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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

(8206 résultats)
Il y a 4 ans et 283 jours

Agrandissement homogène du stade Mayol par DP architectes

L’agence Duchier + Pietra (Jean-Louis Duchier et Nicolas Pietra – DP architectes) a livré en 2017 l’agrandissement du stade Mayol de Toulon (Var). Sur un site contraint, la résille en Métal déployé assure légèreté et homogénéité architecturale. Le programme commandait le reprofilage des gradins de Bonnus (du nom d’un ancien joueur), l’extension par fermeture du […] L’article Agrandissement homogène du stade Mayol par DP architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 283 jours

Eclairage : Signify veut doubler ses efforts de développement durable pour 2025

Le spécialiste de l’éclairage Signify présente les résultats atteints lors du dernier programme quinquennal de durabilité de l’entreprise ainsi que leur nouveau plan, intitulé « Brighter Lives, Better World 2025 ».
Il y a 4 ans et 284 jours

Building Beyond interroge les métiers de la ville de demain

Le festival organisé par Leonard (groupe Vinci), en partenariat avec « Le Moniteur », se tiendra à Paris fin septembre. Au programme : conférences, ateliers, pitchs…
Il y a 4 ans et 284 jours

Action Logement présente un premier bilan de ses interventions dans le programme Action Cœur de Ville

Depuis dix-huit mois, les Partenaires sociaux, en lien étroit avec les élus des territoires, ont engagé des initiatives volontaristes pour la reconquête de ces tissus urbains : l'objectif est d'y développer une offre nouvelle de logements à l'adresse des salariés, participant ainsi à la redynamisation du tissu économique local. Premier bilan adossé à des réalisations concrètes.575 opérations en cours dans 160 villesAu 1er juillet 2020, ce sont plus de 575 opérations immobilières qui ont été sélectionnées et financées par Action Logement dans 160 villes, soit 6.600 logements remis à court terme sur le marché. Quoique freinées par la crise sanitaire et la période d'incertitude liées aux élections municipales, les opérations en cours, qui représentent un montant cumulé de 364 millions d'euros (dont 270 pour le premier semestre 2020), se sont poursuivies au cours du printemps, limitant le retard de livraison à deux mois. Typologie des investisseurs : 1/3 des opérations sont mises en œuvre par des investisseurs privés et 2/3 par des opérateurs du parc social.Nature des opérations : 68% des interventions portent sur de la réhabilitation d'immeubles existants, 25% sur de la démolition-reconstruction ou de la transformation d'usage, et 7% sont dédiées à des constructions neuves.Taille des opérations : adaptées au contexte des centres-villes, les opérations immobilières sont en moyenne de taille modeste et permettent de proposer in fine 12 logements par projet. Les opérateurs du parc social développent des opérations plus significatives (16 logements) que ceux du parc privé (6 logements).Déploiement dans les territoires : le programme a commencé à se déployer à Pau, par la pose d'une première pierre dès juillet 2019. Les premières livraisons ont été réalisées fin 2019 (Angoulême, Saint Lô, etc.). Retrouvez les principales réalisations ACV dans les villes éligibles sur actionlogement.frUne dynamique à effet « boule de neige »Ce nouveau financement dédié à ACV et mis en œuvre par Action Logement s'articule avec l'ensemble des aides et services délivrés par le Groupe. Il s'inscrit ainsi dans une dynamique globale au profit des territoires concernés.Les 51 filiales immobilières d'Action logement interviennent dans les villes ACV et proposent aux élus locaux d'y développer des offres de logements complémentaires et diversifiées. Au 1er juillet, plus de 154 millions d'euros représentant 84 opérations, soit 1.500 logements, ont été investis par les filiales dans les collectivités déjà engagées dans ACV.Les salariés des villes ACV bénéficient de l'ensemble des aides développées par Action Logement (Visale, l'AIDE MOBILI-JEUNE®, le prêt Accession, les aides au déménagement, le développement de nouveaux logements, etc.). Ce sont 328 millions d'euros qui ont ainsi été mobilisés depuis le lancement d'ACV.Le Plan d'Investissement Volontaire lancé par les Partenaires sociaux en avril 2019 a également permis de compléter le dispositif initial, avec notamment la mise en place de l'aide pour les travaux de rénovation énergétique des logements et de l'aide à l'adaptation du logement au vieillissement. Dans le cadre de ce plan, les financements alloués aux opérations de démolition de logements sociaux dans les zones détendues et la production d'une offre nouvelle de logements mieux adaptés ont pu être combinées aux opérations ACV.Enfin, Action Logement a conduit une politique active de placements locatifs : quelque 24.000 ménages ont bénéficié de l'attribution d'un logement social dans les 222 villes ACV.Au total, par la mise en œuvre du programme ACV et sa combinaison avec les outils du Groupe, près de 880 millions d'euros ont été mobilisés en faveur des villes bénéficiaires. C'est une démonstration concrète de l'attachement des Partenaires sociaux d'Action Logement à une politique ambitieuse en faveur de tous les territoires, au service du lien emploi-logement.
Il y a 4 ans et 285 jours

BePOSITIVE 2021 : après la crise, concrétiser l'accélération de la transition énergétique

Lieu d'échanges et de rencontres, l'évènement est un accélérateur de business favorisant la mise en réseau de l'ensemble des professionnels du secteur : prescripteurs, artisans & entreprises générales du bâtiment, distributeurs et négociants, collectivités publiques, etc.La présence de tous les décideurs européens et africains fait du salon un événement également connecté à l'international. Véritable rendez-vous fédérateur de ceux qui construisent le monde décarboné de demain, BePositive offre un tremplin à l'innovation. Il s'organisera cette année autour de 4 secteurs d'exposition : les nouveaux systèmes énergétiques ; l'énergie dans le bâtiment ; le bâtiment durable, et le bois énergie.À 8 mois de l'ouverture de BePOSITIVE 2021, sa directrice Florence Mompo prend la parole pour lancer cette nouvelle édition. L'occasion pour elle de partager sa vision des conséquences de la crise que nous vivons, et des perspectives pour les secteurs de la transition énergétique.Questions à Florence Mompo, directrice du salonQuelle est votre vision de la période inédite que nous traversons ?Florence Mompo : Cette crise sanitaire, qui se transforme en crise économique et sociale, a évidemment été un choc par sa soudaineté et la remise en question globale de nos façons de vivre, de consommer, de travailler… L'incertitude qu'elle engendre pèse sur la reprise économique, et si nous voyons déjà ses conséquences immédiates : tensions internationales, récession et hausse du chômage, grandes difficultés pour de nombreux secteurs, il y a aussi des effets positifs. Après une période de privation, on assiste à une reprise de l'activité et de la consommation stimulée par des plans d'investissement massifs. On voit des engagements de bons sens autour du local, des enjeux de l'économie circulaire et du réemploi, ou tout simplement de la place de l'individu dans notre développement. Le confinement a mis en lumière la nécessité de privilégier la santé, le confort, le bien-être des gens, par exemple, dans la conception des logements et des bâtiments tertiaires. La performance thermique, la qualité de l'air, l'acoustique, et plus basiquement, l'aménagement et le mobilier, sont plus que jamais des éléments à prendre en compte, comme le lien entre le physique et le digital. La généralisation du télétravail en est un exemple criant, c'est d'ailleurs l'un des héritages majeurs de cette période. Et puis humainement, il y a pour chacun, un besoin d'échanges et de convivialité qui est très fort en ce moment !Quels sont les échos qui remontent des acteurs des différentes filières présentes sur le salon BePOSITIVE ?Florence Mompo : C'est assez hétérogène parce qu'en fonction du secteur d'activité, les feedbacks ne sont pas du tout les mêmes. Sur la partie des nouveaux systèmes énergétiques, après les 2 ou 3 premières semaines de sidération que l'on a tous vécues, les entreprises se sont rapidement réorganisées et se sont remises dans des perspectives de développement. On parle beaucoup de la transition énergétique comme levier majeur de la reprise économique, mais elles ont besoin d'actions concrètes et elles sont dans l'expectative de ce que va donner, par exemple, le Green Deal. Les retours que j'ai d'un secteur comme le photovoltaïque me font dire qu'aujourd'hui il n'y a pas de ralentissement, mais que les inquiétudes des acteurs portent sur les mois à venir dû à l'arrêt de l'activité commerciale pendant près de 3 mois. Et puis, on le sait, le secteur du bâtiment craint de payer un lourd tribut à cette crise. L'ensemble des mesures que les sociétés doivent mettre en œuvre pour pouvoir redémarrer va les freiner pour retrouver le rythme de l'avant-Covid-19. Et à cela s'est ajouté le report des élections municipales alors que de nombreuses entreprises dépendent de la commande publique… Mais je tiens à saluer la façon dont les dirigeants et les entrepreneurs ont géré la situation. Ils ont une nouvelle fois prouvé leur capacité, à la fois, à rester ancrés dans la réalité du moment, tout en se montrant hyper agiles pour prendre les bonnes décisions en faveur de la santé de leurs salariés et de leur entreprise.« Encourager toutes les filières à œuvrer ensemble »Cette situation interroge sur ce que doit être la ville de demain. Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?Florence Mompo : Quelle modèle voulons-nous pour demain ? C'est effectivement la vraie question que nous devons collectivement nous poser. Et cette période nous donne l'opportunité de l'imaginer avec un œil différent en prenant vraiment en compte les aspirations des gens. Mais le risque, vu la dynamique de la reprise, est, comme au lendemain de la crise de 2008, de se replier uniquement sur les facteurs économiques et sur la finance, de faire passer la dimension environnementale au second plan, sans tirer les enseignements de ce qui s'est passé. Alors qu'au contraire c'est à chacun : responsables politiques, organisations professionnelles, industriels, entreprises, artisans, salariés, etc., d'avoir la volonté d'en sortir par le haut.Quelle est la place de la transition énergétique dans ce nouveau modèle ?Florence Mompo : Elle est centrale ! Elle correspond aux aspirations actuelles. On sent d'ailleurs une prise de conscience progressive, globale, sur les questions liées à la préservation de l'environnement, au climat, à l'alimentation et aussi au gaspillage de l'énergie. Cette prise de conscience de la population doit être encouragée avec de l'information et de la pédagogie et, sans attendre, les mesures économiques et les aides versées aux entreprises par les pouvoirs publics doivent favoriser la transformation vers un monde durable et résilient. Il faut encourager toutes les filières à œuvrer ensemble, en dialoguant, en développant des innovations et en diffusant des solutions technologiques économes en ressources et en impacts sur l'environnement. Les axes de développement sont identifiés : les infrastructures durables avec les énergies renouvelables et des mobilités propres, la rénovation énergétique des bâtiments et la lutte contre les « passoires thermiques », l'économiecirculaire et les circuits courts, ainsi que le numérique responsable. Ce seront d'ailleurs les enjeux majeurs traités lors de l'édition 2021 du salon BePOSITIVE.Le smart, les matériaux biosourcés et l'emploi-formation en fils rouges du prochain salonJustement quel est le rôle d'un salon comme BePOSITIVE ?Florence Mompo : Je dirais d'abord que les salons, les rencontres professionnelles, les congrès, les évènements auront un rôle prépondérant dans la reprise économique car ils sont des moments uniques qui connectent les entreprises, les organisations, les maîtres d'ouvrages, les prescripteurs, les visiteurs des filières, etc. Et ces acteurs vont avoir dans les mois à venir un besoin capital d'occasions de se rencontrer. Pour la transition énergétique, le salon BePOSITIVE 2021 sera un rendez-vous fondateur à une période, en mars, qui doit voir la concrétisation des conditions d'accélération de ce mouvement. Et grâce à notre connaissance des marchés et de leurs acteurs, nous œuvrons pour que ce soit une nouvelle fois un point de rencontre de toutes les énergies : un événement qui fédère tous les acteurs des filières bâtiment et énergie, qui favorise leur dialogue et leur convergence, qui accompagne leurs projets et leurs développements, et qui pousse leurs innovations. Pour reprendre notre baseline, que ce soit une opportunité pour construire ensemble le monde décarboné de demain !Quels sont les partis pris de cette prochaine édition ?Florence Mompo : Nous avons fait du smart, des matériaux biosourcés et de l'emploi-formation nos fils rouges. En effet, une vraie dynamique est enclenchée autour du numérique et de l'IOT qui entrent de plain-pied dans le monde du bâtiment, avec en ligne de mire des économies d'énergie et le développement des services. Les matériaux biosourcés, eux aussi gagnent en performance. Ils profitent d'une nouvelle attractivité dans le secteur de la construction et d'une industrialisation de leur production. Et puis, je le disais, l'émergence d'un nouveau modèle à travers des approches différentes va imposer une évolution des savoir-faire et de nouveaux métiers. Il y aura des transversalités entre certains secteurs en perte de vitesse et d'autres en plein développement. Cet enjeu place le recrutement et la montée en compétences des salariés au cœur des stratégies des entreprises.« Nouveauté 2021, nous allons encore plus jouer sur la complémentarité entre l'événement physique et digital »Pouvez-vous dévoiler d'autres éléments du programme de BePOSITIVE 2021 ?Florence Mompo : Les principaux acteurs des nouveaux systèmes énergétiques, du bâtiment durable, de l'énergie dans le bâtiment et du bois énergie, exposeront pour présenter leurs innovations et leurs solutions en faveur de la transition énergétique. Il y aura beaucoup d'animations comme des conférences, des fire camps, des études prospectives, le tout animé par les grandes fédérations. Nous aurons aussi des démonstrations en live, des formations et des retours d'expérience. Mais la nouveauté, c'est que le salon sera plus interactif. En nous appuyant sur les contenus, les services et les produits, nous allons jouer sur la complémentarité entre l'événement physique et l'événement digital. On proposera par exemple des solutions de webinars. Et nous allons aussi déployer, à destination de l'ensemble de nos publics : exposants, visiteurs et partenaires, des solutions d'intermédiation à distance comme du networking et des rendez-vous d'affaires via une appli mobile. L'occasion pour tous les participants d'être encore plus visibles et de se créer de nouvelles opportunités.A 8 mois de l'événement, que disent les premiers indicateurs ?Florence Mompo : On ne peut pas encore donner de chiffres, mais la tendance est positive. Il y a une belle dynamique autour de cet événement qui est le seul salon français dédié exclusivement aux enjeux et aux solutions de la transition énergétique. A l'international, il bénéficie aussi d'une notoriété grandissante, notamment en Europe, au Maghreb et en Afrique. Malgré le contexte, tous les feux sont donc au vert, les partenaires et les entreprises nous font déjà part de leur enthousiasme à l'idée de se retrouver !
Il y a 4 ans et 285 jours

La Banque des Territoires et Bpifrance lancent un Plan Climat de 40 milliards d'euros

Continuum de solutions opérationnelles d’accompagnement, transverse aux deux entités, il vise simultanément les projets de transition verte des entreprises et des acteurs publics des territoires. Ce Plan Climat repose sur trois piliers : Accélérer la transition des entreprises et des territoires avec des solutions financières et d’accompagnement, Accompagner le développement des énergies renouvelables (ENR) et contribuer à la croissance de champions internationaux, Financer et accompagner massivement l’innovation dans les « greentechs » et dans les réseaux durables et résilients pour trouver les solutions technologiques de la TEE. Le déploiement du Plan Climat par Bpifrance et la Banque des Territoires renforce la dynamique engagée par le groupe Caisse des Dépôts suite à l’accord de Paris. Le Plan Climat rassemble de manière opérationnelle des solutions de financement et d’accompagnement à destination des collectivités locales et des entreprises des territoires. L’action conjointe de ces deux acteurs financiers publics complémentaires déclenchera un effet d’entraînement sur l’investissement et l’emploi et contribuera ainsi à la relance.« Ce Plan Climat de 40 Md€ vient matérialiser l’engagement de notre Groupe en faveur de la transition écologique et énergétique de l’ensemble des territoires. En complément de financements aux conditions fortement améliorées pour soutenir spécifiquement les investissements des territoires en matière de TEE et de résilience, la Banque des Territoires les accompagnera dans le cadre d’une approche unique de bout en bout, avec des crédits d’ingénierie et des outils numériques pour faciliter la prise de décision des élus locaux. Nous avons l’ambition, par cette approche, de contribuer à créer un véritable effet déclencheur au niveau local sur la décision d’investissements en matière de TEE ».« L’exceptionnelle dotation du Plan Climat va permettre à Bpifrance d’être un agent de transformation et d’entrainement des entreprises vers les technologies de la transition environnementale et écologique. Celle-ci constitue une opportunité majeure de création de valeur et d’emplois. » déclare Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance. « Bpifrance, investi de longue date dans cette vaste transformation, va renforcer substantiellement son action en démultipliant les financements et l’accompagnement des entreprises vers cette transition. Amélioration de l’efficacité thermique des bâtiments, accompagnement des développeurs d’énergies renouvelables, soutien à l’innovation, décarbonation de l’industrie… ; les entreprises trouveront dans ce Plan l’ensemble des réponses opérationnelles à leurs besoins, quel que soit leur niveau d’engagement actuel dans cette transition. »-Olivier Sichel, Directeur de la Banque des TerritoiresI. Accélérer la transition des entreprises et des territoires avec des solutions financières et d’accompagnement Bpifrance et la Banque des Territoires mobiliseront 20 Md€ pour aider les entreprises industrielles à se décarboner, développer la mobilité verte et améliorer l’empreinte environnementale des bâtiments des entreprises et des collectivités dans les territoires. 14,9 Md€ seront déployés par la Banque des Territoires et Bpifrance, pour améliorer l’efficacité thermique de 22 millions de m2 de bâtiments d’entreprises, de collectivités locales ainsi que la rénovation de plus de 500 000 logements sociaux :La Banque des Territoires accordera, sur les 5 prochaines années, 10 Md€ de prêts à la rénovation, principalement énergétique, de logements sociaux.La rénovation thermique des bâtiments publics bénéficiera d’une enveloppe de 2Md€ de prêts de la Banque des Territoires (prêts GPI Ambre aux conditions améliorées avec en particulier un abaissement du taux (Livret A + 0,6 %) ou encore l’augmentation des quotités pouvant être servies) et de 500 M€ de fonds propres, avec un focus sur le bâti scolaire, et complétés par 250 M€ du PIA[1] pour la rénovation des Universités.Afin d’améliorer l’efficacité énergétique des locaux dans lesquels les entreprises exercent leur activité, Bpifrance déploiera une offre de crédit-bail immobilier pour un montant de 1 Md€, des prêts en faveur des travaux de rénovation énergétique avec une cible de 600 M€ et des financements de contrats de performance énergétique pour 150 M€, pour les bâtiments d’activité commerciale.3,5 Md€ pour développer la mobilité verte et résiliente, avec notamment le financement de 11 000 véhicules verts et 50 000 bornes de rechargeLa Banque des Territoires et Bpifrance vont combiner leurs efforts en matière de financements, en crédits ou en fonds propres, pour contribuer au développement de mobilités douces et de modes alternatifs d’alimentation en énergies (infrastructures de recharge électrique) ou encore pour la résilience des infrastructures de transport dans les territoires (pont et rail) : Bpifrance proposera aux entreprises de transports des conditions d’octroi de crédit-bail « matériel » avec une durée de 10 ans en cas d’achat de véhicules propres.La Banque des Territoires accompagnera ses clients publics dans leurs investissements en bornes de recharge de véhicules électriques pour soutenir l’essor de cette filière industrielle, mais également d’avitaillement en biogaz (près de 250 M€ de fonds propres y seront dédiés, avec un objectif de près de 400 M€ supplémentaires de prêts pour les bornes électriques et d’avitaillement hydrogène).Pour financer des flottes de matériel roulant propre (transport routier, fluvial ou ferroviaire…), la Banque des Territoires proposera également son concours en fonds propres avec une capacité globale d’action portée à plus de 350 M€ ainsi qu’un objectif de 300 M€ de prêts dédiés bénéficiant de l’amélioration des conditions de prêts aux mobilités durables (tarification ou encore quotités).En matière d’adaptation des mobilités post-Covid, la Banque des Territoires financera par ailleurs les plans de transformation des voieries des villes pour répondre aux enjeux des nouvelles mobilités (pistes cyclables, logistique urbaine durable …) et financera l’équipement en outils d’aide à la décision en temps réel. Elle dédiera 70 M€ de fonds propres à cet objectif mêlant adaptation au contexte sanitaire et ambitions de durabilité, avec un objectif de 350 M€ de prêts dédiés.La Banque des Territoires financera les investissements pour des mobilités durables et résilientes, selon des modalités améliorées, participant ainsi à la reprise dans les territoires par les chantiers locaux lancés. Elle se fixe un objectif de 1,3 Md€ de prêts pour financer l’accélération des travaux pour la durabilité et la résilience des infrastructures dans les territoires (notamment en matière de régénération du rail sur certains axes dans le cadre du Plan gouvernemental dédié ou encore la rénovation des ouvrages d’art routier et des ports). Plus globalement, et en supplément, la Banque des Territoires ambitionne d’investir 200 M€ en fonds propres dans des projets d’infrastructures régionales et locales, pour fluidifier et optimiser les flux et ainsi participer à l’ambition de réduction de l’empreinte globale. 1,5 Md€ mobilisé au bénéfice de la décarbonation de plus de 1300 entreprises industriellesBpifrance et la Banque des Territoires mobiliseront toute leur gamme de financements, et d’outils d’accompagnement, au service de la décarbonation des entreprises industrielles. Bpifrance proposera aux entreprises industrielles le Prêt Vert, à hauteur de 1,5 Md€ via un dispositif de prêt sans garantie s’adressant aux PME et ETI qui investissent pour améliorer la performance environnementale de leur process industriel ou de leurs produits, notamment via des programmes faisant suite à des dispositifs d’accompagnement en partenariat avec l’ADEME, centrés sur la TEE. En complément, le prêt Economies d’Energie de 350 M€ viendra financer via un prêt sans garantie des opérations éligibles au Certificat Economie d’Energie des secteurs « Industrie » et « Bâtiments tertiaires ».La Banque des Territoires mobilisera 250 M€ de fonds propres pour investir dans des actifs nécessaires à la transition écologique et énergétique d’industriels : production d’énergie renouvelable et locale par ces industriels (centrale biomasse, production de chaleur, de froid, hydrogène vert…) ou encore recyclage de leurs déchets.Bpifrance complète sa gamme de dispositifs d’accompagnement, avec des outils dédiés aux entreprises désireuses d’initier ou d’accélérer leur transition écologique et environnementale :Le Climatomètre, en première approche : un autodiagnostic en ligne qui permet à l’entreprise d’établir un premier état des lieux de son empreinte écologique.Le « Diag Eco Flux », en partenariat avec l’ADEME, en dispositif plus intensif pour établir une photographie des flux en matières premières, eau, énergie et déchets afin d’identifier les pistes d’économies d’énergies pour réduire l’impact environnemental de l’entreprise.La création en partenariat avec l’ADEME, de deux nouveaux Accélérateurs d’entreprises. L’un destiné aux entreprises « offreuses de solutions » de la transition verte, et l’autre visant à regrouper les entreprises menant un ambitieux projet de transition de leur mode de production.La création du VTE vert (Volontariat Territorial en Entreprise) pour des jeunes diplômés ou apprentis, cherchant une première expérience professionnelle centrée sur des projets de transition verte au sein de PME et ETI. Le VTE vert permettra à 1000 étudiants et jeunes diplômés de s’engager au sein de PME et ETI françaises pour y mener des projets de transformation en lien avec leur spécialité.La Banque des territoires accompagnera 2 500 projets ou collectivités via un partage de bonnes pratiques (en collaboration avec l’ADEME), un appui en ingénierie des territoires Cœur de ville et Petites villes de demain ainsi que Quartiers Prioritaires de la Ville, l’intermédiation de financements européens et un accompagnement spécifique aux territoires fragiles.II. Doubler les financements dédiés aux ENR et contribuer à la croissance de champions internationaux14,5 Md€ seront déployés pour la croissance des développeurs d’énergies renouvelables (ENR) avec un objectif de 8,8 GW de puissance installée, en France et à l’export, et un soutien aux secteurs nécessaires à l’innovation dans ce domaine :La Banque des Territoires investit dans la production d’ENR à hauteur de 900 M€ d’investissements dans les infrastructures sur 5 ans, dont 40 M€ pour la production d’hydrogène vert dans les territoires.Bpifrance a développé un continuum de financement, d’investissement et d’accompagnement en conseil pour booster la croissance des entreprises de la filière de 2020 à 2024 :L’activité historique de Bpifrance sur le cofinancement[1] des ENR sera doublée et complétée avec la création d’une offre spécifique pour le préfinancement de projets pour un total de 12,7 Md€ sur la période.Bpifrance renouvellera son fonds d’investissement dédié aux développeurs d’ENR (Fonds France Investissement Energie Environnement – FIEE) à hauteur de 150 M€. Les développeurs d’ENR pourront par ailleurs solliciter des crédits export pour financer leur internationalisation sur une enveloppe cible de 275 M€ d’ici à 2024.Bpifrance accompagnera la structuration de la filière Biogaz avec une enveloppe de 350 M€ de prêts, financés par le ministère de l’Agriculture et l’ADEME. En complément, Bpifrance mettra à disposition des entreprises tous les dispositifs d’Accompagnement Bpifrance, notamment les missions de conseil et la possibilité de rejoindre l’accélérateur TEE, en partenariat avec l’ADEME, ainsi que les accélérateurs transverses.Enfin, le financement de solutions techniques visant à l’autoconsommation des collectivités et des entreprises bénéficiera également de financements à hauteur de 100 M€ de prêts. III. Financer massivement l’innovation dans les « greentechs » et les réseaux durables et résilients pour trouver les solutions technologiques de la TEE La France a tous les atouts nécessaires pour faire émerger un écosystème d’offreurs de solutions et devenir un des leaders mondiaux en la matière : recherche publique et privée de qualité dans les secteurs concernés, grands groupes leaders au niveau mondial, communauté entrepreneuriale dynamique, fonds de capital-risque de plus en plus puissants et financements publics importants.Pour contribuer à cette dynamique, Bpifrance et la Banque Territoires déploieront 5 Md€ :2,5 Md€ mobilisés par Bpifrance pour soutenir l’émergence et la croissance des « greentechs » (i.e. toute solution, principalement technologique, permettant de lutter contre le réchauffement climatique, les pollutions de l’eau, de l’air et du sol et contribuant à la préservation des ressources naturelles). Près de 9 000 projets portés par des « greentechs » seront ainsi accompagnés, notamment via un continuum de financement renforcé à toutes les étapes de leur développement :Doublement des aides à l’innovation de Bpifrance, qui passent de 150 M€ par an en 2019, à 300 M€ par an à partir de 2021. Elles financeront davantage de « greentechs » et les aideront à franchir des étapes souvent plus capitalistiques de leur développement.Bpifrance va également doubler ses investissements en capital-risque (plus de 300 M€ de fonds propres injectés) et doubler ses prêts sans garantie innovation à destination des « greentechs ». Ceux-ci représenteront 600 M€ de financements sur la période.300 M€ seront confiés en gestion par Bpifrance à des fonds privés, pour créer de nouveaux véhicules d’investissements en capacité d’accompagner la montée en puissance d’offreurs de solutions favorisant la TEE.3 Md€ de soutien aux filières et aux dispositifs innovants pour l’aménagement durable et résilient des territoires seront engagés par la Banque des TerritoiresLa Banque des Territoires prend un engagement fort en faveur des dispositifs innovants locaux participant à l’émergence de nouveaux modèles pour la préservation de l’environnement et de la biodiversité. Concrètement, ce sont près de 2,8 Md€ de prêts et 200 M€ de fonds propres qui sont prévus sur la période 2020-2024 pour financer :la rénovation des réseaux d’eau et d’assainissement avec l’Aqua Prêt,le traitement des déchets,les réseaux de chaleur,le portage foncier, qui le cas échéant permettrait notamment le recyclage de surfaces, dans le cadre par exemple de grandes opérations d’intérêt national, évitant ainsi de l’artificialisation supplémentaire,la préservation de la biodiversité, par exemple pour la promotion de Sites Naturels de Compensation.[1] Programme d’investissements d’avenir [2] Les prêts de Bpifrance sont réalisés en cofinancement avec les banques privées. Les montants indiqués s’entendent hors effet de levier.
Il y a 4 ans et 285 jours

Une ferme désuète, rénovée, conjugue dorénavant passé et avenir

DÉFI. Découvrez comment une ferme désuète a été transformée en un programme complet et moderne, incluant le siège d'une communauté de commune, un centre technique communal et un pôle petite enfance.
Il y a 4 ans et 285 jours

Le gouvernement veut faire des villes moyennes "la figure de proue" du plan de relance

"Nos villes moyennes ont été très actives durant la crise de la Covid et nos compatriotes se reconnaissent de plus en plus dans ces villes à taille humaine", a affirmé Jacqueline Gourault, la ministre de la Cohésion des territoires, au terme des troisièmes rencontres d'Action coeur de ville (ACV).Lancé à la fin 2017 et doté d'une enveloppe de cinq milliards sur cinq ans, ce programme a pour objectif de revitaliser les centres des villes intermédiaires qui comptent entre 10.000 et 100.000 habitants, désertés pour beaucoup d'entre elles depuis des décennies.Face à des maires qui s'inquiètent des pertes de revenus avec la baisse prévue des taxes sur les entreprises, le gouvernement a envoyé pas moins de cinq ministres aux rencontres d'ACV pour expliquer que le plan de relance de 100 milliards d'euros sur deux ans "faisait la part belle aux collectivités", comme l'a assuré Mme Gourault."Aujourd'hui, non seulement les villes dites moyennes ne sont plus les oubliées des politiques d'aménagement, mais je dirais qu'elles en sont les figures de proue", a-t-elle souligné."Il y a une très grande opportunité: on redécouvre que notre pays a un très grand atout grâce aux villes moyennes," a affirmé à l'AFP Rollon Mouchel-Blaisot, directeur du programme ACV.Selon ses chiffres, plus de 1.200 projets sont "prêts à démarrer" et peuvent bénéficier des différents dispositifs prévus dans le plan de relance.D'autant que le confinement a suscité un regain d'intérêt pour les villes intermédiaires, comme l'a confirmé un sondage Ifop, publié à l'occasion des rencontres d'ACV, qui révèle que 50% des Français choisiraient de vivre dans une ville moyenne s'ils en avaient le choix.Selon cette enquête, ces villes sont aussi devenues attractives pour les jeunes actifs de moins de 35 ans qui vivent dans les métropoles, dont 36% souhaiteraient y déménager."Le sondage montre un nouveau regard porté par nos compatriotes sur ces villes qu'ils avaient eu tendance à négliger un peu", a commenté M.Mouchel-Blaisot."Attractivité culturelle"A Senlis (Oise), ville de 15.000 habitants, qui en a perdu un millier depuis dix ans, la maire (sans étiquette) Pascale Loiseleur, a perçu ce regain d'intérêt depuis le déconfinement."Les habitants des métropoles et des grandes villes se rendent compte que l'on vit probablement mieux dans une petite ville où l'on peut tout faire à pied", a-t-elle affirmé à l'AFP.Même tendance à Douai, ville du Nord de près de 40.000 habitants: "Il y a une fenêtre de tir pour les villes qui sont prêtes avec un projet cohérent", a expliqué à l'AFP le maire (PS) Frédéric Chéreau, reconduit lors des municipales à la tête d'une majorité rose-verte.Il n'écarte pas la possibilité d'attirer des Lillois à Douai, "qui n'est distante que de 20 minutes, mais où les appartements sont deux fois plus grands pour le même prix".Au cours des rencontres auxquelles a participé la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili, M. Mouchel-Blaisot a aussi exprimé sa volonté de "renforcer la contribution ACV à la transition écologique"."Le programme vise à remettre des habitants, des commerces, des services et des équipements dans le coeur de nos villes qui étaient désertées, à lutter contre l'étalement urbain et à mieux maîtriser l'urbanisme commercial périphérique", a-t-il indiqué.Pour sa part, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, a annoncé le prochain lancement d'un nouveau label qui sera attribué tous les deux ans à des villes moyennes ou un groupement de collectivités pour "distinguer" leur "attractivité culturelle".
Il y a 4 ans et 285 jours

Eqiom enregistre une réduction de 2.700 tonnes d'émissions de CO² de ses transports

Dès 2017, EQIOM fût le premier groupe de matériaux de construction à s'être engagé à la démarche « FRET21 - les chargeurs s'engagent » initiée par l'ADEME et l'AUTF. EQIOM affiche un bilan d'une réduction de 5% des émissions de gaz à effet de serre soit, 2.700 tonnes de C02 évitées, après 3 ans d'actions concrètes. Cette année, l'industriel continue son engagement sur les 3 prochaines années en renouvelant l'intégration de la démarche « FRET21 » dans sa stratégie de développement durable.Une source concrète d'engagement durable« FRET21 – les chargeurs s'engagent » a pour objectif d'inciter les entreprises, agissant en tant que donneurs d'ordres des transporteurs, à intégrer l'impact des transports dans leur stratégie de développement durable. Près d'une cinquantaine d'entre elles sont à l'heure actuelle engagées dans la lutte contre l'impact des transports sur le climat.De nos jours, 92% des émissions de CO² du transport sont émis par le transport routier, qui représente plus de 80% de la consommation du secteur des transports. L'initiative de l'ADEME et de l'AUTF challenge les entreprises investies au travers de différentes actions mises en place autour de quatre axes pour réduire les émissions de CO² :Taux de chargementDistance parcourueMoyen de transportAchats responsablesEn intégrant le programme, EQIOM illustre de façon concrète son engagement en matière de développement durable, cœur de sa stratégie RSE. Ainsi 5 projets EQIOM ont été initiés durant la période janvier 2017/décembre 2019 permettant une baisse de 5% des émissions annuelles de CO² et de gaz à effet de serre.80% des objectifs atteints dans un contexte pas toujours propiceL'engagement portait sur une période de 36 mois durant laquelle EQIOM s'est investit pour réduire l'impact des émissions de CO² et de gaz à effet de serre liées aux transports dans ses branches Ciments et Granulats. Pour ce faire, diverses actions ont été menées par l'industriel dont certaines ont obtenu d'excellents résultats sur la période :Mise en place du double fret pour limiter les transports à vide de nos marchandises ensachées en augmentant les retours en charge : sur 2019 en global 72% des retours à charge soit, 9% d'émissions évitéesAugmentation de la part du transport ferroviaire afin de doubler les volumes transportés : sur 2019, malgré les grèves, 89% de transports ferroviaires soit 24% d'émissions évitéesRéduction du tonnage transporté entre les différents sites en modes routiers en impliquant les usines par la réduction les distances parcourues et l'utilisation du rail et du fluvial maritime dès que possible soit, 10% d'émissions évitéesExploitation de véhicules consommant des carburants verts (GNL, GNC, Ethanol…) en nouant de nouveaux partenariats (mise en service de 4 camions à motorisation verte par gaz naturel et bioéthanol il y a un an) qui, malgré des retards de livraison, ont permis d'enregistrer une baisse des émissions de 5%Sensibilisation, challenge, incitation des transporteurs EQIOM sont autant d'actions à mettre en œuvre pour réduire des émissions pour l'obtention de Labels Eco-responsables (Charte Objectif CO², Label CO²…). Par ailleurs, EQIOM est également engagé avec l'agence de notation TK Blue pour les émissions de gaz à effet de serre.« Comme sur l'ensemble du territoire, notre activité de transports a été impactée par la situation sociale et notamment les mouvements de grèves sur les routes et dans le ferroviaire. Cependant, nous nous réjouissons des résultats obtenus pour ce premier challenge même si nous n'avons pu atteindre nos ambitions à 100%. Nous n'en sommes que plus motivés et nous impliquerons d'autant sur ces trois prochaines années. » - Jérôme Becamel, Responsable logistique chez EQIOMUne initiative reconduite et intensifiéeConscient des enjeux actuels et des nouvelles préoccupations engendrées par la crise du coronavirus (baisse de la pollution durant le confinement, reprise et accélération des grands chantiers - Jeux Olympiques, Grand Paris…), et qui vont intégrer les engagements européens déjà pris, EQIOM continue son implication dans cette démarche « FRET21 - les chargeurs s'engagent », afin de limiter l'impact de ses transports.Au plus près des mesures de celui-ci, l'industriel projette déjà, dans le cadre de son nouvel engagement « FRET21 » de nouveaux investissements et le renfort de ses actions sur les 3 années à venir notamment par l'utilisation d'un plus grand nombre de camions verts, l'exploitation de plus de trains électriques ou encore l'emploi d'énergies alternatives.Ainsi, c'est plein d'ambitions qu'EQIOM réitère sa volonté de réduire l'impact de son activité de transports sur le climat et de contribuer à la sauvegarde de notre planète.
Il y a 4 ans et 285 jours

ADC Awards 2020 : Les lauréats, catégorie « Culture »

Cette année, la rédaction de Muuuz a récompensé les réalisations architecturales les plus remarquées dans deux domaines « Musées et espaces artistiques » et « Espaces culturels et loisirs ». Catégorie « Culture » Prix « Culture – Musées et espaces artistiques » : Fluctuart, Paris (7e) – Seine DesignPremier lieu d'exposition flottant, le Fluctuart est conçu par SEINE DESIGN, agence d'architecture fluviale notamment à l'origine du Rosa Bonheur sur Seine ou du bateau-restaurant d'Alain Ducasse. Inscrit dans le programme « Réinventer la Seine » lancé par la Mairie de Paris, le projet propose une programmation d'expositions de street-artistes internationaux dans un cadre inédit. Prix « Culture – Espaces culturels et loisirs » : École de musique d'Élancourt, Élancourt (78) – Opus 5 architectes Opus 5 architectes signe la reconversion de l'ancien centre œcuménique d'Élancourt (78) en une nouvelle école de musique pour la commune. La sérénité, l'art et la transmission... voilà les notions sur lesquelles les architectes de l'agence parisienne se sont appuyés pour donner vie à ce projet.Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez la sélection de la catégorie « Culture ». La Rédaction
Il y a 4 ans et 285 jours

Houzz lance Houzz Pro : un logiciel de gestion pour les professionnels de la maison

Houzz Inc., la plateforme de référence pour la décoration, l'aménagement et la rénovation de la maison, a annoncé ce 8 septembre le lancement de Houzz Pro, une solution SaaS tout-en-un qui permet aux professionnels de la rénovation et de la conception de maisons de se démarquer, de gagner plus de clients, d'augmenter leurs bénéfices et de rester connectés avec leurs clients et leurs équipes. Houzz Pro associe le marketing local de Houzz, leader du secteur, à un logiciel commercial facile à utiliser qui permet aux professionnels de la maison de gérer l'ensemble du cycle de vie de leurs projets et de leurs clients sur une seule interface. Grâce au logiciel Houzz Pro et à la nouvelle application mobile dédiée, les professionnels peuvent gérer toutes leurs activités commerciales et la communication avec leurs clients à tout moment, où qu'ils se trouvent.« Aujourd'hui plus que jamais, les professionnels de la construction et de la rénovation veulent des outils qui les aident à fonctionner de manière rentable et efficace, et à offrir une expérience client exceptionnelle »« Nous avons créé Houzz Pro après avoir écouté les besoins de notre communauté de professionnels, et il est important pour nous que ce nouveau logiciel soit à la fois abordable et simple d'utilisation. Nous comprenons qu'avec la COVID-19, les professionnels de notre communauté sont confrontés à des défis. Au vu de ces nouvelles demandes, nous fournissons le logiciel à tous nos abonnés professionnels existants dans le cadre de leur abonnement. »- Alon Cohen, co-fondateur et président de HouzzAvec le logiciel Houzz Pro, les professionnels peuvent :Rester connectés avec leurs clients : Un outil de messagerie intégré prend en charge et relie la communication par e-mail et la messagerie instantanée. Ceci comprend le partage de photos et de documents, les demandes de paiement, les factures, les ordres de modification et les délais, afin que les professionnels puissent rester en contact avec leurs clients depuis le bureau, la maison ou sur le terrain. L'outil suit l'historique complet de la collaboration, y compris l'approbation donnée par les clients et autres principales activités. Communiquer de manière proactive : Les professionnels peuvent tenir leurs clients au courant de l'avancée du projet via un tableau de bord client intégré. Les fonctionnalités comprennent un planning du projet montrant les étapes et les phases clés, des fiches quotidiennes avec les informations détaillées du projet, ainsi qu'un historique des échanges et des documents partagés. Faire avancer les projets plus rapidement : Les rendez-vous vidéo permettent aux professionnels de rencontrer les propriétaires de manière virtuelle et sans risque pour discuter d'un projet. L'outil de rendez-vous est synchronisé à l'agenda du professionnel, ce qui facilite la réservation des appels et des réunions. Les professionnels peuvent promouvoir les rendez-vous virtuels sur leur profil et dans l'annuaire Houzz, ce qui permet aux propriétaires de voir leur disponibilité et de réserver directement une première consultation. Gérer les prospects : Un outil intégré de gestion des prospects permet aux professionnels de gérer leur portefeuille de clients provenant de Houzz et de toute autre source pour rester efficaces et décrocher plus de projets. Les professionnels peuvent communiquer directement avec leurs clients potentiels, ajouter des notes internes et joindre des fichiers ou des photos relatives au projet. Lorsqu'un prospect est converti en projet, tout l'historique de la communication passe à l'outil de gestion de projets. Créer et envoyer des devis, obtenir l'accord des clients directement en ligne : Le nouvel outil de création de devis permet aux professionnels d'établir rapidement des devis précis indiquant les produits, les matériaux et les coûts d'installation spécifiques au projet. Les professionnels peuvent également importer leurs propres devis et enregistrer des modèles personnalisés à utiliser pour leurs prochains projets. Les devis peuvent être envoyés par e-mail ou par messagerie instantanée aux clients pour obtenir leur accord au moyen d'une signature électronique. Suivre les ordres de modification, planifier les paiements : Les professionnels peuvent facilement créer, envoyer et suivre les ordres de modification, ainsi qu'obtenir l'accord du client au moyen d'une signature électronique. La fonction permettant de planifier les paiements peut être automatiquement configurée au moment d'envoyer la facture aux clients. Une nouvelle application mobile dédiée à Houzz Pro est également disponible dès aujourd'hui sur iOS et Android pour les abonnés Houzz Pro. Conçue par l'équipe à l'origine de l'application Houzz — la meilleure application mobile de sa catégorie — l'application Houzz Pro présente toutes les fonctionnalités du logiciel de bureau.Les nouvelles fonctionnalités de marketing et de promotion disponibles dans l'abonnement comprennent des analyses de performance améliorées, un service de création et d'hébergement de site Web professionnel, une vidéo de présentation de l'entreprise et la possibilité de mettre en avant le meilleur avis client. Tous les échanges avec les clients incluent automatiquement le logo et le nom de l'entreprise, pour une image professionnelle solide et une crédibilité renforcée auprès des clients.Houzz Pro est disponible sur houzz.fr/pro, et les abonnements sont adaptés à tous les budgets et à toutes les équipes. Pour aider plus de professionnels à démarrer, les nouveaux forfaits sont proposés à partir de seulement 39 € par mois.Houzz comprend plus de 2,5 millions de professionnels de la rénovation et de l'architecture dans plus de 65 catégories, y compris les architectes d'intérieur, les architectes, les entrepreneurs généraux et les constructeurs. Houzz Pro est accessible à tous les professionnels de la rénovation et de l'aménagement de la maison en France, en Italie, en Espagne, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Irlande, aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Russie.
Il y a 4 ans et 286 jours

Sekoya : L’innovation tournée vers le bas carbone

Après les différentes présentations des candidats et les retours d’expériences des partenaires, 5 lauréats ont été sélectionnés pour rentrer dans le programme de Sekoya. [©VincentGerbet] Dans la lutte contre le réchauffement climatique, la réduction des émissions de gaz à effet de serre est un combat majeur. De manière générale, le bâtiment n’a pas bonne presse dans le domaine… Gros consommateur d’énergie et émetteur de CO2, le secteur a du chemin à faire pour atteindre les objectifs de la neutralité carbone. En effet, la loi relative à la Transition énergétique pour la croissance verte, promulguée en 2015 a introduit la Stratégie nationale bas carbone. Et à cette occasion, la notion “zéro carbone” d’ici 2050. En dehors des effets de greenwashing1, de nombreux industriels et entreprises s’engagent pour construire, habiter et détruire ou rénover de façon plus responsable. C’est le cas d’Eiffage qui est à l’origine de Sekoya. Géré et animé par Impulse Partners [Lire encadré], la plate-forme a été imaginée comme un véritable carrefour s’articulant autour du bas carbone. Elle évolue autour de 6 grandes thématiques : “conception et réalisation bas-carbone”, “économie circulaire”, “biodiversité et génie écologique”, “énergie renouvelable et performance énergétique”, “méthodes et outils” et enfin, “nouvelles mobilités”. Impulse Partners Impulse Partners est spécialisée dans l’accélération d’innovations dans les domaines de la construction, les smart-cities ou encore l’immobilier et l’énergie. L’entreprise développe, anime et gère des plates-formes de rencontre entre des start-up proposant des solutions innovantes et les donneurs d’ordres de tous types. Ceci, en marque blanche ou sous la bannière Impulse Lab. Impulse Partners collabore notamment avec le CSTB Lab ou le CementLab. D’une part, Sekoya rassemble des “partenaires” à l’image d’Eiffage, Saint-Gobain, Covivo, Gerflor, GRDF, Legrand ou encore Vicat, l’Union sociale pour l’habitat et le CSTB. Et d’autre part, des start-up et des PME qui candidatent. Un club d’industriels et de solutions. « L’idée est d’impulser des collaborations entre les deux parties dans des démarches concrètes, explique Alice Birolo, consultante chez Impulse Partners.Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 286 jours

Action Cœur de Ville, accélérateur de la relance

Les pilotes d’Action Cœur de Ville réaffirment le rôle moteur de ce programme, dans la relance de l’économie française. Cinq jours après l’annonce du plan gouvernemental, sept ministres participent, ce 8 septembre à Paris, à la troisième rencontre nationale des 222 villes moyennes en quête d’attractivité. Plus des deux tiers d’entre elles ont répondu présent.
Il y a 4 ans et 287 jours

Freyssinet renforce une buse par Bfup projeté

Projection du Bfup Ductal sur les piédroits et le radier de la buse à rénover. [©Vinci] En langage ornithologique, une buse est un petit rapace, d’un poids pouvant atteindre 1,40 kg pour une envergure de 1,30 m. En langage populaire, on nomme ainsi une personne stupide et ignorante. Et en langage autoroutier, il s’agit d’un passage inférieur. Ouvrage, qui garantit les continuités écologiques et hydrauliques de part et d’autre d’une infrastructure. Le concessionnaire Vinci Autoroutes Ouest en gère quelque 470 sur son réseau, allant d’Angers à Toulouse, dont 341 sont métalliques. Toutes bénéficient d’un programme de surveillance continue. Ce dernier a ainsi identifié 45 buses à rénover en priorité… Principe de fonctionnement d’une buse sous autoroute. [©Vinci] Conçues pour une durée de vie de 50 à 70 ans, les buses ont beaucoup été utilisées dans les années 1970/1980. De par leur positionnement dans le sol, sous autoroute, elles sont exposées et sensibles aux agressions de leur environnement. Et peuvent présenter des désordres structuraux (déformations longitudinales comme transversales, aplatissement, corrosion) dès l’âge de 35/45 ans.  Le Bfup : une technique innovante A côté de Tarbes, au niveau de la commune de Barbazan-Debat, sur l’autoroute A64, prend place la buse de passage agricole n° 1474. Plus de 40 ans après sa construction, elle fait aujourd’hui l’objet d’une rénovation totale, profitant d’une approche technique innovante.  L’utilisation du Bfup permet de limiter à 6 cm la surépaisseur contre près 30 cm dans le cas d’un béton classique. [©Vinci] Pour cette opération, l’entreprise Freyssinet a proposé un confortement par projection du Bfup Ductal de LafargeHolcim. Cette solution permet de conserver presque à l’identique le gabarit de la buse. A contrario, un renforcement classique en béton armé amènerait une surépaisseur de l’ordre de 15 à 40 cm [voir schéma]. L’avantage de la projection de Bfup est de limiter cet apport à tout juste 6 cm ! Seule limite, la technique est adaptée aux ouvrages d’un diamètre minimum de 2 m. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 287 jours

Au Pré-Saint-Gervais, un projet immobilier de l’OFS signé Chartier-Dalix

Cogedim et Habitat et Humanisme ont signé le 31 juillet 2020 une promesse de vente pour la réalisation au Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis), sur l’ancien site des salaisons Busso, d’un programme immobilier innovant – l’un des premiers de l’OFS – conçu par Chartier-Dalix. Communiqué du maître d’ouvrage. Située au cœur du Pré Saint Gervais, cette friche industrielle […] L’article Au Pré-Saint-Gervais, un projet immobilier de l’OFS signé Chartier-Dalix est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 290 jours

Les Compagnons du Devoir font de la veille sur le web

Les Compagnons du Devoir et du Tour de France forment 4500 jeunes chaque année dans 3 métiers du bois : charpentier, menuisier et ébéniste. L’organisme de formation a décidé d’étendre son action dans la filière bois avec la création de la plateforme collaborative DuMétier. Actualités, avis d’experts, articles, tests produits, causeries sont au programme de ce site à destination des professionnels et des passionnés. Il est indispensable pour les professionnels de se tenir au fait des pratiques et des innovations mais aussi de la réglementation de leur filière pour maintenir leur niveau de compétences. La plateforme veut répondre à ce besoin d’échange et d’informations pour permettre aux professionnels du bois de faire évoluer leur pratique et d’être performants dans leur activité. https://dumetier.org  
Il y a 4 ans et 291 jours

a/LTA architectes : La Lyre

Dans le cadre du processus de rénovation urbaine (ANRU) du quartier de Villejean dans le nord de Rennes (35), l’agence a/LTA architectes vient de livrer l’édifice « La Lyre », un ensemble de vingt-six logements dont huit réservés aux seniors, un voué à accueillir une colocation d’étudiants et dix-sept dédiés aux familles. Retour sur un programme intergénérationnel. Installée au sein de la ZAC Normandie Saumurois, la résidence intergénérationnelle baptisée « La Lyre » s’inscrit dans le projet de rénovation urbaine (ANRU) de Villejean, et a pour vocation de favoriser l'entraide intergénérationnelle et la cohésion sociale à l’échelle du quartier. Composé de vingt-six logements répartis entre seniors, étudiants et familles, cet ensemble de 1 955 mètres carrés propose des nouvelles façons d’habiter. Missionnés par Archipel Habitat, les maîtres d’œuvre ont réfléchi sur les intentions, la sobriété structurelle, la rationalité d’usage et la pérennité de l’édifice pour respecter les contraintes financières du projet et le cahier des charges de la maîtrise d’ouvrage, ainsi que pour créer l’atmosphère chaleureuse de l’immeuble : « A cette écriture tramée et rigoureuse, nous proposons une "nervosité" en attique, évoquant des typologies de logements individuels, sorte de maisonnées à toits monopente, habillées de bardage type tôle ondulée », expliquent les fondateurs de l'agence a/LTA architectes Maxime Le Trionnaire et Gwénaël Le Chapelain. En superstructure, les façades minérales sombres mettent l’accent sur les imposants panneaux verticaux, scandés par des coursives en vitrage clair en façade Nord et des petites terrasses en façade Sud. Illustrant les intentions du programme intergénérationnel, le dispositif d’accès par coursives assure à tous les appartements d’être lumineux – traversant ou en double orientation –, et facilite les rencontres entre générations. En façade, au droit des fenêtres des chambre ou de la cuisine, des dispositifs invitent les habitants à végétaliser le bâti. Les garde-corps perforés en aluminium naturel assurent aux habitants intimité et confort tout en ouvrant l’intérieur sur l’extérieur.Avec « La Lyre », a/LTA architectes livre un ensemble atypique résolument social. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence a/LTA architectes. Photographies : © S. ChalmeauLa Rédaction
Il y a 4 ans et 291 jours

Le gouvernement présente les mesures de son plan de relance de 100 milliards d'euros, le bâtiment est prêt !

Les principales mesures en détailCompétitivité - 35 milliards d'eurosBaisse pérenne de 10 milliards d'euros des impôts de production (soit 20 milliards sur les deux ans du plan de relance), via notamment une réduction de moitié de la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (soit 7 milliards) et la baisse de moitié des impôts fonciers pesant sur les sites industriels.Cette baisse des impôts de production bénéficiera à 42% aux entreprises de taille intermédiaire (ETI), à 32% aux PME et à 26% aux grandes entreprises selon le gouvernement.3 milliards d'euros de soutien aux fonds propres des entreprises, via une garantie publique associée aux prêts participatifs accordés par les banques ou à des fonds qui seraient labellisés par l'Etat. Le gouvernement espère ainsi créer un effet de levier et mobiliser le secteur bancaire entre 10 et 15 milliards d'euros.L'État subventionnera à hauteur d'1 milliard d'euros le développement industriel sur les territoires, soit 400 millions d'euros pour le dispositif existant des territoires d'industrie et 600 millions pour un appel à projet sur la relocalisation de productions en France.11 milliards d'euros prévus dans le prochain Programme d'investissements d'avenir (PIA) seront fléchés vers le plan de relance et concerneront notamment des aides à l'innovation de Bpifrance.385 millions d'euros seront alloués à la transition numérique des TPE et PME.Le gouvernement a également évoqué ces dernières semaines des aides à l'export et des simplifications administratives pour accélérer la reprise de l'activité.Transition écologique - 30 milliardsLes transports bénéficieront de 11 milliards d'euros, dont 4,7 milliards d'euros affectés à la SNCF afin de redévelopper le fret ferroviaire, en particulier la ligne Perpignan-Rungis, les petites lignes et deux lignes de trains de nuit. Le reste ira à un plan vélo et aux transports publics.Près de 7 milliards d'euros sont mobilisés pour la rénovation énergétique des bâtiments: 4 milliards pour les bâtiments publics (écoles, université, etc.) et 2 milliards pour les ménages via la prime Maprimerénov' qui sera accessible à tous les ménages, sans plafond de revenus, à partir du 1er janvier 2021. Le gouvernement veut notamment viser les rénovations globales, plus efficaces en terme d'économie d'énergie, ainsi que les bailleurs et les copropriétés, là où les travaux sont les plus difficiles à déclencher.9 milliards seront affectés à l'accompagnement des entreprises dans leur transition énergétique, notamment via la recherche et l'innovation, dont 2 milliards pour développer l'hydrogène +vert+, c'est-à-dire non issu des hydrocarbures.Le développement d'une agriculture plus durable et d'une alimentation plus saine bénéficiera d'aides de 1,2 milliard d'euros.300 millions d'euros iront à l'accélération de la rénovation des réseaux d'eau, en particulier outremer.Cohésion sociale et territoriale - 35 milliardsUn plan pour l'emploi des jeunes, doté de 6,5 milliards d'euros déjà votés cet été, comprend notamment l'aide de 4.000 euros pour toute embauche d'un jeune de moins de 26 ans pour un contrat de trois mois minimum, les primes pour l'embauche de jeunes en alternance, les contrats d'insertion ou le service civique étendu.Un "bouclier anti-chômage" sera déployé via l'activité partielle de longue durée (6,6 milliards) et un renforcement des moyens du dispositif FNE-Formation, axé notamment sur les secteurs d'avenir (1 milliard).5,2 milliards d'euros iront soutenir l'investissement des collectivités.Environ 6 milliards d'euros pour le soutien à l'investissement des hôpitaux.L'augmentation de 100 euros de l'allocation de rentrée scolaire représente environ 500 millions d'euros.Le plan pauvreté et anti-exclusion sera doté de 200 millions d'euros supplémentaires.350 millions iront financer la rénovation de ponts en danger sur les territoires.Le bâtiment est prêt pour le plan de relance, selon la FFBLa FFB se réjouit de trouver le bâtiment à sa juste place dans le plan « France relance » du gouvernement, avec 7 milliards d’euros d’aides supplémentaires pour la rénovation énergétique du parc existant.Sous réserve des barèmes à préciser dans la loi de finances pour 2021, la FFB se félicite d’y retrouver plusieurs de ses demandes. C’est notamment le cas de l’ouverture confirmée de MaPrimeRénov’ à l’ensemble des ménages, aux bailleurs privés et aux copropriétés. C’est aussi le cas du soutien massif aux bâtiments publics, notamment d’enseignement, hospitaliers et les EHPAD. Ou encore celui des aides à la rénovation énergétique des bâtiments des PME, TPE et indépendants, bien que pour un montant assez faible (200 millions d’euros sur deux ans).En revanche, la FFB déplore l’absence inquiétantes de mesures fortes en soutien au logement neuf. Sur ce segment, le décrochage, amorcé dès le début 2020 sous l’effet des recommandations du Haut Conseil de stabilité financière, ne cesse de s’accélérer. L’accompagnement à la réhabilitation des friches, pour important qu’il soit (650 millions d’euros sur deux ans), ne permettra pas la relance à court terme de l’accession sociale et de l’investissement locatif. Il y a là de nombreux emplois en jeu.« L’engagement résolu du gouvernement en faveur de la rénovation énergétique doit être salué. La profession est prête à y répondre et à mobiliser son appareil de formation. Reste à s’assurer du détail des mesures annoncées, ainsi que de leur rapide entrée en vigueur. Mais surtout, la FFB, très inquiète du décrochage du neuf, réitère sa demande d’un soutien fort et immédiat à la construction de logements, qui manque encore dans "France relance". Cela passe notamment par un retour au PTZ à 40 % pour toutes les zones et par une prolongation du Pinel au-delà de 2021. Construire des logements pour tous permet aussi de préserver l’emploi dans un secteur qui a toujours accueilli et formé les bâtisseurs du quotidien. »- Olivier Salleron, Président de la FFBLCA-FFB déplore que le logement neuf soit aux abonnées absents du plan de relanceEn dépit de la place accordée au Bâtiment et à la rénovation énergétique dans le plan « France relance » de 100 milliards d’euros annoncé aujourd’hui par le Gouvernement, LCA-FFB déplore l’absence étonnante de mesures de soutien à court terme pour le logement neuf. Depuis le début de l’année 2020, la chute du logement neuf s’accélère : -22,4 % sur six mois pour les ventes de maisons et -31 % pour les logements collectifs. Sur un an à fin juillet, la production de crédits immobiliers pour le neuf a reculé de 16 %. Et plus de 100 000 logements neufs autorisés sont d’ores et déjà menacés pour 2020. Si rien n’est fait, si aucune mesure ne vient rapidement stimuler la demande, soutenir l’offre et booster la reprise du secteur, le scénario du pire est à craindre.Pour Grégory Monod, Président de LCA-FFB, « la crise de la Covid-19, conjuguée aux effets concrets des recommandations du Haut Conseil de Stabilité Financière, a provoqué un sérieux décrochage des ventes de logements neufs, dont le Gouvernement n’a pas pris la pleine mesure. Des mesures immédiates et à prise rapide s’avèrent indispensables pour solvabiliser les ménages, séduire les investisseurs pour mobiliser l’importante épargne privée disponible, restaurer nos marchés et préserver l’emploi du secteur : prêt à taux zéro à 40 % sur tout le territoire, rétablissement de l’APL Accession, renforcement et prolongation du dispositif Pinel. Des outils peu coûteux qui ont fait leurs preuves par le passé et qui participent aux grands objectifs de France relance : écologie, compétitivité et cohésion.»La CPME vigilante sur l'exécution et le soutien aux plus petites entreprisesLe succès du plan de relance tiendra beaucoup à sa bonne "exécution", a jugé jeudi François Asselin, le président de la CPME, qui sera "vigilant" sur le fléchage effectif des aides aux petites et moyennes entreprises (PME)."Tout l'enjeu du plan ce sera sa méthode d'exécution. Les moyens sont là, c'est dans la mise en oeuvre qu'on verra si les résultats sont là", a indiqué le président de la CPME à l'AFP.De son côté, l'Union des entreprises de proximité (U2P), qui considère que les mesures du plan "vont dans la bonne direction", souhaite qu'un "comité de suivi" soit instauré afin de vérifier leur "efficacité" et de "s'assurer que l'ensemble des catégories d'entreprises, notamment les 3 millions d'entreprises de proximité, soient bien associées à la relance".Alors que le Premier ministre Jean Castex a assuré qu'"au moins un quart" des 100 milliards d'euros du plan de relance seront destinés aux PME et aux très petites entreprises (TPE), François Asselin rappelle que les PME "représentent près de 50% de l'emploi salarié en France et plus de 90% des entreprises"."Cela remet en perspective les annonces par rapport au poids réel des PME dans l'économie", a-t-il ajouté.La CPME est globalement satisfaite des moyens débloqués dans le plan de relance. Elle se réjouit en particulier de la baisse pérenne des impôts de production, qui va améliorer la compétitivité des entreprises.Le Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (METI) a également salué dans un communiqué l'"effort frontal" que représente la baisse des impôts de production. Mais elle demande que cet effort soit "pérennisé et amplifié afin de remettre les entreprises de taille intermédiaire françaises dans un environnement de compétitivité aligné sur la moyenne européenne"."Ce dont ont besoin les entreprises, c'est de l'activité, de la compétitivité, de l'efficacité et de la simplicité", a prévenu le président de la CPME."La baisse des impôts de production, c'est important. Mais si les entreprises n'ont pas de boulot, ce ne va servir à rien", a-t-il insisté. Il a notamment cité le cas des traiteurs, qui à l'image de nombreux professionnels de l'évènementiel n'ont pas pu reprendre une activité normale du fait de la persistance de l'épidémie de Covid-19.Par ailleurs, si le plan de relance vise à préparer la France de 2030, le président de la CPME estime qu"on ne pourra pas relancer (l'économie) avec des entreprises moribondes".Et il demande au gouvernement de poursuivre le soutien aux entreprises mis en place durant le confinement, par exemple via un étalement sur 7 ou 10 ans du remboursement des dettes contractées depuis le début de la crise.
Il y a 4 ans et 291 jours

FEEBAT accompagne les professionnels de la filière bâtiment dans la reprise économique

Avec sa nouvelle offre, le Programme de formations FEEBAT, entièrement dédiées à la rénovation énergétique performante des bâtiments, s’inscrit pleinement dans la politique de relance économique portée par le gouvernement en l’alliant aux objectifs de transition écologique. Se former avec FEEBAT, c’est l’assurance pour les artisans, les entreprises du bâtiment, les architectes et professionnels de la maîtrise d’œuvre de développer leurs offres de services en répondant aux nouvelles exigences des pouvoirs publics et des maîtres d’ouvrage, soucieux de travaux de qualité apportant confort et économies d’énergie. Les formations FEEBAT portent aussi bien sur la conception (audit énergétique, rénovation globale, etc.) que sur la mise en œuvre (isolation, menuiseries, chauffage, ventilation, énergies renouvelables thermiques, etc.). Des formations au plus près des entreprises, des artisans et des architectes, avec plus de 250 organismes de formation sur tout le territoire Pour une offre de proximité, FEEBAT travaille avec plus de 250 organismes de formation, sélectionnés pour leurs compétences techniques et pédagogiques, répartis sur l’ensemble du territoire national (métropole et Outre-Mer). Les formations s’adressent aux professionnels du bâtiment (artisans, compagnons, entrepreneurs, etc.) et aux professionnels de la maîtrise d’œuvre (architectes, Bureaux d’Étude, maîtres d’œuvre, économistes, etc.). Des formations en développement pour les enseignants et formateurs Le Programme FEEBAT a connu une évolution majeure en 2018 en décidant d’élargir son offre aux enseignants et formateurs des lycées et CFA de la filière bâtiment ainsi qu’aux enseignants des écoles d’architecture. Son objectif : accompagner les enseignants et formateurs sur les sujets de la rénovation énergétique pour former les futurs professionnels au plus près des besoins du marché. Ceci répond ainsi à la nécessité de former une main d’œuvre qualifiée, partout sur le territoire. Cette évolution est soutenue par le ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse, le CCCA-BTP ainsi que le ministère de la Culture (tutelle des écoles d’architecture), membres actifs du Programme. Des formations innovantes et attractives Nouveaux modules, nouveaux contenus, nouvelle pédagogie… FEEBAT présente la formation nouvelle génération ! Face aux fortes contraintes d’agenda et aux risques sanitaires actuels, FEEBAT a permis le développement de formations au format multimodal associant du distanciel (classe virtuelle ou en autonomie) à des parties en présentiel. L’atout de ces formations ? Une adaptation de la formation au regard des connaissances de chacun et une gestion du temps optimisée (avec la possibilité d’échanger entre pairs et avec le formateur, par exemple dans la réalisation d’études de cas concrètes). Ces formations proposent des activités pédagogiques innovantes qui s’appuient sur le digital (telles la réalité virtuelle, les vidéos interactives, etc.). FEEBAT accompagne le développement des audits énergétiques pour les maisons individuelles Alors que la qualification d’auditeur énergétique de maisons individuelles répond à un marché à fort potentiel (arrêté du 30 décembre 2017 et décret du 30 mai 2018), FEEBAT accompagne les professionnels en activité, leur offrant ainsi une montée en compétences. Les modules suivants s’inscrivent dans le contexte de cette politique publique Focus sur le parcours DynaMOE Il vise à une maîtrise d’œuvre dynamique au service de la rénovation énergétique. Opérationnel depuis mai 2020, ce nouveau parcours de formation multimodal (associant pédagogie distancielle et présentielle) est destiné aux architectes et aux professionnels de la maîtrise d’œuvre. DynaMOE s’articule autour d’un premier parcours dédié à la maison individuelle. Il peut être complété avec un parcours spécifique au bâtiment tertiaire et au logement collectif. Ses objectifs ? Acquérir les connaissances nécessaires pour accompagner des travaux de rénovation énergétique performants, confronter ses connaissances avec un formateur expert et ses pairs sur des études de cas concrètes et des échanges à travers des jeux de rôle, etc. DynaMOE permet : – d’accéder à la qualification d’auditeur énergétique de maison individuelle au sens du décret du 30 mai 2018 – qualification rendant l’audit éligible au CITE et à MaPrimeRénov’ – d’engager ses clients vers un projet de rénovation globale de qualité. Focus sur le module AUDIT Reno Opérationnel en juillet 2020 et destiné aux artisans et aux entreprises du bâtiment, ce nouveau parcours de formation individualisé et multimodal (en présentiel et distanciel), porte sur la réalisation d’un audit énergétique en maison individuelle. Ses objectifs ? Répondre aux nouvelles opportunités de marché et permettre aux professionnels, pour des maisons individuelles, d’établir un audit énergétique en le rendant éligible au CITE et à MaPrimeRénov’. Un vrai plus pour les clients qui ont besoin d’être rassurés sur les gains d’économies d’énergie avant de s’engager dans des travaux de chauffage, d’isolation ou de ventilation. AUDIT Reno permet : – de construire et de chiffrer une rénovation énergétique – de réaliser une simulation énergétique et financière – de définir sa posture d’auditeur – de vendre un audit, le restituer et le transformer en programme de travaux – et d’accéder à la qualification d’auditeur énergétique de maison individuelle (au sens du décret du 30 mai 2018). Focus sur le module RENOVE en distanciel Adapté aux contraintes sanitaires, il est proposé en distanciel sous forme de classes virtuelles avec des formateurs formés à cette pratique. Ce parcours de formation est destiné aux chefs d’entreprises, artisans, économistes, conducteurs de travaux, personnels de chantier, etc. Son objectif ? RENOVE distanciel, tout comme RENOVE présentiel maintenu pour les personnes qui le souhaitent, vise à la compréhension du fonctionnement énergétique d’un bâtiment, des principales technologies clés, des différentes solutions d’amélioration de la performance énergétique d’un bâtiment, de l’appréhension du projet de rénovation énergétique, etc. Le module RENOVE s’adresse au responsable technique de l’entreprise et lui permet de valider ses compétences dans le cadre de la qualification RGE en efficacité énergétique de l’entreprise. Cette qualification est exigée pour le CITE et MaPrimeRenov’, dans le cadre de travaux de rénovation énergétique. FEEBAT, un programme soutenu par les représentants de la Filière Bâtiment avec plus de 180 000 personnes formées FEEBAT est développé et soutenu par les pouvoirs publics (ministère de la Transition écologique, ministère de la Cohésion des Territoires, ministère de la Culture, ministère de l’Éducation nationale, Jeunesse et Sports, l’ADEME), les représentants de la Filière Bâtiment, la CAPEB, le FFB, l’ATEE, le CNOA, les SCOP du BTP, et le CCCA-BTP. Initié en 2007, porté et financé par EDF dans le cadre du dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) et des fonds de la formation continue issus de la collecte des entreprises, le Programme FEEBAT (Formation des professionnels aux économies d’énergie dans le bâtiment) est devenu incontournable en matière de transition et d’efficacité énergétique. Depuis plus de 12 ans, c’est LA référence de la formation des professionnels. Formations FEEBAT
Il y a 4 ans et 291 jours

Port du masque dans les bureaux : on s'adapte et on avait souvent anticipé

Comme une vingtaine d'autres salariés, Mariame Diomande, consultante en recrutement chez Silkhom à Lyon, passe plusieurs heures par jour au téléphone avec ses clients et doit désormais s'habituer à garder le masque sur la bouche. "On doit répéter, parler plus fort et faire l'effort d'articuler", soupire-t-elle.Salles de réunions, couloirs, vestiaires et maintenant open spaces: les règles sanitaires entrées en vigueur mardi généralisent le port systématique du masque dans les bureaux pour éviter la propagation du Covid-19. Le protocole de "déconfinement" du 24 juin ne l'imposait que lorsque la distance d'un mètre n'était pas respectée entre les postes de travail.S'il affirme que la protection de ses salariés reste la "priorité", le PDG de ce cabinet de recrutement lyonnais spécialisé en informatique Thomas Baverel espère que ce protocole sera assoupli dans les prochaines semaines, "pour pouvoir au moins enlever le masque aux postes de travail".La mesure ne semble pas vraiment chambouler les employés et cadres du quartier d'affaires parisien de la Défense. "On portait déjà les masques dans l'entreprise, la direction avait pris les devants", résume Marguerite, salariée du groupe Suez, masquée à sa sortie du bureau pour sa pause de déjeuner.De fait, nombre de grands groupes avaient anticipé la mesure. "Pour éviter qu'une tour où travaillent 15.000 personnes ne se transforme en cluster géant, le port du masque avait été imposé pour tous les déplacements lors du retour au bureau au mois de juin", explique à l'AFP une porte-parole de la Société Générale."Quelques jours de bienveillance""Dès le protocole de déconfinement, nous étions déjà allés au-delà de ce qu'exigeait la loi à l'époque. Depuis le mois de juin nous avons acquis de la pratique et il n'y a pas de grand changement aujourd'hui pour nos salariés", ajoute Karima Silvent, directrice des ressources humaines du groupe AXA.Le port du masque systématique à son poste de travail constitue donc la principale nouveauté. "On s'y est habitué la semaine dernière avec une présence limitée des salariés. On pouvait parfois le retirer, ce qui a permis une transition plus progressive", détaille Tessy Piveteau, assistante administrative de la PME Terre et Lac à Lyon, spécialisée dans les énergies renouvelables.Avec ce nouveau protocole, le gouvernement répond à l'appel de plusieurs infectiologues pour réduire les risques de propagation du coronavirus par aérosols et suit les recommandations formulées par le Haut conseil de la santé publique (HCSP).Comme l'a indiqué auprès de l'AFP Laurent Pietraszewski, secrétaire d'État chargé de la Santé au travail, des dérogations au port du masque ont été prévues mais restent "relativement limitées": elles concernent surtout les personnes seules dans un bureau et les salariés travaillant dans des ateliers si certains critères de ventilation et de distanciation physique, entre autres, sont bien respectés."Quelques jours de bienveillance" seront accordés aux entreprises, le temps de leur permettre de mettre en place les nouvelles règles, a assuré le secrétaire d'État."Pour l'instant je n'ai pas noté de changement significatif", constate Ludovic Martin, salarié au siège d'une banque située à la Défense. "On porte le masque pour se déplacer, mais derrière l'écran il y a encore une tolérance: on verra si ça perdure".
Il y a 4 ans et 291 jours

Jeux de pleins et de vides

Pour le Groupe scolaire et le Pôle petite enfance du nouvel écoquartier de la ZAC Cartoucherie à Toulouse, Véronique Joffre Architecture a imaginé un volume horizontal en R+1 de 6 000 m2 SHON, en contraste avec le contexte surplombé d’immeubles de grande hauteur. Premier équipement public du quartier Cartoucherie, il occupe tout l’îlot en s’alignant sur la voirie. Les menuiseries TECHNAL permettent de profiter de points de vu vers les aménagements paysagers du quartier, et les cours et jardins en cœur d’îlot. L’enjeu était de créer un lieu à la fois stimulant, calme et apaisé pour les enfants. Le choix des solutions aluminium TECHNAL, mises en œuvre par l’aluminier agréé Realco, participe à cette ambiance particulière : acoustique, thermique et luminosité renforcées pour optimiser leur confort, variations de pleins et de vides qui dynamisent le programme… L’enveloppe définit une limite sur laquelle se jouent toutes les possibilités d’ouvertures et de fermetures avec 510 m2 de murs-rideaux GEODE dans les halls du Pôle petite enfance, du Groupe scolaire et de la bibliothèque et 1094 m2 d’ensembles menuisés SOLEAL 65, à soufflet pour ventiler les salles maternelles, et en projection vers l’extérieur pour les salles élémentaires à l’étage. La vêture en bardeaux de terre cuite, expérimentation en référence à la culture de la région, alterne des teintes naturelles mates et des émaillés colorés. Les profilés aluminium TECHNAL couleur « Fossile », comme les finitions de la vêture, s’effacent discrètement au profit de la perception de l’enveloppe polychrome. L’ensemble joue avec les variations de la lumière naturelle. Crédit photos : Technal – photographe Kevin Dolmaire Architecte : Véronique Joffre Architecture
Il y a 4 ans et 292 jours

Architect@Work, la 13e édition les 24 et 25 septembre 2020

ARCHITECT AT WORK ARCHITECT MEETS INNOVATIONS PARIS EVENT CENTER –  13ème édition Jeudi 24 & vendredi 25 septembre 2020 Thème édition 2020 : ESPACES DE VIE   La 13ième édition d’ARCHITECT@WORK PARIS ouvrira ses portes les 24 & 25 septembre prochains.  Cet événement a sélectionné à nouveau plus de 700 nouveaux produits présentés par 220 industriels participants.  Afin de garantir une visite dans un environnement sain et sécurisé, cette édition sera organisée sous le strict respect des nouvelles normes sanitaires. Plus d’info sur www.architectatwork.fr Un concept unique et haut de gamme Evénement réservé exclusivement aux architectes et architectes d’intérieur, ARCHITECT@WORK dispose d’une scénographie originale qui lui confère une atmosphère feutrée et raffinée.  Cet événement s’inscrit dans une démarche hautement qualitative. C’est en effet un comité de sélection qui choisit les nouveautés des industriels qui peuvent être présentées. Cette procédure apporte, pour le visiteur, la garantie de réaliser une visite enrichissante. En outre, des boissons et en-cas sont à disposition toute la journée ; une attention fort appréciée de tous ! Exposition matériaux – MATERI’HOME, des matières à vivre – Hall A Parce que le choix d’un matériau ou d’une technique de fabrication est déterminant dans l’aménagement de nos espaces de vie, l’équipe Innovathèque vous invite à venir découvrir une sélection de matières variées pour concevoir vos intérieurs. Avec le développement du télétravail, nous passons de plus en plus de temps dans notre habitat. Il est donc primordial d’aménager des environnements à notre image qui s’adaptent à nos modes de vie et nos envies.  Matières tactiles et connectées qui ouvrent la voie à de nouveaux usages, matières alvéolaires légères et systèmes d’assemblage innovants pour plus de modularité dans l’habitat, matières recyclées alternatives à nos matériaux traditionnels, matières qui préservent l’environnement et la santé, matières qui jouent avec nos sens…Autant de solutions techniques et esthétiques qui participent à réinventer l’aménagement intérieur pour favoriser notre bien-être.  Exposition photographique : SELECTION OF PROJECTS – Hall A Le Project Wall ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera la diversité du travail des agences membres de World-Architects. Alors que les deux premières expositions portaient exclusivement sur le travail d’architectes, la sélection de 2020 montrera l’orientation interdisciplinaire de World-Architects.  World Architects.com – Profiles of Selected Architects est une plateforme de la scène architecturale actuelle, soigneusement élaborée et reconnue à l’échelle internationale, qui met l’accent sur l’architecture contemporaine. Elle rassemble des architectes, paysagistes, ingénieurs, designers, concepteurs d’éclairage et photographes. Exposition photographique – Lauréats DUO@WORK 2014-2019 – Hall B Dans le cadre de cette 12ème édition, le Comité de pilotage a souhaité présenter les lauréats des 6 premières éditions du concours DUO@WORK    organisé par l’UNSFA Ile-de-France-.  Ce prix distingue les projets qui associent, en étroite complémentarité, recherche architecturale et création industrielle innovante. Tout projet est éligible dès lors qu’il est le résultat d’un parcours concerté, entre un architecte et un industriel, en matière de réflexion, d’invention, de création ou d’adaptation d’un produit, ou d’un ensemble de produits. Les projets présentés sont récents, en cours d’élaboration ou de mise en œuvre.  A noter que le lancement de la 7ième édition de ce concours aura lieu à l’occasion de l’inauguration officielle d’ARCHITECT@WORK 2020. Exposition ACCESSIBILITÉ SÉCURISÉE – Hall A Que cela soit dans la rue, dans des lieux publics, dans un restaurant, un hôtel ou chez soi, l’accessibilité est au cœur des débats depuis la loi de 2015, Handicap 15. Les personnes en situation de handicap sont enfin reconnues car elles sont plus de 10 millions en France. Or 80% d’entre elles ont un handicap invisible…. Aujourd’hui, l’architecte doit intégrer tous ces paramètres dans ses projets et trouver des solutions techniques pour rendre nos vies inclusives et sécurisées au maximum. Depuis 2014, Francis van de Walle présente –à travers sa SENSES ROOM- des solutions pour répondre aux besoins et attentes de tous les handicaps ou maladies lourdes. Il élargit aujourd’hui sa réflexion à la prévention de la propagation d’une maladie virale qui voit le retour du cuivre, un métal qui neutralise tous les virus d’une façon naturelle et efficace. Interventions – Hall B En complément de ces expositions, des interventions d’architectes et de spécialistes principalement axées sur le thème ‘ESPACES DE VIE’. A noter : – une Carte Blanche Archinov dédiée à l’architecte Daniel Meszaros, agence Projectiles (musée de Lodève, musée du folklore wallon, Galerie d’histoire au Château de Versailles..)  – une table ronde ayant pour titre ‘Espaces d’après’ avec les architectes David Enon -agence TVK-, Sophie Delhay, Équerre d’Argent 2019, catégorie Habitat,, et Sarah Wertheimer-Vateau, Fondatrice chez De La Friche Au Projet. – une intervention de Jac Fol, Docteur en philosophie, architecte et chercheur à l’ENSA Paris-Malaquais. Pièces artistiques Faisant à nouveau le lien entre l’art et l’architecture, ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera des réalisations de la plasticienne Nathalie Camoin-Chanet. A la fois fine et puissante, révélant une subtile maitrise des lignes ondulatoires, la sculpture de Nathalie Camoin-Chanet est au croisement de deux influences qui laissent s’épanouir des œuvres aux lignes épurées vers une dynamique abstractive. La maîtrise des matériaux composites lui permet de projeter ses visions aériennes qui l’emmènent le plus souvent à exposer en extérieur. Les sculptures de Nathalie Camoin-Chanet sont paysage, le témoignage d’un flux de données contextuelles qui investit les lieux tant par les formes qu’il propose que par les histoires qu’il invente. ARCHITECT@WORK 2020 vous réserve un programme riche et animé, avec de nombreux nouveaux produits à découvrir et ce, dans un environnement sain et sécurisé.  PARIS EVENT CENTER – 24 & 25 septembre – 13ème édition Jeudi 24 septembre 2020 – 10h00 – 20h00 Vendredi 25 septembre 2020 – 10h00 – 19h00  
Il y a 4 ans et 292 jours

Bâtisseurs Franciliens : Techniques adaptées pour la construction neuve et les contraintes urbaines

Fernando Pereira, Dg de Bâtisseurs Franciliens, et Renald Nattier, chargé d’affaires KP1. [©Gérard Guérit] En 2019, les 10 000 €/m2 sont atteints, voire dépassés à Paris, mais aussi en première couronne. Dans ces communes collées à la capitale, les promoteurs n’hésitent plus à acheter cher des pavillons un peu anciens. Ceci, pour les raser et les remplacer par des immeubles d’habitation, plutôt positionnés “haut de gamme”. La surface au sol est réduite, les parcelles étroites et les accès complexes… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 292 jours

Cinq nouvelles villas à Deauville signées Wilmotte & Associés

Faubourg Immobilier et Wilmotte & Associés sont à l’origine du programme Esprit Loft. Pensé autour de... Cet article Cinq nouvelles villas à Deauville signées Wilmotte & Associés est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 293 jours

Réseau Lorenove, l’avenir d’un réseau gagnant !

En dépit d’un début d’année qui s’annonçait prometteur : + 16% de chiffres d’affaires en janvier et février 2020 par rapport à 2019 ; à l’annonce du confinement – comme pour l’ensemble du Groupe – l’activité du réseau Lorenove a été mise en suspens et a sonné l’arrêt soudain des activités commerciales et de pose. Le réseau, qui venait de réunir fin janvier 2020 ses concessions et agences pour sa 35ème convention, aspirait à une nouvelle année marquée par une forte volonté d’aller de l’avant, avec des méthodes inédites et davantage de moyens mis à disposition. Les ambitions et projets ont dû être laissés de côté et faire place au plan d’urgence pour la relance de l’activité commerciale et la pérennité des concessionnaires. L’appartenance au Groupe Lorillard L’appartenance au Groupe a permis aux concessionnaires de bénéficier d’un appui financier avec des reports d’échéance, des conseils de gestion, un suivi de trésorerie. D’un point de vue réglementaire, le Groupe a également tout mis en œuvre – avec les équipes internes et notamment le service HSE – pour instaurer et organiser les mesures barrières indispensables afin de garantir la sécurité des collaborateurs et celle des clients. Ainsi, le document unique d’évaluation des risques DUER a été adapté et intègre toutes les procédures Covid spécifiques à chacun des métiers : commerce, pose, services support… Une reprise coordonnée Ainsi, tout le réseau a réouvert le 11 mai, certaines concessions en effectif réduit le temps que l’activité reprenne ; pour d’autres, au complet. Certains même, n’ont jamais arrêté leurs activités et ont posé des portails et portes de garage. « Il y a eu des demandes de devis ou demandes de poses durant le confinement, même les interventions SAV sont restées actives » précise Marylène Mitrecey. « Nous avons mis en place une permanence commerciale pour les accompagner durant tout le confinement ; afin que les concessionnaires restés en activité puissent avoir les chiffrages nécessaires à leurs chantiers et que les commandes puissent être enregistrées pour être mises en production. Côté production, nous avons modulé la fabrication en fonction des poses les plus urgentes, nous nous sommes adaptés à la reprise d’activité des concessionnaires pour qu’ils puissent livrer et assurer la réalisation de leurs chantiers. » Une équipe renforcée et complémentaire L’équipe de Gérard Coron-Dall’o désormais constituée de Jean-Christophe Péron – Développeur Réseau arrivé en 2019 – accompagné de 3 animateurs « régions » : Paul Moriaud (Sud) et Emmanuel Tardy (Ouest), rejoints récemment par Nathalie Careaux (IDF, Nord, Est), s’est également étoffée avec l’arrivée de Joao Alves début 2020 en tant qu’animateur technique, chargé des formations et du support technique des concessions. De nouvelles ouvertures en 2020 Le confinement n’a pas altéré la volonté de développement du réseau. Alors que 5 nouvelles concessions ont rejoint le réseau l’année passée, l’objectif 2020, annoncé lors de la convention des concessionnaires, est de doubler ce score et d’atteindre 10 ouvertures. « Les contacts ont été maintenus et les dossiers en cours ont continué d’avancer en dépit du contexte peu favorable, les projets d’ouverture ont perduré. » précise Marylène Mitrecey. Sont d’ores et déjà en cours : trois ouvertures dans la région Lyonnaise (dont une à Roanne), une à Pau et une au Mans. Un plan de communication prometteur Deux opérations commerciales exceptionnelles ont été lancées. Du 15 au 28 mai, l’opération « Vous nous avez manqué » a été promue pour communiquer sur la reprise d’activité de nos concessionnaires et inciter nos clients à revenir en magasins. « L’idée était de prendre la parole tout de suite après la réouverture des magasins, via une communication par email et sms. Nous proposions 15% sur l’ensemble de nos produits pour inciter les personnes à concrétiser les projets nés pendant cette période de confinement » explique Marylène Mitrecey. La seconde campagne, lancée entre le 30 mai et le 20 juin, était une opération commerciale nationale en 3 temps : proposer 150 euros de reprise par fenêtre, porte fenêtre et coulissant pour tous les matériaux ; offrir un lave-vitre de la marque « Kärscher » pour chaque commande ; ajouter une offre complémentaire grâce à l’un de nos fournisseurs référencés « Novoferm » (pour chaque porte de garage du modèle ISO 45 commandée, le moteur était proposé à 1 euro). « Nous avons également négocié des propositions de financement personnalisées dont une offre de crédit à taux 0% (TAEG fixe) afin de pouvoir les proposer à nos clients particuliers durant toute la durée de ces deux opérations. Nous savons que beaucoup ont vu leurs revenus diminuer en cette période et nous souhaitons accompagner au mieux les personnes qui ont malgré tout un projet de rénovation à accomplir. » confie Marylène Mitrecey La campagne nationale de septembre du 12 septembre au 3 octobre a été maintenue. Au programme : 15% de remise sur chaque projet de remplacement de fenêtres, portes-fenêtres et/ou coulissant ; 1 enceinte bluetooth Sony offerte ; une offre spéciale élaborée conjointement avec notre partenaire Profalux, pour proposer le volet roulant Visio Solaire à 599€ TTC posé. En outre, 2 leaflets génériques pour les concessions et agences intégrées ont été créés afin qu’ils puissent faire du boitage durant le confinement et communiquer à la reprise, plus efficacement en local. Également, une interface rassemble l’ensemble des outils de communication : annonce presse, spots télé, emailing, etc. afin qu’ils puissent relayer auprès de leurs réseaux les campagnes de la marque. « Le réseau gagnant » Une chose est sûre : au sein du réseau Lorenove, les concessionnaires ne se sentent jamais livrés à eux-mêmes ! « Depuis le déconfinement, nous observons une augmentation très significative des contacts chez Lorenove pour l’activité liée aux particuliers » précise Marylène Mitrecey. « Les efforts de tous et l’ensemble de nos actions portent leurs fruits ! » En effet, à ce jour les résultats sont probants, avec une hausse exceptionnelle des contacts de +381% au mois de mai comparé à avril 2020, et de +268% en comparaison à mai 2019. Le site Internet Lorenove a engrangé 4 fois plus de visites en provenance des réseaux sociaux, entre le 15 mars et la fin mai, comparé à la même période en 2019. Pour la partie digitale, la campagne Google Ads a été décuplée. « Nous avons augmenté nos budgets de 44 % pour les mois de mai et juin. Nous avons voulu nous donner toutes les chances de réussir cette reprise et d’être vraiment présents auprès de nos clients. » explique Marylène Mitrecey. Les actions digitales se sont donc aussi distinguées avec une augmentation sur seulement 15 jours de + 1570 fans sur Facebook, faisant suite aux différents posts et publicités réalisées, soit +22% d’augmentation permettant de dépasser la barre des 8800 fans. Les vidéos spécial Covid ont été vues plus de 86 000 fois sur Facebook sur plus de 210 000 personnes exposées ! De son côté, en 2 mois, le réseau LinkedIn a conquis +400 abonnés pour le Groupe Lorillard et +188 abonnés pour Lorenove avec un très bon taux d’engagement de 6% et des pics à 12% sur les posts Covid (vidéos, photos…) largement diffusés et partagés. « Nous sommes actuellement à + 117 % de notre objectif fixé pour le chiffre d’affaires facturé en mai 2020. Pour le chiffre d’affaires commercial (les prises de commande, commandes en cours) nous sommes à 65 % de l’objectif fixé sur le mois de mai. On s’attendait à une reprise beaucoup plus timide et moins dynamique, mais les résultats obtenus sont plus qu’encourageants pour la suite » témoigne Marylène Mitrecey. Mais un réseau performant, ce sont aussi des valeurs, une philosophie et des méthodes partagées par tous… Intelligence collective, homogénéité, vision commune, co-constuction, uniformisation, professionnalisme, transmission des valeurs et des bonnes pratiques, respect de l’enseigne… Tels sont les mots clés de la réussite. Tels sont les ingrédients que Lorenove intègre dans ses agences et concessions, pour en faire « le réseau gagnant ». « Cette période nous a ouvert les yeux sur d’autres façons de concevoir l’animation. En étant à distance, nous avons développé des façons de communiquer qui malgré tout, restent humaines et proches. Tous nos échanges nous ont permis de garder cet esprit réseau même si on ne se voyait pas. Là où tout le monde parle de distanciation sociale, nous avons eu l’impression d’être plus proches et plus soudés les uns aux autres » conclut Marylène Mitrecey.
Il y a 4 ans et 293 jours

INVITATION STOC Environnement le 8 septembre 2020 : Réutilisation des eaux usées et gestion à la parcelle

INVITATION IRRIGO TOUR SOLUTIONS DE TRAITEMENT STOC Environnement STOC Environnement est heureux de vous convier à une journée de présentation de ses solutions : – La réutilisation des eaux usées traitées – La gestion de l’eau à la parcelle Mardi 8 septembre 2020 à 10h30 7 rue Robert Lenfant – 71250 Cluny • nos solutions de réutilisation des eaux usées traitées, • le nouveau système IRRIGO Evolution installé à Cluny (visite sur site), • notre approche de la Gestion de l’Eau à la Parcelle. PROGRAMME * – 10h30 – 11h : Accueil La gestion de l’eau – 11h – 12h30 : 3 sessions de présentation/discussion (toutes les 30 minutes) : o La gamme IRRIGO (Jean-Marie Breton, chef de produit) o Autres produits Reuse et STOC Environnement : PLUVIO, DRAINO, BRIO, FLUIDO, AUTOEPURE (par les chefs de produit), o Evolution vers la gestion de l’eau à la parcelle (étude CCI/STOC) – 12h30 : Déjeuner et échanges en toute convivialité Cette manifestation prendra fin vers 14h30. Pour ceux qui ne pourraient venir en journée, les chefs de produit pourront vous accueillir après 16h30. Pour plus d’information, n’hésitez pas à consulter notre site Internet : – STOC Environnement, – Gamme IRRIGO, – Gamme Reuse. Merci de votre réponse à l’une des adresses suivantes, avant le 3 septembre svp : contact@stoc-environnement.fr ou emilie.heu@stoc-environnement.fr, * Dans le respect des mesures de distanciation sociale
Il y a 4 ans et 294 jours

A Paris, 72 logements (+ crèche et commerces) signés ITAR

Participant au renouvellement urbain du boulevard Ney et de la porte de Clignancourt 5Paris XVIIIe), le nouveau bâtiment conçu par ITAR (Ingrid Taillendier Architectures) et livré en juillet 2020 opère une scission en deux volumes reliés par un socle commun occupé par la crèche. Pour un coût de 9,9 M€ HT, compter au programme (5 200 m² […] L’article A Paris, 72 logements (+ crèche et commerces) signés ITAR est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 294 jours

Bouygues Bâtiment Grand Ouest réalise une réhabilitation exemplaire zéro déchet à Angers

De la prévention au recyclage, la gestion des déchets, l'un des piliers de l'économie circulaire, est un levier important pour réduire l'impact environnemental de la filière tout en créant de la valeur sur les plans économique, social et environnemental.Bouygues Bâtiment France Europe a initié en ce sens, dès 2019, l'expérimentation “Zéro Déchet Ultime”, faisant écho à la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte qui fixe un objectif de 70% de valorisation matière pour le secteur à l'horizon 2020. Bouygues Bâtiment Grand Ouest vient illustrer concrètement cette démarche à travers un chantier exemplaire à Angers, dans le quartier de la Roseraie : la réhabilitation de la résidence HLM Dumont d'Urville, un chantier réalisé en site occupé pour Angers Loire habitat.Un chantier de réhabilitation en site occupéDémarré en septembre 2019, le chantier Dumont d'Urville consiste en la réhabilitation de 320 logements sociaux répartis en 5 tours, dans le quartier de la Roseraie à Angers (49). Ce chantier réalisé en site occupé sera livré à l'automne 2021. Initié par Angers Loire habitat, le programme de réhabilitation mené par les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest porte sur l'enveloppe du bâtiment, les parties communes et les logements : travaux d'isolation extérieure, pose de 15 000 m2 de bardage, extension des balcons, remplacement des cuisines et des salles de bain, réfection des sols et des murs et création d'un jardin d'hiver. Bouygues Bâtiment Grand Ouest mène également sur le site une mission de conseil et d'accompagnement des locataires. Les enjeux sont multiples : accroître le confort des habitants, maîtriser la facture énergétique, réduire les émissions carbone, œuvrer à l'attractivité du quartier… Pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest, ce chantier est également l'expérimentation grandeur nature d'une initiative “Zéro Déchet Ultime”, démarche destinée à être répliquée sur l'ensemble du territoire. Un déchet ultime est un déchet qui ne peut être valorisé dans des conditions techniques ou économiques viables et qui sera donc enfoui.La démarche “zéro déchet ultime” en actionÀ l'heure du changement climatique, l'économie circulaire est un levier essentiel pour accélérer la transition vers une construction plus durable, plus sobre et plus efficiente dans l'utilisation des ressources. Au même titre que la performance des matériaux et les modes constructifs innovants, la gestion des déchets est au cœur de cette démarche. L'équipe travaux de Bouygues Bâtiment Grand Ouest a mis en place une démarche globale de tri sélectif et de valorisation des déchets simple et efficace sur le chantier Dumont d'Urville.Cette initiative repose sur 4 temps forts :Recenser les déchets de dépose (baignoire, évier, portes et fenêtres) et de pose (sol, bardage, laine de verre) en détaillant le poids correspondant à chaque matériauIdentifier le meilleur circuit de valorisation à l'échelle locale : pour cela, une cartographie des filières de revalorisation des départements 49 et 44 a été réalisée. Celle-ci constitue un précieux outil d'aide au choix en fonction des multiples critères à évaluer : type de déchets, coût de la démarche, cahier des charges spécifique…Contractualiser : en définissant les modalités pratiques de la revalorisation des déchetsFormer les parties prenantes : prévenir à travers des actions de sensibilisation à la réduction des déchets sur le chantier, et informer à l'aide d'une signalétique claire et précise pour identifier les zones de triCette démarche globale a aussi permis de mettre en place une basevie zéro déchet, impliquant l'ensemble de l'équipe travaux au quotidien à travers des règles simples et efficaces : organisation du tri sélectif, exclusion du plastique et plus globalement du matériel à usage unique, utilisation d'éponges et de torchons lavables, de produits biologiques, affichage dédié...La démarche de tri des déchets sur Dumont d'Urville témoigne de notre engagement collectif, pour réduire l'empreinte carbone de nos chantiers, à la fois pour les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest mais également pour les équipes de nos parties prenantes. Ces dernières se sont-elles aussi appropriées la démarche en triant les déchets dans chaque logement.- Anne Bouyé, Chargée de relations résidents qui a coréalisé la cartographie.
Il y a 4 ans et 297 jours

Spie batignolles descend dans les Arènes d'Evry

Depuis début février, les équipes de Spie batignolles Boyer, entité francilienne du groupe Spie Batignolles, a investi les allées des Arènes, une salle de spectacle de 2 800 places implantée au cœur du centre commercial Agora d'Evry.
Il y a 4 ans et 298 jours

Muuuz vous invite au salon Materials & Light les 8 et 9 septembre !

Pour sa 6e édition, le salon MATERIALS & LIGHT vous donne rendez-vous les 8 et 9 septembre dans le cadre exceptionnel du Carreau du Temple à Paris pour deux jours d'exposition et de conférences dédiés aux solutions innovantes pour l'architecture. Materials & Light est un salon professionnel dédié aux produits et matériaux innovants pour l’architecture, l’agencement, l’éclairage et l’aménagement de l’espace public.Organisé par le magazine d’a, l’événement s’adresse en priorité aux architectes et designers mais plus largement à tous les professionnels impliqués dans le choix des produits et des matériaux.A la fois source d’inspiration, outil de veille et rendez-vous de networking, Muuuz vous recommande ce salon, à la fois instructif et festif, qui est devenu en quelques années un salon de référence pour la prescription.Parmi les exposants présents : AMBIANCE LUMIERE, ACTIVSKEEN, ADESOL, AGROB BUCHTAL, ARCH, BEGA, BOULENGER, CADAP, CLAREO, CNDB / CLUB OUI AU BOIS, COSENTINO, CUPA PIZARRAS, EURO-SHELTER, EVERLITE CONCEPT, GEBERIT, GHM-ECLATEC, HUBLER, IMAGE, INTENSION, LED's CHAT, LIGEO , MAILLE METAL DESIGN, MARVALWAY, MINERAL EXPERTISE, NEOLIFE, NOWATT LIGHTING, OOTI, PERFORMANCE IN LIGHTING, PLACOPLATRE, POLY-PAC, PRO URBA, PROGRESS ECO, RAGNI, WOODS LINES, SIKA, SINEU GRAFF, SOLARLUX, SOLUTINOX, SVF, TECHNILUM, TERREAL, TTM ROSSI, USM, VALMONT…Conférences, workshops, soirées… le salon propose un programme d’animations particulièrement riche.Voir le programme > https://ml.darchitectures.com/programme/vue-d-ensemble.htmlPour vous inscrire, cliquez ici > https://ml.darchitectures.com/visiter.htmlLes horaires : le salon vous accueille mardi 8 septembre de 14h-19h et mercredi 9 septembre de 11h à 19h.L’adresse : Le Carreau du Temple – 4 rue Eugène Spuller, 75003 Paris.--Voir la vidéo de présentation > https://youtu.be/jmxTv5h3x_k La Rédaction
Il y a 4 ans et 299 jours

Maugin annonce un changement de gamme et une nouvelle stratégie industrielle 2020-2025

Cependant, s'affirmer en expert historique sur un marché, c'est aussi prendre des engagements, rechercher l'amélioration constante, s'adapter aux nouvelles attentes qui feront la fenêtre de demain. C'est pourquoi le groupe familial s'est attelé ces 18 derniers mois à la mise au point d'une menuiserie nouvelle génération en composite, dont le profil est doté dans l'ouvrant de fibre de verre, et dans le dormant d'un renfort thermique en PVC cellulaire et fils d'acier (en option). Ce faisant, MAUGIN se hisse aujourd'hui au rang des quelques fabricants français spécialistes des menuiseries PVC et ALU en capacité de proposer un produit aussi technologique et performant.Gamme Eclea Terres de Fenêtre : véritable innovation et montée en gammeLe Groupe Maugin a officiellement lancé sa nouvelle gamme de fenêtres ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE, contribuant au renouvellement de son plan stratégique industriel 2020-2025. Élaborés en partenariat avec le gammiste Deceuninck, les profils PVC de cette nouvelle gamme renferment de la fibre de verre ainsi qu'un renfort thermique (en option). Reconnus comme étant de véritables innovations sur le marché, ces atouts donnent à la gamme des avantages significatifs. Intégrant déjà le vitrage Eclaz et la quincaillerie sécurité Q1, la gamme ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE devient ainsi un produit très haut-de-gamme, affichant plus d'esthétisme, de luminosité, de légèreté, de performance, de sécurité, de rigidité, avec un meilleur potentiel recyclage.Après un premier lancement réussi en version Plaxée en février dernier, MAUGIN poursuit ce mois de juillet le déploiement de sa nouvelle gamme, en parfaite conformité avec le planning annoncé (cf. Dossier de Presse complet en annexe). La première mise au point s'est faite sur le site pilote de Saint-Gervais (85), spécialisé dans la fabrication des menuiseries plaxées et qui se prête parfaitement au calibrage exact du process. L'opération en mode "laboratoire" a permis d'assurer un lancement performant pour aborder en toute sérénité la deuxième phase, soit le déploiement intégral cet été de toute la gamme blanc et laqué sur le site fleuron de Saint-Brévin (44). Depuis, le site de Saint-Gervais a d'ailleurs basculé à 100% sur la fabrication de la nouvelle gamme en plaxé."Plus technologique, cette nouvelle génération de profils est une belle opportunité pour augmenter la qualité de nos produits PVC, en leur assurant une plus grande longévité, un meilleur pouvoir isolant et plus de résistance. Les atouts de ce nouveau profil composite alliant PVC et fibre de verre représentent une innovation inégalée à ce jour sur le marché du PVC. Avec ce produit au design plus carré qui se rapproche de celui de l'Alu, c'est une réelle montée en gamme pour nos produits, ce qui va nous permettre de nous démarquer sur le marché", témoigne Pascal Vallée, Directeur de Production PVC Groupe MAUGINUne commercialisation conforme à l'échéancier annoncéFormées aux atouts de cette nouvelle gamme dont la technologie fibrée casse les codes de l'industrie traditionnelle du PVC, les équipes commerciales MAUGIN et Terres de Fenêtre sont actuellement déployées sur le territoire pour équiper les showrooms des clients et partenaires, les doter de nouveaux outils d'aide à la vente et leur apporter tous les éclairages utiles." Nous aurions pu subir de plein fouet les impacts de la COVID et devoir reporter notre commercialisation. Pourtant, le projet a continué de se dérouler dans les meilleures conditions. C'est un projet ambitieux qui tient ses promesses, tant sur la qualité finale du produit dont nous sommes fiers, que sur sa mise en marché qui reçoit un très bel accueil de la part de nos clients."- Ludovic Guillou, Directeur Commercial du Groupe Maugin & Directeur du Réseau Terres de FenêtreNouveauté : + de couleursConsidérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Considérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Entretien avec Bertrand Maugin, PDG du Groupe MAUGIN / TERRES DE FENÊTRE" Lancer la commercialisation d'une nouvelle gamme, et plus largement un nouveau plan stratégique industriel pour les 5 prochaines années, alors que se présente une crise sanitaire majeure... C'est loin d'être simple.Nous sommes malgré tout au RDV sur les grandes phases du calendrier programmé initialement. Je rends d'ailleurs hommage à l'ensemble des salariés du groupe Maugin qui n'ont cessé de se mobiliser pour que nous puissions tenir nos engagements. Durant cette période inédite, chacun d'entre nous a du s'adapter pour réagir, ajuster le tir et aller à l'essentiel.La situation de la Covid aura été une expérience sans précédent, au cours de laquelle nous avons démontré qu'au sein de notre groupe familial, nous sommes particulièrement soudés.Pour traverser cet épisode, il nous a fallu pour autant rester exigeants et vigilants à chaque détail. Nous n'avons dérogé à rien, traitant les événements dans l'ordre, sans précipitation et en évitant tout stress. Avec le Comité de Direction qui a été sur le pont au quotidien, nous avons orchestré la gestion de la crise avec pragmatisme.Aujourd'hui, les effectifs sont de retour à 100%. En raison du rattrapage des commandes, l'activité profite d'une embellie avec une prise de commande similaire à l'année dernière, sur la même période. Pour le moment, nous produisons sur nos 3 sites industriels avec un taux de service à la hausse : le niveau de confiance est très bon.Au-delà de la mobilisation de tous les salariés, cette reprise d'activité n'aurait pas été possible sans la solidarité des confrères, syndicats professionnels et fournisseurs avec qui nous avons travaillé à retrouver les meilleures conditions pour rassurer et satisfaire nos clients. Je salue aussi le relai offert par les médias spécialisés qui ont redoublé d'efforts pour maintenir le lien, continuant d'informer la profession régulièrement."
Il y a 4 ans et 300 jours

L'application mobile ProDevis START simplifie la prospection des Artisans Menuiserie, Store et Fermeture

Le carnet de notes des Artisans dans leur SmartphoneAlors que l'application 100% Web ProDevis START simplifie la création de devis et le passage de commande, son extension mobile intervient elle, en amont du chiffrage. C'est tout l'avant-projet, de la prospection jusqu'à la prise de notes de chantier, que l'application mobile optimise.Équipé de son Smartphone, l'Artisan retrouve les contacts autour de lui et est guidé par GPS chez ses prospects et clients. Une fois arrivé, il renseigne toutes les informations sur son client et sur le chantier directement dans son application mobile (type de produits, dimensions, couleurs, préférences du client…). Il joint également à son dossier les photos prises avec son Smartphone pour se rappeler des détails importants.Son application mobile étant synchronisée avec ProDevis START, l'Artisan retrouve son nouveau projet et toutes ses notes automatiquement à son retour au bureau. Il y finalise ainsi son devis et lance en commande en quelques minutes.De la prospection jusqu'à la commande Fournisseur, en passant par la création du projet et le chiffrage : avec ProDevis START, c'est sur tout son process de vente que l'Artisan gagne en temps et en réactivité pour augmenter son chiffre d'affaires.L'application mobile ProDevis START disponible* :Sur iOS : https://apple.co/2B0kPaUSur Android : https://bit.ly/2XVmffR*L'accès à l'application nécessite d'être abonné à ProDevis STARTL'application mobile ProDevis START pour de nouvelles fonctionnalitésCréation de projets directement lors des rendez-vous chez les clients et prospectsSynchronisation avec l'application de chiffrage ProDevis START pour y retrouver toutes les informations de son dossier et créer son devisGestion du fichier clients avec l'ensemble de l'historique disponible en quelques clicsAjout de médias (photos de chantier par exemple) pour enrichir, compléter et illustrer ses projets. 100Mo de données d'hébergement inclus gratuitementLancement de l'itinéraire vers un contact ou un projet en géolocalisation avec Waze, Google Maps ou Plan pour être diriger vers ses clients et prospectsProDevis START, un concentré d'innovations qui simplifie le chiffrage et l'activité des Artisans Menuiserie, Store, FermetureParce que le client particulier leur demande des réponses toujours plus rapides, les Artisans se doivent de gagner en réactivité pour augmenter leurs chances de remporter plus d'affaires. Une réactivité qui passe notamment par la digitalisation de leur activité, que leur apporte ProDevis START : Une application Métier Menuiserie Store Fermeture, équipée du Configurateur de vente ELCIA pour des devis et passages de commande en un clicPlus de 1 750 tarifs de 600 industriels toujours à jourUne application 100% Web, 0 contrainte informatique, disponible tout le temps et de partout (bureau, chantier, rendez-vous client)Un processus d'abonnement en ligne simple, en 5 minutes sur elcia.com/prodevis-startUn prix attractif de 55€ HT/mois sans engagement pour une liberté totaleUne application mobile synchronisée avec l'application Web, disponible sous iOS et Android pour remplacer ses notes papiers avec prise de photosEn savoir plus : www.elcia.com/prodevis-start
Il y a 4 ans et 301 jours

À quoi servent les logiciels de gestion de risques professionnels

De nombreuses entreprises s’en dotent de plus en plus. Les logiciels de gestion de risques professionnels semblent prisés par une grande majorité d’entre eux pour bien des raisons. Ces outils leur permettent entre autres une meilleure gestion de leur activité. De façon plus concrète, découvrez ce que sont les logiciels de gestion de risques professionnels et leur impact sur les entreprises qui en usent. Qu’est-ce qu’un logiciel de risques professionnels ? Toute entreprise gagne à recenser les risques liés à son activité. Cela lui permet de les appréhender afin d’en amoindrir l’impact et même d’en limiter la survenance. C’est justement dans le cadre de la prise en charge de ces risques qu’un logiciel de risques professionnels est utilisé. Il s’agit d’outils dotés de fonctionnalités spécifiques qui détectent les éventuels risques liés à l’activité de l’entreprise et déterminent dans quelle mesure ils peuvent apporter des solutions à ces problèmes. En clair, le logiciel de gestion des risques professionnels identifie les éventuels risques, en évalue l’impact et permet de les prévenir grâce à un certain nombre de solutions. Exemple de logiciel de risque professionnel : https://www.1-one.fr/ Quels sont les avantages des logiciels de risques professionnels ? Les logiciels de risques professionnels permettent essentiellement aux entreprises de réduire l’impact des risques professionnels sur leurs salariés et leur activité. À terme, ils aident donc les entreprises à pérenniser leur activité. Ils ciblent de façon efficace les risques d’une entreprise. Ainsi, d’une entreprise à l’autre, le logiciel de gestion des risques professionnels ne sera pas utilisé suivant la même approche. Chaque secteur d’activité est lié à un certain nombre de risques. C’est un paramètre pris en compte par les logiciels de gestion des risques professionnels qui adaptent ainsi leurs solutions aux difficultés spécifiques que vous pourriez rencontrer. Quel est l’intérêt des logiciels de risques professionnels pour les entreprises ? Les logiciels de gestion des risques professionnels sont essentiels pour une entreprise pour plusieurs raisons. Ils permettent aux entreprises de disposer sur une seule interface d’un point détaillé des risques qu’elles rencontrent ou auxquels elles sont exposées. Cela facilite énormément la gestion de ces risques qui ne sont plus épars. C’est également un gain de temps et une célérité importante qu’apportent les logiciels de risques professionnels. Ils simplifient la tâche à tous les acteurs d’une entreprise, car ils leur permettent de faire face aux risques auxquels ils sont exposés à chaque échelle de l’entreprise. Lorsque vous êtes en entreprise disposant de plusieurs établissements situés dans différentes zones géographiques, les logiciels de risques professionnels vous donnent la possibilité d’homogénéiser les process pour ce qui est de la prévention et du suivi des risques que chacun de vos établissements peut connaître. En outre, avec un logiciel de risques professionnels, vous disposez d’un certain nombre d’informations précises qui vous permettent de prendre des décisions adéquates. Sans cette synthèse assurée par les logiciels de gestion des risques professionnels, vos décisions peuvent être biaisées, puisque prises sur la base de paramètres mal appréhendés. À noter que certains logiciels de risques professionnels archivent absolument toutes les actions menées dans le cadre de la gestion des risques. Ainsi, vous jouissez d’une traçabilité constante et vous pouvez vous y référer chaque fois que vous en aurez besoin. Quels sont les principaux risques professionnels ? Nous avons vu que se protéger des risques était essentiel en entreprise. Mais pour donner plus de précisions, de quels risques parlons-nous ? Quels sont les plus fréquents et votre société doit-elle vraiment se soucier d’un éventuel accident du travail ? Premièrement, le nombre exacts d’accidents (tout secteur confondu : administrations, industrie, transports…) est difficile à déterminer de façon tout à fait exacte. Néanmoins, il est possible de prédire de façon assez précise une estimation des cas. De façon globale, il est important de signaler que le nombre d’accidents du travail a considérablement régressé depuis 30 ans. La sécurité s’est amélioré au travail et les décès ont chuté d’environ 40%. Aujourd’hui, en France, on compte environ 700 000 accidents pour 600 morts. Si l’on compare tous les secteurs, voici principalement les plus touchés : Les principales causes d’accidents du travail, dans l’ensemble des secteurs d’activité sont les suivantes : la manutention ; les chutes de plain-pied ; les chutes de hauteur ; l’utilisation d’outils ; les masses en mouvement. Principalement, les gestes brusques et répétés et l’utilisation d’outils crée un risque de facteur aggravant. En France et partout dans le monde, les accidents domestiques demeurent donc toujours trop élevés alors que l’on progresse au niveau de la sécurité. Le respect des consignes fournies par son supérieur, la précaution et la vigilance demeurent les meilleurs moyens de se protéger.
Il y a 4 ans et 304 jours

Le bâtiment craint d'être déçu par le plan de relance

"On ne veut pas être déçus", prévient Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), principale organisation du secteur, auprès de l'AFP. "Selon les annonces, ça peut partir en catastrophe."Comme tous les grands secteurs économiques, le bâtiment attend avec impatience le plan de relance la semaine prochaine, qui vise à sortir à long terme l'économie d'une crise probablement historique. Mais plus que d'autres, il affiche sa méfiance."On se demande si le gouvernement a bien analysé que le bâtiment, après l'hôtellerie-restauration et les services à la personne, c'est quand même le troisième secteur le plus touché", s'interroge M. Salleron.Un scepticisme à la mesure de plusieurs mois d'incompréhensions et de polémiques entre le secteur et le gouvernement depuis le début de la crise sanitaire, et en particulier durant le strict confinement imposé aux Français entre mars et mai.Les chantiers ont largement dû s'arrêter faute de pouvoir immédiatement prendre les mesures sanitaires nécessaires, et les clients ont cessé de passer commande pendant de longues semaines. Selon la FFB, l'activité du bâtiment devrait chuter de 18% cette année.Or la construction est un moteur crucial de l'économie française, dont elle représente plus de 5%. Au-delà, la santé du secteur est garante d'une offre suffisante en logements, essentielle au bon fonctionnement de toute l'économie.Le bâtiment se sent oublié par rapport à d'autres grands pans de l'économie comme l'automobile et le tourisme qui, peu avant l'été, ont obtenu des plans spécifiques d'urgence à coups de milliards d'euros.Il craint surtout d'apparaître relativement épargné par la crise aux yeux de l'exécutif: selon la Banque de France, son activité n'était pas loin d'avoir retrouvé son niveau d'avant la crise en juillet et devrait quasiment revenir à la normale en août.Inquiétudes sur la constructionReste que s'il se remet à gagner de l'argent, le secteur en perd aussi à cause du coût élevé des mesures sanitaires, un sujet sur lequel il attend toujours des aides publiques d'ampleur.Et si ses commandes, gage d'activité à venir, ont retrouvé un bon niveau, c'est surtout grâce aux travaux publics engagés par mairies, départements ou régions. Les particuliers, eux, "hésitent encore à s'engager dans des projets, vu l'incertitude sur la durée de la pandémie", souligne le cabinet Markit dans une note de conjoncture pour juillet.Le gouvernement n'est pas sourd aux inquiétudes du bâtiment et lui promet plusieurs milliards d'euros dans son futur plan de relance.L'Etat, soucieux de verdir ce plan, insiste notamment sur la rénovation énergétique à laquelle il veut réserver environ sept milliards.A ce titre, le secteur a déjà remporté un combat de longue date: la principale aide publique à la rénovation sera étendue à tous les Français, y compris les plus riches. Également au programme, un programme de rénovation des bâtiments publics, en particulier les hôpitaux."La rénovation va permettre d'avoir beaucoup d'activité, puisque ça ce sont des travaux qui peuvent se faire vite", assurait mi-août la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon sur Europe 1.Le secteur craint néanmoins que la rénovation éclipse la construction de logements neufs, au moment même où celle-ci chute à la suite du confinement.Mais que peut y faire l'Etat ? Ce n'est pas qu'une affaire d'affaiblissement de la demande auquel des aides publiques pourraient éventuellement répondre.C'est aussi, et surtout, que les mairies traînent à octroyer des permis de construire. La crise sanitaire a largement gelé leur examen et la situation s'est peu améliorée depuis la levée du confinement.Sur ce plan, le gouvernement n'a guère pu que renvoyer la balle aux maires.Il leur a lancé, par la voix de Mme Wargon, un "appel" à mettre un "coup de booster" sur les permis.
Il y a 4 ans et 304 jours

Une ville japonaise veut sortir de l'ombre avec des plaques d'égout éclairées

La localité de Tokorozawa, en banlieue de Tokyo, compte sur ces bouches visibles comme le nez au milieu de la figure pour attirer les curieux, notamment les adeptes des plaques d'égout décorées de motifs ou de mascottes qui ornent déjà certaines rues nippones.Si elles ne recouvrent qu'une fraction des quelque 15 millions de bouches d'égout du Japon, ces plaques décorées, présentes dans l'Archipel depuis une quarantaine d'années au moins, ont leurs aficionados, qui échangent leurs informations sur Twitter sous le mot-dièse #manhotalk (dérivé de l'anglais "manhole", bouche d'égout).A Japanese city is decorating manhole covers with anime characters. https://t.co/Aeyr2krfv3— Rappler (@rapplerdotcom) August 21, 2020Celles de Tokorozawa sont cependant "les premières plaques d'égout illuminées du Japon", a déclaré à l'AFP Junichi Koike, un employé de la ville."Nous espérons que ces versions éclairées vont changer la réputation de saleté et de pestilence des bouches d'égout, et raviver l'économie locale en attirant les visiteurs".Vingt-huit plaques ont ainsi été mises en place début août, ornées de célèbres personnages issus des dessins animés Gundam, Evangelion ou Haruhi Suzumiya. Ce partenariat avec la maison d'éditions Kadokawa a été mis en place dans le cadre d'un programme permettant à des entreprises "d'habiller" les plaques d'égout de leurs couleurs, moyennant finance.Les premières réactions des habitants comme des visiteurs ont été plutôt positives. "En général, elles ne sont pas faciles à trouver", s'est réjoui Kaoru Morita, un adepte de plaques d'égout de 55 ans, interrogé par l'AFP. "Mais celles-là, on les voit de loin." Tatsuhiko Sato, 29 ans, note pour sa part que le spectacle est "amusant pour les enfants".Les plaques alimentées à l'énergie solaire sont disposées sur les trottoirs menant de la gare à un nouveau complexe culturel abritant un musée du dessin animé. Elles sont éclairées de 18h00 à 2h00 du matin.Mais bien que la ville mette en avant leur utilité pour rendre les rues plus sûres la nuit, elles alourdissent aussi la charge de travail des gardiens, qui ont dû renforcer leurs patrouilles pour éviter que ces œuvres ne soient dérobées.
Il y a 4 ans et 306 jours

L'Hôtel des Postes à Strasbourg, édifice néogothique, entreprend sa mue

En collaboration avec l'entreprise générale Bouygues Bâtiment Nord-Est, le promoteur immobilier y développe près de 20.000 m2. Dès cet été, près d'une cinquantaine d'entreprises du territoire et plus de 200 compagnons se succèderont jusqu'en 2023, pour faire renaître cette bâtisse de la fin du XIXe siècle.Le tout dans une dynamique noble et responsable : l'opération favorise la déconstruction sélective et le réemploi de matériaux, matériels et mobiliers. Dès le démarrage des travaux, l'Hôtel des Postes s'inscrit parmi les chantiers de Strasbourg les plus avancés en matière de réduction des déchets issus du BTP.Un chantier conduit au pied de la lettre !Le projet de réhabilitation se veut respectueux et en parfaite adéquation avec son environnement. De part son envergure et son exemplarité, le chantier est orchestré en étroite collaboration, avec la police municipale, les autorités locales, la Ville et l'Eurométropole de Strasbourg.Réalisé en hyper-centre de Strasbourg, cette opération hors norme réunira en pleine activité près de 50 entreprises locales et plus de 200 compagnons qualifiés, qui y oeuvrent pour redonner vie à ce lieu historique.Les principaux échelons prévisionnels du programme sont :Curage et déconstruction sélective : Jusqu'à décembre 2020Gros œuvre : De l'automne 2020 à l'été 2021Aménagement du parking souterrain : Novembre 2020 à juin 20211ères Livraisons : Second semestre 2022Fin de travaux de l'ensemble Immobilier : Premier semestre 2023Une réalisation engagée et responsableIl est à présent avéré que le secteur de la construction compte parmi les gisements les plus générateurs de déchets et d'impacts environnementaux. De part sa nature atypique, cette réhabilitation, initiée par Bouygues Immobilier, vise à faire renaître ce lieu unique, siégeant depuis plus de 120 ans au coeur de la Neustadt, à Strasbourg. Le tout en optant pour un modèle circulaire, bien moins énergivore et plus respectueux de l'environnement. Par cette approche émergente, ce bâtiment de près de 20 000 m2 tourne une page de son histoire et s'engage vers un avenir tout aussi émérite.Avec l'expertise d'ELAN, AMO - Assistant de Maîtrise d'Ouvrage de référence en matière d'économie circulaire dans l'immobilier, la revalorisation de l'Hôtel des Postes s'engage ainsi dans une approche de ressources qui vise à la réduction des déchets. Il s'agit d'opter pour la déconstruction sélective en favorisant le réemploi de matériaux, de matériels et de mobiliers. ELAN permettra à Bouygues Immobilier d'identifier les gisements et les filières (In situ et ex situ) à fort potentiel, permettant la réutilisation de certains éléments déposés.Le chantier de l'Hôtel des Postes devrait ainsi limiter significativement la production de déchets, notamment lors de la déconstruction et le curage. Bon nombre de matériaux, matériels et mobiliers vont ainsi être valorisés et recyclés. Il s'agit à titre d'exemple de dalles de faux-plancher, de radiateurs en fonte, de menuiseries intérieures (avec le réemploi de certaines portes historiques)...La démarche initiée permet de prendre part à l'économie locale et de participer au développement de nouvelles filières, le tout en préservant les ressources. L'accompagnement de l'AMO ELAN garantit l'amélioration du bilan environnemental de l'Hôtel des Postes, projet étendard de Strasbourg.En outre, pour la construction du bâtiment neuf, au centre de la cour intérieure, près de 3.000 m3 de béton bas carbone seront employés. Enfin, une collaboration avec VNF - Voies Navigables de France est à l'étude pour favoriser le transport fluvial de certains équipements du second oeuvre.Un programme immobilier historique !Autrefois haut lieu de télécommunication et de correspondances, l'Hôtel des Postes incarne de tout temps la modernité et le caractère cosmopolite de la ville qui l'héberge, Strasbourg. Début 2023, l'Hôtel des Postes de Strasbourg accueillera donc des logements résidentiels, des bureaux neufs et réhabilités, une résidence services pour seniors, une brasserie-restaurant ainsi qu'un bureau de poste. Incontestablement, cette reconversion immobilière s'engage dans une démarche de valorisation patrimoniale inédite et exemplaire.Sous les préconisations et les orientations de l'Architecte des Bâtiments de France, les principales interventions sur le bâti existant seront mineures et limitées. Le projet prévoit notamment la restauration et le nettoyage des façades extérieures dans le respect total des façades et toitures d'origine (1896). La cour intérieure sera particulièrement mise en valeur.Localisés le long de l'Avenue de la Liberté, les logements en accession seront desservis soit par la cage d'escalier monumentale, datant du XIXe siècle, soit par les deux cages d'escaliers angulaires, tout aussi remarquables.À chaque étage, les distributions, aux voûtes et hauteurs exceptionnelles, sont maintenues et sublimées. En outre, les combles sont rehaussés et exploités par l'intégration de nouvelles lucarnes donnant sur la cour intérieure. Des mezzanines sont prévues pour certains logements du rez-de-chaussée, du 2ème ou 3ème étage…Nul doute que l'opération se veut historique, au coeur de Strasbourg !Principaux intervenantsMaître d'ouvrage : Bouygues ImmobilierArchitecte : WEBER & KEILING ArchitectesEntreprise générale : Bouygues Bâtiment Nord-Est
Il y a 4 ans et 307 jours

Qarnot Computing, première entreprise financée par l’action de l’Etat Territoires d’innovation pour Construire au Futur, Habiter le Futur

Dans le contexte actuel de crise sanitaire et économique, l’Etat français, via la Banque des Territoires, et Colam Impact confirment leur volonté d’accompagner Qarnot, en entrant au capital à hauteur 2 millions d’euros. Cette opération est réalisée dans le cadre de la candidature lauréate de la Région Île-de-France, comme l’un des Territoires d’innovation. Qarnot est ainsi la toute première entreprise en France financée par cette action du Programme d’investissements d’avenir (PIA).
Il y a 4 ans et 312 jours

Chaffoteaux associe la régulation connectée de série à ses systèmes de chauffage

CHAFFOLINK est pilotable par la voix avec les systèmes Google Home, Amazon Alexa ou Apple Home Kit, une fonction efficace et pratique pour tous, et en particulier pour les personnes âgées ou en situation de handicap. Pour les professionnels, il permet de superviser à distance et en temps réel le parc d'installations connectées avec la plateformeCHAFFOLINK évolued'accessibilité grâce à l'intégration de tutoriels dans toutes les fonctions de l'applicationde tranquillité d'esprit avec une chaudière ou une PAC sous contrôle permanentd'économies d'énergie grâce à de nouveaux éco-conseils personnalisés disponibles dans l'applicationd'interopérabilité avec les autres systèmesLa régulation connectée : comment ?Cette solution de pilotage à distance se matérialise par un kit comprenant une box jouant le rôle depasserelle de communication (via Wifi ou GPRS) entre la chaudière et une application mobile que l'utilisateur installe sur son smartphone, sa tablette (pour le particulier) ou son ordinateur (pour le professionnel), ainsi qu'un boîtier-thermostat permettant la régulation modulante de la chaudière. “Chaffolink a été pensé à la fois pour l'utilisateur final et pour le prestataire de service chargé de l'entretien de la chaudière” indique Benjamin d'Erceville.CHAFFOLINK : un concentré de technologies au service des particuliers et des professionnelsCôté utilisateur final : confort et simplicitéCHAFFOLINK permet un pilotage simple et personnalisé de la température. Il peut être programmé selon les plages horaires ou modifié à distance via l'application selon le scénarii souhaité. Plusieurs logements peuvent être gérés depuis le même compte et plusieurs comptes peuvent piloter le même logement grâce la fonction de gestion des invités.CHAFFOLINK étudie les habitudes de consommation pour les optimiser et l'estimation de la consommation énergétique (en kilowattheure) est accessible d'un clic.Un système de notifications en temps réel avertit l'utilisateur en cas d'anomalie et déclenche un service à distance si l'option a été retenue.CHAFFOLINK est une offre intéropérable permettant d'enrichir ses fonctionnalités autour de la sécurité, du contrôle des stores et volets, de l'efficacité énergétique… Elle est compatible avec la solution domotique Tahoma de Delta Dore et poursuit son développement avec d'autres plateformes d'intéropérabilité.Côté installateurs et prestataires de services : agilité et optimisation de la maintenanceCHAFFOLINK ouvre la voie au télédiagnostic à distance. L'application “CHAFFOLINK MANAGER” a été conçue comme une plateforme web à laquelle le professionnel accède pour superviser son parc de chaudières connectées sous contrat. Il reçoit une alerte en cas de défaut d'un équipement et, si le cas le permet, effectue le dépannage à distance et en temps réel.CHAFFOLINK offre également au prestataire la possibilité d'une maintenance prédictive grâce à l'historique des erreurs et des opérations effectuées sur la chaudière par l'utilisateur final ou un technicien. Optionnelle et payante, cette option est proposée aux clients particuliers en étant intégrée au contrat de maintenance annuel.Zoom sur ARIANEXT M : pompes à chaleur monobloc connectées de sérieLa gamme de PAC ARIANEXT M à très hautes performances énergétiques est idéale pour les maisons neuves et la rénovation. Ultracompacts et silencieux, les 4 modèles de la gamme correspondent à tout type d'habitation. ARIANEXT M s'adapte à toutes les zones climatiques pour offrir des puissances stables même dans les régions les plus froides. Connectées, les PAC ARIANEXT M sont livrées de série avec l'Expert Control Link et compatibles avec la solution de thermorégulation connectée ChaffoLink.Les pompes à chaleur connectées les plus performantes du marché :COP record jusqu'à 5,11 Efficacité énergétique saisonnière Eta s : jusqu'à 189 % (A+++)Gamme complète de solutions : puissances de 4 à 11 kW à -7 °C d'air extérieurSilencieuse : seulement 57 dB(A) de puissance acoustique à l'extérieurConnectivité ChaffoLink incluse de sérieARIANEXT M : 4 solutions adaptées à chaque besoinLa gamme ARIANEXT M se décline en deux solutions double service pour le chauffage et la production d'ECS (ARIANEXT COMPACT M et ARIANEXT FLEX M) et deux PAC monoservice pour le chauffage seul (ARIANEXT PLUS M et ARIANEXT LITE M).Les quatre solutions conviennent aussi bien aux projets de maisons individuelles neuves qu'aux projets de rénovation avec un régime d'eau chaude pour le chauffage de 20 °C à 60 °C. Les PAC sont compatibles avec tous les terminaux de chauffage : plancher chauffant ou radiateurs certifiés NF PAC pour des régimes d'eau de 25 à 55 °C.ARIANEXT COMPACT M, la solution tout-en-un ultra compacteARIANEXT COMPACT M réunit une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et une colonne tout-en-un intégrant un module hydraulique et un ballon de stockage pour l'eau chaude sanitaire de 180 litres. Solution la plus compacte du marché avec un encombrement au sol de seulement 60 x 60 cm, ARIANEXT COMPACT M trouve sa place aussi bien dans un garage, une buanderie ou même une cuisine grâce à son format “colonne”.ARIANEXT FLEX M pour s'adapter à toutes les habitationsARIANEXT FLEX M est la solution flexible par excellence qui assure la production du chauffage et de l'eau chaude sanitaire en version chauffage seul ou chauffage et rafraîchissement.Elle combine deux solutions hautes performances : une pompe à chaleur monobloc équipée de la technologie Inverter DC et un module hydraulique compact. Elle se décline en ballon déporté de 180 ou 300 litres. La solution idéale pour des profils de soutirage XL pour la production d'ECS.ARIANEXT PLUS M : la solution grand confortSolution grand confort, ARIANEXT PLUS M est une PAC mono service au design compact, combinant une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et un module hydraulique mural.La PAC peut être associée à un ballon thermodynamique de type AQUANEXT disponible en version 200 ou 250 litres, pour la production d'eau chaude sanitaire en grande quantité, parfait pour les habitations avec plusieurs salles de bain. La fonction rafraîchissement est assurée grâce à l'ajout d'un kit spécifique même après installation, pour un confort toute l'année. Elle peut également être reliée à des radiateurs basse et haute température et/ou à un plancher chauffant.ARIANEXT LITE M ou la PAC des installations sur-mesureARIANEXT LITE M est une pompe à chaleur monobloc ultra flexible qui a été conçue pour s'intégrer dans toutes les configurations par les installateurs. Son unité extérieure Inverter DC assure le chauffage et en option, le rafraîchissement. PAC mono service, elle s'intègre parfaitement avec l'installation existante et facilite les projets de travaux tout en optimisant le confort de chauffe. Ultra compacte, elle affiche des performances records avec un COP de 5,11.
Il y a 4 ans et 313 jours

Mapei : « Etre une marque qui compte »

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Christophe Jeauneau, directeur général de Mapei France. [©ACPresse] Où en est Mapei au niveau de son développement en France ? En 2019, Mapei France a réalisé un chiffre d’affaires de 101,3 M€ sur l’ensemble de ses activités. Ce chiffre est en forte progression, sachant que nous avions fini l’année 2018 à 93 M€. Aujourd’hui, nous proposons seize lignes de produits, réparties sur l’ensemble de nos clientèles cibles. Tout d’abord la distribution professionnelle, qui génère 50 % de notre activité. Puis, la distribution en Grandes surfaces de bricolage, qui compte pour 25 %. Les clientèles “adjuvants pour bétons”, “adjuvants pour ciments”, “produits pour travaux souterrains” et “sols industriels et décoratifs” se placent en 3e position et permettent de réaliser les derniers 25 %. Les mortiers constituent une ligne de produits vendue à plusieurs types de clientèles et réseaux de distribution. Je veux que Mapei soit une marque, qui compte dans le paysage du BTP en France.  Côté nouveautés, nous lançons deux gammes de ragréages de sols, l’une dédiée aux soliers, l’autre aux carreleurs. Et, durant le second semestre, une offre inédite de mortiers de réparation verra la jour… Vous avez ouvert un Mapei World, à Paris. Que vous apporte ce lieu ?  Durant l’année 2019, nous y avons organisé 115 évènements, réunissant plus de 800 personnes. Il s’agissait de rencontres thématiques Mapei, techniques, sportives ou artistiques, de réunions co-conduites par nos clients et partenaires, de rendez-vous collaboratifs ou encore de visites de prescription.  Grâce à Mapei World, nous sommes au cœur de Paris, près de nos clients, prescripteurs et des grands projets comme le Grand Paris, auquel nous participons. Mapei World est un lieu de vie, d’échanges et de formation.  Cette année, nous allons encore augmenter notre vitesse de croisière à travers des “afterworks” autour des sujets donnés, organisés chaque mois. Ainsi que des petits déjeuners sur des thématiques transversales pour partager la vision d’intervenants experts. Ceci, avec des partenaires, des clients, des prospects ou encore des architectes… Mapei s’est engagé dans la démarche Fret 21. Quelles sont les modifications que cela entraîne ? Cette démarche nous amène vers de nouvelles exigences, par rapport aux choix de nos prestataires ou à notre organisation interne. Le premier exemple est la mise en place de ferroutage pour le transport, entre nos sites, de nos matières premières. Nous avons fait évoluer notre charte logistique et mis en place des points fixes de dépose.  C’est surtout un engagement environnemental. Notre rôle ne s’arrête pas à la fabrication de produits pour la construction. L’intégration de matériaux biosourcés fait partie de nos préoccupations. Ce n’est pas seulement du marketing, mais une action beaucoup plus profonde… Vous avez intégré la société Tecnopol il y a quelques mois. Pourquoi ce choix ? Il s’agit d’élargir notre offre vers de nouveaux métiers pour rendre la marque encore plus attractive pour les donneurs d’ordre.  Tecnopol est un spécialiste de l’étanchéité pour le bâtiment et l’industrie. Une activité en rapport avec les problématiques que nous traitons avec nos produits minéraux, mortiers de réparation en tête.  Les produits Tecnopol seront disponibles en distribution professionnelle sous la marque Mapei. Mais resteront proposés sous leur marque originelle auprès des spécialistes de l’étanchéité.  Mapei propose des chapes fluides. Mais pas encore en France… Jusqu’à quand ? Dans notre offre “adjuvants”, nous proposons des solutions pour chapes fluides depuis longtemps déjà. Par contre, même si le sujet nous intéresse beaucoup, le lancement d’une offre de chapes fluides n’est pas programmé à court terme en France. Mais il y a des projets en cours au niveau de la R&D… Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 314 jours

Après la crise, les géants des centres commerciaux restent dans le flou

"Il y a encore pas mal d'incertitudes", a résumé à l'AFP Christophe Cuvillier, patron du géant français des centres commerciaux URW qui, comme son grand concurrent Klépierre, présentait mercredi ses comptes semestriels.Tous deux ont dû fermer plusieurs semaines leurs centres dans de nombreux pays suite aux mesures de confinement face au coronavirus.Klépierre, notamment détenteur de Créteil Soleil, et URW, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou de la Part-Dieu à Lyon, sont basés en France, mais leurs centres sont disséminés à travers l'Europe et, pour le second, les Etats-Unis.Les revenus semestriels d'URW ont chuté de 14,2% à 1,07 milliard d'euros et son bénéfice récurrent, indicateur de référence de l'immobilier, de 27,2% à 667 millions.Plus résistants, les revenus et le bénéfice de Klépierre ont respectivement baissé de 7,8% à 616 millions et de 4,3% à 392,1 millions.Et maintenant? Le secteur reste en pleine incertitude même si les deux géants français ne sont pas dans la situation de leur homologue britannique Intu, qui vient de déposer le bilan.Les deux groupes français avaient renoncé à leurs prévisions au début de la crise. Ils n'en donnent pas de nouvelles, quand bien même leurs centres ont tous (chez Klépierre) ou largement (chez URW) rouvert, avec un redémarrage qu'ils s'accordent à juger meilleur qu'attendu."Il est préférable d'attendre d'avoir un peu plus de visibilité", a admis M. Cuvillier. "On vient de sortir du confinement dans certains pays; pour l'Angleterre c'était le 15 juin. Et aux USA, on a un centre qui n'a toujours pas pu rouvrir (à New York)."L'ironie, c'est que les Etats-Unis et le Royaume-Uni sont justement les pays où l'ancien Unibail-Rodamco s'est implanté récemment avec l'acquisition massive du groupe Westfield, une opération d'une vingtaine de milliards d'euros qui peinait à séduire les investisseurs avant même la crise.Le spectre du moratoireKlépierre, essentiellement présent en Europe, n'a pas ce souci et signe donc de meilleurs résultats. Mais les deux groupes partagent un avenir d'autant plus flou qu'ils sont en pleine négociation avec leurs locataires, les enseignes elles-mêmes, dont beaucoup désirent annuler des semaines ou des mois de loyers.Les tensions étaient telles, en plein confinement, que le gouvernement français a forcé les deux secteurs à la discussion. Conclue début juin, celle-ci a plutôt tourné à l'avantage des propriétaires, aucune annulation générale n'étant décrétée.Désormais, "la plupart des négociations se passent de manière très cordiale et très efficace", a assuré M. Cuvillier, même si son groupe estime n'en avoir mené à bien qu'un quart.Un nouvel écueil menace le secteur avec les succès électoraux des écologistes aux municipales de juin. Plusieurs grandes villes, comme Lyon et Bordeaux, ont élu des maires verts sur un programme généralement défavorable au gigantisme commercial incarné par les grands centres.Plus largement, le discours écologiste, également mis en avant par l'écho donné début juillet aux conclusions de la Convention citoyenne pour le Climat, infuse dans le reste de la classe politique jusqu'au chef de l'Etat lui-même, Emmanuel Macron."Nos concitoyens ne veulent plus de nouvelles grandes surfaces en périphérie", proclamait-il début juillet. "Ils veulent retrouver des commerces de centre-ville."Au nom de la lutte contre l'"artificialisation des sols", le gouvernement promet en particulier un moratoire sur les nouvelles zones commerciales à la périphérie des villes, même si l'application de cette mesure reste floue dans l'attente d'une loi annoncée pour 2021."Il est important que la préservation du souci écologique ne se fasse pas au détriment de la modernisation du commerce et la création d'emplois", a prévenu M. Cuvillier, assurant pour autant d'une différence "entre ce que l'on peut entendre dans les discours et la réalité du terrain"."Quand vous parlez aux maires des villes dans lesquelles on est, ils ont tout à fait conscience de l'importance du commerce et de l'investissement dans ces centres", a-t-il rapporté.
Il y a 4 ans et 314 jours

Toulouse, une ville dynamique avec des projets urbains ambitieux

La ville de Toulouse fait parler d’elle dans toute l’Europe à travers son programme pour l’urbanisme et l’aménagement du territoire.
Il y a 4 ans et 315 jours

Plus de 120 millions d'euros pour accélérer la reprise du Groupe Frans Bonhomme

Dans le cadre de cette recapitalisation, Hayfin, principal créancier du Groupe, injecte près de 60 millions d'euros de capitaux propres et devient le nouvel actionnaire majoritaire. De plus, un consortium de banques françaises fournit un prêt garanti par l'État (PGE) aux côtés d’autres créanciers du Groupe pour un montant total de plus de 60 millions d’euros. Centerbridge reste investi dans l'entreprise en tant qu'actionnaire minoritaire.Pour Pierre Fleck, Président du Groupe Frans Bonhomme, « Cette injection de liquidités de plus de 120 millions d’euros au travers de l’augmentation de capital et du PGE permet au Groupe Frans Bonhomme de reprendre son projet industriel et sa stratégie de développement aussi bien en France qu’en Espagne. Alors que l’ensemble du Groupe reprend son élan, nous nous réjouissons à présent de travailler avec Hayfin en qualité d’actionnaire majoritaire, qui connait bien le Groupe en tant que prêteur principal depuis 2014. Nous remercions Centerbridge d’avoir donné les moyens au Groupe de se développer durant ces dernières années avec notamment l’acquisition de DMTP qui a permis à Frans Bonhomme d’affirmer son leadership au sein de la filière travaux publics et bâtiment. »Oliver Stork, Managing Director de Centerbridge, a déclaré : « Depuis 2013, Frans Bonhomme a continué à se développer avec beaucoup de succès en tant que leader du marché et particulièrement sous la direction de Pierre Fleck depuis début 2018. Nous sommes fiers d'avoir soutenu l'entreprise pendant cette période et de l’avoir accompagnée pendant sa transformation stratégique avec le renforcement de son équipe de direction, de l’informatique et de l’infrastructure. En sortant de cette crise sanitaire récente extrêmement difficile, nous sommes convaincus que Frans Bonhomme poursuivra avec succès son développement. Nous nous réjouissons de poursuivre notre engagement auprès de l'entreprise. »Cecile Davies, Directrice Générale de Hayfin, a déclaré : « Nous sommes satisfaits d'être parvenus à un accord avec Centerbridge et les banques, permettant d’assurer la pérennité du Groupe et de continuer son développement. Partenaire financier de nombreuses entreprises de taille intermédiaire en France, Hayfin est présent aux côtés de Frans Bonhomme depuis six ans. Nous nous réjouissons de continuer à travailler en étroite collaboration avec Pierre Fleck et l'équipe de direction en tant qu’actionnaires. Nous sommes convaincus que l'entreprise est bien positionnée pour relancer sa dynamique de gain de parts de marché. »Grâce à cet accord, le Groupe va réinvestir dans ses stocks, régulariser sa situation vis-à-vis des fournisseurs et ainsi poursuivre la réouverture progressive de son réseau. Cela permettra également de retrouver un niveau de service répondant aux attentes de ses clients.Pierre Fleck a déclaré : « Je tiens à remercier nos équipes qui sont restées mobilisées durant cette période sans précédent, pour leur engagement et leur professionnalisme. Grâce à nos collaborateurs, le Groupe Frans Bonhomme va retrouver sa dynamique commerciale. »
Il y a 4 ans et 318 jours

Zoom sur : Lou Carter

La galeriste-commissaire Lou Carter promeut la création contemporaine à travers des accrochages envisagés comme des installations immersives où il est toujours question d’espace, d’expérience esthétique et de destination de l’œuvre. À l’occasion de l’ouverture de son espace d’exposition à Paris en juin dernier, Lou Carter nous a révélé les ambitions et les axes de recherche de sa galerie. Formée à l’École nationale supérieure d'art et de design de Nancy et à l’École nationale supérieure de création industrielle–Les Ateliers, Lou Carter a été danseuse, puis chorégraphe, avant de fonder Lou Carter Gallery en 2019. Depuis la création de sa « galerie-commissaire », elle pose un regard affuté sur l'art contemporain, et organise des expositions collectives et individuelles qui sont des installations à part entière. Lou Carter a ouvert sa galerie avec un cycle d’expositions hors les murs. Conçues comme des décors vécus, les trois expositions de ce programme invitaient les spectateur·rice·s à vivre une expérience esthétique atypique dans des mises en scène de la vie quotidienne. Intitulée « The silencing dinner of : », l'exposition inaugurale rassemblait treize artistes dans une salle à manger scénographiée, où étaient visibles les traces du passage de dix hôtes imaginaires. Œuvre d’art totale, « Chamber of : » présentait des photographes de l’intime, notamment Lin Zhipeng, dans une chambre laissant deviner, subtilement, la mémoire et l’intimité de ses habitants fictifs. Le dernier accrochage proposait de découvrir des jeunes talents et des artistes confirmés dans une chambre pensée comme un espace vécu. Derrière chacune de ces mises en scène, la destination de l’œuvre se découvrait en filigrane.Au sortir du confinement, Lou Carter a choisi d’ouvrir son espace d’exposition dans le septième arrondissement, et a lancé un nouveau cycle d’expositions, mais cette fois-ci consacré à des artistes femmes émergentes qui repensent notre rapport à l’espace. La première exposition de cette programmation donnait à voir les métamorphoses de matières orchestrées par Alexia Chevrollier (née en 1989), et la deuxième proposait au public de découvrir les « micros architectures » créées par Paola Siri Renard (née en 1993). Ces deux expositions monographiques, présentées dans le black cube imaginé par Lou Carter, sont parvenues à happer le public tout en offrant une nouvelle perspective sur leur art. En septembre 2020, Lou Carter éditera les catalogues des expositions « Alexia Chevrollier : » et « Paola Siri Renard », participera à la Paris Design Week et exposera Sophie Pugnet. Pour en savoir plus, visitez le site de Lou Carter Gallery. Visuels : Courtesy Lou Carter GalleryLa Rédaction
Il y a 4 ans et 321 jours

Résidence Le Onze : Un immeuble exemplaire issu de l’économie circulaire

Le Onze est une petite résidence d’habitation, qui s’inscrit dans le label E+C-, en visant un seuil E2C1. [©ACPresse] Exemplaire. Voilà comment se veut l’opération de construction de la résidence d’habitations “Le Onze”, à Chartres, dans l’Eure. Dès le départ, Pierre & Territoires Eure-et-Loir a posé un postulat simple : construire un bâtiment, qui anticipe les ambitions réglementaires de la RE 2020, en utilisant des techniques maîtrisées par des acteurs locaux. Le tout, sans déséquilibre du prix de sortie. En d’autres termes, réaliser un projet ayant une réelle viabilité économique et dont le coût global reste le même que pour un projet “classique”.  Bien entendu, les logements créés se doivent de répondre aux enjeux environnementaux (énergie/carbone), tout en étant reproductibles à l’échelle du territoire. Celui de l’Eure-et-Loir, en l’occurrence. Ainsi, le programme est réalisé dans une démarche éco-responsable et s’inscrit dans le Label E+C-, en visant le seuil E2C1.  Ainsi, Le Onze affiche une architecture contemporaine élaborée par Yannick Mouton. Une architecture, qui répond toutefois aux contraintes d’urbanisme liées à la protection du patrimoine de la cité historique de Chartres. Le projet fait la part belle à la mixité des matériaux : terre cuite, bois et béton. Ce dernier se distingue, car il intègre une jolie part de granulats recyclés. Ceux-cisont issus de la déconstruction d’anciens immeubles du quartier de Beaulieu et d’un bâtiment du collège Hélène Boucher. C’est-à-dire, des démolitions opérées sur le territoire de Chartres Métropole. Surtout, ces matériaux ont été valorisés par l’entreprise Granudem, sur son site pilote de Poisvilliers, petite commune située à 20 km au Nord de Chartres. C’est là que l’industriel transforme les déchets de démolition en une gamme de sables et de granulats aptes à être intégrés dans des nouveaux bétons.  Des granulats recyclés dans les bétons Des MCI matricés habillent les façades donnant sur la rue. [©ACPresse] C’est justement ce qu’a fait Spurgin Léonhart dans son unité de préfabrication de Mignières, toujours dans l’Eure, mais à 20 km au Sud de Chartres. Le volume de granulats recyclés mis en œuvre dans le béton est de 20 %, comme l’autorise la norme NF EN 206/CN. L’ensemble des murs à coffrage intégré (MCI) matricés destinés au chantier du Onze ont été préfabriqués avec ce béton. Au total, pas moins de 80 t de granulats recyclés ont été ainsi valorisés dans les 400 m3de bétons structuraux nécessaires à la construction. Outre les MCI, le BPE, les escaliers préfabriqués et les blocs en ont bénéficié. Seules, les prédalles précontraintes n’ont pu en profiter, car les textes ne l’autorisent pas à ce jour. Ainsi, rien qu’au niveau des bétons, le projet a permis d’économiser plus de 360 t de CO2, pour atteindre cette performance de E2C1, soit un impact carbone en recul de 20 %, en comparaison à une opération classique.  Pour la préfabrication des MCI matricés, Spurgin Léonhart a mis en œuvre un béton intégrant 20 % de granulats recyclés. [©ACPresse] Le projet du Onze ne vise donc pas une virtuosité technique. La volonté de Pierres & Territoires Eure-et-Loir est juste de démontrer de manière pragmatique qu’il est possible d’avoir une démarche éco-responsable dans le cadre du label E+C–. Ceci, dans le cadre de l’économie circulaire, en faisant appel à des entreprises locales, à des techniques courantes et en valorisant les matériaux. Et sans surcoût… Une belle mixité des matériaux La construction fait la part belle à la mixité des matériaux : terre cuite, bois et béton. [©ACPresse] Bâtiment de type R + 3, Le Onze est posé sur des fondations constituées de pieux, de longrines et de dalles portées. Cet ensemble est destiné à “enjamber” des vestiges du IVe siècle, trouvés sur place lors de fouilles archéologiques préalables… Tout en béton, le rez-de-chaussée abrite les parkings privatifs, les caves et les locaux techniques. La structure comprend les MCI matricés, côté rue, les murs extérieurs en blocs creux, les refends porteurs en blocs pleins rectifiés et une ossature poteaux-poutres pour le parking.  Les granulats recyclés sont fabriqués sur la plate-forme Granudem à partir de bétons de démolition. [©ACPresse] En élévation, les murs de façades sont réalisés en maçonnerie de type Bio Bric, avec intégration d’un complexe d’isolation (ITI). Quant aux murs séparatifs, ils sont en blocs pleins rectifiés. Et ceux de la cage d’escalier, tout comme les acrotères, sont en blocs à bancher. L’ensemble des planchers voit la mise en œuvre de prédalles précontraintes, associées à une dalle de compression en béton prêt à l’emploi. Les ponts thermiques en rives de dalles sont traités à l’aide de planelles isolantes en béton ou en terre cuite. Enfin, le troisième et dernier étage est construit, en utilisant des panneaux préfabriqués en bois. Tout comme la toiture, qui s’articule autour d’une structure en bois, elle-aussi.  Côté finition, les façades seront traitées en enduit clair, avec intégration de modénatures en béton de teinte blanc cassé, ainsi que des plaquettes de parement en brique sur les niveaux supérieurs. Pour sa part, le rez-de-chaussée restera “brut de béton”, bénéficiant de la finition matricée des murs à coffrage intégré.  Frédéric Gluzicki Repère Promoteur/aménageur : Pierres & Territoires Eure-et-Loir - Provivis Eure-et-LoirMaîtrise d’œuvre : Yannick Mouton, architecteBET E+C- : AET LoriotEntreprise de gros œuvre : Ets TachauBPE : UnibétonPréfabricants : KP1 (prédalles), PBM (escaliers), Spurgin Léonhart (MCI matricés) et Rasori (blocs béton)Granulats recyclés : Granudem (28)Délai : 12 mois