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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 150 jours

Fabemi Terrasse & Jardin -Un nouveau showroom d’exception pour travaux d’aménagement extérieur

Il est souvent plus facile d’appréhender son projet d’aménagement extérieur en voyant les matériaux mis en œuvre plutôt que sur un catalogue. Pour présenter son savoir-faire, Fabemi a investi dans un showroom d’exception sur son site de Donzère, dans la Drôme provençale. Ce nouvel espace d’exposition invite le visiteur à une véritable immersion dans l’univers de Fabemi, et propose neuf zones différentes, réparties sur plus de 1 200 m², mettant en scène l’ensemble des produits Terrasse & Jardin du Groupe. Pour permettre à chacun, et notamment ceux qui ne peuvent pas se déplacer sur le showroom, de découvrir visuellement les produits et d’en apprécier les finitions et les couleurs, Fabemi Terrasse & Jardin propose également un service en ligne de demande d’échantillons. Parfaitement complémentaires, le nouveau showroom et la mise à disposition d’échantillons ont pour vocation d’accompagner les clients dans la définition de leurs projets. Une installation en deux phases Les nombreuses mises en scène paysagères du showroom Fabemi utilisent tous les produits dédiés à l’aménagement extérieur. Les visiteurs peuvent ainsi apprécier au mieux la qualité des dalles, pavés, margelles, murets… dans des décors végétalisés. L’ensemble sera ouvert au grand public, aux professionnels (paysagistes et distributeurs)et, bien sûr, aux écoles début 2022. Les travaux ont été effectués sous la direction du paysagiste Florent Masclaux de l’entreprise Blason paysage à Grâne (26). La première tranche, qui s’est déroulée de juin à fin septembre 2021, comprend : -un espace utilisant les produits Manoir (dallage, cercle, marche, caniveau), -des murs et des jardinières en blocs et couronnements Hadrien, -des jardinières en blocs et couronnements Schistone, -un bassin pour poissons avec des margelles Manoir, – deux terrasses en pavés vieillis et bruts, – un patio en pavés Bastide. La deuxième tranche de travaux a débuté le 8 novembre et devrait se terminer en janvier 2022, avec : – trois terrasses en dallages Jouques, Nashira et Calypso, -trois petites piscines avec les margelles Nashira, Jouques et Calypso, -une fontaine en blocs Hadrien. Un espace sera également dédié aux échantillons, avec tous les produits, formats et coloris des gammes Fabemi Terrasse & Jardin. L’ensemble des installations est végétalisé afin de donner un maximum de réalisme à chaque aménagement. Les visiteurs comme les salariés du Groupe Fabemi apprécieront également les détails agrémentant les espaces : tonnelles, bancs, tables, éclairage… Formation revendeurs et paysagistes Le nouveau showroom sera intégré dans le cycle des formations destinées aux partenaires de Fabemi. De la visite d’usine à la mise en œuvre des produits, les professionnels pourront se faire une idée précise sur les aménagements extérieurs qu’ils sont appelés à proposer à leur clientèle à travers des espaces et ambiances uniques. Commander des échantillons gratuits sur www.fabemi.fr Pour permettre aux clients d’avoir un véritable aperçu de ses produits Terrasse & Jardin et faire le bon choix, Fabemi leur propose de commander gratuitement des échantillons en ligne. Quelques clics sur www.fabemi.fr suffisent pour recevoir un échantillon de dallage, margelle, pavé ou chaperon de mur, afin de comparer les aspects et les coloris et donner vie au projet. Le choix en matières, formats et coloris est vaste parmi les nombreuses gammes de produits Terrasse & Jardin proposées en échantillons : dalles et margelles en Béton, en Pierre naturelle ou en Céramique, pavés de tous formats, bruts ou vieillis martelés. Enfin, différents modèles de chaperons de mur sont également disponibles, des accessoires indispensables pour protéger les murs et leur donner une belle finition. Une procédure simple et rapide En page d’ouverture du site www.fabemi.fr, il suffit de cliquer sur le petit onglet rouge «ECH–Demander un échantillon Terrasse & Jardin». Une nouvelle page s’ouvre alors, qui indique la marche à suivre en fonction de la typologie du client – particulier ou professionnel – et de son département. Il suffit ensuite de sélectionner les produits et coloris souhaités parmi les échantillons disponibles et de renseigner ses coordonnées. Le particulier, le professionnel, ou même le point de vente pour l’un de ses clients, peuvent demander les échantillons (délai d’expédition 3 à 5 jours).
Il y a 3 ans et 150 jours

L'activité des matériaux de construction en 2021 proche des niveaux d’avant crise

Les résultats de l’année 2021 montrent un retour aux niveaux d’activité de 2019, avec une augmentation de production prévue à + 10 % à fin décembre 2021 (vs 2020) pour les granulats et pour le béton prêt à l’emploi (BPE), portant les volumes à 360 millions de tonnes pour les granulats et à 40,7 millions de m3 pour le BPE. Au-delà des chiffres, la profession, durant cette période de crise sanitaire, a su montrer toute sa capacité de résilience face aux tensions sur les marchés en assurant les chaînes d’approvisionnement de ses clients sur les chantiers.Le trou d’air de l’été aura été passagerD’après les premiers résultats de l’enquête mensuelle d’octobre, les volumes de granulats auraient progressé de +2,1 % par rapport à septembre (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité gagne +0,6 % au regard des trois mois précédents mais se situe encore -1,6 % en dessous de celle de 2019. En cumul sur les dix mois de 2021, la production de granulats affiche une hausse +12,3 %, soit un niveau tout juste en dessous de celui de 2019 (-0,5 %).Concernant le BPE, la hausse enregistrée en octobre (+2,2 %) place les livraisons au-dessus de celles d’octobre 2020 mais aussi de celles d’octobre 2019 (+3,3 %). Au cours du dernier trimestre, les volumes ont quasiment cessé de baisser par rapport aux mois précédents et affichent une hausse de +0,7 % au regard de la même période de 2019. Au total, en cumul sur dix mois, la production de BPE s’inscrit en hausse de +13,1%, tutoyant là aussi les niveaux de 2019 (-0,4 %).L'indicateur matériaux de l'UNICEM, qui synthétise l'activité d'un panier de matériaux de la filière minérale, confirme ces tendances. Après un troisième trimestre en repli de -8,1 % sur un an, le mois d’octobre se redresse de +4,2 %, laissant le cumul sur dix mois des livraisons de matériaux à +11,5 % sur un an, soit +1,1 % au-dessus de 2019.Bâtiment : un climat qui restera favorableLes carnets de commandes dans le gros œuvre affichent toujours des niveaux très élevés même si des difficultés d’approvisionnement et des pénuries de main-d’œuvre affectent le bon déroulement des chantiers. Côté construction neuve, s’il est vrai que le segment du non résidentiel peine à se relever du choc induit par la crise sanitaire, l’activité du segment résidentiel s’est quant à elle nettement raffermie. Compte tenu du rythme de hausse des permis constaté en 2021, cette dynamique constructive pourrait perdurer, notamment dans le logement individuel. En effet, dans le collectif, les freins structurels (pénurie de foncier, freins locaux, problème d’acceptabilité, procédures d’urbanisme, etc.) semblent brider le rebond et la mise en place de nouveaux projets en dépit d’une forte demande immobilière exprimée par les ménages. Certaines mesures de soutien, comme l’annonce de la prise en charge par l’Etat de l’exonération de la taxe foncière des bailleurs sociaux, pourrait, il est vrai, réveiller les ambitions des « maires bâtisseurs », à supposer toutefois qu’elles puissent se concrétiser. Dans ce contexte, le total des mises en chantier pourrait au final se stabiliser autour des niveaux constatés en 2021, alimentant un besoin de BPE proche des volumes livrés cette année.Travaux publics : accélération attendueAprès le rebond du premier semestre lié à l’achèvement des chantiers en cours et/ou stockés pendant la période de confinement, l’activité dans les travaux publics marque un peu le pas. Le niveau des carnets de commandes peine à se regarnir même si le redressement est à l’œuvre. La concrétisation des projets du Plan de relance, couplée à un raffermissement des appels d’offre et des investissements des municipalités (dont les trésoreries sont au beau fixe) devrait soutenir un peu plus l’activité en 2022, notamment au second semestre, alimentant de facto la demande de granulats. Pour l’heure, les entreprises de travaux publics sont soumises aux mêmes tensions sur l’offre (difficultés de recrutement et renchérissement des coûts de production) et même si leur niveau d’activité est loin d’avoir retrouvé celui d’avant crise et que le montant des appels d’offres est actuellement bas, les professionnels restent plutôt confiants pour l’année à venir.Estimations 2021 et prévisions 2022Le profil conjoncturel de l’année 2021 aura finalement été assez « chahuté », entre les mouvements de rattrapage d’activité, les rebonds et les effets de base liés aux déconfinements et le trou d’air de l’été. A cela se sont ajoutées des tensions sur l’offre qui, dans un contexte de reprise économique mondiale, ont pesé sur l’approvisionnement et le bon déroulement des chantiers du bâtiment et des travaux publics. Malgré tout, l’année devrait se solder par un niveau d’activité en hausse de +10 % dans les granulats et le BPE, laissant les volumes produits à des niveaux proches de ceux d’avant crise.En dehors des incertitudes liées au contexte sanitaire et à l’évolution des tensions d’approvisionnements et de leurs impacts, notre scénario pour 2022 privilégie le maintien d’une demande de matériaux encore soutenue : elle se situerait au niveau de celle de 2021 pour le BPE, voire en légère hausse pour les granulats (+1%). La dynamique constructive continuerait d’alimenter les besoins en BPE tandis que le marché des granulats serait soutenu par le raffermissement progressif de l’activité des travaux publics, via la montée en charge du Plan de relance et le retour des projets des collectivités locales (amorce du nouveau cycle électoral).Au-delà des chiffres, la filière minérale est au service de l’économie des territoires…Alors que de nombreuses entreprises de mise en œuvre se sont trouvées confrontées à d’importantes pénuries de certains matériaux, les entreprises de la filière n’ont jamais cessé d’alimenter les chantiers.En effet, la filière des matériaux minéraux de construction est une activité 100 % locale, qui extrait, transforme, transporte et met en œuvre des matériaux dans un périmètre géographique resserré.Les sites industriels des entreprises adhérentes à l’UNICEM, notamment les carrières et les unités de production de béton prêt à l’emploi, sont répartis sur l’ensemble du territoire, au plus proche de leurs clients. Ce maillage territorial favorise les circuits courts avec une forte réactivité, une rapidité des livraisons et une adaptation immédiate à la demande.Ce maillage industriel, générant des emplois non délocalisables, et implanté au cœur des territoires, a prouvé son efficacité » souligne Alain Boisselon.… la filière sait faire preuve d’agilité…REP : un éco-organisme dédié aux déchets inertesDans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), le régime de la responsabilité élargie du producteur (REP) est étendu aux produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment à compter du 1er janvier 2022. Afin de répondre à cette nouvelle orientation, les syndicats professionnels (FIB, Routes de France, SFIC et SNBPE, UNPG - tous deux adhérents à l’UNICEM) ont créé et participent à l’actionnariat d’un éco-organisme, ECOMINERO, pour les produits de construction minéraux générant des déchets inertes. ECOMINERO créé, par et pour les fabricants de produits ou matériaux de construction d’origine minérale, a pour but de simplifier la vie des entreprises, afin qu’elles remplissent leurs obligations découlant de la mise en place de la REP, et de remplir pleinement les objectifs de recyclage fixés par la loi AGEC.… et s’engage résolument dans la décarbonationRE 2020 : une réglementation biaiséeLa profession est favorable à la RE2020 en ce qu’elle prolonge et renforce la RT2012. Elle soutient évidemment une réglementation qui vise à conduire les matériaux de construction sur une trajectoire « 0 carbone » à l’horizon 2050 et pousse les ouvrages à la sobriété énergétique. Cependant la filière est fermement opposée à la méthode de calcul de l’ACV dynamique simplifiée, qui reporte la question du déstockage du CO2 en fin de vie de l’ouvrage sur les générations futures et qui favorisera l’usage de matériaux biosourcés, dont beaucoup seront importés, et ne concrétisera pas les ambitions des pouvoirs publics de voir les bâtiments devenir des puits de carbone. Ce déséquilibre se fera au détriment de matériaux locaux, non délocalisables, indéfiniment recyclables et qui participent à une véritable économie circulaire. Pour répondre aux objectifs fixés par la RE2020, le béton « bas carbone » développe d’excellentes performances, des qualités d’usage et de durabilité, tout en émettant moins de gaz à effet de serre. L’objectif de la filière est de concourir avec les autres matériaux de construction à l’offre d’ouvrages décarbonés.
Il y a 3 ans et 150 jours

MIAW 2021 : Agencement, matériaux, revêtements

Découvrez les lauréats de la catégorie « Agencement, matériaux et revêtements » !
Il y a 3 ans et 150 jours

Nouveau coffre tunnel Polystycoffre de TBS Pro

En tant qu'acteur référent de la fermeture et partenaire historique des négoces matériaux depuis près de 50 ans, TBS PRO a mené une étude auprès d'un panel de professionnels afin de connaître leurs critères d'achat pour ce type de produit. Outre l'habitude, la simplicité de mise en œuvre arrive en 1ère position. Partant de ce constat, TBS PRO lance Polystycoffre, une nouvelle gamme de coffres tunnel intégrés, alliant facilité et rapidité de pose, accessible dans tous les points de vente.Une offre "all-inclusive"Adaptée aux différents systèmes constructifs (brique, béton) en résidentiel neuf et répondant aux exigences de la RE2020, la nouvelle gamme de coffres tunnel de TBS PRO se compose de deux modèles de 800 mm à 4500 mm de large :Polystycoffre avec un Uc de 0,6 W/m2.KPolystycoffre T doté d'un renfort d'isolation thermique au niveau du jambage qui lui permet d'atteindre un Uc de 0,4 W/m2.KFabriqués en polystyrène haute densité, ils bénéficient d'une bonne isolation thermique et phonique.Pour un maximum de simplicité au chiffrage et à la commande, Polystycoffre dispose de trois éléments inclus en standard, selon les dimensions, qui garantissent une rigidité optimale du coffre et une haute résistance au vent :des renforts intégrés en aluminium,des pattes de liaison au chaînage pour la fixation au linteau,une patte de liaison en fonte d'aluminium pour la reprise sur la menuiserie avec solution d'adaptation aux différentes largeurs de dormant.Autant de caractéristiques qui autorisent son installation sur tous les types de baies, y compris XXL (jusqu'à 4500 mm de large et 2800 mm de haut) ! En complément, TBS PRO propose même une solution technique de coffre d'angle.Légers, rapides et faciles à poserDe par leur conception, les nouveaux coffres tunnel de TBS PRO additionnent tous les avantages pour simplifier leur mise en œuvre, en un rien de temps, sur les chantiers grâce à :leur faible poids même en grande dimension,une sous-face avec cache rail intégré, ne nécessitant aucune recoupe en profondeur,un rail télescopique ajustable pour assurer une parfaite étanchéité avec la menuiserie,un volet motorisé intégré (disponible jusqu'à 3600 mm de largeur, et livré séparément au- delà),une télécommande appairée en usine.Les maçons gagnent ainsi en productivité sans renoncer aux qualités techniques d'un produit léger et robuste.Toujours plus d'esthétique et de confortAfin d'apporter aux CMistes une offre différenciante adaptée à tous leurs projets, la gamme Polystycoffre se décline :en 11 combinaisons de coloris en encadrement et tablier ; en blanc et gris anthracite pour la sous-face avec cache rail intégré, le tout en standard (coloris RAL en option),avec 4 parements extérieurs au choix (béton, brique, enduit, fibragglo).Pour des maisons situées dans des zones exposées aux environnements extérieurs salins et humides, TBS PRO propose une option « haute résistance garantie bord de mer ».Ainsi traité, le tablier est disponible en deux teintes (blanc, gris anthracite), deux tailles de lames (37, 50 mm) et réalisable jusqu'à 3,5 m de largeur. Les coulisses et la lame finale sont disponibles dans tous les coloris RAL. L'ensemble bénéficie alors d'une garantie de 5 ans contre la corrosion de 0 à 10 km du bord de mer et jusqu'à 7 ans au-delà de 10 km*.En terme de confort, là encore, TBS PRO ne laisse rien au hasard. Les coffres tunnel Polystycoffre garantissent :une occultation supérieure grâce à l'intégration dans la coulisse d'un joint co-extrudé associé à un joint brosse obscurcissant de part et d'autre, et à un profilé d'insertion breveté noir,une grande liberté de choix de manœuvres et une compatibilité avec les solutions domotiques du marché grâce à la motorisation filaire et radio PRO-SOFT. D'une grande fiabilité (garantie 10 ans), elle dispose d'un mode slow pour un fonctionnement silencieux (en radio uniquement),une sécurité et une longévité renforcées par des verrous automatiques de série en aluminium extrudé, revêtus de feutrine pour éviter les rayures sur les lames. Issus de la technologie brevetée TBSPRO AXIS 50, ils sont spécialement étudiés pour résister à des relevages de 25 kg et agissent comme de véritables retardateurs d'effraction.Pour apporter un meilleur confort d'été et une gestion optimale de la luminosité, une option brise-soleil est également disponible.Solution complète, esthétique, pratique et simple, avec la nouvelle gamme de coffres tunnel Polystycoffre, les négoces ont l'assurance de trouver chez TBS PRO tout ce dont ils ont besoin pour satisfaire leurs clients au plus vite.* selon les conditions précisées dans le carnet d'assistance et de garanties TBS PRO
Il y a 3 ans et 151 jours

Résultats du Prix Français des femmes architectes

Pour le Prix 2021, l’ARVHA reçoit également le soutien de BNP PARIBAS Real Estate, Ciments Calcia, Unibail Rodamco, et COGEDIM ainsi que de Batiactu, de TEMA et du journal de l’architecte.Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s’inspirer des modèles féminins existants, et d’encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.En 2021, 482 candidatures ont été examinées et ont présenté 1582 projets.En 2021, quatre prix ont décerné et une mention pour :Femme architecte primée pour ses projets réalisés – 3 à 5 ouvrages construits,Une œuvre originale réalisée par une femme architecte, et une mention spécialeJeune femme architecte de moins de 40 ans primée pour ses projets – 3 à 5 projets réalisés ou nonPrix International 3 à 5 ouvrages construitsLe jury était composé de représentants de l’Ordre des Architectes National avec Elizabeth Gossart, de Béatrice Auxent présidente d’Architectuelles, les lauréates du Prix 2020, Florence Lipsky lauréate femme architecte 2020, Marie Fade de OH !SOM architectes lauréate jeune femme architecte 2020; Cathrin Trebeljahr lauréate œuvre originale 2020, de Sophie Denissof de l’agence Castro Denissof Vice-présidente du jury, lauréate de la mention spéciale pour l’œuvre originale 2020, de Sophie Berthelier secrétaire générale de L’Académie d’Architecture et lauréate du prix femme architecte 2017, Ioana Plesca membre de l’UFAB Association des femmes architectes belges, Raquel Dos Sentos membre de l’association des Femmes urbanistes de Belgique Women in Urbanism BE de Catherine Guyot secrétaire Générale de l’ARVHA, Présidente de Women in Architecture et présidente du Jury.Pour l'année 2021, les résultats sont les suivants :Prix Jeune Femme ArchitectePour la catégorie Jeune Femme Architecte, le prix est attribué à Eléonore MORAND (DEPEYRE MORAND ARCHITECTURES) La mention spéciale est donnée à Marion TRIBOLET TKMT architectesPrix Œuvre OriginaleLe prix Œuvre Originale est attribué à Sara MARTIN CAMARA (FRES ARCHITECTES laurent gravier + sara martin camara) pour son projet « la nouvelle comédie à Genève »La mention spéciale est donnée à Béatrice MOUTON pour son projet : Salle d’audience des grands procès sécurisés, palais de justice de Paris, ile de la cité.Prix InternationalLe prix est attribué à Farshid MOUSSAVI (FARSHID MOUSSAVI ARCHITECTURE) pour son œuvre ( Angleterre).Prix Femme ArchitecteLe Prix Femme Architecte est décerné à Anne Françoise JUMEAU (Anne-Françoise JUMEAU ARCHITECTES / AFJA / Périphériques) pour son œuvre.
Il y a 3 ans et 151 jours

Lauréat MIAW 2021 : Riou Glass avec Rglass CREA

La dernière collection sur mesure de la marque est une nouvelle fois estampillée de la griffe des designers Anne et Philippe Sorigué. Résultat : 130 modèles de crédences ultra-tendances mixant trois techniques décoratives pour s’adapter à toutes les inspirations créatives.
Il y a 3 ans et 151 jours

Les Quartiers Fertiles : 25 lauréats supplémentaires

Dès le début d’année 2020, l’agriculture urbaine a été identifiée par le Gouvernement comme un levier stratégique permettant de renforcer la dimension environnementale des 450 quartiers concernés par le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU), mis en œuvre par l’ANRU. Avec l’annonce des 25 derniers lauréats de l’appel à projets « Les Quartiers Fertiles », ce sont au total 100 fermes urbaines couvrant 140 quartiers fertiles qui vont être financées pour un montant total de 34 millions d’euros, dont une partie grâce à France Relance. Les projets lauréats bénéficieront d’une aide financière pour le cofinancement d’études et missions d’ingénierie, d’investissements et de dépenses de personnel, et d’un appui technique et opérationnel, individuel et collectif.
Il y a 3 ans et 151 jours

L'hydrogène, solution miracle pour une transition écologique décarbonée ?

Des représentants d’EDF, d’Engie, de France Stratégie, d’IFP Energies nouvelles et de l’Académie des Technologies sont intervenus et ont débattu de la contribution de l’hydrogène à la transition écologique et en particulier à la décarbonation des économies.Les participants au séminaire ont découvert avec intérêt les deux études menées par le Conseil mondial de l’énergie disponibles en français. La première dresse un panorama mondial de l’hydrogène ; la seconde s’intéresse à l’utilisation et l’approvisionnement en hydrogène de l’Union européenne en 2030 et 2050.Parmi les sujets débattus lors de la table ronde, la question des usages de l’hydrogène a mis en lumière les appréciations très différentes des prévisions, à l’image des divergences que l’on retrouve dans les scénarios des deux études. D’autres thèmes ont fait l’objet de discussions animées, comme celui de la sécurité ou de la compétitivité des différentes technologies.Une incertitude sur l’hydrogène est liée au développement de ses usages et donc des besoins exprimés par les consommateurs. Les perspectives de l’hydrogène ont été appréciées différemment, allant du simple remplacement de l’hydrogène carboné par de l’hydrogène décarboné jusqu’à un développement très large (dans le résidentiel, la mobilité individuelle ou le tertiaire) en passant par l’utilisation principalement dans l’industrie et les transports. Le coût de l’hydrogène livré chez le client sera le principal déterminant de la demande : il dépend fondamentalement des technologies retenues, du bouquet électrique associé et donc du pays d’origine.A été posée à plusieurs reprises l’importance de caractériser l’hydrogène non plus par sa couleur, source de confusion, mais par son intensité (ou contenu) carbone. Ce point a été parfois jugé trop limitatif même si chacun s’accorde à souligner l’importance d’utiliser un hydrogène décarboné.La question de la sécurité a révélé des divergences d’opinion tant au niveau du transport de l’hydrogène que de son utilisation. Cette question est directement liée aux perspectives de développement qui peut être limité à des usages industriels ou au contraire basé sur une massification des usages résidentiels. Le blending (incorporation d’un faible pourcentage d’hydrogène aux infrastructures existantes du gaz naturel) a notamment été remis en question par certains intervenants.Les infrastructures étaient au cœur des débats. Un point consensuel est apparu : le temps de l’énergie est un temps long et les décisions indispensables à un futur développement de l’hydrogène doivent être prises dès aujourd’hui. En filigrane du développement des infrastructures apparaît la question cruciale de l’acceptation des ouvrages industriels par les citoyens.La question de la sécurité énergétique a également été soulevée. Il y a consensus sur le fait que l’enjeu se déplace du domaine traditionnel des énergies vers celui des équipements. Faisant écho au débat sur la souveraineté industrielle, chacun s’est rappelé l’exemple du développement du marché – chinois – des panneaux photovoltaïques et a souhaité l’émergence et la consolidation rapide d’une filière industrielle de l’hydrogène, française ou européenne.Une conséquence de ces choix industriels est de considérer le développement de l’hydrogène du point de vue de sa contribution à la croissance économique et donc à l’emploi : c’est d’ailleurs un critère sous-jacent à plusieurs stratégies hydrogène dans le monde, dont la stratégie française.Les normes et les réglementations, définies aux niveaux national ou européen, sont déterminantes car elles conditionnent le développement de l’hydrogène. Notamment, la question de l’additionnalité (éviter l'éviction de l’utilisation des énergies renouvelables pour produire de l’électricité à la place de l’hydrogène) a été soulignée à plusieurs reprises.
Il y a 3 ans et 151 jours

Gaëtan Leprince, directeur des ventes bâtiment France chez Toupret

Gaëtan Leprince devient le directeur des ventes bâtiment France chez Toupret. [©Toupret] L’équipe de Toupret s’agrandit et accueille Gaëtan Leprince à la direction des ventes bâtiment France. Pour rappel, Toupret fabrique et produit des enduits de préparation et de décoration pour les murs. Gaëtan Leprince aura pour mission de conforter la place de l’industriel sur son marché. Il sera en charge de prendre en compte les besoins des clients distributeurs et d’accompagner les utilisateurs dans la réussite de leurs projets. « Je suis très fier de porter une marque forte telle que Toupret. Et de rejoindre une équipe de commerciaux et de démonstrateurs expérimentés. Je retrouve ici une expertise terrain et produits qui, selon moi, fait la force d’une marque sur les chantiers », déclare Gaëtan Leprince.  Son parcours  Hervé Guermonprez, directeur commercial France, commente, lui aussi, cette nomination :« Gaëtan bénéficie d’une grande culture des produits de second œuvre, d’une parfaite connaissance des acteurs de la construction et des réseaux de distribution. A un moment où nous renforçons notre position sur le marché professionnel, son expérience dans l’industrie des matériaux de construction constitue un véritable atout pour accompagner notre développement ». Titulaire d’un diplôme de manager en ingénierie d’affaires (Sup de ventes) et d’un DUT en techniques de commercialisation, il débute sa carrière chez Saint-Gobain. Pendant plus de 13 ans au sein de ce groupe, il y a occupé plusieurs postes. Comme ceux de responsable commercial, marketing et management en France et à l’international, pour des marques comme Isover, Placo ou Weber. 
Il y a 3 ans et 151 jours

Saint-Gobain rachète l'américain GCP Applied Technologies pour 2 milliards d'euros

"Cette acquisition constitue une étape décisive pour établir Saint-Gobain comme un leader mondial de la chimie de la construction - avec un chiffre d'affaires total de plus de 4 milliards d'euros, contre 3 milliards d'euros précédemment - et renforce la stratégie du groupe en tant que leader mondial de la construction durable", a mis en avant le groupe français.L'accord porte sur "l'intégralité des actions de GCP pour un montant en numéraire de 32 dollars par action, qui correspond à une valeur d'entreprise d'environ 2,3 milliards de dollars, soit environ 2 milliards d'euros", est-il précisé.GCP Applied Technologies est un "acteur mondial majeur" de la chimie de la construction, qui réalise environ 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires annuel, compte 50 usines de production dans 38 pays et quelque 1.800 employés. Il est notamment spécialisé dans les additifs pour ciment, adjuvants pour béton et solutions d'imperméabilisation pour les infrastructures, le commercial et le résidentiel."GCP représente une opportunité unique pour Saint-Gobain d'établir une présence de leader mondial dans le secteur en croissance de la chimie de la construction", résume le groupe.Dans ce même secteur, Saint-Gobain avait racheté en mai dernier Chryso, entreprise française spécialisée dans les adjuvants pour matériaux de construction, pour 1,02 milliard d'euros."Après l'acquisition réussie de Chryso, celle de GCP constitue l'étape suivante logique permettant à Saint-Gobain d'étendre sa présence dans les adjuvants et additifs, qui jouent un rôle clé dans la décarbonation de l'industrie de la construction", souligne l'entreprise française dans son communiqué."Chryso a des positions très fortes en Europe et en Afrique alors que GCP a des positions fortes en Amérique du nord et en Asie, la présence du groupe passe à 38 pays", a souligné le directeur général de Saint-Gobain lors d'une conférence téléphonique."Vous verrez une excellente année de Saint-Gobain sur l'année 2021, on va faire bénéficier GCP des gains sur achats de Saint-Gobain", a-t-il ajouté."Saint-Gobain est parfaitement positionné pour assurer le succès des activités de GCP et de ses équipes sur le long terme, a pour sa part estimé Simon Bates, PDG de GCP.La finalisation de la transaction est soumise à l'accord des actionnaires de GCP, à l'autorisation des autorités de concurrence et à la satisfaction d'autres conditions d'usage. Elle devrait avoir lieu d'ici fin 2022, selon le communiqué.
Il y a 3 ans et 152 jours

Malherbe accueille Bernard Poulet, nouveau chargé d’affaires

Bernard Poulet, le nouveau chargé d’affaires de Malherbe. [©Malherbe] Malherbe renforce sa présence commerciale dans le Sud de la France. Le spécialiste des machines et des équipements pour l’industrie du béton accueille Bernard Poulet, nouveau chargé d’affaires. Ce dernier aura pour mission de commercialiser toute la gamme de produits Malherbe dans la partie Sud de la France et en Corse. Bernard Poulet pourra s’appuyer sur une solide expérience professionnelle. Soudeur de métier, il a travaillé plusieurs années en tant que technico-commercial dans les pièces d’usure. Comme l’ensemble de l’équipe Malherbe, Bernard Poulet se mettra à l’écoute de chaque client et d’apporter des solutions personnalisées dans chacun des domaines d’intervention de l’entreprise drômoise : pièces d’usure, planches pour presse vibrante, moules pour présentation vibrante, machines pour produits VRD…
Il y a 3 ans et 152 jours

Partenariat entre Vicat et Léon Grosse

De gauche à droite : Guy Sidos, président du groupe Vicat, et Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse. [©Vicat] Vicat et Léon Grosse ont signé un partenariat« pour répondre aux enjeux de la construction d’aujourd’hui et de demain ». Fortes d’une culture d’entreprise familiale et de valeurs communes, les deux sociétés misent sur la complémentarité de leurs expertises. Elles sont toutes deux originaires de la région Auvergne – Rhône-Alpes, avec une forte implication dans le tissu industriel local. Les deux entités s’engagent dans un partenariat qui se décline autour de 3 volets. A savoir l’innovation, l’environnemental et le sociétal.  Un ancrage régional fort « Nous sommes fiers de nous associer à l’entreprise Léon Grosse, une organisation familiale telle que la nôtre qui s’engage en faveur des territoires et de l’environnement, précise Guy Sidos, président du groupe Vicat. Ce partenariat vient consolider notre collaboration de long terme pour construire ensemble l’habitat d’aujourd’hui et de demain. » Et Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse, de conclure : « Notre passion pour la technique nous a toujours poussés à innover pour nos clients, notamment sur les matériaux et les structures béton. Ce partenariat entre deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs, le même ancrage régional et la même culture d’entreprise familiale vient renforcer notre volonté d’agir chaque jour en bâtisseur responsable. Ceci, pour faire face aux enjeux environnementaux et sociétaux ».
Il y a 3 ans et 152 jours

Pourquoi faire appel à une entreprise de peinture?

Les travaux de peinture de maison ne sont pas des tâches aisées. Ils requièrent des techniques bien définies et des connaissances profondes de certains supports. L’accrochage de la peinture exige de la compétence dans ce domaine et la qualité de la finition dépend grandement de l’expérience du peintre. Peindre constitue alors un travail pointilleux qui exige des techniques particulières. Faudra-t-il solliciter l’aide d’une entreprise spécialisée dans ce domaine ? Pourquoi engager une entreprise de peinture pour votre maison? La maison se diffère des mobiliers. La surface à peindre est large et le moindre défaut sur la peinture devient très visible. Pour un travail fluide et de qualité irréprochable, mieux vaut confier la peinture de votre maison à une entreprise compétente dans ce domaine. La peinture sur une grande surface nécessite des techniques d’application précises et une préparation au préalable du support. L’entreprise de peinture peut alors garantir une finition de très bonne qualité grâce à ses compétences. L’entreprise de peinture comme sur ce site : https://www.entreprise-peinture-82.fr/  possède tous les équipements pour donner un résultat uniforme. Les outils performants et professionnels ne s’arrêtent pas sur un simple pinceau, mais s’étendent à des rouleaux et de différentes tailles de pinceau. L’entreprise dispose également des échelles, des échafaudages ou des escabeaux pour les zones hautes. Elle possède tous les équipements de protections du peintre et procède à la protection de son environnement de travail : barricade du chantier, protection du sol et des mobiliers pour éviter les tâches, etc. Vous bénéficiez également des conseils et propositions pour vos choix de couleurs avec une entreprise de peinture. Elle vous donnera une palette de déclinaison de couleur pour mieux commander la composition de peinture qui s’accordera à votre maison. Elle peut vous conseiller également sur les peintures qui s’accordent à votre style : rustique, scandinave, industriel, etc. Quels critères privilégier pour trouver une bonne entreprise de peinture? Demandez des recommandations ou avis auprès des autres personnes : amis, proches, voisins ou internautes pour trouver une entreprise à qui vous pouvez confier les travaux. Présélectionnez d’abord celles qui vous convainquent le plus par leur statut et leurs anciennes réalisations. Demandez ensuite aux professionnels de visiter tour à tour le chantier avant d’envoyer leurs offres de soumissions. Posez-leur les questions techniques sur la préparation de votre mur avant la peinture : remplissage, ponçage, traitement de porosité, etc. Demandez également les techniques de peinture qu’ils suivront pendant les travaux, ainsi que les systèmes mis en place pour la gestion de la sécurité. Déterminez clairement votre attente. Définissez dès le départ l’étendue de votre projet et le rendu du résultat voulu. La couleur se décline sous une multitude de nuances, pour que l’entreprise comprenne nettement votre demande, montrez-lui une photo qui décrit votre demande plutôt que de dire vaguement la couleur. À la fin, vous pouvez déduire rapidement l’entreprise qui semble être le plus compétent dans le domaine. Prenez en considération ses années d’expérience, car l’expérience enrichit grandement le savoir-faire et l’agilité des peintres dans leur opération. Comparez les devis après pour choisir ce qui semble le plus convaincant en rapport de qualité/prix.
Il y a 3 ans et 152 jours

Atlantic étend encore un peu plus sa présence en Europe

ACQUISITION. Le groupe Atlantic, spécialiste du génie climatique, vient de mettre la main sur Ventiline, fabricant belge de systèmes de conduits d'air en métal et importateur d'unités de ventilation.
Il y a 3 ans et 152 jours

Saint-Gobain veut se positionner en "co-leader" du secteur de la chimie de construction

ACQUISITION. Après le rachat de Chryso fin septembre, Saint-Gobain vient d'annoncer l'acquisition de l'américain GCP Applied Technologies, un spécialiste de la chimie de construction. Avec cette opération, le géant des matériaux montre pleinement son ambition internationale sur ce secteur.
Il y a 3 ans et 152 jours

Les entreprises de construction connaissent une croissance solide mais font face à de nouveaux risques dans l’après-Covid

Toutefois, l’édification de bâtiments et d’infrastructures plus durables, la montée en puissance des énergies propres et l’adoption de méthodes de construction modernes entraînent des changements radicaux de conception, de matériaux et de processus, qui vont transformer le paysage des risques. Ces défis s’ajouteront aux tensions sur les chaînes d’approvisionnement, aux pénuries de matériaux et de main-d’œuvre et à l’augmentation des coûts, dans un contexte caractérisé par des marges étroites depuis plusieurs années. Dans son récent rapport Construction risk after Covid, Allianz Global Corporate & Specialty (AGCS) étudie précisément les tendances des risques à court et à long terme dans la construction.« La Covid-19 a fait entrer le secteur de la construction dans une nouvelle ère, explique Yann Dreyer, Practice Group Leader mondial pour la construction dans l’équipe mondiale Énergie et Construction d’AGCS. Les projets se sont poursuivis pendant la pandémie et la croissance est au rendez-vous, mais l’environnement général a profondément changé. Le secteur est confronté à des défis inédits, liés à la volatilité de la chaîne d’approvisionnement, à la flambée des prix des matériaux, à la pénurie de main-d’œuvre qualifiée et au renforcement des objectifs de développement durable. En outre, le déploiement accéléré des stratégies de réduction des coûts et l’adoption de nouvelles technologies et conceptions pourraient accroître les risques pour les entreprises de construction et les assureurs. La surveillance continue des risques et les contrôles de gestion seront essentiels à l’avenir. Aux côtés de nos clients, nous aiderons à la gestion de ces risques. AGCS est mobilisée à cet égard et la construction est un secteur clé dans ses projets de croissance. »Les fortes perspectives de croissance du secteur s’expliquent par plusieurs facteurs. Parmi eux, figurent notamment l’augmentation de la population sur les marchés émergents, ainsi que les investissements importants dans les énergies nouvelles (éolien, solaire et hydrogène) et les systèmes de stockage et de transport de l’électricité. La transition vers le véhicule électrique exige des investissements dans de nouveaux sites de production, de fabrication de batteries et de chargement.Les bâtiments ne doivent pas seulement améliorer leur empreinte carbone. Ils doivent aussi être dotés de protections contre les inondations maritimes et fluviales, ainsi que de systèmes d’évacuation et de drainage, dans les nombreuses régions exposées aux catastrophes. Ces mesures sont nécessaires pour répondre aux phénomènes météorologiques extrêmes, de plus en plus fréquents.Parallèlement, les gouvernements de nombreux pays préparent des investissements majeurs dans les infrastructures pour stimuler l’économie après la pandémie et favoriser la transition vers la neutralité carbone. Aux États-Unis, un plan d’infrastructures de plus de mille milliards de dollars vise les ponts et les routes, mais aussi les réseaux de haut débit, d’eau et d’électricité du pays. En même temps, le gouvernement a annoncé son intention d’investir dans plusieurs grands projets d’infrastructure à travers le monde en 2022. Il répond ainsi à l’ambitieuse initiative chinoise de la nouvelle route de la soie pour relier l’Asie de l’Est à l’Europe. Dans la prochaine décennie, la Chine, l’Inde, les États-Unis et l’Indonésie devraient représenter près de 60% de la croissance mondiale de la construction.Les défis créés par le boom de la constructionCet essor attendu s’accompagne à la fois d'avantages et de défis spécifiques. À moyen terme, la hausse brutale de la demande risque de créer des tensions supplémentaires sur les chaînes d’approvisionnement. Elle pourrait aussi les pénuries de matériaux et de main-d’œuvre qualifiée, entraînant des dépassements de délais et de coûts.En outre, de nombreux acteurs du secteur devront accélérer la mise en place des mesures de rationalisation et de contrôle des coûts, si la crise de la Covid-19 a impacté leurs marges bénéficiaires. En effet, celle-ci a pu souvent engendrer une baisse de la qualité et de la maintenance, et ainsi accroître le risque d’erreur.L’analyse d’AGCS montre que les défauts de conception et de fabrication constituent l’une des principales causes de sinistres en assurance construction et risques techniques, soit environ 20% du montant des quelque 30.000 sinistres industriels étudiés entre 2016 et fin 2020.Le renforcement des objectifs de développement durable et de neutralité carbone va profondément modifier le paysage traditionnel des risques dans le secteur. Selon le Programme des Nations unies pour l’environnement, la construction de bâtiments représente 38% des émissions mondiales de dioxyde de carbone relatives à l’énergie. Pour réduire les émissions de carbone, les bâtiments actuels devront être rénovés et réhabilités. Par ailleurs, de nouveaux matériaux et méthodes de construction devront être introduits sur le marché dans des délais relativement courts. Cette évolution entraînera une augmentation des risques de défaut et pourrait avoir des effets inattendus sur le plan de la sécurité, de l’environnement et de la santé. Ainsi, l’utilisation du bois dans la construction, en tant que matériau durable et rentable, s’est accrue ces dernières années. Or, cette tendance a des conséquences sur les risques d’incendie et de dégât des eaux. L’analyse d’AGCS révèle que les incendies et explosions représentent déjà plus d’un quart (26%) du montant des sinistres en assurance construction et risques techniques sur les cinq dernières années. C’est la cause de sinistre la plus coûteuse.Les risques liés aux énergies renouvelablesLe développement des énergies renouvelables entraîne également de nouveaux risques. Les projets d’éoliennes en mer prennent de l’ampleur, s’éloignent des côtes et pénètrent dans des eaux plus profondes. Les coûts liés aux retards et aux réparations sont donc plus élevés. Les parcs d’éoliennes en mer, ainsi que les fermes éoliennes et solaires terrestres, peuvent aussi être exposés à des sinistres en série. Par exemple, un défaut de conception ou de fabrication d’une turbine peut avoir des répercussions sur plusieurs programmes. Des défauts de construction sur des fondations de parcs et de fermes solaires ont également occasionné des demandes d’indemnisation importantes. Les réparations de câbles sous-marins, qui pèsent des milliers de tonnes et dont la mise en place nécessite des navires spéciaux, peuvent prendre plus d’un an. Une seule station de conversion en mer peut coûter jusqu’à 1,5 milliard de dollars, soit autant qu’une plateforme pétrolière. Un incendie ou une explosion dans un convertisseur peut, comme cela a été récemment le cas en Chine, provoquer un sinistre total.« Les immenses investissements dans les énergies vertes se traduiront par des valeurs à risque plus élevées. Parallèlement, l’adoption rapide de technologies, de méthodes et de matériaux à l’état de prototypes exigera une étroite coopération entre les équipes internes de souscription, d’indemnisation et de gestion des risques, ainsi qu’entre les assureurs et leurs clients », souligne Olivier Daussin, responsable de la souscription Construction dans l’équipe mondiale Énergie et Construction d’AGCS.Les deux faces de la construction modulaireEnfin, les méthodes modernes de construction et de production peuvent transformer radicalement la construction, en transférant plus de risques hors site et en intégrant une plus grande utilisation de la technologie. La construction modulaire, en particulier, apporte de nombreux avantages. Parmi eux, citons la gestion de la qualité contrôlée en usine, la réduction des déchets de la construction, la division par deux des délais de construction par rapport aux techniques traditionnelles et la diminution des perturbations sur le milieu environnant. Mais elle soulève aussi des inquiétudes concernant les sinistres répétitifs. « Les méthodes de construction modulaire et préfabriquée présentent un risque accru de sinistres en série. En effet, la même pièce peut être utilisée dans plusieurs projets avant qu’un défaut ne soit détecté », explique Olivier Daussin.La pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans le secteur de la construction devrait favoriser la tendance à la fabrication hors site et à l’automatisation. Dans le même temps, la numérisation de la construction crée des expositions cyber, contre lesquelles les entreprises d’ingénierie et de construction doivent renforcer leur protection. Aujourd’hui, les nombreux acteurs engagés sur un chantier sont interconnectés par des plateformes partagées, ce qui accroît leur vulnérabilité. Les risques cyber peuvent aller des tentatives malveillantes d’accès à des données sensibles jusqu’à l’introduction dans le système de contrôle du site et le vol. Ces attaques peuvent provoquer l’interruption de la chaîne d’approvisionnement et la corruption des données de conception d’un projet, entraînant des retards et, par conséquent, un risque pour la réputation des parties concernées.Une meilleure protection des chantiers contre les catastrophes naturelles et les dégâts des eauxLa nécessité de diminuer les émissions de gaz à effet de serre favorisera l’adoption d’une approche plus durable des bâtiments résidentiels et commerciaux, ainsi que des infrastructures. Elle pourrait aussi accélérer la tendance à la recherche de gains d’efficacité et de réduction des déchets. Les entreprises doivent également mieux étudier l’atténuation des impacts sur leurs chantiers des événements climatiques tels que les incendies de forêt, les inondations soudaines et les glissements de terrain. L’analyse d’AGCS indique que les catastrophes naturelles sont déjà la deuxième cause de sinistre la plus coûteuse, après les incendies et explosions. Elles représentent 20% du montant des demandes d’indemnisation sur les cinq dernières années.Pour conclure, les dégâts des eaux continuent d’être la cause majeure de sinistres au cours d’une construction. AGCS a constaté plusieurs sinistres d’une ampleur exceptionnelle. À l'origine, des fuites d’eau de canalisations sous pression ou de systèmes de lutte contre l’incendie n’avaient pas été repérées ou s’étaient produites en dehors des heures de bureau, pendant les week-ends ou les périodes d’arrêt. Les systèmes de surveillance et de détection des fuites d’eau peuvent aider à réduire la fréquence et la gravité des dégâts des eaux, pour diminuer les coûts de réparation et les retards de projet.Vous pouvez télécharger le rapport complet ici
Il y a 3 ans et 152 jours

Vicat primé pour son béton Déca

Guy Sidos, Pdg de Vicat, recevant le prix spécial du jury pour Déca, la gamme de bétons bas carbone. [©Vicat] A l’occasion de la 3eédition des prix “Origine France Garantie – Antoine Veil”, Vicat a reçu le prix spécial du jury pour Déca. Sa gamme de bétons bas carbone. Le groupe cimentier français se voit ainsi récompensé pour son engagement en faveur d’une activité locale, qui préserve les ressources naturelles. Rappelons que les prix “Origine France Garantie” récompensent les entreprises ayant des produits certifiés, qui s’engagent pour les produire en France. Déjà en 2017, Déca recevait la certification “Origine France Garantie” et faisait de Vicat, le premier producteur de béton prêt à l’emploi à l’obtenir. 
Il y a 3 ans et 152 jours

Chantiers de l’Innovation 2022 du Pôle Habitat FFB : ACTIS remporte la médaille d’Or avec Hybris pour toiture plate

A l’occasion des Chantiers de l’Innovation 2022 organisés par le Pôle Habitat FFB lors de son Séminaire Technique fin Novembre, ACTIS a été récompensé par une médaille d’Or pour son nouveau procédé d’isolation adapté aux toitures plates à ossature bois : Hybris. Cette distinction confirme l’esprit innovant et précurseur d’ACTIS dans sa démarche auprès des constructeurs et promoteurs ainsi que dans sa réflexion sur l’habitat de demain. L’isolant réflecteur alvéolaire Hybris pour toitures plates à ossature bois, fruit de la collaboration entre ACTIS et TRECOBAT, constructeur de maisons individuelles, a été distingué aux Chantiers de l’Innovation 2022. Ce procédé innovant, en cours d’ATEX, intègre la technologie d’isolation Hybris couplée au mode constructif de TRECOBAT qui optimisent la performance thermique et environnementale du bâti. L’objectif : traiter en une seule opération l’isolation et l’étanchéité par l’intérieur sans membrane pare-vapeur déportée supplémentaire. HYBRIS, UNE SOLUTION D’ISOLATION POUR TOITURE PLATE À OSSATURE BOIS Le constructeur et ACTIS ont associé leurs savoir-faire afin de développer un système d’isolation fiable et performant tout en répondant aux critères de la RE2020. Rapide à mettre en œuvre, cette nouvelle solution d’isolation est composée : . à l’intérieur du bâti, de l’isolant réflecteur alvéolaire HYBRIS 205 mm (R = 6,60 m2.K/W) avec pare-vapeur et languettes intégrés posé entre pannes, pour une parfaite étanchéité à l’air et à l’eau, . côté extérieur, d’une membrane d’étanchéité posée sur un support isolant rigide et perspirant. Le concept Hybris pour toiture plate offre l’avantage d’une pose simplifiée et moins coûteuse permettant de traiter l’isolation de la toiture tout en évitant la mise en œuvre d’une membrane additionnelle. La solution évite les réhausses importantes (abaissement des acrotères de 10 cm) et facilite l‘obtention des permis de construire dans les zones soumises à fortes contraintes architecturales. Reconnu et utilisé par les plaquistes, ce procédé d’isolation par l’intérieur apporte tous les avantages de la toiture terrasse et supprime les inconvénients de la toiture chaude dite ventilée : plus besoin d’isoler par l’extérieur. HYBRIS, UNE RÉPONSE ADAPTÉE AUX ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX Se distinguant par un gain de confort, Hybris est une solution d’isolation à structure alvéolaire qui utilise les qualités isolantes naturelles de l’air pour atteindre des performances acoustiques et thermiques optimisées. La solution Hybris associée à une lame d’air offre une performance thermique (R) élevée. Certifié Cradle to Cradle, Hybris s’inscrit dans un schéma d’économie circulaire avec un impact positif dans ses phases de conception, de fabrication et de fin de vie. Recyclable à 100%, sans COV et avec un excellent bilan carbone (FDES), il respecte la qualité de l’air intérieur et répond parfaitement aux exigences de la RE2020. Résultat de l’association de matériaux à haute valeur ajoutée – le bois, matériau bio-sourcé et Hybris, matériau certifié Cradle to Cradle – Hybris pour toiture plate est une solution unique sur le marché qui s’inscrit dans les modes constructifs modernes et respectueux des enjeux environnementaux d’aujourd’hui et de demain. http://www.actis-isolation.com/
Il y a 3 ans et 152 jours

Le Groupe Lorillard donne une nouvelle dimension à sa production bois et se dote d’une nouvelle cabine de laquage unique en France

Le Groupe Lorillard qui fête ses 85 ans cette année, vient honorer cet anniversaire avec l’acquisition d’une nouvelle cabine de laquage. Outil unique et exceptionnel de par ses dimensions et sa technologie de pointe, cette cabine propulse le Groupe dans une dimension industrielle beaucoup plus ambitieuse. Partie intégrante de son ADN, l’ambition est pour le Groupe Lorillard un argument de croissance. 85 ans plus tard, et un ADN immuable, le Groupe investit massivement – 17 millions d’euros – dans son outil de production bois pour s’assurer la position légitime de N° 1 sur ce marché en France, en matière de savoir-faire. Cette expertise est notamment possible grâce à la singularité des moyens que le Groupe a acquis. Pour exemple, cette nouvelle cabine de laquage est la seule, actuellement en France, capable de laquer de façon industrielle un châssis de menuiserie de 4 mètres par 3 mètres. AUGMENTER LA CAPACITÉ DE PRODUCTION Sur les 40 000 m² d’ateliers de l’usine de Chartres, 1000 m² sont dédiés à l’installation de la nouvelle cabine de laquage bois – contre 340 m² auparavant pour la précédente cabine – afin d’augmenter la capacité de production. Et pour être plus précis, Thierry Luce – Président du Groupe Lorillard – explique « De 50 menuiseries bois par jour en 3-8, le Groupe est passé depuis le mois d’octobre à 90 menuiseries par jour avec ses 2 nouveaux robots et la possibilité de faire croitre la cadence à 125 menuiseries par jour avec un troisième robot. ». Au sein de ces 1000 m², la nouvelle unité de production rassemble un système de dépoussiérage automatique par flux d’air filtré, 2 cabines de laquage robotisées dont une pour l’impression et l’autre pour la finition, 3 tunnels de séchage infrarouge, ainsi qu’un système de recyclage des boues de peintures et eaux usées. Mais cette nouvelle cabine de laquage bois n’est que les prémices d’un projet bien plus conséquent visant à augmenter la volumétrie de fabrication des menuiseries bois. Pour ce faire, 1,5 millions d’euros viennent également d’être investis dans la commande d’un nouveau centre d’usinage. Automatisé et robotisé, en double cabine, pour l’usinage des dormants en bois, il sera en place à l’horizon fin 2022. Puis une troisième phase d’investissement en 2023 viendra doubler la capacité de production des dormants. TECHNOLOGIE DE POINTE Le système automatisé et les technologies intégrées à cette nouvelle cabine offrent au Groupe une technique de laquage de qualité bien supérieure à ce qui se fait sur le marché. L’ergonomie de la ligne avec son poste de pilotage centralisé, le scannage des menuiseries et le système de puce NFC (Near Field Communication) a intégré dans la production des notions d’instantanéité, de sécurité, d’économie, de traçabilité et d’efficacité prépondérantes pour une industrialisation de pointe. Ainsi le scannage de la menuiserie rassemble toutes ces caractéristiques et va permettre de définir la quantité, le type et le coloris de la peinture à appliquer. La puce NFC quant à elle, permettra de suivre étape par étape l’évolution du process de finition. En pratique, en entrée de cabine, toutes les menuiseries sont scannées. Elles sont placées sur des balancelles qui sont, elles, équipées d’une puce NFC. Les menuiseries sont d’abord dépoussiérées puis un premier flow-coat de préservation est appliqué par aspersion ; il permettra de préserver la menuiserie des insectes, champignons et moisissures. Le système aiguille ensuite la menuiserie vers une zone de séchage de préservation. Un deuxième flow-coat d’imprégnation est appliqué. L’aiguillage se fait automatiquement en fonction des finitions souhaitées : pour une finition lasure transparente, c’est u Balancelles équipées d’une puce NFC sur lesquelles sont placées les menuiseries. Les menuiseries sont par la suite égouttées. Cette étape d’égouttage est nécessaire pour préparer les menuiseries à recevoir la teinte finale. L’hygrométrie de cette zone est notamment régulée à 60% pour permettre d’optimiser l’égouttage afin que les menuiseries ne sèchent pas trop vite. Les boues de peintures et les eaux usées qui en proviennent sont récoltées et traitées avec un coagulant et un floculant permettant de séparer les éléments. Un filtre à charbon et un filtre à particules les nettoient avant leur rejet dans les égouts. Menuiseries séchées dans un tunnel à infrarouge de 11 kW Après égouttage, les menuiseries sont de nouveau séchées dans un tunnel à infrarouge de 11 kW (lampes halogènes). Ce séchage à coeur qui s’exécute de l’intérieur vers l’extérieur, est efficace en 30 minutes au toucher et à coeur en 1h 30. Avec une température ambiante de 25°C, cette méthode de séchage est 3 fois moins énergivore et ne nécessite pas le refroidissement du tunnel entre chaque menuiserie. Cette technique offre véritablement une qualité de séchage supérieure avec moins de défaut lors des manutentions ou lors des opérations sur les menuiseries après peinture. Elle autorise également la palettisation des menuiseries 6h après la sortie de la cabine, là où il fallait habituellement attendre un minimum de 12h pour éviter les phénomènes de collage entre les fenêtres. Deux autres cabines équipées de robots sont dédiées à la pulvérisation intermédiaire et à la pulvérisation de finitions. Réalisée par des robots anthropomorphes à 6 axes, la pulvérisation est appliquée par 2 pistolets automatiques airmix. Le calcul des trajectoires est automatique et précis, et, un système de débitmètre évalue la quantité de peinture par menuiserie. Leur grande amplitude de travail les habilite à peindre des cadres de 4m par 3m. Robot anthropomorphe à 6 axes équipé de 2 pistolets automatiques airmix 2 autres tunnels de séchage infrarouge de 22 kW sont dédiés au séchage des menuiseries des cabines de pulvérisation et finition. Un contrôle qualité, réalisé par un personnel qualifié, finalise le processus de laquage qui est garanti jusqu’à 10 ans pour les finitions opaques et 5 ans pour les lasures transparentes. Le séchage infrarouge à coeur s’exécute de l’intérieur vers l’extérieur, il est efficace en 30 minutes au toucher et à coeur en 1h 30. Avec une température ambiante de 25°C, cette méthode de séchage est 3 fois moins énergivore et ne nécessite pas le refroidissement du tunnel entre chaque menuiserie. En quelques chiffres, cette nouvelle cabine de laquage ce sont 1000 m² de panneaux sandwich, 25 tonnes d’ossature porteuse, 400 mètres de rail, 750 mètres de chaine avec 8 moteurs d’entraînement, 80 balancelles équipées de puces NFC, 1 menuiserie toutes les 7 minutes. Mais c’est également et surtout un laquage et un process industriel plus vertueux qui s’inscrivent le cadre d’une stratégie environnementale. En effet, cette nouvelle technologie de séchage infrarouge à coeur génère un gain énergétique en divisant par 3 la consommation électrique du site. Outre les mesures déjà mises en place comme l’optimisation des coûts énergétiques du transport et l’approvisionnement de bois issus de forêts gérées durablement, le Groupe utilise des produits classés A+ pour les émissions de Composés Organiques Volatils (COV), recycle les eaux et les boues de peintures de la cabine, exécute un laquage automatisé, précisément dosé et ciblé afin d’éviter le gaspillage et génère des économies de peintures. Assurément ces process engendrent un gain de productivité mais on le voit, le Groupe Lorillard a également à cœur de réduire son impact environnemental.
Il y a 3 ans et 152 jours

Machines M-CUBE : le trio gagnant

Ces machines ont toutes été développées par le Groupe Würth et sont dotées de la dernière technologie de batterie M-CUBE®. En s'inspirant des besoins et exigences de ses clients, Würth France a créé les machines de leur rêve !Cette offre spéciale Trio M-CUBE® permettra aux professionnels d'avoir toujours les machines indispensables à portée de main lors de leurs chantiers grâce à son sac de transport.Découvrez la vidéo en cliquant ici.Un concentré de technologie : Inspiré par vous, développé par WürthCe trio est disponible en location MASTERfleet à partir de 28,68 € par mois pendant 36 mois ou 39,21 € par mois pendant 24 mois*.*offre valable en location longue durée avec ou sans option d'achatPrix de vente : 779 € le pack ou 729 € le pack par 2 ou 679 € le pack par 3.
Il y a 3 ans et 152 jours

Saint-Gobain propose 2 Mds € pour l'acquisition de l'américain GCP Applied Technologies

Saint-Gobain et GCP Applied Technologies ont annoncé avoir conclu un accord en vue de l’acquisition par Saint-Gobain de l’intégralité des actions de GCP. Cette acquisition constitue une étape décisive pour établir Saint-Gobain comme un leader mondial de la chimie de la construction – avec un chiffre d’affaires total de plus de 4 milliards d’euros (contre 3 milliards d’euros précédemment).
Il y a 3 ans et 152 jours

Knauf France est prêt à affronter 2022

Après une très bonne année 2021, la filiale du fabricant allemand de plaque de plâtre et de PSE s’estime parée pour la RE2020 et la REP. Elle lancera en avril prochain une évolution allégée de sa plaque de plâtre à quatre bords amincis Knauf Horizon 4.
Il y a 3 ans et 152 jours

Réhabilitation de la Cité douanière à Mons-en-Barœul (59)

Sur ce chantier, il s’agissait d’isoler thermiquement par l’extérieur cet immeuble de logements à la façade très atypique en redent (décrochement venant briser la continuité d’un profil). Ces ruptures assez distinctes marquent l’alternance entre nos parements couleur « Blanc pur » (RAL 9010) et « Aluminium gris » (RAL 9007). Le choix de ces 2 coloris ainsi alternées donne une esthétique très graphique à l’ensemble, semblable à un damier géant. La faible épaisseur de la solution Myral a permis l’optimisation du traitement thermique de ce bâtiment, notamment sur les retours de redent qui ont été traités en vêture M62 (R = 2,65 m².K/W).Lifting esthétique + confort thermique optimal… La Cité Douanière de Mons-en-Barœul s’est offerte une véritable seconde jeunesse, pour le plus grand bonheur de ses habitants !Les détails du projetNom du projet : Cité douanière de Mons-en-BarœulType de bâtiment : Logements collectifsNature des travaux : RéhabilitationLocalisation : Mons-en-Barœul - Nord (59)Date de travaux : Mars 2019Surface de façades : 1723 m²SolutionsSolution mise en œuvre :Parements M32 (R = 1,35 m².K/W) en pose VETAGE sur isolant polystyrène de 100 mm (R = 3,20 m².K/W), soit R total = 4,55 m².K/W.Parements M62 (R = 2,65 m².K/W) en pose VETURE.Texture(s) et coloris : Aspect LISSE MAT – RAL 9010 et 9007Finitions : en pose verticale
Il y a 3 ans et 153 jours

Saint-Gobain s’offre GCP Applied Technologies pour 2 Md€

« L’acquisition de GCP est une excellente et importante étape », explique Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain.[©Saint-Gobain] L’adjuvantation pour bétons semble bel et bien au cœur de la stratégie des grands groupes industriels du secteur de la construction. Ainsi, quelques jours seulement après l’annonce du rachat de MBCC Group (ex-BASF Construction Chemicals) par Sika, c’est au tour de Saint-Gobain de reprendre l’initiative. Et d’annoncer avoir conclu un accord en vue de l’acquisition de GCP Applied Technologies (GCP). Et ce, pour une valeur d’entreprise d’environ 2 Md€ (soit près de 2,3 Md$). Saint-Gobain financera l’opération avec la trésorerie, dont elle dispose. Cette acquisition potentielle répond aux critères d’investissement stratégiques et financiers du groupe français. Ceci, formulés lors de la journée “Investisseurs” du 6 octobre 2021 :• Renforcement de position de leader, notamment en Amérique du Nord et en Asie, et enrichissement de l’offre de construction durable ;• Création de valeur dès la troisième année après finalisation de la transaction et effet relutif sur le résultat net par action dès la première année (+ 4 % avant synergies) ;• Maintien d’un bilan solide et d’une note de crédit élevée avec un impact limité à + 0,3 x dette nette sur Ebitda. Une présence dans 38 pays L’opération a été approuvée à l’unanimité par les conseils d’administration de Saint-Gobain et de GCP. La finalisation de la transaction est soumise à l’accord des actionnaires de GCP. Ainsi qu’à l’autorisation des autorités de concurrence et à la satisfaction d’autres conditions d’usage. Elle devrait avoir lieu d’ici fin 2022.GCP est un acteur mondial majeur de la chimie de la construction, avec environ 890 M€ de chiffre d’affaires, 50 usines de production dans 38 pays et environ 1 800 employés.L’industriel apporte une plate-forme mondiale reconnue dans les additifs pour ciments, adjuvants pour bétons et solutions d’imperméabilisation pour les infrastructures, le tertiaire et le résidentiel.La mise en commun des plates-formes de Chryso, de GCP et de Weber offrira aux clients un portefeuille complet de solutions dans la chimie de la construction. Avec des empreintes géographiques très complémentaires. Intégré à Chryso Une très grand complémentarité géographique entre Chryso, GCP et Weber. [©Saint-Gobain] Après l’acquisition réussie de Chryso, celle de GCP constitue l’étape suivante logique permettant à Saint-Gobain d’étendre sa présence dans les adjuvants et additifs. Solutions qui jouent un rôle clef dans la décarbonation de l’industrie de la construction. Chryso et GCP sont présents dans toutes les principales régions et bénéficient d’empreintes géographiques très complémentaires. Chryso a des positions fortes surtout en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. De son côté, GCP est très implanté en Amérique du Nord, en Amérique latine et en Asie-Pacifique.Par ailleurs, cette opération permet à Saint-Gobain d’élargir son offre commerciale dans les adjuvants et additifs. Le groupe dispose désormais de 75 sites de production. De cette manière, il double son implantation industrielle pour être présent dans 38 pays. D’un point de vue stratégique, l’activité “matériaux de construction de spécialités” en Amérique du Nord (CA de 250 M$) sera intégrée au sein de l’activité de CertainTeed qui sert les clients locaux dans la région des Amériques.Quant aux autres activités, en particulier les adjuvants pour béton et les additifs pour ciment (CA de 750 M$), elles seront rattachées à Chryso. Et feront partie du segment des “Solutions de haute performance”. Un renforcement sur le marché de la chimie de la construction Saint-Gobain annonce avoir conclu un accord en vue de l’acquisition de GCP Applied Technologies (GCP). [©ACPresse] « Aujourd’hui, s’ouvre une nouvelle ère prometteuse de la riche histoire de GCP. Nous sommes ravis de rejoindre Saint-Gobain, parfaitement positionné pour assurer le succès des activités de GCP et de ses équipes sur le long terme », déclare Simon Bates, Pdg de GCP. Et Peter Feld, président indépendant du conseil d’administration de GCP, d’ajouter : « Le conseil d’administration de GCP soutient cette transaction, et est convaincu de sa pleine et juste valeur pour l’ensemble des actionnaires de GCP. Saint-Gobain est un excellent partenaire pour GCP ». Ce que confirme Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain : « L’acquisition de GCP est une excellente et importante étape. Cela permet à Saint-Gobain de renforcer sa position de leader mondial sur le marché de la chimie de la construction. Et sa présence géographique en Amérique du Nord et dans les pays émergents. Nous sommes convaincus que ce rapprochement fera naître une plate-forme de premier plan. Offrant une plus grande offre commerciale ainsi que des solutions et services à valeur ajoutée pour nos clients ». Et de conclure : « Quand nous avons fait l’acquisition de Chryso, nous avions déjà à l’esprit cette seconde étape stratégique… Elle sera sans doute suivie d’autres opérations, plus petites et plus locales pour poursuivre notre développement dans le domaine de la chimie de la construction ».
Il y a 3 ans et 153 jours

Le Groupe GSCM renforce ses positions dans le bâtiment modulaire de réemploi avec l’acquisition de Deltamod

Acteur engagé de l’économie circulaire depuis sa création en 2013, Deltamod redonne une seconde vie aux bâtiments modulaires par leur reconditionnent et la vente d’occasion. Un savoir-faire opérationnel qui s’associe à des services complémentaires tels que le démontage, le transport, la réinstallation et la reprise des anciens modulaires, preuve d’une maturité unique sur ce marché du réemploi. Face aux nombreux défis de la filière ‘construction’ pour appréhender la fin de vie du bâtiment, l’offre de Deltamod, fondée sur la réutilisation de modules, en fait un acteur pionnier et incontournable de l’économie circulaire et du développement durable. A titre illustratif, Deltamod vient ainsi de livrer à un établissement public d’Ile de France, en seulement dix mois, un bâtiment de 1 700m² de bureaux modulaires issus du reconditionnement de deux bâtiments modulaires en provenance de PSA et Sanofi.Basé à Nort-sur-Erdre, le groupe est principalement actif dans l’Ouest et le Nord de la France. Le succès de l’entreprise repose sur l’esprit entrepreneurial de ses fondateurs Pierre Visonneau et James Moutaouadhia qui demeurent investis capitalistiquement et opérationnellement dans le groupe. Ils sont accompagnés d’une équipe fidèle d’environ 30 collaborateurs qui conçoivent et réalisent des bâtiments sur-mesure en combinant des modules existants, garantissant donc une qualité de service et des délais de livraison exceptionnels. Preuve de son développement, Deltamod vient de finaliser la construction de sa nouvelle usine de 3000m² qui sera inaugurée en mai 2022. Cet outil industriel devrait lui permettre de réaliser un chiffre d’affaires supérieur à 8 millions d’euros au titre de l’exercice 2021/2022.Avec ce rapprochement industriel, le Groupe GSCM continue de renforcer sa position sur le marché dynamique du bâtiment modulaire en offrant des services complémentaires à ses clients, y compris ceux de rachat, de remplacement et d’entretien d’installations. Dans le cadre de la règlementation RE 2020, de la loi sur l’économie circulaire et la REP, cette acquisition élargit la palette des solutions durables proposées par le groupe. L’implantation géographique nationale de GSCM et sa taille critique représentent autant d’atouts pour prolonger le développement rapide de Deltamod.Eric Aurenche, Président du Groupe GSCM, a déclaré : "L’acquisition de Deltamod est un signal fort de nos ambitions en matière de réemploi et de développement durable pour les années à venir."Pierre Visonneau et James Moutaouadhia, co-fondateurs de Deltamod, ont déclaré : "Cette opportunité de rejoindre le Groupe GSCM signe une nouvelle étape dans le développement de Deltamod et positionne l’économie circulaire modulaire à l’échelle nationale."Stanislas Gaillard, Partner chez Equistone, a déclaré : "Nous sommes fiers d’accompagner et de soutenir GSCM dans cette acquisition lui permettant de renforcer ses positions sur un marché porteur."Cette acquisition marque la poursuite de la politique de croissance externe volontariste et ambitieuse conduite par le Président Eric Aurenche et soutenue par Equistone Partners Europe depuis l’entrée au capital du Groupe en juillet 2021.
Il y a 3 ans et 155 jours

Le Sénat alerte Barbara Pompili sur l’impact de la flambée des prix des énergies sur les ménages et les entreprises

La commission estime que le « bouclier tarifaire » est tardif est limité.L’attribution de 100 euros via le « chèque énergie » ou l’« indemnité inflation » est dérisoire, les prix à la pompe dépassant 1,5 euros par litre. Ces 100 euros, c’est l’équivalent d’un plein, pas une solution pour passer l’hiver !Les tarifs règlementés de vente, sur lesquels se focalisent les blocages ou compensations de prix, ne concernent que 7,5 % de la consommation nationale de gaz et 28 % de celle d’électricité. L’essentiel des consommateurs sont donc soumis aux fluctuations du marché !Face à la hausse de 34 % de l’approvisionnement énergétique du secteur industriel, les entreprises énergo-intensives ne disposent que d’une avance de 150 M€. C’est six fois inférieur à leurs besoins !Les baisses de taxes intérieures sur la consommation d’énergie sont facultatives, activables par décret, et transitoires, limitées à un an. Pire, la baisse de la fiscalité sur le gaz ne concerne que les ménages, au contraire de celle sur l’électricité, qui vise aussi les entreprises…Dans ce contexte très dégradé, la commission relève plusieurs anomalies.Le Médiateur national de l’énergie (MNE) ne dispose plus des effectifs suffisants pour résoudre les litiges entre consommateurs et fournisseurs dans les délais règlementaires, ses saisines ayant crû de 15 % en six mois...Les fournisseurs de secours ou de dernier recours, prévus depuis deux ans par la loi « Énergie-Climat », n’ont été désignés que très récemment pour l’électricité et sont encore attendus pour le gaz, alors que certains fournisseurs ont déjà stoppé leurs activités, comme E. Leclerc Énergies et ses 140 000 abonnés à l’électricité !Aucune mesure règlementaire, ni aucun crédit budgétaire, n’ont été spécifiquement annoncés pour garantir notre sécurité d’approvisionnement cet hiver, tandis que Réseau de transport d’électricité (RTE) a placé la France en situation de « vigilance particulière » début 2022.Convaincue de l’intérêt de l’énergie nucléaire, pour garantir aux Français une énergie peu coûteuse et peu émissive, la commission regrette que le plan de relance ne lui consacre que 0,18 % des crédits et le plan d’investissement 3%. C’est pourquoi elle appelle le Gouvernement à donner une traduction budgétaire forte aux annonces récentes en direction de l’énergie et de l’hydrogène nucléaires. Les crédits « Énergie » de ces plans doivent constituer le levier du nouveau nucléaire, en promouvant, aux côtés de la conception des SMR, l’amélioration des EPR, le développement des réacteurs de 4e génération et la recherche en faveur de la « fermeture du cycle du combustible ».La commission y veillera, dans le cadre de ses travaux de contrôle sur les perspectives de développement de la filière française de l’énergie et de l’hydrogène nucléaires.Pour Daniel Gremillet, rapporteur sur les crédits « Énergie » : « Je regrette que le Gouvernement ait attendu le début de l’hiver pour annoncer le “bouclier tarifaire” : s’il est utile, il n’en demeure pas moins tardif et limité. Alors que la France est le premier pays en termes de fiscalité énergétique, avec 47 Mds d’euros, je constate qu’il n’a pas choisi la voie d’une baisse massive de cette fiscalité, contrairement à l’Espagne ou à l’Allemagne ».Pour Sophie Primas, présidente de la commission : « Il est dommage que le Gouvernement ait attendu six mois avant la fin du quinquennat pour envisager un “retour en grâce” de l’énergie nucléaire ; nous souhaitons aujourd’hui qu’il passe des annonces aux décisions. Or, les plans de “relance” et “d’investissement” n’accordent pas à l’énergie nucléaire toute l’attention qu’elle mérite. Cela porte préjudice à la décarbonation de notre économie, mais aussi au pouvoir d’achat de nos concitoyens et à la compétitivité de nos entreprises ».
Il y a 3 ans et 155 jours

BLUE’AIR : Nouvelle gamme de purificateurs AUTOGYRE – Respirez un air pur, c’est bon pour la santé

Dans une maison, la qualité de l’air intérieur est un facteur important pour la santé des occupants. Nous respirons l’air de nos espaces intérieurs environ 80% du temps. Les activités humaines, les animaux, les plantes, les matériaux de construction, de décoration, les équipements… dégagent des polluants – composés organiques volatiles (COV) ou particules biologiques (pollens, virus, moisissures, poussières…) – nocifs pour la santé comme pour le bâti. Pour optimiser la qualité de l’air intérieur et limiter la propagation des éléments allergènes ou toxiques, les purifi cateurs d’air sont l’une des solutions. Equipés d’un ventilateur, ces appareils aspirent l’air de la pièce à traiter pour le fi ltrer et l’assainir. AUTOGYRE, fabricant spécialisé dans le traitement de l’air depuis plus de 60 ans, a développé une nouvelle gamme de purifi cateurs BLUE’AIR. Composée de 2 modèles, cette gamme permet de traiter di érents volumes d’air, des petites pièces jusqu’à 16 m2 comme des grandes jusqu’à 50 m2. PURIFICATEURS BLUE’AIR Une triple filtration pour éliminer 95% des particules Pour limiter la pollution intérieure et capturer les polluants, les purifi-cateurs BLUE’AIR d’AUTOGYRE aspirent l’air vicié et le purifie grâce à une triple filtration. En effet, ils éliminent jusqu’à 95% des particules présentes dans l’air grâce à : -Un préfiltre qui arrête les grosses particules en suspension (cheveux,poussières…). -Un filtre haute densité HEPA 11 qui bloque les microparticules du niveau du micron et donc les bactéries. -Un filtre à charbon actif qui absorbe formaldéhydes, substances toxiques et mauvaises odeurs. Performance, design et simplicité D’un design épuré et compact, les purificateurs BLUE’AIR d’AUTOGYRE misent sur l’efficacité et la facilité d’utilisation. BLUE’AIR S : le compact Simple et efficace, le modèle BLUE’AIR S se distingue par sa petite taille et son design discret. Idéal pour les pièces jusqu’à 16 m2 , le purificateur dispose d’une minuterie réglable sur 2, 4 ou 8 H, de 3 vitesses de ventilation et d’un signal de remplacement du filtre (+/- 2 200 H). BLUE’AIR XL : le malin Avec un débit d’air de 400 m3/h, le BLUE’AIR XL convient pour les pièces jusqu’à 50 m2. Il est doté d’un panneau d’affichage numérique au design élégant et d’un détecteur de sources de pollution. Grâce à ce dernier, le purificateur adapte   automatiquement sa vitesse d’absorption (moyenne ou grande) selon la source de pollution détectée. Sur le haut de l’appareil, un bandeau lumineux indique la qualité de l’air (rouge ou vert) et lorsque l’air est purifi é (bleu), l’appareil se remet en petite vitesse. Le BLUE’AIR XL dispose d’une minuterie réglable (2, 4 ou 8 H), d’un signal de remplacement du filtre, d’une veilleuse et d’une sécurité enfant.  
Il y a 3 ans et 155 jours

Covid19 : bientôt de nouvelles restrictions ?

"Le président de la République a décidé de convoquer un nouveau Conseil de défense et de sécurité nationale sur la crise sanitaire pour voir s'il y a lieu de prendre des mesures complémentaires dès lundi en fin de matinée", a déclaré le Premier ministre, lors d'une visite à l'hôpital d'Angoulême."La cinquième vague de la pandémie est particulièrement forte" et "la situation est préoccupante", a relevé M. Castex, en citant des chiffres orientés à la hausse, dont une "progression de 60% des cas constatés en une semaine"."Nous restons extrêmement vigilants", a abondé le ministre de la Santé Olivier Véran, en s'appuyant sur les modélisations de l'Institut Pasteur qui promettent 3.000 malades du Covid en réanimation mi-décembre, contre près de 2.000 actuellement."Nous ne laisserons pas la pression monter trop haut" dans les hôpitaux, a souligné M. Véran, répondant à une question sur un possible retour des jauges dans les établissements recevant du public, à commencer par les cafés et restaurants.En attendant, M. Castex a renouvelé ses appels à la vaccination, en assurant que "personne ne sera laissé sans possibilité de faire son rappel avant l'échéance du 15 janvier", date à laquelle le pass sanitaire commencera à ne plus être valable pour les personnes n'ayant pas reçu d'injection complémentaire dans les temps impartis."Il y a toutes les doses qu'il faut", a insisté le chef du gouvernement, en ajoutant que "de nombreux créneaux de rendez-vous vont ouvrir dans les prochains jours".Depuis l'ouverture à tous les Français de plus de 12 ans de la dose de rappel jeudi dernier, "un total de 4,5 millions de rendez-vous ont été pris" s'est félicité M. Castex.Il a également relevé que le nombre de premières injections repartait à la hausse, alors que six millions de Français éligibles, dont 1,2 million de plus de 65 ans, n'ont toujours reçu aucune dose.Le Premier ministre effectuait d'ailleurs sa première sortie après dix jours d'isolement, ayant lui-même contracté le Covid la semaine dernière. "J'ai eu deux doses vaccinales, et ceci explique probablement le fait que je n'ai eu que des symptômes extrêmement légers", a-t-il fait valoir.Lors de sa visite, M. Castex a également détaillé l'enveloppe de près de 1,3 milliard d'euros allouée à la Nouvelle-Aquitaine, dans le plan national de 19 milliards d'euros d'investissements sur 10 ans du Ségur de la Santé. Au total, 158 établissements -hôpitaux comme EHPAD- bénéficieront d'une aide, qu'il s'agisse de rénovation, de nouveaux bâtiments ou de reprise de dette.Le plus gros bénéficiaire sera le centre hospitalier universitaire de Bordeaux, qui a entamé de vastes chantiers de modernisation et recevra 326 millions d'euros de l'Etat.Le service des urgences et la pharmacie de l'hôpital d'Angoulême toucheront six millions d'euros pour réhabiliter leurs locaux, dont la vétusté a été constatée jeudi par MM. Castex et Véran.Ces investissements, ce sont "une question de dignité d'accueil pour les malades, de conditions de travail pour le personnels, et d'efficience du dispositif hospitalier", a martelé M. Castex.
Il y a 3 ans et 155 jours

BOSCH PROFESSIONAL – Nouvelle gamme d’accessoires EXPERT : Des technologies avancées pour une longue durée de vie, une plus grande résistance et plus de rapidité

La gamme d’accessoires EXPERT : Des performances Optimales Les professionnels du bâtiment obtiennent de meilleurs résultats lorsqu’ils associent des outils performants à des accessoires innovants. Mais de nombreux utilisateurs ne savent pas toujours à quel point ils peuvent augmenter leur productivité grâce aux accessoires qu’ils choisissent. Les nouveaux accessoires Bosch de la gamme EXPERT offrent aux professionnels des performances maximales, quels que soient leurs travaux, et durent plus longtemps. Bénéficiant des dernières technologies avancées, ils garantissent le meilleur, même pour des applications difficiles. Parmi les dernières nouveautés, Bosch lance le foret Expert HEX-9 HardCeramic pour les carrelages durs, la lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal pour la découpe de métal épais, la lame de scie sauteuse Expert Hardwood fast pour le travail du bois et le disque à tronçonner X-Lock Expert Diamond Metal Wheel pour la coupe de métal. Nouveau Foret Expert HEX-9 HardCeramic Une nouvelle façon de percer les carrelages durs L’augmentation de la taille et de la dureté des carrelages rend leur perçage très délicat. C’est pourquoi Bosch a développé le foret Expert HEX-9 HardCeramic. Il a été spécialement conçu pour percer les carrelages durs, tels que le grès cérame, mais aussi les tuiles, les tuiles en pierre naturelle et le verre non trempé, sans lubrifiant, ni refroidissement. Bénéficiant de la technologie au carbure, le foret est  extrêmement résistant. Il offre une durée de vie jusqu’à 10 fois plus longue que les forets pour carrelage actuels à pointe carbure, et une progression de forage beaucoup plus rapide. Issu du savoir-faire Bosch, la pointe en carbure haute performance à facettes multiples (brevet) coupe la céramique dure plus efficacement que les arêtes de coupe plates. Une conception asymétrique des angles permet de pénétrer à l’intérieur des matériaux durs plus facilement. Cette pointe de centrage permet ainsi une amorce de perçage précise, minimise les frottements et la chaleur, et augmente la progression du perçage. L’emmanchement hexagonal du foret Expert HEX-9 HardCeramic permet un transfert de puissance maximal sur les mandrins à trois mors standards. Il peut être utilisé avec une perceuse-visseuse mais aussi une perceuse-visseuse à percussion. La gamme comprend 8 tailles de forets avec des diamètres de 3 à 12 mm pour couvrir toutes les applications courantes. Nouvelle Lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal Une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue   La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal Bosch est parfaite pour couper le métal épais, comme des profilés en acier ou des tuyaux en fonte lourds. Elle bénéficie de la technologie carbure Bosch et d’un nouveau revêtement supplémentaire qui lui confère une longévité exceptionnelle même pour les applications les plus exigeantes telles que le démantèlement de voitures, de navires, d’usines… En effet, chacune des dents en carbure, soudées individuellement sur un corps épais et robuste, est revêtue de PVD (Physical Vapor Deposition). Ce revêtement rend le carbure encore plus résistant, double la durée de vie de la lame et apporte aux dents encore plus de dureté et de résistance à l’usure. Endurante, la lame dure ainsi jusqu’à 100 fois plus longtemps qu’une lame bimétal traditionnelle. La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal reste flexible et résiste aux forces de flexion et de torsion, typiques des applications de démolition. Enfin, de grande largeur, elle permet des coupes précises et droites, et son épaisseur assure plus de stabilité. La lame EXPERT Thick Tough Metal est disponible en longueurs 100, 150, 225 et 300 mm et convient à toutes les scies sabres avec des emmanchements S. Nouvelle Lame de scie sauteuse Expert Hardwood Fast Une coupe encore plus rapide Haute performance, la nouvelle lame de scie sauteuse EXPERT Hardwood Fast Bosch assure des coupes nettes et précises sur les bois durs et les bois composite, mais aussi les panneaux agglomérés, les plaques de plâtres et les panneaux de fibres. Grâce à la technologie carbure Bosch, elle profite d’une longévité jusqu’à 50 fois plus élevée qu’une lame en acier HCS. De plus, sa conception a été optimisée. Ses dents tranchantes en carbure, produites par un meulage en biseau supérieur, et son corps de lame conique assurent une coupe encore plus rapide. Par ailleurs, son pas de denture progressif permet de couper des matériaux de toutes épaisseurs. La lame EXPERT Hardwood Fast convient à toutes les scies sauteuses à emmanchement T. Nouveau disque à tronçonner X-LOCK Expert Diamond Metal Wheel Incassable, indéformable et ultra résistant   Bosch a révolutionné le changement d’accessoires sur les meuleuses angulaires avec son système X-LOCK, le plus simple du marché. Ce support de fixation innovant permet de changer en 2 secondes le disque, sans outil, en actionnant simplement un levier situé à l’avant de la machine. Celui-ci déverrouille le disque en un clic. Il suffit ensuite de replacer un nouveau disque, d’appuyer sur le support X-Lock pour l’enclipser. Parmi les nombreux accessoires X-LOCK, Bosch lance un nouveau disque à tronçonner l’EXPERT Diamond Metal Wheel, pour optimiser le travail dans le métal, la fonte, l’acier inoxydable ou encore le cuivre. Parfait pour les petites meuleuses angulaires, ce nouveau disque X-LOCK offre une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue grâce à la technologie Diamant de Bosch. Le corps en acier du disque a été optimisé pour assurer une vitesse et une profondeur de coupe constantes. Doté d’ouvertures de refroidissement, il ne se déforme pas avec la chaleur. La combinaison de ce corps et de grains de diamants, de haute qualité brasés sur le corps, offre une résistance maximale à l’usure et augmente les performances de coupe. Le disque EXPERT Diamond Metal Wheel permet de travailler dans un environnement plus sain, car avec la technologie Diamant, le disque ne dégage pas d’odeur et ne brûle pas pendant la découpe, contrairement aux disques agglomérés. Enfin, d’une grande robustesse, le disque est incassable et résiste parfaitement aux chutes. Le disque à tronçonner X-LOCK EXPERT Diamond Metal Wheel existe en diamètre 115 et 125 mm et se monte aussi sur les meuleuses classiques à emmanchement M14.
Il y a 3 ans et 155 jours

Les financements climat ont résisté à la crise, mais restent incertains pour la suite

Grâce à la relance post-Covid, ces financements devraient croître encore en 2021 et 2022, mais toujours insuffisamment pour permettre au pays de suivre sa feuille de route climat, laissant aussi la situation ouverte une fois le plan de relance épuisé, résume l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE).En 2020, ménages, entreprises et administrations ont investi près de 45 milliards d'euros en faveur du climat, soit +10% par rapport à 2019. Cette progression contraste avec le recul global des investissements du pays l'an dernier (-7,8%, selon l'Insee).La hausse s'est surtout concentrée sur les voitures électriques et hybrides rechargeables, tandis que les investissements dans la rénovation énergétique des logements, le réseau ferroviaire, les transports en commun et les énergies renouvelables sont restés stables.Mais ces financements restent insuffisants par rapport aux objectifs de la Stratégie nationale bas-carbone de la France, qui vise à réduire les gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement.Il faudrait en effet au moins 13 à 15 milliards d'euros publics et privés supplémentaires chaque année jusqu'en 2023, et environ le double jusqu'en 2028, a calculé I4CE. Une estimation minimum, car nombre de secteurs comme l'agriculture, l'industrie ou le nucléaire ne sont pas couverts.En outre, la France devra revoir à la hausse ses ambitions de réduction de GES pour se conformer au nouvel objectif adopté mi-2021 par l'UE (-55% d'émissions en 2030 par rapport à leur niveau de 1990, contre -40% actuellement). Ce qui signifiera plus d'investissements nécessaires encore: environ deux fois plus, estiment les chercheurs d'I4CE.Les principaux financements climat du plan de relance prendront fin en 2022 : les pouvoirs publics doivent l'anticiper, "en élaborant dès maintenant une stratégie climat des finances publiques", appelle le think tank, qui veut aider les décideurs à intégrer le climat dans leurs décisions, et s'adresse aussi aux candidats à l'élection présidentielle.
Il y a 3 ans et 155 jours

Boom du paysage : la preuve par les clôtures

Jamais le salon Paysalia n’avait accueilli autant de fabricants et distributeurs de clôtures. Essentiellement destiné aux petites entreprises de paysage et de TP, ce marché de niche révèle l’essor historique qui a donné son allant à l’événement biennal majeur de la filière, du 30 novembre au 2 décembre à Eurexpo Lyon. L'immersion illustre le réveil industriel de la France rurale.
Il y a 3 ans et 155 jours

Construire sans artificialiser les sols, le nouveau dilemme des zones commerciales

Sur le principe, tout le monde ou presque est d'accord qu'il faut arrêter de remplacer champs et forêts par du béton. "D'un point de vue citoyen, on sait qu'il faut bien se calmer un peu", assure auprès de l'AFP Jean-Michel Pacaud, président du conseil de surveillance du promoteur JMP Expansion.Avec l'abandon de grands projets comme Europacity en banlieue parisienne ou Val Tolosa près de Toulouse, après de longs recours en justice, les promoteurs ont aussi bien compris que ce type d'installations risquait d'être mal accueilli par le public.Il n'empêche que la loi Climat est restée en travers de la gorge de nombreux professionnels de l'immobilier commercial. Pour atteindre son objectif de "zéro artificialisation nette d'ici 2050", elle a interdit la construction de nouveaux ensembles commerciaux de plus de 10.000 mètres carrés et soumis à une dérogation du préfet les constructions de plus de 3.000 mètres carrés.En pratique, il devient donc difficile de construire de nouveaux centres commerciaux sur des terres non-artificialisées.Est-ce vraiment si grave, dans un pays où la plupart des villes moyennes ont déjà au moins un centre commercial ?Pour les professionnels de l'immobilier commercial, la réponse est oui. D'abord parce que le marché des "retail parks", les espaces commerciaux à ciel ouvert, est en pleine expansion: c'est un modèle qui fonctionne bien en périphérie des villes. Mais surtout parce que jusqu'à présent, beaucoup de centres commerciaux finançaient leurs rénovations par des agrandissements: en mettant plus de magasins, on s'assurait d'une rentrée d'argent pour les travaux de modernisation du bâtiment existant.Construire sur des lieux déjà artificialisésPour continuer sur ce modèle, les promoteurs doivent se tourner vers d'autres solutions. Certains construisent par exemple sur leurs parkings. Mais supprimer le parking comprend un risque, estime Pierre Rochard, du cabinet Arthur Lloyd: celui de voir la fréquentation chuter.Une autre solution consiste à s'implanter sur des friches, à l'image par exemple du Shopping Promenade d'Arles: un centre commercial d'environ 20.000 mètres carrés ouvert en octobre 2019 et géré par Frey, qui s'est installé sur le site d'une ancienne usine de pâtes Lustucru."Sur les friches industrielles, il y a quand même une grosse problématique liée à la dépollution. Il y a plus de potentiel aujourd'hui sur la restructuration de zones commerciales", commente auprès de l'AFP Antoine Frey, PDG de la foncière du même nom, qui développe aussi un projet de ce type à Strasbourg.Avec l'étalement urbain, de nombreux centres commerciaux de périphérie ont notamment été rattrapés par la ville et peuvent être transformés en y ajoutant des logements collectifs, des bureaux ou des espaces de loisirs, qui permettent de financer le projet. Altarea construit par exemple un écoquartier à Bobigny, avec une trentaine de commerces, sur le site de l'ancien centre Bobigny 2, démoli cette année."Ce type de projet ne peut se faire que dans de grandes agglomérations", nuance Pierre Rochard.Car dans des zones moins denses, les habitants ne verront pas forcément l'intérêt à s'installer en périphérie dans des logements collectifs, alors que des maisons individuelles ou des logements plus proches des villes sont disponibles.Malgré ces solutions, un sentiment d'injustice demeure pour de nombreux professionnels de l'immobilier commercial qui estiment que les entrepôts d'e-commerce auraient aussi dû être visés par la loi.
Il y a 3 ans et 155 jours

Coût global et analyse du cycle de vie des bâtiments : la laine de roche au service de la RE2020

C’est l’objet de la politique de l’énergie dans les bâtiments à travers la RE 2020 à compter du 1er janvier 2022 en fixant des objectifs environnementaux à atteindre d’ici 2050 pour que la construction réduise ses dépenses énergétiques et privilégie le bas carbone Avec ses solutions en laine de roche, matière recyclable à l’infini et résistante au feu, ROCKWOOL répond aux besoins actuels d’isolation, de protection et de confort, tout en respectant les impératifs de la RE 2020 et d’autres réglementations, notamment la réglementation incendie. À titre d’exemple, pendant toute la durée de vie de son utilisation, l’isolation des bâtiments ROCKWOOL vendue en 2020 permettra d’économiser 100 fois le carbone émis et l’énergie consommée pendant sa production.*Ministère de la Transition écologique et solidaire : https://www.ecologie.gouv.fr/energie-dans-batiments
Il y a 3 ans et 156 jours

Elisabeth Bardet revient chez Rockwool France

Après un passage chez Zehnder puis chez Soprema, Elisabeth Bardet réintègre les équipes française de l’industriel en tant que directrice de la Business Unit Isolation France et Export.
Il y a 3 ans et 156 jours

La certification Cradle to Cradle® attribuée à Hybris, l'isolant réflecteur alvéolaire d'Actis

Avoir un engament environnemental fort constitue une priorité pour les industriels, notamment avec l'entrée en vigueur de la RE2020. S'inscrivant dans cette démarche éco-responsable, Actis confirme son engagement avec l'obtention de la certification internationale Cradle to Cradle® pour son isolant réflecteur alvéolaire Hybris.
Il y a 3 ans et 156 jours

Isolants biosourcés : Soprema va densifier ses capacités de production

PRODUCTION. Spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, annonce qu'il va construire deux nouvelles lignes de production dans les Vosges.
Il y a 3 ans et 156 jours

Hôpital Grand Paris-Nord: l'AP-HP a acquis le site de l'usine Stellantis

L'ancienne usine PSA de Saint-Ouen a été vendue à l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui construira un campus hospitalo-universitaire Grand Paris-Nord en 2028.
Il y a 3 ans et 156 jours

Soprema agrandit ses usines Pavatex dans les Vosges

Le spécialiste des solutions d'étanchéité et d'isolation va construire deux nouvelles lignes de production : Pavatex II sur son site industriel Pavatex à Golbey et Pavatex III à l’ecoparc de Chavelot. Avec ces nouvelles lignes, dont le démarrage est prévu respectivement au printemps 2022 et fin 2023, Soprema poursuit son développement sur le segment des isolants biosourcés.
Il y a 3 ans et 156 jours

Conjoncture et activité de la construction métallique française en 2021

La progression de l’activité est largement soutenue par la croissance des commandes issues du secteur privé pour la réalisation de bâtiments industriels, agroalimentaires, commerciaux, logistiques et de distributions. Les constructeurs métalliques réalisent 61,1 % du marché de la construction de bâtiments industriels. Précisons que, depuis quelques années, du fait de l’évolution du e-commerce, la construction métallique répond en effet à une forte demande de constructions d’entrepôts logistiques. Si la solution métallique n’est pas toujours retenue pour la réalisation des très grands entrepôts, notons qu’elle s’avère très compétitive pour les entrepôts de 2.000 à 5.000 m2.Côté commande publique (plus rare), celle-ci soutient aussi la tendance sectorielle, grâce notamment aux lignes 16 et 17 du Grand Paris, aux installations des Jeux Olympiques Paris 2024, ainsi qu’aux nombreuses gares réalisées en constructions métalliques. Cependant, pour Roger Briand, « Force est de constater qu’aujourd’hui, si le volume d’activité est présent, les marges sont impactées par les augmentations de prix de l’acier ». En effet, avec cette augmentation, les marchés conclus ont été impactés par une perte de marge. Pour les marchés publics, les interventions du SCMF auprès du ministère de l’industrie ont ainsi permis la publication d’une circulaire de recommandations de bienveillance des acheteurs publics à l’égard des réclamations des entreprises. Certaines entreprises ont obtenu des actualisations de prix et des suppressions de pénalités de retard. « Pour les marchés privés, nous avons fait valoir auprès de nos clients l’existence de l’article 1195 du code civil relatif à la clause de l’imprévision. Dans quelques cas, cela a permis d’ouvrir la discussion avec les maîtres d’ouvrage et d’obtenir de petites compensations » explique Roger Briand avant de conclure « En ce qui concerne l’évolution des prix, nous sommes tous dans l’expectative et dans l’attente d’une baisse. »Rappelons que les entreprises de construction métallique sont, pour l’essentiel, des PME, des ETI à structures familiales et qu’elles investissent de manière régulière et conséquente dans leurs outils de production afin de maintenir leur compétitivité. Et Roger Briand de mentionner : « Les constructeurs métalliques envisagent l’avenir avec sérénité pour les six premiers mois de 2022 et ce grâce à des carnets de commandes bien remplis et des consultations nombreuses en cette fin d’année. Il reste à espérer que les prix des matières premières se stabilisent, pour permettre la reconstitution des marges des entreprises. »Conjoncture et activité des constructeurs métalliquesLa productionAprès une année 2020 fortement impactée par la pandémie, la production annuelle 2021 devrait atteindre les 780.000 tonnes, soit une croissance d’un peu plus de 8 % (marché intérieur) par rapport à 2020. « Une croissance qui va permettre d'atteindre les niveaux d'avant crise » (+ 2 % vs 2019), selon Roger Briand.Rappelons que, lorsque ce taux atteint 80 %, les industriels investissent dans leur outil de travail et construisent de nouveaux bâtiments afin d’augmenter leur capacité de production. L’activité de la profession se veut ainsi étroitement liée à ce taux d’utilisation des capacités de productions françaises. Pour Roger Briand : « Ce taux, qui avoisine 80 %, confirme la bonne situation des carnets de commandes ».Prises de position et préoccupations du SCMFRE2020 :Cette nouvelle réglementation environnementale indispensable et nécessaire pour diminuer l’émission des gaz à effet de serre dans l’acte de construire est soutenue par la profession.À ce titre, Roger Briand déclare : « Nous sommes en accord avec la nécessité d’améliorer nos bilans carbone mais nous nous heurtons à un parti pris non justifié en faveur du matériau bois. L’analyse de cycle de vie dynamique, l’ACV Dynamique retenue par le ministère de la transition écologique pour déterminer le bilan carbone du bois apporte à ce matériau un avantage inéquitable et inexplicable scientifiquement. En fin de vie par combustion ou enfouissement, le matériau bois ne conservera pas le CO2 qu’il a emmagasiné contrairement aux hypothèses de l’ACV dynamique. Le SCMF accompagné par le CTICM est intervenu à de nombreuses reprises pour dénoncer près des instances gouvernementales (DHUP, Ministère de la transition écologique) cette situation inexplicable scientifiquement. Lors de la publication de l’arrêté RE 2020 le 4 août dernier, nous avons constaté que l’ACV statique et l’ACV dynamique étaient présentés avec la même importance dans les textes.Nous en avions déduit bien logiquement que les deux méthodes de calcul reconnues dans l’arrêté étaient utilisables pour déterminer le bilan carbone de chaque matériau. L’ACV Dynamique pour avantager les matériaux biosourcés. L’ACV Statique éventuellement pour les autres matériaux. En fait, il semblerait que ce ne sera pas le cas. Seuls les règlements français vont imposer l’ACV dynamique pour tous les matériaux alors que les autres pays européens vont utiliser l’ACV Statique. L’ACV dynamique atténuera les émissions de fin de vie du bois… (par la magie, des émissions de CO2 vont disparaître), plus exactement ces émissions vont être reléguées aux générations futures (dans 50 ans). La prise en compte de ces réductions d’émission du bois va avoir pour conséquence la réduction de production de matériau recyclé.Un autre point nous interpelle : l’introduction du module D, le Module de la déconstruction enfin retenu, module qui valorise l’effet du recyclage en termes d’évitement de matière produite, mais il est raboté de 43 % par l’usage exclusif de l’ACV dynamique. Il s’agit d’une double peine pour notre filière. Ce parti pris réduit d’autant les vertus de recyclage en termes d’émission, alors que notre filière est très investie dans cette démarche et souhaite les amplifier. Le gouvernement a-t-il compris qu’en rendant exclusif l’ACV dynamique, il freine les solutions de recyclage auxquelles la filière est très attachée car elle dispose du matériau le plus circulaire de tous. Par ailleurs, nous avons bien noté dans la RE 2020 que lors de sa seconde vie un produit issu du réemploi est considéré sans impact carbone. L’éco-conception de nos structures acier vont nous permettre de développer le recyclage et surtout le réemploi de l’acier dans une seconde vie pour la réalisation de bâtiments mixtes acier, bois, béton à bilan bas carbone, en utilisant le bon matériau au bon endroit. Les ingénieurs de nos bureaux d’études et du CTICM sont déjà à l’œuvre pour définir les constructions de demain. »« REP Bâtiment » :Si l’objectif de la REP est de favoriser le recyclage et d’éviter les dépôts sauvages de déchets de démolition du bâtiment, la profession des constructeurs métalliques s’étonne là-encore par la voix de son président. Roger Briand précise en effet : « Nous pouvons d’ores et déjà affirmer fort et clair que si les constructions étaient toutes métalliques, cette REP n’aurait jamais vu le jour car nous recyclons déjà notre matériau l’acier à plus de 90 % ». Et d’interroger : « Pourquoi sommes-nous assujettis à cette éco-contribution qui va nous conduire à financer en partie les structures et dispositifs pour traiter les autres matériaux » ?Rappelons que l’un des atouts de l’acier réside dans le fait que la filière de recyclage est déjà organisée. Dès 1856, les sidérurgistes ont mis sur le marché des aciers fabriqués à partir du recyclage des aciers utilisés, grâce à la mise au point du procédé du convertisseur Martin-Siemens. Ce recyclage à l’infini de l’acier permet de diminuer le recours au minerai de fer et de protéger les réserves en ressources naturelles. Et Roger Briand de préciser : « Ce recyclage est une donnée culturelle de la filière acier particulièrement bien rodée après plus d’un siècle d’existence. La récupération des chutes d’acier provenant de nos usinages et des aciers des décharges se fait par l’intermédiaire des ferrailleurs. D’ailleurs, il existe depuis plus d’un siècle un marché et un cours de la ferraille (actuellement de 300 € /T) très suivi par les constructeurs. Nous ne pouvons pas croire que notre profession, exemplaire en matière de recyclage, en supportera les coûts ! »En effet, les métaux sont les matériaux les plus recyclés au monde. Selon Arcelor Mital, plus de 650 MT d’acier sont recyclés chaque année. Pour la Word Steel également, l’acier constitue le matériau d’excellence, puisqu’une étude gratifie déjà l’acier du taux de 85 % de recyclabilité lors d’une déconstruction/destruction de bâtiment industriel (contre 20 % pour le béton et 13 % pour le bois). Précision faite que les qualités magnétiques de l’acier facilitent sa récupération surtout les aciers du béton, beaucoup plus difficiles à récupérer. Toutefois, malgré la situation, la profession a fait le choix d’être actrice dans un éco-organisme en cours de création (Valobat, animé par Saint-Gobain) pour témoigner des atouts de matériau acier. Et Roger Briand d’indiquer : « Nos seuls objectifs d’amélioration concernent la traçabilité des aciers récupérés sur les chantiers suite à une démolition. Notre profession a décidé de se déclarer « metteur sur le marché » car nous sommes des producteurs en fabricant dans nos ateliers les pièces de la structure que nous assemblons sur les chantiers comme l’assemblage pièce par pièce d’un mécano géant. Ce choix est aussi une manière de participer à la gouvernance de l’éco-organisme et de mieux défendre notre singularité. » Et de conclure : « Un point de vigilance pour nous concerne la fabrication étrangère qui devra être soumise, comme la fabrication française, à l’éco contribution pour nous éviter une concurrence déloyale. Nous veillerons aussi sur le fait que les montants de cette éco-contribution soient visibles sur les facturations pour en permettre une vérification ou éviter des surfacturations en cascade ».Le recrutement :Autre sujet d’importance pour le SCMF et les professionnels de la construction métallique, le recrutement. La profession se heurte en effet depuis des années à des difficultés sur l’ensemble des postes de la filière. Pour Roger Briand : « Pas assez connu et reconnu, notre métier souffre d’une image dégradée qui n’attire pas suffisamment l’intérêt des chercheurs d’emplois et des jeunes étudiants. Notre image doit devenir celle de la réalité pour attirer plus encore les jeunes vers nos métiers. »Si le SCMF va reprendre et intensifier ses actions auprès des collèges et lycées, il est conscient qu’il doit faire preuve de pédagogie pour former ses futurs ingénieurs, techniciens supérieurs, opérateurs sur machines à commande numérique, conducteurs de travaux…En effet, trop souvent encore, les métiers de la construction métallique sont associés à ceux de la sidérurgie, ce qui est bien loin de la réalité. Aujourd’hui, les ateliers des constructeurs disposent de lignes de fabrication automatisées résolument très performantes, ainsi que des sites industriels orientés vers la numérisation et la robotisation, comparables à celles des unités de montage d’automobiles ou des ateliers de mécanique. Et le SCMF tient à le faire savoir notamment au travers de l’APK (association pour le développement des formations de la construction métallique) qui tient un rôle majeur pour la formation et le recrutement des professionnels de la construction métallique.Construction métallique et gares : mise en lumière de 3 référencesLa gare de Rennes :Pierre Raymond, Directeur général GAGNE-Groupe BRIANDPour accueillir un flux de voyageurs toujours plus nombreux (30 millions prévus d’ici 2040), SNCF Gares & Connexions a lancé entre 2015 et 2019 une vaste opération de restructuration de la Gare de Rennes. Ce projet prend notamment en compte l’accueil de la ligne à grande vitesse Bretagne-Pays de la Loire avec l’adaptation des ouvrages liés à l’augmentation des flux des voyageurs grande ligne et en correspondance mais aussi la mise en place d’une intermodalité globale entre les différents modes de transports : le train, les lignes de métro, les flux automobiles et piétons, les modes doux et les transports de bus urbains et interurbains.Il aura fallu presque dix ans, dont la moitié d’études, pour achever la métamorphose de la gare de Rennes. Ainsi, les architectes se sont inspirés de l’emblématique forêt de Brocéliande pour récréer une nappe de brume au-dessus d’un bois jonché d’arbres. Cette transformation s’inscrit dans un projet urbain de paysage construit reliant le nord et le sud de la gare, enjambant les voies ferrées.Une toiture en ETFE fournit un apport de lumière naturelle important sur l’ensemble des niveaux avec, à la clé, une ambiance lumineuse assurant une transition entre les espaces souterrains et la gare haute.La société Gagne a réalisé la charpente métallique, la couverture, les façades, ainsi que les structures de passerelles. Cela représente la mise en œuvre d’une ossature métallique de près de 1 000 tonnes, l’installation de 2 000 m2 de façades vitrées et de 300 m2 de toiture ETFE.Maître d’ouvrage : SNCF Gares & ConnexionsMaîtrise d’œuvre et conception : SNCF G&C et ArepArchitectes : J-M. Duthilleul, E. Tricaud, F. Bonnefille, R. RicoteBureau d’études structures : MaP3Constructeur métallique : GagneAménagement des gares de Pont de Rungis et Maison BlancheJulien FRACCAROLI (FAYAT METAL Grands Projets)Réfléchies dans une logique d’optimisation de l’espace, ces deux gares combinent une architecture métallique, de grandes portées et même des voûtes pour celle de Pont de Rungis. Leur réalisation requiert toute l’expertise technique de FAYAT METAL GRANDS PROJETS à travers les 6 500 heures prévues sur les études d’exécution mais également pour répondre aux exigences BIM du projet. L’ambition architecturale sur la gare de Pont de Rungis se décline par la mise en œuvre d’arches en PRS de 35 mètres de portée sur lesquelles viennent se reposer les poutres treillis de 25 mètres supportant la toiture. Les 500 tonnes de charpente métallique seront pourvues de traitement anticorrosion galvanisé et de peinture intumescente afin de répondre aux critères de tenue au feu de l’ouvrage.Le faux-plafond architecturé et vouté de cette gare représente une surface de 2 000 m2 où toute l’expertise en verre et métal de l’entreprise ACML – Division Fayat Metal – s’est démontrée. Les 3 000 m2 d’habillage intérieurs en inox, les façades en murs rideaux et les 3 000 m2 de couverture en Riverclack viennent compléter les prestations confiées à FMGP comme entreprise générale du métal. Le défi est de taille : le montage du clos-couvert est prévu au printemps 2022 avec en ligne de mire l’ouverture de ce tronçon pour les jeux olympiques de Paris de 2024.Maître d’Ouvrage : Société du Grand Paris (SGP)Maître d’Ouvrage Délégué : RATPMaîtrise d’œuvre : ELIOS groupement Setec et SystraArchitecte Gare de Maison Blanche : Groupe 6Architecte Gare de Pont de Rungis : Valode & PistreEntreprise générale : Razel BecCharpente métallique, façades, plafond voûté, couverture : Fayat Metal Grands Projets, ACML.Gare de Corbeil-EssonnesGuillaume ALBAN (Société Legrand)Entreprise familiale fondée en 1956 par René LEGRAND et son épouse, LEGRAND se développe rapidement dans le domaine du génie civil ferroviaire, de la signalisation et de la serrurerie. Elle participe ainsi à de nombreux travaux d’aménagements pour la SNCF (construction et levage de pylônes, éclairage, pose de câbles, électrification, …) et choisit de diversifier sa clientèle (PTT, devenu France Télécom, dès 1970, EDF depuis 1992, opérateurs de télécommunications à la fin des années 1990) comme ses activités (Département Construction Métallique en 1981, Bureau d’Etudes de piquetage en 1990, pose de fibres optiques dès 1992, ingénierie de réseaux de télécommunication depuis 2000). La société LEGRAND est d’ailleurs associée directement au développement des grandes infrastructures ferroviaires qui ont marqué la fin du XXe siècle et le début du XXIe : rénovation et modernisation du réseau ferroviaire (électrification, signalisation, …), construction des lignes nouvelles TGV (en France depuis la LGV Paris Lyon jusqu’aux LGV Est et Tours-Bordeaux, mais aussi en Angleterre), construction et aménagement des gares (couvertures métalliques, passerelles piétonnes, vidéosurveillance, éclairage, …). Elle est ainsi devenue pour RFF et la SNCF le leader incontesté de la pose d’artères câbles ferroviaires, un acteur majeur en signalisation ferroviaire et construction métallique. L’innovation dans de nombreux domaines a toujours été une préoccupation majeure de l’entreprise LEGRAND : informatisation en 1973, création de machines de pose mécanisée de câbles en 1978, conception et dépôt de brevets de chambres de tirage préfabriquées en 1985, robotisation de la production en métallerie en 1991, création d’une structure spatiale pour des nappes métalliques de grande portée en 2001… En 1996, la société LEGRAND a franchi une nouvelle étape de son développement lorsque les principaux cadres se sont réunis pour en assurer la pérennité, préférant ainsi conserver leur indépendance au lieu de voir leur outil de travail se fondre au sein de l’anonymat d’un groupe.L’ouvrage réalisé à la Gare de Corbeil-Essonnes est une passerelle métallique droite en plan et de profil en long horizontal, d’une longueur totale de 49,79 mètres composée en 4 travées (9,18 m, 13,27 m, 12,83 m, 14,51 m). Chacun des 5 appuis (P0, P1, P2, P3 et P4) est constitué d’un escalier et de poteaux, et comprend une tour d’ascenseur. L’accès à la passerelle s’opère depuis les quais et la gare routière Emile Zola par les 5 escaliers et 5 ascenseurs. Le tablier de la passerelle (largeur utile de 3 mètres) est une structure continue à section constante, avec caisson métallique à intrados courbe de hauteur maximale 0,80 m et de largeur 3,60 m. Il repose sur deux appareils d’appui sur chaque appui, disposés au droit des âmes intérieures du caisson, avec un point fixe sur l’appui P2 réalisé à l’aide de deux appareils d’appui fixes permettant le blocage longitudinal de l’ouvrage.Notons que le tablier repose sur deux appareils d’appui libres sur les autres appuis de la structure, permettant un déplacement dans le sens longitudinal et que les structures métalliques des tours d’ascenseurs sont indépendantes de la structure porteuse de la passerelle. Précisons aussi que les tours d’ascenseurs et les poteaux de la structure porteuse du tablier prennent appui sur une fondation commune qui prend la forme d’une semelle fondée sur neuf micropieux et que les pieds d’escaliers reposent également sur une semelle fondée sur quatre micropieux. Sur le tablier et les paliers d’ascenseurs, la hauteur des protections caténaires et anti-vandalisme est de 2,50 m.Mentionnons que ces protections sont composées d’une partie supérieure en maille tissée inox, et d’une partie inférieure en tôle inox martelé sur tablier et en maille tissée inox sur paliers d’ascenseurs. La pente transversale unique à 1.5 % du platelage supérieur assure, quant à elle, l’écoulement des eaux vers la rive côté ascenseurs, dans un caniveau fil d’eau. Les eaux, récoltées par des avaloirs, sont ensuite évacuées par gravitation dans des conduites logées le long des poteaux structurels et raccordées au réseau d’assainissement des quais.Les marches d’escalier et les paliers (d’escaliers et d’ascenseurs) sont exécutés en béton, avec des bandes antidérapantes sur les nez de marches et les bandes podotactiles incrustées en haut de chaque volée de marches. Si les marches présentent un recouvrement de 5 cm, notons que les premières et dernières de chaque volée sont pourvues d’une contremarche. Le montant hors taxe des travaux s’élève à environ 5,6 M€ (génie civil + passerelle métallique). Concernant la passerelle métallique seule, elle a nécessité un peu plus de 1 500 heures d’étude (dimensionnement et dessin), 1 200 heures d’encadrement travaux et, enfin, 12 000 heures de fabrication atelier. Gestion de flux de circulation oblige, la pose s’est opérée lors de deux week-end « coup de poing », sous consignation caténaire avec un délai d’exécution de 22 mois à compter de la date T0 fixée par l’ordre de service.Maître d’ouvrage (MOA) :SNCF Réseau - Direction Régionale Île-de-France - Plateau commun SDAMaître d’ouvrage Mandaté (MOAD) : SYSTRA - Pôle des Mandats deMaîtrise d’ouvrage Maître d’œuvre général (MOEG) : Groupement EGIS Rail / Strates OAMandataire du groupement : Razel Bec /Lang TPCo-traitant/Constructeur métallique : Legrand S.A.
Il y a 3 ans et 156 jours

Neutralité carbone : L’Ademe propose quatre scénarii

L’Ademe propose quatre scénarii pour la neutralité carbone. [©Ademe] La question de la transition environnementale est plus que d’actualité et bien des secteurs doivent s’en saisir. Malgré la crise du Covid et les bouleversements économiques actuels, l’écologie fait partie des premières préoccupations des Français. Et ce, depuis plusieurs années. Surtout que selon le dernier rapport du Giec, nous n’allons pas dans la bonne direction pour juguler le réchauffement climatique. Sachant qu’à ce rythme, ce dernier pourrait atteindre les + 4°C en 2100. A l’aube d’une nouvelle échéance électorale, la trajectoire climatique que la France va emprunter peut évoluer et pèsera, si la question n’est pas trop éclipsée par d’autres thématiques dans les futurs débats. Pour accompagner la réflexion collective, l’Ademe vient de mettre en ligne le rapport “Transitions 2050 – Choisir maintenant, agir pour le climat”. Ce document de 687 pages dresse 4 scénarii pour atteindre la neutralité carbone en 2050 (il existe bien sûr des notes de synthèse plus digestes pour les moins courageux !). Et ce, conformément aux objectifs de la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) établis suite aux Accords de Paris et inscrits dans la loi française en 2019. Les quatre scénarii (S1, S2, S3 et S4) vont du plus ambitieux au moins contraignant. En effet, le S4 suit une trajectoire tendancielle, relative aux ambitions actuelles. Ils mettent en exergue des situations et des solutions concrètes. Et l’Ademe compte bien compléter son travail avec de nouveaux éléments sur le mix énergétique fin janvier 2022 et sur les impacts macro-économiques, fin mars prochain. L’écologie, une préoccupation majeure Dans ce rapport, aux côtés de l’alimentation, le mode de vie ou encore la mobilité et l’industrie, le bâtiment tient une place importante. En effet, ce secteur est un grand consommateur d’énergie (40 %) et est responsable d’un quart des émissions de gaz à effet de serre. Le S1, baptisé “génération frugale” mise sur une frugalité choisie, mais aussi contrainte. Ici, place à la préférence locale et à la sanctuarisation de la nature. « Les grandes villes sont délaissées pour les moyennes et les zones rurales pour plus de proximité, explique Valérie Quiniou, directrice exécutive, prospective et recherche à l’Ademe. Le bâti existant est optimisé. » Dans ce scénario, les logements vacants sont investis, les résidences secondaires sont converties en principales, et les locaux et anciens bureaux sont transformés en logements. Lire aussi :Enquête : Entreprises et industriels face à leurs ambitions environnementales « De fait, la construction neuve chute. Mais quand en 2015, il y a moins de 1 % de rénovations BBC, elles sont de l’ordre de 80 % en 2050. Et ce, en une seule étape, c’est-à-dire, un chantier. » Ici, la rénovation énergétique tient une place importante. Elle est massive et rapide. Côté industrie, une politique d’emploi devra être menée pour répondre à la notion de proximité. Le “made in France” et la low tech seront les axes d’investissement. Ce S1 permettrait, de façon générale, de diviser par plus de deux la demande énergétique. En développement les puits naturels (ou puits biologiques comprenant des espaces de biodiversités, de forêts…), la France atteindrait ainsi – 42 MteqCO2 en 2050. Et avec de nouveaux indicateurs, comme la qualité de vie et la prospérité prendraient le pas sur la notion de croissance. Le bâtiment et la rénovation énergétique au cœur de la transition environnementale Pour le S2, nommé “coopérations territoriales”, les villes moyennes sont à l’honneur et transformées de façon radicale. « Nous parlons de ville du “quart d’heure”, où l’usage du vélo et de la marche se fait facilement. Il y a un changement d’usage du bâti et une accélération de la rénovation énergétique pour atteindre 80 % de BBC, mais cette fois-ci par geste. C’est-à-dire, plus adaptée au rythme des ménages. » Aussi, les équipements sont mutualisés au sein des logements. Par exemple, l’électroménager est partagé entre les voisins. A l’échelle industrielle, ce scénario prévoit un fort accompagnement dans la décarbonation des sites, mais aussi pour le recyclage et la revalorisation des matériaux. Il y a ainsi moins de transport de marchandises. « Dans ce cas de figure, 80 % de l’acier, du plastique, du verre et du papier-carton viennent du recyclage. Il y a aussi un effort de réindustrialisation ciblée en lien avec les territoires. » Le S2 permettrait une réduction de 50 % des consommations énergétiques. Et en mixant, puits biologiques et technologie de captage de CO2 pour certaines industries, comme celle du ciment, la France atteindrait – 28 MteqCO2 en 2050. Entre frugalité et innovations technologiques Dans tous les secteurs, le S3 “technologies vertes” s’appuie plutôt sur de nouvelles technologies, le numérique et les innovations que sur un changement de vie. La biomasse est davantage exploitée pour la méthanisation, le bois énergie ou encore pour la fabrication de biocarburant. L’industrie a plus recours aux énergies décarbonées comme l’hydrogène en grande partie importé. Et 60 % de l’acier, de l’aluminium, du verre, du papier-carton et des plastiques viennent du recyclage. Au niveau de l’habitat, les Français favorisent les métropoles. « Nous sommes dans une logique haussmannienne de déconstruction/reconstruction à grande échelle. » Lire aussi :Dossier : Comment les industriels s’emparent du bas carbone ? L’accent est mis sur la rénovation énergétique, mais de façon moins ambitieuse. Seuls 50 % des chantiers sont équivalents à un BBC. Avec cette trajectoire, la consommation énergétique diminuerait de 40 %. L’aspect numérique étant ainsi plus important et donc plus gourmand en énergie. En 2050, comme les puits biologiques sont plus sollicités, la France atteindrait – 9 MteqCO2. Le S4, “pari réparateur” est un prolongement de notre mode de vie actuel. « Dans l’habitat, la rénovation énergétique est industrialisée par la préfabrication quand cela est possible. La moitié atteindrait des niveaux BBC ou passifs. » Le recours aux nouvelles technologies et à la domotique sert à la diminution de l’impact environnemental du bâti et la construction neuve est maintenue, tout comme l’étalement urbain. La décarbonation de l’industrie passe par le captage et le stockage de CO2 (CCS). Quel degré de désirabilité ? Ainsi, ce scénario mise tout sur ces technologies plus que sur les puits biologiques et la sobriété pour réparer l’impact environnemental. Selon les estimations de l’Ademe, elles consommeraient près de 6 % de l’énergie. En termes de ressources, 45 % de l’acier, de l’aluminium, du verre, du papier-carton et des plastiques sont issus du recyclage. Dans cet équilibre, en 2050, la France serait autour des 1MteqCO2. Avec ces différents “plans d’attaque”, plusieurs questions se posent. Dans les scénarii les plus en rupture, quel est le degré d’acceptabilité, voire de désirabilité de la société ? Comment articuler la transition écologique et la justice sociale ? Pour les S3 et S4, quel coût engendrent ces transitions technologiques ? Quand seront-elles assez matures ? Quid des émissions cumulées entre le moment où ces innovations sont démocratisées et aujourd’hui ? Chaque scénario comporte son lot de risques. Qu’ils soient sociétaux ou d’ordre environnemental. Mais suite à ces deux ans de travaux qui ont mobilisé plus de 100 personnes, l’Ademe rappelle qu’il y a des incontournables : la nécessaire accélération des choses. « Nous avons encore le choix, mais il faut choisir vite », explique Valérie Quiniou. Et Arnaud Leroy, Pdg de l’Ademe de conclure : « Plus nous prendrons des mesures tardives, plus elles coûteront cher. Les années 2020-2030 seront cruciales et la France doit rester à l’avant-garde de la question climatique ».
Il y a 3 ans et 156 jours

Chaleur Renouvelable : le solaire thermique est loin d'avoir dit son dernier mot

Dans l’industrie et pour le chauffage urbain, il est possible de couvrir 100% des besoins de chaleur annuel en associant solaire thermique et stockage saisonnier.
Il y a 3 ans et 156 jours

Les carnets de commande des artisans de la construction en plein boom

"Les carnets des artisans qui fréquentent Point P (filiale de Saint-Gobain chargée du négoce de matériaux de construction, NDLR) n'ont jamais été aussi hauts", a indiqué Benoit Bazin lors de l'émission Ecorama sur Boursorama.com.L'activité du secteur du bâtiment et de la maison individuelle en France "est très forte", avec "près de 700.000 dossiers" de demande d'aide MaPrimRenov enregistrés à la fin de l'année, a-t-il ajouté."Partout dans le monde, les habitants ont considéré que leur maison était le refuge ultime, ils ont télétravaillé et donc l'épargne des ménages s'est aussi dirigée vers le bâtiment pour la rénovation-qualité de l'air contre le Covid, mais aussi pour améliorer l'efficacité énergétique" contre le réchauffement climatique, a-t-il analysé, se disant "très confiant" pour les résultats financiers du groupe au 4e trimestre et les "tendances de fonds" en 2022.Avec la hausse des prix des matières premières, le groupe, qui a augmenté ses marges de 10% en moyenne au 1er semestre, affirme avoir augmenté ses prix de 5% en moyenne par an au cours des deux dernières années.
Il y a 3 ans et 156 jours

Avoir la fibre béton

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Se passer de tout ou partie des armatures passives du béton. Mais aussi lutter contre la micro-fissuration à jeune âge. Telles sont les promesses des fibres pour bétons. Métalliques, synthétiques, minérales ou naturelles. Structurelles ou non. Aujourd’hui, l’offre est très large et les fournisseurs, nombreux. A chacun de trouver la réponse la plus précise à son besoin. Sachant qu’un professionnel du dallage industriel n’a pas les mêmes attentes qu’un préfabricant de voussoirs en béton ou qu’un applicateur de béton projeté. Les pages qui suivent permettent de se faire une idée assez précise des acteurs en concurrence sur le marché de la construction en béton. Et sur les spécificités de leurs offres.  ArcelorMittal : Sur les chantiers du Grand Paris Express Les fibres HE++ 90/60 sont désormais sur les chantiers du Grand Paris Express. [©ArcelorMittal] ArcelorMittal conçoit, produit et commercialise différentes fibres en acier pour le renforcement des bétons. « Nous avons développé la fibre structurelle HE++ 90/60 pour la fabrication de voussoirs et les applications structurelles, explique Patrick Decobecq, commercial chez ArcelorMittal. “HE” signifie qu’elle dispose d’extrémités à crochet, le “++” indique la haute performance de l’acier et les nombres correspondent au diamètre et à la longueur. Cette fibre a permis de remplacer la totalité des armatures sur de nombreux chantiers de tunnels à l’international depuis plus de 10 ans. La France a rattrapé son retard depuis 2018, en autorisant les voussoirs fibrés sur le Grand Paris Express. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 156 jours

Alphi : La maison du “prendre soin”

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. De gauche à droite, Alexandre et Philippe Souvignet, respectivement Pdg et directeur général d’Alphi. [©ACPresse] “Prendre soin”. Pour Alexandre Souvignet, Pdg de la société Alphi, ces deux mots constituent une véritable philosophie d’entreprise. Ils en sont même à l’origine. « Quand mon père, Edmond, a fondé Alphi, en 1995, il avait une idée très précise en tête. Il voulait créer des outils qui protègent les compagnons sur les chantiers. » C’est-à-dire des coffrages pour dalles, dont le poids reste acceptable, sans pénibilité dans leur mise en œuvre, qui ne provoquent pas de TMS sur le long terme… Mais aussi des coffrages fabriqués en France, avec une matière première française. Si Pechiney, le champion national de l’aluminium, a disparu depuis cette époque, la doctrine n’a pas bougé. Le “prendre soin” – ou “Care Management”, en anglais – continue à guider Alphi dans ses choix comme dans ses décisions stratégiques.  Inauguré mi-octobre dernier, le tout nouveau siège de l’entreprise en est une parfaite illustration. « Nous commencions à être quelque peu à l’étroit dans nos anciens bureaux,reprend Alexandre Souvignet. Nous avions besoin de locaux plus spacieux, très identifiables, en adéquation avec notre développement et nos ambitions. »Le cahier des charges a été défini sur cette base. S’y est ajoutée une volonté d’être en phase avec son temps, d’où une réalisation HQE.  Comment bien vivre ensemble ? Si la conception avançait bon train, un petit grain de sable faisait grincer les rouages.« Quelque chose me gênait, manquait à ce projet… »Une réalisation, aussi belle soit-elle, ne peut pas être une fin en soi. « Nous nous sommes posé une question simple : comment – bien – vivre ensemble dans ce bâtiment ? » Alphi existe par et pour ses clients. Mais aussi à travers ses collaborateurs. « Nous avons alors associé l’ensemble du personnel à ce projet. Ceux qui travailleront au siège comme ceux basés sur nos autres sites. »Des visites ont été organisées au sein d’entreprises innovantes, pour voir comme y est appliquée la notion du “vivre ensemble”. Les collaborateurs ont beaucoup échangé, imaginé des choses, donné leurs avis, leurs idées…  Lire aussi : Alphi inaugure son futur Pour Alphi, le résultat – son nouveau siège – est opérationnel depuis quelques mois, implanté sur la commune de Méry, juste à côté d’Aix-les-Bains, en Savoie. « La localisation du nouveau siège de l’entreprise est très proche de l’ancienne adresse, insiste Alexandre Souvignet. Il était important que nos collaborateurs ne perdent pas en confort et en habitudes d’accès. »Le “prendre soin”, toujours, qui permet de garder intact la motivation de chacun. Une coach est même présente dans les locaux, à mi-temps. Elle aide les collaborateurs à exprimer leur potentiel, à développer leur talent. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Adresse*Code postal*Ville*Pays*Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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