entièrement rénové.  
Il y a 3 ans et 257 jours

Maison individuelle : "Mes propos portent sur l'urbanisme des années 60 et 70", E. Wargon

EXPLICATIONS. La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, a une nouvelle fois assuré qu'elle soutenait le modèle de la maison individuelle d'aujourd'hui et de demain, lors de la séance des questions au gouvernement, à l'Assemblée nationale, ce 19 octobre 2021.
Il y a 3 ans et 257 jours

L'activité de Vinci dépasse son niveau d'avant crise au troisième trimestre 2021

RÉSULTATS. Bien que les concessions continuent à être à la peine, l'activité du groupe Vinci a retrouvé des couleurs puisque son niveau dépasse celui de 2019 grâce à un troisième trimestre particulièrement dynamique des branches Energies et Construction.