Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

(62169 résultats)
Il y a 3 ans et 247 jours

La ville historique et durable

Revitaliser les coeurs de ville est un enjeu majeur pour préserver notre cadre de vie. Ces actions doivent intégrer écologie, patrimoine et économie locale pour répondre aux attentes des habitants. Laurent Mazurier, Directeur – Petites Cités de Caractère, Martin Malvy, Ancien ministre, Ancien Président de la région Midi-Pyrénées, Président de Sites & cités remarquables de France et Samanta Deruvo, Architecte des bâtiments de France à Paris, Association Nationale des Architectes des Bâtiments de France (ANABF) répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 247 jours

La formation aux métiers du bâti ancien

Dans le secteur du patrimoine, la transmission des savoir-faire est essentielle à la sauvegarde des bâtiments comme des métiers. Elle est assurée par de nombreux et divers acteurs pour répondre à une forte demande… Benoît Melon, Directeur – L’école de Chaillot, Philippe Tourtebatte, Formateur – Maisons paysannes de France et Yann de Carné, Président – Groupement des Entreprises de Restaurations de monuments historiques (GMH) répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 248 jours

Des "travaux d'office" à Marseille contre le logement insalubre

Le sujet de l'habitat indigne, bien que présent dans d'autres villes de France, est particulièrement sensible à Marseille où huit personnes sont mortes en novembre 2018 dans l'effondrement de deux immeubles insalubres du centre-ville.Balcons et escaliers menaçant de s'effondrer, toiture prenant l'eau: dans une petite copropriété privée du 3e arrondissement, la dizaine de propriétaires n'ont pas effectué les travaux nécessaires pour assurer la sécurité des habitants, malgré les nombreuses mises en demeure et arrêté de péril depuis 2018.La mairie de Marseille est donc entrée en jeu pour effectuer ces travaux de sécurisation, une fois les bâtiments évacués. "La ville se substitue aux propriétaires (...) au moyen d'une enveloppe de 48 millions d'euros pour quatre ans, votée fin 2020", a déclaré l'adjoint chargé des questions de logement, Patrick Amico."Il ne s'agit pas de réhabiliter complètement un bâtiment mais de le remettre en sécurité afin que les locataires puissent revenir. Ces travaux sont récupérés auprès des propriétaires. Mais, si au final les propriétaires ne paient pas, la ville devient propriétaire des immeubles", a-t-il expliqué.En un an, la ville a ainsi travaillé sur la sécurisation de 20 immeubles pour un montant avoisinant les cinq millions d'euros, selon M. Amico. "Une quarantaine d'autres sont dans les tuyaux", a-t-il précisé.La tâche est toutefois immense avec environ 800 immeubles frappés par des arrêtés de péril à Marseille, dont 200 considérés en danger imminent, selon lui. Et une trentaine de nouveaux dossiers d'immeubles susceptibles d'être déclarés en péril arrivent chaque mois, a ajouté l'élu.La ville reloge en ce moment 1.400 personnes évacuées de ces bâtiments, dont 1.000 dans des appartements, 250 en appart-hôtel et le reste en hôtels ou foyers.La mairie a également multiplié les signalements au procureur: 70 ont été faits en un an, a précisé M. Amico.Selon un rapport gouvernemental de 2015 toujours d'actualité, 100.000 personnes vivent dans 40.000 taudis à Marseille, et ce dans le parc privé uniquement.De multiples dispositifs associant l'Etat et différents acteurs sont en place, mais les avancées sont lentes.
Il y a 3 ans et 248 jours

Combien coûte une nouvelle toiture?

Qu’il s’agisse d’un toit à deux versants, d’un toit en croupe ou d’un toit plat : une structure de toit doit avant tout être solide afin de résister à toutes les conditions climatiques pendant de nombreuses décennies. C’est pourquoi un propriétaire d’immeuble ne devrait pas recourir à des offres bon marché en ce qui concerne le toit d’une maison. Mais combien coûte une nouvelle toiture ? Toit plat ou toit en pente : à quels coûts peut-on s’attendre ? Il est difficile de donner une réponse précise à la question « Combien coûte une nouvelle toiture ? », mais il est possible de vous donner quelques indications pour estimer le prix. Coût du nouveau toit en pente La taille du toit est toujours d’une importance décisive pour le prix. Pour un toit à deux versants, vous devez vous attendre à des coûts en moyenne de 60 euros par mètre carré pour la structure du toit en coque. À cela s’ajoutent les coûts de l’isolation thermique, qui coûtent entre 30 et 60 EUR par mètre carré de surface de toiture. Une isolation thermique efficace selon les dernières normes nécessite un investissement initial plus élevé — et permets d’économiser la plupart des coûts énergétiques. Lorsqu’il s’agit de choisir la couverture de toiture, vous pouvez le plus tourner la vis du prix : avec des coûts de 20 à 100 euros par mètre carré, ce facteur de coût a la plus grande fourchette. Le matériau que vous choisissez détermine principalement le prix réel. Si ce type de toiture vous convient, n’hésitez pas à faire appel à une entreprise de couverture expérimentée comme sur ce site : https://www.entreprise-couverture-62.fr/ . Elle saura vous donner un bon prix. Coût du nouveau toit plat Une toiture plate simple, comprenant une couche de gravier et une isolation thermique moyenne, vous coûtera environ 80 à 90 euros le mètre carré. Avec une isolation thermique aux normes, vous devrez généralement payer nettement plus de 100 euros par mètre carré. Les autres facteurs qui influencent le coût de la toiture Au moment de faire appel à une entreprise de couverture, gardez à l’esprit que les toits en pente doivent être particulièrement résistants aux intempéries. Ils sont donc plus chers. Dans l’ensemble, vous devez tenir compte des différences de prix régionales dans le secteur de l’artisanat. Si votre nouveau toit doit être érigé sur une vieille maison, les coûts de démolition de l’ancien toit sont ajoutés au prix final. Si vous souhaitez équiper votre toiture d’une lucarne et/ou d’une façade vitrée, il faut s’attendre à un prix plus élevé. Étude de cas : Combien coûte une nouvelle toiture pour une maison unifamiliale ? Une maison individuelle reçoit un toit à deux versants de 170 mètres carrés, une isolation thermique et une toiture de haute qualité. S’ajoute à cela le prix de la lucarne et de la charpente. Il faut prévoir pas moins de 27 000 euros pour avoir une nouvelle toiture. Cette somme inclut donc le remplacement de la charpente, les travaux d’isolation thermique et le remplacement de l’ancienne toiture. Économisez grâce aux subventions Les travaux d’isolation de toiture constituent un investissement colossal, mais économique. Si vous avez des revenus assez modestes, vous pouvez profiter de subvention proposée par l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat). Créée il y a une cinquantaine d’années, elle octroie une aide équivalente à 60 % du montant total de la rénovation de toiture.
Il y a 3 ans et 248 jours

Relance de la construction : la commission Rebsamen publie le tome 2 de son rapport

LOGEMENT. Engagements réciproques avec sanctions dans les contrats de relance du logement, lutte contre les recours abusifs, assouplissement des règles dans les copropriétés et les Zac... la commission chargée de lever les freins à la construction de logements a dévoilé, le 28 octobre, le second volet de son rapport.
Il y a 3 ans et 248 jours

Initiative copropriétés : plus de 80.000 logements concernés

RÉNOVATION. Trois ans après le lancement du plan Initiative copropriétés, plus de 80.000 logements ont été rénovés ou sont en passe de l'être, indique l'Agence nationale de l'habitat (Anah).
Il y a 3 ans et 248 jours

Actibaie demande l'intégration des stores et volets au dispositif MaPrimeRénov'

Sur MaPrimeRénov', le délégué général Hervé Lamy salue certaines recommandations en faveur de la rénovation globale et de l'audit énergétique mais déplore que le rapport n'intègre pas les gestes de rénovations manquants, notamment ceux qui permettent d'améliorer le confort d'été et de limiter le recours à la climatisation, responsable de 5% des émissions de GES du bâtiment. C'es notamment le cas des volets et stores. Les consommations des bâtiments sont responsables en France de 28%[1] des émissions de gaz à effet de serre (GES). La Stratégie nationale bas carbone (SNBC) adoptée en 2015 et révisée en mars 2020, vise notamment dans le bâtiment une réduction de 49% des émissions de GES en 2030 par rapport à leur niveau en 2015. Le rapport note : « malgré une baisse depuis la crise de 2008, la trajectoire tendancielle de la réduction des émissions des CO2 est insuffisante pour atteindre ces objectifs ».Le calendrier prévu par le projet de Loi Climat et Résilience pour la rénovation des bâtiments permettra en moyenne, sur la période 2021-2034, de sortir 200.000 logements supplémentaires de « l'indécence énergétique », regroupant les classes E à G, précise le rapport. « L'atteinte des différents objectifs n'est pas garantie avec les tendances observées ces dernières années » pour le comité indépendant.L'efficacité énergétique des rénovations remises en questionLe dispositif MaPrimeRénov' a rencontré un franc succès comptant depuis 2020, 600.000 primes validées pour un montant de 2,0 milliards. Pour le comité, le problème est que 86 % de ces rénovations sont mono-gestes. En effet, le rapport indique que seuls 389 dossiers de rénovations globales ont été validés. Mais là encore, impossible d'estimer le nombre de rénovations performantes sans audit énergétique.Même si Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie partage ce constat, il déplore néanmoins que le rapport évalue uniquement les gestes de rénovations intégrés à MaPrimeRénov'. « Les objectifs ambitieux fixés par l'état ne pourront être atteints que si les gestes liés au confort d'été sont intégrés dans le dispositif d'aide. Quand on pense économie d'énergie, on associe souvent la consommation d'énergie au chauffage. Or avec le réchauffement climatique, il faut aussi prendre en compte la hausse des températures des périodes estivales. On parle de « confort d'été », mais bientôt il s'agira simplement de confort selon les dernières projections du GIEC. Les stores et volets permettent de réduire la température de 5° voir plus si cela est piloté automatiquement. Sans ces solutions, les Français auront recours à la climatisation. Selon l'Ademe, 25%[2] des Français en seraient équipés. Un chiffre alarmant toujours en hausse, dont les équipements contribuent à 5% des émissions de GES. »Suivre l'exemple de pays européensLe délégué général poursuit : « nous espérons que les pouvoirs publics intégreront rapidement les solutions de protections solaires dans MaPrimeRénov'. Ces gestes de rénovations sont déjà subventionnables dans les DOM-TOM, comme chez certains de nos voisins européens, comme en Allemagne ou en Italie. Et contrairement à l'industrie de la climatisation, la quasi-totalité des solutions de protection solaires sont fabriquées en France ou dans l'Union Européenne. Il s'agit d'une industrie qui ne nécessite pas de lointaines délocalisations et est un moteur de l'économie locale. »En conclusion, le délégué général salue néanmoins les recommandations sur les futures évaluations. « Il serait nécessaire que chaque dossier soit attaché à un audit énergétique qui permettrait d'établir les gains énergétiques ainsi que les économies de GES réalisables à partir des travaux » précise le rapport.[1] Direction générale de l'énergie et du climat-DGEC (2020)[2]Étude de l'ADEME 2021
Il y a 3 ans et 248 jours

Les logements autorisés plus nombreux qu'avant le Covid

Porté par l'individuel et le collectif en résidence, le nombre de logements autorisés en septembre dernier (464 000) dépasse celui de février 2020 (458 200), dernier mois complet avant la tempête Covid. Une première depuis l’arrêt des chantiers en mars 2020.
Il y a 3 ans et 248 jours

Quels sont les risques liés aux travaux de rénovation de toiture?

Les travaux de rénovation de toiture sont classés parmi les interventions les plus risquées. Le risque se trouve surtout sur le fait que le déroulement des opérations se trouve en hauteur. À part cela, en cas de non-respect aux règlementations locales, le propriétaire du chantier peut également s’exposer à des risques de sanction administrative. Dans cet article, nous allons voir en détail tout ce qu’il faut savoir sur les risques des travaux de rénovation de la toiture. Des risques de non-conformité La non-conformité aux différentes règlementations est un risque à ne pas prendre à la légère. En effet, les travaux de rénovation de la toiture sont soumis à des déclarations de travaux auprès de la mairie. C’est seulement après avoir reçu l’aval des autorités administratives locales que les travaux de rénovation peuvent commencer. Il est donc important de se renseigner sur les réglementations locales en vigueur avant de déposer la demande de rénovation de toiture. Pour avoir l’autorisation de la commune à effectuer les opérations, la demande doit répondre à certaines normes qui sont énoncées dans le DTU (Documents Techniques Unifiés) et dans le PLU (Documents Techniques Unifiés). Lors de la réalisation des travaux de toiture, le propriétaire ainsi que les couvreurs ne peuvent pas changer le plan de rénovation qui a été validé par la mairie. Il est par exemple interdit de procéder au changement de matériaux ou de couleur pouvant modifier l’aspect final au cours des travaux. Au cas où la déclaration déposée à la mairie et les travaux réalisés ne sont pas conformes, un arrêté de cessation de travaux sera prononcé à l’encontre du propriétaire.  D’autres sanctions comme le paiement d’amende peuvent également être infligées à l’auteur de cette irrégularité. Des risques d’accidents et de dommages sur le chantier Comme dit ci-dessus, effectuer les travaux de rénovation de la toiture expose son intervenant à des risques comme : les chutes liées au travail en hauteur ; le glissement des matériels ou des outils, les projections des matériaux sur les personnes présentes sur le chantier, les infrastructures et objets à proximité. Il est donc déconseillé de s’aventurer soi-même à réaliser les travaux de rénovation de la toiture. Pour effectuer ce genre d’opération, il est recommandé de faire appel à un couvreur professionnel qui s’y connait très bien dans ce domaine.  Non seulement il dispose de bons outils pour parfaire les travaux, mais aussi il dispose d’une assurance de responsabilité civile qui couvre les éventuels dommages matériels et corporels causés par son équipe. Des risques de vices de construction La perfection n’existe pas dans le domaine du bâtiment. En effet, des anomalies peuvent survenir plus tard. Plusieurs cas peuvent se présenter comme les problèmes d’étanchéité et d’isolation. Ce sont là des risques qui peuvent affecter la solidité et l’habitabilité du bâtiment, ce qui causeront des dépenses supplémentaires aux propriétaires au cas où le prestataire n’offre pas des garanties. De ce fait, il est toujours recommandé de confier les travaux de rénovation à un professionnel en toiture qui propose des garanties décennales. Ainsi, tous les vices qui apparaissent dans les 10 ans après la réalisation des travaux seront à la charge de professionnels.  
Il y a 3 ans et 248 jours

L’entreprise française Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit son développement malgré la crise

Leur secret ? Avoir su faire preuve d’agilité en s’adaptant aux enjeux actuels et en investissant pour accélérer leur transition digitale. Un pari qui au départ pouvait sembler audacieux mais qui s’est finalement avéré largement rentable.L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.« Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne. » William COIGNARD, le fondateurCette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international.Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Au moment où troisième vague épidémique contraignait le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop développait une stratégie qui pour intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.« Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat. » William COIGNARDZoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux...Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.Aujourd’hui, Humidistop ambitionne de continuer à développer ses diagnostics à distance gratuits et la vente de ses produits via son nouveau site web.« Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits. » William COIGNARD
Il y a 3 ans et 248 jours

« La métropole de Lyon n'est pas destinée à grossir indéfiniment », Bruno Bernard, président de la métropole de Lyon (EELV)

Collectivités - Logements, transports, urbanisme… Les orientations du président un an après son élection.
Il y a 3 ans et 248 jours

Plan de relance, commande publique : quelles perspectives pour le patrimoine ?

À la suite de la crise sanitaire et son impact sur le secteur des métiers d’art, le plan de relance gouvernemental sera-t-il suffisant et adapté pour répondre aux enjeux économiques des professionnels. Daniel Pelegrin, Ebéniste, Administrateur et Président de la commission Patrimoine d’Ateliers d’Art de France, Christian Laporte, Architecte du Patrimoine Président de l’association des Architectes du Patrimoine et Christophe Degruelle, Président d’Intercommunalités de France, Président de l’Agglomération de Blois répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 248 jours

Le bois français dans le patrimoine : une fondation engagée

À la suite de l’incendie de Notre-Dame de Paris, la filière forêt bois s’est engagée pour la sauvegarde du patrimoine en créant une fondation: La fondation France bois forêt pour notre patrimoine. Un tour d’horizon de ses actions. Henri de Revel, Délégué de la Fondation France Bois Forêt, Jérome d’Anglejan, Propriétaire de l’Abbaye de Longues – Lauréat 2021 de la fondation France Bois Forêt et Bernard Lechevalier, Rédacteur en chef du magazine Atrium Patrimoine & Restauration répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 249 jours

Des experts proposent de promouvoir le patrimoine pour redynamiser les centres-villes

REQUALIFICATION. Des fins connaisseurs des problématiques liées au logement en France ont débattu de l'héritage du bâti ancien pour les villes. Ils ont évoqué les différents enjeux que représentent la construction du patrimoine de demain.
Il y a 3 ans et 249 jours

Le point sur le chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris

Un point d’étape avec l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de Notre-Dame de Paris. Jérémie Patrier-Leitus, Directeur de la communication et de la programmation culturelle de l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de Notre-Dame de Paris. répond à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 249 jours

Les matériaux du patrimoine entre avenir et tradition

La restauration du bâti ancien nécessite l’emploi de matériaux souvent traditionnels. Ces matériaux font appel à l’innovation pour leur élaboration dans le respect des techniques de mise en oeuvre. Ils sont aussi utilisés dans les constructions neuves, sont-ils les matériaux de demain ? Frédéric Létoffé, Vice Président du Groupement des Entreprises de Restaurations de monuments historiques (GMH), Jérome Carraz, Responsable de l’institut de la charpente et construction bois – Compagnons du devoir et Sylvain Ponchon, Membre du conseil d’administration de la Fédération française des tuiles et briques (FFTB). répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 249 jours

La formation aux métiers d’art : un système en crise ?

Au delà de la refonte des diplômes et de la formation initiale, c’est aussi le système de formation continue (avec la révision des critères de certification) qui est bouleversé aujourd’hui. Olivier Mallemouche, Souffleur de verre, Administrateur et Président de la commission Formation d’Ateliers d’Art de France, Marion Boisjeol, Responsable de la formation à la Maison de la céramique des pays de Dieulefit et Elie Hirsch, Sculpteur, créateur de bijoux et dinandier répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 249 jours

Au Royaume-Uni, Bouygues veut accélérer sur la construction hors-site

TENDANCE. Au Royaume-Uni, le directeur de Bouygues UK a indiqué qu'il comptait avoir davantage recours à la construction hors site pour faire face à la pénurie de main d'oeuvre.
Il y a 3 ans et 249 jours

Saint-Denis-Pleyel, à la croisée des futurs chemins du Grand Paris Express

EN IMAGES. Emblématique à bien des égards, la gare de Saint-Denis – Pleyel sera le coeur du futur réseau de 200 km de métro actuellement en construction en Ile-de-France. Quatre lignes se croiseront dans ce qui sera l'une des plus grandes gares du Grand Paris Express. Visite de chantier.
Il y a 3 ans et 249 jours

Aides aux maires densificateurs : les montants pour les 1.288 communes connus

POLITIQUE DU LOGEMENT. Les montants par commune au titre de l'aide aux maires densificateurs prévue par France relance sont connus.
Il y a 3 ans et 249 jours

Les copropriétaires sont-ils prêts à se lancer dans des travaux de rénovation énergétique

ÉTUDE. Pour les copropriétés, la rénovation énergétique est un enjeu de taille. Mais les copropriétaires envisagent-ils de faire des travaux ? Quels sont les freins ? Quels travaux sont privilégiés ? Quid de la rénovation globale ? Réponses dans l'étude d'Hellio, spécialiste de la rénovation.
Il y a 3 ans et 249 jours

Zehnder Breeze, nouveau diffuseur d’air invisible pour les plafonds climatiques Zehnder

En ayant recours à des modes constructifs peu émissifs et à des équipements toujours plus performants prenant en compte le confort d’été, la RE2020 bouleverse les habitudes du secteur du bâtiment. Dans ce contexte, les architectes et maîtres d’ouvrage restent extrêmement sensibles à l’intégration esthétique des équipements techniques. Pour répondre à ce double enjeu, Zehnder complète sa gamme de plafonds chauffants rafraîchissants pour les bâtiments tertiaires avec un nouveau diffuseur d’air intégré. Invisible, il garantit un renouvellement d’air confortable et hygiénique. Zehnder Breeze, un échange d’air assuré en toute discrétion Invisible, le nouveau diffuseur d’air Zehnder Breeze, qui garantit le renouvellement d’air dans les bâtiments tertiaires, s’intègre dans toutes les solutions de plafonds chauffants rafraîchissants métalliques avec cassettes perforées du fabricant. Raccordé au système de ventilation double flux, il utilise l’effet Coanda pour éviter tout inconfort aux occupants. L’air soufflé prend ainsi la température ambiante et limite tout courant d’air dans la zone d’occupation. Le diffuseur d’air Zehnder Breeze offre une distribution homogène de la température et assure une classe de confort A selon la norme DIN EN ISO 7730 relative à l’ergonomie des ambiances thermiques. Avec un débit de 50 à 300 m3/h selon les modèles (pour manchettes de 80, 100, 125 et 160), Zehnder Breeze garantit un renouvellement d’air hygiénique. http://www.zehnder.fr/
Il y a 3 ans et 249 jours

Naissance de Tersen, filiale de Colas et acteur engagé de la valorisation

Les sociétés Cosson, Picheta et SMS fusionnent pour donner naissance à “Tersen”. [©Colas] Depuis plus de 30 ans, les sociétés Cosson, Picheta et SMS accompagnent les acteurs du BTP. Elles s’unissent aujourd’hui sous l’entité Tersen. Ceci, pour renforcer leur capacité à relever les défis de la valorisation des déchets de construction. En effet, les chantiers de déconstruction et d’aménagement génèrent plusieurs Mt/an de déchets et de terre en France. Leur extraction et leur traitement sont un véritable casse-tête pour les entreprises et les collectivités. Qui luttent contre les décharges sauvages. Tersen : Pour la préservation des ressources naturelles Tersen exerce ainsi des activités d’extraction et de valorisation des matériaux. Ainsi que de gestion des déchets du secteur du BTP. Ainsi, elle compte plus de 50 installations sur le territoire francilien. A savoir, installations de stockage de déchets (ISDI et ISDND), plates-formes de recyclage et négoces de matériaux. Ansi que déchetteries professionnelles EcoTri, installations de concassage mobiles, carrières. Cette entité a pour ambition de réinventer les cycles de vie des matériaux de chantiers. Ceci, en s’appuyant sur un processus global d’économie circulaire, le renforcement de son maillage territorial et une stratégie d’innovation. Ceci, pour préserver les ressources naturelles. « Nous avons toujours été convaincus que les matériaux issus des chantiers d’aménagement et de la déconstruction constituaient une opportunité de repenser notre modèle. Et ce, dans une approche plus vertueuse pour la société et pour la planète. Avec Tersen, nous passons un nouveau cap pour amplifier l’impact positif de nos actions sur le territoire »,explique Didier Manseau, directeur général Colas France – territoire Ile-de-France – Normandie, maison-mère de Tersen.
Il y a 3 ans et 249 jours

Enquête rénovation énergétique : plus de la moitié des répondants n'envisage pas la réalisation de travaux pour leur copropriété

Mais avec la loi Climat et résilience, plus le choix ! Les copropriétés vont devoir prendre le pas de la rénovation énergétique, sous peine de se heurter à des sanctions, comme la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025. Cette loi, promulguée le 22 août 2021, cible particulièrement la gestion locative et les copropriétés. Deux univers en interconnexion car 60% des logements dans les grandes villes sont la propriété d'investisseurs et sont donc occupés par des locataires. Face à l'urgence climatique, la rénovation énergétique globale et performante est considérée comme le seul moyen d'atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050.Conscient que ces obligations vont fortement impacter les copropriétés, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité sonder leur perception des travaux de rénovation énergétique et évaluer leur connaissance des aides. Cette enquête, réalisée en ligne entre le 15 août et le 30 septembre 2021 à laquelle 300 copropriétaires, membres et responsables de conseils syndicaux répartis sur toute la France ont répondu, laisse apparaître que la tâche est immense !Pour commenter les résultats de cette étude, Hellio a réuni, autour d'Henry Buzy- Cazaux, président fondateur de l'IMSI (Institut du management des services immobiliers), des experts du secteur des services immobiliers, dans le cadre d'une table ronde le 20 octobre 2021 : Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, Estelle Baron, directrice des projets Soliha, José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier – Réseau immo de France et Tanguy Dupont, directeur du pôle habitat collectif de Hellio.La rénovation énergétique des copropriétés : un enjeu de tailleUn enjeu réglementaireAlors que beaucoup d'assemblées générales n'ont pu se tenir ou se sont tenues à distance avec tous les freins inhérents, en raison du contexte sanitaire, les copropriétés ont pourtant la lourde tâche de s'engager sur le chemin de la rénovation énergétique et doivent expérimenter un certain nombre de réformes votées dans le cadre de la loi Climat et résilience :Un DPE devenu opposable et à double seuil (émission de CO2 et efficacité énergétique) depuis le 1er juillet 2021,Un audit énergétique obligatoire pour les logements G, F, E et D à partir de 2022 (1er janvier 2022 pour les logements de classes F ou G ; 1er janvier 2025 pour les logements de classe E ; 1er janvier 2034 pour les logements de classe D),Un échéancier sur l'interdiction de location des logements les plus énergivores (G en 2025, F en 2028, E en 2035),Un nouveau calcul du fonds travaux,Le Plan Pluriannuel de Travaux obligatoire.Concrètement, ce sont 23 millions de logements classés de G à D (habitat collectif et maisons individuelles), qui doivent être rénovés car le législateur ne s'est pas limité à l'éradication des passoires thermiques (4,8 millions).Un enjeu financierOutre l'obligation réglementaire, les charges de copropriété trimestrielles pèsent lourd dans le budget des ménages : 749 € en moyenne en 2020[1].Selon les résultats de l'enquête Hellio, près d'1 répondant sur 2 (49%) estime que le poids de l'énergie est supérieur à 20% des charges. Une proportion qui devrait encore s'accentuer dans le contexte actuel de la hausse des prix de l'énergie si aucun travaux n'est entrepris dans les copropriétés.Des obstacles à surmonterLa méconnaissance de la rénovation énergétiqueLe premier enseignement de l'enquête réalisée par Hellio est la méconnaissance des copropriétés sur plusieurs sujets étroitement liés à la rénovation énergétique.50% des répondants ne connaissent pas l'étiquette énergétique de leur copropriété et seuls 15% estiment l'avoir prise en compte lors de leur achat. Pourtant, l'énergie devient de plus en plus une composante à prendre en compte. Cette prise en considération devrait logiquement évoluer avec la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025 : la valeur verte aura une influence sur le prix de vente d'un bien immobilier et sur sa location. Mais face à cette future interdiction, le risque est que certains copropriétaires bailleurs envisagent plutôt de vendre, à l'image de Brigitte :« J'ai pris la décision de mettre en vente mon appartement parce qu'il y a trop de contraintes sans aucune information autour. J'aime les choses claires, on m'informe, je prends une décision. Aujourd'hui je n'ai pas d'information, c'est compliqué, je vends ! ».À la question « Connaissez-vous la rénovation globale en copropriété ? », près de 3/4 des répondants ont répondu par la négative.Même constat du côté des aides à la rénovation globale : 70% ne les connaissent pas. Des résultats peu surprenants puisque la rénovation globale est un axe du gouvernement depuis peu, MaPrimeRénov' copropriétés ayant été lancée il y a moins d'un an.Les freins pour faire voter les travaux de rénovation énergétiqueConséquence directe de la méconnaissance, convaincre les copropriétaires d'investir dans des travaux ambitieux n'est pas une tâche aisée ! Les copropriétaires prennent trop peu souvent la décision d'engager des travaux de rénovation énergétique sauf pour des motifs financiers : la baisse des charges pour 78% des répondants et la valeur du bien pour 69%. Ces résultats confirment bien que l'immobilier est le 1er poste d'investissement des Français.Les solutions pour surmonter les obstaclesL'accompagnement des syndicsAu coeur du processus de décision, les syndics ont un rôle clé à jouer. Cependant, 82% des répondants déclarent ne pas avoir eu de recommandations sur les travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété de la part de leur syndic professionnel.« Il nous faut des partenaires qui finalement gèrent pour nous toute la partie en amont du vote des travaux. Une fois que tout est géré avec le montant des travaux, les éventuelles aides qu'on peut avoir, le reste à charge, ça nous permet de pouvoir présenter en AG et là en général, c'est bien construit, ça passe ! Mais sans aide et sans de bons partenaires, on n'y arrive pas ! », témoigne Emmanuelle Thomas, gestionnaire de copropriétés au sein du Cabinet Thomas.Bien que le syndic soit là pour permettre aux copropriétaires d'avoir une vision plus longue (ils sont propriétaires de leur bien pendant 7 ans en moyenne), le besoin d'accompagnement est prépondérant pour leur apporter des préconisations et mobiliser les aides disponibles. Des conditions sine qua non pour convaincre les copropriétaires de passer à l'acte.Un constat partagé par Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, qui confirme que les syndics doivent être accompagnés par des professionnels maîtrisant les aides afin de faire prendre la bonne décision au bon moment lors des assemblées générales. D'autant plus que l'année qui vient de s'écouler a été une année blanche, sans gros postes de travaux votés.La rénovation globaleLa priorité politique donnée à la rénovation énergétique des copropriétés se heurte à une demande de travaux insuffisamment stimulée. 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété et 50% ne comptent pas réaliser la rénovation globale alors que c'est l'une des solutions face à l'obligation de rénover les passoires énergétiques à partir de 2025. De plus, grâce à la rénovation globale, les copropriétés pourraient réduire le montant des charges liées à l'énergie de 15% minimum[2].Pour ceux qui la projettent, elle n'est envisagée qu'à long terme pour 19% (4 ans et plus) des répondants. Il y a pourtant urgence car les délais de prise de décision des copropriétés sont longs. Selon Hellio, le temps moyen de réalisation d'une rénovation globale est de 3 ans.L'étude réalisée par Hellio laisse, toutefois, entrevoir des perspectives encourageantes. Lorsque les copropriétaires sont informés, ils identifient l'isolation thermique par l'extérieur comme le poste de travaux le plus efficace pour réaliser le plus d'économies d'énergie (48%).« Accompagner un projet d'isolation et de ravalement, par exemple, d'une réflexion globale sur les autres travaux à envisager permettrait aux copropriétaires de bénéficier d'aides plus importantes grâce à la rénovation globale, tout en réalisant davantage d'économies d'énergie », souligne Tanguy Dupont, directeur des solutions Hellio pour l'Habitat Collectif.La rénovation globale arrive en 4ème position du top 10 des travaux de rénovation énergétique cités. Un signal positif témoignant d'un début de prise de conscience.Le concept de rénovation globale est accepté par tous les intervenants du débat même si certains ne l'envisagent pas comme une solution de massification.Pour Estelle Baron, directrice des projets Soliha, cette démarche ambitieuse laisse trop de résidences de côté (notamment les petites) et doit passer par un audit solide qui permet de voir jusqu'où il est possible d'aller au regard de la typologie des copropriétaires. Une rénovation par étape peut être plus appropriée dans certaines copropriétés, d'autant qu'il ne faut pas oublier les autres postes de travaux d'entretien à réaliser, en particulier dans les copropriétés fragiles et en difficulté.Pour José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier, Réseau Immo de France, la marche est trop haute ! Il doute de la capacité de la plupart des résidences d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques requis pour bénéficier de MaPrimeRénov' copropriétés. C'est la raison pour laquelle il milite pour un abaissement du seuil à 20%. On retiendra la phrase de José de Juan Mateo qui a travaillé sur le sujet avec Procivis Lab' : « Le mieux est l'ennemi du bien ! ».Faire émerger les instruments de financement pour la rénovation globalePlus économique au final, une rénovation globale et performante est aussi plus difficile à faire voter car la décision est prise sur la base d'un coût global.Le rapport Sichel a chiffré en moyenne le coût de la rénovation par logement à 15 000 € en habitat collectif, un montant sous-estimé selon les intervenants. Il n'en reste pas moins que 75% des répondants de l'enquête Hellio se disent prêts à allouer 5 000 € aux travaux de rénovation énergétique, soit le montant moyen du reste à charge par copropriétaire d'une rénovation globale après déduction des aides (MaPrimeRénov', CEE), selon Hellio.« MaPrimeRénov copropriétés permet de financer 25% du montant des travaux, à condition d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques. Á cela s'ajoutent les Certificats d'Économies d'Énergie, une aide privée financée par fournisseurs d'énergie, à hauteur de 10 à 20% du montant des travaux », détaille Tanguy Dupont.Mais la majorité des répondants ne connaissent pas les aides à la rénovation globale, preuve d'un besoin de simplification pour les rendre plus accessibles et en faire un élément déclencheur.Se pose aussi la question du financement du reste à charge des ménages les plus modestes et les plus âgés qui rencontrent le problème d'accès au crédit. Les banques montrent peu d'appétence pour le financement de la rénovation énergétique, jugée peu rentable au regard des contraintes techniques imposées, même si l'appréhension de ces dispositifs par les banques évolue positivement, avec notamment l'instauration du prêt avance rénovation à partir du 1er janvier 2022.La proposition de Hellio : expérimenter le modèle d'accompagnement proposé par France Stratégie, un opérateur ensemblier agréé par l'Etat qui proposerait une solution de tiers financementCes « opérateurs ensembliers », entreprises privées ou des sociétés d'économie mixtes sélectionnées par les autorités publiques établiraient le diagnostic de performance énergétique du logement et la rentabilité anticipée de l'opération. Ils avanceraient le financement des travaux et les réaliseraient puis se rembourseraient mensuellement sur la baisse de la facture énergétique, en captant 3/4 des économies. Labellisés et adossés à une garantie publique, ils devront gagner la confiance des ménages qui n'auraient, eux, aucun frais à avancer.Le schéma du financement est inédit : faire porter le financement sur l'opérateur, qui se rembourse et génère la marge de son contrat de prestation à partir des économies d'énergie réalisées. L'opérateur se porte dès lors garant de ces économies, via un Contrat de Performance Énergétique (CPE).La source de financement pourrait provenir de fonds spécialisés, des green bonds, par exemple. Le dispositif serait par ailleurs sécurisé par une garantie publique. A noter : l'opérateur se finançant sur les économies d'énergie aurait la bonne incitation pour accompagner le ménage, le former et l'aider à réaliser les économies qui ne dégradent pas son confort.En conclusion, les intervenants s'accordent à dire que cette solution est intéressante mais que cela ne peut être qu'un outil parmi d'autres car elle ne répond pas à tous les types de copropriétés (petites tailles, centres anciens, copropriétés où le chauffage n'est pas collectif, etc.).« Je trouve qu'on a mis en avant des problèmes mais aussi beaucoup de solutions sur la base de ce que pensent les propriétaires et les professionnels sur le terrain. On n'a pas négligé la réalité, elle nous a servi de tremplin pour ce débat », conclut Henry Buzy-Cazaux.[1]https://www.pap.fr/actualites/copropriete-les-charges-reculent-de-2-en-2019-2020/a22439[2] Calcul basé sur une dépense énergétique de 400 € par an.
Il y a 3 ans et 249 jours

Enquête rénovation énergétique : 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux pour leur copropriété

Mais avec la loi Climat et résilience, plus le choix ! Les copropriétés vont devoir prendre le pas de la rénovation énergétique, sous peine de se heurter à des sanctions, comme la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025. Cette loi, promulguée le 22 août 2021, cible particulièrement la gestion locative et les copropriétés. Deux univers en interconnexion car 60% des logements dans les grandes villes sont la propriété d'investisseurs et sont donc occupés par des locataires. Face à l'urgence climatique, la rénovation énergétique globale et performante est considérée comme le seul moyen d'atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050.Conscient que ces obligations vont fortement impacter les copropriétés, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité sonder leur perception des travaux de rénovation énergétique et évaluer leur connaissance des aides. Cette enquête, réalisée en ligne entre le 15 août et le 30 septembre 2021 à laquelle 300 copropriétaires, membres et responsables de conseils syndicaux répartis sur toute la France ont répondu, laisse apparaître que la tâche est immense !Pour commenter les résultats de cette étude, Hellio a réuni, autour d'Henry Buzy- Cazaux, président fondateur de l'IMSI (Institut du management des services immobiliers), des experts du secteur des services immobiliers, dans le cadre d'une table ronde le 20 octobre 2021 : Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, Estelle Baron, directrice des projets Soliha, José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier – Réseau immo de France et Tanguy Dupont, directeur du pôle habitat collectif de Hellio.La rénovation énergétique des copropriétés : un enjeu de tailleUn enjeu réglementaireAlors que beaucoup d'assemblées générales n'ont pu se tenir ou se sont tenues à distance avec tous les freins inhérents, en raison du contexte sanitaire, les copropriétés ont pourtant la lourde tâche de s'engager sur le chemin de la rénovation énergétique et doivent expérimenter un certain nombre de réformes votées dans le cadre de la loi Climat et résilience :Un DPE devenu opposable et à double seuil (émission de CO2 et efficacité énergétique) depuis le 1er juillet 2021,Un audit énergétique obligatoire pour les logements G, F, E et D à partir de 2022 (1er janvier 2022 pour les logements de classes F ou G ; 1er janvier 2025 pour les logements de classe E ; 1er janvier 2034 pour les logements de classe D),Un échéancier sur l'interdiction de location des logements les plus énergivores (G en 2025, F en 2028, E en 2035),Un nouveau calcul du fonds travaux,Le Plan Pluriannuel de Travaux obligatoire.Concrètement, ce sont 23 millions de logements classés de G à D (habitat collectif et maisons individuelles), qui doivent être rénovés car le législateur ne s'est pas limité à l'éradication des passoires thermiques (4,8 millions).Un enjeu financierOutre l'obligation réglementaire, les charges de copropriété trimestrielles pèsent lourd dans le budget des ménages : 749 € en moyenne en 2020[1].Selon les résultats de l'enquête Hellio, près d'1 répondant sur 2 (49%) estime que le poids de l'énergie est supérieur à 20% des charges. Une proportion qui devrait encore s'accentuer dans le contexte actuel de la hausse des prix de l'énergie si aucun travaux n'est entrepris dans les copropriétés.Des obstacles à surmonterLa méconnaissance de la rénovation énergétiqueLe premier enseignement de l'enquête réalisée par Hellio est la méconnaissance des copropriétés sur plusieurs sujets étroitement liés à la rénovation énergétique.50% des répondants ne connaissent pas l'étiquette énergétique de leur copropriété et seuls 15% estiment l'avoir prise en compte lors de leur achat. Pourtant, l'énergie devient de plus en plus une composante à prendre en compte. Cette prise en considération devrait logiquement évoluer avec la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025 : la valeur verte aura une influence sur le prix de vente d'un bien immobilier et sur sa location. Mais face à cette future interdiction, le risque est que certains copropriétaires bailleurs envisagent plutôt de vendre, à l'image de Brigitte :« J'ai pris la décision de mettre en vente mon appartement parce qu'il y a trop de contraintes sans aucune information autour. J'aime les choses claires, on m'informe, je prends une décision. Aujourd'hui je n'ai pas d'information, c'est compliqué, je vends ! ».À la question « Connaissez-vous la rénovation globale en copropriété ? », près de 3/4 des répondants ont répondu par la négative.Même constat du côté des aides à la rénovation globale : 70% ne les connaissent pas. Des résultats peu surprenants puisque la rénovation globale est un axe du gouvernement depuis peu, MaPrimeRénov' copropriétés ayant été lancée il y a moins d'un an.Les freins pour faire voter les travaux de rénovation énergétiqueConséquence directe de la méconnaissance, convaincre les copropriétaires d'investir dans des travaux ambitieux n'est pas une tâche aisée ! Les copropriétaires prennent trop peu souvent la décision d'engager des travaux de rénovation énergétique sauf pour des motifs financiers : la baisse des charges pour 78% des répondants et la valeur du bien pour 69%. Ces résultats confirment bien que l'immobilier est le 1er poste d'investissement des Français.Les solutions pour surmonter les obstaclesL'accompagnement des syndicsAu coeur du processus de décision, les syndics ont un rôle clé à jouer. Cependant, 82% des répondants déclarent ne pas avoir eu de recommandations sur les travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété de la part de leur syndic professionnel.« Il nous faut des partenaires qui finalement gèrent pour nous toute la partie en amont du vote des travaux. Une fois que tout est géré avec le montant des travaux, les éventuelles aides qu'on peut avoir, le reste à charge, ça nous permet de pouvoir présenter en AG et là en général, c'est bien construit, ça passe ! Mais sans aide et sans de bons partenaires, on n'y arrive pas ! », témoigne Emmanuelle Thomas, gestionnaire de copropriétés au sein du Cabinet Thomas.Bien que le syndic soit là pour permettre aux copropriétaires d'avoir une vision plus longue (ils sont propriétaires de leur bien pendant 7 ans en moyenne), le besoin d'accompagnement est prépondérant pour leur apporter des préconisations et mobiliser les aides disponibles. Des conditions sine qua non pour convaincre les copropriétaires de passer à l'acte.Un constat partagé par Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, qui confirme que les syndics doivent être accompagnés par des professionnels maîtrisant les aides afin de faire prendre la bonne décision au bon moment lors des assemblées générales. D'autant plus que l'année qui vient de s'écouler a été une année blanche, sans gros postes de travaux votés.La rénovation globaleLa priorité politique donnée à la rénovation énergétique des copropriétés se heurte à une demande de travaux insuffisamment stimulée. 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété et 50% ne comptent pas réaliser la rénovation globale alors que c'est l'une des solutions face à l'obligation de rénover les passoires énergétiques à partir de 2025. De plus, grâce à la rénovation globale, les copropriétés pourraient réduire le montant des charges liées à l'énergie de 15% minimum[2].Pour ceux qui la projettent, elle n'est envisagée qu'à long terme pour 19% (4 ans et plus) des répondants. Il y a pourtant urgence car les délais de prise de décision des copropriétés sont longs. Selon Hellio, le temps moyen de réalisation d'une rénovation globale est de 3 ans.L'étude réalisée par Hellio laisse, toutefois, entrevoir des perspectives encourageantes. Lorsque les copropriétaires sont informés, ils identifient l'isolation thermique par l'extérieur comme le poste de travaux le plus efficace pour réaliser le plus d'économies d'énergie (48%).« Accompagner un projet d'isolation et de ravalement, par exemple, d'une réflexion globale sur les autres travaux à envisager permettrait aux copropriétaires de bénéficier d'aides plus importantes grâce à la rénovation globale, tout en réalisant davantage d'économies d'énergie », souligne Tanguy Dupont, directeur des solutions Hellio pour l'Habitat Collectif.La rénovation globale arrive en 4ème position du top 10 des travaux de rénovation énergétique cités. Un signal positif témoignant d'un début de prise de conscience.Le concept de rénovation globale est accepté par tous les intervenants du débat même si certains ne l'envisagent pas comme une solution de massification.Pour Estelle Baron, directrice des projets Soliha, cette démarche ambitieuse laisse trop de résidences de côté (notamment les petites) et doit passer par un audit solide qui permet de voir jusqu'où il est possible d'aller au regard de la typologie des copropriétaires. Une rénovation par étape peut être plus appropriée dans certaines copropriétés, d'autant qu'il ne faut pas oublier les autres postes de travaux d'entretien à réaliser, en particulier dans les copropriétés fragiles et en difficulté.Pour José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier, Réseau Immo de France, la marche est trop haute ! Il doute de la capacité de la plupart des résidences d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques requis pour bénéficier de MaPrimeRénov' copropriétés. C'est la raison pour laquelle il milite pour un abaissement du seuil à 20%. On retiendra la phrase de José de Juan Mateo qui a travaillé sur le sujet avec Procivis Lab' : « Le mieux est l'ennemi du bien ! ».Faire émerger les instruments de financement pour la rénovation globalePlus économique au final, une rénovation globale et performante est aussi plus difficile à faire voter car la décision est prise sur la base d'un coût global.Le rapport Sichel a chiffré en moyenne le coût de la rénovation par logement à 15 000 € en habitat collectif, un montant sous-estimé selon les intervenants. Il n'en reste pas moins que 75% des répondants de l'enquête Hellio se disent prêts à allouer 5 000 € aux travaux de rénovation énergétique, soit le montant moyen du reste à charge par copropriétaire d'une rénovation globale après déduction des aides (MaPrimeRénov', CEE), selon Hellio.« MaPrimeRénov copropriétés permet de financer 25% du montant des travaux, à condition d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques. Á cela s'ajoutent les Certificats d'Économies d'Énergie, une aide privée financée par fournisseurs d'énergie, à hauteur de 10 à 20% du montant des travaux », détaille Tanguy Dupont.Mais la majorité des répondants ne connaissent pas les aides à la rénovation globale, preuve d'un besoin de simplification pour les rendre plus accessibles et en faire un élément déclencheur.Se pose aussi la question du financement du reste à charge des ménages les plus modestes et les plus âgés qui rencontrent le problème d'accès au crédit. Les banques montrent peu d'appétence pour le financement de la rénovation énergétique, jugée peu rentable au regard des contraintes techniques imposées, même si l'appréhension de ces dispositifs par les banques évolue positivement, avec notamment l'instauration du prêt avance rénovation à partir du 1er janvier 2022.La proposition de Hellio : expérimenter le modèle d'accompagnement proposé par France Stratégie, un opérateur ensemblier agréé par l'Etat qui proposerait une solution de tiers financementCes « opérateurs ensembliers », entreprises privées ou des sociétés d'économie mixtes sélectionnées par les autorités publiques établiraient le diagnostic de performance énergétique du logement et la rentabilité anticipée de l'opération. Ils avanceraient le financement des travaux et les réaliseraient puis se rembourseraient mensuellement sur la baisse de la facture énergétique, en captant 3/4 des économies. Labellisés et adossés à une garantie publique, ils devront gagner la confiance des ménages qui n'auraient, eux, aucun frais à avancer.Le schéma du financement est inédit : faire porter le financement sur l'opérateur, qui se rembourse et génère la marge de son contrat de prestation à partir des économies d'énergie réalisées. L'opérateur se porte dès lors garant de ces économies, via un Contrat de Performance Énergétique (CPE).La source de financement pourrait provenir de fonds spécialisés, des green bonds, par exemple. Le dispositif serait par ailleurs sécurisé par une garantie publique. A noter : l'opérateur se finançant sur les économies d'énergie aurait la bonne incitation pour accompagner le ménage, le former et l'aider à réaliser les économies qui ne dégradent pas son confort.En conclusion, les intervenants s'accordent à dire que cette solution est intéressante mais que cela ne peut être qu'un outil parmi d'autres car elle ne répond pas à tous les types de copropriétés (petites tailles, centres anciens, copropriétés où le chauffage n'est pas collectif, etc.).« Je trouve qu'on a mis en avant des problèmes mais aussi beaucoup de solutions sur la base de ce que pensent les propriétaires et les professionnels sur le terrain. On n'a pas négligé la réalité, elle nous a servi de tremplin pour ce débat », conclut Henry Buzy-Cazaux.[1]https://www.pap.fr/actualites/copropriete-les-charges-reculent-de-2-en-2019-2020/a22439[2] Calcul basé sur une dépense énergétique de 400 € par an.
Il y a 3 ans et 249 jours

Ouverture du Forum du Patrimoine

Quel est l’état d’esprit des exposants cette année ? C’est un salon de retrouvailles ! Après deux ans de coupure, tout le monde était impatient, à la fois de se retrouver entre acteurs du patrimoine et de retrouver ses publics : amateurs de patrimoine, amateurs de métiers d’art et le public professionnel… Aude Tahon, Présidente d’Ateliers d’Art de France et Bernard Lechevalier, Rédacteur en chef du magazine Atrium Patrimoine & Restauration répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 249 jours

Nouveau poêle étanche et canalisable Amadea 116 Qlima

L’Amadea 116 Qlima est un poêle à granulés de bois étanche et contrôlable par WiFi via l’application Tuya. Grâce à sa chambre de combustion parfaitement étanche, l’appareil fonctionne en prélevant l’oxygène à l’extérieur de l’habitat. Tout en réduisant la consommation de combustible, il offre un excellent confort thermique dans les maisons les plus modernes, sans aucun risque d’émissions de fumée dans la pièce. Ce poêle élégant, au design tout en rondeur, est doté de deux sorties d’air : l’une pour la pièce où il est installé, et l’autre canalisable pour chauffer un second espace. Le poêle à granulés de bois Amadea 116 Qlima garantit des rendements très élevés (plus de 94 %) à un coût nettement moindre qu’un appareil à combustible fossile. Ces qualités auxquelles s’ajoutent des niveaux d’émission très bas en font un système de chauffage écologique. Un thermomètre intégré détecte la température ambiante et adapte automatiquement le fonctionnement du poêle pour obtenir la température désirée. L’appareil se met alors en bas régime. Une minuterie à 2 programmes permet de régler 2 périodes de chauffage par 24 heures. Les paramètres sont identiques pour chaque jour de la semaine. Par exemple la plage horaire 1 peut se situer de 8 h à 10 h, et la plage horaire 2 de 16 h à 18 h. Pour chaque jour de la semaine, il est possible de choisir sa préférence : aucun créneau horaire, un ou deux créneaux, ou encore les deux. Doté de plusieurs systèmes de sécurité et d’alarmes, le poêle Amadea 116 Qlima peut détecter toute anomalie. Il s’arrête immédiatement de fonctionner à la moindre alerte ou en cas de pression trop importante.   Amadea 116 Qlima   Capacité de chauffe : min 3,52 kW – maxi 10,03 kW Efficacité thermique : 94,39 % Classe énergétique : A+ Volume de pièce : 285 m3 – 114 m2 Consommation en granulés : min 0,77 kg/h, max 2,39 kg/h Autonomie : de 8,5 à 26 h Dimensions : L 530 x P 530 x H 1080 mm Garantie : 2 ans Prix de vente : moins de 2 890 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce
Il y a 3 ans et 249 jours

Oléofloor® : retrouver la chaleur du bois à l'intérieur

Depuis toujours et plus que jamais, le bois matériau gage de qualité et synonyme d’authenticité habille la maison partout du sol aux murs ! Qui dit matière vivante dit soins à prodiguer ! Comme la peau, le bois, même sans subir les intempéries, demande une attention particulière. En intérieur, les risques proviennent de l’abrasion, de l’usure avec les passages répétés, des taches et de la vie quotidienne d’une maison. Il faut donc un produit qui permette de nourrir et de protéger en surface. Communément, 2 types de solutions s’offrent aux bois de parquet ou de plan de travail : les cires et les vitrificateurs.Les premières permettent de mettre en avant le bel aspect chaleureux recherché du bois : elles nourrissent et protègent en surface mais encrassent le bois au fil du temps, le font monter en teinte et le rendent glissant.Les seconds apportent une solution très résistante aux taches et à l’eau mais plus sensible à l’abrasion, avec une maintenance plus lourde comme pour la cire avec un ponçage fastidieux.Fort de son expertise pour la protection des bois marine et extérieurs, Owatrol® a su développer une gamme technique spécifique dédiée aux parquets et bois d’intérieur. Les huiles de la famille OLÉOFLOOR®, résultent d’un savant mélange d’huiles naturelles et de résines ultra performantes pour apporter un fini magnifié et une protection optimisée.OLÉOFLOOR® : décryptage d’une pépite surprenante !3 maîtres mots : imprégnation + fini seconde peau + résistanceImprégnation : comme pour les bois extérieurs avec les saturateurs, l’excellent pouvoir d’imprégnation conféré aux huiles permet à l’OLÉOFLOOR® de pénétrer dans le bois pour le protéger à coeur et garantir une belle durabilité.Fini seconde peau : la composition fluide et pénétrante de l’OLÉOFLOOR® lui permet de faire corps avec le support sans laisser de film, de magnifier le fini du bois tout en conservant la teinte d’origine.Résistance : les résines d’OLÉOFLOOR® se combinent entre elles à la surface et génèrent une véritable barrière aux agressions extérieures aussi bien mécaniques que chimiques. Les parquets, plans de travail protégés à l’OLÉOFLOOR® résistent mieux aux passages répétés et aux produits chimiques variés (détergents, feutres…).OLÉOFLOOR® rime aussi avec :Maintenance allégée : grâce à leur pouvoir d’imprégnation, les huiles de l’OLÉOFLOOR® ne restent pas en surface et le bois ne s’encrasse pas tout en résistant aux taches. Lors de sa maintenance il n’est pas nécessaire de procéder à un ponçage systématique et il est même possible de faire de simples retouches locales.À noter : OLÉOFLOOR® bénéficie de l’effet vaccin des saturateurs Owatrol®, c’est-à-dire : un bois nourri à l’OLÉOFLOOR® s’en souvient et les quantités nécessaires à sa maintenance sont limitées.Déco : pour tous les goûts !OLÉOFLOOR® Classic qui avive le bois pour donner un aspect chaleureux avec un beau fini mat satiné.OLÉOFLOOR® Natural qui agit comme une seconde peau avec un fini mat. OLÉOFLOOR® Natural est totalement invisible avec la version Incolore, ou bien très moderne dans ses versions blanc Antique et gris Antique.Une gamme respectueuse de l’environnement : en tête de liste avec son taux de COV bien inférieur aux normes réglementaires et son classement A+ (cf nouvelle norme « émissions dans l’air intérieur).Pérenniser l’intemporel, garantir l’authenticité et la beauté du bois avec les techniques du nouveau millénaire : gamme OLÉOFLOOR® d’OWATROL® : le bois à l’état pur !Pour plus d'info et acheter en ligne, consultez la pageOLÉOFLOOR® natural ou OLÉOFLOOR® classique.
Il y a 3 ans et 249 jours

Ôm2c lance "Art de ville", un programme de 50 logements au cœur de Villefranche-sur-Saône (69)

Emplacement central, proximité des infrastructures et équipements publics, confort, espaces généreux prolongés vers l’extérieur… « Art de ville » répond aux attentes d’acquéreurs de tous profils.Un emplacement central priséSitué à deux pas de la fameuse rue Nationale, en face du musée d’Art Moderne Paul Dini, au coeur du centre-ville de Villefranche-sur-Saône, l’ensemble immobilier s’élève sur 3 niveaux seulement plus attique. Elle intègre, en socle sur 500 m² de SDP, des locaux d’activités dédiés aux professions libérales.Un cœur d’îlot paysager pour une résidence ouverte sur son environnementBien que situé en cœur de ville, la résidence propose une vue sur un îlot paysager exposé sud-ouest, permettant aux appartements, tous prolongés d’un espace extérieur, de profiter d’un maximum d’espaces verts avec arbres tiges, arbres cépées et haies végétales.La grande majorité des logements est équipée de balcons, loggias ou de terrasses plein ciel (jusqu’à 80 m²) sur attiques pensés comme « une maison sur le toit ».Avec certains appartements jouissant d’une double ou d’« Art de ville » (conçu par Antoine Reusa - cabinet SAAR Architecture), s’attache à ce que chaque logement profite d’un ensoleillement optimal tout au long de la journée.Luminosité et modularité pour l’ensemble des logementsLes logements bénéficient de prestations sont soignées, en termes d’esthétique, de confort thermique et d’usage. Chaque appartement offre des volumes fonctionnels et généreux où chaque m² est valorisé. Les équipements ont quant à eux et rigoureusement sélectionnés pour un quotidien confortable et facilité (volets roulants électriques, double vitrage, revêtement stratifié dans les chambres et carrelage dans les pièces de vie, serrure de sécurité des portes palières. Les parkings sont en sous-sol (certains boxés).
Il y a 3 ans et 249 jours

"Tous les acteurs de la construction sont appelés à amplifier leur coopération", Xavier Fournet, KPMG

Alors que le cabinet d'audit et de conseils dévoile son enquête annuelle sur le secteur des infrastructures et de la construction, Xavier Fournet, associé et responsable de ces sujets, en décrypte les principaux enseignements.
Il y a 3 ans et 249 jours

Plus de 2.700 friches potentielles répertoriées en Ile-de-France

Afin d'améliorer la connaissance du gisement foncier, la Région a missionné l'Institut Paris Region, organisme d'études qui dépend d'elle, pour la création d'un Observatoire des friches franciliennes. Le repérage des terrains à l'abandon a débuté en janvier 2020.En 2021, l'Institut a répertorié 2.721 friches "potentielles", dont 776 à Paris et en petite couronne. Ce décompte, publié pour la première fois mercredi, exclut les sites pour l'heure à l'abandon mais faisant l'objet d'un plan de revitalisation identifié."Il n'y a pas de définition légale de ce qu'est une friche" et la cartographie établie par l'Institut Paris Region n'est "pas exhaustive" et "évolue", a précisé devant la presse Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président de la Région Île-de-France.Les friches identifiées par l'Institut totalisent 4.200 hectares, soit l'équivalent de près de la moitié de la capitale. Parmi elles, 40% sont des espaces verts à l'abandon tels des lisières de bois, et 20% ne comportent aucun bâtiment. L'hétérogénéité de ces friches concerne également leurs propriétaires: 1.990 sont des acteurs privés, 706 publics et 25 public/privé.La Région Ile-de-France "est en croissance permanente", avec "50.000 habitants de plus chaque année". Elle s'est fixé l'objectif de "zéro artificialisation nette" d'ici 2050. "Une gageure", relève M. Dugoin-Clément, selon qui l'identification et la récupération des friches sont dans ce contexte "un enjeu majeur".Dans cette optique, l'Institut Paris Region est en train d'élaborer un outil pour accompagner les collectivités et autres porteurs de projets et les guider dans l'usage potentiel de ces friches, qu'elles soient destinées à du logement, une activité agricole ou industrielle, ou à des espaces publics.Cette plateforme a déterminé une centaine de critères (proximité de la friche avec une gare ou des lignes haute tension, présomption de pollution des sols, etc.), de quoi moduler les simulations et optimiser "l'utilisation des friches en fonction par exemple de la proximité avec un bassin d'emploi", a expliqué Nicolas Laurelle, urbaniste de l'Institut Paris Region.
Il y a 3 ans et 249 jours

Anglet : la construction de la future résidence Gran Bos a été lancée

À Anglet, le programme immobilier Gran Bos se concrétise avec le récent lancement des travaux de construction.
Il y a 3 ans et 249 jours

Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux : la construction du bassin de rétention se poursuit

À Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux, un nouveau bassin de rétention est en cours de construction. Les travaux devraient se poursuivre jusqu’en 2022.
Il y a 3 ans et 249 jours

Ouverture du Centre d’innovation d’Ecocem

Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais à l’échelle industrielle en collaboration avec des partenaires industriels et des universités. [©Ecocem] Fournisseur européen de solutions cimentaires à faible teneur en carbone, Ecocem a ouvert, mi-octobre, son Centre pour l’innovation. Sis à Champlan, dans le Sud de Paris. Baptisé “Centre d’excellence”. Le lieu a pour objectifs d’accélérer le développement de nouvelles technologies et de nouveaux produits. Ceux-ci aideront les industries du ciment et de la construction à se décarboniser plus rapidement.  Le Centre d’excellence permettra à l’équipe “Innovation” du groupe Ecocem de se concentrer sur le test. Ainsi que l’évaluation et l’amélioration de ses nouvelles solutions. Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais en grandeur réelle, en collaboration avec des partenaires industriels et des universités. Dont celle de Paris-Saclay et celle de Toulouse. « Ecocem s’engage en faveur d’une décarbonisation profonde et rapide de l’industrie mondiale du ciment. C’est essentiel pour la planète et les générations futures. Et cela peut être réalisé par l’innovation et la technologie. Les industries du ciment et de la construction développent et déploient une série de technologies visant à réduire les émissions. Ecocem et son nouveau Centre d’excellence ajouteront une dimension supplémentaire à ces efforts », déclare Laurent Frouin, directeur de l’innovation d’Ecocem.
Il y a 3 ans et 249 jours

Isover, Placo® et Isonat s'associent pour accompagner le développement de la construction bois

Les trois marques entendent les accompagner dans l'accélération de leurs projets de construction bois en développant des partenariats pour co-construire des solutions en réponse aux problématiques techniques de ce mode constructif.Des expertises métiers au service des enjeux de la construction boisForts de leurs connaissances techniques dans les domaines de l'efficacité énergétique, l'acoustique, la protection au feu et l'hygrométrie, quatre enjeux majeurs de la construction bois, ISOVER, Placo® et Isonat proposent une gamme complète de solutions fabriquées en France :ISOVER conçoit des solutions d'isolation durable pour répondre aux enjeux d'efficacité thermique, d'acoustique et de protection au feu. Le spécialiste s'inscrit dans une démarche continue d'optimisation de l'impact environnemental de ses produits, de l'efficacité énergétique, de la qualité de l'air intérieur et du bien-être.Placo® est engagé dans le développement de produits dédiés à l'habitat durable. Pionnier de la plaque de plâtre en France, l'expert innove en permanence afin de proposer des solutions techniques qui répondent aux exigences acoustiques, thermiques, décoratives, de qualité de l'air intérieur… des particuliers et des professionnels.Isonat, entreprise innovante, est spécialisée dans l'isolation biosourcée en fibres de bois. L'entreprise conçoit et s'approvisionne en France pour l'ensemble de ses gammes et panneaux isolants dédiés à l'isolation par l'intérieur et l'extérieur.Ces trois experts comptent à leur actif plusieurs références dans le domaine. En témoigne leur participation au projet Sensations à Strasbourg, premier programme de structure bois en France développé par l'Eurométropole de Strasbourg et réalisé par Bouygues Immobilier et KOZ Architecture. Plusieurs solutions ont été prescrites : Placoplatre BA 18S et Placoflam® qui participent à la protection feu, la laine de verre GR 32 pour la performance thermique, Placomarine® pour la résistance à l'humidité, Placo® Duo'Tech® 25 et Domisol LR pour optimiser l'acoustique, les plaques de plâtre Activ'Air® pour la qualité de l'air intérieur.Des partenariats forts pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché« Nous avons pour ambition de créer des synergies avec les acteurs de la construction bois, afin de faire grandir ensemble la filière. Notre récent partenariat avec MATHIS, acteur majeur dans la conception, la fabrication et la construction de bâtiments à structure en bois, témoigne de cette volonté forte. La multiplication de ce type de synergies va nous permettre de nourrir mutuellement nos réflexions pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché. ». Nicolas FERRY, Directeur Marketing ISOVER, Placo® et Isonat« ISOVER et Placo® possèdent une expertise très complémentaire à celle de MATHIS pour relever les défis liés à la construction bois, notamment en termes de feu et d'acoustique. Cela nous a permis, dans des délais courts, de développer en partenariat le système de plancher AZURTEC-Placo® qui apporte une solution haute performance au marché. Nous avons également pu nous appuyer sur les compétences de l'équipe Développement Durable d'ISOVER et de Placo® pour réaliser la FDES de ce système. ». Frank Mathis, Président Directeur Général MATHIS« Faciliter l'accélération de l'avènement de la ville durable, s'accompagne immanquablement de la démonstration massive de l'aptitude durable à l'emploi des solutions constructives bas carbone. La construction de cette démonstration par l'évaluation, permet la structuration plus rapide des filières associées, grâce à la reconnaissance de leurs procédés en technique courante. Que ce soit à l'échelle du développement des produits, comme à l'échelle de la ville, c'est le but pragmatique que nous nous sommes fixés et que nous poursuivons au travers de toutes les missions d'accompagnement à l'innovation assurées auprès des plus grands donneurs d'ordres. Les nombreuses démarches d'évaluations engagées par ISOVER, Placo® et Isonat, entrent parfaitement dans cette même stratégie. ». Eric DIBLING, Fondateur et Dirigeant d'INGENECO Technologies ; Assistance à Maîtrise d'Ouvrage, Ingénierie, Expertise, Recherche« ISOVER, Placo® et Isonat sont engagés depuis de nombreuses années pour promouvoir des solutions innovantes, tout en assurant l'ensemble de la filière de la qualité des solutions proposées et mises sur le marché. Ainsi, les nombreux avis techniques dont ISOVER, Placo® et Isonat disposent, validant le domaine d'emploi et la mise en oeuvre des solutions, les validations par des essais feu ou acoustiques, sont autant d'éléments de preuve à disposition de nos clients. Les concepteurs de bâtiments bois peuvent donc s'appuyer en toute confiance sur notre expertise conjointe pour les accompagner sur leurs projets. » Stéphanie ROCHE, Responsable Marketing - Pôle Marchés Bâtiments ISOVER, Placo® et IsonatDes apporteurs de solutions globales pour toutes les paroisInformer, accompagner, guider : un coffret en édition limitéeISOVER, Placo® et Isonat ont créé à l'occasion du Forum International Bois Construction un coffret en édition limitée, conçu tel un guide de la construction bois pour les logements collectifs. Il est introduit par une présentation des valeurs et des engagements des trois experts en matière de gestion durable des ressources naturelles, d'éco-innovation, de logistique et de l'analyse du cycle de vie.Cet outil didactique se compose de 43 fiches produits recto/verso couvrant les quatre parois :cloisons,façades,planchers,toitures.Pédagogiques, elles présentent les fondamentaux de chaque solution via une vue 3D, leurs champs d'application, leurs bénéfices, leurs performances une composition détaillée schématisée du système et un descriptif technique.Des engagements durables pour répondre aux enjeux de la construction boisGestion durable des ressources et des matières premièresISOVER, Placo® et Isonat ont pour valeur commune la gestion durable des ressources et des matières premières. Tout est mis en oeuvre pour respecter cet engagement majeur au coeur de leur ADN. Par exemple, les laines de verre ISOVER contiennent entre 40 % et 80 % de verre recyclé. 100 % biosourcé, le liant de sa nouvelle laine est élaboré à partir de matières premières issues des industries céréalières et sucrières. Les plaques de plâtre Placo® concernées intègrent en moyenne 20 % de matières recyclées. Le carton utilisé provient de forêts gérées de manière responsable ou de matière 100 % recyclée. Placo® réalise une exploitation responsable de ses carrières souterraines et aériennes avec suivi environnemental et remise en état. De son côté, Isonat utilise le Pin Douglas, certifié PEFC, pour la fabrication de ses isolants. Les plaquettes de bois qui composent ses produits proviennent de déchets de scieries du bassin roannais, sourcés dans un rayon maximum de 60 km autour de l'usine.Éco-innovationLes trois experts mettent tout en oeuvre pour répondre aux exigences des professionnels visant des démarches de labellisation HQE, E+C-, Bâtiment Biosourcé… Leurs produits et solutions disposent de FDES, disponibles sur la base de données INIES et calculées sur une durée de vie de 50 ans. ISOVER et Placo® sont les premiers fournisseurs de FDES en France. Autre service exemplaire : l'offre LEAN by Placo® qui permet de minimiser les déchets sur chantiers en livrant la bonne quantité prédécoupée au bon endroit.Gestion de fin de vie des produitsISOVER et Placo® n'ont pas attendu l'avènement de la loi AGEC pour s'engager dans la gestion de la fin de vie de leurs produits. La laine de verre ISOVER et les plaques de plâtre Placo® sont recyclables à 100 % et à l'infini. ISOVER a mis en place la première filière au monde de recyclage de déchets de laine de verre issus du BTP : ISOVER Recycling. Premier recycleur de plaques de plâtre en France, la filière Placo® Recycling permet depuis 13 ans un recyclage des déchets de plaques de plâtre, réintroduits dans la production de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 249 jours

Rendez-vous à Clermont-Ferrand pour la biennale d’architecture

Du 5 au 7 novembre, la 7e biennale du Réseau des maisons de l’architecture se tient à Clermont-Ferrand. Une occasion unique pour découvrir La Comédie, Scène nationale – un bâtiment restructuré par Souto de Moura et Bruhat & Bouchaudy livré l’an dernier. Deux journées sont consacrées à des ateliers, visites et projections. La journée d’études du 5 novembre a pour thème « De l’appropriation à la ré-appropriation », marquée par l’intervention de nombreuses personnalités....
Il y a 3 ans et 249 jours

Bruno Le Maire demande aux industriels d'accueillir plus d'élèves en visite d'usines

"Il faut inciter les jeunes à s'orienter vers les métiers de l'industrie", qui manque de bras, car "l'image de l'industrie est décalée par rapport à la réalité", a dit le ministre en suggérant à un parterre d'industriels reçus à Bercy "d'inviter les enfants à se rendre dans les usines" pour "découvrir juste ce que c'est, comment cela fonctionne et qu'ils s'en fassent une autre idée"."On emmène des enfants du primaire et du collège visiter des lieux de mémoire, des musées, des lieux du patrimoine, tant mieux, c'est indispensable de transmettre nos mémoires mais notre mémoire est aussi industrielle. Et si l'industrie fait partie de notre culture, pourquoi est-ce que nous n'inviterions pas nos enfants à partir du collège, du primaire?", a-t-il lancé.Selon lui, "la seule façon de remédier" à la désindustrialisation qui touche la France depuis 40 ans, c'est de "recréer une volonté industrielle"."La relocalisation est indispensable et vitale pour l'emploi, mais aussi pour la lutte contre les extrêmes, pour redonner confiance", a ajouté le ministre.Car, "là où une usine ferme, il y a une permanence du Front National qui ouvre, c'est une réalité politique", a ajouté M. Le Maire, qui s'exprimait en clôture d'un colloque sur la relocalisation d'activités essentielles sur le territoire national, organisé par Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie.Sur la désindustrialisation, M. Le Maire, plusieurs fois ministre, a fait son mea-culpa: "nous sommes collectivement responsables", a-t-il dit, citant "les politiques, les chefs d'entreprise, les filières industrielles, tous ceux qui ont inventé le fameux concept de +fabless industries+ (les entreprises sans usines, dépendant de la sous-traitance dans des pays à bas coût, NDR), tous ceux qui ont recouvert d'un vernis scientifique ce qui était une défaite politique"."La France a abandonné son industrie et nous en payons encore aujourd'hui le prix économique, le prix financier, le prix en termes d'emplois et le prix politique", a-t-il jugé.Estimant que, sans industrie, il n'y a ni indépendance, ni transformation énergétique, ni cohésion sociale, Agnès Pannier-Runacher a de son côté rappelé que les emplois de ce secteur sont à 70% "dans des communes de moins de 20.000 habitants".Pour un "choc de réindustrialisation", il faut "essayer de réconcilier, souvent les mêmes d'ailleurs, ceux qui veulent des médicaments produits en France, des emplois dans les territoires, avec ceux qui relaient une image passéiste dans l'industrie sans voir que nos investissements améliorent drastiquement les conditions de travail des salariés, créent de la richesse et nous aideront (...) à affronter concrètement les transitions environnementales et numériques", a-t-elle ajouté.Elle a rappelé les six secteurs considérés comme "stratégiques": santé, agroalimentaire, électronique, nucléaire, applications industrielles de la 5G, intrants essentiels de l'industrie (chimie, matériaux, métaux, matières premières transformées).
Il y a 3 ans et 250 jours

Trois ans de prison ferme pour extorsions de promoteurs immobiliers à Marseille

"Ces faits sont vraiment graves car ils troublent l'équilibre économique Ils ne sont plus supportables dans cette cité où il y a des règles qui s'appliquent pour tous. En d'autres circonstances, cela s'appelle du racket", a indiqué la présidente du tribunal Céline Ballérini. Le tribunal a prononcé un mandat de dépôt contre Gérard Haddad, 55 ans, à effet différé de "trois ou quatre mois pour mettre ses affaires en état".Il est reconnu coupable d'avoir négocié le retrait de ses recours contre des sommes très importantes et est aussi condamné à une amende pénale de 45.000 euros et doit, même en cas d'appel, immédiatement dédommager 13 sociétés immobilières en leur versant un total de près de 3,4 millions d'euros de dommages et intérêts.Il est définitivement interdit d'exercer une profession commerciale ou industrielle. Le tribunal s'est montré plus sévère que le parquet qui avait requis une peine de quatre ans de prison dont deux ans assortis d'un sursis probatoire.Il a écarté l'idée, défendue par la défense, d'un David, soucieux de lutter contre la défiguration de Marseille par les opérations immobilières, contre un Goliath incarné par de puissants promoteurs immobiliers.Si un recours administratif ne bloque pas la construction, "Gérard Haddad ne pouvait ignorer, en tant que marchand de biens, que dès lors qu'un permis est attaqué, cela pose des difficultés pour obtenir les concours et garanties bancaires", a estimé le tribunal.Un grand nombre de procédures intentées par Gérard Haddad et par son frère Albert Haddad, un médecin généraliste décédé en juillet, avaient été écartées par le tribunal administratif mais plusieurs entreprises avaient fait le choix de signer un protocole transactionnel dans le cabinet de leurs avocats.Le juge d'instruction avait recensé 19 protocoles leur ayant rapporté plus de 2,2 millions d'euros. "Beaucoup transigeaient avec vous dans des conditions de contrainte morale", a observé le tribunal.Lors de l'audience le 23 septembre, M. Haddad s'était présenté comme une sorte de Robin des Bois défenseur de Marseille. "Vous avez vu ces constructions neuves comme elles sont moches", avait-il lancé.Le juge d'instruction avait évalué à plus de 7 millions d'euros le patrimoine immobilier de la "sphère Haddad".
Il y a 3 ans et 250 jours

Face à l'avancée de l'Océan, des petites villes du Sud-Ouest prêtes à battre en retraite

La station balnéaire, comme celle de Lacanau ou d'autres sur le littoral atlantique, est prête à battre en retraite et faire reculer les bâtiments menacés par l'érosion marine - phénomène naturel enclenché depuis des siècles- mais réclament des outils juridiques et financiers pour y parvenir.Giflée par les vagues et les vents de l'Atlantique, la plage de Biscarrosse (16.000 habitants) est grignotée chaque année de 2 mètres en moyenne, jusqu'à 5 mètres en cas de fortes tempêtes l'hiver.Selon les chercheurs de l'Observatoire de la côte de Nouvelle-Aquitaine, l'érosion pourrait faire reculer le littoral sableux du golfe de Gascogne de 50 mètres d'ici à la moitié du siècle, auxquels pourraient potentiellement s'ajouter 20 mètres de repli supplémentaire, en prenant en compte les effets du changement climatique.Sur la dune, au sommet de la plage centrale, seules trois bâtisses "en dur", - deux villas d'une vingtaine d'appartements et un hôtel haut de gamme - construites au début du XXe siècle, subsistent après le démontage automnal.La commune landaise cherche à les racheter pour les reconstruire en arrière, dans les terres, au grand dam de certains propriétaires.Le Grand Hôtel de la Plage est "enraciné sur 14 mètres de profondeur" depuis sa remise à neuf en 2013, défend Alexandre Michel, directeur de cet établissement quatre étoiles, auprès de l'AFP."Il n'y a pas de risque que ça s'effondre. En 2045, on sera encore là", parie le gérant, écartant l'idée du repli.A l'inverse, pour Vincent Bawedin, géographe et ingénieur chargé de la gestion du trait de côte à Biscarrosse, ces bâtiments pourraient s'écrouler en "5 à 10 ans", en cas de puissantes tempêtes hivernales.EffondrementSelon le Groupement d'intérêt public Littoral (GIP), principal acteur des stratégies locales de gestion de l'érosion, sans aucun ouvrage de protection ou politique active de préservation, près de 6.500 logements et commerces côtiers seraient menacés d'effondrement d'ici 2050, du Médoc au Pays basque.Mais pour réussir le pari de la "relocalisation", les communes réclament des outils juridiques et financiers à l'Etat.Car "on a parfois l'impression que le législateur avance moins vite que l'érosion", se désole M. Bawedin, au pied d'un poste de secours en bois, reconstruit 15 mètres en arrière sur la dune cette année.La nouvelle loi Climat et Résilience, promulguée cet été, permet néanmoins désormais aux élus locaux de préempter un logement en cas de mise en vente sur les zones menacées.Des mesures pour faire baisser le coût à supporter, comme la "décote administrée" des biens à relocaliser, devraient aussi être prises les mois à venir, indique Stéphanie Dupuy-Lyon, à la tête de la Direction de l'aménagement du logement et la nature au ministère de la transition écologique.Ainsi, plus la menace de l'érosion "se rapprochera" d'un bâtiment, "moins sa valeur sera importante", explique-t-elle à l'AFP.Mais qui dit acquisition, ou expropriation - en cas de menace urgente- dit paiement.Pour Laurent Peyrondet, maire (Modem) de Lacanau, qui évalue à 400 millions d'euros la valeur des biens menacés sur son territoire, les communes n'ont "clairement pas les moyens" d'engager "seules" les rachats nécessaires au repli.Comme d'autres élus du littoral, il réclame à l'Etat la création d'un mécanisme de financement, en suggérant des ponctions sur les assurances, "sans que le contribuable ne soit touché".Sa ville de 5.000 habitants, pionnière dès 2012 dans les stratégies de repli, a finalement opté pour la construction d'un enrochement de blocs de pierres qui devrait fixer la dune sur un kilomètre jusqu'en 2050, avant d'enclencher "le scénario de relocalisation". Seuls les parkings d'accès à la plage et les postes de secours reculeront à court terme.Actuellement co-financée par les collectivités, l'Etat et les fonds européens, cette protection en dur coûtera, à terme, "plus de 30 millions d'euros", soit l'équivalent du budget annuel de la commune.Une solution écartée par Biscarrosse, car "les points durs" bloquent "le transfert de sédiments" et creusent encore plus la plage de part et d'autre des ouvrages, indique M. Bawedin.En attendant, sa ville recharge chaque hiver sa dune fragilisée avec du sable acheminé par des camions depuis une plage sauvage à proximité. Mais "jouer la montre est extrêmement dangereux", avertit le géographe, en constatant que les volumes de sable nécessaires augmentent d'année en année.
Il y a 3 ans et 250 jours

Feu vert du Sénat à un statut unique pour les indépendants protecteur du patrimoine personnel

"C'est un des piliers" du plan de soutien aux quelque trois millions de travailleurs indépendants présenté le 16 septembre par le président Emmanuel Macron, a indiqué le ministre. Il s'articule avec deux autres volets qui relèvent du projet de budget et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2022.Le projet de loi va maintenant aller, probablement début janvier, à l'Assemblée nationale, qui pourra revenir sur des modifications apportées par le Sénat. L'exécutif vise une mise en oeuvre de l'ensemble des mesures "après le premier trimestre 2022".Il répond selon M. Griset, à "un triple objectif: protéger les indépendants face aux accidents de la vie, les accompagner de la création d'entreprise à sa transmission, simplifier leurs démarches".Le ministre doit connaître le 8 décembre la décision du tribunal correctionnel de Paris, alors que le parquet a requis contre lui 10 à 12 mois de prison avec sursis pour avoir omis de déclarer une partie de son patrimoine.Le projet de loi vise tout d'abord à la création d'un statut unique de l'entrepreneur individuel, protecteur du patrimoine personnel. C'est une préoccupation de longue date des indépendants.Les entrepreneurs individuels seraient ainsi titulaires de deux patrimoines, l'un professionnel, l'autre personnel, qui serait insaisissable en cas de défaillance, alors qu'aujourd'hui seule la résidence principale est protégée en cas de difficultés.Saluant "une réforme indéniablement audacieuse", le rapporteur du texte au Sénat Christophe-André Frassa (LR) a néanmoins proposé une réécriture complète de l'article, "pour renforcer la robustesse juridique du nouveau statut".Les sénateurs ont ainsi précisé la démarcation entre les deux patrimoines. Ils ont aussi réduit les "larges dérogations" au principe de séparation des patrimoines prévues par le texte au profit de l'administration fiscale et des organismes de sécurité sociale.A gauche comme à droite, des inquiétudes se sont fait jour sur l'attitude des créanciers, notamment les banques, qui pourraient contourner la protection offerte par le nouveau statut. "Il ne supportera pas l'épreuve de la pratique", a estimé la présidente du groupe CRCE à majorité communiste Eliane Assassi.Accès à l'assurance chômageAutre disposition importante du texte, pour tenir l'engagement présidentiel d'ouvrir l'assurance chômage aux indépendants: les conditions d'accès à l'allocation des travailleurs indépendants (ATI), jugées trop contraignantes, sont élargies à toute cessation totale et définitive d'activité qui n'est pas économiquement viable. Il ne sera plus nécessaire d'être passé par une liquidation ou un redressement pour pouvoir bénéficier de cette allocation d'un montant forfaitaire de 800 euros par mois pendant une période maximale de six mois. Et cela tous les cinq ans.Un décret viendra assouplir le critère de revenu d'activité minimal, qui serait désormais de 10.000 euros minimum sur l'une des deux dernières années d'activité non salariée.Contre l'avis du gouvernement, les sénateurs ont introduit "une clause de revoyure" au 31 octobre 2024, avec obligation d'une concertation des partenaires sociaux au plus tard six mois avant sur le bilan et les perspectives de l'ATI.M. Griset a souligné que ce "dispositif de justice a vocation à être un système pérenne".Le projet de loi entend encore faciliter la transmission de l'entreprise et simplifier le financement de la formation professionnelle.Avec un avis de "sagesse" du gouvernement, le Sénat a adopté un amendement prévoyant que l'activité de toilettage des chiens et autres animaux de compagnie ne puisse être exercée que par une personne qualifiée.La gauche s'est abstenue sur ce projet de loi qui "ne répond pas suffisamment à l'objectif de protection", a déploré la socialiste Florence Blatrix Contat.Pour Claude Malhuret, président du groupe politique Les Indépendants, "ces mesures d'apparence technique ont le grand mérite, au pays des complexités administratives et fiscales, de simplifier la vie des indépendants".
Il y a 3 ans et 250 jours

Le plan de relance français efficace à court terme doit faire ses preuves sur le long terme

"L'objectif macro-économique de court terme est atteint ou va bientôt être atteint en termes d'activité et encore plus en termes d'emplois", s'est félicité le président du comité d'évaluation, Benoît Coeuré, lors d'une présentation à la presse.Toutefois, "on ne sait pas quantifier la contribution spécifique" de ce plan, baptisé "France Relance", " par rapport à l'ensemble des facteurs" qui ont permis le redressement, a nuancé M. Coeuré.Il a souligné que c'était la première fois qu'un plan de soutien public était évalué aussi rapidement et de manière indépendante, alors que le plan de 100 milliards d'euros, lancé à l'été 2020, court jusqu'à fin 2022.L'économiste a aussi salué le travail de "Bercy en tant que coordinateur", car "les objectifs opérationnels seront tenus", notamment celui d'engager 70 milliards d'euros avant fin 2021.A la fin août 2021, 47 milliards d'euros avaient été engagés et 29 milliards décaissés.De son côté, le gouvernement a pris "bonne note des résultats du rapport et de ses conclusions", rappelant que le comité "poursuivra ses travaux", selon un communiqué."La rapidité de déploiement du plan a été rendue possible par les efforts déployés pour la lisibilité et l'accessibilité des mesures, le ciblage des mesures et la mobilisation des acteurs économiques", a-t-il souligné.Benoit Coeuré a toutefois estimé qu'il y avait un risque "qu'en privilégiant un décaissement rapide et une massification des aides, on perde en qualité ce qu'on a obtenu en quantité, et qu'on ne sache pas mesurer l'impact transformationnel, sur la compétitivité ou sur la transition énergétique, de ce plan".France Relance assure la transition entre les mesures d'urgence prises pour préserver l'appareil productif pendant la crise sanitaire et le plan d'investissement de long terme France 2030, a-t-il souligné.Dans le détail, le rapport Coeuré relève que le dispositif MaPrimeRénov de rénovation énergétique des logements de particuliers, préexistant à la crise, a été élargi, ce qui a permis d'en faire profiter plus de ménages, y compris à revenus intermédiaires ou supérieurs. Malgré cet élargissement, "81% des bénéficiaires étaient des ménages aux revenus modestes ou très modestes", selon le comité.Le bilan est plus mitigé pour la rénovation des bâtiments publics car la mise en oeuvre, "tant de l'Etat que des collectivités locales, a privilégié les travaux pouvant être exécutés rapidement", ce qui a parfois "conduit à sélectionner des gros projets à impact énergétique plus faible", regrette M. Coeuré.Priorité à l'offreSur le volet industriel, il a estimé que le plan est très utile pour les PME mais que, pour les grandes entreprises, certains projets d'investissements étaient déjà dans les tuyaux et qu'on est "simplement passé d'un auto-financement ou d'un financement bancaire à un financement par subventions publiques".Par ailleurs, "compte tenu de la rapidité de sélection" des projets soutenus, "on ne peut pas être sûr qu'il y a derrière une grille d'analyse tournée vers des objectifs de transformation de l'outil industriel", a ajouté le président du comité d'évaluation.Par conséquent, "on est un peu circonspect sur l'impact de long terme", notamment "l'impact croisé des aides industrielles sur la transformation écologique et sur la décarbonation, pour laquelle on a vraiment très peu d'éléments à ce stade", a encore dit M. Coeuré.Au niveau européen, le plan de relance français s'inscrit "dans la moyenne des pays européens par sa taille, la France ayant privilégié comme le Royaume-Uni les mesures d'offre". Au vu des problèmes actuels sur les chaînes d'approvisionnement, ceci est "plutôt positif, car de nature à desserrer les contraintes sur l'offre", a jugé le président du comité.La France se distingue aussi avec l'Allemagne par sa rapidité de décaissement, tandis que le plan italien, d'une dimension plus importante, est plus lent à être mis en oeuvre.
Il y a 3 ans et 250 jours

Plus de 2700 friches potentielles répertoriées en Ile-de-France

Espaces verts ou ferroviaires, logements, entrepôts : au total 2 721 friches ont été répertoriées par l’Institut Paris Région, selon une cartographie présentée mercredi 27 octobre et assortie d’une plate-forme d’analyse pour " optimiser " les usages possibles de ces sites délaissés.
Il y a 3 ans et 250 jours

A Paris, la structure de la Maison des Avocats signée RPBW est l’identité architecturale

La Maison des Avocats, livrée en 2020 à Paris par l’agence Renzo Piano Building Workshop pour Sogelym Dixence, maîtrise d’ouvrage, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2021 dans la Catégorie « Travailler ». Evidence de l’acier pour l’exosquelette et les structures intérieures. Conçue par l’agence Renzo Piano Building Workshop, la Maison de l’Ordre des […] L’article A Paris, la structure de la Maison des Avocats signée RPBW est l’identité architecturale est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 250 jours

Ingérop se renforce dans le domaine des courants faibles

ACQUISITION. Ingérop vient de finaliser le rachat de la société GLI. L'ingénieriste souhaite ainsi compléter son offre dans le domaine des courants faibles et des bâtiments intelligents.