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Il y a 3 ans et 156 jours

Juridique : L’intégration de matériaux recyclés dans la construction

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Le recyclage est l’opération par laquelle la matière première d’un déchet est utilisée pour fabriquer un nouvel objet.[©ACPresse] Le secteur du BTP génère 230 Mt/an de déchets. Dans le bâtiment, plus de 90 % de ces déchets proviennent de la déconstruction et de la réhabilitation. Les enjeux de leur réutilisation sont l’économie de ressources limitées, le gain en compétitivité et la préservation de l’environnement. A ce titre, le tri des déchets à la source, avec valorisation et traçabilité, semble la solution la plus crédible. Un objectif de réutilisation ou recyclage de 70 % a d’ailleurs été fixé par le gouvernement.  I – Traitement des déchets La loi anti-gaspillage et relative à l’économie circulaire (Agec) du 10 février 2020 a précisé le “principe de responsabilité élargie du producteur (Rep1)”, selon lequel tout producteur de déchets devient contraint, non plus simplement à gérer les déchets produits. Mais aussi à participer à l’éco-conception des produits, à favoriser l’allongement de leur durée de vie, et à contribuer au traitement et au recyclage de ses déchets. Ceci, notamment par la mise en place collective, par les producteurs, “d’éco-organismes agréés auxquels ils transfèrent leur obligation et versent en contrepartie une contribution financière”. Il est ainsi fait obligation au fabricant d’un produit qui génère des déchets de financer sa fin de vie. La loi Agec soumettra les produits et matériaux de construction à ce principe de Rep au plus tard le 1er janvier 2023. Un décret en Conseil d’Etat va venir en définir les modalités d’application, ainsi que les conditions minimales du maillage des points de reprise. II – Réutilisation des déchets Le réemploi est l’utilisation à nouveau d’un bien pour un usage identique à son usage initial (châssis, coffrages, vitrages par exemple). La réutilisation permet à un déchet d’être utilisé à nouveau pour un usage différent (réutilisation de poutres en bois pour du mobilier ou des cloisons). Le recyclage, lui, est l’opération par laquelle la matière première d’un déchet est utilisée pour fabriquer un nouvel objet (granulats recyclés réintroduits dans du béton, laitiers sidérurgiques incorporés dans du ciment…). Si un tri des produits de construction est effectué par un opérateur habilité, ceux destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet2. Ils échappent ainsi naturellement à toute obligation au titre de la Rep ou d’une simple valorisation et traçabilité des déchets.  La mise en œuvre des obligations d’utilisation de matériaux réutilisés ourecyclés relève, pour l’instant, de la compétence des conseils régionaux, afin de tenir compte des spécificités de chaque territoire. Néanmoins, la pratique inclut de façon presque systématique la stipulation de ces obligations d’utilisation de matériaux réutilisés ou recyclés dans les appels d’offres de lots dédiés. Tout comme leur intégration dès le projet architectural, le sourcing de fournisseurs locaux, la conclusion de contrats de cession entre maîtres d’ouvrage producteurs et maîtres d’ouvrage utilisateurs, et la désignation d’un bureau de contrôle.  Par ailleurs, les pouvoirs publics font preuve d’une volonté générale d’aide au développement de ces pratiques, telle par exemple une tolérance de 10 % de hauteur supplémentaire des bâtiments par rapport au plan local d’urbanisme (PLU) en cas d’utilisation de matériaux recyclés. Attention cependant, réemploi et réutilisation supposent une expertise technique (du matériau comme du procédé constructif associé), afin d’apporter une nouvelle garantie sans surprime d’assurance, d’une part. Et afin de respecter les normes techniques applicables3, d’autre part. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats [1]Code de l’environnement, art. L.541-10.2id., art. L.541-4-4. 3Notamment NF EN 206/CN et NF EN 15804/CN. Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 156 jours

Paris : Structuration des structures…

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Sébastien Dupont est à la tête du pôle “structures” de LD Contrôles Paris. [©LD Contrôles] LD Contrôles transforme son organisation en départements “métiers” : LD Contrôles, LD Geotech, LD Expertises, LD Structures, LD Métrologie et LD Formations. Première conséquence de cette transformation : la création d’un pôle “structures” dans chacune de ses agences. Sébastien Dupont dirigera notamment le pôle “structures” parisien. « L’idée est d’assister les experts et ingénieurs en charge des études de structure des bâtiments, explique Fabrice Lapié, dirigeant de l’entreprise. Nous réalisions déjà quelques interventions sur demandes des majors du secteur. Désormais, chacune de nos agences compte parmi son équipe un spécialiste, disposant du matériel de carottages, d’arrachements, pour la cartographie des aciers, les tests des usures des aciers et des bétons. Et bien plus encore… » Lire aussi les autres actualités en région En effet, « en interne, un de nos salariés avait ces compétences. Nous avons donc fait le choix de la montée en compétence de nos équipes pour proposer une offre complète. Nous avons travaillé cette dernière dès le début de l’année. Le déploiement national nous permet aujourd’hui de prétendre à des contrats sur tout le territoire avec les majors. »  L’avenir de la construction passant par la rénovation, LD Contrôles pose aussi les jalons de son futur. « Permettre de pérenniser des bâtiments ou de les rénover, après un incendie, après des dégradations majeures, suite à des catastrophes naturelles ou juste avant de débuter les travaux, c’est participer à l’économie des matériaux. D’autant que nous accompagnons les entreprises de démolition dans le tri et la valorisation des déchets de construction et dans leurs réutilisations dans la construction nouvelle. » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 156 jours

Hauts-de-Seine : Un puits d’accès préfabriqué de 40 m

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Cimentub a assuré la préfabrication des éléments de la cage d’ascenseur d’un puits d’accès au tunnel SNCF de Meudon. [©Cimentub] La période estivale 2020 chez Cimentub a rimé avec, la conception et la préfabrication d’une cage d’ascenseur sur mesure, pour un puits d’accès au tunnel SNCF de Meudon. La Compagnie parisienne d’entreprises générales –  (Parenge) a sollicité Cimentub pour un ensemble de 3 m x 2,40 m sur une hauteur de 40,59 m… « Pour concevoir nos ouvrages de gestion des eaux, nous avons l’habitude de monter jusqu’à 10 m, confirme Stéphane Moncomble, directeur commercial. Arriver à 40 m nous a donc demandé de nombreuses innovations. Pour cela, nous avons conçu et préfabriqué treize éléments uniques, qui ont été emboîtés au centre du puits d’accès. » Lire aussi les autres actualités en région Difficulté du projet, un escalier hélicoïdal entoure la cage d’ascenseur. Une vingtaine de poutres viennent donc s’y raccorder. « Comme toujours sur ce type de projets techniques, aucune des poutres n’était placées au même endroit sur les différents éléments. Chaque pièce était donc unique. Le travail de conception et de calcul a donc été le principale défi relevé par nos équipes sur ce projet. Avec la nécessaire précision au millimètre, pour que l’ensemble reste parfaitement aligné.  » Au total, ce dernier a “consommé” 200 t d’un béton BAP auto-plaçant XF4, fabriqué dans l’usine Cimentub d’Amiens. Et si ce chantier représentait une première pour l’industriel, de nouveaux projets sont déjà à l’étude. « C’est une typologie de chantiers du Grand Paris pour lesquels nos clients sont fortement en attente de notre valeur ajoutée. D’autres opérations  vont  donc aboutir sous peu … » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 156 jours

Trois ans de travaux, 10 km de digue, NGE achève un ouvrage majeur de prévention des inondations qui concerne 55.000 personnes

Cette opération s’inscrit dans le cadre du Plan Rhône, mis en œuvre par l’État et les Régions, et plus particulièrement du programme de sécurisation des digues du Rhône depuis le barrage de Vallabrègues jusqu’à la mer, porté par le SYMADREM depuis 2007.Le chantier a mobilisé jusqu’à 100 machines de terrassement en pic d’activité. Ouvrage de protection hydraulique longitudinal de 10 km, cette digue de premier rang est composée de deux sections, une résistante à la surverse et une millénale. Dit « bi-zone », l’ouvrage est constitué d’une double protection, étanche en amont et poids en aval. L’ensemble est sécurisé par un filtre drain sur la totalité du linéaire.Au total, ces travaux représentent 1,6 million de mètres cubes de déblais avec l’objectif de réutiliser les terres excavées. La teneur en eau des matériaux a nécessité de mettre en œuvre des méthodologies de terrassement spécifique et des procédures de protection du fleuve pour une partie des terres extraites directement dans le Rhône.« Le plus contraignant sur ce chantier était la teneur en eau des matériaux. Nous avons beaucoup travaillé sur leur réemploi. Pour cela, nous avons mobilisé chez nous des équipes expertes permettant ainsi de réaliser ce chantier très technique dont nous sommes fiers pour la région d’Arles, berceau historique de l’activité terrassement avec Guintoli » Grégoire Becker, directeur d’agenceChiffres clésDéblais / remblais étanches 1.600.000 m3Enrochements bétonnés 300.000 TFiltre drain 30/60 200.000 m3
Il y a 3 ans et 156 jours

Mauritanie – Sénégal : La digue protectrice de Grand Tortue – Partie #1

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Opération de transport d’un caisson à l’aide de barges submersibles BOA33 en direction de la baie de Dakar, distante de 7,4 km [©bp-Eiffage] Grand Tortue – Ahmeyim… Ce n’est pas le nom d’une nouvelle espèce de chéloniens ou de tortues, mais celui d’un vaste projet intégrant, entre autres, la construction d’un terminal gazier en haute mer. Opéré par bp, Kosmos, Petrosen et SMHPM, ce port se situera sur la frontière séparant le Sénégal de la Mauritanie, à quelque 10 km des côtes, dans l’océan Atlantique. La première étape de sa réalisation est la mise en place d’un brise-lame protecteur de 1 150 m. Celui-ci prend appui sur une couche en enrochements sur laquelle sont déposés d’immenses caissons préfabriqués.  Ce port est créé pour permettre l’exploitation de champ gazier Grand Tortue-Ahmeyim. Projet binational, sa construction est partagée entre la Mauritanie et le Sénégal. A la première, la fourniture des enrochements. Au second, la préfabrication des caissons en béton armé. L’ensemble de la réalisation est confié au groupement Eiffage Génie Civil Marine – Saipem, dans le cadre d’un contrat de conception, fourniture, construction et installation.  Une piste de 36 km pour contourner Nouakchott Deux remorqueurs de haute mer acheminant un caisson vers le site de Grand Tortue, situé à 220 km au Nord de Dakar. [©bp-Eiffage] La carrière Hajar Dakhen permettant l’extraction des enrochements se situe à Akjoujt, à 275 km au Nord-Est de Nouakchott, la capitale de la Mauritanie. Elle assure la production de trois “coupures”. Un tout-venant 1/500 kg destiné à la couche de fondation. Puis, un ballast 40/80 mm (126 000 t), constituant la couche d’assise. Enfin, un 500/1 500 t (206 000 t), pour créer la carapace de protection du pied des caissons et de la pente du talus sous-marin. En totalité, les enrochements représentent un poids cumulé de 2,14 Mt ou un peu moins de 1,1 Mm3de matériaux.  Quelque 150 poids lourds ont été affectés au transport entre la carrière et le port. « Nous avons construit une piste de 36 km permettant de contourner, par le Nord, le centre-ville de Nouakchott, explique Antoine Bidault, directeur du projet pour Eiffage Génie Civil Marine. C’était une exigence du maître d’ouvrage, pour des questions évidentes de sécurité. Cette route sera rétrocédée gracieusement à l’Etat mauritanien, une fois les opérations logistiques achevées. » Un port construit en haute mer Transfert d’un caisson de la station n° 7 sur la barge submersible BOA 33. [©bp-Eiffage] Une fois livrés, les matériaux sont stockés à proximité du Port autonome de Nouakchott – Port de l’Amitié, sur une aire aménagée à cet effet. A quoi s’ajoute une zone-tampon en bord à quai pour permettre le remplissage des bateaux sans temps d’attente. Pour ce faire, le fond marin a dû être approfondi à – 12,50 m, au niveau des postes de chargement. La première opération sur le site de construction du terminal en haute mer consiste au dragage du fond marin, de faible portance. Quelque 185 000 m3de matériaux sont ainsi évacués, remplacés par des enrochements transportés par des navires de forte capacité. Ceux-ci sont pourvus d’un tube plongeur pour assurer une mise en place précise de la couche de ballast. Des pelles hydrauliques embarquées assurent, elles, la dépose des autres matériaux. En coupe verticale, l’assise du brise-lame prend la forme d’un trapèze, d’une hauteur de 10 m et dont la base inférieure mesure 75 m de large. Quant à la base supérieure – celle sur laquelle sont posés les caissons -, elle est large de 39 m.  A 220 km au Sud de la zone de construction du futur terminal gazier est implantée l’aire de préfabrication des caissons [à découvrir en exclusivité dans le prochain Béton[s] le Magazine n° 98 – Janvier/février 2022]. Une zone accueillie au sein du Port Autonome de Dakar, la capitale du Sénégal. Cette plate-forme se développe sur une superficie de 16 ha et comporte un quai de 200 ml et un tirant d’eau de 7,50 m. La station n° 7 constitue la dernière position de la ligne de construction des caissons. C’est aussi et surtout une zone de stockage provisoire avant leur mise à l’eau. Ou plutôt avant le transfert sur la barge submersible BOA 33. Mouillage dans la baie de Dakar L’assise sous-marine de la digue protectrice est constituée d’enrochements. [©bp-Eiffage] « Cette barge n’a pas été construite pour nous, mais a été customisée en Norvège pour répondre à nos besoins,explique Antoine Bidault. Elle a été élargie et munie de colonnes stabilisatrices. »La mission de la barge BOA33 est de transporter chaque caisson en direction de la baie de Dakar, distante de 7,4 km, dans un secteur présentant une profondeur minimale de 30 m. Celle-ci est indispensable pour la mise en flottaison autonome du caisson. Une fois l’opération effectuée, la barge peut retourner au port et le caisson, être acheminé vers un des sept mouillages temporaires identifiés au cœur de la baie. Ces positions permettent d’attendre les fenêtres météorologiques propices au remorquage jusqu’à la zone d’installation finale. Le jour venu, deux remorqueurs de haute mer prennent le relai et assurent le transfert du caisson vers le site de Grand Tortue, à 220 km au Nord. Sur place, trois positions de stockage sont de nouveau disponibles pour attendre les conditions météorologiques idéales pour l’installation finale. La pose des caissons débute par l’élément central pour offrir deux fronts de pose potentiels. Pour cette opération, le caisson est maintenu et guidé par six lignes de mouillage reliées à des treuils et/ou des remorqueurs de haute mer. Une fois sécurisé sur ces lignes et positionné, le caisson est rempli d’eau de mer pour le faire reposer sur son assise en enrochements.  Une digue protectrice pour le terminal C’est à l’abri de la digue protectrice que prend place le terminal gazier en tant que tel. [©bp-Eiffage] La dernière étape de la construction du dispositif brise-lame voit le remplacement de l’eau de mer présente dans le caisson par du sable. Dragué à proximité (635 000 m3en totalité), celui-ci apporte une importante charge pondérale pour stabiliser le caisson de manière définitive et lui permettre de résister à la houle et aux tempêtes qu’il pourra rencontrer tout au long de sa vie. C’est à l’abri de cette digue protectrice que doit être érigé le terminal gazier en tant que tel. Ce hub permettra en premier lieu l’appontement permanent de l’unité flottante de gaz naturel liquide (GNL), c’est-à-dire le navire “FLNG”. Ce dernier recevra le GNL à partir d’une plate-forme flottante d’extraction, de stockage et de déchargement – le navire FPSO – positionnée en haute mer, à environ 125 km du site d’extraction de Grand Tortue, situé à 2 850 m de profondeur. Le second rôle du hub est d’accueillir les méthaniers assurant l’enlèvement des cargaisons de GNL. La construction du terminal débutera par la pose de pieux métalliques, à partir d’une plate-forme. Quelque 286 unités de 1,52 cm (60’’), de 1,83 m (72’’) et de 2,18 m (86’’) de diamètre devront être fichées dans le fond marin. S’en suivra l’installation de toute la superstructure, réalisée à partir de sous-ensembles préfabriqués en Asie. Un total de 84 caissons treillis en acier, d’un poids unitaire de 210 t, seront ainsi mis en place. Les équipements techniques et une base-vie achèveront cette installation, dont la mise en service se fera entre 2022 et 2023.  Frédéric Gluzicki Repère Maître d'ouvrage : BP, Kosmos, Petrosen et SMHPM Groupement d’entreprises : Eiffage Génie Civil Marine - Saipem Bétons :   - Conception et mise en œuvre : Eiffage Génie Civil Marine - Production : Eiffage Infrastructuras Mobile Equipment Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 156 jours

Nord : Une armature au millimètre

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Mise en place des dalles préfabriquées par Capremib sur le pont ferroviaire enjambant la Sambre, à Sassegnies. [©Capremib] Au printemps 2021, dans le cadre des travaux de modernisation de ses lignes, SNCF Réseau a entrepris le remplacement du pont ferroviaire de la ligne Creil-Jeumont, qui enjambe la Sambre, à Sassegnies. L’objectif de l’opération était de remplacer en totalité le pont-rail, tout en répondant aux contraintes environnementales sur ce site. Eiffage a fait le choix d’une solution mixte structure acier et tablier en béton préfabriqué.  Retrouvez toute l’actualité des articles en région Pour la réalisation du tablier, l’entreprise s’est tournée vers Capremib, qui s’est attelée à la préfabrication des douze dalles. La gageure principale consistait à ajuster la position des armatures en attente des dalles vis-à-vis des quelques 3 500 goujons de la structure métallique, de façon à ce qu’ils n’entrent pas en conflit. Répartis par groupe de 18, ces connecteurs viennent s’encastrer entre les aciers dans les réservations des dalles en béton. Il s’agissait de créer un maillage d’ancrages entre le tablier en béton et la structure métallique du pont. Les tolérances de positionnement sont millimétriques. Une prouesse réussie par les équipes de l’atelier d’armatures de Cormicy, certifié Afcab, et le bureau d’études d’Eiffage. De son côté, le béton devait répondre à une formulation spécifique et validée après des essais de convenance axés sur la résistance. Au final, chaque dalle pèse plus de 14 t, avec une densité d’acier à plus de 350 kg/m3. Cela représente au total plus de 168 t de béton et plus de 25 t d’acier. Une fois achevé, le nouveau tablier a été mis en place par ripage, lors d’une opération exceptionnelle de 101 h de travaux en continu. Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 157 jours

Europ’Equipement inaugure son 3e site de production

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Stéphane di Rocco, président d’Europ’Equipement.[©ACPresse] Europ’Equipement intègre aujourd’hui un nouvel outil de production. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Stéphane di Rocco :En effet, nous venons d’acquérir un bâtiment couvert, d’une superficie de 10 800 m2, implanté sur un terrain de 3 ha, sis sur la commune de Loué, dans la Sarthe. Cette halle vient compléter notre dispositif industriel qui comprend déjà notre usine historique de Guérande, en Loire-Atlantique, et celle d’Argentan, dans l’Orne.   Le nouveau bâtiment se divise en trois travées, avec une hauteur libre de 15 m, et intègre une dizaine de ponts roulants, d’une capacité allant de 10 à 25 t. Mais surtout, il permet à Europ’Equipement de bénéficier d’une cabine de peinture, qui lui manquait. Celle-ci présente une longueur de 16 m, pour une largeur et une hauteur de 6 m. Parfaite pour traiter certains sous-ensembles de nos centrales à béton.  Pourquoi avoir voulu cette acquisition ? Quels nouveaux services souhaitez-vous proposer à vos clients ?  En premier lieu, nous allons profiter d’une importante surface de stockage couverte. Aussi bien pour nos équipements neufs en attente de livraison, que pour les matériels en retour de chantier. Mais cette acquisition va nous permettre de lancer une activité connexe : celle du rétrofit sur nos centrales mobiles, comme sur celles de marques tierces. De quoi permettre de donner une seconde jeunesse à des équipements qui seront proposés en occasion… Ceci offre aussi la possibilité de nous ouvrir à la location de matériels.  L’ouverture de ce 3e site Europ’Equipement ne verra pas le déplacement d’outils de production déjà en place à Argentan ou Guérande. Nous avons fait le choix d’acquérir de nouveaux équipements comme des rouleuses, des presses plieuses, des cintreuses ou encore des postes à souder. Nous allons en particulier renforcer la production de silos et de trémies de stockage à granulats.  Par ailleurs, nous avons embauché une dizaine de nouveaux collaborateurs. Un effectif qui devrait être doublé dans les mois qui viennent. Y aura-t-il aussi des développements sur d’autres secteurs d’activité que la centrale à béton ? Lesquels ? Nous y réfléchissons, mais il est encore un peu tôt pour en dévoiler les contours… En attendant, la centrale à béton demeure notre marché cible. C’est pourquoi Europ’Equipement propose nombre d’équipements connexes, tels les doseurs à fibres. Nous savons aussi répondre aux demandes particulières – le fameux mouton à cinq pattes – ou construire des unités hors standards. Avec l’usine de Loué et son importante surface couverte disponible, les choses vont devenir plus simples.  Prévoyez-vous une augmentation générale de la production et/ou de la réduction des délais ?  Cela fait bien entendu partie des objectifs. Nous stockons déjà beaucoup de composants et sous-ensembles standards, ce qui joue sur les délais de livraison finaux. Mais cette nouvelle unité nous permettra d’aller plus loin. Par contre, l’idée d’augmenter la production sur un marché tendu en termes d’accès aux matières premières reste quelque peu compliquée en ce moment.  Peut-on imaginer une expansion en dehors des frontières nationales ? Europ’Equipement accompagne très souvent des grands groupes de BTP à l’international. A travers ce mode de fonctionnement, la part “export” a généré, certaines années, près de 50 % de notre chiffre d’affaires. Par contre, tenter l’aventure tout seul et en direct reste une affaire complexe, en particulier sur des marchés comme l’Espagne ou l’Italie, qui bénéficient d’une offre locale très diversifiée. Mais tout reste possible… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 157 jours

Seine-Maritime : Matrice et béton apparent pour un collège

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Voile matricé sur le futur collège Romain Rolland, au Havre. [©BSM] Dans le quartier d’Aplemont, au Havre, le collège Romain Rolland a été rasé pour être reconstruit à neuf, sur une superficie de 5 470 m2. Commencé en début d’année, le chantier s’étirera jusqu’en février 2023. Elément distinctif des lieux, des voiles texturés conçus par le cabinet d’architecte CBA et dont l’Allemand Noe a produit les matrices. Celles-ci répètent une forme géométrique précise et sont réutilisables cinq à six fois. Quant au béton nécessaire à la réalisation, il est sorti de la nouvelle centrale d’Axe Seine Béton. « Notre travail consistait à proposer un béton permettant de respecter cette matrice,explique Marc Perdereau, directeur général de la filiale de Béton Solutions Mobiles. Nous avons mis au point une formule qui se rapproche d’un Bap, même si ce béton a été vibré sur chantier. C’est une recette que nous maîtrisons au sein du groupe, mais que nous avons dû adapter aux granulats, dont disposait la centrale du Havre. » Lire aussi les autres actualités en région Pour ce faire, Axe Seine Béton a d’abord réalisé des tests en laboratoire, avant d’utiliser une matrice pour des essais en grandeur réelle. Des essais concluants dès la première tentative, même si, in fine, trois voiles tests ont été coulés.  « Au total, nous aurons produit 3 500 m3de béton, en comptant ceux destinés aux fondations. Le tout mis en œuvre par l’entreprise Gagneraud », reprend Marc Perdereau. Et de conclure : « C’est un chantier que nous avons préparé longtemps en amont, ce qui nous a permis d’avoir une formule adaptée et des plannings de coulage sans surprise ». Pour ce qui est du béton, il est laissé apparent et sera lasuré dans une teinte marron mat.   Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 157 jours

Sarthe : Girpav ouvre une nouvelle usine près du Mans

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La dernière-née des usines Girpav est entrée en service sur la commune de Maresché. [©Méhat Girpav] Depuis plus de 75 ans, Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Au programme, plaques de soubassement en béton pour clôtures métalliques, composite, aluminium, clôtures traditionnelles et décoratives en béton, produits de sol en pierre reconstituée : pavés, dalles, bordures et caniveaux. L’ensemble est commercialisé sous les marques Girpav, Méhat et Clôtures Nicolas.  Pour renforcer son outil de production, l’industriel vient de mettre en service une toute nouvelle usine de préfabrication à Maresché, commune située à environ 25 km au Nord du Mans. Il bénéficie ainsi d’un emplacement stratégique, en plus du soutien de la Région Pays de la Loire. Lire aussi les autres actualités en région Complétant les usines déjà implantées dans le Calvados, le Loiret, le Morbihan, l’Oise et les Vosges, la nouvelle unité vise à répondre aux demandes de ses clients historiques du Grand Ouest : négoces matériaux et distributeurs spécialisés. Et devrait permettre de conquérir de nouveaux clients sur tout le territoire français… Après 18 mois de travaux, l’usine de 6 500 m2 implantée sur une parcelle de 10,5 ha vient de démarrer sa production. Une vingtaine de collaborateurs travaillent actuellement sur le site (production et administratif), et quelques embauches sont prévues dans les mois à venir… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 157 jours

Rhône : BML se met au vert

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Les bétons BML Green sont proposés à partir de la plupart des centrales du groupe de BPE lyonnais éponyme. [©BML] A la tête de 24 centrales, Bétons des Monts du Lyonnais (BML) est le premier acteur indépendant du BPE de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Et, à ce titre, se doit de se montrer exemplaire. Ainsi, la terminologie “bas carbone” n’est pas qu’une simple expression… « Nous travaillons de longue date avec le laitier Ecocem pour formuler nos bétons »,explique Alexandre Bellier, responsable qualité de l’entreprise. Le matériau est utilisé en addition. La concentration à 30 % donne naissance au béton à empreinte carbone réduite BML Green. A 50 %, on passe au BML Green +, un béton d’ingénierie comme le définit la norme NF EN 206/CN. « Ces deux formulations constituent l’essentiel des demandes en matière de bétons bas carbone. » Enfin, le BML Green Premium est le haut de gamme de l’offre. Là, l’industriel propose une approche performantielle, donc une formulation sur mesure avec un dosage en laitier oscillant entre 55 et 60 %. Côté ciments, BML fait appel à quelque trois fournisseurs et utilise en majorité des CEM I et CEM II comme base de ses formulations.  Lire aussi les autres actualités en région « L’attente “bas carbone” émane des grandes villes, de Lyon pour ce qui nous concerne. A quoi s’ajoutent des demandes plus ponctuelles en Savoie », reprend Alexandre Bellier. De fait, l’offre BML Green n’est pas disponible partout, mais au niveau des unités plus urbaines. Toutefois, l’industriel saura proposer ces bétons sur chaque centrale, si la demande est là. « Nous allons vers des métiers de plus en plus techniques. Aussi, nous nous devons d’accompagner nos clients sur leurs chantiers. » Ceci, en suivant une évolution constante. « En termes de bétons et de formulations, ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera plus dans 5 ans », conclut Alexandre Bellier.  Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 157 jours

Côtes-d’Armor : Perin & Cie bascule chez Marcotte

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La centrale à béton de l’usine Perin & Cie de Saint-Maudez est la première à avoir basculé vers la solution Marcotte. [©ACPresse] Hasard du calendrier, le groupe Perin & Cie a profité des périodes de confinement pour commencer le basculement de ses centrales à béton vers un nouvel automatisme de pilotage. « Nous avons fait le choix de la solution proposée par le Canadien Marcotte », indique Dominica Lizarazu, directrice générale du groupe industriel breton. La première unité à avoir adopté le système n’est autre que l’usine de Saint-Maudez,  (dont l’ouverture est intervenue en 2019). Suivie par celle de Vern-sur-Seiche. « Nous avons profité de l’arrêt pour refaire le stockage à granulats de la centrale à béton, mission confiée à Fameto. » Noyelle-Pontivy est le site suivant sur la liste. Au total, Perin a programmé cette migration au niveau de ces six unités de production, avec la fin 2022 comme date butoir. « Nous avons bénéficié d’une aide de la région dans le cadre du Plan France Relance, sur le volet “numérisation” », reprend Dominica Lizarazu.  Lire aussi les autres actualités en région Avec le système Marcotte, le groupe Perin estime entrer dans une nouvelle dimension, en termes de modernité, de fiabilité et de précision. « Au moment du choix, l’ensemble des collaborateurs ont beaucoup apprécié l’ergonomie globale de l’application. » Les fonctions intelligentes du système Marcotte permettent d’ajuster la quantité requise de chaque constituant de lot, en temps réel, pendant l’exécution du lot. Tout en préservant les ratios clefs et le rendement volumétrique. Une de ses particularités du système est aussi d’offrir une très grosse sécurité quant à un redémarrage du système de pilotage de la centrale à béton. Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 157 jours

Voyage au cœur des centrales à béton

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine En 2020, selon les chiffres Evolis/Seimat, il s’est vendu 35 centrales à béton neuves sur l’ensemble du territoire national. L’année précédente, ce nombre était de 43… Quant à 2021, les choses ne se présentent pas bien du tout, avec un recul de près de 50 % des commandes sur le premier semestre. Le contrecoup de la période Covid, sans doute. En parallèle subsiste le marché de la rénovation/modernisation des outils industriels. Mais là, aucun chiffre ne permet d’évaluer son poids. Toutefois, l’important est qu’il crée des opportunités de collaborations pour les acteurs de la centrale à béton. Aujourd’hui, on en dénombre une quarantaine. Les pages qui suivent permettent de les découvrir… A2P Concept : En neuf et en rénovation A2P Concept propose aussi bien de la rénovation de centrales à béton que des projets neufs sur mesure. [©A2P Concept] Basée en Dordogne, A2P Concept est une société exerçant une double activité. D’un côté, le conseil en engineering de process. De l’autre, le développement de centrales à béton (BPE et préfabrication), mais aussi d’équipements de carrières, de gestion du recyclage des eaux et des poussières.  Dans le domaine plus particulier de la centrale, A2P Concept propose aussi bien de la rénovation d’outils existants que des projets neufs sur mesure. Ou, tout simplement, la vente de pièces détachées. « Par exemple, notre prestation de rénovation peut aller du simple remplacement de la bascule à eau à l’installation d’un bloc-malaxeur dans son ensemble », indique Alexandre Pascale, directeur général d’A2P Concept. Pour les projets neufs, l’industriel offre plusieurs solutions d’implantation de centrales : horizontale ou verticale, suivant le cahier des charges. Mais aussi, en fonction de la topographie du terrain ou des contraintes d’accès. L’ensemble, depuis l’étude jusqu’à la réception finale. Quant à la fourniture des pièces détachées, elle est, bien entendu, orientée vers la centrale à béton. Et peut intégrer une prestation de montage. Le programme est vaste, allant des simples pièces d’usure du malaxeur jusqu’aux sécurités de remplissage des silos à ciments. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 157 jours

Aveyron : L’Atelier Béton s’affirme

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Préfabrication d’un élément destiné au chantier du Domaine de Caillavet, à Mérignac, près de Bordeaux. [©L’Atelier Béton] L’histoire de la création de l’Atelier Béton est liée à celle de son fondateur, David Carvalheiro. « J’ai été conducteur de travaux dans la région toulousaine, pendant 10 ans. Puis, j’ai pris la direction d’une usine de préfabrication. Cela a duré un an. La période m’a permis de comprendre l’intérêt de la technique et qu’il y avait sans doute une opportunité dans l’Aveyron, dont je suis originaire. » En contact avec les avec les instances locales, l’Atelier Béton a trouvé chaussure à son pied, à Mayran. Lire aussi les autres actualités en région « Nous avons un atelier couvert de 800 m2 avec deux ponts roulants. Un atelier de menuiserie de 300 m2, quelque 100 m2 de bureaux et un parc bétonné de 6  000 m2 avec une grue à tour. Le tout avec 22 employés. » Une structure qui permet à l’Atelier Béton de produire des pièces sur mesure de 10 t au maximum. Surtout pour le marché du logement et de l’industrie, sur le quart Sud-Ouest du pays, de Nîmes à Bordeaux en passant par Perpignan et Toulouse. A l’heure actuelle, l’industriel intervient notamment sur les chantiers du Domaine de Caillavet pour Eiffage, à Mérignac ou la Zac Malepère de Toulouse pour Stibot.  Des opérations qui lui permettent de produire 4 000 m3/an  de pièces bétonnées. « Nous sommes désormais dans une phase de stabilisation. Même si nous avons acquis un terrain adjacent à notre atelier actuel. Pour progresser en parts de marché, il nous faudra investir dans de nouveaux bâtiments. Cela se fera peut-être à moyen terme. » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 157 jours

Cérib : Kairos, l’approche proactive de la maintenance

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Le service Kairos proposé par le Cérib permet de mieux maîtriser la maintenance du patrimoine bâti.[©Cerib] Assurer la continuité de service des ouvrages, quelle qu’en soit la nature, est un enjeu majeur pour l’ensemble des gestionnaires. Afin de les aider dans cette démarche, le Centre d’études et de recherches de l’industrie du béton (Cérib) lance Kairos. Il s’agit d’une offre globale de services basée sur une approche proactive de la maintenance, tant des bâtiments que des infrastructures.« Diagnostic, prédiction et anticipation sont les trois impératifs requis pour assurer avec efficience leur gestion à long terme,explique Jonathan Mai-Nhu, responsable du département “Durabilité des ouvrages” au Cérib. Cette dernière doit donc reposer sur une démarche proactive pour anticiper leur durée de vie résiduelle. » Ainsi, Kairos permet aux gestionnaires de prolonger la durée de vie de leur patrimoine bâti, tout en anticipant et en optimisant les opérations de remise en état. « Les maîtres d’ouvrage ont bien pris conscience qu’il est essentiel de prévoir, le plus en amont possible, les opérations de réparation. Ceci, pour gagner en économie, mais aussi pour préserver, sur le long terme, l’image du bâtiment ou de l’infrastructure, dont ils ont la responsabilité. »  Une approche en trois phases successives La nouvelle offre de service du Cérib est en rupture avec les approches “réactives” traditionnelles de gestion des ouvrages. Destinée aux maîtres d’ouvrage, comme aux bureaux d’études et de contrôles, elle se base sur des opérations de réparation mieux anticipées, donc plus maîtrisées au niveau de leurs coûts. « Les équipes du Cérib peuvent intervenir directement, s’il s’agit d’ouvrages en béton, ou confier cette mission à des partenaires, pour les ouvrages mixtes, par exemple », détaille Jonathan Mai-Nhu. Sur site, Kairos débute par la phase “diagnostic”, avec une analyse visuelle de l’ouvrage et une évaluation de son environnement. S’en suit le prélèvement d’échantillons pour tests en laboratoire. Ce diagnostic a aussi pour vocation de déterminer les caractéristiques des matériaux (béton, acier, pierre…) et d’apprécier les indicateurs généraux de durabilité. La phase n° 2 est celle de la prédiction. Là, est mise en place la modélisation des phénomènes physico-chimiques à l’origine des dégradations observées. Ce qui permet de quantifier l’évolution des phénomènes dans le contexte environnemental réel de l’ouvrage. « C’est durant cette phase que le Cérib a mis en œuvre un nouvel outil, tel que S-Dream-Crete,dévoile Jonathan Mai-Nhu. Développé en partenariat avec le LMDC1de Toulouse, ce modèle numérique capable de rendre compte des mécanismes physico-chimiques considérés comme déterminants pour l’interaction de l’environnement avec l’ouvrage. Autrement dit, d’évaluer la durée de vie de celui-ci. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 157 jours

Façade repensée pour immeuble restructuré

Engagée il y a deux ans, la restructuration de l’immeuble « Axe Défense » opérée par Rehagreen, l’entité spécialisée dans les restructurations d’immeubles tertiaires de Bouygues Immobilier, touche à sa fin. Le nouvel ensemble, désormais dénommé NE.ST, vient d’être livré. Après une opération de réhabilitation lourde et complète, l’immeuble, conçu par l’agence d’architecture 163 Ateliers, a vu sa surface croître de 30% pour atteindre 12 380 m². Le bâtiment s’insère dans une trame urbaine existante, tout en proposant une architecture significative porteuse d’une image identitaire. Après avoir été désamianté, le bâtiment a été enveloppé d’un bardage en aluminium anodisé et de verre émaillé. Côté cour, l’extension R+9 en forme de triangle, a été rapportée au bâtiment existant. Pour donner durythme à l’ensemble, le cabinet d’Architecture 163 Ateliers a imaginé une façade reprenant le principe descréneaux avec des cadres en aluminium posés en quinconce. Pour accentuer cette impression devibration, l’architecte a opté pour un système « inversé » où le vitrage se situe en retrait tandis que leséléments de décoration sont au premier plan. Deux autres particularités caractérisent les façades de cet immeuble : d’une part, le traitement thermique et aéraulique du bâtiment est assuré par des unités de confort individuel (UtCI) dissimulées en façade assurant à la fois le renouvellement de l’air sans réseau de gaine, la récupération d’énergie thermique, le chauffage et le rafraichissement du bâtiment. D’autre part, des brise-soleil orientables (BSO) en lame d’aluminium sont gérés automatiquement par la GTB du bâtiment. Dans ce contexte et compte tenu de l’exiguïté du site, les équipes du poseur et WICONA ont recommandé le recours à une façade cadre, pré-montée en atelier. Cette dernière a fait l’objet d’une création spéciale. Chaque bloc étant constitué de trois éléments : un panneau vitré fixe ou un ouvrant WICLINE 65 de WICONA avecintégration d’un BSO en imposte et du système de ventilation UtCI en allège. Cette façade côté cour compte au total 530 blocs, de 3 350 mm de large par 3 000 mm de haut, dont lamoitié avec des ouvrants WICLINE 65 de WICONA. Sur l’extension en triangle, la pose a été effectuée entredalles poteaux en R+ 9. Sur le bâtiment existant de forme arrondie, en R+8, la façade cadre a été posée à l’extérieur dans un voile percé. L’extension repose sur un socle au rez-de-chaussée et en R+1 constitué de façades WICTEC 60 WICONA qui enlacent le bâtiment, se prolongent sous le porche. Ces systèmes de façades ont également été mis en oeuvre sur un autre espace symbolique du programme : la surélévation en attique. En effet, les niveaux R+9, R+10 et R+11, en charpente métallique reliés avec un bardage métallique, ont été ajoutés au bâtiment initial. Ils s’ouvrent pleinement sur l’extérieur grâce au système de façade WICTEC 60 avec des éléments vitrésde 2,5 m de haut par 2 m de large. Maître d’ouvrage : Rehagreen Architecte : cabinet d’Architectures 163Ateliers Entreprise : AZA Photo : Franck Deletang  
Il y a 3 ans et 157 jours

Le double enseignement de TERRAFIBRA

L’exposition TerraFibra architectures se tient au pavillon de l’Arsenal jusqu’au 27 février 2022. Elle présente les 40 projets finalistes parmi plus de 300 candidatures du « Terra Fibra Award », prix lancé par Dominique Gauzin-Müller et Anne Lambert (amàco). En 2016, l’Arsenal collaborait déjà avec amàco pour l’exposition Terres de Paris. Elle démontrait qu’il était possible d’utiliser les terres excavées du Grand Paris Express comme matériau de construction (environ...
Il y a 3 ans et 157 jours

TERREAL récompense sept professionnels de la couverture

La 11ème cérémonie du « concours terroirs » organisé par Terreal s’est tenue le 18 novembre dernier, il a mis à l’honneur sept professionnels de la couverture et leurs réalisation. Prix de la Maison Paysanne : l’entreprise SAS Xavier Salles à La Chapelle-prés-Sées (61) Prix décerné en partenariat avec Maisons Paysannes de France. L’entreprise Xavier Salles s’est vue récompensée du Prix Maison Paysanne pour la restauration de la toiture de 250 m2 d’une traditionnelle maison normande. Le choix de la tuile c’est porté sur la tuile plate de référence Normande, la tuile Rustique Sablé Normand. Le jury a noté un remarquable travail de finition quant aux traitements des points singuliers de la couverture. Un ensemble harmonieux qui laisse transparaître le cachet d’antan Normand retrouvé.   Prix Demeure de caractère – Toit du Sud : l’entreprise Bocareno à Pouzauges (85) L’entreprise Bocareno a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Sud pour la rénovation de la toiture de 456 m2 d’une bâtisse bourgeoise du XIXème siècle. La tuile Canalavérou Terre de Charente a été choisie pour son respect des contraintes architecturales et patrimoniales de la région. L’ensemble de la toiture a été restaurée, alors qu’elle se trouvait détériorée et couverte de végétation. La pose dans les règles de l’art a été remarquablement respectée par le scellement à la chaux des tuiles en rive et au faîtage, la réfection complète des cheminées et le remplacement de la zinguerie en cuivre. Cet ensemble permet à la maison de retrouver l’esthétique traditionnelle des toits d’antan de la Vendée.   Prix Demeure de caractère – Toit du Nord : l’entreprise JMC à Courtry (77) L’entreprise JMC a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Nord pour la rénovation de la toiture de 400 m2 d’un hôtel particulier des années 30. La tuile plate Ségala Vieux Pays, Vieille Terre a été choisie pour remplacer l’ensemble de la toiture, pour redonner le cachet traditionnel à cette belle demeure.   Prix Patrimoine Historique et Coup de cœur du public : l’entreprise Dallon Couverture à Saint Martin Lacaussade (33) L’entreprise Dallon Couverture a vu son savoir-faire récompensé pour la rénovation du toit de 400 m2 de l’Eglise Saint Pierre d’Eyrans datant du XIXe siècle. Réalisée par un artisan Raphaël Dallon passionné par son métier, cette restauration met à l’honneur son savoir-faire. Pour la réfection de cette toiture, les tuiles Girondine Castelviel en courant et Nuance d’Antan en couvert ainsi que de la tuile de récupération ont été soigneusement sélectionnées pour un nuancier de couleurs harmonieux.   Prix du Patrimoine Collectif : l’entreprise Toitures des Gones à Vourles (69) Prix Patrimoine Collectif décerné à l’entreprise Toitures des Gones pour la rénovation du laboratoire d’un artisan maître torréfacteur. Pour cet ouvrage, la réfection a été complète de la charpente aux verrières, avec un travail de finition remarquables de rives à noquet et ce sont les tuiles Montchanin Losangée Rouge qui ont été choisies pour couvrir les 260 m2 de toiture.   Prix Technique : l’entreprise Jeanne Patrice Couverture à Madre (53) L’entreprise de Patrice Jeanne a été récompensée pour le travail de rénovation de la couverture de 350m2 d’un manoir. L’artisan a mis en œuvre la tuile Monument Historique Pompadour en réalisant un harmonieux panachage de Rouge Saumon, Rouge Naturel et Rouge Violet. L’ensemble des points singuliers ont été traités par la matière même de la tuile, afin de conserver l’authenticité de ce manoir. Les lucarnes en zinc ont également été totalement refaites à l’identique. Une réalisation technique juste et remarquée.   Coup de Cœur du Jury : l’entreprise EURL Courot Dominique à Cluny (71) L’artisan Dominique Courot a été récompensé pour la réfection de la couverture d’un préau de 114 m2 fortement dégradée par des infiltrations d’eau, datant des années 1880. Le jury a notamment relevé la passion avec laquelle le lauréat a travaillé sur cette rénovation. Un travail minutieux et remarquable de détails : rives scellées avec bardelis en ardoises naturelles pour habiller le chevron, utilisation de chaux blanche et sable de rivière pour une harmonie naturelle, faîtage scellé en crête de coq pour faire écho à celle de l’habitation principale. La mise en œuvre d’une vieille tuile de tradition, la tuile plate Prieuré Rouge Ancien, redonne au préau son cachet authentique.
Il y a 3 ans et 157 jours

A l'Exposition universelle de Dubaï, Siemens rend les bâtiments de demain ultra connectés

INNOVATION. Siemens a déployé un énorme réseau de solutions et services pour rendre l'Exposition universelle 2020, située aux Émirats arabes unis, l'un des endroits les plus connectés au monde. La réduction des émissions de gaz à effets de serre mais aussi le contrôle des bâtiments en temps réel font partie des priorités de la multinationale.
Il y a 3 ans et 157 jours

Photovoltaïque : la filière française met le paquet sur la production et la R&D

INDUSTRIE. Les fabricants français de panneaux photovoltaïques Voltec Solar et Systovi, aux manettes du projet Bélénos qui ambitionne de créer une filière tricolore du solaire, annoncent avoir investi dans leurs outils de Recherche & Développement et de production. Objectif : proposer des nouveaux modules et s'ouvrir à d'autres marchés, notamment ceux du secteur tertiaire et des collectivités territoriales.
Il y a 3 ans et 157 jours

Téréva et Grohe rejoignent Valobat

Le négociant et l'industriel ont choisi leur éco-organisme.
Il y a 3 ans et 157 jours

Sto accompagne les artisans pour gagner en productivité

Au travers d'une campagne à destination des artisans, au slogan accrocheur « L'avenir appartient à ceux qui se lèvent Sto », le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, livre une palette d'astuces pour gagner en productivité.Des astuces pour soutenir l'activité intense d'un secteur de relance prioritairePorté par le gouvernement au travers du dispositif d'aides MaPrimeRénov' et les objectifs climatiques à atteindre, le secteur de la rénovation énergétique en maison individuelle est en pleine effervescence. Les ménages doivent également faire face à l'augmentation des prix d'énergie. Conséquence : les professionnels de l'isolation de façade par l'extérieur sont actuellement très sollicités et donc volontiers preneurs de pistes pour « faire mieux, plus vite » ; en tant que fabricant leader de l'ITE, c'est le rôle de Sto que de leur simplifier la tâche.Déployée en plusieurs volets « Je me lève Sto pour… », la campagne a démarré en septembre et durera jusqu'à la fin de l'année 2021. Les bons produits, les bons outils, les bonnes pratiques sont au cœur de la campagne. Preuve que Sto pense à tout, dans le moindre détail ! Seront ainsi à l'honneur :la création d'un appui de fenêtre parfait (tablette + appui)la réalisation d'un encadrement parfaitla réalisation d'un chaînage d'anglela réalisation d'un arrêt d'enduit parfait aux jonctions menuiseriesla réalisation d'un bandeau filantla réalisation d'un départ parfait (profil à clipser)des coupes parfaitesune interview de Benoist Catroux, formateur – animateur chez StoChaque astuce se présente sous la forme d'une checklist téléchargeable en PDF, comprenant les produits nécessaires, les bons outils et les étapes de pose, accompagnée d'une vidéo d'application.L'ensemble des astuces seront dévoilées au fur et à mesure via une communication omnicanale sur : le site internet www.sto-facade.fr, les réseaux sociaux de l'entreprise (chaîne YouTube, LinkedIn, Instagram). Des e-newsletters sont également envoyées aux clients et prospects de Sto.Par ces astuces, ces courtes vidéos, ces « listes pré-formatées » pour ne rien oublier, Sto répond aux attentes formulées par les artisans poseurs d'ITE en maison individuelle, avec toujours cette particularité propre à l'entreprise de vente directe exclusive.Focus sur les premiers produits dévoilésL'appui de fenêtre StoDeco Frame F Type AF offre une solution deux en un, tablette et appui, afin d'apporter du relief et de la protection à votre façade, en rénovation comme en neuf, quelle que soit la configuration de la fenêtre. Ce matériau minéral est un réel atout pour le confort de l'habitat avec une efficacité éprouvée contre les intempéries.L'encadrement de fenêtre StoDeco Frame Type N apporte du relief à la façade. Polyvalents, ces modèles de profils de volumétrie simple type planche s'utilisent également en partie courante pour réaliser un chaînage d'angle. Ils sont facilement ajustables directement sur le chantier à l'aide d'une scie avec lame spéciale.Le profil d´arrêt menuiserie Sto-Profil Pro avec compribande et fibre de verre intégrés permet de réaliser des raccordements étanches et durables (dormants de fenêtres et de portes, rails de volets roulants) des systèmes d'isolation de façades.
Il y a 3 ans et 158 jours

La CAPEB, Würth France et l'Iris-ST renouvellent leur collaboration

La Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), l'Institut de Recherche et d'Innovation sur la Santé et la Sécurité au Travail (IRIS-ST) et WÜRTH France, multi-spécialiste de services et de produits de fixation, outillage et consommables d'atelier pour l'artisanat et l'industrie, renouvellent aujourd'hui leur partenariat. Celui-ci a pour objectif de proposer des systèmes et solutions destinés à améliorer les performances des petites entreprises artisanales du bâtiment et de faire de la prévention sur les risques liés à leurs métiers. Ce renouvellement de partenariat a été signé par Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement ; Claude KOPFF, Président du Directoire de WÜRTH France et David MORALES, Trésorier de l'IRIS ST. Il vise à continuer de proposer aux artisans du bâtiment des solutions d'outillage professionnel préexistantes ou développées spécifiquement en réponse à leurs besoins, ainsi qu'à améliorer leurs performances et les avertir sur certains risques liés aux chantiers.Dans le cadre de cet accord, WÜRTH s'engage à mettre en place, en collaboration avec la CAPEB, des actions de conseil dont le contenu s'adaptera en fonction des caractéristiques et activités des artisans. L'entreprise contribuera également à développer la culture prévention au sein des petites entreprises du bâtiment et informera l'IRIS-ST des innovations, équipements et services permettant l'amélioration des conditions de travail.De son côté, la CAPEB s'engage à proposer à WÜRTH un accès au club des partenaires CAPEB lors d'un rendez-vous annuel, dans le but de favoriser les échanges et de faire circuler l'information concernant les nouvelles solutions mises en place auprès des partenaires et élus CAPEB.En parallèle, le partenariat entre la CAPEB et WÜRTH va permettre, avec le soutien de l'IRIS-ST, de favoriser les actions de sensibilisation, notamment à travers la réalisation de supports et la diffusion de mémos « santé sécurité » au sein du réseau CAPEB. L'IRIS-ST mettra notamment en valeur les solutions, équipements et innovations de WÜRTH qui apportent des bénéfices en matière de santé-sécurité Enfin, l'IRIS-ST fera remonter les problématiques spécifiques des métiers du bâtiment à WÜRTH dans l'optique d'apporter des solutions adéquates.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB, déclare : « Je suis ravi de signer le renouvellement de ce partenariat avec WÜRTH et l'IRIS-ST. Il est en effet essentiel de pouvoir proposer aux entreprises que nous représentons les meilleures solutions en termes d'innovation et de sécurité. Avec la signature de cet accord, la CAPEB a tenu à poursuivre sa mobilisation pour la performance, la sécurité et la prévention sur les chantiers. »Claude KOPFF, Président du Directoire de WÜRTH France, ajoute : « En tant que multi-spécialiste de services et de produits de fixation, outillage et consommables d'atelier pour l'artisanat et l'industrie, nous nous réjouissons de la signature de ce renouvellement de partenariat avec la CAPEB et l'IRIS-ST. Nous sommes très heureux de pouvoir soutenir ainsi les petites entreprises du bâtiment en leur offrant une gamme de solutions adaptées à leurs métiers, leur permettant ainsi d'optimiser leur fonctionnement, de simplifier et d'améliorer leurs performances au quotidien. »David MORALES, Trésorier de l'IRIS ST, explique : « La santé et la sécurité au travail sont des enjeux essentiels dans le quotidien des métiers du BTP. En tant qu'organisme de référence sur ces sujets auprès des artisans, l'IRIS-ST est très heureux de nouer ce partenariat et de pouvoir ainsi mettre en avant des solutions innovantes, adaptées aux besoins des petites entreprises et répondant aux exigences de prévention des risques professionnels. »
Il y a 3 ans et 158 jours

BOSCH PROFESSIONAL – Nouvelles perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo : Les premiers outils dotés du système électronique de détection d’angle

Une progression de travail ultra rapide Bosch lance sur le marché les premières perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil BITURBO : la GSR 18V-150 C Professional et la GSB 18V-150 C Professional. Leur moteur haute performance sans charbon combiné à la batterie ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), offre un rendement très élevé. Avec un couple maximal de 150 Nm et jusqu’à 2 200 tours par minute, les deux outils garantissent une progression de travail rapide dans de multiples matériaux, notamment le bois, le métal et la maçonnerie. Dans les applications de vissage doux, leur couple est de 84 Nm, soit 15 % de plus que le meilleur modèle du marché. Puissantes, avec la batterie ProCore18V de 8,0 Ah, ils peuvent ainsi visser jusqu’à 12 vis mesurant 12 x 400 mm dans du bois tendre, une performance inégalée jusqu’à présent.   La fonction « Electronic Angle Detection » (EAD), une première sur le marché La GSR 18V-150 C Professional et la GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch sont parfaitement adaptées à la construction de maisons bois, de toits, de charpentes et toutes les applications nécessitant de grands diamètres de vissage et de perçage. Grâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique… Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée  les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant. L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Pour activer la fonction EAD, l’utilisateur choisit une valeur d’inclinaison puis place l’outil sur la pente jusqu’à ce que la valeur soit enregistrée. Une LED intégrée à l’arrière de l’outil s’allume en vert dès que l’angle réglé est atteint. Si l’angle est plus bas ou plus élevé de plus de ±3 degrés, la LED s’allume en jaune afin d’ajuster en conséquence. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précis.   Une protection élevée de l’utilisateur Pour une utilisation plus sûre, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch se caractérisent également par une protection élevée de l’utilisateur grâce au KickBack Control. Si l’outil se coince ou tourne brusquement sur son axe de perçage, le capteur intégré coupe le moteur en une fraction de seconde. Elle évite les risques de blessures. Si le KickBack Control n’est pas nécessaire pour certaines applications, par exemple lors du perçage avec une scie cloche, les utisateurs peuvent activer et désactiver la fonction selon leurs travaux de vissage ou de perçage.   Des outils robustes et ergonomiques D’une grande fiabilité et d’une grande robustesse, les  les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO sont dotées d’un mandrin métallique et d’un mécanisme d’engrenage tout en métal, ce qui accroît la longévité des machines. Leur design compact et ergonomique leur confère une bonne prise en main. Une poignée supplémentaire garantit aux artisans de toujours avoir leur outil sous contrôle. Elle peut être verrouillée dans 36 positions pour une flexibilité maximale. Les perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Elles sont compatibles avec les anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage.   Prix de vente conseillés : GSR 18V-150 C en L-Boxx : à partir de 309 € H.T (version solo) GSB 18V-150 C en L-Boxx : à partir de 309 € H.T (version solo) Points de vente : Négoces en matériaux, Fournitures industrielles
Il y a 3 ans et 158 jours

Construction bois : une salve d'appels à projets pour l'innovation et le bas-carbone

INDUSTRIE. Le Gouvernement vient de présenter les lauréats de la première vague de l'appel à projets "Industrialisation de produits et systèmes constructifs bois et autres biosourcés", tout en lançant en parallèle un autre appel à projets intitulé "Mixité pour la construction bas-carbone". Des démarches qui s'inscrivent dans les Programmes d'investissements d'avenir et de France Relance pour soutenir l'innovation dans le domaine de la ville durable.
Il y a 3 ans et 158 jours

Malgré la reprise, l'immobilier commercial toujours fragilisé par la pandémie

Des secteurs en difficulté, d'autres en plein boomLe commerce n'a pas été touché de manière uniforme par la pandémie. L'alimentaire par exemple en a plutôt profité, les supermarchés étant restés ouverts. L'équipement de la maison a aussi bien tenu : les Français se sont équipés pour télétravailler et beaucoup ont redécoré ou aménagé leur lieu de vie après y avoir passé de longs mois confinés. Selon la Fédération de promotion du commerce spécialisé (Procos), c'est l'un des seuls secteurs à avoir dépassé ses ventes d'avant-crise.En revanche, la mode - qui connaissait déjà des difficultés structurelles - et la beauté/santé ne remontent par encore la pente. Leur activité en magasin a baissé d'environ 20% sur les dix premiers mois de 2021 par rapport à 2019.Une reprise inégale selon les formatsAu total, les magasins dits "non essentiels" ont été fermés entre trois et six mois et demi depuis mars 2020. Les centres commerciaux ont été les plus touchés car ils ont dû fermer progressivement à partir de février jusqu'à la fin du troisième confinement, avant de se voir imposer en août le pass sanitaire, dans les régions où l'épidémie circulait le plus. Les magasins ont encore du mal à retrouver leurs niveaux de fréquentation d'avant-crise : seules les zones commerciales à ciel ouvert en périphérie des villes ont tiré leur épingle du jeu."Avec le télétravail, les Français se sont mis à consommer plus proche de chez eux, donc souvent en périphérie des villes", analyse auprès de l'AFP Christian Dubois, du cabinet Cushman & Wakefields. Être situés en plein air plutôt que dans des lieux clos, plus anxiogènes en période de pandémie, aurait aussi joué en leur faveur selon le spécialiste."Tensions sur les loyersLes confinements ont réveillé des tensions entre bailleurs et commerçants sur les loyers. Chaque confinement a été différent : pour le premier, il a fallu trouver des accords à l'amiable. Certains bailleurs ont fait des gestes mais d'autres ont été plus durs envers leurs locataires. Avec pour résultat une multitude de procédures juridiques engagées.Pour le deuxième confinement, l'État a créé un crédit d'impôt pour inciter les bailleurs à faire des remises sur les loyers. Lors du troisième, il a promis de prendre en charge les loyers de certains magasins fermés mais l'aide n'a pas encore été versée. Selon le Comité national des centres commerciaux (CNCC), le taux de loyers impayés était encore de 20% au troisième trimestre 2021."On comprend le stress vis à vis des actionnaires mais cela ne doit pas légitimer des attitudes excessives", assure à l'AFP Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos, qui évoque des menaces de mettre fin aux contrats ou de saisies sur comptes bancaires.La crise a tout de même poussé de nombreux bailleurs à se recentrer sur le taux d'effort des magasins : le ratio entre leur chiffre d'affaire et le montant de leur loyer.À l'avenir, Christian Dubois estime que les centres commerciaux qui sauront s'entendre avec leurs locataires autour de leur taux d'effort seront ceux qui s'en sortiront de manière pérenne.Autrement, certains commerçants pourraient mettre la clé sous la porte. Selon les données de l'entreprise d'analyse de données Codata, la vacance commerciale en 2020 a ainsi dépassé le seuil de 10%, une première. Même chose sur les huit premiers mois de 2021. La vacance commerciale s'est surtout développée dans les petits centres commerciaux et les grands centres-villes, qui ont plus souffert de la baisse du tourisme international et du télétravail.
Il y a 3 ans et 158 jours

Le Sénat alerte Pompili sur l’impact de la flambée des prix des énergies pour les ménages et les entreprises

La commission estime que le « bouclier tarifaire » est tardif est limité. L’attribution de 100 euros via le « chèque énergie » ou l’« indemnité inflation » est dérisoire, les prix à la pompe dépassant 1,5 euros par litre. Ces 100 euros, c’est l’équivalent d’un plein, pas une solution pour passer l’hiver ! Les tarifs règlementés de vente, sur lesquels se focalisent les blocages ou compensations de prix, ne concernent que 7,5 % de la consommation nationale de gaz et 28 % de celle d’électricité. L’essentiel des consommateurs sont donc soumis aux fluctuations du marché ! Face à la hausse de 34 % de l’approvisionnement énergétique du secteur industriel, les entreprises énergo-intensives ne disposent que d’une avance de 150 M€. C’est six fois inférieur à leurs besoins ! Les baisses de taxes intérieures sur la consommation d’énergie sont facultatives, activables par décret, et transitoires, limitées à un an. Pire, la baisse de la fiscalité sur le gaz ne concerne que les ménages, au contraire de celle sur l’électricité, qui vise aussi les entreprises… Dans ce contexte très dégradé, la commission relève plusieurs anomalies. Le Médiateur national de l’énergie (MNE) ne dispose plus des effectifs suffisants pour résoudre les litiges entre consommateurs et fournisseurs dans les délais règlementaires, ses saisines ayant crû de 15 % en six mois... Les fournisseurs de secours ou de dernier recours, prévus depuis deux ans par la loi « Énergie-Climat », n’ont été désignés que très récemment pour l’électricité et sont encore attendus pour le gaz, alors que certains fournisseurs ont déjà stoppé leurs activités, comme E. Leclerc Énergies et ses 140 000 abonnés à l’électricité ! Aucune mesure règlementaire, ni aucun crédit budgétaire, n’ont été spécifiquement annoncés pour garantir notre sécurité d’approvisionnement cet hiver, tandis que Réseau de transport d’électricité (RTE) a placé la France en situation de « vigilance particulière » début 2022. Convaincue de l’intérêt de l’énergie nucléaire, pour garantir aux Français une énergie peu coûteuse et peu émissive, la commission regrette que le plan de relance ne lui consacre que 0,18 % des crédits et le plan d’investissement 3%. C’est pourquoi elle appelle le Gouvernement à donner une traduction budgétaire forte aux annonces récentes en direction de l’énergie et de l’hydrogène nucléaires. Les crédits « Énergie » de ces plans doivent constituer le levier du nouveau nucléaire, en promouvant, aux côtés de la conception des SMR, l’amélioration des EPR, le développement des réacteurs de 4e génération et la recherche en faveur de la « fermeture du cycle du combustible ».La commission y veillera, dans le cadre de ses travaux de contrôle sur les perspectives de développement de la filière française de l’énergie et de l’hydrogène nucléaires.Pour Daniel Gremillet, rapporteur sur les crédits « Énergie » : « Je regrette que le Gouvernement ait attendu le début de l’hiver pour annoncer le “bouclier tarifaire” : s’il est utile, il n’en demeure pas moins tardif et limité. Alors que la France est le premier pays en termes de fiscalité énergétique, avec 47 Mds d’euros, je constate qu’il n’a pas choisi la voie d’une baisse massive de cette fiscalité, contrairement à l’Espagne ou à l’Allemagne ».Pour Sophie Primas, présidente de la commission : « Il est dommage que le Gouvernement ait attendu six mois avant la fin du quinquennat pour envisager un “retour en grâce” de l’énergie nucléaire ; nous souhaitons aujourd’hui qu’il passe des annonces aux décisions. Or, les plans de “relance” et “d’investissement” n’accordent pas à l’énergie nucléaire toute l’attention qu’elle mérite. Cela porte préjudice à la décarbonation de notre économie, mais aussi au pouvoir d’achat de nos concitoyens et à la compétitivité de nos entreprises ».
Il y a 3 ans et 158 jours

Le nouveau CM Connect d’Alfa Laval digitalise les process hygiéniques

  Le nouveau système de surveillance connecté CM Connect d’Alfa Laval permet d’accéder à distance aux données des équipements rotatifs. Avec sa connection au Cloud et son fonctionnement par abonnement, il marque une nouvelle étape vers la numérisation des données pour stimuler l’innovation et la croissance des clients dans les applications hygiéniques. Les données sur le temps de fonctionnement, l’analyse des tendances et le délai avant le prochain entretien aident les opérateurs d’usine à prendre des décisions éclairées sur la maintenance, depuis n’importe quel appareil connecté. Cela permet de protéger la continuité des process et les actifs critiques, d’améliorer la sécurité sur le lieu de travail et d’obtenir un avantage concurrentiel, tout en économisant du temps et de l’argent. Maximiser l’efficacité de l’usine, minimiser les temps d’arrêt non planifiés Alors que l’industrie 4.0 évolue, CM Connect constitue une nouvelle étape naturelle dans le parcours de numérisation du client en élargissant la gamme de solutions de surveillance d’Alfa Laval. Grâce à une visibilité sur tous les actifs connectés, les opérateurs de l’usine peuvent détecter les problèmes impactant les performances, prévenir les temps d’arrêt non planifiés et améliorer la gestion des actifs. Agissant comme une passerelle via Bluetooth, CM Connect peut relier jusqu’à 10 moniteurs de vibrations sans fil CM Alfa Laval. Il transmet ensuite les données sur un réseau 4G vers le Cloud pour examen et analyse sur un tableau de bord intuitif et convivial. Notifications avancées en temps réel Une analyse avancée des vibrations de l’équipement permet de détecter tout écart par rapport aux seuils prédéfinis. En cas d’écart, un SMS ou un e-mail prévient les utilisateurs, qui peuvent prendre des mesures en temps réel en fonction de l’analyse des données. « Concentrez-vous sur l’important. CM Connect permet aux opérateurs d’usine de planifier et de prioriser la maintenance en se basant sur des données concrètes », déclare John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval. « Plutôt que de remplacer les pièces d’usure avant la fin de leur durée de vie effective, les opérateurs peuvent consacrer du temps et de l’argent au moment et à l’endroit où la maintenance est nécessaire. » En plus de relier les systèmes de surveillance de vibrations CM, CM Connect peut également servir de capteur. Il mesure les vibrations, la température interne et le temps de fonctionnement total lorsqu’il est monté sur les pompes Alfa Laval LKH, SRU, SX et DuraCirc, ou sur d’autres machines rotatives, telles que les agitateurs ou les mélangeurs. Vers une numérisation renforcée Dans le cadre de son engagement à se positionner comme pionnière de la transformation numérique dans les applications hygiéniques, Alfa Laval explore et développe des solutions industrielles 4.0 pour renforcer l’avantage concurrentiel des clients. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.fr/cmconnect.   Pour plus d’informations, merci de contacter : Virginie Nordmann Marketing & Communication Manager, Alfa Laval virginie.nordmann@alfalaval.com Tel : +33469167646   Nous sommes Alfa Laval Alfa Laval est actif dans les domaines de l’énergie, de la marine, ainsi que l’alimentation et l’eau, offrant son savoir-faire, ses produits et ses services à un large éventail d’industries dans une centaine de pays. L’entreprise s’engage à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès – en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs professionnels et de développement durable. Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à augmenter l’efficacité énergétique et la récupération de la chaleur, à améliorer le traitement de l’eau et à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès pour ses clients, mais aussi pour les personnes et la planète. Pour rendre le monde meilleur, chaque jour. C’est tout cela, Advancing better. Alfa Laval compte 16 700 salariés. Ses ventes en 2020 se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.fr 
Il y a 3 ans et 158 jours

Alkern dévoile en avant-première sur Paysalia ses nouveaux catalogues 2022 et une offre dédiée aux professionnels de la piscine

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, ALKERN en profitera pour mettre en lumière une offre dévolue aux professionnels avec ses Kits Piscine : des solutions en pierre reconstituée, clés en mains, livrées sous 15 jours partout en France et regroupant l’ensemble des produits nécessaires à l’habillage esthétique et pérenne des contours et plages de bassins aux dimensions allant jusqu’à 5 x 10 mètres.ALKERN sur Paysalia : de nouvelles éditions régionales pour trouver, à coups sûrs, son aménagement extérieur Le premier fabricant français de produits préfabriqués en béton profite de cet événement majeur pour mettre en lumière, sur son stand 6A102, les 3 nouvelles éditions régionales 2022 dédiées aux solutions pour l’aménagement extérieur (Nord IDF Centre Est, Sud-Est et Grand Ouest)… Exit le catalogue national unique riche de 2.500 références, place à une lecture plus simple et aux réponses couramment attendues et fabriquées régionalement, avec par exemple, une offre de pavés bien plus importante pour le Nord et de dalles dans le Sud. Une nouvelle offre qui va également dans le sens du développement durable puisqu’à la source d’un meilleur bilan carbone…Avec un panel de trois catalogues comme dignes reflets des spécificités régionales et de l’exhaustivité des solutions ALKERN, l’industriel qui dispose de plus de 50 sites de production sur l’Hexagone, a résolument misé sur une clarification de ses offres. Ces nouveaux catalogues, tirés à 35.000 exemplaires et disponibles en ligne sur le site alkern.fr, font en effet la part belle à la découverte de nombreuses solutions béton et pierre reconstituée, alliant technicité et esthétisme, qu’il s’agisse de pavés, dalles, bordures, margelles, terrasses, murets, piliers…Ces éditions inspirantes de 160 pages séduisent d’emblée par leur lecture plus facile, avec les « plus-produits » clairement mis en avant. Notons que si la richesse des illustrations aide à se projeter pour choisir aisément et assurément sa référence, ALKERN impulse une innovante arborescence pour la découverte de son offre au travers de 3 Univers : Jardin (dalles, pavés, gamme drainante, accessoires, piliers et couronnement, fontaines), Piscine (Kits, Margelles, Accessoires) et Décoration (parements et carrelages - pour le Grand Ouest-). Dans la même logique mentionnons enfin que l’offre tarifaire a elle aussi été repensée afin d’offrir une plus grande lisibilité avec une colonne tarif public HT et 3 niveaux de remises (départ, franco camion complet et franco 6/16 palettes).Les Kits Piscine ALKERN : des solutions clés en mains livrées sous 15 jours Précisons par ailleurs que Paysalia constitue aussi l’opportunité pour ALKERN de conforter sa position de partenaire privilégié des professionnels de la piscine. Toute l’expertise ALKERN, déjà reconnue et appréciée de ces acteurs, se cristallise dans d’innovantes offres qui leur sont spécialement dévolues. Avec ses nouveaux Kits Piscines, service unique sur le marché, ALKERN propose en effet aux professionnels une réponse simple et économique qui leur fait gagner en temps comme en sérénité. Ces kits complets (margelles, angles et produits de mise en œuvre) correspondent aux dimensions d’une grande majorité de bassins, qu’il s’agisse de piscines ou de couloirs de nage pour des dimensions types de 4 x 8 m, 3 x 9 m et 5 x 10 mètres.Précisons que les Kit Piscines ALKERN sont livrés sous 15 jours. Une solution alliant réactivité et souplesse libérant de la trésorerie, qui évite la gestion du stockage pouvant se prolonger à cause des aléas météo et autres reports possibles de chantier.
Il y a 3 ans et 158 jours

Olivier Collin, nouveau président du SNBPE Pays de la Loire

Olivier Collin, directeur général d’Edycem, est nommé à la présidence du SNBPE Pays de la Loire. [©Edycem] Olivier Collin, directeur général d’Edycem, est élu à la présidence du collège SNBPE Pays de la Loire. Il succède à Philippe Queneau, qui fut lui aussi directeur général d’Edycem. Grâce à plus d’une vingtaine d’années d’expérience au sein de la filière béton, Olivier Collin était le meilleur candidat pour ce poste. Il a construit sa carrière professionnelle au sein du groupe LafargeHolcim. Depuis 1995, il a sans cesse évolué. De Lafarge Bétons Pays de la Loire à la direction “Qualité et Développement produits” de LafargeHolcim France. Il a ainsi acquis une très bonne connaissance et une parfaite maîtrise des domaines du béton, du ciment et des granulats.  Lire aussi : Un nouveau directeur général chez Edycem Les missions d’Olivier Collin Olivier Collin souhaite poursuivre les actions entreprises par Philippe Queneau, son prédécesseur. La sécurité sur les chantiers est l’une des missions les plus importantes aux yeux du nouveau président. Il a aussi à cœur de créer un lien avec les adhérents et de partager avec eux sa passion pour le béton. Olivier Collin a aussi comme ambition de valoriser la profession et de l’accompagner dans les défis de demain. L’un des axes d’amélioration de la profession est la performance environnementale du BPE, dans un contexte de la construction bas carbone ou zéro carbone. 
Il y a 3 ans et 159 jours

Testo Saveris Cockpit, un logiciel intuitif aux nouvelles fonctionnalités pour une utilisation facilitée

Dans l’industrie pharmaceutique, la surveillance permanente des conditions de température ambiantes, régie par de nombreuses réglementations, est impérative pour assurer la qualité des médicaments, des vaccins… Conforme à la norme 21 CFR part 11, le système centralisé de monitoring des données de mesure testo Saveris est une solution fiable pour la surveillance multisites. Pour simplifier l’utilisation de testo Saveris, Testo fait évoluer les fonctionnalités de son logiciel associé testo Saveris Cockpit. Intégré au système automatisé de surveillance et d’enregistrement de température et d’humidité testo Saveris, le module testo Saveris Cockpit permet la consultation des données et la détection des alarmes de différents sites, via un navigateur web. Autorisant des actions correctives à tout moment, il se dote de nouvelles fonctionnalités pour toujours plus de simplicité et de fiabilité : • accès simple aux données de mesure et acquittement des alarmes, indépendamment du lieu, via un smartphone ou une tablette ; • interface utilisateur intuitive avec hébergement des données en local pour une prise en main facilitée du logiciel ; • gestion performante des utilisateurs et sécurisation des données avec Active Directory Windows de l’entreprise ; • gestion des droits d’accès et d’acquittement des alarmes : testo Cockpit vérifie les autorisations d’accès chaque fois qu’il doit répondre à une demande. Un mappage des utilisateurs et des autorisations est stocké dans la base de données et interrogé chaque fois que nécessaire ; • personnalisation du système par téléchargement des plans et logos de l’entreprise. Grâce à l’intégration complète des plans des différents sites, les alarmes sont clairement identifiées à l’écran. Chaque acquittement d’une alarme doit être terminé par une signature électronique personnalisée, ainsi que par un commentaire obligatoire sur l’événement ; • création de rapports personnalisés en PDF ; • traçabilité des activités des utilisateurs grâce à l’Audit Trail qui reprend toutes les activités générées dans le système et documente le moment, le nom d’utilisateur, l’action effectuée, le composant testo Saveris et les détails se rapportant à l’action concernée ; • une structure géographique hiérarchique permettant de zoomer dans des systèmes complexes avec un grand nombre de points de mesure. Avec les nouvelles fonctionnalités de testo Cockpit, Testo met à la disposition des industriels du secteur pharmaceutique une solution complète de surveillance et d’enregistrement des conditions de température ambiantes intuitive, sûre et conviviale. https://www.testo.com/  
Il y a 3 ans et 159 jours

L'AP-HP a acquis le site de l'usine Stellantis pour la construction de l'Hôpital Grand Paris-Nord

La vente de ce site industriel appartenant à Stellantis (ex-PSA), situé en Seine-Saint-Denis aux portes de Paris, a été signée le 19 novembre, ont annoncé les deux parties dans un communiqué.Le montant de la transaction n'a pas été précisé.D'une capacité de 900 lits, le futur hôpital Grand Paris-Nord remplacera les actuels hôpitaux Bichat à Paris et Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine) et abritera également des activités d'enseignement et de recherche d'Université de Paris.Le projet sera implanté sur le site de l'ancienne usine sur 7,19 hectares, au coeur d'un département structurellement sous-douté en services publics, notamment de santé.Porté par l'AP-HP et l'Université de Paris pour un coût estimé à 1,3 milliard d'euros, le campus est prévu pour 2028.Après l'enquête publique qui s'est terminée le 15 octobre, un rapport et l'avis du commissaire enquêteur doivent être remis au préfet de Seine-Saint-Denis "à la mi-décembre", dans le cadre de la procédure de déclaration d'utilité publique, a indiqué l'AP-HP.La démolition de l'ex-usine PSA est prévue à partir de fin 2022. D'ici là, l'AP-HP indique travailler avec la ville de Saint-Ouen sur "les usages transitoires du site".En mai, l'Autorité environnementale avait invité les Hôpitaux de Paris à revoir certains aspects environnementaux du projet, comme l'impact sur la qualité de l'air et les nuisances sonores engendrées par la hausse de trafic liés au chantier.Des opposants locaux craignent eux aussi des nuisances sonores et dénoncent un projet dont la localisation, en plein centre-ville, est inappropriée.
Il y a 3 ans et 159 jours

Lite Point : un système de bardage rapporté en verre

La société Saint-Gobain fait évoluer l’Avis Technique du LITE POINT son système de bardage rapporté en verre. Grâce à l’utilisation de rondelles de différentes hauteurs qui compensent les écarts d’épaisseurs des vitrages, la mise en œuvre est facilitée. Le bardeur ou le façadier pourront en effet poser l’ensemble des vitrages au même niveau, y compris quand leurs compositions sont différentes. Il permet d’habiller des façades ventilées ou de réaliser des parements de façades traditionnelles ou de parois intérieures. De plus, il s’adapte à tous types de rendus avec son large choix de teintes, de niveaux de réflexion, de motifs, ou d’impression. Il a déjà été utilisé sur différents chantiers comme le Bâtiment Copernic (Université Paris Est Marne-la-Vallée), l’immeuble de logement Cubik (Paris Masséna), le nouveau siège du port autonome de Strasbourg, la maison de santé (Belleville-sur-Meuse) ou encore l’immeuble First Croisette (Cannes).
Il y a 3 ans et 159 jours

Knauf : la demande de solutions de plâtre a explosé en 2021

STRATÉGIE. Spécialiste de la plaque de plâtre, du polystyrène expansé et de la laine de bois, Knauf, dresse un bilan de l'année 2021 et amorce quelques perspectives pour 2022.
Il y a 3 ans et 159 jours

Palmarès de l’édition 2021 des Trophées Inoha

Lors de la 6ème édition de LA NUIT by Inoha, organisée par l’Association des Industriels du Nouvel Habitat le 25 novembre dernier au Musée des Arts Forains, quatre trophées ont été décernés à des sociétés adhérentes pour leur démarche engagée et novatrice dans l’une des 3 catégories du concours : Innovation, Communication, et R.S.E. / Responsabilité Sociétale des Entreprises. Le jury*, composé d’acteurs de la filière et de journalistes, a souhaité récompenser les sociétés suivantes : Recticel Insulation avec le Trophée de l’Innovation, Brunel Chimie Dérivés et sa marque Starwax avec le Trophée Communication, PPG et sa marque Ripolin avec le Trophée R.S.E. Un Coup de Cœur du Jury a également été décerné à l’entreprise Swap-Europe du Groupe Builder pour son service de reconditionnement. Les lauréats des Trophées Inoha 2021 Lors d’une soirée conviviale rassemblant plus de 300 invités issus des secteurs de l’industrie et de la distribution, la 6ème édition de LA NUIT by Inoha a été l’occasion pour Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, de dévoiler les 4 lauréats du palmarès des Trophées 2021. Trophée de l’Innovation : Recticel Insulation pour SIMFOCOR SIMFOCOR est une solution innovante établissant de nouveaux standards dans le secteur de l’isolation acoustique. Inédit, SIMFOCOR est un panneau d’isolation acoustique facile à installer dans les cloisons distributives standards, de type rails métalliques et recouverts d’une plaque de plâtre de 12,5 mm pour répondre aux exigences de sécurité incendie. Certifié, SIMFOCOR réduit les bruits aériens perçus dans l’habitat (gain d’affaiblissement ΔRw = 8 dB.) et crée ainsi un espace de vie paisible. Conçu à partir de 70% de mousses de Polyuréthane recyclées issues de matelas usagés (70%), SIMFOCOR limite l’impact environnemental et préserve les ressources naturelles. Légers, les panneaux semi-rigides SIMFOCOR sont faciles à manipuler. Ils ne se tassent pas et conviennent tout particulièrement aux travaux en neuf ou en rénovation. « Au-delà du facteur émotionnel, nous avons pris en compte les critères d’innovation, d’écologie, de design et d’usage afin de faire ressortir le projet le plus abouti, le plus responsable et le plus porteur de cette image que l’innovation doit véhiculer à un moment où les besoins de confiance, de qualité et de mobilisation autour de notre environnement sont essentiels. Recticel a su cocher le plus grand nombre de cases sur le processus de réutilisation des matières isolantes qui sont reconditionnées pour donner une nouvelle vie à un produit très innovant, une boucle vertueuse et tellement responsable » déclare le membre du Jury Philippe BERNA, Responsable du Pôle Innovation & Numérique de la Médiation des Entreprises. Trophée Communication : Brunel Chimie Dérivés pour la campagne menée pour sa marque STARWAX STARWAX, marque de l’entreprise française Brunel Chimie Dérivés, spécialiste des produits d’entretien pour la maison, est récompensée pour sa campagne de communication à 360° « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS ». La marque STARWAX jouissait d’une excellente réputation de qualité et d’efficacité. Cependant, sa notoriété restait faible car elle était distribuée via les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit peu naturel pour acheter des produits d’entretien. Dans un contexte extrêmement concurrentiel, STARWAX se devait d’émerger face à des marques multinationales et avait pour objectif de faire savoir à ses consommateurs cibles qu’elle disposait de solutions spécifiques pour résoudre les problématiques d’entretien de la maison. STARWAX a ainsi lancé une campagne de communication en 4 étapes successives : . une étude auprès de ses clients consommateurs pour cerner leurs profils, phase essentielle du processus de réécriture du positionnement de marque, . la création d’une nouvelle plateforme de communication réalisée par l’agence Buzzman, réputée pour ses idées innovantes et disruptives. Une nouvelle signature de marque a ainsi vu le jour : « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS » faisant écho à la cible des consommateurs de STARWAX, . un plan média national d’affichage et de parutions presse, . un relais sur les réseaux sociaux de deux vidéos tutorielles réalisées avec Jessica Venancio, Ambassadrice de la marque. « Le Jury a décidé de récompenser Starwax pour sa capacité à répondre aux attentes des consommateurs en leur proposant une campagne de communication osée, assumée et innovante » commente le membre du Jury Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France. Trophée R.S.E / Responsabilité Sociétale des Entreprises : PPG pour sa marque Ripolin Afin de se positionner comme un acteur du changement au travers d’actions responsables et innovantes sur le marché de la peinture, PPG s’engage depuis 2009, au travers de sa marque à forte notoriété Ripolin, en faveur de l’Environnement et de la Santé tout en préservant la performance, la qualité et l’accessibilité de ses produits. Depuis 2020, la société a accéléré les initiatives concrètes pour : . réduire l’impact de ses produits et de ses sites de production français certifiés ISO 14001, avec notamment le lancement de sa gamme Ripolin O’Pur, peinture à base de résines biosourcées à 97% réduisant de 25% ses émissions de CO2. 96% de la gamme Ripolin est fabriquée en France sur des sites de production certifiés ISO 14001. . baisser son empreinte carbone en choisissant le plastique recyclé pour ses emballages, . sensibiliser les consommateurs en mettant à leur disposition, sur son site internet, un calculateur afin qu’ils achètent la juste quantité de peinture et une carte des déchetteries les plus proches de leur domicile. Ce projet s’accompagne également d’actions sociales et environnementales comme le reboisement lancé en 2021 en Corrèze avec son partenaire Reforest’Action (2000 arbres plantés). « Le jury a tout particulièrement apprécié la prise en compte de l’ensemble des problématiques dans la démarche R.S.E de PPG au travers de sa marque Ripolin, allant du calculateur pour acheter la juste quantité jusqu’à proposer une carte avec les déchetteries les plus proches du domicile des consommateurs » explique Laure Empereur, membre du Conseil d’Administration d’Inoha, qui a remis ce prix à l’entreprise. Coup de Cœur du Jury : Swap-Europe, filiale du Groupe Builder Systems, pour son service de reconditionnement Comment réduire son impact sur l’environnement tout en proposant des outils abordables pour tous ? Comment consommer mieux ? Builder Systems, fabricant d’outils de bricolage et de jardinage, met tout son savoir-faire pour offrir une nouvelle vie aux produits tout en réduisant les déchets et en recyclant les matières plastiques. Au travers de sa filiale Swap-Europe, spécialiste de la pièce détachée et engagée dans l’économie circulaire, Builder Systems a créé une filière de reconditionnement. Unique sur le marché, Swap Reused propose aux enseignes de la GSB et du e-commerce, depuis 2021, la collecte et le reconditionnement d’outils de jardin et de bricolage. Avec ce nouveau service, Swap-Europe leur permet de bénéficier d’une solution nationale, centralisée et gratuite, s’inscrivant dans leurs démarches RSE. La seconde main étant de plus en plus sollicitée, Swap-Europe met également à disposition des consommateurs une offre adaptée à leurs attentes. Tous les produits sont reconditionnés en France et Swap-Europe a pour objectif de créer des partenariats avec des organismes de l’économie sociale et solidaire afin de favoriser la réinsertion. « Le Jury a eu un véritable coup de coeur pour cette solution car elle est à la fois innovante et apporte une réponse à la problématique de la fin de vie des produits. Cette initiative s’inscrit dans la démarche d’économie circulaire couplée à nos ambitions RSE » conclut Jean-Luc GUÉRY, Président d’Inoha. *Membres du Jury : Jean-Luc Guéry, Président Inoha – Caroline Hupin, Déléguée Générale de la FMB – Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France – Philippe Berna, Responsable du Pôle Innovation et Numérique de la Médiation des Entreprises – Céline Chahi, Rédactrice en Chef de Maison & Travaux, Directrice Pôle Maison de Reworld Media – Guillaume Fédèle, journaliste au magazine Négoce. http://www.inoha.org/  
Il y a 3 ans et 159 jours

Hoppe à architect@work Bordeaux

HOPPE, fabricant de poignées de porte et de fenêtre en aluminium, inox, laiton et polyamide y participera et présentera sur son stand 123 des solutions répondants aux besoins et demandes du marché de la construction et de la rénovation d'E.R.P, de bâtiments tertiaires et résidentiels avec :DesignLes poignées pour porte intérieure avec mini-rosaces personnalisablesAvec leur taille réduite, les mini-rosaces sont à peine perceptibles sur la porte et mettent en scène les poignées de manière inédite. Avec sa gamme étendue de poignées sur mini-rosaces, HOPPE propose également de personnaliser la finition de la poignée et de la mini-rosace, permettant ainsi de configurer une poignée unique parmi des finitions tendances : anthracite, blanc et noire ou encore les teintes laitonnée et cuivrée.HygièneLes poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®SecuSan® est un revêtement antimicrobien et antibactérien qui réduit jusqu'à 99% la croissance des microbes et bactéries sur la poignée. Cette solution permet ainsi de mettre en place des normes d'hygiène élevées et conserve son efficacité sans entretien particulier.Le revêtement SecuSan® développé par HOPPE est disponible sur 6 lignes phares de la marque allemande, sur les poignées pour porte intérieure (rosaces et plaques) sur les poignées de fenêtre et également sur des poignées battantes et des sets pour porte coulissantes.Design et techniqueLigne Toulon, un même design de poignée pour équiper toutes les menuiseries d'une maison ou d'un bâtimentAu plus près des besoins du marché et fort de son savoir-faire et de ses innovations, HOPPE est le seul fabricant à proposer avec un même design de poignées, une ligne complète et adaptée à l'ensemble des menuiseries intérieures et extérieures d'un bâtiment ou d'une maison (porte d'entrée, porte intérieure, fenêtre, baie vitrée, menuiserie alu,…).
Il y a 3 ans et 160 jours

Altarea participe au lancement d’un programme de recherche sur l’empreinte biodiversité des projets immobiliers

À l'initiative de Gecina et coordonné par l'Observatoire de l'Immobilier Durable, BIG vise à développer un référentiel commun d'indicateurs et d'outils de mesure pour définir et améliorer l'empreinte biodiversité des projets immobiliers, éclairer le choix des maîtres d'ouvrage et des investisseurs et mieux concilier les fonctions urbaines et écologiques des territoires.Face au constat sans appel d'une érosion massive de la biodiversité, 16 entreprises s'unissent pour transformer les pratiques vers un modèle plus respectueux du vivant :Aire Nouvelle, Altarea, Amundi, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Covea Immobilier, Crédit Agricole Immobilier, Gecina, Groupama Immobilier, Korian, Linkcity, LVMH, Nexity, Perial Asset Management, Groupe RATP, Schneider Electric.BIG se développera autour de trois axes pour construire un référentiel commun sur l'enjeu de biodiversité avec :L'élaboration d'outils de mesure des “bénéfices“ de la biodiversité à l'échelle d'un projet immobilier (mesure de l'impact carbone, santé ou encore fraîcheur en ville).Le développement d'une plateforme de cartographie des contributions locales à la biodiversité (monitoring de la biodiversité, visualisation de la densification du bâti…).La mise en place de dispositifs d'appropriation de ces outils par les acteurs du secteur immobilier (animation d'une communauté d'échange, publication de guides et référentiels pour accompagner la montée en compétences des équipes internes).L'objectif est de mesurer les impacts liés à la biodiversité d'un bâtiment pour piloter les progrès. Cette démarche permettra d'éclairer les stratégies des investisseurs et participer ainsi à la convergence de la performance économique et financière avec la performance socio-environnementale des acteurs économiques. Ces travaux associeront notamment aménageurs, grands donneurs d'ordre, agences et institutions publiques, associations professionnelles et experts mobilisés sur le sujet de la biodiversité.Pour Sabine Desnault, Directrice exécutive R&D, innovation et RSE de Gecina : « Je suis très heureuse et honorée de la large mobilisation des partenaires fondateurs de BIG (Biodiversity Impulsion Group) face à l'urgence à préserver la biodiversité. Cela traduit leur engagement à ce que collectivement nous fassions évoluer le secteur immobilier en développant des outils de mesure et de visualisation communs. Convaincue que notre force réside dans notre capacité à coopérer, j'invite ceux qui le désirent à rejoindre l'initiative. ».Pour Loïs Moulas, Directeur Général de l'OID : « Accélérer la transition écologique dans le secteur immobilier a toujours été l'ADN de l'OID. Ainsi, BIG s'inscrit en droite ligne avec notre raison d'être : fédérer les acteurs, encourager le partage d'expériences et faciliter le passage à l'acte, en toute indépendance et transparence dans un objectif d'intérêt général ». Pour Nathalie Bardin, Directrice Exécutive Marketing stratégique, RSE et Innovation d'Altarea : « C'est une formidable initiative de place à laquelle Altarea est heureux de participer. Pour nous, la biodiversité et le climat participent du même combat : celui de protéger et de reconquérir le vivant. Et il y a urgence car la biodiversité s'effondre et nous pouvons inverser cette tendance. Si l'on sait mesurer l'empreinte carbone d'une opération, nous n'avons pas encore d'outil de mesure de la biodiversité. Avec BIG, nous allons ensemble pouvoir tester sur des opérations pilotes des indicateurs qui nous permettront d'avoir un référentiel commun et de progresser ».
Il y a 3 ans et 160 jours

Saint-Gobain va recruter 36 000 salariés dans les métiers de la construction durable

Le groupe Saint-Gobain prévoit de recruter 36 000 personnes en 2022 dont 7500 en France dans les métiers de la construction durable. Et lance une campagne mondiale pendant 9 mois.
Il y a 3 ans et 160 jours

Quand Caracas était la capitale de l'architecture des années 1950

En une décennie magique, la capitale vénézuélienne a vu naître des joyaux : l'Université centrale du Venezuela, classé au Patrimoine mondial, "l'oeuvre totale" de la Villa Planchart du designer italien Gio Ponti, ou encore l'hôtel Humboldt, bijou Bauhaus.A l'époque, le pétrole et l'argent coulent à flots. Surfant sur un budget florissant, le dictateur Marcos Perez Jimenez (1953-1958) lance le pays dans une politique de grands travaux, construisant ponts, autoroutes, ministères, logements..."Indépendamment des critiques légitimes qu'on peut lui faire" sur les droits humains et la démocratie, "Perez Jimenez était un excellent gestionnaire de travaux publics", explique à l'AFP l'architecte et professeur Oscar Rodriguez Barradas. "Il y avait aussi une dimension nationaliste avec +Nous on peut le faire+".La période coïncide aussi "avec l'arrivée d'immigrés européens et d'une main d'oeuvre très qualifiée capable de mener à terme les projets", souligne-t-il.NuagesA tout seigneur, tout honneur : l'hôtel Humboldt, "notre Corcovado" s'enthousiasme M. Rodriguez, domine Caracas à 2.150 mètres d'altitude, sur la ligne de crête de l'Avila, le massif séparant Caracas de la mer.Il a été construit en 1956 pour des raisons inavouables : Perez Jimenez voulait un téléphérique pouvant transporter "800 militaires par heure" du port jusqu'au centre en cas de troubles, rappelle Carlos Salas, le directeur de l'hôtel.On décide alors d'un "espace de détente" au sommet pour justifier le téléphérique et le dictateur passe commande à un jeune architecte à la mode, Tomas Sanabria.Elève du fondateur du Bauhaus, Walter Gropius, à l'université d'Harvard, Sanabria réussit un des plus beaux bâtiments de ce style du continent.Encore aujourd'hui, l'hôtel n'est accessible que par téléphérique ou par une piste réservée aux 4X4. De la ville, seule sa tour est visible mais à l'approche, c'est sa base qui impressionne avec ses lignes pures et ses voûtes ressemblant à des vagues."L'hôtel flotte entre les nuages", résume le directeur. L'intérieur du bâtiment, parfaitement restauré par l'Etat vénézuélien après des années d'abandon, est composé de grands espaces lumineux que les nuages, poussés par des vents puissants, semblent traverser. Rouvert à une clientèle huppée (340 dollars la nuit), l'hôtel espère devenir Patrimoine mondial en 2022.L'héritage de Perez Jimenez s'observe aussi au coeur de la ville avec notamment le Centre Simon Bolivar (1954): deux tours jumelles et de longs bâtiments ministériels, signés par l'architecte vénézuélien Cipriano Dominguez et qui témoignent d'"un langage à la Le Corbusier avec des aspirations qui vont au-delà de leur fonction" de bureaux pour canaliser l'activité du centre ville, souligne Oscar Rodriguez.Avec ses immenses parkings et "cascades d'escaliers", il était aussi l'expression de la civilisation de l'automobile, alors signe de modernité et de richesse.PapillonLe Vénézuélien Armando Planchart fait justement fortune avec ses concessions de voitures américaines vendues à une classe moyenne émergente.Son épouse Anala le convainc de faire construire une maison sur les hauteurs de Caracas. Abonné à la prestigieuse revue Domus du designer et architecte italien Gio Ponti, ils décident de l'embaucher : ce sera la Villa Planchart (1957).Les Planchart donnent carte blanche à Ponti qui ébauche la maison de ses rêves pour créer ce "papillon sur la colline", selon son expression."Ponti n'a presque pas eu de limites quant aux ressources et aux volontés des commanditaires", souligne leur nièce Carolina Figueredo, qui gère la fondation Planchart.Inondée de lumière par un patio intérieur et des fenêtres "traversantes", la maison ne comprend presque aucune porte, mais des séparations claires entre les espaces. Ponti a pratiquement tout dessiné : charnières, poignées de portes, vaisselle, lampes, chaises.... C'est "+l'oeuvre totale+ parce qu'en plus de l'architecture et du design, il a prévu le placement des collections ou des oeuvres" signées Calder, Leger, Buffet, Cabré ou Reveron, explique Carolina.Ponti a positionné les fenêtres qui fonctionnent comme des tableaux pour offrir des vues sur l'Avila.Seul désaccord, la bibliothèque où le propriétaire veut exposer ses trophées de chasse africains peu appréciés par le designer. Ponti résout le problème avec une coquetterie : un mur tournant digne d'un James Bond, qui permet d'occulter ou d'exhiber les têtes de buffles et d'antilopes !"Ponti était enchanté par le résultat, mais aussi par Caracas" pour laquelle il a dessiné un vaste projet urbain qui n'a jamais vu le jour, explique Carolina Figueredo.AirLe grand architecte vénézuélien de l'époque est sans aucun doute Carlos Raul Villanueva, qui a excellé dans les rares maisons d'habitation qu'il a dessinées, mais surtout comme architecte de bâtiments publics.Son chef-d'oeuvre reste l'Université centrale du Venezuela (UCV)."C'est une utopie construite", résume sa fille Paulina Villanueva, architecte. Au total, une quarantaine de bâtiments, dont un hôpital, des salles de cours, de conférence, des bibliothèques, des esplanades.S'y promener est un émerveillement avec des édifices différents mais qui forment une unité. Les espaces intérieur et extérieur s'entremêlent. Les passages couverts, avec des toits paraissant suspendus dans l'air, sont une des trouvailles de l'architecte."Ce sont des lieux de vie et d'échange, tu te promènes sans jamais perdre le contact avec l'extérieur, l'air, la lumière", détaille Paulina Villanueva. "Mon père pensait que l'architecture était la construction du lieu de vie de l'homme. Le lieu ne s'impose pas, mais accompagne, stimule", explique-t-elle.Véritable "chef d'orchestre", Villanueva y a intégré des oeuvres d'artistes de renom, Vasarely, Arp, Lam, Leger ou Narvaez.Point d'orgue : la "Aula magna", vaste auditorium orné des "Nuages" d'Alexander Calder.Mais avec la crise économique sans pareille qui frappe le Venezuela depuis 2013, l'université se dégrade. Trous dans les murs et les plafonds, fresques abimées, fenêtres cassées, végétation et infiltrations d'eau... En 2020, un pan d'un passage couvert s'est écroulé."Nous parlons de 25 ans d'abandon. Ca fait mal ! Les professeurs ne gagnent pas 10 dollars par mois. Il n'y a pas d'ampoules, les étudiants en achètent et les enlèvent quand ils partent pour pas qu'on les vole", s'écrie Paulina, tantôt les larmes aux yeux, tantôt en colère."Pour mon père l'université était sa seconde maison, son oeuvre la plus chère, il n'aurait pas compris son état actuel", dit-elle.A l'image de l'UCV, de nombreux bâtiments de cette époque dorée sont en mauvais état. D'autres ont été dévoyés comme "L'Hélicoide" (1958), centre commercial transformé en prison, ou tout simplement rasés (Villa Diamantina de Ponti)."C'était une génération d'architectes, d'intellectuels qui avaient une vision d'avenir", résume Paulina Villanueva. "Ils pensaient que cet avenir était possible. Malheureusement, cela ne l'a pas été".
Il y a 3 ans et 162 jours

Forte concentration de la propriété de logements en France, selon l'Insee

Les seuls propriétaires de trois logements ou plus, qui représentent 11% du total, détiennent eux près de la moitié (46%) des 28,4 millions maisons ou appartements possédés par les ménages en nom propre ou via une société civile immobilière.Les logements loués appartiennent pour leur part encore davantage à de grands propriétaires, puisque ceux qui en possèdent au moins cinq détiennent la moitié du parc locatif appartenant à des particuliers, alors qu'ils ne représentent que 3,5% des ménages."Cette concentration de la propriété de logements en location reflète une logique d'accumulation patrimoniale, qui s'appuie notamment sur le recours aux SCI", relève l'Institut national des statistiques dans son Portrait social de la France.De plus, la part des logements possédés par les propriétaires de cinq logements et plus augmente dans les centres des grandes agglomérations, là où les appartements sont les plus chers.Cette part est ainsi comprise entre 10% et 25% dans les communes de la proche banlieue parisienne mais s'élève entre 45% à 50% dans les arrondissements du centre de Paris, selon l'étude.Une répartition géographique similaire se retrouve aussi dans les les autres grandes métropoles françaises, notamment à Lyon, Marseille, Toulouse et Lille, rapporte encore l'Insee.Les ménages multipropriétaires, c'est-à-dire qui possèdent au moins deux logements, ont plus de 40 ans dans neuf cas sur dix et la moitié d'entre eux ont entre 50 et 69 ans.Enfin, au sein des couples hétérosexuels, les hommes sont plus souvent propriétaires de logements que les femmes, avec 79% des premiers qui ont un droit de propriété sur le ou les logements possédés par les ménages contre 71% des femmes.De plus, cet écart augmente avec le nombre de logements possédés. Pour les propriétaires de 20 logements ou plus, 72% des hommes ont un droit de propriété, contre seulement 50% des femmes.
Il y a 3 ans et 162 jours

Regards croisés autour de l’architecture en béton

Eglise Saint-François d’Assise, à Belo Horizonte, au Brésil, œuvre d’Oscar Niemeyer. [©Andreborgeslopes] A vos agendas. “Regards croisés France/Brésil : restauration et gestion des bâtiments en béton dans le site patrimoine mondial” : tel est l’intitulé du webinaire du YouTube le 1er décembre prochain à partir de 13 h 00 (9 h 00, heure de Brasilia). Ce rendez-vous inédit est organisé par Sinduscon-DF (Syndicat brésilien de l’industrie de la construction civile – District fédéral) et Icomos (Conseil international des monuments et des sites) Brasil France.  Il présentera des cas pratiques de restauration de bâtiments et abordera la gestion des sites historiques patrimoine mondial de l’Unesco. Ceci, aussi bien en Europe, qu’en Amérique latine et, en particulier, au Brésil. De quoi ravir les passionnés de patrimoine et de construction en béton. A l’occasion de ce webinaire sera conclu un accord de coopération entre Icomos-BR et Sinduscon-DF. Le Corbusier et Niemeyer au programme Le programme des “Regards croisés France/Brésil” est riche et débutera par une présentation des Journées scientifiques 2022, organisées à Brasilia. S’en suivra un focus sur la restauration en site “patrimoine mondial”. Ceci, à travers deux exemples marquants : le couvent de Sainte-Marie de La Tourette, à Evreux, signé Le Corbusier, et l’église Saint-François d’Assise, à Belo Horizonte, au Brésil, œuvre d’Oscar Niemeyer.  Enfin, “Modernité et patrimoine mondial” permettra de mettre en avant deux cas pratiques. D’une part, la maison du docteur Curutchet, à La Plata, en Argentine. Il s’agit de l’un des deux seuls bâtiments de Le Corbusier construit sur le continent américain. Et, d’autre part, la cité industrielle d’Ivrée, en Italie, berceau de la société Olivetti, construite entre 1930 et 1960, à l’initiative et pour les besoins de la société Olivetti. La diffusion du webinaire doit s’achever à 16 h 00, heure de Paris, soit une durée totale de 3 h. Les inscriptions sont déjà ouvertes. Il suffit de suivre ce lien pour en savoir plus. 
Il y a 3 ans et 162 jours

10 premiers lauréats pour l'appel à projets pour l'industrialisation de la construction bois

La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon et sa collègue chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, ont présenté le 26 novembre les lauréats de la première vague de l'appel à projets « Industrialisation de Produits et Systèmes Constructifs bois et autres biosourcés ». Les dix projets sélectionnés font l’objet d’une décision d’octroi d’aide, pour un montant global de près de 16 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 162 jours

Système Proteplan®, câble chauffant antigel pour la protection des vignes

Depuis toujours, les vignes subissent les aléas météorologiques, et notamment, l’impact des températures négatives, de la neige, de la glace, ou encore des gelées du printemps. L’année 2021 a été particulièrement dévastatrice avec de nombreux vignobles touchés partout en France, notamment dans le Val de Loire, la Bourgogne, le Bordelais, et même l’Hérault ou le Gard. Pour les protéger et éviter la perte de leur récolte, les vignerons ont jusqu’à présent eu recours à plusieurs techniques, comme les bougies aux pieds des vignes, l’aspersion ou encore l’hélicoptère : des systèmes particulièrement polluants, onéreux et nécessitant plus de main d’œuvre. Des images spectaculaires nous ont frappées, parce que les solutions utilisées sont difficiles à mettre en œuvre pour les vignerons, très contraignantes et extrêmement néfastes pour l’environnement. Avec PROTEPLAN ®, solution de protection des plants de vignes face aux évènements climatiques développée par Prysmian Group, la donne a changé depuis son lancement en septembre 2020. Prysmian a fourni pour le vignoble chablisien plus de 300 Km de câbles basse tension 500 V PROTEPLAN®, un câble chauffant à la gaine résistante aux intempéries, aux UV et aux traitements chimiques. Fixé tout au long du fil de palissage, le câble est relié grâce à un système de raccordement à une armoire étanche de distribution. Le vigneron n’a plus qu’à déclencher le système lorsque les températures chutent (efficace jusqu’à -10°C) qui maintient au contact des baguettes, une élévation de température homogène de 15 °C.   Après ces premières installations aux résultats déjà très positifs, Prysmian Group a souhaité étendre l’offre Proteplan à l’ensemble des vignobles de l’hexagone. Afin de faciliter la promotion ainsi que la distribution de cette innovation sur le marché de la viticulture, Prysmian Group s’est associé à Soufflet Vigne, apporteur reconnu de solutions techniques innovantes sur ce marché. Ce partenariat sera officiellement signé sur le stand de Soufflet Vigne lors du SITEVI le mardi 30 décembre 2021 (Stand A3 B008) entre de Monsieur Thierry Berger, Directeur Général de Soufflet Vigne et Monsieur Jean-Pierre Bignaud, CCO France & Belgique du Groupe Prysmian. Le câble Proteplan sera présenté en fonctionnement sur un rang de vigne sur le salon. Quels avantages pour nos cultures avec la solution PROTEPLAN ® ? Cette technologie présente différents avantages pour les vignerons : efficace et pérenne, elle est simple d’installation et d’utilisation. Plus encore, elle présente des avantages écologiques non négligeables par rapport aux bougies dont on a pu voir de nombreuses images. Ces bougies doivent en effet être installées dans toutes les vignes, sur des hectares entiers. Elles vont brûler en dégageant des fumées parfois toxiques, et dangereuses pour l’environnement. Elles réduisent par ailleurs la visibilité sur les routes au petit matin. Sur les vignobles déjà équipés du système, les câbles PROTEPLAN ® ont été très utiles sur 2021, année particulièrement rude. Leur température, élevée à 16° environ, a sans aucun doute permis d’éviter le gel des nombreux bourgeons déjà apparus sur les vignobles Chablisiens lors des fortes gelées et de garantir des futures récoltes plus généreuses dont nous verrons les premiers résultats prochainement avec la période des vendanges. D’un point de vue économique, le retour sur investissement est très rapide en raison de coûts d’exploitation bien moindres que tous les autres systèmes. « La technologie PROTEPLAN ® est une solution efficace et d’avenir alors que le réchauffement climatique menace chaque année un peu plus les vignes au moment du printemps. Et elle est respectueuse de la nature et de l’environnement. », a conclu M. Fabien Queffelec, Responsable Industrie & Spécialités Prysmian Group France. Les câbles sont en outre 100% français, fabriqués dans l’Yonne (89) sur le site de production Prysmian Group de Paron, spécialisé dans les câbles basse tension.
Il y a 3 ans et 162 jours

L’ESB ouvre ses portes

Samedi 27 novembre, de 9h à 17h, à Nantes, l’ESB ouvre ses portes aux lycéens, étudiants et à leurs parents, dans le cadre d’une journée de découverte de ses cinq niveaux de formation (BTS, Bachelor, Licences professionnelles, Ingénieur, Mastère spécialisé). L’ESB forme dans 3 grands domaines métier : les sciences du bois et la valorisation de la ressource forestière, le génie industriel (industrie 4.0) et la construction bas carbone. Parmi les nombreux débouchés qu’offrent les formations de l’école, le domaine de la construction fait figure de partenaire privilégié : il est à l’origine de 60% des embauches des ingénieurs diplômés en 2021 à l’ESB. Le bois et les matériaux biosourcés s’illustrent également dans de nombreux secteurs d’activité : le transport et la logistique, l’emballage, l’énergie, le nautisme, le transport… ESB – 7 rue Christian Pauc – 44 000 Nantes
Il y a 3 ans et 163 jours

La métropole de Bordeaux vote sa participation au financement de la LGV Sud-Ouest

Les élus socialistes, communistes, LREM et LR ont quasiment tous voté une participation de 354 millions d'euros au financement de ce projet qui prévoit la création de deux nouvelles lignes à grande vitesse.Elles doivent permettre de gagner une heure de trajet entre Bordeaux et Toulouse et 20 minutes entre Bordeaux et Dax, et, selon la SNCF, de faire transiter davantage de fret sur les lignes classiques.La métropole bordelaise a décidé que sa participation serait "fléchée" vers l'aménagement de 12 km de lignes ferroviaires au sud de Bordeaux, une composante du projet qui servirait aussi à la création d'un RER local.Pour le président PS de la métropole Alain Anziani, les nouvelles voies permettront de "faire sauter" un bouchon ferroviaire au sud de Bordeaux, comme pour le nord de la ville à l'arrivée de la LGV Paris-Bordeaux en 2017.Les écologistes, qui veulent privilégier les voies existantes et dénoncent les "coûts exorbitants" du projet, y sont très hostiles.Le maire EELV de Bordeaux Pierre Hurmic a ainsi fustigé jeudi un plan de financement "approximatif". Pour le maire EELV de Bègles, Clément Rossignol-Puech, "l'histoire récente en France nous montre que plus il y a de LGV, moins il y a de fret et de trains du quotidien".Au total, le projet est estimé à 14,3 milliards d'euros, dont 40% pris en charge par l'État (qui débloquera 4,1 milliards pour la ligne Bordeaux-Toulouse mais ne s'est pas encore engagé sur Bordeaux-Dax), 40% par les collectivités locales des régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, et 20% par l'Union européenne.L'Occitanie a bouclé son financement (16 collectivités contributrices) mais pas la Nouvelle-Aquitaine (11 collectivités).Les départements du Lot-et-Garonne et de la Gironde ont déjà acté leur refus de participer au financement, ce dernier préférant investir dans une amélioration du réseau ferroviaire local.La région Nouvelle-Aquitaine, les départements des Pyrénées-Atlantiques, des Landes et les agglomérations du Pays-basque, de Pau, d'Agen, de Dax et de Mont-de-Marsan, se prononcent d'ici fin décembre.Parmi elles, à ce jour, seules la région et les collectivités landaises sont favorables au projet.